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Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#100: découragement

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27min |29/06/2024|

608

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Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#100: découragement

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27min |29/06/2024|

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Description

Que la paix soit sur toi, 


📖 Laisse-moi te raconter une petite histoire.


🎙️ Je n’ai pas fait un enregistrement pour ce podcast!


🎙️ Pas deux enregistrements non plus!


🎙️ Je me suis prise à trois reprises pour enregistrer cet épisode de podcast sur le découragement!!!! 


Oui, tu as bien lu, trois fois!


💫 Alors, si toi aussi tu te sens parfois découragée, sache que tu n’es pas seule, et j’ai créé cet épisode spécialement pour toi. 🌟


🎧 Le thème ? Le découragement, bien sûr !


📚 Autant te dire que ce fut un véritable exercice de persévérance que j’ai dû incarner!!!!


🤔 Tu te demandes peut-être pourquoi ce sujet m’a donné tant de fil à retordre.


📉 C’est simple : parce que le découragement, on connaît toutes ça.


😩 Que ce soit à cause de la surcharge mentale, du manque de soutien ou d’une estime de soi en berne, on en bave parfois!


🔍 Et c’est exactement ce que j’explore dans cet épisode.


🤝 On va identifier ensemble ces sources de découragement et réfléchir sur comment les surmonter.


🎯 Tu veux des pistes concrètes pour te comprendre et avancer ?


🌟 Tu es au bon endroit si Dieu le veut!


🛠️ Dans ce podcast, je te propose des stratégies pour booster ton assurance, reconnaître tes croyances limitantes et transformer le découragement en motivation.


💃 Prête à te traiter en première classe?


🎧 C’est par ici : [Lien vers l’épisode de podcast]


💬 Après avoir écouté l’épisode et lu l’article, n’hésite pas à partager tes réflexions et tes expériences dans les commentaires. Ton feedback est précieux et nous aide à créer du contenu toujours plus pertinent, utile et inspirant pour toi si Dieu le veut!


⏳ Ce n’est pas fini!


📣 J’ai ouvert 10 places pour la version Bootcamp de MapsyCampus pour débuter ce cheminement d’apaisement et de rencontre de soi à partir du lundi 1er juillet 2024, si Dieu le veut.



🚪 Les portes ferment le 2 juillet, alors ne manque pas cette occasion de transformer ta vie !


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Bien à toi,


📌 Si tu veux intégrer cette pratique puissante d’introspection à ton quotidien, découvre le journal d’introspection que j’ai créé. C’est un outil concret que j’ai mis au point pour Mapsycampus pour envoyer ton cerveau dans la bonne direction. Tu peux y accéder en exclusivité ici.


🤌🏽Rappelle-toi que tu n’es pas un problème à régler.

💖 Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence.

👣 Parfois, il suffit juste de faire un pas.


🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast pour aider d'autres femmes à se traiter en première Classe!

