- Speaker #0
Bienvenue sur le podcast pétillant et authentique Réveille ta nature. Telle une petite fée clochette, j'ai à cœur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de lumière et de connexion au cœur. Je suis Aurore et j'accompagne les femmes à passer de la course infernale à un rythme plus respectueux, de leur énergie et ça sans culpabilité. Je t'invite à cliquer dans la description de l'épisode pour avoir plus d'infos sur mes actualités. Tu me suis ? Dans ce nouvel épisode de podcast où je reçois une invitée de marque que j'ai déjà reçue il y a... quelques temps, ça va faire rire, il y a quelques temps, en 2023. C'est Christelle Célis avec qui j'ai déjà pu collaborer. Peut-être que les personnes qui nous suivent depuis longtemps nous connaissent toutes les deux. Il y a eu un épisode au tout début en 2023 sur le fait justement d'entreprendre avec détermination et patience. Et on avait aussi fait un deuxième épisode sur comment démystifier et expérimenter une retraite. bien-être. Donc, c'était les deux épisodes qu'on a pu enregistrer ensemble. Et là, aujourd'hui, on enregistre un autre épisode, un peu sous cette thématique du leadership et du, justement, du domaine de la carrière pro. Et donc, ce sera axé vraiment sur le leadership au féminin et sortir, justement, de l'ambition sacrificielle. Donc, est-ce que peut-être, Christelle, pour les nouvelles personnes qui, peut-être, ne te connaissent pas, ou pour les personnes dans ma communauté qui ne te connaissent pas encore, peut-être, est-ce que tu peux ... refaire une petite présentation.
- Speaker #1
Bien sûr, déjà merci Jekou, horreur de m'avoir invitée pour cet épisode, je suis ravie de réapparaître sur ta chaîne après deux ans, c'est vrai qu'on a pas mal collaboré ensemble et qu'on est copines aussi à côté, donc ça fait toujours plaisir de pouvoir montrer sa petite bouille aussi dans justement les contenus que tu peux proposer. Et donc du coup, moi c'est Christelle, sur Instagram et sur mon podcast vous allez me retrouver. sous le nom de Christelle Célis mais aussi de ma vie de sorcière. Et ce que je fais avec passion, c'est d'accompagner les femmes à retrouver leur puissance sous différents prismes, on va dire. Soit sous le prisme en effet de l'accompagnement one-one, où là je vais beaucoup accompagner des femmes qui ont été victimes de traumas, d'abus sexuels et de violences sexuelles et de viols. Et aussi sur le côté collectif où là je vais plutôt accompagner les femmes à développer leur magie. J'ai vraiment à cœur de faire comprendre aux personnes qu'on a tous une graine de magie à l'intérieur de nous. Et j'ai vraiment envie de pouvoir faire porter cette voix qu'il n'y a pas une seule vérité, qu'il n'y a pas une seule magie. Et du coup, moi, ce que j'aime, notamment dans le Coven Initiation, c'est de pouvoir montrer aux personnes qu'il y a différentes manières de développer sa magie, de trouver une magie qui nous correspond. Et surtout que ce n'est pas réservé à une élite, ce n'est pas quelque chose qui fait peur, ce n'est pas quelque chose qui est... Alors oui, qui est mystique, mais pas mystique dans le mauvais sens du terme. Et que surtout, il faut sortir de tous ces carcans, surtout dans ce domaine-là, qu'il faut aller dans cette notion justement de liberté pour trouver justement notre magie, se respecter, retrouver notre individualité. Et c'est vraiment quelque chose qui me tient énormément à cœur. Et en dernier pan, je forme aussi des thérapeutes holistiques à côté, du coup, pour qu'ils puissent aussi pratiquer les soins. à ma manière, c'est-à-dire avec une dimension assez chamanique.
- Speaker #0
Tu as plein de casquettes, c'est très riche. Tu as plein d'outils, plein de casquettes. Et d'ailleurs, ça a aussi un lien avec ce dont vous voulez parler aujourd'hui sur le fait de comment s'épanouir dans le domaine pro, comment avancer vers ses aspirations, vers ses ambitions, tout en respectant sa cyclicité de femme et de ne pas rentrer finalement dans une quête de pêche. performance ou d'être dans le sacrifice pour réussir je sais que c'est une thématique qui touche pas mal de ma communauté et sûrement de la tienne aussi donc je trouvais que c'était hyper intéressant de parler de ça d'énergie de pôle masculin et de pôle féminin et aussi peut-être de sortir de cette image de quand t'es une femme tu peux pas avoir une carrière par exemple ou une vie de famille, je sais pas toi ton positionnement là-dessus.
- Speaker #1
Ah bah oui mais carrément déjà c'est alors Je ne pense pas que ce soit une croyance dans laquelle j'ai été baignée au niveau éducationnel, parce que ça ne me parle pas. Mais par contre, c'est vraiment une croyance en tout cas qui m'a beaucoup affectée. Et même encore maintenant, je sais que tu vois, sur le fait par exemple d'avoir des enfants, c'est quelque chose que j'ai envie d'avoir, mais qu'aujourd'hui je me dis non, parce que je suis focus sur l'entreprise. Et donc j'ai bien conscience qu'à l'intérieur de moi, il y a cette croyance que je ne peux pas avoir l'un et l'autre, comme s'il fallait que je me démène à fond dans mon entreprise là, en ce moment. pour être sûr que ça fonctionne et après du coup avoir le droit d'être mère. Tu vois, il y a vraiment cette… cette notion-là, j'ai vraiment cette impression en tout cas en effet que pour les femmes, il y a un peu cette notion de devoir choisir, je mets des guillemets quand je dis devoir, parce que finalement on pourrait choisir les deux, mais de devoir choisir les deux, comme si c'est après aussi une sorte de raison, on sait qu'en fait, on sait que l'entreprise nous prend du temps, on sait qu'avoir des enfants nous prend du temps, et c'est comment est-ce que en tant que femme, je vais réussir à jongler entre les deux quoi.
