Speaker #0Eh ben je suis désolé, une petite journée de retard sur le podcast, je suis dans le Luberon là. Alors là, entre maintenant où j'enregistre et la semaine dernière, j'ai eu le temps de partir de Lisbonne, aller à Saint-Maxime dans le sud de la France pour fêter l'anniversaire de mon pote Huys, Lubin, et ensuite revenir sur Marseille, prendre une voiture, aller dans le Luberon pour être dans un magnifique domaine, le domaine paradis, le domaine de mon pote Rémi Brun, qui est un mec qui était venu à mon immersion entre potes entrepreneurs. à Lisbonne et qui a dit les gars la prochaine fois, il parle pas comme ça parce que c'est l'accent marseillais parce qu'il est du Luberon, rien à voir mais c'est le premier qui m'est venu la prochaine fois les gars je veux que vous veniez dans mon domaine, on le fait, la V2 on l'a fait dans mon domaine donc j'ai dit attends on va regarder un petit peu à quoi ça ressemble parce que quand même tu donnes vachement envie avec ton domaine et c'est pour ça que là j'étais dans le Luberon, j'étais tellement dans les transports, les trucs, les machins que j'ai pas eu le temps de faire mon podcast hier et aujourd'hui dans ce nouveau journal de bord, je vais te parler de Toute la préparation de comment j'ai préparé ma masterclass, parce que j'ai lancé à Yé le cercle des solopreneurs et à cette occasion j'ai fait une masterclass pour donner de la valeur avant d'ouvrir les portes et je vais t'expliquer comment je l'ai préparé, comment j'ai réussi à avoir un beau taux de présence et derrière j'enchaînerai aussi sur le nombre d'inscrits, aussi un feedback sur les prix, comment te pricer, là moi je me dis que potentiellement j'ai fait une erreur. qui est lié aussi à des blocages que moi j'ai et que je voulais te partager. Je pense que je ne suis pas le seul à avoir des blocages sur le prix et de comment se vendre, comment se pricer. Donc je voulais vraiment te partager ça. Ensuite, je voulais te partager un petit message d'une pote entrepreneuse qui m'a envoyé un message en mode « j'en ai marre d'entrepreneuriat » et je pense que ça peut beaucoup résonner en toi. J'ai trouvé intéressant ce message parce qu'encore une fois... Il y en a beaucoup qui te vendent du rêve, vas-y viens faire 10 000 euros par mois et être sur les plages à Bali. Mais je voulais te partager ce petit passage audio qui est aussi l'envers du décor et la vraie vie des entrepreneurs et des entrepreneuses. Derrière, je voudrais te partager un autre message, mais un message que j'ai reçu qui m'a fait vraiment très très chaud au cœur et qui justement, inversement, là, t'encourage vraiment à faire ce que t'as à faire dans la vie. Parce que tu verras et je t'expliquerai pourquoi, l'impact que ça a eu. sur la personne et du coup c'est pour ça elle me fait un feedback et du coup l'impact que ça a eu sur moi quand j'ai reçu ce message derrière je voudrais aussi te parler de mon pote Rémi Brun chez qui je suis là actuellement et je vais te raconter un peu son parcours qui est assez hallucinant, qui est un mec dans l'immobilier qui a plusieurs boîtes et qui est parti de rien qui est fils d'agriculteur et je vais te raconter un peu son parcours parce que je le trouve vraiment super inspirant et le gars est génial c'est pour ça que c'est inspirant parce que j'en ai rencontré des mecs qui ont fait un truc qui ont des gros patrimoines, des grosses réussites, mais la personne ne m'inspirait pas et lui, vraiment, c'est un bon gars. Donc je trouve que les histoires inspirantes et les parcours inspirants motivent toujours, donc je vais partager ça. Et je finirai par un joli extrait de livre, alors qu'on m'a envoyé, parce que les livres c'est compliqué, donc je les écoute en audio, mais un joli extrait de livre sur l'isolement dans notre société. Et c'est une ou deux pages. Et je pense que ça va te réchauffer ça aussi le cœur et te remettre en perspective peut-être la façon dont tu interagis dans notre société, interagis peut-être dans ton business et peut-être que tu le verras différemment après cette jolie lecture. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors comment j'ai préparé ma masterclass ? Si tu as envie d'en donner une, ça marche toujours bien. C'était un webinar, on appelle ça aussi, tu sais, en gros tu donnes une conférence en ligne où les gens y viennent et tu leur délivres de la valeur. et derrière tu ouvres les portes à un produit où dans ton produit ou ton accompagnement il y a encore plus de valeur, il y a du suivi et donc vu que tu leur as prouvé dans ce que tu leur as donné pendant la conférence que c'était super utile la thématique et ce qu'ils devaient travailler et leur donner les clés de là où ils devaient travailler et leur donner un petit peu de comment, s'ils veulent aller plus vite, s'ils veulent être sûrs de ne pas se tromper, c'est un peu le principe de dire ok je prends ton accompagnement et je prends ton service. Là c'était j'irais un Un webinar où je n'ai pas forcément mis tout l'attirail, parce qu'évidemment quand tu veux attirer beaucoup de gens dans ton webinar, surtout si tu en fais des régulièrement, il y en a qui l'en font toutes les semaines, tu fais dans un système de pub, donc toutes les semaines tu fais des pubs, et tu essaies d'avoir un maximum de personnes pas trop chères qui viennent s'inscrire à ton webinar, et surtout tu essaies de te débrouiller un maximum pour que tout le monde vienne au possible, pour que potentiellement toute la pub que tu as mis soit remboursée, et évidemment que tu fasses un profit. C'est tout un système. Et là, je l'ai fait vraiment sur ce qu'on appelle de l'organique. C'est-à-dire que j'ai fait sur mes réseaux et ma base mail, donc je n'ai pas mis de pub. J'ai réussi à avoir, vu que ma base mail, je ne l'avais pas trop activée, donc je n'envoyais que des petites newsletters une fois par semaine depuis un mois, parce que j'ai repris le podcast, mais je dirais qu'elle n'était pas trop activée. Ça faisait longtemps avant, genre un an, un an et demi, que je n'avais pas fait grand-chose dessus. Donc les gens, ils n'étaient pas forcément, ils ne se souvenaient plus trop que mon mail existait, entre guillemets, ou la valeur par mail existait. Donc j'ai fait par là, et j'ai fait aussi par les réseaux, et j'ai eu 440 inscrits. 440 inscrits et le taux de présence a été plutôt bon parce qu'en général un beau taux de présence c'est je te dirais 25% 25% de taux de présence, 25-30 et vraiment très très très bien Et là on était, donc il y avait 170 personnes présentes, donc on est à peu près à 35-40 un truc comme ça pour 100 de taux de présence, donc ce qui était excellent Je pense que c'était aussi parce que ça faisait longtemps, j'ordonne pas souvent des masterclass et ça faisait longtemps. Et qu'est-ce que j'ai mis en place pour ça ? Parce que c'est vraiment ça qui est important aussi, c'est de te dire, surtout si tu mets de la pub, c'est super important derrière que tu mettes beaucoup de rappels. Parce que les gens, et de ne pas faire trop de promos trop en amont, genre si tu fais 15 jours avant, ça ne marche pas, parce que les gens ils zappent en fait, il y a tellement de milliers de trucs qu'ils ont à faire. Je me suis inscrit, j'ai zappé, je ne l'ai peut-être pas marqué dans l'agenda, ou au final entre-temps il y a un truc pas beaucoup plus intéressant pour eux qu'ils ont prévu. Donc je te dirais commence à faire vraiment la promo 9 jours avant maximum, je dirais 7 en vrai, c'est vraiment une semaine avant. Coucou on est là, t'envoies la sauce et une fois que tu as envoyé la sauce et que tu as eu ces inscrits là, il faut envoyer aussi un système de rappel vraiment genre une fois qu'ils sont inscrits, genre trois jours avant, un jour avant et dans la journée et une heure avant et pendant le web, et juste au moment de se connecter. Tu vas dire oui mais j'ai pas envie de saouler les gens. Oui mais ton but en fait c'est pas de saouler ou pas de saouler les gens, c'est qu'ils viennent en fait. Et que s'ils viennent pas et qu'ils sont saoulés, ils se désinscrivent. Donc c'est pas un futur client, donc c'est pas si grave en fait, c'est pas grave s'ils viennent pas à ton webinaire. Tu t'en fiches. Ce que tu veux c'est apporter de la valeur à des gens qui vont t'en redonner derrière en prenant ton accompagnement. Donc vraiment faut sortir de la tête de ce côté genre ah bah non je veux pas, vraiment faut mettre tous ces mails là en place pour espérer que, enfin moi je suis le premier genre ah oui y'a ça. Puis c'est bon, je suis TDA, j'ai oublié le nom, au bout d'une demi-heure, genre, ah oui, putain, merde, oh oui ! Et en fait, il y en a plein, tu vois, qui se connectent en dernière minute, genre, ah oui, merde, j'avais zappé la masterclass, je veux trop la regarder, mais j'avais zappé, et malgré tout, la rappelle, ou je m'en souviens à peine. Et un outil qui est vraiment aussi pas mal, dans le formulaire d'inscription, moi, je mets