undefined cover
undefined cover
#90: Le syndrome de la prison dorée cover
#90: Le syndrome de la prison dorée cover
Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#90: Le syndrome de la prison dorée

#90: Le syndrome de la prison dorée

24min |18/04/2024|

169

Play
undefined cover
undefined cover
#90: Le syndrome de la prison dorée cover
#90: Le syndrome de la prison dorée cover
Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#90: Le syndrome de la prison dorée

#90: Le syndrome de la prison dorée

24min |18/04/2024|

169

Play

Description

Que la paix soit sur toi,


🚫 Pas besoin de commencer à creuser un tunnel sous les murs de ta cuisine!

🚀 J’ai quelque chose de bien plus radicalement libérateur pour toi.

🏰 Visualise un palace avec des barreaux en or.

✨ Ça brille et ça fait jalouser les cagoles!

🔒 Mais ça enferme ton cœur et ton âme!

🔗 Je te parle pas de ces chaînes qu’on choisit presque sans s’en rendre compte…

💸 Entre dépendance financière, matérielle et peurs qui nous clouent sur place.

🎭 Oui, même sans menottes, on peut se sentir prisonnière (et je te parle pas de celles que tu trouves dans les romans des midinettes hein 😉)!

🕳️ On tombe du 36e étage, surtout après avoir goûté à la douce illusion d'une sécurité confortable au 7e ciel…

💔 Confortable, mais oh combien trompeuse et éphémère!

🎢 Tiens-toi bien, parce que ça va secouer pour ce 90e épisode! On plonge dans les abysses de ces "sécurités" en carton-pâte qui privent de bien belles escapades!


Rejoins-nous surMapsycampus avant la fermeture des portes le 30 avril prochain! Embarque dans un voyage introspectif qui pourrait bien marquer le début d'une transformation profonde vers une version de toi plus confiante, sereine et épanouie. 🌺

🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast et laisse un commentaire pour aider d'autres femmes à connecter émotionnellement pour des relations plus authentiques.

