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⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs : https://www.skool.com/cercle-solopreneurs
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Transcription
Et bien c'est reparti pour une nouvelle semaine de podcast, fraîchement revenu de Bali après un mois et demi qui ont été vraiment très marquants. Je pense que ça a été un épisode dont je me souviendrai toujours dans ma vie parce que j'ai l'impression que j'ai eu un pivot, j'ai réussi à passer un niveau, niveau que j'étais en train de préparer depuis pas mal de temps et qui s'est concrétisé là-bas. Et encore une fois, je t'en ai parlé, mais c'est vrai que d'avoir pris la décision de... En 48 heures de vendre mes meubles, de rendre mon appart à Lisbonne pour aller vibrer avec quelqu'un qui a une fréquence que je voulais avoir, je me suis mis en résonance. Ça a eu vraiment un impact très positif sur moi et sur lui d'ailleurs aussi, sur mon pote Sam à qui je fais à chaque fois un bisou. Vu qu'en ce moment je parlais pas mal de lui parce que je passais du temps avec lui. Mais ce mois et demi s'est terminé en apothéose parce que j'ai vraiment ancré beaucoup de choses grâce à une cérémonie de psylocibine dont je t'ai parlé. Et une immersion. avec des potes entrepreneurs. J'ai vraiment... L'immersion s'est terminée le dimanche et j'ai pris l'avion le dimanche soir, même à 18h dans l'après-midi. Et du coup, ces dernières semaines qui sont ces dix derniers jours qui se sont écoulés, j'ai pas mal de choses à te partager. Et du coup, dans les podcasts qui vont arriver cette semaine, aujourd'hui, je vais te parler vraiment de comment je suis passé de quelqu'un qui se considère un peu comme bulletproof, tu sais. Tu sais, qui... qui pouvait en fait encaisser les balles et ça ne lui faisait rien à bullet-less. Vraiment où en fait, je n'encaisse plus les balles, maintenant je les laisse traverser. Et ça a vraiment eu un impact de fou sur qui je suis aujourd'hui par rapport à qui j'étais. Et je voudrais partager ce cheminement et ce que ça a un impact aussi dans aujourd'hui, comment je me sens, ce que j'ai envie de faire et ce que j'ai envie d'accomplir. Et dans les autres thématiques qu'il y aura cette semaine, il y aura une histoire incroyable de mon pote Florian, un mec que j'ai rencontré il y a deux ans, et que j'ai vu tout plaquer aussi quand j'étais à Bali. Et il est en train de monter des éco-vilas à Lombok. C'est assez fou son histoire. Je pense que son parcours va pouvoir t'inspirer. Je te parlerai aussi de quoi faire quand tu as quelqu'un qui va mal en face de toi, ou qui agit mal, et tu sais qu'il peut te déverser toute cette sale énergie potentiellement, qu'il le fasse exprès ou pas. sur toi. Je voudrais aussi te parler d'une fille que j'ai croisée à l'aéroport, une inconnue, et que je voyais qui tirait la gueule. Vraiment qui tirait la gueule. Je me suis dit, waouh ! Et en fait, il s'est passé un truc de ouf et il y a une vraie leçon que j'en ai tirée. Je voudrais aussi te partager peut-être un process pour t'aider à réussir ta vie comme personne. Et vraiment, comme personne d'autre, en fait. Comment tu vas réussir ta vie, à ta façon. Je pense que c'est quelque chose que... On est toujours tenté d'avoir des modèles, d'avoir des repères, de se comparer. Et finalement, on n'arrive pas à vivre sa vie. Réussir comme personne, c'est ça le but de la vie. Je voudrais t'en parler cette semaine. Je voudrais partager un des ateliers qu'on a fait pendant l'immersion avec mes potes, qui est un atelier sur l'abondance et l'abondance financière. Pas mal d'exercices qui viennent déprogrammés. Alors moi, c'est un de mes gros points bloquants. Une grosse limitation, c'est vraiment ma relation à l'argent. Je pense que ça a vraiment pas mal débloqué de choses et reprogrammé. Je te donnerai un peu les exercices qu'on a fait. Je te parlerai évidemment de ce que j'ai retiré de cette immersion, des clés qu'il y a eu, aussi vraiment des réalisations qui peuvent aussi toi t'être utile. Parce que quand tu as 8 cerveaux de mecs qui réussissent et qui sont successifs et qui se mettent ensemble, il y a eu pas mal de pépites qui sont ressorties et que je voudrais te partager. Et je terminerai maintenant, je terminais souvent sur le fun fact, et maintenant j'ai envie de terminer par un atelier aussi qu'on fait en immersion, ça s'appelle Game Changer Drop, et c'est vraiment dropper comme ça à la volée des choses qui ont pu changer notre vie, que ce soit sur la santé, la productivité, le mindset, le bien-être, et je trouve que c'est un super atelier, il y a eu tellement, t'imagines, on passait un quart d'heure, Et il y avait 8 personnes, il y a eu pas mal de pépites qui sont tombées, donc je voudrais t'en partager une ou deux par semaine pour que ça puisse être utile aussi. Et puis évidemment, je terminerai par un petit fun fact comme d'habitude pour le podcast de la semaine. Donc c'est parti pour une nouvelle série de podcast cette semaine et aujourd'hui, je voudrais te parler de mon process qui m'a pris quand même pas mal d'années. Mais de comment je suis passé d'un mec qui était bulletproof à bulletless, c'est-à-dire un mec qui pouvait tout encaisser, encaisser les balles, un mec qui sent aujourd'hui que les choses le traversent et que ça m'impacte plus, ou en tout cas c'est pas quelque chose que je vais... qui va pouvoir me mettre down ou qui va pouvoir me mettre up ou que en gros, les circonstances extérieures ne viennent plus me faire chavirer, me faire douter, me mettre mal. C'est un état que j'ai atteint ces dernières semaines et je sais que c'est quelque chose de très fragile, qu'il faut vraiment faire attention de conserver. Mais grosso merdo, pendant toute ma vie, j'ai été quand même un mec qui avait la chance d'être câble, la chance d'être câblé assez naturellement, de façon positive. J'ai une personnalité très positive, qui voit le positif. Et dans les personnalités émotionnelles, tu en as vraiment plusieurs, mais tu n'en as pas 50. En gros, tu en as ceux qui ressentent très fort la joie, très fort la tristesse, très fort la joie, un petit peu la tristesse. Ça, c'est moi, c'est le cheerleader, ce qu'ils appellent. Il y en a, c'est un petit peu la joie et très fort la tristesse. Et tu as ceux aussi qui ressentent un petit peu la joie et un petit peu la tristesse, qui ressentent des états assez neutres et jamais très forts. J'ai longtemps été le mec qui était content parce qu'en fait, moi, je ressens très fort la joie et peu la tristesse. Du coup, j'en profitais en fait pour annihiler, complètement supprimer le fait que la tristesse, le doute, tout ça, tout ce qui est négatif, ça existe. Parce qu'encore une fois, je viens d'une famille où, ok, on n'est pas riche, mais on n'est pas pauvre, on vole vers un quartier plein. Donc, on ne s'autorise pas à être triste et on y va. Sauf que ben... Je le sais parce que dans ma quête d'un jour me retrouver avec ma fausse sceptique émotionnelle négative pleine, je ne savais pas trop comment m'en débarrasser, nettoyer. J'ai donc compris que pour ne pas stocker une émotion, il fallait la vivre. Et Dieu sait qu'on ne s'autorise vraiment pas à vivre tout le panel des émotions. On est toujours là à essayer de vivre l'émotion positive, mais moins le négatif. Et que quand c'est négatif, en fait, on ne la vit pas vraiment. C'est là, mais du coup, ça ne disparaît pas. On ne va pas à fond dedans en fait. On ne va pas à fond dedans et du coup on ne le vit pas, on est coupable et ça recrée des sales énergies. Finalement c'est un cercle un peu vicieux. On ne le vit pas, on crée un goulot d'étranglement et finalement tu passes potentiellement d'un mec qui est là, qui encaisse le stress, qui encaisse tout ça, ou un mec ou une nana évidemment, à quelqu'un qui du jour au lendemain, vu qu'il n'a pas vu toute cette jauge augmenter, augmenter, augmenter, jusqu'au moment où ça déborde. Ah, je suis en burn-out. Ah, tout à coup, je suis débordé de doutes, de peurs et de mal-être. Et comment j'ai fait pour aujourd'hui me sentir vraiment, je dirais, dans une autre fréquence et sentir que ce n'est pas l'extérieur qui va me déstabiliser, c'est moi, comment finalement j'arrive à rester dans cette belle vibration et que ça part de l'intérieur. En vrai, ça a été vraiment beaucoup d'années de déconstruction et de reconstruction. Quand j'ai entamé cette démarche, ce n'était pas du tout intentionnel, puisque j'étais là en mode à la base, je sens que je suis bien, je veux juste passer un step dans ma vie et boum, tout s'est pété la gueule. Parce qu'en même temps, j'ai mis le nez dans le caca et le caca, il y en avait plein. Je ne voulais pas le voir et je n'en étais pas aperçu. Et finalement, ça a été un processus de vraiment bien me comprendre, d'accepter qui j'étais et qui je n'étais pas. que le qui j'étais pas est beaucoup plus long je trouve que le savoir qui on est avec les tests de personnalité aujourd'hui ça reste assez sharp mais vraiment accepter qui on est pas et qui on sera jamais et dans lequel vraiment aucun chemin de vie ne permettra de nous épanouir même si ça a l'air cool et que les autres ils ont l'air de vraiment se régaler dans le chemin de vie mais que c'est pas ma personnalité, ni mes zones de génie ni mon chemin et que c'est ok ça prend du temps, moi ça m'a pris vraiment beaucoup de temps, surtout quand on est un peu spécial parce que on va être TDAH on va être un peu hyperactif, et puis je sais pas, ceci, cela, donc... Il y a plein de choses que... S'apercevoir qu'il y a plein de choses qu'on va pas pouvoir faire, parce que c'est vraiment pas inné chez nous, et d'arriver à se concentrer sur, ok, tout ce qu'on va pouvoir faire de façon innée, et que c'est sur nos super pouvoirs. Donc il y a eu vraiment déjà toute cette démarche-là, et je dirais aussi, c'est... C'est arriver au fur et à mesure à vivre toutes les émotions pour les nettoyer, ok, ça prend du temps aussi, et puis à un moment c'est d'arriver à à se débarrasser, je pense que c'est le plus grand fléau qui est la source de tout, des choses un peu négatives, c'est le doute en fait. Parce que le doute, c'est un peu le petit pète dans le pare-brise. Le petit truc, le petit craquement qui fait que dès qu'il n'y aurait une pression supplémentaire, le pare-brise va péter, il va vraiment exploser en plein vol. Et que c'est ces petites brisures, ces petits craquements dans le pare-brise qui... sont insidieuses, ont dit bah je peux encore rouler c'est