le numéro de téléphone optionnel, donc ils n'ont pas forcément à le mettre, tout le monde ne le met pas, évidemment, pas une majorité le met, tu peux le rendre obligatoire, si tu as envie. mais souvent tu as une déperdition sur le taux de transformation sur ta page d'inscription parce qu'il y a des gens, ça les saoule de mettre leur numéro de téléphone, donc ils ne veulent pas. Mais je t'avoue que ça fait longtemps et que je n'ai pas vraiment pu faire de comparatif en vrai, de se dire si tu ne le mets pas, est-ce que vraiment tu as, je ne sais pas, est-ce que sur ta page d'inscription tu vas avoir 20% de taux de transfo et que si tu mets le numéro de téléphone, est-ce que tu passes à 10 ou est-ce que tu passes à 17 ? Et parce que ça vaut le coup, parce que derrière tu vas utiliser un logiciel qui s'appelle Twilio. T W I L I O et qui va te permettre derrière d'envoyer des rappels par SMS automatique et ça les rappels SMS il n'y a plus personne qui envoie des SMS et ici il y a Orange et il y a EDF pakistanais qui te fait croire que tu as une facture à payer pour t'arnaquer et c'est à peu près tout je pense et du coup quand tu en reçois un tu regardes quand même ce que c'est même si tu dis ah c'est nul ça me fait chier tu l'ouvres Et l'avantage, c'est encore une fois, c'est de dire coucou, il va y avoir la masterclass, tu fais ça dans la journée et une heure avant et au moment de démarrer. Et puis au moins, tu es à peu près sûr d'avoir un maximum de personnes qui au moins, si elles voulaient venir, elles le savent, elles n'ont pas oublié. Et ça, ça m'a permis d'avoir, je te dis, 35-40% de taux de présence, ce qui était plutôt très cool. Pour tout ce qui est, je dirais, de la préparation en tant que telle de ma masterclass, moi, j'ai vraiment voulu apporter un maximum de valeur. aux gens qui venaient et du coup à ma cible et du coup j'ai repris vraiment les 4 points que je voyais qui étaient les 4 problématiques majeures et principales de ma cible qui sont pour l'instant les personnes qui sont des solopreneurs des entrepreneurs qui ont un petit business et du coup j'ai vraiment voulu appuyer ma masterclass sur ces 4 sujets là et pour me dire en fait on se dit souvent est-ce qu'on axe sur 1 sur et on va un peu plus en profondeur, est-ce que de quoi je parle ? Des fois, tout simplement, c'est de quoi je parle ? Qu'est-ce que je vais dire ? N'oublie jamais qu'un produit, un accompagnement et une aide à tes clients, c'est une solution à un problème. Si t'as pas de solution à un problème, bah déjà t'as pas de produit, t'as pas de service. Et même, tu vois, si tu peux dire que t'es dans l'entertainment, donc dans le loisir, bah en fait, si par exemple, je sais pas, tu vois, je suis dans un domaine, t'as un gîte ou un camping de plein air ou un truc comme ça, tu te dis, bah moi je résous pas un problème. Bah si, si, en fait. T'as des gens qui ont besoin de nature, t'as des gens qui ont besoin de se reposer, t'as des gens qui veulent prendre l'air, t'as des gens qui veulent, je sais pas, si tu crées une love room. Ça, c'est la grande mode dans l'immobilier de créer des love rooms, c'est-à-dire des Airbnb, des petites chambres Airbnb, où c'est là pour faire du love, dans la room, si tu vois ce que je veux dire. En fait, tu as ce besoin de reconnecter avec ta meuf ou ton mec et que du coup, tu veux un truc un peu romantique pour passer ce joli temps que tu ne prends pas le temps parce que tu es pressé, parce que ça ne va pas, parce que ceci, parce que cela. Donc vraiment, repart toujours du principe du business, c'est quoi les gens que j'aide, c'est qui ? et quels sont leurs problèmes et du coup bah c'est ça que tu vas mettre dans ta masterclass donc moi c'était les quatre piliers ensuite comment j'ai fait ma presse c'est j'arrive pas à éclater une presse d'un coup tu vois genre je fais tout je fais tous mes slides je fais tout mon déroulé non en fait soit c'est un thème qui est plutôt une conférence inspirationnelle et ça je peux mettre des grands points et puis je mets trois quatre slides et ça se fait je gratte ça en une heure tu vois je gratte ça en une heure ensuite Je vais répartir ce que je dis sur chaque slide et après, une troisième fois, je vais mettre les styles en place. Là, c'était vraiment de se dire, OK, quelles sont les quatre problématiques que je voulais soulever, que je voulais vraiment traiter. Ensuite, c'est faire un peu mon plan. Qu'est-ce que je dis dedans ? J'avais repris des choses d'anciennes masterclass, de modules de connaissances que j'avais créés, de formations. J'ai mis tout ça en place. Derrière, j'ai gratté les choses. À chaque fois, je fais ça une ou deux heures le matin. C'est la première chose que je fais le matin et sur 4-5 jours parce que j'arrive pas à tout faire d'un coup et sinon ça me saoule et du coup vu que ça me saoule après je la prends en grippe et j'ai plus envie de le faire et du coup ma presse elle avance pas, elle est pas bonne. C'est plutôt de le faire genre un truc important sur ce projet là par jour sur 4-5 jours. Donc c'est les idées, ensuite c'est le plan, ensuite c'est qu'est-ce que je mets en gros sur les grandes choses dans chaque partie et ensuite ce que j'ai fait aussi c'est que j'ai dit chat GPT voilà ma cible. Voilà ce que je vais faire, je vais faire une masterclass. Donc ça c'est un prompt, c'est toujours dans les prompts, bien remettre en situation. Je suis Alex Vizéo, je fais ceci, ma cible c'est les solopreneurs, je donne une masterclass à l'occasion du lancement du cercle des solopreneurs, voici les 4 piliers que je vais mettre dedans, voici mon plan, voici ce que j'ai envie de dire, est-ce que tu me suggères d'autres choses que je n'ai pas vues, par rapport à ce que j'ai envie de dire et par rapport aux besoins que j'ai envie de combler et aux problèmes que j'ai envie de résoudre chez les gens. Ok, boum, ensuite chat GPT me dit, bah voilà, tu pourrais parler de ça, tu pourrais parler de ça. Dans tout ce qu'il me propose, il y a des choses que je garde, des choses que je garde pas. Souvent, il y a forcément des choses auxquelles j'ai pas pensé, ou des petits exemples. Et ça, boum, c'est plié. Et à la fin, l'avantage, c'est qu'à chaque fois, moi, je montre vraiment, quand ma presse est prête, que j'ai mis le texte et les images que j'ai choisis sur chaque slide, moi, un truc où je suis vraiment éclaté au sol, c'est la mise en page. Genre, fais un truc trop beau, fais un truc genre, « Oh, l'info, elle explose aux yeux ! » Ça, je sais pas faire. Je suis vraiment nul. Je sais à peu près ce qu'il faut que ça donne. mais le faire avec mes petites mains, je sais pas, ça marche pas super. Du coup j'ai Camille Imbert qui est mon associée sur... et la cofondatrice du Cirque du Soleil Progrès, je lui ai dit « Tu peux mettre un coup de magic sur ma prés ? » et elle a fait un truc de ouf. Elle a fait vraiment un truc trop joli et donc ça soit tu... ce que je te conseille de faire, soit tu as ce coup de magic au bout des doigts pour faire ce genre de choses, soit comme moi, ce que tu peux faire, soit tu bosses avec quelqu'un et elle le fait, soit parce que vous répartissez le boulot, soit tu prends... tu payes je sais pas 100 balles ou 200 balles en fonction du nombre de slides un ou une graphiste que tu vas sur sur Mal, sur Fiverr, sur des choses comme ça pour le faire à ta place parce que franchement ça fait pro ça change tout, tu vois quand t'arrives sur une 13 et que t'as l'impression que c'est un vieux powerpoint des années 90 déjà on te prend pas au sérieux et l'inverse est vrai quand t'arrives et que c'est pro, que c'est carré tu vois t'as pas mis trop d'infos et que la graphiste va dire attends là ça sert à rien, tiens mets une autre photo vraiment Ça, ça fait toute la diff. Donc, c'est vraiment comme ça que j'ai préparé et que derrière, ça m'a permis d'avoir un beau taux de présence et surtout, ça m'a permis aussi de... Quand tu ouvres ton slide, que tu as fait tout se dérouler, que tu l'as en tête, que tu as appris, en fait, les slides, pour moi, ils doivent... Et ça, c'est vraiment un conseil. Sur des slides, il doit y avoir le moins d'infos possible. J'oublie de te le dire, mais pour moi, ça me paraît évident, mais j'envoie trop des preses où tu mets... En fait, tu mets tout ton texte parce que tu as peur de l'oublier. Mais une fois que tu l'as... T'as bien bossé sur plusieurs jours, que t'as tes idées en tête, mets juste les idées clés et tu verras que tout te reviendra en tête au moment où tu déroules devant tout le monde, sur la presse, etc. Autre chose, que je voulais dire, ultra important. J'ai fait ça sur Zoom. Souvent, on fait sur Webinar Jam. Webinar Jam, tu ne vois pas l'audience, tu ne vois pas les gens qui sont là. Et tu fais ton truc, ton déroulé, etc. Tu as un chat, etc. Là, pareil, vu que c'était un petit lancement, c'était un produit qui était à 47 euros par mois. Et j'y reviendrai sur la thématique juste