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Réussir, c'est comme un muscle. Il faut l'entraîner régulièrement, il faut le faire aller dans des zones d'inconfort pour briser ce qui est existant, pour aller faire grandir la fibre du muscle. Il faut essayer de toujours relever des challenges un peu plus grands. Ni trop grands pour ne pas être incapable et se retrouver un peu frisé devant la tâche qui est trop grande pour nous à ce moment-là, ni trop petits pour ne pas se retrouver dans une situation où on ne grandit pas. Et finalement... Réussir, c'est un muscle, c'est parce qu'encore une fois, il va y avoir de l'entraînement et il va y avoir des échecs. C'est-à-dire, j'ai fait un entraînement, j'ai essayé de pousser, mais je n'ai pas réussi à soulever ce poids. C'est dur, c'est trop lourd pour moi encore. Et c'est OK. C'est-à-dire que je vais aller à l'échec sur cette série-là, je vais entraîner ce muscle qui n'arrive pas à sauter aussi haut, à arriver à courir cette distance ou ce temps, mais je vais l'entraîner. je vais le muscler, je vais échouer et c'est ok. Mais ce qui va être important en fait, c'est d'accepter qu'à chaque fois que j'ai l'opportunité de pouvoir muscler et entraîner ce muscle, je vais la saisir. Pourquoi je te dis ça ? Parce que j'étais de passage en France et je ne savais pas combien de temps j'allais rester. Je venais de partir depuis deux semaines et demie de Bali et j'avais une vision grosse au merdeau de mon agenda des mois à venir. Je sais que j'allais en Lettonie pour mon immersion. Je vais aller en Colombie cet été pour le mariage d'un pote, passer un peu de temps à Medellín avec des potes, et ensuite certainement refaire aussi une autre immersion assez folle que je suis en train de préparer en Colombie. Et that's it. Je n'avais pas d'autres vues, donc j'avais un espèce de trou de juin, juillet, qu'est-ce que je fais, et surtout mai, juin. Et je me suis dit, quand je suis arrivé dans la région où j'ai grandi, je me suis dit, wow, ok. J'ai vu mes parents, j'ai fait un peu ce que j'avais à faire, j'ai passé le temps avec eux que j'avais à faire. Et je m'étais dit, bon, qu'est-ce que je fais ? Et j'ai senti en fait, j'ai senti qu'il ne fallait pas que je reste là. J'ai senti qu'il fallait que, entre guillemets, je me remette dans des conditions où là, j'avais cliqué pas mal de choses ces derniers temps, il fallait que je les mette en place, il fallait que je sois productif, il fallait que je sois dans un cadre et une atmosphère saine pour ça. Et évidemment, le cadre d'être chez tes parents... et dans l'endroit qui t'a vu grandir n'est pas le lieu pour le plus t'épanouir, grandir et être productif c'est pas ça tu viens te ressourcer tu viens en pèlerinage mais c'est pas le lieu qui t'a fait en tant qu'enfant qui peut te construire en tant qu'adulte donc je me suis dit je viens de partir de Bali, fais chier est-ce que je repaye un billet, est-ce que je refais tout le trajet pour un mois, un mois et demi et en fait, en l'espace de... Allez. 4 minutes je me suis dit bah si en fait donc j'ai pris un billet d'ailleurs mes parents juste après ils m'ont demandé mais en fait tu restes combien de temps ? je sais pas mais je repars mardi déjà ? mais tu vas où ? je suis à Bali mais pourquoi ? mais tu reviens ouais mais faut que j'y retourne et pourquoi je te dis ça ? parce que en fait il y a des gens ils auraient hésité 10 ans genre ah vas-y j'y vais j'y vais pas vas-y ça va refaire des pensées mais attends mais j'ai pas y retourner que pour un mois j'en reviens du coup c'est un peu débile etc Voilà qu'est-ce que je fais ? Et en fait ils seraient retrouvés à dire tellement ils auraient cogité, il leur aurait resté plus que deux semaines, du coup ils seraient pas allés, etc. Moi s'il y a bien un truc que j'essaie aujourd'hui de toujours faire, c'est dès que j'ai une opportunité entre guillemets de prendre un risque, un risque qui potentiellement peut m'apporter quelque chose, mais le principe d'un risque c'est que tu ne sais pas ce qui va se passer. Le principe de la réussite c'est que tu sais pas si tu vas réussir, sinon c'est que