- Speaker #0
Il y a un moment, dans chaque vie, où quelque chose appelle. Ce n'est pas un cri, mais plutôt une vibration sourde, un écho venu du large. C'est ce moment où tu sens que ta vie ne peut plus rester entre les murs d'un bureau, ni dans le cadre d'une existence qu'on t'a dessinée. Je suis Nicolas Dorfman, entrepreneur nomade et fondateur de Shape Room. J'ai quitté le salariat pour construire une vie libre, et j'aide aujourd'hui d'autres esprits en quête d'indépendance à faire de même. Dans ce podcast, je te partage deux dimensions. de ce voyage. Je te dévoile d'abord mon journal, le journal d'un esprit libre, où je questionne la société, notre éducation, la peur, le courage et tout ce qui façonne ou freine notre liberté intérieure. Puis, quand le besoin d'ancrage se fait sentir, je t'emmène sur le chemin du concret. Comment devenir freelance médiabayer, apprendre la publicité en ligne et faire de ton indépendance une réalité. Ce podcast est une invitation à écouter ta voix intérieure, à réapprendre à penser par toi-même et à répondre toi aussi. à l'appel du large. Bienvenue dans l'appel du large. Si cette voix résonne en toi, abonne-toi pour suivre le voyage, laisse un like et un commentaire pour faire rayonner le message. Et je te souhaite une très bonne écoute.
- Speaker #1
Salut à toutes et à tous, bienvenue sur ma chaîne YouTube ou sur l'appel du large si vous êtes en format audio sur mon podcast. Aujourd'hui on se retrouve avec Lucien. Lucien c'est un freelance qui est passé par Shape Room, enfin du coup c'est un salarié qui s'est transformé en freelance. mais pas encore à 100%, il est en phase de transition. Du coup, on va discuter avec lui pour connaître un peu tout son parcours, savoir ce qui se passe en ce moment, par quelles études il est passé, et surtout, qu'est-ce qui va se passer pour la suite. Salut Lucien ça va ?
- Speaker #2
Hello Nico, ça va et toi ?
- Speaker #1
Bah écoute nickel ! Je suis content de t'avoir ici !
- Speaker #2
Pareil franchement... Ça fait plaisir de te voir comme ça... Bah t'es tout content en plus donc...
- Speaker #1
Rasé et tout ça...
- Speaker #2
Ouais exactement !
- Speaker #1
Parce que Lucien il me disait juste avant « Ouais tu t'es rasé, tu fais 17 ans »
- Speaker #2
Ça fait... C'est la première fois que je te vois comme ça donc... Ah ouais ? Ouais, c'était agréablement...
- Speaker #1
Attends je me rase quand même parfois comme ça...
- Speaker #2
T'avais plus de barbe de base donc...
- Speaker #1
Ouais bah tu m'as connu avec plus de barbe ouais. Parce que du coup il y a un mois on était où ?
- Speaker #2
On était au Maroc, on était au Co-Living, c'était la première fois que je faisais ça. Et on s'est rencontré pendant trois semaines avec les autres shapers. Et du coup c'était super, et du coup il avait plus de barbe et plus de cheveux.
- Speaker #1
Ouais c'est ça, pour expliquer un petit peu, en gros avec Shaperoom on fait des co-living entre freelance. Un co-living c'est quoi ? C'est un mélange entre une coloc, c'est comme une coloc éphémère un peu. En gros on se retrouve là, on était pendant trois semaines à Tamrart au Maroc et c'était le premier co-living ShapeRoom où en gros tous les salariés qui deviennent freelance dans ShapeRoom, ils accèdent au collectif qui s'appelle donc les Shapers et on organise des rencontres, on en a une demain soir d'ailleurs. Tu seras là hein ?
- Speaker #2
Je serai là.
- Speaker #1
J'espère bien.
- Speaker #2
Donc j'irai.
- Speaker #1
Et puis on organise aussi des co-living donc comme des colloques éphémères pendant quelques semaines pour vivre ensemble, pour aussi couper un peu sur la solitude freelance quoi. Donc voilà, explique-nous un petit peu ce qui se passe en ce moment pour toi. Et après, on reviendra aussi sur ce qui se passait avant, tes études et tout, pour bien comprendre ton chemin, ton parcours, et ce qui t'a amené là aujourd'hui, notamment à faire cette vidéo. Et pourquoi tu t'es lancé en freelance. Donc dis-nous un petit peu ce qui se passe en ce moment-là, c'est quoi les news ?
- Speaker #2
À l'instant T, ma situation actuelle, c'est que je suis encore en CDI. J'ai pour projet de bientôt quitter mon job. Et à côté, j'ai quatre clients en freelance. Donc moi je fais du media buying et je suis spécialisé sur Google Ads. Donc grosso modo...
- Speaker #1
Tu vas faire ta petite pub peut-être ? Ouais,
- Speaker #2
si il y a des petits clients qui passent par là... Donc voilà ce que je fais à l'instant T. Mais évidemment, il y a toute une histoire derrière, on va y revenir mais... Donc voilà.
- Speaker #1
Et tu as le temps de gérer tes quatre clients en même temps que ton CDI ?
- Speaker #2
Franchement, c'est assez sportif. Je ne vais pas te mentir, entre pointer sur Teams, comme je le disais tout à l'heure, et gérer tous les quatre clients en même temps, les calls, et en plus je fais de la prospection sur LinkedIn. Et voilà, il y a tout un stratagème que je dois mettre en place. Je me forme aussi à côté. Donc vraiment, c'est beaucoup de temps que j'accorde et dans le CDI et dans le freelance.
- Speaker #1
Tu tombes sur quoi là ?
- Speaker #2
Je forme sur la prospection, sur Google Ads aussi. Et j'en apprends plus tous les jours parce qu'il faut se mettre à jour quotidiennement.
- Speaker #1
Ouais c'est clair. Du coup comment tu t'organises en fait en ce moment ? T'as quatre clients, tu bosses le soir et le week-end c'est ça ?
- Speaker #2
Je bosse le soir et le week-end. C'est pour ça que je te dis que c'est vraiment sportif, le soir et le week-end, même le dimanche.
- Speaker #1
Moi c'était pareil, quand je me suis lancé, c'était pareil, j'étais en agence, et j'ai voulu me lancer, j'ai voulu tester, tu sais, et je travaille du coup le soir et le week-end, et je m'en rappelle, en fait, moi c'était à la fin de mes études, moi j'ai jamais fait de CDI en vrai, et donc t'avais le mémoire à rendre, plus je m'étais dit bon, au cas où, je postule dans certaines boîtes et tout, et donc en fait en même temps j'avais mon alternance, le mémoire, En plus, je postulais chez Google, Pinterest, Facebook et tout. Et j'avais mes missions en freelance. Donc c'était un enfer. Je me rappelle. C'est pour ça que je suis curieux de savoir comment tu gères.
- Speaker #2
Moi, j'ai un peu de chance parce que je suis en quasi full télétravail.
- Speaker #1
Ah ouais ?
- Speaker #2
En CDI.
- Speaker #1
Donc tu t'organises un peu comme tu veux.
- Speaker #2
Je m'organise un peu comme je veux. Et surtout qu'il y a quelques mois en arrière, sans trop repartir en arrière, j'ai automatisé un petit peu mes tâches, pour ceux qui savent. Moi, je suis Traffic Manager en CDI, donc je suis l'annonceur. Et j'ai des tâches que j'ai essayé de catégoriser, de templétiser. Et je me suis dit, OK, j'ai cette liste de tâches-là que je fais quotidiennement. Et je vais essayer de tout automatiser ou semi-automatiser au minimum. Donc, j'ai un chat GPT payant. J'ai mes templates de prompt que je mets à chaque fois. Typiquement, je fais des annonces sur Meta et tous mes textes sur visuel, je les mets sur ChatGPT. C'est quasiment les mêmes résultats à chaque fois et j'arrive à être original dans chacun de mes promptes et de mes rendus en tant que Traffic Manager. Donc, avant que tout ça se fasse, j'ai dû automatiser la plupart de mes tâches dans mon job.
- Speaker #1
Tu es processisé quand même.
- Speaker #2
processisés, mais vraiment.
- Speaker #1
Avant de revenir sur ton parcours, dis-nous, avec ces 4 clients, combien ça te fait de chiffre d'affaires, si tu veux nous le dire d'ailleurs ?
- Speaker #2
Je peux te dire ça, mais il faudrait que...
- Speaker #1
Tu vas regarder son compte Stripe ?
- Speaker #2
J'ai un vieux Google Sheet où je le note en plus. C'est pareil,
- Speaker #1
c'est pas forcément... En vrai, c'est bien. J'avais toute ma compta sur Google Sheet. Je trouve ça très adapté.
- Speaker #2
Le mois de mai, j'ai fait... 3600 euros de chiffre d'affaires. Ah ouais ?
- Speaker #1
Ah ouais, d'accord. Moi, j'en étais resté à 2800, moi.
- Speaker #2
Ouais.
- Speaker #1
Ah ouais ?
- Speaker #2
C'est prévisionnel. Prévisionnel. J'attends encore le virement, mais...
- Speaker #1
Ouais, mais t'as dit que c'était le mois de mai ?
- Speaker #2
Ouais.
- Speaker #1
Là, on est au mois de juin. 3600 ? Ouais. Incroyable, ça. À côté de ton job ?
- Speaker #2
À côté de mon job, ouais. Trop bien.
- Speaker #1
Franchement, incroyable. Alors,
- Speaker #2
même ça, te le dire toi comme ça, ça fait un peu bizarre. Même moi, je ne suis pas prêt. Donc c'est pas mal.