pas grave, c'est rien qui font en fait que ça devient fragile et que vraiment au moins de petits éclats un jour où on s'y attend pas, paf, le pare-brise il explose sur un petit caillou qui vient percuter Et franchement, on se dit, comment tu débarres du doute ? Je fais la différence entre le doute et le questionnement. Pour moi, le doute, c'est vraiment se poser la question en se disant, avec la négation, est-ce que je vais ? Comment je vais pouvoir faire ça ? Et d'avoir finalement, c'est de la négativité, avec de la peur, avec du fait qu'on envisage le scénario négatif. Et pour moi, la curiosité, encore une fois, c'est qu'on cherche... On se questionne pour avoir le scénario positif. On est curieux de savoir comment pouvoir faire ceci, ou comment se créer cela. Bref, le doute, c'est vraiment de la merde, je trouve, et qu'il faut aussi vivre, de toute façon, une fois dans sa vie. Mais comment on s'en débarrasse ? C'est marrant, mais quand tu commences à faire de la méditation, quand tu commences à aller dans les choses plus profondes, d'introspection... La méditation, ça te dit souvent, tu vois, il cherche ce mot qui est très bizarre, que j'ai jamais entendu le parler d'autre, c'est l'équanimité. L'équanimité, c'est l'espèce d'état neutre, tu vois. Le problème, c'est que l'état neutre, où t'es vraiment équanime, genre tu vois les choses telles qu'elles sont, tu ne portes pas vraiment de jugement, tes objectifs, etc. C'est un état, je trouve, qui ne permet pas vraiment de vivre dans le monde dans lequel on est. Parce que finalement, c'est dur d'émaner l'équanimité, tu vois, tout le temps. parce qu'on va être sensible à n'importe quel changement autour de nous et n'importe quelle émotion un peu plus forte va venir remplacer cette espèce d'état de neutralité et c'est con, ça va paraître vraiment un peu cucu, puis je sais que j'aime pas trop les trucs cucu mais ce qui là m'a permis vraiment je trouve d'arriver à kicker le doute à arriver vraiment à me sentir bien et... Et ne plus être dans cet état vraiment de merde, de que je me questionne, est-ce que je vais y arriver, de doute, de ceci, de stress un peu, tu vois. Et d'être bien et d'arriver enfin à être bien avec moi-même, c'est con, mais c'est se connecter vraiment à l'énergie de l'amour, tu vois. Plutôt que laisser un truc genre je suis bien, tout va bien, c'est non, t'es mal de l'amour en fait. Et il y a un truc de fou, et l'amour c'est le plaisir, c'est le kiff, tu sais, c'est le fait d'être bien. Et quand tu te connectes à cette énergie pour justement être l'émetteur et pas le récepteur, pour ceux qui ont écouté un peu le podcast sur la cérémonie de psilocybine, j'avais bien aimé cette phrase qui avait popé dans ma tête, c'était vraiment « c'est toi l'émetteur » . Et les problèmes commencent quand tu es le récepteur. Et quand c'est toi qui émets cette fréquence d'amour, et l'amour c'est pas « salut, je suis amoureux de toi, c'est trop bien » , non, c'est ce côté, je vois. je regarde les choses avec amour, j'aime. C'est comme quand tu regardes ton frère, ta mère, ta chérie, il y a ce regard d'amour en fait, cette énergie. Quand tu regardes les choses, quand tu regardes ton animal de compagnie, que tu kiffes, quand tu commences à te connecter consciemment à cette fréquence-là et que tu arrives en fait à essayer de te mettre dans ce Ausha en temps, en mode je vais me balader, je suis en mode... je me balade et j'aime la balade je sens, ces derniers temps en plus je sens les minutes qui passent, tu sais le temps qui passe, je le sens dans mes veines j'adore, tu vois, tu sens le temps, c'est agréable parce que t'es bien, t'es bien avec toi-même et que chaque, en fait, à chaque fois que tu vas poser le regard sur quelque chose et faire une action tu vas le faire avec de l'amour, et quand quelqu'un même t'agresse et ça c'est le plus dur c'est de le regarder avec entre guillemets, avec de l'amour et de se dire, ouais, ça va pas toi mec, je suis vraiment désolé pour toi et que tu le prends pas pour toi en fait, c'est pas toi qui est agressé Toi parce que t'émanes de l'amour donc en fait t'es pas du tout en récepteur, t'es en émetteur. Donc t'aimais de l'amour et tu te dis bah je vois que tu vas mal, ça me fait de la peine pour toi tu vois. Evidemment si à un moment donné il émet tellement de violence l'autre en face que tu lui mets un pain dans la gueule, bah les yettes ça c'est voilà. T'aimais de l'amour, je t'aime, je te neutralise. Faut que tu arrêtes, faut pas que tu montes plus haut dans la haine tu vois. Il y a un moment c'est aussi ça tu vois. Si je t'aime assez je t'empêche de faire le mal tu vois. parce que ça va tenir encore plus. Mais ce que je veux dire, c'est que ça a été vraiment ça, en fait. Ce process, c'est, ok, je vais pas bien, je me retrouve avec des émotions que j'ai jamais vécues pendant des années, parce que je m'autorisais pas, et parce que j'encaissais tout, vraiment, et je pensais que ça ricochait sur moi, ça ricoche pas du tout, ça se stocke, alors si t'as la chance en plus de, potentiellement, pas ressentir forcément, fortement le stress, le doute, la tristesse, etc., bon bah, ça va s'accumuler tout doucement sans que tu t'en aperçoives. Sauf que ben, il y a un jour, ça te pète à la gueule, tu dis qu'est-ce que j'en fais, et t'as deux choix en fait. Soit tu nies, ce que j'ai longtemps fait. Ah non pas moi ça va pas m'arriver, moi je suis plus fort que ça, dépréciant t'es nul c'est pour les faibles. Soit à un moment tu dis ok, je vois que ça ne bouge pas, ça ne fait rien, ça ne s'en va pas, c'est une espèce de truc un peu omniprésent, ce gros monstre, le doute qui est là. Donc tu vas creuser et tu vas essayer de comprendre pourquoi tu as toutes ces émotions, toutes celles que tu as vécues, essayer de les vivre, essayer d'arriver à ouvrir la porte de ton subconscient, de tes émotions, de reconnecter la tête avec le cœur, ce qu'on arrête de faire pour être en mode bulldozer, réussir, etc. parce que c'est une faiblesse de se connecter à ses émotions. Ok, non, pas du tout. Mais c'est ce qu'on fait et c'est ce que j'ai longtemps fait. Et puis une fois que tu fais ça, c'est OK, t'as compris ces émotions. Et de se reconnecter profondément à qui on est et d'accepter qui on n'est pas, ça c'est l'autre process. Et une fois que c'est le cas, c'est de se dire OK, j'arrive à être conscient des émotions du coup, vu que je m'y suis un peu plus connecté, mais je choisis en fait consciemment de me connecter à cette fucking fréquence de l'amour et de me dire, ok, je te regarde, je fais, je ressens, j'agis. avec la fréquence de l'amour. Et si en fait, mon corps et mon esprit sont occupés avec l'amour, il y a un truc, c'est scientifique, ça a été prouvé, on ne peut pas avoir deux émotions en même temps. C'est prouvé, tu vois. De la même façon, tu ne peux pas avoir deux pensées en même temps. C'est juste, elles peuvent s'alterner ultra rapidement, mais ce n'est jamais simultané. Ce qui fait que si consciemment, tu prends toute la place dans ton corps et ton esprit avec l'amour, tout à coup, il n'y a plus la place pour le reste. Et je peux t'assurer que quant à cette fréquence-là, il y a un espèce d'apaisement. Il y a un espèce de soulagement, tu sais, où t'es plus là non plus pour réussir, prouver, est-ce que je suis assez ? Bah non, parce que l'amour c'est juste, tu fais parce que tu kiffes le faire en fait. Tu kiffes faire, tu kiffes être. T'as pas à être pour les autres. Si tu veux que je sois pour toi, trouve ce que tu veux chez moi, moi de toute façon je fais ce que j'aime. J'aime être ce que je suis et j'aime être toujours un peu meilleur chaque jour et essayer de trouver des pistes d'expansion. Et je peux t'assurer que d'avoir ressenti ça, d'être arrivé là, à ce niveau-là, de me dire « Ouais, tous les choses extérieures, très bien, c'est super sympa, je kiffe. Le matériel, c'est très utile, c'est très plaisant. » Mais en fait, ça me rendra... Je dirais que ça facilite toujours la vie. Parce qu'encore une fois, tous ces trucs-là, quand t'as pas de thunes pour payer à bouffer un toit, t'as pas le temps d'y penser. Mais quand t'as vraiment le temps, c'est... Ça change la vie en fait. Ça change la vie et je ne referai pas, j'espère, je reste humble, ne pas refaire la même erreur que quand ça m'était arrivé, où j'étais arrivé dans cette fréquence inconsciemment, en revenant de tout mon tour du monde. Et parce que je m'étais... Je pense qu'en fait je suis vraiment dans une phase de vie où j'essaie de refaire des choses extraordinaires que j'avais réussi dans ma vie, dans le passé, mais je l'avais fait, tu sais, de façon candide, avec l'insouciance. d'un enfant et parce que je savais pas que c'était impossible que c'était dur alors je les fais quoi et de leur faire aujourd'hui notamment dans l'état de conscience dans mes actions dans mes ressentis dans ce que j'ai envie d'être est ce que j'ai envie de faire et de le refaire avec la conscience par et ton cerveau il sait tout ce que ça coûte il sait tout ce que ça coûte comme temps comme souffrance comme épreuve et d'y aller et de rester connecté ben je disais un pote j'en suis fier en fait et je referai pas l'erreur justement de ce que je dis de ne pas le cultiver Parce que c'est comme un jardin ça. Et dans la vie, il faut faire très attention à ce qu'on veut. Parce qu'une fois que tu l'obtiens, tu continues pas en tout cas d'y mettre le temps et l'énergie. Ça se détériore, ça se désagrège et tu le perds au final. Et moi, c'est ce qui m'était arrivé. Vraiment. Je me sentais la meilleure version de moi-même en rentrant de tour du monde. Consciemment, je me disais, c'est super, je suis bien. Vas-y, je pars sur autre chose. Je vais essayer de faire influence en voyage. Et puis en fait, tu perds tout ça, tu le cultives plus, puis tu deviens con, tu deviens stressé, tu te laisses... t'es plus émetteur en fait tu fais plus gaffe j'espère que ce partage de process il y a peut-être des choses qui ont résonné en toi par rapport à où t'en es dans ton parcours et je te souhaite un bon cheminement pour s'atteindre ce niveau où tu te sens bien en fait et où ce bien-être il dépend uniquement de toi et que tu l'as compris et que t'arrives à te connecter à la bonne fréquence pour te sentir bien et juste te dire wow J'ai man, je suis bien Et je vais faire les choses sereinement, sans stress, sans avoir peur, pour le plaisir de les faire. Et vu que tu es dans l'amour et que tu n'as plus peur, tu sais que ça réussira de toute façon.
