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Riche d'Expériences

Expatriation de France pour investir à l'étranger ou vivre sa liberté financière comme expatriés fuir la fiscalité, rentabilité

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37min |14/08/2025
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Description


Expatriation, investissement, France, Panama, Espagne, sécurité, entrepreneuriat, fiscalité, opportunités, culture


SOMMAIRE

Dans cet épisode, les animateurs discutent des différentes destinations d'expatriation, des avantages et inconvénients de vivre à l'étranger, et de la situation actuelle de la France. Ils explorent des pays comme le Panama, l'Espagne et l'Italie, tout en abordant les défis de l'entrepreneuriat et les opportunités d'investissement. La conversation met en lumière l'importance de la famille, de la sécurité et des choix fiscaux dans le processus de déménagement.


La France est en déclin, mais elle reste un pays riche en culture.

Le Panama offre des avantages fiscaux intéressants.

L'Italie est souvent perçue comme un pays de classe.

La famille peut être un frein à l'expatriation.

Il est essentiel de garder un équilibre entre le positif et le négatif.

Les États-Unis peuvent offrir des opportunités d'affaires.

La création d'entreprise en France est complexe en raison des charges.

Investir dans des biens patrimoniaux est une stratégie efficace.

Les destinations d'expatriation doivent être choisies en fonction des besoins personnels.

Il est important de ne pas avoir de dettes pour se sentir libre.

Expatriation : Où aller et pourquoi ?

La France face à l'expatriation


"Il faut garder le côté positif."

"Il faut garder espoir."

"Les États-Unis, c'est dangereux."


Chapitres


00:00 Introduction et retour sur les podcasts précédents

03:04 Explorer les destinations d'expatriation

05:51 Les avantages et inconvénients de vivre à l'étranger

08:53 La France : un pays en déclin ?

11:54 Les opportunités d'investissement en France et à l'étranger

14:38 Les défis de l'entrepreneuriat en France

17:48 Les destinations alternatives : Afrique, Amérique, et au-delà

20:44 Stratégies d'investissement et création de richesse

23:57 Conclusion et réflexions finales



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    1 billion, 2 billion, 3 billion. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue sur le podcast RISK d'Expérience. Je suis avec mon acolyte Mehdi. Comment tu vas mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    On a fait des nouveaux tests de micro. 1 million, 2 million, 3 million. Comme Warren Buffett.

  • Speaker #0

    Et ça fonctionne et vous allez kiffer. Aujourd'hui, nouveau podcast. Donc on est là avec Mehdi tous les deux. On va parler un peu d'exotisme. On va aller un petit peu... naviguer dans d'autres pays, on va vous expliquer ça. Mais avant ça, petit retour sur les podcasts précédents. Donc le thème de l'été, c'était partir à l'aventure dans différents pays pour savoir où est-ce qu'on pourrait investir, si ça valait le coup dans différents pays. On a fait le Portugal, on a fait l'Espagne, on a fait Dubaï qui a cartonné. Merci à Dimitri, mais merci aussi à tout le monde de nous avoir fait découvrir les différents pays. La semaine dernière, on était en Italie à maquer les pastas. Moi, j'adore les pastas. Et toi, mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    La nourriture italienne, je pense qu'on est the best of the best. Avec le Portugal, l'Espagne aussi, mais c'est vrai que coup de cœur à l'Italie.

  • Speaker #0

    En fait, partout. Non,

  • Speaker #1

    mais l'Italie, mec, pas de bolo. L'Italie, on est au-dessus. tiramisu

  • Speaker #0

    Les classes italiennes,

  • Speaker #1

    la classe italienne, tu ne peux pas lutter. Quand on parle de style, tout de suite, on pense à l'Italie. Pour tout ça, Lou, encore merci. Chaque podcast avait présenté ses différents avantages et inconvénients. Le Portugal a explosé et tout. L'Espagne a explosé. Après, en fonction des profils, vous avez trouvé... Moi, je sais que j'ai mes... ... Voilà, j'ai mes préférences, comme toi, tu as des préférences. Et là, aujourd'hui, dans ce podcast-là, clairement, où on est capable d'aller habiter pour déménager de France. Voilà, clairement, voilà. N'ayons pas peur des mots.

  • Speaker #0

    Exactement, c'est vrai que moi, j'y ai pensé un certain temps, il y a quelques années en arrière, à partir d'ici, puis aller habiter en Espagne. Bon, ça, c'est pas fait. Mais si un jour, on devait partir, c'est vrai que, voilà... On va un peu décrire tout à nos auditeurs. Où est-ce qu'on irait habiter et pour quelles raisons ? Pourquoi tel pays et pas un autre ? C'est vrai qu'il y a différents pays. Rester en Europe ou partir en dehors de l'Europe, après ça, ça va être propre à chacun. Parce qu'en fonction de ce que vous voulez, de vos business ou de votre attache ici en France, tout va dépendre d'où vous voulez partir. Après, c'est vrai que nous, on a quelques penchants pour certains pays. Donc, on va vous expliquer un petit peu tout ça. Pourquoi on irait dans tel ou tel pays pour vivre ? Toi, tu partirais où, mon Mehdi, toi ?

  • Speaker #1

    Écoute, le problème, c'est que... Et le problème de tous, quasiment, ce sera la famille. La famille, bon, ben voilà, si ta base, elle est en France, c'est vrai que psychologiquement, partir loin... Moi, il ne me reste que ma maman en France. Et après, le reste de ma famille, je ne m'entends pas trop. Donc, je n'ai plus ce problème-là. Et mon épouse, pareil, elle a sa maman. Et après, on n'a plus ce problème-là. Je pense, et ça, c'est ma conviction personnelle, je pense que l'Europe est morte. Et tu vois, pendant longtemps, j'ai voulu déménager à Madère. Madère, il y a des petits avantages fiscaux qui sont vraiment super intéressants. Le problème, c'est que comme c'est insulaire, comme c'est une île, le tourisme... ça commence à devenir un peu trop. Donc là, j'y retourne au mois d'octobre pour voir comment ça se passe. Mais il y a un autre pays, il y a un autre pays qui m'attire fort. Et ça, franchement, ça n'a rien à voir, on n'en a jamais parlé, c'est le Panama. Le Panama, avantages fiscaux, un climat de fou et tout à faire. Au niveau sécurité, le Panama, on est parmi les meilleurs du monde. Et pourtant, Amérique latine, etc. Je n'en ai jamais parlé. Et j'ai commencé à m'intéresser au Panama quand j'ai investi dans de l'immobilier tokenisé via Realty. Realty, c'est une société, je n'en fais pas la promo. Et franchement, je ne suis pas forcément super content. Donc voilà, j'avais acheté de l'immobilier aux Etats-Unis, tokenisé de l'immobilier qui avait été fractionné en crypto-monnaie. Et après, j'ai acheté de l'immobilier. au Panama, il y a toujours eux. Faites ce que vous voulez, moi je vous le conseille pas et je ne vous le déconseille pas non plus. J'ai fait une aparté, c'était juste pour expliquer pourquoi je connaissais Panama. Franchement, Allez-vous rencarder sur le Panama, c'est une tuerie. On dirait Dubaï, mais en moins, n'ayons pas peur des mots, en moins rebeu, il n'y a pas de religion. La religion, c'est autre chose. Donc ceux qui sont réfractaires à Dubaï, pensez Panama.

  • Speaker #0

    Mais dis-moi, le Panama, ce n'est pas ce pays-là où le nouveau président a arrêté tous les gants, non ? C'est dans ce pays-là ou c'est dans un autre pays ?

  • Speaker #1

    C'était pas le Venezuela C'était pas le Costa Rica toi ? Avec les Boukele

  • Speaker #0

    Je sais plus quel pays c'est Il a arrêté tous les gangs Il les a emprisonnés dans des prisons

  • Speaker #1

    C'est le Salvador

  • Speaker #0

    Le Salvador Non j'irai jamais là-bas C'était pour savoir Je sais que le Panama Je connais pas Je peux pas détailler là-dessus Il y a aussi le Costa Rica qui cartonne apparemment Merci.

  • Speaker #1

    Après, toute cette région-là, je ne sais pas si tu as déjà voyagé là-bas. Moi, j'ai fait un peu l'Amérique latine. C'est magnifique. C'est magnifique. Par contre, côté sécurité, on critique la France pour le point de vue sécurité. L'Amérique du Sud, ils sont en train de rattraper leur retard. Mais voilà, ce n'est vraiment pas sécuritaire.

  • Speaker #0

    Moi, je n'ai pas fait l'Amérique. J'ai fait la République dominicaine à l'époque, il y a 20 ans. Il y a 20 ans, t'imagines.

  • Speaker #1

    Après, juste pour situer la République d'Homme, c'est une île, elle est séparée en deux. Il y a d'un côté Haïti et de l'autre côté la Repdom. Donc oui, l'instabilité haïtienne, elle est en Repdom. En fait,

  • Speaker #0

    il y a 20 ans, tu vois, j'en avais 24, 23, 24. Et quand on est parti, on était une bande de potes, on était au nord de l'île. Et en fait, les autorités et surtout le complexe, en fait, c'était... C'était un gros complexe hôtelier, mais vraiment sécurisé, qui regroupait 4-5 hôtels. Donc tu vois un peu la bête, tu vois. Tu avais plein d'hôtels avec un golf et tout, et tout était regroupé, mais tout sécurisé. En fait, tu pouvais rester à l'intérieur de ce complexe-là sans sortir. Et ils nous préconisaient de ne pas sortir parce que c'était dangereux à l'extérieur. Bon, tu vois, à nous, t'as beau nous dire ça, on sortait quand même. Mais c'est vrai qu'à l'époque, c'était un peu dangereux. Il fallait faire très attention. Il fallait faire très attention. Nous, on s'est un peu mélangé aux locaux. Mais voilà, il fallait garder les yeux ouverts. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Oui, tu m'étonnes.

  • Speaker #0

    Mais là, il y a 20 ans, la Repdom, ça a changé. Ça a changé. Il y a beaucoup de Français qui s'y sont installés. Après, voilà, Tahiti qui est à côté. Le pays se développe grâce au tourisme. Mais ce n'est pas non plus... Voilà, ce n'est pas comme en Europe. Ça n'a rien à voir. Après, je ne peux pas trop en parler parce que je ne connais pas tout ce qui est au niveau médical. Je pense qu'il doit y avoir des hôpitaux privés. C'est vrai que ça se fait beaucoup dans les pays, tout ce qui est Asie, Amérique latine, même aux Etats-Unis.

  • Speaker #1

    Même Afrique, maintenant.

  • Speaker #0

    Voilà, donc beaucoup d'hôpitaux privés. Tu payes et puis tu as accès aux soins. Mais c'était pas mal, c'était pas mal, mais je ne peux pas trop développer, je ne connais pas trop. Au Panama, je vais me renseigner. Tiens, tu m'as mis un petit truc dans la tête.

  • Speaker #1

    Parler, parce que ça, en fait, il ne faut pas trop en parler pour ne pas être découragé. Parce que la famille a les petits intents mindset, mais la famille sera toujours là pour te décourager parce qu'elle veut ta sécurité. Donc, garde les idées pour toi. Étudie ton projet. Et voilà. Moi, par contre, tu vois, c'est des choses. En fait, il faut toujours apporter le côté positif pour minimiser le côté négatif. Parce qu'il y a toujours un côté négatif. on sort de son confort, on quitte la France et en fait, on recommence tout. Alors par contre, attention, il y a les destinations où on part pour aussi travailler et la destination où on part en étant rentier. Ça, voilà. Ça,

  • Speaker #0

    c'est encore autre chose.

  • Speaker #1

    Mais c'est quelque chose qu'il faut prendre en compte.

  • Speaker #0

    Exactement. Moi, tu vois, je suis très attaché à elle et j'aime beaucoup la France. Pourquoi ? Parce qu'en France, on a tous les paysages, toutes les cultures. au niveau de la gastronomie on est un des pays au niveau gastronomique où c'est le top du top et puis c'est surtout que t'as tous les climats tu vois ce que je veux dire ? t'as la montagne d'un côté, t'as la mer t'as l'océan, t'as au nord si t'aimes la pluie, si t'aimes le froid bah tu vas au nord, tu vois ce que je veux dire ? donc t'as différentes régions avec différents climats et moi je suis attaché à la France j'aime beaucoup la France mais je pense qu'on est dans le déclin Alors, je n'ai pas envie de faire peur à tout le monde, mais je pense que la France est en déclin assez sévère et je pense qu'on n'est pas prêt de remonter, si ce n'est que ça va se détériorer d'année en année. On voit comment ça se dégoupille, enfin ça se goupille là, avec tout ce qui est politique, toutes les taxes ou autre. Je ne vois pas trop d'éclaircies. Donc voilà, c'est vrai qu'avec Mehdi, on fait nos affaires. Je pense que voilà, maintenant, c'est de l'individualisme. On reste individuel, on pense à nos gueules. C'est vraiment le mot, je pense qu'on en est arrivé là. On fait nos trucs, on fait nos business, on fait nos argents. Et puis, un jour, on partira parce que le climat en France se détériore énormément. Malgré que j'aime beaucoup, j'adore la France.

  • Speaker #1

    Après, il faut quand même avouer que la France... Alors, je vais parler du côté sécuritaire. On n'est pas tous égaux. Tu prends, regarde, en Ile-de-France, tu as des coins qui sont ultra-sécurs et d'autres coins qui sont ghettos. Mais en France, tu peux aller dans des endroits quand tu as de l'argent. Tu peux aller dans des endroits qui sont ultra-sécurs. Tu n'as pas de... Je suis désolé. Quand tu habites dans certaines régions, bon, ben voilà. Tu te fais plaisir dans certaines régions, tu es tranquille.

  • Speaker #0

    Ah ben, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #1

    Tu vois, voilà. Tu n'as pas de... Moi, je sais que... Bon, voilà, je connais très bien le Pays-Bas. Je connais aussi bien tout ce qui est Ariège, etc. Ils n'ont pas les mêmes problèmes que tu vas trouver dans les grosses métropoles. Donc, il y a aussi... une juste mesure. Après, par rapport à tout ce qui est fiscalité, etc., une fois que tu es en société, tu peux quand même faire pas mal de choses quand tu es en société, tu vois. Donc, pour avoir moins l'impact sur l'individu, moins l'impact sur la personne physique. Donc, après, il faut aussi arrêter de se mettre la pression par rapport à tout ce qu'on peut entendre sur CNews, BFM, etc., parce que notre opinion... Elle est orientée pour qu'on aille vers là où on veut nous envoyer. Après, oui, il y a de l'immigration. Après, oui, il y a ceci, oui, cela. Il ne faut pas oublier que la France, c'est quand même un top pays. Et que ce pays-là, en fait, il y a juste à déplacer les populations. Donc, se déplacer pour aller dans des endroits où vraiment on peut retrouver la qualité, comme on le dit, la qualité française. Après, le pays n'est pas mort. C'est juste que là, on a une transition qui n'est pas forcément plaisante.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord, le pays de paix à mort. C'est pour ça que moi, je pense que je vais…

  • Speaker #1

    Comment ? Il faut garder espoir.

  • Speaker #0

    Il faut garder espoir. Après, comme tu dis, il ne faut pas tout mettre dans le même panier. Après, en France, on peut faire de l'argent, il n'y a pas de problème. On peut créer du business. Les banques nous aident, on a beaucoup d'aide. Donc ça, il n'y a pas de souci. C'est juste, voilà, il y a un juste milieu. et quand ça va trop vite. trop loin, je ne suis pas seul à le dire, des fois c'est un peu compliqué. Je suis d'accord avec toi. C'est d'un côté professionnel, je parle.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord avec toi sur le côté personne physique. Maintenant, personne morale en société, je ne sais pas trop, mais je pense qu'en Europe, après avoir étudié le truc, en Europe, la France pour les sociétés, je parle. Alors, je ne parle pas de tout ce qui est imposition sur le salarié. Là, on est vraiment sur autre chose. Je te parle vraiment de tout ce qui est investissement, tout ce qui est un système vraiment pyramidal avec une holding, etc. Franchement, on est bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    C'est vraiment bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    Tu peux vraiment payer le moins d'impôts possible. C'est d'ailleurs pour ça que certains gros groupes restent en France. Et ça, il ne faut pas oublier de le dire. Cette semaine, il y a eu une enquête parlementaire. Je t'en ai parlé, je crois. Il y a une grosse société du 440 en France qui a touché en 2022-2023 plusieurs milliards d'euros d'aide. Cette société, elle n'en avait pas forcément besoin. Et en fait, dans la commission parlementaire, on demande au patron de sa société pourquoi, bizarrement, les dividendes qu'elle a versés à ses actionnaires, à quelques centimes près ou quelques euros près, représentent le montant de l'aide. Et là, tu as le patron qui dit, mais il dit au calme. Il dit, bon, ben voilà, si vous voulez qu'on vous les rembourse, on vous les rembourse. Concrètement, ce qui s'est passé, et je ne vais pas donner la société, mais enfin aussi, je peux même la donner, c'est Carrefour. Carrefour, en fait, en 2023, ils ont versé à leurs actionnaires, on va dire une connerie, tu vois, on va dire 20 milliards d'euros de dividendes. OK, et ben, ces dividendes-là, ils représentent exactement l'aide que l'État a donnée un an avant. Tout ça pour dire quoi ? juste pour dire que est-ce que Carrefour, qui représente plusieurs milliers d'emplois en France et dans le monde, est rentable ? Là, on a clairement vu qu'elle n'était pas rentable, parce que sinon, elle n'aurait jamais versé le montant de ses aides aux actionnaires pour leur faire croire. En fait, tout ça, c'est pour montrer que notre argent, il se tourne. Donc concrètement, qu'est-ce que je veux dire ? Je veux dire, investissez sur les bons chevaux. Et c'est bon chevaux, quand vous payez les impôts, ça va vous revenir.

  • Speaker #0

    Exactement, exactement. Donc voilà, pour en revenir...

  • Speaker #1

    J'ai cassé l'ambiance là.

  • Speaker #0

    Non, non, non, mais là on s'écarte un petit peu du sujet. Mais non,

  • Speaker #1

    c'est juste pour dire que la France, c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    Non, c'est pour ça que je reviens à dire que la France, il y a ses avantages et ses inconvénients. C'est pour ça que moi, je pense que je garderais quelque chose ici. C'est même sûr, parce qu'il y a de la famille, puis j'ai une attache au pays qui est bien. Après, partir en dehors de l'Europe,

  • Speaker #1

    je… Pour la monnaie, t'es obligé.

  • Speaker #0

    Oui, pour la monnaie, mais où, moi, à l'heure actuelle, je serais incapable de te dire où je pourrais aller. À l'heure actuelle, en dehors de l'Europe. Je ne sais pas. Franchement, il y a l'île Maurice, pourquoi pas, pour ses avantages fiscaux, bien sûr. Et puis le climat, on sait tous que l'Immobus...

  • Speaker #1

    Au côté insulaire, les îles, c'est particulier.

  • Speaker #0

    C'est pour ça, il pourrait être peut-être là-bas. Dubaï, je ne sais pas. Je ne connais pas, donc je ne peux pas dire.

  • Speaker #1

    Ils vivent tout le temps.

  • Speaker #0

    Ils vivent tout le temps parce qu'il fait trop chaud.

  • Speaker #1

    Non, mais même n'ayons pas peur. Après, c'est une religion qui est différente. C'est OK, on est en France. Certains se plaignent de la... On va dire, rentrons dans les... certains se plaignent de l'islam, etc. Là-bas, tu vis dans un pays où tu entends cinq fois par jour l'appel à la prière.

  • Speaker #0

    Ça ne me dérangerait pas.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, par exemple, moi au Maroc, alors que j'ai des biens au Maroc, je sais que mon épouse, elle, ça peut la déranger. Elle n'a rien du tout à ma tête. Mais aller vivre dans un pays musulman, ça peut représenter pour certaines une gêne. Mais pas forcément aller en vacances, il y a d'autres soucis, mais y vivre, c'est autre chose. Moi, je mets les pieds dans le plat, parce que concrètement, il y a beaucoup de gens qui ne se rendent pas compte. Aller vivre dans un pays où, comme en France, tu as toujours été open, tu peux parler de tout, là, tu parles dans des pays où, en fait, un peu peut-être comme l'Asie, certains pays, en fait, il y a des restrictions. Tu ne peux pas parler de tout. Il y a des choses que tu ne peux pas les dire. Donc ça, c'est aussi à en prendre en compte. Et moi, je n'ai pas honte de le dire.

  • Speaker #0

    Après, tu changes de pays, tu t'adaptes au pays, ce qui est normal. Moi, ça ne me dérange pas. là si je devais partir concrètement Moi, ce serait en Espagne. Vous savez très bien que j'ai une attache à l'Espagne qui est assez énorme. Donc, je partirai, je pense, en Espagne. Mais on reste encore en Europe. Voilà. On reste encore en Europe. Et en dehors de l'Europe, je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je ne me suis jamais posé la question. C'est vrai que c'est difficile à se dire de sortir de l'Europe, mais pour aller où ?

