- Speaker #0
Bonjour à tous, bienvenue sur ce nouvel épisode, épisode 55, vous êtes bien sur le podcast riche d'expérience. Je suis avec mon acolyte Mehdi, comment tu vas mon Mehdi ?
- Speaker #1
Très bien et toi ?
- Speaker #0
Bah écoute ça va, aujourd'hui on reçoit un nouvel invité, notre ami, comment tu vas
- Speaker #2
Mika ? Moi ça va et vous, comment ça va ?
- Speaker #0
Bah écoute ça va très bien, c'est un honneur de te recevoir depuis le temps qu'on parle et qu'on voulait te recevoir sur le podcast. Aujourd'hui c'est le jour J, on va parler un peu de ton parcours. Comment tu as été amené à faire de l'immobilier et tu vas nous parler un peu des tendances du moment, comment ça va se passer pour la fin d'année en fonction du marché et comment tu vois 2026 par rapport à ton expérience. Donc voilà, je vais laisser la parole à mon pote Mehdi qui va nous parler un petit peu d'actualité et après on va enchaîner.
- Speaker #1
Bon déjà, bonne rentrée à tous et bonne rentrée à tous les enfants. Mes filles ont fait leur rentrée ce lundi, on est jeudi. Tout simplement merveilleux, encore une année 2025 qui va se terminer en mode fusée. 2026, il y a de belles choses qui vont se présenter à nous, il va falloir faire des choix. Juste en mode actus, on va faire une actus histoire de se mettre bien. Tu as vu l'histoire de la petite mamie qui est revenue de vacances, qui a trouvé sa maison squattée ? Enfin, avec son fils squatté. Franchement, une chieuse, il n'y a pas d'autre mot. Elle a pris un nid de guêpe, elle l'a balancé là-dedans. exclusion direct les gars ils sont partis elle a récupéré son truc t'aimes t'aimes pas on s'en fiche elle a récupéré le bien et franchement bravo
- Speaker #0
Mika t'as vu voilà ça c'est de la grande vie je mets des serpents ouais le prochain ça aurait été le nid de frolon le frolon asiatique j'avoue elle a assuré elle a assuré bah ouais et attends en plus c'est ta maison mais c'est la maison je crois de sa fille ouais de son fils de son fils elle vit dedans mais c'est à sa fille mais elle a pas blagué Elle est arrivée, allez vas-y.
- Speaker #1
Mais c'est ce qu'il faut, gars.
- Speaker #0
Elle a raison.
- Speaker #2
Bon, du coup,
- Speaker #1
cette semaine, on a le privilège d'accueillir un pote, un ami. Ça fait hyper longtemps qu'on aimerait l'avoir sur le podcast, mais il se fait désirer, ce garçon. Mika Coelho, qui est un agent immobilier qui a beaucoup d'expérience. Ce n'est pas un mec qui a débarqué dans l'immobilier il y a deux mois, trois mois, comme certains. C'est quelqu'un qui va vous parler vraiment du fond du cœur. de l'activité. Il a connu plusieurs crises et là, il s'est lancé dans une nouvelle aventure. Je ne vais pas teaser, je vais juste vous laisser écouter son parcours et let's go. À toi, Mika.
- Speaker #2
Je mets le parcours entier ? Oui,
- Speaker #0
vas-y. Déjà, explique-nous un peu d'où tu viens.
- Speaker #1
La fin de ton enfance.
- Speaker #0
Exactement, qu'est-ce que tu as fait comme études ? Explique-nous un petit peu tout ça. On est toujours des grands enfants.
- Speaker #2
Comme études, on va aller vite. Je n'en ai pas fait. On a été super vite, franchement. Je n'ai pas fait d'études. Je ne pensais pas pouvoir faire quoi que ce soit qui fasse marcher mon cerveau puisqu'on m'avait dit que je ferais du chantier. Je suis portugais. Les études, elles se sont arrêtées. Je ne voulais pas aller à l'école. Ça ne m'intéressait pas ce que je faisais. J'ai commencé à travailler dans des entrepôts. Les entrepôts d'Auchan, je préparais des commandes. Ce travail-là, j'avais plein d'autres travails. Je travaillais en discothèque le week-end. Une discothèque portugaise aussi.
- Speaker #1
Attends,
- Speaker #0
attends, attends. À l'Eau Cognard.
- Speaker #2
C'était déjà à l'Eau Cognard. À quoi hier ?
- Speaker #1
Moi, j'allais à Saint-Georges, normal.
- Speaker #0
Moi,
- Speaker #2
j'allais à la Cochette à Dussol, à la Cochette à Dessol. C'est au fils de Rocky maintenant. C'est à Christophe, le Villamoy. Maintenant, Cochette à Dussol. C'est l'Eau Cognard qui a la touche.
- Speaker #0
Ah, je ne savais pas. tu vois j'ai fait ça
- Speaker #2
Je l'ai essayé quand j'étais jeune, mais... Ouais, c'est à 20 ans. Et du coup, l'école, j'ai commencé à faire plein de travail. J'ai fait du chantier, puisque je suis portugais. Du coup, c'est très grave là que tu vois. Mais ça aurait pu me plaire. La mentalité, franchement, avec les épaules et le travail, il aurait pu me plaire. Ils m'ont dégoûté du travail, par contre, parce que j'étais très arriéré. Et puis mon oncle, il me disait, arrête de parler, ta bouche, elle creuse pas trop. Ferme ta bouche et prends ta peine.
- Speaker #0
Frotte à truels.
- Speaker #2
Péau.
- Speaker #1
Frotte à pêle.
- Speaker #2
Je parlais trop, ça allait pas. Il me disait, c'est pas fait pour toi. C'est pas fait pour moi d'ailleurs, parce qu'au bout d'un moment, ça me saoule. J'ai besoin de parler, j'ai besoin de réfléchir. Et ensuite, j'ai fait plein de taffes. Je suis reparti au Portugal également. J'ai ouvert un pub au Portugal. Ça s'est passé moyen-moyen, parce que j'ai une association un peu compliquée. Où ? Au Portugal ? Ouais. Vers Lisbonne.
- Speaker #0
Ah, bien. C'était où ? À côté de Lisbonne ou périphérie ?
- Speaker #2
Non, c'est à côté, c'est à Péniche. Moi après j'ai travaillé à la Qashqai et à la Qashtagha Kapalik.
- Speaker #0
Ah ça c'est mon pièce.
- Speaker #2
C'est vrai ?
- Speaker #0
Ah bah ouais, Qashtagha Kapalik, je suis de là-bas.
- Speaker #1
T'es la base.
- Speaker #2
T'es là-bas, t'as de la chance.
- Speaker #0
En fait, je suis de là-bas et à Trajdujmont.
- Speaker #2
Je suis de Trajdujmont. Trajmont aussi, mais je ne suis pas d'accord. Je suis à Cap Parica. Je ne vais plus trop là-bas. Et après, je suis rentré en France. J'ai travaillé avec Tonton dans son garage. Je n'ai fait que des tâches. Tonton a développé une activité avec les bus. J'ai fait le commercial. J'ai commencé à faire le commercial un peu avec lui. Et j'avais un agent immobilier de ma ville. Et franchement ce gars là il me faisait délirer Il me faisait délirer parce que je voyais des gens qui rentraient en costume le soir. J'ai toujours aimé regarder les gens qui rentraient du train. Et je voyais des gens qui rentraient en costume. Je me disais, eux, ils ont l'air de gagner de l'oseille, mais ils ne kiffent pas leur vie. Et je voyais l'agent immobilier passer. Il avait tout le temps des coupes cheloues. Une petite queue, tu sais, une petite queue avec une nasse. Il se décollait en blond. Il s'appelait Oukache Madani. Et l'autre, il passait avec des belles voitures. et il était tout le temps souriant. La différence avec les autres gens, ce mec-là, il passait, il s'arrêtait, il parlait avec moi. Il rigolait, il était tout en train de rigoler. Je me dis, il n'a pas l'air stressé, il a l'air d'aimer ce qu'il fait. Je vois qu'il gagne de l'argent parce qu'il se promène avec des voitures. Je me dis, par contre, il n'est pas là en train de se prendre pour je ne sais pas qui et tu peux parler avec lui. Je lui ai dit, je veux travailler avec toi. Il m'a dit, non, ma femme ne veut pas. Je vais décéder, le pauvre aujourd'hui. Ma femme ne veut pas, mais il m'a dit, l'immobilier, de toute façon, tu n'as pas besoin d'aller à l'école. parce que je dis, je n'ai pas été à l'école, je ne suis pas parlé, il dit, tu n'as pas besoin d'aller à l'école. Achète un livre, va voir une agence et dis-lui, je veux travailler. De toute façon, il ne te paye pas, il s'en fout. Et là, j'ai dit, putain, c'est chelou comme travail quand même. Du coup, j'ai essayé, mais même si je ne connaissais rien, personne ne m'a pris. À l'époque, j'étais à Montelage-aux-Limes, j'étais de l'autre côté. Et en rentrant après du Portugal, du coup, je suis parti habiter à l'est de Paris. Et là, j'ai rencontré quelqu'un, il m'a dit, j'ai une agence immobilière, si tu veux essayer, c'était Century 21. et ça c'était en 2009 tu peux dire la ville ? Neuilly-Plaisance, en 2013 Je ne sais pas si vous connaissez
- Speaker #0
Moi je ne connais pas, je connais deux noms Mais tu connais
- Speaker #2
J'habitais au
- Speaker #1
Péreux J'ai fait des affaires au Péreux À Poulet-sous-Bois qui est collé C'est où je suis, chez Alosian Ah ok, tu vois, voilà où tu es
- Speaker #2
Pas mal J'ai fait à Neuilly-Plaisance, après j'ai fait à Paris Je suis resté à la Centurie 21 du coup 3 ans Avec un mec qui m'a donné ma chance, franchement j'avais rien du tout Il me faisait lire et tout, j'avais des problèmes de diction C'était compliqué, mais j'avais envie. Et j'ai toujours su, tu vois, quand les gens me disent « Ouais, je suis passionné par l'immo » . Moi, depuis gamin, à cause du mec dont je t'ai parlé, je voulais faire de l'immo, en fait. J'avais qu'un truc en tête, parce que l'histoire que je te raconte est l'agent immobilier. J'étais 10 ans, 11 ans, 12 ans. J'étais vraiment un gamin. Et je me suis toujours dit « Je vais faire ce travail » . Et je ne sais pas pourquoi, il y a un truc qui me plaît. Tu touches un peu à la vie des gens, il gagnait de l'argent, il était en bonne humeur il avait l'air sympa, il prenait pas les gens pour des cons j'avais ce délire Donc je fais 3 ans à Neuilly Plaisance, 4 ans, presque 4 ans, et puis mon boss s'est associé, il se sépare, il y en a un qui part, dans celui qui part c'est un de ceux qui a ramené Keller Williams en France que vous devez connaître, qui s'appelle Michael Dossreis, donc c'est un de ceux qui a ramené Master Franchise en France.
- Speaker #1
KW à immobilier.
- Speaker #2
Exactement, et avec le second il reste. bon après c'est un peu compliqué, l'équipe elle change tout le temps en fait je me retrouve un peu manager alors que moi-même je sais pas tout à fait j'ai besoin de bouteilles et l'équipe elle change complètement je me retrouve avec un boss qui est sur plein de projets du coup il délaisse un petit peu le truc et je commence à former des gens alors que je connais pas bien le taf mais je prends goût à ça, en fait très vite je prends goût à accompagner des gens, à leur expliquer avant ça j'avais fait de la boxe pendant longtemps en Portugal beaucoup d'ailleurs et j'aimais toujours ce truc là, j'aimais bien transmettre donc ça me plaisait Je pars de Century 21, après je suis allé à Paris, je reste à Paris, et en 2014, je retourne vers Nogent, et je vais chez Orpi. Donc il y a un groupe Orpi, qui a une agence qui tombe bien. T'as fait lequel ? Berek ?
- Speaker #1
T'as fait Orpi-Berek ? Ah c'est Orpi-Berek, après j'ai vu un bille.
- Speaker #2
Ouais, j'ai fait Berek. Pour d'autres raisons, j'ai fait Berek la STF.
- Speaker #1
D'accord.
- Speaker #2
Je fais à nos gens, je vais comme conseiller. Et en 2016, je commence à manager un peu l'équipe. Au début, il y a une, deux, trois, quatre agences. Il y a quatre agences, trois actions. Et je deviens d'un coup manager de quatre agences. Du coup, c'était un truc. Mais ça faisait longtemps que je voulais faire ça, en fait. J'arrivais à faire un truc. Toujours le truc, tu sais, t'avais les gros performeurs qui voulaient faire 500 000. Et moi, arrivé à 300 000, je me foutais. Je faisais vivre les équipes. Je faisais... Ouais, alors attends,
- Speaker #1
attends. Parce que les auditeurs, ils ne vont pas comprendre. Quand tu dis 300 000, c'est 300 000 de chiffre d'affaires perso. C'est ce que toi, tu vends en fait, mais pas en commission. En commission. Voilà. Donc, on va expliquer.
- Speaker #0
Pour une affaire de vente pure de biens, c'est commission. Alors,
- Speaker #1
ok. Quand tu vends une maison, mettons 100 000, lui, il a son pourcentage. Lui, il va vendre une maison d'un client 100 000, il a son pourcentage. Et là, les 300 000, en fait, c'est toutes ses commissions. Une fois qu'il arrive à ces 300 000, il a fait son chiffre d'affaires. Enfin, excuse-moi, son objectif. Mais s'il a envie de continuer, il peut continuer. Lui, ce qu'il dit, en fait, c'est qu'arrivé à 300 000, il n'avait plus la dalle. Donc, il s'est arrêté là. Mais d'autres, ils continuaient, tu vois.
- Speaker #2
d'autres continuent mais d'autres ont beaucoup de trucs j'ai fait une plus grosse, c'était 380 000. Mais je crois que je n'ai jamais fait une année entière comme un acharné. Je t'ai fait après... 380 000. Après, il y a plus lourd, si tu veux, je ramène. Non,
- Speaker #1
mais d'accord. Et sans travailler toute l'année comme un acharné.
