238
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Description
Petite histoire d'une scène dont j'ai été témoin il y a quelque année qui m'a profondément touchée par cette sensualité entre deux femmes. Je vous laisse découvrir se moment hors du temps.
Encore merci à la sonothèque pour ses bruits de métro https://lasonotheque.org/
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Cette semaine, on tombe pile sur la journée où on honore les femmes qui aiment les femmes. Et pour cette journée, je vous propose une petite histoire, toute petite par rapport à d'habitude, que j'ai appelée Une caresse éphémère dans le métro Sexe pense. Le podcast qui pense à ta sexualité, qui pense ta sexualité et qui expanse l'univers de la sexualité avec toi. Chaque semaine, on va explorer la sexualité alternative en parlant PDSM, fétichisme, libertinage, au travers d'interviews, de mes expériences personnelles, d'histoires érotiques. Il est dix heures dans le métro et je me suis assise sur les sièges latéraux de la 13. Un de mes péchés mignons, c'est de mater les gens qui montent. À ce moment-là, deux jeunes femmes montent. La première, assez petite, les cheveux à la garçonne, du genre qui aime faire crier. un manteau noir très long. La seconde, les cheveux longs, un manteau noir et blanc, en pied de poule, que l'on aimerait câliner toute la journée. Toutes deux restent debout dans le métro, malgré la place, et discutent ensemble, trop bas pour les entendre. La jeune femme aux cheveux longs d'un brin caféine, semble un soupçon stressé. Son amie lui caresse le dos pour la rassurer, avec des yeux emplis d'une passion intense. Rien ne peut rompre la connexion. Le monde n'a plus d'importance autour d'elle. Cette main, si fine, d'un teint porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque, chargée de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus prémitifs. Cette main, si fine, d'un teint de porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque. chargé de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus primitifs. Une douce odeur d'hormones féminines embaume la rame de métro, sans dire non. Les sourires se délayent, sans comprendre vraiment pourquoi. Quand on y regarde de plus près, l'on remarque que notre brune aux cheveux longs s'est détendue et a fini par oublier ses soucis. pour s'abandonner à sa compagne qui l'attire sur des routes qu'elle seule connaisse. Cette peau si claire semble douce comme le nuage de crème sur le macchiato du matin, sucrée comme le caramel et juste appétissante, comme il n'est pas permis d'y penser. Nos langues ne peuvent s'empêcher de vouloir aller plus loin pour goûter au délice d'effleurer cette porcelaine de tentations suaves. L'on prie pour que ces doigts, timides, osant à peine se glisser sous la couture du pantalon, s'y faufilent sous ce haut. pour laisser apparaître le bas de son dos et laisse s'échapper un soupir empli de désirs. Toutes deux connectées, leurs yeux s'embrasent, leurs lèvres s'entrouvent, comme pour se dire le désir qu'elles ont l'une pour l'autre. Leur étreinte se resserre, l'envie mutuelle émane si fort. qu'il en devient difficile de les ignorer. Les longs cheveux caféines ondulent d'une manière si sensuelle, cette nuque qui se laisse caresser, on peut ressentir des fourmillements dans le dos. Quand une main vient prendre celle-ci fermement, leurs lèvres se joignant entre elles dans des entrelacs chaleureux d'une intensité rare. toutes deux glissant les doigts dans leurs cheveux respectifs, plaquant leur visage l'un contre l'autre. Comme pour ne plus jamais être séparés, elles ne font plus qu'un, leur respiration s'accélère, leur cœur s'emballe. Cette étreinte, suante d'un amour à la limite de faire trembler notre rame de métro, nous accable tous d'une envie irrésistible de participer à cet échange d'énergie sexuelle. Mais personne ne bouge. certains sourient d'autres se tortillent mais tout le monde résiste à cette envie insoutenable de participer le métro s'arrête les portes s'ouvrent cette bulle érotique qui nous donnait chaud éclate pour nous ramener à cette réalité cuisante qu'est la vie j'espère que cette histoire t'a plu et que les prochaines te plairont, il en existe d'autres, alors je t'invite à regarder les épisodes déjà passés pour trouver les histoires précédentes. Si ce podcast te plaît, je te propose de laisser des petites étoiles parce que ça m'aidera à gagner en visibilité et faire en sorte que d'autres personnes qui sont intéressées par les mêmes sujets que toi puissent entendre ce que j'ai à partager sur ce podcast.