  • Speaker #1

    Tu sais, il y a des coins de l'Afrique. qui sont blindés, et on n'en parle pas, ils sont blindés et tu as des vues exceptionnelles. Je parle surtout de l'Afrique anglophone, donc toute la deuxième partie de l'Afrique, pardon, la partie sud de l'Afrique. Certes, ce n'est pas forcément courant d'en parler, mais moi je sais que la Namibie c'est une tuerie. Alors, il... enfin... Il faut mesurer mes propos. Mais tu vois, toute la partie sud de l'Afrique, à étudier. Je ne me lance pas là-dedans, mais juste à étudier et observer.

  • Speaker #0

    Après, en dehors de l'Afrique, alors que je ne connais pas, il y a l'Afrique du Sud. Encore ça, il faut étudier.

  • Speaker #1

    C'est dangereux.

  • Speaker #0

    Je sais que c'est dangereux. Après, tu as les États-Unis.

  • Speaker #1

    Pourquoi pas ?

  • Speaker #0

    Les États-Unis. Si tu veux faire du business et tu veux être chill, tu peux faire les deux là-bas. Les États-Unis.

  • Speaker #1

    Moi, j'avais étudié le département ou la région d'Alberta. C'est au Canada. C'est limite frontière américaine, côté au-dessus du Montana, au-dessus…

  • Speaker #0

    C'est Seattle, non ?

  • Speaker #1

    Oui, Seattle, c'est vraiment côté…

  • Speaker #0

    C'est côté ouest.

  • Speaker #1

    C'est côté ouest. Moi, c'est vraiment un peu plus… C'est toujours sur le côté ouest, mais central, sachant que d'un côté à l'autre, de San Francisco à… New York, il y a quand même, je crois, 4000 ou 5000 kilomètres. Donc, tu vois, c'est énorme, c'est immense. Donc, c'est vraiment, tu prends la partie centrale des États-Unis, plus vers le côté ouest, et c'est à la frontière entre le Canada et les États-Unis. Canada, parce que, en fait, moi, je suis plus en phase avec l'idée canadienne plutôt que l'idée américaine, mais après, c'est les convictions perso. Et cette région-là, je vous invite à aller voir la région Alberta au Canada. vous allez en prendre plein la vue c'est une tuerie,

  • Speaker #0

    il n'y a pas d'autre mot je ne connais pas moi tu sais j'ai eu une locataire qui est restée longtemps ici une américaine de Seattle Et Seattle, tu sais, c'est tout à l'ouest, en Ausha gauche des États-Unis. En fait, tu n'es pas loin du Canada et tu as une chaîne de montagne qui est entre les deux. Et m'expliquer que le climat était un peu comme ici, un peu comme en France. Tu as la mer. Bon, la mer n'est pas très chaude non plus, mais tu as la mer, tu as la montagne et tu n'es pas loin du Canada. Et après, tu es dans une grosse ville. Bon, Seattle, c'est quand même assez énorme. Tu as Amazon, tu as des gros groupes là-bas. c'est pas c'est pas mal, il fait bon vivre aussi. Donc, pourquoi pas les Etats-Unis ? Après, moi, si je devais aller aux Etats-Unis, c'est pour créer du business. C'est pour du business, pas pour vivre la rente ou autre. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Tu vois, tout à l'heure, on était en train de... Je t'ai évoqué deux cas. Le cas où tu es rentier et tu pars, et le cas où tu dois aller bosser. Où tu dois partir de France et tu dois aller bosser. Eh bien, le Canada, c'est une... Ou les Etats-Unis, c'est une destination où tu peux partir bosser. Tu peux changer de vie, mais pour partir bosser. Il n'y a pas de honte à bosser. Il n'y a pas de honte à se dire, OK, je quitte tout et je recommence tout. Au contraire, c'est là que mentalement, tu te montres à toi que tu n'es pas un bon à rien, que tu es capable d'eux. Et les États-Unis, si tu es un charbonneur, si tu acceptes de faire des horaires et d'être déterminé, mais tu vas faire fortune, c'est obligé. Tout comme le Canada.

  • Speaker #0

    De toute manière, si tu fais la même chose en France, si tu es un bosseur et que tu ne lâches rien, Tu fais déjà ça en France. Ce n'est pas pareil. Mais si tu as cette conviction et si tu as ce mindset-là, là-bas, ça va être décuplé. Parce que tu as la culture là-bas.

  • Speaker #1

    La France, c'est bon pour tout ce qui est investissement. Dès que tu commences à créer un business, le problème, c'est que si tu as un business et que tu dois payer des charges salariales, tu es mort dans le film. Parce que pour donner un ordre d'idée, 2 000 euros de salaire, tu as la même chose. en charge. C'est-à-dire qu'il faut que tu génères 4000 euros et tu n'as même pas créé de la richesse. Tu as juste généré 4000 euros juste pour payer quelqu'un qui va travailler pour toi. 4000 euros, mec. Je fais ça à l'année et tu as capté ? Tu as 4000 euros juste pour payer un salarié. Tu n'as rien fait. Tu as juste un salarié. Donc imagine, tu multiplies. Il faut que ton activité ait un truc. On reprend la même chose au Canada. Parce que ça, je le sais. On reprend la même chose au Canada. Tu prends quelqu'un, tu vas le payer 2 000 dollars. 2 000 dollars. À la fin, écoute, les 2 000 dollars, ça provient à 5 000 dollars.

  • Speaker #0

    Tu vois,

  • Speaker #1

    tu as 18 000 dollars de diff. 18 000 dollars, c'est ton bénéfice.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est énorme. Donc, en fait, après, tu vois, tout ça, franchement, au bout d'un moment, tu vois, si tu veux créer un business, si tu veux vraiment vivre d'un business, quand je dis créer un business, c'est avec des salariés. C'est pas, voilà, on n'investit pas. Quand on investit, il n'y a pas de salariés. Tu peux investir dans une boîte, mais en fait, toi, tu es un investisseur. Tu n'es pas un chef d'entreprise. Aide-moi parce que là, je pars dans mes trucs. Mais bon, dans l'idée, c'est ça. C'est avoir un business sans salariés. Aux États-Unis, tu peux te permettre d'avoir des salariés parce que déjà, tu as moins de contraintes au niveau. Si tu dois malheureusement te séparer d'un collaborateur, tu peux te séparer d'un collaborateur. Il n'y a pas de prud'homme, il n'y a pas de machin, il n'y a pas de site.

  • Speaker #0

    C'est complètement différent.

  • Speaker #1

    Et les gens, comme ils savent qu'ils ont besoin de taffer, ils sont... Ils ont un autre état d'esprit, tout est basé sur le service. Ici, tu vas prendre un gars, tu vas lui expliquer c'est quoi sa fiche de poste. Le mec, deux mois après, tu reviens, il va te dire pourquoi je dois faire ça. Mais mec, c'était dans ta fiche de poste de base. Moi aujourd'hui, je manage des gens, je suis là à leur expliquer ce qu'ils ont signé. Mais je me dis, mais mec, tu n'as pas compris en fait, c'est ton travail, t'es payé pour ça. Ouais, mais non, mais en fait non. Bah mec, voilà, et ça tu te le traînes. Et tu vois, t'as quelqu'un qui est moins productif. Tu lui expliques, tu lui expliques, mais en fait, c'est de la perte de temps. Aux États-Unis, aux States, il n'y a pas de ça. C'est tu ne fais pas l'affaire next. Et du coup, ça motive, ça crée de la productivité chez les gens. Et de la précarité, certes, mais ça crée de la... En fait, les gens, ils n'ont pas le choix. Et ça, cet état d'esprit-là pour partir bosser, pour partir créer un business, comme il dit Nico, c'est le top.

  • Speaker #0

    Ah mais carrément. Et moi, tu vois, j'avais étudié tout ce qui était création de sociétés en Espagne, en Catalogne. et en fait, pareil, tu as des avantages, ça n'a rien à voir avec la France. Donc, tu ne payes pas les mêmes charges, en fonction des régions, ce n'est pas les mêmes charges, tu vois. Tu n'es pas ponctionné pareil au niveau des impôts, et c'est plus avantageux. Moi, j'avais vu pour les sociétés, c'était plus avantageux, parce que je voulais ouvrir un business là-bas, et je me suis dit, putain, mais ça n'a rien à voir, ça n'a rien à voir. Donc après, voilà, il faut étudier en fonction de... Si c'est pour être à la cool, et puis pouvoir vivre tranquillement, et tu as des biens déjà en France. où tu as un business qui tourne, parce que tu peux avoir un business en France et habiter à l'étranger. C'est tout à fait possible. Tous tes revenus qui sont générés en France seront payés en France, quoi qu'il arrive, même si tu habites à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu as vu les taxes qu'ils ont mis là ? Mais vraiment, ils font pitié.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas fini, ce n'est pas fini.

  • Speaker #1

    La taxe pour déménager à l'étranger.

  • Speaker #0

    5 000 euros. C'est 2 000 euros de plus.

  • Speaker #1

    Franchement, le mec qui a de la thune, 5 000 euros.

  • Speaker #0

    Il n'en a rien à foutre.

  • Speaker #1

    C'est plus pour essayer de limiter les départs de masse des classes moyennes qui se font malheureusement éclater et qui, elles, n'ont pas trop le choix et pour qui 5 000 euros, ça peut représenter une somme. Alors,

  • Speaker #0

    c'est 5 000 euros si tu... Si tu abandonnes tout en France, c'est-à-dire que tu n'as plus rien, tu ne reviens pas.

  • Speaker #1

    Tu ne reviens pas. Tu ne reviens pas. Tu peux rester en France.

  • Speaker #0

    Si tu fais tous les six mois un bien et que tu as une résidence secondaire à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu peux esquiver. Mais en fait, le but, c'est quoi ? C'est de se barrer définitivement. Donc, 5 000 euros, est-ce que tu crois vraiment que ça peut être un frein pour quelqu'un qui est déter ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que c'est galère.

  • Speaker #1

    L'État qui fixe ça, c'est qu'il est en galère. Il est en PLS. Il met 5 000 euros pour dire, OK, tu pars, tu te mets 5 000. Juste pour savoir qu'à un moment, je regardais Miami pour habiter à Miami. Il fallait que j'ai 80 000 euros que j'investisse sur une boîte là-bas. Et j'avais l'équivalent d'un visa de 5 ans. Alors, je ne sais plus si c'est de ça, mais c'était pour avoir la green card, etc. Il fallait que tu mettes 80 000 dans une boîte. Dans d'autres régions des States, notamment le Texas et une région qui était riche, c'était dans le nord, il fallait mettre, je crois que c'était 200 000 dollars. Tu mettais 200 000 dollars et tu avais la green card.

  • Speaker #0

    Oui, mais après, tu as différents pays comme ça. Tu sais, tu as la Crète. Tu vois la Crète. Pas la Crète, excuse-moi. Comment il s'appelle le pays ? Malte. Tu vois Malte ? Je ne t'entends plus.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est normal. C'est parce que j'ai encore pas isolé nickel mon studio et j'ai un avion qui est passé juste au-dessus parce que j'ai un aérodrome juste à côté. Donc, c'est le problème de Rich.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je te disais. À Malte...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, il vient de Malte. Il a pris son Boeing, son jet privé.

  • Speaker #0

    À Malte, tu as des avantages fiscaux, mais tu es obligé de poser un certain montant pour pouvoir être résident et à voir les avantages fiscaux. avec Malte, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça c'est pareil, t'as beaucoup de pays comme ça. T'es obligé de poser sur des biens pour avoir différents... soit pour avoir le passeport, soit pour avoir la possibilité d'y habiter ou autre, tu vois ce que je veux dire ? Donc t'as différents pays. En France, non, y'a pas ça, tu vois. Mais tu vas dans différents pays, y'a ça. Tu vois, comme à Dubaï, comme on expliquait avec Dimitri, il faut poser autant d'argent pour avoir le visa, la Golden Visa, enfin tu vois, plein de... Plein de différents montants pour pouvoir y habiter, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça, plein de pays le font, notamment

  • Speaker #1

    Malte. À un moment, on parlait de l'Estonie.

  • Speaker #0

    Je vous parlais de l'Estonie, non ?

  • Speaker #1

    Oui, justement, en fait, l'Estonie, c'est un des pays d'Europe où il y a le moins d'imposition. Et c'est pour ça qu'à une certaine période, toutes les entreprises, tous les influenceurs, etc., avant Dubaï, ils allaient tous en Estonie. Et ils mettaient leur holding, comme en Irlande, tu vois. Ils mettaient tout dans ces pays-là pour diminuer, en fait, tout ce qui était fiscal. Mais moi, je ne me vois pas du tout vivre en Estonie. Je ne dis pas, je dis juste que 15h ou 16h, il fait nuit.

  • Speaker #0

    Voilà. C'est plus la qualité de vie après. Mais c'est vrai que les pays de l'Est, c'est bien pour les vacances.

  • Speaker #1

    Bon, alors on continue, les amis. Nico, il a sûrement eu une petite perte de connexion. Donc voilà. Et ce qu'il faut savoir, c'est que vraiment, il ne faut pas avoir honte de se dire on peut déménager pour aller travailler ailleurs. Ça, c'est vraiment quelque chose, il faut en avoir conscience. Au même titre que celui qui a tous ces business-là. Alors attention, et moi franchement, je mets les pieds dans le plat. Quand vous avez du cash flow, que le crédit n'est pas terminé, il peut tout se passer. C'est-à-dire que quand vous avez du cash flow, le cash flow est éphémère. Même si vous avez des grosses sommes de cash flow, le cash flow est éphémère. Une fois que vous avez payé votre crédit, que ce soit votre locataire qui l'a payé ou vous, et que vous n'avez plus de crédit sur l'appartement ou sur l'immeuble ou sur la maison que vous avez, là, on peut parler vraiment de cash flow.

  • Speaker #0

    Parce que les charges sont mesurables et vous n'avez plus de dette. Donc au final, la force, c'est de ne plus avoir de dette. Même si en France, la force qu'on a par rapport aux autres pays, c'est de pouvoir lever de la dette par l'effet de levier des banques, par l'effet de crédit. Mais on est riche uniquement quand on n'a plus de crédit. Et ça, il faut vraiment l'intégrer parce que très peu de gens le disent sur Internet. Et aujourd'hui, moi, clairement, je vous le dis. Dans une SCI, ça c'est une stratégie que vous devez peut-être avoir. Dans une SCI, vous devez avoir un bien à cash flow et un bien patrimonial. Le bien à cash flow, il est là juste pour payer le bien patrimonial, faire une équivalence de balance. Le bien à cash flow, il va être galère à revendre, certes, mais il va permettre de créer une balance patrimoniale. C'est-à-dire, on va prendre un exemple concret. Si j'ai la possibilité d'acheter un bien, dans le sud de l'île de France, dans une région pas trop loin de chez moi, généralement à une heure, une heure et demie de chez moi, grand max, qui est très rentable par le prix d'achat et qui est très abordable par le prix de loyer, par exemple, de la location, et qui est très abordable par le prix d'achat, mais qui sera dur à revendre, j'achète ça. Mais pour faire la balance, je vais équilibrer avec un bien. Par exemple, j'habite en banlieue parisienne. Je vais me rapprocher au maximum de Paris avec un bien qui n'est pas rentable, mais qui est patrimonial, qui sera toujours rentable à la revente. Pourquoi je fais ça ? C'est parce que dans une société, l'objectif, c'est d'avoir un bien crash de l'oseille et un autre bien qui, lui, sera toujours là si j'ai besoin de fonds ultra liquide. Et le patrimonial ? C'est ce qui vous fera vivre. Une fois que tout sera payé, c'est le patrimonial qui vous fera vivre. L'autre, il ne faut pas avoir le côté peu liquide. Parce que le bien qui est peu liquide, en fait, il faudra le revendre qu'à une seule personne qui voudra faire la même stratégie que vous. Donc, c'est très compliqué de le revendre. Mais le bien patrimonial, lui, grâce au bien qui génère du cash flow, sera ultra rentable. Et cet équilibre-là dans une société, toujours un bien qui est peu liquide, mais qui crache du cash flow, et un bien qui est très liquide, mais qui lui n'a pas de cash flow, voire juste à l'autofinancement. Et les deux balancent. Voilà une petite stratégie. Une fois que vous avez plusieurs SEI comme ça, là on peut se dire, ok, on peut peut-être éventuellement déménager. Parce que, je vous le rappelle, pour moi, tant que vous n'avez pas entre 5000, c'est la limite. pour pouvoir commencer à se dire, OK, on quitte notre job. 5 000, c'est la limite. Parce que je vous le rappelle, en cas de travaux, en cas de choses, etc., dès que vous avez 5 000 balles, les 5 000 balles, ils vont fondre. Donc, par exemple, une toiture, une toiture, vous êtes très vite à des crédits qui sont importants. Si vous n'avez pas de réseau de côté qui puisse faire la balance, on va tout de suite taper dans vos revenus. Donc, voilà. Alors, mon ICO n'est toujours pas revenu. On est à 33 minutes de podcast, donc je vous rappelle, les destinations qu'on a évoquées étaient Panama pour moi, parce que je trouve qu'en fait le climat et la fiscalité y est top. Après, est-ce que j'irais, ça c'est un autre débat, mais je l'étudie depuis un certain temps. Madère pour moi aussi, parce qu'en fait je suis très proche de la France et que Madère, je connais bien et que j'adore cette île. Maintenant, le côté touristique de Madère me pose un problème parce que si vous avez été récemment dans ces îles comme en Corse, la circulation avec les touristes qui ne respectent rien peut poser problème. Mais par contre, en fait, Yves, c'est le top parce qu'en hors saison, c'est vraiment juste le kiff. Et quand vous habitez sur place, comme à La Réunion, j'ai de la famille à La Réunion, vous avez quand même certains avantages fiscaux qui peuvent être... qui ne peuvent justement pas être mis de côté. Après, pour Nico, c'était apparemment Malte, d'après ce que j'ai cru comprendre, Malte, et également l'Espagne, sachant que l'Espagne, il connaît très bien. Moi, le Portugal, franchement, il y a des villes au nord du Portugal, mais ça reste l'Europe. Le problème, c'est qu'à voir si oui ou non, comment évolue l'Europe. Aujourd'hui, si les pays avaient vraiment leur souveraineté, moi, je dirais on reste en Europe. En France, je vous dis. Aujourd'hui, si vous avez tout en société, même si vous gagnez de l'argent, il y a moyen de... Ah bah Nico, il est revenu ! 34 minutes, cher ami ! Quasiment 10 minutes tout seul ! Tu m'as abandonné !

  • Speaker #1

    Tu sais que... Non, non, mais je te voyais en plus, je t'écoutais, je te voyais et je parlais, mais bon, c'est pas grave. Des fois, ça peut arriver. T'as bien géré mon midi, comme d'habitude. Donc voilà, pour clôturer ce podcast, tout dépend un peu de ce que vous avez envie de faire, si vous voulez rester en France ou pas, à l'étranger. Tout dépend, après, comme vous avez dit Mehdi, de ce que vous avez en fonds propres, parce qu'il faut quand même partir avec un peu de cash et des rentrées assez conséquentes. Après, si vous avez des business, tant mieux, ça tombe tout seul. Mais après, ça vous appartient de partir soit pour du business, soit pour vivre tranquillement. et puis... changer d'air et puis aller dans une culture un peu différente. Donc ça, c'est propre à chacun. Moi, je sais que l'Espagne, ça me tente. S'il faut partir de l'Europe, bonne question. États-Unis, Canada, le reste, je ne sais pas trop. Peut-être l'île Maurice, les Émirats, à voir. Tout dépend après en fonction de ce qu'on a en termes de... de monnaie, de business. Donc ça, c'est propre à chacun. Et puis, notre ami Mehdi, ça sera sans doute peut-être le Canada, le Panama. Ou rester en France, tout dépend après de comment ça se passe. Et de l'évolution de notre cher pays français. Donc voilà. Donc voilà, on a fait un petit tour là-dessus. J'espère que ça a pu vous aiguiller, puis vous permettre de réfléchir un peu à ce que vous pourriez faire. où vous pourriez aller pour partir de la France. Donc, voilà, si vous avez besoin, n'hésitez pas à écouter les podcasts précédents où on parle des autres pays. Ils sont plutôt sympas pour y vivre, c'est pas mal. Portugal, c'est très bien. L'Espagne, c'est bien. L'Italie, pareil, c'est sympa. C'est à côté de la France, c'est accessible, c'est sécure, tout ce qui est hôpitaux, c'est nickel. L'investissement, c'est pas mal. Dubaï, après, toi encore, c'est un autre step. Je dirais que Dubaï, c'est un autre step. Si vous avez du business ou autre, donc à voir. Écoutez, merci à tous. J'espère que vous avez passé un beau moment. On se dit à la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Bonne journée, bonne soirée. Bye bye. On se casse ? Eh bien nickel, moi je me casse.

