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SATORI

Ce mec gère un fond d’investissement… depuis sa moto en Afrique.

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05min |26/05/2025
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  • Speaker #0

    Bon, je vais finir cette semaine de podcast et de journal de bord, évidemment, avec un petit fun fact. Et je viens d'arriver à Bali et j'appelais mon pote Anto, qui est un mec génial, entrepreneur, évidemment, qui me fait halluciner. Parce que pour le coup, lui, c'est clairement un ouais, c'est le mec. Moi, je pensais que j'étais curieux. Alors lui, c'est next level. Il est peu importe. Il s'intéresse à tout. Il est curieux, mais comme un enfant, il se nourrit de tout. Et c'est un mec qui, en fait, à 22 ans, il s'est fait pote avec un dubaïote. Le mec lui a filé 6 millions parce que c'était ce qu'on appelle un family office, c'est-à-dire que c'était sa thune perso. Et le mec en a fait un transformé en 30 millions, tu vois, en quelques années, allez, en 4-5 ans, en rachetant des boîtes un peu en faillite et en les twistant, en leur mettant sur pied. Un gars de ouf, un mec humble, un mec génial. Et du coup, là, ils sont en train de monter un fonds d'invest avec mon pote Sam, avec qui j'ai passé du temps à Bali. Et mon pote Sam, c'est un trader incroyable et sain et trop cool. Et du coup, ils sont en train d'avoir des taux de renta absolument incroyablement de ouf. Et il m'a dit, mais Alex, mets des billes, mec. Mets des billes parce que ce que tu es évidemment capable de perdre, ça va du trading, etc. Et du coup, Sam me dit, gère ça. C'est Anto qui gère. Moi, je gère le trading. Lui, il gère un peu la partie admin, acquisition, etc. Et j'appelle mon pote Anto et je lui dis, du coup, je prends des news. Je sais qu'en ce moment, il est en train de… de faire un trip en moto en Afrique et on parle de plein de trucs et il me dit ah bah ouais, j'étais en Ouganda je viens de faire le trip avec les gorilles et franchement j'ai payé cher et du coup j'avais beaucoup d'attentes et je me disais merde, quand tu payes cher t'as les attentes je vais être déçu et il me dit c'était fou, c'était vraiment incroyable et c'est vrai que j'ai un peu de mal avec cette excursion mais ce que je vois à travers le monde c'est que si on fait pas cette excursion y'a pas d'argent pour pouvoir payer les rangers qui protège les gorilles malheureusement de l'extinction et des braconniers. Et je discute avec lui de plein de trucs et tout. Et puis tu sais, j'entends, il a un accent parce qu'il est sud-africain, mais il parle couramment français, il a aussi grandi en France. Je dis, attends mais mec, je fais, t'es en train de conduire là ? Est-ce qu'il est en trip en moto ? Il me fait, ouais. Je fais, t'es en train de me dire que là ça fait une demi-heure, 40 minutes qu'on parle et là t'es sur les routes d'Ouganda pendant que tu me parles. Il me fait, ouais, ouais. J'ai un casque avec le truc, machin, comme ça je peux passer des calls. J'ai fait mais quoi ? Je suis dans le futur, il me fait attends, écoute c'est incroyable. J'ai dit mais il me dit, j'arrive à lever des fonds là avec des gros gars à Dubaï alors que je suis en plein fin fond de l'Afrique et tout. Bah du coup j'ai des petites puces avec de la 4G etc. Enfin voilà, la 3G ça passe etc. Mais il dit en fait c'est pas