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Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#94: Pourquoi est-ce si dur de terminer une relation?

#94: Pourquoi est-ce si dur de terminer une relation?

25min |16/05/2024|

381

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Se traiter en première classe By Emilie Antoine

#94: Pourquoi est-ce si dur de terminer une relation?

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25min |16/05/2024|

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Description

💬 Chloé ne voulait pas d’une relation hors mariage, pourtant elle avait un mal fou à mettre un terme aux échanges avec Marouane.

🗣️ Tant bien même il lui avait clairement dit qu’il ne se sentait pas prêt à s’engager.

📝 Elle se promettait au matin de ne plus parler avec lui.

🚫 Elle le bloquait.

🌙 Mais le soir venu,

📱 Son index libérait la fiche du grand brun sur WhatsApp…


🤔 Est-ce que TOI aussi tu es de la team "je reste par défaut" ?

😫 En mode : "C'est trop compliqué de partir" ?


Dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe, on va parler de vrai courage émotionnel !

On explore ensemble pour comprendre :


⚡️Pourquoi est-ce si dur de terminer une relation ?⚡️


Pourquoi écouter cet épisode ?


🔍 Découvre pourquoi tu te sens toujours responsable du bien-être de ton partenaire, même quand ça te nuit. Le mécanisme qui peut te retenir dans une relation qui ne te satisfait pas.

🚩 Pourquoi est-il si difficile de reconnaître une relation toxique après en avoir vécu d'autres ? Explore ce qui crée un attachement émotionnel profond.

🕰️ Pourquoi rester dans une relation en espérant que tout s'améliore peut prolonger ta souffrance. Comment certaines peurs peuvent te maintenir dans une relation insatisfaisante.

🔍 Démystifie la culpabilité et la responsabilité du succès ou de l'échec de la relation. Les mécanismes qui te poussent à rester là où tu es.

📜 Les codes qui influencent ta décision.

Comment supporter émotionnellement la fin d'une relation et aller de l'avant.

Qu'allez-vous gagner ?

🌟 Une perspective nouvelle sur la façon de gérer les relations et de prendre des décisions saines. Des clés pour ne plus t’auto-saboter et devenir plus sereine, confiante et épanouie. 💬 Un soutien et des conseils pour comprendre et surmonter les défis émotionnels.


Sista, Rappelle-toi :

Se traiter en première classe commence par s’écouter soi-même et reconnaître ce qui fait vraiment écho à tes ambitions, tes valeurs et tes principes.

Permets-toi de comprendre vraiment ce que signifie se traiter en première classe et prendre des décisions qui favorisent ton épanouissement!


🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast et laisse un commentaire pour aider d'autres femmes à connecter émotionnellement pour des relations plus authentiques.

✔️Pour réserver ton créneau avec une psychologue de le team mapsyenlignechezmoi, clique ici 