- Speaker #1
Maintenant, tu conscientises un peu.
- Speaker #2
Je conscientise, mais vraiment, ça va tellement vite. Je suis tellement dans la tête, dans le guidon, que je me dis que je ne regarde pas ça. Je me dis que ça va tellement vite que vraiment, je ne conscientise pas ça. Et tu sais, je n'ai pas de regard extérieur à moi pour me dire « Ouah, ce que tu fais là, c'est une dinguerie » . Peut-être que j'avais mon ancien moi qui me parlait. et qui voyait ce que je faisais aujourd'hui, il allait se dire mais t'es un fou ! Alors que moi, je suis tellement dans la tête dans le guidon que je normalise ça alors que pour moi normalement c'est pas normal.
- Speaker #1
Quand tu t'es lancé ? Tu t'es lancé en janvier ?
- Speaker #2
En février, j'ai eu mon premier client et en janvier j'ai commencé l'accompagnement chez Boum.
- Speaker #1
Ok, donc janvier, février, mars, avril, mai, 5 mois. Pas mal, franchement, 3600 en 5 mois, solide !
- Speaker #2
Après je suis Traffic Manager Pay de Média à côté.
- Speaker #1
T'as déjà des bonnes bases ouais.
- Speaker #2
Donc un peu de contexte. pour atténuer ça non plus. Mais ça ne veut pas dire que la formation ne m'a pas aidé. Et ça ne veut pas dire que je ne me forme pas toujours aujourd'hui. Je sais que tu la mets tout le temps à jour. Et je suis d'ailleurs par tes vidéos. Et ça me permet toujours de voir, d'aller chercher plus de clients et de fidéliser mes clients actuellement.
- Speaker #1
Ouais, c'est vrai que toi, tu as un bagage technique intéressant. Après, il ne faut pas oublier que même si tu es bon en tant que Traffic Manager, Google Ads Expert ou je ne sais quoi, Il faut savoir aller chercher ses clients, il faut savoir se vendre, il faut savoir se nicher sur un marché, créer sa vitrine, aller prospecter, gérer ses calls de vente. Tout ça, c'est quand même la grosse partie. La partie vente, c'est la plus importante.
- Speaker #2
Honnêtement, j'ai commencé à remarquer ça quand je me suis rendu compte de la volatilité des clients. En fait, ils peuvent ne pas... te signer ton devis alors que tu as commencé le travail et que du jour au lendemain, en fait, il peut décréder comme ça que c'est terminé. Et du coup, il faut constamment être dans la logique de vente, d'aller chercher ses clients et d'être référencé sur les plateformes de freelance. Donc, c'est une seconde nature à avoir.
- Speaker #1
Après, ce qui est bien, c'est que quand tu es en freelance sur Google ou MetaAds, C'est quand même un abonnement. Toi, tes clients, tu les as, ça run tous les mois. C'est ça. Donc ça, c'est quand même cool.
- Speaker #2
Ça, c'est cool, oui.
- Speaker #1
C'est clair. Du coup, ça relance le débat de est-ce que tu vas quitter ton job ou pas ?
- Speaker #2
Tu as 3600. Je sais que je suis dans la sécurité, dans ma tête. Après, ça dépend de chacun. Mais je m'étais fixé en septembre. On se l'était dit au Maroc qu'en septembre, je vais quitter mon job. C'est bien parti. pour le faire. Mais ouais, franchement, je me suis fixé ça comme objectif et j'espère revenir vers toi en septembre avec un message comme quoi ça y est, j'ai quitté. Parce que là,
- Speaker #1
d'un point de vue financier, c'est bon en vrai.
- Speaker #2
En vrai, c'est bon, mais bon, je mets quand même de côté, je coffre un peu. On sait jamais dans les mauvais jours, ça peut arriver. Mais sinon, ouais, la perspective elle est plutôt bonne.
- Speaker #1
Bon sinon, dis-moi un peu, t'as fait quoi comme études ?
- Speaker #2
Bonne question, là on va retourner en arrière. On retourne au bac ?
- Speaker #1
Ouais, raconte-nous ton parcours pour comprendre d'où tu viens. Ce qui m'intéresse surtout, c'est tes études. Après, tu peux peut-être nous raconter le lycée si t'as envie.
- Speaker #2
Alors moi, j'ai été en école de commerce. D'ailleurs, t'as rencontré un de mes camarades.
- Speaker #1
Ah mais oui, c'est vrai.
- Speaker #2
précédent podcast on a été exact sans vouloir la citer dans la même école de commerce à Bordeaux. Et du coup, j'ai fait cinq années là-bas. C'était un tronc commun, école de commerce classique. Mais ma spécialisation, c'est le marketing digital. Il y avait trois spécialisations à choisir. Il y avait du marketing classique, il y avait finance et je crois qu'il y avait marketing digital, c'est le dernier. Et bon, vu que je ne savais pas trop... ce que je voulais faire plus tard, j'ai décidé de faire marketing digital comme ça, un peu un choix par défaut. Je me suis dit bon le digital s'envoque en ce moment, de toute façon une fois là dedans je saurai quoi faire plus tard. Et c'est à cette période là, en vrai le swift, le moment où j'ai su qu'est ce que je voulais faire c'est Au bout de la troisième année où il fallait spécialiser, j'ai choisi le marketing digital parce qu'il y avait le dropshipping qui commençait à pop à l'écohoc 2018-2019. Moi aussi j'ai lancé ma petite boutique, tu vois. J'ai fait du dropshipping moi à un moment. J'en ai raté pas mal des shops et du coup, enfin je savais que je voulais être là dedans parce que ça correspondait à ma personnalité. J'étais un mec qui commençait à faire de la veille. L'étape de la veille, je l'ai senti à ce moment-là, que j'avais cette compétence-là, aller chercher de l'information, me former sur un sujet, et faire un peu d'entrepreneuriat. C'est là où j'ai découvert ma personnalité. Quand on entend souvent « il faut se connaître soi-même » , je pense qu'à ce moment-là, j'ai commencé à avoir les prémices de ma personnalité d'aujourd'hui. C'est comme s'il y avait des semences dans le passé qui te donnent des indices sur ton futur. C'est spécial comme sentiment. Mais avec le recul, je me suis rendu compte que c'était la voie qui commençait à converger vers la personne que je suis aujourd'hui. Donc voilà, j'ai fait mes cinq années là-bas. J'ai lancé les boutiques de dropshipping. Je me suis cassé la gueule. J'ai fait du meta ads. Pendant tes études ? Pendant mes études, oui.
- Speaker #1
Pour tester, pour vendre tes produits ?
- Speaker #2
Troisième, quatrième année, oui.
- Speaker #1
Ah mais d'accord, mais tu étais déjà assez curieux quand même.
- Speaker #2
J'étais curieux, j'étais vraiment curieux.
- Speaker #1
Attends, mais tu avais du budget pour mettre en pub ?
- Speaker #2
J'avais du budget. Je prenais de l'argent... J'économisais. Je prenais de l'argent de personne. J'économisais l'argent de mes parents. Je recevais de l'argent de la part de mes parents. Et cet argent de Ausha, je l'économisais. Et je mettais l'argent sur Meta n'importe comment. Vraiment, je n'étais pas du tout formé. Je faisais ça vraiment en freestyle. J'ai fait ça. J'ai fait aussi avec les influenceurs.
- Speaker #1
Tu as fait un influenceur ?
- Speaker #2
J'ai fait avec des... En fait, à un moment, je crois que c'était l'année 2020, j'ai lancé un shop avec Charlène Lemaire. C'était une influenceuse à l'époque qui était chez Wee Event. Et j'avais fait la promotion de gaines pour femmes. Tu sais, les gaines. Les gaines pour... Pour le vendre. Exactement. Du coup, j'avais lancé ça. J'étais break event, mais j'étais tellement déçu par rapport à... Break event. Ouais, c'est...
- Speaker #1
Les termes.
- Speaker #2
C'est le vocabulaire qu'ils utilisent dans le milieu du e-commerce, dropshipping, etc.
- Speaker #1
Ça veut dire quoi break-even ?
- Speaker #2
Pour ceux qui ne savent pas, break-even, c'est quand tu n'es pas rentable et tu n'as pas perdu de l'argent non plus.
- Speaker #1
T'es à zéro.
- Speaker #2
T'es à zéro. Mais moi, je n'étais pas satisfait de cet état-là parce qu'au vu de tous les efforts que j'ai consentis pour juste lancer ce shop-là, parce qu'à l'époque, il n'y avait pas l'IA, il n'y avait pas de chat GPT. Moi, je faisais mon texte moi-même, ma boutique sur Shopify. OK, c'était plus facile. C'était du boulot de faire ça à l'époque. Donc voilà pour la petite histoire. J'étais break-even. J'ai abandonné dropshipping. Je me suis dit, bon, ça ne marchait pas pour moi. et de toute façon Le business model ne matchait pas avec moi.
- Speaker #1
Ouais, je comprends. Mais du coup, à cette étape-là, quand t'es en études, est-ce que tu recommanderais à n'importe quel jeune de tester un peu ? Parce qu'en fait, pourquoi je te demande ça ? En gros, je vois de plus en plus de gars et de filles qui ont entre 18 et 20 ans, voire 22 ans, qui ont déjà des business et tout machin. Donc, est-ce que tu recommanderais pour l'ensemble des jeunes, qui ont entre 18 et 22 ans, disons, de tester les trucs ? s'ils sont intéressés par l'entrepreneuriat ou le freelancing, est-ce que pour toi c'est une bonne solution de se mettre un peu en danger, parce qu'en vrai, tu as quand même lancé ton shop, tu as investi et tout, est-ce que tu recommanderais quand même de passer par cette étape-là, de se mettre un peu en danger, ou de plutôt se former, garder les études ?