ça, j'ai aussi pris Starlink en mode pocket. Je savais même pas qu'il y avait Starlink. Donc Starlink c'est le réseau internet d'Elon Musk qui capte partout dans le monde. Et je dis comment ça ? Bah ouais c'est grand comme un ordi portable, j'ai ça dans une des sacoches de la moto. Et il me dit c'est incroyable j'ai internet parce que je fais comment ça ? Il me fait une coute une fois, délire, je suis dans le Malawi. Je veux traverser le lac parce que ça m'évite de faire un détour de 500 km et là flemme. Du coup je trouve un pêcheur avec une petite barque, on monte ma moto etc. pour faire la traversée. Sauf que c'était un vieux moteur de temps, tu tires le truc et il va à 3 km heure. Il dit, mais je ne pensais pas que ça durerait aussi longtemps. J'avais un call avec potentiellement un mec qui voulait mettre genre un ou deux millions sur le fond. Il dit, tu sais ce que j'ai fait ? Je dis, non, mais j'ai sorti mon Starlink. Je l'ai mis là, donc j'étais sur la barque, en plein milieu du lac du Malawi. Et j'ai eu mon call, tranquille, avec le gars. Et j'ai levé mes fonds. J'ai dit, putain, mais quand même. J'ai fait quand même. Genre, je crois que clairement, on peut dire qu'en ce moment, le monde, il part en couilles. où il y a plein de trucs qui peuvent se passer. Ça peut être des scénarios catastrophes. Mais il y a quand même un truc qu'on peut dire, c'est qu'on vit dans le moment où, si tu es né en Occident, tu peux être la personne la plus libre du monde, et tu peux faire les choses les plus incroyables du monde, parce que la technologie te le permet aussi, si tu l'utilises bien et avec conscience. Parce que, waouh, je me dis, le man est en train de kiffer, en moto, en trip, en Afrique. Mais t'inquiète, il gère son business. Il a eu son call. Avec le Dubaïot pour le fond d'invest en plein milieu d'un lac en Afrique, j'ai dit waouh. Franchement, pas d'excuses quoi. Pas d'excuses à être heureux, pas d'excuses à monter des business, pas d'excuses à voyager, pas d'excuses à aller réaliser ses rêves. Parce qu'aujourd'hui on a tout à notre disposition. C'est devenu trop facile en fait. C'est trop facile. Genre, monter un business avant, waouh. Si t'étais pas le gars qui avait vraiment, t'étais une tête brûlée ou que t'avais pas quelqu'un qui était chef d'entreprise dans ta famille, c'est mort. Tu pouvais pas, c'était trop compliqué ou ceci ou cela. Voyager, à l'époque, t'avais pas de carte bleue. Tu devais voyager avec ton cash ou des travelers chèques. Il n'y avait pas de téléphone, de trucs. Il n'y avait pas vraiment de carte. C'était une galère. C'était aujourd'hui. Tu es là avec ton téléphone, tu as Google Maps, tu peux te diriger, tu peux retirer où tu veux. C'est trop facile. Tout est trop facile. Donc franchement, quand j'entends que des gens disent « Ouais, mais je n'y arrive pas ou je ne sais pas comment. » Waouh ! Maintenant, tu as même l'intelligence artificielle. Si tu ne sais pas, tu as un coach personnel. Je fais « Allez-y. » Franchement, arrêtez. arrêtez ici C'est maintenant que ça se passe. Peut-être dans un an ou deux, il y aura une troisième guerre mondiale ou une pandémie. Allez-y maintenant. Fais-toi kiffer. Pars. Monte ton business. C'est trop facile. Et tu sais quoi ? En fait, si tu n'y arrives pas maintenant, tu n'y arriveras jamais. Donc tente-le, j'ai envie de te dire. Allez, ciao.

