Speaker #0Bienvenue dans le podcast Se traiter en première classe où chaque épisode est une invitation à explorer le voyage le plus significatif de ta vie, celui vers la version de toi-même qui te rend humble et fier. Je suis Émilie Antoine, psychologue, experte en gestion mentale et émotionnelle. Je suis également la fondatrice de mapsienlinechezmoi.fr. Ici, nous croyons fermement que se traiter en première classe n'est pas un caprice, mais un acte d'amour et de considération envers soi-même et envers autrui. Dans ce podcast, je te donne des clés pour dépasser tes croyances limitantes, tes blocages, tes autosabotages et faire évoluer ton mindset et ta gestion émotionnelle sans souffrir et sans galérer. Ensemble, nous allons dénouer les nœuds qui t'empêchent d'être une femme plus confiante, plus sereine, plus épanouie. Avec ma méthode innovante, testée et approuvée, qui allie la profondeur de la psychologie, un coaching de déclic impactant, garantie sans blabla, new age, sectaire, ésotérique, je t'apprends et t'accompagne pour que tu puisses développer une relation saine et authentique avec toi-même et avec les autres. Se traiter en première classe commence maintenant. Bienvenue dans l'épisode 114 de l'émission Se traiter en première classe. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui, soyons honnêtes, nous concerne toute la procrastination. Oui, c'est un mot qui peut sembler un peu compliqué. Mais on va dire grosso modo qui signifie simplement dans ton quotidien, dans mon quotidien, je le ferai demain ou peut-être après demain ou un jour, qui sait, Inch'Allah. Alors dites-moi combien de fois est-ce que vous avez reporté une tâche en vous disant que vous seriez plus inspiré plus tard, en attendant un signe pour vous y mettre. Si je vous dis que moi-même, j'ai procrastiné en préparant cet épisode, est-ce que vous me croyez ? Bref, aujourd'hui, on va décomposer ensemble cette fameuse... procrastination, comprendre pourquoi on a tendance à repousser les choses, même les plus importantes, et surtout comment y remédier avec une équation toute simple. Oui, oui, vous avez bien entendu une équation. Alors ne t'inquiète pas, c'est pas besoin d'être une matheuse ou d'avoir une calculette ou une calculatrice, je ne sais pas dans quelle école tu te situes, pour comprendre justement cette équation. Alors installez-vous confortablement, tu peux te préparer une petite boisson chaude ou froide selon la météo et c'est parti ! on s'attaque à un phénomène qui touche même les meilleurs d'entre nous, tu l'auras compris, c'est ce fameux Oups, trop tard ! Mais avant de plonger dans le vif du sujet, je voudrais voir avec toi, est-ce que ça te parle, le fait de repousser cette tâche importante pour une activité peut-être plus agréable, comme regarder une série, alors que tu devrais travailler sur un projet qui traîne depuis des semaines ? Est-ce que tu te sens parfois coupable de ne pas avancer ? tout en te trouvant mille et une excuses pour justifier ton inaction. Alors si tu as hoché la tête en écoutant ces questions, ces remarques, ces suggestions, rassure-toi, tu n'es pas la seule et c'est justement pour ça qu'on va s'atteler à ça. Ce que je voudrais commencer à faire, c'est qu'on voit ensemble qu'est-ce que c'est la procrastination vraiment, d'accord ? Alors on va commencer par le commencement. La procrastination, ce n'est pas juste être paresseuse ou manquer de... motivation. Je vais le redire parce que je sais que ça va faire boum pour certaines personnes. La procrastination, c'est pas juste être paresseuse, c'est même pas être paresseuse ou c'est pas juste manquer de motivation. La procrastination, c'est une stratégie d'évitement. En d'autres termes, c'est ton esprit qui, par rapport à une tâche, un truc à faire que tu plus ou