- Speaker #0
Oui c'est ça, et en fait on est dans une dynamique, tu vois quand tu parles de ça, C'est collectif, en fait, ces sociétés aussi, parce qu'en soi, on voudrait fonctionner, on voudrait retravailler, entre guillemets, comme un homme, alors qu'il y a eu énormément de chamboulements, et puis qu'après une grossesse, et dans le début d'une maternité, il y a pas mal de choses qui sont perturbées, et je pense que c'est là où on se trompe, et c'est quand on veut rester dans un système un peu noir-blanc, entre guillemets, assez masculin, en fait, finalement. et qu'on ne prend pas en compte cette question de cyclicité, alors qu'il y aurait peut-être en effet des solutions pour jongler avec les deux, mais c'est tellement ancré dans la société, tellement inscrit qu'il faut fonctionner comme ça, que c'est compliqué de créer ses propres règles, justement. Oui,
- Speaker #1
carrément, et puis il y a aussi, en tout cas pour moi, il y a aussi la croyance qu'une entreprise peut fonctionner seulement si on se donne à fond dedans, donc il y a aussi cette notion en effet du… du mérite, du temps passé dedans. Et c'est comme si que moi, du coup, dans ma croyance, que si je me divise en deux, du coup, je ne serais pas bonne soit dans l'un, soit dans l'autre. Je ne serais pas soit pleinement dans mon entreprise, soit pleinement en tant que mère de famille. Il y a aussi, je trouve, ça qui n'est pas forcément présent chez les hommes, du moins peut-être pas sous une même échelle. Et à l'opposé de ça... Je parle encore pour moi en termes de mes croyances. Je sais que j'ai aussi des croyances très fortes, mais ça, je pense que c'est aussi par rapport à ma valeur de liberté, de ne pas vouloir dépendre de quelqu'un financièrement. Donc, il y a tout ça qui fait que ça met une sorte de pression en mode, il faut que je sois à fond dans mon entreprise parce que c'est ça qui me permet d'être indépendante financièrement et de ne pas être un boulet que l'on va traîner. Mais en même temps, j'ai envie d'avoir des enfants, mais je sais que si j'ai des enfants, c'est moins de temps dans mon entreprise et je sais que si mon entreprise marche, c'est par rapport au fait que je me...
- Speaker #0
dévoues coréennes dedans et qui a du mérite et du coup il y a vraiment ce ce tir à l'aimant quoi il y a une forme de t'as l'impression d'être tiré des deux côtés il y a un truc où c'est soit ça ou ça, il y a vraiment un choix de ça ou ça et ça peut pas matcher ensemble oui,
- Speaker #1
il y a un peu ce côté aussi d'être redevable si je pense tu vois cette notion de ok si du coup je suis moins si j'ai moins de temps dans mon entreprise et que du coup elle fonctionne moins, du coup je vais être plus là avec les enfants mais je vais être redevable à la personne qui ramène l'argent pour le foyer. Alors qu'en vrai, j'ai conscience que c'est carrément des croyances parce qu'on peut aujourd'hui, il y a plein de modèles de femmes qui nous le montrent, on peut travailler à mi-temps pour s'occuper de ses enfants et gagner tout autant qu'on travaillerait sur un temps plein. Donc j'ai conscience que c'est des croyances mais c'est des croyances qui sont très limitantes.
- Speaker #0
Pour moi c'est vraiment des croyances d'un système patriarcal en soi parce que c'est C'est ça en fait, c'est l'un ou l'autre. Et puis, c'est comme si tu devais... Alors, comment je vais structurer ma pensée ? Tu vois, tu devais absolument rentrer autant d'argent, d'être linéaire finalement, alors qu'il y a des choses en fait qui ne font pas partie de cette partie-là, matérielle, financière, sécurité, qui sont aussi importantes, c'est complémentaire. Je vois vraiment l'image du yin et du yang en fait, c'est complémentaire, mais c'est un fonctionnement qui est différent.
- Speaker #1
Mais oui, quand même.
- Speaker #0
Le soutien, justement, tu parlais du soutien matériel ou financier, c'est parce que c'est moins palpable, du coup, c'est moins évident. Mais tout ce qui est soutien, des fois émotionnel aussi, on ne prend pas forcément en compte. Ou le côté empathique, je ne dis pas forcément que c'est une qualité exclusivement féminine, mais c'est quand même plus dans l'énergie féminine d'être dans ce soutien, d'être plus dans l'émotionnel, dans le ressenti. Et il est nécessaire aussi, cette part-là, elle est nécessaire aussi à l'autre.
- Speaker #1
Oui, c'est sûr. De toute façon, même dans une entreprise, on sait que pour que l'entreprise se déploie, c'est mieux d'avoir des énergies yin et yang à l'intérieur de nous qui sont harmonieuses, dans le sens où les deux vont soutenir notre ascension. Là où le yin va être beaucoup dans cette notion, comme tu disais, d'intuition, de créativité, d'émotion, ça va vraiment nous permettre d'aller trouver finalement l'essence de notre entreprise. Mais là, si tu n'as pas d'énergie yang… à l'intérieur de toi, tu auras beau avoir l'essence, si tu n'as pas cette énergie du yang qui est dans l'énergie finalement moteur et l'énergie du fer, tu auras beau avoir autant d'idées que tu veux, si jamais tu ne les mets pas en matière, ton entreprise, elle fera zéro en chiffre d'affaires. Tout comme si jamais tu n'es que dans le yang, donc que dans le fer, mais que finalement, il n'y a pas la créativité, la petite étincelle, cette sensibilité finalement qui est propre, ça ne va pas toucher les gens. Donc, c'est important finalement que ce soit à l'intérieur de soi, que ce soit dans son entreprise ou même dans sa vie en règle générale finalement, d'avoir cette… énergie de ying et de yang qui sont harmonieuses à l'intérieur de soi parce que le yang dans tous les cas va soutenir le yin si je sors de l'image de l'entreprise c'est aussi notre yin intérieur qui va nous permettre parfois de nous sentir tu parlais de sécurité émotionnelle mais de nous sentir justement nous mêmes en sécurité émotionnelle quand on va avoir des angoisses ou des choses qui vont venir et de ne pas aller chercher la solution à l'extérieur donc c'est vrai que le yin et le yang c'est important que ça soit harmonieux à l'intérieur de nous dans tous les domaines de notre vie
- Speaker #0
J'ai une question pour toi qui me vient. C'est comment on arrive à trouver cet équilibre ? Parce qu'on a les deux. Après, il y a des personnes qui vont avoir une polarité plus masculine et des personnes qui vont avoir une polarité plus féminine. Est-ce que tu penses justement, parce qu'on parlait, c'était ça le sujet du côté sacrifice-sacrifice, est-ce que tu penses qu'il y a quand même moyen de trouver de delay entre ces deux parties-là et d'avancer, de quand même réussir ?