après, justement. J'ai, entre guillemets, que c'était un lancement organique. Je me suis dit, je vais le faire sur Zoom, tu vois. Zoom, le truc, c'est ce qui est relou, ce qui est bien, en fait... en live coaching, c'est que tu vois les gens, mais en fait, quand tu fais ton webinar, tu vois la tête des gens. Même si tu essaies de mettre genre que tu vois qu'une colonne de gens, tu vois pas tout le monde, tu sais que la personne que tu vois, les personnes qui regardent, elle est en train de fumer sa clope, regarder son téléphone, etc. Tu dis putain merde, je suis pas en train d'assurer, ils regardent pas. Donc c'est pas évident. Et deuxième chose, donc tu peux te dire de couper toutes les caméras, par exemple. Il y a une option, tu peux couper la caméra, même si les gens peuvent la mettre. Et deuxième chose, coupe l'option où les gens peuvent annoter sur l'écran partagé. Je sais pas, je l'ai pas trop, enfin, faut que j'aille la rechercher, mais moi y'a des gens, y'a une ou deux personnes qui sont amusées à un moment donné à faire, à dessiner sur ma presse. Notamment une des personnes que je connais en plus. J'ai pas encore envoyé un message pour le déboiser mais jamais tu fais ça quoi. Tu t'arrives et t'as un trait au milieu de ta presse de gens qui dessinent. Y'a un moment c'était un trait, je pense que c'était quelqu'un qui avait pas fait exprès ou qui était sur son téléphone ou ça avait l'air d'être un truc. Mais une autre fois où y'a des gens, bah... Genre au moment des questions-réponses, bon à ce moment-là c'était à peu près marrant de faire des petits cœurs et tout, mais ça déconcentre de fou en fait. Ça déconcentre, et moi en plus je t'ai dégagé, je vois un petit trait, je dis « Oh un petit trait ! » « Ah merde, je suis en conf, de quoi je parlais ? » « Ok, et ben je peux te dire que tu bégayes un petit peu quand même. » Et moi qui bégaye pas souvent, là j'étais en mode « Putain ! » Donc ouais, vraiment, je pense à décocher l'option sur un document partagé, qui était ma fraise, que les gens puissent annoter des choses, parce que ça vraiment, ça m'a mis un petit peu dans la merde. Maintenant sur l'aspect prix. Là c'était le cercle des solopreneurs que je lançais et j'avais un prix de lancement dans la journée au moment du webinar qui était à 47 euros par mois. Donc c'est le prix d'un resto. Maintenant c'est le prix d'un McDo je crois avec les prix qui ont augmenté. A deux, t'en as pour 47 balles. Et dedans encore une fois tu peux connecter avec des solopreneurs, tu peux demander de l'aide, tu peux donner de l'aide, tu peux faire des meet-up avec des gens qui sont à côté de chez toi. et puis être seul, t'as accès à des modules de connexion où j'ai mis toutes mes formations qui ont une valeur de plus de 2 à 3 000 euros, t'as des coachings live et des lives on va dire toutes les semaines où ça va être des cerveaux collectifs, des masterclass, des choses comme ça, pour 47 balles, donc autant te dire que là j'étais en mode je fais un cadeau. Moi d'habitude, les formations que je vendais c'était, tu vois, brandé au impact c'était 800 ou 900 euros, c'était des choses que c'était des formations, et encore, je suis vraiment pas cher, et je me suis dit, et ben... Vraiment je sais que ça c'est vraiment mon problème de me pricer, je suis toujours moi le gars qui veut tout donner gratuit moi. Tu sais moi j'ai là genre, moi je veux aider les gens tu vois, je veux aider les gens gentils, je veux que tout le monde soit heureux, et en fait je fais des prix qui sont tout petits, je me dis bah voilà, là je leur fais un cadeau, forcément tout le monde va s'inscrire tu vois. Et là au moment du pitch, donc c'est au moment où à la fin de la presse et de la masterclass, bah tu pitches un peu ton offre, pour que les gens puissent, bah s'ils ont envie d'aller plus loin, plus vite, ils prennent ton offre. Là, c'était rentré dans la communauté. On était à peu près 130 au moment du pitch. Et il y a, je crois, 38-40 personnes qui sont venues. Donc, c'est 3 fois 4, 12. Donc, c'est à peu près 30% de taux de transfo. Ce qui, normalement, sur un bon webinar, c'est 15%. Mais sur des offres à 1 000, 1 500, 2 000, etc., là, c'est 47 euros. Et j'étais déçu, je me dis en vrai 47 balles tout le monde va venir en fait. Et surtout derrière, même les gens par mail qui vont le recevoir à plus tard, ils vont venir ceux qui le voient dans la soirée. Sauf que, encore une fois, c'était que 40 personnes, que 30%. Et du coup j'étais un peu déçu, parce que moi j'étais toujours en mode, je fais un cadeau, je fais un truc, allez venez, je vous donne tellement, je vous donne x10 par rapport à... Dans ma tête, j'étais un peu en mode « 100 millions de dollars offert » de Alex Sormozy, qui dit qu'il faut que tu fasses des offres où les gens, quand ils la voient, disent « je serais bête de ne pas la prendre » . Et là, je m'étais dit « vraiment, j'en suis là » . Et pourtant, le taux de transos, alors évidemment, je suis toujours exigeant, je suis toujours en mode « sur les 120, il y a des gens qui ne sont peut-être pas la cible, il y a des gens qui sont peut-être déjà engagés dans d'autres formations et qui ne veulent pas accumuler, etc. ou dans d'autres communautés, etc. » Quand même, c'est vraiment mon problème et je sais pourquoi je t'en parle parce que je sais que c'est le cas de beaucoup de gens. Moi j'ai vraiment ce blocage de fils d'ouvrier, de « ah là là je veux pas trop me pricer, je sais l'humilité, faut se faire petit » alors que quand même à la base dans mon ADN je suis tout sauf ça, je suis le mec qui veut gueuler, se faire voir et « coucou j'existe, coucou je veux de l'attention » . Sauf qu'on m'a mis dans la tête quand j'étais gamin « faut pas se faire remarquer, faut pas faire de bruit, faut être là, faut être discret » . Du coup ça joue je sais sur mon problème avec me pricer et l'argent, c'est quelque chose que j'ai décidé vraiment cette année pour lequel... me faire accompagner, débloquer ça parce que je sais que d'un côté quand tu mets un truc de ouf à 47 balles, les gens ils disent c'est pas ouf en fait et un truc, je fais un petit pas de côté mais avec mes potes il y en a beaucoup au début à qui je leur filais accès à mes formations et le problème c'est que toutes les choses que tu donnes gratuit, les gens ah bah merci, personne n'est regardé en fait donc maintenant ce que je faisais c'était je dis ok tu veux une de mes formations, pas de problème, tu l'achètes et je te rembourse derrière si tu vas au bout. Si tu vas au bout. Finalement, il n'y a quasiment personne que je dois rembourser parce qu'ils ne vont pas au bout. Ou alors, ils ne le prennent pas. Et ceux qui vont au bout, ils me disent « Putain, mec, c'était génial. » Il y a un des potes que j'avais vu la semaine dernière, mon pote Lucas Lopez, qui a monté une communauté, Nathan Connect, qui cartonne. Il connecte des gros entrepreneurs de start-up autour du Padel. C'est un club d'entrepreneurs. C'est des tickets d'entrée à entre 5 et 12 000 euros. Ce n'est pas 47 balles, mon gars. Et les mecs, ils rentrent de fou. Parce qu'ils savent qu'en rentrant dans le club, évidemment, ils vont faire du business, évidemment, ils vont connecter. Et c'est des profils beaucoup plus avancés. Mais du coup, ils connaissent la valeur de ça. Mon problème, c'est que moi aussi, la cible que je vise, ils se disent que 47 balles, j'hésite. C'est genre, oulala. Alors qu'en fait, j'ai mis 100 fois plus dedans. Lui, tu vois qu'il n'a pas ce problème de... valorisation et que déjà lui ça lui a été utile de faire la formation parce qu'il l'a payé il a été au bout et puis il m'a dit non non mais je te rembourse pas mec tu m'as tellement apporté de valeur dans cette formation et que du coup lui il n'a pas mon problème de et bien je dirais de mettre le prix sur vraiment la valeur de ce qu'il apporte et quand je le vois il a créé un truc où moi ma formation c'était la méthode d'introspection pour découvrir ses zones de génie et trouver son job idéal il était en reconversion il savait pas quoi faire Il venait du monde de start-up mais il savait pas trop quoi faire. Lui ce qu'il voulait c'était faire du sport, voyager, connecter les gens. Bon bah en fait ça a été dur mais il a monté ce business là et ça cartonne, il est trop fort, c'est vraiment dans sa zone de génie. Et lui c'est inspirant pour moi parce que tu vois un mec que j'ai aidé, il m'inspire aujourd'hui sur ce point de vue là. Et vraiment quand tu vois un truc où tu te dis bah putain je mets 12 000 euros à l'année pour entrer dans un club, bah tu sais que le club tu dis c'est quali en fait tu vois. Sauf que c'est pas beaucoup plus quali que moi ce que je propose, sauf que c'est à 47 balles par mois et tu te dis merde. Alex, est-ce qu'il n'y a pas un problème de positionnement ? Est-ce qu'il n'y a pas un problème où si tu mets plus cher, tu attireras des profits qui comprennent la valeur ? Donc moi, c'est toujours pareil, je fais plus d'argent, j'attire peut-être des clients qui sont plus dans la cible. Et en plus, même si j'ai moins de gens potentiellement, parce que tu dis que quand tu fais un prix à 47 sur un produit, tu vises la masse pour avoir vraiment des bénéfices élevés, alors que quand tu fais un peu plus du high ticket, tu fais du... 2000, 3000, 4000, 12000, tu es moins sur du high ticket, mais qui dit moins de gens, dit moins d'emmerdes en général. Et surtout, les gens qui payent plus cher, ça tu pourras le voir à travers n'importe quel business, c'est ceux qui font le moins chier. A moins que tu sois dans du ultra luxe, c'est plus pareil, mais les gens qui payent un peu plus cher, c'est des gens qui connaissent, qui ont ce brief, ils sont carrés, et boum, ça avance. Et souvent les gens qui ne payent pas cher, c'est des gens qui ont peur, c'est des gens qui ont toujours besoin d'attention, c'est des gens qui ont toujours besoin de attention, c'est comment, attention, oui mais là j'y arrive pas, qui sont pas autonomes en fait, et qui veulent des babysitters. Heureusement qu'au total sur le cercle, il y a eu 83. Il y avait eu quasiment 40 personnes qui étaient rentrées de la liste d'attente. Mais pareil, j'avais 70 personnes en liste d'attente. 