Description


Expatriation, investissement, France, Panama, Espagne, sécurité, entrepreneuriat, fiscalité, opportunités, culture


SOMMAIRE

Dans cet épisode, les animateurs discutent des différentes destinations d'expatriation, des avantages et inconvénients de vivre à l'étranger, et de la situation actuelle de la France. Ils explorent des pays comme le Panama, l'Espagne et l'Italie, tout en abordant les défis de l'entrepreneuriat et les opportunités d'investissement. La conversation met en lumière l'importance de la famille, de la sécurité et des choix fiscaux dans le processus de déménagement.


La France est en déclin, mais elle reste un pays riche en culture.

Le Panama offre des avantages fiscaux intéressants.

L'Italie est souvent perçue comme un pays de classe.

La famille peut être un frein à l'expatriation.

Il est essentiel de garder un équilibre entre le positif et le négatif.

Les États-Unis peuvent offrir des opportunités d'affaires.

La création d'entreprise en France est complexe en raison des charges.

Investir dans des biens patrimoniaux est une stratégie efficace.

Les destinations d'expatriation doivent être choisies en fonction des besoins personnels.

Il est important de ne pas avoir de dettes pour se sentir libre.

Expatriation : Où aller et pourquoi ?

La France face à l'expatriation


"Il faut garder le côté positif."

"Il faut garder espoir."

"Les États-Unis, c'est dangereux."


Chapitres


00:00 Introduction et retour sur les podcasts précédents

03:04 Explorer les destinations d'expatriation

05:51 Les avantages et inconvénients de vivre à l'étranger

08:53 La France : un pays en déclin ?

11:54 Les opportunités d'investissement en France et à l'étranger

14:38 Les défis de l'entrepreneuriat en France

17:48 Les destinations alternatives : Afrique, Amérique, et au-delà

20:44 Stratégies d'investissement et création de richesse

23:57 Conclusion et réflexions finales



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    1 billion, 2 billion, 3 billion. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue sur le podcast RISK d'Expérience. Je suis avec mon acolyte Mehdi. Comment tu vas mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    On a fait des nouveaux tests de micro. 1 million, 2 million, 3 million. Comme Warren Buffett.

  • Speaker #0

    Et ça fonctionne et vous allez kiffer. Aujourd'hui, nouveau podcast. Donc on est là avec Mehdi tous les deux. On va parler un peu d'exotisme. On va aller un petit peu... naviguer dans d'autres pays, on va vous expliquer ça. Mais avant ça, petit retour sur les podcasts précédents. Donc le thème de l'été, c'était partir à l'aventure dans différents pays pour savoir où est-ce qu'on pourrait investir, si ça valait le coup dans différents pays. On a fait le Portugal, on a fait l'Espagne, on a fait Dubaï qui a cartonné. Merci à Dimitri, mais merci aussi à tout le monde de nous avoir fait découvrir les différents pays. La semaine dernière, on était en Italie à maquer les pastas. Moi, j'adore les pastas. Et toi, mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    La nourriture italienne, je pense qu'on est the best of the best. Avec le Portugal, l'Espagne aussi, mais c'est vrai que coup de cœur à l'Italie.

  • Speaker #0

    En fait, partout. Non,

  • Speaker #1

    mais l'Italie, mec, pas de bolo. L'Italie, on est au-dessus. tiramisu

  • Speaker #0

    Les classes italiennes,

  • Speaker #1

    la classe italienne, tu ne peux pas lutter. Quand on parle de style, tout de suite, on pense à l'Italie. Pour tout ça, Lou, encore merci. Chaque podcast avait présenté ses différents avantages et inconvénients. Le Portugal a explosé et tout. L'Espagne a explosé. Après, en fonction des profils, vous avez trouvé... Moi, je sais que j'ai mes... ... Voilà, j'ai mes préférences, comme toi, tu as des préférences. Et là, aujourd'hui, dans ce podcast-là, clairement, où on est capable d'aller habiter pour déménager de France. Voilà, clairement, voilà. N'ayons pas peur des mots.

  • Speaker #0

    Exactement, c'est vrai que moi, j'y ai pensé un certain temps, il y a quelques années en arrière, à partir d'ici, puis aller habiter en Espagne. Bon, ça, c'est pas fait. Mais si un jour, on devait partir, c'est vrai que, voilà... On va un peu décrire tout à nos auditeurs. Où est-ce qu'on irait habiter et pour quelles raisons ? Pourquoi tel pays et pas un autre ? C'est vrai qu'il y a différents pays. Rester en Europe ou partir en dehors de l'Europe, après ça, ça va être propre à chacun. Parce qu'en fonction de ce que vous voulez, de vos business ou de votre attache ici en France, tout va dépendre d'où vous voulez partir. Après, c'est vrai que nous, on a quelques penchants pour certains pays. Donc, on va vous expliquer un petit peu tout ça. Pourquoi on irait dans tel ou tel pays pour vivre ? Toi, tu partirais où, mon Mehdi, toi ?

  • Speaker #1

    Écoute, le problème, c'est que... Et le problème de tous, quasiment, ce sera la famille. La famille, bon, ben voilà, si ta base, elle est en France, c'est vrai que psychologiquement, partir loin... Moi, il ne me reste que ma maman en France. Et après, le reste de ma famille, je ne m'entends pas trop. Donc, je n'ai plus ce problème-là. Et mon épouse, pareil, elle a sa maman. Et après, on n'a plus ce problème-là. Je pense, et ça, c'est ma conviction personnelle, je pense que l'Europe est morte. Et tu vois, pendant longtemps, j'ai voulu déménager à Madère. Madère, il y a des petits avantages fiscaux qui sont vraiment super intéressants. Le problème, c'est que comme c'est insulaire, comme c'est une île, le tourisme... ça commence à devenir un peu trop. Donc là, j'y retourne au mois d'octobre pour voir comment ça se passe. Mais il y a un autre pays, il y a un autre pays qui m'attire fort. Et ça, franchement, ça n'a rien à voir, on n'en a jamais parlé, c'est le Panama. Le Panama, avantages fiscaux, un climat de fou et tout à faire. Au niveau sécurité, le Panama, on est parmi les meilleurs du monde. Et pourtant, Amérique latine, etc. Je n'en ai jamais parlé. Et j'ai commencé à m'intéresser au Panama quand j'ai investi dans de l'immobilier tokenisé via Realty. Realty, c'est une société, je n'en fais pas la promo. Et franchement, je ne suis pas forcément super content. Donc voilà, j'avais acheté de l'immobilier aux Etats-Unis, tokenisé de l'immobilier qui avait été fractionné en crypto-monnaie. Et après, j'ai acheté de l'immobilier. au Panama, il y a toujours eux. Faites ce que vous voulez, moi je vous le conseille pas et je ne vous le déconseille pas non plus. J'ai fait une aparté, c'était juste pour expliquer pourquoi je connaissais Panama. Franchement, Allez-vous rencarder sur le Panama, c'est une tuerie. On dirait Dubaï, mais en moins, n'ayons pas peur des mots, en moins rebeu, il n'y a pas de religion. La religion, c'est autre chose. Donc ceux qui sont réfractaires à Dubaï, pensez Panama.

  • Speaker #0

    Mais dis-moi, le Panama, ce n'est pas ce pays-là où le nouveau président a arrêté tous les gants, non ? C'est dans ce pays-là ou c'est dans un autre pays ?

  • Speaker #1

    C'était pas le Venezuela C'était pas le Costa Rica toi ? Avec les Boukele

  • Speaker #0

    Je sais plus quel pays c'est Il a arrêté tous les gangs Il les a emprisonnés dans des prisons

  • Speaker #1

    C'est le Salvador

  • Speaker #0

    Le Salvador Non j'irai jamais là-bas C'était pour savoir Je sais que le Panama Je connais pas Je peux pas détailler là-dessus Il y a aussi le Costa Rica qui cartonne apparemment Merci.

  • Speaker #1

    Après, toute cette région-là, je ne sais pas si tu as déjà voyagé là-bas. Moi, j'ai fait un peu l'Amérique latine. C'est magnifique. C'est magnifique. Par contre, côté sécurité, on critique la France pour le point de vue sécurité. L'Amérique du Sud, ils sont en train de rattraper leur retard. Mais voilà, ce n'est vraiment pas sécuritaire.

  • Speaker #0

    Moi, je n'ai pas fait l'Amérique. J'ai fait la République dominicaine à l'époque, il y a 20 ans. Il y a 20 ans, t'imagines.

  • Speaker #1

    Après, juste pour situer la République d'Homme, c'est une île, elle est séparée en deux. Il y a d'un côté Haïti et de l'autre côté la Repdom. Donc oui, l'instabilité haïtienne, elle est en Repdom. En fait,

  • Speaker #0

    il y a 20 ans, tu vois, j'en avais 24, 23, 24. Et quand on est parti, on était une bande de potes, on était au nord de l'île. Et en fait, les autorités et surtout le complexe, en fait, c'était... C'était un gros complexe hôtelier, mais vraiment sécurisé, qui regroupait 4-5 hôtels. Donc tu vois un peu la bête, tu vois. Tu avais plein d'hôtels avec un golf et tout, et tout était regroupé, mais tout sécurisé. En fait, tu pouvais rester à l'intérieur de ce complexe-là sans sortir. Et ils nous préconisaient de ne pas sortir parce que c'était dangereux à l'extérieur. Bon, tu vois, à nous, t'as beau nous dire ça, on sortait quand même. Mais c'est vrai qu'à l'époque, c'était un peu dangereux. Il fallait faire très attention. Il fallait faire très attention. Nous, on s'est un peu mélangé aux locaux. Mais voilà, il fallait garder les yeux ouverts. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Oui, tu m'étonnes.

  • Speaker #0

    Mais là, il y a 20 ans, la Repdom, ça a changé. Ça a changé. Il y a beaucoup de Français qui s'y sont installés. Après, voilà, Tahiti qui est à côté. Le pays se développe grâce au tourisme. Mais ce n'est pas non plus... Voilà, ce n'est pas comme en Europe. Ça n'a rien à voir. Après, je ne peux pas trop en parler parce que je ne connais pas tout ce qui est au niveau médical. Je pense qu'il doit y avoir des hôpitaux privés. C'est vrai que ça se fait beaucoup dans les pays, tout ce qui est Asie, Amérique latine, même aux Etats-Unis.

  • Speaker #1

    Même Afrique, maintenant.

  • Speaker #0

    Voilà, donc beaucoup d'hôpitaux privés. Tu payes et puis tu as accès aux soins. Mais c'était pas mal, c'était pas mal, mais je ne peux pas trop développer, je ne connais pas trop. Au Panama, je vais me renseigner. Tiens, tu m'as mis un petit truc dans la tête.

  • Speaker #1

    Parler, parce que ça, en fait, il ne faut pas trop en parler pour ne pas être découragé. Parce que la famille a les petits intents mindset, mais la famille sera toujours là pour te décourager parce qu'elle veut ta sécurité. Donc, garde les idées pour toi. Étudie ton projet. Et voilà. Moi, par contre, tu vois, c'est des choses. En fait, il faut toujours apporter le côté positif pour minimiser le côté négatif. Parce qu'il y a toujours un côté négatif. on sort de son confort, on quitte la France et en fait, on recommence tout. Alors par contre, attention, il y a les destinations où on part pour aussi travailler et la destination où on part en étant rentier. Ça, voilà. Ça,

  • Speaker #0

    c'est encore autre chose.

  • Speaker #1

    Mais c'est quelque chose qu'il faut prendre en compte.

  • Speaker #0

    Exactement. Moi, tu vois, je suis très attaché à elle et j'aime beaucoup la France. Pourquoi ? Parce qu'en France, on a tous les paysages, toutes les cultures. au niveau de la gastronomie on est un des pays au niveau gastronomique où c'est le top du top et puis c'est surtout que t'as tous les climats tu vois ce que je veux dire ? t'as la montagne d'un côté, t'as la mer t'as l'océan, t'as au nord si t'aimes la pluie, si t'aimes le froid bah tu vas au nord, tu vois ce que je veux dire ? donc t'as différentes régions avec différents climats et moi je suis attaché à la France j'aime beaucoup la France mais je pense qu'on est dans le déclin Alors, je n'ai pas envie de faire peur à tout le monde, mais je pense que la France est en déclin assez sévère et je pense qu'on n'est pas prêt de remonter, si ce n'est que ça va se détériorer d'année en année. On voit comment ça se dégoupille, enfin ça se goupille là, avec tout ce qui est politique, toutes les taxes ou autre. Je ne vois pas trop d'éclaircies. Donc voilà, c'est vrai qu'avec Mehdi, on fait nos affaires. Je pense que voilà, maintenant, c'est de l'individualisme. On reste individuel, on pense à nos gueules. C'est vraiment le mot, je pense qu'on en est arrivé là. On fait nos trucs, on fait nos business, on fait nos argents. Et puis, un jour, on partira parce que le climat en France se détériore énormément. Malgré que j'aime beaucoup, j'adore la France.

  • Speaker #1

    Après, il faut quand même avouer que la France... Alors, je vais parler du côté sécuritaire. On n'est pas tous égaux. Tu prends, regarde, en Ile-de-France, tu as des coins qui sont ultra-sécurs et d'autres coins qui sont ghettos. Mais en France, tu peux aller dans des endroits quand tu as de l'argent. Tu peux aller dans des endroits qui sont ultra-sécurs. Tu n'as pas de... Je suis désolé. Quand tu habites dans certaines régions, bon, ben voilà. Tu te fais plaisir dans certaines régions, tu es tranquille.

  • Speaker #0

    Ah ben, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #1

    Tu vois, voilà. Tu n'as pas de... Moi, je sais que... Bon, voilà, je connais très bien le Pays-Bas. Je connais aussi bien tout ce qui est Ariège, etc. Ils n'ont pas les mêmes problèmes que tu vas trouver dans les grosses métropoles. Donc, il y a aussi... une juste mesure. Après, par rapport à tout ce qui est fiscalité, etc., une fois que tu es en société, tu peux quand même faire pas mal de choses quand tu es en société, tu vois. Donc, pour avoir moins l'impact sur l'individu, moins l'impact sur la personne physique. Donc, après, il faut aussi arrêter de se mettre la pression par rapport à tout ce qu'on peut entendre sur CNews, BFM, etc., parce que notre opinion... Elle est orientée pour qu'on aille vers là où on veut nous envoyer. Après, oui, il y a de l'immigration. Après, oui, il y a ceci, oui, cela. Il ne faut pas oublier que la France, c'est quand même un top pays. Et que ce pays-là, en fait, il y a juste à déplacer les populations. Donc, se déplacer pour aller dans des endroits où vraiment on peut retrouver la qualité, comme on le dit, la qualité française. Après, le pays n'est pas mort. C'est juste que là, on a une transition qui n'est pas forcément plaisante.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord, le pays de paix à mort. C'est pour ça que moi, je pense que je vais…

  • Speaker #1

    Comment ? Il faut garder espoir.

  • Speaker #0

    Il faut garder espoir. Après, comme tu dis, il ne faut pas tout mettre dans le même panier. Après, en France, on peut faire de l'argent, il n'y a pas de problème. On peut créer du business. Les banques nous aident, on a beaucoup d'aide. Donc ça, il n'y a pas de souci. C'est juste, voilà, il y a un juste milieu. et quand ça va trop vite. trop loin, je ne suis pas seul à le dire, des fois c'est un peu compliqué. Je suis d'accord avec toi. C'est d'un côté professionnel, je parle.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord avec toi sur le côté personne physique. Maintenant, personne morale en société, je ne sais pas trop, mais je pense qu'en Europe, après avoir étudié le truc, en Europe, la France pour les sociétés, je parle. Alors, je ne parle pas de tout ce qui est imposition sur le salarié. Là, on est vraiment sur autre chose. Je te parle vraiment de tout ce qui est investissement, tout ce qui est un système vraiment pyramidal avec une holding, etc. Franchement, on est bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    C'est vraiment bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    Tu peux vraiment payer le moins d'impôts possible. C'est d'ailleurs pour ça que certains gros groupes restent en France. Et ça, il ne faut pas oublier de le dire. Cette semaine, il y a eu une enquête parlementaire. Je t'en ai parlé, je crois. Il y a une grosse société du 440 en France qui a touché en 2022-2023 plusieurs milliards d'euros d'aide. Cette société, elle n'en avait pas forcément besoin. Et en fait, dans la commission parlementaire, on demande au patron de sa société pourquoi, bizarrement, les dividendes qu'elle a versés à ses actionnaires, à quelques centimes près ou quelques euros près, représentent le montant de l'aide. Et là, tu as le patron qui dit, mais il dit au calme. Il dit, bon, ben voilà, si vous voulez qu'on vous les rembourse, on vous les rembourse. Concrètement, ce qui s'est passé, et je ne vais pas donner la société, mais enfin aussi, je peux même la donner, c'est Carrefour. Carrefour, en fait, en 2023, ils ont versé à leurs actionnaires, on va dire une connerie, tu vois, on va dire 20 milliards d'euros de dividendes. OK, et ben, ces dividendes-là, ils représentent exactement l'aide que l'État a donnée un an avant. Tout ça pour dire quoi ? juste pour dire que est-ce que Carrefour, qui représente plusieurs milliers d'emplois en France et dans le monde, est rentable ? Là, on a clairement vu qu'elle n'était pas rentable, parce que sinon, elle n'aurait jamais versé le montant de ses aides aux actionnaires pour leur faire croire. En fait, tout ça, c'est pour montrer que notre argent, il se tourne. Donc concrètement, qu'est-ce que je veux dire ? Je veux dire, investissez sur les bons chevaux. Et c'est bon chevaux, quand vous payez les impôts, ça va vous revenir.

  • Speaker #0

    Exactement, exactement. Donc voilà, pour en revenir...

  • Speaker #1

    J'ai cassé l'ambiance là.

  • Speaker #0

    Non, non, non, mais là on s'écarte un petit peu du sujet. Mais non,

  • Speaker #1

    c'est juste pour dire que la France, c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    Non, c'est pour ça que je reviens à dire que la France, il y a ses avantages et ses inconvénients. C'est pour ça que moi, je pense que je garderais quelque chose ici. C'est même sûr, parce qu'il y a de la famille, puis j'ai une attache au pays qui est bien. Après, partir en dehors de l'Europe,

  • Speaker #1

    je… Pour la monnaie, t'es obligé.

  • Speaker #0

    Oui, pour la monnaie, mais où, moi, à l'heure actuelle, je serais incapable de te dire où je pourrais aller. À l'heure actuelle, en dehors de l'Europe. Je ne sais pas. Franchement, il y a l'île Maurice, pourquoi pas, pour ses avantages fiscaux, bien sûr. Et puis le climat, on sait tous que l'Immobus...

  • Speaker #1

    Au côté insulaire, les îles, c'est particulier.

  • Speaker #0

    C'est pour ça, il pourrait être peut-être là-bas. Dubaï, je ne sais pas. Je ne connais pas, donc je ne peux pas dire.

  • Speaker #1

    Ils vivent tout le temps.

  • Speaker #0

    Ils vivent tout le temps parce qu'il fait trop chaud.

  • Speaker #1

    Non, mais même n'ayons pas peur. Après, c'est une religion qui est différente. C'est OK, on est en France. Certains se plaignent de la... On va dire, rentrons dans les... certains se plaignent de l'islam, etc. Là-bas, tu vis dans un pays où tu entends cinq fois par jour l'appel à la prière.

  • Speaker #0

    Ça ne me dérangerait pas.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, par exemple, moi au Maroc, alors que j'ai des biens au Maroc, je sais que mon épouse, elle, ça peut la déranger. Elle n'a rien du tout à ma tête. Mais aller vivre dans un pays musulman, ça peut représenter pour certaines une gêne. Mais pas forcément aller en vacances, il y a d'autres soucis, mais y vivre, c'est autre chose. Moi, je mets les pieds dans le plat, parce que concrètement, il y a beaucoup de gens qui ne se rendent pas compte. Aller vivre dans un pays où, comme en France, tu as toujours été open, tu peux parler de tout, là, tu parles dans des pays où, en fait, un peu peut-être comme l'Asie, certains pays, en fait, il y a des restrictions. Tu ne peux pas parler de tout. Il y a des choses que tu ne peux pas les dire. Donc ça, c'est aussi à en prendre en compte. Et moi, je n'ai pas honte de le dire.

  • Speaker #0

    Après, tu changes de pays, tu t'adaptes au pays, ce qui est normal. Moi, ça ne me dérange pas. là si je devais partir concrètement Moi, ce serait en Espagne. Vous savez très bien que j'ai une attache à l'Espagne qui est assez énorme. Donc, je partirai, je pense, en Espagne. Mais on reste encore en Europe. Voilà. On reste encore en Europe. Et en dehors de l'Europe, je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je ne me suis jamais posé la question. C'est vrai que c'est difficile à se dire de sortir de l'Europe, mais pour aller où ?