- Speaker #2
En fait, je suis un mec d'équipe. Vraiment, vraiment, vraiment, vraiment. C'est-à-dire, t'en as qui te disent « Ouais, j'aime bien l'équipe » . Tu sais, comme tu dis quand tu recrutes dans l'IMO, les gens te disent, ouais, moi je suis quelqu'un, l'équipe, l'humain... Je suis vraiment un mec d'équipe. J'ai besoin d'être avec du monde, j'ai besoin de collaborer, j'ai besoin d'apporter aux gens, que les gens m'apportent. Puis ce n'est pas mon délire de t'arracher et d'avoir à côté de moi quelqu'un qui ne marche pas. Et comme je suis en repis, en fait, je suis pareil. Je rentre manager, mais ce n'est pas parce que je suis un manager, c'est parce que l'équipe, elle se renouvelle grave, que je commence à accompagner tout le monde, qu'au bout d'un moment ça me saoule puisque même si j'aime bien accompagner je passe beaucoup de temps à faire ça et que je leur dis je vais me casser là c'est le bordel, il y a trop de nouveaux Ça fait perdre trop de temps. Moi, je perds du temps avec eux. Je ne peux pas taffer. Ce n'est pas géré. Et puis, mon boss, il me dit, non, tu ne le fais pas. Tu vas les accompagner. Donc, je rentre là-dedans. C'est une réussite grave. L'agence, elle tourne super bien. Au moment du Covid, on l'avait grave bien préparé, que je me rappelle. Après, ça a cartonné. Mais quand on était dedans, tout le monde flippait. D'ailleurs, ils disaient que l'immobilier allait s'écrouler à cette époque-là, quand tu lisais le parisien.
- Speaker #0
si tu disais tout,
- Speaker #1
tout allait s'écrouler ouais c'était mortel tout allait s'écrouler x2 sur nos péages
- Speaker #2
Mais en fait, ouais, mais tu ne le savais pas avant. Mais après, c'est sûr, maintenant, quand on regarde en arrière, c'était ridicule d'avoir peur. Mais comme à chaque fois que tu as peur, c'est ridicule souvent quand tu regardes en arrière. Et là, du coup, on prépare bien les équipes. Je leur dis, faites attention, les gens qui sont à la maison, ils vont sortir en même temps. Ce n'était pas organisé. Il y en a partout, ça va couvrir partout. Si c'était organisé, si tu arrives à bien gérer, il va y avoir beaucoup de choses à faire. Ça, on va se prendre 4 mois ou 5 mois, on ne savait pas quand on allait sortir. On va pouvoir gérer beaucoup de gens. Et puis d'ailleurs, maintenant, pour préparer, tu vois, comme les gens sont à la maison, c'est le moment de les appeler, de parler avec eux. Ils n'ont rien d'autre à faire. Il n'y a plus personne qui te jette. Le truc, t'appelles, je n'ai pas le temps. Il s'ennuie, il va être content de parler avec toi. Quand il y a des fichiers d'acheteurs, de vendeurs, c'est parfait. On est sortis, ça a éclaté. Du coup, en fait, on n'avait pas de perte de chiffre d'affaires. alors que même si après ça a explosé à ce moment là, cette année là, elle a quand même été compliquée parce qu'on a été coupé, puis beaucoup de gens ont arrêté à cause de ça aussi, on n'a pas eu de perte de chiffre d'affaires puis ça s'est bien passé ça a tenu longtemps j'avais des équipes pareil des collaborateurs qui venaient qui n'avaient pas d'expérience tous on n'a pas eu quelqu'un dans l'équipe qui avait de l'expérience à chaque fois c'était que des nouveaux qu'on formait comme on voulait et puis c'est des personnes qui dépassaient les 300 000 euros pour les meilleurs mais gagnaient leur vie donc c'était super franchement on s'éclatait et puis après mes deux boss se sont séparés encore je sais pas j'aime bien travailler pour des mecs qui s'évincent. Les deux boss se sont séparés, ils se sont partis un peu en cacahuètes. Mon boss m'a demandé de rester. Il m'a dit, tu gardes le bateau parce que ça va être dur. On m'a donné un objectif chiffre d'affaires. Je ne sais pas si tu dois parler de chiffre d'affaires. Ça va se soulever. Oui,
- Speaker #0
au contraire.
- Speaker #2
Il m'a dit, il faut que je fasse 450 000 pour sauver la baraque. Et je dis, ok. Je lui ai dit, si tu fais 900 000. Il m'a dit, tu ne le fais pas. Du coup, on a fait 900 000 en fait. Il m'avait dit. Ils ont coupé en deux. Il y a quatre agences. Un a gardé deux agences. Ouais. Le deal, c'était de dire sur deux agences... En fait, le deal, il y avait quatre agences qui tournaient et c'était... Parce qu'il y avait une transaction, il y avait une gestion, il y avait un syndic. C'était de garder les deux agences transactions qui fonctionnaient le moins bien, puisque mon boss, à l'époque, il disait ces machins. On arrivait à faire glisser ce qu'il voulait. Il a dit, écoute, je récupère les deux agences transactions qui fonctionnent le moins bien. Donc, il y avait deux agences qui étaient celles qui ne fonctionnaient pas quand on avait tout le groupe qui tournait. Pas trop, on a réussi à éclater. On finit l'année, donc on finit à 900 000. Quand il me disait 450 000, et puis si tu fais 600, c'est super. Et puis là, il commence à me chanter des chansons bizarres. Et j'ai dit, ouais, ça me saoule, en fait. Tu ne travailles pas pour moi. Je suis en train de... Là encore, tu vois...
- Speaker #1
Le problème de l'IMO, c'est ça.
- Speaker #2
De grossir un truc. Ce n'est pas à moi, surtout. Je suis le malin, je suis le directeur, je gère les équipes, mais c'est pas moi. Et du coup, on se promet des trucs, on verra plus tard, on verra plus tard, sauf qu'au fur et à mesure, t'avances et puis on verra toujours plus tard, donc ça me saoule, et trop tard, je me rends compte Je travaillais pour des gens. Plein de fois, je suis resté là-bas, j'ai dormi sur le canapé. C'était un canapé dans le bureau. Puisque j'étais défoncé le soir et je me levais tôt le matin. Enfin, je taffais vraiment beaucoup. Et ce n'était pas pour moi. Et c'était mon plus gros...
- Speaker #1
Tu faisais combien par mois à ce moment-là ?
- Speaker #2
Moi ? Je ne vendais plus du tout. Oui,
- Speaker #1
à peu près.
- Speaker #2
Je ne vendais plus.
- Speaker #1
Non, mais tu tournais à combien par mois ? Tu avais quand même un minimum, un fixe.
- Speaker #2
De chiffre d'affaires ou de salaire ?
- Speaker #1
Non, non, toi tu avais un fixe et un variable en fonction de ce que tu vendais. Ton fixe, il était à combien ?
- Speaker #2
4 500 lettres.
- Speaker #0
Le fixe ?
- Speaker #2
Oui.
- Speaker #0
C'est beau. Oui. C'est bien. Plus le variable après qui se rajoutait.
- Speaker #1
Mais il n'y avait plus de vie, mec. Il n'y avait pas beaucoup.
- Speaker #2
Il n'y avait pas beaucoup. Il n'y avait pas beaucoup. Non, je t'assure.
- Speaker #1
Oui, parce que là, son rôle, en fait, c'était directeur d'agence. Donc le mec, en fait, il ne vendait plus. Il gérait toutes les équipes. c'est pour ça qu'il a fait un jeu fixe
- Speaker #2
J'avais pas trop de variables. Après, je touchais rien non plus. Je faisais des ventes, je touchais rien sur les ventes. Après, c'est ce qu'on avait dealé. J'avais pas de problème avec ça. Nous, on était OK là-dessus. Je lui ai dit, moi, je voulais partir. Elle m'a dit, non, tu restes. Je lui ai donné mes conditions. Elle m'a dit OK. Puis après, par rapport à ça, c'est bien passé. Mon problème, c'était pas ça, vraiment. C'était par rapport aux avancées et le fait que je doive rester. On devait avancer sur des trucs. On avait des projets. et à chaque fois les projets reculaient la première fois parce qu'ils se sont séparés donc forcément quand tu... Il y a une scission entre deux associés, les projets, il n'y a plus de projet. La deuxième fois, ils vont remettre des projets et raconter des trucs. Mais ce sera encore l'année d'après, sauf qu'au bout d'un moment, je les lis. Et que moi, je ne taffe pas pour moi. Du coup, je ne construis rien. Et je me rends compte, mais tard. Et je me dis, c'est trop bête en fait. J'aurais dû, il y a 42 ans, 30 ans, 35 ans max, commencer à taffer pour moi, à construire un truc. Si j'avais construit un dixième de ce que je l'aurais fait, je serais très bien aujourd'hui, franchement j'aurais pas besoin de plus Puis un dixième de ce que je leur ai fait, en sachant que j'ai participé. Je ne dis pas que j'ai tout fait, ce n'est pas vrai. Ni la moitié, mais que j'ai contribué grandement. Et franchement, un dixième, je pouvais le faire avec du temps. Et c'est ce qui me fait quitter le truc. Après, je suis allé chez Bérec, j'étais en transition. Je n'avais pas de projet particulier à ce moment-là. Je flottais un peu. Je vais chez Bérec, c'est des super amis.
- Speaker #0
Là, c'est toujours chez Orpi.
- Speaker #1
Ouais mais en fait c'est une famille C'est une famille, Bérec. Ils ont Jouinville-Le Pont, ils ont Champigny, ils ont Saint-Mort. Mais en fait, les mecs, moi, je ne peux pas te mentir, j'avais beaucoup à faire avec le fils. J'ai arrêté de dealer sur ce marché-là, mais j'ai fait deux ou trois transactions avec eux. C'est carré. Les mecs, ils connaissent leur taf. La gestion syndique, ils sont carrés. Et franchement, je ne fais pas leur pub parce que maintenant, je ne sais plus comment ils sont. Mais aux alentours de 2016 jusqu'à
- Speaker #2
2022, franchement,
- Speaker #1
des belles années au niveau business avec eux.
- Speaker #2
C'est la première agence sortie.
- Speaker #1
Non, mais il y en a à Béret avec la famille.
- Speaker #2
Oui,
- Speaker #1
mais c'est la première agence sortie. Tu vois, ça ne m'étonne même pas.
- Speaker #2
Le volume d'affaires, oui. C'est des machines. Il y a des enfants là-dedans. Parce que les gars,
- Speaker #1
ils sont... Oui, tu as la famille. En fait, c'est la famille complète. Le daron, la daronne, tu vois.
- Speaker #0
Ils sont tous le fils d'une agence,
- Speaker #2
ils en ont vers deux dans une ville. Tu vois ? Ah, mais c'est les deux, ils ont marqué. Tiens, là-dedans, tu avais une des filles, Manon Braque, parce que Bérec, c'est le nom de famille de la Baird. Oui,
- Speaker #1
Braque, c'est...
- Speaker #2
Manon Braque, elle est agent ville, le bas, puisque c'est divisé en deux. Avec Cécile Objoua, c'est une autre qui est partie, qui a monté son agence. Elles font chacune 500 000. Deux, elles font un million dans l'agence.
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
C'est beau,
- Speaker #2
c'est énorme. Va dans l'agence. Non, mais...
- Speaker #1
Ce qui est kiffant, c'est qu'ils traitent tout le monde de la même manière. Moi, j'arrivais là-bas, les premières fois, j'étais un clochard. Je venais en jogging, ils ne m'ont jamais mal reçu. Et tu vois, après, quand on a commencé à faire affaire, etc., je voulais me lancer marchande bien là-bas. Et clairement, en fait, ils m'ont proposé des trucs qui étaient toujours, d'après moi, trop chers. Et après, il y a eu le Covid. Mais franchement, les mecs, ils connaissent leur table. que tu leur... par le technique, ils sont là, ils sont présents. Donc, ça ne m'étonne même pas,
- Speaker #2
en fait. Moi, je vais là-bas, ça ne se passe pas très bien pour moi. Enfin, si, ça se passe bien parce que je les connais, mais ce n'est pas ma façon de travailler, vraiment. Je me sens un peu bloqué là-dedans. D'accord. Et donc, après, je repars et c'est à ce moment-là avec Christophe. Christophe, il y a une anecdote quand même.
- Speaker #1
Je ne sais pas si Christophe m'en associait avec le Béret. Tu peux nous dire comment il s'appelle le podcast ?
- Speaker #2
Dis-nous tout, on efface tout. Vous devez venir en plus, mais nous c'est compliqué. Même là c'est compliqué. Parce qu'on est pas sans un studio, du coup les agendas ça complique tout vraiment.
- Speaker #1
Le podcast, il est vraiment pro. Beaucoup plus orientés, professionnels de l'immobilier. Donc là, c'est vraiment pour un public qui est vraiment averti, pour un public qui est branché immobilier, développement, croissance, pour de la vente, pour de l'achat. Mais vraiment, allez écouter parce que moi, il y a deux, trois épisodes, je me suis dit, pépite quoi, pépite.
- Speaker #2
On les a invités, ça dépend de ce qu'on a invité. En général, on est content de ce qu'on a eu. Franchement, on était grave contents. L'idée, c'était quand même d'avoir plusieurs profils différents. On est là-dessus. Moi, je suis à fond là-dessus. Christophe aussi. Je ne pense pas qu'il y ait un profil. Je pense que tout le monde, comme l'a-t-il dit, tout le monde peut cuisiner dans Ratatouille. Le même délire. Je pense que tout le monde peut faire de l'immobilier et que chacun peut avoir sa touche. C'est d'autant plus vrai avec des réseaux de mandataires qui ont été de plus en plus connus avec IAD. Tout à l'heure, on en parlait. c'est le con du truc et où on se retrouvait avec des mères au foyer qui passaient à faire du limo, mais qui connaissaient tout le monde, et qui cartonnaient, et qui s'intéressaient aux gens, qui s'intéressaient au métier, et qui n'avaient rien à voir avec le profil des agents immobiliers à l'époque, qui venaient en costume, trois pièces, cravate, qui te sortaient des mots où tu ne comprenais rien. Et franchement, au long du temps, avec les équipes que j'ai eues, j'ai eu des débutants, moi quand je les formais, j'ai eu vraiment tous les profils. J'ai eu celui qui était super avenant, celui qui était très carré, qui était très chiffre, et tout le monde y arrivait à sa façon. Et l'idée aujourd'hui du podcast, c'est de montrer qu'il y a des profils différents. qui réussissent et qui vraiment n'ont rien à voir.