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla new age sectaire ésotérique je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres ce traité en première classe commence maintenant ce que tu connais madame toujours et monsieur jamais Bienvenue dans cet épisode, ce centième épisode de l'émission Se traiter en première classe. Aujourd'hui, on va parler du découragement et ironie du sort, comme on dit. Eh bien, je réenregistre ce podcast pour la troisième fois. Donc, autant dire qu'on est en plein dans le vif du sujet concernant le découragement, mais surtout, comment persévérer finalement ? Parce que quand on va comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, Quand on va répondre à cette question ensemble de pourquoi on a tendance à se décourager, bien sûr, tout ça, c'est que des hypothèses, eh bien, on va percer aussi, ce faisant, je l'espère, le secret de la persévérance. Tu vois que quand on parle, que ce soit du fait de trouver, chercher un conjoint, d'être en relation avec les autres, d'être dans l'éducation des enfants, dans un processus d'apprentissage, ou quand tu es dans une réflexion dans ta capacité à gérer les finances ou à faire de l'argent, eh bien on est toujours en train de dealer, si je peux dire ça comme ça, avec le découragement. Et dans ce podcast, on va voir comment on se positionne justement dans ces montagnes russes que constituent le Mont Blanc, l'Himalaya, les montagnes du pays que tu veux, des challenges du quotidien, des épreuves de la vie. On va commencer par analyser un petit peu ensemble d'où vient le découragement. Alors, je pense que je vais partir sur trois types d'explications, trois types d'hypothèses, encore une fois. Des facteurs qui peuvent être personnels, des facteurs qui peuvent être sociaux, et des facteurs qui peuvent être culturels. Quand je parle de la culture, je parle de la culture familiale, de la culture sociétale, etc. Une première hypothèse qu'on peut faire, c'est que qu'est-ce qui fait qu'à un moment donné, on n'éprouve du tout le découragement ? D'où peut venir le découragement ? Le découragement peut venir d'un manque de soutien ressenti, perçu, que ce soit de la part de la famille, des amis, des collègues, des sœurs, etc. Et le fait de percevoir, de se dire qu'on manque de soutien, ça peut rendre les défis, qu'ils soient personnels, religieux, professionnels, etc., plus difficiles à surmonter. Parce que ce sentiment, si je peux dire ça comme ça, parce qu'on reste des êtres humains, des femmes, le sentiment, l'impression d'être soutenue, ça impacte au niveau émotionnel et pratique, on ne va pas se mentir. Et ça aide en fait à maintenir cette motivation, à alimenter cette résilience. Donc quand tu as l'impression que tu n'as pas tout ça, ça peut participer du fait que tu te sentes découragée. Également, je pense que beaucoup de personnes, et là en l'occurrence les femmes, on peut avoir tendance... à douter de nos capacités à faire des choses et notre valeur personnelle. Et ce manque d'estime de soi, ce déséquilibre en fait de l'estime de soi, de la confiance, ça peut être accentué, exacerbé par des choses qu'on a vécues, des expériences de rejet, de discrimination, d'abandon, d'échec, des critiques. Et du coup, ça peut alimenter ce déséquilibre dans la confiance, dans l'estime de soi. Et du coup, ça peut faire que... les obstacles du quotidien, les épreuves, les challenges du quotidien vont nous sembler beaucoup plus décourageants, beaucoup plus insurmontables. Et dans la même veine, et je vous ai déjà fait un podcast sur la question, sur la question de la charge mentale, notre perception... de ce qu'on a à faire légitimement dans le quotidien, de cette charge mentale qui est aussi une charge émotionnelle, eh bien si on l'aperçoit comme quelque chose d'énorme, bien sûr, d'insurmontable toujours, qu'on a ce sentiment en fait de se sentir impuissante par rapport à toute cette charge, eh bien ça peut alimenter encore une fois cette émotion, ce mécanisme du découragement. Et puis je pense qu'il y a quelque chose qu'on a tendance à ne pas assez faire peser dans la balance, si je puis dire, c'est notre potentiel épuisement. physique, psychique, psychologique, émotionnel. Nous les femmes, on est beaucoup de personnes à être dans le multitâche, à être sur tous les fronts, à jongler avec beaucoup de casquettes, beaucoup de responsabilités. Et selon la manière dont on conçoit ce qu'on est en train de faire et comment on se sent de mener tout ça de front, si je puis dire, eh bien, ça peut creuser, ça peut créer déjà, creuser, accentuer un épuisement physique. physique, pardon, psychique, émotionnel. Et cet épuisement, ça va réduire notre capacité, légitimement, c'est le propre de l'être humain, si je peux dire ça comme ça, ça va venir en fait alimenter, ça peut venir alimenter ce découragement et nous mettre un coup de pied dans les tibias pour justement persévérer face aux défis, rester motivé. Quand on est déjà en épuisement, on est beaucoup plus enclin, autrement dit à... se décourager, à ressentir du découragement. Et puis, une autre hypothèse, c'est que la peur de l'échec, la peur du succès aussi parfois, ça peut mener à cette procrastination. Au fait de se sentir, quand on n'a pas élaboré nos peurs, pourquoi on a peur, est-ce que c'est quelque chose qu'on choisit de continuer à penser, etc. On peut avoir tendance à retarder l'action, à compromettre notre propre réussite en raison de cette anxiété qui découle de cette peur. et de l'incertitude par rapport à nos capacités, par rapport à nos possibilités, par rapport à nos ressources pour cheminer justement vers les réussites, ce qu'on a envie d'accomplir dans notre vie. Et tout ça, ça peut alimenter du découragement. Alors là, typiquement, tous ces mécanismes-là, c'est des choses qu'on voit dans les modules du Bootcamp. notamment le module confiante et harmonieuse. Ce qui peut jouer aussi, ce qui peut alimenter plus rapidement, ce qui fait qu'on va peut-être flirter plus facilement avec cette émotion, ce sentiment de découragement, c'est le fait d'avoir vécu des traumatismes dans le passé. Que ce soit des événements traumatiques de l'ordre de l'émotionnel, du physique, du psychologique, ça, ça a un impact. durable sur nos leviers, ce que j'appelle les leviers motivationnels, sur notre confiance, sur notre optimisme, et comme on n'arrive pas à mettre en place tout ça émotionnellement parlant, on va être plus encline à se tourner, ce n'est pas un choix, c'est quelque chose qu'on subit bien sûr, vers le découragement. encore pire, si je puis dire, vraiment, quand on parle de traumatisme et d'expérience, quand je vous dis ça, je vous parle de violences domestiques, d'abus, de formes de traumatisme comme ça, qui nécessitent vraiment un soutien, un espace de guérison. On fait plus que se traiter en première classe, on se traite en première classe pour guérir, avant justement que les mécanismes, dans le but surtout que les mécanismes motivationnels, les leviers motivationnels peuvent être... restauré, guéri si je puis dire, pour pouvoir justement éviter de tomber dans le découragement, parce que quand on est mené comme ça par ces traumas, qu'on a encore des choses qui ont besoin d'être guéris, on va se trouver beaucoup plus facilement découragé, parce que réellement nos ressources sont très limitées. Et puis, encore une fois, je pense que ce n'est pas propre aux femmes, mais c'est particulier chez les femmes, si je peux dire ça. C'est une chose qu'on rencontre toutes dans nos vies, plusieurs fois même, c'est le fait de cheminer, de retrouver, de trouver un équilibre. Et ça, ça peut être particulièrement difficile pour les femmes, parce que comme je vous le disais tout à l'heure, on jongle avec plusieurs casquettes, plusieurs responsabilités. Et du coup, des fois, l'incapacité, ou même j'ai envie de vous dire, pire encore, le fait de même pas avoir conscience que c'est un processus comme ça qui s'alimente constamment, le fait de trouver et de chérir cet équilibre-là, au milieu de toutes nos casquettes qu'on a apportées dans le quotidien, ça peut mener à un épuisement, encore une fois. Et quand on est en statut, en situation d'épuisement, on va être beaucoup plus encline à éprouver cette émotion du découragement, que ce soit dans la... dans la sphère, encore une fois, religieuse, personnelle, professionnelle, sociétale, etc. Et puis, justement, pour faire la transition, si je cible un petit peu plus l'analyse des facteurs du découragement, eh bien, il y a des facteurs aussi que je pourrais dire qui sont davantage sociaux. C'est-à-dire que les attentes, les stéréotypes, sont imposées, qui sont véhiculées par la société, parce que des fois, c'est des choses qui sont véhiculées, mais qu'on récupère et qu'on s'impose à nous-mêmes sans que ce soit forcément forcé, si je peux dire ça comme ça. Dans tous les cas, ça peut être hyper pesant. C'est clair que nous, les femmes, on est attendues, on s'attend nous-mêmes, et on attend encore des autres, malheureusement, de remplir plusieurs rôles simultanément, de manière parfaite. On attend de nous d'être à 100% partout. Et je prêche souvent plutôt le 30, 20, 50, voilà, une répartition en fait des ressources qui sont conscientes, c'est ce qu'on travaille notamment dans le module épanoui et accompli du Bootcamp MaPsycho en plus, pour pouvoir justement combattre. enrayer ces attentes qui sont irréalistes, qu'elles proviennent de... De toute façon, parce que souvent, on met un peu la casquette, on fait un peu la faute sur l'autre, mais souvent, les choses, et ça, retiens bien ce que je vais dire là, souvent, ce qui... Comment dirais-je ? Ce qu'on se sent imposé par l'autre n'est imposé parce que ça résonne. Il y a une partie de nous qui adhère à ça, d'accord ? Ces attentes irréalistes, elles peuvent mener, qu'elles viennent des autres, de toi, que tu es fini par adhérer, etc. elle mène à un sentiment comme ça d'échec, d'incomplétude, de non-épanouissement, et forcément, in fine, tu vas te trouver fort probablement dans cette émotion du découragement. Et puis il faut se dire aussi qu'on peut appréhender les reproches, les critiques, les réactions en conséquence de ce qu'on accomplit ou pas, et de ne pas se sentir forcément... pas forcément les ressources, la capacité d'encaisser ça. Du coup, il y a de l'autosabotage qui se met en place pour éviter justement ce qu'on pense, qu'on projette, qu'on ne pourra pas encaisser. Et souvent, quand je dis encaisser, je parle de le supporter émotionnellement parlant. Parce qu'en fait, quand on est face à des événements, des situations, etc., ben... les faits sont là, mais souvent ce qu'on appréhende, c'est notre capacité à supporter la vague émotionnelle qui va arriver. Donc parfois, on se décourage face à une situation, parce qu'on se dit, si je me lance là-dedans, ça risque d'être, je pense que les trois quarts du temps c'est hyper inconscient, mais on se dit ça risque d'être tellement dur. je suis découragée d'avance, je préfère me désengager. Et là, on pourra encore parler de procrastination, etc. Il y a un point aussi que je voulais partager avec vous, je pense qu'il n'est peut-être pas assez abordé, c'est qu'il est plus facile de se décourager quand on manque de modèles de réussite qui fassent écho. C'est là où je voulais apporter la petite touche plus précise. un modèle de réussite féminin, certes, mais surtout qui fasse écho à nos ambitions, nos valeurs et nos principes. Parce qu'en 2024, quand même, alhamdoulilah, je remercie beaucoup de femmes qui réussissent, mais ce n'est pas forcément des modèles avec qui ça matche. On les voit réussir souvent dans le domaine du mondain, le professionnel, etc. Mais est-ce que des fois, on s'identifie à elles avec un S d'un point de vue ? des valeurs et des principes, pas toujours, même peu, je pense. Et du coup, le fait d'avoir peu de modèles féminins comme ça, de réussite, qui sont en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, ça peut être un petit peu démoralisant. Je vois en tant que vieille psy, je suis souvent contactée par des étudiantes en psychologie qui me disent, voilà, est-ce que c'est possible ? Alors souvent, c'est des étudiantes qui portent le voile, par exemple. Elle me dit Waouh, mais comment vous avez fait ? Est-ce que c'est vraiment possible de travailler avec son voile quand on est psychologue ? Est-ce qu'on peut vraiment ouvrir son cabinet ? On voit que vraiment, elles sont dans cette recherche de modèles. Je ne suis pas en train de dire que je suis un modèle, je vous donne juste un exemple. Mais en tout cas, de projections qui leur permettent de se projeter avec un modèle féminin qui... où elles se sentent en accord avec les valeurs, les principes et les ambitions. Et ce n'est pas forcément des choses qui sont promeues par la culture mainstream, la culture dominante. Et du coup, quand on n'a pas l'opportunité de connecter avec ces modèles-là, ça peut être démoralisant, on peut se décourager plus facilement. Et puis le dernier, non c'est pas le dernier, mais un autre point qui me vient, c'est que quand on a eu un vécu, et qui dit vécu, un besoin de digérer certaines expériences, et que ça n'a pas été fait, ça peut être décourageant, ça peut mener à un sentiment d'injustice, de frustration, si on ne prend pas le temps de digérer. Autrement dit... quand on a vécu comme ça des épreuves, et qu'il en a découlé un sentiment d'injustice, des sentiments, surtout ceux, je pense, ceux qui sont amenés plus facilement vers le découragement, mais qui sont liés à des problématiques d'injustice, de frustration, etc. Et si on ne prend pas le temps de guérir, de soigner ça, je pense qu'on est beaucoup plus en cline à se décourager. Ça fait écho à un point dont je vous parlais tout à l'heure. Tout ça... tout ça, ce qu'il faut se dire en fait, et c'est un peu la deuxième partie de ce podcast, d'ailleurs je discutais avec une femme que j'accompagne en individuel tout à l'heure, elle me dit, Émilie j'étais en voiture et j'étais en train d'écouter tes derniers podcasts, elle me dit, mais en fait ce n'est pas des podcasts, c'est des cours que tu nous fais. Je lui dis, oui c'est vrai. Je me suis fait cette réflexion-là. Vous me direz si vous avez déjà en commentaire, si c'est une réflexion que vous vous êtes déjà faite, et si c'est quelque chose que vous appréciez, ou si vous préféreriez avoir... un autre format, si je peux dire ça comme ça, en podcast. Tout ce que je voulais vous dire aussi, c'est que, d'où vient, en fait, ce que je voulais analyser en deuxième partie de ce podcast avec vous, pour pouvoir justement comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, pour mieux désamorcer ça, c'est de se dire quoi ? C'est que, souvent, quand on est dans cette émotion, dans ce vécu du découragement, eh bien, derrière, il y a quoi ? Il y a des croyances limitantes. C'est un peu, les croyances limitantes, c'est celles que je vous ai partagées un peu au début, parce que ça en est. Je ne trouverai jamais de mari, je dois toujours tout faire moi-même, mes enfants ne m'écouteraient jamais, je serai toujours en galère au niveau de l'apprentissage, je ne pourrai jamais m'expatrier. Ce sont des croyances limitantes. Si vous êtes nouvelle dans la team, je vais vous donner un petit peu une définition très courte des croyances limitantes. On va dire que les croyances limitantes, c'est des opinions, c'est même des convictions. sont plus ou moins conscientes et qui sont profondément enracinées. Et quand on a des croyances limitantes, c'est comme si ce sont des programmes sur lesquels on va se caler, plus ou moins consciemment, pour mettre en place des comportements. Et quand on n'a pas eu l'opportunité de digérer correctement certains événements, son éducation, sa vie jusque là où tu en es actuellement, ça peut découler, il y en a pour tout le monde, même pour moi, entre guillemets, qui suis une spécialiste des croyances limitantes, bien sûr que j'en ai aussi, mais je pense que l'important, c'est d'avoir une posture d'humilité par rapport à ça, on est humaine, on est humain, et après de pouvoir... développer une autonomie dans l'identification et l'enrayement et l'affirmation de soi interne de ce qu'on choisit vraiment de croire, si je puis dire. Donc, ce que je voulais vous expliquer ici, c'est que... Et ces croyances limitantes, donc ces opinions, ces convictions fortes qu'on a héritées de la famille, l'éducation, la société, etc., c'est profondément enraciné en nous. C'est comme des programmes internes, j'en ai parlé plein de fois dans les podcasts. Et souvent, chez les femmes, il y a des croyances limitantes qui participent largement, donc des programmes comme ça, des disquettes, je vous en ai parlé aussi dans un autre podcast, qui participent du découragement, du genre je ne suis pas assez compétente Je dois être parfaite pour être reconnue, aimée, respectée et ne pas blesser les autres. Je ne mérite pas de bien. Je ne veux pas être une femme bien et avoir une vie de famille remplie. Être une apprenante, se limiter en fait soi-même dans ce qu'on... Si et ça, je ne peux pas tout avoir, même si on ne peut pas tout avoir, mais vous avez compris l'idée. Le fait de croire que les autres sont meilleurs que toi. Le fait de penser que tu dois faire plaisir à tout le monde pour prouver ta valeur, pour légitimer ton existence. Le fait de penser et même d'adhérer, c'est quelque chose que j'entends souvent, je dois faire tout moi-même pour éviter de demander de l'aide. Toutes ces choses, d'ailleurs, quand tu penses à ça, c'est fort probable que tu vas te surcharger de travail et que tu vas vite t'épuiser et qu'on va revenir à épuisement, découragement plus fréquent. Le fait de penser aussi que tu n'as pas assez de temps, parce que c'est le... Le vécu du temps, ça reste une perception du temps manqué qui empêche de prendre après, quand on a cette perception de j'ai jamais assez de temps et qu'on le répète tout le temps, forcément on va se décourager déjà, et puis on va être moins encline à structurer son temps, avoir une approche comme ça, à se réapproprier son temps. Et puis c'est clair que quand on a ces idées de c'est trop tard pour changer quand on pense que c'est ça et qu'on est trop vieille pour entreprendre des choses, pour apprendre le Coran par exemple, ou changer de carrière professionnelle, ou se remarier, cette croyance, elle limite la vision des possibles et elle nous empêche de nous saisir de nouvelles opportunités. Et là, on reste coincé, encore une fois, dans des situations qui ne nous satisfont pas et on se décourage à l'idée de... de tourner une page, si je peux dire ça comme ça. Il y a d'autres croyances aussi comme ça qui viennent du genre, si j'échoue, si je me loupe, ça va prouver que je suis la pire des incapables, parce qu'encore une fois, il y a une pire part de soi qui adhère à ça. Quand il y a une part de toi-même qui pense que tu es une incapable, tu vas venir appréhender que ça risque d'être confirmé par l'extérieur, ça risque de mettre en danger, etc. Et puis il y a un petit truc aussi, il y en a une aussi dont je voulais vous parler brièvement, parce que réellement... D'ailleurs, si je suis sincère avec vous, j'avais développé beaucoup plus les croyances limitantes dans le deuxième enregistrement du podcast que j'avais fait. Mais je me suis dit que c'est peut-être quelque chose que je pourrais creuser de par ailleurs. Je vous développerai ça plus tôt dans l'article du blog. Vous pouvez retrouver l'article correspondant de ce podcast sur le blog mapsienlinechezmoi.fr. Donc mapsienlinechezmoi.fr slash blog. Donc là, peut-être je vais... développer un petit peu plus sur ces croyances limitantes qui peuvent alimenter le découragement. Mais dans le podcast, je voulais vous faire comprendre justement ce que... Qu'est-ce qui participe du découragement ? C'est ce qu'on se dit, en fait. Et les croyances limitantes sont des convictions comme ça qui tournent en fond, si je peux dire ça comme ça, et qui impulsent justement, qui participent de ce découragement-là. Et là, celui que je voulais pointer aussi... Pour la fin de ce podcast, c'est que parfois, en fait, on a tendance à se dire je n'ai pas assez de confiance et d'estime de moi pour justement me développer, développer des opportunités, apprendre, me marier. J'attends d'avoir plus, d'être plus comme si, d'être plus confiante, d'être plus pieuse. Et en fait, c'est cette disposition où on attend un déclic. un idéal, encore une fois, et ça, des fois, il arrive qu'il y ait un déclic. J'espère que le podcast sera un déclic, mais parfois, en fait, on se met ça comme une condition sine qua non, et ça nous met dans un découragement. Ah ouais, non, en fait, là, non, je suis pas assez... Je suis pas assez... Mon estime de perso est trop déséquilibrée, j'ai pas assez confiance, etc. Et du coup, pouf, on se met un coup dans les tibias, on se sent découragé, et ça retarde... Et ça renforce, en fait, ce sentiment de stagnation et de découragement. Ça contribue à ce cycle infernal, si je peux dire ça comme ça, et ça restreint notre capacité à reconnaître notre valeur, à vraiment ressentir. nos accomplissements, parce que des fois, on les conçoit rationnellement, mais on a du mal à les ressentir. Et ça finit par des cycles de remise en cause, alors que remettre en question, justement, être plus autonome par rapport à ses croyances limitantes, par rapport à son mental, par rapport à sa gestion émotionnelle, c'est vraiment quelque chose, typiquement, qu'on travaille au sein de ma psycampus. Si tu veux rejoindre, d'ailleurs, la liste d'attente pour les portes qui ouvrent là, au 1er juillet et qui se referme au 2 juillet, parce que je ne vais prendre que 10 femmes, donc 2024, tu peux te rendre sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Et puis si tu as loupé, si je peux dire ça comme ça, cette brève ouverture de porte, tu peux quand même te saisir du journal d'introspection que tu peux retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. C'est un outil de Mapsy Campus qu'à la base j'avais créé uniquement pour les bootcampeuses, mais j'avais décidé de le rendre accessible pour d'autres personnes. Donc tu peux le retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. Parce que quand... Tu as des outils comme ça pour te remettre en question, pour envoyer ton cerveau dans la bonne direction d'une manière qui te profite et que tu sais comment justement identifier, transformer ces croyances limitantes en pétrole, en essence, j'allais dire, en énergie, où tu vas pouvoir cheminer de manière plus constructive. Forcément, ça aide à surmonter le découragement et ça aide à être autonome. par rapport à la mise en œuvre de ce dont je vous parlais tout à l'heure, des leviers motivationnels, des leviers de persévérance, et pour sûr que ce sont des leviers qui permettent aux femmes, qui nous permettent de réaliser notre plein potentiel. Tant bien même, parfois, on expérimente, on goûte au découragement, et c'est normal, c'est humain, mais au moins, on sait l'identifier, et on est en mode, ok, là, je me sens découragée, qu'est-ce qui se passe ? De quoi j'ai besoin pour avancer ? j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast. Si tu as envie de me dire en commentaire, est-ce que ça t'a parlé ? Est-ce qu'il y a certaines croyances limitantes que tu as remarqué que tu peux avoir qui reviennent un petit peu souvent et qui profitent de ton découragement ? Enfin, profitent, pas dans le bon sens du terme, vous avez compris. Je serais ravie de le savoir. Si tu as envie de mettre un commentaire, une review, une note sur ta plateforme d'écoute, je serais également ravie. Ça serait très encourageant pour toute la team Mapsy en ligne chez moi. Encore merci de votre écoute, de votre attention, de votre soutien. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. Je vous ai présenté le podcast Se traiter en première classe votre dose hebdomadaire pour justement vous construire le mindset, l'état d'esprit d'une femme qui est épanouie et qui est en phase avec ses ambitions, ses valeurs et ses principes. Chaque semaine, je déboule autant que faire se peut pour vous donner des explications concrètes, impactantes, des conseils pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, de tes ambitions et non bloqué à cause de tes peurs, de tes croyances limitantes et de tes blocages. Pensez bien que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure. et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercle, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur ma psycampus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Commencez ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsyenlunichemoi.fr slash mapsycampus, M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S. Ensemble, sur Mapsy Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur Mapsy Campus !