🚨Pour nous contacter sur whatsapp, c'est par ici  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Je pense que ça peut être une grande épreuve pour une femme de vouloir mettre un terme à une relation même si c'est juste une relation où on s'envoie des messages par téléphone, etc., de vouloir mettre un terme à une relation qui ne nous convient pas, pour une raison ou pour une autre, parce qu'elle entache un principe ou une valeur, etc., et puis de se retrouver en incapacité à réussir à mettre un terme à cette relation. Ça met un grand coup à l'estime de soi, ça met un grand coup... à la confiance, c'est vraiment hyper dur à vivre. Et on se juge en général, on se juge parce qu'on ne se sent pas aligné avec ses valeurs. Et l'idée dans ce podcast, dans cet épisode 94 dans lequel je vous souhaite la bienvenue, c'est qu'on essaye de comprendre un peu, pas par complaisance, etc., mais d'essayer de comprendre pourquoi des fois, pourquoi ça peut être si dur de terminer une relation. tant bien même elle nous convient pas pour une raison ou pour une autre et puis bien sûr aussi je vais caresser si tu peux dire ça comme ça le fait aussi de pourquoi c'est dur parfois de terminer une relation même quand on ne décide pas de le faire c'est à dire qu'on est la personne qui est larguée si je le dis très simplement Donc, bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast. Aujourd'hui, on va du coup explorer ce mécanisme complexe et souvent douloureux, on va pas se mentir, de pourquoi c'est parfois si difficile de mettre à une relation qu'on les choisit ou non. On va examiner ces différentes raisons qui font que ça peut être si difficile. L'idée, c'est d'essayer de comprendre et de se comprendre pour pouvoir agir d'une manière différente, pour pouvoir se traiter en première classe, pour pouvoir s'accompagner différemment. et rendre les choses plus aisées, plus faciles, si je puis dire. On va s'appuyer sur les perspectives psychologiques, émotionnelles, historiques, même j'ai envie de vous dire, pour essayer de comprendre ça. Il y a quelque chose qui... On va dire, la première chose qu'on va voir ensemble, c'est comment ça peut être difficile de terminer une relation quand on a beaucoup d'empathie, voire même quand on a, ce qu'on pourrait dire, le syndrome de la sauveuse. parce qu'il y a beaucoup de femmes, nous en tant que femmes, en fait, on a cette habitude, si je peux dire ça comme ça, c'est profondément engrammé en nous que de se sentir responsable du bien-être des autres. Surtout quand, par exemple, l'autre, c'est un partenaire qui traverse une période difficile, etc. Et que du coup, quand tu as cette tendance comme ça à t'oublier, à te sacrifier, à prioriser les besoins de ton partenaire ou de quelqu'un au détriment des tiens, ça peut... rendre la décision de partir encore très compliquée, même si, au-delà de la difficulté, par exemple, que ton partenaire a, il y a quelque chose dans votre relation qui fait que ça ne matche plus dans tes valeurs. Mais quand on a ce syndrome de la sauveuse, c'est une des raisons pour lesquelles ça peut être extrêmement difficile de terminer une relation. Et puis, je pense que d'ailleurs, c'est le truc que j'aurais pu citer en premier, mais en y allant sans détour, quand on a une estime de soi qui est assez faible, parce qu'on a eu une histoire de vie un peu, entre guillemets, chaotique, on a été, par exemple, maltraité par ses parents, maltraité par un autre conjoint, pour une raison ou pour une autre, on se retrouve avec une estime de soi en déséquilibre, d'un, on peut, plus ou moins consciemment, être amené à croire qu'on ne mérite pas mieux. et que du coup, ça crée aussi des croyances autour de on ne trouvera pas un meilleur partenaire Et ça peut aussi conduire... à rester dans une relation, même si elle n'est pas satisfaisante, elle n'est pas alignée avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, parce qu'on a peur de ne pas trouver mieux. On croit profondément qu'on ne mérite pas mieux. Et puis comme je vous le disais un petit peu dans la même veine tout à l'heure, quand on a eu des relations tumultueuses dans le passé, des relations abusives, violentes, toxiques, on pourrait appeler ça comme tu veux, ce que ça crée en conséquence, c'est que souvent on a du mal à comprendre, à se familiariser avec l'idée que ce n'est pas normal. Et du coup, ça peut rendre le fait de terminer une relation assez compliqué. Parce que c'est comme si c'est pas la norme, mais c'est ta norme, ça t'est familier. Et du coup, tu as du mal à faire avec, vraiment, le fait de te projeter dans une relation stable, équilibrée, etc. Et ça fait que tu as du mal à terminer. C'est très difficile de terminer, par exemple, une relation tant bien, mais elle ne te convient plus. Et puis, voilà, on ne va pas... Et ça pourrait aussi... Chaque point pourrait faire l'objet... Ça pourrait être le premier point, en fait. Mais voilà, quand tu as partagé des choses avec quelqu'un, quand tu as des souvenirs, quand vous avez eu des ambitions, des communes, des rêves communs, que tu as partagé des choses émotionnellement intenses, et des fois même dans le bon comme dans le mauvais, ça crée un attachement. Et quand tu arrives dans la fin d'une relation, ça veut dire aussi que tu dois accepter, tu dois être en capacité de faire avec l'idée que c'est la fin d'un idéal, d'un projet. Et ça, ça peut rendre la séparation hyper douloureuse et c'est totalement normal. Et puis, ce qui peut aussi rendre difficile le fait de mettre fin à une relation, c'est quand tu n'es pas très connecté avec la réalité, c'est-à-dire que tu as espoir, T'as espoir que les choses s'améliorent, que par exemple ta copine, ton partenaire change, etc. Et que tu te dis parfois c'est le temps, ou parfois on t'a fait miroiter que passé un certain âge, les hommes changent d'eux-mêmes, ou que sais-je, ou ils deviennent plus religieux, ou ci, ou ça. Et parfois cet espoir nous amène à rester dans une relation en pensant que les choses vont se stabiliser avec le temps. ou que toi, tes efforts de ton côté, ça va finir par porter ses fruits, tant bien, même factuellement, il n'y a pas preuve de changement, etc. Et souvent, cet espoir de changement, cette illusion, si je peux dire ça comme ça, du changement, je dis illusion parce qu'il n'y a pas de preuve concrète, il n'y a pas de fait concret qui montre qu'il y a un changement qui s'initie, ça peut rendre très difficile le fait de terminer une relation. Et ce qui peut... Alors, il y a aussi quelque chose, je pense qu'on parle souvent de dépendance, d'indépendance. On a vu aussi dans un précédent live d'introspection participatif à propos de l'autonomie émotionnelle, mais cette dépendance, la dépendance émotionnelle et la dépendance financière aussi, ça peut rendre difficile le fait de se détacher d'un partenaire. Parce que, comment dirais-je, qu'on y fasse face ou non, qu'on le reconnaisse ou non. Quand tu mets fin à une relation, ça a des conséquences au niveau financier, matériel, économique, etc. Soit ça a des conséquences pour toi parce que tu étais plutôt dépendante financièrement, par exemple, de cette personne. Soit ça a des conséquences pour l'autre. Et puis, du coup, tu as un peu pitié, si on peut dire ça comme ça. Tu as encore cette fibre de sauveuse qui fait que c'est difficile de mettre fin à la relation. Et dans la dépendance émotionnelle, quand tu as été à peu près dans une certaine mesure, c'est normal d'être dépendant au niveau financier, émotionnel. C'est-à-dire que je ne suis pas en train de dire que c'est quelque chose qu'il faut à tout prix annuler, il faut être dépendant de personne. C'est juste qu'on parle de comment ça peut rendre difficile de mettre fin à une relation quand il y a cette dépendance émotionnelle et financière, dont on n'a pas conscience ou qu'on repousse en fait. Donc on est dans le déni par rapport à ça. Et dans la dépendance émotionnelle, à un moment donné, se dire Ok, si je m'efface à cette relation, je vais me retrouver seule. Et si tu n'es pas à l'aise avec le fait d'être seule, ça peut être compliqué. Ça peut te faire... Tu préfères peut-être, encore une fois, plus ou moins consciemment, être... mal accompagné que seul, parce que souvent aussi la solitude, comme je disais, ça implique d'être à l'aise avec soi-même, d'être à l'aise pour pouvoir faire avec ses pensées, ses émotions, sa vie intérieure. Parce que l'autre peut être un divertissement, si je puis dire. Et puis quand on se dit, je vais être seul, des fois quand on a peur de se retrouver face à soi, quand on a peur de se découvrir aussi, de faire sa connaissance, de par le fait d'être seul, ça peut rendre les choses compliquées. Et puis toujours dans cette même veine, je pense un peu du truc du syndrome de sauveur, de l'hyper-responsabilisation, il y a aussi la culpabilité. On se sent peut-être parfois... over, un peu trop si je puis dire, responsable du succès ou de l'échec de la relation. Et il faudrait pouvoir définir d'ailleurs qu'est-ce que le succès et qu'est-ce qu'un échec dans une relation. Mais en tout cas, il y a un dérèglement, si je puis dire ça comme ça, de la culpabilité liée à comment on perçoit sa responsabilité dans la relation, qu'elle continue ou qu'elle s'arrête, et d'avoir une culpabilité excessive, d'avoir l'impression de mal faire. d'avoir peur de blesser le partenaire ou les enfants qui sont autour, ou la famille, etc. Je reviendrai un petit peu dessus. Mais du coup, cette culpabilité, elle peut te pousser à prolonger une relation qui ne te convient pas, qui n'est pas en cohérence avec tes ambitions, tes valeurs, tes principes. Et du coup, ça peut rendre difficile le fait de sortir de la relation. Et puis, bien sûr, j'en ai un peu parlé en filigrane, mais si je... Si je formalise le point ici qui peut faire que ça peut ajouter en fait de la difficulté, c'est la peur de l'inconnu. Alors la solitude, mais aussi la peur de ne pas trouver un autre partenaire, de jamais retrouver, un peu comme si c'était tout noir, tout blanc. Soit tu restes avec, comment dirais-je, ton bras cassé, bon je le dis pour rigoler, avec tout le respect que je dois à tout le monde. Soit c'est rien du tout, en mode tout ou rien. Soit tu restes avec lui, tant bien même... il ne convient pas au niveau de tes principes, tes valeurs, vous n'allez pas dans la même direction, etc. Il t'a trompé ou quoi, ou que sais-je. Parce que tu as l'impression, dans ta tête, qu'il y a un peu de trucs tout noir ou tout blanc. Soit c'est lui, soit c'est rien. Tu as peur de ne pas retrouver un autre partenaire. Et puis, ça, ça peut faire que cette insécurité et ce semblant de sécurité et de stabilité qui est apporté par la relation, à ce moment-là, ça peut te donner l'impression que c'est irremplaçable. qu'il n'y aura jamais rien d'autre, etc. Et du coup, ça, ça peut te pousser, en fait, à rester dans une relation et de trouver ça dur de mettre fin à la relation. Et je vous ai parlé beaucoup de... Je vais faire une petite parenthèse parce que j'ai parlé de beaucoup de tout ce qui est interne, si je puis dire. Mais il faut aussi dire que la pression familiale, sociale, culturelle, les attentes de la société, de la famille, etc. Ça, ça joue. Parce que quand on s'imagine mettre fin à une relation, forcément, on s'imagine que va être la vie entre nous et nous, entre toi et ta personne, avec ta personne. mais aussi qu'est-ce que va dire la famille, qu'est-ce que vont dire tes collègues de travail, qu'est-ce que vont dire tes amis, etc. Et puis la peur du jugement et le fait de ne pas se sentir assez renforcée, assez forte si je puis dire, ça peut influencer aussi la décision de rester dans une relation. Et ça peut créer cette pression sociale, ce désir en fait d'être aimée, d'être appréciée, d'être reconnue. Ça peut créer un espèce de sentiment de devoir être conforme à ce que les autres attendent de toi. Et là, ça rend difficile le fait de terminer, de mettre fin à une relation. Et justement, dans... souvent on dit, voilà, quand tu prends la décision de rompre, etc., il faut pouvoir assumer, il faut que tu assumes. Et même nous, on se le dit à Noël, vous le dites souvent, ouais, il faut que j'assume et tout ça, mais qu'est-ce que ça veut dire assumer ? Souvent, quand on parle d'assumer une décision, qu'elle soit liée au fait de mettre fin à une relation ou à une grande décision de vie, souvent, ça, c'est, comment dirais-je, quand on dit, on voit un peu le fait d'assumer factuellement parlant. C'est-à-dire qu'il va falloir que tu assumes financièrement, que tu trouves ceci, que tu recherches un taf. On voit souvent ça sous le prisme du matériel. Assumer d'un point de vue matériel, financier, comment dirais-je, les responsabilités que ça peut impliquer au niveau familial et tout, ça implique quoi en fait ? Ça implique le fait d'assumer émotionnellement. Parce que quand tu mets fin à une relation, ça implique de supporter émotionnellement la rupture. Et des fois, on cherche juste à pouvoir s'éviter ça. C'est-à-dire qu'on sait très bien que ça va faire mal, que la rupture va faire mal. Pour plein de raisons possibles, d'ailleurs ça pourrait faire l'objet d'un autre podcast, dis-moi en commentaire si tu voudrais que j'aborde ça d'ailleurs. Pour plein de raisons possibles, on peut se projeter, on peut projeter de ne pas pouvoir encaisser ça émotionnellement parlant, et du coup ça peut retarder la rupture, ça peut faire que c'est très dur en fait à vivre émotionnellement, parce que supporter, assumer une rupture, c'est déjà supporter émotionnellement la rupture sans tomber en dépression, etc. Et ça, c'est une chose. Ça implique aussi, et d'ailleurs, c'est très lié le fait de supporter émotionnellement, ça implique aussi, après, de pouvoir être en capacité de poser des actes qui sont cohérents avec la décision que tu as prise de mettre fin à la relation ou la décision que tu en étais l'initiatrice ou non. C'est-à-dire que tu décides de mettre fin à la relation avec ton mari, ton conjoint, et puis à un moment donné, tu sais, tu as cette peur, tu as peur d'être seul, etc., tu as des besoins et tout, et tu retournes le voir. alors que c'est complètement pas cohérent, parce qu'en fait, tu n'arrives pas à supporter émotionnellement cette solitude, par exemple, etc., cette frustration. Donc, derrière, tu vas poser un acte qui est incohérent avec ta décision, c'est-à-dire le fait que tu vas revoir ton ex-mari sans que tu aies... En vrai, tu ne veux pas rester avec lui, mais tu vas le revoir parce qu'émotionnellement, tu n'arrives pas à assumer, tu n'arrives pas à supporter. Et quand tu n'es pas l'initiatrice, on peut faire le parallèle. Tu peux être face à une personne. ton ex-mari, voilà, profondément, il ne veut plus être avec toi, mais à un moment donné, il a du mal à faire face à la solitude, il va revenir toquer à ta porte pour gérer cette émotion que tu gères à sa place, mais au final, profondément, il ne veut pas être avec toi, il va te redire ciao, tu vois, donc assumer émotionnellement pour pouvoir justement continuer factuellement de poser des actes, d'avoir un comportement qui est cohérent avec la décision, ça, c'est très très important dans la vie. ça implique, je rigole mais c'est vraiment pas drôle, mais ça implique beaucoup de déboires, et c'est très lié. Assumer une rupture, c'est aussi être en capacité de faire le deuil, de faire le deuil de la relation, d'accepter, d'être en capacité vraiment émotionnellement, certes factuellement, mais émotionnellement, d'accepter la situation qui est différente maintenant. Et ça, oui, c'est un processus douloureux, ça fait mal, c'est normal. Et c'est d'ailleurs souvent le principal truc qui bloque, c'est qu'on veut... pas faire face aux émotions qui vont avec le fait de terminer une relation. Terminer une relation, ça fait mal émotionnellement, c'est normal. Et là, l'idée, c'est, oui, de se traiter en première classe, d'accepter que c'est un processus, et de faire face vraiment, en fait, de prendre ses responsabilités déjà à ce niveau-là. Parce que... Il y a une différence entre... Ça, ça va conditionner quoi ? La différence entre... T'es dans l'acceptation, donc une acceptation saine. J'en ai déjà parlé dans un autre podcast que vous pouvez retrouver sur mapséenlinechezmoi.fr ou sur la chaîne YouTube Mapsé en ligne chez moi. Je vous ai fait tout un podcast sur l'acceptation. Mais en tout cas, il y a une différence entre être dans une acceptation saine... on va dire que tu as bien ton processus de deuil, que tu es en capacité d'assumer la rupture à tous les plans, c'est-à-dire sur le plan principalement, franchement, émotionnel, et le fait d'être en mode traumatisé, de ne pas pouvoir se saisir de cette rupture-là, d'être plutôt traumatisé, de ne pas avoir les ressources pour une raison ou pour une autre, et de tomber un petit peu en mode défense traumatique, si je peux dire ça comme ça. Ça veut dire quoi ? Défense traumatique, quand tu es dans l'acceptation, après justement tu es dans l'espoir, tu peux aller de l'avant, tu crois en de nouvelles possibilités, tu as confiance dans ton destin malgré les défis, les incertitudes. Et ça, ça implique de se donner la permission de rêver à nouveau, d'avoir des critères pour avoir un autre conjoint, etc. De se projeter dans des relations futures et de croire qu'on peut trouver du bonheur dans une autre relation. Par contre, quand on est en mode défense traumatique, Souvent, ce qui se passe, c'est qu'on reste seul parce qu'on ne veut pas souffrir à nouveau. Et souvent, c'est le cas après des expériences traumatisantes, des relations difficiles, ou alors quand on n'a pas les ressources à cause du type d'éducation qu'on a eue, des relations qu'on a eues avec ses parents, donc ce n'est pas quelque chose qu'on a eu l'opportunité de construire. Et là, on cherche naturellement, mais toujours naturel, mais pas dans le sens c'est naturel pour tout le monde mais parce que c'est familier pour nous. à se protéger, parce qu'émotionnellement, on sait plus ou moins consciemment, encore une fois, qu'on n'arrive pas à s'accompagner, à se protéger, du coup, on est dans l'évitement, dans l'évitement de s'engager à nouveau. Et ça, ça peut mener à beaucoup de détresse émotionnelle, beaucoup d'isolation, et clairement, ça t'empêche, ça nous empêche de vivre pleinement. C'est un mécanisme qu'on voit énormément de nos jours. Soit c'est des personnes qui restent seules, soit c'est des personnes qui sont, comment on appelle ça ? En couple, mais pas en couple. Je ne sais plus c'est quoi le terme en 2024, mais en gros, tu es avec quelqu'un, mais personne ne dit que vous ne vous prenez pas... Vous êtes dans une relation libre, je crois qu'on appelle ça comme ça. Bref, mais en gros, vous êtes en couple sans être en couple. Et parce que souvent, c'est une défense traumatique. On ne s'engage pas de peur de souffrir. Et ça, c'est très, très fréquent. Et pour surmonter cette défense traumatique, c'est important de travailler sur soi, de guérir ses blessures, de se rappeler aussi, de se convaincre qu'il y a des opportunités et que chaque relation en plus est différente. Ça passe par le fait bien sûr de chercher du soutien, de faire face à soi avec beaucoup de bienveillance, de se traiter en première classe, voire même de consulter une psychologue pour justement naviguer ce processus de la meilleure des manières. Parce que terminer une relation, peu importe son capital émotionnel, psychologique, etc., ça reste une expérience humaine qui relève de l'épreuve. C'est totalement normal que de ne pas sortir avec le sourire quand on sort d'une relation. D'ailleurs, si tu sors, si des fois, c'est en mode, tu as tellement galéré, ça y est, c'est fini, tu es contente. Je pense qu'il y a quand même un processus de deuil. Souvent, c'est parce que le processus de deuil a eu lieu quand la personne était encore dans la relation. Mais en principe, terminer une relation, C'est normal d'être challengé au niveau émotionnel, d'avoir besoin de soutien. Et c'est important de se rappeler que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. N'hésite pas à chercher du soutien. J'espère que si tu penses que ce podcast peut aider une femme de ton entourage à comprendre pourquoi c'est si dur de terminer une relation. Parce que comme je vous disais au début du podcast, quand tu comprends pourquoi tu as du mal à prendre une décision, après, tu peux développer d'autres ressources pour pouvoir être en capacité de t'accompagner dans cette décision-là. Donc, comprendre pourquoi c'est dur pour soi, parce que ça peut être une raison parmi celles dont je t'ai parlé. D'ailleurs, si tu en vois d'autres, n'hésite pas à les partager en commentaire. Soit sur le blog mapsionlinechezmoi.fr, parce qu'en général, tous les épisodes de podcast, tu peux les retrouver sur le blog. Soit sur la chaîne YouTube Mapsionlinechezmoi. soit sur l'espace Mapsi en ligne chez moi qui est dédié uniquement aux épisodes de podcast version audio mapsi-en-ligne-chez-moi.fr slash podcast du coup j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast, vos suggestions est-ce que ça vous a parlé est-ce que ça t'est déjà arrivé d'avoir du mal à terminer une relation et est-ce que du coup tu penses qu'il y avait une des raisons que j'ai citées te concernait ou est-ce que t'en vois une autre franchement je serais super intéressée qu'on puisse continuer cette conversation Tu peux adresser la note de ton choix sur ce podcast dans ta plateforme d'écoute, ça s'appelle Apple Podcasts. Spotify, Deezer, etc. Ou mettez un petit commentaire, un pouce levé sur YouTube. Pense à t'abonner et à continuer de profiter de tout ce contenu qui est offert par mapsienlinechezmoi.fr. Merci de votre écoute et de votre attention. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. C'était Émilie Antoine pour ta dose hebdomadaire, pour te construire le mindset d'une femme épanouie et en phase avec ses valeurs et ses principes pour le podcast, se traiter en première classe. Je vous dis... comme à mon habitude, Inch'Allah, si Dieu le veut, à la semaine prochaine, pour continuer de vous donner des explications impactantes, des conseils concrets, pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, et non en fonction de tes peurs, de tes croyances limitantes, et de tes blocages. Passez une excellente, un excellent week-end, une excellente journée, là où tu es, dans ta semaine ou dans ta journée, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie, et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma psy-campus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même, plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma psy-campus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Sector ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-lune-chez-moi.fr slash mapsicampus, M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S. Ensemble, sur Mapsi Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi. Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psy-campus !