- Speaker #1
Oui. Je pense que le moyen... Alors après, du coup, je vais justement revenir sur le mot équilibre. Je pense qu'on trouve notre équilibre dans le déséquilibre, dans le sens où la vie, c'est mouvement, c'est tout mouvement. Et en fait, c'est impossible d'être à 50-50 tout le temps et de garder ça. Ce n'est pas possible. Ce n'est absolument pas possible. Là où on va trouver l'équilibre, c'est-à-dire que les moments où tu vas te sentir justement dans une énergie, on va dire, d'action, une énergie plus suive, que là, tu laisses... te passe à cette énergie yang et que les moments où tu vas sentir que tu as besoin de plus d'introspection de revenir sur toi et te reconnecter à ton yin c'est à ce moment là qu'il faut y aller sans culpabiliser de ne pas faire et en fait c'est là souvent où il va avoir le je dirais cette notion de déséquilibre c'est qu'en fait pour moi l'équilibré dans le déséquilibre et ce qui provoque vraiment cette sensation de mal être dans ce notion de déséquilibre c'est quand on culpabilise d'être trop dans une énergie plutôt que dans une autre parce qu'en plus Actuellement, c'est vachement la mode dans le dev perso de dire qu'il faut être dans l'être et pas dans le faire. Ce qui fait que quand on est dans le yang et qu'on est dans le faire, on va culpabiliser en se disant « Oh mon Dieu, je ne suis pas quelqu'un d'éveillé, je ne suis pas dans l'être, je ne suis que dans le faire. » Et quand on va être que dans le yin, qui est vachement plus dans l'être, dans le ressenti, on va se dire « Ah mais oui, mais du coup, je ne mets pas des choses concrètement en place, c'est dans l'action et du coup, ça ne va pas fonctionner. » Je pense en fait que cet équilibre qu'on va avoir, c'est toujours une question de connaissance de soi et de douceur envers soi. C'est accepter que tout est cyclique. qu'on ne peut pas être 50-50, enfin, clairement, on n'y est jamais, c'est toujours 80-60 ou 80-20, enfin, bref, peu importe, mais d'avoir beaucoup de douceur et de se dire, ok, là, je suis dans une énergie yang, c'est ok, et peut-être que dans deux jours, j'aurais envie juste de me poser et de lire pour trouver une inspiration, et je serai plus dans mon yin, et c'est ok aussi. Et être vachement aussi en contact avec ce qui se joue à l'intérieur de nous et aussi avec l'extérieur, parce qu'il y a notre cycle interne, forcément, qui joue, mais il y a le cycle des saisons. qui va aussi beaucoup jouer sur cette énergie qu'on va avoir. Et aussi, si jamais vous collaborez, si on parle sur le côté entreprise, ou même dans un couple, la personne avec qui vous collaborez, c'est-à-dire que si la personne avec qui vous êtes en couple ou la personne avec qui vous collaborez dans le travail, si c'est l'énergie plus yin, naturellement, pour justement trouver cet équilibre, vous allez plus aller dans le yang. Et pareil, dans un couple, ça marche exactement de la même manière.
- Speaker #0
En fait, moi, je vois ça vraiment comme une danse, tu sais.
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
C'est du mouvement et c'est vrai que... souvent enfin pendant longtemps entendu ce terme d'équilibré moi je l'aime beaucoup mais mais c'est vrai que ça peut être des fois en mode ah mais du coup où je suis je sais pas trop me placer me positionner mais en fait faut juste accepter comme tu disais de bas que ça bouge tout le temps et et moi là j'ai quelque chose qui me vient aussi par rapport à ça par rapport au fait de ce qu'il peut y avoir beaucoup de culpabilité aussi le fait d'être dans l'être et d'être de pas être dans la productivité et Et même, il y a plein de croyances qui ressortent de ça, dans le travail notamment, que si je ralentis, en fait, ça ne va pas fonctionner, je vais échouer. Alors qu'en soi, je pense que le ralentissement, ça dépend de ce qu'on met derrière. Comme tu disais, tu sens que tu es dans une phase où même au niveau de ta cyclicité intérieure, je n'en sais rien, par exemple que tu es réglé ou que tu es en pré-règle et que tu veux forcer quelque chose parce que tu dis qu'il faut que je le fasse, alors que tu es dans une période où tu es plus quand même dans la réceptivité et peut-être que tu vas avoir justement des intuitions, des choses qui vont... te dire quelle voie prendre après, finalement, tu vas contre toi, en fait, de vouloir forcer quelque chose, alors que c'est beaucoup plus une forme d'intelligence aussi, d'apprendre vraiment quotidiennement, de dire comment je me sens aujourd'hui, c'est quoi mes ressentis, qu'est-ce qui est bon pour moi aujourd'hui.
