Speaker #0Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour. et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic impactant garantie sans blabla New Age Secteur ésotérique, je t'apprends et t'accompagne que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Pourquoi est-ce que tu as fait ça ? C'est la question fatidique. Bienvenue dans l'épisode 97 de l'émission Se traiter en première classe. Ce que je vous propose dans cet épisode, c'est de parler des impacts des erreurs de jeunesse. Récemment, j'avais accompagné... une jeune femme qui, quand elle était plus jeune, avait commis une erreur, entre guillemets. Et je vais aborder avec vous ce qu'on pourrait considérer comme étant des erreurs de jeunesse réellement, si je puis dire. Et en tout cas, ce qui s'était passé pour elle, c'est que plus tard, quand elle était adolescente, la personne qui avait, entre guillemets, subi les conséquences de cette erreur d'enfant avait parlé, d'accord ? On s'en est suivi donc une conversation difficile avec les adultes où cette femme s'était sentie humiliée, honteuse, démunie, jugée. Pourquoi tu as fait ça ? C'est la question fatidique qu'il avait à t'adresser et c'est souvent la question qu'on se pose aussi. Pourquoi est-ce que j'ai fait ça ? D'ailleurs, les erreurs de jeunesse ne sont pas forcément des erreurs que l'on commet quand on est enfant. C'est aussi des erreurs auxquelles on pense qu'on a faites quand on avait 20 ans, une fois qu'on a passé la trentaine ou la quarantaine. Et on revient avec cette question fatidique, pourquoi j'ai fait ça ? Et souvent... Quand on est amené à devoir se positionner dans le présent, sur une décision, sur une erreur, une décision du passé, une erreur du passé, eh bien on n'est pas vraiment en capacité de répondre à cette question. Pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi j'ai fait ça ? Alors on a honte. On se sent vraiment pitoyable, car on voit que l'acte en fait en lui-même, qui est dépeint à ce moment-là par les autres ou en nous-mêmes, comme une véritable ignominie, comme de la honte, comme de la déception. Et bien sûr, on sait qu'en dépit des apparences, souvent, le pourquoi tu as fait ça ? Ils ne visent que trop peu à vraiment comprendre ce qui s'est passé. Souvent, c'est plutôt une manière d'exprimer un reproche, une déception, une critique. Et ceci étant dit, les erreurs de jeunesse ont tendance à nous revenir en mode boomerang. Pourquoi ? Parce qu'il y a des conséquences comme ça. À un moment donné, on a fait une erreur qui a impliqué une autre personne. Et cette personne-là a... entre guillemets, elle a trahi le secret, ou elle s'est confiée à quelqu'un, ou elle a parlé, tout simplement, elle a divulgué, etc. Donc, les conséquences ressurgissent. Le secret, comme je disais, il a été révélé. Alors, bien sûr, quand je parle d'erreur de jeunesse, je ne suis pas en train de parler à tout ce qui est criminel, d'accord ? Comme toucher à la vie, l'intimité, la dignité de quelqu'un, ce n'est pas juste une simple erreur de jeunesse, d'accord ? Mais les implications, ceci étant, dont je parle ici, peuvent être similaires, objectivement. Et pourquoi ces erreurs de jeunesse nous reviennent aussi en mode boomerang ? Parce qu'à un moment de nos vies, des fois, notre discernement a évolué, comme c'est le cas par exemple du passage de l'enfance à l'adolescence, parce que oui, le discernement n'est pas le même pour un enfant, et c'est normal, que pour un ado ou que pour un adulte. Donc quand on passe ces différents stades aussi, ça fait revenir aussi les choses en mode boomerang. Et puis aussi parce qu'à un moment donné, notre sens des responsabilités évolue aussi, on a mûri. on voit les choses, on perçoit les choses, on les ressent différemment. Et là, pour cette raison aussi, cette question de la responsabilité, ça nous revient aussi en mode boomerang. Et du coup, il va falloir dealer avec ça. Il va falloir faire avec. Parce qu'il arrive, oui, que ce sont des mois, même des années qui se sont passées. Et entre-temps, tu as évolué, tu n'es plus. Alors, je vais en citer des erreurs de jeunesse, par exemple. T'es plus cet enfant qui est fasciné par le feu et qui a mis le feu à un champ parce qu'elle a allumé tout ce que je vais dire, c'est sorti de fait réel, d'accord ? C'est cet enfant fasciné par le feu qui a mis le feu à un champ parce qu'elle a allumé une botte de foin pour sauter un pétard qui n'avait plus