- Speaker #0
C'est vrai que l'immobilier s'est démocratisé après Covid. Tu as beaucoup de personnes qui ont arrêté des taffes qui ne leur plaisaient pas au quotidien. Et ils se sont dit, tiens, il y a une vibe, je vais aller surfer sur la vague. C'est vrai qu'après le Covid, tout le monde vendait de tout et n'importe quoi. Tant d'un qui se sont découverts un métier, une passion. D'autres, ils se sont dit pourquoi pas, je vais prendre un peu d'oseille. Et puis après, ça a épuré. Après, on sait qu'après tout ça, ça a beaucoup épuré il y a 2-3 ans. Mais voilà, c'est vrai que c'est bien d'avoir des différents profils, des différents parcours. Et ce que vous faites, c'est top. C'est votre domaine. Donc, tu expliques là où vous êtes bon. Et puis, vous faites découvrir un peu le monde de l'immobilier et de la vente avec différents profils.
- Speaker #2
Oui, c'est important. Tout le monde trouve sa place. Les gens chelous trouvent leur place aussi. Je n'ai jamais été trop moule. Du coup, j'aime bien parler d'un truc un peu hors cadre et que tout le monde puisse se dire qu'il n'y a pas de limite, qu'il y a pas de barrière. Je veux, j'ai envie, je fais. Et si je suis prêt à me corriger, à m'améliorer, franchement, je peux faire plein de trucs. C'est pour ça que tu cartonnes.
- Speaker #1
Après,
- Speaker #2
je ne sais pas si c'est que pour ça, j'ai de la chance de rencontrer des personnes bien. Justement, Christophe, je te dis, c'est anecdotique, mais... Moi, je commence Limo et quelques années après, je le connais et je le rencontre. Et il me dit, comment ça va Limo ? En parallèle, je n'ai pas dit tout à l'heure, mais quand j'étais chez Century 21, il y a une entreprise qui est arrivée en France qui s'appelle Archideco qui ramène l'home staging virtuel qui n'existait pas. Aujourd'hui, tu le fais avec chaque GPT, c'est ridicule, Canva le fait. Il fait une proposition d'aménagement. À l'époque, ce n'était pas possible, il n'y avait rien. Alors qu'eux ramènent le concept et ils disent, tiens, avec des architectes, on fait trois photos, enfin quatre photos dans chaque angle. et vous allez voir à quoi ça ressemble avec un carrelage différent. Et ramène ça en France. Imagine le carton. Maintenant, ça fait pitié. Quand on parle, ça n'excite plus personne. Mais au début, quand on sortait nos trucs, les gens disaient, c'est quoi ce truc de fou ? 48 heures après, on montrait les photos. Donc en parallèle, je suis ambassadeur pour ça et je connais Christophe, mon associé, puisque je lui vends Archideco. Et il me dit, gros, ça va comment ? Et je lui dis, ouais, je crois que je ne vais pas continuer. Et il me demande pourquoi. en fait j'avais eu une mauvaise expérience j'avais vendu une maison à quelqu'un la maison elle était pourri et je leur croisé une duway ça va il dit non pas du tout c'est la maison c'est de la merde saviez mais je savais pas et on dit ça foutu la merde dans notre vie on a divorcé ça se passe mal tu as émis ma ça moi je suis là je suis devant lui et vraiment j'avais pas conscience de tout ce qu'il raconte chez que mon patron il me faisait forcer un petit peu de l'échelle pas tout et je lui en parle et du web tu veux faire du social tu vas ailleurs si on ne sert à rien à voir du social je me dis ce métier pas fait pour moi donc je cogite et je me dis c'est pas pour moi, je sais pas si j'ai envie de faire ça, je pense pas, j'ai pas été élevé comme ça, je suis pas prêt à tout pour avoir de l'argent, et à ce moment-là je veux arrêter, et j'en parle avec Christophe, et à ce moment-là je le raconte, je le rencontre parce que lui il prend Archideco, je lui présente en même temps parce que je le fais en parler, et il me dit non, tu dois pas arrêter Limo, tu restes, toi t'es fait pour faire Limo, faut que tu le fasses avec les bon Et en fait, derrière, j'ai gardé ce truc-là avec plein de gens. Quand j'en parlais, ils me disaient « Le métier, c'est compliqué. C'est un métier de requin. » Ou encore « C'est compliqué. Je n'arrive pas à le faire comme je veux. » je me disais non mais ça en fait la personne qui tu veux être avec ça va changer ta vision attends Mika moi c'est pour ça que
- Speaker #1
Après mon BTS immobilier, je n'ai pas voulu continuer. J'ai fait un BTS immobilier, je voulais être dans un syndic de la gestion et faire un peu de transact, ça ne me correspondait pas. Après, voilà. Mais tu vois, c'est intéressant d'entendre parce que je ne m'étais jamais projeté là-dessus.
- Speaker #2
Ça dépend. Et c'est resté mon truc et ça, c'est parti. En fait, tu n'as pas besoin de ressembler à quelqu'un. Tu peux être toi. Après, ça dépend beaucoup de qui t'apprend et ce que tu fais. Tu peux tout faire. En fait, tu peux tout faire. Tu peux. Et je dis pas, des fois, tu fais des trucs, c'est pas terrible. Et tu vois, j'avais vendu la maison, moi, j'étais pas au courant. Mon boss, lui, je sais qu'il savait, parce qu'il me poussait, il était déjà dans ce truc-là. Il me disait, ouais, mais nous, on est là pour vendre, tu crois qu'on est là pour quoi ? Mais faire le requin, c'est pas intéressant. Enfin, aujourd'hui, ça va trop vite. T'as les réseaux sociaux, t'as tout. Tout se sait. si tu sais trop vite, si t'as des mauvaises intentions je dis pas que t'as pas de loupé, des loupés j'en ai plein je sais pas si tu savais, peut-être que t'es un mec qui essaye beaucoup de trucs et quand t'essayes vous le savez il y a plein de fois ça marche pas donc les casseroles, des fois on me dit ouais tu récites plein de trucs là on peut parler des casseroles on peut parler de ce que je réussis parce que je te jure là j'ai une armoire remplie si tu veux plus que de réussite d'ailleurs c'est comme ça qu'on apprend en fait bien sûr tu peux pas tout savoir et les casseroles on en a tous ouais
- Speaker #0
grave c'est de savoir comment repartir du bon pied avec ces casseroles là et de pas refaire les mêmes erreurs tu vois ce que je veux dire ?
- Speaker #2
bien sûr
- Speaker #0
Après, chacun, on est comme on est et on fait en fonction de notre trait de caractère. Et puis voilà, après, ça fonctionne, tant mieux, ça ne fonctionne pas, tu fais autre chose, tu testes autre chose. Et là, ce que tu as fait, c'est bien, parce que tu es résilient, tu as continué et puis on voit se l'amener.
- Speaker #2
Je ne suis même pas résilient. Je crois que vraiment, même pas de la résilience, c'est vraiment de me dire, je me lève le matin et... Je suis où je dois être. Ce n'est pas de réussir par réussir. Je n'ai pas envie d'aller faire autre chose. J'ai envie de me lever le matin et de faire ça. J'ai fait aujourd'hui, par exemple, où je suis avec des équipes, je passe beaucoup de temps. Je pourrais gagner beaucoup plus d'argent si je mettais la même énergie avant de moi. Je gagnerais l'argent. Je pourrais faire plus de choses. Je gagne moins, mais je construis un projet qui est différent et je sais que ça va aller plus loin. Et ça, ça me stimule. Et je ramène des gens. On apprend à travailler ensemble. et eux ils se développent et puis ils avancent dans la vie et moi je n'ai pas le oui tu vois demain ce sera bien parle nous de ce projet alors aujourd'hui je suis avec Christophe et Arnaud je sais pas si vous connaissez Arnaud qui sont des bons amis t'entends bien ?
- Speaker #0
ouais on entend bien
- Speaker #2
Arnaud nous a présenté UXP ça a été un des premiers à rentrer UXP Reality c'est un réseau américain qui est arrivé il y a 5 ans et il a 5 ans tout juste aujourd'hui c'est son anniversaire et le président Samuel Co a ramené UXP Reality qui est Merci. La première agence en nombre de transactions et en chiffre d'affaires en Amérique et au Canada. Ça veut dire que ce n'est pas une boîte, on n'en a jamais entendu parler. Avant de rentrer dedans, je n'en avais pas entendu parler. Arnaud me la présente et je ne sais pas tout ça. C'est coté au Nasdaq, c'est la compagnie immobilière la plus cotée, plus d'un milliard et demi. Je vais te faire un chiffre, ça va aller vite. Remax, vous connaissez ou pas ?
- Speaker #0
Ouais.
- Speaker #2
Remax, parce que t'es portugais en France c'est qu'il y en a moins mais Remax c'est le numéro 2 dans le monde Nom d'agent et en volume d'affaires, le premier, c'est Keller Williams. Sauf que Keller Williams, c'est privé. Keller Williams, c'est Gary Keller que vous connaissez de One Think, le livre où vous faites beaucoup de trucs de mindset. C'est lui qui a écrit ce livre. Donc, il a la tête de Keller Williams qui, en France, ce n'est pas terrible parce qu'ils n'ont pas fait quelque chose de super. Mais le réseau, il est vraiment super. C'est le premier dans le monde, sauf que c'est tout à lui. Ça lui appartient. C'est une compagnie privée. La deuxième dans le monde en volume de collaborateurs et en chiffre d'affaires, c'est Remax. qui est moins connu en France. Au Portugal, il n'y a que ça. En Europe, c'est le numéro 1. Dans le monde, c'est le numéro 2. C'est coté au Nasdaq. Nasdaq, c'est Wall Street. C'est coté à 150 millions aujourd'hui. Il y a Anywhere Real Estate, à qui appartient Century 21, Saucebiz, Coldwell Banker, Better Homes et Era, que vous connaissez. Ce groupe-là, il représente 500 millions au Nasdaq, à Wall Street. Et EXP, tout seul, il représente 1,5 milliard. ça c'est pour donner la puissance du truc Et ça se développe. Il y a 5 ans, ils disaient on veut une expansion internationale. Ils commencent à ouvrir tous les pays. Donc ils ouvrent la France, ils ouvrent le Portugal en même temps. En 5 ans, ils ont ouvert 30 pays. C'est dans 30 pays. Et je me dis tiens, c'est différent. Et du coup, quand on me parle de ça, Arnaud, il me dit rejoins-moi. Déjà, je pars d'un concept différent et à la base, je rentre vraiment parce que avec les années que j'ai eues dans l'immobilier, je me dis j'ai envie de choisir avec qui je bosse. Aller dans un endroit, une bonne marque, c'est super. J'ai surtout envie d'être avec des gens avec qui je collabore et avec Au bout d'un moment, tu sais, tu finis par connaître des petits mondes. Je vais être tout à fait avec eux, Christophe, c'est... ça fait longtemps qu'on est dans l'IMO, Arano aussi, donc je les rejoins chez EXP, et puis après, EXP, c'est un modèle qui est le même dans tous les pays, c'est-à-dire que la monnaie va changer, par exemple, au Portugal, t'as les sites, c'est idéaliste, au lieu d'avoir ceux logés, mais tout le reste, si c'est pas les sites, la langue et la monnaie, si c'est par exemple au Mexique, c'est pas l'euro, mais le modèle, c'est le même, partout, parce que c'est la même boîte, en fait, dans l'oncle, Et en fait, sans faire exprès, je rentre dedans, je monte une équipe en France. L'idée, c'est de monter une équipe en France. et j'aimerais avoir des collaborateurs pour faire de l'immobilier comme je l'entends, créer une marque et pouvoir apporter un service au client comme je l'entends. C'est un projet que j'avais au début tout seul. Mais quand on a vu ce que pouvait nous apporter UXP, on s'y est adossé direct. Parce que ça nous apportait plus, parce qu'il y a des actions. Ils nous offrent des actions au Nasdaq. Je te parlais que c'était cool. Mais quand tu vends, quand les personnes que tu ramènes vendent, Quand tu fais ta première vente tous les ans, ils t'offrent des actions.
- Speaker #0
C'est top, ça.
- Speaker #2
Oui, grave. Donc ça rend le truc plus solide que si tu faisais ta petite entreprise dans ton coin. En plus, ça réduit les coûts parce que du coup, ça ne coûte pas grand-chose de bosser. En fait, je monte l'équipe en France, je fais tout le système pour la France. Et puis, je me rends compte que c'est facile d'ouvrir au Portugal. Et au Portugal, je trouve quelqu'un, je lui dis, on monte une équipe au Portugal, on développe aussi UXP. Et franchement, un claquement de doigts, administrativement, quand tu vois tout est lourd partout. Là, on se décide, le lendemain, c'est parti. on s'y croit pas pied ouais c'est des abettes On signe trois papiers et puis c'est parti. Et on commence à développer là-bas. On fait la même chose au Brésil. On contacte le team leader de France qui s'appelle Samuel Coe. Qui fait ses cinq ans aujourd'hui chez XP aussi. Parce que c'est lui qui l'a ramené en France. Je fais un coup de poule d'ailleurs. Il me présente Marc Mott au Brésil. Qui est le team leader, le président du Brésil. Je parle avec lui, il m'explique le truc. Et en cinq minutes, c'est pareil, il s'est lancé là-bas. Et la boîte, ça va vite. Tu travailles avec des Américains. je travaille avec des américains, des canadiens, des portugais demain j'ai un call avec une espagnole qui me dit ouais, on va voir ce qu'on peut faire ensemble je travaille chez Century 21, je travaille dans des boîtes qui disent qu'elles sont internationales, mais c'était pas international en fait, tout était compliqué, et là il y a une légèreté qui fait que tu travailles avec tout le monde il n'y a pas de lourdeur administrative, tu peux travailler là, demain j'ai l'Espagne, Portugal tout le temps, je travaille avec des canadiens avec qui j'ai des réunions le lundi je vais des fois avec des américains le mercredi j'ai jamais fait de ma vie, d'ailleurs je parlais mal anglais tu vois je me suis mis parce qu'il y avait un vrai intérêt sauf que Même mon travail, en France, j'avais fait le tour. Formation, tout ça, j'ai des formations. J'ai des potes, d'ailleurs, qui sont des super formateurs. Il y a Olivier Guerre, je ne sais pas si vous connaissez, qui est à Pulse, qui est pote de formation. Il y a des gars que j'aime bien. Mais en formation, tu as fait le tour. Et puis là, tu vas avec les Américains, je te jure, tu te prends une tarte. Les Américains, mais même les Canadiens.