- Speaker #1
Carrément. Oui, c'est contre-productif de ouf, parce que c'est vrai que... Alors moi ça m'est arrivé plein de fois, je sais qu'on en avait parlé ensemble, mais j'ai ce souvenir quand j'étais à l'appartement, au début je suis arrivée sur Bordeaux, il faisait méga beau, j'avais vraiment envie d'aller acheter des fleurs pour faire mes jardinières, mais je devais travailler, et en fait j'arrivais à rien, parce que je pensais que jardinière. J'avais juste envie d'aller planter mes fleurs. Et du coup je me suis dit, tu sais quoi Christelle, t'arrives à rien, donc va chercher tes fleurs, tu rentres, tu les plantes. Et en effet j'ai fait ça, et une fois avoir fait mes jardinières, il y avait une petite fleur sur le balcon, j'étais trop contente, et là j'ai pu travailler et être méga productive. C'est pour montrer aussi que des fois, en effet, c'est à contre-courant de la productivité de se dire « Non, il ne faut pas que je m'écoute et qu'il faut que je fasse, il faut que je fasse. » Alors que si on s'autorise même une heure de faire quelque chose, en fait, ça va libérer une sorte de truc mental qui est là et qui se dit « Oh, c'est ça que tu as envie de faire, c'est ça que tu as envie de faire. » Et on suit l'aspiration et après, on le fait. Et moi, ce que j'ai appris ces dernières années aussi sur ce que tu disais aussi, c'est que le ralentissement... C'est hyper important dans les cycles de développement, parce que c'est ce ralentissement qui permet justement de pouvoir repartir. Encore une fois, tout est mouvement, et il faut accepter qu'on ne soit pas tout le temps en pente ascendante, il faut accepter qu'on ne soit pas tout le temps à 120 km heure, et que parfois, en effet, c'est comme sur une autoroute, des fois, le fait de ralentir, ça permet de voir, je ne sais pas moi, si la voiture va bien, si les pneus sont bien gonflés, si on a encore du carburant, s'il n'y a pas de voyant qui s'est allumé sur le tableau de bord, que si on est tout le temps à 130, on ne s'en rend pas compte. pas forcément compte. Mais le problème, c'est qu'on a cette association d'idées, je dirais, où on pense que le ralentissement, c'est en fait la mort, tout simplement. C'est très raccourci, mais en fait, c'est ça qui se passe dans notre cerveau, c'est très primaire, en fait, comme peur. On se dit, si ça ralentit, c'est parce que c'est en train de mourir. Et c'est aussi, je trouve, quelque chose qu'on... Là, je parle plus d'un côté entrepreneuriat, qu'on va beaucoup nourrir comme croyance. Enfin, moi, j'ai beaucoup entendu, en tout cas, au petit début, que je me suis lancée en entreprise, c'est que il n'y avait pas de stagnation. En gros, c'était soit tu étais en évolution, soit si tu stagnais, c'est que tu étais déjà en régression. Et ça, c'est une pensée qui met la pression de ouf, parce que ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le mois où du coup il ne se passe pas grand-chose, en fait, ça y est, mon entreprise, elle est déjà en train de mourir. Et en fait, ce n'est pas vrai, parce que ces mois où il ne se passe pas grand-chose, on l'a vécu toutes les deux, c'est des mois où on va refinaliser notre offre, voir avec qui justement on est accueillis. d'accompagner, voir quelles sont nos valeurs importantes qu'on a envie de faire transpirer dans notre entreprise et c'est des moments qui sont importants que tu peux pas faire si t'es tout le temps à la tête dans le guidon en mode au au au et en fait c'est comprendre que non le ralentissement c'est pas la mort ça alors si ça est trop longtemps ralenti ça peut aussi jamais au bout d'un moment oui parce que cette notion qu'il faut aussi au bout d'un moment se bouger les doigts du fiac et mettre dans la matière mais voilà c'est pas parce que tu prends quelques semaines de ralentissement que tout va s'effondrer c'est pas vrai
- Speaker #0
Non, ça permet aussi de, moi j'ai cette image de la maison, de mettre des fondations ou de sauver des gouttes et de repartir sur autre chose. Parce que des fois, oui, c'est des « petites morts » , mais c'est pour réajuster. Là, je repense à ce que je suis en train de créer par rapport à un accompagnement que j'avais lancé l'été dernier. Je sens qu'il y a besoin de réajuster. Donc en fait, oui, c'est peut-être une petite mort dans le sens où ce sera un peu différent, mais il y a autre chose qui va naître. Et c'est faire confiance aussi au process.
- Speaker #1
et puis faire confiance comme tu disais au cycle parce qu'il y a en soi il y a toujours du renouveau tout le temps ouais carrément et des fois les ralentissements c'est aussi et là pareil on peut faire le parallèle avec les relations aussi au delà du travail moi j'aime beaucoup comparer les relations amoureuses et travail parce que je trouve que c'est toujours deux univers qui sont vraiment très reliés c'est que généralement les moments de ralentissement aussi ce sont des moments que moi j'appelle des validations d'acquis c'est que généralement on se rend compte que quand ça ralentit Souvent, ça va nous remettre face à des insécurités, à des peurs, à des croyances qu'on a pu avoir. Et c'est comme si là-haut, ils nous disaient « Attends, on va voir comment tu réagis, on va voir comment allait ta foi. On va voir comment est-ce que tu es par rapport à ça. Est-ce que tu accueilles le ralentissement ? Ou est-ce que tu es en résistance de fou ? Est-ce que tu as confiance en la vie par rapport à ça ? Est-ce que tu as confiance au vivant qui est lui-même cyclique dans son énergie ? » Et il y a beaucoup ce truc-là aussi, je trouve, dans les ralentissements, un peu de validation de « ok, où est-ce qu'on en est par rapport à notre moi du passé ? » Encore une fois, que ce soit niveau boulot que niveau personnel. Et se rendre compte aussi que souvent, il y a des paliers qui se créent, d'un point de vue personnel ou peu importe le domaine, où on se rend compte aussi que souvent, on a un ralentissement avant de passer à un palier. C'est-à-dire qu'avant de justement faire « pop ! » avec le plafond qui est au-dessus de notre tête. C'est comme si on allait ralentir et ce qui est normal, il y a toujours un peu une peur, tu vois, de « ok, quand j'évolue, comment ça va se passer ? » « Je vais être plus visible ? Mon rythme de travail va peut-être être différent ? Je vais peut-être devoir plus travailler alors que je suis déjà fatiguée ? » Il y a plein de questions qui se font, qui font que ces questions-là, ces peurs, elles vont avoir une sorte de rétractation qui font qu'on va ralentir. Et il y a aussi cette notion, tu sais, comme si on avait nos peaux de serpent et qu'il fallait prendre le temps aussi d'enlever notre ancienne peau. pour pouvoir après être plus léger et re-accélérer. Donc c'est aussi comprendre que des fois, juste avant de passer un palier, on est obligé de passer par ce moment de ralentissement pour se dépouiller tout simplement.