- Speaker #2
En fait, pour moi, c'est propre à chacun, mais les gens comme moi, qui sont assez ambitieux, ceux qui veulent un peu faire de l'entrepreneuriat en ligne, veulent devenir digital nomades, qui veulent juste gagner de l'argent à côté tout simplement de leur job, intéressez-vous, intéressez-vous au business en ligne, mais surtout allez dans le bon sens. Faites pas comme moi qui ai commencé ça sans formation. À l'époque, le drop-in, je regardais sur YouTube et tout. Et j'allais pas dans la bonne direction. J'allais dans une direction mais trop large, pas assez précise. Parce que je n'avais pas d'information, ce que j'appelle information actionnable, pour aller directement vers le chemin, ce que j'appelle 80-20, qui va te rapporter le plus de résultats possibles. Tu ne perds pas de temps et tu évites toutes les erreurs qui sont possibles. Donc pour moi, vraiment, avant de commencer à tester, tu te formes. Honnêtement, c'est bête comme ça, mais c'est la vérité. prends un coach, tu prends un accompagnement, tu te fais mentorer de quelqu'un qui a déjà fait ce que tu veux faire. C'est tout simplement ça. Vraiment, il n'y a pas à chercher plus loin. Sinon, tu perds du temps. Et vu comment les années et les mois passent vite, ça peut vite te décourager comme moi j'ai failli être découragé quand j'ai voulu faire du dropshipping, quand j'ai voulu lancer un SaaS. Parce que oui, j'ai voulu se faire ça. Ah ouais,
- Speaker #1
tiens, mais en fait, je te découvre.
- Speaker #2
En fait, t'es un entrepreneur. J'ai vécu des... En fait, le sas que j'ai voulu lancer suite au dropshipping, c'était justement, tu sais, quand je t'ai parlé de business model tout à l'heure. En fait, le dropshipping, c'est trop d'efforts. Vraiment, d'efforts pour une marge. On parle de 15 à 20% de marge. Pour ceux qui réussissent vraiment dans le dropshipping, c'est trop d'efforts pour rien. Donc le business model, il ne me correspondait pas. Et du coup, je cherchais un business model à marge pure, grosso modo. Du coup, je suis allé sur Internet et les Américains, ils parlent de white label. Et du coup, il existe des SaaS en white label. Pour ceux qui ne savent pas, un SaaS, c'est un outil en ligne un peu comme Canva. Mais imaginez que Canva vous donne accès à son outil, mais que vous pouvez le vendre à votre propre nom. avec votre propre nom de domaine et comme si c'était votre outil. Et du coup, j'ai trouvé un truc comme ça pour les commerciaux. Et j'ai voulu le détourner pour aider les demandeurs d'emploi à prospecter, comme un commercial en B2B, mais à prospecter leurs futurs managers ou les RH qui sont au sein des entreprises qu'ils veulent insérer, tout simplement.
- Speaker #1
Tu vas donner plein d'idées à tout le monde là.
- Speaker #2
Je vais donner plein d'idées. Allez-y, testez ce business model là. Mais en tout cas, les white labels en SaaS, j'avais trouvé que c'était beaucoup plus 80-20 en termes d'énergie et d'efforts consentis que le dropshipping. Ok,
- Speaker #1
hyper intéressant. Hyper intéressant. Tu donnes plein d'idées. Et donc du coup, à ce moment-là, tu finis tes études. Et après, il se passe quoi ? Tu trouves un CDI, c'est ça ?
- Speaker #2
Je finis mes études. Je fais cinq années d'études. Ouais.
- Speaker #1
Diplôme ?
- Speaker #2
Diplôme, voilà. La SIC comme bonnes. Mais attention, à ce moment-là, je fais un truc débile à cause de la pression sociale. En gros, à ce moment-là, je ne me trouve pas suffisamment fort ou bien pas suffisamment capé pour aller chercher un CDI. Du coup qu'est-ce que je fais comme un con, si je puis dire ? Je recherche une alternance. Parce que la pression sociale et le chômage, je voulais pas être en chômage pendant plusieurs mois moi. Je voulais absolument retrouver quelque chose et gagner de l'argent tout de suite. Du coup je me suis relancé dans ce domaine.
- Speaker #1
Si je comprends bien, t'as fini tes études ? Oui. Et t'as demandé une alternance ?
- Speaker #2
J'ai redemandé une alternance, juste pour avoir suffisamment d'expérience en tant que... en tant que traffic manager parce qu'à l'époque j'avais pas eu un bon stage, j'étais community manager en alternance et je voulais pas faire community manager et du coup j'ai refait une alternance pour faire du traffic management et mettre de l'historique dans mon CV. Parce que je pensais pas que j'étais capable de postuler en CDI quoi. Je recevais des... des noms à mes candidatures au poste de traffic manager. Je voulais être traffic manager, je recevais que des noms, que des refus. Et j'ai voulu refaire une alternance pour avoir dans mon CV une expérience en traffic management. Et du coup, j'ai perdu dix mois comme ça. Ah ouais ? Parce que je perdais de confiance en moi.
- Speaker #1
Et aujourd'hui, tu referais ce choix ou pas ?
- Speaker #2
Aujourd'hui, vu l'état du marché, la marketing digitale et community management, chercher un emploi, c'est très difficile.
- Speaker #1
Ah ouais ?
- Speaker #2
Et bizarrement, franchement, à l'époque, c'était déjà assez compliqué. Et moi, je devais justifier auprès des recruteurs comme quoi j'avais déjà fait le même job qu'avant en alternance. C'était ça l'idée. Je devais créer une espèce d'expérience. Mais du coup,
- Speaker #1
parce que tu ne trouvais pas de CDI en fait,
- Speaker #2
c'est ça ? Oui, parce que je ne trouvais pas de CDI à l'époque. Je suis mis en alternance et je n'ai même pas fini l'alternance. J'ai démissionné à la fin. et j'ai fini par trouver un CDI donc finalement j'aurais dû chercher un CDI dès le départ.
- Speaker #1
Ouais ok. Et si tu devais aujourd'hui comparer le marché du CDI en tant que médiabayer et le marché du freelancing, c'est quoi ton avis sur les deux ?
- Speaker #2
Bah rien à voir.
- Speaker #1
C'est-à-dire ?
- Speaker #2
C'est-à-dire que moi, à l'époque, si je savais que je pouvais être freelance en tant que médiabayer et partir quasiment de rien, je serais directement parti là-dessus plutôt que chercher un job en CDI. Parce que je pense qu'il y a une grosse pression au recrutement des personnes qui ont leur premier job tout simplement. En fait les juniors ils ont du mal à avoir leur premier job justement parce que les entreprises, même déjà à l'époque, c'est il y a deux ans trois ans, ne voulaient que quelqu'un qui a eu déjà de l'expérience sur Google Ads, sur Meta Ads etc. Du coup je serais parti freelance directement.
- Speaker #1
Ok, mais à l'époque tu ne savais pas que ça pouvait se faire ?
- Speaker #2
À l'époque, je n'avais aucune idée. Freelance, c'est quoi ? Je ne savais pas c'était quoi moi. Je venais à peine de sortir des études, j'étais ignorant sur tout ce monde-là. Je ne savais pas c'était quoi freelance. Je ne savais pas qu'il y avait ce métier-là. J'étais ignorant tout simplement. Mais si je t'avais rencontré dès le départ, quelqu'un pour m'ouvrir les chakras, je serais parti directement dans ce sens-là. Mais je pense qu'il y a énormément de gens qui ne se rendent pas compte des choses. parce qu'ils n'ont pas suffisamment d'informations. Ça, c'est une information actionnable que tu peux creuser et que tu peux savoir qu'il n'y a pas que le CDI. Si tu veux te lancer en digital, tu peux faire du freelance. Le freelance, il y a un boulevard. Pour répondre à ta question tout à l'heure, vraiment, là, je prospecte assez régulièrement. Je sens que je peux avoir beaucoup de clients en prospectant, en faisant du setting sur LinkedIn, par mail. Franchement je pense qu'il y a beaucoup plus de chances pour quelqu'un qui se lance en freelance de trouver un client que quelqu'un qui sort d'une école pour trouver un CDI.
- Speaker #1
C'est faux quand même.
- Speaker #2
C'est le pays dans lequel on vit mec.
- Speaker #1
Ok, du coup tu disais du prospect assez souvent mais là du coup tu dis que tu sens qu'il y a plus de traction. C'est à dire comment tu le sens genre ?
- Speaker #2
En fait comment je le sens à force de discuter parce que quand tu fais du setting, quand tu prospectes, tu discutes avec tes clients potentiels
- Speaker #1
Ouais.
- Speaker #2
Et tu te rends compte qu'ils ont des problématiques. Souvent ils sont accompagnés par des agences, ils ont des problématiques, et du coup je leur propose de faire un audit gratuit. Et la plupart, ils sont ouverts à cette idée-là de faire un audit gratuit. Donc je me dis que si sur un petit échantillon comme ça, il y a beaucoup de clients qui sont prêts, enfin qui ont déjà du budget qui est consommé par l'agence avec qui ils sont accompagnés, s'ils sont prêts à basculer avec un freelance, Ça veut dire qu'il y a un marché qui est énorme parce qu'imagine le nombre de TPE qui sont... Déjà le nombre d'agences en publicité qui accompagnent des clients, mais imagine le nombre de TPE qui sont accompagnées par des agences et qui ne sont pas satisfaits de leurs agences. Juste comme ça, le petit échantillon que moi à mon niveau, parce que moi je suis niché, tu vois. Donc à mon niveau j'ai senti ça, des informations actionnables comme ça du marché, Imagine le nombre de gens qui peuvent se lancer en freelance. et trouver leur lien comme ça.