déjà ta situation actuelle, ta situation actuelle elle est bien, mais une réussite... C'est quelque chose qui vient d'être réussi, quelque chose qui vient de changer de « c'est compliqué, c'est dur » à « j'ai réussi, j'ai surmonté l'obstacle, j'ai atteint l'objectif, etc. » Une fois que tu as atteint, c'est juste une situation, c'est ta nouvelle norme, c'est ta nouvelle identité. Et je vois, moi, c'est vraiment ça. Quand j'ai quitté mon appart et j'ai vendu tous mes meubles en 48 heures à Lisbonne, quand là, je viens de reprendre un billet pour Bali et boum, j'y vais, j'essaie vraiment de toujours rester dans, je dirais, cette mentalité antifragile, cette mentalité de pratique de… Vraiment, j'entraîne mon muscle de la réussite, de « Ok, où est le risque que je peux prendre qui va me permettre de peut-être ? » Parce qu'encore une fois, si on prenait à chaque fois un risque et qu'on était sûr de gagner, tout le monde serait riche, tout le monde serait heureux, tout le monde serait beau. Ce n'est pas le cas. Et je me demande toujours « Ok, c'est quoi le levier de croissance ? » C'est quoi le levier de prise de risque qui va me permettre de peut-être devenir, être ou avoir ? Et si à chaque fois que tu sens ces situations, tu vas entre guillemets, j'ai tête baissée, ce n'est pas... c'est pas le mot mais c'est de se dire j'y vais je sens que c'est par là et j'assume crois moi en fait que ta vie va s'accélérer et surtout tu vas beaucoup plus vite devenir la personne que tu dois être et que tu peux être et révéler ton plein potentiel parce que tout objet en mouvement tend à rester en mouvement tout objet immobile tend à rester immobile et l'immobilité évidemment pas physique et aussi intérieure elle est mentale elle est émotionnelle et dans les connaissances donc à chaque fois en fait que tu dis ah je le fais je le fais pas fait le si tu sens que c'est ça fait le parce que à chaque fois que tu dis non Ça veut dire que tu restes dans ta stagnation. À chaque fois que tu dis oui, tu dis oui à une potentielle victoire, à une potentielle réussite. Et là, je ne sais pas. Je ne peux pas te dire encore ce que j'ai réussi ou ce que j'ai obtenu en venant cette fois à Bali. Je sais que la dernière fois, ça a été vraiment… Je me suis remis dans une fréquence, dans une résonance forte avec mon pote Sam. J'ai eu de la clarté sur mon business. J'ai retrouvé de l'énergie, de l'envie, ma nouvelle posture. Waouh ! Et tu vois, ça valait le coup de lâcher son appart à Lisbonne. Là, je ne sais pas. Ça fait quatre jours que je suis arrivé et je suis ravi d'être là parce que je sens que c'est le bon moment, c'est le bon timing. Et je suis impatient de voir ce que ça va pouvoir m'apporter. Mais je sais que je suis dans l'entraînement. Donc, je suis impatient de voir ce que ça va apporter. Et pourquoi je te dis ça, c'est demande-toi en ce moment où est-ce qu'elle est la décision que tu sais devoir prendre, qui va te faire prendre un risque et qui va te faire potentiellement grandir, évoluer et réussir. Et c'est par là que ça se passe. dit oui à cette décision-là.
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Réussir, c'est comme un muscle. Il faut l'entraîner régulièrement, il faut le faire aller dans des zones d'inconfort pour briser ce qui est existant, pour aller faire grandir la fibre du muscle. Il faut essayer de toujours relever des challenges un peu plus grands. Ni trop grands pour ne pas être incapable et se retrouver un peu frisé devant la tâche qui est trop grande pour nous à ce moment-là, ni trop petits pour ne pas se retrouver dans une situation où on ne grandit pas. Et finalement... Réussir, c'est un muscle, c'est parce qu'encore une fois, il va y avoir de l'entraînement et il va y avoir des échecs. C'est-à-dire, j'ai fait un entraînement, j'ai essayé de pousser, mais je n'ai pas réussi à soulever ce poids. C'est dur, c'est trop lourd pour moi encore. Et c'est OK. C'est-à-dire que je vais aller à l'échec sur cette série-là, je vais entraîner ce muscle qui n'arrive pas à sauter aussi haut, à arriver à courir cette distance ou ce temps, mais je vais l'entraîner. je vais