de mèche et ça a mis le feu au champ, d'accord ? T'es plus cet enfant curieuse qui a palpé la poitrine de son ami qui était plus âgé. Alors qu'elle dormait, pensant qu'elle était dans un coma profond et que par conséquent, elle ne s'en rendrait pas compte. Tu n'es plus cet enfant observatrice qui a voulu faire couler l'eau non-stop dans la cabane du jardin pour comprendre comment les pompiers faisaient débarrasser l'eau des maisons inondées. Tu n'es plus cet enfant coquine qui a taillé des morceaux de savon en forme de chewing-gum pour faire une blague à ta cousine. Tu n'es plus cet enfant rendant de service qui a mis des pattes sur le feu en omettant d'y ajouter de l'eau. Tu n'es plus cet enfant qui coupait les fourmis en deux pour voir de quel type de verre elles étaient composées. qui a tiré sur une clope, qui a bu une gorgée de vinasse ou qui a avalé un morceau de charcut de pahalel pour voir. Et la liste, elle peut être encore longue. Et d'ailleurs, je t'invite à la longer en commentaire s'il y a d'autres erreurs de jeunesse comme ça à partager, pour qu'on puisse s'y retrouver. Tout ça pour dire quoi ? Que parfois, on se confond à d'anciennes parts de nous. À un moment donné, on passe par l'adolescence, la raison se développe et puis on voit les choses différemment. Ou pareil, la maturité se développe à 40, 30, 40, 50. On voit ce phénomène-là aussi pour les personnes qui se mettent dans la religion à un moment donné. Mais on voit les choses différemment. et on se confronte à ces anciennes parts de nous, plus immatures, avec moins de connaissances, plus effrontées, moins raisonnables, et la mise à jour, elle peut arriver hyper brutalement. La mise à jour, elle peut être brutale, parce qu'elle arrive justement avec son lot d'interprétations, de projections et de jugements. Si je donne l'écho de jugement aux exemples que je vous ai donnés tout à l'heure, c'est un pyroman. Obsédé sexuel, sociopathe, psychopathe, sadique, transgresseuse. Mais tout ça, ça vient d'où ? Ça vient de la peur. On a peur que cette erreur de jugement, dans les erreurs de jeunesse, cette inexpérience, cette décision impulsive, soit le signe ou la preuve d'un problème plus grand. Je vous donnais tout à l'heure aussi les exemples de... Admettons que quand t'étais 20 ans, t'étais pas dans la religion, t'as fréquenté des garçons, des hommes, t'as... eu des relations intimes avec eux, et puis après, plus tard, tu te mets dans la religion, et tu te revois, toi plus jeune, qui as fréquenté des hommes, etc., et il commence à avoir ce jugement qui vient. Et en fait, cette peur de cette erreur de jugement, de ce problème qui a tant été redouté plus ou moins consciemment, plus ou moins secrètement par la foule, et du coup la mise à jour entre toi, qui a commis cette erreur de jeunesse, et toi, qui te retrouves confronté avec plus de raisons, plus de discernement et de sens de responsabilité, est induit par l'extérieur. Par exemple, quand il y a quelqu'un qui parle ou... qui ramène un secret, qui parle de quelque chose qui s'est passé dans le passé, etc. Ou parce que toi, tu t'y confrontes dans ta nouvelle relation avec le souvenir, ta nouvelle lecture, parce que justement, t'as mûri, t'as grandi, t'as un sens de la responsabilité, du discernement plus développé. Eh bien, quand on s'y confronte, ça n'a pas de conséquence. Ça n'est pas sans conséquence, si je vous le dis dans un meilleur français. Et je constate que souvent, repenser aux erreurs de jeunesse, ça peut entraîner beaucoup de conséquences négatives, tant psychologiques qu'émotionnelles. Je ne dis pas que c'est forcément le cas, mais dans ce podcast, on va voir ce qui bloque. Et ces conséquences, elles sont souvent alimentées par quoi ? Par des croyances limitantes qui sont très enracinées. Je vais vous donner une analyse un petit peu détaillée de ces conséquences, avec des exemples et des explications des croyances sous-jacentes. Il arrive... En premier lieu, si je puis dire, quand on repense à ces erreurs de jeunesse, on ressent beaucoup de honte et beaucoup de culpabilité. Et ces émotions-là peuvent être, quand on n'a pas les outils pour pouvoir les digérer, si je puis dire, des émotions qui sont extrêmement paralysantes. qui peuvent étouffer justement la suite de la maturation, si je peux dire ça comme ça, on va dire de la croissance personnelle, et ça engendre un vrai cercle vicieux de dévalorisation de soi et d'autocritique