✔️Réserver mon créneau avec une psychologue de le team mapsyenlignechezmoi ici 

🚨Pour nous contacter sur whatsapp, c'est par ici  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Sector ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Je crois qu'on a toute une copine qui est dans une relation qui reste dans une relation parce qu'elle a peur de ne pas pouvoir faire des courses, de ne pas pouvoir donner à manger à ses enfants si elle quitte cette relation, ou parce qu'elle a peur de ne pas trouver un appartement parce qu'elle n'a pas de fiche de salaire. On a toute une copine, ou on a toutes été sept copines, qui a peur de s'expatrier dans un pays qui correspond davantage à ses valeurs parce qu'elle se dit je ne vais pas avoir la CPAM, je ne vais pas avoir le RSA, je ne vais pas avoir de mutuel On a toutes une copine, on a toutes été sept copines, qui a peur d'être célibataire parce qu'elle a peur, elle a pris l'habitude en fait, on a pris l'habitude d'être dépendante financièrement ou affectivement au point où on a toute une copine, on a peut-être chacune été cette copine qui a peur de retourner faire les boutiques toute seule après avoir l'habitude d'y être toujours allée avec toutes ses copines. La manière dont certains conditionnements relationnels... ou sociaux ou économiques, peuvent nous piéger, c'est ce que je voudrais aborder dans ce podcast numéro 90 que j'ai intitulé Prisons dorées Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe Le concept, comme je vous le disais, je pense que ce que je voudrais dire, déjà en introduction, en introduction d'introduction post-introduction, c'est que je pense que ce n'est pas tant, ce que je voudrais pointer ici avant de continuer, c'est que ce n'est pas tant le conjoint, le fait de changer de pays, ou les copines qui nous créent en fait ça, qui font que ce n'est pas tant eux les responsables, si je peux dire ça comme ça. C'est qu'à un moment, je pense que... Ce qu'il faut pouvoir pointer comme mécanisme pour pouvoir se remettre en question efficacement, c'est le fait qu'à un moment donné, dans notre vie, on se laisse aller. Quand je dis on se laisse aller, je ne suis pas en train de te dire que tu ne te fais pas ton brush tous les jours ou que tu n'as pas fait ta, comment on appelle ça, la skincare routine, make-up routine, etc. Non, c'est plutôt qu'on se laisse aller à l'autre. On devient en fait... on rentre dans une relation de dépendance, mais pas une relation de dépendance qui a été choisie, qui a été réfléchie. Parce que dans un couple, je pense qu'il y a des jeux, comment dirais-je, relationnels qui font qu'on devient dépendant l'un de l'autre, mais sans que ça mette en péril, si je peux dire ça comme ça, notre propre capacité à faire les choses à un moment donné. C'est-à-dire que... Dans ce concept de prison dorée, ce que je voudrais pointer, c'est ce sentiment, si on peut dire ça comme ça, de fausse sécurité, et comment finalement, ce qui est bien plus complexe en fait que la dépendance affective, enfin voilà, on balance un petit peu des termes comme ça, là je vous parle de prison dorée, de dépendance affective, etc., mais je pense que ce qui a... à pouvoir analyser en fait, quels sont les mécanismes justement psychologiques et émotionnels qui fait qu'à un moment donné, en fait, on se laisse aller à l'autre, si je puis dire, parce qu'on ne va pas forcément parler de... Ce n'est pas parce qu'à un moment donné, tu t'es retrouvé avec ton conjoint ou c'est lui qui gère tout, etc. Et puis, car là, nous en préserve, ton conjoint décède, on n'est pas en train de dire que tu es tombé sur un manipulateur qui t'a rendu dépendante, etc. Non, en fait, quand on est dans un couple, quand on est dans les relations avec les autres, quand on vit dans une société... pendant un moment, on prend des habitudes en fait, on confie un petit peu des parts de notre vie, si je peux dire ça comme ça, à une structure, aux autres, à la société, on se laisse aller comme ça. Et finalement, derrière, comme je vous disais, l'idée, est-ce que ce n'est pas de s'interroger sur comment, à un moment donné, on participe nous-mêmes de faire face aux choses, de prendre ses responsabilités, de se dire, mais quelles sont les peurs, quelles sont les craintes, et notamment la peur du manque, vous voyez, comme je vous disais toujours, est-ce que tu vas retrouver quelqu'un ? Est-ce que tu vas pouvoir payer ton loyer ? des courses si les si et si tu tombes malade et que tu es dans un pays par exemple moi je vous ai mis là c'est une question qu'on pose tout le temps le nombre de personnes qui me disent emilie comment vous faites au niveau de la santé des mutuelles etc il n'y a pas la cpm là bas vous payez il faut payer l'école il faut payer le balance on s'habitue en fait c'est à dire qu'on organise notre notre vie différemment mais je comprends tout à fait Ce stress, ce coup d'adrénaline qu'on a avant de partir quand on veut s'expatrier dans un pays qui ne nous garantit pas les mêmes droits que ceux qu'on a en France, d'avoir cette crainte, cette peur. Et je pense que derrière, l'idée, c'est de pouvoir interroger, de faire ce travail d'introspection pour comprendre ces conditionnements-là. Comment ces conditionnements-là se développent ? À partir de notre culture sociale, sociétale, par exemple, quand on a grandi en France, on a cette culture... Sociale, éducative, on ne paye rien. On va à l'école, c'est gratuit, alors que ce n'est pas du tout gratuit, c'est offert. Je plaisante souvent là-dessus, c'est-à-dire qu'on ne paye pas à l'école, sauf si tu vas dans le privé, bien sûr, mais la santé, pareil. Alors bien sûr, ça change, ça évolue, mais on a cette habitude, on a cette espèce de prison dorée, parce que ça a un coût quand même sur les salaires, etc. Mais ça devient une prison dorée quand tu te refuses à t'expatrier parce que tu as peur. de tomber malade, de ne pas avoir de quoi te soigner ailleurs, etc. Tu as peur de sortir d'une relation, de t'élancer d'une relation, parce que tu te dis, en gros, qu'est-ce que je vais faire sans lui ? Et du coup, des fois, tu acceptes. Ça peut être dans un travail aussi, parce que tu as un prêt à payer. Même si ce prêt-là, dans la manière dont tu l'as contracté à un moment donné, tu n'es plus en accord avec tes valeurs, tu vas quand même rester là parce que tu as peur de manquer. Tu dis qu'il faut payer la maison, tu te racontes des histoires par rapport aux enfants, etc. Parce que c'est des choses qu'on t'a toujours dit, que tes parents t'ont toujours dit, par exemple, ou que tes amis ou ton environnement social promeuvent. Et du coup, l'idée, c'est de venir en fait faire face à soi, de se dire Ok, mais pourquoi ? J'accepte cette prison dorée pour qu'est-ce qu'il y a derrière qui m'attache à cette prison, à cette impression de fausse sécurité. Je me rappelle l'exemple, je voudrais partager avec vous un autre exemple d'une femme qui me disait, en fait, voilà, c'était un exemple professionnel d'ailleurs, donc une personne que j'accompagne, elle voulait partir de là où elle travaillait parce qu'elle était harcelée au travail. Et elle s'était rendue compte qu'à un moment donné, elle avait ce frein de se dire, ça fait des années et des années que j'ai une voiture en leasing, le leasing qui est entre guillemets payé par l'entreprise. elle se rendait compte, quand elle faisait face à elle-même, qu'elle avait un petit peu de stress à l'idée de se dire tiens, il va falloir que j'achète ma propre voiture, que j'assure ma propre voiture, que je m'occupe de l'entretien de la propre voiture. Et ça, elle a admis avec beaucoup d'humilité qu'à un moment donné, ça l'a freiné de quitter ce travail-là qui n'était pas du tout en dehors des situations de harcèlement, qui n'étaient pas en accord avec ses valeurs et ses principes. Parce qu'il y avait cette crainte, cette dépendance, si je peux dire ça comme ça, cette crainte de l'avenir, cette crainte de manquer. Et du coup, qu'est-ce qui se passe quand on a des conditionnements comme ça psychologiques qui viennent de ce qu'on a reçu, dans quoi on a été baigné au niveau de la famille, de la société, etc. La conséquence, on peut dire ça comme ça, c'est que notre sentiment d'efficacité personnelle, vous en avez parlé dans un autre podcast, il est abaissé. Plus d'ailleurs le sentiment d'efficacité personnelle est bas, Et plus l'augmentation de la dépendance, donc là je vous parle de la dépendance au sens pathologique, pas la dépendance normale qu'il peut y avoir dans une relation, mais plus cette dépendance va augmenter. Parce que quand on ne se sent pas en capacité, par exemple, d'aller faire ses courses toute seule, parce qu'on a pour une peur de... une peur d'avoir une crise d'angoisse, ou alors la peur qu'il y ait beaucoup de monde, ou la peur d'oublier des choses pendant les courses, ou que sais-je, là par exemple on va être amené à solliciter sa mère, une amie, sa tante, son mari, etc. Vous voyez, plus ça augmente en fait la dépendance à l'autre. Et ces conditionnements nous empêchent, autrement dit, d'être plus autonomes au niveau personnel, au niveau émotionnel, et même au niveau spirituel. Ça m'est arrivé aussi de... d'accompagner des femmes qui étaient par exemple mariées pendant un moment, puis après le mariage s'arrêtait pour une raison X ou Y. Et en fait, elles se retrouvaient, comme elles avaient l'habitude de faire certaines choses avec leur mari au niveau spirituel, quand elles se retrouvaient entre guillemets seules, elles éprouvaient beaucoup plus de difficultés pour se remettre dans l'apprentissage, faire leurs adorations, prier à l'heure, etc. Parce qu'elles n'avaient pas développé cette autonomie, on peut dire peut-être spirituelle, bien que bien sûr le groupe... La communauté est importante dans la religion. mais on constate en fait que plus la prison est dorée, on peut dire ça comme ça, et plus l'autonomie personnelle, professionnelle, spirituelle, etc. s'abaisse. Et souvent, comme je vous disais tout à l'heure, il y a cette fausse sécurité, cette impression en fait, elle est dorée cette prison, d'accord ? Lorsqu'on aime ça, c'est qu'on s'accroche en fait à des choses dont on a l'impression qu'elles nous apportent une sécurité, un toit, les courses. l'assurance de la voiture, plein de choses comme ça, le fait d'avoir un salaire, etc. Et on se voit accepter des choses qui ne nous apportent pas du tout de sécurité émotionnelle, par exemple. Parce que quand tu es sur ton lieu de travail, bien que, bien sûr, tu as besoin de payer ton loyer, etc. Quand tu te fais harceler, par exemple, c'est extrêmement dommageable au niveau psychologique et émotionnel, mais tu te retrouves à accepter ça, en fait. parce que tu as peur de partir, parce que tu as peur de ne pas retrouver le même boulot, le même salaire, etc. Il y a plein de craintes derrière, qui fait qu'on s'accroche à ce qui ne nous apporte pas réellement de sécurité. Et le lien avec la peur du manque et la manière dont ça peut influencer nos décisions, elle est totalement, comment dirais-je, inévitable, si je puis dire. Vraiment, c'est quelque chose qui peut se traduire dans notre quotidien. Et souvent, c'est là où c'est dramatique complètement à notre insu, c'est-à-dire de manière complètement inconsciente. Cette prison dorée, c'est vraiment la métaphore qui décrit une situation. Et je me rappelle d'où vient ce terme. J'y pensais tout à l'heure avant d'écouter le podcast. Je me rappelle que... Il y a quelqu'un de ma famille qui parlait d'une de ses copines. Elle était à l'époque avec un homme qui la maltraitait. Elle restait avec cet homme-là. Elle disait toujours son prénom. Elle disait qu'elle était dans une prison dorée, etc. Je me rappelle que quand j'étais enfant, je me disais... Comment ça, une prison ? Comment ça, elle choisit de rester en prison ? Et comment ça, une prison peut-être dorée ? Et cette métaphore, elle décrit vraiment cette situation où, là, en l'occurrence, cette copine de la personne de ma famille, elle avait ce confort matériel, son conjoint, il avait un bon salaire, il avait un statut social qui était enviable, mais en même temps, elle se sentait piégée par cette situation parce que ça ne correspondait pas vraiment à ce qu'elle voulait, en fait. Et ça, ça peut, quand tu es dans cette contradiction, ça peut rendre extrêmement malheureuse, ça peut rendre extrêmement stressé. On voit aussi que ça peut donner lieu à des situations de burn-out parce qu'on fait réellement des choses, on accepte des choses qui ne sont pas du tout en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes. Ce qui fait qu'on appelle ça une prison, c'est vraiment que même souvent de l'extérieur, ça a l'air parfait. T'as un travail, t'as un salaire, t'as un CDI, pourquoi tu vas te prendre la tête à te lancer dans l'entrepreneuriat ? T'as un mari qui gagne très bien sa vie, tout le monde l'aime, etc. Pourquoi tu vas partir ? Oh ça va, il t'en met une de temps en temps, c'est bon quoi. Nos grand-mères, elles acceptaient bien des choses comme ça. C'est vraiment l'idée que de l'extérieur, tout semble parfait, mais on se sent coincé, on se sent incapable. C'est là en fait où ça devient une situation de... de dépendance toxique, si je peux dire ça comme ça, et pas quelque chose de choisi, où les rôles sont bien dispatchés, si je puis dire. C'est où on se sent incapable, où c'est lié, comme je vous disais tout à l'heure, au sentiment d'efficacité personnelle. On se sent incapable de quitter cette situation, de quitter ce pays, de quitter cette ville, parce qu'on a peur de perdre la sécurité financière, la sécurité, mais grosse guillemette à chaque fois, la sécurité... comme on dit, de santé, liée au médical, si je puis dire, ou le prestige social qu'une situation peut nous apporter. Et cette prison, elle est dorée parce qu'il y a des avantages. Il y a des avantages comme, par exemple, l'argent, tout simplement, la reconnaissance sociale, le fait de pouvoir... Enfin, souvent, c'est lié au matériel, on ne va pas se mentir. Tout ça, ça apporte un semblant de confort, un semblant de sécurité, et souvent, c'est relatif au matériel, mais réellement... émotionnellement, psychologiquement, les personnes sont dans une grande détresse. Et ce que je voudrais pointer aussi, souvent, c'est que quand on est dans une prison dorée, si tu as ta copine qui est dans une prison dorée, ou si tu as été la copine qui était dans une prison dorée, souvent, qu'est-ce qu'on ressent ? On se sent complètement tiraillé. Et la prison dorée, ça peut être aussi un groupe d'amis. que tu continues de supporter parce que tu as peur d'être seule, mais qui te font la misère, ce ne sont pas tes amis, ce ne sont pas tes copines, mais parce que tu as peur d'être seule, tu vas continuer de fréquenter des personnes qui n'ont pas les mêmes valeurs que toi, qui font de la médisance, etc. Et tu te sens tiraillé entre les avantages visibles, superficiels de la situation, c'est-à-dire être accompagné, et les sacrifices non visibles, autrement dit, les sacrifices de tes valeurs, de tes ambitions, de ta santé mentale. ou même le temps pour toi même, j'ai envie de te dire. Et souvent, ce qui se produit aussi, c'est qu'on commence à se sentir coupable. Et on se sent coupable parce qu'on sent qu'on a une espèce de plainte, soit interne ou qu'on exprime, mais en même temps, on se dit, attends, quand même, j'ai la chance, j'ai ces avantages-là, en fait. C'est qu'il y a le conflit entre l'apparence dorée de la prison, où on se dit, quand même, j'ai des choses, je ne vais pas me plaindre, et le fait que ce soit une prison, en fait. Et souvent, comme je vous disais, ce qui se produit, c'est que ces obligations qu'on a l'impression d'avoir, comme des responsabilités financières, la pression sociale, la pression familiale, la pression même scolaire, on voit ça chez les adolescents aussi. Il y a beaucoup de situations de harcèlement au collège, au lycée, etc., qui continuent, parce que les adolescents ou les enfants qui sont touchés ont cette crainte de finir seuls, etc., donc acceptent des comportements maltraitants. de crainte d'être seule en fait. Et cette pression sociale fait sentir que, ça donne l'impression qu'on doit continuer dans cette voie, que c'est normal, qu'il faut souffrir, etc. Même si ça nous rend malheureuse, même si ça nous coupe, ça nous donne des coups de pied dans les tibias, comme je dis souvent. Et je pense que reconnaître ce qu'on veut vraiment dans sa vie, c'est hyper important à ce stade-là. Comment on va faire pour sortir, autrement dit, de sa prison dorée ? À un moment donné, parce qu'on ressent justement cette contradiction, qu'on a envie d'autre chose, on a envie de travailler sur son sentiment d'efficacité personnelle, travailler sur sa foi, même j'ai envie de dire, parce que la confiance vraiment avec le grand C. Souvent, ça nécessite de travailler sur ces blocages émotionnels, blocages psychologiques, pour pouvoir retrouver cette liberté mentale, spirituelle. D'ailleurs, c'est un des tenants et les aboutissants de ma Psycho en plus. C'est vraiment un programme que j'ai conçu pour les femmes. offrir pour les former sur des outils qui les aident à surmonter ces blocages émotionnels, pour s'aligner avec leurs valeurs profondes. Il y a des modules tels que Unique et Apaisé, où on retravaille sur tout ce qui est sur l'identité, pour que chacune se réapproprie sa propre personne, j'ai envie de dire. Épanouie et accomplie, on travaille sur les objectifs de vie, ce qui est important pour elle, etc. Dans ma psychanalyse, on aide les femmes. à renforcer la confiance, à gérer leur anxiété, à gérer leur peur, leur stress, pour accéder à cette paix intérieure qui permet de se réaligner avec ce qui est vraiment important pour nous. D'ailleurs, j'en profite pour vous partager un retour que j'ai eu hier. D'une bootcampeuse qui a commencé en fin 2023. Franchement, j'étais à deux doigts de pleurer quand j'ai lu son retour, je vais vous le lire. Pour parler des conséquences positives, depuis que je fais le bootcamp, il y a eu un grand changement dans ma vie. Déjà pour moi, j'ai pris conscience de beaucoup de choses et j'en ai parlé à mon mari. Et lui aussi, il s'est mis à appliquer tes outils, lol, inconsciemment, et après consciemment. Et au final, il a initié une grosse discussion et a partagé avec moi tous ses non-dits et on a mis tout à plat. Et depuis, alhamdoulilah, c'est le bonheur. Il y a eu un changement à 360 degrés. Désormais, on partage tout. On dit, quand quelque chose ne nous plaît pas, on ne garde rien. Du coup, tout coule de source. On n'est plus là à interpréter, je dirais même à misinterpret, donc à interpréter de manière erronée, en fait, les intentions des autres. Et ce que je voudrais, donc déjà, j'étais hyper contente de voir ça, parce qu'aider une femme, mais en plus, qu'elle puisse transmettre les outils à son conjoint et profiter... À la bonne santé d'un couple, c'est quelque chose qui me fait extrêmement plaisir. Mais ce que je voulais vous montrer aussi via ce témoignage-là, c'est que parfois, dans notre manière d'être en relation, parce qu'il y a des blocages, parce qu'il y a des croyances limitantes, parce qu'on a des manières de faire qui ne nous servent pas, on peut se retrouver en prison avec quelqu'un qui, au final, nous correspond parce qu'il y a ces ajustements qui ne se font pas. Parce que ce qu'on comprend dans ce témoignage-là, au-delà que ça promeut, si je peux dire ça comme ça, ma psychanalyse, c'est qu'il y a un avant et un après pour elle, mais il y a un avant et un après dans une situation qu'elle vivait pas forcément comme quelque chose d'épanouissant, d'accord ? Un peu comme une prison dorée, si je peux dire ça comme ça. Et le fait d'avoir travaillé sur elle, d'avoir mis le doigt sur qui elle est, d'avoir compris son fonctionnement, d'avoir pu tester des outils, et on dit toujours qu'il faut agir entre guillemets le changement qu'on veut avoir et du coup d'avoir fait ça avec son mari mime si je peux dire ça comme ça les mêmes outils qu'elle a appris avec nous non seulement ce n'est plus une prison ils sont bien contents tous les deux mais elle reste toujours dorée donc je trouve ça vraiment magnifique je vais terminer ce podcast sur cette belle note je vous rappelle alors je ne crois pas que je l'ai dit dans le podcast mais là aujourd'hui on est le 18 avril et A la fin du mois d'avril, il vous reste du coup 12 jours environ pour rejoindre ma psy-campus justement parce qu'on ferme les portes le 30 avril. d'une part parce que je vais me consacrer sur un nouveau projet dont vous allez bientôt entendre parler au mois de mai, donc si tu veux rejoindre MAPSI Campus, mapsienlinechezmoi.fr slash MAPSI Campus, t'as toutes les informations si vous avez la moindre question, vous pouvez nous contacter sur WhatsApp au 07 81 11 64 11 et aussi, on a eu notre live d'introspection participatif hier, donc le 17 avril qui est disponible en replay sur la chaîne Telegram se traitant en première classe Merci pendant 72 heures, donc autrement dit jusqu'à samedi midi, donc samedi 20 avril 2024, jusqu'à midi sur la chaîne Se Traiter en Première Classe sur Telegram. Pareil, le lien, vous pouvez le retrouver sur Instagram, dans ma bio, emily-dubas-antoine-dubas. Vous allez dans la bio, vous pourrez cliquer, vous trouverez le lien pour nous rejoindre sur Telegram, où il y a en exclusivité tous les replays, toutes les interventions que je fais pour le... l'introspection, toute la partie de live d'introspection, avant que ça rejoigne ma psy-campus. Ça passe trois jours en accès offert sur Telegram. Du coup, quand vous êtes sur la chaîne Telegram, vous vous garantissez d'avoir toujours accès au replay des lives participatifs d'introspection avant qu'ils ne rejoignent ma psy-campus. Et bien sûr que quand vous rejoignez ma psy-campus, vous avez accès à tout, y compris le module d'auto-coaching qui s'appelle les bases de ton cheminement. tous les modules de ma psy-campus, donc il y en a six en plus, les replays des coachings de groupe depuis 2023, les cercles des bootcampers, donc avec mes collègues psychologues de la team Apsi en ligne chez moi, donc ça vous garantit un rendez-vous individuel de Boost Coaching par semaine, plus les rendez-vous de groupe, donc c'est vraiment quand on veut prendre un virage à 360 dans sa vie, c'est, je pense, une des meilleures manières de le faire. Prenez bien soin de vous. pensez bien rappelez vous que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence et je vous dis à bientôt bye bye Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions mais aussi de célébrer son épanouissement personnel professionnel et spirituel Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Ensemble, sur Mapsi Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur MapsiCampus !