- Speaker #1
Je t'avais déjà raconté les chiffres ou pas ? Du marché ?
- Speaker #2
Non pas trop.
- Speaker #1
Je t'ai pas dit ? En gros il y a environ 2 millions 700 milles entreprises qui aujourd'hui font de la publicité et donc recherchent potentiellement des profils. Ces entreprises là augmentent chaque année de 10% leur investissement pub et donc quand c'est 10% c'est 10% de 2,5 milliards par an donc ça prouve à quel point le marché il est fat et en plus de ça chaque année Ça c'est l'INSEE qui le dit, il y a environ 1 million de nouvelles entreprises qui arrivent chaque année sur le marché français.
- Speaker #2
Ah bah carrément !
- Speaker #1
Français, je te parle même pas de la Belgique, de la Suisse, du Luxembourg, même du Canada, tu vois. Et c'est un truc de fou, et tu vois quand tu regardes le nombre de médias bailleurs sur Malte, par exemple, tu parlais de Malte. J'ai regardé, il y a environ 20 000 personnes. Et si tu élargis aux agences, j'avais regardé, tu es aux alentours des Antou, tu as 100 000.
- Speaker #2
100 000 agences en France ?
- Speaker #1
Ouais, en tout cas dans la publicité en ligne, Antou, si tu prends le tout, si tu additionnes le nombre de médiabayeurs sur Malte et puis le nombre d'agences, après c'est approximatif, parce que t'as pas les chiffres exacts. Mais grosso modo, t'as 100 000 médiabayeurs, quoi, tu vois, de disponibles qui peuvent travailler. Et même si tu élargis à 200 ou 300 ou 500 000, en fait c'est tellement rien, tu vois, comparé aux 2,7 millions d'entreprises aujourd'hui. des 1 million chaque année seulement en France. T'imagines, tu mets la Belgique, la Suisse, le Luxembourg, le Canada, c'est un marché énorme en fait. On parle de millions et de millions d'entreprises qui recherchent des profils comme le tien en fait.
- Speaker #2
Ah bah tu vois, ça te lâche, t'es un peu au courant, mais j'ai juste senti avec un petit échantillon à mon niveau, mais ok, mais là il y a un énorme boulevard.
- Speaker #1
Mais c'est fou, et en plus de ça, en plus des nouvelles entreprises, je te l'ai dit, le budget public il augmente chaque année de 10% donc en fait le budget sur le marketing digital grosso modo en pub il fait ça il augmente et quand tu regardes le budget par exemple à la télé il est stable il bouge pas depuis des années et c'est exponentiel c'est fou non c'est clair franchement
- Speaker #2
Là, honnêtement, pour me répéter, les gens qui veulent devenir freelance, il y a un sacré boulevard. Il faut aller dans le bon sens. Déjà, recevoir les bonnes informations, savoir ce que vous voulez, vous spécialiser, vous faire accompagner avec les bonnes informations et vous aurez accès à ça. En plus, les entreprises qui arrivent, c'est des gens pile dans notre cible parce que c'est des entreprises parfois qui sont des TPE qui deviendront PME. PME, etc. Et nous, en tant que freelance, il nous suffit juste d'avoir 5-6 clients, c'est bon, on sort du marché, terminé, on est déjà occupé. Ça donne à bouffer à son homme. Donc en vrai, il y a de la place aussi pour le freelance.
- Speaker #1
Et donc du coup, tu trouves ton CDI, c'est ça ?
- Speaker #2
C'est ça.
- Speaker #1
Donc c'était quand ? Tu peux nous donner une petite timeline ?
- Speaker #2
Alors, le premier CDI, je l'ai trouvé en novembre 2022.
- Speaker #1
Ok d'accord, donc après tu en as eu un deuxième si je comprends bien ?
- Speaker #2
Après j'ai eu un deuxième dans lequel je suis toujours actuellement. Ok d'accord. Et dans lequel j'ai fini par être Traffic Manager.
- Speaker #1
Ok, parce qu'avant tu n'étais pas Traffic Manager du coup ?
- Speaker #2
Non, j'étais Webmaster Traffic Manager. En gros c'était une TPE, on était 23 personnes, tu faisais un peu tout ce qui était digital quoi.
- Speaker #1
Du coup, moi j'aimerais bien comprendre, quand tu étais en CDI, pourquoi tu t'es intéressé au freelancing ? Pourquoi tu t'es dit, vas-y, je vais me lancer ?
- Speaker #2
Alors, pour la petite histoire, déjà, je ne savais pas que le freelancing, ça existait. Je ne savais pas que le business model existait, que des entreprises pouvaient engager, enfin, engager, contractualiser avec des freelances et payer, quoi, de façon récurrente. Je n'étais pas au courant de ça. Si j'avais lancé mon SaaS à l'époque, si j'avais cette information-là, je l'aurais fait ça dès le départ. Comment j'ai su que ça existait ? c'est que... En arrivant dans mon deuxième CDI, j'ai rencontré ma collègue, qui fait aussi partie de ton accompagnement, qui s'appelle Roxane. Et elle m'a dit qu'elle faisait du freelance.
- Speaker #0
C'est quoi le freelance ? Qu'est-ce que tu me racontes toi ? Elle me disait qu'elle faisait ça à côté. Elle était là avec nous tous les jours. Et à côté, elle avait des revenus...
- Speaker #1
C'était quand ça ?
- Speaker #0
Ça c'était... Attends. C'était octobre 2024. Il y a quelques mois.
- Speaker #1
Ah oui, donc c'est récent. Ouais, octobre 2024. Elle avait fini Shape Room depuis 6 mois, je crois. Elle était en train de se lancer. Elle préférait...
- Speaker #0
Elle m'a dit freelance, je suis freelance. À côté. Elle a banalisé ça. Mais juste ce petit lyrics-là, moi, je l'ai écouté. Je n'ai rien dit d'autre. Mais le soir, en rentrant, ça a résonné en moi. J'ai dit, comment ça ? Comment ça, il est freelance à côté, tu vois ? Et puis, elle m'a dit ça une fois. J'ai dit, OK, il y a des semaines qui sont passées. Et à un moment, elle a dit, bon, écoute, ce sera la dernière fois qu'on se verra dans quelques mois parce que je vais quitter mon CDI. Et là, ça résonnait encore plus fort en moi. J'ai dit, comment ça tu vas où ? Elle a dit, je vais me lancer en freelance à 100%. Première fois que j'entends ça dans ma vie. Et de là, j'ai commencé à la creuser, à la creuser, à la cuisiner pour savoir comment ça, tu fais une freelance à côté, etc. Elle m'a parlé de Malte au début. Du coup, j'ai créé un compte sur Malte. Je voyais que je n'avais pas trop de demandes sur Malte. Je n'avais pas trop de clients. Et j'ai voulu encore... en savoir plus parce que moi j'étais déterminé tu vois je voulais aussi avoir déjà même un revenu à côté et de là bas il m'a parlé toi de ton accompagnement de ce que ça a changé pour elle dans sa vie et de fil en aiguille bah j'ai commencé à me comprendre c'était quoi freelance etc j'ai écouté tes podcasts tu vois donc là aujourd'hui je me retrouve dans ton podcast Je suis allé voir tes podcasts, etc. Et voilà, j'ai maturé comme un lead qui mature. J'ai maturé, j'ai maturé, j'ai maturé. Et je suis reparti par là, Roxane. Cette fois-ci, elle avait quitté le CDI, mais on ne se parlait pas trop à l'époque. Mais quand elle a vu que j'étais aussi déterminé, on a créé un groupe sur WhatsApp et on a commencé à discuter. Elle m'a dit que je pouvais prendre un appel de découverte avec toi. Et voilà, jusqu'à ce que je prenne un appel de découverte avec toi. Voilà pour la petite histoire.
- Speaker #1
Ah oui je m'en rappelle, là c'était du coup en décembre 2024, janvier 2025, un truc comme ça ?
- Speaker #0
Oui, janvier 2025, du coup c'était l'appel de découverte, c'était le 18 janvier si je me rappelle bien.
- Speaker #1
Ok d'accord, janvier, ok. Ouais, je m'en rappelle très bien.
- Speaker #0
Mais dans ma tête c'était pas un appel, c'était un appel juste pour que tu me présentes vite fait, tu vois. Je savais pas qu'il y avait un call devant, en fait tu m'avais fait un R1 à l'époque, donc ça m'a assez surpris. et vu les résultats que Roxane a eu Franchement, je n'ai pas hésité une seule seconde. Je me suis dit, là j'ai 25 ans cette année, 25 ans pour moi c'est un âge, tu vois. Je sais que pour beaucoup c'est jeune, mais moi avant 30 ans, je voulais me découvrir dans la vie. Absolument. Et du coup, je savais que les années passaient, et du coup, je n'ai pas hésité une seule seconde à prendre le risque. de suivre ton accompagnement et accéder aux informations actionnables.
- Speaker #1
Ok, mais qu'est-ce qui fait que, tu vois, quand on était en appel ensemble, qu'est-ce qui fait que tu t'es dit, vas-y j'y vais quoi en fait ? Pourquoi tu dis que tu n'as pas hésité une seule seconde ?
