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# 77 [ITW] Découvre la kinésiologie et ses liens au transgénérationnel avec Kim cover
# 77 [ITW] Découvre la kinésiologie et ses liens au transgénérationnel avec Kim cover
Tabou- Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs

# 77 [ITW] Découvre la kinésiologie et ses liens au transgénérationnel avec Kim

# 77 [ITW] Découvre la kinésiologie et ses liens au transgénérationnel avec Kim

56min |20/02/2025
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Tabou- Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs

# 77 [ITW] Découvre la kinésiologie et ses liens au transgénérationnel avec Kim

# 77 [ITW] Découvre la kinésiologie et ses liens au transgénérationnel avec Kim

56min |20/02/2025
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Description


As-tu déjà ressenti que ton corps te parlait, mais que tu n'écoutais pas ? Dans cet épisode je reçois Kim, une thérapeute passionnée spécialisée en kinésiologie, qui nous plonge dans un univers fascinant où le corps et l'esprit se rencontrent pour favoriser la guérison. Kim partage son parcours inspirant, passant d'une carrière en comptabilité à une vocation profondément ancrée dans le bien-être après avoir vécu un burn-out. Cette transition l’a amenée à découvrir la kinésiologie, une pratique qui utilise le corps comme un véritable guide pour identifier et traiter les émotions et les stress accumulés.


Au fil de la discussion, Kim nous révèle comment chaque douleur physique peut être le reflet d'émotions non résolues. Elle souligne l'importance d'écouter son corps pour une guérison authentique, une notion essentielle dans le cadre du transgénérationnel et de l'astrologie. Ensemble, nous explorons les différentes techniques de kinésiologie, les blocages émotionnels qui nous freinent, et l'impact puissant du transgénérationnel et du karmique sur notre santé mentale et physique. En effet, Kim insiste sur le fait que le corps détient toutes les réponses nécessaires à notre bien-être.


Pour la retrouver : Kima Lauran kim.lauran.kinesiologue@gmail.com

46 allée Albert Camus

91330 Yerres

Insta : kimlauran.kinesiologue


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Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, bélier ascendant lion, lune en lion. Ce qui me plaît par-dessus tout, c'est d'explorer les mystères de la vie, comprendre pourquoi on est comme on est, et trouver des solutions pour exploiter au maximum ses potentiels. Ma maison 8 dominante me pousse à explorer ce qui est caché, à sortir de l'ombre les tabous, les mettre en lumière pour se transformer, se renouveler jusqu'à être parfaitement authentique. C'est pourquoi je t'accompagne grâce à l'astrologie. au transgénérationnel et à toutes mes compétences acquises au fil des années. Bonjour et bienvenue dans l'épisode tabou où je suis accompagnée, où j'ai une invitée. Je suis ravie de vous retrouver dans ce nouvel épisode. Bonjour Kim !

  • Speaker #1

    Bonne journée de ça !

  • Speaker #0

    Comment tu vas ?

  • Speaker #1

    Très très bien, il y a un beau soleil et il fait presque 20 degrés aujourd'hui, c'est fou, après la neige.

  • Speaker #0

    C'est ça, il y a deux ou trois jours il neigeait et maintenant presque on va avoir chaud quoi. Enfin bref, tout va bien.

  • Speaker #1

    On ne saura plus si on te faudra se déshabiller.

  • Speaker #0

    C'est ça, mais là, je suis en pull et j'ai presque trop chaud. Mais bon, je vais garder mon jaune qui est sur moi, donc je ne vais pas me déshabiller, je vais suer, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    Mais c'est très solaire.

  • Speaker #0

    Voilà, merci. Donc aujourd'hui, on va te découvrir, Kim, en tant que thérapeute. On va surtout parler un peu d'une de tes pratiques qui est la kinésio. Le but, je rappelle, de ces épisodes, c'est un peu de découvrir d'autres techniques et de voir à quel point c'est merveilleux le monde du bien-être et de la guérison. Voilà, donc on va échanger là-dessus. Et comme d'hab, vu que Kim, elle est un peu comme moi aussi, elle est un peu bavarde, peut-être que ça va déborder et qu'on va parler de tout et n'importe quoi. Donc, toi qui écoutes cet épisode, n'hésite pas à prendre un thé et à te mettre tranquille au chaud. Voilà, fais-toi plaisir. Alors Kim, est-ce que tu peux te présenter tout simplement ? Qui es-tu ? Que fais-tu ?

  • Speaker #1

    Alors, je m'appelle Kim. Je suis thérapeute depuis à peu près, presque pratiquement trois ans. J'utilise plusieurs techniques, dont la kinésiologie, mais pas que. J'utilise aussi, en fait, mes dons spirituels, donc la médiumité. Et je combine un petit peu dans mes séances. Et c'est... très parlant parce qu'on combine le corps et la spiritualité. Alors que si vous voulez, ce qui est génial, c'est que le corps, en fait, il est connecté à plusieurs corps, corps subtils, dont le corps divin. Donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps, il a toutes les réponses.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça qui est merveilleux. Ça, c'est passer par le corps. Je pense vraiment que c'est quelque chose qui me manque un peu dans ma pratique. et que je trouve très intéressante parce que finalement, dans ma façon de faire, on passe vraiment dans le mental. Moi, personnellement, je passe par le corps, j'essaye d'écouter mon corps, de libérer dans le corps, mais je trouve que c'est effectivement hyper enrichissant de passer par le corps. Comme tu dis, le corps, il fait quoi ? C'est fou quand on l'écoute. Le message qu'on reçoit du corps, c'est incroyable.

  • Speaker #1

    Le corps, il est génial, c'est notre véhicule de vie. Et sachez une chose, c'est que... On a beau travailler le mental, mais si le corps, il n'a toujours pas intégré ou accepté, parce qu'il a ses peurs aussi, parce qu'il ne connaît pas. Tu vois, par exemple, on a beau des fois travailler le mental, mais si le corps, en fait, si tu ne le ressens pas dans ton corps, c'est comme si tu disais quelque chose dans le vide, en fait. Par exemple, la personne, elle va se dire, je vais, enfin... pas que les points neurovasculaires, etc. Même si des fois, tu essaies d'intégrer, mais si derrière, le corps, tu ne le ressens pas dans le corps, c'est comme si tu ne pourras pas le mettre en pratique réellement. Et c'est pour ça que, si tu veux, j'accompagne pas mal de gens qui sont coachés.

  • Speaker #0

    justement et ils sont là oh c'est bon Kim j'ai déjà travaillé et puis en fin de compte oui tu l'as travaillé mais le corps il est pas encore ok ouais c'est ça je vois c'est on intellectualise et puis en fait le fait de passer que par le mental parfois ça me permet pas aussi de lâcher totalement et on vient peut-être un peu interpréter et évidemment à un moment il y a l'ego aussi qui vient et qui dit c'est bon j'ai libéré c'est génial tout va bien alors qu'en fait pas du tout quoi ... Au contraire, on en est loin.

  • Speaker #1

    J'ai eu pas mal de gens, justement, qui sont venus de cette fameuse école de coaching qui me disaient, mais non, mais Kim, c'est bon, je l'ai travaillé et puis j'ai travaillé depuis des années. Mais sauf qu'en fin de compte... il y a encore des miasmes, des restes, des restes des fois qui sont inconscients. Si tu ne vas pas jusqu'à la racine, tu vois, c'est comme si ce n'était pas guéri ou libéré.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et même, tu vois, j'aime bien cette métaphore. Si tu ne vas pas à la racine, ce n'est pas guéri, libéré. Mais même des fois, quand tu vas à la racine, ça peut revenir. Ça me fait penser à quand j'avais un jardin potager, bref. Et tu vois, tu enlèves les plantes, tu enlèves la racine et en fait finalement il reste un bout de racine. Et la plante elle repousse au même endroit et tu te dis ça m'énerve. Et bien en fait c'est un peu ça je trouve finalement ce dont on a besoin de guérir. C'est que déjà c'est hyper important, si tu coupes juste la plante tu peux être sûr que dans trois jours elle repousse. Mais en plus même quand tu enlèves à la racine, il faut vraiment faire en sorte d'enlever toute la racine et tout quoi. Parce que sinon, ça va devenir encore présent. Et c'est la même chose avec les blessures. Et du coup, de passer par différentes méthodes, l'intellectualisation, l'inconscient, le corps, etc. Ça permet d'aller à la racine à différents niveaux. Et finalement, d'être sûre qu'on a arraché cette racine.

  • Speaker #1

    Alors moi, ce que je dis souvent à mes clients en séance, c'est... C'est comme si, en fin de compte, là, tu as une blessure béante, sanguinolente qui est à vif. Et que les gens, par exemple, en fait, que ce soit des personnes ou des situations, recontactent cette blessure, mais c'est comme s'ils prenaient leurs doigts et ils secouaient à l'intérieur. Donc forcément, qu'est-ce qui se passe ? C'est que tu surréagis, bien sûr, parce que ça fait mal. Et les séances, ça permet en fin de compte de prendre conscience de cette blessure et des enjeux aussi. Qu'est-ce que ça a travaillé chez toi ? C'est quoi les conséquences de cette blessure ? Moi, ce que je dis souvent, c'est que la conscientisation, c'est 75% déjà de l'accompagnement pour se libérer. ou pour guérir de cette blessure.

  • Speaker #0

    C'est sûr.

  • Speaker #1

    Et ensuite, le reste, c'est effectivement, bon, c'est dire au corps, maintenant, tu peux le faire, c'est rien, on passe à autre chose. Et c'est comme si on mettait un pansement dessus, jusqu'au jour où... Et lorsque les personnes vont recontacter cette blessure, la personne va dire, ah, ok, je comprends que ça retouche cette blessure, mais je suis ok maintenant avec ça, ça va mieux jusqu'au jour. on vibre autre chose, on passe à autre chose tout simplement, on enlève ce pansement et on se rend compte que c'est cicatrisé.

  • Speaker #0

    Oui, c'est beau, c'est ça, les différentes étapes, c'est assez beau. Ok, comment est-ce que tu es tombée dans la kinésio ? Qu'est-ce qui t'a fait aller vers ça ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est un peu particulier, parce que si tu veux, je suis aussi médium, avant d'être kinésiologue, je suis aussi médium. J'étais comptable dans des structures, dans des grosses structures plutôt internationales. Je gagnais bien ma vie. Mais tu te rends compte qu'il y a un autre appel. J'ai fait un burn-out, un vrai burn-out parce que c'était même avant le Covid. Je commençais à me sentir pas bien dans ce que je faisais, dans ce que j'étais un jour. Donc je rêve, je rêve de mes guides. De mes guides et puis ils sont tout autour d'une table. Une chose à savoir, c'est que la kinésiologie, je ne connaissais pas du tout. J'avais juste entendu parler, tu sais, des gens qui me disent, « Oh, je suis partie voir un étiomédecin. » Ok, un chiropractor, ok,

  • Speaker #0

    un kinésiologue,

  • Speaker #1

    ok, mais je n'ai pas cherché à savoir ça.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et donc, dans ce rêve, je rêve de mes guides. Ils sont six autour d'une table carrée. Et il y en a qui disent... Il y en a une qui disait, ouais, mais elle aurait dû persister parce qu'elle aurait pu encore apprendre sur l'humain. Et il y en a un autre qui disait, tu as vu comment elle est fatiguée, peut-être que c'est le moment. Je me réveille, j'entends la physiologie, je fais, c'est quoi ça ?

  • Speaker #0

    Trop fort !

  • Speaker #1

    Je tape, et puis je commence à pleurer parce que ça faisait dix ans que je cherchais justement un métier dans le bien-être. qui pourrait me correspondre. J'étais dans les massages parce que forcément, tu sais, en fait, je ressens les points, les nœuds. C'était intuitif. Il y en a qui me disaient, ouais, je te verrais bien aussi, psychologue, parce que tu trouves les mots, t'arrives... Et puis moi, je dis non, Il manque quelque chose. Et bien là, ça cumule les deux.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est génial.

  • Speaker #1

    C'est génial. Le corps et puis les paroles. Oui,

  • Speaker #0

    les paroles.

  • Speaker #1

    Et donc, je commence à pleurer. Et puis, me voici. Trop bien.

  • Speaker #0

    Alors justement, ça me permet de rebondir parce que tu dis le corps et les mots. C'est quoi en vrai la kinésio ? Comment ça se passe ? Qu'est-ce que c'est ? Quoi le principe de la kinésio ?

  • Speaker #1

    Alors la kinésio, c'est utiliser le corps pour connaître s'il y a stress ou les émotions. À savoir que le corps parle. Et on a tendance à l'oublier, ces petits corps. On se dit, oh j'ai mal ici, bon on va mettre de la pommade. Oh j'ai mal là, je vais prendre un togiprane.

  • Speaker #0

    C'est ça. On n'essaye pas de comprendre pourquoi on a mal et d'où ça vient et peut-être d'écouter. Si on est fatigué, de se reposer. Non, si on est fatigué, on va prendre du café. Enfin, voilà quoi.

  • Speaker #1

    Prendre des remèdes alternatifs.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    Et alors qu'en fin de compte, effectivement, il y a tellement de... Par exemple, certaines maladies, on sait que ça correspond à telles émotions. à pourquoi cette personne elle a ça. En fait, on arrive à décrypter vraiment le corps en séance. Ce qui se passe, c'est ce que je dis à mes clients. C'est que lors de la séance, ils peuvent être amenés à ressentir des choses dans leur corps parce que des fois, on est dans des ambiances ou des émotions. Et puis le corps, la personne dit « Ah oui, j'ai mal ! » Et puis on va regarder la signification et bim ! C'est exactement ce dont on parlait.

  • Speaker #0

    Oui. Vraiment.

  • Speaker #1

    Par exemple, hier, j'étais avec une cliente où justement, elle s'est complètement oubliée au profit de sa sœur parce que sa petite sœur est handicapée. Et elle me disait, « Ah, je ne sais pas qui, depuis quelques temps, je souffre, j'ai mal un petit peu vers la hanche, mais du côté gauche. » Donc, je lui dis, « C'est comment avec maman ? » Elle me dit, « Oh non, c'est plutôt bien. » Elle a été plutôt... C'est une maman aimante et tout. OK. Mais quand on a commencé à parler de maman et le fait qu'elle l'a mise un peu de côté au profit de sa sœur, eh bien, la douleur s'est ravivée pendant la séance. OK,

  • Speaker #0

    oui.

  • Speaker #1

    Elle a fait, ah oui, c'est vrai. Ben oui, c'est là qu'elle me disait, oui, c'est vrai que j'ai tendance à m'oublier parce que maman aussi, c'est... C'est vrai que pour être aimée, il fallait que je me fasse la plus petite possible pour qu'en fin de compte, ma mère ne soit pas embêtée par moi.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, d'être la plus sage. Je ne veux pas rajouter un poids à ma mère qui vit déjà ça. Mais du coup, justement, en séance, qu'est-ce que tu fais ? Tu touches des points ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est... Alors... La kinésiologie, on utilise ce qu'on appelle le test musculaire.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    En vérité, c'est qu'on pourrait utiliser tous les muscles de ton corps. S'il y a un stress, le corps, il lâche complètement. C'est comme s'il était flasque,

  • Speaker #0

    le corps, totalement.

  • Speaker #1

    Voilà. Et le but en kinésiologie, c'est de rendre le corps costaud. Parce qu'en fait, s'il est costaud, ça veut dire qu'il est OK.

  • Speaker #0

    OK. Il est prêt.

  • Speaker #1

    Tu vois, c'est comme par exemple les gens, ils vont venir te voir, ils vont te dire j'ai confiance en moi et puis tu sais pas pourquoi le corps il bouge. Ou sinon la personne elle te dit oui, oui, oui, oui, oui.

  • Speaker #0

    Et elle secoue la tête de Ausha droite.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement. Et on se rend compte que ben, c'est pour ça que les gens qui arrivent à décrypter la gestuelle du corps, ils savent ce que dit le corps. Parce qu'on voit qu'il est pas ok s'il est... Alors que... Quand il est plus stable, il est ancré, ça veut dire que c'est bien.

  • Speaker #0

    Ok. Et du coup, comment tu renforces le corps, justement ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a plusieurs protocoles. Il y a plusieurs protocoles d'équilibration qui existent en kinésiologie ou dans mes pratiques à moi. Par exemple, si on utilise les méridiens du corps, donc plutôt la médecine chinoise, à savoir les méridiens, c'est comme notre tableau électrique. S'il y en a un qui disjoncte dans les méridiens, ça veut dire que dans ton circuit, il y a quelque chose qui galère. Par exemple, je vais dire un truc tout bête. La personne, par exemple, il y a un méridien, c'est-à-dire un organe qui prend trop d'énergie parce qu'il est dans sa colère, je ne sais rien. Il va impacter l'autre organe. l'autre organe qui arrive après ou à l'intérieur parce que ça dépend du schéma du cycle shing ou du cycle ko et en fait le cycle ces différents cycles en fait ça nous permet de savoir quel méridien on doit rééquilibrer ok tu vois et là tu le sais tu on a des on sait quels muscles ça appartient à tel organe tu vois et puis on les testes quand tu vois qu'il n'y a pas d'énergie, ça veut dire que lui, il ne fonctionne pas. Et si, par exemple, imaginons que la personne, elle n'a pas du tout d'énergie dans le cœur, ça, par exemple, le système en entier, il ne fonctionne pas très bien. Parce que le cœur, c'est comme l'organe de vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, oui. Mais du coup... Alors, je vais faire vraiment le côté très pratico-pratique. Je veux un truc très cartésien et comprendre en détail. Je vais être un peu relou là-dessus. Mais je vais partager un peu mon expérience et ce que j'ai entendu. J'avais vu une kinésio. Justement, toute la séance comme ça, elle me touche un peu le poignet. Je ne sais pas quoi. Elle me pose des questions. Elle me parle de ma grand-mère. Elle me parle de « est-ce qu'à l'âge de… » Toi, tout à l'heure, tu as dit que, en off, C'est-à-dire avant qu'on commence à enregistrer le podcast, tu m'avais dit que justement la kinésio, en tout cas l'école dans laquelle tu as appris la kinésio, leur but c'était d'être sur le même niveau que l'ostéopathie, côté très cartésien et la médiumnité, ils n'aiment pas trop ça. Mais de mon expérience et de ce que j'ai entendu autour de moi, ça fait un peu le truc magique la kinésio. Genre tu touches le poignet et tu me parles de ma grand-mère. Comment est-ce qu'on fait si on n'est pas médium ? pour parler de, pour dire des choses aussi précisément. Est-ce que réellement, sans médiumnité, on peut aussi ?

  • Speaker #1

    On peut aussi. Et en fait, il y a des protocoles où on peut aller dans le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Ok. En touchant juste une partie du corps, quoi.

  • Speaker #1

    Le poignet ou une partie du corps, par exemple. Exactement. Et c'est pour ça que la personne, elle peut te poser des questions, parce qu'elle sait, le corps, ah, c'est là où il faut aller. C'est vrai que grâce à ce test musculaire, on a bien sûr, c'est quand même toute une pratique qu'on a appris. C'est à partir de là qu'on sait où il faut aller, où il faut creuser. Et on interroge le corps, on sait que tiens, il y a ça qui parle, pof, il faut y aller.

  • Speaker #0

    Mais vraiment, c'est pas que je suis sceptique, c'est vraiment que j'ai très envie de comprendre comment ça fonctionne. Mais tu vois, parce que... Par exemple, moi, en séance, c'était vraiment ça. On est passé, 80% de la séance, sur le poignet. Je veux dire, le poignet, il a tellement de choses à dire que ça. C'est ça que je trouve assez fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, on a aussi pas mal des fiches de syntonisation. Syntonisation, c'est tout ce qui est émotion, ambiance. On a différentes ambiances. Par exemple, on teste. C'est comme si tu testais... ces fiches-là, et puis tu sais que ah ok, ça correspond par exemple au tel ou tel baromètre, tu peux aller au baromètre. Moi, je n'utilise pas forcément que les baromètres parce que tu peux avoir le truc, l'intuition, et puis hop, tu testes derrière le corps. C'est comme si tu utilises plusieurs canaux et puis après tu utilises le corps avec. Et le corps, il te confirme ou non.

  • Speaker #0

    C'est fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, Tu sais que tu as fait le test, le oui, le non. Le oui, il est costaud. Mais encore, quoi que des fois, le oui, il peut être aussi lâche. Parce que, par exemple, une personne, elle a pu dire souvent oui alors qu'elle pensait non. Donc le oui, c'est un stress pour elle.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Ça peut être un stress. Mais la majorité des cas, normalement, le oui, c'est quelque chose qui... dont le corps il est ok et il est costaud tandis que le non c'est plutôt stressant et donc quand tu testes le corps il relâche le but c'est quand tu sens le corps, en fait les gens me disent mais comment tu sais parce que moi je vois pas la différence entre le oui ou le non et tu te rends compte que si il y a une différence parce que quand tu testes Par exemple, il faut que tu sentes comme s'il y a un mur, tu vois, quand tu testes. Alors que, par exemple, non. ça va rebondir un petit peu, tu vois ? Parce qu'il n'y a pas d'énergie et le muscle, en fait, la personne, elle essaye de compenser avec un autre muscle. Donc après, ça va remonter comme ça, tu vois ?