Description

💬 Chloé ne voulait pas d’une relation hors mariage, pourtant elle avait un mal fou à mettre un terme aux échanges avec Marouane.

🗣️ Tant bien même il lui avait clairement dit qu’il ne se sentait pas prêt à s’engager.

📝 Elle se promettait au matin de ne plus parler avec lui.

🚫 Elle le bloquait.

🌙 Mais le soir venu,

📱 Son index libérait la fiche du grand brun sur WhatsApp…


🤔 Est-ce que TOI aussi tu es de la team "je reste par défaut" ?

😫 En mode : "C'est trop compliqué de partir" ?


Dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe, on va parler de vrai courage émotionnel !

On explore ensemble pour comprendre :


⚡️Pourquoi est-ce si dur de terminer une relation ?⚡️


Pourquoi écouter cet épisode ?


🔍 Découvre pourquoi tu te sens toujours responsable du bien-être de ton partenaire, même quand ça te nuit. Le mécanisme qui peut te retenir dans une relation qui ne te satisfait pas.

🚩 Pourquoi est-il si difficile de reconnaître une relation toxique après en avoir vécu d'autres ? Explore ce qui crée un attachement émotionnel profond.

🕰️ Pourquoi rester dans une relation en espérant que tout s'améliore peut prolonger ta souffrance. Comment certaines peurs peuvent te maintenir dans une relation insatisfaisante.

🔍 Démystifie la culpabilité et la responsabilité du succès ou de l'échec de la relation. Les mécanismes qui te poussent à rester là où tu es.

📜 Les codes qui influencent ta décision.

Comment supporter émotionnellement la fin d'une relation et aller de l'avant.

Qu'allez-vous gagner ?

🌟 Une perspective nouvelle sur la façon de gérer les relations et de prendre des décisions saines. Des clés pour ne plus t’auto-saboter et devenir plus sereine, confiante et épanouie. 💬 Un soutien et des conseils pour comprendre et surmonter les défis émotionnels.


Sista, Rappelle-toi :

Se traiter en première classe commence par s’écouter soi-même et reconnaître ce qui fait vraiment écho à tes ambitions, tes valeurs et tes principes.

Permets-toi de comprendre vraiment ce que signifie se traiter en première classe et prendre des décisions qui favorisent ton épanouissement!


🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast et laisse un commentaire pour aider d'autres femmes à connecter émotionnellement pour des relations plus authentiques.