- Speaker #0
Moi j'utilise souvent l'image de l'infusion, si tu veux vraiment intégrer les choses en profondeur, si tu veux vraiment que ce soit bien ancré en toi, si tu passes trop vite à l'étape suivante, ça ne marcherait pas en fait. Il n'y aurait pas une intégration, il n'y aurait pas une forme d'intelligence, de compréhension, et je ne parle pas forcément que de compréhension mentale, il y a aussi au niveau des ressentis, parce que pareil, les ressentis, des fois ça prend du temps de faire le lien entre certains événements, en disant « Ah, mais en fait c'était ça du coup, et je comprends mieux en fait, je comprends mieux pourquoi j'ai réagi comme ça, et du coup, je trouve que c'est important de sortir de ce truc de… » de ces sociétés. Donc, ce n'est pas qu'à titre individuel parce qu'on est dans une société où ça va vite et il faut être productif et il faut que ce soit rapide et il faut des résultats tout de suite. Mais je pense que c'est important de remettre un peu de conscience dans ce qu'on fait et dans qui on est. Et moi, c'est quelque chose que je partage souvent en accompagnement, c'est de célébrer les petites victoires, en fait. Mais des fois, on le sait, mais on ne le note pas ou on ne prend pas le temps vraiment de dire « Waouh, mais en fait, ce que j'ai fait là, c'est dingue ! » Et ça met la conscience.
- Speaker #1
C'est clair. Justement, c'est bien parce que j'allais rebondir sur le côté gratitude, tu viens de le faire, mais c'est vrai qu'en plus dans cette course à la productivité et au résultat, en fait, on est toujours focus sur ce qu'il va y avoir devant. On est toujours focus sur le futur, sur là où on veut aller, là où on veut se rendre. Et on oublie en fait du chemin qu'il y a derrière. Et ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas être dans le passé non plus, mais juste des fois se dire « ok » . stop et en fait c'est vraiment un état d'esprit c'est toujours cet état d'esprit du manque ou de la satisfaction en fait qui va travailler avec le travail de l'abondance c'est que quand on est tout le temps focus sur ok il me manque encore ça pour aller vers mon résultat il me manque encore ça pour aller vers mon résultat on vibre manque on vibre peur du coup que si on s'arrête on prend le temps justement de ralentir et de se dire ok regarde ce qu'on a déjà vécu regarde la toit d'il y a cinq ans quand a commencé et la toit de maintenant que ce soit d'un point de vue personnel, relationnel, professionnel, comment elle a évolué, waouh ! En fait, là, ça te met dans une émotion de joie, une émotion de satisfaction, où là, tu vas attirer l'abondance et où ça va nourrir, on parlait de foi tout à l'heure, où ça va nourrir ta foi aussi en la vie. Parce que souvent, là aussi, où ça pêche en termes de foi dans la vie, c'est qu'en fait, on est trop focus sur ce qu'on n'a pas et on oublie ce qu'on a. Et du coup, on perd totalement foi en mode « Avec tout ce que j'ai fait, je n'ai toujours pas réussi à atteindre mon objectif. » Ouais, mais regarde, avec tout ce que j'ai fait, ce que j'ai eu en fait aussi, tu vois, c'est vrai. Attention de voir avec différentes lettres.
- Speaker #0
Oui, et faire preuve de douceur avec soi aussi. Je parle pour moi et aussi par rapport aux personnes que j'accompagne aussi qui me disent que ça prend du temps ou que je sens que je reviens dans cette énergie-là. En fait, encore une fois, moi aussi, j'ai tendance à retourner dans cette énergie-là et me dire qu'il me manque ça. d'être dans cette vibration-là, mais en fait, ce n'est pas de se culpabiliser, c'est juste de mettre de la douceur et de l'amour dans ces moments-là, et de se rappeler et de s'éduquer. Et c'est pour ça, encore une fois, que j'insiste sur l'importance de la présence et de prendre des temps avec soi pour observer aussi, parce que quand on est tout le temps en mouvement, ça ne marche pas, on n'a pas ce temps de recul, pour éduquer son cerveau, pour voir vraiment toutes les avancées qu'il y a eues, tout ce qu'on a créé et la personne qu'on est, se reconnecter aussi à ses talents. à la valeur aussi, à ce qu'on crée autour de nous. Parce que des fois, on peut tendance à mettre notre attention justement sur certains points, par exemple au niveau du travail, alors qu'on a plein de valeurs, par exemple humaines, qu'on nourrit. Alors, ce n'est pas dans le travail, mais ça peut être dans le travail, mais ça peut aussi être avec les proches, être avec des valeurs qu'on incarne. Donc, je pense que c'est aussi ça, c'est sortir de… Et ça, c'est un point que je voulais discuter avec toi aussi, c'est de s'éteindre du mérite finalement, d'être dans une dynamique, d'être obligé de faire. pour mériter, alors que finalement, des fois, il y a des talents innés ou des choses qu'on est, qu'on vibre naturellement, qui font qu'en fait, il n'y a pas besoin d'être dans ce truc de sacrifice, vraiment quelque chose de l'ordre de l'énergie de la guerrière, où il faut forcer quelque chose.