- Speaker #0
Ça va beaucoup plus vite.
- Speaker #2
Grave, les Canadiens, je travaille avec un Canadien. on est en partenariat qui est avec lui du coup. Le gars, écoute, un mec, plus de 50 balais, un grand, je sais pas si vous avez déjà vu Californication, la série ou pas. Stu Becks, le producteur, tu vois, le grand chauve. Pareil, même tête. Avec son accent canadien. Moi, ce que j'attends de vous autres, moi, aujourd'hui, les gars, tu vois, ils commencent à parler. C'est vrai que t'as envie de se foutre de sa gueule un peu quand ils parlent. Ils parlent deux minutes, tu la fermes, t'es comme ça. Ils te retournent le gars, je te jure.
- Speaker #1
ils ont une vision mais tu sais quoi mec business les canadiens on les sous-estime moi franchement je kiffe trop les canadiens parce que les canadiens c'est la force tranquille mais c'est objectif alors que l'américain il est obligé de faire du bruit tu vois les canadiens discrétion et vas-y target target target et ils visent dans le mille quoi et franchement
- Speaker #2
waouh et là tu vois j'ai le modèle donc à ce moment là je suis déjà chez UXP nié chez UXP déjà mais Et... En fait, on me l'a présenté d'une vision, d'une façon un peu française. Pour que ça colle aux autres réseaux et que ça rassure. Et quand le Canadien, il commençait à m'en parler, il me fait une vision capitalistique. C'est lui qui me parle du Nasdaq et tout. Avant, moi, les actions, je m'en fous. Il me fait le machin, il me met des courbes, il me montre tout. Et là, il me montre le machin, il me dit, regarde ce que tu peux gagner. Regarde ce que tu peux faire. Regarde la solidité que ça a. il dit regarde ce que ça t'apporte, regarde ce que t'apporte aux gens et j'en... En fait, quand il me dit, je dis, mais putain, tous les voyants, ils sont au vert, tu vois. Et en fait, sans savoir, à ce moment-là, je ne le savais pas. Quand je suis rentré, je l'ai su après. Il me dit, je suis tombé dans une boîte de fous qui me permet de développer vite. Parce qu'avec Elisabeth, je ne sais pas si elle te l'a raconté, mais on a du recrutement à Dubaï, on en a au Japon. Ce n'est pas possible. IAD, tu ne recrutes personne au Japon, Safty non plus. dans d'autres réseaux t'as pas ces possibilités là C'est-à-dire que là, vraiment, tu as une ouverture. Et l'ouverture, elle est pour le business et pour l'apprentissage. Vraiment. et ça tu vois je dis tiens qu'il n'y a pas de limite et que tu as l'apprentissage Je fais des formations, je te dis, où j'ai l'impression d'avoir fait le tour, avec des Canadiens, des Américains, dans une torgnole. Et je me dis, putain, il reste trop de trucs à apprendre. Mais sur ce que je connais déjà, tu vois. Je pourrais apprendre du juridique, je pourrais... Le métier de commercial, j'ai fait le tour, vraiment. Mais là, non, il y en a encore. C'est mortel. Et le pire, je suis hyper actif, je bouge partout, tout le temps. C'est-à-dire que t'en as plein qui me disent, ouais, tu prends pas de coq. Je ne bois pas de café, je ne fais pas de trucs comme ça. Et là, je vais là-bas, je me dis, ouais, trop vite, t'imagines. Je me dis, mais ils ont trop de pêche, qu'est-ce qui leur arrive ? Mais ils sont tous pareils, en fait.
- Speaker #0
Mais tu n'as pas voulu t'expatrier par rapport à tout ça ? Tu n'as jamais eu l'envie de partir aux États-Unis, au Canada, pour aller encore plus vite, tu vois ?
- Speaker #2
Non, j'ai envie de prendre de la mobilité. Aujourd'hui, mon vrai fond dans tout le projet que j'ai, c'est que j'ai envie d'avoir de la mobilité. c'est aussi ce qui fait que l'immobilier c'est un métier que je kiffe mais que je ne me vois plus être conseiller immobilier, parce que tu es à côté de chez toi, tu es tenu autour des biens que tu as, tu dois toujours être là et disponible, et plus le temps avance, plus j'ai envie d'être mobile, de pouvoir aller au Portugal, de pouvoir aller, si je veux aller au Brésil, de peut-être aller aux Etats-Unis, et de pouvoir travailler d'un peu partout. Mais expatrié, je n'ai pas envie, parce que j'ai eu une sale expérience, les expériences que ça a donné c'était pas bonne J'ai mon grand-père qui est décédé, j'étais au Brésil et il y avait le volcan suédois, je ne sais pas si tu te rappelles, Eve, le gel. Et en fait, il n'y avait pas d'avion et je n'ai pas pu rentrer pour ces obsèques. Franchement, je me suis dit, je ne pourrais pas habiter loin comme ça. Parce que quand il se passe un vrai truc, tu ne peux pas en revenir en fait.
- Speaker #0
Tu es trop loin. Tu es trop loin, oui.
- Speaker #2
Tu es tout seul, c'est demain, ta famille elle a quelque chose. Tu ne peux pas aller le week-end, aller les voir.
- Speaker #1
Alors que tu peux le faire.
- Speaker #2
Tu vas au Portugal, tu vas dans le sud de la France. aujourd'hui t'es GV de Marseille tu reviens en 3A Portugal, porte à porte, tu mets 3h, tu vois, si t'es pas trop loin de l'aéroport. Et là, tu peux le faire, ça, tu peux rentrer s'il y a un truc quand même, même si t'es pas à côté. Dès que tu pars loin, comme ça, laisse tomber. Après, faut le temps, j'ai le mode de vie, faut pas avoir de famille, faut pas... Je suis portugais, comme toi, moi, ma famille, on a fait une bouffe samedi, la bouffe, c'était ni un mariage, ni un anniversaire, on était 45. Et que la famille proche, tu vois, c'est...
- Speaker #0
C'est du n'importe quoi. Ouais. Mais bon, c'est ça. C'est la grande famille. Mais du coup, tu manages. Ton activité principale, c'est vraiment de créer des équipes un peu partout, manager et puis aller pourquoi pas au Portugal de temps en temps, aller en Espagne et voir les équipes. C'est un peu ça en fait.
- Speaker #2
Exactement. Après, j'ai des projets locaux. Chaque fois, je veux développer de vraies équipes et leur apporter une structure. Mais j'avais déjà commencé à travailler comme ça quand je travaillais où j'étais, à Shorpi, où je manageais les équipes. J'ai commencé des trucs. J'ai un gros travail sur la fidélisation que je voulais mettre en place, sur la vie locale aussi, sur le maillage. À l'époque, je me rappelle, en 2016, j'avais fait une vidéo d'un commerçant. Je n'avais jamais vu ça. D'ailleurs, il n'y avait pas de vidéo. D'ailleurs, Instagram n'y avait pas. Il n'y avait que Facebook à cette époque-là qui était utilisé. Enfin, si peut-être les très jeunes utilisaient Instagram. Personne ne faisait de vidéo. J'étais le seul. J'ai mis mon truc. Je regarde le lendemain matin, j'ai 10 000 vues. Ce n'est pas possible, tu vois. Mais comme il n'y en avait pas, tout le monde a cliqué. Et je me suis rapproché de tous les commerçants. J'ai commencé à faire vivre. localement, je fais partie du tissu social, je les ai aidés, ils m'ont aidé, on s'est apporté, on est arrivé à avoir de la visibilité, pendant le Covid, c'était encore pire. Le Covid, il tombe, tu vois, tout à l'heure, je te disais, tout le monde est au bout de sa vie, tout le monde est à la maison, t'as ceux qui essaient de t'affaire en cachette, qui vont te faire visiter les trucs en cachette, t'es à la maison, je me dis, je peux pas rester comme ça, je vais faire des trous dans les murs, je vais taper quelqu'un, je tourne en rond, faut que je fasse quelque chose. donc déjà je fais beaucoup de sport après je fais trop d'apéro et trop de barbecue je me dis qu'est-ce que je peux faire et à ce moment là j'ai essayé le lignac qui fait la bouffe à la maison il fait les restos de de ma ville et je lui dis merde vous voulez pas avoir du lien avec vos clients et ils me disent pourquoi on fait des lives on va faire pareil on va sélectionner des gens dans la ville toi tu vas choisir un plat sur la carte tu vas envoyer un message à tous tes clients qui viennent d'habitude de qui tu allais coordonner et tu leur dis vous pouvez pas bouffer au resto mais je vais vous donner la recette on va la faire ensemble comme ça vous allez faire votre votre... Vous avez l'habitude de manger dans le resto. J'appelle les restos de ma ville. Ça y est encore sur la page de l'agence où j'étais. Au moment où tout le monde dort et où il n'y a rien à faire, on fait ça et les gens viennent. Ça les divertit et ils voient leurs commerçants. On fait avec un resto et un autre resto. On le fait avec le mec qui a un bar. On fait des moritos, des pinacoladas. Après, on fait un live avec tous les commerces de la ville. Il y avait Hervé Matou qui était venu avec moi parce qu'il habite à nos gens.
- Speaker #1
Il prend le RER et tout le mec.
- Speaker #2
Oui, bien sûr. quand tu le vois ici il est à nos gens Hervé Matou il vient Hervé Matou et il y a Roberto Burgos de Radio Latina qui habite là aussi j'ai fait un podcast avec lui et Hervé Matou on fait avec les commerces et dis-toi à ce moment-là c'est les élections municipales c'est tout de suite en sortie je crois que c'est sorti c'est sorti de 2020 je ramène tous les mecs de municipales mais j'aime pas la politique ils sont tous venus pour parler et je me dis putain c'est fou comme tout le monde galérait il y a de l'audience parce que les gens ne disaient rien Les commerces, ils faisaient rien. Ils sont venus parler de ce qu'ils allaient faire quand ils allaient sortir. Ça a remis du lien avec les gens qui venaient suivre. Et à la fin, j'ai demandé aux mecs. Je me suis retrouvé avec tous les mecs qui se présentaient à la politique. Alors, je ne fais pas de politique. Et je me suis dit, dès que tu fais quelque chose, en fait, ça cartonne. C'est pour ça que je te dis, en sortie de Covid, on prend une notoriété. Alors que tout le monde dormait. Et là, c'est un boom de fou. Le métier, il change. La façon de communiquer, elle change. Tout change.
- Speaker #0
mais je crois que du coup avec mes équipes on a travaillé ça après Covid tout a changé en fait Ça a vraiment explosé. Je te dis, le métier a changé. En bien comme en moins bien. Après, c'est comme tout. Ça a explosé. Tu sais que pendant le Covid, avant qu'il y ait eu la pandémie, j'avais mis ma maison en vente. J'avais fait un crédit relais pour racheter un autre bien. Je me suis dit que c'était chaud. Covid, je me suis dit que j'avais flippé. En fait, ça m'a bloqué toute la partie. Fin d'année jusqu'au mois de mai. Mais pendant cette période-là, j'avais fait une annonce vraiment en direct. Je me suis dit qu'on allait essayer. Mais si tu savais le nombre de mails que j'ai reçus pendant le confinement. Un truc de ouf. Et après déconfinement, j'avais deux visites par semaine. Pendant deux mois. Un truc de dingue. Après, tu avais des visiteurs du samedi. Mais ça a tombé. Ça a explosé après.
- Speaker #2
C'est sûr. Non, mais ça a changé. Le métier, il n'a pas arrêté de changer. Pour ça, mes équipes, je veux vraiment faire ça. Et après, j'ai un gros projet sur la fidélisation, mais il va me falloir un volume dans les collaborateurs que j'ai. Et puis, c'est pareil. Moi, ça me tient à cœur de me dire, je ne forme personne de la même manière. Ceux qui sont timides et ceux qui sont avenants, ils arrivent à trouver leur façon de travailler. Ceux qui ont du réseau, ceux qui n'en ont pas, arrivent à trouver leur façon de travailler. j'essaye vraiment à chaque fois par rapport à leur force de les faire bosser Et ça, ça me fait marrer, parce que c'est pareil dans l'IMO. C'est pas l'humain, l'IMO, la pierre. Non, c'est pas vrai. C'est un jeu dans ma tête. Faut que je trouve la solution pour essayer de trouver le truc qui fait plaisir à tout le monde. Je dois bien comprendre, tu vois. J'ai trouvé le petit tip, ce petit truc qui va débloquer la situation. Je suis dans ce truc-là de challenge. Et quand je forme les gens, je suis dans le même truc un peu. Aujourd'hui, ça a beaucoup changé. Ouais, grave. Et ça a changé pareil. T'as l'air, je parlais avec quelqu'un. ils veulent faire toutes les formations qui existent je leur dis ça sert à rien tu perds du temps Va voir des gens, prends des contacts, va en rendez-vous. Il sera toujours mieux de faire un combat de boxe que de taper pendant 100 heures dans un sac. Tu vois, il te rendra jamais les coups. Quand tu sors du rendez-vous, on débriefe. Ce que tu sais pas, parce que tu te sens bête, t'es pas au courant, on va en parler. Je vais te faire faire la bonne formation et tu vas avoir le bon truc. Quand moi, j'ai commencé, j'ai appris le CCH, le code de l'habitation. Il m'a jamais servi. Je l'ai appris presque par cœur, le truc. il me l'a donné six mois avant que je commence je lisais je lisais dit aujourd'hui et clia Les trois quarts de ce que je sais, ça ne sert même à rien. Je vais chercher, tu peux trouver des trucs. Après, il faut que tu vérifies tes sources. En temps réel, tu as tout, vraiment. Si tu as besoin de quelque chose, il te donne l'info. Si tu veux, il te dit même ce que tu dois dire au client aujourd'hui. Tiens, j'ai mon client, il est comme ça, il est comme ça.