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Et bien c'est reparti pour une nouvelle semaine de podcast, fraîchement revenu de Bali après un mois et demi qui ont été vraiment très marquants. Je pense que ça a été un épisode dont je me souviendrai toujours dans ma vie parce que j'ai l'impression que j'ai eu un pivot, j'ai réussi à passer un niveau, niveau que j'étais en train de préparer depuis pas mal de temps et qui s'est concrétisé là-bas. Et encore une fois, je t'en ai parlé, mais c'est vrai que d'avoir pris la décision de... En 48 heures de vendre mes meubles, de rendre mon appart à Lisbonne pour aller vibrer avec quelqu'un qui a une fréquence que je voulais avoir, je me suis mis en résonance. Ça a eu vraiment un impact très positif sur moi et sur lui d'ailleurs aussi, sur mon pote Sam à qui je fais à chaque fois un bisou. Vu qu'en ce moment je parlais pas mal de lui parce que je passais du temps avec lui. Mais ce mois et demi s'est terminé en apothéose parce que j'ai vraiment ancré beaucoup de choses grâce à une cérémonie de psylocibine dont je t'ai parlé. Et une immersion. avec des potes entrepreneurs. J'ai vraiment... L'immersion s'est terminée le dimanche et j'ai pris l'avion le dimanche soir, même à 18h dans l'après-midi. Et du coup, ces dernières semaines qui sont ces dix derniers jours qui se sont écoulés, j'ai pas mal de choses à te partager. Et du coup, dans les podcasts qui vont arriver cette semaine, aujourd'hui, je vais te parler vraiment de comment je suis passé de quelqu'un qui se considère un peu comme bulletproof, tu sais. Tu sais, qui... qui pouvait en fait encaisser les balles et ça ne lui faisait rien à bullet-less. Vraiment où en fait, je n'encaisse plus les balles, maintenant je les laisse traverser. Et ça a vraiment eu un impact de fou sur qui je suis aujourd'hui par rapport à qui j'étais. Et je voudrais partager ce cheminement et ce que ça a un impact aussi dans aujourd'hui, comment je me sens, ce que j'ai envie de faire et ce que j'ai envie d'accomplir. Et dans les autres thématiques qu'il y aura cette semaine, il y aura une histoire incroyable de mon pote Florian, un mec que j'ai rencontré il y a deux ans, et que j'ai vu tout plaquer aussi quand j'étais à Bali. Et il est en train de monter des éco-vilas à Lombok. C'est assez fou son histoire. Je pense que son parcours va pouvoir t'inspirer. Je te parlerai aussi de quoi faire quand tu as quelqu'un qui va mal en face de toi, ou qui agit mal, et tu sais qu'il peut te déverser toute cette sale énergie potentiellement, qu'il le fasse exprès ou pas. sur toi. Je voudrais aussi te parler d'une fille que j'ai croisée à l'aéroport, une inconnue, et que je voyais qui tirait la gueule. Vraiment qui tirait la gueule. Je me suis dit, waouh ! Et en fait, il s'est passé un truc de ouf et il y a une vraie leçon que j'en ai tirée. Je voudrais aussi te partager peut-être un process pour t'aider à réussir ta vie comme personne. Et vraiment, comme personne d'autre, en fait. Comment tu vas réussir ta vie, à ta façon. Je pense que c'est quelque chose que... On est toujours tenté d'avoir des modèles, d'avoir des repères, de se comparer. Et finalement, on n'arrive pas à vivre sa vie. Réussir comme personne, c'est ça le but de la vie. Je voudrais t'en parler cette semaine. Je voudrais partager un des ateliers qu'on a fait pendant l'immersion avec mes potes, qui est un atelier sur l'abondance et l'abondance financière. Pas mal d'exercices qui viennent déprogrammés. Alors moi, c'est un de mes gros points bloquants. Une grosse limitation, c'est vraiment ma relation à l'argent. Je pense que ça a vraiment pas mal débloqué de choses et reprogrammé. Je te donnerai un peu les exercices qu'on a fait. Je te parlerai évidemment de ce que j'ai retiré de cette immersion, des clés qu'il y a eu, aussi vraiment des réalisations qui peuvent aussi toi t'être utile. Parce que quand tu as 8 cerveaux de mecs qui réussissent et qui sont successifs et qui se mettent ensemble, il y a eu pas mal de pépites qui sont ressorties et que je voudrais te partager. Et je terminerai maintenant, je terminais souvent sur le fun fact, et maintenant j'ai envie de terminer par un atelier aussi qu'on fait en immersion, ça s'appelle Game Changer Drop, et c'est vraiment dropper comme ça à la volée des choses qui ont pu changer notre vie, que ce soit sur la santé, la productivité, le mindset, le bien-être, et je trouve que c'est un super atelier, il y a eu tellement, t'imagines, on passait un quart d'heure, Et il y avait 8 personnes, il y a eu pas mal de pépites qui sont tombées, donc je voudrais t'en partager une ou deux par semaine pour que ça puisse être utile aussi. Et puis évidemment, je terminerai par un petit fun fact comme d'habitude pour le podcast de la semaine. Donc c'est parti pour une nouvelle série de podcast cette semaine et aujourd'hui, je voudrais te parler de mon process qui m'a pris quand même pas mal d'années. Mais de comment je suis passé d'un mec qui était bulletproof à bulletless, c'est-à-dire un mec qui pouvait tout encaisser, encaisser les balles, un mec qui sent aujourd'hui que les choses le traversent et que ça m'impacte plus, ou en tout cas c'est pas quelque chose que je vais... qui va pouvoir me mettre down ou qui va pouvoir me mettre up ou que en gros, les circonstances extérieures ne viennent plus me faire chavirer, me faire douter, me mettre mal. C'est un état que j'ai atteint ces dernières semaines et je sais que c'est quelque chose de très fragile, qu'il faut vraiment faire attention de conserver. Mais grosso merdo, pendant toute ma vie, j'ai été quand même un mec qui avait la chance d'être câble, la chance d'être câblé assez naturellement, de façon positive. J'ai une personnalité très positive, qui voit le positif. Et dans les personnalités émotionnelles, tu en as vraiment plusieurs, mais tu n'en as pas 50. En gros, tu en as ceux qui ressentent très fort la joie, très fort la tristesse, très fort la joie, un petit peu la tristesse. Ça, c'est moi, c'est le cheerleader, ce qu'ils appellent. Il y en a, c'est un petit peu la joie et très fort la tristesse. Et tu as ceux aussi qui ressentent un petit peu la joie et un petit peu la tristesse, qui ressentent des états assez neutres et jamais très forts. J'ai longtemps été le mec qui était content parce qu'en fait, moi, je ressens très fort la joie et peu la tristesse. Du coup, j'en profitais en fait pour annihiler, complètement supprimer le fait que la tristesse, le doute, tout ça, tout ce qui est négatif, ça existe. Parce qu'encore une fois, je viens d'une famille où, ok, on n'est pas riche, mais on n'est pas pauvre, on vole vers un quartier plein. Donc, on ne s'autorise pas à être triste et on y va. Sauf que ben... Je le sais parce que dans ma quête d'un jour me retrouver avec ma fausse sceptique émotionnelle négative pleine, je ne savais pas trop comment m'en débarrasser, nettoyer. J'ai donc compris que pour ne pas stocker une émotion, il fallait la vivre. Et Dieu sait qu'on ne s'autorise vraiment pas à vivre tout le panel des émotions. On est toujours là à essayer de vivre l'émotion positive, mais moins le négatif. Et que quand c'est négatif, en fait, on ne la vit pas vraiment. C'est là, mais du coup, ça ne disparaît pas. On ne va pas à fond dedans en fait. On ne va pas à fond dedans et du coup on ne le vit pas, on est coupable et ça recrée des sales énergies. Finalement c'est un cercle un peu vicieux. On ne le vit pas, on crée un goulot d'étranglement et finalement tu passes potentiellement d'un mec qui est là, qui encaisse le stress, qui encaisse tout ça, ou un mec ou une nana évidemment, à quelqu'un qui du jour au lendemain, vu qu'il n'a pas vu toute cette jauge augmenter, augmenter, augmenter, jusqu'au moment où ça déborde. Ah, je suis en burn-out. Ah, tout à coup, je suis débordé de doutes, de peurs et de mal-être. Et comment j'ai fait pour aujourd'hui me sentir vraiment, je dirais, dans une autre fréquence et sentir que ce n'est pas l'extérieur qui va me déstabiliser, c'est moi, comment finalement j'arrive à rester dans cette belle vibration et que ça part de l'intérieur. En vrai, ça a été vraiment beaucoup d'années de déconstruction et de reconstruction. Quand j'ai entamé cette démarche, ce n'était pas du tout intentionnel, puisque j'étais là en mode à la base, je sens que je suis bien, je veux juste passer un step dans ma vie et boum, tout s'est pété la gueule. Parce qu'en même temps, j'ai mis le nez dans le caca et le caca, il y en avait plein. Je ne voulais pas le voir et je n'en étais pas aperçu. Et finalement, ça a été un processus de vraiment bien me comprendre, d'accepter qui j'étais et qui je n'étais pas. que le qui j'étais pas est beaucoup plus long je trouve que le savoir qui on est avec les tests de personnalité aujourd'hui ça reste assez sharp mais vraiment accepter qui on est pas et qui on sera jamais et dans lequel vraiment aucun chemin de vie ne permettra de nous épanouir même si ça a l'air cool et que les autres ils ont l'air de vraiment se régaler dans le chemin de vie mais que c'est pas ma personnalité, ni mes zones de génie ni mon chemin et que c'est ok ça prend du temps, moi ça m'a pris vraiment beaucoup de temps, surtout quand on est un peu spécial parce que on va être TDAH on va être un peu hyperactif, et puis je sais pas, ceci, cela, donc... Il y a plein de choses que... S'apercevoir qu'il y a plein de choses qu'on va pas pouvoir faire, parce que c'est vraiment pas inné chez nous, et d'arriver à se concentrer sur, ok, tout ce qu'on va pouvoir faire de façon innée, et que c'est sur nos super pouvoirs. Donc il y a eu vraiment déjà toute cette démarche-là, et je dirais aussi, c'est... C'est arriver au fur et à mesure à vivre toutes les émotions pour les nettoyer, ok, ça prend du temps aussi, et puis à un moment c'est d'arriver à à se débarrasser, je pense que c'est le plus grand fléau qui est la source de tout, des choses un peu négatives, c'est le doute en fait. Parce que le doute, c'est un peu le petit pète dans le pare-brise. Le petit truc, le petit craquement qui fait que dès qu'il n'y aurait une pression supplémentaire, le pare-brise va péter, il va vraiment exploser en plein vol. Et que c'est ces petites brisures, ces petits craquements dans le pare-brise qui... sont insidieuses, ont dit bah je peux encore rouler c'est pas grave, c'est rien qui font en fait que ça devient fragile et que vraiment au