- Speaker #1
Carrément. Et je vais rebondir sur deux trucs par rapport à ce que tu as dit. Le premier truc, avant de partir sur l'ère numérique, c'est cette notion que tu disais de... qu'on oublie aussi parfois de cette évolution et qu'on peut culpabiliser. En fait, il ne faut pas oublier que, c'est comme ça en tout cas que je le vois, notre évolution, elle est en effet ascendante, du coup, comme une courbe qui monte, mais qu'elle fait des petites formes de queues de tire-bouchons de cochons. Donc, ça fait des petits cercles comme ça qui vont vers le bas. Et donc, dans tous les cas, ta petite queue de tire-bouchons de cochons, elle monte. C'est juste que là, quand tu es dans le bas de ton cercle de la queue de cochons, Tu es forcément plus bas que là où tu étais quand tu étais en haut de cette queue, mais tu es toujours plus haut que là où tu étais où tu as commencé. Et en fait, c'est comprendre en effet qu'il y a des moments de down, et c'est normal parce qu'encore une fois, on ne peut pas tout le temps être pompé là, on ne peut pas tout le temps être en haut, mais c'est toujours se rappeler que, ok, là, je ne suis pas bien. Et j'ai l'impression, comme tu disais, pour les personnes que tu accompagnes, de revivre quelque chose que j'ai vécu. En fait, oui, tu le revis, mais regarde bien, tu ne le revis pas de la même manière parce qu'en fait, tu es ok dans le creux de ta vague de ta queue de tire-bouchon. mais ton creux de la vague de ta queue de tire-bouchon, elle est quand même plus haute que là où tu étais avant. Et ça, c'est important de s'en rendre compte pour pas justement avoir... Moi, ça m'arrive aussi plein de fois d'avoir des personnes que j'accompagne qui me disent « Mais en fait, j'ai l'impression que je suis revenue au début et que tout ce que j'ai fait depuis le début, ça n'a rien changé. » Et en fait, souvent, je leur dis « Bah, c'est pas vrai, parce que regarde le discours que tu as là au tout début. Tu n'avais même pas conscience. » Là, au moins, tu as conscience du problème, tu as conscience de te rendre compte qu'il y a quelque chose qui te met mal. Donc, ça montre bien qu'il y a eu une évolution. Et pour revenir en effet sur l'ère du Mélite... En fait, je pense que le problème de la société aujourd'hui, c'est qu'on s'identifie trop à ce qu'on fait, et notamment on s'identifie trop au travail qu'on fait. Truc tout con, première chose quand tu rencontres quelqu'un, qu'est-ce qu'on va te poser comme question, ou qu'est-ce que même toi-même tu vas te poser comme question, tu fais quoi dans la vie ? Et en fait, il est là, rien que cette question-là, en fait, elle montre le problème du lève du mérite. C'est qu'en fait, aujourd'hui, on ne va plus forcément, ça va venir après, je dis pas que ça ne vient pas, mais ça va venir après. mais sur la première image qu'on rend à quelqu'un quand on leur rencontre, on va s'attarder justement sur ce qu'elle fait dans la vie et en termes de métier. Même pas en termes de loisirs, même pas en termes de, comme tu disais, de valeurs personnelles et de talents. Non, c'est qu'est-ce que tu fais comme métier. Et ça montre l'importance du faire et surtout l'importance de la sphère professionnelle.
- Speaker #0
Qui est plus valorisée de toute façon. C'est pour ça que souvent, comme tu disais, ça revient, on fait une boucle avec le début de l'épisode, c'est qu'il fallait choisir entre le pro et le... Et finalement, si le fait d'être dans ta vie perso, d'être mère par exemple, il y a comme une dualité. Alors qu'en soi, objectivement, il n'y a pas de mieux en fait.
- Speaker #1
Ah non, pas du tout.
- Speaker #0
Et puis, de toute façon, s'occuper de sa maison, s'occuper de son foyer, de ses enfants, c'est un job en fait.
- Speaker #1
Mais oui. En fait,
- Speaker #0
c'est juste que ce n'est pas valorisé. Mais sinon, c'est pareil.
- Speaker #1
Mais oui, carrément. Et on sent en effet qu'il y a vraiment cette… Alors après, c'est encore un délire, mais j'allais dire, on sent vraiment qu'il y a cette importance faite au travail et au faire. Et en plus, il y a des hiérarchies, en effet, comme tu disais, dans les... Enfin, voilà, moi, le nombre de fois où, quand on parle de mon entreprise, déjà, la plupart des personnes ne comprennent pas, enfin, pas mon entourage, heureusement, mais les gens que je rencontre ne comprennent pas ce que je fais. Et du coup, ils vont me poser la question, une question qui, sur le papier, est très mignonne, mais qui, pour moi, m'agace. Et ça va, du coup, ta petite entreprise ? C'est pas une petite entreprise, ouais, je... Mais du coup, il y a ça aussi, c'est qu'en effet, ça en jette... plus quand tu vas dire à quelqu'un que tu es avocat, ingénieur ou je ne sais quoi, que même le mot entrepreneur. C'est trop vaste en fait pour les personnes. Souvent quand tu as dit entrepreneur, ils vont faire
- Speaker #0
« Ok, et on gagne 5000 euros par mois depuis ton canapé, c'est ça ? »
- Speaker #1
C'est un truc insupportable.
- Speaker #0
Alors que oui, c'est pareil, il y a tellement de casquettes et là c'est pareil. Je voulais faire un petit moment célébration parce que pour les personnes qui nous écoutent ou même qui se... Même si tu n'es pas entreconneur ou tu l'es, en fait, il y a tellement de casquettes à prendre. On a tellement de casquettes à avoir au quotidien. En plus, aussi, quand tu es à ton compte, il faut être community manager, il faut être gestionnaire, il faut faire ton métier éventuellement. Il y a tellement de choses qu'on doit faire. Donc, à un moment donné, il faut juste te dire que oui, il faut célébrer que tu es une badass et que tu es forte et que tu es puissante et que tu avances. et mettre en lumière toutes tes forces et tous tes talents et arrêter peut-être de... de minimiser.
- Speaker #1
Petite entreprise ou,
- Speaker #0
ah oui, une activité. non, en fait, ça fait beaucoup la posture aussi.
- Speaker #1
Mais oui.
