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Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#116 Je ne veux pas déranger : l’habitude qui détruit ton affirmation personnelle

#116 Je ne veux pas déranger : l’habitude qui détruit ton affirmation personnelle

25min |18/10/2024|

299

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Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#116 Je ne veux pas déranger : l’habitude qui détruit ton affirmation personnelle

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25min |18/10/2024|

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Description

👂Dis-moi, est-ce que toi aussi tu t’es déjà entendue dire “Je ne veux pas déranger” en demandant un petit service, ou même en partageant un besoin ?


🗣Parfois, ça sort comme un automatisme


🔣Et d’autres fois, c’est calculé


🤐tu te dis que mieux vaut te taire plutôt que de passer pour une reloue.


👻Avoue, c’est un peu comme devenir un fantôme bien élevé!


🙄T’es là, bien présente, mais tu fais tout pour ne pas te faire remarquer.


🤫Pas de bruit,


😇Pas de vague,


😔En espérant que ta simple existence dérange le moins possible…


😟Alors, tu laisses passer des trucs :


☝une question que t’aurais aimé poser en réunion,


🖐un coup de main que t’aurais vraiment eu besoin de demander à une amie,


💭ou une petite discussion avec ton mari sur CE truc qui te préoccupe, mais bon…


😬tu préfères garder ça pour toi, histoire de ne pas “en faire trop”!


🤺À force, ça s’accumule et tu te retrouves à jouer à la ninja émotionnelle,


🤔en pensant que c’est la meilleure stratégie pour rester en paix avec tout le monde.


😩Sauf que, devine quoi ?


🏒À force de ne rien demander et de t’effacer, tu te tires toi-même une balle dans le pied.


😲Ton affirmation personnelle en prend un coup,


😢A force de ne jamais “déranger”, tu finis par croire que tes besoins n’ont pas d’importance.


Spoiler alerte : ils comptent. Toujours.


👑Et tu mérites de te traiter en première classe!


😊C’est pour ça que je t’invite à lire mon dernier article et épisode de podcast Je ne veux pas déranger : l’habitude qui détruit ton affirmation personnelle”.


🔎J’ y décortique pourquoi on agit comme ça, les raisons psychologiques profondes qui nous poussent à nous effacer, et surtout comment changer cette habitude pour enfin oser t’exprimer et prendre ta juste place.


😉On va voir des exemples du quotidien (ça sent le vécu, je te préviens) lol


🥰Alors, prête à cesser de t’excuser d’exister ?


✔️ Pour réserver ton créneau avec une psychologue de le team mapsyenlignechezmoi, clique ici