moins consciemment, tu perçois comme stressant, difficile, inconfortable, et bien là, ton cerveau, il choisit de repousser des émotions négatives, comme par exemple l'anxiété, la peur, le doute de soi. C'est un peu comme s'il y avait une partie de nous qui cherche à nous protéger, mais en réalité, elle nous empêche d'avancer. Autrement dit, tu vois que c'est un mécanisme bien plus complexe que juste la flemme. C'est un mélange de psychologie, d'émotions, voire même des bonnes excuses bien ficelées qu'on se raconte à soi-même, en mode auto-sabotage. La procrastination, comme je te disais, c'est une stratégie d'évitement. C'est ton esprit qui cherche à esquiver en repoussant, un peu comme s'il cherche en réalité à se protéger, mais ça nous empêche d'avancer. Donc souvent, qu'est-ce qui se produit ? Quels sont les mécanismes psychologiques qui sont en jeu ? Il y a des choses du domaine de la peur de l'échec, la crainte de ne pas être à la hauteur, de décevoir, de faire des erreurs. Ça, ça peut être paralysant. On préfère du coup éviter la tâche plutôt que de risquer un échec qui est perçu comme le risque de mourir sur le coup, si je grossis le trait. Il peut y avoir la peur du succès aussi, ça peut sembler contradictoire, mais réussir ça peut faire aussi peur. Parce que pourquoi ? Parce que ça peut sembler bizarre comme ça, mais qui dit réussite, si tu te trouves en situation d'échec, entre guillemets, qui dit changement, nouvelle responsabilité, parfois même des attentes qui peuvent être perçues comme étant plus élevées. de la part des autres. Il y a aussi le perfectionnisme, bien sûr. Le désir d'atteindre la perfection peut nous empêcher de commencer. Et si on pense que le résultat ne sera pas parfait, il est possible qu'on soit en mode Ah, c'est mieux de faire rien du tout ! Et puis le manque d'estime de soi. Quand on doute de ses capacités, ça rend chaque tâche beaucoup plus intimidante parce qu'on ne sait pas exactement de quoi on est capable. Du coup, on anticipe la situation qui est perçue comme une situation... potentiellement d'échec avant même de l'avoir essayé. Et du coup, je vous en ai parlé aussi un peu tout à l'heure. Je dis beaucoup du coup aujourd'hui. Oui, si tu l'as remarqué, c'est bien. C'est que tu es très à l'écoute de ce podcast. Je continue. Quelles sont les émotions qui peuvent nous freiner, nous rendre plus enclines à la procrastination ? On a tous ces moments où on se dit Je n'ai pas le temps maintenant. Je le ferai quand j'aurai une heure devant moi. Et cette heure n'arrive jamais. Et en réalité, comme je te disais tout à l'heure, on évite la tâche parce qu'elle nous met mal à l'aise, elle nous fait peur, elle nous ennuie. Tout ça, c'est des émotions. La procrastination, elle est liée à notre gestion des émotions parce que le problème, ce n'est pas qu'on ressente ça, parce que souvent, ce n'est pas une décision que tu prends, même toujours. Lorsqu'une tâche suscite en nous des sentiments désagréables, eh bien, notre cerveau, il cherche à éviter en nous détournant vers des activités plus agréables à court terme. Insta, Netflix, tout ça, tout ça. Souvent, on observe l'anxiété, ce qu'on appelle l'anxiété. Donc, grosso modo, là, ça peut être la peur de réussir ou de faire face à la situation inconnue qui peut générer du stress et on cherche à fuir ça. La frustration aussi, parce que si une tâche, elle est perçue comme étant complexe ou ennuyeuse, eh bien, on peut se sentir frustré et du coup, on essaye d'éviter cette frustration. Et puis, la fatigue émotionnelle aussi. Lorsqu'on est... épuisé mentalement, qu'on a besoin de recharger, c'est difficile de trouver l'énergie pour nous attaquer à des tâches exigeantes et là, on peut se mettre à procrastiner. Oui, juste pour ça. Autrement dit, les vraies