Description

Que la paix soit sur toi,


🚫 Pas besoin de commencer à creuser un tunnel sous les murs de ta cuisine!

🚀 J’ai quelque chose de bien plus radicalement libérateur pour toi.

🏰 Visualise un palace avec des barreaux en or.

✨ Ça brille et ça fait jalouser les cagoles!

🔒 Mais ça enferme ton cœur et ton âme!

🔗 Je te parle pas de ces chaînes qu’on choisit presque sans s’en rendre compte…

💸 Entre dépendance financière, matérielle et peurs qui nous clouent sur place.

🎭 Oui, même sans menottes, on peut se sentir prisonnière (et je te parle pas de celles que tu trouves dans les romans des midinettes hein 😉)!

🕳️ On tombe du 36e étage, surtout après avoir goûté à la douce illusion d'une sécurité confortable au 7e ciel…

💔 Confortable, mais oh combien trompeuse et éphémère!

🎢 Tiens-toi bien, parce que ça va secouer pour ce 90e épisode! On plonge dans les abysses de ces "sécurités" en carton-pâte qui privent de bien belles escapades!


Rejoins-nous surMapsycampus avant la fermeture des portes le 30 avril prochain! Embarque dans un voyage introspectif qui pourrait bien marquer le début d'une transformation profonde vers une version de toi plus confiante, sereine et épanouie. 🌺

🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast et laisse un commentaire pour aider d'autres femmes à connecter émotionnellement pour des relations plus authentiques.