Description

Que la paix soit sur toi, 


📖 Laisse-moi te raconter une petite histoire.


🎙️ Je n’ai pas fait un enregistrement pour ce podcast!


🎙️ Pas deux enregistrements non plus!


🎙️ Je me suis prise à trois reprises pour enregistrer cet épisode de podcast sur le découragement!!!! 


Oui, tu as bien lu, trois fois!


💫 Alors, si toi aussi tu te sens parfois découragée, sache que tu n’es pas seule, et j’ai créé cet épisode spécialement pour toi. 🌟


🎧 Le thème ? Le découragement, bien sûr !


📚 Autant te dire que ce fut un véritable exercice de persévérance que j’ai dû incarner!!!!


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla new age sectaire ésotérique je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres ce traité en première classe commence maintenant ce que tu connais madame toujours et monsieur jamais Bienvenue dans cet épisode, ce centième épisode de l'émission Se traiter en première classe. Aujourd'hui, on va parler du découragement et ironie du sort, comme on dit. Eh bien, je réenregistre ce podcast pour la troisième fois. Donc, autant dire qu'on est en plein dans le vif du sujet concernant le découragement, mais surtout, comment persévérer finalement ? Parce que quand on va comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, Quand on va répondre à cette question ensemble de pourquoi on a tendance à se décourager, bien sûr, tout ça, c'est que des hypothèses, eh bien, on va percer aussi, ce faisant, je l'espère, le secret de la persévérance. Tu vois que quand on parle, que ce soit du fait de trouver, chercher un conjoint, d'être en relation avec les autres, d'être dans l'éducation des enfants, dans un processus d'apprentissage, ou quand tu es dans une réflexion dans ta capacité à gérer les finances ou à faire de l'argent, eh bien on est toujours en train de dealer, si je peux dire ça comme ça, avec le découragement. Et dans ce podcast, on va voir comment on se positionne justement dans ces montagnes russes que constituent le Mont Blanc, l'Himalaya, les montagnes du pays que tu veux, des challenges du quotidien, des épreuves de la vie. On va commencer par analyser un petit peu ensemble d'où vient le découragement. Alors, je pense que je vais partir sur trois types d'explications, trois types d'hypothèses, encore une fois. Des facteurs qui peuvent être personnels, des facteurs qui peuvent être sociaux, et des facteurs qui peuvent être culturels. Quand je parle de la culture, je parle de la culture familiale, de la culture sociétale, etc. Une première hypothèse qu'on peut faire, c'est que qu'est-ce qui fait qu'à un moment donné, on n'éprouve du tout le découragement ? D'où peut venir le découragement ? Le découragement peut venir d'un manque de soutien ressenti, perçu, que ce soit de la part de la famille, des amis, des collègues, des sœurs, etc. Et le fait de percevoir, de se dire qu'on manque de soutien, ça peut rendre les défis, qu'ils soient personnels, religieux, professionnels, etc., plus difficiles à surmonter. Parce que ce sentiment, si je peux dire ça comme ça, parce qu'on reste des êtres humains, des femmes, le sentiment, l'impression d'être soutenue, ça impacte au niveau émotionnel et pratique, on ne va pas se mentir. Et ça aide en fait à maintenir cette motivation, à alimenter cette résilience. Donc quand tu as l'impression que tu n'as pas tout ça, ça peut participer du fait que tu te sentes découragée. Également, je pense que beaucoup de personnes, et là en l'occurrence les femmes, on peut avoir tendance... à douter de nos capacités à faire des choses et notre valeur personnelle. Et ce manque d'estime de soi, ce déséquilibre en fait de l'estime de soi, de la confiance, ça peut être accentué, exacerbé par des choses qu'on a vécues, des expériences de rejet, de discrimination, d'abandon, d'échec, des critiques. Et du coup, ça peut alimenter ce déséquilibre dans la confiance, dans l'estime de soi. Et du coup, ça peut faire que... les obstacles du quotidien, les épreuves, les challenges du quotidien vont nous sembler beaucoup plus décourageants, beaucoup plus insurmontables. Et dans la même veine, et je vous ai déjà fait un podcast sur la question, sur la question de la charge mentale, notre perception... de ce qu'on a à faire légitimement dans le quotidien, de cette charge mentale qui est aussi une charge émotionnelle, eh bien si on l'aperçoit comme quelque chose d'énorme, bien sûr, d'insurmontable toujours, qu'on a ce sentiment en fait de se sentir impuissante par rapport à toute cette charge, eh bien ça peut alimenter encore une fois cette émotion, ce mécanisme du découragement. Et puis je pense qu'il y a quelque chose qu'on a tendance à ne pas assez faire peser dans la balance, si je puis dire, c'est notre potentiel épuisement. physique, psychique, psychologique, émotionnel. Nous les femmes, on est beaucoup de personnes à être dans le multitâche, à être sur tous les fronts, à jongler avec beaucoup de casquettes, beaucoup de responsabilités. Et selon la manière dont on conçoit ce qu'on est en train de faire et comment on se sent de mener tout ça de front, si je puis dire, eh bien, ça peut creuser, ça peut créer déjà, creuser, accentuer un épuisement physique. physique, pardon, psychique, émotionnel. Et cet épuisement, ça va réduire notre capacité, légitimement, c'est le propre de l'être humain, si je peux dire ça comme ça, ça va venir en fait alimenter, ça peut venir alimenter ce découragement et nous mettre un coup de pied dans les tibias pour justement persévérer face aux défis, rester motivé. Quand on est déjà en épuisement, on est beaucoup plus enclin, autrement dit à... se décourager, à ressentir du découragement. Et puis, une autre hypothèse, c'est que la peur de l'échec, la peur du succès aussi parfois, ça peut mener à cette procrastination. Au fait de se sentir, quand on n'a pas élaboré nos peurs, pourquoi on a peur, est-ce que c'est quelque chose qu'on choisit de continuer à penser, etc. On peut avoir tendance à retarder l'action, à compromettre notre propre réussite en raison de cette anxiété qui découle de cette peur. et de l'incertitude par rapport à nos capacités, par rapport à nos possibilités, par rapport à nos ressources pour cheminer justement vers les réussites, ce qu'on a envie d'accomplir dans notre vie. Et tout ça, ça peut alimenter du découragement. Alors là, typiquement, tous ces mécanismes-là, c'est des choses qu'on voit dans les modules du Bootcamp. notamment le module confiante et harmonieuse. Ce qui peut jouer aussi, ce qui peut alimenter plus rapidement, ce qui fait qu'on va peut-être flirter plus facilement avec cette émotion, ce sentiment de découragement, c'est le fait d'avoir vécu des traumatismes dans le passé. Que ce soit des événements traumatiques de l'ordre de l'émotionnel, du physique, du psychologique, ça, ça a un impact. durable sur nos leviers, ce que j'appelle les leviers motivationnels, sur notre confiance, sur notre optimisme, et comme on n'arrive pas à mettre en place tout ça émotionnellement parlant, on va être plus encline à se tourner, ce n'est pas un choix, c'est quelque chose qu'on subit bien sûr, vers le découragement. encore pire, si je puis dire, vraiment, quand on parle de traumatisme et d'expérience, quand je vous dis ça, je vous parle de violences domestiques, d'abus, de formes de traumatisme comme ça, qui nécessitent vraiment un soutien, un espace de guérison. On fait plus que se traiter en première classe, on se traite en première classe pour guérir, avant justement que les mécanismes, dans le but surtout que les mécanismes motivationnels, les leviers motivationnels peuvent être... restauré, guéri si je puis dire, pour pouvoir justement éviter de tomber dans le découragement, parce que quand on est mené comme ça par ces traumas, qu'on a encore des choses qui ont besoin d'être guéris, on va se trouver beaucoup plus facilement découragé, parce que réellement nos ressources sont très limitées. Et puis, encore une fois, je pense que ce n'est pas propre aux femmes, mais c'est particulier chez les femmes, si je peux dire ça. C'est une chose qu'on rencontre toutes dans nos vies, plusieurs fois même, c'est le fait de cheminer, de retrouver, de trouver un équilibre. Et ça, ça peut être particulièrement difficile pour les femmes, parce que comme je vous le disais tout à l'heure, on jongle avec plusieurs casquettes, plusieurs responsabilités. Et du coup, des fois, l'incapacité, ou même j'ai envie de vous dire, pire encore, le fait de même pas avoir conscience que c'est un processus comme ça qui s'alimente constamment, le fait de trouver et de chérir cet équilibre-là, au milieu de toutes nos casquettes qu'on a apportées dans le quotidien, ça peut mener à un épuisement, encore une fois. Et quand on est en statut, en situation d'épuisement, on va être beaucoup plus encline à éprouver cette émotion du découragement, que ce soit dans la... dans la sphère, encore une fois, religieuse, personnelle, professionnelle, sociétale, etc. Et puis, justement, pour faire la transition, si je cible un petit peu plus l'analyse des facteurs du découragement, eh bien, il y a des facteurs aussi que je pourrais dire qui sont davantage sociaux. C'est-à-dire que les attentes, les stéréotypes, sont imposées, qui sont véhiculées par la société, parce que des fois, c'est des choses qui sont véhiculées, mais qu'on récupère et qu'on s'impose à nous-mêmes sans que ce soit forcément forcé, si je peux dire ça comme ça. Dans tous les cas, ça peut être hyper pesant. C'est clair que nous, les femmes, on est attendues, on s'attend nous-mêmes, et on attend encore des autres, malheureusement, de remplir plusieurs rôles simultanément, de manière parfaite. On attend de nous d'être à 100% partout. Et je prêche souvent plutôt le 30, 20, 50, voilà, une répartition en fait des ressources qui sont conscientes, c'est ce qu'on travaille notamment dans le module épanoui et accompli du Bootcamp MaPsycho en plus, pour pouvoir justement combattre. enrayer ces attentes qui sont irréalistes, qu'elles proviennent de... De toute façon, parce que souvent, on met un peu la casquette, on fait un peu la faute sur l'autre, mais souvent, les choses, et ça, retiens bien ce que je vais dire là, souvent, ce qui... Comment dirais-je ? Ce qu'on se sent imposé par l'autre n'est imposé parce que ça résonne. Il y a une partie de nous qui adhère à ça, d'accord ? Ces attentes irréalistes, elles peuvent mener, qu'elles viennent des autres, de toi, que tu es fini par adhérer, etc. elle mène à un sentiment comme ça d'échec, d'incomplétude, de non-épanouissement, et forcément, in fine, tu vas te trouver fort probablement dans cette émotion du découragement. Et puis il faut se dire aussi qu'on peut appréhender les reproches, les critiques, les réactions en conséquence de ce qu'on accomplit ou pas, et de ne pas se sentir forcément... pas forcément les ressources, la capacité d'encaisser ça. Du coup, il y a de l'autosabotage qui se met en place pour éviter justement ce qu'on pense, qu'on projette, qu'on ne pourra pas encaisser. Et souvent, quand je dis encaisser, je parle de le supporter émotionnellement parlant. Parce qu'en fait, quand on est face à des événements, des situations, etc., ben... les faits sont là, mais souvent ce qu'on appréhende, c'est notre capacité à supporter la vague émotionnelle qui va arriver. Donc parfois, on se décourage face à une situation, parce qu'on se dit, si je me lance là-dedans, ça risque d'être, je pense que les trois quarts du temps c'est hyper inconscient, mais on se dit ça risque d'être tellement dur. je suis découragée d'avance, je préfère me désengager. Et là, on pourra encore parler de procrastination, etc. Il y a un point aussi que je voulais partager avec vous, je pense qu'il n'est peut-être pas assez abordé, c'est qu'il est plus facile de se décourager quand on manque de modèles de réussite qui fassent écho. C'est là où je voulais apporter la petite touche plus précise. un modèle de réussite féminin, certes, mais surtout qui fasse écho à nos ambitions, nos valeurs et nos principes. Parce qu'en 2024, quand même, alhamdoulilah, je remercie beaucoup de femmes qui réussissent, mais ce n'est pas forcément des modèles avec qui ça matche. On les voit réussir souvent dans le domaine du mondain, le professionnel, etc. Mais est-ce que des fois, on s'identifie à elles avec un S d'un point de vue ? des valeurs et des principes, pas toujours, même peu, je pense. Et du coup, le fait d'avoir peu de modèles féminins comme ça, de réussite, qui sont en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, ça peut être un petit peu démoralisant. Je vois en tant que vieille psy, je suis souvent contactée par des étudiantes en psychologie qui me disent, voilà, est-ce que c'est possible ? Alors souvent, c'est des étudiantes qui portent le voile, par exemple. Elle me