- Speaker #0
J'ai tellement essayé avant, j'ai tellement échoué, dropshipping, SaaS, j'en ai lancé des shops, même le SaaS, j'y croyais beaucoup, le SaaS, honnêtement, quand je t'en parle de ça, tu sais que ça peut fonctionner, en vrai. En plus, c'était un white label et tout, ça faisait quand même un bon business model qui me correspondait. Et j'ai échoué aussi dessus. Et je voulais absolument quelque chose, quelque part pour aller chercher ma liberté. Je voulais absolument quitter ma situation de vie où j'étais. Et ça faisait plusieurs années que j'essayais sans réussir. Et la première fois que je voyais quelqu'un réussir, c'était Roxane. Et c'est la première fois que je parle avec des gens qui étaient au-delà de mon cercle d'amis et qui réussissaient autrement et qui avaient la liberté d'avoir des clients. Donc, c'est ça qui m'a fait... En fait, si tu veux, j'étais déjà préchauffé. Et vu mon historique, je sais que beaucoup de gens sont vraiment dans cette situation. Beaucoup de gens veulent sortir de leur quotidien, mais il leur manque un déclic. Il leur manque une information clé. vraiment une preuve dans leur vie ou tout simplement genre rencontrer quelqu'un ou écouter quelqu'un sur internet qui parle à cœur ouvert pour passer à l'action. Et ça m'est arrivé à ce moment là. C'est pour ça que vraiment j'ai pas hésité une seule seconde. Le lendemain, j'entrais déjà dans le groupe.
- Speaker #1
Ouais c'est vrai, je me rappelle.
- Speaker #0
Et voilà.
- Speaker #1
Mais du coup à ce moment-là, c'était quoi en gros la raison ? C'est-à-dire que quand tu t'es dit, vas-y j'hésite pas une seule seconde, je me lance en freelance, qu'est-ce qui t'a motivé à déjà prendre l'appel ? Et surtout pourquoi en fait tu souhaitais te lancer en freelance ? C'était quoi la raison derrière ?
- Speaker #0
Il y avait aussi ma situation... de vie. J'habitais chez mon père à l'époque, du coup depuis j'ai trouvé un appartement. Et j'étais pas à l'aise, enfin vraiment le salaire que mon CDI me... donnait n'était pas suffisant du coup pour n'était pas suffisant pour trouver un logement si j'habite à paris un logement à paris ça aussi c'est sportif tu vois donc il fallait un revenu supplémentaire pour dégager du revenu pour avoir il ya aussi ma situation actuelle et mon passif mon passif de quelqu'un d'ambitieux qui voulait absolument réussir et trouver quelque chose à côté et ces ces deux déclics-là, mon historique et ma situation qui... Je ne voulais pas que ça soit monotone. Je voulais que d'année en année, il se passe quelque chose dans ma vie pour que j'ai une progression. Au moment où j'ai fait l'appel de découverte avec toi, le soir même, j'ai fait une rétrospection et je me suis dit, vu ma situation actuelle, j'habitue chez mon père, je veux absolument que ça change. Et vu mon ambition de changer de vie et de faire à côté quelque chose à côté de mon travail, je me suis dit que c'est la seule occasion probablement de ma vie où je pourrais le faire. Et du coup, je l'ai fait et je ne le regrette pas une seule seconde.
- Speaker #1
Ok, mais pourquoi tu ne t'es pas dit par exemple, parce que tu vois, ça arrive parfois, il y a des gens, ils ont l'opportunité, mais ils n'y vont pas. Ils ont besoin de réfléchir ou ils hésitent, ils ont peur, il y a peut-être des problèmes externes. Qu'est-ce qui a fait que toi,
- Speaker #0
tu t'es dit,
- Speaker #1
je vais être direct, tu vois ? Parce que t'as pas réfléchi en fait. Enfin, t'as pas réfléchi un minimum quand même. Mais je veux dire, t'as pas eu ce truc de attends, je prends le temps, ou je regarde mes finances, ou je sais pas quoi. Toi, tu t'es dit, vas-y, let's go.
- Speaker #0
Après, moi, je suis un gros bourrin. C'est de dépendre de chacun, mais je suis un bourrin. Honnêtement, je suis capable de tout miser, de prendre des risques mesurés pour avoir ce que je veux. Et vu que j'avais la preuve, vraiment, j'avais jamais vu quelqu'un comme ça, enfin, ma collègue, typiquement. j'avais la preuve en face de moi que quelqu'un qui quitte son job pour faire quelque chose d'entrepreneurial à côté, tout simplement je me suis retrouvé en elle et je me suis dit, si on fait le même métier, ce métier-là je peux le faire en freelance.
- Speaker #1
Du coup tu dirais quoi à quelqu'un qui hésite ?
- Speaker #0
Honnêtement, même quelqu'un qui n'a pas mon passif et qui ne s'y connaît même pas en digital, je lui conseillerais quand même de faire le même choix que moi. Quoi ? te dire à quel point c'est puissant. N'importe qui peut faire la même chose que moi. N'importe qui. Vous ne vous y connaissez pas en digital, faites-le parce que pour le coup, ton accompagnement, on reprend les bases vraiment depuis le début. Tu réexpliques le business model, tu réexpliques la posture qu'il y a avec le client, tu réexpliques pourquoi... En fait, tu banalises le fait d'avoir des clients. C'est fou parce que moi, pour moi, ce n'était pas le cas avant. Pourtant, j'étais dans le digital. Mais pour quelqu'un qui n'est pas dans le digital, c'est aujourd'hui, je trouve ça, c'est un peu grossier, mais c'est banal d'avoir des clients. Donc, c'est quelque chose de fou. Et même dans le groupe, c'est banalisé. Typiquement, on a un groupe WhatsApp, il y a un espace Win. Et tous les jours, quasiment, il y a quelqu'un qui a une bonne nouvelle suite à un client qui lui a fait un retour positif. Vraiment, et en plus c'est des gens qui ne connaissaient pas grand chose du digital dès le départ. Honnêtement, c'est juste un cap à avoir mentalement. Mais ça se fait, ça vaut le coup, juste pour éviter la vie monotone que moi je fuyais à l'époque. Moi je pense que juste le fait d'éviter, parce que moi je suis parisien, je vis le métro boulot-dodo, juste pour éviter ça. et vous donner les chances d'éviter ça, vraiment, je pense que je donnerais le conseil à n'importe qui de se lancer comme moi.
- Speaker #1
Et donc du coup tu rentres dans Shape Room le 18 janvier 2025.
- Speaker #0
C'est ça.
- Speaker #1
Je me rappelais pas de la date, mais bien vu. Et si tu devais retenir une chose de Shape Room dans ton expérience, t'as fait quoi ? T'as fait 3-4 mois je crois ? Si tu devais retenir...
- Speaker #0
J'ai fait 3-4 mois, oui.
- Speaker #1
Si tu devais redire une seule chose qui a vraiment fait la différence pour toi, c'est quoi ?
- Speaker #0
Pour moi, je pense que l'effet de groupe. Tu vois, il y avait un canal Win. Je ne sais pas s'il existe toujours, mais dans le WhatsApp.
- Speaker #1
Juste pour expliquer, le canal Win, c'est quoi ?
- Speaker #0
En fait, le canal Win, c'est un espace spécial où les apprenants partagent leur succès. Ils sont tous dans la prospection ou ils sont inscrits sur Malte, ils font de la prospection, etc. Ils ouvrent leur CV en ligne. Ils s'ouvrent au monde en tant que freelance media buyer. Et il y en a certains qui ont des succès. Et du coup, moi, voyant les succès un peu de tout le monde, ça me faisait un peu de faux mots. Du coup, je me dépêchais, même étant dans la formation, je me dépêchais de passer à l'action. parce qu'il suffit pas d'être dans la formation et de suivre des vidéos préenregistrés et c'est là toute la puissance de l'accompagnement, c'est que en plus des calls réguliers qu'on a avec toi en one-on-one ou des calls en collectif avec les autres apprenants qui sont au même niveau que toi, ce canal Win là, il me faisait un peu de faux mots, je me disais putain les autres sont en train d'évoluer, ils sont dans la même promo que moi ils sont en train d'évoluer et moi j'ai pas de succès parce que je passe pas à l'action donc c'est ce double jeu là, le fait de suivre les vidéos préenregistrées et de passer à l'action en même temps, je pense que ça c'est ça qui a fait toute la valeur de l'accompagnement et ce qui m'a poussé à aller vite en fait. Ne pas être attentif, me satisfaire que j'ai payé, c'est bon, il y a quelqu'un d'autre qui va... Parce que ton subconscience le dit que tu vas passer à l'action mais de façon passive. Alors que t'as payé, ok. Mais il faut aller de l'avant, il faut mettre les tâches et il faut les faire vite pour aller le plus vite possible.
- Speaker #1
Du coup,
- Speaker #0
le FOMO du canal Wynn permet naturellement de faire ça.
- Speaker #1
C'est intéressant ce que tu me dis, parce que là, tu vois, récemment, il y a Sonia qui a quitté le bootcamp, qui a rejoint le collectif. Et Sonia, je ne sais pas si tu as discuté un peu avec elle, mais tu sais, elle a rejoint en février. Et Sonia, elle était un peu dans une situation compliquée, tu vois.