✔️Réserver mon créneau avec une psychologue de le team mapsyenlignechezmoi ici 

🚨Pour nous contacter sur whatsapp, c'est par ici  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Sector ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Je crois qu'on a toute une copine qui est dans une relation qui reste dans une relation parce qu'elle a peur de ne pas pouvoir faire des courses, de ne pas pouvoir donner à manger à ses enfants si elle quitte cette relation, ou parce qu'elle a peur de ne pas trouver un appartement parce qu'elle n'a pas de fiche de salaire. On a toute une copine, ou on a toutes été sept copines, qui a peur de s'expatrier dans un pays qui correspond davantage à ses valeurs parce qu'elle se dit je ne vais pas avoir la CPAM, je ne vais pas avoir le RSA, je ne vais pas avoir de mutuel On a toutes une copine, on a toutes été sept copines, qui a peur d'être célibataire parce qu'elle a peur, elle a pris l'habitude en fait, on a pris l'habitude d'être dépendante financièrement ou affectivement au point où on a toute une copine, on a peut-être chacune été cette copine qui a peur de retourner faire les boutiques toute seule après avoir l'habitude d'y être toujours allée avec toutes ses copines. La manière dont certains conditionnements relationnels... ou sociaux ou économiques, peuvent nous piéger, c'est ce que je voudrais aborder dans ce podcast numéro 90 que j'ai intitulé Prisons dorées Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe Le concept, comme je vous le disais, je pense que ce que je voudrais dire, déjà en introduction, en introduction d'introduction post-introduction, c'est que je pense que ce n'est pas tant, ce que je voudrais pointer ici avant de continuer, c'est que ce n'est pas tant le conjoint, le fait de changer de pays, ou les copines qui nous créent en fait ça, qui font que ce n'est pas tant eux les responsables, si je peux dire ça comme ça. C'est qu'à un moment, je pense que... Ce qu'il faut pouvoir pointer comme mécanisme pour pouvoir se remettre en question efficacement, c'est le fait qu'à un moment donné, dans notre vie, on se laisse aller. Quand je dis on se laisse aller, je ne suis pas en train de te dire que tu ne te fais pas ton brush tous les jours ou que tu n'as pas fait ta, comment on appelle ça, la skincare routine, make-up routine, etc. Non, c'est plutôt qu'on se laisse aller à l'autre. On devient en fait... on rentre dans une relation de dépendance, mais pas une relation de dépendance qui a été choisie, qui a été réfléchie. Parce que dans un couple, je pense qu'il y a des jeux, comment dirais-je, relationnels qui font qu'on devient dépendant l'un de l'autre, mais sans que ça mette en péril, si je peux dire ça comme ça, notre propre capacité à faire les choses à un moment donné. C'est-à-dire que... Dans ce concept de prison dorée, ce que je voudrais pointer, c'est ce sentiment, si on peut dire ça comme ça, de fausse sécurité, et comment finalement, ce qui est bien plus complexe en fait que la dépendance affective, enfin voilà, on balance un petit peu des termes comme ça, là je vous parle de prison dorée, de dépendance affective, etc., mais je pense que ce qui a... à pouvoir analyser en fait, quels sont les mécanismes justement psychologiques et émotionnels qui fait qu'à un moment donné, en fait, on se laisse aller à l'autre, si je puis dire, parce qu'on ne va pas forcément parler de... Ce n'est pas parce qu'à un moment donné, tu t'es retrouvé avec ton conjoint ou c'est lui qui gère tout, etc. Et puis, car là, nous en préserve, ton conjoint décède, on n'est pas en train de dire que tu es tombé sur un manipulateur qui t'a rendu dépendante, etc. Non, en fait, quand on est dans un couple, quand on est dans les relations avec les autres, quand on vit dans une société... pendant un moment, on prend des habitudes en fait, on confie un petit peu des parts de notre vie, si je peux dire ça comme ça, à une structure, aux autres, à la société, on se laisse aller comme ça. Et finalement, derrière, comme je vous disais, l'idée, est-ce que ce n'est pas de s'interroger sur comment, à un moment donné, on participe nous-mêmes de faire face aux choses, de prendre ses responsabilités, de se dire, mais quelles sont les peurs, quelles sont les craintes, et notamment la peur du manque, vous voyez, comme je vous disais toujours, est-ce que tu vas retrouver quelqu'un ? Est-ce que tu vas pouvoir payer ton loyer ? des courses si les si et si tu tombes malade et que tu es dans un pays par exemple moi je vous ai mis là c'est une question qu'on pose tout le temps le nombre de personnes qui me disent emilie comment vous faites au niveau de la santé des mutuelles etc il n'y a pas la cpm là bas vous payez il faut payer l'école il faut payer le balance on s'habitue en fait c'est à dire qu'on organise notre notre vie différemment mais je comprends tout à fait Ce stress, ce coup d'adrénaline qu'on a avant de partir quand on veut s'expatrier dans un pays qui ne nous garantit pas les mêmes droits que ceux qu'on a en France, d'avoir cette crainte, cette peur. Et je pense que derrière, l'idée, c'est de pouvoir interroger, de faire ce travail d'introspection pour comprendre ces conditionnements-là. Comment ces conditionnements-là se développent ? À partir de notre culture sociale, sociétale, par exemple, quand on a grandi en France, on a cette culture... Sociale, éducative, on ne paye rien. On va à l'école, c'est gratuit, alors que ce n'est pas du tout gratuit, c'est offert. Je plaisante souvent là-dessus, c'est-à-dire qu'on ne paye pas à l'école, sauf si tu vas dans le privé, bien sûr, mais la santé, pareil. Alors bien sûr, ça change, ça évolue, mais on a cette habitude, on a cette espèce de prison dorée, parce que ça a un coût quand même sur les salaires, etc. Mais ça devient une prison dorée quand tu te refuses à t'expatrier parce que tu as peur. de tomber malade, de ne pas avoir de quoi te soigner ailleurs, etc. Tu as peur de sortir d'une relation, de t'élancer d'une relation, parce que tu te dis, en gros, qu'est-ce que je vais faire sans lui ? Et du coup, des fois, tu acceptes. Ça peut être dans un travail aussi, parce que tu as un prêt à payer. Même si ce prêt-là, dans la manière dont tu l'as contracté à un moment donné, tu n'es plus en accord avec tes valeurs, tu vas quand même rester là parce que tu as peur de manquer. Tu dis qu'il faut payer la maison, tu te racontes des histoires par rapport aux enfants, etc. Parce que c'est des choses qu'on t'a toujours dit, que tes parents t'ont toujours dit, par exemple, ou que tes amis ou ton environnement social promeuvent. Et du coup, l'idée, c'est de venir en fait faire face à soi, de se dire Ok, mais pourquoi ? J'accepte cette prison dorée pour qu'est-ce qu'il y a derrière qui m'attache à cette prison, à cette impression de fausse sécurité. Je me rappelle l'exemple, je voudrais partager avec vous un autre exemple d'une femme qui me disait, en fait, voilà, c'était un exemple professionnel d'ailleurs, donc une personne que j'accompagne, elle voulait partir de là où elle travaillait parce qu'elle était harcelée au travail. Et elle s'était rendue compte qu'à un moment donné, elle avait ce frein de se dire, ça fait des années et des années que j'ai une voiture en leasing, le leasing qui est entre guillemets payé par l'entreprise. elle se rendait compte, quand elle faisait face à elle-même, qu'elle avait un petit peu de stress à l'idée de se dire tiens, il va falloir que j'achète ma propre voiture, que j'assure ma propre voiture, que je m'occupe de l'entretien de la propre voiture. Et ça, elle a admis avec beaucoup d'humilité qu'à un moment donné, ça l'a freiné de quitter ce travail-là qui n'était pas du tout en dehors des situations de harcèlement, qui n'étaient pas en accord avec ses valeurs et ses principes. Parce qu'il y avait cette crainte, cette dépendance, si je peux dire ça comme ça, cette crainte de l'avenir, cette crainte de manquer. Et du coup, qu'est-ce qui se passe quand on a des conditionnements comme ça psychologiques qui viennent de ce qu'on a reçu, dans quoi on a été baigné au niveau de la famille, de la société, etc. La conséquence, on peut dire ça comme ça, c'est que notre sentiment d'efficacité personnelle, vous en avez parlé dans un autre podcast, il est abaissé. Plus d'ailleurs le sentiment d'efficacité personnelle est bas, Et plus l'augmentation de la dépendance, donc là je vous parle de la dépendance au sens pathologique, pas la dépendance normale qu'il peut y avoir dans une relation, mais plus cette dépendance va augmenter. Parce que quand on ne se sent pas en capacité, par exemple, d'aller faire ses courses toute seule, parce qu'on a pour une peur de... une peur d'avoir une crise d'angoisse, ou alors la peur qu'il y ait beaucoup de monde, ou la peur d'oublier des choses pendant les courses, ou que sais-je, là par exemple on va être amené à solliciter sa mère, une amie, sa tante, son mari, etc. Vous voyez, plus ça augmente en fait la dépendance à l'autre. Et ces conditionnements nous empêchent, autrement dit, d'être plus autonomes au niveau personnel, au niveau émotionnel, et même au niveau spirituel. Ça m'est arrivé aussi de... d'accompagner des femmes qui étaient par exemple mariées pendant un moment, puis après le mariage s'arrêtait pour une raison X ou Y. Et en fait, elles se retrouvaient, comme elles avaient l'habitude de faire certaines choses avec leur mari au niveau spirituel, quand elles se retrouvaient entre guillemets seules, elles éprouvaient beaucoup plus de difficultés pour se remettre dans l'apprentissage, faire leurs adorations, prier à l'heure, etc. Parce qu'elles n'avaient pas développé cette autonomie, on peut dire peut-être spirituelle, bien que bien sûr le groupe... La communauté est importante dans la religion. mais on constate en fait que plus la prison est dorée, on peut dire ça comme ça, et plus l'autonomie personnelle, professionnelle, spirituelle, etc. s'abaisse. Et souvent, comme je vous disais tout à l'heure, il y a cette fausse sécurité, cette impression en fait, elle est dorée cette prison, d'accord ? Lorsqu'on aime ça, c'est qu'on s'accroche en fait à des choses dont on a l'impression qu'elles nous apportent une sécurité, un toit, les courses. l'assurance de la voiture, plein de choses comme ça, le fait d'avoir un salaire, etc. Et on se voit accepter des choses qui ne nous apportent pas du tout de sécurité émotionnelle, par exemple. Parce que quand tu es sur ton lieu de travail, bien que, bien sûr, tu as besoin de payer ton loyer, etc. Quand tu te fais harceler, par exemple, c'est extrêmement dommageable au niveau psychologique et émotionnel, mais tu te retrouves à accepter ça, en fait. parce que tu as peur de partir, parce que tu as peur de ne pas retrouver le même boulot, le même salaire, etc. Il y a plein de craintes derrière, qui fait qu'on s'accroche à ce qui ne nous apporte pas réellement de sécurité. Et le lien avec la peur du manque et la manière dont ça peut influencer nos décisions, elle est totalement, comment dirais-je, inévitable, si je puis dire. Vraiment, c'est quelque chose qui peut se traduire dans notre quotidien. Et souvent, c'est là où c'est dramatique complètement à notre insu, c'est-à-dire de manière complètement inconsciente. Cette prison dorée, c'est vraiment la métaphore qui décrit une situation. Et je me rappelle d'où vient ce terme. J'y pensais tout à l'heure avant d'écouter le podcast. Je me rappelle que... Il y a quelqu'un de ma famille qui parlait d'une de ses copines. Elle était à l'époque avec un homme qui la maltraitait. Elle restait avec cet homme-là. Elle disait toujours son prénom. Elle disait qu'elle était dans une prison dorée, etc. Je me rappelle que quand j'étais enfant, je me disais... Comment ça, une prison ? Comment ça, elle choisit de rester en prison ? Et comment ça, une prison peut-être dorée ? Et cette métaphore, elle décrit vraiment cette situation où, là, en l'occurrence, cette copine de la personne de ma famille, elle avait ce confort matériel, son conjoint, il avait un bon salaire, il avait un statut social qui était enviable, mais en même temps, elle se sentait piégée par cette situation parce que ça ne correspondait pas vraiment à ce qu'elle voulait, en fait. Et ça, ça peut, quand tu es dans cette contradiction, ça peut rendre extrêmement malheureuse, ça peut rendre extrêmement stressé. On voit aussi que ça peut donner lieu à des situations de burn-out parce qu'on fait réellement des choses, on accepte des choses qui ne sont pas du tout en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes. Ce qui fait qu'on appelle ça une prison, c'est vraiment que même souvent de l'extérieur, ça a l'air parfait. T'as un travail, t'as un salaire, t'as un CDI, pourquoi tu vas te prendre la tête à te lancer dans l'entrepreneuriat ? T'as un mari qui gagne très bien sa vie, tout le monde l'aime, etc. Pourquoi tu vas partir ? Oh ça va, il t'en met une de temps en temps, c'est bon quoi. Nos grand-mères, elles acceptaient bien des choses comme ça. C'est vraiment l'idée que de l'extérieur, tout semble parfait, mais on se sent coincé, on se sent incapable. C'est là en fait où ça devient une situation de... de dépendance toxique, si je peux dire ça comme ça, et pas quelque chose de choisi, où les rôles sont bien dispatchés, si je puis dire. C'est où on se sent incapable, où c'est lié, comme je vous disais tout à l'heure, au sentiment d'efficacité personnelle. On se sent incapable de quitter cette situation, de quitter ce pays, de quitter cette ville, parce qu'on a peur de perdre la sécurité financière, la sécurité, mais grosse guillemette à chaque fois, la sécurité... comme on dit, de santé, liée au médical, si je puis dire, ou le prestige social qu'une situation peut nous apporter. Et cette prison, elle est dorée parce qu'il y a des avantages. Il y a des avantages comme, par exemple, l'argent, tout simplement, la reconnaissance sociale, le fait de pouvoir... Enfin, souvent, c'est lié au matériel, on ne va pas se mentir. Tout ça, ça apporte un semblant de confort, un semblant de sécurité, et souvent, c'est relatif au matériel, mais réellement... émotionnellement, psychologiquement, les personnes sont dans une grande détresse. Et ce que je voudrais pointer aussi, souvent, c'est que quand on est dans une prison dorée, si tu as ta copine qui est dans une prison dorée, ou si tu as été la copine qui était dans une prison dorée, souvent, qu'est-ce qu'on ressent ? On se sent complètement tiraillé. Et la prison dorée, ça peut être aussi un groupe d'amis. que tu continues de supporter parce que tu as peur d'être seule, mais qui te font la misère, ce ne sont pas tes amis, ce ne sont pas tes copines, mais parce que tu as peur d'être seule, tu vas continuer de fréquenter des personnes qui n'ont pas les mêmes valeurs que toi, qui font de la médisance, etc. Et tu te sens tiraillé entre les avantages visibles, superficiels de la situation, c'est-à-dire être accompagné, et les sacrifices non visibles, autrement dit, les sacrifices de tes valeurs, de tes ambitions, de ta santé mentale. ou même le temps pour toi même, j'ai envie de te dire. Et souvent, ce qui se produit aussi, c'est qu'on commence à se sentir coupable. Et on se sent coupable parce qu'on sent qu'on a une espèce de plainte, soit interne ou qu'on exprime, mais en même temps, on se dit, attends, quand même, j'ai la chance, j'ai ces avantages-là, en fait. C'est qu'il y a le conflit entre l'apparence dorée de la prison, où on se dit, quand même, j'ai des choses, je ne vais pas me plaindre, et le fait que ce soit une prison, en fait. Et souvent, comme je vous disais, ce qui se produit, c'est que ces obligations qu'on a l'impression d'avoir, comme des responsabilités financières, la pression sociale, la pression familiale, la pression même scolaire, on voit ça chez les adolescents aussi. Il y a beaucoup de situations de harcèlement au collège, au lycée, etc., qui continuent, parce que les adolescents ou les enfants qui sont touchés ont cette crainte de finir seuls, etc., donc acceptent des comportements maltraitants. de crainte d'être seule en fait. Et cette pression sociale fait sentir que, ça donne l'impression qu'on doit continuer dans cette voie, que c'est normal, qu'il faut souffrir, etc. Même si ça nous rend malheureuse, même si ça nous coupe, ça nous donne des coups de pied dans les tibias, comme je dis souvent. Et je pense que reconnaître ce qu'on veut vraiment dans sa vie, c'est hyper important à ce stade-là. Comment on va faire pour sortir, autrement dit, de sa prison dorée ? À un moment donné, parce qu'on ressent justement cette contradiction, qu'on a envie d'autre chose, on a envie de travailler sur son sentiment d'efficacité personnelle, travailler sur sa foi, même j'ai envie de dire, parce que la confiance vraiment avec le grand C. Souvent, ça nécessite de travailler sur ces blocages émotionnels, blocages psychologiques, pour pouvoir retrouver cette liberté mentale, spirituelle. D'ailleurs, c'est un des tenants et les aboutissants de ma Psycho en plus. C'est vraiment un programme que j'ai conçu pour les femmes. offrir pour les former sur des outils qui les aident à surmonter ces blocages émotionnels, pour s'aligner avec leurs valeurs profondes. Il y a des modules tels que Unique et Apaisé, où on retravaille sur tout ce qui est sur l'identité, pour que chacune se réapproprie sa propre personne, j'ai envie de dire. Épanouie et accomplie, on travaille sur les objectifs de vie, ce qui est important pour elle, etc. Dans ma psychanalyse, on aide les femmes. à renforcer la confiance, à gérer leur anxiété, à gérer leur peur, leur stress, pour accéder à cette paix intérieure qui permet de se réaligner avec ce qui est vraiment important pour nous. D'ailleurs, j'en profite pour vous partager un retour que j'ai eu hier. D'une bootcampeuse qui a commencé en fin 2023. Franchement, j'étais à deux doigts de pleurer quand j'ai lu son retour, je vais vous le lire. Pour parler des conséquences positives, depuis que je fais le bootcamp, il y a eu un grand changement dans ma vie. Déjà pour moi, j'ai pris conscience de beaucoup de choses et j'en ai parlé à mon mari. Et lui aussi, il s'est mis à appliquer tes outils, lol, inconsciemment, et après consciemment. Et au final, il a initié une grosse discussion et a partagé avec moi tous ses non-dits et on a mis tout à plat. Et depuis, alhamdoulilah, c'est le bonheur. Il y a eu un changement à 360 degrés. Désormais, on partage tout. On dit, quand quelque chose ne nous plaît pas, on ne garde rien. Du coup, tout coule de source. On n'est plus là à interpréter, je dirais même à misinterpret, donc à interpréter de manière erronée, en fait, les intentions des autres. Et ce que je voudrais, donc déjà, j'étais hyper contente de voir ça, parce qu'aider une femme, mais en plus, qu'elle puisse transmettre les outils à son conjoint et profiter... À la bonne santé d'un couple, c'est quelque chose qui me fait extrêmement plaisir. Mais ce que je voulais vous montrer aussi via ce témoignage-là, c'est que parfois, dans notre manière d'être en relation, parce qu'il y a des blocages, parce qu'il y a des croyances limitantes, parce qu'on a des manières de faire qui ne nous servent pas, on peut se retrouver en prison avec quelqu'un qui, au final, nous correspond parce qu'il y a ces ajustements qui ne se font pas. Parce que ce qu'on comprend dans ce témoignage-là, au-delà que ça promeut, si je peux dire ça comme ça, ma psychanalyse, c'est qu'il y a un avant et un après pour elle, mais il y a un avant et un après dans une situation qu'elle vivait pas forcément comme quelque chose d'épanouissant, d'accord ? Un peu comme une prison dorée, si je peux dire ça comme ça. Et le fait d'avoir travaillé sur elle, d'avoir mis le doigt sur qui elle est, d'avoir compris son fonctionnement, d'avoir pu tester des outils, et on dit toujours qu'il faut agir entre guillemets le changement qu'on veut avoir et du coup d'avoir fait ça avec son mari mime si je peux dire ça comme ça les mêmes outils qu'elle a appris avec nous non seulement ce n'est plus une prison ils sont bien contents tous les deux mais elle reste toujours dorée donc je trouve ça vraiment magnifique je vais terminer ce podcast sur cette belle note je vous rappelle alors je ne crois pas que je l'ai dit dans le podcast mais là aujourd'hui on est le 18 avril et A la fin du mois d'avril, il vous reste du coup 12 jours environ pour rejoindre ma psy-campus justement parce qu'on ferme les portes le 30 avril. d'une part parce que je vais me consacrer sur un nouveau projet dont vous allez bientôt entendre parler au mois de mai, donc si tu veux rejoindre MAPSI Campus, mapsienlinechezmoi.fr slash MAPSI Campus, t'as toutes les informations si vous avez la moindre question, vous pouvez nous contacter sur WhatsApp au 07 81 11 64 11 et aussi, on a eu notre live d'introspection participatif hier, donc le 17 avril qui est disponible en replay sur la chaîne Telegram se traitant en première classe Merci pendant 72 heures, donc autrement dit jusqu'à samedi midi, donc samedi 20 avril 2024, jusqu'à midi sur la chaîne Se Traiter en Première Classe sur Telegram. Pareil, le lien, vous pouvez le retrouver sur Instagram, dans ma bio, emily-dubas-antoine-dubas. Vous allez dans la bio, vous pourrez cliquer, vous trouverez le lien pour nous rejoindre sur Telegram, où il y a en exclusivité tous les replays, toutes les interventions que je fais pour le... l'introspection, toute la partie de live d'introspection, avant que ça rejoigne ma psy-campus. Ça passe trois jours en accès offert sur Telegram. Du coup, quand vous êtes sur la chaîne Telegram, vous vous garantissez d'avoir toujours accès au replay des lives participatifs d'introspection avant qu'ils ne rejoignent ma psy-campus. Et bien sûr que quand vous rejoignez ma psy-campus, vous avez accès à tout, y compris le module d'auto-coaching qui s'appelle les bases de ton cheminement. tous les modules de ma psy-campus, donc il y en a six en plus, les replays des coachings de groupe depuis 2023, les cercles des bootcampers, donc avec mes collègues psychologues de la team Apsi en ligne chez moi, donc ça vous garantit un rendez-vous individuel de Boost Coaching par semaine, plus les rendez-vous de groupe, donc c'est vraiment quand on veut prendre un virage à 360 dans sa vie, c'est, je pense, une des meilleures manières de le faire. Prenez bien soin de vous. pensez bien rappelez vous que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence et je vous dis à bientôt bye bye Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions mais aussi de célébrer son épanouissement personnel professionnel et spirituel Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Ensemble, sur Mapsi Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur MapsiCampus !