raisons derrière la procrastination, comme je te disais, peur de l'échec, parce que tu es en mode si je ne fais rien, je ne prends pas le risque de me planter, ça a l'air bien logique comme ça et du coup, tu te mets en situation d'échec. La peur du succès quand tu es en mode ou les responsabilités. Ça fait flipper. Le perfectionnisme, quand tu es en mode, je cherche à prouver quelque chose pour me prouver, grosso modo, que je suis totalement légitime à être sur Terre. Et puis, les problématiques sont liées autour de ce qu'on appelle en général la confiance en soi, entre guillemets. Mais moi, je préfère parler du sentiment d'efficacité personnelle ou on doute de son efficacité personnelle, du coup, et on cherche à éviter de se confronter à ce sentiment, en fait. Et puis, du coup, quand tu procrastines, qu'est-ce qui se passe ? Parce que parfois, peut-être qu'on n'a pas posé le terme de procrastination, mais c'est plutôt les conséquences dont je vais te parler qui vont te montrer que tu es peut-être dans cet auto-sabotage de la procrastination. Bien, il y a le stress, parce que plus tu repousses, plus ta tâche te hante plus ou moins consciemment. C'est un peu comme cette chaussette sale qui traîne dans un coin, que tu finis par ne plus voir, mais qui est toujours là et qui sent de plus en plus. La culpabilité aussi. Ça va se sentir par du malaise, on a du mal à avancer et ça affecte en plus l'estime qu'on a de notre personne. Et puis, le constat des opportunités manquées. À force de procrastiner, on passe à côté de choses qui potentiellement auraient pu être super géniales, qui auraient pu changer entre guillemets notre vie. Et là, on voit que le mode auto-sabotage on and on and on ne s'arrête pas. Alors maintenant, je vais te parler de l'équation simple. Moi, je le trouve très simple. En tout cas, souvent, quand je l'explique, c'est compréhensible et ça aide. Mais cette équation simple pourvacre la procrastination. Maintenant, justement, qu'on a mis en lumière les mécanismes profonds psychologiques et émotionnels de la procrastination, je vais te proposer une solution. La bonne nouvelle, c'est qu'il existe cette équation simple, made in me, pour dépasser ce comportement. L'idée, c'est... Je vais te la donner comme ça. Méthode plus le bon lâcher prise égale, je dégomme la procrastination, autrement dit, je m'explique, la procrastination souvent, c'est un manque de méthode perçue ou réelle plus un lâcher prise, si je peux dire ça comme ça, qui est, on dirait que la jauge n'est pas bien réglée. Il y a un mauvais lâcher prise, si je grossis le trait. Donc l'idée avec cette méthode, déjà, il faut se dire que souvent, on procrastine parce qu'on ne sait tout simplement pas par où. commencer. C'est comme si tu te retrouves devant un meuble Ikea, mais que tu n'as pas la notice. J'imagine que c'est du vécu. Donc l'idée, à ce moment-là, c'est de décomposer la tâche, de diviser cette montagne en petites collines, en s'accompagnant, en se traitant en première classe, en se rappelant que c'est ok, on va y aller une étape à la fois. C'est beaucoup moins effrayant. Un plan clair, structuré, ça peut réduire l'anxiété qui est liée à l'incertitude. Si tu sais où aller, comment y aller, autrement dit, tu vas déjà commencer à tacler la procrastination de manière plus souple. Chaque petite victoire rapproche de l'objectif final. Et puis, comme je te disais tout à l'heure, c'est le manque de méthode réelle ou perçue. Si c'est réel et que tu ne sais pas comment faire, déjà... Rappelle-toi que c'est totalement OK. On apprend tous les jours. Internet regorge de ressources. Tu peux chercher des ressources, tu peux chercher des formations ou des personnes qui peuvent t'aider à combler ces lacunes pour que tu te sentes plus confiante, pour que tu saches