🚨 Pour nous contacter sur WhatsApp, c'est par ici


👉 Rdv ici et fais un premier pas vers une affirmation sans culpabilité


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant, garantie sans blabla, new age, sectaire, ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Bienvenue dans l'épisode 116 de l'émission Se traiter en première classe. Est-ce que tu t'es déjà surprise à dire je veux pas déranger en demandant un service ou même en exprimant un besoin ? Parfois, ces mots sortent presque automatiquement, c'est comme une seconde nature. Et d'autres fois, c'est plus un parti pris à une décision consciente. On se retient parce qu'on pense que ça va déranger les autres, que ça va être un fardeau, qu'on va être une reloue, ne serait-ce que de demander un service ou même exprimer un besoin. C'est un peu comme si tu te considères comme Casper, c'est-à-dire un petit fantôme, poli, t'es là, mais voilà, faut pas se faire trop remarquer et puis faut déranger le moins possible. Peut-être que tu as du coup renoncé à demander un coup de main à une amie, à poser une question pendant une réunion, à partager quelque chose d'important qui te tient à cœur, qui te tourne boule si je peux dire ça comme ça avec ton mari parce que tu ne veux pas passer pour une grosse relou. Et ces hésitations-là, elles se répètent et elles finissent par façonner la manière dont tu te comportes avec tes proches, avec ton entourage de manière plus ou moins directe si je peux dire ça comme ça. Et sans même te rendre compte. Quand tu fais ça, tu t'empêches de prendre ta place. Et tu vois ce réflexe, ce comportement, cette attitude comme ça. On a l'impression qu'il n'y a pas de mal. Le problème, c'est qu'on s'efface, tu t'effaces au point de nuire à ton bien-être, à tes projets, à tes ambitions. Quand tu te caches derrière, je ne veux pas déranger. Tu es en train de saboter ton affirmation personnelle. Tu mets une distance avec ce qui est important pour toi. Et tu peux développer du coup un espèce de sentiment de frustration, de ne pas être soutenu en fait. Et je voudrais que tu saches que c'est possible de reprendre confiance, de t'affirmer sans culpabilité, sans faire en fonction de la culpabilité et que tu t'autorises en fait enfin à exprimer tes besoins sans avoir l'impression de devoir t'excuser d'exister. Pourquoi ce comportement il est si ancré ? Comment ça peut te freiner dans ton quotidien ? tu peux en sortir surtout pour vivre d'une manière où tu vas te sentir plus sereine, plus apaisée vis-à-vis de l'autre, mais vis-à-vis de toi-même aussi, c'est vrai je pense que c'est hyper important ici que tu puisses intégrer, c'est ce qu'on va développer je vais essayer de te donner les déclics dans ce podcast pour que tu puisses développer ça comprendre en fait, intégrer cette idée que tes besoins comptent autant que ceux des autres et que pouvoir te positionner dans les relations sans faire en fonction de cette culpabilité là et bien c'est une force est ce que tu es prête à prendre ta place ce que je voudrais qu'on voit ensemble c'est déjà qu'on se mette d'accord sur ce truc de je veux pas déranger et souvent du coup j'ai donné des idées comment dirais-je des exemples en fait concret de situation du quotidien avec le voisinage bah ça en fait c'est genre imagine ton voisin et à la musique boum boum boum et toi tu es là tu veux pas aller lui demander tu peux tu ne veux pas le déranger en fait, c'est lui qui te dérange, mais toi tu es en mode tu ne veux pas le déranger, c'est le monde à l'envers. Et tu préfères du coup encaisser le molle de tête qui arrive, plutôt que de te risquer dans un échange où peut-être il va penser que tu es relou, que tu es intrusive, etc. Avec les collègues de travail, c'est quand tu n'oses pas en fait poser des questions dans la réunion, dire ce que tu penses, demander un conseil, parce que tu ne veux pas passer pour une nana insistante. incompétente et puis tu te replie encore une fois tu derrière le bas vaut mieux rester discrète et tu laisses tu te laisses dans le flou avec des tâches mal comprises par exemple En famille ou avec ton mari, c'est quand tu te retiens de poser une question, d'exprimer ce qui te pèse et que tu choisis d'encaisser des frustrations parce qu'encore une fois, il y a cette idée que en ne pas dérangeant, tu vas garder le calme et que tu ne vas pas risquer un conflit, une incompréhension, etc. On sait qu'il y a beaucoup d'anxiété derrière le je ne veux pas déranger Et ça peut sembler plus simple sur le moment, mais cette accumulation de choses que tu retiens, ça peut vite peser sur ton bien-être. Et tu sais, ça ressemble à quoi aussi ? C'est quand tu penses que ton médecin s'est trompé, ou il n'a pas écrit bien ton prénom sur l'ordonnance, ça peut poser problème à la pharmacie, et toi, tu n'oses pas le rappeler, en fait, pour lui dire. Ou alors, tu as besoin d'une information sur un aspirateur, ou que sais-je, et tu te replies derrière, ah, ce n'est pas trop grave, tu vois, parce que tu veux, encore une fois, être évité, d'être perçu comme la cliente qui dérange, qui est relou, et tu te laisses, en fait, tu t'abandonnes dans des doutes. et dans des besoins qui ne sont pas satisfaits. Et toutes ces situations, elles ont un point commun, c'est le fait que tu considères plus ou moins consciemment que tes ambitions, tes besoins, tes envies sont secondaires, et que tu t'effaces en fait dans ces moments-là, pensant que ta présence, ça pourrait déranger les autres. Et l'idée c'est de se dire, mais pourquoi parfois, le questionnement, l'introspection a mené, je pense qu'il est intéressant de le faire ici. C'est de se pencher, de se dire, mais quelles sont les raisons, tant psychologiques que émotionnelles, derrière justement cette peur, cette crainte de déranger ? Ce comportement n'est pas apparu, ce réflexe même, j'ai envie de dire, cette conviction, parce que c'est vraiment... Pardon, j'ai éternué, cette conviction, et non, je ne vais pas faire de montage de ce podcast. Ce comportement, cette attitude... Elle n'est pas apparue comme ça du jour au lendemain, ce n'est pas un hasard. Et quand on creuse, souvent, on découvre qu'il y a des raisons psychologiques et émotionnelles qui sont profondes et qui sont ancrées. Parmi lesquelles, ce qu'on retrouve souvent, c'est une éducation, une norme, une manière de faire en famille, de considérer en famille, etc. Ou même au niveau social, derrière cette peur. C'est quand on nous a fait passer l'idée que pour être sage, il ne faut pas... pas faire trop de bruit. D'ailleurs, c'est ce qu'on demande aux enfants. On leur demande s'ils ont été sages. L'idée, c'est qu'ils n'ont pas fait trop de bruit. Ce n'est pas qu'ils ont fait preuve de sagesse. Surtout pour les filles, je pense. On est souvent encouragé à nous montrer discrètes, entre guillemets, accommodantes. Mais ce n'est pas ça, la discrétion. Et ce n'est pas ça, être accommodante. Et cette pression, en fait, elle nous fait intégrer l'idée, la croyance que c'est mieux de se taire que de déranger les autres. Si je peux dire ça comme ça. Comme si on ne se tait pas, on va casser les pieds. Et je pense que souvent, aussi, quand on gratte, il y a cette peur du rejet qui ressort. L'idée que si on commence à exprimer, demander des choses, on va nous dire, et ça a déjà eu le cas souvent, qu'on est trop exigeante, casse-pieds, encombrante, dès qu'on exprime un besoin. Et souvent, peut-être quand je dis ça, tu as des choses qui te remontent de l'enfance d'ailleurs. Et c'est souvent lié, tout ça, ça crée en fait des blessures émotionnelles qui sont profondes, parce que dans ces moments-là, on se sent abandonné, on n'a pas reçu de reconnaissance pour nos besoins dans le passé, et ça nous pousse après dans ce comportement d'éviter en fait toutes les situations où on va ressentir à la fois le fait qu'on est repoussé, qu'on est abandonné, qu'on est rejeté, etc. Et surtout on veut tout faire pour éviter d'en souffrir à nouveau. Et forcément, et c'est lié, le manque d'estime de soi, ça joue un rôle. Quand tu as du mal à reconnaître ta propre valeur, c'est difficile de croire consciemment et inconsciemment que tes besoins sont aussi importants que ceux des autres. Et quand, par conséquent, tu as inféré que tes besoins sont moins importants que ceux des autres, tu finis par t'effacer, tu n'oses plus demander, parce que tu penses à la conviction vraiment que tu as moins d'importance que les autres. Et... Et forcément, quant à toute cette histoire, il y a beaucoup de croyances limitantes qui en découlent. Des pensées comme je dois me débrouiller seule je vais embêter les autres avec mes problèmes je serais riche si j'avais eu 1 dollar, 1 euro, 4 dirhams à chaque fois que j'ai entendu ça. Mais ça, ça nous empêche de demander de l'aide, d'exprimer ce qui nous pèse. Et ça renforce cette idée qu'on doit se débrouiller sans déranger les autres. du coup on coupe aussi avec notre féminité à ce moment là et que la norme à tenir si on veut être une bonne personne c'est de ne pas déranger La peur du conflit est aussi un frein majeur souvent à l'affirmation de soi, parce que je ne veux pas déranger, c'est un coup de pied dans les tibias, l'affirmation de soi. Dire ce qu'on ressent, exprimer un besoin, quand on a l'idée que ça peut provoquer des désaccords, surtout si tu as grandi dans un environnement où les conflits étaient uniquement présentés comme menaçants, embrouilles négatives, etc. Comme la guerre, si je puis dire ça comme ça, c'est probable que... Tu évites autant que possible, plus ou moins consciemment encore une fois, toutes les situations qui pourraient générer des tensions, des conflits. Et ces raisons, elles sont toutes valables, compréhensibles, et elles ont un impact sur ta vie qui est réel. Mais si tu laisses cette habitude, si tu continues de choisir, d'être en mode excusez-moi d'exister, je ne veux pas déranger ça va t'amener à vivre des situations délicates, désagréables, voire même destructrices. Parce que quand tu es en mode, je ne veux pas oser te déranger, je sais qu'il y a une part de vous, il y a une part de toi qui associe ça à, c'est une preuve de politesse, de bienveillance, mais en réalité, c'est de l'automito tout ça. Parce que quand tu es en mode ne pas déranger, ça peut te desservir de plusieurs façons. Déjà, tu peux passer à côté d'opportunités. Quand tu ne poses pas de questions, quand tu ne demandes pas des services, etc. Ça peut te... ça peut amener à manquer des occasions importantes comme une augmentation c'est même pas service à l'augmentation mais une formation de participer à des projets qui tiennent à coeur et ces moments de silence comme ça te prive de possibilités pas de vivre des nouvelles choses d'évoluer en tant que personne et puis après peut-être aussi avoir de recevoir de la reconnaissance et ton bien-être en souffre parce que quand tu mets ce feu quand tu es en mode je veux pas déranger ce que tu fais inconsciemment c'est que tu es Mais les besoins des autres, tu les places avant toi, tu mets les autres en priorité. Et ça, forcément, à force de te positionner comme ça vis-à-vis des autres, tu t'épuises mentalement et physiquement. Ce comportement, bien sûr, même si c'est possible, je ne dis pas que tu n'es que dans l'automito dans le sens où ce n'est pas motivé par la bienveillance. Peut-être que tu as l'idée que être bienveillant, c'est ça. Mais ça, ce parti pris entraîne un surmenage et finalement, tu te... Tu te sens avec un espèce de sentiment d'injustice envers toi-même. Et les autres, le risque, c'est qu'ils vont probablement, sauf si tu es face à des personnes très matures et très consciencieuses, mais il est fort probable, et c'est totalement humain, que les gens autour de toi finissent par prendre l'habitude de minimiser tes besoins aussi. Parce que quand tu t'effaces tout le temps, comme ça, constamment, inconsciemment, ils peuvent estimer que tu n'as pas vraiment d'importance. Parce que tu ne prends pas ta place en mode je ne veux pas déranger. Et ça, ça peut te rendre invisible aussi bien dans ton environnement professionnel que personnel, etc. Parce que finalement, tu fais passer tes attentes, tes besoins, etc. totalement inaperçus. Quand tu réprimes tes émotions, tes besoins, tes ambitions, ça engendre en toi au bout d'un moment du ressentiment, de la frustration. Tu as une espèce de... d'agacement, de colère sourde comme ça qui, tôt ou tard, va finir par exploser si ce n'est pas déjà fait. Si tu n'exprimes pas cette colère, ça se transforme en frustration chronique, en bureau des plaintes internes ou externes. Et ça, ça affecte ton bien-être et forcément ta relation avec toi-même et la relation avec les autres parce que tu deviens une vieille seringue. Tu peux avoir l'impression que c'est un cercle vicieux parce que plus tu évites de déranger, plus tu te sens isolé. Moins prise en compte parce que tu t'affirmes pas en fait quand tu fais ça. Et ce comportement, ça a des conséquences encore plus graves sur le long terme. Si tu persistes à adopter cette habitude, tu t'exposes à certains dangers, à plusieurs dangers. Peut-être le mot, il peut sembler un peu fort, mais t'as compris l'idée. L'épuisement émotionnel, c'est une conséquence qui est fréquente. Parce que souvent quand on est en mode, j'ai jamais rencontré une femme qui est en mode je veux pas déranger. et qui en même temps n'a pas comme mission de vie de répondre aux attentes des autres. C'est-à-dire qu'elle, elle ne veut pas déranger, mais elle n'a pas de problème avec le fait d'être constamment dérangée. Mais elle, elle ne voit pas ça comme le fait d'être dérangée. Tu as compris l'idée. Mais ça, c'est épuisant. C'est épuisant physiquement, mentalement. Cet effort en fait constant pour se conformer, pour se suradapter aux besoins des autres, ça vide ton énergie. Et il y a peu de place pour le fait de te traiter en première classe pour ton bien-être autrement dit. Et forcément, et s'il te plaît, si tu peux retenir une chose de ce podcast, c'est que quand tu es en mode je veux pas déranger, forcément à un moment donné, tes relations vont être déséquilibrées. Si tu t'effaces tout le temps, c'est pas forcément que tu vas attirer des personnes dans le sens loi de l'attraction, je sais pas quoi. Non, c'est que tu vas avoir la probabilité... sur laquelle tu es des personnes qui te sollicitent, qui prennent sans jamais donner en retour, est très grande. Et ce déséquilibre, ça va t'amener à un moment donné, fortement, inévitablement, à te sentir utilisée, incomprise. Et forcément, ça va affecter, ça va fragiliser la qualité de tes liens relationnels avec les autres. comment tu vas t'attacher, comment on va s'attacher à toi, et les relations plus ou moins toxiques, mais surtout toxiques, que tu risques de favoriser en ayant cette posture-là vis-à-vis des autres. À force de te conformer à la projection que toi, tu as des attentes extérieures, parce que des fois, ce n'est même pas les autres qui attendent de toi, c'est-à-dire que toi, tu penses que tu vas déranger, mais l'autre en face, ça se trouve, ne va absolument pas être dérangé par ta demande. d'accord tu mais quand tu fais ça tu finis par perdre de vue qui tu es vraiment est ce que tu veux et cette perte d'identité ça qui est lié en fait au fait de ça d'être dans le mode sacrifice de tes envies de tes ambitions de tes besoins pour te fondre dans ce que tu crois de ce que les autres attendent de toi ou dans ce que ou peut-être même de ce que les autres attendent de toi parce que en général allez y en a ils ont un don pour s'accrocher au point de plus avoir toi qu'est-ce qui t'anime vraiment en fait. Chaque fois que tu renonces à exprimer tes besoins parce que tu as peur de déranger, tu renforces l'idée que tes envies ne sont pas importantes pour toi, à tes propres yeux, aux yeux des autres aussi. Et ça, ça abîme ton estime personnelle, ça alimente cette croyance que tu n'es pas une priorité, que tu n'as pas ta place et ce manque de confiance peut devenir un véritable frein en fait dans ta vie personnelle et professionnelle. Le stress que tu accumules, les frustrations que tu accumules, ces émotions que tu refoules, ça donne souvent lieu à ce qu'on appelle des troubles psychosomatiques, du genre insomnie, mal de tête, les muscles bien crispés, des douleurs chroniques dans le corps, parce que ton corps finit par exprimer ce que ton esprit, ton âme, ton mental, ta psyché gardent sous silence. Et il faut se dire une chose aussi, c'est que quand tu te prives quand tu es en mode pardon je veux pas déranger et moi c'est ce truc qui m'énerve et c'est ce que je dis toujours aux femmes de mon entourage qui me sortent ça mais quand tu dis ça tu te prive de recevoir l'aide et le soutien des autres quand tu demandes pas parce que tu as peur de déranger ben non seulement tu envoies le message que tu as pas besoin d'assistante alors que d'assistance pardon alors que tu en aurais vraiment besoin et tu empêches les autres tes amis ta famille tes collègues de travail va d'avoir cette place bienveillante à tes côtés. Peut-être qu'il y a des personnes qui sont prêtes à t'aider, à qui ça ferait plaisir de t'apporter du soutien, mais il faut que tu puisses leur en donner l'occasion. Et quand tu ne leur permets pas de t'aider, de contribuer, tu leur prives de cette opportunité d'être bienveillante avec toi. Il est vraiment temps d'accepter de recevoir de l'aide. Quand tu fais ça, tu permets à tes proches, aux gens qui t'aiment, de se sentir utile pour toi. et de tisser des liens plus authentiques. Parce que quand tu refuses ce soutien, tu renforces une dynamique où les relations manquent de réciprocité. Et ça peut également aussi limiter la qualité de tes relations, de tes connexions avec les autres. Apprendre à reconnaître tes besoins, c'est une étape qui est essentielle. Prends le temps d'identifier ce que tu veux vraiment en étant à l'écoute de tes émotions et de ton corps. Ça, ça va t'aider à comprendre qui tu es et à prendre ta place. Bien sûr, pratiquer la communication assertive, c'est un point clé, parce que le but, c'est pas d'être en mode, parce que souvent, il y a cette idée-là aussi qui bloque, que tu vas imposer tout ce que tu veux aux autres, que tu vas être la fille qui réclame, etc. Non, l'idée tranquille d'exprimer les choses calmement, clairement, en respectant tes besoins et ceux des besoins autour de toi, l'un n'exclut pas forcément l'autre, et forcément, ça, ça favorise des relations qui sont... équilibrées, qui sont saines, qui sont constructives. L'idée, c'est vraiment que tu puisses ce que je t'invite à faire, c'est vraiment de déconstruire ces croyances limitantes, et pour pouvoir te libérer de ces pensées restrictives, du je vais déranger Par exemple, quand tu as ce sentiment, tu peux dire voilà, tu te rappelles mon avis, aussi important que celui des autres, travaille sur ton discours intérieur, c'est vraiment un des tenants et les aboutissants de ma psychampus, et là, tu vas commencer à percevoir tes besoins. tes besoins comme légitimes. Parce que tu ne peux pas juste te... Là, je te propose une idée alternative, le fait de te rappeler, mon avis est aussi important que celui des autres. Mais si tu as des blessures, des traumas, etc., qui font que réellement, tu ne crois pas que c'est vrai, ça va bloquer, en fait. L'idée, c'est vraiment que tu puisses... Te sentir légitime à te mettre en priorité, à te traiter en première classe, sans penser, sans adhérer à l'idée que c'est de l'égoïsme. Ça, c'est une nécessité pour te donner de la considération et pour pouvoir en recevoir. Parce que quand tu es bien avec toi, tu peux être plus disponible pour les autres. Et ce recentrage, ça va t'aider à trouver un équilibre sain dans tes relations, à t'entourer de personnes qui sont bienveillantes, qui te valorisent, qui veulent t'aider aussi, qui veulent t'aimer. Et ça, ça va t'aider à gagner en apaisement. Commencer par s'exprimer dans des situations simples, donner ton avis sur un film, te dire n'importe quoi, proposer une activité à une amie en n'écoutant pas le truc de je vais la déranger Mais tu vois, essaye de te saisir de chaque opportunité qui peut du coup renforcer ta place, te donner même ta place, d'affirmer tes besoins. Plus tu vas faire ça, et plus ça va être comme une seconde nature. Inch'Allah. Alors tu vois l'idée, c'est ok, il y a le je veux pas déranger, mais l'idée c'est d'être en mode ok, je veux pas déranger, mais je me soigne, d'accord ? Parce que même si à un moment donné, tu as adhéré à l'idée dans ta vie que je veux pas déranger, c'est genre de la politesse, de l'humilité, blablabla, et tu as bien, j'espère qu'aujourd'hui tu as saisi, que je vais pouvoir pousser des clics que ça c'est un obstacle clairement à ton épanouissement. L'idée c'est que tu puisses... T'affirmer, reconnaître tes besoins, les exprimer sans crainte, de te reconnecter à toi-même pour créer un équilibre plus sain avec toi-même, mais avec les autres. Alors la prochaine fois que tu te surprends à penser, je veux pas déranger, rappelle-toi, tes besoins comptent. S'affirmer, c'est pas imposer, d'accord ? C'est honorer ce que tu ressens. Preuve de respect vis-à-vis de toi-même. Tu as le droit de demander, d'exister, de dire non, de dire je ne suis pas disponible, mais surtout d'être écouté et d'être soutenu avec autant de légitimité que n'importe qui. Tu as le droit de te traiter en première classe. Et en prenant soin de toi et en occupant ta juste place, eh bien, rappelle-toi que tu donnes aussi l'opportunité aux autres d'avoir l'exemple d'une relation qui est... équilibré et authentique. Tu mérites d'être entendu, d'être reconnu et d'être soutenu. J'ai super hâte de lire vos retours en commentaire. Est-ce que tu fais partie de la team ? Je ne veux pas déranger. Et dis-moi comment tu te soignes ou comment tu vas te soigner en commentaire. C'était Emilie Antoine pour l'émission Street en première classe. Pense bien que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. Hasta la vista, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires. pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur MaPsychEmpuce, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, Rends-toi sur mapsyenlunichemoi.fr slash mapsycampus M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S Ensemble, sur Mapsy Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi. Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psycampus.