le muscler, je vais échouer et c'est ok. Mais ce qui va être important en fait, c'est d'accepter qu'à chaque fois que j'ai l'opportunité de pouvoir muscler et entraîner ce muscle, je vais la saisir. Pourquoi je te dis ça ? Parce que j'étais de passage en France et je ne savais pas combien de temps j'allais rester. Je venais de partir depuis deux semaines et demie de Bali et j'avais une vision grosse au merdeau de mon agenda des mois à venir. Je sais que j'allais en Lettonie pour mon immersion. Je vais aller en Colombie cet été pour le mariage d'un pote, passer un peu de temps à Medellín avec des potes, et ensuite certainement refaire aussi une autre immersion assez folle que je suis en train de préparer en Colombie. Et that's it. Je n'avais pas d'autres vues, donc j'avais un espèce de trou de juin, juillet, qu'est-ce que je fais, et surtout mai, juin. Et je me suis dit, quand je suis arrivé dans la région où j'ai grandi, je me suis dit, wow, ok. J'ai vu mes parents, j'ai fait un peu ce que j'avais à faire, j'ai passé le temps avec eux que j'avais à faire. Et je m'étais dit, bon, qu'est-ce que je fais ? Et j'ai senti en fait, j'ai senti qu'il ne fallait pas que je reste là. J'ai senti qu'il fallait que, entre guillemets, je me remette dans des conditions où là, j'avais cliqué pas mal de choses ces derniers temps, il fallait que je les mette en place, il fallait que je sois productif, il fallait que je sois dans un cadre et une atmosphère saine pour ça. Et évidemment, le cadre d'être chez tes parents... et dans l'endroit qui t'a vu grandir n'est pas le lieu pour le plus t'épanouir, grandir et être productif c'est pas ça tu viens te ressourcer tu viens en pèlerinage mais c'est pas le lieu qui t'a fait en tant qu'enfant qui peut te construire en tant qu'adulte donc je me suis dit je viens de partir de Bali, fais chier est-ce que je repaye un billet, est-ce que je refais tout le trajet pour un mois, un mois et demi et en fait, en l'espace de... Allez. 4 minutes je me suis dit bah si en fait donc j'ai pris un billet d'ailleurs mes parents juste après ils m'ont demandé mais en fait tu restes combien de temps ? je sais pas mais je repars mardi déjà ? mais tu vas où ? je suis à Bali mais pourquoi ? mais tu reviens ouais mais faut que j'y retourne et pourquoi je te dis ça ? parce que en fait il y a des gens ils auraient hésité 10 ans genre ah vas-y j'y vais j'y vais pas vas-y ça va refaire des pensées mais attends mais j'ai pas y retourner que pour un mois j'en reviens du coup c'est un peu débile etc Voilà qu'est-ce que je fais ? Et en fait ils seraient retrouvés à dire tellement ils auraient cogité, il leur aurait resté plus que deux semaines, du coup ils seraient pas allés, etc. Moi s'il y a bien un truc que j'essaie aujourd'hui de toujours faire, c'est dès que j'ai une opportunité entre guillemets de prendre un risque, un risque qui potentiellement peut m'apporter quelque chose, mais le principe d'un risque c'est que tu ne sais pas ce qui va se passer. Le principe de la réussite c'est que tu sais pas si tu vas réussir, sinon c'est que déjà ta situation actuelle, ta situation actuelle elle est bien, mais une réussite... C'est quelque chose qui vient d'être réussi, quelque chose qui vient de changer de « c'est compliqué, c'est dur » à « j'ai réussi, j'ai surmonté l'obstacle, j'ai atteint l'objectif, etc. » Une fois que tu as atteint, c'est juste une situation, c'est ta nouvelle norme, c'est ta nouvelle identité. Et je vois, moi, c'est vraiment ça. Quand j'ai quitté mon appart et j'ai vendu tous mes meubles en 48 heures à Lisbonne, quand là, je viens de reprendre un billet pour Bali et boum, j'y vais, j'essaie vraiment de toujours rester dans, je dirais, cette mentalité antifragile, cette mentalité de pratique de… Vraiment, j'entraîne mon muscle de la réussite, de « Ok, où est le risque que je peux prendre qui va me permettre de peut-être ? » Parce qu'encore une fois, si on prenait à chaque fois un risque et qu'on était sûr de gagner, tout le monde serait riche, tout le monde serait heureux, tout le monde serait beau. Ce n'est pas le cas. Et je me demande toujours « Ok, c'est quoi le levier de croissance ? » C'est quoi le levier de prise de risque qui va me permettre de peut-être devenir, être ou avoir ? Et si à chaque fois que tu sens ces situations, tu vas entre guillemets, j'ai tête baissée, ce n'est pas... c'est pas le mot mais c'est de se dire j'y vais je sens que c'est par là et j'assume crois moi en fait que ta vie va s'accélérer et surtout tu vas beaucoup plus vite devenir la personne que tu dois être et que tu peux être et révéler ton plein potentiel parce que tout objet en mouvement tend à rester en mouvement tout objet immobile tend à rester immobile et l'immobilité évidemment pas physique et aussi intérieure elle est mentale elle est émotionnelle et dans les connaissances donc à chaque fois en fait que tu dis ah je le fais je le fais pas fait le si tu sens que c'est ça fait le parce que à chaque fois que tu dis non Ça veut dire que tu restes dans ta stagnation. À chaque fois que tu dis oui, tu dis oui à une potentielle victoire, à une potentielle réussite. Et là, je ne sais pas. Je ne peux pas te dire encore ce que j'ai réussi ou ce que j'ai obtenu en venant cette fois à Bali. Je sais que la dernière fois, ça a été vraiment… Je me suis remis dans une fréquence, dans une résonance forte avec mon pote Sam. J'ai eu de la clarté sur mon business. J'ai retrouvé de l'énergie, de l'envie, ma nouvelle posture. Waouh ! Et tu vois, ça valait le coup de lâcher son appart à Lisbonne. Là, je ne sais pas. Ça fait quatre jours que je suis arrivé et je suis ravi d'être là parce que je sens que c'est le bon moment, c'est le bon timing. Et je suis impatient de voir ce que ça va pouvoir m'apporter. Mais je sais que je suis dans l'entraînement. Donc, je suis impatient de voir ce que ça va apporter. Et pourquoi je te dis ça, c'est demande-toi en ce moment où est-ce qu'elle est la décision que tu sais devoir prendre, qui va te faire prendre un risque et qui va te faire potentiellement grandir, évoluer et réussir. Et c'est par là que ça se passe. dit oui à cette décision-là.
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Réussir, c'est comme un muscle. Il faut l'entraîner régulièrement, il faut le faire aller dans des zones d'inconfort pour briser ce qui est existant, pour aller faire grandir la fibre du muscle. Il faut essayer de toujours relever des challenges un peu plus grands. Ni trop grands pour ne pas être incapable et se retrouver un peu frisé devant la tâche qui est trop grande pour nous à ce moment-là, ni trop petits pour ne pas se retrouver dans une situation où on ne grandit pas. Et finalement... Réussir, c'est un muscle, c'est parce qu'encore une fois, il va y avoir de l'entraînement et il va y avoir des échecs. C'est-à-dire, j'ai fait un entraînement, j'ai essayé de pousser, mais je n'ai pas réussi à soulever ce poids. C'est dur, c'est trop lourd pour moi encore. Et c'est OK. C'est-à-dire que je vais aller à l'échec sur cette série-là, je vais entraîner ce muscle qui n'arrive pas à sauter aussi haut, à arriver à courir cette distance ou ce temps, mais je vais l'entraîner. je vais le muscler, je vais échouer et c'est ok. Mais ce qui va être important en fait, c'est d'accepter qu'à chaque fois que j'ai l'opportunité de pouvoir muscler et entraîner ce muscle, je vais la saisir. Pourquoi je te dis ça ? Parce que j'étais de passage en France et je ne savais pas combien de temps j'allais rester. Je venais de partir depuis deux semaines et demie de Bali et j'avais une vision grosse au merdeau de mon agenda des mois à venir. Je sais que j'allais en Lettonie pour mon immersion. Je vais aller en Colombie cet été pour le mariage d'un pote, passer un peu de temps à Medellín avec des potes, et ensuite certainement refaire aussi une autre immersion assez folle que je suis en train de préparer en Colombie. Et that's it. Je n'avais pas d'autres vues, donc j'avais un espèce de trou de juin, juillet, qu'est-ce que je fais, et surtout mai, juin. Et je me suis dit, quand je suis arrivé dans la région où j'ai grandi, je me suis dit, wow, ok. J'ai vu mes parents, j'ai fait un peu ce que j'avais à faire, j'ai passé le temps avec