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  • Speaker #0

    Bon, je vais finir cette semaine de podcast et de journal de bord, évidemment, avec un petit fun fact. Et je viens d'arriver à Bali et j'appelais mon pote Anto, qui est un mec génial, entrepreneur, évidemment, qui me fait halluciner. Parce que pour le coup, lui, c'est clairement un ouais, c'est le mec. Moi, je pensais que j'étais curieux. Alors lui, c'est next level. Il est peu importe. Il s'intéresse à tout. Il est curieux, mais comme un enfant, il se nourrit de tout. Et c'est un mec qui, en fait, à 22 ans, il s'est fait pote avec un dubaïote. Le mec lui a filé 6 millions parce que c'était ce qu'on appelle un family office, c'est-à-dire que c'était sa thune perso. Et le mec en a fait un transformé en 30 millions, tu vois, en quelques années, allez, en 4-5 ans, en rachetant des boîtes un peu en faillite et en les twistant, en leur mettant sur pied. Un gars de ouf, un mec humble, un mec génial. Et du coup, là, ils sont en train de monter un fonds d'invest avec mon pote Sam, avec qui j'ai passé du temps à Bali. Et mon pote Sam, c'est un trader incroyable et sain et trop cool. Et du coup, ils sont en train d'avoir des taux de renta absolument incroyablement de ouf. Et il m'a dit, mais Alex, mets des billes, mec. Mets des billes parce que ce que tu es évidemment capable de perdre, ça va du trading, etc. Et du coup, Sam me dit, gère ça. C'est Anto qui gère. Moi, je gère le trading. Lui, il gère un peu la partie admin, acquisition, etc. Et j'appelle mon pote Anto et je lui dis, du coup, je prends des news. Je sais qu'en ce moment, il est en train de… de faire un trip en moto en Afrique et on parle de plein de trucs et il me dit ah bah ouais, j'étais en Ouganda je viens de faire le trip avec les gorilles et franchement j'ai payé cher et du coup j'avais beaucoup d'attentes et je me disais merde, quand tu payes cher t'as les attentes je vais être déçu et il me dit c'était fou, c'était vraiment incroyable et c'est vrai que j'ai un peu de mal avec cette excursion mais ce que je vois à travers le monde c'est que si on fait pas cette excursion y'a pas d'argent pour pouvoir payer les rangers qui protège les gorilles malheureusement de l'extinction et des braconniers. Et je discute avec lui de plein de trucs et tout. Et puis tu sais, j'entends, il a un accent parce qu'il est sud-africain, mais il parle couramment français, il a aussi grandi en France. Je dis, attends mais mec, je fais, t'es en train de conduire là ? Est-ce qu'il est en trip en moto ? Il me fait, ouais. Je fais, t'es en train de me dire que là ça fait une demi-heure, 40 minutes qu'on parle et là t'es sur les routes d'Ouganda pendant que tu me parles. Il me fait, ouais, ouais. J'ai un casque avec le truc, machin, comme ça je peux passer des calls. J'ai fait mais quoi ? Je suis dans le futur, il me fait attends, écoute c'est incroyable. J'ai dit mais il me dit, j'arrive à lever des fonds là avec des gros gars à Dubaï alors que je suis en plein fin fond de l'Afrique et tout. Bah du coup j'ai des petites puces avec de la 4G etc. Enfin voilà, la 3G ça passe etc. Mais il dit en fait c'est pas ça, j'ai aussi pris Starlink en mode pocket. Je savais même pas qu'il y avait Starlink. Donc Starlink c'est le réseau internet d'Elon Musk qui capte partout dans le monde. Et je dis comment ça ? Bah ouais c'est grand comme un ordi portable, j'ai ça dans une des sacoches de la moto. Et il me dit c'est incroyable j'ai internet parce que je fais comment ça ? Il me fait une coute une fois, délire, je suis dans le Malawi. Je veux traverser le lac parce que ça m'évite de faire un détour de 500 km et là flemme. Du coup je trouve un pêcheur avec une petite barque, on monte ma moto etc. pour faire la traversée. Sauf que c'était un vieux moteur de temps, tu tires le truc et il va à 3 km heure. Il dit, mais je ne pensais pas que ça durerait aussi longtemps. J'avais un call avec potentiellement un mec qui voulait mettre genre un ou deux millions sur le fond. Il dit, tu sais ce que j'ai fait ? Je dis, non, mais j'ai sorti mon Starlink. Je l'ai mis là, donc j'étais sur la barque, en plein milieu du lac du Malawi. Et j'ai eu mon call, tranquille, avec le gars. Et j'ai levé mes fonds. J'ai dit, putain, mais quand même. J'ai fait quand même. Genre, je crois que clairement, on peut dire