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Petite histoire d'une scène dont j'ai été témoin il y a quelque année qui m'a profondément touchée par cette sensualité entre deux femmes. Je vous laisse découvrir se moment hors du temps.
Encore merci à la sonothèque pour ses bruits de métro https://lasonotheque.org/
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Cette semaine, on tombe pile sur la journée où on honore les femmes qui aiment les femmes. Et pour cette journée, je vous propose une petite histoire, toute petite par rapport à d'habitude, que j'ai appelée Une caresse éphémère dans le métro Sexe pense. Le podcast qui pense à ta sexualité, qui pense ta sexualité et qui expanse l'univers de la sexualité avec toi. Chaque semaine, on va explorer la sexualité alternative en parlant PDSM, fétichisme, libertinage, au travers d'interviews, de mes expériences personnelles, d'histoires érotiques. Il est dix heures dans le métro et je me suis assise sur les sièges latéraux de la 13. Un de mes péchés mignons, c'est de mater les gens qui montent. À ce moment-là, deux jeunes femmes montent. La première, assez petite, les cheveux à la garçonne, du genre qui aime faire crier. un manteau noir très long. La seconde, les cheveux longs, un manteau noir et blanc, en pied de poule, que l'on aimerait câliner toute la journée. Toutes deux restent debout dans le métro, malgré la place, et discutent ensemble, trop bas pour les entendre. La jeune femme aux cheveux longs d'un brin caféine, semble un soupçon stressé. Son amie lui caresse le dos pour la rassurer, avec des yeux emplis d'une passion intense. Rien ne peut rompre la connexion. Le monde n'a plus d'importance autour d'elle. Cette main, si fine, d'un teint porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque, chargée de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus prémitifs. Cette main, si fine, d'un teint de porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque. chargé de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus primitifs. Une douce odeur d'hormones féminines embaume la rame de métro, sans dire non. Les sourires se délayent, sans comprendre vraiment pourquoi. Quand on y regarde de plus près, l'on remarque que notre brune aux cheveux longs s'est détendue et a fini par oublier ses soucis. pour s'abandonner à sa compagne qui l'attire sur des routes qu'elle seule connaisse. Cette peau si claire semble douce comme le nuage de crème sur le macchiato du matin, sucrée comme le caramel et juste appétissante, comme il n'est pas permis d'y penser. Nos langues ne peuvent s'empêcher de vouloir aller plus loin pour goûter au délice d'effleurer cette porcelaine de tentations suaves. L'on prie pour que ces doigts, timides, osant à peine se glisser sous la couture du pantalon, s'y faufilent sous ce haut. pour laisser apparaître le bas de son dos et laisse s'échapper un soupir empli de désirs. Toutes deux connectées, leurs yeux s'embrasent, leurs lèvres s'entrouvent, comme pour se dire le désir qu'elles ont l'une pour l'autre. Leur étreinte se resserre, l'envie mutuelle émane si fort. qu'il en devient difficile de les ignorer. Les longs cheveux caféines ondulent d'une manière si sensuelle, cette nuque qui se laisse caresser, on peut ressentir des fourmillements dans le dos. Quand une main vient prendre celle-ci fermement, leurs lèvres se joignant entre elles dans des entrelacs chaleureux d'une intensité rare. toutes deux glissant les doigts dans leurs cheveux respectifs, plaquant leur visage l'un contre l'autre. Comme pour ne plus jamais être séparés, elles ne font plus qu'un, leur respiration s'accélère, leur cœur s'emballe. Cette étreinte, suante d'un amour à la limite de faire trembler notre rame de métro, nous accable tous d'une envie irrésistible de participer à cet échange d'énergie sexuelle. Mais personne ne bouge. certains sourient d'autres se tortillent mais tout le monde résiste à cette envie insoutenable de participer le métro s'arrête les portes s'ouvrent cette bulle érotique qui nous donnait chaud éclate pour nous ramener à cette réalité cuisante qu'est la vie j'espère que cette histoire t'a plu et que les prochaines te plairont, il en existe d'autres, alors je t'invite à regarder les épisodes déjà passés pour trouver les histoires précédentes. Si ce podcast te plaît, je te propose de laisser des petites étoiles parce que ça m'aidera à gagner en visibilité et faire en sorte que d'autres personnes qui sont intéressées par les mêmes sujets que toi puissent entendre ce que j'ai à partager sur ce podcast.