eux que j'avais à faire. Et je m'étais dit, bon, qu'est-ce que je fais ? Et j'ai senti en fait, j'ai senti qu'il ne fallait pas que je reste là. J'ai senti qu'il fallait que, entre guillemets, je me remette dans des conditions où là, j'avais cliqué pas mal de choses ces derniers temps, il fallait que je les mette en place, il fallait que je sois productif, il fallait que je sois dans un cadre et une atmosphère saine pour ça. Et évidemment, le cadre d'être chez tes parents... et dans l'endroit qui t'a vu grandir n'est pas le lieu pour le plus t'épanouir, grandir et être productif c'est pas ça tu viens te ressourcer tu viens en pèlerinage mais c'est pas le lieu qui t'a fait en tant qu'enfant qui peut te construire en tant qu'adulte donc je me suis dit je viens de partir de Bali, fais chier est-ce que je repaye un billet, est-ce que je refais tout le trajet pour un mois, un mois et demi et en fait, en l'espace de... Allez. 4 minutes je me suis dit bah si en fait donc j'ai pris un billet d'ailleurs mes parents juste après ils m'ont demandé mais en fait tu restes combien de temps ? je sais pas mais je repars mardi déjà ? mais tu vas où ? je suis à Bali mais pourquoi ? mais tu reviens ouais mais faut que j'y retourne et pourquoi je te dis ça ? parce que en fait il y a des gens ils auraient hésité 10 ans genre ah vas-y j'y vais j'y vais pas vas-y ça va refaire des pensées mais attends mais j'ai pas y retourner que pour un mois j'en reviens du coup c'est un peu débile etc Voilà qu'est-ce que je fais ? Et en fait ils seraient retrouvés à dire tellement ils auraient cogité, il leur aurait resté plus que deux semaines, du coup ils seraient pas allés, etc. Moi s'il y a bien un truc que j'essaie aujourd'hui de toujours faire, c'est dès que j'ai une opportunité entre guillemets de prendre un risque, un risque qui potentiellement peut m'apporter quelque chose, mais le principe d'un risque c'est que tu ne sais pas ce qui va se passer. Le principe de la réussite c'est que tu sais pas si tu vas réussir, sinon c'est que déjà ta situation actuelle, ta situation actuelle elle est bien, mais une réussite... C'est quelque chose qui vient d'être réussi, quelque chose qui vient de changer de « c'est compliqué, c'est dur » à « j'ai réussi, j'ai surmonté l'obstacle, j'ai atteint l'objectif, etc. » Une fois que tu as atteint, c'est juste une situation, c'est ta nouvelle norme, c'est ta nouvelle identité. Et je vois, moi, c'est vraiment ça. Quand j'ai quitté mon appart et j'ai vendu tous mes meubles en 48 heures à Lisbonne, quand là, je viens de reprendre un billet pour Bali et boum, j'y vais, j'essaie vraiment de toujours rester dans, je dirais, cette mentalité antifragile, cette mentalité de pratique de… Vraiment, j'entraîne mon muscle de la réussite, de « Ok, où est le risque que je peux prendre qui va me permettre de peut-être ? » Parce qu'encore une fois, si on prenait à chaque fois un risque et qu'on était sûr de gagner, tout le monde serait riche, tout le monde serait heureux, tout le monde serait beau. Ce n'est pas le cas. Et je me demande toujours « Ok, c'est quoi le levier de croissance ? » C'est quoi le levier de prise de risque qui va me permettre de peut-être devenir, être ou avoir ? Et si à chaque fois que tu sens ces situations, tu vas entre guillemets, j'ai tête baissée, ce n'est pas... c'est pas le mot mais c'est de se dire j'y vais je sens que c'est par là et j'assume crois moi en fait que ta vie va s'accélérer et surtout tu vas beaucoup plus vite devenir la personne que tu dois être et que tu peux être et révéler ton plein potentiel parce que tout objet en mouvement tend à rester en mouvement tout objet immobile tend à rester immobile et l'immobilité évidemment pas physique et aussi intérieure elle est mentale elle est émotionnelle et dans les connaissances donc à chaque fois en fait que tu dis ah je le fais je le fais pas fait le si tu sens que c'est ça fait le parce que à chaque fois que tu dis non Ça veut dire que tu restes dans ta stagnation. À chaque fois que tu dis oui, tu dis oui à une potentielle victoire, à une potentielle réussite. Et là, je ne sais pas. Je