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👂Dis-moi, est-ce que toi aussi tu t’es déjà entendue dire “Je ne veux pas déranger” en demandant un petit service, ou même en partageant un besoin ?


🗣Parfois, ça sort comme un automatisme


🔣Et d’autres fois, c’est calculé


🤐tu te dis que mieux vaut te taire plutôt que de passer pour une reloue.


👻Avoue, c’est un peu comme devenir un fantôme bien élevé!


🙄T’es là, bien présente, mais tu fais tout pour ne pas te faire remarquer.


🤫Pas de bruit,


😇Pas de vague,


😔En espérant que ta simple existence dérange le moins possible…


😟Alors, tu laisses passer des trucs :


☝une question que t’aurais aimé poser en réunion,


🖐un coup de main que t’aurais vraiment eu besoin de demander à une amie,


💭ou une petite discussion avec ton mari sur CE truc qui te préoccupe, mais bon…


😬tu préfères garder ça pour toi, histoire de ne pas “en faire trop”!


🤺À force, ça s’accumule et tu te retrouves à jouer à la ninja émotionnelle,


🤔en pensant que c’est la meilleure stratégie pour rester en paix avec tout le monde.


😩Sauf que, devine quoi ?


🏒À force de ne rien demander et de t’effacer, tu te tires toi-même une balle dans le pied.


😲Ton affirmation personnelle en prend un coup,


😢A force de ne jamais “déranger”, tu finis par croire que tes besoins n’ont pas d’importance.


Spoiler alerte : ils comptent. Toujours.


👑Et tu mérites de te traiter en première classe!


😊C’est pour ça que je t’invite à lire mon dernier article et épisode de podcast Je ne veux pas déranger : l’habitude qui détruit ton affirmation personnelle”.


🔎J’ y décortique pourquoi on agit comme ça, les raisons psychologiques profondes qui nous poussent à nous effacer, et surtout comment changer cette habitude pour enfin oser t’exprimer et prendre ta juste place.


😉On va voir des exemples du quotidien (ça sent le vécu, je te préviens) lol


🥰Alors, prête à cesser de t’excuser d’exister ?


✔️ Pour réserver ton créneau avec une psychologue de le team mapsyenlignechezmoi, clique ici