- Speaker #0
Limite, il t'essuie le boule.
- Speaker #2
Il peut tout faire. Tu ne peux plus travailler pareil, tu ne peux plus être formé pareil. Par contre, il faut gagner du temps. C'est aller faire des trucs que ça ne fait pas. Je leur dis, prenez contact avec des gens. Prends rendez-vous avec des gens. Parce que l'IA, il fait ce que tu veux après. Mais il ne donnera jamais la réaction de quelqu'un. Ce n'est pas possible. Ça reste des humains. Tu vas arriver avec un plan parfait. Et par rapport aux cinq personnes que tu as devant toi, le plan parfait, il partira cinq fois en cacahuète et il ne ressemblera jamais à ce qu'on a prévu. Et ça, ce n'est pas l'IA. Il va falloir que tu ailles voir les gens, que tu comprennes ce qu'ils font,
- Speaker #0
comment ils sentent les questions qu'ils te posent et il faut s'adapter et puis il faut Il faut aller au charbon. Et c'est comme ça qu'on a de l'expérience. Et on apprend. Et c'est comme ça que tu les formes. Avec leurs problèmes. Avec ce qu'ils savent faire de mieux. Et c'est comme ça qu'on avance. C'est comme ça qu'on avance.
- Speaker #2
C'est important. Et ça change. Tous les métiers changent. Ce n'est pas le pire, nous. Des fois, les gens se plaignent. Dans l'immobilier, il y a trop de diages. Mais mets-toi à la place d'un garagiste. Il y a 20 ans, il était avec son tournevis. Aujourd'hui, il est avec un ordinateur, le mec. Si tu parles avant, tu vois. Avec les 13 et le tournevis. Maintenant, tu regardes, ils viennent avec leur valise. Waouh ! Il y en a plus d'un, franchement, ils ont dû flipper. Le métier, il a complètement changé. Ça n'a plus rien à voir.
- Speaker #1
Trouver un bon mécano, c'est compliqué maintenant. Mika, tu vas inaugurer un truc qu'on va faire à partir de maintenant dans tous nos podcasts. Je n'ai pas menti. J'ai une question à te poser.
- Speaker #2
Vas-y.
- Speaker #1
Non, tu ne peux pas mentir.
- Speaker #2
OK.
- Speaker #1
C'est quelque chose, tu n'es pas prêt en fait. Et il faut que tu réfléchisses très rapidement. Donc là, tu vois, tu n'as pas besoin de lire. c'est quoi le meilleur conseil de ta vie que tu n'aies jamais reçu ?
- Speaker #2
Il faut que je... Ah, tu dois,
- Speaker #1
ouais, là, instantané, là.
- Speaker #2
Le meilleur conseil ?
- Speaker #1
Ouais, de ta vie.
- Speaker #2
Essaye, saute. Il y en a deux, c'est le premier. Essaye toujours. Essaye, t'as pas prévu, je t'assure. Toi, tu disais, je suis pas prêt, t'as pas prévu. Souvent, franchement, tu repenses à l'année que s'est coulée, elle ressemblait pas à ce que t'avais planifié, il s'est passé plein de trucs que t'avais pas prévu. et même quand tu essaies de prévoir plein de trucs il se passe pas ce que t'as prévu Des fois, tu sors, tu te dis, ouais, je vais faire ça, ça, ça, tu le fais pas, mais tu rencontres quelqu'un, tu commences à parler avec lui, et il te dit, ouais, donne des infos, t'as pas prévu. Le fait d'essayer, le fait de bouger, tiens, mieux qu'essayer, sans mouvement, en fait, je crois que c'est le meilleur conseil qu'on m'a donné, sans mouvement. Et le deuxième meilleur, c'était de trouver un bon guide, parce que tu gagnes du temps quand même, quand t'as quelqu'un qui sait déjà faire, qui te montre, et on dit, l'échec, c'est bien, l'échec, ça reste un accident quand même, c'est-à-dire, puis c'est pareil, il y a é quand les gens vont prospecter, ça marche pas, quand t'essayes d'essayer un mandat ça marche pas, t'essayes d'avoir une vente, ça marche pas ça c'est pas de l'échec pour moi, c'est que t'es en train d'apprendre comme au sport, tu répètes des gestes tu répètes des gestes, tu répètes des gestes le vrai échec c'est, tu mets tout ton argent, tu lances une boîte 6 mois après ça se plombe, t'as pas de travail t'as plus rien, là ça c'est un échec c'est pas la même chose vraiment mais le deuxième meilleur conseil c'est de trouver un guide trouve quelqu'un qui a déjà fait Tu auras tout le temps des trucs que tu n'auras pas prévus, des choses qui ne se passent pas comme prévues. Mais si tu peux en éviter même un quart, c'est bien. C'est super et c'est important.
- Speaker #0
C'est un très bon conseil. C'est vrai qu'il faut essayer, il faut y aller. Il ne faut pas avoir peur. Comme tu dis, il faut avoir un guide aussi. On est toujours l'apprenant de quelqu'un. On n'est pas avec du savoir. On apprend toujours de quelqu'un. On est apprenant un jour. plus tard, on apprendra à d'autres personnes. Tu vois ? Et ainsi de suite. Et c'est très bien. C'est vraiment très bien.
- Speaker #2
Mais en continuant, je te dis, moi, j'ai les Canadiens, les Américains, pareil, je n'étais pas prêt. J'ai ouvert au monde, ça a élargi la zone de confort, ça a élargi ce que je connaissais. Franchement, il y a encore des trucs à apprendre.
- Speaker #1
Je vais revenir sur un truc, c'est ton temps contre de l'argent. Quand tu étais directeur d'agence, tu gagnais bien ta vie, 4500 euros net par mois, c'est pas mal. Mais en fait, tu n'avais plus de vie. Donc, gagner de l'argent, à un moment, il faut se remettre en question. Est-ce que bien gagner sa vie, mais ne plus avoir de vie, c'est ce qu'on a envie ? À l'inverse de faire travailler son argent pour gagner du temps. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Votre argent, c'est votre priorité. À partir du moment où vous gagnez de l'argent, à vous de comprendre où l'investir pour vous dégager du temps. Là, Mika, il est en train d'investir sur lui. Pour justement ne plus avoir les problèmes, malheureusement par rapport au grand-père, ce qui s'est passé, ça a été j'espère un déclic, mais réussir à continuer de gagner sa vie de façon correcte, mais avoir beaucoup de temps et vivre de sa passion. Réfléchissez à ça, parce que ça c'est une valeur qui est inestimable.
- Speaker #2
C'est important, mais l'argent est important aussi. On dit l'argent il ne fait pas tout, mais tant que tu n'en as pas, tu ne pourras pas après. Aujourd'hui, vous avez raison, ce que vous faites c'est super, mais c'est super que vous fassiez ça, de montrer aux gens comment... On peut apprendre comment on peut investir, comment on peut construire. Ce n'est même pas investir, construire quelque chose. Mais je sais, on ne l'a pas fait avec moi, mon gamin, dès qu'il travaille, je suis derrière lui, je lui fais faire ce que je n'ai pas fait. J'investis sur de l'immobilier, pas que, mais sur de l'immobilier qui commence tôt et qui puisse s'en libérer. Parce qu'après, en vrai, quand tu peux travailler et que ce n'est plus vraiment pour l'argent, ce que tu as, c'est plus que de l'oseille, là tu kiffes
- Speaker #0
Ah mais ça,
- Speaker #2
c'est le bonheur,
- Speaker #0
c'est la richesse en fait. Ça, c'est la richesse de faire ce qu'on veut au moment où on veut le faire, tu vois, sans contrainte, sans penser à l'argent. Parce que l'argent derrière, il va travailler pour toi parce que tu as mis en place des choses avant. Et c'est vrai que c'est compliqué parce que, tu vois, toi, tu as eu un métier où tu ne dormais pas et tu étais au charbon. Certes, tu gagnais bien ta vie parce que le salaire que tu avais à l'époque, tu es dans les hauts salaires, ce n'est pas tout le monde. Moi, c'est pareil, quand j'avais mes commerces, je gagnais très bien ma vie avec ma femme. Par contre, j'étais esclave de mon business. Esclave 7 sur 7, de 10h à 19h. tous les week-ends et toute la semaine. C'est bien un moment, tu vois, c'est bien un moment, mais après, tu penses différemment, tu vois. Quand t'as fait le tour, et c'est pour ça qu'il faut mettre des choses en place, et la vraie liberté, certes, il faut avoir de l'argent, parce que sans argent, tu peux pas mettre des choses en place. Mais voilà, quand c'est présent, après, derrière, tu peux faire des choses qui te plaisent. Et ça, c'est le vrai luxe. Ça, c'est le vrai luxe.
- Speaker #2
Tu taffes en... sans avoir besoin de travailler. Enfin, si, tu as toujours un peu besoin, mais surtout dans les mots. Tu sais, peut-être c'est bancal.
- Speaker #0
Oui, c'est...
- Speaker #2
Les gens doutent. Mais quand je te dis doutes, ils font des doutes. Vous, vous ne pensez pas à ces doutes-là. C'est-à-dire que tu entends régulièrement, la chance, je n'ai pas trop de ça. Je connais pas comment parler, mais ça va arriver demain. Les gens, dans les mots, souvent, tu entends, je vais arrêter, ce n'est pas pour moi. Je vais arrêter, tu vois. dans d'autres travails en général les gens ne remettent pas en question direct le travail que dans les mots, souvent, les gens doutent et disent « je vais arrêter » . Et quand ça, quand ils persévèrent, quand ils arrivent à progresser, qu'ils arrivent à analyser ce qu'ils font, une fois que ça marche, ils s'éclatent. Mais ça peut revenir, c'est pareil, on parle beaucoup de mindset, mais là, tu fais des montagnes russes, j'ai plein de gens qui marchent, j'en ai connu qui cartonnaient, qui peuvent plus voir un client, qui sont en burn-out, après, ils peuvent faire ce travail, tu vois, et ils ont la connaissance, mais ils ont plus l'état d'esprit puisqu'ils se sentent pas bien ça marche plus alors que l'inverse est vrai aussi t'as Pas de connaissances, mais tu as un état d'esprit de fou. Les mecs, ils y arrivent, alors qu'ils ne savent rien faire. Et c'est super important, franchement.
- Speaker #0
Oui, mais c'est…
- Speaker #1
Le problème de l'immobilier et de la transaction, c'est que tu es vachement dépendant des gens en face de toi, à qui tu veux vendre et ceux au niveau de la transaction. Alors que l'immo, pour vraiment cartonner, il faut que ce soit complet. Je m'explique. Comme en ce moment, les transactions, c'est compliqué, il faut que tu aies de l'allocation pour rentrer tous les mois du récurrent. que ce soit du syndic ou ce soit même toi posséder des appartements qui peuvent te rentrer un loyer et te faire un minimum de revenus. Et là, tu peux absorber le manque de transaction. Moi, c'était ma vision de l'immobilier. Je voulais faire de la transaction, je voulais faire du syndic. Parce que je savais, et un ancien m'avait expliqué, que ce qui fait vivre quand l'immobilier est en crise, justement, c'est le récurrent. Donc le syndic, tu vois ? Maintenant,
- Speaker #2
ils appelaient ça les anciens.
- Speaker #1
Exactement, voilà, les anciens. et tu vois c'est ça Aujourd'hui, les nouveaux qui arrivent dans l'immobilier, ils ne pensent que Transac parce qu'ils ont le souvenir de tout ce vent pendant le Covid. Et c'est important de leur rappeler la base de base. Et les anciens comme toi, il n'y en a plus beaucoup dans l'immobilier. Soit parce qu'ils ne veulent plus partager ou sinon parce que les mecs, ils ont pris leur retraite, ils se sont barrés. Et ça, c'est important d'avoir ces bases-là. La Transac, sur 10 ans, ça représente 6-7 ans. Ou sinon, il faut accepter d'être... Après, c'est compliqué de réussir à faire du luxe, de réussir à faire du... Parce qu'il n'y a pas eu de crise dans le luxe. On est d'accord.
- Speaker #2
Mais après, quand on parle de crise, il faut des gens qui continuent de cartonner. Oui,
- Speaker #1
parce que c'est les gens... C'est les gens...
- Speaker #2
Chez XP, tu rentres. Je vais t'expliquer le modèle aussi. Il y a une partie. C'est que vous parlez d'autres réseaux. Et dans les autres réseaux, quand tu vas recruter des gens, tu vas coopter, tu as une rente sur les gens. Sauf que tu dois devenir manager, tu dois les gérer, tu es responsable de leur réussite en fait. Et chez XP, le modèle est différent. Il est différent parce que quand tu présentes le réseau, ils te payent juste pour l'avoir présenté. C'est-à-dire qu'ils n'ont aucun budget communication à la télé ou sur des trucs qu'on peut voir ailleurs. Ils veulent que tu passes par les conseillers et ils nous payent pour ça. Ils reversent 10% de ce qu'ils gagnent, la moitié de ce qu'ils gagnent, pardon, 50% de ce qu'ils gagnent aux conseillers. Ils payent pour que tu fasses connecter le réseau, que tu fasses la pub. Une fois que quelqu'un est rentré, tu as des récurrences toute ta vie. Mais tu n'as pas besoin de le manager, tu n'as pas besoin de le suivre. C'est-à-dire que tu ne deviens ni RH ni manager. Tu ne changes pas de travail, tu continues de faire de l'immobilier. Et ça va assez vite. Franchement, quand tu fais rentrer 2-3 personnes, eux, ils en font rentrer 2-3. Et à la fin, tu te retrouves avec une vingtaine de personnes. Tous les mois, tu prends 1 500-2 000 déjà. Mais il faut bien mesurer le travail. Tu n'es pas son manager. Dans d'autres réseaux, tu dois le manager, tu es derrière lui. Le management, c'est un travail, c'est mon travail, je le sais, je t'en parle. Tu as tout ce que tu as prévu, tu as ce que tu n'as pas prévu. Dès qu'il y a quelqu'un qui est en galère, tu tapes ses galères. Dès que tu en as 10 qui sont en galère, tu tapes les galères des 10. Tu es derrière tout le monde. Et là, ça va vite. C'est multiplié quand tu gagnes de l'argent. C'est multiplié quand tu as les emmerdes aussi. Là, le réseau XP, la vraie diff, c'est qu'il te paye et tu as cette récurrence à vie. C'est-à-dire que tu l'as à vie, tu ne la perds pas. Tu dois avoir une production minimale, c'est-à-dire que tu dois faire 40 000 euros de chiffre d'affaires, 20 000 euros, 10 000 euros de chiffre d'affaires pour avoir la récurrence déjà. Chez EXP, tu n'as pas besoin de faire de chiffre minimal. tu as ta récurrence tout le temps, même si tu ne produis rien du tout. tu la gardes. C'est-à-dire que quand tu prends ta retraite, tu as une vraie retraite. C'est-à-dire qu'au bout d'un moment, tu as 3 000 euros tous les mois, 4 000 euros. J'ai des amis à moi qui prennent 10 000 euros, ils sont dans le truc, ça fait un peu plus longtemps que moi. Je ne dis pas leur nom, ils vont se faire kidnapper si je commence à dire le nom des gens qui gagnent de l'argent. Mais ce n'est pas vieux, le réseau n'est pas vieux, ils ne s'y sont pas depuis longtemps et ils prennent 10 000 euros par mois il le prend à vie maintenant c'est à dire que même si Il est malade, il le prend. S'il s'arrête de travailler six mois, il le prend. Et il le prend jusqu'à ce qu'il crève. Et il y a un truc encore pire, c'est que vous qui êtes dans l'investissement, tu peux le transmettre à tes enfants. C'est-à-dire que moi, ce que je gagne aujourd'hui, ce que je vais construire, demain, il m'arrive quelque chose, mon fils, sur le testament, il en hérite. Lui aussi, il continue de gagner ses 30, tu vois. J'ai fait la moitié en portugais. Il continue, il la garde. c'est à dire que si moi dans 5 ans je pars et que tous les mois je gagne 10 000 mon fils Après, l'État, il taxe. Oui,
- Speaker #0
mais là, on parle vraiment de récurrente. C'est énorme.