  • Speaker #1

    Tu sais, il y a des coins de l'Afrique. qui sont blindés, et on n'en parle pas, ils sont blindés et tu as des vues exceptionnelles. Je parle surtout de l'Afrique anglophone, donc toute la deuxième partie de l'Afrique, pardon, la partie sud de l'Afrique. Certes, ce n'est pas forcément courant d'en parler, mais moi je sais que la Namibie c'est une tuerie. Alors, il... enfin... Il faut mesurer mes propos. Mais tu vois, toute la partie sud de l'Afrique, à étudier. Je ne me lance pas là-dedans, mais juste à étudier et observer.

  • Speaker #0

    Après, en dehors de l'Afrique, alors que je ne connais pas, il y a l'Afrique du Sud. Encore ça, il faut étudier.

  • Speaker #1

    C'est dangereux.

  • Speaker #0

    Je sais que c'est dangereux. Après, tu as les États-Unis.

  • Speaker #1

    Pourquoi pas ?

  • Speaker #0

    Les États-Unis. Si tu veux faire du business et tu veux être chill, tu peux faire les deux là-bas. Les États-Unis.

  • Speaker #1

    Moi, j'avais étudié le département ou la région d'Alberta. C'est au Canada. C'est limite frontière américaine, côté au-dessus du Montana, au-dessus…

  • Speaker #0

    C'est Seattle, non ?

  • Speaker #1

    Oui, Seattle, c'est vraiment côté…

  • Speaker #0

    C'est côté ouest.

  • Speaker #1

    C'est côté ouest. Moi, c'est vraiment un peu plus… C'est toujours sur le côté ouest, mais central, sachant que d'un côté à l'autre, de San Francisco à… New York, il y a quand même, je crois, 4000 ou 5000 kilomètres. Donc, tu vois, c'est énorme, c'est immense. Donc, c'est vraiment, tu prends la partie centrale des États-Unis, plus vers le côté ouest, et c'est à la frontière entre le Canada et les États-Unis. Canada, parce que, en fait, moi, je suis plus en phase avec l'idée canadienne plutôt que l'idée américaine, mais après, c'est les convictions perso. Et cette région-là, je vous invite à aller voir la région Alberta au Canada. vous allez en prendre plein la vue c'est une tuerie,

  • Speaker #0

    il n'y a pas d'autre mot je ne connais pas moi tu sais j'ai eu une locataire qui est restée longtemps ici une américaine de Seattle Et Seattle, tu sais, c'est tout à l'ouest, en Ausha gauche des États-Unis. En fait, tu n'es pas loin du Canada et tu as une chaîne de montagne qui est entre les deux. Et m'expliquer que le climat était un peu comme ici, un peu comme en France. Tu as la mer. Bon, la mer n'est pas très chaude non plus, mais tu as la mer, tu as la montagne et tu n'es pas loin du Canada. Et après, tu es dans une grosse ville. Bon, Seattle, c'est quand même assez énorme. Tu as Amazon, tu as des gros groupes là-bas. c'est pas c'est pas mal, il fait bon vivre aussi. Donc, pourquoi pas les Etats-Unis ? Après, moi, si je devais aller aux Etats-Unis, c'est pour créer du business. C'est pour du business, pas pour vivre la rente ou autre. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Tu vois, tout à l'heure, on était en train de... Je t'ai évoqué deux cas. Le cas où tu es rentier et tu pars, et le cas où tu dois aller bosser. Où tu dois partir de France et tu dois aller bosser. Eh bien, le Canada, c'est une... Ou les Etats-Unis, c'est une destination où tu peux partir bosser. Tu peux changer de vie, mais pour partir bosser. Il n'y a pas de honte à bosser. Il n'y a pas de honte à se dire, OK, je quitte tout et je recommence tout. Au contraire, c'est là que mentalement, tu te montres à toi que tu n'es pas un bon à rien, que tu es capable d'eux. Et les États-Unis, si tu es un charbonneur, si tu acceptes de faire des horaires et d'être déterminé, mais tu vas faire fortune, c'est obligé. Tout comme le Canada.

  • Speaker #0

    De toute manière, si tu fais la même chose en France, si tu es un bosseur et que tu ne lâches rien, Tu fais déjà ça en France. Ce n'est pas pareil. Mais si tu as cette conviction et si tu as ce mindset-là, là-bas, ça va être décuplé. Parce que tu as la culture là-bas.

  • Speaker #1

    La France, c'est bon pour tout ce qui est investissement. Dès que tu commences à créer un business, le problème, c'est que si tu as un business et que tu dois payer des charges salariales, tu es mort dans le film. Parce que pour donner un ordre d'idée, 2 000 euros de salaire, tu as la même chose. en charge. C'est-à-dire qu'il faut que tu génères 4000 euros et tu n'as même pas créé de la richesse. Tu as juste généré 4000 euros juste pour payer quelqu'un qui va travailler pour toi. 4000 euros, mec. Je fais ça à l'année et tu as capté ? Tu as 4000 euros juste pour payer un salarié. Tu n'as rien fait. Tu as juste un salarié. Donc imagine, tu multiplies. Il faut que ton activité ait un truc. On reprend la même chose au Canada. Parce que ça, je le sais. On reprend la même chose au Canada. Tu prends quelqu'un, tu vas le payer 2 000 dollars. 2 000 dollars. À la fin, écoute, les 2 000 dollars, ça provient à 5 000 dollars.

  • Speaker #0

    Tu vois,

  • Speaker #1

    tu as 18 000 dollars de diff. 18 000 dollars, c'est ton bénéfice.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est énorme. Donc, en fait, après, tu vois, tout ça, franchement, au bout d'un moment, tu vois, si tu veux créer un business, si tu veux vraiment vivre d'un business, quand je dis créer un business, c'est avec des salariés. C'est pas, voilà, on n'investit pas. Quand on investit, il n'y a pas de salariés. Tu peux investir dans une boîte, mais en fait, toi, tu es un investisseur. Tu n'es pas un chef d'entreprise. Aide-moi parce que là, je pars dans mes trucs. Mais bon, dans l'idée, c'est ça. C'est avoir un business sans salariés. Aux États-Unis, tu peux te permettre d'avoir des salariés parce que déjà, tu as moins de contraintes au niveau. Si tu dois malheureusement te séparer d'un collaborateur, tu peux te séparer d'un collaborateur. Il n'y a pas de prud'homme, il n'y a pas de machin, il n'y a pas de site.

  • Speaker #0

    C'est complètement différent.

  • Speaker #1

    Et les gens, comme ils savent qu'ils ont besoin de taffer, ils sont... Ils ont un autre état d'esprit, tout est basé sur le service. Ici, tu vas prendre un gars, tu vas lui expliquer c'est quoi sa fiche de poste. Le mec, deux mois après, tu reviens, il va te dire pourquoi je dois faire ça. Mais mec, c'était dans ta fiche de poste de base. Moi aujourd'hui, je manage des gens, je suis là à leur expliquer ce qu'ils ont signé. Mais je me dis, mais mec, tu n'as pas compris en fait, c'est ton travail, t'es payé pour ça. Ouais, mais non, mais en fait non. Bah mec, voilà, et ça tu te le traînes. Et tu vois, t'as quelqu'un qui est moins productif. Tu lui expliques, tu lui expliques, mais en fait, c'est de la perte de temps. Aux États-Unis, aux States, il n'y a pas de ça. C'est tu ne fais pas l'affaire next. Et du coup, ça motive, ça crée de la productivité chez les gens. Et de la précarité, certes, mais ça crée de la... En fait, les gens, ils n'ont pas le choix. Et ça, cet état d'esprit-là pour partir bosser, pour partir créer un business, comme il dit Nico, c'est le top.

  • Speaker #0

    Ah mais carrément. Et moi, tu vois, j'avais étudié tout ce qui était création de sociétés en Espagne, en Catalogne. et en fait, pareil, tu as des avantages, ça n'a rien à voir avec la France. Donc, tu ne payes pas les mêmes charges, en fonction des régions, ce n'est pas les mêmes charges, tu vois. Tu n'es pas ponctionné pareil au niveau des impôts, et c'est plus avantageux. Moi, j'avais vu pour les sociétés, c'était plus avantageux, parce que je voulais ouvrir un business là-bas, et je me suis dit, putain, mais ça n'a rien à voir, ça n'a rien à voir. Donc après, voilà, il faut étudier en fonction de... Si c'est pour être à la cool, et puis pouvoir vivre tranquillement, et tu as des biens déjà en France. où tu as un business qui tourne, parce que tu peux avoir un business en France et habiter à l'étranger. C'est tout à fait possible. Tous tes revenus qui sont générés en France seront payés en France, quoi qu'il arrive, même si tu habites à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu as vu les taxes qu'ils ont mis là ? Mais vraiment, ils font pitié.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas fini, ce n'est pas fini.

  • Speaker #1

    La taxe pour déménager à l'étranger.

  • Speaker #0

    5 000 euros. C'est 2 000 euros de plus.

  • Speaker #1

    Franchement, le mec qui a de la thune, 5 000 euros.

  • Speaker #0

    Il n'en a rien à foutre.

  • Speaker #1

    C'est plus pour essayer de limiter les départs de masse des classes moyennes qui se font malheureusement éclater et qui, elles, n'ont pas trop le choix et pour qui 5 000 euros, ça peut représenter une somme. Alors,

  • Speaker #0

    c'est 5 000 euros si tu... Si tu abandonnes tout en France, c'est-à-dire que tu n'as plus rien, tu ne reviens pas.

  • Speaker #1

    Tu ne reviens pas. Tu ne reviens pas. Tu peux rester en France.

  • Speaker #0

    Si tu fais tous les six mois un bien et que tu as une résidence secondaire à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu peux esquiver. Mais en fait, le but, c'est quoi ? C'est de se barrer définitivement. Donc, 5 000 euros, est-ce que tu crois vraiment que ça peut être un frein pour quelqu'un qui est déter ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que c'est galère.

  • Speaker #1

    L'État qui fixe ça, c'est qu'il est en galère. Il est en PLS. Il met 5 000 euros pour dire, OK, tu pars, tu te mets 5 000. Juste pour savoir qu'à un moment, je regardais Miami pour habiter à Miami. Il fallait que j'ai 80 000 euros que j'investisse sur une boîte là-bas. Et j'avais l'équivalent d'un visa de 5 ans. Alors, je ne sais plus si c'est de ça, mais c'était pour avoir la green card, etc. Il fallait que tu mettes 80 000 dans une boîte. Dans d'autres régions des States, notamment le Texas et une région qui était riche, c'était dans le nord, il fallait mettre, je crois que c'était 200 000 dollars. Tu mettais 200 000 dollars et tu avais la green card.

  • Speaker #0

    Oui, mais après, tu as différents pays comme ça. Tu sais, tu as la Crète. Tu vois la Crète. Pas la Crète, excuse-moi. Comment il s'appelle le pays ? Malte. Tu vois Malte ? Je ne t'entends plus.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est normal. C'est parce que j'ai encore pas isolé nickel mon studio et j'ai un avion qui est passé juste au-dessus parce que j'ai un aérodrome juste à côté. Donc, c'est le problème de Rich.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je te disais. À Malte...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, il vient de Malte. Il a pris son Boeing, son jet privé.

  • Speaker #0

    À Malte, tu as des avantages fiscaux, mais tu es obligé de poser un certain montant pour pouvoir être résident et à voir les avantages fiscaux. avec Malte, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça c'est pareil, t'as beaucoup de pays comme ça. T'es obligé de poser sur des biens pour avoir différents... soit pour avoir le passeport, soit pour avoir la possibilité d'y habiter ou autre, tu vois ce que je veux dire ? Donc t'as différents pays. En France, non, y'a pas ça, tu vois. Mais tu vas dans différents pays, y'a ça. Tu vois, comme à Dubaï, comme on expliquait avec Dimitri, il faut poser autant d'argent pour avoir le visa, la Golden Visa, enfin tu vois, plein de... Plein de différents montants pour pouvoir y habiter, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça, plein de pays le font, notamment

  • Speaker #1

    Malte. À un moment, on parlait de l'Estonie.

  • Speaker #0

    Je vous parlais de l'Estonie, non ?

  • Speaker #1

    Oui, justement, en fait, l'Estonie, c'est un des pays d'Europe où il y a le moins d'imposition. Et c'est pour ça qu'à une certaine période, toutes les entreprises, tous les influenceurs, etc., avant Dubaï, ils allaient tous en Estonie. Et ils mettaient leur holding, comme en Irlande, tu vois. Ils mettaient tout dans ces pays-là pour diminuer, en fait, tout ce qui était fiscal. Mais moi, je ne me vois pas du tout vivre en Estonie. Je ne dis pas, je dis juste que 15h ou 16h, il fait nuit.

  • Speaker #0

    Voilà. C'est plus la qualité de vie après. Mais c'est vrai que les pays de l'Est, c'est bien pour les vacances.

  • Speaker #1

    Bon, alors on continue, les amis. Nico, il a sûrement eu une petite perte de connexion. Donc voilà. Et ce qu'il faut savoir, c'est que vraiment, il ne faut pas avoir honte de se dire on peut déménager pour aller travailler ailleurs. Ça, c'est vraiment quelque chose, il faut en avoir conscience. Au même titre que celui qui a tous ces business-là. Alors attention, et moi franchement, je mets les pieds dans le plat. Quand vous avez du cash flow, que le crédit n'est pas terminé, il peut tout se passer. C'est-à-dire que quand vous avez du cash flow, le cash flow est éphémère. Même si vous avez des grosses sommes de cash flow, le cash flow est éphémère. Une fois que vous avez payé votre crédit, que ce soit votre locataire qui l'a payé ou vous, et que vous n'avez plus de crédit sur l'appartement ou sur l'immeuble ou sur la maison que vous avez, là, on peut parler vraiment de cash flow.

  • Speaker #0

    Parce que les charges sont mesurables et vous n'avez plus de dette. Donc au final, la force, c'est de ne plus avoir de dette. Même si en France, la force qu'on a par rapport aux autres pays, c'est de pouvoir lever de la dette par l'effet de levier des banques, par l'effet de crédit. Mais on est riche uniquement quand on n'a plus de crédit. Et ça, il faut vraiment l'intégrer parce que très peu de gens le disent sur Internet. Et aujourd'hui, moi, clairement, je vous le dis. Dans une SCI, ça c'est une stratégie que vous devez peut-être avoir. Dans une SCI, vous devez avoir un bien à cash flow et un bien patrimonial. Le bien à cash flow, il est là juste pour payer le bien patrimonial, faire une équivalence de balance. Le bien à cash flow, il va être galère à revendre, certes, mais il va permettre de créer une balance patrimoniale. C'est-à-dire, on va prendre un exemple concret. Si j'ai la possibilité d'acheter un bien, dans le sud de l'île de France, dans une région pas trop loin de chez moi, généralement à une heure, une heure et demie de chez moi, grand max, qui est très rentable par le prix d'achat et qui est très abordable par le prix de loyer, par exemple, de la location, et qui est très abordable par le prix d'achat, mais qui sera dur à revendre, j'achète ça. Mais pour faire la balance, je vais équilibrer avec un bien. Par exemple, j'habite en banlieue parisienne. Je vais me rapprocher au maximum de Paris avec un bien qui n'est pas rentable, mais qui est patrimonial, qui sera toujours rentable à la revente. Pourquoi je fais ça ? C'est parce que dans une société, l'objectif, c'est d'avoir un bien crash de l'oseille et un autre bien qui, lui, sera toujours là si j'ai besoin de fonds ultra liquide. Et le patrimonial ? C'est ce qui vous fera vivre. Une fois que tout sera payé, c'est le patrimonial qui vous fera vivre. L'autre, il ne faut pas avoir le côté peu liquide. Parce que le bien qui est peu liquide, en fait, il faudra le revendre qu'à une seule personne qui voudra faire la même stratégie que vous. Donc, c'est très compliqué de le revendre. Mais le bien patrimonial, lui, grâce au bien qui génère du cash flow, sera ultra rentable. Et cet équilibre-là dans une société, toujours un bien qui est peu liquide, mais qui crache du cash flow, et un bien qui est très liquide, mais qui lui n'a pas de cash flow, voire juste à l'autofinancement. Et les deux balancent. Voilà une petite stratégie. Une fois que vous avez plusieurs SEI comme ça, là on peut se dire, ok, on peut peut-être éventuellement déménager. Parce que, je vous le rappelle, pour moi, tant que vous n'avez pas entre 5000, c'est la limite. pour pouvoir commencer à se dire, OK, on quitte notre job. 5 000, c'est la limite. Parce que je vous le rappelle, en cas de travaux, en cas de choses, etc., dès que vous avez 5 000 balles, les 5 000 balles, ils vont fondre. Donc, par exemple, une toiture, une toiture, vous êtes très vite à des crédits qui sont importants. Si vous n'avez pas de réseau de côté qui puisse faire la balance, on va tout de suite taper dans vos revenus. Donc, voilà. Alors, mon ICO n'est toujours pas revenu. On est à 33 minutes de podcast, donc je vous rappelle, les destinations qu'on a évoquées étaient Panama pour moi, parce que je trouve qu'en fait le climat et la fiscalité y est top. Après, est-ce que j'irais, ça c'est un autre débat, mais je l'étudie depuis un certain temps. Madère pour moi aussi, parce qu'en fait je suis très proche de la France et que Madère, je connais bien et que j'adore cette île. Maintenant, le côté touristique de Madère me pose un problème parce que si vous avez été récemment dans ces îles comme en Corse, la circulation avec les touristes qui ne respectent rien peut poser problème. Mais par contre, en fait, Yves, c'est le top parce qu'en hors saison, c'est vraiment juste le kiff. Et quand vous habitez sur place, comme à La Réunion, j'ai de la famille à La Réunion, vous avez quand même certains avantages fiscaux qui peuvent être... qui ne peuvent justement pas être mis de côté. Après, pour Nico, c'était apparemment Malte, d'après ce que j'ai cru comprendre, Malte, et également l'Espagne, sachant que l'Espagne, il connaît très bien. Moi, le Portugal, franchement, il y a des villes au nord du Portugal, mais ça reste l'Europe. Le problème, c'est qu'à voir si oui ou non, comment évolue l'Europe. Aujourd'hui, si les pays avaient vraiment leur souveraineté, moi, je dirais on reste en Europe. En France, je vous dis. Aujourd'hui, si vous avez tout en société, même si vous gagnez de l'argent, il y a moyen de... Ah bah Nico, il est revenu ! 34 minutes, cher ami ! Quasiment 10 minutes tout seul ! Tu m'as abandonné !

  • Speaker #1

    Tu sais que... Non, non, mais je te voyais en plus, je t'écoutais, je te voyais et je parlais, mais bon, c'est pas grave. Des fois, ça peut arriver. T'as bien géré mon midi, comme d'habitude. Donc voilà, pour clôturer ce podcast, tout dépend un peu de ce que vous avez envie de faire, si vous voulez rester en France ou pas, à l'étranger. Tout dépend, après, comme vous avez dit Mehdi, de ce que vous avez en fonds propres, parce qu'il faut quand même partir avec un peu de cash et des rentrées assez conséquentes. Après, si vous avez des business, tant mieux, ça tombe tout seul. Mais après, ça vous appartient de partir soit pour du business, soit pour vivre tranquillement. et puis... changer d'air et puis aller dans une culture un peu différente. Donc ça, c'est propre à chacun. Moi, je sais que l'Espagne, ça me tente. S'il faut partir de l'Europe, bonne question. États-Unis, Canada, le reste, je ne sais pas trop. Peut-être l'île Maurice, les Émirats, à voir. Tout dépend après en fonction de ce qu'on a en termes de... de monnaie, de business. Donc ça, c'est propre à chacun. Et puis, notre ami Mehdi, ça sera sans doute peut-être le Canada, le Panama. Ou rester en France, tout dépend après de comment ça se passe. Et de l'évolution de notre cher pays français. Donc voilà. Donc voilà, on a fait un petit tour là-dessus. J'espère que ça a pu vous aiguiller, puis vous permettre de réfléchir un peu à ce que vous pourriez faire. où vous pourriez aller pour partir de la France. Donc, voilà, si vous avez besoin, n'hésitez pas à écouter les podcasts précédents où on parle des autres pays. Ils sont plutôt sympas pour y vivre, c'est pas mal. Portugal, c'est très bien. L'Espagne, c'est bien. L'Italie, pareil, c'est sympa. C'est à côté de la France, c'est accessible, c'est sécure, tout ce qui est hôpitaux, c'est nickel. L'investissement, c'est pas mal. Dubaï, après, toi encore, c'est un autre step. Je dirais que Dubaï, c'est un autre step. Si vous avez du business ou autre, donc à voir. Écoutez, merci à tous. J'espère que vous avez passé un beau moment. On se dit à la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Bonne journée, bonne soirée. Bye bye. On se casse ? Eh bien nickel, moi je me casse.