Share

Embed

You may also like

Description

Que la paix soit sur toi,


🚫 Pas besoin de commencer à creuser un tunnel sous les murs de ta cuisine!

🚀 J’ai quelque chose de bien plus radicalement libérateur pour toi.

🏰 Visualise un palace avec des barreaux en or.

✨ Ça brille et ça fait jalouser les cagoles!

🔒 Mais ça enferme ton cœur et ton âme!

🔗 Je te parle pas de ces chaînes qu’on choisit presque sans s’en rendre compte…

💸 Entre dépendance financière, matérielle et peurs qui nous clouent sur place.

🎭 Oui, même sans menottes, on peut se sentir prisonnière (et je te parle pas de celles que tu trouves dans les romans des midinettes hein 😉)!

🕳️ On tombe du 36e étage, surtout après avoir goûté à la douce illusion d'une sécurité confortable au 7e ciel…

💔 Confortable, mais oh combien trompeuse et éphémère!

🎢 Tiens-toi bien, parce que ça va secouer pour ce 90e épisode! On plonge dans les abysses de ces "sécurités" en carton-pâte qui privent de bien belles escapades!


Rejoins-nous surMapsycampus avant la fermeture des portes le 30 avril prochain! Embarque dans un voyage introspectif qui pourrait bien marquer le début d'une transformation profonde vers une version de toi plus confiante, sereine et épanouie. 🌺

🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast et laisse un commentaire pour aider d'autres femmes à connecter émotionnellement pour des relations plus authentiques.

