Description
Nous parlons des hormones de faim et de satiété et de leur importance pour améliorer sa santé et atteindre son poids santé. En particulier, nous discuterons de ce qui déclenche la faim, outre les hormones, et de ce qui peut aider à augmenter la sensation de satiété pendant les repas et entre ceux-ci.
Avant d’aller plus loin, nous aimerions vous inviter à vous inscrire au 2e Sommet virtuel de la santé métabolique, qui aura lieu entièrement en ligne du 10 au 13 juin 2024. Chaque jour, une dizaine de conférences seront accessibles gratuitement aux personnes inscrites. Parmi les sujets qui seront abordés, citons le microbiote, la longévité, la thyroïde, la santé de nos enfants, la physiologie du jeûne, le cancer et le sucre, la respiration comme outil thérapeutique, la santé buccale, le cannabis, le cortisol : trop ou trop peu, et plus encore! L’inscription est gratuite et obligatoire, mais vous pouvez choisir d’acheter un accès prolongé ou pas, c’est vraiment au choix. Rendez-vous sur www.sommetmetabolique.com pour vous inscrire dès maintenant!
Définition de ce qu’est la satiété
Qu’est-ce qui influence la sensation de satiété? Divers facteurs :
Parlons maintenant des signaux de satiété que notre corps est capable de produire.
Physiques
Mécanorécepteurs
Chimiques
Hormones
Protéines et lipides = hormones
Glucides : Pas d’hormones
Mentaux
Satisfaction
État mental
Plein conscience
Expérience du passé (association entre un moment dur et se nourrir pour s’apaiser)
Les hormones :
Les hormones sont des messagers chimiques qui font en sorte que manger est une activité physiologique modulée par les besoins internes.
La leptine
La cholécystokinine (CKK)
Le peptide YY :
Il y a une principale hormone de la faim : la ghréline.
Les aliments transformés, raffinés et hyperpalatables
Ces aliments ont en commun plusieurs éléments qui bousillent nos signaux de satiété.
Astuce : On a cette semaine une astuce à 3 niveaux d’intensité, selon votre aisance à ressentir la satiété. Il faut écouter l'épisode pour la connaître!
Messages clés :
Les repas riches en glucides et en sucres et pauvres en protéines sont non seulement peu rassasiants, mais en plus ils engendrent des glycémies en montagnes russes. Plus la glycémie monte haut, plus il y aura d’insuline de sécrétée et plus celle-ci fera baisser la glycémie. La baisse de la glycémie donne faim, même si on a mangé récemment, même si on n’a même pas encore fini de digérer et même si il reste plein d’énergie dans le corps qui pourrait servir. C’est donc une faim qui ne correspond pas aux besoins du corps. C’est un signal “high jacké”.
Les aliments transformés, raffinés, hyperpalatables, qui font des feux d’artifice dans notre cerveau en nous procurant plein de plaisir immédiat, eux aussi ils “high jack” notre cerveau et tous nos signaux de satiété. On peut en manger d’énormes quantités sans recevoir un message clair de “je suis repue et rassasiée, lâche ton bol de chips all bbq”. Ces aliments sont le fruit du génie alimentaire et ont été conçus spécifiquement pour cela. C’est une bataille difficile, parce que la nature n’avait pas prévu que les humains feraient une telle chose, alors on n’a pas de senseur à calories qui nous arrête
Plus on est résistant à l’insuline et plus on risque d’être résistant à la leptine, l’une des principales hormones de satiété. C’est une raison de plus de renverser sa RI si on en a une!
Les macronutriments qui aident le plus à ressentir la satiété sont d’abord les protéines et ensuite les lipides.
Les fibres ralentissent la vidange gastrique et le transit alors ça vaut la peine d’en consommer suffisamment, si votre tube digestif les tolère bien.
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