  • Speaker #0

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Voilà. Donc en fait, on le sait. Et ce qui est bien avec la kinésiologie, même aux US, ils l'utilisent aussi pour pas mal de choses, par exemple. Même il y a des médecins qui l'utilisent. Aux US. pour savoir telle ou telle pathologie. Et des fois, il n'y a pas grand-chose. Enfin, c'est hyper pratique.

  • Speaker #0

    OK. Et justement, c'était la question suivante. On l'utilise pour quoi, la kinésio ? On peut venir pour tout ? La kinésio. Pourquoi ?

  • Speaker #1

    Alors, la kinésio, effectivement, des fois, il y a des gens qui ont des douleurs. Ils sont allés plusieurs fois chez le médecin, plusieurs fois chez l'ostéopathe. L'ostéopathe, il va aller... il va le mettre, il va remettre, il va refaire ce qu'il faut pour mettre la personne d'aplomb. Mais on se rend compte qu'après, un mois après, la personne, elle revient encore.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    ok. Et les ostéopathes, ils ont compris que derrière, si la personne a tendance à revenir pour le même sujet, eh bien, c'est parce qu'il y a une cause d'ordre émotionnel. Ok. D'ordre émotionnel, donc. souvent les ostéos ils envoient les personnes chez les médios parce que c'est plus profond, c'est encore plus profond. Et donc ce que je disais, c'est que des fois les personnes elles ont des douleurs et ces douleurs après des scans, des IRM, des prises de sang, en fin de compte la douleur est toujours là mais on ne trouve rien en médecine traditionnelle. Et puis enfin... Les personnes se rendent compte qu'il y a un émotionnel ou un trauma. En fait, il y a quelque chose à aller un peu plus en profondeur.

  • Speaker #0

    Oui, c'est psychosomatique, en fait, plutôt, cette douleur.

  • Speaker #1

    Par exemple, j'ai une cliente. Elle est venue en séance, en fait, plusieurs fois. La première fois, elle était venue et me disait, oui, je viens parce que j'arrive. plus à vivre avec ces maux de ventre. J'ai fait tous les tests, je mange la même chose que certaines personnes, ils n'ont rien, mais moi j'ai toujours quelque chose. En fait, ça l'empêchait de vivre. Après, au bout de la quatrième séance, je lui dis « Pourquoi tu viens ? » Elle me dit « C'est pas bien dans ma vie ! » Parce qu'on parle d'une nénette qui était vraiment pas bien. en mode dépression, dépressif, et puis qui n'osait pas vivre sa vie. Et donc, la quatrième séance, ça y est, elle revit sa vie comme une jeune femme de 26 ans. Et elle me disait, ce qui se passe, Kim, c'est que j'ai un... Avant, tu t'en souviens, c'était 150% la douleur au niveau du ventre. Maintenant, c'est plus que 20%, mais 20%, moi, j'aimerais bien les éradiquer. Et elle s'est rendue compte que lors de cette séance, elle a somatisé quelque chose.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Parce que pour elle, sa réussite était due aux autres. Tu vois ce que je veux dire ? Oui. Ou même ses échecs plutôt. Plutôt ses échecs étaient dus aux personnes.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et quand elle a voulu faire une école, parce qu'on lui disait, tout le monde lui disait « Oui, c'est ça que tu devrais faire » . t'es bonne à ça, tu devrais y aller. Elle a fait, sauf que elle a raté ses deux années. Tu vois ? Et le truc, ça lui a fait mal parce que c'était pas la faute des autres. C'était la faute à elle. Et quand elle a compris que ça et qu'en fait, elle a somatisé ce mal de ventre pour dire que se dédouaner de plein de choses en disant... C'est de la faute de ce mal de ventre que je n'ai pas pu, tu vois ?

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Donc, je ne peux pas relationner.

  • Speaker #0

    Oui, ce que tu as dit au départ quand tu as parlé d'elle, ça lui gâchait la vie. Tu vois, c'est un peu se dire que c'est mon mal de ventre qui me gâche la vie et pas moi qui me sabote en fait, alors que c'est moi qui me gâche la vie finalement.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement.

  • Speaker #0

    Ok. Tu vois ? Donc,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et il y a beaucoup aussi… Il faut aussi savoir que… Dans ce que je propose, effectivement, il y a le transgénérationnel, mais il y a aussi le bagage karmique. Et le bagage karmique, donc forcément, c'est inconscient, mais ça peut énormément jouer dans notre vie. Ça peut impacter notre vie.

  • Speaker #0

    Ah bah, fortement, oui. Et puis en plus, il y a vraiment, je trouve que, pour travailler dans le transgénérationnel, il y a une frontière assez fine. entre transgénérationnel et karmique. C'est-à-dire que parfois même, les deux se mélangent.

  • Speaker #1

    Mais oui, je pense que tu as dû t'en rendre compte dans le générationnel que des fois, c'est du karmique familial.

  • Speaker #0

    Mais oui, c'est ça, c'est du karmique familial. Et puis toi-même, c'est très particulier. Tu vois, tu as l'impression que la personne même se réincarne, qu'elle est sa propre ancêtre. C'est très étrange, quoi. Il y a ce truc. très étrange, frontière chine entre le transgénérationnel et le karmique. Et ça impacte énormément.

  • Speaker #1

    Mais oui. Alors là, on va dire que ce n'est plus du tout dans la kinésiologie, mais une expérience, c'était une jeune femme. En fait, on était dans le karmique transgénérationnel. Et quand je dis... Alors, il y a le transgénérationnel, et puis... Le karmique transgénérationnel, dans tous les cas, on est impacté par ce transgénérationnel. Et le karmique transgénérationnel, c'est un ancêtre qui a eu des vies antérieures, qui rentre dans ce clan, qui pouvait être, par exemple, on va dire, le cas de cette personne, c'était dans ses ancêtres. Il y avait quelqu'un qui a eu une vie antérieure où il a été un viking et il a abusé de plein de femmes. Et il y a ce truc de... Je ne sais pas, on pourrait dire de malédiction ou pas. Où justement, ces femmes-là lui ont dit pour la peine, toi, dans ta lignée, toutes les femmes seront aussi... Et c'est là que je lui ai dit à la fille, je lui ai dit bon, il y a ça. Elle me dit... Elle commence à pleurer. Elle me dit bah oui. Moi, j'ai été abusée, ma mère a été abusée, ma grand-mère a été abusée.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Donc là, il y a un mélange entre le transgénérationnel ou cette lignée de femmes abusées, mais avec une cause finalement karmique.

  • Speaker #1

    Karmique, exactement. Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et, ok. Oui, c'est intéressant. C'est intéressant parce qu'on voit aussi comment tout est lié. Alors... Toi qui nous écoutes, n'aie pas peur, ça ne veut pas dire que tes problèmes, tu as une montagne de problèmes. Mon Dieu, mais en fait, il faut que je règle mon enfance, mon style d'attachement, mon karma, le transgénérationnel, l'intergénérationnel, j'en peux plus, c'est fini. Non, mais en tout cas, c'est intéressant, là ce qu'on voit, c'est que finalement, des fois, de prendre un peu de recul et de faire dans la globalité, ça peut aussi aider vachement et avancer. beaucoup plus et de percevoir mais d'ailleurs je fais un un bon je suis la bonne bélier qui ramène toi elle mais même dans ma pratique en astrologie c'est aussi ça c'est comment est-ce que je vais parler de toi mais en fait aussi de ton karma et de l'astrogénéalogie en fait il y a ce mélange là parce que c'est hyper intéressant de voir que ce que t'es arrivé là sur terre C'est aussi un mélange de ton karma, c'est aussi un mélange du clan familial, etc. Et je pense que ça aide vachement plus à regarder dans cette globalité, mais à le regarder pas en mode « ouah, mais il y a trop de choses à régler, je vais jamais m'en sortir » , mais vraiment à le regarder comme un tout qui serait relié. Et genre, ce tout, quand je le regarde comme ça en un tout, finalement c'est beaucoup plus facile à libérer et à guérir.

  • Speaker #1

    mais bien sûr et aussi je rajouterais un truc c'est pas parce que dans ta lignée familiale qu'il y a des gens qui vivent telle ou telle situation que tu es forcément impacté ça dépend aussi de ta mission de vie et de ce que tu es venu y faire et apprendre et

  • Speaker #0

    puis parfois même justement il y en a ça m'arrive aussi ça ce truc il y en a Un, dans la lignée, des fois c'est la personne qui vient, qui n'est pas du tout comme tous les autres. Parce qu'en fait, justement, son but, c'est d'aller balayer tout ça de la famille. Et donc, c'est la personne qui est en mode retrait de sa famille, qui ne vit pas les mêmes choses que sa famille. Ça ne l'impacte pas de la même façon, mais parce qu'elle n'a pas la même, entre guillemets, mission.

  • Speaker #1

    On appelle ça les moutons noirs.

  • Speaker #0

    Exactement. Ok, donc on a vu en kinésio que les gens peuvent venir te voir parce qu'ils ont des douleurs. Les gens qui viennent te voir, il y a première catégorie, ceux qui ont des douleurs. Les autres catégories, qu'est-ce que ça va être ?

  • Speaker #1

    C'est émotionnel, des blocages. Par exemple, ils sentent qu'ils ont envie de faire quelque chose, mais ils n'ont pas l'élan. Ils se sentent empêchés. Ils n'arrivent pas à casser ce plafond de verre. Et quand ils comprennent que derrière, il y a ces schémas, c'est comme on parlait tout à l'heure aussi, c'était très intéressant. Il y a ces personnes qui, lorsqu'ils sont dos au mur, dans leur constitution interne basale, c'est des fonceurs. Ils y vont, ils peuvent le faire. Et justement, il y en a qui travaillent mieux quand ils sont dans l'urgence. Et puis, par contre... quand il n'y a pas d'urgence, ils sont en mode je ne sais pas où je suis parce que des fois il se peut que il y a comment on est constitué et puis aussi après comment nos croyances limitantes, notre éducation comment on a été élevé, tout ça font qu'on se sent empêché par exemple c'est ce que je dis je dis à certains clients, je fais c'est dommage Vous n'êtes pas dans la peur et vous foncez. Mais ce que je vois, c'est qu'au niveau de... Par exemple, quand je regarde au niveau de la focalisation, je demande à la personne de se focaliser sur un point précis et je teste le corps. Et je peux savoir si, par exemple, ça vient du père ou de la mère. Tac, tac, tac. Et je vois, par exemple, ah, l'autorité masculine du papa, c'est comment ? Ah ben oui, papa, il a été très autoritaire. Donc, du coup... je ne me sens pas du tout à la hauteur. Je fais des choses, je ne me sens pas à la hauteur. Il faut toujours que j'en fasse des tonnes, des caisses, parce qu'il faut que ça soit parfait. Personne ne m'a dit que c'était bien. Et donc, pour passer de la liste 1, il faut checker plein de choses avant d'aller sur liste 2, l'action 2. Et souvent, en fait, on frise, en fait, on est paralysé sur la liste 1. Enfin, sur le... Action 1, parce qu'on n'a pas tout checké. Et ce genre de personnage, c'est ce que je dis, c'est comme si en fin de compte, le but, il est là. Je ne sais pas si on voit. Et en fait, au lieu d'aller comme ça, ils font ça. Tac, tac, tac, tac,

  • Speaker #0

    tac, tac. Alors, pour ceux qui écoutent sur le podcast, en gros, le but, il est à un point précis. Au lieu d'aller directement à ce point, ils passent par plein de chemins. Ils font des... Des détours, des vagues, des pics, etc. avant d'arriver.

  • Speaker #1

    Ça, c'est une réponse traumatique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Oui, après, ce que tu disais, ça me fait penser au fait que notre base, qui on est, mais il y a aussi un masque qu'on rajoute parce que... que par rapport à nos traumas, à nos vécus, à nos blessures, etc. Et ce côté-là fonceur ou capable d'aller au-delà quand tu n'as le choix, c'est... j'ai oublié ce que je voulais dire. Je commence.

  • Speaker #1

    Oui, je vois ce que tu veux dire. Si on n'a pas le choix, c'est là qu'on sort nos ressources internes.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et qu'avant, on est dans la blessure, dans le masque, dans le « je ne suis pas capable » . que t'as dit, j'ai pas coché tous les trucs que je peux faire c'est ça,

  • Speaker #1

    toutes les histoires qu'on se raconte quand on est obligé on est obligé quoi c'est pour ça qu'il y a des personnes en fait je suis une combattante mais mais bon mais

  • Speaker #0

    à quel prix ouais c'est ça donc douleur les gens sentent qu'ils sont bloqués, freinés Est-ce qu'on peut aussi venir te voir utiliser la kinésio parce qu'on sait ? Tu vois, là, par exemple, tu m'as donné l'exemple, justement, de gens qui se sentent bloqués, mais finalement, ils ne savent pas pourquoi. Est-ce qu'on peut aussi utiliser la kinésio plus parce qu'on sait ? C'est pourquoi, genre, je ne sais pas, je vais parler du deuil. On est en plein deuil, on est dans un truc très émotionnel et on vient utiliser la kinésio pour... aider à justement comme tu disais à rendre le corps plus fort

  • Speaker #1

    Oui, oui, tout à fait. Parce que des fois, le deuil, effectivement, ça peut être lié à plusieurs choses par rapport à ce que la personne, ce qu'elle représentait. Et des fois, on se rend compte qu'on s'appuyait sur cette personne et tout d'un coup, on est lâché dans la nature. Et après, il y a l'amour aussi. Enfin, c'est tellement, ça peut être tellement varié, le deuil. Et il n'y a pas que le deuil aussi. Tout ce qui est addiction ou les tocs. Il y a un enfant qui était venu pour des talks, justement, où il était... C'est parce qu'il ne se sentait pas accepté. Et quand... Et il ne se sentait pas accepté. Et en même temps, il y avait aussi une histoire avec le papa. C'était un jumeau. Enfin, il y a quelque chose au niveau de l'égalité, en fait. Il ne se sentait pas égal à son frère. Ou lui, il avait l'air d'être plus aimé, par exemple.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Mais c'était une façon d'évacuer quelque chose. Et sa maman disait qu'après, ça allait beaucoup mieux. Oui, donc enfant, par exemple, dès qu'il bégaye. En fait, là, je vais te parler beaucoup d'enfant parce que c'est ce qui me vient. Enfin, les adultes aussi, le sommeil, par exemple, tu n'arrives pas à dormir parce que ça tourne dans sa tête, ça tourne en rond. Ça m'a fait tellement de la peine quand ce monsieur m'a dit, quand il est revenu à la deuxième séance, il m'a fait crime. C'est bizarre maintenant, je me sens toujours heureux.

  • Speaker #0

    Je ne peux pas l'habituer.

  • Speaker #1

    Il disait, ça fait 17 ans que j'étais dans le noir. Et puis là, tout d'un coup, je vois la lumière. Mais le contraire aussi, ça fait bizarre.

  • Speaker #0

    Ah ben bien sûr, quand tu es habitué à quelque chose, c'est difficile d'aller. Même si l'autre chose, c'est du positif, c'est difficile d'y aller. Et c'est pour ça que des fois aussi, il y a ce sabotage qu'on se fait parce que... on est habitué, tu vois, là ça me fait penser aux relations aussi amoureuses, quand t'es habitué à des relations qui sont tortueuses par rapport par exemple à tes parents, etc. Tu comprends, aller vers quelque chose de sain et simple, c'est difficile donc ouais, même sortir de sa zone de confort, en fait, c'est dans tout, même si l'autre côté c'est merveilleux, je suis pas habitué, j'aime pas trop, je vais rester dans ma merde, quoi, un peu.

  • Speaker #1

    C'est ça, non mais oui ! C'est ça, parce que je peux le supporter encore. Ça va, ça va, je connais. Et quand tu en sors, c'est là que tu dis, j'ai supporté tout ça.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Tu vois ? Et je rajouterais aussi, il y avait une dame qui m'a appelée pour sa petite fille de 2 ans, enfin 3 ans. Elle ne comprenait pas parce qu'elle a commencé, la petite, à bégayer, alors qu'elle parlait très, très bien.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et... Et en fin de compte, en séance, déjà, elle a eu une naissance un peu compliquée. Pour elle, le monde n'était pas fiable. Et la seule, on va dire, la seule figure d'attachement, c'était sa maman. Et sa maman, il y a pile poil deux semaines et demie, là, justement, elle avait décidé de partir en vacances, un week-end, le temps d'un week-end, avec ses copines. Donc, elle l'a laissée avec... Le papa pourtant, il est safe avec le papa et le grand frère. Et à partir de là, elle a commencé à bégayer. Et quand on a compris, on a mis des mots sur l'événement. Et puis on a renforcé le corps. Et c'est là que sa mère m'envoie un message. Elle m'a dit, bon ben ça y est, elle ne bégaye plus.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    C'est super. Ouais. Non, c'est vraiment bien. Alors des fois, on ne se rend pas compte, mais les enfants, ils ont... Ils arrivent des fois sur Terre avec ce rôle où ils pensent devoir sauver leurs parents, leurs ancêtres, alors que c'est que des enfants. On leur demande juste d'être des enfants. Et pareil, il y a notre petite fille, elle, à l'école, enfin même, elle voit l'extérieur, c'était compliqué. Elle ne parlait pas du tout. Elle était toujours là à avoir peur. Il y avait quelque chose. Sa mère, elle l'avait emmenée parce que justement, à l'école, ça ne se passait pas bien parce qu'elle se faisait marcher sur les pieds. Elle ne s'exprimait pas du tout. Et là, en fin de compte, j'avais fait une séance structurelle, mais ça me disait aussi, il faut que la maman fasse une séance parce que la petite, elle, protégeait sa... Parce que sa maman, elle avait un secret qu'elle ne devait pas dévoiler. Elle devait... qu'elle a caché et la petite elle a pris ça aussi pour elle et une fois qu'on a libéré la maman la petite reparle ouais génial

  • Speaker #0

    Et du coup, justement, les enfants, comment tu fais ? Parce qu'une séance de kinésio, tu testes, mais tu parles aussi, tu expliques. Sur les enfants, comment ça se passe ? Tu laisses les parents là et tu parles aux parents ?

  • Speaker #1

    Alors, déjà, d'une, ce qui se passe, c'est qu'on utilise ce qu'on appelle le transfert d'énergie. Le transfert, c'est comme on prend l'énergie de l'enfant, parce que des fois, tu ne peux pas les tester. ils sont trop petits la kinésiologie tu peux en faire dès qu'ils sont tout bébé et donc on transfère l'énergie sur le parent et là c'est comme si on testait l'enfant directement en fait tu testes l'enfant via le corps du parent à travers le parent et ensuite après forcément on libère le test et chacun reprend ses énergies ok c'est fou

  • Speaker #0

    Est-ce que aussi, ça traite la phobie, par exemple, l'anxiété ?

  • Speaker #1

    Oui, l'anxiété, phobie. Donc, je te disais les TOC, tout ça. Après, il y en a même qui se forment pour les allergies. Ça peut aussi traiter certaines allergies. Moi, je n'ai pas fait ce module, mais effectivement, ça peut le faire aussi. Il y a des personnes qui… qui se sont formés pour, on peut passer par la kinésiologie aussi.

  • Speaker #0

    Waouh, c'est complet, quoi. C'est global.

  • Speaker #1

    T'imagines, tu parles à ton propre corps. On parle à personne d'autre. C'est toi et toi-même.

  • Speaker #0

    C'est ça, ouais. Il n'y a pas d'interprétation, de surinterprétation.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas d'interprétation, voilà. Parce que, bien sûr, en fait, ce qui se passe, c'est que la kinésiologie, on demande toujours l'autorisation au corps. Ça, c'est obligatoire. Tu n'y vas pas si le corps ne veut pas.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    c'est ce que je dis aux personnes c'est comme si au lieu d'être alignée tu désalignes la personne parce qu'elle n'est pas prête tu sais quand tu enlèves des couches c'est pas pour rien qu'il y a des couches avant bah ouais c'est ça c'est ce que j'explique à mes clients par exemple il y en a qui veulent aller du point A au point Z sauf que A, B, C, D, E, tu tousses déjà ouais et je leur dis c'est comme si en fin de compte après la séance vous vous retrouvez à poil est-ce que c'est le but en fait de vous retrouver à poil non c'est repartir avec des ressources être costaud

  • Speaker #0

    et fort ouais donc c'est pouvoir respecter le rythme en fait d'y aller pas à pas et pas d'aller trop vite et oui parce que si tu vas trop vite

  • Speaker #1

    ça va faire l'effet inverse.

  • Speaker #0

    Ah bah oui, c'est clair. Là, ton corps, il ne va pas apprécier. Enfin, rien de ton être va apprécier. Ton mental non plus, ton inconscient non plus. On dit, ah, la grosse panique, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça. Il y a des clientes qui, justement, qui ont été abusées. Et puis le corps, en fait, même dire les mots, parce que la kinésiologie, en fait, à la fin, il y a quand même des objectifs ou des mantras, comme sous forme de mantra, pour dire au corps, maintenant, c'est OK, tu peux le faire. Et certaines, elles n'arrivent même pas à le verbaliser parce que le corps, il ne veut pas. Il ne veut pas parce qu'il ne se sent pas prêt.