ne peux pas te dire encore ce que j'ai réussi ou ce que j'ai obtenu en venant cette fois à Bali. Je sais que la dernière fois, ça a été vraiment… Je me suis remis dans une fréquence, dans une résonance forte avec mon pote Sam. J'ai eu de la clarté sur mon business. J'ai retrouvé de l'énergie, de l'envie, ma nouvelle posture. Waouh ! Et tu vois, ça valait le coup de lâcher son appart à Lisbonne. Là, je ne sais pas. Ça fait quatre jours que je suis arrivé et je suis ravi d'être là parce que je sens que c'est le bon moment, c'est le bon timing. Et je suis impatient de voir ce que ça va pouvoir m'apporter. Mais je sais que je suis dans l'entraînement. Donc, je suis impatient de voir ce que ça va apporter. Et pourquoi je te dis ça, c'est demande-toi en ce moment où est-ce qu'elle est la décision que tu sais devoir prendre, qui va te faire prendre un risque et qui va te faire potentiellement grandir, évoluer et réussir. Et c'est par là que ça se passe. dit oui à cette décision-là.
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Réussir, c'est comme un muscle. Il faut l'entraîner régulièrement, il faut le faire aller dans des zones d'inconfort pour briser ce qui est existant, pour aller faire grandir la fibre du muscle. Il faut essayer de toujours relever des challenges un peu plus grands. Ni trop grands pour ne pas être incapable et se retrouver un peu frisé devant la tâche qui est trop grande pour nous à ce moment-là, ni trop petits pour ne pas se retrouver dans une situation où on ne grandit pas. Et finalement... Réussir, c'est un muscle, c'est parce qu'encore une fois, il va y avoir de l'entraînement et il va y avoir des échecs. C'est-à-dire, j'ai fait un entraînement, j'ai essayé de pousser, mais je n'ai pas réussi à soulever ce poids. C'est dur, c'est trop lourd pour moi encore. Et c'est OK. C'est-à-dire que je vais aller à l'échec sur cette série-là, je vais entraîner ce muscle qui n'arrive pas à sauter aussi haut, à arriver à courir cette distance ou ce temps, mais je vais l'entraîner. je vais le muscler, je vais échouer et c'est ok. Mais ce qui va être important en fait, c'est d'accepter qu'à chaque fois que j'ai l'opportunité de pouvoir muscler et entraîner ce muscle, je vais la saisir. Pourquoi je te dis ça ? Parce que j'étais de passage en France et je ne savais pas combien de temps j'allais rester. Je venais de partir depuis deux semaines et demie de Bali et j'avais une vision grosse au merdeau de mon agenda des mois à venir. Je sais que j'allais en Lettonie pour mon immersion. Je vais aller en Colombie cet été pour le mariage d'un pote, passer un peu de temps à Medellín avec des potes, et ensuite certainement refaire aussi une autre immersion assez folle que je suis en train de préparer en Colombie. Et that's it. Je n'avais pas d'autres vues, donc j'avais un espèce de trou de juin, juillet, qu'est-ce que je fais, et surtout mai, juin. Et je me suis dit, quand je suis arrivé dans la région où j'ai grandi, je me suis dit, wow, ok. J'ai vu mes parents, j'ai fait un peu ce que j'avais à faire, j'ai passé le temps avec eux que j'avais à faire. Et je m'étais dit, bon, qu'est-ce que je fais ? Et j'ai senti en fait, j'ai senti qu'il ne fallait pas que je reste là. J'ai senti qu'il fallait que, entre guillemets, je me remette dans des conditions où là, j'avais cliqué pas mal de choses ces derniers temps, il fallait que je les mette en place, il fallait que je sois productif, il fallait que je sois dans un cadre et une atmosphère saine pour ça. Et évidemment, le cadre d'être chez tes parents... et dans l'endroit qui t'a vu grandir n'est pas le lieu pour le plus t'épanouir, grandir et être productif c'est pas ça tu viens te ressourcer tu viens en pèlerinage mais c'est pas le lieu qui t'a fait en tant qu'enfant qui peut te construire en tant qu'adulte donc je me suis dit je viens de partir de Bali, fais chier est-ce que je repaye un billet, est-ce que je refais tout le trajet pour un mois, un mois et demi et en fait, en l'espace de... Allez. 