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Description


Expatriation, investissement, France, Panama, Espagne, sécurité, entrepreneuriat, fiscalité, opportunités, culture


SOMMAIRE

Dans cet épisode, les animateurs discutent des différentes destinations d'expatriation, des avantages et inconvénients de vivre à l'étranger, et de la situation actuelle de la France. Ils explorent des pays comme le Panama, l'Espagne et l'Italie, tout en abordant les défis de l'entrepreneuriat et les opportunités d'investissement. La conversation met en lumière l'importance de la famille, de la sécurité et des choix fiscaux dans le processus de déménagement.


La France est en déclin, mais elle reste un pays riche en culture.

Le Panama offre des avantages fiscaux intéressants.

L'Italie est souvent perçue comme un pays de classe.

La famille peut être un frein à l'expatriation.

Il est essentiel de garder un équilibre entre le positif et le négatif.

Les États-Unis peuvent offrir des opportunités d'affaires.

La création d'entreprise en France est complexe en raison des charges.

Investir dans des biens patrimoniaux est une stratégie efficace.

Les destinations d'expatriation doivent être choisies en fonction des besoins personnels.

Il est important de ne pas avoir de dettes pour se sentir libre.

Expatriation : Où aller et pourquoi ?

La France face à l'expatriation


"Il faut garder le côté positif."

"Il faut garder espoir."

"Les États-Unis, c'est dangereux."


Chapitres


00:00 Introduction et retour sur les podcasts précédents

03:04 Explorer les destinations d'expatriation

05:51 Les avantages et inconvénients de vivre à l'étranger

08:53 La France : un pays en déclin ?

11:54 Les opportunités d'investissement en France et à l'étranger

14:38 Les défis de l'entrepreneuriat en France

17:48 Les destinations alternatives : Afrique, Amérique, et au-delà

20:44 Stratégies d'investissement et création de richesse

23:57 Conclusion et réflexions finales



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    1 billion, 2 billion, 3 billion. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue sur le podcast RISK d'Expérience. Je suis avec mon acolyte Mehdi. Comment tu vas mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    On a fait des nouveaux tests de micro. 1 million, 2 million, 3 million. Comme Warren Buffett.

  • Speaker #0

    Et ça fonctionne et vous allez kiffer. Aujourd'hui, nouveau podcast. Donc on est là avec Mehdi tous les deux. On va parler un peu d'exotisme. On va aller un petit peu... naviguer dans d'autres pays, on va vous expliquer ça. Mais avant ça, petit retour sur les podcasts précédents. Donc le thème de l'été, c'était partir à l'aventure dans différents pays pour savoir où est-ce qu'on pourrait investir, si ça valait le coup dans différents pays. On a fait le Portugal, on a fait l'Espagne, on a fait Dubaï qui a cartonné. Merci à Dimitri, mais merci aussi à tout le monde de nous avoir fait découvrir les différents pays. La semaine dernière, on était en Italie à maquer les pastas. Moi, j'adore les pastas. Et toi, mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    La nourriture italienne, je pense qu'on est the best of the best. Avec le Portugal, l'Espagne aussi, mais c'est vrai que coup de cœur à l'Italie.

  • Speaker #0

    En fait, partout. Non,

  • Speaker #1

    mais l'Italie, mec, pas de bolo. L'Italie, on est au-dessus. tiramisu

  • Speaker #0

    Les classes italiennes,

  • Speaker #1

    la classe italienne, tu ne peux pas lutter. Quand on parle de style, tout de suite, on pense à l'Italie. Pour tout ça, Lou, encore merci. Chaque podcast avait présenté ses différents avantages et inconvénients. Le Portugal a explosé et tout. L'Espagne a explosé. Après, en fonction des profils, vous avez trouvé... Moi, je sais que j'ai mes... ... Voilà, j'ai mes préférences, comme toi, tu as des préférences. Et là, aujourd'hui, dans ce podcast-là, clairement, où on est capable d'aller habiter pour déménager de France. Voilà, clairement, voilà. N'ayons pas peur des mots.

  • Speaker #0

    Exactement, c'est vrai que moi, j'y ai pensé un certain temps, il y a quelques années en arrière, à partir d'ici, puis aller habiter en Espagne. Bon, ça, c'est pas fait. Mais si un jour, on devait partir, c'est vrai que, voilà... On va un peu décrire tout à nos auditeurs. Où est-ce qu'on irait habiter et pour quelles raisons ? Pourquoi tel pays et pas un autre ? C'est vrai qu'il y a différents pays. Rester en Europe ou partir en dehors de l'Europe, après ça, ça va être propre à chacun. Parce qu'en fonction de ce que vous voulez, de vos business ou de votre attache ici en France, tout va dépendre d'où vous voulez partir. Après, c'est vrai que nous, on a quelques penchants pour certains pays. Donc, on va vous expliquer un petit peu tout ça. Pourquoi on irait dans tel ou tel pays pour vivre ? Toi, tu partirais où, mon Mehdi, toi ?

  • Speaker #1

    Écoute, le problème, c'est que... Et le problème de tous, quasiment, ce sera la famille. La famille, bon, ben voilà, si ta base, elle est en France, c'est vrai que psychologiquement, partir loin... Moi, il ne me reste que ma maman en France. Et après, le reste de ma famille, je ne m'entends pas trop. Donc, je n'ai plus ce problème-là. Et mon épouse, pareil, elle a sa maman. Et après, on n'a plus ce problème-là. Je pense, et ça, c'est ma conviction personnelle, je pense que l'Europe est morte. Et tu vois, pendant longtemps, j'ai voulu déménager à Madère. Madère, il y a des petits avantages fiscaux qui sont vraiment super intéressants. Le problème, c'est que comme c'est insulaire, comme c'est une île, le tourisme... ça commence à devenir un peu trop. Donc là, j'y retourne au mois d'octobre pour voir comment ça se passe. Mais il y a un autre pays, il y a un autre pays qui m'attire fort. Et ça, franchement, ça n'a rien à voir, on n'en a jamais parlé, c'est le Panama. Le Panama, avantages fiscaux, un climat de fou et tout à faire. Au niveau sécurité, le Panama, on est parmi les meilleurs du monde. Et pourtant, Amérique latine, etc. Je n'en ai jamais parlé. Et j'ai commencé à m'intéresser au Panama quand j'ai investi dans de l'immobilier tokenisé via Realty. Realty, c'est une société, je n'en fais pas la promo. Et franchement, je ne suis pas forcément super content. Donc voilà, j'avais acheté de l'immobilier aux Etats-Unis, tokenisé de l'immobilier qui avait été fractionné en crypto-monnaie. Et après, j'ai acheté de l'immobilier. au Panama, il y a toujours eux. Faites ce que vous voulez, moi je vous le conseille pas et je ne vous le déconseille pas non plus. J'ai fait une aparté, c'était juste pour expliquer pourquoi je connaissais Panama. Franchement, Allez-vous rencarder sur le Panama, c'est une tuerie. On dirait Dubaï, mais en moins, n'ayons pas peur des mots, en moins rebeu, il n'y a pas de religion. La religion, c'est autre chose. Donc ceux qui sont réfractaires à Dubaï, pensez Panama.

  • Speaker #0

    Mais dis-moi, le Panama, ce n'est pas ce pays-là où le nouveau président a arrêté tous les gants, non ? C'est dans ce pays-là ou c'est dans un autre pays ?

  • Speaker #1

    C'était pas le Venezuela C'était pas le Costa Rica toi ? Avec les Boukele

  • Speaker #0

    Je sais plus quel pays c'est Il a arrêté tous les gangs Il les a emprisonnés dans des prisons

  • Speaker #1

    C'est le Salvador

  • Speaker #0

    Le Salvador Non j'irai jamais là-bas C'était pour savoir Je sais que le Panama Je connais pas Je peux pas détailler là-dessus Il y a aussi le Costa Rica qui cartonne apparemment Merci.

  • Speaker #1

    Après, toute cette région-là, je ne sais pas si tu as déjà voyagé là-bas. Moi, j'ai fait un peu l'Amérique latine. C'est magnifique. C'est magnifique. Par contre, côté sécurité, on critique la France pour le point de vue sécurité. L'Amérique du Sud, ils sont en train de rattraper leur retard. Mais voilà, ce n'est vraiment pas sécuritaire.

  • Speaker #0

    Moi, je n'ai pas fait l'Amérique. J'ai fait la République dominicaine à l'époque, il y a 20 ans. Il y a 20 ans, t'imagines.

  • Speaker #1

    Après, juste pour situer la République d'Homme, c'est une île, elle est séparée en deux. Il y a d'un côté Haïti et de l'autre côté la Repdom. Donc oui, l'instabilité haïtienne, elle est en Repdom. En fait,

  • Speaker #0

    il y a 20 ans, tu vois, j'en avais 24, 23, 24. Et quand on est parti, on était une bande de potes, on était au nord de l'île. Et en fait, les autorités et surtout le complexe, en fait, c'était... C'était un gros complexe hôtelier, mais vraiment sécurisé, qui regroupait 4-5 hôtels. Donc tu vois un peu la bête, tu vois. Tu avais plein d'hôtels avec un golf et tout, et tout était regroupé, mais tout sécurisé. En fait, tu pouvais rester à l'intérieur de ce complexe-là sans sortir. Et ils nous préconisaient de ne pas sortir parce que c'était dangereux à l'extérieur. Bon, tu vois, à nous, t'as beau nous dire ça, on sortait quand même. Mais c'est vrai qu'à l'époque, c'était un peu dangereux. Il fallait faire très attention. Il fallait faire très attention. Nous, on s'est un peu mélangé aux locaux. Mais voilà, il fallait garder les yeux ouverts. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Oui, tu m'étonnes.

  • Speaker #0

    Mais là, il y a 20 ans, la Repdom, ça a changé. Ça a changé. Il y a beaucoup de Français qui s'y sont installés. Après, voilà, Tahiti qui est à côté. Le pays se développe grâce au tourisme. Mais ce n'est pas non plus... Voilà, ce n'est pas comme en Europe. Ça n'a rien à voir. Après, je ne peux pas trop en parler parce que je ne connais pas tout ce qui est au niveau médical. Je pense qu'il doit y avoir des hôpitaux privés. C'est vrai que ça se fait beaucoup dans les pays, tout ce qui est Asie, Amérique latine, même aux Etats-Unis.

  • Speaker #1

    Même Afrique, maintenant.

  • Speaker #0

    Voilà, donc beaucoup d'hôpitaux privés. Tu payes et puis tu as accès aux soins. Mais c'était pas mal, c'était pas mal, mais je ne peux pas trop développer, je ne connais pas trop. Au Panama, je vais me renseigner. Tiens, tu m'as mis un petit truc dans la tête.

  • Speaker #1

    Parler, parce que ça, en fait, il ne faut pas trop en parler pour ne pas être découragé. Parce que la famille a les petits intents mindset, mais la famille sera toujours là pour te décourager parce qu'elle veut ta sécurité. Donc, garde les idées pour toi. Étudie ton projet. Et voilà. Moi, par contre, tu vois, c'est des choses. En fait, il faut toujours apporter le côté positif pour minimiser le côté négatif. Parce qu'il y a toujours un côté négatif. on sort de son confort, on quitte la France et en fait, on recommence tout. Alors par contre, attention, il y a les destinations où on part pour aussi travailler et la destination où on part en étant rentier. Ça, voilà. Ça,

  • Speaker #0

    c'est encore autre chose.

  • Speaker #1

    Mais c'est quelque chose qu'il faut prendre en compte.

  • Speaker #0

    Exactement. Moi, tu vois, je suis très attaché à elle et j'aime beaucoup la France. Pourquoi ? Parce qu'en France, on a tous les paysages, toutes les cultures. au niveau de la gastronomie on est un des pays au niveau gastronomique où c'est le top du top et puis c'est surtout que t'as tous les climats tu vois ce que je veux dire ? t'as la montagne d'un côté, t'as la mer t'as l'océan, t'as au nord si t'aimes la pluie, si t'aimes le froid bah tu vas au nord, tu vois ce que je veux dire ? donc t'as différentes régions avec différents climats et moi je suis attaché à la France j'aime beaucoup la France mais je pense qu'on est dans le déclin Alors, je n'ai pas envie de faire peur à tout le monde, mais je pense que la France est en déclin assez sévère et je pense qu'on n'est pas prêt de remonter, si ce n'est que ça va se détériorer d'année en année. On voit comment ça se dégoupille, enfin ça se goupille là, avec tout ce qui est politique, toutes les taxes ou autre. Je ne vois pas trop d'éclaircies. Donc voilà, c'est vrai qu'avec Mehdi, on fait nos affaires. Je pense que voilà, maintenant, c'est de l'individualisme. On reste individuel, on pense à nos gueules. C'est vraiment le mot, je pense qu'on en est arrivé là. On fait nos trucs, on fait nos business, on fait nos argents. Et puis, un jour, on partira parce que le climat en France se détériore énormément. Malgré que j'aime beaucoup, j'adore la France.

  • Speaker #1

    Après, il faut quand même avouer que la France... Alors, je vais parler du côté sécuritaire. On n'est pas tous égaux. Tu prends, regarde, en Ile-de-France, tu as des coins qui sont ultra-sécurs et d'autres coins qui sont ghettos. Mais en France, tu peux aller dans des endroits quand tu as de l'argent. Tu peux aller dans des endroits qui sont ultra-sécurs. Tu n'as pas de... Je suis désolé. Quand tu habites dans certaines régions, bon, ben voilà. Tu te fais plaisir dans certaines régions, tu es tranquille.

  • Speaker #0

    Ah ben, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #1

    Tu vois, voilà. Tu n'as pas de... Moi, je sais que... Bon, voilà, je connais très bien le Pays-Bas. Je connais aussi bien tout ce qui est Ariège, etc. Ils n'ont pas les mêmes problèmes que tu vas trouver dans les grosses métropoles. Donc, il y a aussi... une juste mesure. Après, par rapport à tout ce qui est fiscalité, etc., une fois que tu es en société, tu peux quand même faire pas mal de choses quand tu es en société, tu vois. Donc, pour avoir moins l'impact sur l'individu, moins l'impact sur la personne physique. Donc, après, il faut aussi arrêter de se mettre la pression par rapport à tout ce qu'on peut entendre sur CNews, BFM, etc., parce que notre opinion... Elle est orientée pour qu'on aille vers là où on veut nous envoyer. Après, oui, il y a de l'immigration. Après, oui, il y a ceci, oui, cela. Il ne faut pas oublier que la France, c'est quand même un top pays. Et que ce pays-là, en fait, il y a juste à déplacer les populations. Donc, se déplacer pour aller dans des endroits où vraiment on peut retrouver la qualité, comme on le dit, la qualité française. Après, le pays n'est pas mort. C'est juste que là, on a une transition qui n'est pas forcément plaisante.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord, le pays de paix à mort. C'est pour ça que moi, je pense que je vais…

  • Speaker #1

    Comment ? Il faut garder espoir.

  • Speaker #0

    Il faut garder espoir. Après, comme tu dis, il ne faut pas tout mettre dans le même panier. Après, en France, on peut faire de l'argent, il n'y a pas de problème. On peut créer du business. Les banques nous aident, on a beaucoup d'aide. Donc ça, il n'y a pas de souci. C'est juste, voilà, il y a un juste milieu. et quand ça va trop vite. trop loin, je ne suis pas seul à le dire, des fois c'est un peu compliqué. Je suis d'accord avec toi. C'est d'un côté professionnel, je parle.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord avec toi sur le côté personne physique. Maintenant, personne morale en société, je ne sais pas trop, mais je pense qu'en Europe, après avoir étudié le truc, en Europe, la France pour les sociétés, je parle. Alors, je ne parle pas de tout ce qui est imposition sur le salarié. Là, on est vraiment sur autre chose. Je te parle vraiment de tout ce qui est investissement, tout ce qui est un système vraiment pyramidal avec une holding, etc. Franchement, on est bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    C'est vraiment bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    Tu peux vraiment payer le moins d'impôts possible. C'est d'ailleurs pour ça que certains gros groupes restent en France. Et ça, il ne faut pas oublier de le dire. Cette semaine, il y a eu une enquête parlementaire. Je t'en ai parlé, je crois. Il y a une grosse société du 440 en France qui a touché en 2022-2023 plusieurs milliards d'euros d'aide. Cette société, elle n'en avait pas forcément besoin. Et en fait, dans la commission parlementaire, on demande au patron de sa société pourquoi, bizarrement, les dividendes qu'elle a versés à ses actionnaires, à quelques centimes près ou quelques euros près, représentent le montant de l'aide. Et là, tu as le patron qui dit, mais il dit au calme. Il dit, bon, ben voilà, si vous voulez qu'on vous les rembourse, on vous les rembourse. Concrètement, ce qui s'est passé, et je ne vais pas donner la société, mais enfin aussi, je peux même la donner, c'est Carrefour. Carrefour, en fait, en 2023, ils ont versé à leurs actionnaires, on va dire une connerie, tu vois, on va dire 20 milliards d'euros de dividendes. OK, et ben, ces dividendes-là, ils représentent exactement l'aide que l'État a donnée un an avant. Tout ça pour dire quoi ? juste pour dire que est-ce que Carrefour, qui représente plusieurs milliers d'emplois en France et dans le monde, est rentable ? Là, on a clairement vu qu'elle n'était pas rentable, parce que sinon, elle n'aurait jamais versé le montant de ses aides aux actionnaires pour leur faire croire. En fait, tout ça, c'est pour montrer que notre argent, il se tourne. Donc concrètement, qu'est-ce que je veux dire ? Je veux dire, investissez sur les bons chevaux. Et c'est bon chevaux, quand vous payez les impôts, ça va vous revenir.

  • Speaker #0

    Exactement, exactement. Donc voilà, pour en revenir...

  • Speaker #1

    J'ai cassé l'ambiance là.

  • Speaker #0

    Non, non, non, mais là on s'écarte un petit peu du sujet. Mais non,

  • Speaker #1

    c'est juste pour dire que la France, c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    Non, c'est pour ça que je reviens à dire que la France, il y a ses avantages et ses inconvénients. C'est pour ça que moi, je pense que je garderais quelque chose ici. C'est même sûr, parce qu'il y a de la famille, puis j'ai une attache au pays qui est bien. Après, partir en dehors de l'Europe,

  • Speaker #1

    je… Pour la monnaie, t'es obligé.

  • Speaker #0

    Oui, pour la monnaie, mais où, moi, à l'heure actuelle, je serais incapable de te dire où je pourrais aller. À l'heure actuelle, en dehors de l'Europe. Je ne sais pas. Franchement, il y a l'île Maurice, pourquoi pas, pour ses avantages fiscaux, bien sûr. Et puis le climat, on sait tous que l'Immobus...

  • Speaker #1

    Au côté insulaire, les îles, c'est particulier.

  • Speaker #0

    C'est pour ça, il pourrait être peut-être là-bas. Dubaï, je ne sais pas. Je ne connais pas, donc je ne peux pas dire.

  • Speaker #1

    Ils vivent tout le temps.

  • Speaker #0

    Ils vivent tout le temps parce qu'il fait trop chaud.

  • Speaker #1

    Non, mais même n'ayons pas peur. Après, c'est une religion qui est différente. C'est OK, on est en France. Certains se plaignent de la... On va dire, rentrons dans les... certains se plaignent de l'islam, etc. Là-bas, tu vis dans un pays où tu entends cinq fois par jour l'appel à la prière.

  • Speaker #0

    Ça ne me dérangerait pas.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, par exemple, moi au Maroc, alors que j'ai des biens au Maroc, je sais que mon épouse, elle, ça peut la déranger. Elle n'a rien du tout à ma tête. Mais aller vivre dans un pays musulman, ça peut représenter pour certaines une gêne. Mais pas forcément aller en vacances, il y a d'autres soucis, mais y vivre, c'est autre chose. Moi, je mets les pieds dans le plat, parce que concrètement, il y a beaucoup de gens qui ne se rendent pas compte. Aller vivre dans un pays où, comme en France, tu as toujours été open, tu peux parler de tout, là, tu parles dans des pays où, en fait, un peu peut-être comme l'Asie, certains pays, en fait, il y a des restrictions. Tu ne peux pas parler de tout. Il y a des choses que tu ne peux pas les dire. Donc ça, c'est aussi à en prendre en compte. Et moi, je n'ai pas honte de le dire.

  • Speaker #0

    Après, tu changes de pays, tu t'adaptes au pays, ce qui est normal. Moi, ça ne me dérange pas. là si je devais partir concrètement Moi, ce serait en Espagne. Vous savez très bien que j'ai une attache à l'Espagne qui est assez énorme. Donc, je partirai, je pense, en Espagne. Mais on reste encore en Europe. Voilà. On reste encore en Europe. Et en dehors de l'Europe, je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je ne me suis jamais posé la question. C'est vrai que c'est difficile à se dire de sortir de l'Europe, mais pour aller où ?