qu'en ce moment, le monde, il part en couilles. où il y a plein de trucs qui peuvent se passer. Ça peut être des scénarios catastrophes. Mais il y a quand même un truc qu'on peut dire, c'est qu'on vit dans le moment où, si tu es né en Occident, tu peux être la personne la plus libre du monde, et tu peux faire les choses les plus incroyables du monde, parce que la technologie te le permet aussi, si tu l'utilises bien et avec conscience. Parce que, waouh, je me dis, le man est en train de kiffer, en moto, en trip, en Afrique. Mais t'inquiète, il gère son business. Il a eu son call. Avec le Dubaïot pour le fond d'invest en plein milieu d'un lac en Afrique, j'ai dit waouh. Franchement, pas d'excuses quoi. Pas d'excuses à être heureux, pas d'excuses à monter des business, pas d'excuses à voyager, pas d'excuses à aller réaliser ses rêves. Parce qu'aujourd'hui on a tout à notre disposition. C'est devenu trop facile en fait. C'est trop facile. Genre, monter un business avant, waouh. Si t'étais pas le gars qui avait vraiment, t'étais une tête brûlée ou que t'avais pas quelqu'un qui était chef d'entreprise dans ta famille, c'est mort. Tu pouvais pas, c'était trop compliqué ou ceci ou cela. Voyager, à l'époque, t'avais pas de carte bleue. Tu devais voyager avec ton cash ou des travelers chèques. Il n'y avait pas de téléphone, de trucs. Il n'y avait pas vraiment de carte. C'était une galère. C'était aujourd'hui. Tu es là avec ton téléphone, tu as Google Maps, tu peux te diriger, tu peux retirer où tu veux. C'est trop facile. Tout est trop facile. Donc franchement, quand j'entends que des gens disent « Ouais, mais je n'y arrive pas ou je ne sais pas comment. » Waouh ! Maintenant, tu as même l'intelligence artificielle. Si tu ne sais pas, tu as un coach personnel. Je fais « Allez-y. » Franchement, arrêtez. arrêtez ici C'est maintenant que ça se passe. Peut-être dans un an ou deux, il y aura une troisième guerre mondiale ou une pandémie. Allez-y maintenant. Fais-toi kiffer. Pars. Monte ton business. C'est trop facile. Et tu sais quoi ? En fait, si tu n'y arrives pas maintenant, tu n'y arriveras jamais. Donc tente-le, j'ai envie de te dire. Allez, ciao.

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  • Speaker #0

    Bon, je vais finir cette semaine de podcast et de journal de bord, évidemment, avec un petit fun fact. Et je viens d'arriver à Bali et j'appelais mon pote Anto, qui est un mec génial, entrepreneur, évidemment, qui me fait halluciner. Parce que pour le coup, lui, c'est clairement un ouais, c'est le mec. Moi, je pensais que j'étais curieux. Alors lui, c'est next level. Il est peu importe. Il s'intéresse à tout. Il est curieux, mais comme un enfant, il se nourrit de tout. Et c'est un mec qui, en fait, à 22 ans, il s'est fait pote avec un dubaïote. Le mec lui a filé 6 millions parce que c'était ce qu'on appelle un family office, c'est-à-dire que c'était sa thune perso. Et le mec en a fait un transformé en 30 millions, tu vois, en quelques années, allez, en 4-5 ans, en rachetant des boîtes un peu en faillite et en les twistant, en leur mettant sur pied. Un gars de ouf, un mec humble, un mec génial. Et du coup, là, ils sont en train de monter un fonds d'invest avec mon pote Sam, avec qui j'ai passé du temps à Bali. Et mon pote Sam, c'est un trader incroyable et sain et trop cool. Et du coup, ils sont en train d'avoir des taux de renta absolument incroyablement de ouf. Et il m'a dit, mais Alex, mets des billes, mec. Mets des billes parce que ce que tu es évidemment capable de perdre, ça va du trading, etc. Et du coup, Sam me dit, gère ça. C'est Anto qui gère. Moi, je gère le trading. Lui, il gère un peu la partie admin, acquisition, etc. Et j'appelle mon pote Anto et je lui dis, du coup, je prends des news. Je sais qu'en ce moment, il est en train de… de faire un trip en moto en Afrique et on parle de plein de trucs et il me dit ah bah ouais, j'étais en Ouganda je viens de faire le trip avec les gorilles et franchement j'ai payé cher et du coup j'avais beaucoup d'attentes et je me disais merde, quand tu payes cher t'as les attentes je vais être déçu et il me dit c'était fou, c'était vraiment incroyable et c'est vrai que j'ai un peu de mal avec cette excursion mais ce que je vois à travers le monde c'est que si on fait pas cette excursion y'a pas d'argent pour pouvoir payer