constante. Parce que justement, qu'est-ce qui va faire qu'on a du mal à élaborer, si je puis dire, à dépasser la honte, la culpabilité, c'est quand on tombe justement dans ce mécanisme d'autocritique. Pourquoi ? La croyance limitante qui est souvent associée, c'est j'ai fait une erreur, je suis une mauvaise personne, en mode condamnation. Une personne, par exemple, qui se souvient de ses excès lors des fêtes, quand je vous disais l'exemple tout à l'heure de 20 ans, etc., elle a connu des hommes et tout, et puis après, le cheminement, ce n'est pas forcément du religieux, mais la conscience se développe, le sens moral évolue, etc., et là, du coup, elle peut repenser à elle en mode Ah, mais je ne suis pas une femme morale, si je peux dire ça comme ça, je ne suis pas une femme de valeur, parce qu'elle va associer ses comportements du passé. à son identité actuelle, en oubliant complètement que les erreurs, c'est une part de son apprentissage. Quels impacts aussi on peut observer dans la perception qu'on a, dans le vécu qu'on a de nos erreurs de jeunesse, le vécu présent de nos erreurs de jeunesse ? C'est la perte de confiance, autrement dit, le sentiment d'efficacité personnelle qui peut en prendre un coup. Parce que repenser à ses erreurs, forcément, comme je vous disais tout à l'heure, ça va affecter l'estime de soi, mais ça mène aussi à une auto-perception négative. Et... Ce sentiment-là, je vous renvoie au podcast que j'ai fait exclusivement réservé à la question, sentiment d'efficacité personnelle, il peut être affecté par le regard qu'on a sur nos capacités à prendre des bonnes décisions. Souvent, la croyance limitante qui est associée à ça, c'est que tu te dis que tu es incapable de faire des bons choix, parce que tu vas tirer la conclusion de j'ai fait une erreur de jeunesse Ça peut être une mauvaise décision et toi, tu vas tirer la conclusion que tu n'es pas capable de faire des bons choix. Autrement dit, ta compétence pour prendre une décision, c'est une compétence. Tu vas voir comme si tu n'étais vraiment pas bonne pour faire ça. Si tu te reproches, par exemple, d'avoir fait un mauvais choix universitaire, ou un mauvais choix de carrière, ou un mauvais choix de père, de mari, etc., tu vas douter après de ta capacité à faire des choix judicieux, si je peux dire ça comme ça. Et cet autodoute perpétué qui continue, ça va clairement entraver ta prise de décision actuelle et future. C'est-à-dire que même si tu as la compétence, le regard que tu vas avoir sur ta compétence et l'émotion qui est associée à ça va vraiment faire capoter le mécanisme, si je puis dire ça comme ça. Et il arrive aussi que, de part, dans les impacts des horreurs de jeunesse, il y ait aussi forcément beaucoup d'anxiété et de stress. L'anxiété liée aux erreurs passées, elle peut se manifester par quoi ? Une rumination constante, le fait de ressasser, etc. Et le fait de beaucoup s'inquiéter, d'avoir de l'inquiétude excessive. Cette anxiété, c'est parce que c'est de l'anxiété, d'accord ? Elle peut devenir chronique, c'est-à-dire vraiment s'installer dans le temps. Et ça, forcément, ça affecte le bien-être, la santé mentale. Clairement, c'est très difficile de se traiter en première classe dans ces moments-là. Et souvent, la croyance limitante qui est associée à ça, qui va développer le fait de vivre ces erreurs de jeunesse-là en mode anxiété et stress, c'est que tu es en mode, il faut absolument que j'évite de refaire des erreurs à tout prix. Par exemple, admettons que tu as fait une erreur financière par le passé, tu as prêté de l'argent, tu as fait un crédit alors que ça n'allait pas dans ton... ça ne correspond pas à ton système de valeur actuel, etc. Là, tu vas être en mode tout le temps, tu vas être excessivement anxieuse à propos de toutes les dépenses, tout ce qui est autour de l'argent. Et ça, ça va entraîner un stress, de l'anxiété, une incapacité à apprécier le présent. Toujours dans la même veine que ce que je vous disais tout à l'heure par rapport à la prise de décision, cette peur de refaire des erreurs, ça peut paralyser au point que... Ça nous empêche de prendre des décisions importantes. Du coup, on va essayer de... Alors, soit ça va nous faire stagner énormément dans tous les domaines, qu'ils soient professionnels ou personnels, soit on va essayer de refiler la prise de décision autour de soi et s'en trouver frustré après. Et souvent, quand on est dans cette