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Petite histoire d'une scène dont j'ai été témoin il y a quelque année qui m'a profondément touchée par cette sensualité entre deux femmes. Je vous laisse découvrir se moment hors du temps.
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Cette semaine, on tombe pile sur la journée où on honore les femmes qui aiment les femmes. Et pour cette journée, je vous propose une petite histoire, toute petite par rapport à d'habitude, que j'ai appelée Une caresse éphémère dans le métro Sexe pense. Le podcast qui pense à ta sexualité, qui pense ta sexualité et qui expanse l'univers de la sexualité avec toi. Chaque semaine, on va explorer la sexualité alternative en parlant PDSM, fétichisme, libertinage, au travers d'interviews, de mes expériences personnelles, d'histoires érotiques. Il est dix heures dans le métro et je me suis assise sur les sièges latéraux de la 13. Un de mes péchés mignons, c'est de mater les gens qui montent. À ce moment-là, deux jeunes femmes montent. La première, assez petite, les cheveux à la garçonne, du genre qui aime faire crier. un manteau noir très long. La seconde, les cheveux longs, un manteau noir et blanc, en pied de poule, que l'on aimerait câliner toute la journée. Toutes deux restent debout dans le métro, malgré la place, et discutent ensemble, trop bas pour les entendre. La jeune femme aux cheveux longs d'un brin caféine, semble un soupçon stressé. Son amie lui caresse le dos pour la rassurer, avec des yeux emplis d'une passion intense. Rien ne peut rompre la connexion. Le monde n'a plus d'importance autour d'elle. Cette main, si fine, d'un teint porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque, chargée de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus prémitifs. Cette main, si fine, d'un teint de porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque. chargé de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus primitifs. Une douce odeur d'hormones féminines embaume la rame de métro, sans dire non. Les sourires se délayent, sans comprendre vraiment pourquoi. Quand on y regarde de plus près, l'on remarque que notre brune aux cheveux longs s'est détendue et a fini par oublier ses soucis. pour s'abandonner à sa compagne qui l'attire sur des routes qu'elle seule connaisse. Cette peau si claire semble douce comme le nuage de crème sur le macchiato du matin, sucrée comme le caramel et juste appétissante, comme il n'est pas permis d'y penser. Nos langues ne peuvent s'empêcher de vouloir aller plus loin pour goûter au délice d'effleurer cette porcelaine de tentations suaves. L'on prie pour que ces doigts, timides, osant à peine se glisser sous la couture du pantalon, s'y faufilent sous ce haut. pour laisser apparaître le bas de son dos et laisse s'échapper un soupir empli de désirs. Toutes deux connectées, leurs yeux s'embrasent, leurs lèvres s'entrouvent, comme pour se dire le désir qu'elles ont l'une pour l'autre. Leur étreinte se resserre, l'envie mutuelle émane si fort. qu'il en devient difficile de les ignorer. Les longs cheveux caféines ondulent d'une manière si sensuelle, cette nuque qui se laisse caresser, on peut ressentir des fourmillements dans le dos. Quand une main vient prendre celle-ci fermement, leurs lèvres se joignant entre elles dans des entrelacs chaleureux d'une intensité rare. toutes deux glissant les doigts dans leurs cheveux respectifs, plaquant leur visage l'un contre l'autre. Comme pour ne plus jamais être séparés, elles ne font plus qu'un, leur respiration s'accélère, leur cœur s'emballe. Cette étreinte, suante d'un amour à la limite de faire trembler notre rame de métro, nous accable tous d'une envie irrésistible de participer à cet échange d'énergie sexuelle. Mais personne ne bouge. certains sourient d'autres se tortillent mais tout le monde résiste à cette envie insoutenable de participer le métro s'arrête les portes s'ouvrent cette bulle érotique qui nous donnait chaud éclate pour nous ramener à cette réalité cuisante qu'est la vie j'espère que cette histoire t'a plu et que les prochaines te plairont, il en existe d'autres, alors je t'invite à regarder les épisodes déjà passés pour trouver les histoires précédentes. Si ce podcast te plaît, je te propose de laisser des petites étoiles parce que ça m'aidera à gagner en visibilité et faire en sorte que d'autres personnes qui sont intéressées par les mêmes sujets que toi puissent entendre ce que j'ai à partager sur ce podcast.
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Petite histoire d'une scène dont j'ai été témoin il y a quelque année qui m'a profondément touchée par cette sensualité entre deux femmes. Je vous laisse découvrir se moment hors du temps.