🚨 Pour nous contacter sur WhatsApp, c'est par ici


👉 Rdv ici et fais un premier pas vers une affirmation sans culpabilité


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant, garantie sans blabla, new age, sectaire, ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Bienvenue dans l'épisode 116 de l'émission Se traiter en première classe. Est-ce que tu t'es déjà surprise à dire je veux pas déranger en demandant un service ou même en exprimant un besoin ? Parfois, ces mots sortent presque automatiquement, c'est comme une seconde nature. Et d'autres fois, c'est plus un parti pris à une décision consciente. On se retient parce qu'on pense que ça va déranger les autres, que ça va être un fardeau, qu'on va être une reloue, ne serait-ce que de demander un service ou même exprimer un besoin. C'est un peu comme si tu te considères comme Casper, c'est-à-dire un petit fantôme, poli, t'es là, mais voilà, faut pas se faire trop remarquer et puis faut déranger le moins possible. Peut-être que tu as du coup renoncé à demander un coup de main à une amie, à poser une question pendant une réunion, à partager quelque chose d'important qui te tient à cœur, qui te tourne boule si je peux dire ça comme ça avec ton mari parce que tu ne veux pas passer pour une grosse relou. Et ces hésitations-là, elles se répètent et elles finissent par façonner la manière dont tu te comportes avec tes proches, avec ton entourage de manière plus ou moins directe si je peux dire ça comme ça. Et sans même te rendre compte. Quand tu fais ça, tu t'empêches de prendre ta place. Et tu vois ce réflexe, ce comportement, cette attitude comme ça. On a l'impression qu'il n'y a pas de mal. Le problème, c'est qu'on s'efface, tu t'effaces au point de nuire à ton bien-être, à tes projets, à tes ambitions. Quand tu te caches derrière, je ne veux pas déranger. Tu es en train de saboter ton affirmation personnelle. Tu mets une distance avec ce qui est important pour toi. Et tu peux développer du coup un espèce de sentiment de frustration, de ne pas être soutenu en fait. Et je voudrais que tu saches que c'est possible de reprendre confiance, de t'affirmer sans culpabilité, sans faire en fonction de la culpabilité et que tu t'autorises en fait enfin à exprimer tes besoins sans avoir l'impression de devoir t'excuser d'exister. Pourquoi ce comportement il est si ancré ? Comment ça peut te freiner dans ton quotidien ? tu peux en sortir surtout pour vivre d'une manière où tu vas te sentir plus sereine, plus apaisée vis-à-vis de l'autre, mais vis-à-vis de toi-même aussi, c'est vrai je pense que c'est hyper important ici que tu puisses intégrer, c'est ce qu'on va développer je vais essayer de te donner les déclics dans ce podcast pour que tu puisses développer ça comprendre en fait, intégrer cette idée que tes besoins comptent autant que ceux des autres et que pouvoir te positionner dans les relations sans faire en fonction de cette culpabilité là et bien c'est une force est ce que tu es prête à prendre ta place ce que je voudrais qu'on voit ensemble c'est déjà qu'on se mette d'accord sur ce truc de je veux pas déranger et souvent du coup j'ai donné des idées comment dirais-je des exemples en fait concret de situation du quotidien avec le voisinage bah ça en fait c'est genre imagine ton voisin et à la musique boum boum boum et toi tu es là tu veux pas aller lui demander tu peux tu ne veux pas le déranger en fait, c'est lui qui te dérange, mais toi tu es en mode tu ne veux pas le déranger, c'est le monde à l'envers. Et tu préfères du coup encaisser le molle de tête qui arrive, plutôt que de te risquer dans un échange où peut-être il va penser que tu es relou, que tu es intrusive, etc. Avec les collègues de travail, c'est quand tu n'oses pas en fait poser des questions dans la réunion, dire ce que tu penses, demander un conseil, parce que tu ne veux pas passer pour une nana insistante. incompétente et puis tu te replie encore une fois tu derrière le bas vaut mieux rester discrète et tu laisses tu te laisses dans le flou avec des tâches mal comprises par exemple En famille ou avec ton mari, c'est quand tu te retiens de poser une question, d'exprimer ce qui te pèse et que tu choisis d'encaisser des frustrations parce qu'encore une fois, il y a cette idée que en ne pas dérangeant, tu vas garder le calme et que tu ne vas pas risquer un conflit, une incompréhension, etc. On sait qu'il y a beaucoup d'anxiété derrière le je ne veux pas déranger Et ça peut sembler plus simple sur le moment, mais cette accumulation de choses que tu retiens, ça peut vite peser sur ton bien-être. Et tu sais, ça ressemble à quoi aussi ? C'est quand tu penses que ton médecin s'est trompé, ou il n'a pas écrit bien ton prénom sur l'ordonnance, ça peut poser problème à la pharmacie, et toi, tu n'oses pas le rappeler, en fait, pour lui dire. Ou alors, tu as besoin d'une information sur un aspirateur, ou que sais-je, et tu te replies derrière, ah, ce n'est pas trop grave, tu vois, parce que tu veux, encore une fois, être évité, d'être perçu comme la cliente qui dérange, qui est relou, et tu te laisses, en fait, tu t'abandonnes dans des doutes. et dans des besoins qui ne sont pas satisfaits. Et toutes ces situations, elles ont un point commun, c'est le fait que tu considères plus ou moins consciemment que tes ambitions, tes besoins, tes envies sont secondaires, et que tu t'effaces en fait dans ces moments-là, pensant que ta présence, ça pourrait déranger les autres. Et l'idée c'est de se dire, mais pourquoi parfois, le questionnement, l'introspection a mené, je pense qu'il est intéressant de le faire ici. C'est de se pencher, de se dire, mais quelles sont les raisons, tant psychologiques que émotionnelles, derrière justement cette peur, cette crainte de déranger ? Ce comportement n'est pas apparu, ce réflexe même, j'ai envie de dire, cette conviction, parce que c'est vraiment... Pardon, j'ai éternué, cette conviction, et non, je ne vais pas faire de montage de ce podcast. Ce comportement, cette attitude... Elle n'est pas apparue comme ça du jour au lendemain, ce n'est pas un hasard. Et quand on creuse, souvent, on découvre qu'il y a des raisons psychologiques et émotionnelles qui sont profondes et qui sont ancrées. Parmi lesquelles, ce qu'on retrouve souvent, c'est une éducation, une norme, une manière de faire en famille, de considérer en famille, etc. Ou même au niveau social, derrière cette peur. C'est quand on nous a fait passer l'idée que pour être sage, il ne faut pas... pas faire trop de bruit. D'ailleurs, c'est ce qu'on demande aux enfants. On leur demande s'ils ont été sages. L'idée, c'est qu'ils n'ont pas fait trop de bruit. Ce n'est pas qu'ils ont fait preuve de sagesse. Surtout pour les filles, je pense. On est souvent encouragé à nous montrer discrètes, entre guillemets, accommodantes. Mais ce n'est pas ça, la discrétion. Et ce n'est pas ça, être accommodante. Et cette pression, en fait, elle nous fait intégrer l'idée, la croyance que c'est mieux de se taire que de déranger les autres. Si je peux dire ça comme ça. Comme si on ne se tait pas, on va casser les pieds. Et je pense que souvent, aussi, quand on gratte, il y a cette peur du rejet qui ressort. L'idée que si on commence à exprimer, demander des choses, on va nous dire, et ça a déjà eu le cas souvent, qu'on est trop exigeante, casse-pieds, encombrante, dès qu'on exprime un besoin. Et souvent, peut-être quand je dis ça, tu as des choses qui te remontent de l'enfance d'ailleurs. Et c'est souvent lié, tout ça, ça crée en fait des blessures émotionnelles qui sont profondes, parce que dans ces moments-là, on se sent abandonné, on n'a pas reçu de reconnaissance pour nos besoins dans le passé, et ça nous pousse après dans ce comportement d'éviter en fait toutes les situations où on va ressentir à la fois le fait qu'on est repoussé, qu'on est abandonné, qu'on est rejeté, etc. Et surtout on veut tout faire pour éviter d'en souffrir à nouveau. Et forcément, et c'est lié, le manque d'estime de soi, ça joue un rôle. Quand tu as du mal à reconnaître ta propre valeur, c'est difficile de croire consciemment et inconsciemment que tes besoins sont aussi importants que ceux des autres. Et quand, par conséquent, tu as inféré que tes besoins sont moins importants que ceux des autres, tu finis par t'effacer, tu n'oses plus demander, parce que tu penses à la conviction vraiment que tu as moins d'importance que les autres. Et... Et forcément, quant à toute cette histoire, il y a beaucoup de croyances limitantes qui en découlent. Des pensées comme je dois me débrouiller seule je vais embêter les autres avec mes problèmes je serais riche si j'avais eu 1 dollar, 1 euro, 4 dirhams à chaque fois que j'ai entendu ça. Mais ça, ça nous empêche de demander de l'aide, d'exprimer ce qui nous pèse. Et ça renforce cette idée qu'on doit se débrouiller sans déranger les autres. du coup on coupe aussi avec notre féminité à ce moment là et que la norme à tenir si on veut être une bonne personne c'est de ne pas déranger La peur du conflit est aussi un frein majeur souvent à l'affirmation de soi, parce que je ne veux pas déranger, c'est un coup de pied dans les tibias, l'affirmation de soi. Dire ce qu'on ressent, exprimer un besoin, quand on a l'idée que ça peut provoquer des désaccords, surtout si tu as grandi dans un environnement où les conflits étaient uniquement présentés comme menaçants, embrouilles négatives, etc. Comme la guerre, si je puis dire ça comme ça, c'est probable que... Tu évites autant que possible, plus ou moins consciemment encore une fois, toutes les situations qui pourraient générer des tensions, des conflits. Et ces raisons, elles sont toutes valables, compréhensibles, et elles ont un impact sur ta vie qui est réel. Mais si tu laisses cette habitude, si tu continues de choisir, d'être en mode excusez-moi d'exister, je ne veux pas déranger ça va t'amener à vivre des situations délicates, désagréables, voire même destructrices. Parce que quand tu es en mode, je ne veux pas oser te déranger, je sais qu'il y a une part de vous, il y a une part de toi qui associe ça à, c'est une preuve de politesse, de bienveillance, mais en réalité, c'est de l'automito tout ça. Parce que quand tu es en mode ne pas déranger, ça peut te desservir de plusieurs façons. Déjà, tu peux passer à côté d'opportunités. Quand tu ne poses pas de questions, quand tu ne demandes pas des services, etc. Ça peut te... ça peut amener à manquer des occasions importantes comme une augmentation c'est même pas service à l'augmentation mais une formation de participer à des projets qui tiennent à coeur et ces moments de silence comme ça te prive de possibilités pas de vivre des nouvelles choses d'évoluer en tant que personne et puis après peut-être aussi avoir de recevoir de la reconnaissance et ton bien-être en souffre parce que quand tu mets ce feu quand tu es en mode je veux pas déranger ce que tu fais inconsciemment c'est que tu es Mais les besoins des autres, tu les places avant toi, tu mets les autres en priorité. Et ça, forcément, à force de te positionner comme ça vis-à-vis des autres, tu t'épuises mentalement et physiquement. Ce comportement, bien sûr, même si c'est possible, je ne dis pas que tu n'es que dans l'automito dans le sens où ce n'est pas motivé par la bienveillance. Peut-être que tu as l'idée que être bienveillant, c'est ça. Mais ça, ce parti pris entraîne un surmenage et finalement, tu te... Tu te sens avec un espèce de sentiment d'injustice envers toi-même. Et les autres, le risque, c'est qu'ils vont probablement, sauf si tu es face à des personnes très matures et très consciencieuses, mais il est fort probable, et c'est totalement humain, que les gens autour de toi finissent par prendre l'habitude de minimiser tes besoins aussi. Parce que quand tu t'effaces tout le temps, comme ça, constamment, inconsciemment, ils peuvent estimer que tu n'as pas vraiment d'importance. Parce que tu ne prends pas ta place en mode je ne veux pas déranger. Et ça, ça peut te rendre invisible aussi bien dans ton environnement professionnel que personnel, etc. Parce que finalement, tu fais passer tes attentes, tes besoins, etc. totalement inaperçus. Quand tu réprimes tes émotions, tes besoins, tes ambitions, ça engendre en toi au bout d'un moment du ressentiment, de la frustration. Tu as une espèce de... d'agacement, de colère sourde comme ça qui, tôt ou tard, va finir par exploser si ce n'est pas déjà fait. Si tu n'exprimes pas cette colère, ça se transforme en frustration chronique, en bureau des plaintes internes ou externes. Et ça, ça affecte ton bien-être et forcément ta relation avec toi-même et la relation avec les autres parce que tu deviens une vieille seringue. Tu peux avoir l'impression que c'est un cercle vicieux parce que plus tu évites de déranger, plus tu te sens isolé. Moins prise en compte parce que tu t'affirmes pas en fait quand tu fais ça. Et ce comportement, ça a des conséquences encore plus graves sur le long terme. Si tu persistes à adopter cette habitude, tu t'exposes à certains dangers, à plusieurs dangers. Peut-être le mot, il peut sembler un peu fort, mais t'as compris l'idée. L'épuisement émotionnel, c'est une conséquence qui est fréquente. Parce que souvent quand on est en mode, j'ai jamais rencontré une femme qui est en mode je veux pas déranger. et qui en même temps n'a pas comme mission de vie de répondre aux attentes des autres. C'est-à-dire qu'elle, elle ne veut pas déranger, mais elle n'a pas de problème avec le fait d'être constamment dérangée. Mais elle, elle ne voit pas ça comme le fait d'être dérangée. Tu as compris l'idée. Mais ça, c'est épuisant. C'est épuisant physiquement, mentalement. Cet effort en fait constant pour se conformer, pour se suradapter aux besoins des autres, ça vide ton énergie. Et il y a peu de place pour le fait de te traiter en première classe pour ton bien-être autrement dit. Et forcément, et s'il te plaît, si tu peux retenir une chose de ce podcast, c'est que quand tu es en mode je veux pas déranger, forcément à un moment donné, tes relations vont être déséquilibrées. Si tu t'effaces tout le temps, c'est pas forcément que tu vas attirer des personnes dans le sens loi de l'attraction, je sais pas quoi. Non, c'est que tu vas avoir la probabilité... sur laquelle tu es des personnes qui te sollicitent, qui prennent sans jamais donner en retour, est très grande. Et ce déséquilibre, ça va t'amener à un moment donné, fortement, inévitablement, à te sentir utilisée, incomprise. Et forcément, ça va affecter, ça va fragiliser la qualité de tes liens relationnels avec les autres. comment tu vas t'attacher, comment on va s'attacher à toi, et les relations plus ou moins toxiques, mais surtout toxiques, que tu risques de favoriser en ayant cette posture-là vis-à-vis des autres. À force de te conformer à la projection que toi, tu as des attentes extérieures, parce que des fois, ce n'est même pas les autres qui attendent de toi, c'est-à-dire que toi, tu penses que tu vas déranger, mais l'autre en face, ça se trouve, ne va absolument pas être dérangé par ta demande. d'accord tu mais quand tu fais ça tu finis par perdre de vue qui tu es vraiment est ce que tu veux et cette perte d'identité ça qui est lié en fait au fait de ça d'être dans le mode sacrifice de tes envies de tes ambitions de tes besoins pour te fondre dans ce que tu crois de ce que les autres attendent de toi ou dans ce que ou peut-être même de ce que les autres attendent de toi parce que en général allez y en a ils ont un don pour s'accrocher au point de plus avoir toi qu'est-ce qui t'anime vraiment en fait. Chaque fois que tu renonces à exprimer tes besoins parce que tu as peur de déranger, tu renforces l'idée que tes envies ne sont pas importantes pour toi, à tes propres yeux, aux yeux des autres aussi. Et ça, ça abîme ton estime personnelle, ça alimente cette croyance que tu n'es pas une priorité, que tu n'as pas ta place et ce manque de confiance peut devenir un véritable frein en fait dans ta vie personnelle et professionnelle. Le stress que tu accumules, les frustrations que tu accumules, ces émotions que tu refoules, ça donne souvent lieu à ce qu'on appelle des troubles psychosomatiques, du genre insomnie, mal de tête, les muscles bien crispés, des douleurs chroniques dans le corps, parce que ton corps finit par exprimer ce que ton esprit, ton âme, ton mental, ta psyché gardent sous silence. Et il faut se dire une chose aussi, c'est que quand tu te prives quand tu es en mode pardon je veux pas déranger et moi c'est ce truc qui m'énerve et c'est ce que je dis toujours aux femmes de mon entourage qui me sortent ça mais quand tu dis ça tu te prive de recevoir l'aide et le soutien des autres quand tu demandes pas parce que tu as peur de déranger ben non seulement tu envoies le message que tu as pas besoin d'assistante alors que d'assistance pardon alors que tu en aurais vraiment besoin et tu empêches les autres tes amis ta famille tes collègues de travail va d'avoir cette place bienveillante à tes côtés. Peut-être qu'il y a des personnes qui sont prêtes à t'aider, à qui ça ferait plaisir de t'apporter du soutien, mais il faut que tu puisses leur en donner l'occasion. Et quand tu ne leur permets pas de t'aider, de contribuer, tu leur prives de cette opportunité d'être bienveillante avec toi. Il est vraiment temps d'accepter de recevoir de l'aide. Quand tu fais ça, tu permets à tes proches, aux gens qui t'aiment, de se sentir utile pour toi. et de tisser des liens plus authentiques. Parce que quand tu refuses ce soutien, tu renforces une dynamique où les relations manquent de réciprocité. Et ça peut également aussi limiter la qualité de tes relations, de tes connexions avec les autres. Apprendre à reconnaître tes besoins, c'est une étape qui est essentielle. Prends le temps d'identifier ce que tu veux vraiment en étant à l'écoute de tes émotions et de ton corps. Ça, ça va t'aider à comprendre qui tu es et à prendre ta place. Bien sûr, pratiquer la communication assertive, c'est un point clé, parce que le but, c'est pas d'être en mode, parce que souvent, il y a cette idée-là aussi qui bloque, que tu vas imposer tout ce que tu veux aux autres, que tu vas être la fille qui réclame, etc. Non, l'idée tranquille d'exprimer les choses calmement, clairement, en respectant tes besoins et ceux des besoins autour de toi, l'un n'exclut pas forcément l'autre, et forcément, ça, ça favorise des relations qui sont... équilibrées, qui sont saines, qui sont constructives. L'idée, c'est vraiment que tu puisses ce que je t'invite à faire, c'est vraiment de déconstruire ces croyances limitantes, et pour pouvoir te libérer de ces pensées restrictives, du je vais déranger Par exemple, quand tu as ce sentiment, tu peux dire voilà, tu te rappelles mon avis, aussi important que celui des autres, travaille sur ton discours intérieur, c'est vraiment un des tenants et les aboutissants de ma psychampus, et là, tu vas commencer à percevoir tes besoins. tes besoins comme légitimes. Parce que tu ne peux pas juste te... Là, je te propose une idée alternative, le fait de te rappeler, mon avis est aussi important que celui des autres. Mais si tu as des blessures, des traumas, etc., qui font que réellement, tu ne crois pas que c'est vrai, ça va bloquer, en fait. L'idée, c'est vraiment que tu puisses... Te sentir légitime à te mettre en priorité, à te traiter en première classe, sans penser, sans adhérer à l'idée que c'est de l'égoïsme. Ça, c'est une nécessité pour te donner de la considération et pour pouvoir en recevoir. Parce que quand tu es bien avec toi, tu peux être plus disponible pour les autres. Et ce recentrage, ça va t'aider à trouver un équilibre sain dans tes relations, à t'entourer de personnes qui sont bienveillantes, qui te valorisent, qui veulent t'aider aussi, qui veulent t'aimer. Et ça, ça va t'aider à gagner en apaisement. Commencer par s'exprimer dans des situations simples, donner ton avis sur un film, te dire n'importe quoi, proposer une activité à une amie en n'écoutant pas le truc de je vais la déranger Mais tu vois, essaye de te saisir de chaque opportunité qui peut du coup renforcer ta place, te donner même ta place, d'affirmer tes besoins. Plus tu vas faire ça, et plus ça va être comme une seconde nature. Inch'Allah. Alors tu vois l'idée, c'est ok, il y a le je veux pas déranger, mais l'idée c'est d'être en mode ok, je veux pas déranger, mais je me soigne, d'accord ? Parce que même si à un moment donné, tu as adhéré à l'idée dans ta vie que je veux pas déranger, c'est genre de la politesse, de l'humilité, blablabla, et tu as bien, j'espère qu'aujourd'hui tu as saisi, que je vais pouvoir pousser des clics que ça c'est un obstacle clairement à ton épanouissement. L'idée c'est que tu puisses... T'affirmer, reconnaître tes besoins, les exprimer sans crainte, de te reconnecter à toi-même pour créer un équilibre plus sain avec toi-même, mais avec les autres. Alors la prochaine fois que tu te surprends à penser, je veux pas déranger, rappelle-toi, tes besoins comptent. S'affirmer, c'est pas imposer, d'accord ? C'est honorer ce que tu ressens. Preuve de respect vis-à-vis de toi-même. Tu as le droit de demander, d'exister, de dire non, de dire je ne suis pas disponible, mais surtout d'être écouté et d'être soutenu avec autant de légitimité que n'importe qui. Tu as le droit de te traiter en première classe. Et en prenant soin de toi et en occupant ta juste place, eh bien, rappelle-toi que tu donnes aussi l'opportunité aux autres d'avoir l'exemple d'une relation qui est... équilibré et authentique. Tu mérites d'être entendu, d'être reconnu et d'être soutenu. J'ai super hâte de lire vos retours en commentaire. Est-ce que tu fais partie de la team ? Je ne veux pas déranger. Et dis-moi comment tu te soignes ou comment tu vas te soigner en commentaire. C'était Emilie Antoine pour l'émission Street en première classe. Pense bien que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. Hasta la vista, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires. pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur MaPsychEmpuce, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, Rends-toi sur mapsyenlunichemoi.fr slash mapsycampus M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S Ensemble, sur Mapsy Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi. Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psycampus.