  • Speaker #0

    Et comment tu fais justement quand le corps, il ne se sent pas prêt ?

  • Speaker #1

    Alors, quand c'est comme ça, on essaye de calmer le corps un peu plus, de voir qu'est-ce qu'il raconte derrière.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Avec différents protocoles et puis ensuite, hop, ça y est. Mais après, c'est bon.

  • Speaker #0

    OK. Voilà. Et justement, combien de séances il faut ?

  • Speaker #1

    Ça dépend. Tout dépend de la personne. Il y en a pour qui ça va être une séance parce qu'elle n'a déjà pas mal bossé sur elle. Et puis, il y en a d'autres qui viennent des fois tous les mois et des fois qui viennent tous les 3-4 mois pour leur faire du bien. Par exemple, moi, en tant qu'inésiologue, moi, je préconise de m'en faire. de me faire faire une séance tous les

  • Speaker #0

    2-3 mois par exemple ou même des fois tous les mois pour se délester un petit peu bah oui c'est ça c'est important de lâcher aussi ce qui doit être lâché est-ce que justement il y a un temps entre deux séances enfin

  • Speaker #1

    un temps minimum alors oui moi ce que je dis aux clients alors déjà on sait que le corps il met 21 jours pour prendre de nouvelles habitudes.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    D'accord ? Donc, en général, on dit à la personne de venir... pas avant trois semaines, parce que sinon, il y en a, franchement, qui se pointeraient une semaine. En fait, ce n'est pas le but. Voilà. Et aussi, des fois, en séance, tu vois, à la fin de la séance, on peut avoir un temps d'intégration, mais ça peut être de l'ordre d'une semaine, un mois, même deux, voire trois mois, parce que ce sont des gros sujets. Ça veut dire qu'en fait, la personne... elle pourra bénéficier de la totalité de la séance, vraiment de toute la séance, que dans, à partir de, je ne sais pas, de ce temps d'intégration.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Qui peut être donc de maximum trois mois, et puis des fois c'est quelques jours avant, et puis jusqu'à trois mois.

  • Speaker #0

    Ok. Oui, il faut vraiment le temps, encore une fois, c'est toujours ce temps, voilà, qui est important. Le temps que ça s'intègre, ça s'imprègne, on digère, etc.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, c'est qu'après une séance, on peut être amené à avoir des éliminations, certaines éliminations. Des fois, ça peut être une grosse fatigue. Souvent, les gens sont fatigués après les séances. Ou ils vont souvent en toilette parce qu'il faut se vider. Ou les émotions font comme des montagnes russes. Mais c'est OK, c'est lié à la séance. Vraiment, il ne faut pas s'inquiéter.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et puis après, ça va se stabiliser au bout d'un moment.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, ce que je dis souvent, c'est parce qu'on change de vibration, parce qu'on se déleste de plein de bagages qu'on ne veut plus. Et donc, du coup, il faut s'habituer à cette nouvelle vibration.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, s'habituer à cette nouvelle vibration. Exactement. OK, super. Est-ce que pour finir, tu as envie de peut-être partager, même si on a un peu compris, les autres techniques que tu utilises pour aider justement les personnes ?

  • Speaker #1

    Il y a l'énergie, je peux utiliser l'énergie. Après, moi le plus, c'est que comme j'ai cette compétence, tu vois, je vais dans le temps générationnel, je vois carrément qu'est-ce qui est en lien avec la personne. Et je vois carrément en fait la scène. et c'est pareil pour les vies antérieures pareil je vois carrément je vois des images et puis je teste aussi le corps bien sûr et ce qui était drôle c'était cette femme qui était venue parce qu'elle avait du mal à conduire sur les grands axes et la troisième séance elle me dit je me demande alors comment c'est la conduite c'est toujours pareil mais j'ai appris que dans ma famille il y a une personne qui avait le même problème que moi à mon âge vers la fin de trentaine, quarantaine je dis ok et pendant la séance il s'avère que dans le transgénérationnel il y avait un arrière grand-oncle qui, en fait je voyais carrément le train à vapeur et tout je me suis dit oh là attendez, qu'est-ce qui se passe que je vois un train et en fait c'était que cette personne là c'était un homme qui était conducteur de train à vapeur il avait peur de la vitesse c'est comme s'il avait du mal à contrôler la vitesse et elle elle m'a dit un truc après elle m'a dit en plus vous savez Kim quand je me sentais partir quand je commençais à conduire dans les grands axes elle sentait son corps faire ça comme si elle allait du côté droit elle regardait en fait comme les conducteurs de train en dehors dans la lucarne et bref et donc elle me dit mais pourquoi moi et puis ma grande tante parce qu'on a la même chose Et c'est là que je teste chez A. C'est parce que soit vous êtes née à la même période que cet ancêtre, ou soit vous êtes née à la période où cette personne décède.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Et elle, bien sûr, elle part du butatif. Elle fait, ouais, bon, moi, j'ai pas plus d'infos, mais tu vois. Elle est un peu, parce que comme elle a pas d'infos, elle est un peu comme elle dit Saint Thomas, elle ne croise que ce que c'est.

  • Speaker #0

    Ouais, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et le soir, elle m'envoie un message pour me dire... Vous êtes incroyables. Après, je commence à lire son message. Elle me dit, effectivement, j'ai un arrière-grand-oncle qui était conducteur de train à vapeur. La dame, sa grande-tante qui a vécu les mêmes symptômes, son père était né le 18 octobre. Cette dame est née le 20 octobre. Et la cliente, elle est née le 24 octobre. Donc, enfin, tu connais, toi, le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ce qu'on...

  • Speaker #1

    Oui.

  • Speaker #0

    Les répétitions de dates, ça montre à quel point tu es lié à un ancêtre. C'est ça que tu regardes.

  • Speaker #1

    Et en kinésiologie, tu sais.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    Oui, c'est top. Ça, je n'ai pas besoin.

  • Speaker #0

    On ouvre un cabinet, sinon, si tu veux, tu vois, comme ça. Tiens. Voilà.

  • Speaker #1

    Avec le petit repas.

  • Speaker #0

    On voit les gens. Moi, je regarde le côté, voilà, et on libère. Ce serait fantastique, vraiment.

  • Speaker #1

    Vraiment, avec plaisir. Non, mais c'est vrai que tu vois, c'est ce que je dis aux personnes. C'est comme une autre de mes clientes. Je lui dis, mais... En plus, dans le transgénérationnel, c'est important de ne pas donner les prénoms de ses ancêtres. Parce que justement, assurez-vous que cette personne a une belle vie. C'est clair. Tu lui donnes tous les parisos. C'est ça. Et il y en a une qui m'a dit « Ah, oups, j'ai donné en deuxième prénom à ma fille le prénom de ma soeur décédée d'un cancer. »

  • Speaker #0

    Oui, voilà.

  • Speaker #1

    Sauf que la petite, il y a un truc de répétition où... La petite, elle a eu un cancer aussi, un jeune âge.

  • Speaker #0

    Ça, c'est assez terrible. Ça, je le vois aussi dans le métier. C'est ce truc de, il y en a un qui est mort tragiquement et pour le garder en mémoire, on va donner son nom au descendant. Non ! Non !

  • Speaker #1

    No way, c'est clair !

  • Speaker #0

    Ça, c'est pas possible, quoi. Vraiment, ouais, c'est ça. C'est donner les fardeaux de la personne. On a déjà assez de fardeaux, les gars !

  • Speaker #1

    C'est ça ! et moi je trouve dans la nouvelle génération je la trouve tellement géniale c'est que c'est des petits jeunes qui commencent à 20 ans qui se disent moi je veux travailler sur moi parce que justement je veux pas que mes enfants récupèrent tous ces fardeaux oh la la cette génération qui est hyper connectée en même temps hyper connectée mais hyper connectée ouais c'est ça exactement

  • Speaker #0

    et franchement quand je vois ça j'entends ça je me dis waouh c'est superbe cette génération exactement il y a encore de l'espoir oui bien sûr mais de toute façon je pense que même s'il y a des choses qui vont pas mais je vois quand même qu'on va vers une évolution de l'humanité ou en tout cas au niveau de l'écoute de l'émotionnel peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord mais il y a quand même une évolution je dis ça parce que je fais l'école à la maison à mon fils et là on est en train de faire l'histoire bon bah Ils étaient quand même sacrément violents et complètement tarés en fait à l'époque. Et donc il y a quand même une évolution. C'est peut-être lent, mais il y a une évolution. Et justement, comme tu dis, il y a de l'espoir parce que plus ça va et plus il y a cette conscientisation que c'est important de s'écouter, que c'est important de guérir, que c'est important de faire tout ce chemin en fait.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Et heureusement qu'on est là aussi.

  • Speaker #0

    Exactement. C'est ça. Ok, ben...

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'on peut te trouver ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je suis dans le 91, précisément ailleurs. Je ne sais pas si tu connais. Oui. Du côté de Montgeron, Brunois, tout ça.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Je suis aussi limite 94. Ce qui est marrant, c'est que des fois, il y a des gens qui font des horaires... Ils font deux heures de route juste pour venir. Moi, je me dis, waouh ! Bon, après, au début, tu sais, je disais, allez voir des kinésiologues plus à côté de chez vous. Et puis après, c'est là que je me suis dit, non, mais c'est bon, il ne faut plus que je leur dise ça. S'ils font autant de chemin, c'est parce que c'est moi qui vais le faire.

  • Speaker #0

    Oui, voilà, ils sentent l'appel. Moi, j'ai un... Enfin, ce n'est pas de la kinésio, mais j'ai un ostéopathe. Ce n'est pas à côté de chez moi et je ne changerai pas. En fait, je veux aller le voir, lui, et c'est tout. Parce que tu sens un peu l'appel, en fait, de certaines personnes. Tu sens que c'est... C'est ces personnes-là qui peuvent t'aider. Voilà. Et du coup, est-ce que tu as des réseaux, un site Internet ?

  • Speaker #1

    Je n'ai pas de site Internet, zéro. Par contre, en fait, ce qui marche très bien, c'est mon Google Business. En fait, comme je passe par Google Business, les gens, c'est là qu'ils me découvrent.

  • Speaker #0

    OK. Voilà.

  • Speaker #1

    voir les sites. J'ai aussi un Instagram et petit à petit, je vais changer pour thérapeute ou justement parce que comme je n'utilise pas que la kinésiologie, je ne peux pas me prétendre être que du kinésiologue.

  • Speaker #0

    Ok. Tu leur dis justement que tu n'utilises pas que ça ou...

  • Speaker #1

    Oui, oui, oui. Ils sont au courant. Tout à fait. Parce que je rajouterais aussi autre chose, c'est que je canalise aussi en séance. Je peux canaliser et c'est là que je leur dis, bon, on ne sait pas du tout de la kinésiologie. Il y a votre fils qui est là, votre père qui est là.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    Et je donne aussi un message à donner.

  • Speaker #0

    Je leur donne. Mais comme tu dis, c'est un peu holistique, c'est global. Donc finalement, c'est très intéressant. C'est global.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, les gens, c'est ce que je leur dis. C'est que s'ils doivent venir, ils viennent. Je ne les appelle pas. Ça veut dire qu'il y a quelque chose pour la personne qui est sur la table à libérer.

  • Speaker #0

    C'est ça. Exactement. Trop bien. Eh bien, merci. De toute façon, je mettrai aussi tes infos dans la description. Voilà, on retrouve ton Instagram, ta page Google, etc. Là où tu exerces aussi. Merci beaucoup pour cet échange. C'était top. Est-ce que tu as peut-être quelque chose à rajouter ?

  • Speaker #1

    Non, je pense qu'on a dit beaucoup.

  • Speaker #0

    C'est ça. J'avais prévenu. Franchement, j'ai fait quand même un effort pour pas trop… parce que là, en vrai, je pourrais continuer encore longtemps, mais j'ai fait un effort pour qu'on essaye de ne pas trop partir dans tous les sens, de ne pas trop divaguer et continuer notre discussion. Mais oui, ça fait déjà pas mal d'infos et c'est top. Ça permet vraiment d'avoir une vision un peu plus globale aussi de la kinésio parce que justement, un peu ce que tu disais au départ, des fois, tu entends des choses, mais tu ne comprends pas trop ce que c'est et voilà. Et là, c'est intéressant en fait de voir même... ta façon de pratiquer, l'aspect très global et holistique qui est hyper important. Donc, merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Merci de m'avoir suivi sur cet épisode.

  • Speaker #0

    Et puis, du coup, à très bientôt. Je suis sûre qu'on va encore un peu parler.

  • Speaker #1

    Je n'en doute pas. Et d'ailleurs, je pense qu'il y aura peut-être d'autres sujets qu'on pourrait aborder.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    ça pourrait intéresser énormément de personnes.

  • Speaker #0

    Oui, avec grand plaisir. Je vous dis à très bientôt pour un prochain épisode.

Chapters

  • Introduction et présentation de Nitsa et Kim

    00:00

  • Discussion sur la kinésiologie et ses techniques

    00:56

  • Le corps comme outil de guérison et de transformation

    02:23

  • Le parcours de Kim vers la kinésiologie

    08:30

  • Comment fonctionne la kinésiologie ?

    10:49

  • Applications de la kinésiologie dans la vie quotidienne

    21:06

  • Les émotions et les blocages : cas pratiques

    30:25

  • Kinésiologie et enfants : approche adaptée

    40:03

  • Conclusion et ressources pour aller plus loin

    46:46

Description


As-tu déjà ressenti que ton corps te parlait, mais que tu n'écoutais pas ? Dans cet épisode je reçois Kim, une thérapeute passionnée spécialisée en kinésiologie, qui nous plonge dans un univers fascinant où le corps et l'esprit se rencontrent pour favoriser la guérison. Kim partage son parcours inspirant, passant d'une carrière en comptabilité à une vocation profondément ancrée dans le bien-être après avoir vécu un burn-out. Cette transition l’a amenée à découvrir la kinésiologie, une pratique qui utilise le corps comme un véritable guide pour identifier et traiter les émotions et les stress accumulés.


Au fil de la discussion, Kim nous révèle comment chaque douleur physique peut être le reflet d'émotions non résolues. Elle souligne l'importance d'écouter son corps pour une guérison authentique, une notion essentielle dans le cadre du transgénérationnel et de l'astrologie. Ensemble, nous explorons les différentes techniques de kinésiologie, les blocages émotionnels qui nous freinent, et l'impact puissant du transgénérationnel et du karmique sur notre santé mentale et physique. En effet, Kim insiste sur le fait que le corps détient toutes les réponses nécessaires à notre bien-être.


Pour la retrouver : Kima Lauran kim.lauran.kinesiologue@gmail.com

46 allée Albert Camus

91330 Yerres

Insta : kimlauran.kinesiologue


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Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, bélier ascendant lion, lune en lion. Ce qui me plaît par-dessus tout, c'est d'explorer les mystères de la vie, comprendre pourquoi on est comme on est, et trouver des solutions pour exploiter au maximum ses potentiels. Ma maison 8 dominante me pousse à explorer ce qui est caché, à sortir de l'ombre les tabous, les mettre en lumière pour se transformer, se renouveler jusqu'à être parfaitement authentique. C'est pourquoi je t'accompagne grâce à l'astrologie. au transgénérationnel et à toutes mes compétences acquises au fil des années. Bonjour et bienvenue dans l'épisode tabou où je suis accompagnée, où j'ai une invitée. Je suis ravie de vous retrouver dans ce nouvel épisode. Bonjour Kim !

  • Speaker #1

    Bonne journée de ça !

  • Speaker #0

    Comment tu vas ?

  • Speaker #1

    Très très bien, il y a un beau soleil et il fait presque 20 degrés aujourd'hui, c'est fou, après la neige.

  • Speaker #0

    C'est ça, il y a deux ou trois jours il neigeait et maintenant presque on va avoir chaud quoi. Enfin bref, tout va bien.

  • Speaker #1

    On ne saura plus si on te faudra se déshabiller.

  • Speaker #0

    C'est ça, mais là, je suis en pull et j'ai presque trop chaud. Mais bon, je vais garder mon jaune qui est sur moi, donc je ne vais pas me déshabiller, je vais suer, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    Mais c'est très solaire.

  • Speaker #0

    Voilà, merci. Donc aujourd'hui, on va te découvrir, Kim, en tant que thérapeute. On va surtout parler un peu d'une de tes pratiques qui est la kinésio. Le but, je rappelle, de ces épisodes, c'est un peu de découvrir d'autres techniques et de voir à quel point c'est merveilleux le monde du bien-être et de la guérison. Voilà, donc on va échanger là-dessus. Et comme d'hab, vu que Kim, elle est un peu comme moi aussi, elle est un peu bavarde, peut-être que ça va déborder et qu'on va parler de tout et n'importe quoi. Donc, toi qui écoutes cet épisode, n'hésite pas à prendre un thé et à te mettre tranquille au chaud. Voilà, fais-toi plaisir. Alors Kim, est-ce que tu peux te présenter tout simplement ? Qui es-tu ? Que fais-tu ?

  • Speaker #1

    Alors, je m'appelle Kim. Je suis thérapeute depuis à peu près, presque pratiquement trois ans. J'utilise plusieurs techniques, dont la kinésiologie, mais pas que. J'utilise aussi, en fait, mes dons spirituels, donc la médiumité. Et je combine un petit peu dans mes séances. Et c'est... très parlant parce qu'on combine le corps et la spiritualité. Alors que si vous voulez, ce qui est génial, c'est que le corps, en fait, il est connecté à plusieurs corps, corps subtils, dont le corps divin. Donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps, il a toutes les réponses.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça qui est merveilleux. Ça, c'est passer par le corps. Je pense vraiment que c'est quelque chose qui me manque un peu dans ma pratique. et que je trouve très intéressante parce que finalement, dans ma façon de faire, on passe vraiment dans le mental. Moi, personnellement, je passe par le corps, j'essaye d'écouter mon corps, de libérer dans le corps, mais je trouve que c'est effectivement hyper enrichissant de passer par le corps. Comme tu dis, le corps, il fait quoi ? C'est fou quand on l'écoute. Le message qu'on reçoit du corps, c'est incroyable.

  • Speaker #1

    Le corps, il est génial, c'est notre véhicule de vie. Et sachez une chose, c'est que... On a beau travailler le mental, mais si le corps, il n'a toujours pas intégré ou accepté, parce qu'il a ses peurs aussi, parce qu'il ne connaît pas. Tu vois, par exemple, on a beau des fois travailler le mental, mais si le corps, en fait, si tu ne le ressens pas dans ton corps, c'est comme si tu disais quelque chose dans le vide, en fait. Par exemple, la personne, elle va se dire, je vais, enfin... pas que les points neurovasculaires, etc. Même si des fois, tu essaies d'intégrer, mais si derrière, le corps, tu ne le ressens pas dans le corps, c'est comme si tu ne pourras pas le mettre en pratique réellement. Et c'est pour ça que, si tu veux, j'accompagne pas mal de gens qui sont coachés.

  • Speaker #0

    justement et ils sont là oh c'est bon Kim j'ai déjà travaillé et puis en fin de compte oui tu l'as travaillé mais le corps il est pas encore ok ouais c'est ça je vois c'est on intellectualise et puis en fait le fait de passer que par le mental parfois ça me permet pas aussi de lâcher totalement et on vient peut-être un peu interpréter et évidemment à un moment il y a l'ego aussi qui vient et qui dit c'est bon j'ai libéré c'est génial tout va bien alors qu'en fait pas du tout quoi ... Au contraire, on en est loin.

  • Speaker #1

    J'ai eu pas mal de gens, justement, qui sont venus de cette fameuse école de coaching qui me disaient, mais non, mais Kim, c'est bon, je l'ai travaillé et puis j'ai travaillé depuis des années. Mais sauf qu'en fin de compte... il y a encore des miasmes, des restes, des restes des fois qui sont inconscients. Si tu ne vas pas jusqu'à la racine, tu vois, c'est comme si ce n'était pas guéri ou libéré.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et même, tu vois, j'aime bien cette métaphore. Si tu ne vas pas à la racine, ce n'est pas guéri, libéré. Mais même des fois, quand tu vas à la racine, ça peut revenir. Ça me fait penser à quand j'avais un jardin potager, bref. Et tu vois, tu enlèves les plantes, tu enlèves la racine et en fait finalement il reste un bout de racine. Et la plante elle repousse au même endroit et tu te dis ça m'énerve. Et bien en fait c'est un peu ça je trouve finalement ce dont on a besoin de guérir. C'est que déjà c'est hyper important, si tu coupes juste la plante tu peux être sûr que dans trois jours elle repousse. Mais en plus même quand tu enlèves à la racine, il faut vraiment faire en sorte d'enlever toute la racine et tout quoi. Parce que sinon, ça va devenir encore présent. Et c'est la même chose avec les blessures. Et du coup, de passer par différentes méthodes, l'intellectualisation, l'inconscient, le corps, etc. Ça permet d'aller à la racine à différents niveaux. Et finalement, d'être sûre qu'on a arraché cette racine.