moins de petits éclats un jour où on s'y attend pas, paf, le pare-brise il explose sur un petit caillou qui vient percuter Et franchement, on se dit, comment tu débarres du doute ? Je fais la différence entre le doute et le questionnement. Pour moi, le doute, c'est vraiment se poser la question en se disant, avec la négation, est-ce que je vais ? Comment je vais pouvoir faire ça ? Et d'avoir finalement, c'est de la négativité, avec de la peur, avec du fait qu'on envisage le scénario négatif. Et pour moi, la curiosité, encore une fois, c'est qu'on cherche... On se questionne pour avoir le scénario positif. On est curieux de savoir comment pouvoir faire ceci, ou comment se créer cela. Bref, le doute, c'est vraiment de la merde, je trouve, et qu'il faut aussi vivre, de toute façon, une fois dans sa vie. Mais comment on s'en débarrasse ? C'est marrant, mais quand tu commences à faire de la méditation, quand tu commences à aller dans les choses plus profondes, d'introspection... La méditation, ça te dit souvent, tu vois, il cherche ce mot qui est très bizarre, que j'ai jamais entendu le parler d'autre, c'est l'équanimité. L'équanimité, c'est l'espèce d'état neutre, tu vois. Le problème, c'est que l'état neutre, où t'es vraiment équanime, genre tu vois les choses telles qu'elles sont, tu ne portes pas vraiment de jugement, tes objectifs, etc. C'est un état, je trouve, qui ne permet pas vraiment de vivre dans le monde dans lequel on est. Parce que finalement, c'est dur d'émaner l'équanimité, tu vois, tout le temps. parce qu'on va être sensible à n'importe quel changement autour de nous et n'importe quelle émotion un peu plus forte va venir remplacer cette espèce d'état de neutralité et c'est con, ça va paraître vraiment un peu cucu, puis je sais que j'aime pas trop les trucs cucu mais ce qui là m'a permis vraiment je trouve d'arriver à kicker le doute à arriver vraiment à me sentir bien et... Et ne plus être dans cet état vraiment de merde, de que je me questionne, est-ce que je vais y arriver, de doute, de ceci, de stress un peu, tu vois. Et d'être bien et d'arriver enfin à être bien avec moi-même, c'est con, mais c'est se connecter vraiment à l'énergie de l'amour, tu vois. Plutôt que laisser un truc genre je suis bien, tout va bien, c'est non, t'es mal de l'amour en fait. Et il y a un truc de fou, et l'amour c'est le plaisir, c'est le kiff, tu sais, c'est le fait d'être bien. Et quand tu te connectes à cette énergie pour justement être l'émetteur et pas le récepteur, pour ceux qui ont écouté un peu le podcast sur la cérémonie de psilocybine, j'avais bien aimé cette phrase qui avait popé dans ma tête, c'était vraiment « c'est toi l'émetteur » . Et les problèmes commencent quand tu es le récepteur. Et quand c'est toi qui émets cette fréquence d'amour, et l'amour c'est pas « salut, je suis amoureux de toi, c'est trop bien » , non, c'est ce côté, je vois. je regarde les choses avec amour, j'aime. C'est comme quand tu regardes ton frère, ta mère, ta chérie, il y a ce regard d'amour en fait, cette énergie. Quand tu regardes les choses, quand tu regardes ton animal de compagnie, que tu kiffes, quand tu commences à te connecter consciemment à cette fréquence-là et que tu arrives en fait à essayer de te mettre dans ce Ausha en temps, en mode je vais me balader, je suis en mode... je me balade et j'aime la balade je sens, ces derniers temps en plus je sens les minutes qui passent, tu sais le temps qui passe, je le sens dans mes veines j'adore, tu vois, tu sens le temps, c'est agréable parce que t'es bien, t'es bien avec toi-même et que chaque, en fait, à chaque fois que tu vas poser le regard sur quelque chose et faire une action tu vas le faire avec de l'amour, et quand quelqu'un même t'agresse et ça c'est le plus dur c'est de le regarder avec entre guillemets, avec de l'amour et de se dire, ouais, ça va pas toi mec, je suis vraiment désolé pour toi et que tu le prends pas pour toi en fait, c'est pas toi qui est agressé Toi parce que t'émanes de l'amour donc en fait t'es pas du tout en récepteur, t'es en émetteur. Donc t'aimais de l'amour et tu te dis bah je vois que tu vas mal, ça me fait de la peine pour toi tu vois. Evidemment si à un moment donné il émet tellement de violence l'autre en face que tu lui mets un pain dans la gueule, bah les yettes ça c'est voilà. T'aimais de l'amour, je t'aime, je te neutralise. Faut que tu arrêtes, faut pas que tu montes plus haut dans la haine tu vois. Il y a un moment c'est aussi ça tu vois. Si je t'aime assez je t'empêche de faire le mal tu vois. parce que ça va tenir encore plus. Mais ce que je veux dire, c'est que ça a été vraiment ça, en fait. Ce process, c'est, ok, je vais pas bien, je me retrouve avec des émotions que j'ai jamais vécues pendant des années, parce que je m'autorisais pas, et parce que j'encaissais tout, vraiment, et je pensais que ça ricochait sur moi, ça ricoche pas du tout, ça se stocke, alors si t'as la chance en plus de, potentiellement, pas ressentir forcément, fortement le stress, le doute, la tristesse, etc., bon bah, ça va s'accumuler tout doucement sans que tu t'en aperçoives. Sauf que ben, il y a un jour, ça te pète à la gueule, tu dis qu'est-ce que j'en fais, et t'as deux choix en fait. Soit tu nies, ce que j'ai longtemps fait. Ah non pas moi ça va pas m'arriver, moi je suis plus fort que ça, dépréciant t'es nul c'est pour les faibles. Soit à un moment tu dis ok, je vois que ça ne bouge pas, ça ne fait rien, ça ne s'en va pas, c'est une espèce de truc un peu omniprésent, ce gros monstre, le doute qui est là. Donc tu vas creuser et tu vas essayer de comprendre pourquoi tu as toutes ces émotions, toutes celles que tu as vécues, essayer de les vivre, essayer d'arriver à ouvrir la porte de ton subconscient, de tes émotions, de reconnecter la tête avec le cœur, ce qu'on arrête de faire pour être en mode bulldozer, réussir, etc. parce que c'est une faiblesse de se connecter à ses émotions. Ok, non, pas du tout. Mais c'est ce qu'on fait et c'est ce que j'ai longtemps fait. Et puis une fois que tu fais ça, c'est OK, t'as compris ces émotions. Et de se reconnecter profondément à qui on est et d'accepter qui on n'est pas, ça c'est l'autre process. Et une fois que c'est le cas, c'est de se dire OK, j'arrive à être conscient des émotions du coup, vu que je m'y suis un peu plus connecté, mais je choisis en fait consciemment de me connecter à cette fucking fréquence de l'amour et de me dire, ok, je te regarde, je fais, je ressens, j'agis. avec la fréquence de l'amour. Et si en fait, mon corps et mon esprit sont occupés avec l'amour, il y a un truc, c'est scientifique, ça a été prouvé, on ne peut pas avoir deux émotions en même temps. C'est prouvé, tu vois. De la même façon, tu ne peux pas avoir deux pensées en même temps. C'est juste, elles peuvent s'alterner ultra rapidement, mais ce n'est jamais simultané. Ce qui fait que si consciemment, tu prends toute la place dans ton corps et ton esprit avec l'amour, tout à coup, il n'y a plus la place pour le reste. Et je peux t'assurer que quant à cette fréquence-là, il y a un espèce d'apaisement. Il y a un espèce de soulagement, tu sais, où t'es plus là non plus pour réussir, prouver, est-ce que je suis assez ? Bah non, parce que l'amour c'est juste, tu fais parce que tu kiffes le faire en fait. Tu kiffes faire, tu kiffes être. T'as pas à être pour les autres. Si tu veux que je sois pour toi, trouve ce que tu veux chez moi, moi de toute façon je fais ce que j'aime. J'aime être ce que je suis et j'aime être toujours un peu meilleur chaque jour et essayer de trouver des pistes d'expansion. Et je peux t'assurer que d'avoir ressenti ça, d'être arrivé là, à ce niveau-là, de me dire « Ouais, tous les choses extérieures, très bien, c'est super sympa, je kiffe. Le matériel, c'est très utile, c'est très plaisant. » Mais en fait, ça me rendra... Je dirais que ça facilite toujours la vie. Parce qu'encore une fois, tous ces trucs-là, quand t'as pas de thunes pour payer à bouffer un toit, t'as pas le temps d'y penser. Mais quand t'as vraiment le temps, c'est... Ça change la vie en fait. Ça change la vie et je ne referai pas, j'espère, je reste humble, ne pas refaire la même erreur que quand ça m'était arrivé, où j'étais arrivé dans cette fréquence inconsciemment, en revenant de tout mon tour du monde. Et parce que je m'étais... Je pense qu'en fait je suis vraiment dans une phase de vie où j'essaie de refaire des choses extraordinaires que j'avais réussi dans ma vie, dans le passé, mais je l'avais fait, tu sais, de façon candide, avec l'insouciance. d'un enfant et parce que je savais pas que c'était impossible que c'était dur alors je les fais quoi et de leur faire aujourd'hui notamment dans l'état de conscience dans mes actions dans mes ressentis dans ce que j'ai envie d'être est ce que j'ai envie de faire et de le refaire avec la conscience par et ton cerveau il sait tout ce que ça coûte il sait tout ce que ça coûte comme temps comme souffrance comme épreuve et d'y aller et de rester connecté ben je disais un pote j'en suis fier en fait et je referai pas l'erreur justement de ce que je dis de ne pas le cultiver Parce que c'est comme un jardin ça. Et dans la vie, il faut faire très attention à ce qu'on veut. Parce qu'une fois que tu l'obtiens, tu continues pas en tout cas d'y mettre le temps et l'énergie. Ça se détériore, ça se désagrège et tu le perds au final. Et moi, c'est ce qui m'était arrivé. Vraiment. Je me sentais la meilleure version de moi-même en rentrant de tour du monde. Consciemment, je me disais, c'est super, je suis bien. Vas-y, je pars sur autre chose. Je vais essayer de faire influence en voyage. Et puis en fait, tu perds tout ça, tu le cultives plus, puis tu deviens con, tu deviens stressé, tu te laisses... t'es plus émetteur en fait tu fais plus gaffe j'espère que ce partage de process il y a peut-être des choses qui ont résonné en toi par rapport à où t'en es dans ton parcours et je te souhaite un bon cheminement pour s'atteindre ce niveau où tu te sens bien en fait et où ce bien-être il dépend uniquement de toi et que tu l'as compris et que t'arrives à te connecter à la bonne fréquence pour te sentir bien et juste te dire wow J'ai man, je suis bien Et je vais faire les choses sereinement, sans stress, sans avoir peur, pour le plaisir de les faire. Et vu que tu es dans l'amour et que tu n'as plus peur, tu sais que ça réussira de toute façon.