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👂Dis-moi, est-ce que toi aussi tu t’es déjà entendue dire “Je ne veux pas déranger” en demandant un petit service, ou même en partageant un besoin ?


🗣Parfois, ça sort comme un automatisme


🔣Et d’autres fois, c’est calculé


🤐tu te dis que mieux vaut te taire plutôt que de passer pour une reloue.


👻Avoue, c’est un peu comme devenir un fantôme bien élevé!


🙄T’es là, bien présente, mais tu fais tout pour ne pas te faire remarquer.


🤫Pas de bruit,


😇Pas de vague,


😔En espérant que ta simple existence dérange le moins possible…


😟Alors, tu laisses passer des trucs :


☝une question que t’aurais aimé poser en réunion,


🖐un coup de main que t’aurais vraiment eu besoin de demander à une amie,


💭ou une petite discussion avec ton mari sur CE truc qui te préoccupe, mais bon…


😬tu préfères garder ça pour toi, histoire de ne pas “en faire trop”!


🤺À force, ça s’accumule et tu te retrouves à jouer à la ninja émotionnelle,


🤔en pensant que c’est la meilleure stratégie pour rester en paix avec tout le monde.


😩Sauf que, devine quoi ?


🏒À force de ne rien demander et de t’effacer, tu te tires toi-même une balle dans le pied.


😲Ton affirmation personnelle en prend un coup,


😢A force de ne jamais “déranger”, tu finis par croire que tes besoins n’ont pas d’importance.


Spoiler alerte : ils comptent. Toujours.


👑Et tu mérites de te traiter en première classe!


😊C’est pour ça que je t’invite à lire mon dernier article et épisode de podcast Je ne veux pas déranger : l’habitude qui détruit ton affirmation personnelle”.


🔎J’ y décortique pourquoi on agit comme ça, les raisons psychologiques profondes qui nous poussent à nous effacer, et surtout comment changer cette habitude pour enfin oser t’exprimer et prendre ta juste place.


😉On va voir des exemples du quotidien (ça sent le vécu, je te préviens) lol


🥰Alors, prête à cesser de t’excuser d’exister ?