aussi comment faire, tout simplement. Puis des fois, dans ça, il y a aussi le fait tout simplement de demander de l'aide. Ce n'est pas une honte de solliciter un coup de main. Même les super-héroïnes ont des alliés, voire surtout des... enseignantes. Donc la méthode, décomposer en mode étape par étape, se former si besoin, et demander de l'aide. Souvent on a un non, je veux pas déranger, donc ça c'est encore un autre auto-sabotage, je peux dire ça comme ça, je pourrais d'ailleurs faire un podcast, dis-moi en commentaire si t'aimerais avoir un podcast sur l'analyse du non mais je veux pas déranger. Alors, je continue. L'idée, donc là j'ai fait un peu, j'ai taclé la partie, l'équation qui concerne la méthode. Maintenant, on va parler de la partie de l'équation qui concerne ce qu'on pourrait appeler le bon lâcher prise. Alors, pourquoi je l'oppose un petit peu ? Alors, on va dire que l'idée, c'est d'accepter la perfection. Le second élément de l'équation, c'est d'apprendre à lâcher prise d'une manière efficace. Il s'agit de trouver cet équilibre entre je fais de mon mieux, et tu vas voir que du coup, quand tu as commencé à réfléchir à la méthode, tu as avancé déjà sur le truc de je fais de mon mieux, parce que tu as des visibilités sur... comment tu peux faire de ton mieux. Et il y a cette partie aussi où il faut que tu acceptes que ce n'est pas parfait et que c'est normal. Quand tu reconnais que l'erreur fait partie du processus d'apprentissage, tu peux t'autoriser à concevoir que l'échec est une opportunité de grandir. Et je sais qu'en général, en théorie, tout le monde le sait, mais la pratique demande un petit peu plus à se traiter en première classe. Si tu as besoin d'être accompagné là-dessus, rejoins Mapsi Campus. Mapsi en ligne chez moi.fr slash Mapsi Campus. L'idée aussi, c'est de pouvoir se libérer de la peur du résultat. Concentre-toi sur le processus plutôt que sur le résultat final. Ça te permet de profiter, de faire le focus plutôt sur le chemin, plutôt que t'obséder sur le résultat, la destination, etc. C'est-à-dire que souvent, on est plus focus sur le résultat que qui on devient sur le chemin. D'accord ? Pareil, si tu as besoin d'être accompagné là-dessus. ma psycampus de place to be. L'idée, c'est aussi d'apprendre à pratiquer l'autocompassion, d'être indulgente avec soi-même, de se traiter avec la même bienveillance que tu offrirais à une amie, d'accord ? Quand tu ressens la pression, de te rappeler que tu n'as pas besoin d'être parfaite, que tu as le droit d'exister, que tu as le droit d'y aller à ton rythme, juste en mode je fais de mon mieux Et puis, je pense qu'il s'agit aussi dans ce lâcher-prise, de voir que l'échec, ça peut être une possibilité. mais une possibilité où tu peux apprendre, où tu peux apprendre pour faire mieux la prochaine fois. Et puis je pense que dans le lâcher prise qui est sain, qui est efficace, il y a le fait vraiment de se détacher du regard des autres, en mode, ok, ce que pensent les autres, c'est leur affaire. L'important, si je peux dire ça comme ça, ou en tout cas là où tu as de la prise, si je puis dire, c'est dans ce que tu penses de toi. Et puis, ce qui est aussi hyper important dans cette équation du... lâcher prise. Ah, je te garde ça pour plus tard. On va discuter de comment tu vas percevoir ton niveau d'autoresponsabilisation. Mais je continue. Je voudrais, dans ce podcast qui est réellement que j'aurais pu te proposer en formation, mais aujourd'hui, j'avais envie d'être généreuse. Encore plus que d'habitude. Donc ce que je te propose ici, dans ce podcast, c'est des petites questions d'introspection que tu peux te... Poser pour avancer. Quand tu sens que tu es dans la procrastination, que ça commence à pointer le bout du nez, tu as un truc à faire, tu allumes