- Speaker #0
Je peux dire un mot parce que ça me permettra de rebondir sur l'événement que tu proposes aussi dans quelques temps. Mais c'est ça, en fait,
- Speaker #1
finalement. Mais oui. Après, je pense que c'est aussi tout simplement un manque de connaissances. En fait, les personnes ne se rendent pas compte de tout ce qu'il y a quand on gère une entreprise. Et en effet, moi, je le vois, et toi, c'est pareil. Finalement, on va dire que notre... coeur de métier, c'est moins de 50% de ce qu'on fait toutes les semaines. Moi, je vais passer beaucoup plus de temps à faire des podcasts, à faire des vidéos, à faire de la gestion client, à faire toutes ces choses-là, qu'à faire des soins chamaniques et énergétiques. Et en fait, c'est quelque chose que les gens ne se rendent pas compte, en fait, que non, tu n'es pas, même si on te dit « Ok, je suis entrepreneur en tant que thérapeute » , en fait, c'est absolument pas finalement ce que je fais le plus dans la semaine. C'est vraiment le moment,
- Speaker #0
les newsletters, les posts Instagram. Les podcasts, comme tu disais, la compta, le suivi client, il y a plein de trucs.
- Speaker #1
C'est ça. Mais après, c'est vrai que c'était intéressant ce que tu disais, par contre, sur le fait qu'aujourd'hui, malgré tout ce qu'on a démonté sur la société, c'est qu'aujourd'hui, on a quand même la chance d'être dans une société où c'est très libre. C'est-à-dire que demain, tu peux être entrepreneur dans absolument ce que tu veux. Il n'y a aucune limite et on peut créer des métiers. Et ça, c'est vraiment, par contre, très cool. Et ça permet un champ des possibles vraiment très infini. même en tant que femme ça veut dire quand tu peux justement si tu te défais de toutes tes croyances qu'on a dit avant tu peux très bien te dire ok je reste à la maison pour m'occuper de la maison et des enfants quand ils sont là et entre deux je vais créer mon entreprise sur quelque chose que j'ai envie de faire et ça c'est un champ des possibles qui n'était pas possible
- Speaker #0
avant justement c'est ça c'est cool quand même de se raccrocher à ça qu'il y a du mouvement et qu'on a de la chance malgré tout après il y a encore plein de process qui sont justement en progression ça prend du temps ... Je pense que c'est important aussi de voir ce qu'on a déjà. Oui,
- Speaker #1
carrément.
- Speaker #0
Ça remet justement dans sa puissance, je rebondis, dans justement sur quoi on a la main finalement.
- Speaker #1
Oui, carrément. Et comme tu l'as dit, en effet, qu'on soit entrepreneur ou pas, il y a aussi cette notion qu'il n'y a pas de petit… Enfin voilà, on ne minimise pas les entrepreneurs, on ne minimise pas non plus les salariés. En fait, c'est comprendre qu'aujourd'hui, ce qui est juste cool, c'est qu'on a la liberté. si on l'apprend de faire ce qu'on veut.
- Speaker #0
Voilà, c'est ça. Exactement.
- Speaker #1
Super.
- Speaker #0
Merci Christelle pour tout ça, en tout cas. Du coup, avant de terminer, je voulais parler rapidement de ton sommet en ligne que tu as créé, qui se déroulera sur trois jours, du 1er au 3 avril, avec une conférence le matin et l'après-midi, justement pour permettre aux personnes de reprendre leur puissance. Donc, il y aura cinq intervenants, si je n'ai pas de bêtises, avec possibilité de replay. Est-ce que peut-être tu as envie de dire un mot rapidement sur cet événement et comment s'inscrire, tout ça ?
- Speaker #1
Ouais. Oui, carrément. Du coup, c'est le sommet en ligne puissante. C'est pour ça qu'il y avait des parties de petites perches qui étaient lancées de la part à Aurore. C'est un sommet qui voit le jour pour sa deuxième édition cette année. L'idée de ce sommet, c'est de permettre aux personnes qui le suivront de retrouver leur puissance dans différents domaines de leur vie, grâce à différentes intervenantes qui vont intervenir, forcément les intervenantes, ça intervient, et qui vont prendre la parole sur différents domaines, justement. Donc, ça va être comme l'a dit Aurore, le 1er, le 2 et le 3. Toutes les conférences du matin auront lieu à 9h30. Et toutes les conférences d'après-midi auront lieu à 14h, pour que c'est facile à se rappeler. Et en gros, moi, je vais intervenir sur être puissante en prenant sa responsabilité. On retrouvera Margot qui va intervenir sur être puissante en reprenant sa souveraineté. On va retrouver Aurore, ici présente, qui va intervenir sur puissante en écoutant son rythme. On va... avoir une autre aurore qui va intervenir sur Puissante dans ses relations et on va finir avec Delphine qui va travailler avec la numérologie donc Puissante avec la numérologie et moi je clôturerai le sommet en faisant un coaching pour vous permettre justement d'intégrer toutes ces notions de puissance et pouvoir les incarner tout simplement donc l'année dernière ça avait été vraiment trois jours de ouf et ce que j'avais vachement apprécié c'est qu'il y avait vraiment un suivi en fait les exercices qui étaient faits, j'avais eu beaucoup de retours par mail des personnes entre chaque jour et ça avait vraiment déclenché des choses et donc j'avais à cœur de le reproposer cette année avec de nouvelles intervenantes donc je suis ravie d'ailleurs que tu en fasses partie Maloute Je suis ravie de t'avoir participé aussi Et du coup en effet l'idée c'est vraiment d'être dans une immersion de trois jours pour pouvoir reprendre les rênes de votre vie par rapport aux domaines qui sont donnés pour pouvoir vous ouvrir un champ des possibles aussi, parce qu'on va toutes avoir une énergie différente, un discours différent, un domaine différent. Donc, ça permet de prendre ce qui est juste pour vous et de ne pas prendre ce qui n'est pas juste pour vous. Et d'avoir accès aussi en replay à ces échanges qui vont être très instructifs. Et donc, c'est un sommet en ligne gratuit.