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant, garantie sans blabla, new age, sectaire, ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Bienvenue dans l'épisode 116 de l'émission Se traiter en première classe. Est-ce que tu t'es déjà surprise à dire je veux pas déranger en demandant un service ou même en exprimant un besoin ? Parfois, ces mots sortent presque automatiquement, c'est comme une seconde nature. Et d'autres fois, c'est plus un parti pris à une décision consciente. On se retient parce qu'on pense que ça va déranger les autres, que ça va être un fardeau, qu'on va être une reloue, ne serait-ce que de demander un service ou même exprimer un besoin. C'est un peu comme si tu te considères comme Casper, c'est-à-dire un petit fantôme, poli, t'es là, mais voilà, faut pas se faire trop remarquer et puis faut déranger le moins possible. Peut-être que tu as du coup renoncé à demander un coup de main à une amie, à poser une question pendant une réunion, à partager quelque chose d'important qui te tient à cœur, qui te tourne boule si je peux dire ça comme ça avec ton mari parce que tu ne veux pas passer pour une grosse relou. Et ces hésitations-là, elles se répètent et elles finissent par façonner la manière dont tu te comportes avec tes proches, avec ton entourage de manière plus ou moins directe si je peux dire ça comme ça. Et sans même te rendre compte. Quand tu fais ça, tu t'empêches de prendre ta place. Et tu vois ce réflexe, ce comportement, cette attitude comme ça. On a l'impression qu'il n'y a pas de mal. Le problème, c'est qu'on s'efface, tu t'effaces au point de nuire à ton bien-être, à tes projets, à tes ambitions. Quand tu te caches derrière, je ne veux pas déranger. Tu es en train de saboter ton affirmation personnelle. Tu mets une distance avec ce qui est important pour toi. Et tu peux développer du coup un espèce de sentiment de frustration, de ne pas être soutenu en fait. Et je voudrais que tu saches que c'est possible de reprendre confiance, de t'affirmer sans culpabilité, sans faire en fonction de la culpabilité et que tu t'autorises en fait enfin à exprimer tes besoins sans avoir l'impression de devoir t'excuser d'exister. Pourquoi ce comportement il est si ancré ? Comment ça peut te freiner dans ton quotidien ? tu peux en sortir surtout pour vivre d'une manière où tu vas te sentir plus sereine, plus apaisée vis-à-vis de l'autre, mais vis-à-vis de toi-même aussi, c'est vrai je pense que c'est hyper important ici que tu puisses intégrer, c'est ce qu'on va développer je vais essayer de te donner les déclics dans ce podcast pour que tu puisses développer ça comprendre en fait, intégrer cette idée que tes besoins comptent autant que ceux des autres et que pouvoir te positionner dans les relations sans faire en fonction de cette culpabilité là et bien c'est une force est ce que tu es prête à prendre ta place ce que je voudrais qu'on voit ensemble c'est déjà qu'on se mette d'accord sur ce truc de je veux pas déranger et souvent du coup j'ai donné des idées comment dirais-je des exemples en fait concret de situation du quotidien avec le voisinage bah ça en fait c'est genre imagine ton voisin et à la musique boum boum boum et toi tu es là tu veux pas aller lui demander tu peux tu ne veux pas le déranger en fait, c'est lui qui te dérange, mais toi tu es en mode tu ne veux pas le déranger, c'est le monde à l'envers. Et tu préfères du coup encaisser le molle de tête qui arrive, plutôt que de te risquer dans un échange où peut-être il va penser que tu es relou, que tu es intrusive, etc. Avec les collègues de travail, c'est quand tu n'oses pas en fait poser des questions dans la réunion, dire ce que tu penses, demander un conseil, parce que tu ne veux pas passer pour une nana insistante. incompétente et puis tu te replie encore une fois tu derrière le bas vaut mieux rester discrète et tu laisses tu te laisses dans le flou avec des tâches mal comprises par exemple En famille ou avec ton mari, c'est quand tu te retiens de poser une question, d'exprimer ce qui te pèse et que tu choisis d'encaisser des frustrations parce qu'encore une fois, il y a cette idée que en ne pas dérangeant, tu vas garder le calme et que tu ne vas pas risquer un conflit, une incompréhension, etc. On sait qu'il y a beaucoup d'anxiété derrière le je ne veux pas déranger Et ça peut sembler plus simple sur le moment, mais cette accumulation de choses que tu retiens, ça peut vite peser sur ton bien-être. Et tu sais, ça ressemble à quoi aussi ? C'est quand tu penses que ton médecin s'est trompé, ou il n'a pas écrit bien ton prénom sur l'ordonnance, ça peut poser problème à la pharmacie, et toi, tu n'oses pas le rappeler, en fait, pour lui dire. Ou alors, tu as besoin d'une information sur un aspirateur, ou que sais-je, et tu te replies derrière, ah, ce n'est pas trop grave, tu vois, parce que tu veux, encore une fois, être évité, d'être perçu comme la cliente qui dérange, qui est relou, et tu te laisses, en fait, tu t'abandonnes dans des doutes. et dans des besoins qui ne sont pas satisfaits. Et toutes ces situations, elles ont un point commun, c'est le fait que tu considères plus ou moins consciemment que tes ambitions, tes besoins, tes envies sont secondaires, et que tu t'effaces en fait dans ces moments-là, pensant que ta présence, ça pourrait déranger les autres. Et l'idée c'est de se dire, mais pourquoi parfois, le questionnement, l'introspection a mené, je pense qu'il est intéressant de le faire ici. C'est de se pencher, de se dire, mais quelles sont les raisons, tant psychologiques que émotionnelles, derrière justement cette peur, cette crainte de déranger ? Ce comportement n'est pas apparu, ce réflexe même, j'ai envie de dire, cette conviction, parce que c'est vraiment... Pardon, j'ai éternué, cette conviction, et non, je ne vais pas faire de montage de ce podcast. Ce comportement, cette attitude... Elle n'est pas apparue comme ça du jour au lendemain, ce n'est pas un hasard. Et quand on creuse, souvent, on découvre qu'il y a des raisons psychologiques et émotionnelles qui sont profondes et qui sont ancrées. Parmi lesquelles, ce qu'on retrouve souvent, c'est une éducation, une norme, une manière de faire en famille, de considérer en famille, etc. Ou même au niveau social, derrière cette peur. C'est quand on nous a fait passer l'idée que pour être sage, il ne faut pas... pas faire trop de bruit. D'ailleurs, c'est ce qu'on demande aux enfants. On leur demande s'ils ont été sages. L'idée, c'est qu'ils n'ont pas fait trop de bruit. Ce n'est pas qu'ils ont fait preuve de sagesse. Surtout pour les filles, je pense. On est souvent encouragé à nous montrer discrètes, entre guillemets, accommodantes. Mais ce n'est pas ça, la discrétion. Et ce n'est pas ça, être accommodante. Et cette pression, en fait, elle nous fait intégrer l'idée, la croyance que c'est mieux de se taire que de déranger les autres. Si je peux dire ça comme ça. Comme si on ne se tait pas, on va casser les pieds. Et je pense que souvent, aussi, quand on gratte, il y a cette peur du rejet qui ressort. L'idée que si on commence à exprimer, demander des choses, on va nous dire, et ça a déjà eu le cas souvent, qu'on est trop exigeante, casse-pieds, encombrante, dès qu'on exprime un besoin. Et souvent, peut-être quand je dis ça, tu as des choses qui te remontent de l'enfance d'ailleurs. Et c'est souvent lié, tout ça, ça crée en fait des blessures émotionnelles qui sont profondes, parce que dans ces moments-là, on se sent abandonné, on n'a pas reçu de reconnaissance pour nos besoins dans le passé, et ça nous pousse après dans ce comportement d'éviter en fait toutes les situations où on va ressentir à la fois le fait qu'on est repoussé, qu'on est abandonné, qu'on est rejeté, etc. Et surtout on veut tout faire pour éviter d'en souffrir à nouveau. Et forcément, et c'est lié, le manque d'estime de soi, ça joue un rôle. Quand tu as du mal à reconnaître ta propre valeur, c'est difficile de croire consciemment et inconsciemment que tes besoins sont aussi importants que ceux des autres. Et quand, par conséquent, tu as inféré que tes besoins sont moins importants que ceux des autres, tu finis par t'effacer, tu n'oses plus demander, parce que tu penses à la conviction vraiment que tu as moins d'importance que les autres. Et... Et forcément, quant à toute cette histoire, il y a beaucoup de croyances limitantes qui en découlent. Des pensées comme je dois me débrouiller seule je vais embêter les autres avec mes problèmes je serais riche si j'avais eu 1 dollar, 1 euro, 4 dirhams à chaque fois que j'ai entendu ça. Mais ça, ça nous empêche de demander de l'aide, d'exprimer ce qui nous pèse. Et ça renforce cette idée qu'on doit se débrouiller sans déranger les autres. du coup on coupe aussi avec notre féminité à ce moment là et que la norme à tenir si on veut être une bonne personne c'est de ne pas déranger La peur du conflit est aussi un frein majeur souvent à l'affirmation de soi, parce que je ne veux pas déranger, c'est un coup de pied dans les tibias, l'affirmation de soi. Dire ce qu'on ressent, exprimer un besoin, quand on a l'idée que ça peut provoquer des désaccords, surtout si tu as grandi dans un environnement où les conflits étaient uniquement présentés comme menaçants, embrouilles négatives, etc. Comme la guerre, si je puis dire ça comme ça, c'est probable que... Tu évites autant que possible, plus ou moins consciemment encore une fois, toutes les situations qui pourraient générer des tensions, des conflits. Et ces raisons, elles sont toutes valables, compréhensibles, et elles ont un impact sur ta vie qui est réel. Mais si tu laisses cette habitude, si tu continues de choisir, d'être en mode excusez-moi d'exister, je ne veux pas déranger ça va t'amener à vivre des situations délicates, désagréables, voire même destructrices. Parce que quand tu es en mode, je ne veux pas oser te déranger, je sais qu'il y a une part de vous, il y a une part de toi qui associe ça à, c'est une preuve de politesse, de bienveillance, mais en réalité, c'est de l'automito tout ça. Parce que quand tu es en mode ne pas déranger, ça peut te desservir de plusieurs façons. Déjà, tu peux passer à côté d'opportunités. Quand tu ne poses pas de questions, quand tu ne demandes pas des services, etc. Ça peut te... ça peut amener à manquer des occasions importantes comme une augmentation c'est même pas service à l'augmentation mais une formation de participer à des projets qui tiennent à coeur et ces moments de silence comme ça te prive de possibilités pas de vivre des nouvelles choses d'évoluer en tant que personne et puis après peut-être aussi avoir de recevoir de la reconnaissance et ton bien-être en souffre parce que quand tu mets ce feu quand tu es en mode je veux pas déranger ce que tu fais inconsciemment c'est que tu es Mais les besoins des autres, tu les places avant toi, tu mets les autres en priorité. Et ça, forcément, à force de te positionner comme ça vis-à-vis des autres, tu t'épuises mentalement et physiquement. Ce comportement, bien sûr, même si c'est possible, je ne dis pas que tu n'es que dans l'automito dans le sens où ce n'est pas motivé par la bienveillance. Peut-être que tu as l'idée que être bienveillant, c'est ça. Mais ça, ce parti pris entraîne un surmenage et finalement, tu te... Tu te sens avec un espèce de sentiment d'injustice envers toi-même. Et les autres, le risque, c'est qu'ils vont probablement, sauf si tu es face à des personnes très matures et très consciencieuses, mais il est fort probable, et c'est totalement humain, que les gens autour de toi finissent par prendre l'habitude de minimiser tes besoins aussi. Parce que quand tu t'effaces tout le temps, comme ça, constamment, inconsciemment, ils peuvent estimer que tu n'as pas vraiment d'importance. Parce que tu ne prends pas ta place en mode je ne veux pas déranger. Et ça, ça peut te rendre invisible aussi bien dans ton environnement professionnel que personnel, etc. Parce que finalement, tu fais passer tes attentes, tes besoins, etc. totalement inaperçus. Quand tu réprimes tes émotions, tes besoins, tes ambitions, ça engendre en toi au bout d'un moment du ressentiment, de la frustration. Tu as une espèce de... d'agacement, de colère sourde comme ça qui, tôt ou tard, va finir par exploser si ce n'est pas déjà fait. Si tu n'exprimes pas cette colère, ça se transforme en frustration chronique, en bureau des plaintes internes ou externes. Et ça, ça affecte ton bien-être et forcément ta relation avec toi-même et la relation avec les autres parce que tu deviens une vieille seringue. Tu peux avoir l'impression que c'est un cercle vicieux parce que plus tu évites de déranger, plus tu te sens isolé. Moins prise en compte parce que tu t'affirmes pas en fait quand tu fais ça. Et ce comportement, ça a des conséquences encore plus graves sur le long terme. Si tu persistes à adopter cette habitude, tu t'exposes à certains dangers, à plusieurs dangers. Peut-être le mot, il peut sembler un peu fort, mais t'as compris l'idée. L'épuisement émotionnel, c'est une conséquence qui est fréquente. Parce que souvent quand on est en mode, j'ai jamais rencontré une femme qui est en mode je veux pas déranger. et qui en même temps n'a pas comme mission de vie de répondre aux attentes des autres. C'est-à-dire qu'elle, elle ne veut pas déranger, mais elle n'a pas de problème avec le fait d'être constamment dérangée. Mais elle, elle ne voit pas ça comme le fait d'être dérangée. Tu as compris l'idée. Mais ça, c'est épuisant. C'est épuisant physiquement, mentalement. Cet effort en fait constant pour se conformer, pour se suradapter aux besoins des autres, ça vide ton énergie. Et il y a peu de place pour le fait de te traiter en première classe pour ton bien-être autrement dit. Et forcément, et s'il te plaît, si tu peux retenir une chose de ce podcast, c'est que quand tu es en mode je veux pas déranger, forcément à un moment donné, tes relations vont être déséquilibrées. Si tu t'effaces tout le temps, c'est pas forcément que tu vas attirer des personnes dans le sens loi de l'attraction, je sais pas quoi. Non, c'est que tu vas avoir la probabilité... sur laquelle tu es des personnes qui te sollicitent, qui prennent sans jamais donner en retour, est très grande. Et ce déséquilibre, ça va t'amener à un moment donné, fortement, inévitablement, à te sentir utilisée, incomprise. Et forcément, ça va affecter, ça va fragiliser la qualité de tes liens relationnels avec les autres. comment tu vas t'attacher, comment on va s'attacher à toi, et les relations plus ou moins toxiques, mais surtout toxiques, que tu risques de favoriser en ayant cette posture-là vis-à-vis des autres. À force de te conformer à la projection que toi, tu as des attentes extérieures, parce que des fois, ce n'est même pas les autres qui attendent de toi, c'est-à-dire que toi, tu penses que tu vas déranger, mais l'autre en face, ça se trouve, ne va absolument pas être dérangé par ta demande. d'accord tu mais quand tu fais ça tu finis par perdre de vue qui tu es vraiment est ce que tu veux et cette perte d'identité ça qui est lié en fait au fait de ça d'être dans le mode sacrifice de tes envies de tes ambitions de tes besoins pour te fondre dans ce que tu crois de ce que les autres attendent de toi ou dans ce que ou peut-être même de ce que les autres attendent de toi parce que en général allez y en a ils ont un don pour s'accrocher au point de plus avoir toi qu'est-ce qui t'anime vraiment en fait. Chaque fois que tu renonces à exprimer tes besoins parce que tu as peur de déranger, tu renforces l'idée que tes envies ne sont pas importantes pour toi, à tes propres yeux, aux yeux des autres aussi. Et ça, ça abîme ton estime personnelle, ça alimente cette croyance que tu n'es pas une priorité, que tu n'as pas ta place et ce manque de confiance peut devenir un véritable frein en fait dans ta vie personnelle et professionnelle. Le stress que tu accumules, les frustrations que tu accumules, ces émotions que tu refoules, ça donne souvent lieu à ce qu'on appelle des troubles psychosomatiques, du genre insomnie, mal de tête, les muscles bien crispés, des douleurs chroniques dans le corps, parce que ton corps finit par exprimer ce que ton esprit, ton âme, ton mental, ta psyché gardent sous silence. Et il faut se dire une chose aussi, c'est que quand tu te prives quand tu es en mode pardon je veux pas déranger et moi c'est ce truc qui m'énerve et c'est ce que je dis toujours aux femmes de mon entourage qui me sortent ça mais quand tu dis ça tu te prive de recevoir l'aide et le soutien des autres quand tu demandes pas parce que tu as peur de déranger ben non seulement tu envoies le message que tu as pas besoin d'assistante alors que d'assistance pardon alors que tu en aurais vraiment besoin et tu empêches les autres tes amis ta famille tes collègues de travail va d'avoir cette place bienveillante à tes côtés. Peut-être qu'il y a des personnes qui sont prêtes à t'aider, à qui ça ferait plaisir de t'apporter du soutien, mais il faut que tu puisses leur en donner l'occasion. Et quand tu ne leur permets pas de t'aider, de contribuer, tu leur prives de cette opportunité d'être bienveillante avec toi. Il est vraiment temps d'accepter de recevoir de l'aide. Quand tu fais ça, tu permets à tes proches, aux gens qui t'aiment, de se sentir utile pour toi. et de tisser des liens plus authentiques. Parce que quand tu refuses ce soutien, tu renforces une dynamique où les relations manquent de réciprocité. Et ça peut également aussi limiter la qualité de tes relations, de tes connexions avec les autres. Apprendre à reconnaître tes besoins, c'est une étape qui est essentielle. Prends le temps d'identifier ce que tu veux vraiment en étant à l'écoute de tes émotions et de ton corps. Ça, ça va t'aider à comprendre qui tu es et à prendre ta place. Bien sûr, pratiquer la communication assertive, c'est un point clé, parce que le but, c'est pas d'être en mode, parce que souvent, il y a cette idée-là aussi qui bloque, que tu vas imposer tout ce que tu veux aux autres, que tu vas être la fille qui réclame, etc. Non, l'idée tranquille d'exprimer les choses calmement, clairement, en respectant tes besoins et ceux des besoins autour de toi, l'un n'exclut pas forcément l'autre, et forcément, ça, ça favorise des relations qui sont... équilibrées, qui sont saines, qui sont constructives. L'idée, c'est vraiment que tu puisses ce que je t'invite à faire, c'est vraiment de déconstruire ces croyances limitantes, et pour pouvoir te libérer de ces pensées restrictives, du je vais déranger Par exemple, quand tu as ce sentiment, tu peux dire voilà, tu te rappelles mon avis, aussi important que celui des autres, travaille sur ton discours intérieur, c'est vraiment un des tenants et les aboutissants de ma psychampus, et là, tu vas commencer à percevoir tes besoins. tes besoins comme légitimes. Parce que tu ne peux pas juste te... Là, je te propose une idée alternative, le fait de te rappeler, mon avis est aussi important que celui des autres. Mais si tu as des blessures, des traumas, etc., qui font que réellement, tu ne crois pas que c'est vrai, ça va bloquer, en fait. L'idée, c'est vraiment que tu puisses... Te sentir légitime à te mettre en priorité, à te traiter en première classe, sans penser, sans adhérer à l'idée que c'est de l'égoïsme. Ça, c'est une nécessité pour te donner de la considération et pour pouvoir en recevoir. Parce que quand tu es bien avec toi, tu peux être plus disponible pour les autres. Et ce recentrage, ça va t'aider à trouver un équilibre sain dans tes relations, à t'entourer de personnes qui sont bienveillantes, qui te valorisent, qui veulent t'aider aussi, qui veulent t'aimer. Et ça, ça va t'aider à gagner en apaisement. Commencer par s'exprimer dans des situations simples, donner ton avis sur un film, te dire n'importe quoi, proposer une activité à une amie en n'écoutant pas le truc de je vais la déranger Mais tu vois, essaye de te saisir de chaque opportunité qui peut du coup renforcer ta place, te donner même ta place, d'affirmer tes besoins. Plus tu vas faire ça, et plus ça va être comme une seconde nature. Inch'Allah. Alors tu vois l'idée, c'est ok, il y a le je veux pas déranger, mais l'idée c'est d'être en mode ok, je veux pas déranger, mais je me soigne, d'accord ? Parce que même si à un moment donné, tu as adhéré à l'idée dans ta vie que je veux pas déranger, c'est genre de la politesse, de l'humilité, blablabla, et tu as bien, j'espère qu'aujourd'hui tu as saisi, que je vais pouvoir pousser des clics que ça c'est un obstacle clairement à ton épanouissement. L'idée c'est que tu puisses... T'affirmer, reconnaître tes besoins, les exprimer sans crainte, de te reconnecter à toi-même pour créer un équilibre plus sain avec toi-même, mais avec les autres. Alors la prochaine fois que tu te surprends à penser, je veux pas déranger, rappelle-toi, tes besoins comptent. S'affirmer, c'est pas imposer, d'accord ? C'est honorer ce que tu ressens. Preuve de respect vis-à-vis de toi-même. Tu as le droit de demander, d'exister, de dire non, de dire je ne suis pas disponible, mais surtout d'être écouté et d'être soutenu avec autant de légitimité que n'importe qui. Tu as le droit de te traiter en première classe. Et en prenant soin de toi et en occupant ta juste place, eh bien, rappelle-toi que tu donnes aussi l'opportunité aux autres d'avoir l'exemple d'une relation qui est... équilibré et authentique. Tu mérites d'être entendu, d'être reconnu et d'être soutenu. J'ai super hâte de lire vos retours en commentaire. Est-ce que tu fais partie de la team ? Je ne veux pas déranger. Et dis-moi comment tu te soignes ou comment tu vas te soigner en commentaire. C'était Emilie Antoine pour l'émission Street en première classe. Pense bien que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. Hasta la vista, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires. pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur MaPsychEmpuce, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, Rends-toi sur mapsyenlunichemoi.fr slash mapsycampus M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S Ensemble, sur Mapsy Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi. Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psycampus.