✔️Réserver mon créneau avec une psychologue de le team mapsyenlignechezmoi ici 

🚨Pour nous contacter sur whatsapp, c'est par ici  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Sector ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Je crois qu'on a toute une copine qui est dans une relation qui reste dans une relation parce qu'elle a peur de ne pas pouvoir faire des courses, de ne pas pouvoir donner à manger à ses enfants si elle quitte cette relation, ou parce qu'elle a peur de ne pas trouver un appartement parce qu'elle n'a pas de fiche de salaire. On a toute une copine, ou on a toutes été sept copines, qui a peur de s'expatrier dans un pays qui correspond davantage à ses valeurs parce qu'elle se dit je ne vais pas avoir la CPAM, je ne vais pas avoir le RSA, je ne vais pas avoir de mutuel On a toutes une copine, on a toutes été sept copines, qui a peur d'être célibataire parce qu'elle a peur, elle a pris l'habitude en fait, on a pris l'habitude d'être dépendante financièrement ou affectivement au point où on a toute une copine, on a peut-être chacune été cette copine qui a peur de retourner faire les boutiques toute seule après avoir l'habitude d'y être toujours allée avec toutes ses copines. La manière dont certains conditionnements relationnels... ou sociaux ou économiques, peuvent nous piéger, c'est ce que je voudrais aborder dans ce podcast numéro 90 que j'ai intitulé Prisons dorées Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe Le concept, comme je vous le disais, je pense que ce que je voudrais dire, déjà en introduction, en introduction d'introduction post-introduction, c'est que je pense que ce n'est pas tant, ce que je voudrais pointer ici avant de continuer, c'est que ce n'est pas tant le conjoint, le fait de changer de pays, ou les copines qui nous créent en fait ça, qui font que ce n'est pas tant eux les responsables, si je peux dire ça comme ça. C'est qu'à un moment, je pense que... Ce qu'il faut pouvoir pointer comme mécanisme pour pouvoir se remettre en question efficacement, c'est le fait qu'à un moment donné, dans notre vie, on se laisse aller. Quand je dis on se laisse aller, je ne suis pas en train de te dire que tu ne te fais pas ton brush tous les jours ou que tu n'as pas fait ta, comment on appelle ça, la skincare routine, make-up routine, etc. Non, c'est plutôt qu'on se laisse aller à l'autre. On devient en fait... on rentre dans une relation de dépendance, mais pas une relation de dépendance qui a été choisie, qui a été réfléchie. Parce que dans un couple, je pense qu'il y a des jeux, comment dirais-je, relationnels qui font qu'on devient dépendant l'un de l'autre, mais sans que ça mette en péril, si je peux dire ça comme ça, notre propre capacité à faire les choses à un moment donné. C'est-à-dire que... Dans ce concept de prison dorée, ce que je voudrais pointer, c'est ce sentiment, si on peut dire ça comme ça, de fausse sécurité, et comment finalement, ce qui est bien plus complexe en fait que la dépendance affective, enfin voilà, on balance un petit peu des termes comme ça, là je vous parle de prison dorée, de dépendance affective, etc., mais je pense que ce qui a... à pouvoir analyser en fait, quels sont les mécanismes justement psychologiques et émotionnels qui fait qu'à un moment donné, en fait, on se laisse aller à l'autre, si je puis dire, parce qu'on ne va pas forcément parler de... Ce n'est pas parce qu'à un moment donné, tu t'es retrouvé avec ton conjoint ou c'est lui qui gère tout, etc. Et puis, car là, nous en préserve, ton conjoint décède, on n'est pas en train de dire que tu es tombé sur un manipulateur qui t'a rendu dépendante, etc. Non, en fait, quand on est dans un couple, quand on est dans les relations avec les autres, quand on vit dans une société... pendant un moment, on prend des habitudes en fait, on confie un petit peu des parts de notre vie, si je peux dire ça comme ça, à une structure, aux autres, à la société, on se laisse aller comme ça. Et finalement, derrière, comme je vous disais, l'idée, est-ce que ce n'est pas de s'interroger sur comment, à un moment donné, on participe nous-mêmes de faire face aux choses, de prendre ses responsabilités, de se dire, mais quelles sont les peurs, quelles sont les craintes, et notamment la peur du manque, vous voyez, comme je vous disais toujours, est-ce que tu vas retrouver quelqu'un ? Est-ce que tu vas pouvoir payer ton loyer ? des courses si les si et si tu tombes malade et que tu es dans un pays par exemple moi je vous ai mis là c'est une question qu'on pose tout le temps le nombre de personnes qui me disent emilie comment vous faites au niveau de la santé des mutuelles etc il n'y a pas la cpm là bas vous payez il faut payer l'école il faut payer le balance on s'habitue en fait c'est à dire qu'on organise notre notre vie différemment mais je comprends tout à fait Ce stress, ce coup d'adrénaline qu'on a avant de partir quand on veut s'expatrier dans un pays qui ne nous garantit pas les mêmes droits que ceux qu'on a en France, d'avoir cette crainte, cette peur. Et je pense que derrière, l'idée, c'est de pouvoir interroger, de faire ce travail d'introspection pour comprendre ces conditionnements-là. Comment ces conditionnements-là se développent ? À partir de notre culture sociale, sociétale, par exemple, quand on a grandi en France, on a cette culture... Sociale, éducative, on ne paye rien. On va à l'école, c'est gratuit, alors que ce n'est pas du tout gratuit, c'est offert. Je plaisante souvent là-dessus, c'est-à-dire qu'on ne paye pas à l'école, sauf si tu vas dans le privé, bien sûr, mais la santé, pareil. Alors bien sûr, ça change, ça évolue, mais on a cette habitude, on a cette espèce de prison dorée, parce que ça a un coût quand même sur les salaires, etc. Mais ça devient une prison dorée quand tu te refuses à t'expatrier parce que tu as peur. de tomber malade, de ne pas avoir de quoi te soigner ailleurs, etc. Tu as peur de sortir d'une relation, de t'élancer d'une relation, parce que tu te dis, en gros, qu'est-ce que je vais faire sans lui ? Et du coup, des fois, tu acceptes. Ça peut être dans un travail aussi, parce que tu as un prêt à payer. Même si ce prêt-là, dans la manière dont tu l'as contracté à un moment donné, tu n'es plus en accord avec tes valeurs, tu vas quand même rester là parce que tu as peur de manquer. Tu dis qu'il faut payer la maison, tu te racontes des histoires par rapport aux enfants, etc. Parce que c'est des choses qu'on t'a toujours dit, que tes parents t'ont toujours dit, par exemple, ou que tes amis ou ton environnement social promeuvent. Et du coup, l'idée, c'est de venir en fait faire face à soi, de se dire Ok, mais pourquoi ? J'accepte cette prison dorée pour qu'est-ce qu'il y a derrière qui m'attache à cette prison, à cette impression de fausse sécurité. Je me rappelle l'exemple, je voudrais partager avec vous un autre exemple d'une femme qui me disait, en fait, voilà, c'était un exemple professionnel d'ailleurs, donc une personne que j'accompagne, elle voulait partir de là où elle travaillait parce qu'elle était harcelée au travail. Et elle s'était rendue compte qu'à un moment donné, elle avait ce frein de se dire, ça fait des années et des années que j'ai une voiture en leasing, le leasing qui est entre guillemets payé par l'entreprise. elle se rendait compte, quand elle faisait face à elle-même, qu'elle avait un petit peu de stress à l'idée de se dire tiens, il va falloir que j'achète ma propre voiture, que j'assure ma propre voiture, que je m'occupe de l'entretien de la propre voiture. Et ça, elle a admis avec beaucoup d'humilité qu'à un moment donné, ça l'a freiné de quitter ce travail-là qui n'était pas du tout en dehors des situations de harcèlement, qui n'étaient pas en accord avec ses valeurs et ses principes. Parce qu'il y avait cette crainte, cette dépendance, si je peux dire ça comme ça, cette crainte de l'avenir, cette crainte de manquer. Et du coup, qu'est-ce qui se passe quand on a des conditionnements comme ça psychologiques qui viennent de ce qu'on a reçu, dans quoi on a été baigné au niveau de la famille, de la société, etc. La conséquence, on peut dire ça comme ça, c'est que notre sentiment d'efficacité personnelle, vous en avez parlé dans un autre podcast, il est abaissé. Plus d'ailleurs le sentiment d'efficacité personnelle est bas, Et plus l'augmentation de la dépendance, donc là je vous parle de la dépendance au sens pathologique, pas la dépendance normale qu'il peut y avoir dans une relation, mais plus cette dépendance va augmenter. Parce que quand on ne se sent pas en capacité, par exemple, d'aller faire ses courses toute seule, parce qu'on a pour une peur de... une peur d'avoir une crise d'angoisse, ou alors la peur qu'il y ait beaucoup de monde, ou la peur d'oublier des choses pendant les courses, ou que sais-je, là par exemple on va être amené à solliciter sa mère, une amie, sa tante, son mari, etc. Vous voyez, plus ça augmente en fait la dépendance à l'autre. Et ces conditionnements nous empêchent, autrement dit, d'être plus autonomes au niveau personnel, au niveau émotionnel, et même au niveau spirituel. Ça m'est arrivé aussi de... d'accompagner des femmes qui étaient par exemple mariées pendant un moment, puis après le mariage s'arrêtait pour une raison X ou Y. Et en fait, elles se retrouvaient, comme elles avaient l'habitude de faire certaines choses avec leur mari au niveau spirituel, quand elles se retrouvaient entre guillemets seules, elles éprouvaient beaucoup plus de difficultés pour se remettre dans l'apprentissage, faire leurs adorations, prier à l'heure, etc. Parce qu'elles n'avaient pas développé cette autonomie, on peut dire peut-être spirituelle, bien que bien sûr le groupe... La communauté est importante dans la religion. mais on constate en fait que plus la prison est dorée, on peut dire ça comme ça, et plus l'autonomie personnelle, professionnelle, spirituelle, etc. s'abaisse. Et souvent, comme je vous disais tout à l'heure, il y a cette fausse sécurité, cette impression en fait, elle est dorée cette prison, d'accord ? Lorsqu'on aime ça, c'est qu'on s'accroche en fait à des choses dont on a l'impression qu'elles nous apportent une sécurité, un toit, les courses. l'assurance de la voiture, plein de choses comme ça, le fait d'avoir un salaire, etc. Et on se voit accepter des choses qui ne nous apportent pas du tout de sécurité émotionnelle, par exemple. Parce que quand tu es sur ton lieu de travail, bien que, bien sûr, tu as besoin de payer ton loyer, etc. Quand tu te fais harceler, par exemple, c'est extrêmement dommageable au niveau psychologique et émotionnel, mais tu te retrouves à accepter ça, en fait. parce que tu as peur de partir, parce que tu as peur de ne pas retrouver le même boulot, le même salaire, etc. Il y a plein de craintes derrière, qui fait qu'on s'accroche à ce qui ne nous apporte pas réellement de sécurité. Et le lien avec la peur du manque et la manière dont ça peut influencer nos décisions, elle est totalement, comment dirais-je, inévitable, si je puis dire. Vraiment, c'est quelque chose qui peut se traduire dans notre quotidien. Et souvent, c'est là où c'est dramatique complètement à notre insu, c'est-à-dire de manière complètement inconsciente. Cette prison dorée, c'est vraiment la métaphore qui décrit une situation. Et je me rappelle d'où vient ce terme. J'y pensais tout à l'heure avant d'écouter le podcast. Je me rappelle que... Il y a quelqu'un de ma famille qui parlait d'une de ses copines. Elle était à l'époque avec un homme qui la maltraitait. Elle restait avec cet homme-là. Elle disait toujours son prénom. Elle disait qu'elle était dans une prison dorée, etc. Je me rappelle que quand j'étais enfant, je me disais... Comment ça, une prison ? Comment ça, elle choisit de rester en prison ? Et comment ça, une prison peut-être dorée ? Et cette métaphore, elle décrit vraiment cette situation où, là, en l'occurrence, cette copine de la personne de ma famille, elle avait ce confort matériel, son conjoint, il avait un bon salaire, il avait un statut social qui était enviable, mais en même temps, elle se sentait piégée par cette situation parce que ça ne correspondait pas vraiment à ce qu'elle voulait, en fait. Et ça, ça peut, quand tu es dans cette contradiction, ça peut rendre extrêmement malheureuse, ça peut rendre extrêmement stressé. On voit aussi que ça peut donner lieu à des situations de burn-out parce qu'on fait réellement des choses, on accepte des choses qui ne sont pas du tout en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes. Ce qui fait qu'on appelle ça une prison, c'est vraiment que même souvent de l'extérieur, ça a l'air parfait. T'as un travail, t'as un salaire, t'as un CDI, pourquoi tu vas te prendre la tête à te lancer dans l'entrepreneuriat ? T'as un mari qui gagne très bien sa vie, tout le monde l'aime, etc. Pourquoi tu vas partir ? Oh ça va, il t'en met une de temps en temps, c'est bon quoi. Nos grand-mères, elles acceptaient bien des choses comme ça. C'est vraiment l'idée que de l'extérieur, tout semble parfait, mais on se sent coincé, on se sent incapable. C'est là en fait où ça devient une situation de... de dépendance toxique, si je peux dire ça comme ça, et pas quelque chose de choisi, où les rôles sont bien dispatchés, si je puis dire. C'est où on se sent incapable, où c'est lié, comme je vous disais tout à l'heure, au sentiment d'efficacité personnelle. On se sent incapable de quitter cette situation, de quitter ce pays, de quitter cette ville, parce qu'on a peur de perdre la sécurité financière, la sécurité, mais grosse guillemette à chaque fois, la sécurité... comme on dit, de santé, liée au médical, si je puis dire, ou le prestige social qu'une situation peut nous apporter. Et cette prison, elle est dorée parce qu'il y a des avantages. Il y a des avantages comme, par exemple, l'argent, tout simplement, la reconnaissance sociale, le fait de pouvoir... Enfin, souvent, c'est lié au matériel, on ne va pas se mentir. Tout ça, ça apporte un semblant de confort, un semblant de sécurité, et souvent, c'est relatif au matériel, mais réellement... émotionnellement, psychologiquement, les personnes sont dans une grande détresse. Et ce que je voudrais pointer aussi, souvent, c'est que quand on est dans une prison dorée, si tu as ta copine qui est dans une prison dorée, ou si tu as été la copine qui était dans une prison dorée, souvent, qu'est-ce qu'on ressent ? On se sent complètement tiraillé. Et la prison dorée, ça peut être aussi un groupe d'amis. que tu continues de supporter parce que tu as peur d'être seule, mais qui te font la misère, ce ne sont pas tes amis, ce ne sont pas tes copines, mais parce que tu as peur d'être seule, tu vas continuer de fréquenter des personnes qui n'ont pas les mêmes valeurs que toi, qui font de la médisance, etc. Et tu te sens tiraillé entre les avantages visibles, superficiels de la situation, c'est-à-dire être accompagné, et les sacrifices non visibles, autrement dit, les sacrifices de tes valeurs, de tes ambitions, de ta santé mentale. ou même le temps pour toi même, j'ai envie de te dire. Et souvent, ce qui se produit aussi, c'est qu'on commence à se sentir coupable. Et on se sent coupable parce qu'on sent qu'on a une espèce de plainte, soit interne ou qu'on exprime, mais en même temps, on se dit, attends, quand même, j'ai la chance, j'ai ces avantages-là, en fait. C'est qu'il y a le conflit entre l'apparence dorée de la prison, où on se dit, quand même, j'ai des choses, je ne vais pas me plaindre, et le fait que ce soit une prison, en fait. Et souvent, comme je vous disais, ce qui se produit, c'est que ces obligations qu'on a l'impression d'avoir, comme des responsabilités financières, la pression sociale, la pression familiale, la pression même scolaire, on voit ça chez les adolescents aussi. Il y a beaucoup de situations de harcèlement au collège, au lycée, etc., qui continuent, parce que les adolescents ou les enfants qui sont touchés ont cette crainte de finir seuls, etc., donc acceptent des comportements maltraitants. de crainte d'être seule en fait. Et cette pression sociale fait sentir que, ça donne l'impression qu'on doit continuer dans cette voie, que c'est normal, qu'il faut souffrir, etc. Même si ça nous rend malheureuse, même si ça nous coupe, ça nous donne des coups de pied dans les tibias, comme je dis souvent. Et je pense que reconnaître ce qu'on veut vraiment dans sa vie, c'est hyper important à ce stade-là. Comment on va faire pour sortir, autrement dit, de sa prison dorée ? À un moment donné, parce qu'on ressent justement cette contradiction, qu'on a envie d'autre chose, on a envie de travailler sur son sentiment d'efficacité personnelle, travailler sur sa foi, même j'ai envie de dire, parce que la confiance vraiment avec le grand C. Souvent, ça nécessite de travailler sur ces blocages émotionnels, blocages psychologiques, pour pouvoir retrouver cette liberté mentale, spirituelle. D'ailleurs, c'est un des tenants et les aboutissants de ma Psycho en plus. C'est vraiment un programme que j'ai conçu pour les femmes. offrir pour les former sur des outils qui les aident à surmonter ces blocages émotionnels, pour s'aligner avec leurs valeurs profondes. Il y a des modules tels que Unique et Apaisé, où on retravaille sur tout ce qui est sur l'identité, pour que chacune se réapproprie sa propre personne, j'ai envie de dire. Épanouie et accomplie, on travaille sur les objectifs de vie, ce qui est important pour elle, etc. Dans ma psychanalyse, on aide les femmes. à renforcer la confiance, à gérer leur anxiété, à gérer leur peur, leur stress, pour accéder à cette paix intérieure qui permet de se réaligner avec ce qui est vraiment important pour nous. D'ailleurs, j'en profite pour vous partager un retour que j'ai eu hier. D'une bootcampeuse qui a commencé en fin 2023. Franchement, j'étais à deux doigts de pleurer quand j'ai lu son retour, je vais vous le lire. Pour parler des conséquences positives, depuis que je fais le bootcamp, il y a eu un grand changement dans ma vie. Déjà pour moi, j'ai pris conscience de beaucoup de choses et j'en ai parlé à mon mari. Et lui aussi, il s'est mis à appliquer tes outils, lol, inconsciemment, et après consciemment. Et au final, il a initié une grosse discussion et a partagé avec moi tous ses non-dits et on a mis tout à plat. Et depuis, alhamdoulilah, c'est le bonheur. Il y a eu un changement à 360 degrés. Désormais, on partage tout. On dit, quand quelque chose ne nous plaît pas, on ne garde rien. Du coup, tout coule de source. On n'est plus là à interpréter, je dirais même à misinterpret, donc à interpréter de manière erronée, en fait, les intentions des autres. Et ce que je voudrais, donc déjà, j'étais hyper contente de voir ça, parce qu'aider une femme, mais en plus, qu'elle puisse transmettre les outils à son conjoint et profiter... À la bonne santé d'un couple, c'est quelque chose qui me fait extrêmement plaisir. Mais ce que je voulais vous montrer aussi via ce témoignage-là, c'est que parfois, dans notre manière d'être en relation, parce qu'il y a des blocages, parce qu'il y a des croyances limitantes, parce qu'on a des manières de faire qui ne nous servent pas, on peut se retrouver en prison avec quelqu'un qui, au final, nous correspond parce qu'il y a ces ajustements qui ne se font pas. Parce que ce qu'on comprend dans ce témoignage-là, au-delà que ça promeut, si je peux dire ça comme ça, ma psychanalyse, c'est qu'il y a un avant et un après pour elle, mais il y a un avant et un après dans une situation qu'elle vivait pas forcément comme quelque chose d'épanouissant, d'accord ? Un peu comme une prison dorée, si je peux dire ça comme ça. Et le fait d'avoir travaillé sur elle, d'avoir mis le doigt sur qui elle est, d'avoir compris son fonctionnement, d'avoir pu tester des outils, et on dit toujours qu'il faut agir entre guillemets le changement qu'on veut avoir et du coup d'avoir fait ça avec son mari mime si je peux dire ça comme ça les mêmes outils qu'elle a appris avec nous non seulement ce n'est plus une prison ils sont bien contents tous les deux mais elle reste toujours dorée donc je trouve ça vraiment magnifique je vais terminer ce podcast sur cette belle note je vous rappelle alors je ne crois pas que je l'ai dit dans le podcast mais là aujourd'hui on est le 18 avril et A la fin du mois d'avril, il vous reste du coup 12 jours environ pour rejoindre ma psy-campus justement parce qu'on ferme les portes le 30 avril. d'une part parce que je vais me consacrer sur un nouveau projet dont vous allez bientôt entendre parler au mois de mai, donc si tu veux rejoindre MAPSI Campus, mapsienlinechezmoi.fr slash MAPSI Campus, t'as toutes les informations si vous avez la moindre question, vous pouvez nous contacter sur WhatsApp au 07 81 11 64 11 et aussi, on a eu notre live d'introspection participatif hier, donc le 17 avril qui est disponible en replay sur la chaîne Telegram se traitant en première classe Merci pendant 72 heures, donc autrement dit jusqu'à samedi midi, donc samedi 20 avril 2024, jusqu'à midi sur la chaîne Se Traiter en Première Classe sur Telegram. Pareil, le lien, vous pouvez le retrouver sur Instagram, dans ma bio, emily-dubas-antoine-dubas. Vous allez dans la bio, vous pourrez cliquer, vous trouverez le lien pour nous rejoindre sur Telegram, où il y a en exclusivité tous les replays, toutes les interventions que je fais pour le... l'introspection, toute la partie de live d'introspection, avant que ça rejoigne ma psy-campus. Ça passe trois jours en accès offert sur Telegram. Du coup, quand vous êtes sur la chaîne Telegram, vous vous garantissez d'avoir toujours accès au replay des lives participatifs d'introspection avant qu'ils ne rejoignent ma psy-campus. Et bien sûr que quand vous rejoignez ma psy-campus, vous avez accès à tout, y compris le module d'auto-coaching qui s'appelle les bases de ton cheminement. tous les modules de ma psy-campus, donc il y en a six en plus, les replays des coachings de groupe depuis 2023, les cercles des bootcampers, donc avec mes collègues psychologues de la team Apsi en ligne chez moi, donc ça vous garantit un rendez-vous individuel de Boost Coaching par semaine, plus les rendez-vous de groupe, donc c'est vraiment quand on veut prendre un virage à 360 dans sa vie, c'est, je pense, une des meilleures manières de le faire. Prenez bien soin de vous. pensez bien rappelez vous que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence et je vous dis à bientôt bye bye Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions mais aussi de célébrer son épanouissement personnel professionnel et spirituel Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Ensemble, sur Mapsi Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur MapsiCampus !