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Transcription
Et bien c'est reparti pour une nouvelle semaine de podcast, fraîchement revenu de Bali après un mois et demi qui ont été vraiment très marquants. Je pense que ça a été un épisode dont je me souviendrai toujours dans ma vie parce que j'ai l'impression que j'ai eu un pivot, j'ai réussi à passer un niveau, niveau que j'étais en train de préparer depuis pas mal de temps et qui s'est concrétisé là-bas. Et encore une fois, je t'en ai parlé, mais c'est vrai que d'avoir pris la décision de... En 48 heures de vendre mes meubles, de rendre mon appart à Lisbonne pour aller vibrer avec quelqu'un qui a une fréquence que je voulais avoir, je me suis mis en résonance. Ça a eu vraiment un impact très positif sur moi et sur lui d'ailleurs aussi, sur mon pote Sam à qui je fais à chaque fois un bisou. Vu qu'en ce moment je parlais pas mal de lui parce que je passais du temps avec lui. Mais ce mois et demi s'est terminé en apothéose parce que j'ai vraiment ancré beaucoup de choses grâce à une cérémonie de psylocibine dont je t'ai parlé. Et une immersion. avec des potes entrepreneurs. J'ai vraiment... L'immersion s'est terminée le dimanche et j'ai pris l'avion le dimanche soir, même à 18h dans l'après-midi. Et du coup, ces dernières semaines qui sont ces dix derniers jours qui se sont écoulés, j'ai pas mal de choses à te partager. Et du coup, dans les podcasts qui vont arriver cette semaine, aujourd'hui, je vais te parler vraiment de comment je suis passé de quelqu'un qui se considère un peu comme bulletproof, tu sais. Tu sais, qui... qui pouvait en fait encaisser les balles et ça ne lui faisait rien à bullet-less. Vraiment où en fait, je n'encaisse plus les balles, maintenant je les laisse traverser. Et ça a vraiment eu un impact de fou sur qui je suis aujourd'hui par rapport à qui j'étais. Et je voudrais partager ce cheminement et ce que ça a un impact aussi dans aujourd'hui, comment je me sens, ce que j'ai envie de faire et ce que j'ai envie d'accomplir. Et dans les autres thématiques qu'il y aura cette semaine, il y aura une histoire incroyable de mon pote Florian, un mec que j'ai rencontré il y a deux ans, et que j'ai vu tout plaquer aussi quand j'étais à Bali. Et il est en train de monter des éco-vilas à Lombok. C'est assez fou son histoire. Je pense que son parcours va pouvoir t'inspirer. Je te parlerai aussi de quoi faire quand tu as quelqu'un qui va mal en face de toi, ou qui agit mal, et tu sais qu'il peut te déverser toute cette sale énergie potentiellement, qu'il le fasse exprès ou pas. sur toi. Je voudrais aussi te parler d'une fille que j'ai croisée à l'aéroport, une inconnue, et que je voyais qui tirait la gueule. Vraiment qui tirait la gueule. Je me suis dit, waouh ! Et en fait, il s'est passé un truc de ouf et il y a une vraie leçon que j'en ai tirée. Je voudrais aussi te partager peut-être un process pour t'aider à réussir ta vie comme personne. Et vraiment, comme personne d'autre, en fait. Comment tu vas réussir ta vie, à ta façon. Je pense que c'est quelque chose que... On est toujours tenté d'avoir des modèles, d'avoir des repères, de se comparer. Et finalement, on n'arrive pas à vivre sa vie. Réussir comme personne, c'est ça le but de la vie. Je voudrais t'en parler cette semaine. Je voudrais partager un des ateliers qu'on a fait pendant l'immersion avec mes potes, qui est un atelier sur l'abondance et l'abondance financière. Pas mal d'exercices qui viennent déprogrammés. Alors moi, c'est un de mes gros points bloquants. Une grosse limitation, c'est vraiment ma relation à l'argent. Je pense que ça a vraiment pas mal débloqué de choses et reprogrammé. Je te donnerai un peu les exercices qu'on a fait. Je te parlerai évidemment de ce que j'ai retiré de cette immersion, des clés qu'il y a eu, aussi vraiment des réalisations qui peuvent aussi toi t'être utile. Parce que quand tu as 8 cerveaux de mecs qui réussissent et qui sont successifs et qui se mettent ensemble, il y a eu pas mal de pépites qui sont ressorties et que je voudrais te partager. Et je terminerai maintenant, je terminais souvent sur le fun fact, et maintenant j'ai envie de terminer par un atelier aussi qu'on fait en immersion, ça s'appelle Game Changer Drop, et c'est vraiment dropper comme ça à la volée des choses qui ont pu changer notre vie, que ce soit sur la santé, la productivité, le mindset, le bien-être, et je trouve que c'est un super atelier, il y a eu tellement, t'imagines, on passait un quart d'heure, Et il y avait 8 personnes, il y a eu pas mal de pépites qui sont tombées, donc je voudrais t'en partager une ou deux par semaine pour que ça puisse être utile aussi. Et puis évidemment, je terminerai par un petit fun fact comme d'habitude pour le podcast de la semaine. Donc c'est parti pour une nouvelle série de podcast cette semaine et aujourd'hui, je voudrais te parler de mon process qui m'a pris quand même pas mal d'années. Mais de comment je suis passé d'un mec qui était bulletproof à bulletless, c'est-à-dire un mec qui pouvait tout encaisser, encaisser les balles, un mec qui sent aujourd'hui que les choses le traversent et que ça m'impacte plus, ou en tout cas c'est pas quelque chose que je vais... qui va pouvoir me mettre down ou qui va pouvoir me mettre up ou que en gros, les circonstances extérieures ne viennent plus me faire chavirer, me faire douter, me mettre mal. C'est un état que j'ai atteint ces dernières semaines et je sais que c'est quelque chose de très fragile, qu'il faut vraiment faire attention de conserver. Mais grosso merdo, pendant toute ma vie, j'ai été quand même un mec qui avait la chance d'être câble, la chance d'être câblé assez naturellement, de façon positive. J'ai une personnalité très positive, qui voit le positif. Et dans les personnalités émotionnelles, tu en as vraiment plusieurs, mais tu n'en as pas 50. En gros, tu en as ceux qui ressentent très fort la joie, très fort la tristesse, très fort la joie, un petit peu la tristesse. Ça, c'est moi, c'est le cheerleader, ce qu'ils appellent. Il y en a, c'est un petit peu la joie et très fort la tristesse. Et tu as ceux aussi qui ressentent un petit peu la joie et un petit peu la tristesse, qui ressentent des états assez neutres et jamais très forts. J'ai longtemps été le mec qui était content parce qu'en fait, moi, je ressens très fort la joie et peu la tristesse. Du coup, j'en profitais en fait pour annihiler, complètement supprimer le fait que la tristesse, le doute, tout ça, tout ce qui est négatif, ça existe. Parce qu'encore une fois, je viens d'une famille où, ok, on n'est pas riche, mais on n'est pas pauvre, on vole vers un quartier plein. Donc, on ne s'autorise pas à être triste et on y va. Sauf que ben... Je le sais parce que dans ma quête d'un jour me retrouver avec ma fausse sceptique émotionnelle négative pleine, je ne savais pas trop comment m'en débarrasser, nettoyer. J'ai donc compris que pour ne pas stocker une émotion, il fallait la vivre. Et Dieu sait qu'on ne s'autorise vraiment pas à vivre tout le panel des émotions. On est toujours là à essayer de vivre l'émotion positive, mais moins le négatif. Et que quand c'est négatif, en fait, on ne la vit pas vraiment. C'est là, mais du coup, ça ne disparaît pas. On ne va pas à fond dedans en fait. On ne va pas à fond dedans et du coup on ne le vit pas, on est coupable et ça recrée des sales énergies. Finalement c'est un cercle un peu vicieux. On ne le vit pas, on crée un goulot d'étranglement et finalement tu passes potentiellement d'un mec qui est là, qui encaisse le stress, qui encaisse tout ça, ou un mec ou une nana évidemment, à quelqu'un qui du jour au lendemain, vu qu'il n'a pas vu toute cette jauge augmenter, augmenter, augmenter, jusqu'au moment où ça déborde. Ah, je suis en burn-out. Ah, tout à coup, je suis débordé de doutes, de peurs et de mal-être. Et comment j'ai fait pour aujourd'hui me sentir vraiment, je dirais, dans une autre fréquence et sentir que ce n'est pas l'extérieur qui va me déstabiliser, c'est moi, comment finalement j'arrive à rester dans cette belle vibration et que ça part de l'intérieur. En vrai, ça a été vraiment beaucoup d'années de déconstruction et de reconstruction. Quand j'ai entamé cette démarche, ce n'était pas du tout intentionnel, puisque j'étais là en mode à la base, je sens que je suis bien, je veux juste passer un step dans ma vie et boum, tout s'est pété la gueule. Parce qu'en même temps, j'ai mis le nez dans le caca et le caca, il y en avait plein. Je ne voulais pas le voir et je n'en étais pas aperçu. Et finalement, ça a été un processus de vraiment bien me comprendre, d'accepter qui j'étais et qui je n'étais pas. que le qui j'étais pas est beaucoup plus long je trouve que le savoir qui on est avec les tests de personnalité aujourd'hui ça reste assez sharp mais vraiment accepter qui on est pas et qui on sera jamais et dans lequel vraiment aucun chemin de vie ne permettra de nous épanouir même si ça a l'air cool et que les autres ils ont l'air de vraiment se régaler dans le chemin de vie mais que c'est pas ma personnalité, ni mes zones de génie ni mon chemin et que c'est ok ça prend du temps, moi ça m'a pris vraiment beaucoup de temps, surtout quand on est un peu spécial parce que on va être TDAH on va être un peu hyperactif, et puis je sais pas, ceci, cela, donc... Il y a plein de choses que... S'apercevoir qu'il y a plein de choses qu'on va pas pouvoir faire, parce que c'est vraiment pas inné chez nous, et d'arriver à se concentrer sur, ok, tout ce qu'on va pouvoir faire de façon innée, et que c'est sur nos super pouvoirs. Donc il y a eu vraiment déjà toute cette démarche-là, et je dirais aussi, c'est... C'est arriver au fur et à mesure à vivre toutes les émotions pour les nettoyer, ok, ça prend du temps aussi, et puis à un moment c'est d'arriver à à se débarrasser, je pense que c'est le plus grand fléau qui est la source de tout, des choses un peu négatives, c'est le doute en fait. Parce que le doute, c'est un peu le petit pète dans le pare-brise. Le petit truc, le petit craquement qui fait que dès qu'il n'y aurait une pression supplémentaire, le pare-brise va péter, il va vraiment exploser en plein vol. Et que c'est ces petites brisures, ces petits craquements dans le pare-brise qui... sont insidieuses, ont dit bah je peux encore rouler c'est pas grave, c'est rien qui font en fait que ça devient fragile et que vraiment