- Speaker #2
En fait, ce qui est fou, c'est que c'est un vrai truc. Tu as le même travail, tu fais le même boulot. Je fais de l'immobilier comme avant. Moi, aujourd'hui, j'ai décidé de faire des équipes. Mais ceux qui me rejoignent, j'en ai une en Guadeloupe. Elle a développé en Guadeloupe. On est en train d'ouvrir Saint-Martin et Saint-Barthes. On voit comment on peut travailler là-bas. Si elle arrive à faire ça, elle, elle va être au-dessus de tous les gars. Saint-Martin, Saint-Barthes. Ça s'embarque les baraques, c'est 15-20 millions directs. à chaque fois elle touche de l'argent et demain je te dis mon fils il en hérite et il le garde toute sa vie et ça le modèle il n'y a personne d'autre qui l'a fait c'est pour ça que j'ai trouvé ça intéressant parce que ceux qui veulent continuer de faire de l'immobilier leur vrai travail c'est pas d'aller chercher du monde par contre tu vas parler avec des gens qui sont dans l'immo s'il y a quelqu'un qui dit c'est quoi chez toi tu lui présentes il rentre bah après tu continues de toucher des récurrences tu transformes ni en manager ni en RH et ça c'est super tu parlais de Matla et je trouve qu'en 2025 ce qu'eux ils offrent c'est un super truc Parce qu'en plus de ça, tu disais tout à l'heure, c'est Elisabeth qui est sur le coup, elle est en train de faire rentrer à Dubaï, elle est en train de faire rentrer au Japon, où ni elle ni moi, on est japonais, on a déjà parlé japonais, on est déjà allé au Japon. Le mec qui rentre au Japon, ils sont en train d'ouvrir là-bas, il rentre, demain il a 100 personnes qui l'ont fait rentrer, on va toucher de l'argent sur eux, on ne les connaît pas. Sauf que ça te fait ce matelas en fait. Derrière, tu le gardes, tu le gardes et tu le gardes c'est le fortel on fait pas de gestion on fait pas de... Pas mal. Ouais, il est ouf.
- Speaker #1
Pas mal.
- Speaker #0
Bon, carrément.
- Speaker #1
Une heure de podcast, les gars. Il nous reste un dernier sujet. Un dernier sujet. L'état du marché, Mika.
- Speaker #2
L'état du marché ?
- Speaker #1
L'état du cœur du marché. Donc, l'état du marché. On va parler de Paris, d'Ile-de-France.
- Speaker #2
Merci.
- Speaker #1
Alors, il y en a qui n'aiment pas, mais bon, Paris, Ile-de-France, voilà, on a beau dire tout ce qu'on veut, si Paris, ça va, tout va. Voilà. Et la Côte d'Azur, bien sûr. mais bon c'est à part la Côte d'Azion il n'y a que des vieux Voilà. Bon, du coup, ton point de vue sur l'état du marché ?
- Speaker #2
Après, je prends les stats comme tout le monde. Tu as la production de prêt qui remonte de 50%. Tu as 900 000 euros, je crois, fin avril, de transactions qui sont faites. Tu m'entends bien ou pas ? Parce que j'ai un voyant qui s'est allumé. Tu m'entendais ? Oui, on t'entend bien.
- Speaker #0
900 000 euros, non,
- Speaker #2
900 000...
- Speaker #1
900 000 transactions sur 12 mois glissants. Oui,
- Speaker #2
voilà. C'est que ça repart. Ça reste moins bien qu'en 2023 quand même. Après, l'état du marché, il faut... Ça dépend avec qui tu parles, je t'assure. C'est vraiment compliqué. Tu peux parler avec un mec, il te dit c'est compliqué, j'ai pas de transaction. Tu en parles avec un autre, il se régale. Trois mois après, tu repasses. L'autre, il n'a plus de transaction, ça s'est inversé. L'autre, il te dit c'est super. Franchement, c'est un truc, quand tu parles avec les agences, c'est à l'instant T par rapport à ce qu'ils ont. Ceux qui travaillent, cette année, ils sont mieux que l'année dernière. Et l'année dernière, ils bossaient quand même aussi. donc c'est pour ça que c'est compliqué, ça dépend vraiment avec qui tu parles après, les taux, forcément il y a eu une baisse des taux quand même qui fait que ça se relance depuis le début de l'année. Là, on tourne aux alentours des 3,30. Le marché, ça s'est détendu. C'est-à-dire que tu revois des acheteurs quand même. Tu n'es plus sur le truc où tu vois un acheteur par mois. Tu revois des acheteurs. Tu arrives à savoir à peu près quel est le prix. Même si ça a bien corrigé, ça a aidé. Les prix sont repartis à la baisse. Ça a corrigé, c'est revenu. Pour revoir, tu sais, ça se rencontrait les acheteurs, les vendeurs. et forcément ça relance les ventes donc ça c'est un bon truc Il y a un truc qu'on ne contrôle pas vraiment et qui est important, c'est qu'aujourd'hui, la France, ça va pas en fait. Tu vois encore Bayrou ce qu'il va faire et il se trouve il saute. L'année dernière, l'immobilier, je ne sais pas si vous vous rappelez, mais il y a plein de lois qui n'ont pas été votées. Il y a des lois qui n'ont pas été votées parce qu'ils ne savaient pas quoi faire. Et puis il y a le DPE, ça change toutes les 5 minutes. Mais le gouvernement, il est instable. et les banques elles aiment pas l'instabilité et ça ça me fait moi ce qui me fait un peu flipper c'est ça Sinon, alors je te dis, ça me fait flipper, mais quoi qu'il en soit, de toute façon, on sera là et c'est pas... Tu bouges, ça marche. Tu bouges, ça marche. Pour que ça vende, t'as les taux. Là, ils sont à 3,30. T'avais les taux à 1, tu vois. Les taux sont descendus à 1. Pour donner une idée un peu, quand c'était à 1 à peu près, les taux, c'était en 2021, ça remontait jusqu'à 4 à peu près. Et ça te donne. Quand t'as les taux à 1, 1,15 comme c'était, t'as 500 000 euros d'enveloppe sur 25 ans. L'année d'après, ça passe à 1,98. tu es à 450 à peu près Et cette année, tu es à 330, tu es à 390 000. Donc tu passes quand même de 2021 où tu es à 500 000 à aujourd'hui où tu es à 390 000. Ce qui veut dire que concrètement, pour que ce soit simple, nous trois, si on peut acheter 500 000 il y a 4 ans, aujourd'hui, on ne peut plus acheter que 390 000. Mais on a le même taf, on a le même salaire et c'est vraiment la conjoncture qui a changé. Ce qui veut dire que si nous, on achète il y a 4 ans, on donne 500 000 parce qu'on les a, tu vois. Aujourd'hui, on ne les a plus, on ne les donne plus. En fait, ça, les gens, ils intellectualisent grave. Les vendeurs ne comprennent pas. Les gens ne peuvent pas offrir. Donc, tu as ceux qui vont rectifier, qui vont vendre. Et tu as ceux qui, parce qu'il y a de l'ego, tu vois, tu ne choisis pas. C'est comme la bourse. Ça monte, ça descend. Tu achètes cher et tu revends quand c'est en bas, tu vas mal vendre. Et malheureusement, c'est pas dans la tête des gens On oublie un truc Pour eux, tu ne peux pas perdre de l'argent avec l'immobilier. C'est faux. C'est faux. Tu achètes. Il y a 4 ans, c'est en pic. Justement, les gens, il y a une forte concurrence, il y a une forte demande. Et tu as de la concurrence entre les acheteurs. C'est-à-dire que tu as un bien, tu as 50 acheteurs. Là où 4 ans après, tu as un bien et tous les 3 mois, tu as un acheteur. Tu vois, tu n'es plus pareil.
- Speaker #0
Oui, c'est clair.
- Speaker #2
et dans la tête des gens tu peux pas perdre d'argent avec l'immobilier, tu peux pas et ceux qui ont tendé avec les voisins ils ont vendu 500 000 en fait, là où c'est dur C'est qu'aujourd'hui, ils ont l'impression de brader. Mais tu ne brades pas. Tu vends ce que ça vaut aujourd'hui.
- Speaker #1
Mais tu ne peux pas perdre d'argent sur l'immobilier quand tu fais du long terme.
- Speaker #2
C'est dur. Tu vois, tu as acheté 500 000 il y a 4 ans.
- Speaker #1
Oui, mais si tu stockes. Il faut pouvoir. Il faut pouvoir. Mais si tu stockes sur 10, 15 ans, tu vas lisser le risque. Là, quand ça descend, ça descend. Là, tu ne perds pas d'argent. Mais si tu le revends dans 2, 3 ans et que tu es comme aujourd'hui, nous, ça fait 3 ans, quasiment 4 ans qu'on est en crise. baissière, là, clairement, soit tu acceptes de baisser ton prix ou soit tu stockes pour ne pas perdre d'argent. Moi, tu vois, sur un immeuble que je vends, là, aujourd'hui, j'ai dit « Nico, c'est bon, stop, on arrête. » J'ai cassé le prix. Là, psychologiquement parlant, j'ai fait un bon. J'ai dit « C'est bon, allez, je me coupe le doigt, je passe à autre chose. »
- Speaker #0
Avis aux amateurs, ceux qui recherchent un immeuble de rapport.
- Speaker #1
Il a pété les prix les gars.
- Speaker #0
Désolé les gars.
- Speaker #1
C'est le premier prix là. Ouais mais au bout d'un moment, vas-y stop.
- Speaker #2
Non mais t'es obligé. C'est le marché, c'est ça. Le marché dépend d'où t'es et du moment où t'y es. Franchement, je te dis aujourd'hui, je te vends de l'eau, tu me dis laisse-moi tranquille, t'en as dans le robinet, demain on est dans le désert et t'es en train de crever mon gars, la bouteille d'eau, je vais te plumer, je vais te prendre tout ce que t'as dans les poches, je sais pas combien il y a dans les poches, mais dis-moi, c'est combien le Airbnb, ça va me permettre de savoir combien je vais te vendre la bouteille d'eau ?
- Speaker #1
Là franchement les gars, tu vois là la résa, attends je me mets dessus, pour une nuit, pour une nuit, 91,58, vous voyez ou pas ? Ah merde, bon c'est pas grave, désolé madame,
- Speaker #0
tu cacheras le nom, oh j'ai que ça à faire,
- Speaker #1
pour une nuit, 91,58, et bah écoute, comme on dit, Nico, ton expression, c'est quoi déjà ? Les petites rivières.
- Speaker #0
Les petites rivières font des grands fleuves. Voilà. Ça, c'est un bon tips.
- Speaker #2
C'est important. Le marché est bloqué psychologiquement. C'était dur pour les gens. Donc, ça a bloqué. En fait, c'est de l'ego. Par exemple, je parlais avec quelqu'un qui avait sa maison. Elle me dit, le voisin, je prends les 500 000. Je pense à elle. Mais le voisin, il a vendu 500 000. Et elle, au bout d'un moment, elle a eu du mal. Elle ne voulait pas descendre. Elle est en mauvaise santé, juste parce qu'elle voulait, je brade. Je brade mon bien, je perds de l'argent. En fait, le bien, déjà, elle l'a acheté il y a 30 ans. Elle avait dû l'acheter quelque chose comme 70 000 euros, je crois. Elle dit, je le brade, tu vois.
- Speaker #0
Il est payé, repayé.
- Speaker #2
Mais l'ego de se dire, ouais, le voisin, il a vendu 500, l'autre, il a vendu 500, moi, je ne vends pas ce prix-là, ce n'est pas la bonne valeur. Ils ne se sont pas dit, ouais, où est-ce que je me place ? Malheureusement aujourd'hui, tu es dans une courbe descendante. J'espère que ça ne va pas durer. J'espère vraiment que ça ne va pas durer. Parce qu'avec tout ce qui se passe, en vrai, le monde mondial est flippé. Il peut se passer des trucs qui font flipper. En France, ça fait flipper. Je ne sais pas ce qui va se passer. Je ne m'intéresse pas trop à la politique. Je n'essaie pas de me faire peur. Malheureusement, j'en entends beaucoup parler quand même. Tant que le pays n'a pas une vraie stabilité derrière, les banques ne prêtent pas ou elles prêtent mal. De toute façon, ce n'est pas dur. Tant que ce n'est pas stable, tant qu'il y a des risques, les banques ne prêtent pas.