Description

Que la paix soit sur toi,


🚫 Pas besoin de commencer à creuser un tunnel sous les murs de ta cuisine!

🚀 J’ai quelque chose de bien plus radicalement libérateur pour toi.

🏰 Visualise un palace avec des barreaux en or.

✨ Ça brille et ça fait jalouser les cagoles!

🔒 Mais ça enferme ton cœur et ton âme!

🔗 Je te parle pas de ces chaînes qu’on choisit presque sans s’en rendre compte…

💸 Entre dépendance financière, matérielle et peurs qui nous clouent sur place.

🎭 Oui, même sans menottes, on peut se sentir prisonnière (et je te parle pas de celles que tu trouves dans les romans des midinettes hein 😉)!

🕳️ On tombe du 36e étage, surtout après avoir goûté à la douce illusion d'une sécurité confortable au 7e ciel…

💔 Confortable, mais oh combien trompeuse et éphémère!

🎢 Tiens-toi bien, parce que ça va secouer pour ce 90e épisode! On plonge dans les abysses de ces "sécurités" en carton-pâte qui privent de bien belles escapades!


Rejoins-nous surMapsycampus avant la fermeture des portes le 30 avril prochain! Embarque dans un voyage introspectif qui pourrait bien marquer le début d'une transformation profonde vers une version de toi plus confiante, sereine et épanouie. 🌺

🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast et laisse un commentaire pour aider d'autres femmes à connecter émotionnellement pour des relations plus authentiques.