- Speaker #0
Elle,
- Speaker #1
elle me dit vraiment, Nico, j'étais dans la merde, j'étais à zéro et tout. Ce qui était vrai tu vois. Elle a rejoint l'accompagnement, là on est au mois de juin, donc elle a terminé fin mai début juin. Donc février, mars, avril, mai, juin, environ comme toi tu vois, 4-5 mois. Et là elle a commencé à gagner 2200 euros. Et ce qui était hyper intéressant c'est que du coup elle est passée dans un appel de groupe avec des nouveaux qui étaient arrivés. Pour dire au revoir, voilà pour faire une sorte de petite conclusion sur son expérience. Et c'était hyper intéressant parce qu'ensuite les autres je leur ai demandé un petit peu comment ils percevaient le truc tu vois. Donc tous les nouveaux qui étaient arrivés sur la dernière semaine, et ils me disaient bah... c'est hyper motivant, ça prouve que c'est réel, que ça fonctionne et tout machin. Et je trouve que c'est à peu près le même impact. Tu as le canal win où on partage nos réussites, j'ai un rendez-vous, j'ai signé un client machin. Mais tu as aussi du coup, c'est ça que j'aime bien dans ce qu'on a fait avec Shaperoom, c'est que en gros tout le monde ne rentre pas forcément en même temps et ne sort pas en même temps. Ce qui fait que tu rentres au mois de mai, tu as une sonia qui finit fin mai début juin, et bien en fait tu vois ce que ça donne après 2, 3 ou 4 mois. C'est ça que je trouve intéressant.
- Speaker #0
Mais c'est fou parce que moi en plus quand je partais, je l'ai connu Sonia et c'est plus la même personne.
- Speaker #1
Ah ouais, tu m'étonnes.
- Speaker #0
Franchement, là elle est dans le collectif du coup. Ouais. Et c'est plus la même personne. Elle a changé chimiquement dans son mindset. C'est grave. Elle a eu des clients, elle est plutôt contente. Et oui franchement ça fait plaisir de voir des gens comme ça réussir. Et franchement ça fait chaud au cœur parce qu'elle est super sympa. Et elle avait du potentiel. Donc franchement, c'est super. Franchement, juste à cause de ça. Et aussi, il y avait un truc aussi que j'ai bien kiffé. C'était les co-dev. Les co-dev, tu vois, typiquement, je n'ai jamais entendu ce mot-là de ma vie.
- Speaker #1
Vraiment. C'est quoi un co-dev ?
- Speaker #0
Co-dev, pour ceux qui ne savent pas. Vraiment, même moi, ça m'a choqué. En fait, l'idée, c'est que tous les apprenants se retrouvent dans un call Google Meet et qu'on partage tous nos problématiques actuelles. Et du coup... En fait, les gens, ils essayent de t'aider dans ta problématique à toi si tu la partages. C'est un tour de rôle comme ça. Et ça a l'air de rien comme ça, mais ça aide énormément de façon à banaliser les choses, à dire que nous aussi, on rencontre ça comme problématique, t'es pas le seul. Et on s'entraide comme ça, toutes les deux semaines, à corriger nos problématiques qu'on traverse. Donc ça, vraiment... En plus du WhatsApp, ça a beaucoup aidé à driver le fait que ça m'a poussé à passer à l'action de façon journalière. Les autres, ils corrigeaient mes problématiques. Il y avait le canal Wynn et du coup, j'avançais chaque jour petit à petit vers le freelance. Donc ça, c'était super. Je ne pouvais pas imaginer que ça existe. Donc il y avait ces deux choses là, le FOMO et le Codev.
- Speaker #1
Ok, donc FOMO, le canal Wynn, le Codev. Est-ce que tu vois d'autres choses ou pas ? Est-ce qu'il y a des trucs qui...
- Speaker #0
Bah évidemment, il y avait le petit voyage au Maroc. Super. Ça, honnêtement, j'en ai parlé d'ailleurs avec Mathias, quelqu'un d'autre dans le collectif. On était à l'aéroport ensemble avant d'aller au Maroc. Et on s'est dit, mec, en gros, on voyage là en tant que digital nomade, tu vois. C'est une dinguerie. On était en plein mois de... On est parti quand ? En mai ? Début mai ?
- Speaker #1
Ouais, c'est ça.
- Speaker #0
Pendant que tout le monde travaille en mai, il y a quelques jours de congés, etc. Mais la plupart des gens qui étaient dans l'avion, c'était soit des retraités, soit des entrepreneurs. Et en période hors saison comme ça, on se retrouve tous les deux pour la première fois. Voyager en tant que freelance, c'est la première chose qui était palpable. Ça honnêtement, et même tout ce qu'on s'est passé pendant le co-living au Maroc, toutes les masterclass qu'on a eues, honnêtement, ça a résonné encore plus en moi à me dire d'autres gens doivent vivre ça. Il n'y a pas que nous deux et on doit vivre ça plus nombreux. On doit remplir des avions pour aller en co-living. Et j'espère que la plupart des gens qui sont dans le shape camp actuellement, La plupart des gens partent dans un co-living à Cuba, c'est ce que tu avais promis. Tu l'as promis hein ! Non je rigole tranquille de toute façon, mais ça ferait plaisir en tout cas d'être plus nombreux à vivre ça.
- Speaker #1
De toute façon on y travaille, là tu vois c'est entre guillemets le début, ça fait un peu moins d'un an que c'est lancé Shape Room, mais l'objectif c'est justement de construire une communauté forte sur la base des mêmes valeurs, et qu'on puisse proposer des rencontres, des co-living. des immersions je ne sais quoi en fonction de ce qu'on souhaite proposer à travers le monde l'idée c'est que ce soit aussi en France parce que c'est plus accessible mais à travers ce que je vous ai présenté pour le collectif ce qui va arriver c'est qu'on puisse faire des trucs en Indonésie à Bali ou je ne sais où tu vois c'est toi qui avait proposé Cuba je crois c'est pas moi hein ?
- Speaker #0
Ouais moi j'aime bien j'aime bien les voitures roses et tout ouais mais apparemment le wifi là-bas pas fou déjà le Maroc c'était des fois il y avait des endroits où c'était pas très fibre optique mais juste le pays, Cuba, c'est une dingue ville.
- Speaker #1
Super, super. Après, tu peux aller en tant que toi, digital nomade.
- Speaker #0
Ouais, mais tu vois, comme je t'ai dit, ça m'est arrivé tellement vite que même à y aller tout seul, c'est comme un éléphant qui a été attaché à... Je ne sais pas si tu vois un peu l'image, qui a été attaché toute sa vie à un bâton. Et une fois qu'il est libre, qu'il a été détaché, il pense toujours qu'il est attaché. Je vis un peu ce moment-là, tu vois. Je peux en vrai passer en fou. full freelance. Mais j'ai toujours cette maladie mentale qui me dit, ah, sécurité, sécurité, sécurité, tu vois, tu vois. Donc je me dis, je peux tout à fait aller dans n'importe quel pays si je m'organise, mais je le fais pas parce que j'ai besoin de la transition mentale parce que ça allait beaucoup trop vite pour moi.
- Speaker #1
Mais ça arrivera un jour. Et du coup, dans cette transition mentale, puisque tu disais, Sonia, c'est que la même personne, elle a changé, etc., elle a évolué. Est-ce que toi aussi, tu observes la même chose sur toi ? Est-ce que tu trouves qu'il y a eu un changement entre le Lucien du janvier 2025 et le Lucien du juin 2025 ?
- Speaker #0
Oui, il y a eu un changement dans ma personnalité. J'ai l'impression que je suis plus moi.
- Speaker #1
Ok,
- Speaker #0
je m'explique. En fait, jusqu'à maintenant... Dans toutes mes expériences professionnelles dans ma vie, à chaque fois que je devais travailler, j'étais obligé de travailler parce que voilà j'étais situé en CDI, il y avait quelqu'un d'autre au-dessus de moi qui me demandait de faire une tâche. Et du coup, partant de ce fait là, c'était la première fois que je me disais si je fais quelque chose pour moi, en travaillant pour moi, il va y avoir des résultats dans ma vie. Et du coup j'ai changé, je suis devenu plus moi parce que cette fois-ci je travaillais uniquement pour moi. Et du coup, j'ai pris du recul sur ce que je faisais, j'ai remarqué que je faisais ça, et j'ai été super fier de moi au fur et à mesure. Donc ça, ça a changé dans ma vie et dans mon quotidien. Et j'ai pris le temps de réaliser ça.
- Speaker #1
Qu'est-ce que... Imaginons, moi je suis un pote à toi, je suis un pote, je suis en CDI et tout, et je pense potentiellement à me lancer en freelance et tout, qu'est-ce que tu lui dirais vis-à-vis de ShapeRoom ? Qu'est-ce que tu lui dirais ?
- Speaker #0
Je dirais que si tu veux faire ça, je partirais d'abord sur son historique. Parce que la plupart des gens, il y a beaucoup de gens qui sont dans la même situation que moi j'étais à l'époque. Vraiment, regarde ta situation. Même si tu te trouves des excuses en disant que tu apprécies la sécurité dans laquelle tu es, honnêtement, de l'autre côté... de la barrière, il y a beaucoup mieux. Je dirais vraiment, actuellement, t'imagines que t'es bien, mais de l'autre côté, juste le goût de la liberté, ça a autre chose. Vraiment, c'est différent et je pense que tu voudrais vivre la même chose que moi. Du coup, je lui dirais, si tu veux aller vraiment dans le sens, dans la bonne direction, prends les bons conseils, mec. Vraiment, prends les bonnes stratégies. et avance dans la bonne direction dès le départ pour éviter d'être déçu. Imaginons que tu ne veux pas être accompagné, tu vas avancer toi-même juste avec les vidéos de YouTube, imaginons. Tu vas perdre du temps. Et c'est réel parce que moi, je l'ai fait avant. Et celui qui veut se lancer, il se dira que non, je ne veux pas dépenser ça. Du coup, je préfère, je suis. plus intelligent, je préfère regarder les vidéos sur Youtube, ça va suffire. Alors que là, chez Proum, c'est quelqu'un du coup toi Nicolas, qui t'as vécu la transition CDI à freelance, t'as vécu tout ce qu'on a vécu, et du coup c'est comme si cette transition-là elle est facilitée avec toutes les informations qu'il va recevoir et toute la communauté parce qu'il va rejoindre une communauté, il y aura des gens de son niveau. qui va l'aider et qui va le tirer vers le haut, ça vaut largement le coup de prendre le risque mesuré de rejoindre Shaperoom.