- Speaker #0
Moi, je vais te dire, tu sais, on en a jusqu'à 2027, voire deuxième partie de 2027.
- Speaker #2
et... C'est plus dans la construction.
- Speaker #0
Mais même dans tout, parce que là, tu vois, on va encore perdre un ministre. C'est reparti, dissolution, ils vont reprendre un ministre, et ainsi de suite, les lois pour le budget ne vont pas être votées, et ainsi de suite, ça va être la merde. Et les banques vont être fébriles, les taux vont augmenter, ça va se stabiliser, peut-être que ça va redescendre.
- Speaker #1
On en a jusqu'aux élections. On va expliquer, parce que là, t'as été trop vite. Le 8... Le 8 septembre, si vous écoutez ce podcast dans 6 mois, 1 an, désolé, le 8 septembre, Bayrou, il a la confiance ou pas de son gouvernement. S'il a la confiance de ce qu'il veut proposer, il reste. Tant mieux pour nous. Statut du bailleur privé, ça reste comme tel quel. On va repartir fin 2026, ça repartira au niveau des élections parce que tout le monde veut être OK. Maintenant, et ce qui est fort problème, ce qui se passe, c'est que Bayrou, il se fait sauter. On se retrouve avec un ministre, on ne sait pas qui. Plutôt de droite, tant mieux. Plutôt de gauche, on est dans la merde. Et là, il va falloir attendre les élections présidentielles. Comme je l'avais dit, le président de Kaufmann & Broad avait annoncé que même si la machine relancée était partie comme une fusée, quoi qu'il se passe avec les permis de construire, etc., comme l'a dit Mika et Nico, pas avant 2027. Là, le problème, c'est qu'aujourd'hui, nous, on a la tête qui est prise en étau. D'un côté, on a les politiques et d'un côté, en fait, on a besoin de vendre ou de rentrer de l'oseille. Moi, clairement, j'ai fait mon choix. Je casse les prix. Je sors de là. Je garde mon cash parce qu'à un moment, il va y avoir des opportunités. Et ceux qui auront du cash, ils vont se faire. C'est dans les galères que vous faites de l'oseille, les gars. N'oubliez pas ça. Donc là, si vous pouvez récupérer du cash, n'hésitez pas à vous couper un doigt. Vous gardez tout le corps. Eh, les gars, il va y avoir de l'oseille à se faire. Gardez votre cash. de cash. Si vous pouvez vendre, vendez. Même avec 10, 15, moi j'ai accepté de faire une paire, en toute transparence. J'ai un immeuble qui vaut 330, 340, je l'ai mis à 300 balles. Allez,
- Speaker #0
c'est les soldes,
- Speaker #1
c'est cadeau. Le truc qui rapporte 40K par mon parent, allez, c'est cadeau, on est à je ne sais plus combien de pourcents, c'est pas grave, je m'en tape, je veux passer à la suite. C'est pour ça qu'à un moment, renseignez-vous, renseignez-vous. Ah ouais, je me rappelle de la vidéo. Mika tu te rappelles la vidéo le rebeu qui fait Dépêchez-vous Bon hé Là je pars en brie 1h07 de podcast A vous de prendre le relais les mecs C'est bon là Non mais bon Mika
- Speaker #0
Le marché Pour toi tu le vois Après tu le vois d'un oeil
- Speaker #2
Il n'est pas stable.
- Speaker #0
Ce n'est pas gagné.
- Speaker #2
Encore une fois, il y a tout le temps des trucs à faire. Il faut toujours avancer. Mais deal a baissé. Il y a les gens dont je te parlais, ils ont baissé. Le mec était en mauvaise santé. Il savait où ils allaient. C'était de l'ego, tu vois, de dire, ouais, bien comprendre. Tu as deux choix. Tu vends, tu ne vends pas. En fait, si tu continues de me dire, je veux vendre, mais je veux vendre le prix où c'est. Enlève, ça ne sert à rien. Tu ne vas pas vendre. Tu vas juste être dispo, les gens vont venir chez toi, il va pleuvoir, ils vont te salir la moquette, ça sert à rien. Il va devoir être là, s'arranger, y'a les visites, on débarque n'importe quand. Non, c'est n'importe quoi. Si tu vends, fais-le pour vendre. Accepte. Si tu penses que tu brades, attends et attends que ça reporte. Et c'est vrai ce que tu disais, je disais à Christophe l'autre jour, le prochain coup, je le prépare mieux, parce que ces crises-là sont cycliques. Là, je suis dans l'immobilier, en 2009, il y a eu les subprimes, c'était pareil. 2009-2010, ça a chuté. Là, c'est revenu, je pense que ça reviendra encore. et puis de plus en plus vite, puisque l'économie elle est vraiment spéciale par rapport à avant, je pense que c'est moins instable. Je dis le prochain coup, il faut qu'on ait vraiment du cash.
- Speaker #0
En fait, avant, c'était beaucoup plus long. C'est-à-dire qu'on avait des cycles économiques qui étaient vraiment à la baisse, mais ça remontait et ça durait. Là, c'est vrai qu'en si peu de temps, on a connu des sacrées vagues. Tu vois ce que je veux dire ? Il y a eu trop de trucs. Exactement. Et je pense qu'il y en aura de plus en plus. Et c'est vrai que quand tu as ton matelas de cash pour dégainer, quand tu as des... Quand tu as des problèmes comme ça, il faut y aller. Mais il faut avoir un bon matelas. Il faut avoir un bon matelas et prendre les opportunités qui se présentent à toi.
- Speaker #2
Il faut prévoir.
- Speaker #0
Mais il faut prévoir. Mais bon, derrière, il faut avoir fait du taf les années auparavant pour pouvoir avoir ce matelas. Ça ne vient pas en deux ou trois ans. Donc, ça prend du temps. Ça prend du temps. On ne devient pas rentier en 6 mois en ayant une RP et arrêter son taf. Ou avec un immeuble avec 4 apparts. Donc ça, c'est de la connerie. Arrêtez de croire tout ce qu'on vous dit. Donc ça se prépare en amont. Ça prend du temps.
- Speaker #2
Vous, vous conseilleriez quoi ? Par exemple, moi, j'ai une collaboratrice qui est à 51 dans le 01. Et qui, elle a une maison.
- Speaker #1
Le 02 plutôt ? 02,
- Speaker #2
02. Excuse-moi, j'ai dit 01. Il y a deux fois aujourd'hui que je la fais. J'ai dit des fois, tu sais.
- Speaker #0
Il faut qu'elle aille dans le 01. Il y a un truc là-bas qui se passe.
- Speaker #2
Faut aller vers Lyon Faut aller dans Lyon Attention Elle a une maison Qui est divisable à 106 000 euros Là on est en train de voir Vous préférez quoi ? Faire de l'investissement pour faire du patrimoine Avec peu de rentabilité mais vous savez que ça va prendre de la valeur
- Speaker #1
Attends on va la restituer Elle c'est elle qui le vend Ou c'est elle qui le possède ?
- Speaker #2
Elle le vend, elle est en train de le vendre C'est une petite maison C'est pas terrible, non non c'est un client C'est un client Et elle fait, donc la maison, elle n'est pas terrible. Et je dis, mais tu vois, du coup, le quartier, ce n'est pas le plus recherché. Mais il y a des écoles à côté. Il y a moyen de faire des colloques, des co-living, faire plein de trucs, tu vois.
- Speaker #1
Mais est-ce que le client, il veut ça ?
- Speaker #2
Le client, on s'en fout. On trouve un acheteur. C'est l'acheteur qu'on doit trouver. Après, il se débrouille.
- Speaker #1
Mais le problème,
- Speaker #2
c'est que l'économie est déjà bien faite pour ça. En direct, ça a été un immeuble déjà. t'as le cash desk de vieux vous pensez quoi pour vous qui êtes vraiment dans l'invest plus que moi parce que moi l'invest c'est pas mon au cœur de métier, vraiment. J'en fais, parce que forcément, tu croises du monde et puis tu as aussi des connaissances. Est-ce que vous êtes plutôt partisans des investissements à forte rentabilité, même si ça ne prendra pas de valeur, ou plutôt de la rentabilité de merde, comme j'ai chez moi, à Logen, ou comme tu es à Paris ? Mais par contre, tu sais que dans le temps, ça aura peut-être doublé dans 10 ans, dans 20 ans, plus dans 20 ans maintenant, parce que je pense que ça remontera quand même un petit peu plus doucement. Il disait pareil avant, il disait que c'était trop cher et ça a pris le double en pas longtemps quand même.
- Speaker #0
Moi je vais te répondre ça va être rapide en fait t'as deux choix si t'as de la demande dans cette ville où elle est en fonction là où elle est située ça va être le prix des travaux au mètre carré par rapport à ce que ça se loue et où est-ce que ça se vend, à combien ça se vend si je sais pas, 100 000 euros la maison le prix du mètre carré il doit être à 1000 et quelques, 1200,
- Speaker #2
1300 peut-être Oui là à 500 F2 C'est plus difficile le mètre carré.
- Speaker #0
Si elle refait tout pour le diviser en plusieurs lots, elle va être au-dessus du prix du mètre carré avec une rénovation. C'est-à-dire qu'elle ne va pas pouvoir le vendre et récupérer ses billes, elle va avoir des pertes. Donc c'est soit elle revend et elle a d'autres projets et elle prend le cash et puis elle dit merci au revoir, soit elle voit sur du patrimonial long terme et c'est quelque chose qu'elle va devoir garder parce que... S'il y a mes 1500 balles ou 1000 balles de rénovation au mètre carré et que le prix à la revente est à 800, je n'ai même pas besoin de faire un tableau. Tout le monde aura compris que ça ne vaut pas le coup. Tu vois ce que je veux dire ? C'est en fonction d'elle et de son avenir. C'est ce qu'elle veut.
- Speaker #2
C'est ce que tu fais comme suite.
- Speaker #1
Il y a un truc, tu nous as parlé d'un terrain. Il y a un terrain avec la maison ?
- Speaker #2
Oui, il y a un terrain avec la maison.
- Speaker #1
ce que vous pouvez déjà essayer de faire c'est de voir combien vous pouvez vendre la maison avec un tout petit terrain et détacher une autre partie du terrain pour essayer de la vendre à part on ne peut pas là dessus ça on l'a décortiqué,
- Speaker #2
non t'inquiète on fait le guimauve depuis oui oui ça on l'a fait quand même c'est plus invest,
- Speaker #1
invest franchement pour ça c'est nos surlages les aides le moins de frais possible on fait une coloc Donc, la maison, elle n'est pas en super état. On va au minimum. Et du coup, comme il a dit, colloque et voir combien ça peut rapporter mensuellement. Et vendre à quelqu'un qui veut faire de la colloque. Là, c'est vraiment le minimum du minimum. Tu vois, tu fais 2-3 salles de bain, mais il y a quand même un minimum d'investissement. Donc, comme on dit, ça va dépasser le prix au mètre carré. Mais là, c'est du long terme, donc ça peut se faire. Et puis, Saint-Quentin, Ça a été poncé. C'est un marché qui a déjà été poncé depuis une dizaine d'années. Je l'avais étudié, ce marché-là. Mais bon, c'est rentable. C'est super rentable.
- Speaker #2
Et vous, vous préférez quoi en investissement ? Avoir des villes comme ça avec une renta ou acheter à Paris ?
- Speaker #1
Les deux.
- Speaker #2
Acheter à Paris avec une renta pourrie, ça… Si,
- Speaker #1
si. Perso, tu vois, moi, je te dis, pour moi, en fait, la vraie valeur de l'immobilier, c'est d'acheter, d'avoir du patrimonial. parce que le patrimonial c'est ultra liquide tu pourras toujours revendre ça dépendra le prix mais tu pourras toujours revendre là si tu pars chercher de la rentable par exemple à 51 tu galères pour revendre par contre il peut te permettre de vivre donc en fait il faut il faut un juste milieu
- Speaker #0
En fait, tout dépend du stade. Je dirais pour un débutant, il faut partir sur de la renta, pas trop cher au début. Que tu pourras vendre. Voilà, et que tu pourras vendre. Parce que tu vois, tu as tous ces néophytes qui ont explosé à acheter des immeubles à 300, 400 bornes, à 80 000 balles l'immeuble. Et maintenant, ils veulent les revendre parce qu'ils ont besoin d'oseille. Ils n'arrivent pas et ils n'arriveront jamais à les vendre parce que c'est paumé. Il n'y a rien de ce vent. donc commencez gentiment avec 2-3 biens dans votre secteur. De toute façon, il faut investir dans le secteur. Après, nous, on a quand même de l'expérience et ça fait des années qu'on fait ça. Moi, je ne fais pas de location, je ne fais pas d'achat pour de la location. Je n'aime pas ça, je n'en veux pas. Moi, je préfère me focaliser dans mon domaine. Je suis bon dans le domaine, c'est la rénovation, d'acheter des biens et les rénover, soit de les garder, soit de les revendre, mais je suis plus dans la revente. Et après, moi, je suis pro LCD, location courte durée, donc avec Mehdi. Moi, c'est mon domaine. Après, j'ai d'autres domaines que je vais développer avec Mehdi d'ici quelques temps. Mais enfin, tout dépend après du stade où vous êtes.
- Speaker #1
Après, on va remettre les choses. Quand tu veux débuter, tu veux créer un patrimoine dans l'immobilier, tu es obligé de passer par la location habitation. Tu es obligé. Tu peux faire plein de trucs, etc. Mais la base de la base, les banques, gagner de l'argent grâce à l'effet de levier que les banques vont t'apporter, tu es obligé de faire…
- Speaker #2
Il faut de la renta alors. Exact. Tu commences par quelque chose qui te donne de la renta.