Netflix, hop, stop. Pose-toi, souffle et pose-toi les questions suivantes. Qu'est-ce qui te bloque ? La peur, le manque d'infos, la flemme. Mais tu sauras ce que ça veut dire la flemme. Quelle est la pire des choses que tu conçois qui puisse t'arriver si tu te lances ? Tu vas voir que spoiler alert, souvent, ce n'est pas grand-chose. Quelle petite action tu peux faire maintenant pour mettre le pied à l'étrier ? Et comment tu pourrais rendre cette tâche plus agréable ? En s'y retant un jus, en s'offrant une récompense après. Perso, hier, je devais étudier quelque chose. J'étais en mode saturation de mon propre bureau. Je suis allée me poser dans un café au bord de la mer. Ça m'a grave aidée pour avancer. Ça m'a motivée. Ça a rendu la tâche plus agréable. Autrement dit, quand tu te sens bloquée, pose-toi les questions qui t'aident à avancer sur ce qui te retient vraiment, sur la pire chose qui pourrait arriver, la première étape que tu peux entreprendre et comment tu peux rendre cette tâche plus agréable, plus motivante. Et là, c'est un peu la suite de l'équation, si je peux dire ça comme ça. Mais je vais aborder avec toi le mindset que tu peux utiliser pour te remotiver, justement, pour te traiter en première classe. Ce que je te conseille, c'est de te rappeler de tes réussites. D'accord ? Il faut que tu donnes des preuves à ton cerveau que tu l'as déjà fait. Il faut que tu puisses visualiser le résultat. Parce que quand tu vas connecter à la satisfaction, à la fierté que tu pourrais ressentir, eh bien, ça va activer ce que j'appelle ou ce qu'on appelle souvent les motifs. Les leviers, pardon, motivationnels. Et puis, bien sûr, l'idée, c'est aussi de se traiter avec de la bienveillance, pas d'être en mode jugement, mais de s'encourager, de s'auto-soutenir étape par étape. Et le point qui, si tu pourrais retenir une seule chose de ce podcast, concernant le fait d'avoir un lâcher prise qui est bien ajusté, si je peux dire ça comme ça, c'est vraiment de... d'avoir conscience qu'il faut que tu régules ton niveau d'autoresponsabilité. C'est-à-dire que le but, ce n'est pas de chercher à être dans le contrôle de tout. Et souvent, quand on est en mode, parce qu'on est anxieuse, parce qu'on a des peurs, etc., on est en mode, on cherche tout à contrôler, et puis, c'est juste pas possible, ici-bas, et du coup, on ne fait rien. Mais l'idée, c'est de se dire, voilà, ok, là, je ressens que je suis dans le contrôle, mais il faut que je puisse me rappeler que je suis en capacité de ne faire que ce qui m'a été prescrit. pas plus dans mon destin, dans mes disponibilités mentales, physiques, émotionnelles, etc. L'idée au final pour vaincre, si je peux dire ça comme ça, la procrastination, tu as vu, c'est un peu comme une recette de cuisine. Il faut les bons ingrédients, la bonne méthode, le bon curseur dans le lâcher-prise, parce que aussi, ça c'est quelque chose que je vois souvent, le lâcher-prise, ça ne veut pas dire lâcher l'affaire ou se désinvestir d'une manière quelconque. Souvent, il y a des croyances, il y a des blocages inconscients à ce niveau-là aussi. Et puis l'idée aussi, c'est de se discipliner en mode la discipline de la première classe. Quand tu combines de t'assurer que tu te sens capable et que tu te sens en capacité, sur ces éléments-là, tu peux élaborer ta propre équation pour surmonter la procrastination. C'est un apprentissage, c'est un processus qui demande du temps et de la pratique. La procrastination, retiens aussi, ce n'est pas une fatalité. Ce n'est pas un trait de caractère immuable. C'est juste le signal qu'il y a quelque chose en toi qui a besoin d'attention et qui a besoin de soin. Si tu réponds avec des bonnes stratégies, tu pourras transformer cette épreuve, ce défi en une opportunité, Inch'Allah. Un grand