- Speaker #1
Si je te pose la question, imagine que je suis ton pote, je te dis « Ok, mais pourquoi Shaperoom ? » Pourquoi je devrais aller rejoindre ?
- Speaker #0
Parce qu'honnêtement, vraiment, honnêtement, je ne vois pas s'il existe autre chose d'autre. Même si tu le fais de façon... Vraiment, si tu prends le marché... Tu regardes s'il y a des accompagnants comme toi qui ont vécu la même histoire que toi, honnêtement, tu trouves qui fait ça ? Qui fait du coaching comme ça ? Qui fait des co-dev ? Qui réunit une communauté aussi authentique que la tienne ? Qui fait ça sur le marché ? Il n'y a pas une question... Moi, en tout cas, je vois même, si tu analyses froidement le marché, il n'y a pas autre chose. Tu vois ce que je veux dire ? Qui fait du codev en vrai ? Qui va en co-living ? Qui déplace des apprenants en co-living ? C'est ouf, tu vois ce que je veux dire ? Je lui dirais ça. Je lui dirais, il n'existe pas d'autre chose. Vraiment, c'est exclusif.
- Speaker #1
Waouh,
- Speaker #0
ça fait plaisir. C'est la vérité, je te dis ça, parce que c'est authentique, c'est la vérité. Il n'existe pas autre chose. Vraiment, je demanderais aux gens de me prouver qu'est-ce qu'il y a sur le marché. de concurrentiel à ça. Tu vois ? Pas aussi haut, parce que toi en plus tu donnes ! Genre toi en tant qu'accompagnant, il n'y a pas que les vidéos préenregistrées, il y a toi aussi qui fais des one-to-one avec chacun de tes apprenants. Moi j'ai reçu ça, et je veux que les autres aussi reçoivent la même chose que toi, le même accompagnement, et vraiment la même énergie que tu as su nous transmettre. Et c'est ça qui fait la différence en fait.
- Speaker #1
Bah écoute j'ai rien à ajouter.
- Speaker #0
Il est ému là !
- Speaker #1
Ah non mais ça fait plaisir d'entendre ça parce que comme tu l'as dit, toi tu me disais ouais j'ai envie qu'il y ait encore plus de personnes dans les avions pour partir en collégium. On remplit,
- Speaker #0
on remplit, on remplit Ryanair, on remplit le Transavia, on va tous là-bas ! Mais genre que des digital nomades dans un avion, après ça ferait plaisir.
- Speaker #1
Non mais moi ça me fait trop plaisir d'entendre ça parce que la communauté c'est quelque chose de très important pour moi. J'ai pas juste envie de faire une formation, j'ai juste envie de faire une formation en ligne ou un accompagnement et il y en a des très bons en vrai. Moi j'ai envie de créer une sorte de mouvement. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, les salariés qui veulent se lancer en freelance, qui en ont marre du CDI, ou même les jeunes, aujourd'hui ceux qui sortent du bac et tout, n'ont pas forcément envie d'aller dans une école, faire 5 ans, tout ça pour gagner 2000. 2500 3000 euros faire du métropole au dodo comme tu le disais et en fait c'est un changement de paradigme qu'on est en train de vivre et je trouve qu'il ya beaucoup de personnes qui sous-estiment ce changement qu'on est en train de voir en fait se dérouler tu vois et moi j'ai envie que chez Eproum ce soit vraiment quelque chose qui accompagne dans l'ensemble ce changement de paradigme ce mouvement tu vois donc non seulement Ça passe par une formation, un bootcamp en l'occurrence, mais aussi derrière, c'est une communauté. C'est un écosystème où c'est comme une école que tu ne quittes jamais vraiment. Parce qu'aujourd'hui, on a construit l'école de sorte à ce que tu fasses 2, 3, 4, 5 ans, et après c'est terminé. Après tu te démerdes, tu es dans ton entreprise, et puis si jamais tu veux te reconvertir, il faut repayer 10 000 euros, il faut un master ou je ne sais quoi. Alors qu'en vrai, pour moi, l'école... C'est un truc qui devrait toujours être là, tu vois. Et pas être perçu comme quelque chose, comme une corvée.
- Speaker #0
Moi qui me forme encore jusqu'à maintenant,
- Speaker #1
par exemple,
- Speaker #0
toutes les masterclass qui sont encore dans le collectif, etc. Tout ça, c'est utile même pour quelqu'un d'expérimenté. En fait, le marché évolue tellement, même la technique évolue tellement, qu'on a besoin de se former de façon continuelle. Et ça matche complètement avec les besoins.
- Speaker #1
Et pour moi, au-delà de l'aspect professionnel, formation et tout, t'as aussi l'aspect... perso en fait, de communauté, l'école living, les rencontres qu'on fait. Pour moi c'est ça aussi qui fait vivre une école à l'image d'une école de commerce, t'as un BDE et tout. Et bah pour moi c'est la même chose tu vois. Chez Eproum pour moi ça deviendra un écosystème qui va remplacer en quelque sorte l'école et qui va être une très bonne alternative à l'entreprise parce que en fait t'es à ton compte mais en même temps t'as un collectif, t'as des coachs qui sont à disposition, t'as des formations supplémentaires et tout. T'as plein de choses, tu peux avoir des séminaires, des trucs comme ça tu vois. Donc en fait c'est une école 2.0 et aussi je trouve une sorte d'entreprise 2.0. Moi c'est ce que je veux construire et je trouve qu'il y a plein de formateurs, plein d'écoles, parce qu'il y en a plein des formateurs en ligne et tout machin, je trouve qu'il y en a plein qui le font pour l'argent, qui le font par opportunité, et d'autres qui juste ne comprennent pas l'enjeu qu'il y a. C'est vraiment un enjeu de société, un enjeu éducationnel en fait.
- Speaker #0
Ouais, complètement.
- Speaker #1
C'est-à-dire que tu peux avoir un vrai impact sur l'éducation de nos jeunes, l'éducation du pays, tu vois, et sur l'épanouissement des gens, parce que toutes les personnes qui viennent en appellent avec moi. avant de rejoindre Shape Room. Les trois mots clés qui reviennent, c'est liberté, épanouissement, sérénité. C'est-à-dire que les gens, ils cherchent de la liberté, être épanouis et être sereins.
- Speaker #0
Mais clairement, clairement. Mais tu vois, typiquement, tu as parlé de ceux qui viennent d'avoir leur bac. Il y a un mec dans le collectif aujourd'hui.
- Speaker #1
Tom Soa.
- Speaker #0
Tom Soa, qui est dans ta formation. Il a 18 ans. 18 ans. Imaginez, les gens qui se posent la question. voilà enfin qui se disent qu'ils remettent à plus tard leur passage à l'action imaginez un mec de 18 ans qui a eu le bac à peine je sais pas il a eu l'année dernière le bac ouais en révolu tu as eu ton bac l'année dernière lui il est venu dans le collectif il a fait la même promotion que moi et ça y est aujourd'hui il est freelance à son compte donc il peut complètement vivre de ça mais imagine le nombre de gens qui comme tu l'as dit ne sont pas épanouis il y en a beaucoup mais lui tu vois il s'est posé la question à 18 ans il a même pas fait un seul jour de CDI de sa vie il a pas goûté au corporate game il a même pas fait des études supérieures mais je te jure c'est ouf c'est oufissime donc vraiment il n'y a pas de comparaison en fait tout le monde veut de la liberté tout le monde veut de l'épanouissement et c'était quoi la troisième chose ? sérénité être serein et tout le monde veut de la sérénité gagner Mais en fait, si tu veux, tu apportes de la valeur à la société. Tu prends ton argent tranquille, tu vis sereinement avec ta famille, c'est tout ce qu'on veut en vrai. On veut pas... En vrai, tout le monde veut bien travailler, mais juste on veut bien dormir la nuit, avoir une bonne qualité de sommeil et être épanoui dans ce que tu veux faire dans la vie. Tu veux travailler et être épanoui en même temps. Donc je pense que ça, c'est 100% de la population. Je ne dirais pas qu'il y a une seule personne qui ne voudrait pas faire ça. Non,
- Speaker #1
mais c'est clair. Et en plus, quand tu regardes les chiffres aussi, moi je me renseigne un petit peu, la France a le plus haut taux de dépression en Europe. C'est-à-dire qu'en France, on a un taux de dépression, je crois, à 11%, et la moyenne en Europe, elle est à 6%, quelque chose comme ça. Donc, c'est quasiment le double,
- Speaker #0
tu vois. Clairement, parce que tous les salaires, souvent, enfin, moi, c'était mon cas, ça ne suffisait pas. Juste la question du salaire en France, avec les cinq ans d'études que j'ai faits, moi, ça ne me suffisait pas pour être logé à Paris. Enfin, même pas à Paris, on va dire, allez, je suis ambitieux, mais même en région parisienne, ça ne me suffisait pas. Pour te dire, vraiment, c'est très important de trouver une alternative ou ce que j'ai appelé le système actuel, en trouver quelque chose d'autre pour être épanoui tout simplement professionnellement. Il n'y a pas une... En fait, je pense que si tes chiffres-là, si tu les catégorises autour de l'île de France,
- Speaker #1
je pense que ça doit être beaucoup de gens. Ah ouais. Je crois qu'ils doivent être dépressifs, clairement, parce que...