paralysie décisionnelle, on a cette croyance limitée que non, mon jugement, ce n'est pas trop ça. Je ne peux pas, entre guillemets, faire confiance, je ne peux pas me fier à mon jugement. Et du coup, justement, pour rebondir sur ce que je vous disais tout à l'heure, le choix du mari, admettons que tu as vécu un divorce et une rupture douloureuse, et que toi, tu es engrammé, si je peux dire ça comme ça, que tu t'es retrouvé dans cette douleur, dans cette rupture douloureuse, parce que tu avais fait un mauvais choix de partenaire. ça va te faire vraiment hésiter à t'engager à nouveau. Parce que tu vas avoir cette peur de répéter les mêmes erreurs, de revivre la même chose, surtout au niveau émotionnel. Et du coup, ça peut bloquer. le fait de se remarier, de retravailler, de refaire plein de choses. D'autres conséquences, on voit aussi souvent, c'est des phénomènes de ressentiment extrême envers soi-même. Pour des erreurs passées, je vous en ai parlé un petit peu, on a touché ça du bout du doigt tout à l'heure. Et ça, ça conduit à avoir une vie qui est pleine de regrets. Forcément, tu n'es pas du tout épanoui quand tu es dans cette perspective-là. Et être coincé dans ce ressentiment, dans cette colère vis-à-vis de soi pour les erreurs du passé, ça empêche clairement de trouver... une paix, une certaine sérénité à l'intérieur, le fait de pouvoir accepter de faire avec son destin, avec sa vie, et du coup de profiter aussi par conséquent des bienfaits que tu as actuellement. Et souvent, la croyance limitante qui est associée à ça, c'est si j'avais quelque chose de l'ordre de Ah, si j'avais fait les choses différemment comme on dit, c'est le si qui ouvre les portes du diable. Si seulement j'avais fait les choses différemment, ma vie serait bien meilleure. Et du coup, ça t'emmène dans le cycle du regret de ne pas, par exemple, avoir épousé un tel pour suivre des études, avec le sentiment souvent d'une espèce de... de complexe d'infériorité, le fait de se sentir inférieur, d'être insatisfait de sa situation actuelle, en n'étant pas en capacité non seulement d'apprécier, même au-delà du fait de ne pas apprécier les bienfaits, les aspects positifs de sa vie, c'est aussi de les négliger. On voit aussi notre conséquence du fait d'être bloqué dans les erreurs de jeunesse, c'est des conséquences de l'ordre du relationnel en fait. Souvent ce qu'on voit, ce sentiment de honte, de culpabilité dont je vous ai parlé tout à l'heure, ça peut aussi amener à se retirer socialement. On craint le jugement des autres, où on sent carrément qu'on ne mérite pas d'être entouré, tellement on s'en veut pour ce qui s'est passé. C'est une croyance limitante qui est de l'ordre du si les gens savaient, si on ne me comprendra pas, de toute façon, ils savent, ils ne vont pas me comprendre. Ils ou elles sont en train, s'ils sont au courant, ils sont en train de me juger pour cette erreur qui est passée là. C'est un peu le reflet du propre jugement que tu as envers toi, en fait. Quelqu'un, par exemple, qui a trois âmes. qui a traversé une période de dépression, une période d'addiction, elle peut se sentir après indigne d'amitié, de relation, parce que souvent dans les addictions ou dans les dépressions, en plus on n'a pas été au top dans les relations, on peut dire ça comme ça, mais il y a ce truc où on s'en veut, où les autres ne vont pas nous pardonner, il y a cette projection, et du coup on préfère l'isolement au fait de pouvoir remettre un pied dans la vie sociale. parce que ça implique en fait une vulnérabilité avec laquelle on n'est pas en capacité de faire. Et puis ce qui se passe aussi quand on a... comment dirais-je, ce deuxième effet qui se coule, si je puis dire, des erreurs de jeunesse, c'est le fait de perpétuer, c'est un mécanisme un peu de perpétuation des schémas destructeurs qui se met en place. Parce que quand tu n'as pas une réflexion constructive, cette rumination sur les erreurs du passé, elle peut mener justement à la répétition des mêmes schémas destructeurs, parce que ton système de pensée reste le même. Et ça forcément, ça va entraîner quoi ? Toute la résultante, tu penses, de tout ce que je t'ai parlé avant, ça entraîne quoi ? Un cycle de comportement, en général, autodestructeur, autosabotant. Souvent, cette croyance limitante, c'est un peu une espèce de mood, une espèce d'ambiance interne, si on peut dire ça comme ça, de fatalité, où on se sent en fait destiné... prédestinée