40 personnes qui sont rentrées de la liste 70. J'étais un peu déçu. Je me suis dit, j'ai 70 personnes en liste d'attente. Je vous ai fait un super truc. Pourquoi tout le monde ne rentre pas ? Et au final, c'est normal. Il y en a qui sont curieux, qui regardent, qui finalement, peut-être avaient mal compris l'offre. C'est normal. Et quand je suis allé sur, du coup, au bout de là, ça fait 2-3 jours qu'il y a le cercle. Je vois les profils, tu vois, et je me dis c'est cool. Parce qu'il y a vraiment des gens, tu vois, genre, tu sais, des gens que j'adore, quoi. Des gens qui sont impliqués, des gens qui se sont lancés mais qui veulent vraiment aider les gens, qui veulent, tiens, genre, ah tiens, j'adore ça, genre, tiens, j'ai découvert tel truc, bah moi je vous donne mon process, ah au fait, vous utilisez quoi comme outil de quiz pour, enfin outil pour faire des quiz, pour faire des lignes magnètes, ou, et en fait, et ça se répond, etc. Et moi j'essaie de répondre et d'intervenir pour impulser, mais c'est exactement ce que je voulais. c'est-à-dire une dynamique d'entraide, de bienveillance et de coucou j'ai besoin d'aide ok j'ai reçu de l'aide, boum je vais en redonner dès que je peux, que ce soit un encouragement que ce soit un type parce que je le connais ou un contact etc J'étais quand même content, ça m'a rassuré dans le côté déception, parce que moi j'aurais aimé avoir au moins au lancement 100-120 personnes, donc on en a eu 83. Mais je pense que ça m'a vraiment renvoyé au fait, et j'en discutais avec Camille, du coup mon associé, de se dire, ça vient tacler quelque chose qu'il va falloir que je travaille, c'est-à-dire mettre le juste prix à ce que je propose, et c'est ça, c'est en règle générale. Ça a toujours été mon problème, même quand j'étais influenceur en voyage, j'étais... Pendant plusieurs années, j'étais le meilleur ou le numéro 1, même après j'étais dans le top 3 ou 4, et j'étais, je sais, un des moins chers par rapport à ce que je proposais. Parce que j'étais content, je m'en fous, j'étais très bien payé, mais j'avais toujours ce côté de « waouh » . Alors que, bah non, en fait, s'ils vont voir quelqu'un d'autre, en fait ils vont payer le double, le triple. Donc en fait, comment tu te prices, et je finirai là-dessus, c'est de te dire, c'est ça en fait, le problème c'est de te dire comment tu te prices. Bah en fait tu te prices c'est de te dire tout simplement, si t'es un foutu comme moi, et que tu as potentiellement, tu es toujours en tendance à te downgrader, à te vendre moins cher que ce que tu devrais, de ce que tu vaux, tu peux demander à des potes. Déjà, moi, j'ai commencé à le faire. Et surtout, tu regardes. Tu regardes ce qui se fait. Et moi, ce que je vois, les cercles de communautés payantes, etc., tous ceux qui ont beaucoup moins de ce qui est inclus dans ce que je mets, c'est 150 balles par mois. Donc, c'est un peu plus de 1500 euros l'année. Et là, on est... Surtout sur l'offre de lancement, elle est partie, mais là, en ce moment, il y a une deuxième offre qui est sur le premier mois, qui est à 67 euros. T'es à 800 balles, tu vois, genre, avec tout ce qu'il y a. Et quand tu prends finalement des accompagnements, parce que finalement, là, je fais un truc de ouf, c'est-à-dire qu'il y a des accompagnements sur 3 mois, ou 5-6 mois, tu vois, 4-5 mois, max, où il y a tout ce que je mets dedans, enfin, même moins, il y a juste une formation, un coaching par mois, et ils vont te faire payer 4 000 balles, 3 000 balles, 6 000 balles, tu vois. entre 2 et 6 000 balles en fonction de ce que c'est et je me dis bah moi c'est sur toute une année et c'est 3 fois il y a peut-être un truc donc je pense qu'à terme avec Camille on va réajuster le prix pour aussi se réaligner nous et finalement attirer aussi des parce que c'est ça aussi, des fois le problème c'est que tu veux être trop gentil mais du coup t'attires pas les bons profils et du coup bah merde les gens ils apprécient pas à leur juste valeur ce que t'offres et en plus ça ne se passe pas forcément bien avec tes clients vu que ce n'est pas la bonne cible parce que tu ne l'as pas pressé au bon prix. Tu vois, si à un moment tu vends des Benplay ou des Ferrari et que tu commences à les mettre à 30 000 balles, les gens ne vont plus acheter de Ferrari puisque ça devient la petite voiture de course de Monsieur Tout-le-Monde. Et qu'en fait, il faut presser au prix où les gens en sont et ils veulent être dans leur évolution. Et peu importe que tu sois dans de l'accompagnement, dans du bien-être. Tu vois, si tu es une prof de yoga en fait. qui veut être premium, premium en fait c'est ça qui est fou, c'est que ça veut pas forcément dire que tu es une meilleure prof de yoga que l'autre à côté, c'est juste que ta cible c'est premium, mais si ta cible c'est premium, bah faut que tu mettes des prix premium pour qu'il y ait du coup peut-être moins de gens dans tes salles de yoga, que tu mettes des tout petits détails en plus qui t'ont coûté 50 balles en plus, tu vois, je sais pas avec des petits tapis qui sont un peu plus moelleux, je sais pas, un décor ou une pièce qui est un peu plus, qui coûte un peu plus cher, mais vu que tu vends peut-être ça 3 fois ou 4 fois plus cher, t'es rentable en fait. Et c'est ces petits à côté. Mais ça ne veut pas dire que toi, en tant que prof de yoga, tu es meilleur. C'est juste que tu as mis le packaging qu'elle est par rapport à ça. Donc, si tu veux savoir comment te pricer et ne pas faire comme moi, demande autour de toi si tu as des potes. Et surtout, regarde ce qui se fait par rapport à toi, ton secteur. Et cale-toi sur ce. Et ne fais pas moins. Fais le même prix au début. Et voir si tu te dis que tu es meilleur que les gens de même secteur qui pricent. Fais plus cher. Vraiment. Maintenant, je voudrais partager un petit message que j'ai reçu sur School. d'une des membres de mon collectif BetaTest que j'avais créé l'année dernière. Donc School, c'est la plateforme où je gère les communautés, notamment aussi celle du Cirque des Solopreneurs. Et je me suis dit que j'allais te le partager parce que c'était... Un moment, tu vas voir, où la personne était un peu au bout du rouleau. Et c'est aussi ça l'entrepreneuriat. Et je pense que je ne veux vraiment pas, moi, surtout en faisant ce journal de bord, te montrer que les meilleurs angles, que les bons côtés de l'entrepreneuriat. Bref, écoute ce petit message.