au moins de petits éclats un jour où on s'y attend pas, paf, le pare-brise il explose sur un petit caillou qui vient percuter Et franchement, on se dit, comment tu débarres du doute ? Je fais la différence entre le doute et le questionnement. Pour moi, le doute, c'est vraiment se poser la question en se disant, avec la négation, est-ce que je vais ? Comment je vais pouvoir faire ça ? Et d'avoir finalement, c'est de la négativité, avec de la peur, avec du fait qu'on envisage le scénario négatif. Et pour moi, la curiosité, encore une fois, c'est qu'on cherche... On se questionne pour avoir le scénario positif. On est curieux de savoir comment pouvoir faire ceci, ou comment se créer cela. Bref, le doute, c'est vraiment de la merde, je trouve, et qu'il faut aussi vivre, de toute façon, une fois dans sa vie. Mais comment on s'en débarrasse ? C'est marrant, mais quand tu commences à faire de la méditation, quand tu commences à aller dans les choses plus profondes, d'introspection... La méditation, ça te dit souvent, tu vois, il cherche ce mot qui est très bizarre, que j'ai jamais entendu le parler d'autre, c'est l'équanimité. L'équanimité, c'est l'espèce d'état neutre, tu vois. Le problème, c'est que l'état neutre, où t'es vraiment équanime, genre tu vois les choses telles qu'elles sont, tu ne portes pas vraiment de jugement, tes objectifs, etc. C'est un état, je trouve, qui ne permet pas vraiment de vivre dans le monde dans lequel on est. Parce que finalement, c'est dur d'émaner l'équanimité, tu vois, tout le temps. parce qu'on va être sensible à n'importe quel changement autour de nous et n'importe quelle émotion un peu plus forte va venir remplacer cette espèce d'état de neutralité et c'est con, ça va paraître vraiment un peu cucu, puis je sais que j'aime pas trop les trucs cucu mais ce qui là m'a permis vraiment je trouve d'arriver à kicker le doute à arriver vraiment à me sentir bien et... Et ne plus être dans cet état vraiment de merde, de que je me questionne, est-ce que je vais y arriver, de doute, de ceci, de stress un peu, tu vois. Et d'être bien et d'arriver enfin à être bien avec moi-même, c'est con, mais c'est se connecter vraiment à l'énergie de l'amour, tu vois. Plutôt que laisser un truc genre je suis bien, tout va bien, c'est non, t'es mal de l'amour en fait. Et il y a un truc de fou, et l'amour c'est le plaisir, c'est le kiff, tu sais, c'est le fait d'être bien. Et quand tu te connectes à cette énergie pour justement être l'émetteur et pas le récepteur, pour ceux qui ont écouté un peu le podcast sur la cérémonie de psilocybine, j'avais bien aimé cette phrase qui avait popé dans ma tête, c'était vraiment « c'est toi l'émetteur » . Et les problèmes commencent quand tu es le récepteur. Et quand c'est toi qui émets cette fréquence d'amour, et l'amour c'est pas « salut, je suis amoureux de toi, c'est trop bien » , non, c'est ce côté, je vois. je regarde les choses avec amour, j'aime. C'est comme quand tu regardes ton frère, ta mère, ta chérie, il y a ce regard d'amour en fait, cette énergie. Quand tu regardes les choses, quand tu regardes ton animal de compagnie, que tu kiffes, quand tu commences à te connecter consciemment à cette fréquence-là et que tu arrives en fait à essayer de te mettre dans ce Ausha en temps, en mode je vais me balader, je suis en mode... je me balade et j'aime la balade je sens, ces derniers temps en plus je sens les minutes qui passent, tu sais le temps qui passe, je le sens dans mes veines j'adore, tu vois, tu sens le temps, c'est agréable parce que t'es bien, t'es bien avec toi-même et que chaque, en fait, à chaque fois que tu vas poser le regard sur quelque chose et faire une action tu vas le faire avec de l'amour, et quand quelqu'un même t'agresse et ça c'est le plus dur c'est de le regarder avec entre guillemets, avec de l'amour et de se dire, ouais, ça va pas toi mec, je suis vraiment désolé pour toi et que tu le prends pas pour toi en fait, c'est pas toi qui est agressé Toi parce que t'émanes de l'amour donc en fait t'es pas du tout en récepteur, t'es en émetteur. Donc t'aimais de l'amour et tu te dis bah je vois que tu vas mal, ça me fait de la peine pour toi tu vois. Evidemment si à un moment donné il émet tellement de violence l'autre en face que tu lui mets un pain dans la gueule, bah les yettes ça c'est voilà. T'aimais de l'amour, je t'aime, je te neutralise. Faut que tu arrêtes, faut pas que tu montes plus haut dans la haine tu vois. Il y a un moment c'est aussi ça tu vois. Si je t'aime assez je t'empêche de faire le mal tu vois. parce que ça va tenir encore plus. Mais ce que je veux dire, c'est que ça a été vraiment ça, en fait. Ce process, c'est, ok, je vais pas bien, je me retrouve avec des émotions que j'ai jamais vécues pendant des années, parce que je m'autorisais pas, et parce que j'encaissais tout, vraiment, et je pensais que ça ricochait sur moi, ça ricoche pas du tout, ça se stocke, alors si t'as la chance en plus de, potentiellement, pas ressentir forcément, fortement le stress, le doute, la tristesse, etc., bon bah, ça va s'accumuler tout doucement sans que tu t'en aperçoives. Sauf que ben, il y a un jour, ça te pète à la gueule, tu dis qu'est-ce que j'en fais, et t'as deux choix en fait. Soit tu nies, ce que j'ai longtemps fait. Ah non pas moi ça va pas m'arriver, moi je suis plus fort que ça, dépréciant t'es nul c'est pour les faibles. Soit à un moment tu dis ok, je vois que ça ne bouge pas, ça ne fait rien, ça ne s'en va pas, c'est une espèce de truc un peu omniprésent, ce gros monstre, le doute qui est là. Donc tu vas creuser et tu vas essayer de comprendre pourquoi tu as toutes ces émotions, toutes celles que tu as vécues, essayer de les vivre, essayer d'arriver à ouvrir la porte de ton subconscient, de tes émotions, de reconnecter la tête avec le cœur, ce qu'on arrête de faire pour être en mode bulldozer, réussir, etc. parce que c'est une faiblesse de se connecter à ses émotions. Ok, non, pas du tout. Mais c'est ce qu'on fait et c'est ce que j'ai longtemps fait. Et puis une fois que tu fais ça, c'est OK, t'as compris ces émotions. Et de se reconnecter profondément à qui on est et d'accepter qui on n'est pas, ça c'est l'autre process. Et une fois que c'est le cas, c'est de se dire OK, j'arrive à être conscient des émotions du coup, vu que je m'y suis un peu plus connecté, mais je choisis en fait consciemment de me connecter à cette fucking fréquence de l'amour et de me dire, ok, je te regarde, je fais, je ressens, j'agis. avec la fréquence de l'amour. Et si en fait, mon corps et mon esprit sont occupés avec l'amour, il y a un truc, c'est scientifique, ça a été prouvé, on ne peut pas avoir deux émotions en même temps. C'est prouvé, tu vois. De la même façon, tu ne peux pas avoir deux pensées en même temps. C'est juste, elles peuvent s'alterner ultra rapidement, mais ce n'est jamais simultané. Ce qui fait que si consciemment, tu prends toute la place dans ton corps et ton esprit avec l'amour, tout à coup, il n'y a plus la place pour le reste. Et je peux t'assurer que quant à cette fréquence-là, il y a un espèce d'apaisement. Il y a un espèce de soulagement, tu sais, où t'es plus là non plus pour réussir, prouver, est-ce que je suis assez ? Bah non, parce que l'amour c'est juste, tu fais parce que tu kiffes le faire en fait. Tu kiffes faire, tu kiffes être. T'as pas à être pour les autres. Si tu veux que je sois pour toi, trouve ce que tu veux chez moi, moi de toute façon je fais ce que j'aime. J'aime être ce que je suis et j'aime être toujours un peu meilleur chaque jour et essayer de trouver des pistes d'expansion. Et je peux t'assurer que d'avoir ressenti ça, d'être arrivé là, à ce niveau-là, de me dire « Ouais, tous les choses extérieures, très bien, c'est super sympa, je kiffe. Le matériel, c'est très utile, c'est très plaisant. » Mais en fait, ça me rendra... Je dirais que ça facilite toujours la vie. Parce qu'encore une fois, tous ces trucs-là, quand t'as pas de thunes pour payer à bouffer un toit, t'as pas le temps d'y penser. Mais quand t'as vraiment le temps, c'est... Ça change la vie en fait. Ça change la vie et je ne referai pas, j'espère, je reste humble, ne pas refaire la même erreur que quand ça m'était arrivé, où j'étais arrivé dans cette fréquence inconsciemment, en revenant de tout mon tour du monde. Et parce que je m'étais... Je pense qu'en fait je suis vraiment dans une phase de vie où j'essaie de refaire des choses extraordinaires que j'avais réussi dans ma vie, dans le passé, mais je l'avais fait, tu sais, de façon candide, avec l'insouciance. d'un enfant et parce que je savais pas que c'était impossible que c'était dur alors je les fais quoi et de leur faire aujourd'hui notamment dans l'état de conscience dans mes actions dans mes ressentis dans ce que j'ai envie d'être est ce que j'ai envie de faire et de le refaire avec la conscience par et ton cerveau il sait tout ce que ça coûte il sait tout ce que ça coûte comme temps comme souffrance comme épreuve et d'y aller et de rester connecté ben je disais un pote j'en suis fier en fait et je referai pas l'erreur justement de ce que je dis de ne pas le cultiver Parce que c'est comme un jardin ça. Et dans la vie, il faut faire très attention à ce qu'on veut. Parce qu'une fois que tu l'obtiens, tu continues pas en tout cas d'y mettre le temps et l'énergie. Ça se détériore, ça se désagrège et tu le perds au final. Et moi, c'est ce qui m'était arrivé. Vraiment. Je me sentais la meilleure version de moi-même en rentrant de tour du monde. Consciemment, je me disais, c'est super, je suis bien. Vas-y, je pars sur autre chose. Je vais essayer de faire influence en voyage. Et puis en fait, tu perds tout ça, tu le cultives plus, puis tu deviens con, tu deviens stressé, tu te laisses... t'es plus émetteur en fait tu fais plus gaffe j'espère que ce partage de process il y a peut-être des choses qui ont résonné en toi par rapport à où t'en es dans ton parcours et je te souhaite un bon cheminement pour s'atteindre ce niveau où tu te sens bien en fait et où ce bien-être il dépend uniquement de toi et que tu l'as compris et que t'arrives à te connecter à la bonne fréquence pour te sentir bien et juste te dire wow J'ai man, je suis bien Et je vais faire les choses sereinement, sans stress, sans avoir peur, pour le plaisir de les faire. Et vu que tu es dans l'amour et que tu n'as plus peur, tu sais que ça réussira de toute façon.