  • Speaker #1

    Alors moi, ce que je dis souvent à mes clients en séance, c'est... C'est comme si, en fin de compte, là, tu as une blessure béante, sanguinolente qui est à vif. Et que les gens, par exemple, en fait, que ce soit des personnes ou des situations, recontactent cette blessure, mais c'est comme s'ils prenaient leurs doigts et ils secouaient à l'intérieur. Donc forcément, qu'est-ce qui se passe ? C'est que tu surréagis, bien sûr, parce que ça fait mal. Et les séances, ça permet en fin de compte de prendre conscience de cette blessure et des enjeux aussi. Qu'est-ce que ça a travaillé chez toi ? C'est quoi les conséquences de cette blessure ? Moi, ce que je dis souvent, c'est que la conscientisation, c'est 75% déjà de l'accompagnement pour se libérer. ou pour guérir de cette blessure.

  • Speaker #0

    C'est sûr.

  • Speaker #1

    Et ensuite, le reste, c'est effectivement, bon, c'est dire au corps, maintenant, tu peux le faire, c'est rien, on passe à autre chose. Et c'est comme si on mettait un pansement dessus, jusqu'au jour où... Et lorsque les personnes vont recontacter cette blessure, la personne va dire, ah, ok, je comprends que ça retouche cette blessure, mais je suis ok maintenant avec ça, ça va mieux jusqu'au jour. on vibre autre chose, on passe à autre chose tout simplement, on enlève ce pansement et on se rend compte que c'est cicatrisé.

  • Speaker #0

    Oui, c'est beau, c'est ça, les différentes étapes, c'est assez beau. Ok, comment est-ce que tu es tombée dans la kinésio ? Qu'est-ce qui t'a fait aller vers ça ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est un peu particulier, parce que si tu veux, je suis aussi médium, avant d'être kinésiologue, je suis aussi médium. J'étais comptable dans des structures, dans des grosses structures plutôt internationales. Je gagnais bien ma vie. Mais tu te rends compte qu'il y a un autre appel. J'ai fait un burn-out, un vrai burn-out parce que c'était même avant le Covid. Je commençais à me sentir pas bien dans ce que je faisais, dans ce que j'étais un jour. Donc je rêve, je rêve de mes guides. De mes guides et puis ils sont tout autour d'une table. Une chose à savoir, c'est que la kinésiologie, je ne connaissais pas du tout. J'avais juste entendu parler, tu sais, des gens qui me disent, « Oh, je suis partie voir un étiomédecin. » Ok, un chiropractor, ok,

  • Speaker #0

    un kinésiologue,

  • Speaker #1

    ok, mais je n'ai pas cherché à savoir ça.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et donc, dans ce rêve, je rêve de mes guides. Ils sont six autour d'une table carrée. Et il y en a qui disent... Il y en a une qui disait, ouais, mais elle aurait dû persister parce qu'elle aurait pu encore apprendre sur l'humain. Et il y en a un autre qui disait, tu as vu comment elle est fatiguée, peut-être que c'est le moment. Je me réveille, j'entends la physiologie, je fais, c'est quoi ça ?

  • Speaker #0

    Trop fort !

  • Speaker #1

    Je tape, et puis je commence à pleurer parce que ça faisait dix ans que je cherchais justement un métier dans le bien-être. qui pourrait me correspondre. J'étais dans les massages parce que forcément, tu sais, en fait, je ressens les points, les nœuds. C'était intuitif. Il y en a qui me disaient, ouais, je te verrais bien aussi, psychologue, parce que tu trouves les mots, t'arrives... Et puis moi, je dis non, Il manque quelque chose. Et bien là, ça cumule les deux.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est génial.

  • Speaker #1

    C'est génial. Le corps et puis les paroles. Oui,

  • Speaker #0

    les paroles.

  • Speaker #1

    Et donc, je commence à pleurer. Et puis, me voici. Trop bien.

  • Speaker #0

    Alors justement, ça me permet de rebondir parce que tu dis le corps et les mots. C'est quoi en vrai la kinésio ? Comment ça se passe ? Qu'est-ce que c'est ? Quoi le principe de la kinésio ?

  • Speaker #1

    Alors la kinésio, c'est utiliser le corps pour connaître s'il y a stress ou les émotions. À savoir que le corps parle. Et on a tendance à l'oublier, ces petits corps. On se dit, oh j'ai mal ici, bon on va mettre de la pommade. Oh j'ai mal là, je vais prendre un togiprane.

  • Speaker #0

    C'est ça. On n'essaye pas de comprendre pourquoi on a mal et d'où ça vient et peut-être d'écouter. Si on est fatigué, de se reposer. Non, si on est fatigué, on va prendre du café. Enfin, voilà quoi.

  • Speaker #1

    Prendre des remèdes alternatifs.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    Et alors qu'en fin de compte, effectivement, il y a tellement de... Par exemple, certaines maladies, on sait que ça correspond à telles émotions. à pourquoi cette personne elle a ça. En fait, on arrive à décrypter vraiment le corps en séance. Ce qui se passe, c'est ce que je dis à mes clients. C'est que lors de la séance, ils peuvent être amenés à ressentir des choses dans leur corps parce que des fois, on est dans des ambiances ou des émotions. Et puis le corps, la personne dit « Ah oui, j'ai mal ! » Et puis on va regarder la signification et bim ! C'est exactement ce dont on parlait.

  • Speaker #0

    Oui. Vraiment.

  • Speaker #1

    Par exemple, hier, j'étais avec une cliente où justement, elle s'est complètement oubliée au profit de sa sœur parce que sa petite sœur est handicapée. Et elle me disait, « Ah, je ne sais pas qui, depuis quelques temps, je souffre, j'ai mal un petit peu vers la hanche, mais du côté gauche. » Donc, je lui dis, « C'est comment avec maman ? » Elle me dit, « Oh non, c'est plutôt bien. » Elle a été plutôt... C'est une maman aimante et tout. OK. Mais quand on a commencé à parler de maman et le fait qu'elle l'a mise un peu de côté au profit de sa sœur, eh bien, la douleur s'est ravivée pendant la séance. OK,

  • Speaker #0

    oui.

  • Speaker #1

    Elle a fait, ah oui, c'est vrai. Ben oui, c'est là qu'elle me disait, oui, c'est vrai que j'ai tendance à m'oublier parce que maman aussi, c'est... C'est vrai que pour être aimée, il fallait que je me fasse la plus petite possible pour qu'en fin de compte, ma mère ne soit pas embêtée par moi.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, d'être la plus sage. Je ne veux pas rajouter un poids à ma mère qui vit déjà ça. Mais du coup, justement, en séance, qu'est-ce que tu fais ? Tu touches des points ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est... Alors... La kinésiologie, on utilise ce qu'on appelle le test musculaire.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    En vérité, c'est qu'on pourrait utiliser tous les muscles de ton corps. S'il y a un stress, le corps, il lâche complètement. C'est comme s'il était flasque,

  • Speaker #0

    le corps, totalement.

  • Speaker #1

    Voilà. Et le but en kinésiologie, c'est de rendre le corps costaud. Parce qu'en fait, s'il est costaud, ça veut dire qu'il est OK.

  • Speaker #0

    OK. Il est prêt.

  • Speaker #1

    Tu vois, c'est comme par exemple les gens, ils vont venir te voir, ils vont te dire j'ai confiance en moi et puis tu sais pas pourquoi le corps il bouge. Ou sinon la personne elle te dit oui, oui, oui, oui, oui.

  • Speaker #0

    Et elle secoue la tête de Ausha droite.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement. Et on se rend compte que ben, c'est pour ça que les gens qui arrivent à décrypter la gestuelle du corps, ils savent ce que dit le corps. Parce qu'on voit qu'il est pas ok s'il est... Alors que... Quand il est plus stable, il est ancré, ça veut dire que c'est bien.

  • Speaker #0

    Ok. Et du coup, comment tu renforces le corps, justement ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a plusieurs protocoles. Il y a plusieurs protocoles d'équilibration qui existent en kinésiologie ou dans mes pratiques à moi. Par exemple, si on utilise les méridiens du corps, donc plutôt la médecine chinoise, à savoir les méridiens, c'est comme notre tableau électrique. S'il y en a un qui disjoncte dans les méridiens, ça veut dire que dans ton circuit, il y a quelque chose qui galère. Par exemple, je vais dire un truc tout bête. La personne, par exemple, il y a un méridien, c'est-à-dire un organe qui prend trop d'énergie parce qu'il est dans sa colère, je ne sais rien. Il va impacter l'autre organe. l'autre organe qui arrive après ou à l'intérieur parce que ça dépend du schéma du cycle shing ou du cycle ko et en fait le cycle ces différents cycles en fait ça nous permet de savoir quel méridien on doit rééquilibrer ok tu vois et là tu le sais tu on a des on sait quels muscles ça appartient à tel organe tu vois et puis on les testes quand tu vois qu'il n'y a pas d'énergie, ça veut dire que lui, il ne fonctionne pas. Et si, par exemple, imaginons que la personne, elle n'a pas du tout d'énergie dans le cœur, ça, par exemple, le système en entier, il ne fonctionne pas très bien. Parce que le cœur, c'est comme l'organe de vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, oui. Mais du coup... Alors, je vais faire vraiment le côté très pratico-pratique. Je veux un truc très cartésien et comprendre en détail. Je vais être un peu relou là-dessus. Mais je vais partager un peu mon expérience et ce que j'ai entendu. J'avais vu une kinésio. Justement, toute la séance comme ça, elle me touche un peu le poignet. Je ne sais pas quoi. Elle me pose des questions. Elle me parle de ma grand-mère. Elle me parle de « est-ce qu'à l'âge de… » Toi, tout à l'heure, tu as dit que, en off, C'est-à-dire avant qu'on commence à enregistrer le podcast, tu m'avais dit que justement la kinésio, en tout cas l'école dans laquelle tu as appris la kinésio, leur but c'était d'être sur le même niveau que l'ostéopathie, côté très cartésien et la médiumnité, ils n'aiment pas trop ça. Mais de mon expérience et de ce que j'ai entendu autour de moi, ça fait un peu le truc magique la kinésio. Genre tu touches le poignet et tu me parles de ma grand-mère. Comment est-ce qu'on fait si on n'est pas médium ? pour parler de, pour dire des choses aussi précisément. Est-ce que réellement, sans médiumnité, on peut aussi ?

  • Speaker #1

    On peut aussi. Et en fait, il y a des protocoles où on peut aller dans le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Ok. En touchant juste une partie du corps, quoi.

  • Speaker #1

    Le poignet ou une partie du corps, par exemple. Exactement. Et c'est pour ça que la personne, elle peut te poser des questions, parce qu'elle sait, le corps, ah, c'est là où il faut aller. C'est vrai que grâce à ce test musculaire, on a bien sûr, c'est quand même toute une pratique qu'on a appris. C'est à partir de là qu'on sait où il faut aller, où il faut creuser. Et on interroge le corps, on sait que tiens, il y a ça qui parle, pof, il faut y aller.

  • Speaker #0

    Mais vraiment, c'est pas que je suis sceptique, c'est vraiment que j'ai très envie de comprendre comment ça fonctionne. Mais tu vois, parce que... Par exemple, moi, en séance, c'était vraiment ça. On est passé, 80% de la séance, sur le poignet. Je veux dire, le poignet, il a tellement de choses à dire que ça. C'est ça que je trouve assez fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, on a aussi pas mal des fiches de syntonisation. Syntonisation, c'est tout ce qui est émotion, ambiance. On a différentes ambiances. Par exemple, on teste. C'est comme si tu testais... ces fiches-là, et puis tu sais que ah ok, ça correspond par exemple au tel ou tel baromètre, tu peux aller au baromètre. Moi, je n'utilise pas forcément que les baromètres parce que tu peux avoir le truc, l'intuition, et puis hop, tu testes derrière le corps. C'est comme si tu utilises plusieurs canaux et puis après tu utilises le corps avec. Et le corps, il te confirme ou non.

  • Speaker #0

    C'est fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, Tu sais que tu as fait le test, le oui, le non. Le oui, il est costaud. Mais encore, quoi que des fois, le oui, il peut être aussi lâche. Parce que, par exemple, une personne, elle a pu dire souvent oui alors qu'elle pensait non. Donc le oui, c'est un stress pour elle.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Ça peut être un stress. Mais la majorité des cas, normalement, le oui, c'est quelque chose qui... dont le corps il est ok et il est costaud tandis que le non c'est plutôt stressant et donc quand tu testes le corps il relâche le but c'est quand tu sens le corps, en fait les gens me disent mais comment tu sais parce que moi je vois pas la différence entre le oui ou le non et tu te rends compte que si il y a une différence parce que quand tu testes Par exemple, il faut que tu sentes comme s'il y a un mur, tu vois, quand tu testes. Alors que, par exemple, non. ça va rebondir un petit peu, tu vois ? Parce qu'il n'y a pas d'énergie et le muscle, en fait, la personne, elle essaye de compenser avec un autre muscle. Donc après, ça va remonter comme ça, tu vois ?

  • Speaker #0

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Voilà. Donc en fait, on le sait. Et ce qui est bien avec la kinésiologie, même aux US, ils l'utilisent aussi pour pas mal de choses, par exemple. Même il y a des médecins qui l'utilisent. Aux US. pour savoir telle ou telle pathologie. Et des fois, il n'y a pas grand-chose. Enfin, c'est hyper pratique.

  • Speaker #0

    OK. Et justement, c'était la question suivante. On l'utilise pour quoi, la kinésio ? On peut venir pour tout ? La kinésio. Pourquoi ?

  • Speaker #1

    Alors, la kinésio, effectivement, des fois, il y a des gens qui ont des douleurs. Ils sont allés plusieurs fois chez le médecin, plusieurs fois chez l'ostéopathe. L'ostéopathe, il va aller... il va le mettre, il va remettre, il va refaire ce qu'il faut pour mettre la personne d'aplomb. Mais on se rend compte qu'après, un mois après, la personne, elle revient encore.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    ok. Et les ostéopathes, ils ont compris que derrière, si la personne a tendance à revenir pour le même sujet, eh bien, c'est parce qu'il y a une cause d'ordre émotionnel. Ok. D'ordre émotionnel, donc. souvent les ostéos ils envoient les personnes chez les médios parce que c'est plus profond, c'est encore plus profond. Et donc ce que je disais, c'est que des fois les personnes elles ont des douleurs et ces douleurs après des scans, des IRM, des prises de sang, en fin de compte la douleur est toujours là mais on ne trouve rien en médecine traditionnelle. Et puis enfin... Les personnes se rendent compte qu'il y a un émotionnel ou un trauma. En fait, il y a quelque chose à aller un peu plus en profondeur.

  • Speaker #0

    Oui, c'est psychosomatique, en fait, plutôt, cette douleur.

  • Speaker #1

    Par exemple, j'ai une cliente. Elle est venue en séance, en fait, plusieurs fois. La première fois, elle était venue et me disait, oui, je viens parce que j'arrive. plus à vivre avec ces maux de ventre. J'ai fait tous les tests, je mange la même chose que certaines personnes, ils n'ont rien, mais moi j'ai toujours quelque chose. En fait, ça l'empêchait de vivre. Après, au bout de la quatrième séance, je lui dis « Pourquoi tu viens ? » Elle me dit « C'est pas bien dans ma vie ! » Parce qu'on parle d'une nénette qui était vraiment pas bien. en mode dépression, dépressif, et puis qui n'osait pas vivre sa vie. Et donc, la quatrième séance, ça y est, elle revit sa vie comme une jeune femme de 26 ans. Et elle me disait, ce qui se passe, Kim, c'est que j'ai un... Avant, tu t'en souviens, c'était 150% la douleur au niveau du ventre. Maintenant, c'est plus que 20%, mais 20%, moi, j'aimerais bien les éradiquer. Et elle s'est rendue compte que lors de cette séance, elle a somatisé quelque chose.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Parce que pour elle, sa réussite était due aux autres. Tu vois ce que je veux dire ? Oui. Ou même ses échecs plutôt. Plutôt ses échecs étaient dus aux personnes.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et quand elle a voulu faire une école, parce qu'on lui disait, tout le monde lui disait « Oui, c'est ça que tu devrais faire » . t'es bonne à ça, tu devrais y aller. Elle a fait, sauf que elle a raté ses deux années. Tu vois ? Et le truc, ça lui a fait mal parce que c'était pas la faute des autres. C'était la faute à elle. Et quand elle a compris que ça et qu'en fait, elle a somatisé ce mal de ventre pour dire que se dédouaner de plein de choses en disant... C'est de la faute de ce mal de ventre que je n'ai pas pu, tu vois ?

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Donc, je ne peux pas relationner.

  • Speaker #0

    Oui, ce que tu as dit au départ quand tu as parlé d'elle, ça lui gâchait la vie. Tu vois, c'est un peu se dire que c'est mon mal de ventre qui me gâche la vie et pas moi qui me sabote en fait, alors que c'est moi qui me gâche la vie finalement.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement.

  • Speaker #0

    Ok. Tu vois ? Donc,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et il y a beaucoup aussi… Il faut aussi savoir que… Dans ce que je propose, effectivement, il y a le transgénérationnel, mais il y a aussi le bagage karmique. Et le bagage karmique, donc forcément, c'est inconscient, mais ça peut énormément jouer dans notre vie. Ça peut impacter notre vie.

  • Speaker #0

    Ah bah, fortement, oui. Et puis en plus, il y a vraiment, je trouve que, pour travailler dans le transgénérationnel, il y a une frontière assez fine. entre transgénérationnel et karmique. C'est-à-dire que parfois même, les deux se mélangent.

  • Speaker #1

    Mais oui, je pense que tu as dû t'en rendre compte dans le générationnel que des fois, c'est du karmique familial.

  • Speaker #0

    Mais oui, c'est ça, c'est du karmique familial. Et puis toi-même, c'est très particulier. Tu vois, tu as l'impression que la personne même se réincarne, qu'elle est sa propre ancêtre. C'est très étrange, quoi. Il y a ce truc. très étrange, frontière chine entre le transgénérationnel et le karmique. Et ça impacte énormément.

  • Speaker #1

    Mais oui. Alors là, on va dire que ce n'est plus du tout dans la kinésiologie, mais une expérience, c'était une jeune femme. En fait, on était dans le karmique transgénérationnel. Et quand je dis... Alors, il y a le transgénérationnel, et puis... Le karmique transgénérationnel, dans tous les cas, on est impacté par ce transgénérationnel. Et le karmique transgénérationnel, c'est un ancêtre qui a eu des vies antérieures, qui rentre dans ce clan, qui pouvait être, par exemple, on va dire, le cas de cette personne, c'était dans ses ancêtres. Il y avait quelqu'un qui a eu une vie antérieure où il a été un viking et il a abusé de plein de femmes. Et il y a ce truc de... Je ne sais pas, on pourrait dire de malédiction ou pas. Où justement, ces femmes-là lui ont dit pour la peine, toi, dans ta lignée, toutes les femmes seront aussi... Et c'est là que je lui ai dit à la fille, je lui ai dit bon, il y a ça. Elle me dit... Elle commence à pleurer. Elle me dit bah oui. Moi, j'ai été abusée, ma mère a été abusée, ma grand-mère a été abusée.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Donc là, il y a un mélange entre le transgénérationnel ou cette lignée de femmes abusées, mais avec une cause finalement karmique.

  • Speaker #1

    Karmique, exactement. Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et, ok. Oui, c'est intéressant. C'est intéressant parce qu'on voit aussi comment tout est lié. Alors... Toi qui nous écoutes, n'aie pas peur, ça ne veut pas dire que tes problèmes, tu as une montagne de problèmes. Mon Dieu, mais en fait, il faut que je règle mon enfance, mon style d'attachement, mon karma, le transgénérationnel, l'intergénérationnel, j'en peux plus, c'est fini. Non, mais en tout cas, c'est intéressant, là ce qu'on voit, c'est que finalement, des fois, de prendre un peu de recul et de faire dans la globalité, ça peut aussi aider vachement et avancer. beaucoup plus et de percevoir mais d'ailleurs je fais un un bon je suis la bonne bélier qui ramène toi elle mais même dans ma pratique en astrologie c'est aussi ça c'est comment est-ce que je vais parler de toi mais en fait aussi de ton karma et de l'astrogénéalogie en fait il y a ce mélange là parce que c'est hyper intéressant de voir que ce que t'es arrivé là sur terre C'est aussi un mélange de ton karma, c'est aussi un mélange du clan familial, etc. Et je pense que ça aide vachement plus à regarder dans cette globalité, mais à le regarder pas en mode « ouah, mais il y a trop de choses à régler, je vais jamais m'en sortir » , mais vraiment à le regarder comme un tout qui serait relié. Et genre, ce tout, quand je le regarde comme ça en un tout, finalement c'est beaucoup plus facile à libérer et à guérir.