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  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Je pense que ça peut être une grande épreuve pour une femme de vouloir mettre un terme à une relation même si c'est juste une relation où on s'envoie des messages par téléphone, etc., de vouloir mettre un terme à une relation qui ne nous convient pas, pour une raison ou pour une autre, parce qu'elle entache un principe ou une valeur, etc., et puis de se retrouver en incapacité à réussir à mettre un terme à cette relation. Ça met un grand coup à l'estime de soi, ça met un grand coup... à la confiance, c'est vraiment hyper dur à vivre. Et on se juge en général, on se juge parce qu'on ne se sent pas aligné avec ses valeurs. Et l'idée dans ce podcast, dans cet épisode 94 dans lequel je vous souhaite la bienvenue, c'est qu'on essaye de comprendre un peu, pas par complaisance, etc., mais d'essayer de comprendre pourquoi des fois, pourquoi ça peut être si dur de terminer une relation. tant bien même elle nous convient pas pour une raison ou pour une autre et puis bien sûr aussi je vais caresser si tu peux dire ça comme ça le fait aussi de pourquoi c'est dur parfois de terminer une relation même quand on ne décide pas de le faire c'est à dire qu'on est la personne qui est larguée si je le dis très simplement Donc, bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast. Aujourd'hui, on va du coup explorer ce mécanisme complexe et souvent douloureux, on va pas se mentir, de pourquoi c'est parfois si difficile de mettre à une relation qu'on les choisit ou non. On va examiner ces différentes raisons qui font que ça peut être si difficile. L'idée, c'est d'essayer de comprendre et de se comprendre pour pouvoir agir d'une manière différente, pour pouvoir se traiter en première classe, pour pouvoir s'accompagner différemment. et rendre les choses plus aisées, plus faciles, si je puis dire. On va s'appuyer sur les perspectives psychologiques, émotionnelles, historiques, même j'ai envie de vous dire, pour essayer de comprendre ça. Il y a quelque chose qui... On va dire, la première chose qu'on va voir ensemble, c'est comment ça peut être difficile de terminer une relation quand on a beaucoup d'empathie, voire même quand on a, ce qu'on pourrait dire, le syndrome de la sauveuse. parce qu'il y a beaucoup de femmes, nous en tant que femmes, en fait, on a cette habitude, si je peux dire ça comme ça, c'est profondément engrammé en nous que de se sentir responsable du bien-être des autres. Surtout quand, par exemple, l'autre, c'est un partenaire qui traverse une période difficile, etc. Et que du coup, quand tu as cette tendance comme ça à t'oublier, à te sacrifier, à prioriser les besoins de ton partenaire ou de quelqu'un au détriment des tiens, ça peut... rendre la décision de partir encore très compliquée, même si, au-delà de la difficulté, par exemple, que ton partenaire a, il y a quelque chose dans votre relation qui fait que ça ne matche plus dans tes valeurs. Mais quand on a ce syndrome de la sauveuse, c'est une des raisons pour lesquelles ça peut être extrêmement difficile de terminer une relation. Et puis, je pense que d'ailleurs, c'est le truc que j'aurais pu citer en premier, mais en y allant sans détour, quand on a une estime de soi qui est assez faible, parce qu'on a eu une histoire de vie un peu, entre guillemets, chaotique, on a été, par exemple, maltraité par ses parents, maltraité par un autre conjoint, pour une raison ou pour une autre, on se retrouve avec une estime de soi en déséquilibre, d'un, on peut, plus ou moins consciemment, être amené à croire qu'on ne mérite pas mieux. et que du coup, ça crée aussi des croyances autour de on ne trouvera pas un meilleur partenaire Et ça peut aussi conduire... à rester dans une relation, même si elle n'est pas satisfaisante, elle n'est pas alignée avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, parce qu'on a peur de ne pas trouver mieux. On croit profondément qu'on ne mérite pas mieux. Et puis comme je vous le disais un petit peu dans la même veine tout à l'heure, quand on a eu des relations tumultueuses dans le passé, des relations abusives, violentes, toxiques, on pourrait appeler ça comme tu veux, ce que ça crée en conséquence, c'est que souvent on a du mal à comprendre, à se familiariser avec l'idée que ce n'est pas normal. Et du coup, ça peut rendre le fait de terminer une relation assez compliqué. Parce que c'est comme si c'est pas la norme, mais c'est ta norme, ça t'est familier. Et du coup, tu as du mal à faire avec, vraiment, le fait de te projeter dans une relation stable, équilibrée, etc. Et ça fait que tu as du mal à terminer. C'est très difficile de terminer, par exemple, une relation tant bien, mais elle ne te convient plus. Et puis, voilà, on ne va pas... Et ça pourrait aussi... Chaque point pourrait faire l'objet... Ça pourrait être le premier point, en fait. Mais voilà, quand tu as partagé des choses avec quelqu'un, quand tu as des souvenirs, quand vous avez eu des ambitions, des communes, des rêves communs, que tu as partagé des choses émotionnellement intenses, et des fois même dans le bon comme dans le mauvais, ça crée un attachement. Et quand tu arrives dans la fin d'une relation, ça veut dire aussi que tu dois accepter, tu dois être en capacité de faire avec l'idée que c'est la fin d'un idéal, d'un projet. Et ça, ça peut rendre la séparation hyper douloureuse et c'est totalement normal. Et puis, ce qui peut aussi rendre difficile le fait de mettre fin à une relation, c'est quand tu n'es pas très connecté avec la réalité, c'est-à-dire que tu as espoir, T'as espoir que les choses s'améliorent, que par exemple ta copine, ton partenaire change, etc. Et que tu te dis parfois c'est le temps, ou parfois on t'a fait miroiter que passé un certain âge, les hommes changent d'eux-mêmes, ou que sais-je, ou ils deviennent plus religieux, ou ci, ou ça. Et parfois cet espoir nous amène à rester dans une relation en pensant que les choses vont se stabiliser avec le temps. ou que toi, tes efforts de ton côté, ça va finir par porter ses fruits, tant bien, même factuellement, il n'y a pas preuve de changement, etc. Et souvent, cet espoir de changement, cette illusion, si je peux dire ça comme ça, du changement, je dis illusion parce qu'il n'y a pas de preuve concrète, il n'y a pas de fait concret qui montre qu'il y a un changement qui s'initie, ça peut rendre très difficile le fait de terminer une relation. Et ce qui peut... Alors, il y a aussi quelque chose, je pense qu'on parle souvent de dépendance, d'indépendance. On a vu aussi dans un précédent live d'introspection participatif à propos de l'autonomie émotionnelle, mais cette dépendance, la dépendance émotionnelle et la dépendance financière aussi, ça peut rendre difficile le fait de se détacher d'un partenaire. Parce que, comment dirais-je, qu'on y fasse face ou non, qu'on le reconnaisse ou non. Quand tu mets fin à une relation, ça a des conséquences au niveau financier, matériel, économique, etc. Soit ça a des conséquences pour toi parce que tu étais plutôt dépendante financièrement, par exemple, de cette personne. Soit ça a des conséquences pour l'autre. Et puis, du coup, tu as un peu pitié, si on peut dire ça comme ça. Tu as encore cette fibre de sauveuse qui fait que c'est difficile de mettre fin à la relation. Et dans la dépendance émotionnelle, quand tu as été à peu près dans une certaine mesure, c'est normal d'être dépendant au niveau financier, émotionnel. C'est-à-dire que je ne suis pas en train de dire que c'est quelque chose qu'il faut à tout prix annuler, il faut être dépendant de personne. C'est juste qu'on parle de comment ça peut rendre difficile de mettre fin à une relation quand il y a cette dépendance émotionnelle et financière, dont on n'a pas conscience ou qu'on repousse en fait. Donc on est dans le déni par rapport à ça. Et dans la dépendance émotionnelle, à un moment donné, se dire Ok, si je m'efface à cette relation, je vais me retrouver seule. Et si tu n'es pas à l'aise avec le fait d'être seule, ça peut être compliqué. Ça peut te faire... Tu préfères peut-être, encore une fois, plus ou moins consciemment, être... mal accompagné que seul, parce que souvent aussi la solitude, comme je disais, ça implique d'être à l'aise avec soi-même, d'être à l'aise pour pouvoir faire avec ses pensées, ses émotions, sa vie intérieure. Parce que l'autre peut être un divertissement, si je puis dire. Et puis quand on se dit, je vais être seul, des fois quand on a peur de se retrouver face à soi, quand on a peur de se découvrir aussi, de faire sa connaissance, de par le fait d'être seul, ça peut rendre les choses compliquées. Et puis toujours dans cette même veine, je pense un peu du truc du syndrome de sauveur, de l'hyper-responsabilisation, il y a aussi la culpabilité. On se sent peut-être parfois... over, un peu trop si je puis dire, responsable du succès ou de l'échec de la relation. Et il faudrait pouvoir définir d'ailleurs qu'est-ce que le succès et qu'est-ce qu'un échec dans une relation. Mais en tout cas, il y a un dérèglement, si je puis dire ça comme ça, de la culpabilité liée à comment on perçoit sa responsabilité dans la relation, qu'elle continue ou qu'elle s'arrête, et d'avoir une culpabilité excessive, d'avoir l'impression de mal faire. d'avoir peur de blesser le partenaire ou les enfants qui sont autour, ou la famille, etc. Je reviendrai un petit peu dessus. Mais du coup, cette culpabilité, elle peut te pousser à prolonger une relation qui ne te convient pas, qui n'est pas en cohérence avec tes ambitions, tes valeurs, tes principes. Et du coup, ça peut rendre difficile le fait de sortir de la relation. Et puis, bien sûr, j'en ai un peu parlé en filigrane, mais si je... Si je formalise le point ici qui peut faire que ça peut ajouter en fait de la difficulté, c'est la peur de l'inconnu. Alors la solitude, mais aussi la peur de ne pas trouver un autre partenaire, de jamais retrouver, un peu comme si c'était tout noir, tout blanc. Soit tu restes avec, comment dirais-je, ton bras cassé, bon je le dis pour rigoler, avec tout le respect que je dois à tout le monde. Soit c'est rien du tout, en mode tout ou rien. Soit tu restes avec lui, tant bien même... il ne convient pas au niveau de tes principes, tes valeurs, vous n'allez pas dans la même direction, etc. Il t'a trompé ou quoi, ou que sais-je. Parce que tu as l'impression, dans ta tête, qu'il y a un peu de trucs tout noir ou tout blanc. Soit c'est lui, soit c'est rien. Tu as peur de ne pas retrouver un autre partenaire. Et puis, ça, ça peut faire que cette insécurité et ce semblant de sécurité et de stabilité qui est apporté par la relation, à ce moment-là, ça peut te donner l'impression que c'est irremplaçable. qu'il n'y aura jamais rien d'autre, etc. Et du coup, ça, ça peut te pousser, en fait, à rester dans une relation et de trouver ça dur de mettre fin à la relation. Et je vous ai parlé beaucoup de... Je vais faire une petite parenthèse parce que j'ai parlé de beaucoup de tout ce qui est interne, si je puis dire. Mais il faut aussi dire que la pression familiale, sociale, culturelle, les attentes de la société, de la famille, etc. Ça, ça joue. Parce que quand on s'imagine mettre fin à une relation, forcément, on s'imagine que va être la vie entre nous et nous, entre toi et ta personne, avec ta personne. mais aussi qu'est-ce que va dire la famille, qu'est-ce que vont dire tes collègues de travail, qu'est-ce que vont dire tes amis, etc. Et puis la peur du jugement et le fait de ne pas se sentir assez renforcée, assez forte si je puis dire, ça peut influencer aussi la décision de rester dans une relation. Et ça peut créer cette pression sociale, ce désir en fait d'être aimée, d'être appréciée, d'être reconnue. Ça peut créer un espèce de sentiment de devoir être conforme à ce que les autres attendent de toi. Et là, ça rend difficile le fait de terminer, de mettre fin à une relation. Et justement, dans... souvent on dit, voilà, quand tu prends la décision de rompre, etc., il faut pouvoir assumer, il faut que tu assumes. Et même nous, on se le dit à Noël, vous le dites souvent, ouais, il faut que j'assume et tout ça, mais qu'est-ce que ça veut dire assumer ? Souvent, quand on parle d'assumer une décision, qu'elle soit liée au fait de mettre fin à une relation ou à une grande décision de vie, souvent, ça, c'est, comment dirais-je, quand on dit, on voit un peu le fait d'assumer factuellement parlant. C'est-à-dire qu'il va falloir que tu assumes financièrement, que tu trouves ceci, que tu recherches un taf. On voit souvent ça sous le prisme du matériel. Assumer d'un point de vue matériel, financier, comment dirais-je, les responsabilités que ça peut impliquer au niveau familial et tout, ça implique quoi en fait ? Ça implique le fait d'assumer émotionnellement. Parce que quand tu mets fin à une relation, ça implique de supporter émotionnellement la rupture. Et des fois, on cherche juste à pouvoir s'éviter ça. C'est-à-dire qu'on sait très bien que ça va faire mal, que la rupture va faire mal. Pour plein de raisons possibles, d'ailleurs ça pourrait faire l'objet d'un autre podcast, dis-moi en commentaire si tu voudrais que j'aborde ça d'ailleurs. Pour plein de raisons possibles, on peut se projeter, on peut projeter de ne pas pouvoir encaisser ça émotionnellement parlant, et du coup ça peut retarder la rupture, ça peut faire que c'est très dur en fait à vivre émotionnellement, parce que supporter, assumer une rupture, c'est déjà supporter émotionnellement la rupture sans tomber en dépression, etc. Et ça, c'est une chose. Ça implique aussi, et d'ailleurs, c'est très lié le fait de supporter émotionnellement, ça implique aussi, après, de pouvoir être en capacité de poser des actes qui sont cohérents avec la décision que tu as prise de mettre fin à la relation ou la décision que tu en étais l'initiatrice ou non. C'est-à-dire que tu décides de mettre fin à la relation avec ton mari, ton conjoint, et puis à un moment donné, tu sais, tu as cette peur, tu as peur d'être seul, etc., tu as des besoins et tout, et tu retournes le voir. alors que c'est complètement pas cohérent, parce qu'en fait, tu n'arrives pas à supporter émotionnellement cette solitude, par exemple, etc., cette frustration. Donc, derrière, tu vas poser un acte qui est incohérent avec ta décision, c'est-à-dire le fait que tu vas revoir ton ex-mari sans que tu aies... En vrai, tu ne veux pas rester avec lui, mais tu vas le revoir parce qu'émotionnellement, tu n'arrives pas à assumer, tu n'arrives pas à supporter. Et quand tu n'es pas l'initiatrice, on peut faire le parallèle. Tu peux être face à une personne. ton ex-mari, voilà, profondément, il ne veut plus être avec toi, mais à un moment donné, il a du mal à faire face à la solitude, il va revenir toquer à ta porte pour gérer cette émotion que tu gères à sa place, mais au final, profondément, il ne veut pas être avec toi, il va te redire ciao, tu vois, donc assumer émotionnellement pour pouvoir justement continuer factuellement de poser des actes, d'avoir un comportement qui est cohérent avec la décision, ça, c'est très très important dans la vie. ça implique, je rigole mais c'est vraiment pas drôle, mais ça implique beaucoup de déboires, et c'est très lié. Assumer une rupture, c'est aussi être en capacité de faire le deuil, de faire le deuil de la relation, d'accepter, d'être en capacité vraiment émotionnellement, certes factuellement, mais émotionnellement, d'accepter la situation qui est différente maintenant. Et ça, oui, c'est un processus douloureux, ça fait mal, c'est normal. Et c'est d'ailleurs souvent le principal truc qui bloque, c'est qu'on veut... pas faire face aux émotions qui vont avec le fait de terminer une relation. Terminer une relation, ça fait mal émotionnellement, c'est normal. Et là, l'idée, c'est, oui, de se traiter en première classe, d'accepter que c'est un processus, et de faire face vraiment, en fait, de prendre ses responsabilités déjà à ce niveau-là. Parce que... Il y a une différence entre... Ça, ça va conditionner quoi ? La différence entre... T'es dans l'acceptation, donc une acceptation saine. J'en ai déjà parlé dans un autre podcast que vous pouvez retrouver sur mapséenlinechezmoi.fr ou sur la chaîne YouTube Mapsé en ligne chez moi. Je vous ai fait tout un podcast sur l'acceptation. Mais en tout cas, il y a une différence entre être dans une acceptation saine... on va dire que tu as bien ton processus de deuil, que tu es en capacité d'assumer la rupture à tous les plans, c'est-à-dire sur le plan principalement, franchement, émotionnel, et le fait d'être en mode traumatisé, de ne pas pouvoir se saisir de cette rupture-là, d'être plutôt traumatisé, de ne pas avoir les ressources pour une raison ou pour une autre, et de tomber un petit peu en mode défense traumatique, si je peux dire ça comme ça. Ça veut dire quoi ? Défense traumatique, quand tu es dans l'acceptation, après justement tu es dans l'espoir, tu peux aller de l'avant, tu crois en de nouvelles possibilités, tu as confiance dans ton destin malgré les défis, les incertitudes. Et ça, ça implique de se donner la permission de rêver à nouveau, d'avoir des critères pour avoir un autre conjoint, etc. De se projeter dans des relations futures et de croire qu'on peut trouver du bonheur dans une autre relation. Par contre, quand on est en mode défense traumatique, Souvent, ce qui se passe, c'est qu'on reste seul parce qu'on ne veut pas souffrir à nouveau. Et souvent, c'est le cas après des expériences traumatisantes, des relations difficiles, ou alors quand on n'a pas les ressources à cause du type d'éducation qu'on a eue, des relations qu'on a eues avec ses parents, donc ce n'est pas quelque chose qu'on a eu l'opportunité de construire. Et là, on cherche naturellement, mais toujours naturel, mais pas dans le sens c'est naturel pour tout le monde mais parce que c'est familier pour nous. à se protéger, parce qu'émotionnellement, on sait plus ou moins consciemment, encore une fois, qu'on n'arrive pas à s'accompagner, à se protéger, du coup, on est dans l'évitement, dans l'évitement de s'engager à nouveau. Et ça, ça peut mener à beaucoup de détresse émotionnelle, beaucoup d'isolation, et clairement, ça t'empêche, ça nous empêche de vivre pleinement. C'est un mécanisme qu'on voit énormément de nos jours. Soit c'est des personnes qui restent seules, soit c'est des personnes qui sont, comment on appelle ça ? En couple, mais pas en couple. Je ne sais plus c'est quoi le terme en 2024, mais en gros, tu es avec quelqu'un, mais personne ne dit que vous ne vous prenez pas... Vous êtes dans une relation libre, je crois qu'on appelle ça comme ça. Bref, mais en gros, vous êtes en couple sans être en couple. Et parce que souvent, c'est une défense traumatique. On ne s'engage pas de peur de souffrir. Et ça, c'est très, très fréquent. Et pour surmonter cette défense traumatique, c'est important de travailler sur soi, de guérir ses blessures, de se rappeler aussi, de se convaincre qu'il y a des opportunités et que chaque relation en plus est différente. Ça passe par le fait bien sûr de chercher du soutien, de faire face à soi avec beaucoup de bienveillance, de se traiter en première classe, voire même de consulter une psychologue pour justement naviguer ce processus de la meilleure des manières. Parce que terminer une relation, peu importe son capital émotionnel, psychologique, etc., ça reste une expérience humaine qui relève de l'épreuve. C'est totalement normal que de ne pas sortir avec le sourire quand on sort d'une relation. D'ailleurs, si tu sors, si des fois, c'est en mode, tu as tellement galéré, ça y est, c'est fini, tu es contente. Je pense qu'il y a quand même un processus de deuil. Souvent, c'est parce que le processus de deuil a eu lieu quand la personne était encore dans la relation. Mais en principe, terminer une relation, C'est normal d'être challengé au niveau émotionnel, d'avoir besoin de soutien. Et c'est important de se rappeler que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. N'hésite pas à chercher du soutien. J'espère que si tu penses que ce podcast peut aider une femme de ton entourage à comprendre pourquoi c'est si dur de terminer une relation. Parce que comme je vous disais au début du podcast, quand tu comprends pourquoi tu as du mal à prendre une décision, après, tu peux développer d'autres ressources pour pouvoir être en capacité de t'accompagner dans cette décision-là. Donc, comprendre pourquoi c'est dur pour soi, parce que ça peut être une raison parmi celles dont je t'ai parlé. D'ailleurs, si tu en vois d'autres, n'hésite pas à les partager en commentaire. Soit sur le blog mapsionlinechezmoi.fr, parce qu'en général, tous les épisodes de podcast, tu peux les retrouver sur le blog. Soit sur la chaîne YouTube Mapsionlinechezmoi. soit sur l'espace Mapsi en ligne chez moi qui est dédié uniquement aux épisodes de podcast version audio mapsi-en-ligne-chez-moi.fr slash podcast du coup j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast, vos suggestions est-ce que ça vous a parlé est-ce que ça t'est déjà arrivé d'avoir du mal à terminer une relation et est-ce que du coup tu penses qu'il y avait une des raisons que j'ai citées te concernait ou est-ce que t'en vois une autre franchement je serais super intéressée qu'on puisse continuer cette conversation Tu peux adresser la note de ton choix sur ce podcast dans ta plateforme d'écoute, ça s'appelle Apple Podcasts. Spotify, Deezer, etc. Ou mettez un petit commentaire, un pouce levé sur YouTube. Pense à t'abonner et à continuer de profiter de tout ce contenu qui est offert par mapsienlinechezmoi.fr. Merci de votre écoute et de votre attention. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. C'était Émilie Antoine pour ta dose hebdomadaire, pour te construire le mindset d'une femme épanouie et en phase avec ses valeurs et ses principes pour le podcast, se traiter en première classe. Je vous dis... comme à mon habitude, Inch'Allah, si Dieu le veut, à la semaine prochaine, pour continuer de vous donner des explications impactantes, des conseils concrets, pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, et non en fonction de tes peurs, de tes croyances limitantes, et de tes blocages. Passez une excellente, un excellent week-end, une excellente journée, là où tu es, dans ta semaine ou dans ta journée, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie, et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma psy-campus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même, plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma psy-campus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Sector ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-lune-chez-moi.fr slash mapsicampus, M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S. Ensemble, sur Mapsi Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi. Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psy-campus !