Description
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Transcription
Et bien c'est reparti pour une nouvelle semaine de podcast, fraîchement revenu de Bali après un mois et demi qui ont été vraiment très marquants. Je pense que ça a été un épisode dont je me souviendrai toujours dans ma vie parce que j'ai l'impression que j'ai eu un pivot, j'ai réussi à passer un niveau, niveau que j'étais en train de préparer depuis pas mal de temps et qui s'est concrétisé là-bas. Et encore une fois, je t'en ai parlé, mais c'est vrai que d'avoir pris la décision de... En 48 heures de vendre mes meubles, de rendre mon appart à Lisbonne pour aller vibrer avec quelqu'un qui a une fréquence que je voulais avoir, je me suis mis en résonance. Ça a eu vraiment un impact très positif sur moi et sur lui d'ailleurs aussi, sur mon pote Sam à qui je fais à chaque fois un bisou. Vu qu'en ce moment je parlais pas mal de lui parce que je passais du temps avec lui. Mais ce mois et demi s'est terminé en apothéose parce que j'ai vraiment ancré beaucoup de choses grâce à une cérémonie de psylocibine dont je t'ai parlé. Et une immersion. avec des potes entrepreneurs. J'ai vraiment... L'immersion s'est terminée le dimanche et j'ai pris l'avion le dimanche soir, même à 18h dans l'après-midi. Et du coup, ces dernières semaines qui sont ces dix derniers jours qui se sont écoulés, j'ai pas mal de choses à te partager. Et du coup, dans les podcasts qui vont arriver cette semaine, aujourd'hui, je vais te parler vraiment de comment je suis passé de quelqu'un qui se considère un peu comme bulletproof, tu sais. Tu sais, qui... qui pouvait en fait encaisser les balles et ça ne lui faisait rien à bullet-less. Vraiment où en fait, je n'encaisse plus les balles, maintenant je les laisse traverser. Et ça a vraiment eu un impact de fou sur qui je suis aujourd'hui par rapport à qui j'étais. Et je voudrais partager ce cheminement et ce que ça a un impact aussi dans aujourd'hui, comment je me sens, ce que j'ai envie de faire et ce que j'ai envie d'accomplir. Et dans les autres thématiques qu'il y aura cette semaine, il y aura une histoire incroyable de mon pote Florian, un mec que j'ai rencontré il y a deux ans, et que j'ai vu tout plaquer aussi quand j'étais à Bali. Et il est en train de monter des éco-vilas à Lombok. C'est assez fou son histoire. Je pense que son parcours va pouvoir t'inspirer. Je te parlerai aussi de quoi faire quand tu as quelqu'un qui va mal en face de toi, ou qui agit mal, et tu sais qu'il peut te déverser toute cette sale énergie potentiellement, qu'il le fasse exprès ou pas. sur toi. Je voudrais aussi te parler d'une fille que j'ai croisée à l'aéroport, une inconnue, et que je voyais qui tirait la gueule. Vraiment qui tirait la gueule. Je me suis dit, waouh ! Et en fait, il s'est passé un truc de ouf et il y a une vraie leçon que j'en ai tirée. Je voudrais aussi te partager peut-être un process pour t'aider à réussir ta vie comme personne. Et vraiment, comme personne d'autre, en fait. Comment tu vas réussir ta vie, à ta façon. Je pense que c'est quelque chose que... On est toujours tenté d'avoir des modèles, d'avoir des repères, de se comparer. Et finalement, on n'arrive pas à vivre sa vie. Réussir comme personne, c'est ça le but de la vie. Je voudrais t'en parler cette semaine. Je voudrais partager un des ateliers qu'on a fait pendant l'immersion avec mes potes, qui est un atelier sur l'abondance et l'abondance financière. Pas mal d'exercices qui viennent déprogrammés. Alors moi, c'est un de mes gros points bloquants. Une grosse limitation, c'est vraiment ma relation à l'argent. Je pense que ça a vraiment pas mal débloqué de choses et reprogrammé. Je te donnerai un peu les exercices qu'on a fait. Je te parlerai évidemment de ce que j'ai retiré de cette immersion, des clés qu'il y a eu, aussi vraiment des réalisations qui peuvent aussi toi t'être utile. Parce que quand tu as 8 cerveaux de mecs qui réussissent et qui sont successifs et qui se mettent ensemble, il y a eu pas mal de pépites qui sont ressorties et que je voudrais te partager. Et je terminerai maintenant, je terminais souvent sur le fun fact, et maintenant j'ai envie de terminer par un atelier aussi qu'on fait en immersion, ça s'appelle Game Changer Drop, et c'est vraiment dropper comme ça à la volée des choses qui ont pu changer notre vie, que ce soit sur la santé, la productivité, le mindset, le bien-être, et je trouve que c'est un super atelier, il y a eu tellement, t'imagines, on passait un quart d'heure, Et il y avait 8 personnes, il y a eu pas mal de pépites qui sont tombées, donc je voudrais t'en partager une ou deux par semaine pour que ça puisse être utile aussi. Et puis évidemment, je terminerai par un petit fun fact comme d'habitude pour le podcast de la semaine. Donc c'est parti pour une nouvelle série de podcast cette semaine et aujourd'hui, je voudrais te parler de mon process qui m'a pris quand même pas mal d'années. Mais de comment je suis passé d'un mec qui était bulletproof à bulletless, c'est-à-dire un mec qui pouvait tout encaisser, encaisser les balles, un mec qui sent aujourd'hui que les choses le traversent et que ça m'impacte plus, ou en tout cas c'est pas quelque chose que je vais... qui va pouvoir me mettre down ou qui va pouvoir me mettre up ou que en gros, les circonstances extérieures ne viennent plus me faire chavirer, me faire douter, me mettre mal. C'est un état que j'ai atteint ces dernières semaines et je sais que c'est quelque chose de très fragile, qu'il faut vraiment faire attention de conserver. Mais grosso merdo, pendant toute ma vie, j'ai été quand même un mec qui avait la chance d'être câble, la chance d'être câblé assez naturellement, de façon positive. J'ai une personnalité très positive, qui voit le positif. Et dans les personnalités émotionnelles, tu en as vraiment plusieurs, mais tu n'en as pas 50. En gros, tu en as ceux qui ressentent très fort la joie, très fort la tristesse, très fort la joie, un petit peu la tristesse. Ça, c'est moi, c'est le cheerleader, ce qu'ils appellent. Il y en a, c'est un petit peu la joie et très fort la tristesse. Et tu as ceux aussi qui ressentent un petit peu la joie et un petit peu la tristesse, qui ressentent des états assez neutres et jamais très forts. J'ai longtemps été le mec qui était content parce qu'en fait, moi, je ressens très fort la joie et peu la tristesse. Du coup, j'en profitais en fait pour annihiler, complètement supprimer le fait que la tristesse, le doute, tout ça, tout ce qui est négatif, ça existe. Parce qu'encore une fois, je viens d'une famille où, ok, on n'est pas riche, mais on n'est pas pauvre, on vole vers un quartier plein. Donc, on ne s'autorise pas à être triste et on y va. Sauf que ben... Je le sais parce que dans ma quête d'un jour me retrouver avec ma fausse sceptique émotionnelle négative pleine, je ne savais pas trop comment m'en débarrasser, nettoyer. J'ai donc compris que pour ne pas stocker une émotion, il fallait la vivre. Et Dieu sait qu'on ne s'autorise vraiment pas à vivre tout le panel des émotions. On est toujours là à essayer de vivre l'émotion positive, mais moins le négatif. Et que quand c'est négatif, en fait, on ne la vit pas vraiment. C'est là, mais du coup, ça ne disparaît pas. On ne va pas à fond dedans en fait. On ne va pas à fond dedans et du coup on ne le vit pas, on est coupable et ça recrée des sales énergies. Finalement c'est un cercle un peu vicieux. On ne le vit pas, on crée un goulot d'étranglement et finalement tu passes potentiellement d'un mec qui est là, qui encaisse le stress, qui encaisse tout ça, ou un mec ou une nana évidemment, à quelqu'un qui du jour au lendemain, vu qu'il n'a pas vu toute cette jauge augmenter, augmenter, augmenter, jusqu'au moment où ça déborde. Ah, je suis en burn-out. Ah, tout à coup, je suis débordé de doutes, de peurs et de mal-être. Et comment j'ai fait pour aujourd'hui me sentir vraiment, je dirais, dans une autre fréquence et sentir que ce n'est pas l'extérieur qui va me déstabiliser, c'est moi, comment finalement j'arrive à rester dans cette belle vibration et que ça part de l'intérieur. En vrai, ça a été vraiment beaucoup d'années de déconstruction et de reconstruction. Quand j'ai entamé cette démarche, ce n'était pas du tout intentionnel, puisque j'étais là en mode à la base, je sens que je suis bien, je veux juste passer un step dans ma vie et boum, tout s'est pété la gueule. Parce qu'en même temps, j'ai mis le nez dans le caca et le caca, il y en avait plein. Je ne voulais pas le voir et je n'en étais pas aperçu. Et finalement, ça a été un processus de vraiment bien me comprendre, d'accepter qui j'étais et qui je n'étais pas. que le qui j'étais pas est beaucoup plus long je trouve que le savoir qui on est avec les tests de personnalité aujourd'hui ça reste assez sharp mais vraiment accepter qui on est pas et qui on sera jamais et dans lequel vraiment aucun chemin de vie ne permettra de nous épanouir même si ça a l'air cool et que les autres ils ont l'air de vraiment se régaler dans le chemin de vie mais que c'est pas ma personnalité, ni mes zones de génie ni mon chemin et que c'est ok ça prend du temps, moi ça m'a pris vraiment beaucoup de temps, surtout quand on est un peu spécial parce que on va être TDAH on va être un peu hyperactif, et puis je sais pas, ceci, cela, donc... Il y a plein de choses que... S'apercevoir qu'il y a plein de choses qu'on va pas pouvoir faire, parce que c'est vraiment pas inné chez nous, et d'arriver à se concentrer sur, ok, tout ce qu'on va pouvoir faire de façon innée, et que c'est sur nos super pouvoirs. Donc il y a eu vraiment déjà toute cette démarche-là, et je dirais aussi, c'est... C'est arriver au fur et à mesure à vivre toutes les émotions pour les nettoyer, ok, ça prend du temps aussi, et puis à un moment c'est d'arriver à à se débarrasser, je pense que c'est le plus grand fléau qui est la source de tout, des choses un peu négatives, c'est le doute en fait. Parce que le doute, c'est un peu le petit pète dans le pare-brise. Le petit truc, le petit craquement qui fait que dès qu'il n'y aurait une pression supplémentaire, le pare-brise va péter, il va vraiment exploser en plein vol. Et que c'est ces petites brisures, ces petits craquements dans le pare-brise qui... sont insidieuses, ont dit bah je peux encore rouler c'est pas grave, c'est rien qui font en fait que ça devient fragile et que vraiment au moins de petits