  • Speaker #1

    mais bien sûr et aussi je rajouterais un truc c'est pas parce que dans ta lignée familiale qu'il y a des gens qui vivent telle ou telle situation que tu es forcément impacté ça dépend aussi de ta mission de vie et de ce que tu es venu y faire et apprendre et

  • Speaker #0

    puis parfois même justement il y en a ça m'arrive aussi ça ce truc il y en a Un, dans la lignée, des fois c'est la personne qui vient, qui n'est pas du tout comme tous les autres. Parce qu'en fait, justement, son but, c'est d'aller balayer tout ça de la famille. Et donc, c'est la personne qui est en mode retrait de sa famille, qui ne vit pas les mêmes choses que sa famille. Ça ne l'impacte pas de la même façon, mais parce qu'elle n'a pas la même, entre guillemets, mission.

  • Speaker #1

    On appelle ça les moutons noirs.

  • Speaker #0

    Exactement. Ok, donc on a vu en kinésio que les gens peuvent venir te voir parce qu'ils ont des douleurs. Les gens qui viennent te voir, il y a première catégorie, ceux qui ont des douleurs. Les autres catégories, qu'est-ce que ça va être ?

  • Speaker #1

    C'est émotionnel, des blocages. Par exemple, ils sentent qu'ils ont envie de faire quelque chose, mais ils n'ont pas l'élan. Ils se sentent empêchés. Ils n'arrivent pas à casser ce plafond de verre. Et quand ils comprennent que derrière, il y a ces schémas, c'est comme on parlait tout à l'heure aussi, c'était très intéressant. Il y a ces personnes qui, lorsqu'ils sont dos au mur, dans leur constitution interne basale, c'est des fonceurs. Ils y vont, ils peuvent le faire. Et justement, il y en a qui travaillent mieux quand ils sont dans l'urgence. Et puis, par contre... quand il n'y a pas d'urgence, ils sont en mode je ne sais pas où je suis parce que des fois il se peut que il y a comment on est constitué et puis aussi après comment nos croyances limitantes, notre éducation comment on a été élevé, tout ça font qu'on se sent empêché par exemple c'est ce que je dis je dis à certains clients, je fais c'est dommage Vous n'êtes pas dans la peur et vous foncez. Mais ce que je vois, c'est qu'au niveau de... Par exemple, quand je regarde au niveau de la focalisation, je demande à la personne de se focaliser sur un point précis et je teste le corps. Et je peux savoir si, par exemple, ça vient du père ou de la mère. Tac, tac, tac. Et je vois, par exemple, ah, l'autorité masculine du papa, c'est comment ? Ah ben oui, papa, il a été très autoritaire. Donc, du coup... je ne me sens pas du tout à la hauteur. Je fais des choses, je ne me sens pas à la hauteur. Il faut toujours que j'en fasse des tonnes, des caisses, parce qu'il faut que ça soit parfait. Personne ne m'a dit que c'était bien. Et donc, pour passer de la liste 1, il faut checker plein de choses avant d'aller sur liste 2, l'action 2. Et souvent, en fait, on frise, en fait, on est paralysé sur la liste 1. Enfin, sur le... Action 1, parce qu'on n'a pas tout checké. Et ce genre de personnage, c'est ce que je dis, c'est comme si en fin de compte, le but, il est là. Je ne sais pas si on voit. Et en fait, au lieu d'aller comme ça, ils font ça. Tac, tac, tac, tac,

  • Speaker #0

    tac, tac. Alors, pour ceux qui écoutent sur le podcast, en gros, le but, il est à un point précis. Au lieu d'aller directement à ce point, ils passent par plein de chemins. Ils font des... Des détours, des vagues, des pics, etc. avant d'arriver.

  • Speaker #1

    Ça, c'est une réponse traumatique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Oui, après, ce que tu disais, ça me fait penser au fait que notre base, qui on est, mais il y a aussi un masque qu'on rajoute parce que... que par rapport à nos traumas, à nos vécus, à nos blessures, etc. Et ce côté-là fonceur ou capable d'aller au-delà quand tu n'as le choix, c'est... j'ai oublié ce que je voulais dire. Je commence.

  • Speaker #1

    Oui, je vois ce que tu veux dire. Si on n'a pas le choix, c'est là qu'on sort nos ressources internes.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et qu'avant, on est dans la blessure, dans le masque, dans le « je ne suis pas capable » . que t'as dit, j'ai pas coché tous les trucs que je peux faire c'est ça,

  • Speaker #1

    toutes les histoires qu'on se raconte quand on est obligé on est obligé quoi c'est pour ça qu'il y a des personnes en fait je suis une combattante mais mais bon mais

  • Speaker #0

    à quel prix ouais c'est ça donc douleur les gens sentent qu'ils sont bloqués, freinés Est-ce qu'on peut aussi venir te voir utiliser la kinésio parce qu'on sait ? Tu vois, là, par exemple, tu m'as donné l'exemple, justement, de gens qui se sentent bloqués, mais finalement, ils ne savent pas pourquoi. Est-ce qu'on peut aussi utiliser la kinésio plus parce qu'on sait ? C'est pourquoi, genre, je ne sais pas, je vais parler du deuil. On est en plein deuil, on est dans un truc très émotionnel et on vient utiliser la kinésio pour... aider à justement comme tu disais à rendre le corps plus fort

  • Speaker #1

    Oui, oui, tout à fait. Parce que des fois, le deuil, effectivement, ça peut être lié à plusieurs choses par rapport à ce que la personne, ce qu'elle représentait. Et des fois, on se rend compte qu'on s'appuyait sur cette personne et tout d'un coup, on est lâché dans la nature. Et après, il y a l'amour aussi. Enfin, c'est tellement, ça peut être tellement varié, le deuil. Et il n'y a pas que le deuil aussi. Tout ce qui est addiction ou les tocs. Il y a un enfant qui était venu pour des talks, justement, où il était... C'est parce qu'il ne se sentait pas accepté. Et quand... Et il ne se sentait pas accepté. Et en même temps, il y avait aussi une histoire avec le papa. C'était un jumeau. Enfin, il y a quelque chose au niveau de l'égalité, en fait. Il ne se sentait pas égal à son frère. Ou lui, il avait l'air d'être plus aimé, par exemple.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Mais c'était une façon d'évacuer quelque chose. Et sa maman disait qu'après, ça allait beaucoup mieux. Oui, donc enfant, par exemple, dès qu'il bégaye. En fait, là, je vais te parler beaucoup d'enfant parce que c'est ce qui me vient. Enfin, les adultes aussi, le sommeil, par exemple, tu n'arrives pas à dormir parce que ça tourne dans sa tête, ça tourne en rond. Ça m'a fait tellement de la peine quand ce monsieur m'a dit, quand il est revenu à la deuxième séance, il m'a fait crime. C'est bizarre maintenant, je me sens toujours heureux.

  • Speaker #0

    Je ne peux pas l'habituer.

  • Speaker #1

    Il disait, ça fait 17 ans que j'étais dans le noir. Et puis là, tout d'un coup, je vois la lumière. Mais le contraire aussi, ça fait bizarre.

  • Speaker #0

    Ah ben bien sûr, quand tu es habitué à quelque chose, c'est difficile d'aller. Même si l'autre chose, c'est du positif, c'est difficile d'y aller. Et c'est pour ça que des fois aussi, il y a ce sabotage qu'on se fait parce que... on est habitué, tu vois, là ça me fait penser aux relations aussi amoureuses, quand t'es habitué à des relations qui sont tortueuses par rapport par exemple à tes parents, etc. Tu comprends, aller vers quelque chose de sain et simple, c'est difficile donc ouais, même sortir de sa zone de confort, en fait, c'est dans tout, même si l'autre côté c'est merveilleux, je suis pas habitué, j'aime pas trop, je vais rester dans ma merde, quoi, un peu.

  • Speaker #1

    C'est ça, non mais oui ! C'est ça, parce que je peux le supporter encore. Ça va, ça va, je connais. Et quand tu en sors, c'est là que tu dis, j'ai supporté tout ça.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Tu vois ? Et je rajouterais aussi, il y avait une dame qui m'a appelée pour sa petite fille de 2 ans, enfin 3 ans. Elle ne comprenait pas parce qu'elle a commencé, la petite, à bégayer, alors qu'elle parlait très, très bien.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et... Et en fin de compte, en séance, déjà, elle a eu une naissance un peu compliquée. Pour elle, le monde n'était pas fiable. Et la seule, on va dire, la seule figure d'attachement, c'était sa maman. Et sa maman, il y a pile poil deux semaines et demie, là, justement, elle avait décidé de partir en vacances, un week-end, le temps d'un week-end, avec ses copines. Donc, elle l'a laissée avec... Le papa pourtant, il est safe avec le papa et le grand frère. Et à partir de là, elle a commencé à bégayer. Et quand on a compris, on a mis des mots sur l'événement. Et puis on a renforcé le corps. Et c'est là que sa mère m'envoie un message. Elle m'a dit, bon ben ça y est, elle ne bégaye plus.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    C'est super. Ouais. Non, c'est vraiment bien. Alors des fois, on ne se rend pas compte, mais les enfants, ils ont... Ils arrivent des fois sur Terre avec ce rôle où ils pensent devoir sauver leurs parents, leurs ancêtres, alors que c'est que des enfants. On leur demande juste d'être des enfants. Et pareil, il y a notre petite fille, elle, à l'école, enfin même, elle voit l'extérieur, c'était compliqué. Elle ne parlait pas du tout. Elle était toujours là à avoir peur. Il y avait quelque chose. Sa mère, elle l'avait emmenée parce que justement, à l'école, ça ne se passait pas bien parce qu'elle se faisait marcher sur les pieds. Elle ne s'exprimait pas du tout. Et là, en fin de compte, j'avais fait une séance structurelle, mais ça me disait aussi, il faut que la maman fasse une séance parce que la petite, elle, protégeait sa... Parce que sa maman, elle avait un secret qu'elle ne devait pas dévoiler. Elle devait... qu'elle a caché et la petite elle a pris ça aussi pour elle et une fois qu'on a libéré la maman la petite reparle ouais génial

  • Speaker #0

    Et du coup, justement, les enfants, comment tu fais ? Parce qu'une séance de kinésio, tu testes, mais tu parles aussi, tu expliques. Sur les enfants, comment ça se passe ? Tu laisses les parents là et tu parles aux parents ?

  • Speaker #1

    Alors, déjà, d'une, ce qui se passe, c'est qu'on utilise ce qu'on appelle le transfert d'énergie. Le transfert, c'est comme on prend l'énergie de l'enfant, parce que des fois, tu ne peux pas les tester. ils sont trop petits la kinésiologie tu peux en faire dès qu'ils sont tout bébé et donc on transfère l'énergie sur le parent et là c'est comme si on testait l'enfant directement en fait tu testes l'enfant via le corps du parent à travers le parent et ensuite après forcément on libère le test et chacun reprend ses énergies ok c'est fou

  • Speaker #0

    Est-ce que aussi, ça traite la phobie, par exemple, l'anxiété ?

  • Speaker #1

    Oui, l'anxiété, phobie. Donc, je te disais les TOC, tout ça. Après, il y en a même qui se forment pour les allergies. Ça peut aussi traiter certaines allergies. Moi, je n'ai pas fait ce module, mais effectivement, ça peut le faire aussi. Il y a des personnes qui… qui se sont formés pour, on peut passer par la kinésiologie aussi.

  • Speaker #0

    Waouh, c'est complet, quoi. C'est global.

  • Speaker #1

    T'imagines, tu parles à ton propre corps. On parle à personne d'autre. C'est toi et toi-même.

  • Speaker #0

    C'est ça, ouais. Il n'y a pas d'interprétation, de surinterprétation.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas d'interprétation, voilà. Parce que, bien sûr, en fait, ce qui se passe, c'est que la kinésiologie, on demande toujours l'autorisation au corps. Ça, c'est obligatoire. Tu n'y vas pas si le corps ne veut pas.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    c'est ce que je dis aux personnes c'est comme si au lieu d'être alignée tu désalignes la personne parce qu'elle n'est pas prête tu sais quand tu enlèves des couches c'est pas pour rien qu'il y a des couches avant bah ouais c'est ça c'est ce que j'explique à mes clients par exemple il y en a qui veulent aller du point A au point Z sauf que A, B, C, D, E, tu tousses déjà ouais et je leur dis c'est comme si en fin de compte après la séance vous vous retrouvez à poil est-ce que c'est le but en fait de vous retrouver à poil non c'est repartir avec des ressources être costaud

  • Speaker #0

    et fort ouais donc c'est pouvoir respecter le rythme en fait d'y aller pas à pas et pas d'aller trop vite et oui parce que si tu vas trop vite

  • Speaker #1

    ça va faire l'effet inverse.

  • Speaker #0

    Ah bah oui, c'est clair. Là, ton corps, il ne va pas apprécier. Enfin, rien de ton être va apprécier. Ton mental non plus, ton inconscient non plus. On dit, ah, la grosse panique, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça. Il y a des clientes qui, justement, qui ont été abusées. Et puis le corps, en fait, même dire les mots, parce que la kinésiologie, en fait, à la fin, il y a quand même des objectifs ou des mantras, comme sous forme de mantra, pour dire au corps, maintenant, c'est OK, tu peux le faire. Et certaines, elles n'arrivent même pas à le verbaliser parce que le corps, il ne veut pas. Il ne veut pas parce qu'il ne se sent pas prêt.

  • Speaker #0

    Et comment tu fais justement quand le corps, il ne se sent pas prêt ?

  • Speaker #1

    Alors, quand c'est comme ça, on essaye de calmer le corps un peu plus, de voir qu'est-ce qu'il raconte derrière.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Avec différents protocoles et puis ensuite, hop, ça y est. Mais après, c'est bon.

  • Speaker #0

    OK. Voilà. Et justement, combien de séances il faut ?

  • Speaker #1

    Ça dépend. Tout dépend de la personne. Il y en a pour qui ça va être une séance parce qu'elle n'a déjà pas mal bossé sur elle. Et puis, il y en a d'autres qui viennent des fois tous les mois et des fois qui viennent tous les 3-4 mois pour leur faire du bien. Par exemple, moi, en tant qu'inésiologue, moi, je préconise de m'en faire. de me faire faire une séance tous les

  • Speaker #0

    2-3 mois par exemple ou même des fois tous les mois pour se délester un petit peu bah oui c'est ça c'est important de lâcher aussi ce qui doit être lâché est-ce que justement il y a un temps entre deux séances enfin

  • Speaker #1

    un temps minimum alors oui moi ce que je dis aux clients alors déjà on sait que le corps il met 21 jours pour prendre de nouvelles habitudes.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    D'accord ? Donc, en général, on dit à la personne de venir... pas avant trois semaines, parce que sinon, il y en a, franchement, qui se pointeraient une semaine. En fait, ce n'est pas le but. Voilà. Et aussi, des fois, en séance, tu vois, à la fin de la séance, on peut avoir un temps d'intégration, mais ça peut être de l'ordre d'une semaine, un mois, même deux, voire trois mois, parce que ce sont des gros sujets. Ça veut dire qu'en fait, la personne... elle pourra bénéficier de la totalité de la séance, vraiment de toute la séance, que dans, à partir de, je ne sais pas, de ce temps d'intégration.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Qui peut être donc de maximum trois mois, et puis des fois c'est quelques jours avant, et puis jusqu'à trois mois.

  • Speaker #0

    Ok. Oui, il faut vraiment le temps, encore une fois, c'est toujours ce temps, voilà, qui est important. Le temps que ça s'intègre, ça s'imprègne, on digère, etc.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, c'est qu'après une séance, on peut être amené à avoir des éliminations, certaines éliminations. Des fois, ça peut être une grosse fatigue. Souvent, les gens sont fatigués après les séances. Ou ils vont souvent en toilette parce qu'il faut se vider. Ou les émotions font comme des montagnes russes. Mais c'est OK, c'est lié à la séance. Vraiment, il ne faut pas s'inquiéter.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et puis après, ça va se stabiliser au bout d'un moment.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, ce que je dis souvent, c'est parce qu'on change de vibration, parce qu'on se déleste de plein de bagages qu'on ne veut plus. Et donc, du coup, il faut s'habituer à cette nouvelle vibration.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, s'habituer à cette nouvelle vibration. Exactement. OK, super. Est-ce que pour finir, tu as envie de peut-être partager, même si on a un peu compris, les autres techniques que tu utilises pour aider justement les personnes ?

  • Speaker #1

    Il y a l'énergie, je peux utiliser l'énergie. Après, moi le plus, c'est que comme j'ai cette compétence, tu vois, je vais dans le temps générationnel, je vois carrément qu'est-ce qui est en lien avec la personne. Et je vois carrément en fait la scène. et c'est pareil pour les vies antérieures pareil je vois carrément je vois des images et puis je teste aussi le corps bien sûr et ce qui était drôle c'était cette femme qui était venue parce qu'elle avait du mal à conduire sur les grands axes et la troisième séance elle me dit je me demande alors comment c'est la conduite c'est toujours pareil mais j'ai appris que dans ma famille il y a une personne qui avait le même problème que moi à mon âge vers la fin de trentaine, quarantaine je dis ok et pendant la séance il s'avère que dans le transgénérationnel il y avait un arrière grand-oncle qui, en fait je voyais carrément le train à vapeur et tout je me suis dit oh là attendez, qu'est-ce qui se passe que je vois un train et en fait c'était que cette personne là c'était un homme qui était conducteur de train à vapeur il avait peur de la vitesse c'est comme s'il avait du mal à contrôler la vitesse et elle elle m'a dit un truc après elle m'a dit en plus vous savez Kim quand je me sentais partir quand je commençais à conduire dans les grands axes elle sentait son corps faire ça comme si elle allait du côté droit elle regardait en fait comme les conducteurs de train en dehors dans la lucarne et bref et donc elle me dit mais pourquoi moi et puis ma grande tante parce qu'on a la même chose Et c'est là que je teste chez A. C'est parce que soit vous êtes née à la même période que cet ancêtre, ou soit vous êtes née à la période où cette personne décède.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Et elle, bien sûr, elle part du butatif. Elle fait, ouais, bon, moi, j'ai pas plus d'infos, mais tu vois. Elle est un peu, parce que comme elle a pas d'infos, elle est un peu comme elle dit Saint Thomas, elle ne croise que ce que c'est.

  • Speaker #0

    Ouais, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et le soir, elle m'envoie un message pour me dire... Vous êtes incroyables. Après, je commence à lire son message. Elle me dit, effectivement, j'ai un arrière-grand-oncle qui était conducteur de train à vapeur. La dame, sa grande-tante qui a vécu les mêmes symptômes, son père était né le 18 octobre. Cette dame est née le 20 octobre. Et la cliente, elle est née le 24 octobre. Donc, enfin, tu connais, toi, le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ce qu'on...

  • Speaker #1

    Oui.

  • Speaker #0

    Les répétitions de dates, ça montre à quel point tu es lié à un ancêtre. C'est ça que tu regardes.

  • Speaker #1

    Et en kinésiologie, tu sais.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    Oui, c'est top. Ça, je n'ai pas besoin.

  • Speaker #0

    On ouvre un cabinet, sinon, si tu veux, tu vois, comme ça. Tiens. Voilà.

  • Speaker #1

    Avec le petit repas.

  • Speaker #0

    On voit les gens. Moi, je regarde le côté, voilà, et on libère. Ce serait fantastique, vraiment.

  • Speaker #1

    Vraiment, avec plaisir. Non, mais c'est vrai que tu vois, c'est ce que je dis aux personnes. C'est comme une autre de mes clientes. Je lui dis, mais... En plus, dans le transgénérationnel, c'est important de ne pas donner les prénoms de ses ancêtres. Parce que justement, assurez-vous que cette personne a une belle vie. C'est clair. Tu lui donnes tous les parisos. C'est ça. Et il y en a une qui m'a dit « Ah, oups, j'ai donné en deuxième prénom à ma fille le prénom de ma soeur décédée d'un cancer. »

  • Speaker #0

    Oui, voilà.

  • Speaker #1

    Sauf que la petite, il y a un truc de répétition où... La petite, elle a eu un cancer aussi, un jeune âge.

  • Speaker #0

    Ça, c'est assez terrible. Ça, je le vois aussi dans le métier. C'est ce truc de, il y en a un qui est mort tragiquement et pour le garder en mémoire, on va donner son nom au descendant. Non ! Non !

  • Speaker #1

    No way, c'est clair !

  • Speaker #0

    Ça, c'est pas possible, quoi. Vraiment, ouais, c'est ça. C'est donner les fardeaux de la personne. On a déjà assez de fardeaux, les gars !

  • Speaker #1

    C'est ça ! et moi je trouve dans la nouvelle génération je la trouve tellement géniale c'est que c'est des petits jeunes qui commencent à 20 ans qui se disent moi je veux travailler sur moi parce que justement je veux pas que mes enfants récupèrent tous ces fardeaux oh la la cette génération qui est hyper connectée en même temps hyper connectée mais hyper connectée ouais c'est ça exactement

  • Speaker #0

    et franchement quand je vois ça j'entends ça je me dis waouh c'est superbe cette génération exactement il y a encore de l'espoir oui bien sûr mais de toute façon je pense que même s'il y a des choses qui vont pas mais je vois quand même qu'on va vers une évolution de l'humanité ou en tout cas au niveau de l'écoute de l'émotionnel peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord mais il y a quand même une évolution je dis ça parce que je fais l'école à la maison à mon fils et là on est en train de faire l'histoire bon bah Ils étaient quand même sacrément violents et complètement tarés en fait à l'époque. Et donc il y a quand même une évolution. C'est peut-être lent, mais il y a une évolution. Et justement, comme tu dis, il y a de l'espoir parce que plus ça va et plus il y a cette conscientisation que c'est important de s'écouter, que c'est important de guérir, que c'est important de faire tout ce chemin en fait.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Et heureusement qu'on est là aussi.