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💬 Chloé ne voulait pas d’une relation hors mariage, pourtant elle avait un mal fou à mettre un terme aux échanges avec Marouane.

🗣️ Tant bien même il lui avait clairement dit qu’il ne se sentait pas prêt à s’engager.

📝 Elle se promettait au matin de ne plus parler avec lui.

🚫 Elle le bloquait.

🌙 Mais le soir venu,

📱 Son index libérait la fiche du grand brun sur WhatsApp…


🤔 Est-ce que TOI aussi tu es de la team "je reste par défaut" ?

😫 En mode : "C'est trop compliqué de partir" ?


Dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe, on va parler de vrai courage émotionnel !

On explore ensemble pour comprendre :


⚡️Pourquoi est-ce si dur de terminer une relation ?⚡️


Pourquoi écouter cet épisode ?


🔍 Découvre pourquoi tu te sens toujours responsable du bien-être de ton partenaire, même quand ça te nuit. Le mécanisme qui peut te retenir dans une relation qui ne te satisfait pas.

🚩 Pourquoi est-il si difficile de reconnaître une relation toxique après en avoir vécu d'autres ? Explore ce qui crée un attachement émotionnel profond.

🕰️ Pourquoi rester dans une relation en espérant que tout s'améliore peut prolonger ta souffrance. Comment certaines peurs peuvent te maintenir dans une relation insatisfaisante.

🔍 Démystifie la culpabilité et la responsabilité du succès ou de l'échec de la relation. Les mécanismes qui te poussent à rester là où tu es.

📜 Les codes qui influencent ta décision.

Comment supporter émotionnellement la fin d'une relation et aller de l'avant.

Qu'allez-vous gagner ?

🌟 Une perspective nouvelle sur la façon de gérer les relations et de prendre des décisions saines. Des clés pour ne plus t’auto-saboter et devenir plus sereine, confiante et épanouie. 💬 Un soutien et des conseils pour comprendre et surmonter les défis émotionnels.


Sista, Rappelle-toi :

Se traiter en première classe commence par s’écouter soi-même et reconnaître ce qui fait vraiment écho à tes ambitions, tes valeurs et tes principes.

Permets-toi de comprendre vraiment ce que signifie se traiter en première classe et prendre des décisions qui favorisent ton épanouissement!