  • Speaker #1

    Tu sais, il y a des coins de l'Afrique. qui sont blindés, et on n'en parle pas, ils sont blindés et tu as des vues exceptionnelles. Je parle surtout de l'Afrique anglophone, donc toute la deuxième partie de l'Afrique, pardon, la partie sud de l'Afrique. Certes, ce n'est pas forcément courant d'en parler, mais moi je sais que la Namibie c'est une tuerie. Alors, il... enfin... Il faut mesurer mes propos. Mais tu vois, toute la partie sud de l'Afrique, à étudier. Je ne me lance pas là-dedans, mais juste à étudier et observer.

  • Speaker #0

    Après, en dehors de l'Afrique, alors que je ne connais pas, il y a l'Afrique du Sud. Encore ça, il faut étudier.

  • Speaker #1

    C'est dangereux.

  • Speaker #0

    Je sais que c'est dangereux. Après, tu as les États-Unis.

  • Speaker #1

    Pourquoi pas ?

  • Speaker #0

    Les États-Unis. Si tu veux faire du business et tu veux être chill, tu peux faire les deux là-bas. Les États-Unis.

  • Speaker #1

    Moi, j'avais étudié le département ou la région d'Alberta. C'est au Canada. C'est limite frontière américaine, côté au-dessus du Montana, au-dessus…

  • Speaker #0

    C'est Seattle, non ?

  • Speaker #1

    Oui, Seattle, c'est vraiment côté…

  • Speaker #0

    C'est côté ouest.

  • Speaker #1

    C'est côté ouest. Moi, c'est vraiment un peu plus… C'est toujours sur le côté ouest, mais central, sachant que d'un côté à l'autre, de San Francisco à… New York, il y a quand même, je crois, 4000 ou 5000 kilomètres. Donc, tu vois, c'est énorme, c'est immense. Donc, c'est vraiment, tu prends la partie centrale des États-Unis, plus vers le côté ouest, et c'est à la frontière entre le Canada et les États-Unis. Canada, parce que, en fait, moi, je suis plus en phase avec l'idée canadienne plutôt que l'idée américaine, mais après, c'est les convictions perso. Et cette région-là, je vous invite à aller voir la région Alberta au Canada. vous allez en prendre plein la vue c'est une tuerie,

  • Speaker #0

    il n'y a pas d'autre mot je ne connais pas moi tu sais j'ai eu une locataire qui est restée longtemps ici une américaine de Seattle Et Seattle, tu sais, c'est tout à l'ouest, en Ausha gauche des États-Unis. En fait, tu n'es pas loin du Canada et tu as une chaîne de montagne qui est entre les deux. Et m'expliquer que le climat était un peu comme ici, un peu comme en France. Tu as la mer. Bon, la mer n'est pas très chaude non plus, mais tu as la mer, tu as la montagne et tu n'es pas loin du Canada. Et après, tu es dans une grosse ville. Bon, Seattle, c'est quand même assez énorme. Tu as Amazon, tu as des gros groupes là-bas. c'est pas c'est pas mal, il fait bon vivre aussi. Donc, pourquoi pas les Etats-Unis ? Après, moi, si je devais aller aux Etats-Unis, c'est pour créer du business. C'est pour du business, pas pour vivre la rente ou autre. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Tu vois, tout à l'heure, on était en train de... Je t'ai évoqué deux cas. Le cas où tu es rentier et tu pars, et le cas où tu dois aller bosser. Où tu dois partir de France et tu dois aller bosser. Eh bien, le Canada, c'est une... Ou les Etats-Unis, c'est une destination où tu peux partir bosser. Tu peux changer de vie, mais pour partir bosser. Il n'y a pas de honte à bosser. Il n'y a pas de honte à se dire, OK, je quitte tout et je recommence tout. Au contraire, c'est là que mentalement, tu te montres à toi que tu n'es pas un bon à rien, que tu es capable d'eux. Et les États-Unis, si tu es un charbonneur, si tu acceptes de faire des horaires et d'être déterminé, mais tu vas faire fortune, c'est obligé. Tout comme le Canada.

  • Speaker #0

    De toute manière, si tu fais la même chose en France, si tu es un bosseur et que tu ne lâches rien, Tu fais déjà ça en France. Ce n'est pas pareil. Mais si tu as cette conviction et si tu as ce mindset-là, là-bas, ça va être décuplé. Parce que tu as la culture là-bas.

  • Speaker #1

    La France, c'est bon pour tout ce qui est investissement. Dès que tu commences à créer un business, le problème, c'est que si tu as un business et que tu dois payer des charges salariales, tu es mort dans le film. Parce que pour donner un ordre d'idée, 2 000 euros de salaire, tu as la même chose. en charge. C'est-à-dire qu'il faut que tu génères 4000 euros et tu n'as même pas créé de la richesse. Tu as juste généré 4000 euros juste pour payer quelqu'un qui va travailler pour toi. 4000 euros, mec. Je fais ça à l'année et tu as capté ? Tu as 4000 euros juste pour payer un salarié. Tu n'as rien fait. Tu as juste un salarié. Donc imagine, tu multiplies. Il faut que ton activité ait un truc. On reprend la même chose au Canada. Parce que ça, je le sais. On reprend la même chose au Canada. Tu prends quelqu'un, tu vas le payer 2 000 dollars. 2 000 dollars. À la fin, écoute, les 2 000 dollars, ça provient à 5 000 dollars.

  • Speaker #0

    Tu vois,

  • Speaker #1

    tu as 18 000 dollars de diff. 18 000 dollars, c'est ton bénéfice.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est énorme. Donc, en fait, après, tu vois, tout ça, franchement, au bout d'un moment, tu vois, si tu veux créer un business, si tu veux vraiment vivre d'un business, quand je dis créer un business, c'est avec des salariés. C'est pas, voilà, on n'investit pas. Quand on investit, il n'y a pas de salariés. Tu peux investir dans une boîte, mais en fait, toi, tu es un investisseur. Tu n'es pas un chef d'entreprise. Aide-moi parce que là, je pars dans mes trucs. Mais bon, dans l'idée, c'est ça. C'est avoir un business sans salariés. Aux États-Unis, tu peux te permettre d'avoir des salariés parce que déjà, tu as moins de contraintes au niveau. Si tu dois malheureusement te séparer d'un collaborateur, tu peux te séparer d'un collaborateur. Il n'y a pas de prud'homme, il n'y a pas de machin, il n'y a pas de site.

  • Speaker #0

    C'est complètement différent.

  • Speaker #1

    Et les gens, comme ils savent qu'ils ont besoin de taffer, ils sont... Ils ont un autre état d'esprit, tout est basé sur le service. Ici, tu vas prendre un gars, tu vas lui expliquer c'est quoi sa fiche de poste. Le mec, deux mois après, tu reviens, il va te dire pourquoi je dois faire ça. Mais mec, c'était dans ta fiche de poste de base. Moi aujourd'hui, je manage des gens, je suis là à leur expliquer ce qu'ils ont signé. Mais je me dis, mais mec, tu n'as pas compris en fait, c'est ton travail, t'es payé pour ça. Ouais, mais non, mais en fait non. Bah mec, voilà, et ça tu te le traînes. Et tu vois, t'as quelqu'un qui est moins productif. Tu lui expliques, tu lui expliques, mais en fait, c'est de la perte de temps. Aux États-Unis, aux States, il n'y a pas de ça. C'est tu ne fais pas l'affaire next. Et du coup, ça motive, ça crée de la productivité chez les gens. Et de la précarité, certes, mais ça crée de la... En fait, les gens, ils n'ont pas le choix. Et ça, cet état d'esprit-là pour partir bosser, pour partir créer un business, comme il dit Nico, c'est le top.

  • Speaker #0

    Ah mais carrément. Et moi, tu vois, j'avais étudié tout ce qui était création de sociétés en Espagne, en Catalogne. et en fait, pareil, tu as des avantages, ça n'a rien à voir avec la France. Donc, tu ne payes pas les mêmes charges, en fonction des régions, ce n'est pas les mêmes charges, tu vois. Tu n'es pas ponctionné pareil au niveau des impôts, et c'est plus avantageux. Moi, j'avais vu pour les sociétés, c'était plus avantageux, parce que je voulais ouvrir un business là-bas, et je me suis dit, putain, mais ça n'a rien à voir, ça n'a rien à voir. Donc après, voilà, il faut étudier en fonction de... Si c'est pour être à la cool, et puis pouvoir vivre tranquillement, et tu as des biens déjà en France. où tu as un business qui tourne, parce que tu peux avoir un business en France et habiter à l'étranger. C'est tout à fait possible. Tous tes revenus qui sont générés en France seront payés en France, quoi qu'il arrive, même si tu habites à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu as vu les taxes qu'ils ont mis là ? Mais vraiment, ils font pitié.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas fini, ce n'est pas fini.

  • Speaker #1

    La taxe pour déménager à l'étranger.

  • Speaker #0

    5 000 euros. C'est 2 000 euros de plus.

  • Speaker #1

    Franchement, le mec qui a de la thune, 5 000 euros.

  • Speaker #0

    Il n'en a rien à foutre.

  • Speaker #1

    C'est plus pour essayer de limiter les départs de masse des classes moyennes qui se font malheureusement éclater et qui, elles, n'ont pas trop le choix et pour qui 5 000 euros, ça peut représenter une somme. Alors,

  • Speaker #0

    c'est 5 000 euros si tu... Si tu abandonnes tout en France, c'est-à-dire que tu n'as plus rien, tu ne reviens pas.

  • Speaker #1

    Tu ne reviens pas. Tu ne reviens pas. Tu peux rester en France.

  • Speaker #0

    Si tu fais tous les six mois un bien et que tu as une résidence secondaire à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu peux esquiver. Mais en fait, le but, c'est quoi ? C'est de se barrer définitivement. Donc, 5 000 euros, est-ce que tu crois vraiment que ça peut être un frein pour quelqu'un qui est déter ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que c'est galère.

  • Speaker #1

    L'État qui fixe ça, c'est qu'il est en galère. Il est en PLS. Il met 5 000 euros pour dire, OK, tu pars, tu te mets 5 000. Juste pour savoir qu'à un moment, je regardais Miami pour habiter à Miami. Il fallait que j'ai 80 000 euros que j'investisse sur une boîte là-bas. Et j'avais l'équivalent d'un visa de 5 ans. Alors, je ne sais plus si c'est de ça, mais c'était pour avoir la green card, etc. Il fallait que tu mettes 80 000 dans une boîte. Dans d'autres régions des States, notamment le Texas et une région qui était riche, c'était dans le nord, il fallait mettre, je crois que c'était 200 000 dollars. Tu mettais 200 000 dollars et tu avais la green card.

  • Speaker #0

    Oui, mais après, tu as différents pays comme ça. Tu sais, tu as la Crète. Tu vois la Crète. Pas la Crète, excuse-moi. Comment il s'appelle le pays ? Malte. Tu vois Malte ? Je ne t'entends plus.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est normal. C'est parce que j'ai encore pas isolé nickel mon studio et j'ai un avion qui est passé juste au-dessus parce que j'ai un aérodrome juste à côté. Donc, c'est le problème de Rich.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je te disais. À Malte...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, il vient de Malte. Il a pris son Boeing, son jet privé.

  • Speaker #0

    À Malte, tu as des avantages fiscaux, mais tu es obligé de poser un certain montant pour pouvoir être résident et à voir les avantages fiscaux. avec Malte, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça c'est pareil, t'as beaucoup de pays comme ça. T'es obligé de poser sur des biens pour avoir différents... soit pour avoir le passeport, soit pour avoir la possibilité d'y habiter ou autre, tu vois ce que je veux dire ? Donc t'as différents pays. En France, non, y'a pas ça, tu vois. Mais tu vas dans différents pays, y'a ça. Tu vois, comme à Dubaï, comme on expliquait avec Dimitri, il faut poser autant d'argent pour avoir le visa, la Golden Visa, enfin tu vois, plein de... Plein de différents montants pour pouvoir y habiter, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça, plein de pays le font, notamment

  • Speaker #1

    Malte. À un moment, on parlait de l'Estonie.

  • Speaker #0

    Je vous parlais de l'Estonie, non ?

  • Speaker #1

    Oui, justement, en fait, l'Estonie, c'est un des pays d'Europe où il y a le moins d'imposition. Et c'est pour ça qu'à une certaine période, toutes les entreprises, tous les influenceurs, etc., avant Dubaï, ils allaient tous en Estonie. Et ils mettaient leur holding, comme en Irlande, tu vois. Ils mettaient tout dans ces pays-là pour diminuer, en fait, tout ce qui était fiscal. Mais moi, je ne me vois pas du tout vivre en Estonie. Je ne dis pas, je dis juste que 15h ou 16h, il fait nuit.

  • Speaker #0

    Voilà. C'est plus la qualité de vie après. Mais c'est vrai que les pays de l'Est, c'est bien pour les vacances.

  • Speaker #1

    Bon, alors on continue, les amis. Nico, il a sûrement eu une petite perte de connexion. Donc voilà. Et ce qu'il faut savoir, c'est que vraiment, il ne faut pas avoir honte de se dire on peut déménager pour aller travailler ailleurs. Ça, c'est vraiment quelque chose, il faut en avoir conscience. Au même titre que celui qui a tous ces business-là. Alors attention, et moi franchement, je mets les pieds dans le plat. Quand vous avez du cash flow, que le crédit n'est pas terminé, il peut tout se passer. C'est-à-dire que quand vous avez du cash flow, le cash flow est éphémère. Même si vous avez des grosses sommes de cash flow, le cash flow est éphémère. Une fois que vous avez payé votre crédit, que ce soit votre locataire qui l'a payé ou vous, et que vous n'avez plus de crédit sur l'appartement ou sur l'immeuble ou sur la maison que vous avez, là, on peut parler vraiment de cash flow.

  • Speaker #0

    Parce que les charges sont mesurables et vous n'avez plus de dette. Donc au final, la force, c'est de ne plus avoir de dette. Même si en France, la force qu'on a par rapport aux autres pays, c'est de pouvoir lever de la dette par l'effet de levier des banques, par l'effet de crédit. Mais on est riche uniquement quand on n'a plus de crédit. Et ça, il faut vraiment l'intégrer parce que très peu de gens le disent sur Internet. Et aujourd'hui, moi, clairement, je vous le dis. Dans une SCI, ça c'est une stratégie que vous devez peut-être avoir. Dans une SCI, vous devez avoir un bien à cash flow et un bien patrimonial. Le bien à cash flow, il est là juste pour payer le bien patrimonial, faire une équivalence de balance. Le bien à cash flow, il va être galère à revendre, certes, mais il va permettre de créer une balance patrimoniale. C'est-à-dire, on va prendre un exemple concret. Si j'ai la possibilité d'acheter un bien, dans le sud de l'île de France, dans une région pas trop loin de chez moi, généralement à une heure, une heure et demie de chez moi, grand max, qui est très rentable par le prix d'achat et qui est très abordable par le prix de loyer, par exemple, de la location, et qui est très abordable par le prix d'achat, mais qui sera dur à revendre, j'achète ça. Mais pour faire la balance, je vais équilibrer avec un bien. Par exemple, j'habite en banlieue parisienne. Je vais me rapprocher au maximum de Paris avec un bien qui n'est pas rentable, mais qui est patrimonial, qui sera toujours rentable à la revente. Pourquoi je fais ça ? C'est parce que dans une société, l'objectif, c'est d'avoir un bien crash de l'oseille et un autre bien qui, lui, sera toujours là si j'ai besoin de fonds ultra liquide. Et le patrimonial ? C'est ce qui vous fera vivre. Une fois que tout sera payé, c'est le patrimonial qui vous fera vivre. L'autre, il ne faut pas avoir le côté peu liquide. Parce que le bien qui est peu liquide, en fait, il faudra le revendre qu'à une seule personne qui voudra faire la même stratégie que vous. Donc, c'est très compliqué de le revendre. Mais le bien patrimonial, lui, grâce au bien qui génère du cash flow, sera ultra rentable. Et cet équilibre-là dans une société, toujours un bien qui est peu liquide, mais qui crache du cash flow, et un bien qui est très liquide, mais qui lui n'a pas de cash flow, voire juste à l'autofinancement. Et les deux balancent. Voilà une petite stratégie. Une fois que vous avez plusieurs SEI comme ça, là on peut se dire, ok, on peut peut-être éventuellement déménager. Parce que, je vous le rappelle, pour moi, tant que vous n'avez pas entre 5000, c'est la limite. pour pouvoir commencer à se dire, OK, on quitte notre job. 5 000, c'est la limite. Parce que je vous le rappelle, en cas de travaux, en cas de choses, etc., dès que vous avez 5 000 balles, les 5 000 balles, ils vont fondre. Donc, par exemple, une toiture, une toiture, vous êtes très vite à des crédits qui sont importants. Si vous n'avez pas de réseau de côté qui puisse faire la balance, on va tout de suite taper dans vos revenus. Donc, voilà. Alors, mon ICO n'est toujours pas revenu. On est à 33 minutes de podcast, donc je vous rappelle, les destinations qu'on a évoquées étaient Panama pour moi, parce que je trouve qu'en fait le climat et la fiscalité y est top. Après, est-ce que j'irais, ça c'est un autre débat, mais je l'étudie depuis un certain temps. Madère pour moi aussi, parce qu'en fait je suis très proche de la France et que Madère, je connais bien et que j'adore cette île. Maintenant, le côté touristique de Madère me pose un problème parce que si vous avez été récemment dans ces îles comme en Corse, la circulation avec les touristes qui ne respectent rien peut poser problème. Mais par contre, en fait, Yves, c'est le top parce qu'en hors saison, c'est vraiment juste le kiff. Et quand vous habitez sur place, comme à La Réunion, j'ai de la famille à La Réunion, vous avez quand même certains avantages fiscaux qui peuvent être... qui ne peuvent justement pas être mis de côté. Après, pour Nico, c'était apparemment Malte, d'après ce que j'ai cru comprendre, Malte, et également l'Espagne, sachant que l'Espagne, il connaît très bien. Moi, le Portugal, franchement, il y a des villes au nord du Portugal, mais ça reste l'Europe. Le problème, c'est qu'à voir si oui ou non, comment évolue l'Europe. Aujourd'hui, si les pays avaient vraiment leur souveraineté, moi, je dirais on reste en Europe. En France, je vous dis. Aujourd'hui, si vous avez tout en société, même si vous gagnez de l'argent, il y a moyen de... Ah bah Nico, il est revenu ! 34 minutes, cher ami ! Quasiment 10 minutes tout seul ! Tu m'as abandonné !

  • Speaker #1

    Tu sais que... Non, non, mais je te voyais en plus, je t'écoutais, je te voyais et je parlais, mais bon, c'est pas grave. Des fois, ça peut arriver. T'as bien géré mon midi, comme d'habitude. Donc voilà, pour clôturer ce podcast, tout dépend un peu de ce que vous avez envie de faire, si vous voulez rester en France ou pas, à l'étranger. Tout dépend, après, comme vous avez dit Mehdi, de ce que vous avez en fonds propres, parce qu'il faut quand même partir avec un peu de cash et des rentrées assez conséquentes. Après, si vous avez des business, tant mieux, ça tombe tout seul. Mais après, ça vous appartient de partir soit pour du business, soit pour vivre tranquillement. et puis... changer d'air et puis aller dans une culture un peu différente. Donc ça, c'est propre à chacun. Moi, je sais que l'Espagne, ça me tente. S'il faut partir de l'Europe, bonne question. États-Unis, Canada, le reste, je ne sais pas trop. Peut-être l'île Maurice, les Émirats, à voir. Tout dépend après en fonction de ce qu'on a en termes de... de monnaie, de business. Donc ça, c'est propre à chacun. Et puis, notre ami Mehdi, ça sera sans doute peut-être le Canada, le Panama. Ou rester en France, tout dépend après de comment ça se passe. Et de l'évolution de notre cher pays français. Donc voilà. Donc voilà, on a fait un petit tour là-dessus. J'espère que ça a pu vous aiguiller, puis vous permettre de réfléchir un peu à ce que vous pourriez faire. où vous pourriez aller pour partir de la France. Donc, voilà, si vous avez besoin, n'hésitez pas à écouter les podcasts précédents où on parle des autres pays. Ils sont plutôt sympas pour y vivre, c'est pas mal. Portugal, c'est très bien. L'Espagne, c'est bien. L'Italie, pareil, c'est sympa. C'est à côté de la France, c'est accessible, c'est sécure, tout ce qui est hôpitaux, c'est nickel. L'investissement, c'est pas mal. Dubaï, après, toi encore, c'est un autre step. Je dirais que Dubaï, c'est un autre step. Si vous avez du business ou autre, donc à voir. Écoutez, merci à tous. J'espère que vous avez passé un beau moment. On se dit à la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Bonne journée, bonne soirée. Bye bye. On se casse ? Eh bien nickel, moi je me casse.