les rangers qui protège les gorilles malheureusement de l'extinction et des braconniers. Et je discute avec lui de plein de trucs et tout. Et puis tu sais, j'entends, il a un accent parce qu'il est sud-africain, mais il parle couramment français, il a aussi grandi en France. Je dis, attends mais mec, je fais, t'es en train de conduire là ? Est-ce qu'il est en trip en moto ? Il me fait, ouais. Je fais, t'es en train de me dire que là ça fait une demi-heure, 40 minutes qu'on parle et là t'es sur les routes d'Ouganda pendant que tu me parles. Il me fait, ouais, ouais. J'ai un casque avec le truc, machin, comme ça je peux passer des calls. J'ai fait mais quoi ? Je suis dans le futur, il me fait attends, écoute c'est incroyable. J'ai dit mais il me dit, j'arrive à lever des fonds là avec des gros gars à Dubaï alors que je suis en plein fin fond de l'Afrique et tout. Bah du coup j'ai des petites puces avec de la 4G etc. Enfin voilà, la 3G ça passe etc. Mais il dit en fait c'est pas ça, j'ai aussi pris Starlink en mode pocket. Je savais même pas qu'il y avait Starlink. Donc Starlink c'est le réseau internet d'Elon Musk qui capte partout dans le monde. Et je dis comment ça ? Bah ouais c'est grand comme un ordi portable, j'ai ça dans une des sacoches de la moto. Et il me dit c'est incroyable j'ai internet parce que je fais comment ça ? Il me fait une coute une fois, délire, je suis dans le Malawi. Je veux traverser le lac parce que ça m'évite de faire un détour de 500 km et là flemme. Du coup je trouve un pêcheur avec une petite barque, on monte ma moto etc. pour faire la traversée. Sauf que c'était un vieux moteur de temps, tu tires le truc et il va à 3 km heure. Il dit, mais je ne pensais pas que ça durerait aussi longtemps. J'avais un call avec potentiellement un mec qui voulait mettre genre un ou deux millions sur le fond. Il dit, tu sais ce que j'ai fait ? Je dis, non, mais j'ai sorti mon Starlink. Je l'ai mis là, donc j'étais sur la barque, en plein milieu du lac du Malawi. Et j'ai eu mon call, tranquille, avec le gars. Et j'ai levé mes fonds. J'ai dit, putain, mais quand même. J'ai fait quand même. Genre, je crois que clairement, on peut dire qu'en ce moment, le monde, il part en couilles. où il y a plein de trucs qui peuvent se passer. Ça peut être des scénarios catastrophes. Mais il y a quand même un truc qu'on peut dire, c'est qu'on vit dans le moment où, si tu es né en Occident, tu peux être la personne la plus libre du monde, et tu peux faire les choses les plus incroyables du monde, parce que la technologie te le permet aussi, si tu l'utilises bien et avec conscience. Parce que, waouh, je me dis, le man est en train de kiffer, en moto, en trip, en Afrique. Mais t'inquiète, il gère son business. Il a eu son call. Avec le Dubaïot pour le fond d'invest en plein milieu d'un lac en Afrique, j'ai dit waouh. Franchement, pas d'excuses quoi. Pas d'excuses à être heureux, pas d'excuses à monter des business, pas d'excuses à voyager, pas d'excuses à aller réaliser ses rêves. Parce qu'aujourd'hui on a tout à notre disposition. C'est devenu trop facile en fait. C'est trop facile. Genre, monter un business avant, waouh. Si t'étais pas le gars qui avait vraiment, t'étais une tête brûlée ou que t'avais pas quelqu'un qui était chef d'entreprise dans ta famille, c'est mort. Tu pouvais pas, c'était trop compliqué ou ceci ou cela. Voyager, à l'époque, t'avais pas de carte bleue. Tu devais voyager avec ton cash ou des travelers chèques. Il n'y avait pas de téléphone, de trucs. Il n'y avait pas vraiment de carte. C'était une galère. C'était aujourd'hui. Tu es là avec ton téléphone, tu as Google Maps, tu peux te diriger, tu peux retirer où tu veux. C'est trop facile. Tout est trop facile. Donc franchement, quand j'entends que des gens disent « Ouais, mais je n'y arrive pas ou je ne sais pas comment. » Waouh ! Maintenant, tu as même l'intelligence artificielle. Si tu ne sais pas, tu as un coach personnel. Je fais « Allez-y. » Franchement, arrêtez. arrêtez ici C'est maintenant que ça se passe. Peut-être dans un an ou deux, il y aura une troisième guerre mondiale ou une pandémie. Allez-y maintenant. Fais-toi kiffer. Pars. Monte ton business. C'est trop facile. Et tu sais quoi ? En fait, si tu n'y arrives pas maintenant, tu n'y arriveras jamais. Donc tente-le, j'ai envie de te dire. Allez, ciao.