  • Speaker #0

    Exactement. C'est ça. Ok, ben...

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'on peut te trouver ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je suis dans le 91, précisément ailleurs. Je ne sais pas si tu connais. Oui. Du côté de Montgeron, Brunois, tout ça.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Je suis aussi limite 94. Ce qui est marrant, c'est que des fois, il y a des gens qui font des horaires... Ils font deux heures de route juste pour venir. Moi, je me dis, waouh ! Bon, après, au début, tu sais, je disais, allez voir des kinésiologues plus à côté de chez vous. Et puis après, c'est là que je me suis dit, non, mais c'est bon, il ne faut plus que je leur dise ça. S'ils font autant de chemin, c'est parce que c'est moi qui vais le faire.

  • Speaker #0

    Oui, voilà, ils sentent l'appel. Moi, j'ai un... Enfin, ce n'est pas de la kinésio, mais j'ai un ostéopathe. Ce n'est pas à côté de chez moi et je ne changerai pas. En fait, je veux aller le voir, lui, et c'est tout. Parce que tu sens un peu l'appel, en fait, de certaines personnes. Tu sens que c'est... C'est ces personnes-là qui peuvent t'aider. Voilà. Et du coup, est-ce que tu as des réseaux, un site Internet ?

  • Speaker #1

    Je n'ai pas de site Internet, zéro. Par contre, en fait, ce qui marche très bien, c'est mon Google Business. En fait, comme je passe par Google Business, les gens, c'est là qu'ils me découvrent.

  • Speaker #0

    OK. Voilà.

  • Speaker #1

    voir les sites. J'ai aussi un Instagram et petit à petit, je vais changer pour thérapeute ou justement parce que comme je n'utilise pas que la kinésiologie, je ne peux pas me prétendre être que du kinésiologue.

  • Speaker #0

    Ok. Tu leur dis justement que tu n'utilises pas que ça ou...

  • Speaker #1

    Oui, oui, oui. Ils sont au courant. Tout à fait. Parce que je rajouterais aussi autre chose, c'est que je canalise aussi en séance. Je peux canaliser et c'est là que je leur dis, bon, on ne sait pas du tout de la kinésiologie. Il y a votre fils qui est là, votre père qui est là.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    Et je donne aussi un message à donner.

  • Speaker #0

    Je leur donne. Mais comme tu dis, c'est un peu holistique, c'est global. Donc finalement, c'est très intéressant. C'est global.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, les gens, c'est ce que je leur dis. C'est que s'ils doivent venir, ils viennent. Je ne les appelle pas. Ça veut dire qu'il y a quelque chose pour la personne qui est sur la table à libérer.

  • Speaker #0

    C'est ça. Exactement. Trop bien. Eh bien, merci. De toute façon, je mettrai aussi tes infos dans la description. Voilà, on retrouve ton Instagram, ta page Google, etc. Là où tu exerces aussi. Merci beaucoup pour cet échange. C'était top. Est-ce que tu as peut-être quelque chose à rajouter ?

  • Speaker #1

    Non, je pense qu'on a dit beaucoup.

  • Speaker #0

    C'est ça. J'avais prévenu. Franchement, j'ai fait quand même un effort pour pas trop… parce que là, en vrai, je pourrais continuer encore longtemps, mais j'ai fait un effort pour qu'on essaye de ne pas trop partir dans tous les sens, de ne pas trop divaguer et continuer notre discussion. Mais oui, ça fait déjà pas mal d'infos et c'est top. Ça permet vraiment d'avoir une vision un peu plus globale aussi de la kinésio parce que justement, un peu ce que tu disais au départ, des fois, tu entends des choses, mais tu ne comprends pas trop ce que c'est et voilà. Et là, c'est intéressant en fait de voir même... ta façon de pratiquer, l'aspect très global et holistique qui est hyper important. Donc, merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Merci de m'avoir suivi sur cet épisode.

  • Speaker #0

    Et puis, du coup, à très bientôt. Je suis sûre qu'on va encore un peu parler.

  • Speaker #1

    Je n'en doute pas. Et d'ailleurs, je pense qu'il y aura peut-être d'autres sujets qu'on pourrait aborder.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    ça pourrait intéresser énormément de personnes.

  • Speaker #0

    Oui, avec grand plaisir. Je vous dis à très bientôt pour un prochain épisode.

Chapters

  • Introduction et présentation de Nitsa et Kim

    00:00

  • Discussion sur la kinésiologie et ses techniques

    00:56

  • Le corps comme outil de guérison et de transformation

    02:23

  • Le parcours de Kim vers la kinésiologie

    08:30

  • Comment fonctionne la kinésiologie ?

    10:49

  • Applications de la kinésiologie dans la vie quotidienne

    21:06

  • Les émotions et les blocages : cas pratiques

    30:25

  • Kinésiologie et enfants : approche adaptée

    40:03

  • Conclusion et ressources pour aller plus loin

    46:46

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Description


As-tu déjà ressenti que ton corps te parlait, mais que tu n'écoutais pas ? Dans cet épisode je reçois Kim, une thérapeute passionnée spécialisée en kinésiologie, qui nous plonge dans un univers fascinant où le corps et l'esprit se rencontrent pour favoriser la guérison. Kim partage son parcours inspirant, passant d'une carrière en comptabilité à une vocation profondément ancrée dans le bien-être après avoir vécu un burn-out. Cette transition l’a amenée à découvrir la kinésiologie, une pratique qui utilise le corps comme un véritable guide pour identifier et traiter les émotions et les stress accumulés.


Au fil de la discussion, Kim nous révèle comment chaque douleur physique peut être le reflet d'émotions non résolues. Elle souligne l'importance d'écouter son corps pour une guérison authentique, une notion essentielle dans le cadre du transgénérationnel et de l'astrologie. Ensemble, nous explorons les différentes techniques de kinésiologie, les blocages émotionnels qui nous freinent, et l'impact puissant du transgénérationnel et du karmique sur notre santé mentale et physique. En effet, Kim insiste sur le fait que le corps détient toutes les réponses nécessaires à notre bien-être.


Pour la retrouver : Kima Lauran kim.lauran.kinesiologue@gmail.com

46 allée Albert Camus

91330 Yerres

Insta : kimlauran.kinesiologue


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Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, bélier ascendant lion, lune en lion. Ce qui me plaît par-dessus tout, c'est d'explorer les mystères de la vie, comprendre pourquoi on est comme on est, et trouver des solutions pour exploiter au maximum ses potentiels. Ma maison 8 dominante me pousse à explorer ce qui est caché, à sortir de l'ombre les tabous, les mettre en lumière pour se transformer, se renouveler jusqu'à être parfaitement authentique. C'est pourquoi je t'accompagne grâce à l'astrologie. au transgénérationnel et à toutes mes compétences acquises au fil des années. Bonjour et bienvenue dans l'épisode tabou où je suis accompagnée, où j'ai une invitée. Je suis ravie de vous retrouver dans ce nouvel épisode. Bonjour Kim !

  • Speaker #1

    Bonne journée de ça !

  • Speaker #0

    Comment tu vas ?

  • Speaker #1

    Très très bien, il y a un beau soleil et il fait presque 20 degrés aujourd'hui, c'est fou, après la neige.

  • Speaker #0

    C'est ça, il y a deux ou trois jours il neigeait et maintenant presque on va avoir chaud quoi. Enfin bref, tout va bien.

  • Speaker #1

    On ne saura plus si on te faudra se déshabiller.

  • Speaker #0

    C'est ça, mais là, je suis en pull et j'ai presque trop chaud. Mais bon, je vais garder mon jaune qui est sur moi, donc je ne vais pas me déshabiller, je vais suer, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    Mais c'est très solaire.

  • Speaker #0

    Voilà, merci. Donc aujourd'hui, on va te découvrir, Kim, en tant que thérapeute. On va surtout parler un peu d'une de tes pratiques qui est la kinésio. Le but, je rappelle, de ces épisodes, c'est un peu de découvrir d'autres techniques et de voir à quel point c'est merveilleux le monde du bien-être et de la guérison. Voilà, donc on va échanger là-dessus. Et comme d'hab, vu que Kim, elle est un peu comme moi aussi, elle est un peu bavarde, peut-être que ça va déborder et qu'on va parler de tout et n'importe quoi. Donc, toi qui écoutes cet épisode, n'hésite pas à prendre un thé et à te mettre tranquille au chaud. Voilà, fais-toi plaisir. Alors Kim, est-ce que tu peux te présenter tout simplement ? Qui es-tu ? Que fais-tu ?

  • Speaker #1

    Alors, je m'appelle Kim. Je suis thérapeute depuis à peu près, presque pratiquement trois ans. J'utilise plusieurs techniques, dont la kinésiologie, mais pas que. J'utilise aussi, en fait, mes dons spirituels, donc la médiumité. Et je combine un petit peu dans mes séances. Et c'est... très parlant parce qu'on combine le corps et la spiritualité. Alors que si vous voulez, ce qui est génial, c'est que le corps, en fait, il est connecté à plusieurs corps, corps subtils, dont le corps divin. Donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps, il a toutes les réponses.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça qui est merveilleux. Ça, c'est passer par le corps. Je pense vraiment que c'est quelque chose qui me manque un peu dans ma pratique. et que je trouve très intéressante parce que finalement, dans ma façon de faire, on passe vraiment dans le mental. Moi, personnellement, je passe par le corps, j'essaye d'écouter mon corps, de libérer dans le corps, mais je trouve que c'est effectivement hyper enrichissant de passer par le corps. Comme tu dis, le corps, il fait quoi ? C'est fou quand on l'écoute. Le message qu'on reçoit du corps, c'est incroyable.

  • Speaker #1

    Le corps, il est génial, c'est notre véhicule de vie. Et sachez une chose, c'est que... On a beau travailler le mental, mais si le corps, il n'a toujours pas intégré ou accepté, parce qu'il a ses peurs aussi, parce qu'il ne connaît pas. Tu vois, par exemple, on a beau des fois travailler le mental, mais si le corps, en fait, si tu ne le ressens pas dans ton corps, c'est comme si tu disais quelque chose dans le vide, en fait. Par exemple, la personne, elle va se dire, je vais, enfin... pas que les points neurovasculaires, etc. Même si des fois, tu essaies d'intégrer, mais si derrière, le corps, tu ne le ressens pas dans le corps, c'est comme si tu ne pourras pas le mettre en pratique réellement. Et c'est pour ça que, si tu veux, j'accompagne pas mal de gens qui sont coachés.

  • Speaker #0

    justement et ils sont là oh c'est bon Kim j'ai déjà travaillé et puis en fin de compte oui tu l'as travaillé mais le corps il est pas encore ok ouais c'est ça je vois c'est on intellectualise et puis en fait le fait de passer que par le mental parfois ça me permet pas aussi de lâcher totalement et on vient peut-être un peu interpréter et évidemment à un moment il y a l'ego aussi qui vient et qui dit c'est bon j'ai libéré c'est génial tout va bien alors qu'en fait pas du tout quoi ... Au contraire, on en est loin.

  • Speaker #1

    J'ai eu pas mal de gens, justement, qui sont venus de cette fameuse école de coaching qui me disaient, mais non, mais Kim, c'est bon, je l'ai travaillé et puis j'ai travaillé depuis des années. Mais sauf qu'en fin de compte... il y a encore des miasmes, des restes, des restes des fois qui sont inconscients. Si tu ne vas pas jusqu'à la racine, tu vois, c'est comme si ce n'était pas guéri ou libéré.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et même, tu vois, j'aime bien cette métaphore. Si tu ne vas pas à la racine, ce n'est pas guéri, libéré. Mais même des fois, quand tu vas à la racine, ça peut revenir. Ça me fait penser à quand j'avais un jardin potager, bref. Et tu vois, tu enlèves les plantes, tu enlèves la racine et en fait finalement il reste un bout de racine. Et la plante elle repousse au même endroit et tu te dis ça m'énerve. Et bien en fait c'est un peu ça je trouve finalement ce dont on a besoin de guérir. C'est que déjà c'est hyper important, si tu coupes juste la plante tu peux être sûr que dans trois jours elle repousse. Mais en plus même quand tu enlèves à la racine, il faut vraiment faire en sorte d'enlever toute la racine et tout quoi. Parce que sinon, ça va devenir encore présent. Et c'est la même chose avec les blessures. Et du coup, de passer par différentes méthodes, l'intellectualisation, l'inconscient, le corps, etc. Ça permet d'aller à la racine à différents niveaux. Et finalement, d'être sûre qu'on a arraché cette racine.

  • Speaker #1

    Alors moi, ce que je dis souvent à mes clients en séance, c'est... C'est comme si, en fin de compte, là, tu as une blessure béante, sanguinolente qui est à vif. Et que les gens, par exemple, en fait, que ce soit des personnes ou des situations, recontactent cette blessure, mais c'est comme s'ils prenaient leurs doigts et ils secouaient à l'intérieur. Donc forcément, qu'est-ce qui se passe ? C'est que tu surréagis, bien sûr, parce que ça fait mal. Et les séances, ça permet en fin de compte de prendre conscience de cette blessure et des enjeux aussi. Qu'est-ce que ça a travaillé chez toi ? C'est quoi les conséquences de cette blessure ? Moi, ce que je dis souvent, c'est que la conscientisation, c'est 75% déjà de l'accompagnement pour se libérer. ou pour guérir de cette blessure.

  • Speaker #0

    C'est sûr.

  • Speaker #1

    Et ensuite, le reste, c'est effectivement, bon, c'est dire au corps, maintenant, tu peux le faire, c'est rien, on passe à autre chose. Et c'est comme si on mettait un pansement dessus, jusqu'au jour où... Et lorsque les personnes vont recontacter cette blessure, la personne va dire, ah, ok, je comprends que ça retouche cette blessure, mais je suis ok maintenant avec ça, ça va mieux jusqu'au jour. on vibre autre chose, on passe à autre chose tout simplement, on enlève ce pansement et on se rend compte que c'est cicatrisé.

  • Speaker #0

    Oui, c'est beau, c'est ça, les différentes étapes, c'est assez beau. Ok, comment est-ce que tu es tombée dans la kinésio ? Qu'est-ce qui t'a fait aller vers ça ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est un peu particulier, parce que si tu veux, je suis aussi médium, avant d'être kinésiologue, je suis aussi médium. J'étais comptable dans des structures, dans des grosses structures plutôt internationales. Je gagnais bien ma vie. Mais tu te rends compte qu'il y a un autre appel. J'ai fait un burn-out, un vrai burn-out parce que c'était même avant le Covid. Je commençais à me sentir pas bien dans ce que je faisais, dans ce que j'étais un jour. Donc je rêve, je rêve de mes guides. De mes guides et puis ils sont tout autour d'une table. Une chose à savoir, c'est que la kinésiologie, je ne connaissais pas du tout. J'avais juste entendu parler, tu sais, des gens qui me disent, « Oh, je suis partie voir un étiomédecin. » Ok, un chiropractor, ok,

  • Speaker #0

    un kinésiologue,

  • Speaker #1

    ok, mais je n'ai pas cherché à savoir ça.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et donc, dans ce rêve, je rêve de mes guides. Ils sont six autour d'une table carrée. Et il y en a qui disent... Il y en a une qui disait, ouais, mais elle aurait dû persister parce qu'elle aurait pu encore apprendre sur l'humain. Et il y en a un autre qui disait, tu as vu comment elle est fatiguée, peut-être que c'est le moment. Je me réveille, j'entends la physiologie, je fais, c'est quoi ça ?

  • Speaker #0

    Trop fort !

  • Speaker #1

    Je tape, et puis je commence à pleurer parce que ça faisait dix ans que je cherchais justement un métier dans le bien-être. qui pourrait me correspondre. J'étais dans les massages parce que forcément, tu sais, en fait, je ressens les points, les nœuds. C'était intuitif. Il y en a qui me disaient, ouais, je te verrais bien aussi, psychologue, parce que tu trouves les mots, t'arrives... Et puis moi, je dis non, Il manque quelque chose. Et bien là, ça cumule les deux.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est génial.

  • Speaker #1

    C'est génial. Le corps et puis les paroles. Oui,

  • Speaker #0

    les paroles.

  • Speaker #1

    Et donc, je commence à pleurer. Et puis, me voici. Trop bien.

  • Speaker #0

    Alors justement, ça me permet de rebondir parce que tu dis le corps et les mots. C'est quoi en vrai la kinésio ? Comment ça se passe ? Qu'est-ce que c'est ? Quoi le principe de la kinésio ?

  • Speaker #1

    Alors la kinésio, c'est utiliser le corps pour connaître s'il y a stress ou les émotions. À savoir que le corps parle. Et on a tendance à l'oublier, ces petits corps. On se dit, oh j'ai mal ici, bon on va mettre de la pommade. Oh j'ai mal là, je vais prendre un togiprane.

  • Speaker #0

    C'est ça. On n'essaye pas de comprendre pourquoi on a mal et d'où ça vient et peut-être d'écouter. Si on est fatigué, de se reposer. Non, si on est fatigué, on va prendre du café. Enfin, voilà quoi.

  • Speaker #1

    Prendre des remèdes alternatifs.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    Et alors qu'en fin de compte, effectivement, il y a tellement de... Par exemple, certaines maladies, on sait que ça correspond à telles émotions. à pourquoi cette personne elle a ça. En fait, on arrive à décrypter vraiment le corps en séance. Ce qui se passe, c'est ce que je dis à mes clients. C'est que lors de la séance, ils peuvent être amenés à ressentir des choses dans leur corps parce que des fois, on est dans des ambiances ou des émotions. Et puis le corps, la personne dit « Ah oui, j'ai mal ! » Et puis on va regarder la signification et bim ! C'est exactement ce dont on parlait.

  • Speaker #0

    Oui. Vraiment.

  • Speaker #1

    Par exemple, hier, j'étais avec une cliente où justement, elle s'est complètement oubliée au profit de sa sœur parce que sa petite sœur est handicapée. Et elle me disait, « Ah, je ne sais pas qui, depuis quelques temps, je souffre, j'ai mal un petit peu vers la hanche, mais du côté gauche. » Donc, je lui dis, « C'est comment avec maman ? » Elle me dit, « Oh non, c'est plutôt bien. » Elle a été plutôt... C'est une maman aimante et tout. OK. Mais quand on a commencé à parler de maman et le fait qu'elle l'a mise un peu de côté au profit de sa sœur, eh bien, la douleur s'est ravivée pendant la séance. OK,

  • Speaker #0

    oui.

  • Speaker #1

    Elle a fait, ah oui, c'est vrai. Ben oui, c'est là qu'elle me disait, oui, c'est vrai que j'ai tendance à m'oublier parce que maman aussi, c'est... C'est vrai que pour être aimée, il fallait que je me fasse la plus petite possible pour qu'en fin de compte, ma mère ne soit pas embêtée par moi.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, d'être la plus sage. Je ne veux pas rajouter un poids à ma mère qui vit déjà ça. Mais du coup, justement, en séance, qu'est-ce que tu fais ? Tu touches des points ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est... Alors... La kinésiologie, on utilise ce qu'on appelle le test musculaire.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    En vérité, c'est qu'on pourrait utiliser tous les muscles de ton corps. S'il y a un stress, le corps, il lâche complètement. C'est comme s'il était flasque,

  • Speaker #0

    le corps, totalement.

  • Speaker #1

    Voilà. Et le but en kinésiologie, c'est de rendre le corps costaud. Parce qu'en fait, s'il est costaud, ça veut dire qu'il est OK.

  • Speaker #0

    OK. Il est prêt.

  • Speaker #1

    Tu vois, c'est comme par exemple les gens, ils vont venir te voir, ils vont te dire j'ai confiance en moi et puis tu sais pas pourquoi le corps il bouge. Ou sinon la personne elle te dit oui, oui, oui, oui, oui.

  • Speaker #0

    Et elle secoue la tête de Ausha droite.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement. Et on se rend compte que ben, c'est pour ça que les gens qui arrivent à décrypter la gestuelle du corps, ils savent ce que dit le corps. Parce qu'on voit qu'il est pas ok s'il est... Alors que... Quand il est plus stable, il est ancré, ça veut dire que c'est bien.