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    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. 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Et l'idée dans ce podcast, dans cet épisode 94 dans lequel je vous souhaite la bienvenue, c'est qu'on essaye de comprendre un peu, pas par complaisance, etc., mais d'essayer de comprendre pourquoi des fois, pourquoi ça peut être si dur de terminer une relation. tant bien même elle nous convient pas pour une raison ou pour une autre et puis bien sûr aussi je vais caresser si tu peux dire ça comme ça le fait aussi de pourquoi c'est dur parfois de terminer une relation même quand on ne décide pas de le faire c'est à dire qu'on est la personne qui est larguée si je le dis très simplement Donc, bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast. Aujourd'hui, on va du coup explorer ce mécanisme complexe et souvent douloureux, on va pas se mentir, de pourquoi c'est parfois si difficile de mettre à une relation qu'on les choisit ou non. On va examiner ces différentes raisons qui font que ça peut être si difficile. L'idée, c'est d'essayer de comprendre et de se comprendre pour pouvoir agir d'une manière différente, pour pouvoir se traiter en première classe, pour pouvoir s'accompagner différemment. et rendre les choses plus aisées, plus faciles, si je puis dire. On va s'appuyer sur les perspectives psychologiques, émotionnelles, historiques, même j'ai envie de vous dire, pour essayer de comprendre ça. Il y a quelque chose qui... On va dire, la première chose qu'on va voir ensemble, c'est comment ça peut être difficile de terminer une relation quand on a beaucoup d'empathie, voire même quand on a, ce qu'on pourrait dire, le syndrome de la sauveuse. parce qu'il y a beaucoup de femmes, nous en tant que femmes, en fait, on a cette habitude, si je peux dire ça comme ça, c'est profondément engrammé en nous que de se sentir responsable du bien-être des autres. Surtout quand, par exemple, l'autre, c'est un partenaire qui traverse une période difficile, etc. Et que du coup, quand tu as cette tendance comme ça à t'oublier, à te sacrifier, à prioriser les besoins de ton partenaire ou de quelqu'un au détriment des tiens, ça peut... rendre la décision de partir encore très compliquée, même si, au-delà de la difficulté, par exemple, que ton partenaire a, il y a quelque chose dans votre relation qui fait que ça ne matche plus dans tes valeurs. Mais quand on a ce syndrome de la sauveuse, c'est une des raisons pour lesquelles ça peut être extrêmement difficile de terminer une relation. Et puis, je pense que d'ailleurs, c'est le truc que j'aurais pu citer en premier, mais en y allant sans détour, quand on a une estime de soi qui est assez faible, parce qu'on a eu une histoire de vie un peu, entre guillemets, chaotique, on a été, par exemple, maltraité par ses parents, maltraité par un autre conjoint, pour une raison ou pour une autre, on se retrouve avec une estime de soi en déséquilibre, d'un, on peut, plus ou moins consciemment, être amené à croire qu'on ne mérite pas mieux. et que du coup, ça crée aussi des croyances autour de on ne trouvera pas un meilleur partenaire Et ça peut aussi conduire... à rester dans une relation, même si elle n'est pas satisfaisante, elle n'est pas alignée avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, parce qu'on a peur de ne pas trouver mieux. On croit profondément qu'on ne mérite pas mieux. Et puis comme je vous le disais un petit peu dans la même veine tout à l'heure, quand on a eu des relations tumultueuses dans le passé, des relations abusives, violentes, toxiques, on pourrait appeler ça comme tu veux, ce que ça crée en conséquence, c'est que souvent on a du mal à comprendre, à se familiariser avec l'idée que ce n'est pas normal. Et du coup, ça peut rendre le fait de terminer une relation assez compliqué. Parce que c'est comme si c'est pas la norme, mais c'est ta norme, ça t'est familier. Et du coup, tu as du mal à faire avec, vraiment, le fait de te projeter dans une relation stable, équilibrée, etc. Et ça fait que tu as du mal à terminer. C'est très difficile de terminer, par exemple, une relation tant bien, mais elle ne te convient plus. Et puis, voilà, on ne va pas... Et ça pourrait aussi... Chaque point pourrait faire l'objet... Ça pourrait être le premier point, en fait. Mais voilà, quand tu as partagé des choses avec quelqu'un, quand tu as des souvenirs, quand vous avez eu des ambitions, des communes, des rêves communs, que tu as partagé des choses émotionnellement intenses, et des fois même dans le bon comme dans le mauvais, ça crée un attachement. Et quand tu arrives dans la fin d'une relation, ça veut dire aussi que tu dois accepter, tu dois être en capacité de faire avec l'idée que c'est la fin d'un idéal, d'un projet. Et ça, ça peut rendre la séparation hyper douloureuse et c'est totalement normal. Et puis, ce qui peut aussi rendre difficile le fait de mettre fin à une relation, c'est quand tu n'es pas très connecté avec la réalité, c'est-à-dire que tu as espoir, T'as espoir que les choses s'améliorent, que par exemple ta copine, ton partenaire change, etc. Et que tu te dis parfois c'est le temps, ou parfois on t'a fait miroiter que passé un certain âge, les hommes changent d'eux-mêmes, ou que sais-je, ou ils deviennent plus religieux, ou ci, ou ça. Et parfois cet espoir nous amène à rester dans une relation en pensant que les choses vont se stabiliser avec le temps. ou que toi, tes efforts de ton côté, ça va finir par porter ses fruits, tant bien, même factuellement, il n'y a pas preuve de changement, etc. Et souvent, cet espoir de changement, cette illusion, si je peux dire ça comme ça, du changement, je dis illusion parce qu'il n'y a pas de preuve concrète, il n'y a pas de fait concret qui montre qu'il y a un changement qui s'initie, ça peut rendre très difficile le fait de terminer une relation. Et ce qui peut... Alors, il y a aussi quelque chose, je pense qu'on parle souvent de dépendance, d'indépendance. On a vu aussi dans un précédent live d'introspection participatif à propos de l'autonomie émotionnelle, mais cette dépendance, la dépendance émotionnelle et la dépendance financière aussi, ça peut rendre difficile le fait de se détacher d'un partenaire. Parce que, comment dirais-je, qu'on y fasse face ou non, qu'on le reconnaisse ou non. Quand tu mets fin à une relation, ça a des conséquences au niveau financier, matériel, économique, etc. Soit ça a des conséquences pour toi parce que tu étais plutôt dépendante financièrement, par exemple, de cette personne. Soit ça a des conséquences pour l'autre. Et puis, du coup, tu as un peu pitié, si on peut dire ça comme ça. Tu as encore cette fibre de sauveuse qui fait que c'est difficile de mettre fin à la relation. Et dans la dépendance émotionnelle, quand tu as été à peu près dans une certaine mesure, c'est normal d'être dépendant au niveau financier, émotionnel. C'est-à-dire que je ne suis pas en train de dire que c'est quelque chose qu'il faut à tout prix annuler, il faut être dépendant de personne. C'est juste qu'on parle de comment ça peut rendre difficile de mettre fin à une relation quand il y a cette dépendance émotionnelle et financière, dont on n'a pas conscience ou qu'on repousse en fait. Donc on est dans le déni par rapport à ça. Et dans la dépendance émotionnelle, à un moment donné, se dire Ok, si je m'efface à cette relation, je vais me retrouver seule. Et si tu n'es pas à l'aise avec le fait d'être seule, ça peut être compliqué. Ça peut te faire... Tu préfères peut-être, encore une fois, plus ou moins consciemment, être... mal accompagné que seul, parce que souvent aussi la solitude, comme je disais, ça implique d'être à l'aise avec soi-même, d'être à l'aise pour pouvoir faire avec ses pensées, ses émotions, sa vie intérieure. Parce que l'autre peut être un divertissement, si je puis dire. Et puis quand on se dit, je vais être seul, des fois quand on a peur de se retrouver face à soi, quand on a peur de se découvrir aussi, de faire sa connaissance, de par le fait d'être seul, ça peut rendre les choses compliquées. Et puis toujours dans cette même veine, je pense un peu du truc du syndrome de sauveur, de l'hyper-responsabilisation, il y a aussi la culpabilité. On se sent peut-être parfois... over, un peu trop si je puis dire, responsable du succès ou de l'échec de la relation. Et il faudrait pouvoir définir d'ailleurs qu'est-ce que le succès et qu'est-ce qu'un échec dans une relation. Mais en tout cas, il y a un dérèglement, si je puis dire ça comme ça, de la culpabilité liée à comment on perçoit sa responsabilité dans la relation, qu'elle continue ou qu'elle s'arrête, et d'avoir une culpabilité excessive, d'avoir l'impression de mal faire. d'avoir peur de blesser le partenaire ou les enfants qui sont autour, ou la famille, etc. Je reviendrai un petit peu dessus. Mais du coup, cette culpabilité, elle peut te pousser à prolonger une relation qui ne te convient pas, qui n'est pas en cohérence avec tes ambitions, tes valeurs, tes principes. Et du coup, ça peut rendre difficile le fait de sortir de la relation. Et puis, bien sûr, j'en ai un peu parlé en filigrane, mais si je... Si je formalise le point ici qui peut faire que ça peut ajouter en fait de la difficulté, c'est la peur de l'inconnu. Alors la solitude, mais aussi la peur de ne pas trouver un autre partenaire, de jamais retrouver, un peu comme si c'était tout noir, tout blanc. Soit tu restes avec, comment dirais-je, ton bras cassé, bon je le dis pour rigoler, avec tout le respect que je dois à tout le monde. Soit c'est rien du tout, en mode tout ou rien. Soit tu restes avec lui, tant bien même... il ne convient pas au niveau de tes principes, tes valeurs, vous n'allez pas dans la même direction, etc. Il t'a trompé ou quoi, ou que sais-je. Parce que tu as l'impression, dans ta tête, qu'il y a un peu de trucs tout noir ou tout blanc. Soit c'est lui, soit c'est rien. Tu as peur de ne pas retrouver un autre partenaire. Et puis, ça, ça peut faire que cette insécurité et ce semblant de sécurité et de stabilité qui est apporté par la relation, à ce moment-là, ça peut te donner l'impression que c'est irremplaçable. qu'il n'y aura jamais rien d'autre, etc. Et du coup, ça, ça peut te pousser, en fait, à rester dans une relation et de trouver ça dur de mettre fin à la relation. Et je vous ai parlé beaucoup de... Je vais faire une petite parenthèse parce que j'ai parlé de beaucoup de tout ce qui est interne, si je puis dire. Mais il faut aussi dire que la pression familiale, sociale, culturelle, les attentes de la société, de la famille, etc. Ça, ça joue. Parce que quand on s'imagine mettre fin à une relation, forcément, on s'imagine que va être la vie entre nous et nous, entre toi et ta personne, avec ta personne. mais aussi qu'est-ce que va dire la famille, qu'est-ce que vont dire tes collègues de travail, qu'est-ce que vont dire tes amis, etc. Et puis la peur du jugement et le fait de ne pas se sentir assez renforcée, assez forte si je puis dire, ça peut influencer aussi la décision de rester dans une relation. Et ça peut créer cette pression sociale, ce désir en fait d'être aimée, d'être appréciée, d'être reconnue. Ça peut créer un espèce de sentiment de devoir être conforme à ce que les autres attendent de toi. Et là, ça rend difficile le fait de terminer, de mettre fin à une relation. Et justement, dans... souvent on dit, voilà, quand tu prends la décision de rompre, etc., il faut pouvoir assumer, il faut que tu assumes. Et même nous, on se le dit à Noël, vous le dites souvent, ouais, il faut que j'assume et tout ça, mais qu'est-ce que ça veut dire assumer ? Souvent, quand on parle d'assumer une décision, qu'elle soit liée au fait de mettre fin à une relation ou à une grande décision de vie, souvent, ça, c'est, comment dirais-je, quand on dit, on voit un peu le fait d'assumer factuellement parlant. C'est-à-dire qu'il va falloir que tu assumes financièrement, que tu trouves ceci, que tu recherches un taf. On voit souvent ça sous le prisme du matériel. Assumer d'un point de vue matériel, financier, comment dirais-je, les responsabilités que ça peut impliquer au niveau familial et tout, ça implique quoi en fait ? Ça implique le fait d'assumer émotionnellement. Parce que quand tu mets fin à une relation, ça implique de supporter émotionnellement la rupture. Et des fois, on cherche juste à pouvoir s'éviter ça. C'est-à-dire qu'on sait très bien que ça va faire mal, que la rupture va faire mal. Pour plein de raisons possibles, d'ailleurs ça pourrait faire l'objet d'un autre podcast, dis-moi en commentaire si tu voudrais que j'aborde ça d'ailleurs. Pour plein de raisons possibles, on peut se projeter, on peut projeter de ne pas pouvoir encaisser ça émotionnellement parlant, et du coup ça peut retarder la rupture, ça peut faire que c'est très dur en fait à vivre émotionnellement, parce que supporter, assumer une rupture, c'est déjà supporter émotionnellement la rupture sans tomber en dépression, etc. Et ça, c'est une chose. Ça implique aussi, et d'ailleurs, c'est très lié le fait de supporter émotionnellement, ça implique aussi, après, de pouvoir être en capacité de poser des actes qui sont cohérents avec la décision que tu as prise de mettre fin à la relation ou la décision que tu en étais l'initiatrice ou non. C'est-à-dire que tu décides de mettre fin à la relation avec ton mari, ton conjoint, et puis à un moment donné, tu sais, tu as cette peur, tu as peur d'être seul, etc., tu as des besoins et tout, et tu retournes le voir. alors que c'est complètement pas cohérent, parce qu'en fait, tu n'arrives pas à supporter émotionnellement cette solitude, par exemple, etc., cette frustration. Donc, derrière, tu vas poser un acte qui est incohérent avec ta décision, c'est-à-dire le fait que tu vas revoir ton ex-mari sans que tu aies... En vrai, tu ne veux pas rester avec lui, mais tu vas le revoir parce qu'émotionnellement, tu n'arrives pas à assumer, tu n'arrives pas à supporter. Et quand tu n'es pas l'initiatrice, on peut faire le parallèle. Tu peux être face à une personne. ton ex-mari, voilà, profondément, il ne veut plus être avec toi, mais à un moment donné, il a du mal à faire face à la solitude, il va revenir toquer à ta porte pour gérer cette émotion que tu gères à sa place, mais au final, profondément, il ne veut pas être avec toi, il va te redire ciao, tu vois, donc assumer émotionnellement pour pouvoir justement continuer factuellement de poser des actes, d'avoir un comportement qui est cohérent avec la décision, ça, c'est très très important dans la vie. ça implique, je rigole mais c'est vraiment pas drôle, mais ça implique beaucoup de déboires, et c'est très lié. Assumer une rupture, c'est aussi être en capacité de faire le deuil, de faire le deuil de la relation, d'accepter, d'être en capacité vraiment émotionnellement, certes factuellement, mais émotionnellement, d'accepter la situation qui est différente maintenant. Et ça, oui, c'est un processus douloureux, ça fait mal, c'est normal. Et c'est d'ailleurs souvent le principal truc qui bloque, c'est qu'on veut... pas faire face aux émotions qui vont avec le fait de terminer une relation. Terminer une relation, ça fait mal émotionnellement, c'est normal. Et là, l'idée, c'est, oui, de se traiter en première classe, d'accepter que c'est un processus, et de faire face vraiment, en fait, de prendre ses responsabilités déjà à ce niveau-là. Parce que... Il y a une différence entre... Ça, ça va conditionner quoi ? La différence entre... T'es dans l'acceptation, donc une acceptation saine. J'en ai déjà parlé dans un autre podcast que vous pouvez retrouver sur mapséenlinechezmoi.fr ou sur la chaîne YouTube Mapsé en ligne chez moi. Je vous ai fait tout un podcast sur l'acceptation. Mais en tout cas, il y a une différence entre être dans une acceptation saine... on va dire que tu as bien ton processus de deuil, que tu es en capacité d'assumer la rupture à tous les plans, c'est-à-dire sur le plan principalement, franchement, émotionnel, et le fait d'être en mode traumatisé, de ne pas pouvoir se saisir de cette rupture-là, d'être plutôt traumatisé, de ne pas avoir les ressources pour une raison ou pour une autre, et de tomber un petit peu en mode défense traumatique, si je peux dire ça comme ça. Ça veut dire quoi ? Défense traumatique, quand tu es dans l'acceptation, après justement tu es dans l'espoir, tu peux aller de l'avant, tu crois en de nouvelles possibilités, tu as confiance dans ton destin malgré les défis, les incertitudes. Et ça, ça implique de se donner la permission de rêver à nouveau, d'avoir des critères pour avoir un autre conjoint, etc. De se projeter dans des relations futures et de croire qu'on peut trouver du bonheur dans une autre relation. Par contre, quand on est en mode défense traumatique, Souvent, ce qui se passe, c'est qu'on reste seul parce qu'on ne veut pas souffrir à nouveau. Et souvent, c'est le cas après des expériences traumatisantes, des relations difficiles, ou alors quand on n'a pas les ressources à cause du type d'éducation qu'on a eue, des relations qu'on a eues avec ses parents, donc ce n'est pas quelque chose qu'on a eu l'opportunité de construire. Et là, on cherche naturellement, mais toujours naturel, mais pas dans le sens c'est naturel pour tout le monde mais parce que c'est familier pour nous. à se protéger, parce qu'émotionnellement, on sait plus ou moins consciemment, encore une fois, qu'on n'arrive pas à s'accompagner, à se protéger, du coup, on est dans l'évitement, dans l'évitement de s'engager à nouveau. Et ça, ça peut mener à beaucoup de détresse émotionnelle, beaucoup d'isolation, et clairement, ça t'empêche, ça nous empêche de vivre pleinement. C'est un mécanisme qu'on voit énormément de nos jours. Soit c'est des personnes qui restent seules, soit c'est des personnes qui sont, comment on appelle ça ? En couple, mais pas en couple. Je ne sais plus c'est quoi le terme en 2024, mais en gros, tu es avec quelqu'un, mais personne ne dit que vous ne vous prenez pas... Vous êtes dans une relation libre, je crois qu'on appelle ça comme ça. Bref, mais en gros, vous êtes en couple sans être en couple. Et parce que souvent, c'est une défense traumatique. On ne s'engage pas de peur de souffrir. Et ça, c'est très, très fréquent. Et pour surmonter cette défense traumatique, c'est important de travailler sur soi, de guérir ses blessures, de se rappeler aussi, de se convaincre qu'il y a des opportunités et que chaque relation en plus est différente. Ça passe par le fait bien sûr de chercher du soutien, de faire face à soi avec beaucoup de bienveillance, de se traiter en première classe, voire même de consulter une psychologue pour justement naviguer ce processus de la meilleure des manières. Parce que terminer une relation, peu importe son capital émotionnel, psychologique, etc., ça reste une expérience humaine qui relève de l'épreuve. C'est totalement normal que de ne pas sortir avec le sourire quand on sort d'une relation. D'ailleurs, si tu sors, si des fois, c'est en mode, tu as tellement galéré, ça y est, c'est fini, tu es contente. Je pense qu'il y a quand même un processus de deuil. Souvent, c'est parce que le processus de deuil a eu lieu quand la personne était encore dans la relation. Mais en principe, terminer une relation, C'est normal d'être challengé au niveau émotionnel, d'avoir besoin de soutien. Et c'est important de se rappeler que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. N'hésite pas à chercher du soutien. J'espère que si tu penses que ce podcast peut aider une femme de ton entourage à comprendre pourquoi c'est si dur de terminer une relation. Parce que comme je vous disais au début du podcast, quand tu comprends pourquoi tu as du mal à prendre une décision, après, tu peux développer d'autres ressources pour pouvoir être en capacité de t'accompagner dans cette décision-là. Donc, comprendre pourquoi c'est dur pour soi, parce que ça peut être une raison parmi celles dont je t'ai parlé. D'ailleurs, si tu en vois d'autres, n'hésite pas à les partager en commentaire. Soit sur le blog mapsionlinechezmoi.fr, parce qu'en général, tous les épisodes de podcast, tu peux les retrouver sur le blog. Soit sur la chaîne YouTube Mapsionlinechezmoi. soit sur l'espace Mapsi en ligne chez moi qui est dédié uniquement aux épisodes de podcast version audio mapsi-en-ligne-chez-moi.fr slash podcast du coup j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast, vos suggestions est-ce que ça vous a parlé est-ce que ça t'est déjà arrivé d'avoir du mal à terminer une relation et est-ce que du coup tu penses qu'il y avait une des raisons que j'ai citées te concernait ou est-ce que t'en vois une autre franchement je serais super intéressée qu'on puisse continuer cette conversation Tu peux adresser la note de ton choix sur ce podcast dans ta plateforme d'écoute, ça s'appelle Apple Podcasts. Spotify, Deezer, etc. Ou mettez un petit commentaire, un pouce levé sur YouTube. Pense à t'abonner et à continuer de profiter de tout ce contenu qui est offert par mapsienlinechezmoi.fr. Merci de votre écoute et de votre attention. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. C'était Émilie Antoine pour ta dose hebdomadaire, pour te construire le mindset d'une femme épanouie et en phase avec ses valeurs et ses principes pour le podcast, se traiter en première classe. Je vous dis... comme à mon habitude, Inch'Allah, si Dieu le veut, à la semaine prochaine, pour continuer de vous donner des explications impactantes, des conseils concrets, pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, et non en fonction de tes peurs, de tes croyances limitantes, et de tes blocages. Passez une excellente, un excellent week-end, une excellente journée, là où tu es, dans ta semaine ou dans ta journée, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie, et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma psy-campus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même, plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma psy-campus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantie sans blabla New Age Sector ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-lune-chez-moi.fr slash mapsicampus, M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S. Ensemble, sur Mapsi Campus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi. Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psy-campus !

Description

💬 Chloé ne voulait pas d’une relation hors mariage, pourtant elle avait un mal fou à mettre un terme aux échanges avec Marouane.