dit Waouh, mais comment vous avez fait ? Est-ce que c'est vraiment possible de travailler avec son voile quand on est psychologue ? Est-ce qu'on peut vraiment ouvrir son cabinet ? On voit que vraiment, elles sont dans cette recherche de modèles. Je ne suis pas en train de dire que je suis un modèle, je vous donne juste un exemple. Mais en tout cas, de projections qui leur permettent de se projeter avec un modèle féminin qui... où elles se sentent en accord avec les valeurs, les principes et les ambitions. Et ce n'est pas forcément des choses qui sont promeues par la culture mainstream, la culture dominante. Et du coup, quand on n'a pas l'opportunité de connecter avec ces modèles-là, ça peut être démoralisant, on peut se décourager plus facilement. Et puis le dernier, non c'est pas le dernier, mais un autre point qui me vient, c'est que quand on a eu un vécu, et qui dit vécu, un besoin de digérer certaines expériences, et que ça n'a pas été fait, ça peut être décourageant, ça peut mener à un sentiment d'injustice, de frustration, si on ne prend pas le temps de digérer. Autrement dit... quand on a vécu comme ça des épreuves, et qu'il en a découlé un sentiment d'injustice, des sentiments, surtout ceux, je pense, ceux qui sont amenés plus facilement vers le découragement, mais qui sont liés à des problématiques d'injustice, de frustration, etc. Et si on ne prend pas le temps de guérir, de soigner ça, je pense qu'on est beaucoup plus en cline à se décourager. Ça fait écho à un point dont je vous parlais tout à l'heure. Tout ça... tout ça, ce qu'il faut se dire en fait, et c'est un peu la deuxième partie de ce podcast, d'ailleurs je discutais avec une femme que j'accompagne en individuel tout à l'heure, elle me dit, Émilie j'étais en voiture et j'étais en train d'écouter tes derniers podcasts, elle me dit, mais en fait ce n'est pas des podcasts, c'est des cours que tu nous fais. Je lui dis, oui c'est vrai. Je me suis fait cette réflexion-là. Vous me direz si vous avez déjà en commentaire, si c'est une réflexion que vous vous êtes déjà faite, et si c'est quelque chose que vous appréciez, ou si vous préféreriez avoir... un autre format, si je peux dire ça comme ça, en podcast. Tout ce que je voulais vous dire aussi, c'est que, d'où vient, en fait, ce que je voulais analyser en deuxième partie de ce podcast avec vous, pour pouvoir justement comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, pour mieux désamorcer ça, c'est de se dire quoi ? C'est que, souvent, quand on est dans cette émotion, dans ce vécu du découragement, eh bien, derrière, il y a quoi ? Il y a des croyances limitantes. C'est un peu, les croyances limitantes, c'est celles que je vous ai partagées un peu au début, parce que ça en est. Je ne trouverai jamais de mari, je dois toujours tout faire moi-même, mes enfants ne m'écouteraient jamais, je serai toujours en galère au niveau de l'apprentissage, je ne pourrai jamais m'expatrier. Ce sont des croyances limitantes. Si vous êtes nouvelle dans la team, je vais vous donner un petit peu une définition très courte des croyances limitantes. On va dire que les croyances limitantes, c'est des opinions, c'est même des convictions. sont plus ou moins conscientes et qui sont profondément enracinées. Et quand on a des croyances limitantes, c'est comme si ce sont des programmes sur lesquels on va se caler, plus ou moins consciemment, pour mettre en place des comportements. Et quand on n'a pas eu l'opportunité de digérer correctement certains événements, son éducation, sa vie jusque là où tu en es actuellement, ça peut découler, il y en a pour tout le monde, même pour moi, entre guillemets, qui suis une spécialiste des croyances limitantes, bien sûr que j'en ai aussi, mais je pense que l'important, c'est d'avoir une posture d'humilité par rapport à ça, on est humaine, on est humain, et après de pouvoir... développer une autonomie dans l'identification et l'enrayement et l'affirmation de soi interne de ce qu'on choisit vraiment de croire, si je puis dire. Donc, ce que je voulais vous expliquer ici, c'est que... Et ces croyances limitantes, donc ces opinions, ces convictions fortes qu'on a héritées de la famille, l'éducation, la société, etc., c'est profondément enraciné en nous. C'est comme des programmes internes, j'en ai parlé plein de fois dans les podcasts. Et souvent, chez les femmes, il y a des croyances limitantes qui participent largement, donc des programmes comme ça, des disquettes, je vous en ai parlé aussi dans un autre podcast, qui participent du découragement, du genre je ne suis pas assez compétente Je dois être parfaite pour être reconnue, aimée, respectée et ne pas blesser les autres. Je ne mérite pas de bien. Je ne veux pas être une femme bien et avoir une vie de famille remplie. Être une apprenante, se limiter en fait soi-même dans ce qu'on... Si et ça, je ne peux pas tout avoir, même si on ne peut pas tout avoir, mais vous avez compris l'idée. Le fait de croire que les autres sont meilleurs que toi. Le fait de penser que tu dois faire plaisir à tout le monde pour prouver ta valeur, pour légitimer ton existence. Le fait de penser et même d'adhérer, c'est quelque chose que j'entends souvent, je dois faire tout moi-même pour éviter de demander de l'aide. Toutes ces choses, d'ailleurs, quand tu penses à ça, c'est fort probable que tu vas te surcharger de travail et que tu vas vite t'épuiser et qu'on va revenir à épuisement, découragement plus fréquent. Le fait de penser aussi que tu n'as pas assez de temps, parce que c'est le... Le vécu du temps, ça reste une perception du temps manqué qui empêche de prendre après, quand on a cette perception de j'ai jamais assez de temps et qu'on le répète tout le temps, forcément on va se décourager déjà, et puis on va être moins encline à structurer son temps, avoir une approche comme ça, à se réapproprier son temps. Et puis c'est clair que quand on a ces idées de c'est trop tard pour changer quand on pense que c'est ça et qu'on est trop vieille pour entreprendre des choses, pour apprendre le Coran par exemple, ou changer de carrière professionnelle, ou se remarier, cette croyance, elle limite la vision des possibles et elle nous empêche de nous saisir de nouvelles opportunités. Et là, on reste coincé, encore une fois, dans des situations qui ne nous satisfont pas et on se décourage à l'idée de... de tourner une page, si je peux dire ça comme ça. Il y a d'autres croyances aussi comme ça qui viennent du genre, si j'échoue, si je me loupe, ça va prouver que je suis la pire des incapables, parce qu'encore une fois, il y a une pire part de soi qui adhère à ça. Quand il y a une part de toi-même qui pense que tu es une incapable, tu vas venir appréhender que ça risque d'être confirmé par l'extérieur, ça risque de mettre en danger, etc. Et puis il y a un petit truc aussi, il y en a une aussi dont je voulais vous parler brièvement, parce que réellement... D'ailleurs, si je suis sincère avec vous, j'avais développé beaucoup plus les croyances limitantes dans le deuxième enregistrement du podcast que j'avais fait. Mais je me suis dit que c'est peut-être quelque chose que je pourrais creuser de par ailleurs. Je vous développerai ça plus tôt dans l'article du blog. Vous pouvez retrouver l'article correspondant de ce podcast sur le blog mapsienlinechezmoi.fr. Donc mapsienlinechezmoi.fr slash blog. Donc là, peut-être je vais... développer un petit peu plus sur ces croyances limitantes qui peuvent alimenter le découragement. Mais dans le podcast, je voulais vous faire comprendre justement ce que... Qu'est-ce qui participe du découragement ? C'est ce qu'on se dit, en fait. Et les croyances limitantes sont des convictions comme ça qui tournent en fond, si je peux dire ça comme ça, et qui impulsent justement, qui participent de ce découragement-là. Et là, celui que je voulais pointer aussi... Pour la fin de ce podcast, c'est que parfois, en fait, on a tendance à se dire je n'ai pas assez de confiance et d'estime de moi pour justement me développer, développer des opportunités, apprendre, me marier. J'attends d'avoir plus, d'être plus comme si, d'être plus confiante, d'être plus pieuse. Et en fait, c'est cette disposition où on attend un déclic. un idéal, encore une fois, et ça, des fois, il arrive qu'il y ait un déclic. J'espère que le podcast sera un déclic, mais parfois, en fait, on se met ça comme une condition sine qua non, et ça nous met dans un découragement. Ah ouais, non, en fait, là, non, je suis pas assez... Je suis pas assez... Mon estime de perso est trop déséquilibrée, j'ai pas assez confiance, etc. Et du coup, pouf, on se met un coup dans les tibias, on se sent découragé, et ça retarde... Et ça renforce, en fait, ce sentiment de stagnation et de découragement. Ça contribue à ce cycle infernal, si je peux dire ça comme ça, et ça restreint notre capacité à reconnaître notre valeur, à vraiment ressentir. nos accomplissements, parce que des fois, on les conçoit rationnellement, mais on a du mal à les ressentir. Et ça finit par des cycles de remise en cause, alors que remettre en question, justement, être plus autonome par rapport à ses croyances limitantes, par rapport à son mental, par rapport à sa gestion émotionnelle, c'est vraiment quelque chose, typiquement, qu'on travaille au sein de ma psycampus. Si tu veux rejoindre, d'ailleurs, la liste d'attente pour les portes qui ouvrent là, au 1er juillet et qui se referme au 2 juillet, parce que je ne vais prendre que 10 femmes, donc 2024, tu peux te rendre sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Et puis si tu as loupé, si je peux dire ça comme ça, cette brève ouverture de porte, tu peux quand même te saisir du journal d'introspection que tu peux retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. C'est un outil de Mapsy Campus qu'à la base j'avais créé uniquement pour les bootcampeuses, mais j'avais décidé de le rendre accessible pour d'autres personnes. Donc tu peux le retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. Parce que quand... Tu as des outils comme ça pour te remettre en question, pour envoyer ton cerveau dans la bonne direction d'une manière qui te profite et que tu sais comment justement identifier, transformer ces croyances limitantes en pétrole, en essence, j'allais dire, en énergie, où tu vas pouvoir cheminer de manière plus constructive. Forcément, ça aide à surmonter le découragement et ça aide à être autonome. par rapport à la mise en œuvre de ce dont je vous parlais tout à l'heure, des leviers motivationnels, des leviers de persévérance, et pour sûr que ce sont des leviers qui permettent aux femmes, qui nous permettent de réaliser notre plein potentiel. Tant bien même, parfois, on expérimente, on goûte au découragement, et c'est normal, c'est humain, mais au moins, on sait l'identifier, et on est en mode, ok, là, je me sens découragée, qu'est-ce qui se passe ? De quoi j'ai besoin pour avancer ? j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast. Si tu as envie de me dire en commentaire, est-ce que ça t'a parlé ? Est-ce qu'il y a certaines croyances limitantes que tu as remarqué que tu peux avoir qui reviennent un petit peu souvent et qui profitent de ton découragement ? Enfin, profitent, pas dans le bon sens du terme, vous avez compris. Je serais ravie de le savoir. Si tu as envie de mettre un commentaire, une review, une note sur ta plateforme d'écoute, je serais également ravie. Ça serait très encourageant pour toute la team Mapsy en ligne chez moi. Encore merci de votre écoute, de votre attention, de votre soutien. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. Je vous ai présenté le podcast Se traiter en première classe votre dose hebdomadaire pour justement vous construire le mindset, l'état d'esprit d'une femme qui est épanouie et qui est en phase avec ses ambitions, ses valeurs et ses principes. Chaque semaine, je déboule autant que faire se peut pour vous donner des explications concrètes, impactantes, des conseils pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, de tes ambitions et non bloqué à cause de tes peurs, de tes croyances limitantes et de tes blocages. Pensez bien que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure. et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercle, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur ma psycampus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Commencez ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsyenlunichemoi.fr slash mapsycampus, M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S. Ensemble, sur Mapsy Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur Mapsy Campus !

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Que la paix soit sur toi, 


📖 Laisse-moi te raconter une petite histoire.


🎙️ Je n’ai pas fait un enregistrement pour ce podcast!