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  • Speaker #0

    Bon, je vais finir cette semaine de podcast et de journal de bord, évidemment, avec un petit fun fact. Et je viens d'arriver à Bali et j'appelais mon pote Anto, qui est un mec génial, entrepreneur, évidemment, qui me fait halluciner. Parce que pour le coup, lui, c'est clairement un ouais, c'est le mec. Moi, je pensais que j'étais curieux. Alors lui, c'est next level. Il est peu importe. Il s'intéresse à tout. Il est curieux, mais comme un enfant, il se nourrit de tout. Et c'est un mec qui, en fait, à 22 ans, il s'est fait pote avec un dubaïote. Le mec lui a filé 6 millions parce que c'était ce qu'on appelle un family office, c'est-à-dire que c'était sa thune perso. Et le mec en a fait un transformé en 30 millions, tu vois, en quelques années, allez, en 4-5 ans, en rachetant des boîtes un peu en faillite et en les twistant, en leur mettant sur pied. Un gars de ouf, un mec humble, un mec génial. Et du coup, là, ils sont en train de monter un fonds d'invest avec mon pote Sam, avec qui j'ai passé du temps à Bali. Et mon pote Sam, c'est un trader incroyable et sain et trop cool. Et du coup, ils sont en train d'avoir des taux de renta absolument incroyablement de ouf. Et il m'a dit, mais Alex, mets des billes, mec. Mets des billes parce que ce que tu es évidemment capable de perdre, ça va du trading, etc. Et du coup, Sam me dit, gère ça. C'est Anto qui gère. Moi, je gère le trading. Lui, il gère un peu la partie admin, acquisition, etc. Et j'appelle mon pote Anto et je lui dis, du coup, je prends des news. Je sais qu'en ce moment, il est en train de… de faire un trip en moto en Afrique et on parle de plein de trucs et il me dit ah bah ouais, j'étais en Ouganda je viens de faire le trip avec les gorilles et franchement j'ai payé cher et du coup j'avais beaucoup d'attentes et je me disais merde, quand tu payes cher t'as les attentes je vais être déçu et il me dit c'était fou, c'était vraiment incroyable et c'est vrai que j'ai un peu de mal avec cette excursion mais ce que je vois à travers le monde c'est que si on fait pas cette excursion y'a pas d'argent pour pouvoir payer les rangers qui protège les gorilles malheureusement de l'extinction et des braconniers. Et je discute avec lui de plein de trucs et tout. Et puis tu sais, j'entends, il a un accent parce qu'il est sud-africain, mais il parle couramment français, il a aussi grandi en France. Je dis, attends mais mec, je fais, t'es en train de conduire là ? Est-ce qu'il est en trip en moto ? Il me fait, ouais. Je fais, t'es en train de me dire que là ça fait une demi-heure, 40 minutes qu'on parle et là t'es sur les routes d'Ouganda pendant que tu me parles. Il me fait, ouais, ouais. J'ai un casque avec le truc, machin, comme ça je peux passer des calls. J'ai fait mais quoi ? Je suis dans le futur, il me fait attends, écoute c'est incroyable. J'ai dit mais il me dit, j'arrive à lever des fonds là avec des gros gars à Dubaï alors que je suis en plein fin fond de l'Afrique et tout. Bah du coup j'ai des petites puces avec de la 4G etc. Enfin voilà, la 3G ça passe etc. Mais il dit en fait c'est pas ça, j'ai aussi pris Starlink en mode pocket. Je savais même pas qu'il y avait Starlink. Donc Starlink c'est le réseau internet