🗣️ Tant bien même il lui avait clairement dit qu’il ne se sentait pas prêt à s’engager.

📝 Elle se promettait au matin de ne plus parler avec lui.

🚫 Elle le bloquait.

🌙 Mais le soir venu,

📱 Son index libérait la fiche du grand brun sur WhatsApp…


🤔 Est-ce que TOI aussi tu es de la team "je reste par défaut" ?

😫 En mode : "C'est trop compliqué de partir" ?


Dans ce nouvel épisode de l'émission Se traiter en première classe, on va parler de vrai courage émotionnel !

On explore ensemble pour comprendre :


⚡️Pourquoi est-ce si dur de terminer une relation ?⚡️


Pourquoi écouter cet épisode ?


🔍 Découvre pourquoi tu te sens toujours responsable du bien-être de ton partenaire, même quand ça te nuit. Le mécanisme qui peut te retenir dans une relation qui ne te satisfait pas.

🚩 Pourquoi est-il si difficile de reconnaître une relation toxique après en avoir vécu d'autres ? Explore ce qui crée un attachement émotionnel profond.

🕰️ Pourquoi rester dans une relation en espérant que tout s'améliore peut prolonger ta souffrance. Comment certaines peurs peuvent te maintenir dans une relation insatisfaisante.

🔍 Démystifie la culpabilité et la responsabilité du succès ou de l'échec de la relation. Les mécanismes qui te poussent à rester là où tu es.

📜 Les codes qui influencent ta décision.

Comment supporter émotionnellement la fin d'une relation et aller de l'avant.

Qu'allez-vous gagner ?

🌟 Une perspective nouvelle sur la façon de gérer les relations et de prendre des décisions saines. Des clés pour ne plus t’auto-saboter et devenir plus sereine, confiante et épanouie. 💬 Un soutien et des conseils pour comprendre et surmonter les défis émotionnels.


Sista, Rappelle-toi :

Se traiter en première classe commence par s’écouter soi-même et reconnaître ce qui fait vraiment écho à tes ambitions, tes valeurs et tes principes.

Permets-toi de comprendre vraiment ce que signifie se traiter en première classe et prendre des décisions qui favorisent ton épanouissement!