🎙️ Pas deux enregistrements non plus!


🎙️ Je me suis prise à trois reprises pour enregistrer cet épisode de podcast sur le découragement!!!! 


Oui, tu as bien lu, trois fois!


💫 Alors, si toi aussi tu te sens parfois découragée, sache que tu n’es pas seule, et j’ai créé cet épisode spécialement pour toi. 🌟


🎧 Le thème ? Le découragement, bien sûr !


📚 Autant te dire que ce fut un véritable exercice de persévérance que j’ai dû incarner!!!!


🤔 Tu te demandes peut-être pourquoi ce sujet m’a donné tant de fil à retordre.


📉 C’est simple : parce que le découragement, on connaît toutes ça.


😩 Que ce soit à cause de la surcharge mentale, du manque de soutien ou d’une estime de soi en berne, on en bave parfois!


🔍 Et c’est exactement ce que j’explore dans cet épisode.


🤝 On va identifier ensemble ces sources de découragement et réfléchir sur comment les surmonter.


🎯 Tu veux des pistes concrètes pour te comprendre et avancer ?


🌟 Tu es au bon endroit si Dieu le veut!


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    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla new age sectaire ésotérique je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres ce traité en première classe commence maintenant ce que tu connais madame toujours et monsieur jamais Bienvenue dans cet épisode, ce centième épisode de l'émission Se traiter en première classe. Aujourd'hui, on va parler du découragement et ironie du sort, comme on dit. Eh bien, je réenregistre ce podcast pour la troisième fois. Donc, autant dire qu'on est en plein dans le vif du sujet concernant le découragement, mais surtout, comment persévérer finalement ? Parce que quand on va comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, Quand on va répondre à cette question ensemble de pourquoi on a tendance à se décourager, bien sûr, tout ça, c'est que des hypothèses, eh bien, on va percer aussi, ce faisant, je l'espère, le secret de la persévérance. Tu vois que quand on parle, que ce soit du fait de trouver, chercher un conjoint, d'être en relation avec les autres, d'être dans l'éducation des enfants, dans un processus d'apprentissage, ou quand tu es dans une réflexion dans ta capacité à gérer les finances ou à faire de l'argent, eh bien on est toujours en train de dealer, si je peux dire ça comme ça, avec le découragement. Et dans ce podcast, on va voir comment on se positionne justement dans ces montagnes russes que constituent le Mont Blanc, l'Himalaya, les montagnes du pays que tu veux, des challenges du quotidien, des épreuves de la vie. On va commencer par analyser un petit peu ensemble d'où vient le découragement. Alors, je pense que je vais partir sur trois types d'explications, trois types d'hypothèses, encore une fois. Des facteurs qui peuvent être personnels, des facteurs qui peuvent être sociaux, et des facteurs qui peuvent être culturels. Quand je parle de la culture, je parle de la culture familiale, de la culture sociétale, etc. Une première hypothèse qu'on peut faire, c'est que qu'est-ce qui fait qu'à un moment donné, on n'éprouve du tout le découragement ? D'où peut venir le découragement ? Le découragement peut venir d'un manque de soutien ressenti, perçu, que ce soit de la part de la famille, des amis, des collègues, des sœurs, etc. Et le fait de percevoir, de se dire qu'on manque de soutien, ça peut rendre les défis, qu'ils soient personnels, religieux, professionnels, etc., plus difficiles à surmonter. Parce que ce sentiment, si je peux dire ça comme ça, parce qu'on reste des êtres humains, des femmes, le sentiment, l'impression d'être soutenue, ça impacte au niveau émotionnel et pratique, on ne va pas se mentir. Et ça aide en fait à maintenir cette motivation, à alimenter cette résilience. Donc quand tu as l'impression que tu n'as pas tout ça, ça peut participer du fait que tu te sentes découragée. Également, je pense que beaucoup de personnes, et là en l'occurrence les femmes, on peut avoir tendance... à douter de nos capacités à faire des choses et notre valeur personnelle. Et ce manque d'estime de soi, ce déséquilibre en fait de l'estime de soi, de la confiance, ça peut être accentué, exacerbé par des choses qu'on a vécues, des expériences de rejet, de discrimination, d'abandon, d'échec, des critiques. Et du coup, ça peut alimenter ce déséquilibre dans la confiance, dans l'estime de soi. Et du coup, ça peut faire que... les obstacles du quotidien, les épreuves, les challenges du quotidien vont nous sembler beaucoup plus décourageants, beaucoup plus insurmontables. Et dans la même veine, et je vous ai déjà fait un podcast sur la question, sur la question de la charge mentale, notre perception... de ce qu'on a à faire légitimement dans le quotidien, de cette charge mentale qui est aussi une charge émotionnelle, eh bien si on l'aperçoit comme quelque chose d'énorme, bien sûr, d'insurmontable toujours, qu'on a ce sentiment en fait de se sentir impuissante par rapport à toute cette charge, eh bien ça peut alimenter encore une fois cette émotion, ce mécanisme du découragement. Et puis je pense qu'il y a quelque chose qu'on a tendance à ne pas assez faire peser dans la balance, si je puis dire, c'est notre potentiel épuisement. physique, psychique, psychologique, émotionnel. Nous les femmes, on est beaucoup de personnes à être dans le multitâche, à être sur tous les fronts, à jongler avec beaucoup de casquettes, beaucoup de responsabilités. Et selon la manière dont on conçoit ce qu'on est en train de faire et comment on se sent de mener tout ça de front, si je puis dire, eh bien, ça peut creuser, ça peut créer déjà, creuser, accentuer un épuisement physique. physique, pardon, psychique, émotionnel. Et cet épuisement, ça va réduire notre capacité, légitimement, c'est le propre de l'être humain, si je peux dire ça comme ça, ça va venir en fait alimenter, ça peut venir alimenter ce découragement et nous mettre un coup de pied dans les tibias pour justement persévérer face aux défis, rester motivé. Quand on est déjà en épuisement, on est beaucoup plus enclin, autrement dit à... se décourager, à ressentir du découragement. Et puis, une autre hypothèse, c'est que la peur de l'échec, la peur du succès aussi parfois, ça peut mener à cette procrastination. Au fait de se sentir, quand on n'a pas élaboré nos peurs, pourquoi on a peur, est-ce que c'est quelque chose qu'on choisit de continuer à penser, etc. On peut avoir tendance à retarder l'action, à compromettre notre propre réussite en raison de cette anxiété qui découle de cette peur. et de l'incertitude par rapport à nos capacités, par rapport à nos possibilités, par rapport à nos ressources pour cheminer justement vers les réussites, ce qu'on a envie d'accomplir dans notre vie. Et tout ça, ça peut alimenter du découragement. Alors là, typiquement, tous ces mécanismes-là, c'est des choses qu'on voit dans les modules du Bootcamp. notamment le module confiante et harmonieuse. Ce qui peut jouer aussi, ce qui peut alimenter plus rapidement, ce qui fait qu'on va peut-être flirter plus facilement avec cette émotion, ce sentiment de découragement, c'est le fait d'avoir vécu des traumatismes dans le passé. Que ce soit des événements traumatiques de l'ordre de l'émotionnel, du physique, du psychologique, ça, ça a un impact. durable sur nos leviers, ce que j'appelle les leviers motivationnels, sur notre confiance, sur notre optimisme, et comme on n'arrive pas à mettre en place tout ça émotionnellement parlant, on va être plus encline à se tourner, ce n'est pas un choix, c'est quelque chose qu'on subit bien sûr, vers le découragement. encore pire, si je puis dire, vraiment, quand on parle de traumatisme et d'expérience, quand je vous dis ça, je vous parle de violences domestiques, d'abus, de formes de traumatisme comme ça, qui nécessitent vraiment un soutien, un espace de guérison. On fait plus que se traiter en première classe, on se traite en première classe pour guérir, avant justement que les mécanismes, dans le but surtout que les mécanismes motivationnels, les leviers motivationnels peuvent être... restauré, guéri si je puis dire, pour pouvoir justement éviter de tomber dans le découragement, parce que quand on est mené comme ça par ces traumas, qu'on a encore des choses qui ont besoin d'être guéris, on va se trouver beaucoup plus facilement découragé, parce que réellement nos ressources sont très limitées. Et puis, encore une fois, je pense que ce n'est pas propre aux femmes, mais c'est particulier chez les femmes, si je peux dire ça. C'est une chose qu'on rencontre toutes dans nos vies, plusieurs fois même, c'est le fait de cheminer, de retrouver, de trouver un équilibre. Et ça, ça peut être particulièrement difficile pour les femmes, parce que comme je vous le disais tout à l'heure, on jongle avec plusieurs casquettes, plusieurs responsabilités. Et du coup, des fois, l'incapacité, ou même j'ai envie de vous dire, pire encore, le fait de même pas avoir conscience que c'est un processus comme ça qui s'alimente constamment, le fait de trouver et de chérir cet équilibre-là, au milieu de toutes nos casquettes qu'on a apportées dans le quotidien, ça peut mener à un épuisement, encore une fois. Et quand on est en statut, en situation d'épuisement, on va être beaucoup plus encline à éprouver cette émotion du découragement, que ce soit dans la... dans la sphère, encore une fois, religieuse, personnelle, professionnelle, sociétale, etc. Et puis, justement, pour faire la transition, si je cible un petit peu plus l'analyse des facteurs du découragement, eh bien, il y a des facteurs aussi que je pourrais dire qui sont davantage sociaux. C'est-à-dire que les attentes, les stéréotypes, sont imposées, qui sont véhiculées par la société, parce que des fois, c'est des choses qui sont véhiculées, mais qu'on récupère et qu'on s'impose à nous-mêmes sans que ce soit forcément forcé, si je peux dire ça comme ça. Dans tous les cas, ça peut être hyper pesant. C'est clair que nous, les femmes, on est attendues, on s'attend nous-mêmes, et on attend encore des autres, malheureusement, de remplir plusieurs rôles simultanément, de manière parfaite. On attend de nous d'être à 100% partout. Et je prêche souvent plutôt le 30, 20, 50, voilà, une répartition en fait des ressources qui sont conscientes, c'est ce qu'on travaille notamment dans le module épanoui et accompli du Bootcamp MaPsycho en plus, pour pouvoir justement combattre. enrayer ces attentes qui sont irréalistes, qu'elles proviennent de... De toute façon, parce que souvent, on met un peu la casquette, on fait un peu la faute sur l'autre, mais souvent, les choses, et ça, retiens bien ce que je vais dire là, souvent, ce qui... Comment dirais-je ? Ce qu'on se sent imposé par l'autre n'est imposé parce que ça résonne. Il y a une partie de nous qui adhère à ça, d'accord ? Ces attentes irréalistes, elles peuvent mener, qu'elles viennent des autres, de toi, que tu es fini par adhérer, etc. elle mène à un sentiment comme ça d'échec, d'incomplétude, de non-épanouissement, et forcément, in fine, tu vas te trouver fort probablement dans cette émotion du découragement. Et puis il faut se dire aussi qu'on peut appréhender les reproches, les critiques, les réactions en conséquence de ce qu'on accomplit ou pas, et de ne pas se sentir forcément... pas forcément les ressources, la capacité d'encaisser ça. Du coup, il y a de l'autosabotage qui se met en place pour éviter justement ce qu'on pense, qu'on projette, qu'on ne pourra pas encaisser. Et souvent, quand je dis encaisser, je parle de le supporter émotionnellement parlant. Parce qu'en fait, quand on est face à des événements, des situations, etc., ben... les faits sont là, mais souvent ce qu'on appréhende, c'est notre capacité à supporter la vague émotionnelle qui va arriver. Donc parfois, on se décourage face à une situation, parce qu'on se dit, si je me lance là-dedans, ça risque d'être, je pense que les trois quarts du temps c'est hyper inconscient, mais on se dit ça risque d'être tellement dur. je suis découragée d'avance, je préfère me désengager. Et là, on pourra encore parler de procrastination, etc. Il y a un point aussi que je voulais partager avec vous, je pense qu'il n'est peut-être pas assez abordé, c'est qu'il est plus facile de se décourager quand on manque de modèles de réussite qui fassent écho. C'est là où je voulais apporter la petite touche plus précise. un modèle de réussite féminin, certes, mais surtout qui fasse écho à nos ambitions, nos valeurs et nos principes. Parce qu'en 2024, quand même, alhamdoulilah, je remercie beaucoup de femmes qui réussissent, mais ce n'est pas forcément des modèles avec qui ça matche. On les voit réussir souvent dans le domaine du mondain, le professionnel, etc. Mais est-ce que des fois, on s'identifie à elles avec un S d'un point de vue ? des valeurs et des principes, pas toujours, même peu, je pense. Et du coup, le fait d'avoir peu de modèles féminins comme ça, de réussite, qui sont en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, ça peut être un petit peu démoralisant. Je vois en tant que vieille psy, je suis souvent contactée par des étudiantes en psychologie qui me disent, voilà, est-ce que c'est possible ? Alors souvent, c'est des étudiantes qui portent le voile, par