Speaker #0Je me connais. Voilà. Comme tu vois, c'est ça que j'adore. C'est qu'elle dit, putain, mais on les kiffe ces vagues. On les kiffe ces vagues. Et je pense que c'est ça qu'il faut comprendre. C'est qu'il n'y a pas un moment donné, je pense que les gens, quand je les entends, ils disent, ah là là, vite, je mets mon place en business. Et quand je gagnerai ceci, quand j'aurai cela, là, je serai tranquille. Non, tu ne seras pas tranquille. Le principe de l'entrepreneuriat, c'est en fait le meilleur outil de dev perso. Ça te fait te développer toi, te faire grandir, ça te repousse tes limites, ça te fait que tu dois apprendre, ça te fait prendre sur toi. Il y a toujours des problèmes. C'est la vie, il y a toujours des trucs, c'est des défis à relever en permanence qui te font grandir, qui te font voir si t'es devenu meilleur ou pas, qui te testent. Et des fois, c'est génial. Des fois, on n'a plus le moral. Des fois, il y en a tellement qu'on n'en peut plus, on est à genoux. Et c'est vraiment ça qu'il faut comprendre. Et l'entrepreneuriat, vraiment, c'est pas pour tout le monde. Et je me rends de plus en plus con. Ce n'est pas pour tout le monde. Il y en a vraiment peu qui vont réussir par rapport à ceux qui vont se lancer et par rapport à toute la population globale. Mais alors, qu'est-ce que ça vaut le coup ? Qu'est-ce que ça vaut le coup de tenter au moins ? Parce que même si tu reviens dans le salariat, encore une fois, tu vas tellement apprendre sur toi. Tu vas tellement comprendre là où tu es bon, là où tu es moins bon, là où tu dois bosser. Et du coup, ça te donnera vraiment un état des lieux de te dire « Waouh, ok » . voilà vraiment ce sur quoi je dois bosser dans ma vie, est-ce que j'en ai envie ou pas ? Parce qu'il y en a qui ne veulent pas. Il y en a qui disent, non, je préfère rester dans quelque chose d'un peu sécure, un peu plan-plan, et quitte à avoir des regrets à la fin de ma vie, en fait. Versus te dire, ok, bon ben, waouh, l'entrepreneuriat, il y a plein de trucs où je ne suis pas bon du tout, où j'ai plein de blocages, parce que souvent, on n'arrive pas à faire les choses, pas parce qu'on n'est pas bon techniquement, parce qu'on se cache derrière le côté, je ne sais pas le faire techniquement, mais c'est que la tête, elle n'y va pas. C'est qu'on a des peurs, on a des blocages, on a une mauvaise estime de soi. Regarde-moi avec le prix. Pourquoi je ne mets pas un prix plus élevé ? Parce que techniquement, c'est deux clics. C'est juste que c'est moi vis-à-vis de moi-même en fait. Là, c'est pareil. Et c'est ça qui est formidable. C'est que via un prix que je ne suis pas foutu de mettre à ma sa juste valeur, c'est quoi le truc derrière ? C'est le miroir de me dire, peut-être qu'il est temps que je m'estime à ma juste valeur. Ah ok, que je m'aime plus. Ah ok, pourquoi je ne m'aime pas ? Et boum, boum, boum. Et là, on avance dans la vie. Et là, on commence à cliquer. Et là, on va... Et un jour, on marche et on est vraiment bien parce que je suis quand même un mec qui est déjà plutôt bien dans sa peau et qui a une vie plutôt chanmée. Et bien, ce qui est fou, c'est que malgré ça, l'entrepreneuriat, ça pique exactement là où ça fait mal, là où ça bloque encore. Et puis, je peux déjà te faire un spoiler de la vie. Il y a toujours à apprendre, il y a toujours à grandir, il y a toujours à évoluer. Il n'y a pas de fin. C'est un jeu où il n'y a pas de fin, il n'y a pas de but. C'est à toi d'aller chercher ce qui te fait kiffer et de là où tu as envie d'avancer et à la vitesse où tu as envie d'avancer. Et... vraiment si tu es là et tu as envie d'une vie plan plan où tu veux pas te poser de questions tu veux pas savoir ce qu'il ya derrière ce qu'il ya derrière tes blocages ben ben te lance pas dans l'entrepreneuriat si tu as envie d'avancer un petit peu et de faire un état des lieux balance toi quitte à claquer après mettre les clés sous la porte et revenir sur un cdi parce que de toute façon souvent quand tu reviens dans un cdi tu as tellement appris pendant ta ton aventure d'entrepreneur ou d'entrepreneuse que derrière tu as un meilleur job en fait Parce que t'es meilleur dans ton job, tu prends plus d'initiatives et que tu sais ce que c'est, tu vois. Donc derrière t'es mieux payé, donc potentiellement c'est toujours ça de pris. Et sinon, si t'as envie de te lancer, n'oublie jamais en fait que c'est des vagues. Et que les vagues, il y a des hauts et il y a des creux. Pour faire des sommets, des vagues, il faut faire des creux. Il faut aller prendre de l'eau qu'on a mis tout en haut, mais du coup derrière il y a un gros bas. Et que c'est ok en fait. Et que c'est comme dans la vie. Moi j'étais vraiment le premier à penser que la vie c'est que des trucs, c'est une courbe ascendante, tout va bien. Et puis un jour, boum, balayette mon gars. Alors moi ça s'est arrivé très tard, à 37 ans, quand je me suis lancé en vrai dans l'entrepreneuriat et qu'avant j'étais vraiment dans une zone de génie parfaite. qui était influenceur voyage tu vois où j'étais vraiment dans cette zone de génie ou et en fait j'étais défoncé j'ai été défoncé à l'endorphine l'adrénaline au kiff et je les voyais pas les problèmes tu vois sauf que ce momentum moi j'appelle j'étais dans mon momentum ce momentum souvent il dure 5-6 ans tu vois 5-6 ans et où tu es tellement dopé tu es tellement à fond mais tu le paye derrière c'est pareil c'est pas genre tu es tout le temps sur ce momentum tu vois c'est bah moi j'étais dans La vague est là, 5-6 ans, ou même avant j'étais heureux mais en mode cool, mais vraiment où tu es au pic de la vague, boum, après tu es en désintox de ta vie, de mec défoncé qui a tout réussi, et puis après juste tu reconstruis autre chose, donc quand tu reconstruis autre chose, tu repars un petit peu en bas, et que là je suis en train de reconstruire tranquille, et que je sais que je vais être de nouveau en haut d'une vague, d'une façon différente, et qui va encore plus me galvaniser certainement, et de façon plus paisible, de façon plus profonde, et c'est ok. Et tant que je suis ok avec le fait de me dire que, et ces trois dernières années, ça a été beaucoup de vagues dans la gueule, j'ai pris pas mal la tasse, malgré ça, en prenant la tasse, je me dis que tu vois, quand tu prends la tasse dans un CDI où t'as vraiment une vie de merde, dans une routine où t'es en train de s'enfermer, en fait t'as l'impression que tu te noies. C'est pas la tasse, c'est tu te noies. Moi là, en prenant des grosses vagues dans la gueule, en prenant des grosses tasses, j'ai habité à Bali, j'ai habité à Medellín, j'ai kiffé, j'ai fait des trucs de ouf, et des fois j'étais pas bien, mais des fois j'ai quand même vécu des trucs de ouf, et j'avance. Et je sens que ça avance. Et c'est ça l'entrepreneuriat. Donc, n'oublie jamais, quand tu as un coup de mou, après une grande série de défaites, ça donne souvent une grande victoire. Et ça, il ne faut pas l'oublier. Et surtout quand tu as beaucoup de défaites, et que c'est dur, et que les défaites sont mentales encore plus. Tu sais, il y a un truc, des fois tu réussis tout l'extérieur, mais il y a un truc mental qui fait que ça ne clique pas, ben dis-toi que ça va passer. Dis-toi que c'est juste parce qu'il faut que tu apprennes quelque chose, que tu débloques quelque chose, et que... L'entrepreneuriat te sert à ça. Donc, plus tu galères, tu vois, il y a une phrase que j'ai entendue il n'y a pas longtemps, quand tu galères et que c'est dur, que ce soit à la salle de sport parce que tu n'aimes pas le sport, ou parce que tu prends du muscle, ou parce que, je ne sais pas, tu es en train de faire une, je ne sais pas, une presse ou passer devant une masterclass et que toi, tu détestes parler en public et que c'est dur, tu vois, c'est ça le goût du progrès. C'est ça le goût de la progression. Tu vois, quand tu as ce goût en bouche de difficulté et que tu te dis que c'est galère et que tu te dis, putain, c'est que tu es en train de progresser. Si c'est simple et que c'est tout doux, tu ne progresses pas, tu stagnes. Donc garde ça en tête quand tu galères, vraiment, parce que ça vaut le coup. Et surtout, si tu es dans cette démarche-là, que tu as choisi cette démarche-là, lâche rien. Et c'est OK de lâcher la pression, comme ma pote qui m'a envoyé ce message et qui a voulu lâcher la pression, envoie le défaut aussi à des gens et lâche la pression. Et une fois que c'est lâché, boum, repars comme en 40 et relâche les chevaux. Maintenant je voudrais te parler d'un autre message mais celui-ci beaucoup plus positif même si celui de ma pote encore une fois je trouve qu'il y a un message positif derrière. C'est le message de Pauline Hamelin que je ne connais pas du tout qui m'a envoyé un message sur Insta et je ne les vois pas tous ceux qu'on m'envoie surtout quand je ne suis pas en contact avec la personne. Ça se met dans un onglet, du petit truc sur le côté, des requests et je suis tombé dessus parce que j'étais sur mon Insta et ce message il m'a touché profondément parce que la personne, donc cette Pauline, à qui je fais un gros bisou et je la remercie personnellement pour ce message que j'ai déjà fait par écrit. C'est vraiment un message qu'elle m'a envoyé en me demandant « Coucou Alex, on ne se connaît pas. Je t'ai découvert quand j'avais 9 ans. Et là, direct, je n'ai pas aimé son message. J'ai dit là, ça me fout un coup de vieux. J'ai quand même continué à lire, mais je n'étais pas bien. Je t'ai écouté il y a 9 ans quand tu as commencé. J'ai vu tes vidéos autour du monde. Et j'ai dit quand j'avais 11 ans à ma famille « Moi, un jour, je partirai faire le tour du monde. » « Ouais, je m'en ai rien à faire, je partirai voyager. » Et puis, elle est retombée dans le quotidien, dans la vie normale, dans ce qu'on lui a dit de faire en tant que petite fille, ado, et elle a fait des écoles d'ingé. Et au lieu de partir sur une carrière toute tracée d'ingénieur, en fait, à ce moment-là, elle n'était vraiment pas bien. Trop de métro-boulot-dodo, trop d'études, trop de pression, trop de trucs qui n'allaient pas, trop de choses pas alignées où elle ne s'écoutait pas. Et à ce moment-là, ma vidéo « 5 minutes autour du monde » Elle a popé sur son feed sur