merci à toi, à vous toutes d'avoir partagé ce moment de podcast avec moi. J'espère que cet épisode vous a fait réfléchir et qu'il va te permettre... d'engrammer, si je peux dire ça comme ça, cette nouvelle cogite, ce nouveau mindset, comme on dit en 2024, pour pouvoir te permettre de te traiter en première classe en passant à l'action, ou au moins de ranger cette fameuse chaussette qui pue. Si tu as aimé cet épisode, si tu as des conseils que tu voudrais partager, des réflexions, etc., eh bien, n'hésite pas à... mettre un commentaire, je serais ravie. Je suis... Alors déjà, je lis tous les commentaires. J'essaye autant que faire se peut de répondre à tous, mais je suis toujours ravie de vous lire en commentaire. Si tu as des questions, n'hésite pas aussi. Et surtout, si tu penses que ça peut être utile à une amie, une copine, une collègue, ta soeur, ta mère ou toute personne qui peut en avoir besoin, eh bien, bismillah, partage ! C'était Emilia Antoine pour le podcast Se traiter en première classe. Ta dose hebdo pour te construire le mindset d'une femme. épanouie et en phase avec ses valeurs et ses principes. Chaque semaine, je déboule pour te donner des explications impactantes et des conseils concrets pour que tu puisses vivre en fonction de tes aspirations et non en fonction de tes peurs, de tes croyances limitantes, de tes autosabotages et de tes blocages. Pense bien que tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. Et je vous dis à bientôt. Bye bye ! Si tu es prête à donner un tournant à ta vie et à embrasser pleinement l'idée de te traiter en première classe, je t'invite à rejoindre ma PsyCampus. C'est le pas décisif vers une version de toi-même plus sereine, plus confiante, plus épanouie. Sur ma PsyCampus, tu commenceras par découvrir les fondations de la maîtrise mentale et de la gestion émotionnelle, posant ainsi les bases saines de ton évolution. Ensuite, tu embarqueras sur un voyage transformateur qui te révélera comment accueillir ton unicité et cultiver une paix intérieure face aux défis de la vie. Tu apprendras à forger de la confiance et à vivre en harmonie avec ta nature profonde tout en affirmant tes convictions, tes valeurs, tes principes avec bien plus d'assurance. Tu recevras les clés pour prendre des décisions judicieuses et structurer ta vie de façon à ce qu'elle reflète fidèlement tes aspirations, tes valeurs et tes principes. Tu seras guidé vers la maîtrise de ta sérénité intérieure et l'expression de ta grâce naturelle. Je te fournirai, étape par étape, une méthode pour devenir une femme non seulement capable d'agir conformément à ses ambitions, mais aussi de célébrer son épanouissement personnel, professionnel et spirituel. Avec ma méthode alliant la profondeur de la psychologie à un coaching de déclic garantissant blabla New Age Secteur ésotérique, tu passeras de la théorie à la pratique, te dotant des outils nécessaires pour une évolution tangible. Et c'est sans risque. Si après avoir activement participé et suivi tous les modules, les rendez-vous individuels, les rendez-vous groupés, de coaching, de cercles, en live ou en replay, et planter les graines des exercices proposés, tu ne constates aucune amélioration, nous nous engageons à te rembourser intégralement. Le seul risque que tu prends en nous rejoignant sur Mapsi Campus, c'est de te transformer en une version plus épanouie, plus confiante, plus sereine de celle que tu es. Pour commencer ce voyage transformationnel, rends-toi sur mapsi-en-lunichemoi.fr slash mapsicampus. M-A-P-S-Y-C-A-M-P-U-S. Ensemble, sur ma psycampus, nous allons débloquer ton potentiel et te guider vers une version de toi inspirée et inspirante. Tu es la première personne à bénéficier du crédit que tu accordes à ton existence. A très bientôt sur ma psycampus.