exemple. Elle me dit Waouh, mais comment vous avez fait ? Est-ce que c'est vraiment possible de travailler avec son voile quand on est psychologue ? Est-ce qu'on peut vraiment ouvrir son cabinet ? On voit que vraiment, elles sont dans cette recherche de modèles. Je ne suis pas en train de dire que je suis un modèle, je vous donne juste un exemple. Mais en tout cas, de projections qui leur permettent de se projeter avec un modèle féminin qui... où elles se sentent en accord avec les valeurs, les principes et les ambitions. Et ce n'est pas forcément des choses qui sont promeues par la culture mainstream, la culture dominante. Et du coup, quand on n'a pas l'opportunité de connecter avec ces modèles-là, ça peut être démoralisant, on peut se décourager plus facilement. Et puis le dernier, non c'est pas le dernier, mais un autre point qui me vient, c'est que quand on a eu un vécu, et qui dit vécu, un besoin de digérer certaines expériences, et que ça n'a pas été fait, ça peut être décourageant, ça peut mener à un sentiment d'injustice, de frustration, si on ne prend pas le temps de digérer. Autrement dit... quand on a vécu comme ça des épreuves, et qu'il en a découlé un sentiment d'injustice, des sentiments, surtout ceux, je pense, ceux qui sont amenés plus facilement vers le découragement, mais qui sont liés à des problématiques d'injustice, de frustration, etc. Et si on ne prend pas le temps de guérir, de soigner ça, je pense qu'on est beaucoup plus en cline à se décourager. Ça fait écho à un point dont je vous parlais tout à l'heure. Tout ça... tout ça, ce qu'il faut se dire en fait, et c'est un peu la deuxième partie de ce podcast, d'ailleurs je discutais avec une femme que j'accompagne en individuel tout à l'heure, elle me dit, Émilie j'étais en voiture et j'étais en train d'écouter tes derniers podcasts, elle me dit, mais en fait ce n'est pas des podcasts, c'est des cours que tu nous fais. Je lui dis, oui c'est vrai. Je me suis fait cette réflexion-là. Vous me direz si vous avez déjà en commentaire, si c'est une réflexion que vous vous êtes déjà faite, et si c'est quelque chose que vous appréciez, ou si vous préféreriez avoir... un autre format, si je peux dire ça comme ça, en podcast. Tout ce que je voulais vous dire aussi, c'est que, d'où vient, en fait, ce que je voulais analyser en deuxième partie de ce podcast avec vous, pour pouvoir justement comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, pour mieux désamorcer ça, c'est de se dire quoi ? C'est que, souvent, quand on est dans cette émotion, dans ce vécu du découragement, eh bien, derrière, il y a quoi ? Il y a des croyances limitantes. C'est un peu, les croyances limitantes, c'est celles que je vous ai partagées un peu au début, parce que ça en est. Je ne trouverai jamais de mari, je dois toujours tout faire moi-même, mes enfants ne m'écouteraient jamais, je serai toujours en galère au niveau de l'apprentissage, je ne pourrai jamais m'expatrier. Ce sont des croyances limitantes. Si vous êtes nouvelle dans la team, je vais vous donner un petit peu une définition très courte des croyances limitantes. On va dire que les croyances limitantes, c'est des opinions, c'est même des convictions. sont plus ou moins conscientes et qui sont profondément enracinées. Et quand on a des croyances limitantes, c'est comme si ce sont des programmes sur lesquels on va se caler, plus ou moins consciemment, pour mettre en place des comportements. Et quand on n'a pas eu l'opportunité de digérer correctement certains événements, son éducation, sa vie jusque là où tu en es actuellement, ça peut découler, il y en a pour tout le monde, même pour moi, entre guillemets, qui suis une spécialiste des croyances limitantes, bien sûr que j'en ai aussi, mais je pense que l'important, c'est d'avoir une posture d'humilité par rapport à ça, on est humaine, on est humain, et après de pouvoir... développer une autonomie dans l'identification et l'enrayement et l'affirmation de soi interne de ce qu'on choisit vraiment de croire, si je puis dire. Donc, ce que je voulais vous expliquer ici, c'est que... Et ces croyances limitantes, donc ces opinions, ces convictions fortes qu'on a héritées de la famille, l'éducation, la société, etc., c'est profondément enraciné en nous. C'est comme des programmes internes, j'en ai parlé plein de fois dans les podcasts. Et souvent, chez les femmes, il y a des croyances limitantes qui participent largement, donc des programmes comme ça, des disquettes, je vous en ai parlé aussi dans un autre podcast, qui participent du découragement, du genre je ne suis pas assez compétente Je dois être parfaite pour être reconnue, aimée, respectée et ne pas blesser les autres. Je ne mérite pas de bien. Je ne veux pas être une femme bien et avoir une vie de famille remplie. Être une apprenante, se limiter en fait soi-même dans ce qu'on... Si et ça, je ne peux pas tout avoir, même si on ne peut pas tout avoir, mais vous avez compris l'idée. Le fait de croire que les autres sont meilleurs que toi. Le fait de penser que tu dois faire plaisir à tout le monde pour prouver ta valeur, pour légitimer ton existence. Le fait de penser et même d'adhérer, c'est quelque chose que j'entends souvent, je dois faire tout moi-même pour éviter de demander de l'aide. Toutes ces choses, d'ailleurs, quand tu penses à ça, c'est fort probable que tu vas te surcharger de travail et que tu vas vite t'épuiser et qu'on va revenir à épuisement, découragement plus fréquent. Le fait de penser aussi que tu n'as pas assez de temps, parce que c'est le... Le vécu du temps, ça reste une perception du temps manqué qui empêche de prendre après, quand on a cette perception de j'ai jamais assez de temps et qu'on le répète tout le temps, forcément on va se décourager déjà, et puis on va être moins encline à structurer son temps, avoir une approche comme ça, à se réapproprier son temps. Et puis c'est clair que quand on a ces idées de c'est trop tard pour changer quand on pense que c'est ça et qu'on est trop vieille pour entreprendre des choses, pour apprendre le Coran par exemple, ou changer de carrière professionnelle, ou se remarier, cette croyance, elle limite la vision des possibles et elle nous empêche de nous saisir de nouvelles opportunités. Et là, on reste coincé, encore une fois, dans des situations qui ne nous satisfont pas et on se décourage à l'idée de... de tourner une page, si je peux dire ça comme ça. Il y a d'autres croyances aussi comme ça qui viennent du genre, si j'échoue, si je me loupe, ça va prouver que je suis la pire des incapables, parce qu'encore une fois, il y a une pire part de soi qui adhère à ça. Quand il y a une part de toi-même qui pense que tu es une incapable, tu vas venir appréhender que ça risque d'être confirmé par l'extérieur, ça risque de mettre en danger, etc. Et puis il y a un petit truc aussi, il y en a une aussi dont je voulais vous parler brièvement, parce que réellement... D'ailleurs, si je suis sincère avec vous, j'avais développé beaucoup plus les croyances limitantes dans le deuxième enregistrement du podcast que j'avais fait. Mais je me suis dit que c'est peut-être quelque chose que je pourrais creuser de par ailleurs. Je vous développerai ça plus tôt dans l'article du blog. Vous pouvez retrouver l'article correspondant de ce podcast sur le blog mapsienlinechezmoi.fr. Donc mapsienlinechezmoi.fr slash blog. Donc là, peut-être je vais... développer un petit peu plus sur ces croyances limitantes qui peuvent alimenter le découragement. Mais dans le podcast, je voulais vous faire comprendre justement ce que... Qu'est-ce qui participe du découragement ? C'est ce qu'on se dit, en fait. Et les croyances limitantes sont des convictions comme ça qui tournent en fond, si je peux dire ça comme ça, et qui impulsent justement, qui participent de ce découragement-là. Et là, celui que je voulais pointer aussi... Pour la fin de ce podcast, c'est que parfois, en fait, on a tendance à se dire je n'ai pas assez de confiance et d'estime de moi pour justement me développer, développer des opportunités, apprendre, me marier. J'attends d'avoir plus, d'être plus comme si, d'être plus confiante, d'être plus pieuse. Et en fait, c'est cette disposition où on attend un déclic. un idéal, encore une fois, et ça, des fois, il arrive qu'il y ait un déclic. J'espère que le podcast sera un déclic, mais parfois, en fait, on se met ça comme une condition sine qua non, et ça nous met dans un découragement. Ah ouais, non, en fait, là, non, je suis pas assez... Je suis pas assez... Mon estime de perso est trop déséquilibrée, j'ai pas assez confiance, etc. Et du coup, pouf, on se met un coup dans les tibias, on se sent découragé, et ça retarde... Et ça renforce, en fait, ce sentiment de stagnation et de découragement. Ça contribue à ce cycle infernal, si je peux dire ça comme ça, et ça restreint notre capacité à reconnaître notre valeur, à vraiment ressentir. nos accomplissements, parce que des fois, on les conçoit rationnellement, mais on a du mal à les ressentir. Et ça finit par des cycles de remise en cause, alors que remettre en question, justement, être plus autonome par rapport à ses croyances limitantes, par rapport à son mental, par rapport à sa gestion émotionnelle, c'est vraiment quelque chose, typiquement, qu'on travaille au sein de ma psycampus. Si tu veux rejoindre, d'ailleurs, la liste d'attente pour les portes qui ouvrent là, au 1er juillet et qui se referme au 2 juillet, parce que je ne vais prendre que 10 femmes, donc 2024, tu peux te rendre sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Et puis si tu as loupé, si je peux dire ça comme ça, cette brève ouverture de porte, tu peux quand même te saisir du journal d'introspection que tu peux retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. C'est un outil de Mapsy Campus qu'à la base j'avais créé uniquement pour les bootcampeuses, mais j'avais décidé de le rendre accessible pour d'autres personnes. Donc tu peux le retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. Parce que quand... Tu as des outils comme ça pour te remettre en question, pour envoyer ton cerveau dans la bonne direction d'une manière qui te profite et que tu sais comment justement identifier, transformer ces croyances limitantes en pétrole, en essence, j'allais dire, en énergie, où tu vas pouvoir cheminer de manière plus constructive. Forcément, ça aide à surmonter le découragement et ça aide à être autonome. par rapport à la mise en œuvre de ce dont je vous parlais tout à l'heure, des leviers motivationnels, des leviers de persévérance, et pour sûr que ce sont des leviers qui permettent aux femmes, qui nous permettent de réaliser notre plein potentiel. Tant bien même, parfois, on expérimente, on goûte au découragement, et c'est normal, c'est humain, mais au moins, on sait l'identifier, et on est en mode, ok, là, je me sens découragée, qu'est-ce qui se passe ? De quoi j'ai besoin pour avancer ? j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast. Si tu as envie de me dire en commentaire, est-ce que ça t'a parlé ? Est-ce qu'il y a certaines croyances limitantes que tu as remarqué que tu peux avoir qui reviennent un petit peu souvent et qui profitent de ton découragement ? Enfin, profitent, pas dans le bon sens du terme, vous avez compris. Je serais ravie de le savoir. Si tu as envie de mettre un commentaire, une review, une note sur ta plateforme d'écoute, je serais également ravie. Ça serait très encourageant pour toute la team Mapsy en ligne chez moi. Encore merci de votre écoute, de votre attention, de votre soutien. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. Je vous ai présenté le podcast Se traiter en première classe votre dose hebdomadaire pour justement vous construire le mindset, l'état d'esprit d'une femme qui est épanouie et qui est en phase avec ses ambitions, ses valeurs et ses principes. Chaque semaine, je déboule autant que faire se peut pour vous donner des explications concrètes, impactantes, des conseils pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, de tes ambitions et non bloqué à cause de tes peurs, de tes croyances limitantes et de tes blocages. Pensez bien que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure. et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercle, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur ma psycampus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Commencez ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsyenlunichemoi.fr slash mapsycampus, M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S. Ensemble, sur Mapsy Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur Mapsy Campus !

Description

Que la paix soit sur toi, 


📖 Laisse-moi te raconter une petite histoire.


🎙️ Je n’ai pas fait un enregistrement pour ce podcast!


🎙️ Pas deux enregistrements non plus!


🎙️ Je me suis prise à trois reprises pour enregistrer cet épisode de podcast sur le découragement!!!! 


Oui, tu as bien lu, trois fois!


💫 Alors, si toi aussi tu te sens parfois découragée, sache que tu n’es pas seule, et j’ai créé cet épisode spécialement pour toi. 🌟


🎧 Le thème ? Le découragement, bien sûr !


📚 Autant te dire que ce fut un véritable exercice de persévérance que j’ai dû incarner!!!!