Youtube Et elle m'a dit que ça a tout de suite reconnecté des émotions Elle l'a regardé et c'est comme si son cerveau s'était recablé à ce qu'elle avait vraiment envie, à ses rêves d'enfant Et elle a claqué sa dème et m'a envoyé son message en me disant ça fait six mois que je suis parti en voyage, Mexique, Polynésie, Amérique du Sud. Et elle m'a dit mais je suis en train de vivre les plus beaux moments de ma vie et c'est grâce à toi, c'est grâce aux émotions, aux clics que tu m'as créé à chaque fois au moment où tu es intervenu dans ma vie. Et elle dit ne sous-estime jamais vraiment les contenus que tu fais et ce que tu apportes au monde. Et vraiment ne dénigre jamais ce que tu peux faire et l'impact que ça peut avoir. Parce que sur moi, ça a pu changer ma vie. Et je peux t'assurer que quand tu te dis que tu as créé une vidéo il y a 15 ans, qui a encore un impact d'une façon ou d'une autre sur des gens, et qui les aide d'une façon ou d'une autre dans le positif, et que ça les marque au point de prendre le temps, déjà de t'envoyer un message, mais même de changer de vie, ou de partir voyager, ça, ça vaut tout l'or du monde. Et pourquoi je te partage ça ? C'est parce que c'est Pauline qui a vraiment pris le temps de me... m'envoyer une dose de bonheur et de générosité, de gentillesse, moi aussi je doute. Parce que, est-ce que c'est le bon contenu ? Est-ce que ça fait encore du sens après toutes ces années de le faire ? Est-ce que c'est bien ce que je partage ? Est-ce que, avant, j'étais bien aligné avec le voyage ? Est-ce que vraiment les contenus que je fais là aujourd'hui, c'est utile sur l'entrepreneuriat, sur finalement se créer une vie intentionnelle ? Parce que ce n'est pas que l'entrepreneuriat pour moi, l'entrepreneuriat c'est juste un des outils. pour avoir une vie qu'on crée de liberté intentionnelle, de consciente, tu vois. Et quand t'as une personne qui t'envoie ça et que tu reçois ça, tu te dis « Waouh ! » En fait, chaque contenu que je poste pas, que j'ai envie de poster, même si l'idée elle est pas finie, même si c'est pas parfait, même si c'est pas bien filmé, on sait jamais, je ne sais jamais qui va tomber dessus et quel impact ça va avoir sur les gens. Et des messages comme ça, la vérité, j'en ai reçu des centaines. Et j'ai toujours l'impression qu'on parle à quelqu'un d'autre que... que c'est pas moi qui l'ai fait, que c'est joli, mais j'ai toujours pas l'impression que c'est moi. Mais à chaque fois que je le reçois, je me dis, putain, mais fous-le toi en tête que c'est toi. Genre, continue Alex, continue. Parce que même si des fois, tu sais pas, il y a un post qui est tout pourri, qui a fait, je sais pas, 100 impressions et 2 likes, mais peut-être que dans les 2 likes, t'as peut-être changé la vie de quelqu'un en fait. Et peut-être que dans un autre qui a fait 500 000 vues, il y a que des personnes à qui ils ont juste regardé, c'était cool, ils ont rigolé, mais... Ça n'a rien fait. Tu ne sais jamais l'impact que ça peut avoir. Et tu ne sais jamais à quel point, quand tu partages quelque chose qui vient du cœur, ou que tu dis que ça va être utile, ou que ça va être inspirant, ou que ça t'a fait cliquer, tu ne sais jamais l'impact que ça peut avoir. Et c'est pour ça que je fais ce podcast aussi, où je le fais vraiment à cœur ouvert, en toute transparence. Je me fais mon auto-analyse, mon auto-psychanalyse toutes les semaines. Mais je me dis aussi que ça peut être utile à des gens. Et si toi, en fait, tu flittes de créer du contenu, de t'exposer sur les réseaux ou de partager des choses, répète-toi cette phrase. Tu ne sais jamais l'impact que tes mots, ta vidéo ou ton reels ou ton carousel peut avoir sur quelqu'un. Donc ne te prive jamais de le faire parce que tu prives peut-être quelqu'un de pouvoir changer de vie, de pouvoir cliquer, de pouvoir passer au niveau supérieur. Maintenant, je vais te parler de mon pote Rémi. Mon pote Rémi Brun, je sais qui je suis dans son domaine dans le Luberon. Et Rémi, c'est quelqu'un dont j'ai eu la chance, qui était venu à mon immersion, mais que finalement je ne connaissais pas. C'était une des personnes qui a été invitée par un autre participant. Et j'ai eu la chance de le rencontrer un peu rapidement, parce que malheureusement il a eu telle urgence professionnelle qu'il a dû partir assez vite et qu'il n'a pas pu faire toute l'immersion. Et c'est aussi pour ça que je suis venu le voir, parce que je me suis dit « Waouh, c'est vraiment un gars génial » et on n'a pas eu le temps de plus creuser que ça. Et c'est pour ça qu'il disait aussi « Eh les gars, prochaine immersion, venez on le fait chez moi dans mon domaine dans le Luberon. Et Rémi Brun, c'est le genre de mec, tu sais, humble, très humble, mais qui réussit, et c'est pour ça que je suis d'autant plus admiratif, par sa force de travail et par le fait qu'il veut réussir. Et que Rémi, c'était le genre de mec qui est fils d'agriculteur, qui est parti de rien, ses parents sont agriculteurs dans le Luberon, donc autant te dire, famille modeste, ça fait son petit truc, mais on n'est pas en mode entrepreneur, on va conquérir le monde, tu vois. Et par rapport à son histoire personnelle, lui n'a pas voulu ou pu reprendre le domaine familial d'agriculture et d'exploitation paysanne. Et du coup, il a commencé à se lancer dans l'immobilier. Et aujourd'hui, il a 28 ans et il a un patrimoine immobilier de plusieurs millions. Et c'est que grâce à une seule chose, c'est son huile de coude. C'est-à-dire que le gars, il s'est vraiment donné. Et en fait, à chaque fois, il a toujours essayé d'aller un peu plus haut. Et évidemment, tu te dis, il a un patrimoine à 28 ans. Il a commencé à 19 ans. Et pour te dire le gars à quel point il est gentil, il est humble, et c'est vraiment le gars... Tu sens le gars, tu dis toujours les gars qui ont réussi, surtout dans l'immobilier, ils essaient de te carotter, ils essaient de te la mettre à l'envers, ils essaient de gratter des trucs, des machins. J'entends des stories dans l'immobilier, t'imagines même pas. Et lui... Il respire la gentillesse, j'entends que du bien sur lui, et quand tu le rends compte, tu comprends qu'en fait c'est ça qu'il veut. Et que tu t'entends que même, tu vois, par rapport à... parce qu'il y a beaucoup de management, parce qu'il a plusieurs sociétés, le mec a réussi à faire des sociétés qui les marchandent bien, donc c'est-à-dire que lui il va construire des bâtiments, il va les revendre, ou il va les rénover, donc il va avoir différentes sociétés, ou il va avoir toute la chaîne de production. Il a aussi une agence immobilière, parce que tant qu'à faire, vu qu'il construit des biens, autant que les gens qui vendent les biens, ce soit des gens dans... ces sociétés et en fait tu internalises tous les frais en fait plutôt que finalement filer une part du gâteau à d'autres prestataires autant que la part du gâteau tu la files à l'intérieur de ton école de pâtisserie tu vois ce que je veux dire donc à un moment donné il a créé tout ça donc il a beaucoup de management parce qu'il a beaucoup de personnes quand même sous dans toutes ces sociétés et quand il parle des employés c'est vraiment des gens qu'il a envie d'aider qu'il a envie de mettre bien et c'est vraiment le gars qui même limite galère avec le management parce qu'il est trop gentil et des fois bah tu sais Comme tout management, quand tu as beaucoup de gens, il y a des gens que tu devrais te séparer parce que ce ne sont pas les bons éléments ou ça ne matche pas. Et tu sens que lui, il n'y arrive pas trop toujours parce que c'est le bon gars. Et ça donne foi, je trouve, en la réussite et en l'entrepreneuriat. Parce que des fois, on se dit que les mecs qui ont les dents, qui rayent le parquet, qui te nient, qui y arrivent. Eh bien non, j'ai des exemples régulièrement de gens qui ont des belles valeurs, qui se donnent à fond et qui réussissent. comme Rémi, et ça, ça m'inspire vraiment parce que, encore une fois, je suis arrivé sur son petit domaine, donc c'est un domaine qui est encore en rénovation, pareil, il te le fait visiter, il y a encore plein de trucs qui ne vont pas, parce qu'en fait, il a racheté une grande bâtisse agricole, et il est en train de la rénover, il va en faire un super domaine, en plus, ça s'appelle le Domaine Paradis. J'ai dit, c'est toi qui as donné ce nom-là ? Il m'a fait, non, ça s'appelle déjà comme ça. Domaine Paradis. Tu tapes sur Google Domaine Paradis, à Régnan, dans le Luberon, c'est chez lui, ça s'appelle comme ça. Et en fait ce qui est fou c'est que quand il t'en parle, ça va devenir un lieu super pour les immersions. Il a trop envie de faire ça. Il va faire plein de chambres avec des salles de réception. En plus lui, ses sociétés d'immobilier, c'est surtout de l'immobilier insolite. Donc il crée des maisons sur l'eau que tu poses sur des lacs, un peu comme en Hollande, ils en font beaucoup. Mais il faut aussi des tiny houses, il faut aussi