🌹 Merci pour ton écoute et ton soutien ! Partage ce podcast et laisse un commentaire pour aider d'autres femmes à connecter émotionnellement pour des relations plus authentiques.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Je pense que ça peut être une grande épreuve pour une femme de vouloir mettre un terme à une relation même si c'est juste une relation où on s'envoie des messages par téléphone, etc., de vouloir mettre un terme à une relation qui ne nous convient pas, pour une raison ou pour une autre, parce qu'elle entache un principe ou une valeur, etc., et puis de se retrouver en incapacité à réussir à mettre un terme à cette relation. Ça met un grand coup à l'estime de soi, ça met un grand coup... à la confiance, c'est vraiment hyper dur à vivre. Et on se juge en général, on se juge parce qu'on ne se sent pas aligné avec ses valeurs. Et l'idée dans ce podcast, dans cet épisode 94 dans lequel je vous souhaite la bienvenue, c'est qu'on essaye de comprendre un peu, pas par complaisance, etc., mais d'essayer de comprendre pourquoi des fois, pourquoi ça peut être si dur de terminer une relation. tant bien même elle nous convient pas pour une raison ou pour une autre et puis bien sûr aussi je vais caresser si tu peux dire ça comme ça le fait aussi de pourquoi c'est dur parfois de terminer une relation même quand on ne décide pas de le faire c'est à dire qu'on est la personne qui est larguée si je le dis très simplement Donc, bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast. Aujourd'hui, on va du coup explorer ce mécanisme complexe et souvent douloureux, on va pas se mentir, de pourquoi c'est parfois si difficile de mettre à une relation qu'on les choisit ou non. On va examiner ces différentes raisons qui font que ça peut être si difficile. L'idée, c'est d'essayer de comprendre et de se comprendre pour pouvoir agir d'une manière différente, pour pouvoir se traiter en première classe, pour pouvoir s'accompagner différemment. et rendre les choses plus aisées, plus faciles, si je puis dire. On va s'appuyer sur les perspectives psychologiques, émotionnelles, historiques, même j'ai envie de vous dire, pour essayer de comprendre ça. Il y a quelque chose qui... On va dire, la première chose qu'on va voir ensemble, c'est comment ça peut être difficile de terminer une relation quand on a beaucoup d'empathie, voire même quand on a, ce qu'on pourrait dire, le syndrome de la sauveuse. parce qu'il y a beaucoup de femmes, nous en tant que femmes, en fait, on a cette habitude, si je peux dire ça comme ça, c'est profondément engrammé en nous que de se sentir responsable du bien-être des autres. Surtout quand, par exemple, l'autre, c'est un partenaire qui traverse une période difficile, etc. Et que du coup, quand tu as cette tendance comme ça à t'oublier, à te sacrifier, à prioriser les besoins de ton partenaire ou de quelqu'un au détriment des tiens, ça peut... rendre la décision de partir encore très compliquée, même si, au-delà de la difficulté, par exemple, que ton partenaire a, il y a quelque chose dans votre relation qui fait que ça ne matche plus dans tes valeurs. Mais quand on a ce syndrome de la sauveuse, c'est une des raisons pour lesquelles ça peut être extrêmement difficile de terminer une relation. Et puis, je pense que d'ailleurs, c'est le truc que j'aurais pu citer en premier, mais en y allant sans détour, quand on a une estime de soi qui est assez faible, parce qu'on a eu une histoire de vie un peu, entre guillemets, chaotique, on a été, par exemple, maltraité par ses parents, maltraité par un autre conjoint, pour une raison ou pour une autre, on se retrouve avec une estime de soi en déséquilibre, d'un, on peut, plus ou moins consciemment, être amené à croire qu'on ne mérite pas mieux. et que du coup, ça crée aussi des croyances autour de on ne trouvera pas un meilleur partenaire Et ça peut aussi conduire... à rester dans une relation, même si elle n'est pas satisfaisante, elle n'est pas alignée avec nos ambitions, nos valeurs, nos principes, parce qu'on a peur de ne pas trouver mieux. On croit profondément qu'on ne mérite pas mieux. Et puis comme je vous le disais un petit peu dans la même veine tout à l'heure, quand on a eu des relations tumultueuses dans le passé, des relations abusives, violentes, toxiques, on pourrait appeler ça comme tu veux, ce que ça crée en conséquence, c'est que souvent on a du mal à comprendre, à se familiariser avec l'idée que ce n'est pas normal. Et du coup, ça peut rendre le fait de terminer une relation assez compliqué. Parce que c'est comme si c'est pas la norme, mais c'est ta norme, ça t'est familier. Et du coup, tu as du mal à faire avec, vraiment, le fait de te projeter dans une relation stable, équilibrée, etc. Et ça fait que tu as du mal à terminer. C'est très difficile de terminer, par exemple, une relation tant bien, mais elle ne te convient plus. Et puis, voilà, on ne va pas... Et ça pourrait aussi... Chaque point pourrait faire l'objet... Ça pourrait être le premier point, en fait. Mais voilà, quand tu as partagé des choses avec quelqu'un, quand tu as des souvenirs, quand vous avez eu des ambitions, des communes, des rêves communs, que tu as partagé des choses émotionnellement intenses, et des fois même dans le bon comme dans le mauvais, ça crée un attachement. Et quand tu arrives dans la fin d'une relation, ça veut dire aussi que tu dois accepter, tu dois être en capacité de faire avec l'idée que c'est la fin d'un idéal, d'un projet. Et ça, ça peut rendre la séparation hyper douloureuse et c'est totalement normal. Et puis, ce qui peut aussi rendre difficile le fait de mettre fin à une relation, c'est quand tu n'es pas très connecté avec la réalité, c'est-à-dire que tu as espoir, T'as espoir que les choses s'améliorent, que par exemple ta copine, ton partenaire change, etc. Et que tu te dis parfois c'est le temps, ou parfois on t'a fait miroiter que passé un certain âge, les hommes changent d'eux-mêmes, ou que sais-je, ou ils deviennent plus religieux, ou ci, ou ça. Et parfois cet espoir nous amène à rester dans une relation en pensant que les choses vont se stabiliser avec le temps. ou que toi, tes efforts de ton côté, ça va finir par porter ses fruits, tant bien, même factuellement, il n'y a pas preuve de changement, etc. Et souvent, cet espoir de changement, cette illusion, si je peux dire ça comme ça, du changement, je dis illusion parce qu'il n'y a pas de preuve concrète, il n'y a pas de fait concret qui montre qu'il y a un changement qui s'initie, ça peut rendre très difficile le fait de terminer une relation. Et ce qui peut... Alors, il y a aussi quelque chose, je pense qu'on parle souvent de dépendance, d'indépendance. On a vu aussi dans un précédent live d'introspection participatif à propos de l'autonomie émotionnelle, mais cette dépendance, la dépendance émotionnelle et la dépendance financière aussi, ça peut rendre difficile le fait de se détacher d'un partenaire. Parce que, comment dirais-je, qu'on y fasse face ou non, qu'on le reconnaisse ou non. Quand tu mets fin à une relation, ça a des conséquences au niveau financier, matériel, économique, etc. Soit ça a des conséquences pour toi parce que tu étais plutôt dépendante financièrement, par exemple, de cette personne. Soit ça a des conséquences pour l'autre. Et puis, du coup, tu as un peu pitié, si on peut dire ça comme ça. Tu as encore cette fibre de sauveuse qui fait que c'est difficile de mettre fin à la relation. Et dans la dépendance émotionnelle, quand tu as été à peu près dans une certaine mesure, c'est normal d'être dépendant au niveau financier, émotionnel. C'est-à-dire que je ne suis pas en train de dire que c'est quelque chose qu'il faut à tout prix annuler, il faut être dépendant de personne. C'est juste qu'on parle de comment ça peut rendre difficile de mettre fin à une relation quand il y a cette dépendance émotionnelle et financière, dont on n'a pas conscience ou qu'on repousse en fait. Donc on est dans le déni par rapport à ça. Et dans la dépendance émotionnelle, à un moment donné, se dire Ok, si je m'efface à cette relation, je vais me retrouver seule. Et si tu n'es pas à l'aise avec le fait d'être seule, ça peut être compliqué. Ça peut te faire... Tu préfères peut-être, encore une fois, plus ou moins consciemment, être... mal accompagné que seul, parce que souvent aussi la solitude, comme je disais, ça implique d'être à l'aise avec soi-même, d'être à l'aise pour pouvoir faire avec ses pensées, ses émotions, sa vie intérieure. Parce que l'autre peut être un divertissement, si je puis dire. Et puis quand on se dit, je vais être seul, des fois quand on a peur de se retrouver face à soi, quand on a peur de se découvrir aussi, de faire sa connaissance, de par le fait d'être seul, ça peut rendre les choses compliquées. Et puis toujours dans cette même veine, je pense un peu du truc du syndrome de sauveur, de l'hyper-responsabilisation, il y a aussi la culpabilité. On se sent peut-être parfois... over, un peu trop si je puis dire, responsable du succès ou de l'échec de la relation. Et il faudrait pouvoir définir d'ailleurs qu'est-ce que le succès et qu'est-ce qu'un échec dans une relation. Mais en tout cas, il y a un dérèglement, si je puis dire ça comme ça, de la culpabilité liée à comment on perçoit sa responsabilité dans la relation, qu'elle continue ou qu'elle s'arrête, et d'avoir une culpabilité excessive, d'avoir l'impression de mal faire. d'avoir peur de blesser le partenaire ou les enfants qui sont autour, ou la famille, etc. Je reviendrai un petit peu dessus. Mais du coup, cette culpabilité, elle peut te pousser à prolonger une relation qui ne te convient pas, qui n'est pas en cohérence avec tes ambitions, tes valeurs, tes principes. Et du coup, ça peut rendre difficile le fait de sortir de la relation. Et puis, bien sûr, j'en ai un peu parlé en filigrane, mais si je... Si je formalise le point ici qui peut faire que ça peut ajouter en fait de la difficulté, c'est la peur de l'inconnu. Alors la solitude, mais aussi la peur de ne pas trouver un autre partenaire, de jamais retrouver, un peu comme si c'était tout noir, tout blanc. Soit tu restes avec, comment dirais-je, ton bras cassé, bon je le dis pour rigoler, avec tout le respect que je dois à tout le monde. Soit c'est rien du tout, en mode tout ou rien. Soit tu restes avec lui, tant bien même... il ne convient pas au niveau de tes principes, tes valeurs, vous n'allez pas dans la même direction, etc. Il t'a trompé ou quoi, ou que sais-je. Parce que tu as l'impression, dans ta tête, qu'il y a un peu de trucs tout noir ou tout blanc. Soit c'est lui, soit c'est rien. Tu as peur de ne pas retrouver un autre partenaire. Et puis, ça, ça peut faire que cette insécurité et ce semblant de sécurité et de stabilité qui est apporté par la relation, à ce moment-là, ça peut te donner l'impression que c'est irremplaçable. qu'il n'y aura jamais rien d'autre, etc. Et du coup, ça, ça peut te pousser, en fait, à rester dans une relation et de trouver ça dur de mettre fin à la relation. Et je vous ai parlé beaucoup de... Je vais faire une petite parenthèse parce que j'ai parlé de beaucoup de tout ce qui est interne, si je puis dire. Mais il faut aussi dire que la pression familiale, sociale, culturelle, les attentes de la société, de la famille, etc. Ça, ça joue. Parce que quand on s'imagine mettre fin à une relation, forcément, on s'imagine que va être la vie entre nous et nous, entre toi et ta personne, avec ta personne. mais aussi qu'est-ce que va dire la famille, qu'est-ce que vont dire tes collègues de travail, qu'est-ce que vont dire tes amis, etc. Et puis la peur du jugement et le fait de ne pas se sentir assez renforcée, assez forte si je puis dire, ça peut influencer aussi la décision de rester dans une relation. Et ça peut créer cette pression sociale, ce désir en fait d'être aimée, d'être appréciée, d'être reconnue. Ça peut créer un espèce de sentiment de devoir être conforme à ce que les autres attendent de toi. Et là, ça rend difficile le fait de terminer, de mettre fin à une relation. Et justement, dans... souvent on dit, voilà, quand tu prends la décision de rompre, etc., il faut pouvoir assumer, il faut que tu assumes. Et même nous, on se le dit à Noël, vous le dites souvent, ouais, il faut que j'assume et tout ça, mais qu'est-ce que ça veut dire assumer ? Souvent, quand on parle d'assumer une décision, qu'elle soit liée au fait de mettre fin à une relation ou à une grande décision de vie, souvent, ça, c'est, comment dirais-je, quand on dit, on voit un peu le fait d'assumer factuellement parlant. C'est-à-dire qu'il va falloir que tu assumes financièrement, que tu trouves ceci, que tu recherches un taf. On voit souvent ça sous le prisme du matériel. Assumer d'un point de vue matériel, financier, comment dirais-je, les responsabilités que ça peut impliquer au niveau familial et tout, ça implique quoi en fait ? Ça implique le fait d'assumer émotionnellement. Parce que quand tu mets fin à une relation, ça implique de supporter émotionnellement la rupture. Et des fois, on cherche juste à pouvoir s'éviter ça. C'est-à-dire qu'on sait très bien que ça va faire mal, que la rupture va faire mal. Pour plein de raisons possibles, d'ailleurs ça pourrait faire l'objet d'un autre podcast, dis-moi en commentaire si tu voudrais que j'aborde ça d'ailleurs. Pour plein de raisons possibles, on peut se projeter, on peut projeter de ne pas pouvoir encaisser ça émotionnellement parlant, et du coup ça peut retarder la rupture, ça peut faire que c'est très dur en fait à vivre émotionnellement, parce que supporter, assumer une rupture, c'est déjà supporter émotionnellement la rupture sans tomber en dépression, etc. Et ça, c'est une chose. Ça implique aussi, et d'ailleurs, c'est très lié le fait de supporter émotionnellement, ça implique aussi, après, de pouvoir être en capacité de poser des actes qui sont cohérents avec la décision que tu as prise de mettre fin à la relation ou la décision que tu en étais l'initiatrice ou non. C'est-à-dire que tu décides de mettre fin à la relation avec ton mari, ton conjoint, et puis à un moment donné, tu sais, tu as cette peur, tu as peur d'être seul, etc., tu as des besoins et tout, et tu retournes le voir. alors que c'est complètement pas cohérent, parce qu'en fait, tu n'arrives pas à supporter émotionnellement cette solitude, par exemple, etc., cette frustration. Donc, derrière, tu vas poser un acte qui est incohérent avec ta décision, c'est-à-dire le fait que tu vas revoir ton ex-mari sans que tu aies... En vrai, tu ne veux pas rester avec lui, mais tu vas le revoir parce qu'émotionnellement, tu n'arrives pas à assumer, tu n'arrives pas à supporter. Et quand tu n'es pas l'initiatrice, on peut faire le parallèle. Tu peux être face à une personne. ton ex-mari, voilà, profondément, il ne veut plus être avec toi, mais à un moment donné, il a du mal à faire face à la solitude, il va revenir toquer à ta porte pour gérer cette émotion que tu gères à sa place, mais au final, profondément, il ne veut pas être avec toi, il va te redire ciao, tu vois, donc assumer émotionnellement pour pouvoir justement continuer factuellement de poser des actes, d'avoir un comportement qui est cohérent avec la décision, ça, c'est très très important dans la vie. ça implique, je rigole mais c'est vraiment pas drôle, mais ça implique beaucoup de déboires, et c'est très lié. Assumer une rupture, c'est aussi être en capacité de faire le deuil, de faire le deuil de la relation, d'accepter, d'être en capacité vraiment émotionnellement, certes factuellement, mais émotionnellement, d'accepter la situation qui est différente maintenant. Et ça, oui, c'est un processus douloureux, ça fait mal, c'est normal. Et c'est d'ailleurs souvent le principal truc qui bloque, c'est qu'on veut... pas faire face aux émotions qui vont avec le fait de terminer une relation. Terminer une relation, ça fait mal émotionnellement, c'est normal. Et là, l'idée, c'est, oui, de se traiter en première classe, d'accepter que c'est un processus, et de faire face vraiment, en fait, de prendre ses responsabilités déjà à ce niveau-là. Parce que... Il y a une différence entre... Ça, ça va conditionner quoi ? La différence entre... T'es dans l'acceptation, donc une acceptation saine. J'en ai déjà parlé dans un autre podcast que vous pouvez retrouver sur mapséenlinechezmoi.fr ou sur la chaîne YouTube Mapsé en ligne chez moi. Je vous ai fait tout un podcast sur l'acceptation. Mais en tout cas, il y a une différence entre être dans une acceptation saine... on va dire que tu as bien ton processus de deuil, que tu es en capacité d'assumer la rupture à tous les plans, c'est-à-dire sur le plan principalement, franchement, émotionnel, et le fait d'être en mode traumatisé, de ne pas pouvoir se saisir de cette rupture-là, d'être plutôt traumatisé, de ne pas avoir les ressources pour une raison ou pour une autre, et de tomber un petit peu en mode défense traumatique, si je peux dire ça comme ça. Ça veut dire quoi ? Défense traumatique, quand tu es dans l'acceptation, après justement tu es dans l'espoir, tu peux aller de l'avant, tu crois en de nouvelles possibilités, tu as confiance dans ton destin malgré les défis, les incertitudes. Et ça, ça implique de se donner la permission de rêver à nouveau, d'avoir des critères pour avoir un autre conjoint, etc. De se projeter dans des relations futures et de croire qu'on peut trouver du bonheur dans une autre relation. Par contre, quand on est en mode défense traumatique, Souvent, ce qui se passe, c'est qu'on reste seul parce qu'on ne veut pas souffrir à nouveau. Et souvent, c'est le cas après des expériences traumatisantes, des relations difficiles, ou alors quand on n'a pas les ressources à cause du type d'éducation qu'on a eue, des relations qu'on a eues avec ses parents, donc ce n'est pas quelque chose qu'on a eu l'opportunité de construire. Et là, on cherche naturellement, mais toujours naturel, mais pas dans le sens c'est naturel pour tout le monde mais parce que c'est familier pour nous. à se protéger, parce qu'émotionnellement, on sait plus ou moins consciemment, encore une fois, qu'on n'arrive pas à s'accompagner, à se protéger, du coup, on est dans l'évitement, dans l'évitement de s'engager à nouveau. Et ça, ça peut mener à beaucoup de détresse émotionnelle, beaucoup d'isolation, et clairement, ça t'empêche, ça nous empêche de vivre pleinement. C'est un mécanisme qu'on voit énormément de nos jours. Soit c'est des personnes qui restent seules, soit c'est des personnes qui sont, comment on appelle ça ? En couple, mais pas en couple. Je ne sais plus c'est quoi le terme en 2024, mais en gros, tu es avec quelqu'un, mais personne ne dit que vous ne vous prenez pas... Vous êtes dans une relation libre, je crois qu'on appelle ça comme ça. Bref, mais en gros, vous êtes en couple sans être en couple. Et parce que souvent, c'est une défense traumatique. On ne s'engage pas de peur de souffrir. Et ça, c'est très, très fréquent. Et pour surmonter cette défense traumatique, c'est important de travailler sur soi, de guérir ses blessures, de se rappeler aussi, de se convaincre qu'il y a des opportunités et que chaque relation en plus est différente. Ça passe par le fait bien sûr de chercher du soutien, de faire face à soi avec beaucoup de bienveillance, de se traiter en première classe, voire même de consulter une psychologue pour justement naviguer ce processus de la meilleure des manières. Parce que terminer une relation, peu importe son capital émotionnel, psychologique, etc., ça reste une expérience humaine qui relève de l'épreuve. C'est totalement normal que de ne pas sortir avec le sourire quand on sort d'une relation. D'ailleurs, si tu sors, si des fois, c'est en mode, tu as tellement galéré, ça y est, c'est fini, tu es contente. Je pense qu'il y a quand même un processus de deuil. Souvent, c'est parce que le processus de deuil a eu lieu quand la personne était encore dans la relation. Mais en principe, terminer une relation, C'est normal d'être challengé au niveau émotionnel, d'avoir besoin de soutien. Et c'est important de se rappeler que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. N'hésite pas à chercher du soutien. J'espère que si tu penses que ce podcast peut aider une femme de ton entourage à comprendre pourquoi c'est si dur de terminer une relation. Parce que comme je vous disais au début du podcast, quand tu comprends pourquoi tu as du mal à prendre une décision, après, tu peux développer d'autres ressources pour pouvoir être en capacité de t'accompagner dans cette décision-là. Donc, comprendre pourquoi c'est dur pour soi, parce que ça peut être une raison parmi celles dont je t'ai parlé. D'ailleurs, si tu en vois d'autres, n'hésite pas à les partager en commentaire. Soit sur le blog mapsionlinechezmoi.fr, parce qu'en général, tous les épisodes de podcast, tu peux les retrouver sur le blog. Soit sur la chaîne YouTube Mapsionlinechezmoi. soit sur l'espace Mapsi en ligne chez moi qui est dédié uniquement aux épisodes de podcast version audio mapsi-en-ligne-chez-moi.fr slash podcast du coup j'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast, vos suggestions est-ce que ça vous a parlé est-ce que ça t'est déjà arrivé d'avoir du mal à terminer une relation et est-ce que du coup tu penses qu'il y avait une des raisons que j'ai citées te concernait ou est-ce que t'en vois une autre franchement je serais super intéressée qu'on puisse continuer cette conversation Tu peux adresser la note de ton choix sur ce podcast dans ta plateforme d'écoute, ça s'appelle Apple Podcasts. Spotify, Deezer, etc. Ou mettez un petit commentaire, un pouce levé sur YouTube. Pense à t'abonner et à continuer de profiter de tout ce contenu qui est offert par mapsienlinechezmoi.fr. Merci de votre écoute et de votre attention. Au plaisir de revenir dans vos oreilles. C'était Émilie Antoine pour ta dose hebdomadaire, pour te construire le mindset d'une femme épanouie et en phase avec ses valeurs et ses principes pour le podcast, se traiter en première classe. Je vous dis... comme à mon habitude, Inch'Allah, si Dieu le veut, à la semaine prochaine, pour continuer de vous donner des explications impactantes, des conseils concrets, pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations, et non en fonction de tes peurs, de tes croyances limitantes, et de tes blocages. Passez une excellente, un excellent week-end, une excellente journée, là où tu es, dans ta semaine ou dans ta journée, et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie, et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma psy-campus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même, plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma psy-campus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. 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Inspirée et inspirante, tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psy-campus !

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