🤔 Tu te demandes peut-être pourquoi ce sujet m’a donné tant de fil à retordre.


📉 C’est simple : parce que le découragement, on connaît toutes ça.


😩 Que ce soit à cause de la surcharge mentale, du manque de soutien ou d’une estime de soi en berne, on en bave parfois!


🔍 Et c’est exactement ce que j’explore dans cet épisode.


🤝 On va identifier ensemble ces sources de découragement et réfléchir sur comment les surmonter.


🎯 Tu veux des pistes concrètes pour te comprendre et avancer ?


🌟 Tu es au bon endroit si Dieu le veut!


🛠️ Dans ce podcast, je te propose des stratégies pour booster ton assurance, reconnaître tes croyances limitantes et transformer le découragement en motivation.


💃 Prête à te traiter en première classe?


🎧 C’est par ici : [Lien vers l’épisode de podcast]


💬 Après avoir écouté l’épisode et lu l’article, n’hésite pas à partager tes réflexions et tes expériences dans les commentaires. Ton feedback est précieux et nous aide à créer du contenu toujours plus pertinent, utile et inspirant pour toi si Dieu le veut!


⏳ Ce n’est pas fini!


📣 J’ai ouvert 10 places pour la version Bootcamp de MapsyCampus pour débuter ce cheminement d’apaisement et de rencontre de soi à partir du lundi 1er juillet 2024, si Dieu le veut.



🚪 Les portes ferment le 2 juillet, alors ne manque pas cette occasion de transformer ta vie !


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Bien à toi,


📌 Si tu veux intégrer cette pratique puissante d’introspection à ton quotidien, découvre le journal d’introspection que j’ai créé. C’est un outil concret que j’ai mis au point pour Mapsycampus pour envoyer ton cerveau dans la bonne direction. Tu peux y accéder en exclusivité ici.


🤌🏽Rappelle-toi que tu n’es pas un problème à régler.

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👣 Parfois, il suffit juste de faire un pas.