des maisons dans les arbres. Il fait tous ces trucs là, donc moi finalement ça me parle. Moi, tu me fous un appart, Airbnb, je m'en rends rien à foutre. Tu me fous une petite tiny house dans un champ devant la forêt, devant un coucher de soleil. Bon, voilà, je suis demi-molle, tu vois ce que je veux dire ? Donc franchement, il m'a fait vibrer et j'ai adoré la vision qu'il avait de son domaine, qui est encore en devenir, mais qui est déjà super quali. En plus, il y a une partie bien-être. Il va y avoir plus, il a fait une piscine de ouf. Il va y avoir bain froid, jacuzzi, bain nordique, etc. Donc c'est vraiment très cool. J'aime ces gens qui voient grand. Moi j'ai du mal à voir grand et à voir loin. En faisant ces derniers jours des recherches sur le TDAH, où j'ai un peu plus creusé, parce que je commence à m'y intéresser sérieusement, puisque je vois quand même que bon, ça va pas passer cette merde vu que c'est génétique et que c'est un fonctionnement du cerveau. Tu peux pas vraiment faire grand chose, donc je me dis je vais m'intéresser. Et les TDAH ont un problème avec la gestion de la compréhension du temps. Moi sur une timeline de 6 mois de choses, quand j'y pense, tout est au même niveau. Tout est maintenant tout de suite. Donc c'est pour ça que je déteste trop me projeter parce qu'en fait ça me fait mal au cerveau. Mon cerveau a du mal à gérer la projection de la profondeur du temps. Quand tu vois une timeline, tu vois ta première chose qui est là, après il y en a un peu plus loin, puis un peu plus loin, puis... J'ai du mal. Tout est au même niveau. Donc ça me fait mal à la tête. Et du coup quand je rencontre des gens qui sont visionnaires, qui se projettent dans le temps, qui me disent « là il y aura ça, là il y aura ça, puis après il y aura ça... » Je suis... Wow ! Je suis impressionné. Et du coup c'est... Voilà, je voulais vraiment parler de ce parcours parce que tu peux être personne, être fils d'agriculteur et juste remonter les manches et surtout à chaque fois prendre un risque supplémentaire et tenter un nouveau truc et aller vite. Lui, il va putain de vite. Le man, il fait « Ah, regarde ici, j'ai resté ce bastiment, je vais faire comme un centre commercial pour les artisans. » Tu passes sur le bord de la route, le mec, il te dit ça. « Quoi ? Comment ? » « Ouais, ouais, puis là, regarde, on a creusé un lac artificiel, là, et truc. » « D'accord. » « Bah voilà, bah super. » Et puis moi, tu dis, toi, t'as fait quoi ? Bah moi, j'ai lancé une petite communauté, donc je suis plutôt fier, mais voilà. Et en fait, c'est ça que j'adore. Faut pas se comparer. Chacun son parcours, chacun ses envies, parce que moi, l'immobilier, j'y arriverais pas, ça me saoule. Y a trop de détails, de minutie, de trucs, de machins, de bordel. Ça me ferait pas assez libre. Mais ça m'inspire quand je suis là. Et dernière petite chose qui m'a inspiré, que j'ai trouvé génial, c'est que quand on a été accueillis, il était pas là, donc c'était son petit frère qui nous accueille. Un amour, tu vois. Tu vois que dans la famille, ils ont des belles ondes, les gars, tu vois. Il nous accueille, tac, gentil, tout ça, et je dis mais tu vas bosser avec ton frère ? Il fait ouais, moi j'ai déjà un bien et tout. Je me dis, t'as déjà un bien, mais je suis à quel âge ? Je suis à 18 ans. Je me dis, mais t'as fait comment ? Après étudiant, je fais un prêt étudiant, puis t'as un petit apport de mes parents que je rembourserai, puis là j'ai tout retapé, truc et machin, et il est en face de la gare à tel endroit, c'est stratégique. Je me dis, putain les gars, ils sont dans la stratosphère les mecs. Mais tu sens que voilà, ça te démarre tout de suite, c'est super smart, ça prend des risques, ça se remonte les manches, ça bosse, au lieu d'être devant la PlayStation et fumer des pétards, ça fait des choses qui construisent leur avenir. qui a 28 ans les mecs, potentiellement ils sont multimillionnaires tu vois et en patrimoine et c'est ça qui est fou donc sous-estime jamais ce que tu peux faire en fait et surtout ne sous-estime jamais la capacité que tu as à faire des choses, prends juste des risques, donne-toi les moyens crois en toi et et tous les jours je rencontre des gens qui qui ont un parcours inspirant et qui montrent que c'est possible donc ne te mets pas de limites et vois grand maintenant je vais te lire le texte que m'a envoyé ma pote Sandra Chollet c'est ma pote que j'ai rencontré à Medellin et qui est d'ailleurs aussi qui est venue habiter à Lisbonne et là elle se barre bien se dorer la pilule en Thaïlande qui est ma pote Archie d'intérieur qui se spécialise sur la gestion de projet aussi tout ce qui va être sociaux et humanitaires, je l'adore cette nana et elle m'a envoyé un texte très très beau sur justement l'isolement et je pense qu'en ce moment c'est aussi d'ailleurs pour ça à la base que moi j'avais vraiment créé le cercle des solopreneurs c'est parce que je voyais trop qu'on quittait le salariat parce qu'on en avait marre de tout ça, des gens, des collègues, des règles et qu'en fait pour avoir notre liberté, mais que notre liberté, on se retrouvait vite tout seul devant notre ordi, sans personne avec qui connecter, qui nous comprenait. Et je trouvais ça super intéressant, ce texte qui m'a particulièrement touché, que je vais te lire, ça vient du livre « De la volonté d'être soi à la réalité d'être » . Et je n'ai pas la fin du titre, parce qu'elle m'a envoyé ses scripts de Kindle, mais je lui demanderai et je mettrai la ref dans la description du podcast. « La principale cause de notre affaiblissement est l'isolement qui apparaît comme la... » contrepartie négative de la liberté. Jusqu'à l'ère moderne, le sujet humain avait une identité plus collective qu'individuelle. Il se définissait par son appartenance à un groupe, une famille, une communauté, une classe. Le collectif prévalait sur l'individu qui ne se retrouvait pas que limité et tenu, comme on se plaît à le croire, mais également nourri et porté par ses liens. Le sociologue Norbert Elias montre ainsi comment l'identité du « je » a a progressivement pris le pas dans les sociétés dites développées sur l'identité du « nous » . L'homme moderne, émancipé du collectif, se retrouve plus libre certes, mais aussi tragiquement plus seul. En tant que psychologue, je suis témoin du sentiment de solitude profonde qui affecte une partie grandissante de la population à tous les âges, dans tous les milieux, au point de devenir à mon sens une véritable urgence sanitaire. Même chez des gens pourtant apparemment... bien entouré, ce sentiment de solitude gagne du terrain. L'écart se creuse entre des téléphones et des profils remplis de contacts et des vies vides de véritables relations profondes, de vraies vides de véritables amitiés. J'aimerais retrouver un sentiment d'appartenance. Je me sens atomisé, me disait un jour une femme lors d'une consultation. Je remarque également combien les gens souffrent de la charge qui repose sur leurs épaules aujourd'hui. Je dois tout porter sur tous les fronts, c'est éreintant. Tout porter sur tous les fronts, voilà ce qui incombe à chaque adulte en âge de travailler. Nous devons travailler 35 heures par semaine minimum, nous occuper de nos enfants, de nos parents vieillissants, de nos amis, des courses, du ménage, des papiers administratifs, des rendez-vous chez le médecin, les réparations à la maison. Nous ne réalisons pas combien cette situation est inédite dans l'histoire humaine. Les tâches étaient auparavant... répartis et assumés de façon beaucoup plus collective au sein des foyers et où vivaient plusieurs générations à l'échelle d'un village, d'une communauté religieuse ou encore d'une coopération. Nous nous sommes affaiblis parce que coupés les uns des autres en raison de notre mode de vie individualiste et nos relations trop superficielles. Comme le dit le dicton, l'union fait la force, a contrario. La désunion, la déliaison, l'isolement font la faiblesse. Je pense que ça va te parler parce que, clairement, je suis le premier à dire « je suis libre » . Mais en fait, ce libre dans ma tête, et c'est fou, c'est comme un électron libre, comme si un électron qui se désolidarisait de l'atome, tu sais, qui va se balader, et que derrière, ça crée forcément un isolement. Un isolement qui, je pense, est nécessaire. et sain vraiment pour l'épanouissement, pour faire grandir ton état d'esprit, l'ouvrir, apprendre des nouvelles choses, comprendre le monde, te comprendre toi, comprendre qui tu es, qui tu n'es pas, te challenger, repousser. Il y a un moment, c'est important aussi de revenir dans un atome que tu auras peut-être choisi, qui n'est peut-être pas celui du début. Mais avant, on avait vraiment ce... Tu vois, tout était fait en famille. Même les femmes, quand elles accouchaient, elles n'avaient pas à tout gérer juste avec une nounou. En fait, tu avais les tantes, tu avais la grand-mère, tu avais ceux-ci, tu avais les