- Speaker #1
Mais un truc, pas dans un trou, un truc que tu pourras vendre au bout de 3, 4… En fait, les ventes, c'est entre 5 et 7 ans, généralement. Tu fais pendant 5 ans, tu gardes un bien, tu l'as rénové, tu l'as poncé, il t'a amorti le capital. Une fois que tes locataires t'ont amorti le capital, boum, tu revends, tu prends un petit peu de cash, tu recommences. Tu fais deux, trois opérations. En fait, moi, c'est ce que j'ai fait. J'ai fait quelques opérations en habitation. Et après, tu switches sur du patrimonial et tu switches aussi sur du commercial. Et après, en fait, tu fais ça. Nous, en parallèle avec Nico, ce qu'on a fait, c'est qu'on a fait cette démarche-là, mais aussi à côté, on a fait des maisons en résidence principale. C'est-à-dire qu'on a acheté des taudis ou création même de beaucoup de choses, mais dans une maison. Et ça, comme c'est net d'impôts à la fin, la plus-value, elle est nette d'impôts, cette période les deux cumulés, ça te permet de générer beaucoup de cash rapidement en moins de 10-15 ans. Et derrière, toi, tu ne peux pas dire ça, Nico. On est obligé de passer par là parce que les banques...
- Speaker #0
Moi, je le dis parce que je ne l'ai pas fait. Ce n'est pas mon truc. Je l'ai fait une fois.
- Speaker #1
La base de l'IMO, c'est de l'habitation. Tu ne peux pas créer un patrimoine d'habitation. Après, tu peux aller sur autre chose. Et la LCD, il y a 10 piges, on n'en parlait même pas. On allait en vacances, on louait des trucs à des darons qui avaient de la lécon... Moi, je me rappelle, j'ai de la famille au Pays-Bas. J'allais à Bayonne, je louais des trucs au bord de la mer, je ne savais même pas que c'était de la LCD. Le mec, je me disais, putain, il se fait de l'oseille. Et je n'avais même pas une idée que je pouvais faire ça chez moi.
- Speaker #0
Je le faisais déjà, donc tu vois.
- Speaker #1
Ouais, vas-y, toi, t'es un précurseur.
- Speaker #0
Non, je ne suis pas un précurseur, mais voilà, quoi.
- Speaker #2
C'était vrai, tu sais. C'est important. T'as des banques ? qui ne te prête pas si tu n'as pas ta résidence principale. BNP ne te prête pas pour faire un investissement si tu n'as pas ta résidence principale.
- Speaker #1
BNP, ce n'est pas le top pour tout ce qui est locatif. Tu vois, BNP, là, si tu veux qu'on te donne des banques, le CIC, crédit mutuel, c'est le top. Crédit récolte, c'est le top.
- Speaker #0
La caïcha !
- Speaker #2
La caïcha, ça fait 4 ans et la caïcha... C'est comme quand je vois des mecs qui voient la Caïcha.
- Speaker #0
Les intérêts, mon quote, les intérêts, elle est bing.
- Speaker #1
La Caïcha, on me dit, ouais, la Caïcha, ils sont à 10%. Ils sont à 10%. Donc, tu te dis, les mecs, quand tu vas voir la Caïcha, ok, ils te financent. Par contre, voilà. La carte bleue, la Caïcha, je la paye, c'est quoi ? C'est 80 euros tous les trimestres. 80 euros par trimestre la carte bleue.
- Speaker #0
C'est même pas une gold.
- Speaker #1
C'est une carte bleue normale, Visa.
- Speaker #2
C'est en carton. C'est une carte de Visa. D'ailleurs, on essaye de prêter comment ? Ça fait longtemps que je n'ai pas eu de destin. À un moment, tu te prêtais, mais quand c'était à 3, je me rappelle, il te prêtait à 5. La Caixa ? Non, en général, pas la Caixa.
- Speaker #1
T'as deux types de... T'as deux types de...
- Speaker #2
Tu sais que mon grand-père, il est arrivé en France, il travaillait au Banque Pinte Sotomayor. Ah ouais ? Ouais. Ah, je connais.
- Speaker #0
Par contre,
- Speaker #2
c'est une histoire, tu rigoles.
- Speaker #1
Banque Pinte.
- Speaker #2
La banque, elle était pas ouverte, et lui, il faisait le tour des chantiers, parce qu'il vendait à l'époque aussi les billets de bus, avec Eurolines, parce qu'il y avait pas les trucs internet.
- Speaker #1
24 heures. 24 heures pour aller au bled.
- Speaker #2
Ouais, grave.
- Speaker #1
Non, mais je te le dis, ma femme allait au bled. et il faisait les billets le mec il avait pas de voiture il allait sur les chantiers
- Speaker #2
récupérer l'argent et descendait au portugal pourquoi la banque à la ouverte les gens ils voulaient pas mettre leur argent à la banque et comme les confiances ils sont venus le chercher ils ont dit viens travailler à la banque il alla la banque non alors qu'il n'a jamais travaillé à la banque et après en fin de carrière il s'est fait virer par un peu de carrière parce qu'il n'avait pas de diplôme il a jeté de la banque oh la la Ah ouais,
- Speaker #1
grave,
- Speaker #2
on va mettre dehors.
- Speaker #0
À l'ancienne, oh putain.
- Speaker #2
Et donc,
- Speaker #1
il y a deux types de SCI. Tu as la SCI qui est transparente fiscalement, celle qu'on appelle alliée à imposer le revenu. Et tu as la SCI, comme toutes les autres sociétés, imposée sur les sociétés, avec un chiffre d'affaires. Ce chiffre d'affaires est imposé. En fonction des deux types de SCI que tu choisis, si c'est allié, c'est comme quand on investit en perso, c'est tes fiches de paye, etc. Si tu es en SCI alliée, c'est comme les sociétés imposées sur les sociétés. Là, c'est un peu plus compliqué parce que tu es... civilement, t'es responsable des dettes de la société.
- Speaker #0
T'es caution.
- Speaker #1
T'es caution solidaire, exactement. Illimité, surtout. Si tu fais de la merde avec ta SCI, on vient de chercher tes biens persos. La société à l'IS, ça va être à un taux un petit peu plus supérieur par rapport à celui du particulier. Mais en SCI, généralement, quand les taux étaient à 1%, j'en prendrais à 3,5% avec la caixa. Et 3,5, c'est cher. Après, tu as moyen d'avoir 2. Bref, tu es toujours à 1 ou 2 points au-dessus,
- Speaker #2
généralement. C'est pour ça que ça fait longtemps que je n'ai pas vu de dossier passer comme ça avec des SCI.
- Speaker #1
Mais en ce moment, c'est mort.
- Speaker #2
Parce que je me rappelle, à un moment, je voyais, je me disais, waouh, chaud. 3 minimum, c'était 5.
- Speaker #0
Là, maintenant, que ce soit en SCI ou même en marchand type SAS, tu te fais assassiner. Ce que je t'ai dit,
- Speaker #1
Mika ?
- Speaker #2
Mais pas trop.
- Speaker #1
La caïcha sur le marchand, j'en parlais avec Nico, mon banquier m'a dit 10%. Je te prête, tu veux ? C'était vrai ça ? En marchand, en ce moment,
- Speaker #0
t'es entre 7 et
- Speaker #1
10%. La caïcha de Champigny, depuis 8-9 ans.
- Speaker #2
J'ai un ami là-bas en plus.
- Speaker #1
Bon, ok.
- Speaker #2
On va dire son nom.
- Speaker #1
Mais du coup, je t'ai dit, c'est 10% en ce moment, si je veux faire du marchand.
- Speaker #0
Il faut que tu apportes 30 à 40 %. 30 à 40 %,
- Speaker #1
tu vois. Tu fais une OPA à 100 000, eux, ils te prêtent 60. Par contre, tu apportes 40.
- Speaker #0
Mais le problème, c'est que tu empruntes 200, 300 000, c'est que derrière, tu as une durée de portage.
- Speaker #1
Ce n'est pas un crédit classique.
- Speaker #0
Ce n'est pas un crédit classique. Tu as une durée de portage de 6. Alors, ça vous dépense, tu as des travaux de 6 à 12 mois. Et tous les mois, c'est 1 200 balles d'intérêt que tu payes. Imagine.
- Speaker #1
entre 1000 et 1500 balles en fonction du montant d'ailleurs les gars ça fait mal d'ailleurs les gars dans deux semaines la semaine prochaine on reçoit épisode numéro des manu et dans deux semaines on vous fait un épisode spécial marchand de biens débutant et là vous allez envoyer du lourd et ça va être un épisode qui va vous permettre à vous de vraiment voir des gars qui font du marchand de biens débutant et pas de mytho
- Speaker #2
moi je t'explique j'ai une maison à 51 à vendre à 106 000 euros si tu veux qu'ils se lancent là dessus et qu'après ils revendent pour un coworking qui se mette dans le coworking, ça peut être leur premier truc. Moi, je pense que je suis en train de voir. La renta, elle est bien. Non, je cherche des gars à Paris. Parce qu'elle m'a dit ça là-bas et on a dit on va trouver quelqu'un ici à Paris qui veut de la renta.
- Speaker #0
Après,
- Speaker #2
pour poser les chiffres.
- Speaker #0
Pour poser les chiffres.
- Speaker #2
C'est là que tout va bien. Si tout est carré, on monte à 8, au-dessus de 7. Alors ça,
- Speaker #1
Mika, vu que tu es mon ami, je vais te dire, ça veut tout et rien dire.
- Speaker #2
Je sais, j'ai un dossier complet. Je répare le dossier comme ça.
- Speaker #1
Voilà,
- Speaker #2
montre le dossier. La maison à ce moment-là, pendant le podcast. 7 à 8,
- Speaker #1
tu arrives là-bas,
- Speaker #2
tu as plus de poids,
- Speaker #1
les fenêtres sont en bois, il faut tout changer.
- Speaker #0
T'as une cave.
- Speaker #1
T'as une cave, il y a deux ans. Mais non, mais t'inquiète, tu mets une pompe normale.
- Speaker #2
Bravo, tout a été mesuré. Bon les gars,
- Speaker #1
1h24 de podcast, on va s'arrêter là, parce que sinon c'est parti. Eh Micah, tu sais quoi ? On va faire un autre épisode avec Youssef. Excuse-moi, avec Christophe. Ouais. Il y a moyen de rigoler.
- Speaker #2
Prévoit à 3h. Mais carrément,
- Speaker #0
à vous là.
- Speaker #2
Il va te raconter des trucs.
- Speaker #0
On le fera en plusieurs épisodes.
- Speaker #2
Ouais,
- Speaker #1
pourquoi pas. Je te laisse balancer toutes les infos, Nico. Merci beaucoup.
- Speaker #0
Micah, encore merci. Dis-nous où est-ce qu'on peut te joindre, si on a des auditeurs qui ont besoin de tes services. Parce que, tu vois, quand on a interviewé Elisabeth, Donc on a fait l'interview avec Elisabeth, il y a pas mal d'auditeurs qui sont venus vers elle pour acheter des biens au Portugal.
- Speaker #2
Au Portugal, ouais j'ai vu,
- Speaker #0
ouais ouais. Voilà, donc si on peut aider la communauté, si on peut t'aider toi à avoir des prospects, et bien écoute, dis-nous Théréso, comment peut-on... Où est-ce qu'on peut te trouver ?
- Speaker #2
Déjà avec le Portugal, c'est bien avec Elisabeth. C'est pareil pour... Mais le réseau, moi où je suis, il m'a apporté ça. Je te dis, c'est avant où que j'ai été, même Centurion 21, pourtant ça y est au Portugal. Je n'ai jamais pu vendre des trucs là-bas. Alors que maintenant, franchement, mon réseau, je trouve du monde partout et c'est super rapide. Donc pour les gens qui veulent au Portugal, avec Elisabeth ou avec d'autres personnes, déjà ça c'est super simple. Et moi ça me change, je trouve que j'ai, pas comme toi, beaucoup de connaissances portugaises que je ne pouvais pas aider avant. Et franchement, maintenant, je peux. Moi, on peut me trouver, aujourd'hui, sur toute la France, j'ai des collaborateurs partout. Je recherche des personnes qui veulent me rejoindre, déjà, qui partagent un peu mon état d'esprit. On a passé un peu de temps ensemble, donc ça permet de voir un peu qui je suis aux gens.
- Speaker #0
Exactement.
- Speaker #2
Je recherche vraiment des gens qui ont le même ADN, parce que j'ai un projet sur le long terme et j'ai envie de bousculer un petit peu l'immobilier et le faire un peu différemment. Vous pouvez me joindre sur Instagram, je pense qu'il y aura des réseaux qui vont passer. Et puis après, je tombe beaucoup en région parisienne. Moi, je suis un ogent sur Marne. l'entrée du Bois de Vincennes. Mais Christophe, mon associé, il a une agence corps physique qui est chez UXP également et qui est de l'autre côté à Sèvres, dans Boulogne. C'est vraiment Est-Ouest. Et entre les deux, j'ai une équipe qui continue de grandir sur Paris. Pour vendre moi-même, je serai plus efficace sur Paris. Et puis après, partout dans toute la France, je peux trouver du monde.
- Speaker #0
Écoute, ce qu'on va faire, on mettra ton Instagram là où on peut te joindre. Comme ça, s'il y a des... auditeurs ou des personnes qui veulent acheter ou passer par toi ou même rentrer dans ton dans ta team, allez contacter Mika et il vous recevra avec grand plaisir. Merci encore d'avoir accepté notre invitation, on va se refaire un autre podcast je pense qui va être assez sympa et on parle avec des potes, j'avais oublié un podcast ouais mais c'est ça qui est bien tu vois les podcasts à la coupe tu vois, on n'est pas là, on n'est pas de prise de tête.
- Speaker #2
Moi je fais attention quand même parce que depuis tout à l'heure j'ai un moustique qui n'arrête pas de passer, j'ai envie de le claquer mais je m'en tiens Merci.
- Speaker #0
il va y avoir un assassinat après donc écoute merci merci à tout le monde d'avoir suivi ce podcast jusqu'à la fin on vous remercie pour tous vos commentaires à chaque fois vous êtes beaucoup plus nombreux à nous suivre donc on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau podcast merci à tous bonne journée bonne soirée David il
- Speaker #1
est de la même ville que ma femme C'est un trou perdu qui est dans le nord du Portugal Ça s'appelle Vila Nova de Cervera Et ça franchement quand j'ai vu ça Je me suis dit mais qu'est-ce que tu fous là-bas Ouais je suis de là-bas et tout machin Et là maintenant elle me dit C'est fou quand même la vie Bon les gars merci pour tout Obrigado Merci les gars Laisse tomber
- Speaker #0
Je vais clôturer Bonne journée bonne soirée A bientôt
- Speaker #2
Ciao