éclats un jour où on s'y attend pas, paf, le pare-brise il explose sur un petit caillou qui vient percuter Et franchement, on se dit, comment tu débarres du doute ? Je fais la différence entre le doute et le questionnement. Pour moi, le doute, c'est vraiment se poser la question en se disant, avec la négation, est-ce que je vais ? Comment je vais pouvoir faire ça ? Et d'avoir finalement, c'est de la négativité, avec de la peur, avec du fait qu'on envisage le scénario négatif. Et pour moi, la curiosité, encore une fois, c'est qu'on cherche... On se questionne pour avoir le scénario positif. On est curieux de savoir comment pouvoir faire ceci, ou comment se créer cela. Bref, le doute, c'est vraiment de la merde, je trouve, et qu'il faut aussi vivre, de toute façon, une fois dans sa vie. Mais comment on s'en débarrasse ? C'est marrant, mais quand tu commences à faire de la méditation, quand tu commences à aller dans les choses plus profondes, d'introspection... La méditation, ça te dit souvent, tu vois, il cherche ce mot qui est très bizarre, que j'ai jamais entendu le parler d'autre, c'est l'équanimité. L'équanimité, c'est l'espèce d'état neutre, tu vois. Le problème, c'est que l'état neutre, où t'es vraiment équanime, genre tu vois les choses telles qu'elles sont, tu ne portes pas vraiment de jugement, tes objectifs, etc. C'est un état, je trouve, qui ne permet pas vraiment de vivre dans le monde dans lequel on est. Parce que finalement, c'est dur d'émaner l'équanimité, tu vois, tout le temps. parce qu'on va être sensible à n'importe quel changement autour de nous et n'importe quelle émotion un peu plus forte va venir remplacer cette espèce d'état de neutralité et c'est con, ça va paraître vraiment un peu cucu, puis je sais que j'aime pas trop les trucs cucu mais ce qui là m'a permis vraiment je trouve d'arriver à kicker le doute à arriver vraiment à me sentir bien et... Et ne plus être dans cet état vraiment de merde, de que je me questionne, est-ce que je vais y arriver, de doute, de ceci, de stress un peu, tu vois. Et d'être bien et d'arriver enfin à être bien avec moi-même, c'est con, mais c'est se connecter vraiment à l'énergie de l'amour, tu vois. Plutôt que laisser un truc genre je suis bien, tout va bien, c'est non, t'es mal de l'amour en fait. Et il y a un truc de fou, et l'amour c'est le plaisir, c'est le kiff, tu sais, c'est le fait d'être bien. Et quand tu te connectes à cette énergie pour justement être l'émetteur et pas le récepteur, pour ceux qui ont écouté un peu le podcast sur la cérémonie de psilocybine, j'avais bien aimé cette phrase qui avait popé dans ma tête, c'était vraiment « c'est toi l'émetteur » . Et les problèmes commencent quand tu es le récepteur. Et quand c'est toi qui émets cette fréquence d'amour, et l'amour c'est pas « salut, je suis amoureux de toi, c'est trop bien » , non, c'est ce côté, je vois. je regarde les choses avec amour, j'aime. C'est comme quand tu regardes ton frère, ta mère, ta chérie, il y a ce regard d'amour en fait, cette énergie. Quand tu regardes les choses, quand tu regardes ton animal de compagnie, que tu kiffes, quand tu commences à te connecter consciemment à cette fréquence-là et que tu arrives en fait à essayer de te mettre dans ce Ausha en temps, en mode je vais me balader, je suis en mode... je me balade et j'aime la balade je sens, ces derniers temps en plus je sens les minutes qui passent, tu sais le temps qui passe, je le sens dans mes veines j'adore, tu vois, tu sens le temps, c'est agréable parce que t'es bien, t'es bien avec toi-même et que chaque, en fait, à chaque fois que tu vas poser le regard sur quelque chose et faire une action tu vas le faire avec de l'amour, et quand quelqu'un même t'agresse et ça c'est le plus dur c'est de le regarder avec entre guillemets, avec de l'amour et de se dire, ouais, ça va pas toi mec, je suis vraiment désolé pour toi et que tu le prends pas pour toi en fait, c'est pas toi qui est agressé Toi parce que t'émanes de l'amour donc en fait t'es pas du tout en récepteur, t'es en émetteur. Donc t'aimais de l'amour et tu te dis bah je vois que tu vas mal, ça me fait de la peine pour toi tu vois. Evidemment si à un moment donné il émet tellement de violence l'autre en face que tu lui mets un pain dans la gueule, bah les yettes ça c'est voilà. T'aimais de l'amour, je t'aime, je te neutralise. Faut que tu arrêtes, faut pas que tu montes plus haut dans la haine tu vois. Il y a un moment c'est aussi ça tu vois. Si je t'aime assez je t'empêche de faire le mal tu vois. parce que ça va tenir encore plus. Mais ce que je veux dire, c'est que ça a été vraiment ça, en fait. Ce process, c'est, ok, je vais pas bien, je me retrouve avec des émotions que j'ai jamais vécues pendant des années, parce que je m'autorisais pas, et parce que j'encaissais tout, vraiment, et je pensais que ça ricochait sur moi, ça ricoche pas du tout, ça se stocke, alors si t'as la chance en plus de, potentiellement, pas ressentir forcément, fortement le stress, le doute, la tristesse, etc., bon bah, ça va s'accumuler tout doucement sans que tu t'en aperçoives. Sauf que ben, il y a un jour, ça te pète à la gueule, tu dis qu'est-ce que j'en fais, et t'as deux choix en fait. Soit tu nies, ce que j'ai longtemps fait. Ah non pas moi ça va pas m'arriver, moi je suis plus fort que ça, dépréciant t'es nul c'est pour les faibles. Soit à un moment tu dis ok, je vois que ça ne bouge pas, ça ne fait rien, ça ne s'en va pas, c'est une espèce de truc un peu omniprésent, ce gros monstre, le doute qui est là. Donc tu vas creuser et tu vas essayer de comprendre pourquoi tu as toutes ces émotions, toutes celles que tu as vécues, essayer de les vivre, essayer d'arriver à ouvrir la porte de ton subconscient, de tes émotions, de reconnecter la tête avec le cœur, ce qu'on arrête de faire pour être en mode bulldozer, réussir, etc. parce que c'est une faiblesse de se connecter à ses émotions. Ok, non, pas du tout. Mais c'est ce qu'on fait et c'est ce que j'ai longtemps fait. Et puis une fois que tu fais ça, c'est OK, t'as compris ces émotions. Et de se reconnecter profondément à qui on est et d'accepter qui on n'est pas, ça c'est l'autre process. Et une fois que c'est le cas, c'est de se dire OK, j'arrive à être conscient des émotions du coup, vu que je m'y suis un peu plus connecté, mais je choisis en fait consciemment de me connecter à cette fucking fréquence de l'amour et de me dire, ok, je te regarde, je fais, je ressens, j'agis. avec la fréquence de l'amour. Et si en fait, mon corps et mon esprit sont occupés avec l'amour, il y a un truc, c'est scientifique, ça a été prouvé, on ne peut pas avoir deux émotions en même temps. C'est prouvé, tu vois. De la même façon, tu ne peux pas avoir deux pensées en même temps. C'est juste, elles peuvent s'alterner ultra rapidement, mais ce n'est jamais simultané. Ce qui fait que si consciemment, tu prends toute la place dans ton corps et ton esprit avec l'amour, tout à coup, il n'y a plus la place pour le reste. Et je peux t'assurer que quant à cette fréquence-là, il y a un espèce d'apaisement. Il y a un espèce de soulagement, tu sais, où t'es plus là non plus pour réussir, prouver, est-ce que je suis assez ? Bah non, parce que l'amour c'est juste, tu fais parce que tu kiffes le faire en fait. Tu kiffes faire, tu kiffes être. T'as pas à être pour les autres. Si tu veux que je sois pour toi, trouve ce que tu veux chez moi, moi de toute façon je fais ce que j'aime. J'aime être ce que je suis et j'aime être toujours un peu meilleur chaque jour et essayer de trouver des pistes d'expansion. Et je peux t'assurer que d'avoir ressenti ça, d'être arrivé là, à ce niveau-là, de me dire « Ouais, tous les choses extérieures, très bien, c'est super sympa, je kiffe. Le matériel, c'est très utile, c'est très plaisant. » Mais en fait, ça me rendra... Je dirais que ça facilite toujours la vie. Parce qu'encore une fois, tous ces trucs-là, quand t'as pas de thunes pour payer à bouffer un toit, t'as pas le temps d'y penser. Mais quand t'as vraiment le temps, c'est... Ça change la vie en fait. Ça change la vie et je ne referai pas, j'espère, je reste humble, ne pas refaire la même erreur que quand ça m'était arrivé, où j'étais arrivé dans cette fréquence inconsciemment, en revenant de tout mon tour du monde. Et parce que je m'étais... Je pense qu'en fait je suis vraiment dans une phase de vie où j'essaie de refaire des choses extraordinaires que j'avais réussi dans ma vie, dans le passé, mais je l'avais fait, tu sais, de façon candide, avec l'insouciance. d'un enfant et parce que je savais pas que c'était impossible que c'était dur alors je les fais quoi et de leur faire aujourd'hui notamment dans l'état de conscience dans mes actions dans mes ressentis dans ce que j'ai envie d'être est ce que j'ai envie de faire et de le refaire avec la conscience par et ton cerveau il sait tout ce que ça coûte il sait tout ce que ça coûte comme temps comme souffrance comme épreuve et d'y aller et de rester connecté ben je disais un pote j'en suis fier en fait et je referai pas l'erreur justement de ce que je dis de ne pas le cultiver Parce que c'est comme un jardin ça. Et dans la vie, il faut faire très attention à ce qu'on veut. Parce qu'une fois que tu l'obtiens, tu continues pas en tout cas d'y mettre le temps et l'énergie. Ça se détériore, ça se désagrège et tu le perds au final. Et moi, c'est ce qui m'était arrivé. Vraiment. Je me sentais la meilleure version de moi-même en rentrant de tour du monde. Consciemment, je me disais, c'est super, je suis bien. Vas-y, je pars sur autre chose. Je vais essayer de faire influence en voyage. Et puis en fait, tu perds tout ça, tu le cultives plus, puis tu deviens con, tu deviens stressé, tu te laisses... t'es plus émetteur en fait tu fais plus gaffe j'espère que ce partage de process il y a peut-être des choses qui ont résonné en toi par rapport à où t'en es dans ton parcours et je te souhaite un bon cheminement pour s'atteindre ce niveau où tu te sens bien en fait et où ce bien-être il dépend uniquement de toi et que tu l'as compris et que t'arrives à te connecter à la bonne fréquence pour te sentir bien et juste te dire wow J'ai man, je suis bien Et je vais faire les choses sereinement, sans stress, sans avoir peur, pour le plaisir de les faire. Et vu que tu es dans l'amour et que tu n'as plus peur, tu sais que ça réussira de toute façon.
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