d'Elon Musk qui capte partout dans le monde. Et je dis comment ça ? Bah ouais c'est grand comme un ordi portable, j'ai ça dans une des sacoches de la moto. Et il me dit c'est incroyable j'ai internet parce que je fais comment ça ? Il me fait une coute une fois, délire, je suis dans le Malawi. Je veux traverser le lac parce que ça m'évite de faire un détour de 500 km et là flemme. Du coup je trouve un pêcheur avec une petite barque, on monte ma moto etc. pour faire la traversée. Sauf que c'était un vieux moteur de temps, tu tires le truc et il va à 3 km heure. Il dit, mais je ne pensais pas que ça durerait aussi longtemps. J'avais un call avec potentiellement un mec qui voulait mettre genre un ou deux millions sur le fond. Il dit, tu sais ce que j'ai fait ? Je dis, non, mais j'ai sorti mon Starlink. Je l'ai mis là, donc j'étais sur la barque, en plein milieu du lac du Malawi. Et j'ai eu mon call, tranquille, avec le gars. Et j'ai levé mes fonds. J'ai dit, putain, mais quand même. J'ai fait quand même. Genre, je crois que clairement, on peut dire qu'en ce moment, le monde, il part en couilles. où il y a plein de trucs qui peuvent se passer. Ça peut être des scénarios catastrophes. Mais il y a quand même un truc qu'on peut dire, c'est qu'on vit dans le moment où, si tu es né en Occident, tu peux être la personne la plus libre du monde, et tu peux faire les choses les plus incroyables du monde, parce que la technologie te le permet aussi, si tu l'utilises bien et avec conscience. Parce que, waouh, je me dis, le man est en train de kiffer, en moto, en trip, en Afrique. Mais t'inquiète, il gère son business. Il a eu son call. Avec le Dubaïot pour le fond d'invest en plein milieu d'un lac en Afrique, j'ai dit waouh. Franchement, pas d'excuses quoi. Pas d'excuses à être heureux, pas d'excuses à monter des business, pas d'excuses à voyager, pas d'excuses à aller réaliser ses rêves. Parce qu'aujourd'hui on a tout à notre disposition. C'est devenu trop facile en fait. C'est trop facile. Genre, monter un business avant, waouh. Si t'étais pas le gars qui avait vraiment, t'étais une tête brûlée ou que t'avais pas quelqu'un qui était chef d'entreprise dans ta famille, c'est mort. Tu pouvais pas, c'était trop compliqué ou ceci ou cela. Voyager, à l'époque, t'avais pas de carte bleue. Tu devais voyager avec ton cash ou des travelers chèques. Il n'y avait pas de téléphone, de trucs. Il n'y avait pas vraiment de carte. C'était une galère. C'était aujourd'hui. Tu es là avec ton téléphone, tu as Google Maps, tu peux te diriger, tu peux retirer où tu veux. C'est trop facile. Tout est trop facile. Donc franchement, quand j'entends que des gens disent « Ouais, mais je n'y arrive pas ou je ne sais pas comment. » Waouh ! Maintenant, tu as même l'intelligence artificielle. Si tu ne sais pas, tu as un coach personnel. Je fais « Allez-y. » Franchement, arrêtez. arrêtez ici C'est maintenant que ça se passe. Peut-être dans un an ou deux, il y aura une troisième guerre mondiale ou une pandémie. Allez-y maintenant. Fais-toi kiffer. Pars. Monte ton business. C'est trop facile. Et tu sais quoi ? En fait, si tu n'y arrives pas maintenant, tu n'y arriveras jamais. Donc tente-le, j'ai envie de te dire. Allez, ciao.

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