  • Speaker #0

    Ok. Et du coup, comment tu renforces le corps, justement ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a plusieurs protocoles. Il y a plusieurs protocoles d'équilibration qui existent en kinésiologie ou dans mes pratiques à moi. Par exemple, si on utilise les méridiens du corps, donc plutôt la médecine chinoise, à savoir les méridiens, c'est comme notre tableau électrique. S'il y en a un qui disjoncte dans les méridiens, ça veut dire que dans ton circuit, il y a quelque chose qui galère. Par exemple, je vais dire un truc tout bête. La personne, par exemple, il y a un méridien, c'est-à-dire un organe qui prend trop d'énergie parce qu'il est dans sa colère, je ne sais rien. Il va impacter l'autre organe. l'autre organe qui arrive après ou à l'intérieur parce que ça dépend du schéma du cycle shing ou du cycle ko et en fait le cycle ces différents cycles en fait ça nous permet de savoir quel méridien on doit rééquilibrer ok tu vois et là tu le sais tu on a des on sait quels muscles ça appartient à tel organe tu vois et puis on les testes quand tu vois qu'il n'y a pas d'énergie, ça veut dire que lui, il ne fonctionne pas. Et si, par exemple, imaginons que la personne, elle n'a pas du tout d'énergie dans le cœur, ça, par exemple, le système en entier, il ne fonctionne pas très bien. Parce que le cœur, c'est comme l'organe de vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, oui. Mais du coup... Alors, je vais faire vraiment le côté très pratico-pratique. Je veux un truc très cartésien et comprendre en détail. Je vais être un peu relou là-dessus. Mais je vais partager un peu mon expérience et ce que j'ai entendu. J'avais vu une kinésio. Justement, toute la séance comme ça, elle me touche un peu le poignet. Je ne sais pas quoi. Elle me pose des questions. Elle me parle de ma grand-mère. Elle me parle de « est-ce qu'à l'âge de… » Toi, tout à l'heure, tu as dit que, en off, C'est-à-dire avant qu'on commence à enregistrer le podcast, tu m'avais dit que justement la kinésio, en tout cas l'école dans laquelle tu as appris la kinésio, leur but c'était d'être sur le même niveau que l'ostéopathie, côté très cartésien et la médiumnité, ils n'aiment pas trop ça. Mais de mon expérience et de ce que j'ai entendu autour de moi, ça fait un peu le truc magique la kinésio. Genre tu touches le poignet et tu me parles de ma grand-mère. Comment est-ce qu'on fait si on n'est pas médium ? pour parler de, pour dire des choses aussi précisément. Est-ce que réellement, sans médiumnité, on peut aussi ?

  • Speaker #1

    On peut aussi. Et en fait, il y a des protocoles où on peut aller dans le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Ok. En touchant juste une partie du corps, quoi.

  • Speaker #1

    Le poignet ou une partie du corps, par exemple. Exactement. Et c'est pour ça que la personne, elle peut te poser des questions, parce qu'elle sait, le corps, ah, c'est là où il faut aller. C'est vrai que grâce à ce test musculaire, on a bien sûr, c'est quand même toute une pratique qu'on a appris. C'est à partir de là qu'on sait où il faut aller, où il faut creuser. Et on interroge le corps, on sait que tiens, il y a ça qui parle, pof, il faut y aller.

  • Speaker #0

    Mais vraiment, c'est pas que je suis sceptique, c'est vraiment que j'ai très envie de comprendre comment ça fonctionne. Mais tu vois, parce que... Par exemple, moi, en séance, c'était vraiment ça. On est passé, 80% de la séance, sur le poignet. Je veux dire, le poignet, il a tellement de choses à dire que ça. C'est ça que je trouve assez fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, on a aussi pas mal des fiches de syntonisation. Syntonisation, c'est tout ce qui est émotion, ambiance. On a différentes ambiances. Par exemple, on teste. C'est comme si tu testais... ces fiches-là, et puis tu sais que ah ok, ça correspond par exemple au tel ou tel baromètre, tu peux aller au baromètre. Moi, je n'utilise pas forcément que les baromètres parce que tu peux avoir le truc, l'intuition, et puis hop, tu testes derrière le corps. C'est comme si tu utilises plusieurs canaux et puis après tu utilises le corps avec. Et le corps, il te confirme ou non.

  • Speaker #0

    C'est fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, Tu sais que tu as fait le test, le oui, le non. Le oui, il est costaud. Mais encore, quoi que des fois, le oui, il peut être aussi lâche. Parce que, par exemple, une personne, elle a pu dire souvent oui alors qu'elle pensait non. Donc le oui, c'est un stress pour elle.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Ça peut être un stress. Mais la majorité des cas, normalement, le oui, c'est quelque chose qui... dont le corps il est ok et il est costaud tandis que le non c'est plutôt stressant et donc quand tu testes le corps il relâche le but c'est quand tu sens le corps, en fait les gens me disent mais comment tu sais parce que moi je vois pas la différence entre le oui ou le non et tu te rends compte que si il y a une différence parce que quand tu testes Par exemple, il faut que tu sentes comme s'il y a un mur, tu vois, quand tu testes. Alors que, par exemple, non. ça va rebondir un petit peu, tu vois ? Parce qu'il n'y a pas d'énergie et le muscle, en fait, la personne, elle essaye de compenser avec un autre muscle. Donc après, ça va remonter comme ça, tu vois ?

  • Speaker #0

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Voilà. Donc en fait, on le sait. Et ce qui est bien avec la kinésiologie, même aux US, ils l'utilisent aussi pour pas mal de choses, par exemple. Même il y a des médecins qui l'utilisent. Aux US. pour savoir telle ou telle pathologie. Et des fois, il n'y a pas grand-chose. Enfin, c'est hyper pratique.

  • Speaker #0

    OK. Et justement, c'était la question suivante. On l'utilise pour quoi, la kinésio ? On peut venir pour tout ? La kinésio. Pourquoi ?

  • Speaker #1

    Alors, la kinésio, effectivement, des fois, il y a des gens qui ont des douleurs. Ils sont allés plusieurs fois chez le médecin, plusieurs fois chez l'ostéopathe. L'ostéopathe, il va aller... il va le mettre, il va remettre, il va refaire ce qu'il faut pour mettre la personne d'aplomb. Mais on se rend compte qu'après, un mois après, la personne, elle revient encore.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    ok. Et les ostéopathes, ils ont compris que derrière, si la personne a tendance à revenir pour le même sujet, eh bien, c'est parce qu'il y a une cause d'ordre émotionnel. Ok. D'ordre émotionnel, donc. souvent les ostéos ils envoient les personnes chez les médios parce que c'est plus profond, c'est encore plus profond. Et donc ce que je disais, c'est que des fois les personnes elles ont des douleurs et ces douleurs après des scans, des IRM, des prises de sang, en fin de compte la douleur est toujours là mais on ne trouve rien en médecine traditionnelle. Et puis enfin... Les personnes se rendent compte qu'il y a un émotionnel ou un trauma. En fait, il y a quelque chose à aller un peu plus en profondeur.

  • Speaker #0

    Oui, c'est psychosomatique, en fait, plutôt, cette douleur.

  • Speaker #1

    Par exemple, j'ai une cliente. Elle est venue en séance, en fait, plusieurs fois. La première fois, elle était venue et me disait, oui, je viens parce que j'arrive. plus à vivre avec ces maux de ventre. J'ai fait tous les tests, je mange la même chose que certaines personnes, ils n'ont rien, mais moi j'ai toujours quelque chose. En fait, ça l'empêchait de vivre. Après, au bout de la quatrième séance, je lui dis « Pourquoi tu viens ? » Elle me dit « C'est pas bien dans ma vie ! » Parce qu'on parle d'une nénette qui était vraiment pas bien. en mode dépression, dépressif, et puis qui n'osait pas vivre sa vie. Et donc, la quatrième séance, ça y est, elle revit sa vie comme une jeune femme de 26 ans. Et elle me disait, ce qui se passe, Kim, c'est que j'ai un... Avant, tu t'en souviens, c'était 150% la douleur au niveau du ventre. Maintenant, c'est plus que 20%, mais 20%, moi, j'aimerais bien les éradiquer. Et elle s'est rendue compte que lors de cette séance, elle a somatisé quelque chose.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Parce que pour elle, sa réussite était due aux autres. Tu vois ce que je veux dire ? Oui. Ou même ses échecs plutôt. Plutôt ses échecs étaient dus aux personnes.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et quand elle a voulu faire une école, parce qu'on lui disait, tout le monde lui disait « Oui, c'est ça que tu devrais faire » . t'es bonne à ça, tu devrais y aller. Elle a fait, sauf que elle a raté ses deux années. Tu vois ? Et le truc, ça lui a fait mal parce que c'était pas la faute des autres. C'était la faute à elle. Et quand elle a compris que ça et qu'en fait, elle a somatisé ce mal de ventre pour dire que se dédouaner de plein de choses en disant... C'est de la faute de ce mal de ventre que je n'ai pas pu, tu vois ?

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Donc, je ne peux pas relationner.

  • Speaker #0

    Oui, ce que tu as dit au départ quand tu as parlé d'elle, ça lui gâchait la vie. Tu vois, c'est un peu se dire que c'est mon mal de ventre qui me gâche la vie et pas moi qui me sabote en fait, alors que c'est moi qui me gâche la vie finalement.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement.

  • Speaker #0

    Ok. Tu vois ? Donc,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et il y a beaucoup aussi… Il faut aussi savoir que… Dans ce que je propose, effectivement, il y a le transgénérationnel, mais il y a aussi le bagage karmique. Et le bagage karmique, donc forcément, c'est inconscient, mais ça peut énormément jouer dans notre vie. Ça peut impacter notre vie.

  • Speaker #0

    Ah bah, fortement, oui. Et puis en plus, il y a vraiment, je trouve que, pour travailler dans le transgénérationnel, il y a une frontière assez fine. entre transgénérationnel et karmique. C'est-à-dire que parfois même, les deux se mélangent.

  • Speaker #1

    Mais oui, je pense que tu as dû t'en rendre compte dans le générationnel que des fois, c'est du karmique familial.

  • Speaker #0

    Mais oui, c'est ça, c'est du karmique familial. Et puis toi-même, c'est très particulier. Tu vois, tu as l'impression que la personne même se réincarne, qu'elle est sa propre ancêtre. C'est très étrange, quoi. Il y a ce truc. très étrange, frontière chine entre le transgénérationnel et le karmique. Et ça impacte énormément.

  • Speaker #1

    Mais oui. Alors là, on va dire que ce n'est plus du tout dans la kinésiologie, mais une expérience, c'était une jeune femme. En fait, on était dans le karmique transgénérationnel. Et quand je dis... Alors, il y a le transgénérationnel, et puis... Le karmique transgénérationnel, dans tous les cas, on est impacté par ce transgénérationnel. Et le karmique transgénérationnel, c'est un ancêtre qui a eu des vies antérieures, qui rentre dans ce clan, qui pouvait être, par exemple, on va dire, le cas de cette personne, c'était dans ses ancêtres. Il y avait quelqu'un qui a eu une vie antérieure où il a été un viking et il a abusé de plein de femmes. Et il y a ce truc de... Je ne sais pas, on pourrait dire de malédiction ou pas. Où justement, ces femmes-là lui ont dit pour la peine, toi, dans ta lignée, toutes les femmes seront aussi... Et c'est là que je lui ai dit à la fille, je lui ai dit bon, il y a ça. Elle me dit... Elle commence à pleurer. Elle me dit bah oui. Moi, j'ai été abusée, ma mère a été abusée, ma grand-mère a été abusée.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Donc là, il y a un mélange entre le transgénérationnel ou cette lignée de femmes abusées, mais avec une cause finalement karmique.

  • Speaker #1

    Karmique, exactement. Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et, ok. Oui, c'est intéressant. C'est intéressant parce qu'on voit aussi comment tout est lié. Alors... Toi qui nous écoutes, n'aie pas peur, ça ne veut pas dire que tes problèmes, tu as une montagne de problèmes. Mon Dieu, mais en fait, il faut que je règle mon enfance, mon style d'attachement, mon karma, le transgénérationnel, l'intergénérationnel, j'en peux plus, c'est fini. Non, mais en tout cas, c'est intéressant, là ce qu'on voit, c'est que finalement, des fois, de prendre un peu de recul et de faire dans la globalité, ça peut aussi aider vachement et avancer. beaucoup plus et de percevoir mais d'ailleurs je fais un un bon je suis la bonne bélier qui ramène toi elle mais même dans ma pratique en astrologie c'est aussi ça c'est comment est-ce que je vais parler de toi mais en fait aussi de ton karma et de l'astrogénéalogie en fait il y a ce mélange là parce que c'est hyper intéressant de voir que ce que t'es arrivé là sur terre C'est aussi un mélange de ton karma, c'est aussi un mélange du clan familial, etc. Et je pense que ça aide vachement plus à regarder dans cette globalité, mais à le regarder pas en mode « ouah, mais il y a trop de choses à régler, je vais jamais m'en sortir » , mais vraiment à le regarder comme un tout qui serait relié. Et genre, ce tout, quand je le regarde comme ça en un tout, finalement c'est beaucoup plus facile à libérer et à guérir.

  • Speaker #1

    mais bien sûr et aussi je rajouterais un truc c'est pas parce que dans ta lignée familiale qu'il y a des gens qui vivent telle ou telle situation que tu es forcément impacté ça dépend aussi de ta mission de vie et de ce que tu es venu y faire et apprendre et

  • Speaker #0

    puis parfois même justement il y en a ça m'arrive aussi ça ce truc il y en a Un, dans la lignée, des fois c'est la personne qui vient, qui n'est pas du tout comme tous les autres. Parce qu'en fait, justement, son but, c'est d'aller balayer tout ça de la famille. Et donc, c'est la personne qui est en mode retrait de sa famille, qui ne vit pas les mêmes choses que sa famille. Ça ne l'impacte pas de la même façon, mais parce qu'elle n'a pas la même, entre guillemets, mission.

  • Speaker #1

    On appelle ça les moutons noirs.

  • Speaker #0

    Exactement. Ok, donc on a vu en kinésio que les gens peuvent venir te voir parce qu'ils ont des douleurs. Les gens qui viennent te voir, il y a première catégorie, ceux qui ont des douleurs. Les autres catégories, qu'est-ce que ça va être ?

  • Speaker #1

    C'est émotionnel, des blocages. Par exemple, ils sentent qu'ils ont envie de faire quelque chose, mais ils n'ont pas l'élan. Ils se sentent empêchés. Ils n'arrivent pas à casser ce plafond de verre. Et quand ils comprennent que derrière, il y a ces schémas, c'est comme on parlait tout à l'heure aussi, c'était très intéressant. Il y a ces personnes qui, lorsqu'ils sont dos au mur, dans leur constitution interne basale, c'est des fonceurs. Ils y vont, ils peuvent le faire. Et justement, il y en a qui travaillent mieux quand ils sont dans l'urgence. Et puis, par contre... quand il n'y a pas d'urgence, ils sont en mode je ne sais pas où je suis parce que des fois il se peut que il y a comment on est constitué et puis aussi après comment nos croyances limitantes, notre éducation comment on a été élevé, tout ça font qu'on se sent empêché par exemple c'est ce que je dis je dis à certains clients, je fais c'est dommage Vous n'êtes pas dans la peur et vous foncez. Mais ce que je vois, c'est qu'au niveau de... Par exemple, quand je regarde au niveau de la focalisation, je demande à la personne de se focaliser sur un point précis et je teste le corps. Et je peux savoir si, par exemple, ça vient du père ou de la mère. Tac, tac, tac. Et je vois, par exemple, ah, l'autorité masculine du papa, c'est comment ? Ah ben oui, papa, il a été très autoritaire. Donc, du coup... je ne me sens pas du tout à la hauteur. Je fais des choses, je ne me sens pas à la hauteur. Il faut toujours que j'en fasse des tonnes, des caisses, parce qu'il faut que ça soit parfait. Personne ne m'a dit que c'était bien. Et donc, pour passer de la liste 1, il faut checker plein de choses avant d'aller sur liste 2, l'action 2. Et souvent, en fait, on frise, en fait, on est paralysé sur la liste 1. Enfin, sur le... Action 1, parce qu'on n'a pas tout checké. Et ce genre de personnage, c'est ce que je dis, c'est comme si en fin de compte, le but, il est là. Je ne sais pas si on voit. Et en fait, au lieu d'aller comme ça, ils font ça. Tac, tac, tac, tac,

  • Speaker #0

    tac, tac. Alors, pour ceux qui écoutent sur le podcast, en gros, le but, il est à un point précis. Au lieu d'aller directement à ce point, ils passent par plein de chemins. Ils font des... Des détours, des vagues, des pics, etc. avant d'arriver.

  • Speaker #1

    Ça, c'est une réponse traumatique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Oui, après, ce que tu disais, ça me fait penser au fait que notre base, qui on est, mais il y a aussi un masque qu'on rajoute parce que... que par rapport à nos traumas, à nos vécus, à nos blessures, etc. Et ce côté-là fonceur ou capable d'aller au-delà quand tu n'as le choix, c'est... j'ai oublié ce que je voulais dire. Je commence.

  • Speaker #1

    Oui, je vois ce que tu veux dire. Si on n'a pas le choix, c'est là qu'on sort nos ressources internes.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et qu'avant, on est dans la blessure, dans le masque, dans le « je ne suis pas capable » . que t'as dit, j'ai pas coché tous les trucs que je peux faire c'est ça,

  • Speaker #1

    toutes les histoires qu'on se raconte quand on est obligé on est obligé quoi c'est pour ça qu'il y a des personnes en fait je suis une combattante mais mais bon mais

  • Speaker #0

    à quel prix ouais c'est ça donc douleur les gens sentent qu'ils sont bloqués, freinés Est-ce qu'on peut aussi venir te voir utiliser la kinésio parce qu'on sait ? Tu vois, là, par exemple, tu m'as donné l'exemple, justement, de gens qui se sentent bloqués, mais finalement, ils ne savent pas pourquoi. Est-ce qu'on peut aussi utiliser la kinésio plus parce qu'on sait ? C'est pourquoi, genre, je ne sais pas, je vais parler du deuil. On est en plein deuil, on est dans un truc très émotionnel et on vient utiliser la kinésio pour... aider à justement comme tu disais à rendre le corps plus fort

  • Speaker #1

    Oui, oui, tout à fait. Parce que des fois, le deuil, effectivement, ça peut être lié à plusieurs choses par rapport à ce que la personne, ce qu'elle représentait. Et des fois, on se rend compte qu'on s'appuyait sur cette personne et tout d'un coup, on est lâché dans la nature. Et après, il y a l'amour aussi. Enfin, c'est tellement, ça peut être tellement varié, le deuil. Et il n'y a pas que le deuil aussi. Tout ce qui est addiction ou les tocs. Il y a un enfant qui était venu pour des talks, justement, où il était... C'est parce qu'il ne se sentait pas accepté. Et quand... Et il ne se sentait pas accepté. Et en même temps, il y avait aussi une histoire avec le papa. C'était un jumeau. Enfin, il y a quelque chose au niveau de l'égalité, en fait. Il ne se sentait pas égal à son frère. Ou lui, il avait l'air d'être plus aimé, par exemple.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Mais c'était une façon d'évacuer quelque chose. Et sa maman disait qu'après, ça allait beaucoup mieux. Oui, donc enfant, par exemple, dès qu'il bégaye. En fait, là, je vais te parler beaucoup d'enfant parce que c'est ce qui me vient. Enfin, les adultes aussi, le sommeil, par exemple, tu n'arrives pas à dormir parce que ça tourne dans sa tête, ça tourne en rond. Ça m'a fait tellement de la peine quand ce monsieur m'a dit, quand il est revenu à la deuxième séance, il m'a fait crime. C'est bizarre maintenant, je me sens toujours heureux.

  • Speaker #0

    Je ne peux pas l'habituer.

  • Speaker #1

    Il disait, ça fait 17 ans que j'étais dans le noir. Et puis là, tout d'un coup, je vois la lumière. Mais le contraire aussi, ça fait bizarre.

  • Speaker #0

    Ah ben bien sûr, quand tu es habitué à quelque chose, c'est difficile d'aller. Même si l'autre chose, c'est du positif, c'est difficile d'y aller. Et c'est pour ça que des fois aussi, il y a ce sabotage qu'on se fait parce que... on est habitué, tu vois, là ça me fait penser aux relations aussi amoureuses, quand t'es habitué à des relations qui sont tortueuses par rapport par exemple à tes parents, etc. Tu comprends, aller vers quelque chose de sain et simple, c'est difficile donc ouais, même sortir de sa zone de confort, en fait, c'est dans tout, même si l'autre côté c'est merveilleux, je suis pas habitué, j'aime pas trop, je vais rester dans ma merde, quoi, un peu.