sœurs, tu avais les petites filles. Enfin, tu avais tout le monde qui venait aider, en fait. Et tout le monde était en collectif. Et finalement, tu te sentais porté par un collectif. Et c'est ça, en fait. Tu vois, quand tu fais du sport, c'est beaucoup plus facile à la salle que chez toi, parce que tu vois tout le monde qui en fait, du coup, même si tu ne les connais pas. Ça t'emmène. Imagine quand tu les connais, que c'est des gens qui t'aiment et qui t'aident. Forcément, c'est beaucoup plus simple. Et je pense que dans nos lives, on confond liberté vraiment avec, tu sais, avec isolement aussi. C'est vraiment ce que tu es. Genre, je me mets à part, je me déso... Et se détacher d'un groupe qui ne nous convient plus, d'un mode de vie, de gens, de famille... Il ne faut pas se dire, je me déracine, je me détache, mais je reste seul. Il faut juste... Pas oublier que dans cette période de transition, c'est bien de se challenger seul, il faut aller reconnecter à un autre atome. Et c'est vraiment pour ça que j'ai créé le cercle des solopreneurs, pour pouvoir se recréer un atome où tout le monde, tout à coup, on n'est plus seul, on peut se connecter, et que même si ce n'est pas dans le foyer familial ou directement dans ta maison ou dans ton cocon de la ville où tu es, d'ailleurs, c'est aussi le but, si tu as des personnes du cercle à côté de chez toi, mais c'est vraiment, garde ça en tête. Si tu sens que t'es seul, c'est toi en fait qui t'es isolé. C'est parce que c'est toi qui t'es peut-être construit en contre de quelqu'un, d'une famille, de normes, de dogmes, d'un job, et que tu dis « moi je veux plus de ça » . Bah si tu veux plus de ça, t'es parti à l'opposé de quelque chose, bah va rejoindre quelque chose d'autre en fait. Fais l'effort de reconnecter avec ce qui est toi, avec ces nouvelles valeurs, donc à des nouvelles personnes, donc à des nouveaux groupes. Parce que tu verras que, oui la galvanisation de « haha, je suis libre, je fais ce que je veux » , j'adore, j'ai adoré pendant des années. Mais à un moment donné, tu as envie d'appartenir à quelque chose, à un collectif. Et même si c'est un collectif qui est distanciel à toi, de pouvoir le rejoindre de temps en temps, de pouvoir connecter en visio, de pouvoir sentir que tu fais partie d'une team. Parce qu'en fait, il y a vraiment cette phrase en anglais qui dit « I want to belong » . Je veux sentir que je fais partie de quelque chose, qu'on n'est pas seul, qu'on a envie d'appartenir. Tu sais, à une équipe de sport même. Bah ouais moi je fais du crossfit alors que le mec il est comptable mais il a envie de se dire qu'il fait partie de la communauté des gens du crossfit tu vois ou inversement je fais des ironman, je fais des trucs, je fais des machins, je fais de la danse et ça ça fait du bien ça fait du bien et si tu te sens seul dis toi que c'est ta faute c'est horrible à dire mais il y a un moment donné si c'est ta faute l'avantage c'est que c'est toi qui as le contrôle si tu dis que tu es une victime que tout le monde a rejeté ben en fait tu n'as pas le contrôle tu vas rester seul et que ça va être la merde Et ce qui est beau dans le fait de dire que tu te sens seul, c'est juste que très bien, tu as peut-être fait le nettoyage dans ta vie qu'il fallait, mais va faire la récolte ou va ressemer les graines qu'il faut pour faire ta récolte de choses qui vont vraiment te nourrir et de personnes avec qui vraiment tu vas pouvoir te réépanouir. Et ça, ça prend du temps, ça demande peut-être de changer de ville, de changer de job, de changer de cercle, de bouger, de connecter, d'aller à des événements alors que tu es timide. Mais encore une fois, formidable, tu vas grandir, tu vas t'améliorer, tu vas te sentir mieux dans ta peau, tu vas connecter. Et une fois que tu connectes, mais tu n'imagines même pas, ça n'a pas de prix. Donc vraiment, si tu te sens isolé, tu sens que tu manques d'avoir ta tribu, soit déjà tu peux venir nous rejoindre dans le cercle des solopreneurs, tu as juste à taper ça sur Google et tu viens nous rejoindre. Soit trouve aussi des gens autour de toi, dans le sport, dans ton secteur d'activité, dans ta région, connecte avec des gens. Vraiment, c'est essentiel dans le bien-être. Parce qu'en fait... J'en parlais avec un pote il n'y a pas longtemps. Quand j'étais à Medellin l'année dernière, c'était une période dure de ma vie. Pour moi, la priorité, c'est de me connecter à mes émotions, à moi, à me découvrir. Ce n'était pas tant le business. Donc, j'étais dans une tourmente. Parce que quand tu cherches, c'est dur. C'est comme quand tu es en exploration, il t'arrive des trucs, il y a des serpents, des machins. Mais putain, on rigolait. J'étais avec des potes, on rigolait. Et en fait, quand tu es entouré de gens avec qui on sait comment on bossait, il fallait qu'on bosse. Mais à côté de ça... On a les mêmes valeurs, on a les mêmes envies de rigoler, mais putain mais en fait la vie, les problèmes c'est plus des problèmes, c'est pas grave, tu as une bonne barre de rire et en fait tout recommence à zéro et c'est trop cool. Et ça, ça change tout vraiment donc ta tribu, si tu as envie que ce soit la nôtre dans le cercle des solopreneurs, t'es le bienvenu. Et sinon, vraiment, consacre du temps et de l'énergie à ça, c'est essentiel pour le bien-être sur le long terme. Et évidemment, je vais finir sur le fun fact, je ne l'ai pas dit en sommaire parce que je l'avais totalement zappé, et en parlant là comme ça, en faisant mon jour à jour, je me suis dit « Eh, j'ai pas mis de fun fact ! » Et puis de toute façon, il va falloir que je me maigne parce que j'ai un train à prendre, et que j'ai deux heures de route pour aller récupérer le train, pour monter un peu sur Paris, je continue un peu mon road trip, je vais peut-être aller en Suisse, bref, je sais pas où, mais déjà, on va essayer de ne pas louper le train, sinon ça va remettre en question le road trip. Et dans pas longtemps, eh ! C'est tellement important de toujours, entre guillemets, bien se comporter. Le monde, il est petit. Le monde, il est petit. Écoute bien. Je me dis, c'est toi. Sois fidèle à tes valeurs. Parce que tu ne sais jamais où qui va te connaître, comment tu vas arriver, comment, pourquoi. Écoute, je suis à l'anniversaire de mon pote Ulysse Lubin. On est à Saint-Maxime. On est dans la maison de famille des grands-parents de sa meuf. Incroyable. Maison magnifique, baie vitrée, dans la pinède. terrain de tennis, juste à côté d'un golf, dans la nature, des bonnes vibes, tu vois, genre pas la vieille maison, des bonnes vibes, ça se sent bien, en plus sa chérie adorable nous a accueillis, mais comme, t'es gentil, merci, merci encore Valentine, vraiment. Et il y a une des potes qui était invitée, Léa Vigier, qui est une aventurière, qui a fait une ascension il n'y a pas longtemps incroyable, qui est bipolaire, qui malgré ça montre que tout est possible, encore une fois. respect intergalactique à elle c'est vraiment une femme qui m'a beaucoup inspiré à qui j'avais pas encore pu connecter avant ce week-end et vraiment elle est géniale vraiment très inspirante et c'est pas la petite meuf qui dit moi je vais partir je suis bipolaire et je vais partir faire de l'attention et moi je vais découvrir le monde non non à côté de ça elle a monté des boîtes, des start-up elle a été directrice financière, directrice des ventes t'inquiète ça la meuf elle arrache ça va vite dans son cerveau et elle aussi j'ai adoré la rencontrer mais justement elle, quand la meuf elle arrive dans la maison elle dit mais je la connais très bien cette maison comment ça ? je comprends pas Le hasard de la vie a fait que la meuf était très pote avec la cousine de Valentine, donc la chérie de mon pote Ulysse, et qu'elle était venue plein de fois les étés pour venir kiffer avec son pote. Ils venaient dans la maison, ils sont venus télétravailler, etc. Et ils ne se sont jamais croisés avec Valentine, la chérie de mon pote Ulysse. Et je me suis dit, comment c'est possible de se retrouver dans une maison au fin fond de la Pinède, dans le sud de la France, d'être déjà venue. et qu'il y a une des propriétaires de cette personne que tu n'as jamais vue alors qu'elle venait tous les étés. Et je me dis, le monde est petit, la coïncidence est folle. Et ça te pousse vraiment à te dire... Et d'ailleurs, elle m'a fait flipper parce qu'elle m'a dit, « Tu connais bien cette maison, Alex ? Tu fais ta masterclass ici ? » Il n'y a pas une bonne connexion, mon gars. Heureusement, entre-temps, la fibre avait été mise. Entre la dernière fois où elle était venue. Mais bref, je me suis dit, les connexions. Tu ne sais jamais qui connecte avec qui, qui connaît qui. Comporte-toi bien en vrai. Sois la meilleure personne de toi-même dès que tu peux. Parce que franchement... tu vois, si elle avait été dégueulasse ou si elle avait chié, tu sais jamais bref j'ai trouvé ça assez fou la connexion et je te dis à la semaine prochaine