Description


Expatriation, investissement, France, Panama, Espagne, sécurité, entrepreneuriat, fiscalité, opportunités, culture


SOMMAIRE

Dans cet épisode, les animateurs discutent des différentes destinations d'expatriation, des avantages et inconvénients de vivre à l'étranger, et de la situation actuelle de la France. Ils explorent des pays comme le Panama, l'Espagne et l'Italie, tout en abordant les défis de l'entrepreneuriat et les opportunités d'investissement. La conversation met en lumière l'importance de la famille, de la sécurité et des choix fiscaux dans le processus de déménagement.


La France est en déclin, mais elle reste un pays riche en culture.

Le Panama offre des avantages fiscaux intéressants.

L'Italie est souvent perçue comme un pays de classe.

La famille peut être un frein à l'expatriation.

Il est essentiel de garder un équilibre entre le positif et le négatif.

Les États-Unis peuvent offrir des opportunités d'affaires.

La création d'entreprise en France est complexe en raison des charges.

Investir dans des biens patrimoniaux est une stratégie efficace.

Les destinations d'expatriation doivent être choisies en fonction des besoins personnels.

Il est important de ne pas avoir de dettes pour se sentir libre.

Expatriation : Où aller et pourquoi ?

La France face à l'expatriation


"Il faut garder le côté positif."

"Il faut garder espoir."

"Les États-Unis, c'est dangereux."


Chapitres


00:00 Introduction et retour sur les podcasts précédents

03:04 Explorer les destinations d'expatriation

05:51 Les avantages et inconvénients de vivre à l'étranger

08:53 La France : un pays en déclin ?

11:54 Les opportunités d'investissement en France et à l'étranger

14:38 Les défis de l'entrepreneuriat en France

17:48 Les destinations alternatives : Afrique, Amérique, et au-delà

20:44 Stratégies d'investissement et création de richesse

23:57 Conclusion et réflexions finales



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    1 billion, 2 billion, 3 billion. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue sur le podcast RISK d'Expérience. Je suis avec mon acolyte Mehdi. Comment tu vas mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    On a fait des nouveaux tests de micro. 1 million, 2 million, 3 million. Comme Warren Buffett.

  • Speaker #0

    Et ça fonctionne et vous allez kiffer. Aujourd'hui, nouveau podcast. Donc on est là avec Mehdi tous les deux. On va parler un peu d'exotisme. On va aller un petit peu... naviguer dans d'autres pays, on va vous expliquer ça. Mais avant ça, petit retour sur les podcasts précédents. Donc le thème de l'été, c'était partir à l'aventure dans différents pays pour savoir où est-ce qu'on pourrait investir, si ça valait le coup dans différents pays. On a fait le Portugal, on a fait l'Espagne, on a fait Dubaï qui a cartonné. Merci à Dimitri, mais merci aussi à tout le monde de nous avoir fait découvrir les différents pays. La semaine dernière, on était en Italie à maquer les pastas. Moi, j'adore les pastas. Et toi, mon Mehdi ?

  • Speaker #1

    La nourriture italienne, je pense qu'on est the best of the best. Avec le Portugal, l'Espagne aussi, mais c'est vrai que coup de cœur à l'Italie.

  • Speaker #0

    En fait, partout. Non,

  • Speaker #1

    mais l'Italie, mec, pas de bolo. L'Italie, on est au-dessus. tiramisu

  • Speaker #0

    Les classes italiennes,

  • Speaker #1

    la classe italienne, tu ne peux pas lutter. Quand on parle de style, tout de suite, on pense à l'Italie. Pour tout ça, Lou, encore merci. Chaque podcast avait présenté ses différents avantages et inconvénients. Le Portugal a explosé et tout. L'Espagne a explosé. Après, en fonction des profils, vous avez trouvé... Moi, je sais que j'ai mes... ... Voilà, j'ai mes préférences, comme toi, tu as des préférences. Et là, aujourd'hui, dans ce podcast-là, clairement, où on est capable d'aller habiter pour déménager de France. Voilà, clairement, voilà. N'ayons pas peur des mots.

  • Speaker #0

    Exactement, c'est vrai que moi, j'y ai pensé un certain temps, il y a quelques années en arrière, à partir d'ici, puis aller habiter en Espagne. Bon, ça, c'est pas fait. Mais si un jour, on devait partir, c'est vrai que, voilà... On va un peu décrire tout à nos auditeurs. Où est-ce qu'on irait habiter et pour quelles raisons ? Pourquoi tel pays et pas un autre ? C'est vrai qu'il y a différents pays. Rester en Europe ou partir en dehors de l'Europe, après ça, ça va être propre à chacun. Parce qu'en fonction de ce que vous voulez, de vos business ou de votre attache ici en France, tout va dépendre d'où vous voulez partir. Après, c'est vrai que nous, on a quelques penchants pour certains pays. Donc, on va vous expliquer un petit peu tout ça. Pourquoi on irait dans tel ou tel pays pour vivre ? Toi, tu partirais où, mon Mehdi, toi ?

  • Speaker #1

    Écoute, le problème, c'est que... Et le problème de tous, quasiment, ce sera la famille. La famille, bon, ben voilà, si ta base, elle est en France, c'est vrai que psychologiquement, partir loin... Moi, il ne me reste que ma maman en France. Et après, le reste de ma famille, je ne m'entends pas trop. Donc, je n'ai plus ce problème-là. Et mon épouse, pareil, elle a sa maman. Et après, on n'a plus ce problème-là. Je pense, et ça, c'est ma conviction personnelle, je pense que l'Europe est morte. Et tu vois, pendant longtemps, j'ai voulu déménager à Madère. Madère, il y a des petits avantages fiscaux qui sont vraiment super intéressants. Le problème, c'est que comme c'est insulaire, comme c'est une île, le tourisme... ça commence à devenir un peu trop. Donc là, j'y retourne au mois d'octobre pour voir comment ça se passe. Mais il y a un autre pays, il y a un autre pays qui m'attire fort. Et ça, franchement, ça n'a rien à voir, on n'en a jamais parlé, c'est le Panama. Le Panama, avantages fiscaux, un climat de fou et tout à faire. Au niveau sécurité, le Panama, on est parmi les meilleurs du monde. Et pourtant, Amérique latine, etc. Je n'en ai jamais parlé. Et j'ai commencé à m'intéresser au Panama quand j'ai investi dans de l'immobilier tokenisé via Realty. Realty, c'est une société, je n'en fais pas la promo. Et franchement, je ne suis pas forcément super content. Donc voilà, j'avais acheté de l'immobilier aux Etats-Unis, tokenisé de l'immobilier qui avait été fractionné en crypto-monnaie. Et après, j'ai acheté de l'immobilier. au Panama, il y a toujours eux. Faites ce que vous voulez, moi je vous le conseille pas et je ne vous le déconseille pas non plus. J'ai fait une aparté, c'était juste pour expliquer pourquoi je connaissais Panama. Franchement, Allez-vous rencarder sur le Panama, c'est une tuerie. On dirait Dubaï, mais en moins, n'ayons pas peur des mots, en moins rebeu, il n'y a pas de religion. La religion, c'est autre chose. Donc ceux qui sont réfractaires à Dubaï, pensez Panama.

  • Speaker #0

    Mais dis-moi, le Panama, ce n'est pas ce pays-là où le nouveau président a arrêté tous les gants, non ? C'est dans ce pays-là ou c'est dans un autre pays ?

  • Speaker #1

    C'était pas le Venezuela C'était pas le Costa Rica toi ? Avec les Boukele

  • Speaker #0

    Je sais plus quel pays c'est Il a arrêté tous les gangs Il les a emprisonnés dans des prisons

  • Speaker #1

    C'est le Salvador

  • Speaker #0

    Le Salvador Non j'irai jamais là-bas C'était pour savoir Je sais que le Panama Je connais pas Je peux pas détailler là-dessus Il y a aussi le Costa Rica qui cartonne apparemment Merci.

  • Speaker #1

    Après, toute cette région-là, je ne sais pas si tu as déjà voyagé là-bas. Moi, j'ai fait un peu l'Amérique latine. C'est magnifique. C'est magnifique. Par contre, côté sécurité, on critique la France pour le point de vue sécurité. L'Amérique du Sud, ils sont en train de rattraper leur retard. Mais voilà, ce n'est vraiment pas sécuritaire.

  • Speaker #0

    Moi, je n'ai pas fait l'Amérique. J'ai fait la République dominicaine à l'époque, il y a 20 ans. Il y a 20 ans, t'imagines.

  • Speaker #1

    Après, juste pour situer la République d'Homme, c'est une île, elle est séparée en deux. Il y a d'un côté Haïti et de l'autre côté la Repdom. Donc oui, l'instabilité haïtienne, elle est en Repdom. En fait,

  • Speaker #0

    il y a 20 ans, tu vois, j'en avais 24, 23, 24. Et quand on est parti, on était une bande de potes, on était au nord de l'île. Et en fait, les autorités et surtout le complexe, en fait, c'était... C'était un gros complexe hôtelier, mais vraiment sécurisé, qui regroupait 4-5 hôtels. Donc tu vois un peu la bête, tu vois. Tu avais plein d'hôtels avec un golf et tout, et tout était regroupé, mais tout sécurisé. En fait, tu pouvais rester à l'intérieur de ce complexe-là sans sortir. Et ils nous préconisaient de ne pas sortir parce que c'était dangereux à l'extérieur. Bon, tu vois, à nous, t'as beau nous dire ça, on sortait quand même. Mais c'est vrai qu'à l'époque, c'était un peu dangereux. Il fallait faire très attention. Il fallait faire très attention. Nous, on s'est un peu mélangé aux locaux. Mais voilà, il fallait garder les yeux ouverts. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Oui, tu m'étonnes.

  • Speaker #0

    Mais là, il y a 20 ans, la Repdom, ça a changé. Ça a changé. Il y a beaucoup de Français qui s'y sont installés. Après, voilà, Tahiti qui est à côté. Le pays se développe grâce au tourisme. Mais ce n'est pas non plus... Voilà, ce n'est pas comme en Europe. Ça n'a rien à voir. Après, je ne peux pas trop en parler parce que je ne connais pas tout ce qui est au niveau médical. Je pense qu'il doit y avoir des hôpitaux privés. C'est vrai que ça se fait beaucoup dans les pays, tout ce qui est Asie, Amérique latine, même aux Etats-Unis.

  • Speaker #1

    Même Afrique, maintenant.

  • Speaker #0

    Voilà, donc beaucoup d'hôpitaux privés. Tu payes et puis tu as accès aux soins. Mais c'était pas mal, c'était pas mal, mais je ne peux pas trop développer, je ne connais pas trop. Au Panama, je vais me renseigner. Tiens, tu m'as mis un petit truc dans la tête.

  • Speaker #1

    Parler, parce que ça, en fait, il ne faut pas trop en parler pour ne pas être découragé. Parce que la famille a les petits intents mindset, mais la famille sera toujours là pour te décourager parce qu'elle veut ta sécurité. Donc, garde les idées pour toi. Étudie ton projet. Et voilà. Moi, par contre, tu vois, c'est des choses. En fait, il faut toujours apporter le côté positif pour minimiser le côté négatif. Parce qu'il y a toujours un côté négatif. on sort de son confort, on quitte la France et en fait, on recommence tout. Alors par contre, attention, il y a les destinations où on part pour aussi travailler et la destination où on part en étant rentier. Ça, voilà. Ça,

  • Speaker #0

    c'est encore autre chose.

  • Speaker #1

    Mais c'est quelque chose qu'il faut prendre en compte.

  • Speaker #0

    Exactement. Moi, tu vois, je suis très attaché à elle et j'aime beaucoup la France. Pourquoi ? Parce qu'en France, on a tous les paysages, toutes les cultures. au niveau de la gastronomie on est un des pays au niveau gastronomique où c'est le top du top et puis c'est surtout que t'as tous les climats tu vois ce que je veux dire ? t'as la montagne d'un côté, t'as la mer t'as l'océan, t'as au nord si t'aimes la pluie, si t'aimes le froid bah tu vas au nord, tu vois ce que je veux dire ? donc t'as différentes régions avec différents climats et moi je suis attaché à la France j'aime beaucoup la France mais je pense qu'on est dans le déclin Alors, je n'ai pas envie de faire peur à tout le monde, mais je pense que la France est en déclin assez sévère et je pense qu'on n'est pas prêt de remonter, si ce n'est que ça va se détériorer d'année en année. On voit comment ça se dégoupille, enfin ça se goupille là, avec tout ce qui est politique, toutes les taxes ou autre. Je ne vois pas trop d'éclaircies. Donc voilà, c'est vrai qu'avec Mehdi, on fait nos affaires. Je pense que voilà, maintenant, c'est de l'individualisme. On reste individuel, on pense à nos gueules. C'est vraiment le mot, je pense qu'on en est arrivé là. On fait nos trucs, on fait nos business, on fait nos argents. Et puis, un jour, on partira parce que le climat en France se détériore énormément. Malgré que j'aime beaucoup, j'adore la France.

  • Speaker #1

    Après, il faut quand même avouer que la France... Alors, je vais parler du côté sécuritaire. On n'est pas tous égaux. Tu prends, regarde, en Ile-de-France, tu as des coins qui sont ultra-sécurs et d'autres coins qui sont ghettos. Mais en France, tu peux aller dans des endroits quand tu as de l'argent. Tu peux aller dans des endroits qui sont ultra-sécurs. Tu n'as pas de... Je suis désolé. Quand tu habites dans certaines régions, bon, ben voilà. Tu te fais plaisir dans certaines régions, tu es tranquille.

  • Speaker #0

    Ah ben, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #1

    Tu vois, voilà. Tu n'as pas de... Moi, je sais que... Bon, voilà, je connais très bien le Pays-Bas. Je connais aussi bien tout ce qui est Ariège, etc. Ils n'ont pas les mêmes problèmes que tu vas trouver dans les grosses métropoles. Donc, il y a aussi... une juste mesure. Après, par rapport à tout ce qui est fiscalité, etc., une fois que tu es en société, tu peux quand même faire pas mal de choses quand tu es en société, tu vois. Donc, pour avoir moins l'impact sur l'individu, moins l'impact sur la personne physique. Donc, après, il faut aussi arrêter de se mettre la pression par rapport à tout ce qu'on peut entendre sur CNews, BFM, etc., parce que notre opinion... Elle est orientée pour qu'on aille vers là où on veut nous envoyer. Après, oui, il y a de l'immigration. Après, oui, il y a ceci, oui, cela. Il ne faut pas oublier que la France, c'est quand même un top pays. Et que ce pays-là, en fait, il y a juste à déplacer les populations. Donc, se déplacer pour aller dans des endroits où vraiment on peut retrouver la qualité, comme on le dit, la qualité française. Après, le pays n'est pas mort. C'est juste que là, on a une transition qui n'est pas forcément plaisante.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord, le pays de paix à mort. C'est pour ça que moi, je pense que je vais…

  • Speaker #1

    Comment ? Il faut garder espoir.

  • Speaker #0

    Il faut garder espoir. Après, comme tu dis, il ne faut pas tout mettre dans le même panier. Après, en France, on peut faire de l'argent, il n'y a pas de problème. On peut créer du business. Les banques nous aident, on a beaucoup d'aide. Donc ça, il n'y a pas de souci. C'est juste, voilà, il y a un juste milieu. et quand ça va trop vite. trop loin, je ne suis pas seul à le dire, des fois c'est un peu compliqué. Je suis d'accord avec toi. C'est d'un côté professionnel, je parle.

  • Speaker #1

    Je suis d'accord avec toi sur le côté personne physique. Maintenant, personne morale en société, je ne sais pas trop, mais je pense qu'en Europe, après avoir étudié le truc, en Europe, la France pour les sociétés, je parle. Alors, je ne parle pas de tout ce qui est imposition sur le salarié. Là, on est vraiment sur autre chose. Je te parle vraiment de tout ce qui est investissement, tout ce qui est un système vraiment pyramidal avec une holding, etc. Franchement, on est bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    C'est vraiment bien.

  • Speaker #0

    On est bien.

  • Speaker #1

    Tu peux vraiment payer le moins d'impôts possible. C'est d'ailleurs pour ça que certains gros groupes restent en France. Et ça, il ne faut pas oublier de le dire. Cette semaine, il y a eu une enquête parlementaire. Je t'en ai parlé, je crois. Il y a une grosse société du 440 en France qui a touché en 2022-2023 plusieurs milliards d'euros d'aide. Cette société, elle n'en avait pas forcément besoin. Et en fait, dans la commission parlementaire, on demande au patron de sa société pourquoi, bizarrement, les dividendes qu'elle a versés à ses actionnaires, à quelques centimes près ou quelques euros près, représentent le montant de l'aide. Et là, tu as le patron qui dit, mais il dit au calme. Il dit, bon, ben voilà, si vous voulez qu'on vous les rembourse, on vous les rembourse. Concrètement, ce qui s'est passé, et je ne vais pas donner la société, mais enfin aussi, je peux même la donner, c'est Carrefour. Carrefour, en fait, en 2023, ils ont versé à leurs actionnaires, on va dire une connerie, tu vois, on va dire 20 milliards d'euros de dividendes. OK, et ben, ces dividendes-là, ils représentent exactement l'aide que l'État a donnée un an avant. Tout ça pour dire quoi ? juste pour dire que est-ce que Carrefour, qui représente plusieurs milliers d'emplois en France et dans le monde, est rentable ? Là, on a clairement vu qu'elle n'était pas rentable, parce que sinon, elle n'aurait jamais versé le montant de ses aides aux actionnaires pour leur faire croire. En fait, tout ça, c'est pour montrer que notre argent, il se tourne. Donc concrètement, qu'est-ce que je veux dire ? Je veux dire, investissez sur les bons chevaux. Et c'est bon chevaux, quand vous payez les impôts, ça va vous revenir.

  • Speaker #0

    Exactement, exactement. Donc voilà, pour en revenir...

  • Speaker #1

    J'ai cassé l'ambiance là.

  • Speaker #0

    Non, non, non, mais là on s'écarte un petit peu du sujet. Mais non,

  • Speaker #1

    c'est juste pour dire que la France, c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    Non, c'est pour ça que je reviens à dire que la France, il y a ses avantages et ses inconvénients. C'est pour ça que moi, je pense que je garderais quelque chose ici. C'est même sûr, parce qu'il y a de la famille, puis j'ai une attache au pays qui est bien. Après, partir en dehors de l'Europe,

  • Speaker #1

    je… Pour la monnaie, t'es obligé.

  • Speaker #0

    Oui, pour la monnaie, mais où, moi, à l'heure actuelle, je serais incapable de te dire où je pourrais aller. À l'heure actuelle, en dehors de l'Europe. Je ne sais pas. Franchement, il y a l'île Maurice, pourquoi pas, pour ses avantages fiscaux, bien sûr. Et puis le climat, on sait tous que l'Immobus...

  • Speaker #1

    Au côté insulaire, les îles, c'est particulier.

  • Speaker #0

    C'est pour ça, il pourrait être peut-être là-bas. Dubaï, je ne sais pas. Je ne connais pas, donc je ne peux pas dire.

  • Speaker #1

    Ils vivent tout le temps.

  • Speaker #0

    Ils vivent tout le temps parce qu'il fait trop chaud.

  • Speaker #1

    Non, mais même n'ayons pas peur. Après, c'est une religion qui est différente. C'est OK, on est en France. Certains se plaignent de la... On va dire, rentrons dans les... certains se plaignent de l'islam, etc. Là-bas, tu vis dans un pays où tu entends cinq fois par jour l'appel à la prière.

  • Speaker #0

    Ça ne me dérangerait pas.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, par exemple, moi au Maroc, alors que j'ai des biens au Maroc, je sais que mon épouse, elle, ça peut la déranger. Elle n'a rien du tout à ma tête. Mais aller vivre dans un pays musulman, ça peut représenter pour certaines une gêne. Mais pas forcément aller en vacances, il y a d'autres soucis, mais y vivre, c'est autre chose. Moi, je mets les pieds dans le plat, parce que concrètement, il y a beaucoup de gens qui ne se rendent pas compte. Aller vivre dans un pays où, comme en France, tu as toujours été open, tu peux parler de tout, là, tu parles dans des pays où, en fait, un peu peut-être comme l'Asie, certains pays, en fait, il y a des restrictions. Tu ne peux pas parler de tout. Il y a des choses que tu ne peux pas les dire. Donc ça, c'est aussi à en prendre en compte. Et moi, je n'ai pas honte de le dire.

  • Speaker #0

    Après, tu changes de pays, tu t'adaptes au pays, ce qui est normal. Moi, ça ne me dérange pas. là si je devais partir concrètement Moi, ce serait en Espagne. Vous savez très bien que j'ai une attache à l'Espagne qui est assez énorme. Donc, je partirai, je pense, en Espagne. Mais on reste encore en Europe. Voilà. On reste encore en Europe. Et en dehors de l'Europe, je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je ne me suis jamais posé la question. C'est vrai que c'est difficile à se dire de sortir de l'Europe, mais pour aller où ?