- Speaker #2
Mais c'est pour ça, tu vois, pour moi, c'est ça aussi la mission de Shape Room. C'est qu'il y a des gens aujourd'hui qui, comme toi, ne connaissent pas le freelancing. Ils ne savent pas ce que c'est. Il y en a d'autres qui connaissent, mais ils ne savent pas. Ils se lancent, ils ne se lancent pas, ils ont peur, etc. Ils ne savent pas quel métier. ils ne savent pas comment trouver des clients, comment vivre de leur activité. Et pour moi, c'est aussi ça la mission de Shaperoom, c'est de donner l'opportunité à des gens qui en ont envie, de pouvoir sortir de leur métro-boulot-dodo, de leur boulot, s'ils ne sont pas heureux, de pouvoir voyager, de pouvoir choisir ses horaires, être son propre boss, gagner plein d'argent. Tu vois, moi, quand j'étais en freelance, je gagnais toujours entre 5 et 10 000 euros par mois. Tu vois, j'étais bien, en vrai. Je le suis toujours. T'es des scores,
- Speaker #0
toi.
- Speaker #1
J'espère que je vais arriver à ton niveau, mais...
- Speaker #2
15 000 records à battre.
- Speaker #1
Ouais, écoute,
- Speaker #0
ça m'est arrivé avec toute la préspection que je fais en ce moment. Normalement,
- Speaker #2
tu vas y arriver, je ne me fais aucun doute là dessus. Par contre, ça va dépendre de quand tu vas quitter ton job.
- Speaker #0
Parce que je vais gagner du temps à côté pour pouvoir effectivement faire rentrer plus de clients et facturer plus cher.
- Speaker #2
Pour finir, parce qu'on va arriver à la fin, c'est quoi un peu la suite pour toi ? C'est quoi les plans là ? Dis-nous. Bah, bais-nous salivés.
- Speaker #1
Moi, septembre-octobre. Ouais. Normalement, je devrais... Enfin, normalement, on va arrêter de dire normalement. Voilà.
- Speaker #0
Je me rappelle de la formation Mindset.
- Speaker #2
Le pouvoir des mots.
- Speaker #1
Donc, en vrai, mi-septembre,
- Speaker #0
je devrais... Je devrais... Je dois...
- Speaker #2
ou je veux,
- Speaker #1
de façon planifiée,
- Speaker #0
quitter mon CDI et me lancer complètement dans cette activité de freelance. C'est ça qui est ma suite.
- Speaker #2
Donc le 15 septembre ?
- Speaker #0
Le 15 septembre.
- Speaker #2
Pourquoi je te dis ça ? Parce que c'est plus précis. C'est enregistré.
- Speaker #1
C'est enregistré dans mon e-reviews. C'est daté, ce sera sur YouTube. Le 15 septembre 2025 chez les gars, Lucien Billong, sur LinkedIn, freelance complet.
- Speaker #2
Parfait, on va suivre ça. J'essaie de poster au plus vite cette vidéo. Comme ça,
- Speaker #1
on te mettra la presse. J'espère qu'il va confondre beaucoup de vies. Il y a peur.
- Speaker #2
Justement, faites des vues, likez, commentez, partagez, abonnez-vous.
- Speaker #1
Partagez plein. Ça pète les scores aussi, cette vidéo.
- Speaker #2
Lucien, il fait des vues. C'est ça. Et on ira voir ton compte LinkedIn le 15 septembre.
- Speaker #1
Ouais. On ira voir,
- Speaker #0
mais en tout cas c'est bien parti. J'espère qu'avec la discipline que je me mets en place tous les jours comme ça, normalement je maximise mes chances de dépasser les 15 000 aussi, pourquoi pas.
- Speaker #2
Écoute, je te le souhaite. En tout cas, toi tu as toutes les armes. Franchement, je te trouve très bon. Tu as une bonne base technique, tu as déjà 4 clients à côté de ton job. Franchement, tu es chaud. Et Tom Sawat,
- Speaker #0
tu sais qu'il a 8 clients ? J'ai appris ça.
- Speaker #2
Ouais.
- Speaker #1
Il m'a dit qu'il en avait 8 !
- Speaker #0
T'imagines ? Il a 18 ans !
- Speaker #2
Ouais, non mais c'est un truc de fou. Mais Tom Sawyer, à un moment donné, il gagnait plus qu'un CDI après 5 ans d'études. Ouais. 18 ans.
- Speaker #0
Mais c'est ouf ! Honnêtement, ça c'est... Juste ça, ça suffit.
- Speaker #1
Moi, tu me donnes cette information-là, tu vois, je prends juste ça, et je vais aller raisonner avec ça, tu sais, dans ma nuit, je vais rêver de ça, tu sais. Un mec qui a 18 ans, il a 8 clients. Il a 8 clients,
- Speaker #0
t'imagines ? Ouais. Dinguerie ! Lui, c'est une multinationale, tu vois.
- Speaker #2
Il est fou.
- Speaker #1
Donc, il est très inspirant.
- Speaker #2
Comme ça, il avance. Parfois à tort, parfois c'est trop un bourrin, comme tu disais, mais au moins il avance, il a des résultats.
- Speaker #0
Chacun sa personnalité,
- Speaker #1
mais de toute façon, en co-dev, on se retrouve et ça fait toujours sourire comment lui procède. Il a un logiciel différent installé dans son cerveau. Il réfléchit de façon différente et juste les risques qu'il prend.
- Speaker #0
Il fait des choses, il fait des pubs,
- Speaker #1
etc.
- Speaker #0
Et il monte sa tête sur LinkedIn, il se fait des faces caméra. Moi, avec ma personnalité, je n'aurais pas imaginé faire ça. Et sachant que lui, il fait ça, franchement, ça me donne des idées, etc. Je me dis, avec sa personnalité et comment lui prend les choses, ça peut inspirer plus d'un, et dont moi. Mais il n'y a pas que lui, il y a Mathias, il y a d'autres gens qui ont d'autres façons de fonctionner et qui inspirent.
- Speaker #2
Justement, en parlant d'inspiration, le petit mot de la fin, tu parles à quelqu'un qui nous regarde, qui regarde cette vidéo, qui est toujours là, qu'est-ce que tu lui dirais ?
- Speaker #0
Je lui dirais, c'est maintenant ou jamais... Tu as un risque mesuré à prendre. Moi, tu peux me poser la question sur LinkedIn, on peut faire un call. Avant, d'ailleurs, j'ai pris des gens en call et je leur ai parlé de mon parcours. J'existe vraiment,
- Speaker #1
je ne suis pas juste un mec sur YouTube ou en podcast.
- Speaker #0
J'existe, tu peux me parler. Je m'appelle Lucien Bilong sur LinkedIn. J'ai fait cet accompagnement-là. J'ai vécu la transition en 3-4 mois. honnêtement tu peux y arriver il suffit que tu aies ce déclic là et que tu passes à l'action et si tu suis si tu travailles vraiment t'as pas besoin de travailler beaucoup juste deux mois de façon régulière honnêtement tu peux y arriver il n'y a aucune raison pour que tu n'y arrives pas et ça c'est clair et net pose moi la question sur linkedin tu vois je suis mes dm sont ouverts Et si tu joues, on se fait un call, il n'y a aucun souci.
- Speaker #2
Magnifique. Drop the mic encore une fois.
- Speaker #1
Voilà. Je suis le punchliner ici.
- Speaker #2
Bon, les gars, on te donne de la force. Alucia, on va voir ton profil LinkedIn, c'est ça ?
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
Ecoutez, venez me voir. J'espère que le 15 septembre, j'aurai retenu ma promesse. Mais oui, venez me voir sur LinkedIn et mes DM sont ouverts.
- Speaker #2
Parfait. Et c'est que LinkedIn où tu postes, où tu as d'autres réseaux ?
- Speaker #1
Je vais pas quand même donner mon numéro de téléphone. Allez, 06, là ! Bon, on se retrouve sur LinkedIn. Honnêtement,
- Speaker #0
vu que je suis actif vraiment de ouf en ce moment sur LinkedIn,
- Speaker #1
j'ai fait des posts et tout.
- Speaker #2
Ouais, et d'ailleurs, pour ceux qui veulent se retenir sur Google Ads, moi, tes posts, mec, je les kiffe. Ils sont très bien. Ah ouais, vraiment, je tenais à te le dire.
- Speaker #1
Ça fait plaisir.
- Speaker #2
Non, je te jure, j'en ai lu 2-3 récemment. Je me suis dit, putain, pas mal.
- Speaker #1
Je vous le bat, tu vois, je suis actif dessus.
- Speaker #2
c'est franchement quali de fou Quel lit de fou ! Bon, on conclut tout ça. Si vous avez kiffé la vidéo, qu'est-ce qu'on fait ? On lâche un like, on partage,
- Speaker #0
un commentaire,
- Speaker #2
et on s'abonne, on active la petite cloche, vous connaissez la chanson. Et puis, comme on l'a dit, vous pouvez retrouver Lucien sur LinkedIn, vous pouvez me retrouver moi sur Instagram, moi je suis partout, Instagram, podcast, YouTube, TikTok, LinkedIn aussi. N'oubliez pas de vous abonner, et puis on se retrouve très rapidement dans un prochain épisode.
- Speaker #1
Ciao !