Description

👂Dis-moi, est-ce que toi aussi tu t’es déjà entendue dire “Je ne veux pas déranger” en demandant un petit service, ou même en partageant un besoin ?


🗣Parfois, ça sort comme un automatisme


🔣Et d’autres fois, c’est calculé


🤐tu te dis que mieux vaut te taire plutôt que de passer pour une reloue.


👻Avoue, c’est un peu comme devenir un fantôme bien élevé!


🙄T’es là, bien présente, mais tu fais tout pour ne pas te faire remarquer.


🤫Pas de bruit,


😇Pas de vague,


😔En espérant que ta simple existence dérange le moins possible…


😟Alors, tu laisses passer des trucs :


☝une question que t’aurais aimé poser en réunion,


🖐un coup de main que t’aurais vraiment eu besoin de demander à une amie,


💭ou une petite discussion avec ton mari sur CE truc qui te préoccupe, mais bon…


😬tu préfères garder ça pour toi, histoire de ne pas “en faire trop”!


🤺À force, ça s’accumule et tu te retrouves à jouer à la ninja émotionnelle,


🤔en pensant que c’est la meilleure stratégie pour rester en paix avec tout le monde.


😩Sauf que, devine quoi ?


🏒À force de ne rien demander et de t’effacer, tu te tires toi-même une balle dans le pied.


😲Ton affirmation personnelle en prend un coup,


😢A force de ne jamais “déranger”, tu finis par croire que tes besoins n’ont pas d’importance.


Spoiler alerte : ils comptent. Toujours.


👑Et tu mérites de te traiter en première classe!


😊C’est pour ça que je t’invite à lire mon dernier article et épisode de podcast Je ne veux pas déranger : l’habitude qui détruit ton affirmation personnelle”.


🔎J’ y décortique pourquoi on agit comme ça, les raisons psychologiques profondes qui nous poussent à nous effacer, et surtout comment changer cette habitude pour enfin oser t’exprimer et prendre ta juste place.


😉On va voir des exemples du quotidien (ça sent le vécu, je te préviens) lol


🥰Alors, prête à cesser de t’excuser d’exister ?


