#44 L'écriture qui guérit avec Nayla Chidiac cover
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Sacrément Beau

#44 L'écriture qui guérit avec Nayla Chidiac

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47min |01/06/2025
Play
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Description

Écrire, c’est parfois survivre.

Quand les mots se dérobent, quand la douleur fige la pensée, l’écriture devient un refuge. Un

espace. Un souffle.

Car les traumas laissent des silences. Des blancs dans la mémoire, des coupures dans le fil de soi. Ils

immobilisent la pensée, empêchent parfois de sentir, de comprendre, d’avancer.

Et pourtant. Un mot, puis un autre. Une phrase griffonnée dans un carnet. Une tentative maladroite

de dire l’indicible. Peu à peu, une forme se dessine. Une structure. Une voix.

L’écriture n’efface pas les blessures. Mais elle les accueille. Elle les contient, les transforme. Elle

aide à mettre de l’ordre dans le chaos, à nommer pour ne plus être noyé, à relier pour ne plus être

seul.

C’est de ce pouvoir-là dont nous parlons aujourd’hui. Celui de la littérature, non pas comme un art

réservé à quelques-uns, mais comme une nécessité humaine, un outil de réparation.

Mon invitée du jour est docteure en psychopathologie, psychologue clinicienne et écrivaine. Elle a

fondé les premiers ateliers d’écriture thérapeutique à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris, et elle explore

depuis des années la puissance de l’écriture dans les contextes les plus extrêmes, notamment celui

de la guerre.

Dans son livre L’écriture qui guérit, paru aux éditions Odile Jacob en janvier 2025, elle nous invite

à écouter autrement, à écrire autrement, à penser autrement.

J’ai la grande joie d’accueillir aujourd’hui, dans Sacrément Beau, Nayla Chidiac.

Pour vous inscrire à ma newsletter bimensuelle, et recevoir mes pensées partagées et les actualités du podcast Sacrément Beau : https://penseespartagees.kessel.media/posts


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Écrire, c’est parfois survivre.

Quand les mots se dérobent, quand la douleur fige la pensée, l’écriture devient un refuge. Un

espace. Un souffle.

Car les traumas laissent des silences. Des blancs dans la mémoire, des coupures dans le fil de soi. Ils

immobilisent la pensée, empêchent parfois de sentir, de comprendre, d’avancer.

Et pourtant. Un mot, puis un autre. Une phrase griffonnée dans un carnet. Une tentative maladroite

de dire l’indicible. Peu à peu, une forme se dessine. Une structure. Une voix.

L’écriture n’efface pas les blessures. Mais elle les accueille. Elle les contient, les transforme. Elle

aide à mettre de l’ordre dans le chaos, à nommer pour ne plus être noyé, à relier pour ne plus être

seul.

C’est de ce pouvoir-là dont nous parlons aujourd’hui. Celui de la littérature, non pas comme un art

réservé à quelques-uns, mais comme une nécessité humaine, un outil de réparation.

Mon invitée du jour est docteure en psychopathologie, psychologue clinicienne et écrivaine. Elle a

fondé les premiers ateliers d’écriture thérapeutique à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris, et elle explore

depuis des années la puissance de l’écriture dans les contextes les plus extrêmes, notamment celui

de la guerre.

Dans son livre L’écriture qui guérit, paru aux éditions Odile Jacob en janvier 2025, elle nous invite

à écouter autrement, à écrire autrement, à penser autrement.

J’ai la grande joie d’accueillir aujourd’hui, dans Sacrément Beau, Nayla Chidiac.

Pour vous inscrire à ma newsletter bimensuelle, et recevoir mes pensées partagées et les actualités du podcast Sacrément Beau : https://penseespartagees.kessel.media/posts


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Écrire, c’est parfois survivre.

Quand les mots se dérobent, quand la douleur fige la pensée, l’écriture devient un refuge. Un

espace. Un souffle.

Car les traumas laissent des silences. Des blancs dans la mémoire, des coupures dans le fil de soi. Ils

immobilisent la pensée, empêchent parfois de sentir, de comprendre, d’avancer.

Et pourtant. Un mot, puis un autre. Une phrase griffonnée dans un carnet. Une tentative maladroite

de dire l’indicible. Peu à peu, une forme se dessine. Une structure. Une voix.

L’écriture n’efface pas les blessures. Mais elle les accueille. Elle les contient, les transforme. Elle

aide à mettre de l’ordre dans le chaos, à nommer pour ne plus être noyé, à relier pour ne plus être

seul.

C’est de ce pouvoir-là dont nous parlons aujourd’hui. Celui de la littérature, non pas comme un art

réservé à quelques-uns, mais comme une nécessité humaine, un outil de réparation.

Mon invitée du jour est docteure en psychopathologie, psychologue clinicienne et écrivaine. Elle a

fondé les premiers ateliers d’écriture thérapeutique à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris, et elle explore

depuis des années la puissance de l’écriture dans les contextes les plus extrêmes, notamment celui

de la guerre.

Dans son livre L’écriture qui guérit, paru aux éditions Odile Jacob en janvier 2025, elle nous invite

à écouter autrement, à écrire autrement, à penser autrement.

J’ai la grande joie d’accueillir aujourd’hui, dans Sacrément Beau, Nayla Chidiac.

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Écrire, c’est parfois survivre.

Quand les mots se dérobent, quand la douleur fige la pensée, l’écriture devient un refuge. Un

espace. Un souffle.

Car les traumas laissent des silences. Des blancs dans la mémoire, des coupures dans le fil de soi. Ils

immobilisent la pensée, empêchent parfois de sentir, de comprendre, d’avancer.

Et pourtant. Un mot, puis un autre. Une phrase griffonnée dans un carnet. Une tentative maladroite

de dire l’indicible. Peu à peu, une forme se dessine. Une structure. Une voix.

L’écriture n’efface pas les blessures. Mais elle les accueille. Elle les contient, les transforme. Elle

aide à mettre de l’ordre dans le chaos, à nommer pour ne plus être noyé, à relier pour ne plus être

seul.

C’est de ce pouvoir-là dont nous parlons aujourd’hui. Celui de la littérature, non pas comme un art

réservé à quelques-uns, mais comme une nécessité humaine, un outil de réparation.

Mon invitée du jour est docteure en psychopathologie, psychologue clinicienne et écrivaine. Elle a

fondé les premiers ateliers d’écriture thérapeutique à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris, et elle explore

depuis des années la puissance de l’écriture dans les contextes les plus extrêmes, notamment celui

de la guerre.

Dans son livre L’écriture qui guérit, paru aux éditions Odile Jacob en janvier 2025, elle nous invite

à écouter autrement, à écrire autrement, à penser autrement.

J’ai la grande joie d’accueillir aujourd’hui, dans Sacrément Beau, Nayla Chidiac.

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