  • Speaker #1

    Tu sais, il y a des coins de l'Afrique. qui sont blindés, et on n'en parle pas, ils sont blindés et tu as des vues exceptionnelles. Je parle surtout de l'Afrique anglophone, donc toute la deuxième partie de l'Afrique, pardon, la partie sud de l'Afrique. Certes, ce n'est pas forcément courant d'en parler, mais moi je sais que la Namibie c'est une tuerie. Alors, il... enfin... Il faut mesurer mes propos. Mais tu vois, toute la partie sud de l'Afrique, à étudier. Je ne me lance pas là-dedans, mais juste à étudier et observer.

  • Speaker #0

    Après, en dehors de l'Afrique, alors que je ne connais pas, il y a l'Afrique du Sud. Encore ça, il faut étudier.

  • Speaker #1

    C'est dangereux.

  • Speaker #0

    Je sais que c'est dangereux. Après, tu as les États-Unis.

  • Speaker #1

    Pourquoi pas ?

  • Speaker #0

    Les États-Unis. Si tu veux faire du business et tu veux être chill, tu peux faire les deux là-bas. Les États-Unis.

  • Speaker #1

    Moi, j'avais étudié le département ou la région d'Alberta. C'est au Canada. C'est limite frontière américaine, côté au-dessus du Montana, au-dessus…

  • Speaker #0

    C'est Seattle, non ?

  • Speaker #1

    Oui, Seattle, c'est vraiment côté…

  • Speaker #0

    C'est côté ouest.

  • Speaker #1

    C'est côté ouest. Moi, c'est vraiment un peu plus… C'est toujours sur le côté ouest, mais central, sachant que d'un côté à l'autre, de San Francisco à… New York, il y a quand même, je crois, 4000 ou 5000 kilomètres. Donc, tu vois, c'est énorme, c'est immense. Donc, c'est vraiment, tu prends la partie centrale des États-Unis, plus vers le côté ouest, et c'est à la frontière entre le Canada et les États-Unis. Canada, parce que, en fait, moi, je suis plus en phase avec l'idée canadienne plutôt que l'idée américaine, mais après, c'est les convictions perso. Et cette région-là, je vous invite à aller voir la région Alberta au Canada. vous allez en prendre plein la vue c'est une tuerie,

  • Speaker #0

    il n'y a pas d'autre mot je ne connais pas moi tu sais j'ai eu une locataire qui est restée longtemps ici une américaine de Seattle Et Seattle, tu sais, c'est tout à l'ouest, en Ausha gauche des États-Unis. En fait, tu n'es pas loin du Canada et tu as une chaîne de montagne qui est entre les deux. Et m'expliquer que le climat était un peu comme ici, un peu comme en France. Tu as la mer. Bon, la mer n'est pas très chaude non plus, mais tu as la mer, tu as la montagne et tu n'es pas loin du Canada. Et après, tu es dans une grosse ville. Bon, Seattle, c'est quand même assez énorme. Tu as Amazon, tu as des gros groupes là-bas. c'est pas c'est pas mal, il fait bon vivre aussi. Donc, pourquoi pas les Etats-Unis ? Après, moi, si je devais aller aux Etats-Unis, c'est pour créer du business. C'est pour du business, pas pour vivre la rente ou autre. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Tu vois, tout à l'heure, on était en train de... Je t'ai évoqué deux cas. Le cas où tu es rentier et tu pars, et le cas où tu dois aller bosser. Où tu dois partir de France et tu dois aller bosser. Eh bien, le Canada, c'est une... Ou les Etats-Unis, c'est une destination où tu peux partir bosser. Tu peux changer de vie, mais pour partir bosser. Il n'y a pas de honte à bosser. Il n'y a pas de honte à se dire, OK, je quitte tout et je recommence tout. Au contraire, c'est là que mentalement, tu te montres à toi que tu n'es pas un bon à rien, que tu es capable d'eux. Et les États-Unis, si tu es un charbonneur, si tu acceptes de faire des horaires et d'être déterminé, mais tu vas faire fortune, c'est obligé. Tout comme le Canada.

  • Speaker #0

    De toute manière, si tu fais la même chose en France, si tu es un bosseur et que tu ne lâches rien, Tu fais déjà ça en France. Ce n'est pas pareil. Mais si tu as cette conviction et si tu as ce mindset-là, là-bas, ça va être décuplé. Parce que tu as la culture là-bas.

  • Speaker #1

    La France, c'est bon pour tout ce qui est investissement. Dès que tu commences à créer un business, le problème, c'est que si tu as un business et que tu dois payer des charges salariales, tu es mort dans le film. Parce que pour donner un ordre d'idée, 2 000 euros de salaire, tu as la même chose. en charge. C'est-à-dire qu'il faut que tu génères 4000 euros et tu n'as même pas créé de la richesse. Tu as juste généré 4000 euros juste pour payer quelqu'un qui va travailler pour toi. 4000 euros, mec. Je fais ça à l'année et tu as capté ? Tu as 4000 euros juste pour payer un salarié. Tu n'as rien fait. Tu as juste un salarié. Donc imagine, tu multiplies. Il faut que ton activité ait un truc. On reprend la même chose au Canada. Parce que ça, je le sais. On reprend la même chose au Canada. Tu prends quelqu'un, tu vas le payer 2 000 dollars. 2 000 dollars. À la fin, écoute, les 2 000 dollars, ça provient à 5 000 dollars.

  • Speaker #0

    Tu vois,

  • Speaker #1

    tu as 18 000 dollars de diff. 18 000 dollars, c'est ton bénéfice.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est énorme. Donc, en fait, après, tu vois, tout ça, franchement, au bout d'un moment, tu vois, si tu veux créer un business, si tu veux vraiment vivre d'un business, quand je dis créer un business, c'est avec des salariés. C'est pas, voilà, on n'investit pas. Quand on investit, il n'y a pas de salariés. Tu peux investir dans une boîte, mais en fait, toi, tu es un investisseur. Tu n'es pas un chef d'entreprise. Aide-moi parce que là, je pars dans mes trucs. Mais bon, dans l'idée, c'est ça. C'est avoir un business sans salariés. Aux États-Unis, tu peux te permettre d'avoir des salariés parce que déjà, tu as moins de contraintes au niveau. Si tu dois malheureusement te séparer d'un collaborateur, tu peux te séparer d'un collaborateur. Il n'y a pas de prud'homme, il n'y a pas de machin, il n'y a pas de site.

  • Speaker #0

    C'est complètement différent.

  • Speaker #1

    Et les gens, comme ils savent qu'ils ont besoin de taffer, ils sont... Ils ont un autre état d'esprit, tout est basé sur le service. Ici, tu vas prendre un gars, tu vas lui expliquer c'est quoi sa fiche de poste. Le mec, deux mois après, tu reviens, il va te dire pourquoi je dois faire ça. Mais mec, c'était dans ta fiche de poste de base. Moi aujourd'hui, je manage des gens, je suis là à leur expliquer ce qu'ils ont signé. Mais je me dis, mais mec, tu n'as pas compris en fait, c'est ton travail, t'es payé pour ça. Ouais, mais non, mais en fait non. Bah mec, voilà, et ça tu te le traînes. Et tu vois, t'as quelqu'un qui est moins productif. Tu lui expliques, tu lui expliques, mais en fait, c'est de la perte de temps. Aux États-Unis, aux States, il n'y a pas de ça. C'est tu ne fais pas l'affaire next. Et du coup, ça motive, ça crée de la productivité chez les gens. Et de la précarité, certes, mais ça crée de la... En fait, les gens, ils n'ont pas le choix. Et ça, cet état d'esprit-là pour partir bosser, pour partir créer un business, comme il dit Nico, c'est le top.

  • Speaker #0

    Ah mais carrément. Et moi, tu vois, j'avais étudié tout ce qui était création de sociétés en Espagne, en Catalogne. et en fait, pareil, tu as des avantages, ça n'a rien à voir avec la France. Donc, tu ne payes pas les mêmes charges, en fonction des régions, ce n'est pas les mêmes charges, tu vois. Tu n'es pas ponctionné pareil au niveau des impôts, et c'est plus avantageux. Moi, j'avais vu pour les sociétés, c'était plus avantageux, parce que je voulais ouvrir un business là-bas, et je me suis dit, putain, mais ça n'a rien à voir, ça n'a rien à voir. Donc après, voilà, il faut étudier en fonction de... Si c'est pour être à la cool, et puis pouvoir vivre tranquillement, et tu as des biens déjà en France. où tu as un business qui tourne, parce que tu peux avoir un business en France et habiter à l'étranger. C'est tout à fait possible. Tous tes revenus qui sont générés en France seront payés en France, quoi qu'il arrive, même si tu habites à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu as vu les taxes qu'ils ont mis là ? Mais vraiment, ils font pitié.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas fini, ce n'est pas fini.

  • Speaker #1

    La taxe pour déménager à l'étranger.

  • Speaker #0

    5 000 euros. C'est 2 000 euros de plus.

  • Speaker #1

    Franchement, le mec qui a de la thune, 5 000 euros.

  • Speaker #0

    Il n'en a rien à foutre.

  • Speaker #1

    C'est plus pour essayer de limiter les départs de masse des classes moyennes qui se font malheureusement éclater et qui, elles, n'ont pas trop le choix et pour qui 5 000 euros, ça peut représenter une somme. Alors,

  • Speaker #0

    c'est 5 000 euros si tu... Si tu abandonnes tout en France, c'est-à-dire que tu n'as plus rien, tu ne reviens pas.

  • Speaker #1

    Tu ne reviens pas. Tu ne reviens pas. Tu peux rester en France.

  • Speaker #0

    Si tu fais tous les six mois un bien et que tu as une résidence secondaire à l'étranger.

  • Speaker #1

    Tu peux esquiver. Mais en fait, le but, c'est quoi ? C'est de se barrer définitivement. Donc, 5 000 euros, est-ce que tu crois vraiment que ça peut être un frein pour quelqu'un qui est déter ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que c'est galère.

  • Speaker #1

    L'État qui fixe ça, c'est qu'il est en galère. Il est en PLS. Il met 5 000 euros pour dire, OK, tu pars, tu te mets 5 000. Juste pour savoir qu'à un moment, je regardais Miami pour habiter à Miami. Il fallait que j'ai 80 000 euros que j'investisse sur une boîte là-bas. Et j'avais l'équivalent d'un visa de 5 ans. Alors, je ne sais plus si c'est de ça, mais c'était pour avoir la green card, etc. Il fallait que tu mettes 80 000 dans une boîte. Dans d'autres régions des States, notamment le Texas et une région qui était riche, c'était dans le nord, il fallait mettre, je crois que c'était 200 000 dollars. Tu mettais 200 000 dollars et tu avais la green card.

  • Speaker #0

    Oui, mais après, tu as différents pays comme ça. Tu sais, tu as la Crète. Tu vois la Crète. Pas la Crète, excuse-moi. Comment il s'appelle le pays ? Malte. Tu vois Malte ? Je ne t'entends plus.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est normal. C'est parce que j'ai encore pas isolé nickel mon studio et j'ai un avion qui est passé juste au-dessus parce que j'ai un aérodrome juste à côté. Donc, c'est le problème de Rich.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je te disais. À Malte...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, il vient de Malte. Il a pris son Boeing, son jet privé.

  • Speaker #0

    À Malte, tu as des avantages fiscaux, mais tu es obligé de poser un certain montant pour pouvoir être résident et à voir les avantages fiscaux. avec Malte, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça c'est pareil, t'as beaucoup de pays comme ça. T'es obligé de poser sur des biens pour avoir différents... soit pour avoir le passeport, soit pour avoir la possibilité d'y habiter ou autre, tu vois ce que je veux dire ? Donc t'as différents pays. En France, non, y'a pas ça, tu vois. Mais tu vas dans différents pays, y'a ça. Tu vois, comme à Dubaï, comme on expliquait avec Dimitri, il faut poser autant d'argent pour avoir le visa, la Golden Visa, enfin tu vois, plein de... Plein de différents montants pour pouvoir y habiter, tu vois ce que je veux dire ? Donc ça, plein de pays le font, notamment

  • Speaker #1

    Malte. À un moment, on parlait de l'Estonie.

  • Speaker #0

    Je vous parlais de l'Estonie, non ?

  • Speaker #1

    Oui, justement, en fait, l'Estonie, c'est un des pays d'Europe où il y a le moins d'imposition. Et c'est pour ça qu'à une certaine période, toutes les entreprises, tous les influenceurs, etc., avant Dubaï, ils allaient tous en Estonie. Et ils mettaient leur holding, comme en Irlande, tu vois. Ils mettaient tout dans ces pays-là pour diminuer, en fait, tout ce qui était fiscal. Mais moi, je ne me vois pas du tout vivre en Estonie. Je ne dis pas, je dis juste que 15h ou 16h, il fait nuit.

  • Speaker #0

    Voilà. C'est plus la qualité de vie après. Mais c'est vrai que les pays de l'Est, c'est bien pour les vacances.

  • Speaker #1

    Bon, alors on continue, les amis. Nico, il a sûrement eu une petite perte de connexion. Donc voilà. Et ce qu'il faut savoir, c'est que vraiment, il ne faut pas avoir honte de se dire on peut déménager pour aller travailler ailleurs. Ça, c'est vraiment quelque chose, il faut en avoir conscience. Au même titre que celui qui a tous ces business-là. Alors attention, et moi franchement, je mets les pieds dans le plat. Quand vous avez du cash flow, que le crédit n'est pas terminé, il peut tout se passer. C'est-à-dire que quand vous avez du cash flow, le cash flow est éphémère. Même si vous avez des grosses sommes de cash flow, le cash flow est éphémère. Une fois que vous avez payé votre crédit, que ce soit votre locataire qui l'a payé ou vous, et que vous n'avez plus de crédit sur l'appartement ou sur l'immeuble ou sur la maison que vous avez, là, on peut parler vraiment de cash flow.

  • Speaker #0

    Parce que les charges sont mesurables et vous n'avez plus de dette. Donc au final, la force, c'est de ne plus avoir de dette. Même si en France, la force qu'on a par rapport aux autres pays, c'est de pouvoir lever de la dette par l'effet de levier des banques, par l'effet de crédit. Mais on est riche uniquement quand on n'a plus de crédit. Et ça, il faut vraiment l'intégrer parce que très peu de gens le disent sur Internet. Et aujourd'hui, moi, clairement, je vous le dis. Dans une SCI, ça c'est une stratégie que vous devez peut-être avoir. Dans une SCI, vous devez avoir un bien à cash flow et un bien patrimonial. Le bien à cash flow, il est là juste pour payer le bien patrimonial, faire une équivalence de balance. Le bien à cash flow, il va être galère à revendre, certes, mais il va permettre de créer une balance patrimoniale. C'est-à-dire, on va prendre un exemple concret. Si j'ai la possibilité d'acheter un bien, dans le sud de l'île de France, dans une région pas trop loin de chez moi, généralement à une heure, une heure et demie de chez moi, grand max, qui est très rentable par le prix d'achat et qui est très abordable par le prix de loyer, par exemple, de la location, et qui est très abordable par le prix d'achat, mais qui sera dur à revendre, j'achète ça. Mais pour faire la balance, je vais équilibrer avec un bien. Par exemple, j'habite en banlieue parisienne. Je vais me rapprocher au maximum de Paris avec un bien qui n'est pas rentable, mais qui est patrimonial, qui sera toujours rentable à la revente. Pourquoi je fais ça ? C'est parce que dans une société, l'objectif, c'est d'avoir un bien crash de l'oseille et un autre bien qui, lui, sera toujours là si j'ai besoin de fonds ultra liquide. Et le patrimonial ? C'est ce qui vous fera vivre. Une fois que tout sera payé, c'est le patrimonial qui vous fera vivre. L'autre, il ne faut pas avoir le côté peu liquide. Parce que le bien qui est peu liquide, en fait, il faudra le revendre qu'à une seule personne qui voudra faire la même stratégie que vous. Donc, c'est très compliqué de le revendre. Mais le bien patrimonial, lui, grâce au bien qui génère du cash flow, sera ultra rentable. Et cet équilibre-là dans une société, toujours un bien qui est peu liquide, mais qui crache du cash flow, et un bien qui est très liquide, mais qui lui n'a pas de cash flow, voire juste à l'autofinancement. Et les deux balancent. Voilà une petite stratégie. Une fois que vous avez plusieurs SEI comme ça, là on peut se dire, ok, on peut peut-être éventuellement déménager. Parce que, je vous le rappelle, pour moi, tant que vous n'avez pas entre 5000, c'est la limite. pour pouvoir commencer à se dire, OK, on quitte notre job. 5 000, c'est la limite. Parce que je vous le rappelle, en cas de travaux, en cas de choses, etc., dès que vous avez 5 000 balles, les 5 000 balles, ils vont fondre. Donc, par exemple, une toiture, une toiture, vous êtes très vite à des crédits qui sont importants. Si vous n'avez pas de réseau de côté qui puisse faire la balance, on va tout de suite taper dans vos revenus. Donc, voilà. Alors, mon ICO n'est toujours pas revenu. On est à 33 minutes de podcast, donc je vous rappelle, les destinations qu'on a évoquées étaient Panama pour moi, parce que je trouve qu'en fait le climat et la fiscalité y est top. Après, est-ce que j'irais, ça c'est un autre débat, mais je l'étudie depuis un certain temps. Madère pour moi aussi, parce qu'en fait je suis très proche de la France et que Madère, je connais bien et que j'adore cette île. Maintenant, le côté touristique de Madère me pose un problème parce que si vous avez été récemment dans ces îles comme en Corse, la circulation avec les touristes qui ne respectent rien peut poser problème. Mais par contre, en fait, Yves, c'est le top parce qu'en hors saison, c'est vraiment juste le kiff. Et quand vous habitez sur place, comme à La Réunion, j'ai de la famille à La Réunion, vous avez quand même certains avantages fiscaux qui peuvent être... qui ne peuvent justement pas être mis de côté. Après, pour Nico, c'était apparemment Malte, d'après ce que j'ai cru comprendre, Malte, et également l'Espagne, sachant que l'Espagne, il connaît très bien. Moi, le Portugal, franchement, il y a des villes au nord du Portugal, mais ça reste l'Europe. Le problème, c'est qu'à voir si oui ou non, comment évolue l'Europe. Aujourd'hui, si les pays avaient vraiment leur souveraineté, moi, je dirais on reste en Europe. En France, je vous dis. Aujourd'hui, si vous avez tout en société, même si vous gagnez de l'argent, il y a moyen de... Ah bah Nico, il est revenu ! 34 minutes, cher ami ! Quasiment 10 minutes tout seul ! Tu m'as abandonné !

  • Speaker #1

    Tu sais que... Non, non, mais je te voyais en plus, je t'écoutais, je te voyais et je parlais, mais bon, c'est pas grave. Des fois, ça peut arriver. T'as bien géré mon midi, comme d'habitude. Donc voilà, pour clôturer ce podcast, tout dépend un peu de ce que vous avez envie de faire, si vous voulez rester en France ou pas, à l'étranger. Tout dépend, après, comme vous avez dit Mehdi, de ce que vous avez en fonds propres, parce qu'il faut quand même partir avec un peu de cash et des rentrées assez conséquentes. Après, si vous avez des business, tant mieux, ça tombe tout seul. Mais après, ça vous appartient de partir soit pour du business, soit pour vivre tranquillement. et puis... changer d'air et puis aller dans une culture un peu différente. Donc ça, c'est propre à chacun. Moi, je sais que l'Espagne, ça me tente. S'il faut partir de l'Europe, bonne question. États-Unis, Canada, le reste, je ne sais pas trop. Peut-être l'île Maurice, les Émirats, à voir. Tout dépend après en fonction de ce qu'on a en termes de... de monnaie, de business. Donc ça, c'est propre à chacun. Et puis, notre ami Mehdi, ça sera sans doute peut-être le Canada, le Panama. Ou rester en France, tout dépend après de comment ça se passe. Et de l'évolution de notre cher pays français. Donc voilà. Donc voilà, on a fait un petit tour là-dessus. J'espère que ça a pu vous aiguiller, puis vous permettre de réfléchir un peu à ce que vous pourriez faire. où vous pourriez aller pour partir de la France. Donc, voilà, si vous avez besoin, n'hésitez pas à écouter les podcasts précédents où on parle des autres pays. Ils sont plutôt sympas pour y vivre, c'est pas mal. Portugal, c'est très bien. L'Espagne, c'est bien. L'Italie, pareil, c'est sympa. C'est à côté de la France, c'est accessible, c'est sécure, tout ce qui est hôpitaux, c'est nickel. L'investissement, c'est pas mal. Dubaï, après, toi encore, c'est un autre step. Je dirais que Dubaï, c'est un autre step. Si vous avez du business ou autre, donc à voir. Écoutez, merci à tous. J'espère que vous avez passé un beau moment. On se dit à la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Bonne journée, bonne soirée. Bye bye. On se casse ? Eh bien nickel, moi je me casse.

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