✔️Réserver mon créneau avec une psychologue de le team mapsyenlignechezmoi ici 

🚨Pour nous contacter sur whatsapp, c'est par ici  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Sector ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Je crois qu'on a toute une copine qui est dans une relation qui reste dans une relation parce qu'elle a peur de ne pas pouvoir faire des courses, de ne pas pouvoir donner à manger à ses enfants si elle quitte cette relation, ou parce qu'elle a peur de ne pas trouver un appartement parce qu'elle n'a pas de fiche de salaire. On a toute une copine, ou on a toutes été sept copines, qui a peur de s'expatrier dans un pays qui correspond davantage à ses valeurs parce qu'elle se dit je ne vais pas avoir la CPAM, je ne vais pas avoir le RSA, je ne vais pas avoir de mutuel On a toutes une copine, on a toutes été sept copines, qui a peur d'être célibataire parce qu'elle a peur, elle a pris l'habitude en fait, on a pris l'habitude d'être dépendante financièrement ou affectivement au point où on a toute une copine, on a peut-être chacune été cette copine qui a peur de retourner faire les boutiques toute seule après avoir l'habitude d'y être toujours allée avec toutes ses copines. La manière dont certains conditionnements relationnels... ou sociaux ou économiques, peuvent nous piéger, c'est ce que je voudrais aborder dans ce podcast numéro 90 que j'ai intitulé Prisons dorées Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe Le concept, comme je vous le disais, je pense que ce que je voudrais dire, déjà en introduction, en introduction d'introduction post-introduction, c'est que je pense que ce n'est pas tant, ce que je voudrais pointer ici avant de continuer, c'est que ce n'est pas tant le conjoint, le fait de changer de pays, ou les copines qui nous créent en fait ça, qui font que ce n'est pas tant eux les responsables, si je peux dire ça comme ça. C'est qu'à un moment, je pense que... Ce qu'il faut pouvoir pointer comme mécanisme pour pouvoir se remettre en question efficacement, c'est le fait qu'à un moment donné, dans notre vie, on se laisse aller. Quand je dis on se laisse aller, je ne suis pas en train de te dire que tu ne te fais pas ton brush tous les jours ou que tu n'as pas fait ta, comment on appelle ça, la skincare routine, make-up routine, etc. Non, c'est plutôt qu'on se laisse aller à l'autre. On devient en fait... on rentre dans une relation de dépendance, mais pas une relation de dépendance qui a été choisie, qui a été réfléchie. Parce que dans un couple, je pense qu'il y a des jeux, comment dirais-je, relationnels qui font qu'on devient dépendant l'un de l'autre, mais sans que ça mette en péril, si je peux dire ça comme ça, notre propre capacité à faire les choses à un moment donné. C'est-à-dire que... Dans ce concept de prison dorée, ce que je voudrais pointer, c'est ce sentiment, si on peut dire ça comme ça, de fausse sécurité, et comment finalement, ce qui est bien plus complexe en fait que la dépendance affective, enfin voilà, on balance un petit peu des termes comme ça, là je vous parle de prison dorée, de dépendance affective, etc., mais je pense que ce qui a... à pouvoir analyser en fait, quels sont les mécanismes justement psychologiques et émotionnels qui fait qu'à un moment donné, en fait, on se laisse aller à l'autre, si je puis dire, parce qu'on ne va pas forcément parler de... Ce n'est pas parce qu'à un moment donné, tu t'es retrouvé avec ton conjoint ou c'est lui qui gère tout, etc. Et puis, car là, nous en préserve, ton conjoint décède, on n'est pas en train de dire que tu es tombé sur un manipulateur qui t'a rendu dépendante, etc. Non, en fait, quand on est dans un couple, quand on est dans les relations avec les autres, quand on vit dans une société... pendant un moment, on prend des habitudes en fait, on confie un petit peu des parts de notre vie, si je peux dire ça comme ça, à une structure, aux autres, à la société, on se laisse aller comme ça. Et finalement, derrière, comme je vous disais, l'idée, est-ce que ce n'est pas de s'interroger sur comment, à un moment donné, on participe nous-mêmes de faire face aux choses, de prendre ses responsabilités, de se dire, mais quelles sont les peurs, quelles sont les craintes, et notamment la peur du manque, vous voyez, comme je vous disais toujours, est-ce que tu vas retrouver quelqu'un ? Est-ce que tu vas pouvoir payer ton loyer ? des courses si les si et si tu tombes malade et que tu es dans un pays par exemple moi je vous ai mis là c'est une question qu'on pose tout le temps le nombre de personnes qui me disent emilie comment vous faites au niveau de la santé des mutuelles etc il n'y a pas la cpm là bas vous payez il faut payer l'école il faut payer le balance on s'habitue en fait c'est à dire qu'on organise notre notre vie différemment mais je comprends tout à fait Ce stress, ce coup d'adrénaline qu'on a avant de partir quand on veut s'expatrier dans un pays qui ne nous garantit pas les mêmes droits que ceux qu'on a en France, d'avoir cette crainte, cette peur. Et je pense que derrière, l'idée, c'est de pouvoir interroger, de faire ce travail d'introspection pour comprendre ces conditionnements-là. Comment ces conditionnements-là se développent ? À partir de notre culture sociale, sociétale, par exemple, quand on a grandi en France, on a cette culture... Sociale, éducative, on ne paye rien. On va à l'école, c'est gratuit, alors que ce n'est pas du tout gratuit, c'est offert. Je plaisante souvent là-dessus, c'est-à-dire qu'on ne paye pas à l'école, sauf si tu vas dans le privé, bien sûr, mais la santé, pareil. Alors bien sûr, ça change, ça évolue, mais on a cette habitude, on a cette espèce de prison dorée, parce que ça a un coût quand même sur les salaires, etc. Mais ça devient une prison dorée quand tu te refuses à t'expatrier parce que tu as peur. de tomber malade, de ne pas avoir de quoi te soigner ailleurs, etc. Tu as peur de sortir d'une relation, de t'élancer d'une relation, parce que tu te dis, en gros, qu'est-ce que je vais faire sans lui ? Et du coup, des fois, tu acceptes. Ça peut être dans un travail aussi, parce que tu as un prêt à payer. Même si ce prêt-là, dans la manière dont tu l'as contracté à un moment donné, tu n'es plus en accord avec tes valeurs, tu vas quand même rester là parce que tu as peur de manquer. Tu dis qu'il faut payer la maison, tu te racontes des histoires par rapport aux enfants, etc. Parce que c'est des choses qu'on t'a toujours dit, que tes parents t'ont toujours dit, par exemple, ou que tes amis ou ton environnement social promeuvent. Et du coup, l'idée, c'est de venir en fait faire face à soi, de se dire Ok, mais pourquoi ? J'accepte cette prison dorée pour qu'est-ce qu'il y a derrière qui m'attache à cette prison, à cette impression de fausse sécurité. Je me rappelle l'exemple, je voudrais partager avec vous un autre exemple d'une femme qui me disait, en fait, voilà, c'était un exemple professionnel d'ailleurs, donc une personne que j'accompagne, elle voulait partir de là où elle travaillait parce qu'elle était harcelée au travail. Et elle s'était rendue compte qu'à un moment donné, elle avait ce frein de se dire, ça fait des années et des années que j'ai une voiture en leasing, le leasing qui est entre guillemets payé par l'entreprise. elle se rendait compte, quand elle faisait face à elle-même, qu'elle avait un petit peu de stress à l'idée de se dire tiens, il va falloir que j'achète ma propre voiture, que j'assure ma propre voiture, que je m'occupe de l'entretien de la propre voiture. Et ça, elle a admis avec beaucoup d'humilité qu'à un moment donné, ça l'a freiné de quitter ce travail-là qui n'était pas du tout en dehors des situations de harcèlement, qui n'étaient pas en accord avec ses valeurs et ses principes. Parce qu'il y avait cette crainte, cette dépendance, si je peux dire ça comme ça, cette crainte de l'avenir, cette crainte de manquer. Et du coup, qu'est-ce qui se passe quand on a des conditionnements comme ça psychologiques qui viennent de ce qu'on a reçu, dans quoi on a été baigné au niveau de la famille, de la société, etc. La conséquence, on peut dire ça comme ça, c'est que notre sentiment d'efficacité personnelle, vous en avez parlé dans un autre podcast, il est abaissé. Plus d'ailleurs le sentiment d'efficacité personnelle est bas, Et plus l'augmentation de la dépendance, donc là je vous parle de la dépendance au sens pathologique, pas la dépendance normale qu'il peut y avoir dans une relation, mais plus cette dépendance va augmenter. Parce que quand on ne se sent pas en capacité, par exemple, d'aller faire ses courses toute seule, parce qu'on a pour une peur de... une peur d'avoir une crise d'angoisse, ou alors la peur qu'il y ait beaucoup de monde, ou la peur d'oublier des choses pendant les courses, ou que sais-je, là par exemple on va être amené à solliciter sa mère, une amie, sa tante, son mari, etc. Vous voyez, plus ça augmente en fait la dépendance à l'autre. Et ces conditionnements nous empêchent, autrement dit, d'être plus autonomes au niveau personnel, au niveau émotionnel, et même au niveau spirituel. Ça m'est arrivé aussi de... d'accompagner des femmes qui étaient par exemple mariées pendant un moment, puis après le mariage s'arrêtait pour une raison X ou Y. Et en fait, elles se retrouvaient, comme elles avaient l'habitude de faire certaines choses avec leur mari au niveau spirituel, quand elles se retrouvaient entre guillemets seules, elles éprouvaient beaucoup plus de difficultés pour se remettre dans l'apprentissage, faire leurs adorations, prier à l'heure, etc. Parce qu'elles n'avaient pas développé cette autonomie, on peut dire peut-être spirituelle, bien que bien sûr le groupe... La communauté est importante dans la religion. mais on constate en fait que plus la prison est dorée, on peut dire ça comme ça, et plus l'autonomie personnelle, professionnelle, spirituelle, etc. s'abaisse. Et souvent, comme je vous disais tout à l'heure, il y a cette fausse sécurité, cette impression en fait, elle est dorée cette prison, d'accord ? Lorsqu'on aime ça, c'est qu'on s'accroche en fait à des choses dont on a l'impression qu'elles nous apportent une sécurité, un toit, les courses. l'assurance de la voiture, plein de choses comme ça, le fait d'avoir un salaire, etc. Et on se voit accepter des choses qui ne nous apportent pas du tout de sécurité émotionnelle, par exemple. Parce que quand tu es sur ton lieu de travail, bien que, bien sûr, tu as besoin de payer ton loyer, etc. Quand tu te fais harceler, par exemple, c'est extrêmement dommageable au niveau psychologique et émotionnel, mais tu te retrouves à accepter ça, en fait. parce que tu as peur de partir, parce que tu as peur de ne pas retrouver le même boulot, le même salaire, etc. Il y a plein de craintes derrière, qui fait qu'on s'accroche à ce qui ne nous apporte pas réellement de sécurité. Et le lien avec la peur du manque et la manière dont ça peut influencer nos décisions, elle est totalement, comment dirais-je, inévitable, si je puis dire. Vraiment, c'est quelque chose qui peut se traduire dans notre quotidien. Et souvent, c'est là où c'est dramatique complètement à notre insu, c'est-à-dire de manière complètement inconsciente. Cette prison dorée, c'est vraiment la métaphore qui décrit une situation. Et je me rappelle d'où vient ce terme. J'y pensais tout à l'heure avant d'écouter le podcast. Je me rappelle que... Il y a quelqu'un de ma famille qui parlait d'une de ses copines. Elle était à l'époque avec un homme qui la maltraitait. Elle restait avec cet homme-là. Elle disait toujours son prénom. Elle disait qu'elle était dans une prison dorée, etc. Je me rappelle que quand j'étais enfant, je me disais... Comment ça, une prison ? Comment ça, elle choisit de rester en prison ? Et comment ça, une prison peut-être dorée ? Et cette métaphore, elle décrit vraiment cette situation où, là, en l'occurrence, cette copine de la personne de ma famille, elle avait ce confort matériel, son conjoint, il avait un bon salaire, il avait un statut social qui était enviable, mais en même temps, elle se sentait piégée par cette situation parce que ça ne correspondait pas vraiment à ce qu'elle voulait, en fait. Et ça, ça peut, quand tu es dans cette contradiction, ça peut rendre extrêmement malheureuse, ça peut rendre extrêmement stressé. On voit aussi que ça peut donner lieu à des situations de burn-out parce qu'on fait réellement des choses, on accepte des choses qui ne sont pas du tout en accord avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes. Ce qui fait qu'on appelle ça une prison, c'est vraiment que même souvent de l'extérieur, ça a l'air parfait. T'as un travail, t'as un salaire, t'as un CDI, pourquoi tu vas te prendre la tête à te lancer dans l'entrepreneuriat ? T'as un mari qui gagne très bien sa vie, tout le monde l'aime, etc. Pourquoi tu vas partir ? Oh ça va, il t'en met une de temps en temps, c'est bon quoi. Nos grand-mères, elles acceptaient bien des choses comme ça. C'est vraiment l'idée que de l'extérieur, tout semble parfait, mais on se sent coincé, on se sent incapable. C'est là en fait où ça devient une situation de... de dépendance toxique, si je peux dire ça comme ça, et pas quelque chose de choisi, où les rôles sont bien dispatchés, si je puis dire. C'est où on se sent incapable, où c'est lié, comme je vous disais tout à l'heure, au sentiment d'efficacité personnelle. On se sent incapable de quitter cette situation, de quitter ce pays, de quitter cette ville, parce qu'on a peur de perdre la sécurité financière, la sécurité, mais grosse guillemette à chaque fois, la sécurité... comme on dit, de santé, liée au médical, si je puis dire, ou le prestige social qu'une situation peut nous apporter. Et cette prison, elle est dorée parce qu'il y a des avantages. Il y a des avantages comme, par exemple, l'argent, tout simplement, la reconnaissance sociale, le fait de pouvoir... Enfin, souvent, c'est lié au matériel, on ne va pas se mentir. Tout ça, ça apporte un semblant de confort, un semblant de sécurité, et souvent, c'est relatif au matériel, mais réellement... émotionnellement, psychologiquement, les personnes sont dans une grande détresse. Et ce que je voudrais pointer aussi, souvent, c'est que quand on est dans une prison dorée, si tu as ta copine qui est dans une prison dorée, ou si tu as été la copine qui était dans une prison dorée, souvent, qu'est-ce qu'on ressent ? On se sent complètement tiraillé. Et la prison dorée, ça peut être aussi un groupe d'amis. que tu continues de supporter parce que tu as peur d'être seule, mais qui te font la misère, ce ne sont pas tes amis, ce ne sont pas tes copines, mais parce que tu as peur d'être seule, tu vas continuer de fréquenter des personnes qui n'ont pas les mêmes valeurs que toi, qui font de la médisance, etc. Et tu te sens tiraillé entre les avantages visibles, superficiels de la situation, c'est-à-dire être accompagné, et les sacrifices non visibles, autrement dit, les sacrifices de tes valeurs, de tes ambitions, de ta santé mentale. ou même le temps pour toi même, j'ai envie de te dire. Et souvent, ce qui se produit aussi, c'est qu'on commence à se sentir coupable. Et on se sent coupable parce qu'on sent qu'on a une espèce de plainte, soit interne ou qu'on exprime, mais en même temps, on se dit, attends, quand même, j'ai la chance, j'ai ces avantages-là, en fait. C'est qu'il y a le conflit entre l'apparence dorée de la prison, où on se dit, quand même, j'ai des choses, je ne vais pas me plaindre, et le fait que ce soit une prison, en fait. Et souvent, comme je vous disais, ce qui se produit, c'est que ces obligations qu'on a l'impression d'avoir, comme des responsabilités financières, la pression sociale, la pression familiale, la pression même scolaire, on voit ça chez les adolescents aussi. Il y a beaucoup de situations de harcèlement au collège, au lycée, etc., qui continuent, parce que les adolescents ou les enfants qui sont touchés ont cette crainte de finir seuls, etc., donc acceptent des comportements maltraitants. de crainte d'être seule en fait. Et cette pression sociale fait sentir que, ça donne l'impression qu'on doit continuer dans cette voie, que c'est normal, qu'il faut souffrir, etc. Même si ça nous rend malheureuse, même si ça nous coupe, ça nous donne des coups de pied dans les tibias, comme je dis souvent. Et je pense que reconnaître ce qu'on veut vraiment dans sa vie, c'est hyper important à ce stade-là. Comment on va faire pour sortir, autrement dit, de sa prison dorée ? À un moment donné, parce qu'on ressent justement cette contradiction, qu'on a envie d'autre chose, on a envie de travailler sur son sentiment d'efficacité personnelle, travailler sur sa foi, même j'ai envie de dire, parce que la confiance vraiment avec le grand C. Souvent, ça nécessite de travailler sur ces blocages émotionnels, blocages psychologiques, pour pouvoir retrouver cette liberté mentale, spirituelle. D'ailleurs, c'est un des tenants et les aboutissants de ma Psycho en plus. C'est vraiment un programme que j'ai conçu pour les femmes. offrir pour les former sur des outils qui les aident à surmonter ces blocages émotionnels, pour s'aligner avec leurs valeurs profondes. Il y a des modules tels que Unique et Apaisé, où on retravaille sur tout ce qui est sur l'identité, pour que chacune se réapproprie sa propre personne, j'ai envie de dire. Épanouie et accomplie, on travaille sur les objectifs de vie, ce qui est important pour elle, etc. Dans ma psychanalyse, on aide les femmes. à renforcer la confiance, à gérer leur anxiété, à gérer leur peur, leur stress, pour accéder à cette paix intérieure qui permet de se réaligner avec ce qui est vraiment important pour nous. D'ailleurs, j'en profite pour vous partager un retour que j'ai eu hier. D'une bootcampeuse qui a commencé en fin 2023. Franchement, j'étais à deux doigts de pleurer quand j'ai lu son retour, je vais vous le lire. Pour parler des conséquences positives, depuis que je fais le bootcamp, il y a eu un grand changement dans ma vie. Déjà pour moi, j'ai pris conscience de beaucoup de choses et j'en ai parlé à mon mari. Et lui aussi, il s'est mis à appliquer tes outils, lol, inconsciemment, et après consciemment. Et au final, il a initié une grosse discussion et a partagé avec moi tous ses non-dits et on a mis tout à plat. Et depuis, alhamdoulilah, c'est le bonheur. Il y a eu un changement à 360 degrés. Désormais, on partage tout. On dit, quand quelque chose ne nous plaît pas, on ne garde rien. Du coup, tout coule de source. On n'est plus là à interpréter, je dirais même à misinterpret, donc à interpréter de manière erronée, en fait, les intentions des autres. Et ce que je voudrais, donc déjà, j'étais hyper contente de voir ça, parce qu'aider une femme, mais en plus, qu'elle puisse transmettre les outils à son conjoint et profiter... À la bonne santé d'un couple, c'est quelque chose qui me fait extrêmement plaisir. Mais ce que je voulais vous montrer aussi via ce témoignage-là, c'est que parfois, dans notre manière d'être en relation, parce qu'il y a des blocages, parce qu'il y a des croyances limitantes, parce qu'on a des manières de faire qui ne nous servent pas, on peut se retrouver en prison avec quelqu'un qui, au final, nous correspond parce qu'il y a ces ajustements qui ne se font pas. Parce que ce qu'on comprend dans ce témoignage-là, au-delà que ça promeut, si je peux dire ça comme ça, ma psychanalyse, c'est qu'il y a un avant et un après pour elle, mais il y a un avant et un après dans une situation qu'elle vivait pas forcément comme quelque chose d'épanouissant, d'accord ? Un peu comme une prison dorée, si je peux dire ça comme ça. Et le fait d'avoir travaillé sur elle, d'avoir mis le doigt sur qui elle est, d'avoir compris son fonctionnement, d'avoir pu tester des outils, et on dit toujours qu'il faut agir entre guillemets le changement qu'on veut avoir et du coup d'avoir fait ça avec son mari mime si je peux dire ça comme ça les mêmes outils qu'elle a appris avec nous non seulement ce n'est plus une prison ils sont bien contents tous les deux mais elle reste toujours dorée donc je trouve ça vraiment magnifique je vais terminer ce podcast sur cette belle note je vous rappelle alors je ne crois pas que je l'ai dit dans le podcast mais là aujourd'hui on est le 18 avril et A la fin du mois d'avril, il vous reste du coup 12 jours environ pour rejoindre ma psy-campus justement parce qu'on ferme les portes le 30 avril. d'une part parce que je vais me consacrer sur un nouveau projet dont vous allez bientôt entendre parler au mois de mai, donc si tu veux rejoindre MAPSI Campus, mapsienlinechezmoi.fr slash MAPSI Campus, t'as toutes les informations si vous avez la moindre question, vous pouvez nous contacter sur WhatsApp au 07 81 11 64 11 et aussi, on a eu notre live d'introspection participatif hier, donc le 17 avril qui est disponible en replay sur la chaîne Telegram se traitant en première classe Merci pendant 72 heures, donc autrement dit jusqu'à samedi midi, donc samedi 20 avril 2024, jusqu'à midi sur la chaîne Se Traiter en Première Classe sur Telegram. Pareil, le lien, vous pouvez le retrouver sur Instagram, dans ma bio, emily-dubas-antoine-dubas. Vous allez dans la bio, vous pourrez cliquer, vous trouverez le lien pour nous rejoindre sur Telegram, où il y a en exclusivité tous les replays, toutes les interventions que je fais pour le... l'introspection, toute la partie de live d'introspection, avant que ça rejoigne ma psy-campus. Ça passe trois jours en accès offert sur Telegram. Du coup, quand vous êtes sur la chaîne Telegram, vous vous garantissez d'avoir toujours accès au replay des lives participatifs d'introspection avant qu'ils ne rejoignent ma psy-campus. Et bien sûr que quand vous rejoignez ma psy-campus, vous avez accès à tout, y compris le module d'auto-coaching qui s'appelle les bases de ton cheminement. tous les modules de ma psy-campus, donc il y en a six en plus, les replays des coachings de groupe depuis 2023, les cercles des bootcampers, donc avec mes collègues psychologues de la team Apsi en ligne chez moi, donc ça vous garantit un rendez-vous individuel de Boost Coaching par semaine, plus les rendez-vous de groupe, donc c'est vraiment quand on veut prendre un virage à 360 dans sa vie, c'est, je pense, une des meilleures manières de le faire. Prenez bien soin de vous. pensez bien rappelez vous que vous êtes la première personne à bénéficier du crédit que vous accordez à votre existence et je vous dis à bientôt bye bye Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur. qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions mais aussi de célébrer son épanouissement personnel professionnel et spirituel Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-line-chez-moi.fr slash mapsicampus. Ensemble, sur Mapsi Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur MapsiCampus !

Share

Embed

You may also like