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant, garantie sans blabla, new age, sectaire, ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Bienvenue dans l'épisode 116 de l'émission Se traiter en première classe. Est-ce que tu t'es déjà surprise à dire je veux pas déranger en demandant un service ou même en exprimant un besoin ? Parfois, ces mots sortent presque automatiquement, c'est comme une seconde nature. Et d'autres fois, c'est plus un parti pris à une décision consciente. On se retient parce qu'on pense que ça va déranger les autres, que ça va être un fardeau, qu'on va être une reloue, ne serait-ce que de demander un service ou même exprimer un besoin. C'est un peu comme si tu te considères comme Casper, c'est-à-dire un petit fantôme, poli, t'es là, mais voilà, faut pas se faire trop remarquer et puis faut déranger le moins possible. Peut-être que tu as du coup renoncé à demander un coup de main à une amie, à poser une question pendant une réunion, à partager quelque chose d'important qui te tient à cœur, qui te tourne boule si je peux dire ça comme ça avec ton mari parce que tu ne veux pas passer pour une grosse relou. Et ces hésitations-là, elles se répètent et elles finissent par façonner la manière dont tu te comportes avec tes proches, avec ton entourage de manière plus ou moins directe si je peux dire ça comme ça. Et sans même te rendre compte. Quand tu fais ça, tu t'empêches de prendre ta place. Et tu vois ce réflexe, ce comportement, cette attitude comme ça. On a l'impression qu'il n'y a pas de mal. Le problème, c'est qu'on s'efface, tu t'effaces au point de nuire à ton bien-être, à tes projets, à tes ambitions. Quand tu te caches derrière, je ne veux pas déranger. Tu es en train de saboter ton affirmation personnelle. Tu mets une distance avec ce qui est important pour toi. Et tu peux développer du coup un espèce de sentiment de frustration, de ne pas être soutenu en fait. Et je voudrais que tu saches que c'est possible de reprendre confiance, de t'affirmer sans culpabilité, sans faire en fonction de la culpabilité et que tu t'autorises en fait enfin à exprimer tes besoins sans avoir l'impression de devoir t'excuser d'exister. Pourquoi ce comportement il est si ancré ? Comment ça peut te freiner dans ton quotidien ? tu peux en sortir surtout pour vivre d'une manière où tu vas te sentir plus sereine, plus apaisée vis-à-vis de l'autre, mais vis-à-vis de toi-même aussi, c'est vrai je pense que c'est hyper important ici que tu puisses intégrer, c'est ce qu'on va développer je vais essayer de te donner les déclics dans ce podcast pour que tu puisses développer ça comprendre en fait, intégrer cette idée que tes besoins comptent autant que ceux des autres et que pouvoir te positionner dans les relations sans faire en fonction de cette culpabilité là et bien c'est une force est ce que tu es prête à prendre ta place ce que je voudrais qu'on voit ensemble c'est déjà qu'on se mette d'accord sur ce truc de je veux pas déranger et souvent du coup j'ai donné des idées comment dirais-je des exemples en fait concret de situation du quotidien avec le voisinage bah ça en fait c'est genre imagine ton voisin et à la musique boum boum boum et toi tu es là tu veux pas aller lui demander tu peux tu ne veux pas le déranger en fait, c'est lui qui te dérange, mais toi tu es en mode tu ne veux pas le déranger, c'est le monde à l'envers. Et tu préfères du coup encaisser le molle de tête qui arrive, plutôt que de te risquer dans un échange où peut-être il va penser que tu es relou, que tu es intrusive, etc. Avec les collègues de travail, c'est quand tu n'oses pas en fait poser des questions dans la réunion, dire ce que tu penses, demander un conseil, parce que tu ne veux pas passer pour une nana insistante. incompétente et puis tu te replie encore une fois tu derrière le bas vaut mieux rester discrète et tu laisses tu te laisses dans le flou avec des tâches mal comprises par exemple En famille ou avec ton mari, c'est quand tu te retiens de poser une question, d'exprimer ce qui te pèse et que tu choisis d'encaisser des frustrations parce qu'encore une fois, il y a cette idée que en ne pas dérangeant, tu vas garder le calme et que tu ne vas pas risquer un conflit, une incompréhension, etc. On sait qu'il y a beaucoup d'anxiété derrière le je ne veux pas déranger Et ça peut sembler plus simple sur le moment, mais cette accumulation de choses que tu retiens, ça peut vite peser sur ton bien-être. Et tu sais, ça ressemble à quoi aussi ? C'est quand tu penses que ton médecin s'est trompé, ou il n'a pas écrit bien ton prénom sur l'ordonnance, ça peut poser problème à la pharmacie, et toi, tu n'oses pas le rappeler, en fait, pour lui dire. Ou alors, tu as besoin d'une information sur un aspirateur, ou que sais-je, et tu te replies derrière, ah, ce n'est pas trop grave, tu vois, parce que tu veux, encore une fois, être évité, d'être perçu comme la cliente qui dérange, qui est relou, et tu te laisses, en fait, tu t'abandonnes dans des doutes. et dans des besoins qui ne sont pas satisfaits. Et toutes ces situations, elles ont un point commun, c'est le fait que tu considères plus ou moins consciemment que tes ambitions, tes besoins, tes envies sont secondaires, et que tu t'effaces en fait dans ces moments-là, pensant que ta présence, ça pourrait déranger les autres. Et l'idée c'est de se dire, mais pourquoi parfois, le questionnement, l'introspection a mené, je pense qu'il est intéressant de le faire ici. C'est de se pencher, de se dire, mais quelles sont les raisons, tant psychologiques que émotionnelles, derrière justement cette peur, cette crainte de déranger ? Ce comportement n'est pas apparu, ce réflexe même, j'ai envie de dire, cette conviction, parce que c'est vraiment... Pardon, j'ai éternué, cette conviction, et non, je ne vais pas faire de montage de ce podcast. Ce comportement, cette attitude... Elle n'est pas apparue comme ça du jour au lendemain, ce n'est pas un hasard. Et quand on creuse, souvent, on découvre qu'il y a des raisons psychologiques et émotionnelles qui sont profondes et qui sont ancrées. Parmi lesquelles, ce qu'on retrouve souvent, c'est une éducation, une norme, une manière de faire en famille, de considérer en famille, etc. Ou même au niveau social, derrière cette peur. C'est quand on nous a fait passer l'idée que pour être sage, il ne faut pas... pas faire trop de bruit. D'ailleurs, c'est ce qu'on demande aux enfants. On leur demande s'ils ont été sages. L'idée, c'est qu'ils n'ont pas fait trop de bruit. Ce n'est pas qu'ils ont fait preuve de sagesse. Surtout pour les filles, je pense. On est souvent encouragé à nous montrer discrètes, entre guillemets, accommodantes. Mais ce n'est pas ça, la discrétion. Et ce n'est pas ça, être accommodante. Et cette pression, en fait, elle nous fait intégrer l'idée, la croyance que c'est mieux de se taire que de déranger les autres. Si je peux dire ça comme ça. Comme si on ne se tait pas, on va casser les pieds. Et je pense que souvent, aussi, quand on gratte, il y a cette peur du rejet qui ressort. L'idée que si on commence à exprimer, demander des choses, on va nous dire, et ça a déjà eu le cas souvent, qu'on est trop exigeante, casse-pieds, encombrante, dès qu'on exprime un besoin. Et souvent, peut-être quand je dis ça, tu as des choses qui te remontent de l'enfance d'ailleurs. Et c'est souvent lié, tout ça, ça crée en fait des blessures émotionnelles qui sont profondes, parce que dans ces moments-là, on se sent abandonné, on n'a pas reçu de reconnaissance pour nos besoins dans le passé, et ça nous pousse après dans ce comportement d'éviter en fait toutes les situations où on va ressentir à la fois le fait qu'on est repoussé, qu'on est abandonné, qu'on est rejeté, etc. Et surtout on veut tout faire pour éviter d'en souffrir à nouveau. Et forcément, et c'est lié, le manque d'estime de soi, ça joue un rôle. Quand tu as du mal à reconnaître ta propre valeur, c'est difficile de croire consciemment et inconsciemment que tes besoins sont aussi importants que ceux des autres. Et quand, par conséquent, tu as inféré que tes besoins sont moins importants que ceux des autres, tu finis par t'effacer, tu n'oses plus demander, parce que tu penses à la conviction vraiment que tu as moins d'importance que les autres. Et... Et forcément, quant à toute cette histoire, il y a beaucoup de croyances limitantes qui en découlent. Des pensées comme je dois me débrouiller seule je vais embêter les autres avec mes problèmes je serais riche si j'avais eu 1 dollar, 1 euro, 4 dirhams à chaque fois que j'ai entendu ça. Mais ça, ça nous empêche de demander de l'aide, d'exprimer ce qui nous pèse. Et ça renforce cette idée qu'on doit se débrouiller sans déranger les autres. du coup on coupe aussi avec notre féminité à ce moment là et que la norme à tenir si on veut être une bonne personne c'est de ne pas déranger La peur du conflit est aussi un frein majeur souvent à l'affirmation de soi, parce que je ne veux pas déranger, c'est un coup de pied dans les tibias, l'affirmation de soi. Dire ce qu'on ressent, exprimer un besoin, quand on a l'idée que ça peut provoquer des désaccords, surtout si tu as grandi dans un environnement où les conflits étaient uniquement présentés comme menaçants, embrouilles négatives, etc. Comme la guerre, si je puis dire ça comme ça, c'est probable que... Tu évites autant que possible, plus ou moins consciemment encore une fois, toutes les situations qui pourraient générer des tensions, des conflits. Et ces raisons, elles sont toutes valables, compréhensibles, et elles ont un impact sur ta vie qui est réel. Mais si tu laisses cette habitude, si tu continues de choisir, d'être en mode excusez-moi d'exister, je ne veux pas déranger ça va t'amener à vivre des situations délicates, désagréables, voire même destructrices. Parce que quand tu es en mode, je ne veux pas oser te déranger, je sais qu'il y a une part de vous, il y a une part de toi qui associe ça à, c'est une preuve de politesse, de bienveillance, mais en réalité, c'est de l'automito tout ça. Parce que quand tu es en mode ne pas déranger, ça peut te desservir de plusieurs façons. Déjà, tu peux passer à côté d'opportunités. Quand tu ne poses pas de questions, quand tu ne demandes pas des services, etc. Ça peut te... ça peut amener à manquer des occasions importantes comme une augmentation c'est même pas service à l'augmentation mais une formation de participer à des projets qui tiennent à coeur et ces moments de silence comme ça te prive de possibilités pas de vivre des nouvelles choses d'évoluer en tant que personne et puis après peut-être aussi avoir de recevoir de la reconnaissance et ton bien-être en souffre parce que quand tu mets ce feu quand tu es en mode je veux pas déranger ce que tu fais inconsciemment c'est que tu es Mais les besoins des autres, tu les places avant toi, tu mets les autres en priorité. Et ça, forcément, à force de te positionner comme ça vis-à-vis des autres, tu t'épuises mentalement et physiquement. Ce comportement, bien sûr, même si c'est possible, je ne dis pas que tu n'es que dans l'automito dans le sens où ce n'est pas motivé par la bienveillance. Peut-être que tu as l'idée que être bienveillant, c'est ça. Mais ça, ce parti pris entraîne un surmenage et finalement, tu te... Tu te sens avec un espèce de sentiment d'injustice envers toi-même. Et les autres, le risque, c'est qu'ils vont probablement, sauf si tu es face à des personnes très matures et très consciencieuses, mais il est fort probable, et c'est totalement humain, que les gens autour de toi finissent par prendre l'habitude de minimiser tes besoins aussi. Parce que quand tu t'effaces tout le temps, comme ça, constamment, inconsciemment, ils peuvent estimer que tu n'as pas vraiment d'importance. Parce que tu ne prends pas ta place en mode je ne veux pas déranger. Et ça, ça peut te rendre invisible aussi bien dans ton environnement professionnel que personnel, etc. Parce que finalement, tu fais passer tes attentes, tes besoins, etc. totalement inaperçus. Quand tu réprimes tes émotions, tes besoins, tes ambitions, ça engendre en toi au bout d'un moment du ressentiment, de la frustration. Tu as une espèce de... d'agacement, de colère sourde comme ça qui, tôt ou tard, va finir par exploser si ce n'est pas déjà fait. Si tu n'exprimes pas cette colère, ça se transforme en frustration chronique, en bureau des plaintes internes ou externes. Et ça, ça affecte ton bien-être et forcément ta relation avec toi-même et la relation avec les autres parce que tu deviens une vieille seringue. Tu peux avoir l'impression que c'est un cercle vicieux parce que plus tu évites de déranger, plus tu te sens isolé. Moins prise en compte parce que tu t'affirmes pas en fait quand tu fais ça. Et ce comportement, ça a des conséquences encore plus graves sur le long terme. Si tu persistes à adopter cette habitude, tu t'exposes à certains dangers, à plusieurs dangers. Peut-être le mot, il peut sembler un peu fort, mais t'as compris l'idée. L'épuisement émotionnel, c'est une conséquence qui est fréquente. Parce que souvent quand on est en mode, j'ai jamais rencontré une femme qui est en mode je veux pas déranger. et qui en même temps n'a pas comme mission de vie de répondre aux attentes des autres. C'est-à-dire qu'elle, elle ne veut pas déranger, mais elle n'a pas de problème avec le fait d'être constamment dérangée. Mais elle, elle ne voit pas ça comme le fait d'être dérangée. Tu as compris l'idée. Mais ça, c'est épuisant. C'est épuisant physiquement, mentalement. Cet effort en fait constant pour se conformer, pour se suradapter aux besoins des autres, ça vide ton énergie. Et il y a peu de place pour le fait de te traiter en première classe pour ton bien-être autrement dit. Et forcément, et s'il te plaît, si tu peux retenir une chose de ce podcast, c'est que quand tu es en mode je veux pas déranger, forcément à un moment donné, tes relations vont être déséquilibrées. Si tu t'effaces tout le temps, c'est pas forcément que tu vas attirer des personnes dans le sens loi de l'attraction, je sais pas quoi. Non, c'est que tu vas avoir la probabilité... sur laquelle tu es des personnes qui te sollicitent, qui prennent sans jamais donner en retour, est très grande. Et ce déséquilibre, ça va t'amener à un moment donné, fortement, inévitablement, à te sentir utilisée, incomprise. Et forcément, ça va affecter, ça va fragiliser la qualité de tes liens relationnels avec les autres. comment tu vas t'attacher, comment on va s'attacher à toi, et les relations plus ou moins toxiques, mais surtout toxiques, que tu risques de favoriser en ayant cette posture-là vis-à-vis des autres. À force de te conformer à la projection que toi, tu as des attentes extérieures, parce que des fois, ce n'est même pas les autres qui attendent de toi, c'est-à-dire que toi, tu penses que tu vas déranger, mais l'autre en face, ça se trouve, ne va absolument pas être dérangé par ta demande. d'accord tu mais quand tu fais ça tu finis par perdre de vue qui tu es vraiment est ce que tu veux et cette perte d'identité ça qui est lié en fait au fait de ça d'être dans le mode sacrifice de tes envies de tes ambitions de tes besoins pour te fondre dans ce que tu crois de ce que les autres attendent de toi ou dans ce que ou peut-être même de ce que les autres attendent de toi parce que en général allez y en a ils ont un don pour s'accrocher au point de plus avoir toi qu'est-ce qui t'anime vraiment en fait. Chaque fois que tu renonces à exprimer tes besoins parce que tu as peur de déranger, tu renforces l'idée que tes envies ne sont pas importantes pour toi, à tes propres yeux, aux yeux des autres aussi. Et ça, ça abîme ton estime personnelle, ça alimente cette croyance que tu n'es pas une priorité, que tu n'as pas ta place et ce manque de confiance peut devenir un véritable frein en fait dans ta vie personnelle et professionnelle. Le stress que tu accumules, les frustrations que tu accumules, ces émotions que tu refoules, ça donne souvent lieu à ce qu'on appelle des troubles psychosomatiques, du genre insomnie, mal de tête, les muscles bien crispés, des douleurs chroniques dans le corps, parce que ton corps finit par exprimer ce que ton esprit, ton âme, ton mental, ta psyché gardent sous silence. Et il faut se dire une chose aussi, c'est que quand tu te prives quand tu es en mode pardon je veux pas déranger et moi c'est ce truc qui m'énerve et c'est ce que je dis toujours aux femmes de mon entourage qui me sortent ça mais quand tu dis ça tu te prive de recevoir l'aide et le soutien des autres quand tu demandes pas parce que tu as peur de déranger ben non seulement tu envoies le message que tu as pas besoin d'assistante alors que d'assistance pardon alors que tu en aurais vraiment besoin et tu empêches les autres tes amis ta famille tes collègues de travail va d'avoir cette place bienveillante à tes côtés. Peut-être qu'il y a des personnes qui sont prêtes à t'aider, à qui ça ferait plaisir de t'apporter du soutien, mais il faut que tu puisses leur en donner l'occasion. Et quand tu ne leur permets pas de t'aider, de contribuer, tu leur prives de cette opportunité d'être bienveillante avec toi. Il est vraiment temps d'accepter de recevoir de l'aide. Quand tu fais ça, tu permets à tes proches, aux gens qui t'aiment, de se sentir utile pour toi. et de tisser des liens plus authentiques. Parce que quand tu refuses ce soutien, tu renforces une dynamique où les relations manquent de réciprocité. Et ça peut également aussi limiter la qualité de tes relations, de tes connexions avec les autres. Apprendre à reconnaître tes besoins, c'est une étape qui est essentielle. Prends le temps d'identifier ce que tu veux vraiment en étant à l'écoute de tes émotions et de ton corps. Ça, ça va t'aider à comprendre qui tu es et à prendre ta place. Bien sûr, pratiquer la communication assertive, c'est un point clé, parce que le but, c'est pas d'être en mode, parce que souvent, il y a cette idée-là aussi qui bloque, que tu vas imposer tout ce que tu veux aux autres, que tu vas être la fille qui réclame, etc. Non, l'idée tranquille d'exprimer les choses calmement, clairement, en respectant tes besoins et ceux des besoins autour de toi, l'un n'exclut pas forcément l'autre, et forcément, ça, ça favorise des relations qui sont... équilibrées, qui sont saines, qui sont constructives. L'idée, c'est vraiment que tu puisses ce que je t'invite à faire, c'est vraiment de déconstruire ces croyances limitantes, et pour pouvoir te libérer de ces pensées restrictives, du je vais déranger Par exemple, quand tu as ce sentiment, tu peux dire voilà, tu te rappelles mon avis, aussi important que celui des autres, travaille sur ton discours intérieur, c'est vraiment un des tenants et les aboutissants de ma psychampus, et là, tu vas commencer à percevoir tes besoins. tes besoins comme légitimes. Parce que tu ne peux pas juste te... Là, je te propose une idée alternative, le fait de te rappeler, mon avis est aussi important que celui des autres. Mais si tu as des blessures, des traumas, etc., qui font que réellement, tu ne crois pas que c'est vrai, ça va bloquer, en fait. L'idée, c'est vraiment que tu puisses... Te sentir légitime à te mettre en priorité, à te traiter en première classe, sans penser, sans adhérer à l'idée que c'est de l'égoïsme. Ça, c'est une nécessité pour te donner de la considération et pour pouvoir en recevoir. Parce que quand tu es bien avec toi, tu peux être plus disponible pour les autres. Et ce recentrage, ça va t'aider à trouver un équilibre sain dans tes relations, à t'entourer de personnes qui sont bienveillantes, qui te valorisent, qui veulent t'aider aussi, qui veulent t'aimer. Et ça, ça va t'aider à gagner en apaisement. Commencer par s'exprimer dans des situations simples, donner ton avis sur un film, te dire n'importe quoi, proposer une activité à une amie en n'écoutant pas le truc de je vais la déranger Mais tu vois, essaye de te saisir de chaque opportunité qui peut du coup renforcer ta place, te donner même ta place, d'affirmer tes besoins. Plus tu vas faire ça, et plus ça va être comme une seconde nature. Inch'Allah. Alors tu vois l'idée, c'est ok, il y a le je veux pas déranger, mais l'idée c'est d'être en mode ok, je veux pas déranger, mais je me soigne, d'accord ? Parce que même si à un moment donné, tu as adhéré à l'idée dans ta vie que je veux pas déranger, c'est genre de la politesse, de l'humilité, blablabla, et tu as bien, j'espère qu'aujourd'hui tu as saisi, que je vais pouvoir pousser des clics que ça c'est un obstacle clairement à ton épanouissement. L'idée c'est que tu puisses... T'affirmer, reconnaître tes besoins, les exprimer sans crainte, de te reconnecter à toi-même pour créer un équilibre plus sain avec toi-même, mais avec les autres. Alors la prochaine fois que tu te surprends à penser, je veux pas déranger, rappelle-toi, tes besoins comptent. S'affirmer, c'est pas imposer, d'accord ? C'est honorer ce que tu ressens. Preuve de respect vis-à-vis de toi-même. Tu as le droit de demander, d'exister, de dire non, de dire je ne suis pas disponible, mais surtout d'être écouté et d'être soutenu avec autant de légitimité que n'importe qui. Tu as le droit de te traiter en première classe. Et en prenant soin de toi et en occupant ta juste place, eh bien, rappelle-toi que tu donnes aussi l'opportunité aux autres d'avoir l'exemple d'une relation qui est... équilibré et authentique. Tu mérites d'être entendu, d'être reconnu et d'être soutenu. J'ai super hâte de lire vos retours en commentaire. Est-ce que tu fais partie de la team ? Je ne veux pas déranger. Et dis-moi comment tu te soignes ou comment tu vas te soigner en commentaire. C'était Emilie Antoine pour l'émission Street en première classe. Pense bien que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. Hasta la vista, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires. pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur MaPsychEmpuce, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, Rends-toi sur mapsyenlunichemoi.fr slash mapsycampus M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S Ensemble, sur Mapsy Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi. Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psycampus.

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