4 minutes je me suis dit bah si en fait donc j'ai pris un billet d'ailleurs mes parents juste après ils m'ont demandé mais en fait tu restes combien de temps ? je sais pas mais je repars mardi déjà ? mais tu vas où ? je suis à Bali mais pourquoi ? mais tu reviens ouais mais faut que j'y retourne et pourquoi je te dis ça ? parce que en fait il y a des gens ils auraient hésité 10 ans genre ah vas-y j'y vais j'y vais pas vas-y ça va refaire des pensées mais attends mais j'ai pas y retourner que pour un mois j'en reviens du coup c'est un peu débile etc Voilà qu'est-ce que je fais ? Et en fait ils seraient retrouvés à dire tellement ils auraient cogité, il leur aurait resté plus que deux semaines, du coup ils seraient pas allés, etc. Moi s'il y a bien un truc que j'essaie aujourd'hui de toujours faire, c'est dès que j'ai une opportunité entre guillemets de prendre un risque, un risque qui potentiellement peut m'apporter quelque chose, mais le principe d'un risque c'est que tu ne sais pas ce qui va se passer. Le principe de la réussite c'est que tu sais pas si tu vas réussir, sinon c'est que déjà ta situation actuelle, ta situation actuelle elle est bien, mais une réussite... C'est quelque chose qui vient d'être réussi, quelque chose qui vient de changer de « c'est compliqué, c'est dur » à « j'ai réussi, j'ai surmonté l'obstacle, j'ai atteint l'objectif, etc. » Une fois que tu as atteint, c'est juste une situation, c'est ta nouvelle norme, c'est ta nouvelle identité. Et je vois, moi, c'est vraiment ça. Quand j'ai quitté mon appart et j'ai vendu tous mes meubles en 48 heures à Lisbonne, quand là, je viens de reprendre un billet pour Bali et boum, j'y vais, j'essaie vraiment de toujours rester dans, je dirais, cette mentalité antifragile, cette mentalité de pratique de… Vraiment, j'entraîne mon muscle de la réussite, de « Ok, où est le risque que je peux prendre qui va me permettre de peut-être ? » Parce qu'encore une fois, si on prenait à chaque fois un risque et qu'on était sûr de gagner, tout le monde serait riche, tout le monde serait heureux, tout le monde serait beau. Ce n'est pas le cas. Et je me demande toujours « Ok, c'est quoi le levier de croissance ? » C'est quoi le levier de prise de risque qui va me permettre de peut-être devenir, être ou avoir ? Et si à chaque fois que tu sens ces situations, tu vas entre guillemets, j'ai tête baissée, ce n'est pas... c'est pas le mot mais c'est de se dire j'y vais je sens que c'est par là et j'assume crois moi en fait que ta vie va s'accélérer et surtout tu vas beaucoup plus vite devenir la personne que tu dois être et que tu peux être et révéler ton plein potentiel parce que tout objet en mouvement tend à rester en mouvement tout objet immobile tend à rester immobile et l'immobilité évidemment pas physique et aussi intérieure elle est mentale elle est émotionnelle et dans les connaissances donc à chaque fois en fait que tu dis ah je le fais je le fais pas fait le si tu sens que c'est ça fait le parce que à chaque fois que tu dis non Ça veut dire que tu restes dans ta stagnation. À chaque fois que tu dis oui, tu dis oui à une potentielle victoire, à une potentielle réussite. Et là, je ne sais pas. Je ne peux pas te dire encore ce que j'ai réussi ou ce que j'ai obtenu en venant cette fois à Bali. Je sais que la dernière fois, ça a été vraiment… Je me suis remis dans une fréquence, dans une résonance forte avec mon pote Sam. J'ai eu de la clarté sur mon business. J'ai retrouvé de l'énergie, de l'envie, ma nouvelle posture. Waouh ! Et tu vois, ça valait le coup de lâcher son appart à Lisbonne. Là, je ne sais pas. Ça fait quatre jours que je suis arrivé et je suis ravi d'être là parce que je sens que c'est le bon moment, c'est le bon timing. Et je suis impatient de voir ce que ça va pouvoir m'apporter. Mais je sais que je suis dans l'entraînement. Donc, je suis impatient de voir ce que ça va apporter. Et pourquoi je te dis ça, c'est demande-toi en ce moment où est-ce qu'elle est la décision que tu sais devoir prendre, qui va te faire prendre un risque et qui va te faire potentiellement grandir, évoluer et réussir. Et c'est par là que ça se passe. dit oui à cette décision-là.
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