Encore merci à la sonothèque pour ses bruits de métro https://lasonotheque.org/
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Cette semaine, on tombe pile sur la journée où on honore les femmes qui aiment les femmes. Et pour cette journée, je vous propose une petite histoire, toute petite par rapport à d'habitude, que j'ai appelée Une caresse éphémère dans le métro Sexe pense. Le podcast qui pense à ta sexualité, qui pense ta sexualité et qui expanse l'univers de la sexualité avec toi. Chaque semaine, on va explorer la sexualité alternative en parlant PDSM, fétichisme, libertinage, au travers d'interviews, de mes expériences personnelles, d'histoires érotiques. Il est dix heures dans le métro et je me suis assise sur les sièges latéraux de la 13. Un de mes péchés mignons, c'est de mater les gens qui montent. À ce moment-là, deux jeunes femmes montent. La première, assez petite, les cheveux à la garçonne, du genre qui aime faire crier. un manteau noir très long. La seconde, les cheveux longs, un manteau noir et blanc, en pied de poule, que l'on aimerait câliner toute la journée. Toutes deux restent debout dans le métro, malgré la place, et discutent ensemble, trop bas pour les entendre. La jeune femme aux cheveux longs d'un brin caféine, semble un soupçon stressé. Son amie lui caresse le dos pour la rassurer, avec des yeux emplis d'une passion intense. Rien ne peut rompre la connexion. Le monde n'a plus d'importance autour d'elle. Cette main, si fine, d'un teint porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque, chargée de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus prémitifs. Cette main, si fine, d'un teint de porcelaine, glisse le long de l'échine de sa compagne, pour remonter jusqu'à sa nuque. chargé de doux frissons qui réchauffent l'âme et embrasent nos instincts les plus primitifs. Une douce odeur d'hormones féminines embaume la rame de métro, sans dire non. Les sourires se délayent, sans comprendre vraiment pourquoi. Quand on y regarde de plus près, l'on remarque que notre brune aux cheveux longs s'est détendue et a fini par oublier ses soucis. pour s'abandonner à sa compagne qui l'attire sur des routes qu'elle seule connaisse. Cette peau si claire semble douce comme le nuage de crème sur le macchiato du matin, sucrée comme le caramel et juste appétissante, comme il n'est pas permis d'y penser. Nos langues ne peuvent s'empêcher de vouloir aller plus loin pour goûter au délice d'effleurer cette porcelaine de tentations suaves. L'on prie pour que ces doigts, timides, osant à peine se glisser sous la couture du pantalon, s'y faufilent sous ce haut. pour laisser apparaître le bas de son dos et laisse s'échapper un soupir empli de désirs. Toutes deux connectées, leurs yeux s'embrasent, leurs lèvres s'entrouvent, comme pour se dire le désir qu'elles ont l'une pour l'autre. Leur étreinte se resserre, l'envie mutuelle émane si fort. qu'il en devient difficile de les ignorer. Les longs cheveux caféines ondulent d'une manière si sensuelle, cette nuque qui se laisse caresser, on peut ressentir des fourmillements dans le dos. Quand une main vient prendre celle-ci fermement, leurs lèvres se joignant entre elles dans des entrelacs chaleureux d'une intensité rare. toutes deux glissant les doigts dans leurs cheveux respectifs, plaquant leur visage l'un contre l'autre. Comme pour ne plus jamais être séparés, elles ne font plus qu'un, leur respiration s'accélère, leur cœur s'emballe. Cette étreinte, suante d'un amour à la limite de faire trembler notre rame de métro, nous accable tous d'une envie irrésistible de participer à cet échange d'énergie sexuelle. Mais personne ne bouge. certains sourient d'autres se tortillent mais tout le monde résiste à cette envie insoutenable de participer le métro s'arrête les portes s'ouvrent cette bulle érotique qui nous donnait chaud éclate pour nous ramener à cette réalité cuisante qu'est la vie j'espère que cette histoire t'a plu et que les prochaines te plairont, il en existe d'autres, alors je t'invite à regarder les épisodes déjà passés pour trouver les histoires précédentes. Si ce podcast te plaît, je te propose de laisser des petites étoiles parce que ça m'aidera à gagner en visibilité et faire en sorte que d'autres personnes qui sont intéressées par les mêmes sujets que toi puissent entendre ce que j'ai à partager sur ce podcast.
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