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    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla new age sectaire ésotérique je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres ce traité en première classe commence maintenant ce que tu connais madame toujours et monsieur jamais Bienvenue dans cet épisode, ce centième épisode de l'émission Se traiter en première classe. Aujourd'hui, on va parler du découragement et ironie du sort, comme on dit. Eh bien, je réenregistre ce podcast pour la troisième fois. Donc, autant dire qu'on est en plein dans le vif du sujet concernant le découragement, mais surtout, comment persévérer finalement ? Parce que quand on va comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, Quand on va répondre à cette question ensemble de pourquoi on a tendance à se décourager, bien sûr, tout ça, c'est que des hypothèses, eh bien, on va percer aussi, ce faisant, je l'espère, le secret de la persévérance. Tu vois que quand on parle, que ce soit du fait de trouver, chercher un conjoint, d'être en relation avec les autres, d'être dans l'éducation des enfants, dans un processus d'apprentissage, ou quand tu es dans une réflexion dans ta capacité à gérer les finances ou à faire de l'argent, eh bien on est toujours en train de dealer, si je peux dire ça comme ça, avec le découragement. Et dans ce podcast, on va voir comment on se positionne justement dans ces montagnes russes que constituent le Mont Blanc, l'Himalaya, les montagnes du pays que tu veux, des challenges du quotidien, des épreuves de la vie. On va commencer par analyser un petit peu ensemble d'où vient le découragement. Alors, je pense que je vais partir sur trois types d'explications, trois types d'hypothèses, encore une fois. Des facteurs qui peuvent être personnels, des facteurs qui peuvent être sociaux, et des facteurs qui peuvent être culturels. Quand je parle de la culture, je parle de la culture familiale, de la culture sociétale, etc. Une première hypothèse qu'on peut faire, c'est que qu'est-ce qui fait qu'à un moment donné, on n'éprouve du tout le découragement ? D'où peut venir le découragement ? Le découragement peut venir d'un manque de soutien ressenti, perçu, que ce soit de la part de la famille, des amis, des collègues, des sœurs, etc. Et le fait de percevoir, de se dire qu'on manque de soutien, ça peut rendre les défis, qu'ils soient personnels, religieux, professionnels, etc., plus difficiles à surmonter. Parce que ce sentiment, si je peux dire ça comme ça, parce qu'on reste des êtres humains, des femmes, le sentiment, l'impression d'être soutenue, ça impacte au niveau émotionnel et pratique, on ne va pas se mentir. Et ça aide en fait à maintenir cette motivation, à alimenter cette résilience. Donc quand tu as l'impression que tu n'as pas tout ça, ça peut participer du fait que tu te sentes découragée. Également, je pense que beaucoup de personnes, et là en l'occurrence les femmes, on peut avoir tendance... à douter de nos capacités à faire des choses et notre valeur personnelle. Et ce manque d'estime de soi, ce déséquilibre en fait de l'estime de soi, de la confiance, ça peut être accentué, exacerbé par des choses qu'on a vécues, des expériences de rejet, de discrimination, d'abandon, d'échec, des critiques. Et du coup, ça peut alimenter ce déséquilibre dans la confiance, dans l'estime de soi. Et du coup, ça peut faire que... les obstacles du quotidien, les épreuves, les challenges du quotidien vont nous sembler beaucoup plus décourageants, beaucoup plus insurmontables. Et dans la même veine, et je vous ai déjà fait un podcast sur la question, sur la question de la charge mentale, notre perception... de ce qu'on a à faire légitimement dans le quotidien, de cette charge mentale qui est aussi une charge émotionnelle, eh bien si on l'aperçoit comme quelque chose d'énorme, bien sûr, d'insurmontable toujours, qu'on a ce sentiment en fait de se sentir impuissante par rapport à toute cette charge, eh bien ça peut alimenter encore une fois cette émotion, ce mécanisme du découragement. Et puis je pense qu'il y a quelque chose qu'on a tendance à ne pas assez faire peser dans la balance, si je puis dire, c'est notre potentiel épuisement. physique, psychique, psychologique, émotionnel. Nous les femmes, on est beaucoup de personnes à être dans le multitâche, à être sur tous les fronts, à jongler avec beaucoup de casquettes, beaucoup de responsabilités. Et selon la manière dont on conçoit ce qu'on est en train de faire et comment on se sent de mener tout ça de front, si je puis dire, eh bien, ça peut creuser, ça peut créer déjà, creuser, accentuer un épuisement physique. physique, pardon, psychique, émotionnel. Et cet épuisement, ça va réduire notre capacité, légitimement, c'est le propre de l'être humain, si je peux dire ça comme ça, ça va venir en fait alimenter, ça peut venir alimenter ce découragement et nous mettre un coup de pied dans les tibias pour justement persévérer face aux défis, rester motivé. Quand on est déjà en épuisement, on est beaucoup plus enclin, autrement dit à... se décourager, à ressentir du découragement. Et puis, une autre hypothèse, c'est que la peur de l'échec, la peur du succès aussi parfois, ça peut mener à cette procrastination. Au fait de se sentir, quand on n'a pas élaboré nos peurs, pourquoi on a peur, est-ce que c'est quelque chose qu'on choisit de continuer à penser, etc. On peut avoir tendance à retarder l'action, à compromettre notre propre réussite en raison de cette anxiété qui découle de cette peur. et de l'incertitude par rapport à nos capacités, par rapport à nos possibilités, par rapport à nos ressources pour cheminer justement vers les réussites, ce qu'on a envie d'accomplir dans notre vie. Et tout ça, ça peut alimenter du découragement. Alors là, typiquement, tous ces mécanismes-là, c'est des choses qu'on voit dans les modules du Bootcamp. notamment le module confiante et harmonieuse. Ce qui peut jouer aussi, ce qui peut alimenter plus rapidement, ce qui fait qu'on va peut-être flirter plus facilement avec cette émotion, ce sentiment de découragement, c'est le fait d'avoir vécu des traumatismes dans le passé. Que ce soit des événements traumatiques de l'ordre de l'émotionnel, du physique, du psychologique, ça, ça a un impact. durable sur nos leviers, ce que j'appelle les leviers motivationnels, sur notre confiance, sur notre optimisme, et comme on n'arrive pas à mettre en place tout ça émotionnellement parlant, on va être plus encline à se tourner, ce n'est pas un choix, c'est quelque chose qu'on subit bien sûr, vers le découragement. encore pire, si je puis dire, vraiment, quand on parle de traumatisme et d'expérience, quand je vous dis ça, je vous parle de violences domestiques, d'abus, de formes de traumatisme comme ça, qui nécessitent vraiment un soutien, un espace de guérison. On fait plus que se traiter en première classe, on se traite en première classe pour guérir, avant justement que les mécanismes, dans le but surtout que les mécanismes motivationnels, les leviers motivationnels peuvent être... restauré, guéri si je puis dire, pour pouvoir justement éviter de tomber dans le découragement, parce que quand on est mené comme ça par ces traumas, qu'on a encore des choses qui ont besoin d'être guéris, on va se trouver beaucoup plus facilement découragé, parce que réellement nos ressources sont très limitées. Et puis, encore une fois, je pense que ce n'est pas propre aux femmes, mais c'est particulier chez les femmes, si je peux dire ça. C'est une chose qu'on rencontre toutes dans nos vies, plusieurs fois même, c'est le fait de cheminer, de retrouver, de trouver un équilibre. Et ça, ça peut être particulièrement difficile pour les femmes, parce que comme je vous le disais tout à l'heure, on jongle avec plusieurs casquettes, plusieurs responsabilités. Et du coup, des fois, l'incapacité, ou même j'ai envie de vous dire, pire encore, le fait de même pas avoir conscience que c'est un processus comme ça qui s'alimente constamment, le fait de trouver et de chérir cet équilibre-là, au milieu de toutes nos casquettes qu'on a apportées dans le quotidien, ça peut mener à un épuisement, encore une fois. Et quand on est en statut, en situation d'épuisement, on va être beaucoup plus encline à éprouver cette émotion du découragement, que ce soit dans la... dans la sphère, encore une fois, religieuse, personnelle, professionnelle, sociétale, etc. Et puis, justement, pour faire la transition, si je cible un petit peu plus l'analyse des facteurs du découragement, eh bien, il y a des facteurs aussi que je pourrais dire qui sont davantage sociaux. C'est-à-dire que les attentes, les stéréotypes, sont imposées, qui sont véhiculées par la société, parce que des fois, c'est des choses qui sont véhiculées, mais qu'on récupère et qu'on s'impose à nous-mêmes sans que ce soit forcément forcé, si je peux dire ça comme ça. Dans tous les cas, ça peut être hyper pesant. C'est clair que nous, les femmes, on est attendues, on s'attend nous-mêmes, et on attend encore des autres, malheureusement, de remplir plusieurs rôles simultanément, de manière parfaite. On attend de nous d'être à 100% partout. Et je prêche souvent plutôt le 30, 20, 50, voilà, une répartition en fait des ressources qui sont conscientes, c'est ce qu'on travaille notamment dans le module épanoui et accompli du Bootcamp MaPsycho en plus, pour pouvoir justement combattre. enrayer ces attentes qui sont irréalistes, qu'elles proviennent de... De toute façon, parce que souvent, on met un peu la casquette, on fait un peu la faute sur l'autre, mais souvent, les choses, et ça, retiens bien ce que je vais dire là, souvent, ce qui... Comment dirais-je ? Ce qu'on se sent imposé par l'autre n'est imposé parce que ça résonne. Il y a une partie de nous qui adhère à ça, d'accord ? Ces attentes irréalistes, elles peuvent mener, qu'elles viennent des autres, de toi, que tu es fini par adhérer, etc. elle mène à un sentiment comme ça d'échec, d'incomplétude, de non-épanouissement, et forcément, in fine, tu vas te trouver fort probablement dans cette émotion du découragement. Et puis il faut se dire aussi qu'on peut appréhender les reproches, les critiques, les réactions en conséquence de ce qu'on accomplit ou pas, et de ne pas se sentir forcément... pas forcément les ressources, la capacité d'encaisser ça. Du coup, il y a de l'autosabotage qui se met en place pour éviter justement ce qu'on pense, qu'on projette, qu'on ne pourra pas encaisser. Et souvent, quand je dis encaisser, je parle de le supporter émotionnellement parlant. Parce qu'en fait, quand on est face à des événements, des situations, etc., ben... les faits sont là, mais souvent ce qu'on appréhende, c'est notre capacité à supporter la vague émotionnelle qui va arriver. Donc parfois, on se décourage face à une situation, parce qu'on se dit, si je me lance là-dedans, ça risque d'être, je pense que les trois quarts du temps c'est hyper inconscient, mais on se dit ça risque d'être tellement dur. je suis découragée d'avance, je préfère me désengager. Et là, on pourra encore parler de procrastination, etc. Il y a un point aussi que je voulais partager avec vous, je pense qu'il n'est peut-être pas assez abordé, c'est qu'il est plus facile de se décourager quand on manque de modèles de réussite qui fassent écho. C'est là où je voulais apporter la petite touche plus précise. un modèle de réussite féminin, certes, mais surtout qui fasse écho à nos ambitions, nos valeurs et nos principes. Parce qu'en 2024, quand même, alhamdoulilah, je remercie beaucoup de femmes qui réussissent, mais ce n'est pas forcément des modèles avec qui ça matche. On les voit réussir souvent dans le domaine du mondain, le professionnel, etc. Mais est-ce que des fois, on s'identifie à elles avec un S d'un point de vue ? des valeurs et des principes, pas toujours, même peu, je pense. Et du coup, le fait d'avoir peu de modèles féminins comme ça, de réussite, qui sont en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, ça peut être un petit peu démoralisant. Je vois en tant que vieille psy, je suis souvent contactée par des étudiantes en psychologie qui me disent, voilà, est-ce que c'est possible ? Alors souvent, c'est des étudiantes qui portent le voile, par exemple. Elle me dit Waouh, mais comment vous avez fait ? Est-ce que c'est vraiment possible de travailler avec son voile quand on est psychologue ? Est-ce qu'on peut vraiment ouvrir son cabinet ? On voit que vraiment, elles sont dans cette recherche de modèles. Je ne suis pas en train de dire que je suis un modèle, je vous donne juste un exemple. Mais en tout cas, de projections qui leur permettent de se projeter avec un modèle féminin qui... où elles se sentent en accord avec les valeurs, les principes et les ambitions. Et ce n'est pas forcément des choses qui sont promeues par la culture mainstream, la culture dominante. Et du coup, quand on n'a pas l'opportunité de connecter avec ces modèles-là, ça peut être démoralisant, on peut se décourager plus facilement. Et puis le dernier, non c'est pas le dernier, mais un autre point qui me vient, c'est que quand on a eu un vécu, et qui dit vécu, un besoin de digérer certaines expériences, et que ça n'a pas été fait, ça peut être décourageant, ça peut mener à un sentiment d'injustice, de frustration, si on ne prend pas le temps de digérer. Autrement dit... quand on a vécu comme ça des épreuves, et qu'il en a découlé un sentiment d'injustice, des sentiments, surtout ceux, je pense, ceux qui sont amenés plus facilement vers le découragement, mais qui sont liés à des problématiques d'injustice, de frustration, etc. Et si on ne prend pas le temps de guérir, de soigner ça, je pense qu'on est beaucoup plus en cline à se décourager. Ça fait écho à un point dont je vous parlais tout à l'heure. Tout ça... tout ça, ce qu'il faut se dire en fait, et c'est un peu la deuxième partie de ce podcast, d'ailleurs je discutais avec une femme que j'accompagne en individuel tout à l'heure, elle me dit, Émilie j'étais en voiture et j'étais en train d'écouter tes derniers podcasts, elle me dit, mais en fait ce n'est pas des podcasts, c'est des cours que tu nous fais. Je lui dis, oui c'est vrai. Je me suis fait cette réflexion-là. Vous me direz si vous avez déjà en commentaire, si c'est une réflexion que vous vous êtes déjà faite, et si c'est quelque chose que vous appréciez, ou si vous préféreriez avoir... un autre format, si je peux dire ça comme ça, en podcast. Tout ce que je voulais vous dire aussi, c'est que, d'où vient, en fait, ce que je voulais analyser en deuxième partie de ce podcast avec vous, pour pouvoir justement comprendre les tenants, les aboutissants du découragement, pour mieux désamorcer ça, c'est de se dire quoi ? C'est que, souvent, quand on est dans cette émotion, dans ce vécu du découragement, eh bien, derrière, il y a quoi ? Il y a des croyances limitantes. C'est un peu, les croyances limitantes, c'est celles que je vous ai partagées un peu au début, parce que ça en est. Je ne trouverai jamais de mari, je dois toujours tout faire moi-même, mes enfants ne m'écouteraient jamais, je serai toujours en galère au niveau de l'apprentissage, je ne pourrai jamais m'expatrier. Ce sont des croyances limitantes. Si vous êtes nouvelle dans la team, je vais vous donner un petit peu une définition très courte des croyances limitantes. On va dire que les croyances limitantes, c'est des opinions, c'est même des convictions. sont plus ou moins conscientes et qui sont profondément enracinées. Et quand on a des croyances limitantes, c'est comme si ce sont des programmes sur lesquels on va se caler, plus ou moins consciemment, pour mettre en place des comportements. Et quand on n'a pas eu l'opportunité de digérer correctement certains événements, son éducation, sa vie jusque là où tu en es actuellement, ça peut découler, il y en a pour tout le monde, même pour moi, entre guillemets, qui suis une spécialiste des croyances limitantes, bien sûr que j'en ai aussi, mais je pense que l'important, c'est d'avoir une posture d'humilité par rapport à ça, on est humaine, on est humain, et après de pouvoir... développer une autonomie dans l'identification et l'enrayement et l'affirmation de soi interne de ce qu'on choisit vraiment de croire, si je puis dire. Donc, ce que je voulais vous expliquer ici, c'est que... Et ces croyances limitantes, donc ces opinions, ces convictions fortes qu'on a héritées de la famille, l'éducation, la société, etc., c'est profondément enraciné en nous. C'est comme des programmes internes, j'en ai parlé plein de fois dans les podcasts. Et souvent, chez les femmes, il y a des croyances limitantes qui participent largement, donc des programmes comme ça, des disquettes, je vous en ai parlé aussi dans un autre podcast, qui participent du découragement, du genre je ne suis pas assez compétente Je dois être parfaite pour être reconnue, aimée, respectée et ne pas blesser les autres. Je ne mérite pas de bien. Je ne veux pas être une femme bien et avoir une vie de famille remplie. Être une apprenante, se limiter en fait soi-même dans ce qu'on... Si et ça, je ne peux pas tout avoir, même si on ne peut pas tout avoir, mais vous avez compris l'idée. Le fait de croire que les autres sont meilleurs que toi. Le fait de penser que tu dois faire plaisir à tout le monde pour prouver ta valeur, pour légitimer ton existence. Le fait de penser et même d'adhérer, c'est quelque chose que j'entends souvent, je dois faire tout moi-même pour éviter de demander de l'aide. Toutes ces choses, d'ailleurs, quand tu penses à ça, c'est fort probable que tu vas te surcharger de travail et que tu vas vite t'épuiser et qu'on va revenir à épuisement, découragement plus fréquent. Le fait de penser aussi que tu n'as pas assez de temps, parce que c'est le... Le vécu du temps, ça reste une perception du temps manqué qui empêche de prendre après, quand on a cette perception de j'ai jamais assez de temps et qu'on le répète tout le temps, forcément on va se décourager déjà, et puis on va être moins encline à structurer son temps, avoir une approche comme ça, à se réapproprier son temps. Et puis c'est clair que quand on a ces idées de c'est trop tard pour changer quand on pense que c'est ça et qu'on est trop vieille pour entreprendre des choses, pour apprendre le Coran par exemple, ou changer de carrière professionnelle, ou se remarier, cette croyance, elle limite la vision des possibles et elle nous empêche de nous saisir de nouvelles opportunités. Et là, on reste coincé, encore une fois, dans des situations qui ne nous satisfont pas et on se décourage à l'idée de... de tourner une page, si je peux dire ça comme ça. Il y a d'autres croyances aussi comme ça qui viennent du genre, si j'échoue, si je me loupe, ça va prouver que je suis la pire des incapables, parce qu'encore une fois, il y a une pire part de soi qui adhère à ça. Quand il y a une part de toi-même qui pense que tu es une incapable, tu vas venir appréhender que ça risque d'être confirmé par l'extérieur, ça risque de mettre en danger, etc. Et puis il y a un petit truc aussi, il y en a une aussi dont je voulais vous parler brièvement, parce que réellement... D'ailleurs, si je suis sincère avec vous, j'avais développé beaucoup plus les croyances limitantes dans le deuxième enregistrement du podcast que j'avais fait. Mais je me suis dit que c'est peut-être quelque chose que je pourrais creuser de par ailleurs. Je vous développerai ça plus tôt dans l'article du blog. Vous pouvez retrouver l'article correspondant de ce podcast sur le blog mapsienlinechezmoi.fr. Donc mapsienlinechezmoi.fr slash blog. Donc là, peut-être je vais... développer un petit peu plus sur ces croyances limitantes qui peuvent alimenter le découragement. Mais dans le podcast, je voulais vous faire comprendre justement ce que... Qu'est-ce qui participe du découragement ? C'est ce qu'on se dit, en fait. Et les croyances limitantes sont des convictions comme ça qui tournent en fond, si je peux dire ça comme ça, et qui impulsent justement, qui participent de ce découragement-là. Et là, celui que je voulais pointer aussi... Pour la fin de ce podcast, c'est que parfois, en fait, on a tendance à se dire je n'ai pas assez de confiance et d'estime de moi pour justement me développer, développer des opportunités, apprendre, me marier. J'attends d'avoir plus, d'être plus comme si, d'être plus confiante, d'être plus pieuse. Et en fait, c'est cette disposition où on attend un déclic. un idéal, encore une fois, et ça, des fois, il arrive qu'il y ait un déclic. J'espère que le podcast sera un déclic, mais parfois, en fait, on se met ça comme une condition sine qua non, et ça nous met dans un découragement. Ah ouais, non, en fait, là, non, je suis pas assez... Je suis pas assez... Mon estime de perso est trop déséquilibrée, j'ai pas assez confiance, etc. Et du coup, pouf, on se met un coup dans les tibias, on se sent découragé, et ça retarde... Et ça renforce, en fait, ce sentiment de stagnation et de découragement. Ça contribue à ce cycle infernal, si je peux dire ça comme ça, et ça restreint notre capacité à reconnaître notre valeur, à vraiment ressentir. nos accomplissements, parce que des fois, on les conçoit rationnellement, mais on a du mal à les ressentir. Et ça finit par des cycles de remise en cause, alors que remettre en question, justement, être plus autonome par rapport à ses croyances limitantes, par rapport à son mental, par rapport à sa gestion émotionnelle, c'est vraiment quelque chose, typiquement, qu'on travaille au sein de ma psycampus. Si tu veux rejoindre, d'ailleurs, la liste d'attente pour les portes qui ouvrent là, au 1er juillet et qui se referme au 2 juillet, parce que je ne vais prendre que 10 femmes, donc 2024, tu peux te rendre sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Et puis si tu as loupé, si je peux dire ça comme ça, cette brève ouverture de porte, tu peux quand même te saisir du journal d'introspection que tu peux retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. C'est un outil de Mapsy Campus qu'à la base j'avais créé uniquement pour les bootcampeuses, mais j'avais décidé de le rendre accessible pour d'autres personnes. Donc tu peux le retrouver sur mapsienlinechezmoi.fr. Parce que quand... Tu as des outils comme ça pour te remettre en question, pour envoyer ton cerveau dans la bonne direction d'une manière qui te profite et que tu sais comment justement identifier, transformer ces croyances limitantes en pétrole, en essence, j'allais dire, en énergie, où tu vas pouvoir cheminer de manière plus constructive. Forcément, ça aide à surmonter le découragement et ça aide à être autonome. par rapport à la mise en œuvre de ce dont je vous parlais tout à l'heure, des leviers motivationnels, des leviers de persévérance, et pour sûr que ce sont des leviers qui permettent aux femmes, qui nous permettent de réaliser notre plein potentiel. Tant bien même, parfois, on expérimente, on goûte au découragement, et c'est normal, c'est humain, mais au moins, on sait l'identifier, et on est en mode, ok, là, je me sens découragée, qu'est-ce qui se passe ? De quoi j'ai besoin pour avancer ? j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast. Si tu as envie de me dire en commentaire, est-ce que ça t'a parlé ? Est-ce qu'il y a certaines croyances limitantes que tu as remarqué que tu peux avoir qui reviennent un petit peu souvent et qui profitent de ton découragement ? Enfin, profitent, pas dans le bon sens du terme, vous avez compris. Je serais ravie de le savoir. Si tu as envie de mettre un commentaire, une review, une note sur ta plateforme d'écoute, je serais également ravie. Ça serait très encourageant pour toute la team Mapsy en ligne chez moi. Encore merci de votre écoute, de votre attention, de votre soutien. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. Je vous ai présenté le podcast Se traiter en première classe votre dose hebdomadaire pour justement vous construire le mindset, l'état d'esprit d'une femme qui est épanouie et qui est en phase avec ses ambitions, ses valeurs et ses principes. Chaque semaine, je déboule autant que faire se peut pour vous donner des explications concrètes, impactantes, des conseils pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, de tes ambitions et non bloqué à cause de tes peurs, de tes croyances limitantes et de tes blocages. Pensez bien que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure. et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. 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