- Speaker #0
Très bien. Et moi, j'ai prévu des petits supports à envoyer pour les personnes qui seraient intéressées. Je pense que ça va être riche de partages et de thématiques. Merci pour tes explications, Christelle, et pour tout ça, pour cette opportunité. Est-ce que peut-être tu as envie de dire un mot de la fin ? On va terminer tout doucement.
- Speaker #1
Un mot de la fin, je pense qu'en effet les sujets qu'on a abordés aujourd'hui on pourra encore en parler pendant 1000 ans. Parce qu'au-delà de cette ère du mérite dans le travail, c'est aussi quelque chose qu'on va retrouver beaucoup aussi en tant qu'être. Du coup même de mériter ses relations amoureuses, de mériter ses amis, de mériter de porter une jolie robe. Bref, je pense que c'est quelque chose qui demande vraiment. un travail profond de comprendre d'où ça vient, que ce soit collectif, mais aussi à l'intérieur de soi, et aussi transgénérationnel. Et que c'est important aussi, en fait, de juste prendre conscience, encore une fois, qu'on est des êtres divins qui vivent en une incarnation humaine, et qu'il ne faut pas oublier la notion humaine, parce que ça veut dire qu'il faut matérialiser les choses, et pas juste être là-haut. Donc d'où l'énergie yang. Mais que le côté divin, rien que par ça, ça montre que peu importe qui tu es ou où tu en es, tu mérites déjà. En fait, voilà.
- Speaker #0
Je vais faire une petite note humoristique parce que c'est ça qui m'est venu. Ça va peut-être te faire rire. Mais en fait, il faut se rappeler tous les jours qu'on était le spermatozoïde le plus rapide de la bande quand même. Parce que quand même, la probabilité, la probabilité quand même qu'on soit là sur cette terre, c'est vrai, ça te fait rire. Mais c'est vrai, des fois, c'est important de se rappeler. Moi, j'y pense beaucoup. Mais imaginez-vous, la probabilité que je sois ici,
- Speaker #1
Mais c'est vrai, t'as raison. Franchement, j'y avais pas pensé sous cet angle-là. C'est déjà, on peut être vachement fiers d'avoir été le plus rapide.
- Speaker #0
Il y a bien la probabilité, je pense. Je sais pas le nombre de spermatozoïdes qu'il y a eu, mais voilà, c'est quand même fou, finalement.
- Speaker #1
Oui, oui. Non, mais t'as raison. Carrément.
- Speaker #0
Ça fait toujours rire. D'un côté, je sais pas, des fois, je me dis, mais c'est vrai que c'est quand même fou la probabilité que ça puisse arriver. qu'on puisse rencontrer les gens, enfin là c'est la petite parole philosophique de fin d'épisode mais je sais pas, moi en tout cas chaque fois je me dis,
- Speaker #1
ça permet de redescendre un petit peu des fois qu'on est trop dans son mental et ses petites histoires ouais c'est vrai et c'est vrai que je rebondis sur le côté que tu dis de redescendre je pense que c'est ce qui manque actuellement cruellement, c'est la prise de recul et justement se rappeler en fait qu'en vrai il n'y a rien de grave en vrai, c'est vraiment on prend le, enfin là on reste sur la thématique qu'on a abordée, on est bien d'accord ... Mais si vraiment on prend du recul 30 secondes, est-ce que c'est vraiment grave parfois qu'il y a des choses qui ralentissent ? Est-ce que c'est vraiment grave parfois de ne pas atteindre l'objectif qu'on veut ? Vraiment. Est-ce qu'il y a dans... Non, en fait, en vrai, c'est pas grave.
- Speaker #0
Non. Ça fait chier,
- Speaker #1
mais c'est pas grave.
- Speaker #0
C'est ça, ça fait chier, mais c'est pas grave. Voilà. Non, moi, c'est que...
- Speaker #1
C'est ça aussi.
- Speaker #0
C'est ça, c'est vrai. Non, pour moi, c'est ce que... Il y avait un enseignement qui m'avait transmis ça et je trouve que c'était assez juste. Et encore, c'est grave. Pour l'échelle humaine, c'est grave. C'est la mort et la maladie qui est grave. Oui, on se moque bien sûr de nos thématiques. la thématique qu'on aborde, bon.
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
C'est bien, en effet, de prendre une posture d'aigle, des fois, et de prendre un peu de hauteur et d'observer ce qui est là, quoi.
- Speaker #1
C'est ça. Et pas oublier, en fait, que la vie est un jeu et moins un truc. Une phrase que je me dis tout le temps, personnellement, et que je vous invite à vous dire, c'est « et qui me l'empêche ? » . Voilà. Moi, ça m'arrive très souvent d'avoir une idée, de me dire « Ah, j'aimerais bien faire ça ! » Et de me dire « Bon, ouais, mais là, j'ai pas le temps. » Et puis, après, je me dis « Bah, qui me l'empêche ? » . Et en fait, cette phrase-là, je trouve qu'elle te permet vraiment de te dire « En fait, la vie, c'est juste un truc. » putain de jeu, un putain de plateau où on peut faire ce qu'on veut, et en fait, rien n'est grave, et en fait, personne n'a le droit de vous empêcher de faire ce que vous voulez. Donc, faites.
- Speaker #0
Voilà, c'est ça. Bien joué. Bien vu. Merci en tout cas pour cet échange, Christelle, peut-être à... Au plaisir. Peut-être pour un prochain épisode. La fois dernière, on en a fait deux d'affilé, peut-être qu'on en aura un deuxième, on ne sait pas, on verra.
- Speaker #1
Écoute, quand tu veux.
- Speaker #0
Avec plaisir. En tout cas, je vous remercie pour votre écoute et à très bientôt dans un nouvel épisode. Bisous ! C'est la fin de l'épisode et si tu entends ce message, c'est que tu es resté jusqu'au bout. Donc, je te remercie. Si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer, aider un proche, je t'invite à le partager ou même à le noter avec une super note de 5 étoiles, bien sûr. À très bientôt dans un prochain épisode.