dans la fatalité à répéter des erreurs. Une personne par exemple qui a échoué dans un projet pro ou même dans un mariage, elle peut inconsciemment saboter après ses futures relations, ses efforts futurs, parce que tout simplement elle se croit pas faite pour réussir une vie de couple, une vie de mariage, une vie professionnelle. Les erreurs de jeunesse, c'est vraiment quelque chose qui est très intéressant de regarder, d'interpréter au travers du prisme des croyances limitantes, d'essayer de toucher ça du bout du doigt. Ça, c'est vraiment quelque chose qu'on fait en profondeur au sein du Bootcamp MaPsycho en plus. Parce que ça peut avoir justement des conséquences psychologiques, émotionnelles, significatives, un impact dans le présent. Et c'est vraiment hyper important de travailler sur ça pour justement transformer sa perception, son vécu, son système de pensée à travers ça. D'ores et déjà, ce que je te conseillerais de faire, c'est bien sûr de mener une introspection qui va être productive. Et d'ailleurs, si tu veux pouvoir commencer à mettre un pied là-dedans, tu peux te procurer aussi le journal d'introspection, qui est un outil pour justement identifier, restructurer les pensées, gérer ses émotions. Pouvoir développer de l'autonomie émotionnelle, c'est un outil que tu peux retrouver, qui vient de ma psy campus, mais que j'ai mis à disposition pour les personnes qui veulent mettre un petit pied et voir ce que ça donne, que tu peux retrouver sur mapséenlinechezmoi.fr slash journal. C'est vraiment un outil qui permet de transformer vraiment. sa vie, la perception de sa vie, la manière de vivre les choses, de développer plus de confiance, plus de sérénité, et de commencer justement ce voyage, de mettre le pied à l'étrier, ce voyage vraiment vers une version de soi où on se sent plus confiante, plus sereine, et plus épanouie parce qu'on travaille sur l'intérieur. J'aimerais beaucoup avoir vos retours sur ce podcast. Si vous voulez partager, des erreurs de jeunesse, on va dire, on ne va pas dire les vôtres si vous êtes timide, mais certaines que vous avez observées, qui avaient ce genre de conséquences chez les personnes. Moi, je ne vous dirai pas laquelle, mais sachez que, d'ailleurs, on prend les paris en commentaire. Dans celle que je vous ai citée, il y en a une qui vient de moi. Je vous laisse prendre les paris en commentaire si vous voulez. Mais j'aimerais vraiment avoir vos retours, comment vous vivez justement cette perception présente des erreurs du passé, finalement, les erreurs de jeunesse, les erreurs du passé. Et bien sûr, j'en profite aussi pour remercier toutes les personnes qui nous mettent des commentaires, qui nous répondent par mail, avec qui on peut interagir justement sur comment vous recevez tout ce contenu qui est mis à votre disposition gracieusement dans le podcast de l'émission Se traiter en première classe une petite vision différente, les deux se complètent, le podcast et l'article. Si tu veux d'ailleurs retrouver l'article, si tu arrives depuis le podcast, tu peux le retrouver sur mapsi-en-lignes-chez-moi.fr Là, sur le blog, tu trouveras tous les articles correspondants. pense à t'abonner bien sûr et merci de votre écoute au plaisir de revenir dans vos oreilles c'était Emile Antoine, je vous ai proposé l'émission du podcast Se Traiter en Première Classe c'est ta petite dose hebdomadaire pour faire un petit peu d'introspection pour te construire le mindset d'une femme épanouie et en phase avec ses ambitions, ses valeurs et ses principes. Chaque semaine je passe toc toc pour vous donner des petites explications impactantes, des conseils concrets pour que justement vous puissiez vivre en fonction de vos aspirations et non en fonction... de vos peurs, de vos traumatismes, de vos erreurs de jeunesse, de vos croyances limitantes et de vos blocages. Pense bien que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence et je vous dis à bientôt, bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie, et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma Psycampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même, plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma Psycampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde, tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai étape par étape une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. 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