  • Speaker #1

    C'est ça, non mais oui ! C'est ça, parce que je peux le supporter encore. Ça va, ça va, je connais. Et quand tu en sors, c'est là que tu dis, j'ai supporté tout ça.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Tu vois ? Et je rajouterais aussi, il y avait une dame qui m'a appelée pour sa petite fille de 2 ans, enfin 3 ans. Elle ne comprenait pas parce qu'elle a commencé, la petite, à bégayer, alors qu'elle parlait très, très bien.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et... Et en fin de compte, en séance, déjà, elle a eu une naissance un peu compliquée. Pour elle, le monde n'était pas fiable. Et la seule, on va dire, la seule figure d'attachement, c'était sa maman. Et sa maman, il y a pile poil deux semaines et demie, là, justement, elle avait décidé de partir en vacances, un week-end, le temps d'un week-end, avec ses copines. Donc, elle l'a laissée avec... Le papa pourtant, il est safe avec le papa et le grand frère. Et à partir de là, elle a commencé à bégayer. Et quand on a compris, on a mis des mots sur l'événement. Et puis on a renforcé le corps. Et c'est là que sa mère m'envoie un message. Elle m'a dit, bon ben ça y est, elle ne bégaye plus.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    C'est super. Ouais. Non, c'est vraiment bien. Alors des fois, on ne se rend pas compte, mais les enfants, ils ont... Ils arrivent des fois sur Terre avec ce rôle où ils pensent devoir sauver leurs parents, leurs ancêtres, alors que c'est que des enfants. On leur demande juste d'être des enfants. Et pareil, il y a notre petite fille, elle, à l'école, enfin même, elle voit l'extérieur, c'était compliqué. Elle ne parlait pas du tout. Elle était toujours là à avoir peur. Il y avait quelque chose. Sa mère, elle l'avait emmenée parce que justement, à l'école, ça ne se passait pas bien parce qu'elle se faisait marcher sur les pieds. Elle ne s'exprimait pas du tout. Et là, en fin de compte, j'avais fait une séance structurelle, mais ça me disait aussi, il faut que la maman fasse une séance parce que la petite, elle, protégeait sa... Parce que sa maman, elle avait un secret qu'elle ne devait pas dévoiler. Elle devait... qu'elle a caché et la petite elle a pris ça aussi pour elle et une fois qu'on a libéré la maman la petite reparle ouais génial

  • Speaker #0

    Et du coup, justement, les enfants, comment tu fais ? Parce qu'une séance de kinésio, tu testes, mais tu parles aussi, tu expliques. Sur les enfants, comment ça se passe ? Tu laisses les parents là et tu parles aux parents ?

  • Speaker #1

    Alors, déjà, d'une, ce qui se passe, c'est qu'on utilise ce qu'on appelle le transfert d'énergie. Le transfert, c'est comme on prend l'énergie de l'enfant, parce que des fois, tu ne peux pas les tester. ils sont trop petits la kinésiologie tu peux en faire dès qu'ils sont tout bébé et donc on transfère l'énergie sur le parent et là c'est comme si on testait l'enfant directement en fait tu testes l'enfant via le corps du parent à travers le parent et ensuite après forcément on libère le test et chacun reprend ses énergies ok c'est fou

  • Speaker #0

    Est-ce que aussi, ça traite la phobie, par exemple, l'anxiété ?

  • Speaker #1

    Oui, l'anxiété, phobie. Donc, je te disais les TOC, tout ça. Après, il y en a même qui se forment pour les allergies. Ça peut aussi traiter certaines allergies. Moi, je n'ai pas fait ce module, mais effectivement, ça peut le faire aussi. Il y a des personnes qui… qui se sont formés pour, on peut passer par la kinésiologie aussi.

  • Speaker #0

    Waouh, c'est complet, quoi. C'est global.

  • Speaker #1

    T'imagines, tu parles à ton propre corps. On parle à personne d'autre. C'est toi et toi-même.

  • Speaker #0

    C'est ça, ouais. Il n'y a pas d'interprétation, de surinterprétation.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas d'interprétation, voilà. Parce que, bien sûr, en fait, ce qui se passe, c'est que la kinésiologie, on demande toujours l'autorisation au corps. Ça, c'est obligatoire. Tu n'y vas pas si le corps ne veut pas.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    c'est ce que je dis aux personnes c'est comme si au lieu d'être alignée tu désalignes la personne parce qu'elle n'est pas prête tu sais quand tu enlèves des couches c'est pas pour rien qu'il y a des couches avant bah ouais c'est ça c'est ce que j'explique à mes clients par exemple il y en a qui veulent aller du point A au point Z sauf que A, B, C, D, E, tu tousses déjà ouais et je leur dis c'est comme si en fin de compte après la séance vous vous retrouvez à poil est-ce que c'est le but en fait de vous retrouver à poil non c'est repartir avec des ressources être costaud

  • Speaker #0

    et fort ouais donc c'est pouvoir respecter le rythme en fait d'y aller pas à pas et pas d'aller trop vite et oui parce que si tu vas trop vite

  • Speaker #1

    ça va faire l'effet inverse.

  • Speaker #0

    Ah bah oui, c'est clair. Là, ton corps, il ne va pas apprécier. Enfin, rien de ton être va apprécier. Ton mental non plus, ton inconscient non plus. On dit, ah, la grosse panique, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça. Il y a des clientes qui, justement, qui ont été abusées. Et puis le corps, en fait, même dire les mots, parce que la kinésiologie, en fait, à la fin, il y a quand même des objectifs ou des mantras, comme sous forme de mantra, pour dire au corps, maintenant, c'est OK, tu peux le faire. Et certaines, elles n'arrivent même pas à le verbaliser parce que le corps, il ne veut pas. Il ne veut pas parce qu'il ne se sent pas prêt.

  • Speaker #0

    Et comment tu fais justement quand le corps, il ne se sent pas prêt ?

  • Speaker #1

    Alors, quand c'est comme ça, on essaye de calmer le corps un peu plus, de voir qu'est-ce qu'il raconte derrière.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Avec différents protocoles et puis ensuite, hop, ça y est. Mais après, c'est bon.

  • Speaker #0

    OK. Voilà. Et justement, combien de séances il faut ?

  • Speaker #1

    Ça dépend. Tout dépend de la personne. Il y en a pour qui ça va être une séance parce qu'elle n'a déjà pas mal bossé sur elle. Et puis, il y en a d'autres qui viennent des fois tous les mois et des fois qui viennent tous les 3-4 mois pour leur faire du bien. Par exemple, moi, en tant qu'inésiologue, moi, je préconise de m'en faire. de me faire faire une séance tous les

  • Speaker #0

    2-3 mois par exemple ou même des fois tous les mois pour se délester un petit peu bah oui c'est ça c'est important de lâcher aussi ce qui doit être lâché est-ce que justement il y a un temps entre deux séances enfin

  • Speaker #1

    un temps minimum alors oui moi ce que je dis aux clients alors déjà on sait que le corps il met 21 jours pour prendre de nouvelles habitudes.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    D'accord ? Donc, en général, on dit à la personne de venir... pas avant trois semaines, parce que sinon, il y en a, franchement, qui se pointeraient une semaine. En fait, ce n'est pas le but. Voilà. Et aussi, des fois, en séance, tu vois, à la fin de la séance, on peut avoir un temps d'intégration, mais ça peut être de l'ordre d'une semaine, un mois, même deux, voire trois mois, parce que ce sont des gros sujets. Ça veut dire qu'en fait, la personne... elle pourra bénéficier de la totalité de la séance, vraiment de toute la séance, que dans, à partir de, je ne sais pas, de ce temps d'intégration.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Qui peut être donc de maximum trois mois, et puis des fois c'est quelques jours avant, et puis jusqu'à trois mois.

  • Speaker #0

    Ok. Oui, il faut vraiment le temps, encore une fois, c'est toujours ce temps, voilà, qui est important. Le temps que ça s'intègre, ça s'imprègne, on digère, etc.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, c'est qu'après une séance, on peut être amené à avoir des éliminations, certaines éliminations. Des fois, ça peut être une grosse fatigue. Souvent, les gens sont fatigués après les séances. Ou ils vont souvent en toilette parce qu'il faut se vider. Ou les émotions font comme des montagnes russes. Mais c'est OK, c'est lié à la séance. Vraiment, il ne faut pas s'inquiéter.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et puis après, ça va se stabiliser au bout d'un moment.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, ce que je dis souvent, c'est parce qu'on change de vibration, parce qu'on se déleste de plein de bagages qu'on ne veut plus. Et donc, du coup, il faut s'habituer à cette nouvelle vibration.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, s'habituer à cette nouvelle vibration. Exactement. OK, super. Est-ce que pour finir, tu as envie de peut-être partager, même si on a un peu compris, les autres techniques que tu utilises pour aider justement les personnes ?

  • Speaker #1

    Il y a l'énergie, je peux utiliser l'énergie. Après, moi le plus, c'est que comme j'ai cette compétence, tu vois, je vais dans le temps générationnel, je vois carrément qu'est-ce qui est en lien avec la personne. Et je vois carrément en fait la scène. et c'est pareil pour les vies antérieures pareil je vois carrément je vois des images et puis je teste aussi le corps bien sûr et ce qui était drôle c'était cette femme qui était venue parce qu'elle avait du mal à conduire sur les grands axes et la troisième séance elle me dit je me demande alors comment c'est la conduite c'est toujours pareil mais j'ai appris que dans ma famille il y a une personne qui avait le même problème que moi à mon âge vers la fin de trentaine, quarantaine je dis ok et pendant la séance il s'avère que dans le transgénérationnel il y avait un arrière grand-oncle qui, en fait je voyais carrément le train à vapeur et tout je me suis dit oh là attendez, qu'est-ce qui se passe que je vois un train et en fait c'était que cette personne là c'était un homme qui était conducteur de train à vapeur il avait peur de la vitesse c'est comme s'il avait du mal à contrôler la vitesse et elle elle m'a dit un truc après elle m'a dit en plus vous savez Kim quand je me sentais partir quand je commençais à conduire dans les grands axes elle sentait son corps faire ça comme si elle allait du côté droit elle regardait en fait comme les conducteurs de train en dehors dans la lucarne et bref et donc elle me dit mais pourquoi moi et puis ma grande tante parce qu'on a la même chose Et c'est là que je teste chez A. C'est parce que soit vous êtes née à la même période que cet ancêtre, ou soit vous êtes née à la période où cette personne décède.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Et elle, bien sûr, elle part du butatif. Elle fait, ouais, bon, moi, j'ai pas plus d'infos, mais tu vois. Elle est un peu, parce que comme elle a pas d'infos, elle est un peu comme elle dit Saint Thomas, elle ne croise que ce que c'est.

  • Speaker #0

    Ouais, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et le soir, elle m'envoie un message pour me dire... Vous êtes incroyables. Après, je commence à lire son message. Elle me dit, effectivement, j'ai un arrière-grand-oncle qui était conducteur de train à vapeur. La dame, sa grande-tante qui a vécu les mêmes symptômes, son père était né le 18 octobre. Cette dame est née le 20 octobre. Et la cliente, elle est née le 24 octobre. Donc, enfin, tu connais, toi, le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ce qu'on...

  • Speaker #1

    Oui.

  • Speaker #0

    Les répétitions de dates, ça montre à quel point tu es lié à un ancêtre. C'est ça que tu regardes.

  • Speaker #1

    Et en kinésiologie, tu sais.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    Oui, c'est top. Ça, je n'ai pas besoin.

  • Speaker #0

    On ouvre un cabinet, sinon, si tu veux, tu vois, comme ça. Tiens. Voilà.

  • Speaker #1

    Avec le petit repas.

  • Speaker #0

    On voit les gens. Moi, je regarde le côté, voilà, et on libère. Ce serait fantastique, vraiment.

  • Speaker #1

    Vraiment, avec plaisir. Non, mais c'est vrai que tu vois, c'est ce que je dis aux personnes. C'est comme une autre de mes clientes. Je lui dis, mais... En plus, dans le transgénérationnel, c'est important de ne pas donner les prénoms de ses ancêtres. Parce que justement, assurez-vous que cette personne a une belle vie. C'est clair. Tu lui donnes tous les parisos. C'est ça. Et il y en a une qui m'a dit « Ah, oups, j'ai donné en deuxième prénom à ma fille le prénom de ma soeur décédée d'un cancer. »

  • Speaker #0

    Oui, voilà.

  • Speaker #1

    Sauf que la petite, il y a un truc de répétition où... La petite, elle a eu un cancer aussi, un jeune âge.

  • Speaker #0

    Ça, c'est assez terrible. Ça, je le vois aussi dans le métier. C'est ce truc de, il y en a un qui est mort tragiquement et pour le garder en mémoire, on va donner son nom au descendant. Non ! Non !

  • Speaker #1

    No way, c'est clair !

  • Speaker #0

    Ça, c'est pas possible, quoi. Vraiment, ouais, c'est ça. C'est donner les fardeaux de la personne. On a déjà assez de fardeaux, les gars !

  • Speaker #1

    C'est ça ! et moi je trouve dans la nouvelle génération je la trouve tellement géniale c'est que c'est des petits jeunes qui commencent à 20 ans qui se disent moi je veux travailler sur moi parce que justement je veux pas que mes enfants récupèrent tous ces fardeaux oh la la cette génération qui est hyper connectée en même temps hyper connectée mais hyper connectée ouais c'est ça exactement

  • Speaker #0

    et franchement quand je vois ça j'entends ça je me dis waouh c'est superbe cette génération exactement il y a encore de l'espoir oui bien sûr mais de toute façon je pense que même s'il y a des choses qui vont pas mais je vois quand même qu'on va vers une évolution de l'humanité ou en tout cas au niveau de l'écoute de l'émotionnel peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord mais il y a quand même une évolution je dis ça parce que je fais l'école à la maison à mon fils et là on est en train de faire l'histoire bon bah Ils étaient quand même sacrément violents et complètement tarés en fait à l'époque. Et donc il y a quand même une évolution. C'est peut-être lent, mais il y a une évolution. Et justement, comme tu dis, il y a de l'espoir parce que plus ça va et plus il y a cette conscientisation que c'est important de s'écouter, que c'est important de guérir, que c'est important de faire tout ce chemin en fait.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Et heureusement qu'on est là aussi.

  • Speaker #0

    Exactement. C'est ça. Ok, ben...

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'on peut te trouver ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je suis dans le 91, précisément ailleurs. Je ne sais pas si tu connais. Oui. Du côté de Montgeron, Brunois, tout ça.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Je suis aussi limite 94. Ce qui est marrant, c'est que des fois, il y a des gens qui font des horaires... Ils font deux heures de route juste pour venir. Moi, je me dis, waouh ! Bon, après, au début, tu sais, je disais, allez voir des kinésiologues plus à côté de chez vous. Et puis après, c'est là que je me suis dit, non, mais c'est bon, il ne faut plus que je leur dise ça. S'ils font autant de chemin, c'est parce que c'est moi qui vais le faire.

  • Speaker #0

    Oui, voilà, ils sentent l'appel. Moi, j'ai un... Enfin, ce n'est pas de la kinésio, mais j'ai un ostéopathe. Ce n'est pas à côté de chez moi et je ne changerai pas. En fait, je veux aller le voir, lui, et c'est tout. Parce que tu sens un peu l'appel, en fait, de certaines personnes. Tu sens que c'est... C'est ces personnes-là qui peuvent t'aider. Voilà. Et du coup, est-ce que tu as des réseaux, un site Internet ?

  • Speaker #1

    Je n'ai pas de site Internet, zéro. Par contre, en fait, ce qui marche très bien, c'est mon Google Business. En fait, comme je passe par Google Business, les gens, c'est là qu'ils me découvrent.

  • Speaker #0

    OK. Voilà.

  • Speaker #1

    voir les sites. J'ai aussi un Instagram et petit à petit, je vais changer pour thérapeute ou justement parce que comme je n'utilise pas que la kinésiologie, je ne peux pas me prétendre être que du kinésiologue.

  • Speaker #0

    Ok. Tu leur dis justement que tu n'utilises pas que ça ou...

  • Speaker #1

    Oui, oui, oui. Ils sont au courant. Tout à fait. Parce que je rajouterais aussi autre chose, c'est que je canalise aussi en séance. Je peux canaliser et c'est là que je leur dis, bon, on ne sait pas du tout de la kinésiologie. Il y a votre fils qui est là, votre père qui est là.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    Et je donne aussi un message à donner.

  • Speaker #0

    Je leur donne. Mais comme tu dis, c'est un peu holistique, c'est global. Donc finalement, c'est très intéressant. C'est global.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, les gens, c'est ce que je leur dis. C'est que s'ils doivent venir, ils viennent. Je ne les appelle pas. Ça veut dire qu'il y a quelque chose pour la personne qui est sur la table à libérer.

  • Speaker #0

    C'est ça. Exactement. Trop bien. Eh bien, merci. De toute façon, je mettrai aussi tes infos dans la description. Voilà, on retrouve ton Instagram, ta page Google, etc. Là où tu exerces aussi. Merci beaucoup pour cet échange. C'était top. Est-ce que tu as peut-être quelque chose à rajouter ?

  • Speaker #1

    Non, je pense qu'on a dit beaucoup.

  • Speaker #0

    C'est ça. J'avais prévenu. Franchement, j'ai fait quand même un effort pour pas trop… parce que là, en vrai, je pourrais continuer encore longtemps, mais j'ai fait un effort pour qu'on essaye de ne pas trop partir dans tous les sens, de ne pas trop divaguer et continuer notre discussion. Mais oui, ça fait déjà pas mal d'infos et c'est top. Ça permet vraiment d'avoir une vision un peu plus globale aussi de la kinésio parce que justement, un peu ce que tu disais au départ, des fois, tu entends des choses, mais tu ne comprends pas trop ce que c'est et voilà. Et là, c'est intéressant en fait de voir même... ta façon de pratiquer, l'aspect très global et holistique qui est hyper important. Donc, merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Merci de m'avoir suivi sur cet épisode.

  • Speaker #0

    Et puis, du coup, à très bientôt. Je suis sûre qu'on va encore un peu parler.

  • Speaker #1

    Je n'en doute pas. Et d'ailleurs, je pense qu'il y aura peut-être d'autres sujets qu'on pourrait aborder.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    ça pourrait intéresser énormément de personnes.

  • Speaker #0

    Oui, avec grand plaisir. Je vous dis à très bientôt pour un prochain épisode.

Chapters

  • Introduction et présentation de Nitsa et Kim

    00:00

  • Discussion sur la kinésiologie et ses techniques

    00:56

  • Le corps comme outil de guérison et de transformation

    02:23

  • Le parcours de Kim vers la kinésiologie

    08:30

  • Comment fonctionne la kinésiologie ?

    10:49

  • Applications de la kinésiologie dans la vie quotidienne

    21:06

  • Les émotions et les blocages : cas pratiques

    30:25

  • Kinésiologie et enfants : approche adaptée

    40:03

  • Conclusion et ressources pour aller plus loin

    46:46

Description


As-tu déjà ressenti que ton corps te parlait, mais que tu n'écoutais pas ? Dans cet épisode je reçois Kim, une thérapeute passionnée spécialisée en kinésiologie, qui nous plonge dans un univers fascinant où le corps et l'esprit se rencontrent pour favoriser la guérison. Kim partage son parcours inspirant, passant d'une carrière en comptabilité à une vocation profondément ancrée dans le bien-être après avoir vécu un burn-out. Cette transition l’a amenée à découvrir la kinésiologie, une pratique qui utilise le corps comme un véritable guide pour identifier et traiter les émotions et les stress accumulés.


Au fil de la discussion, Kim nous révèle comment chaque douleur physique peut être le reflet d'émotions non résolues. Elle souligne l'importance d'écouter son corps pour une guérison authentique, une notion essentielle dans le cadre du transgénérationnel et de l'astrologie. Ensemble, nous explorons les différentes techniques de kinésiologie, les blocages émotionnels qui nous freinent, et l'impact puissant du transgénérationnel et du karmique sur notre santé mentale et physique. En effet, Kim insiste sur le fait que le corps détient toutes les réponses nécessaires à notre bien-être.


Pour la retrouver : Kima Lauran kim.lauran.kinesiologue@gmail.com

46 allée Albert Camus

91330 Yerres

Insta : kimlauran.kinesiologue


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Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, bélier ascendant lion, lune en lion. Ce qui me plaît par-dessus tout, c'est d'explorer les mystères de la vie, comprendre pourquoi on est comme on est, et trouver des solutions pour exploiter au maximum ses potentiels. Ma maison 8 dominante me pousse à explorer ce qui est caché, à sortir de l'ombre les tabous, les mettre en lumière pour se transformer, se renouveler jusqu'à être parfaitement authentique. C'est pourquoi je t'accompagne grâce à l'astrologie. au transgénérationnel et à toutes mes compétences acquises au fil des années. Bonjour et bienvenue dans l'épisode tabou où je suis accompagnée, où j'ai une invitée. Je suis ravie de vous retrouver dans ce nouvel épisode. Bonjour Kim !

  • Speaker #1

    Bonne journée de ça !

  • Speaker #0

    Comment tu vas ?

  • Speaker #1

    Très très bien, il y a un beau soleil et il fait presque 20 degrés aujourd'hui, c'est fou, après la neige.

  • Speaker #0

    C'est ça, il y a deux ou trois jours il neigeait et maintenant presque on va avoir chaud quoi. Enfin bref, tout va bien.

  • Speaker #1

    On ne saura plus si on te faudra se déshabiller.

  • Speaker #0

    C'est ça, mais là, je suis en pull et j'ai presque trop chaud. Mais bon, je vais garder mon jaune qui est sur moi, donc je ne vais pas me déshabiller, je vais suer, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    Mais c'est très solaire.

  • Speaker #0

    Voilà, merci. Donc aujourd'hui, on va te découvrir, Kim, en tant que thérapeute. On va surtout parler un peu d'une de tes pratiques qui est la kinésio. Le but, je rappelle, de ces épisodes, c'est un peu de découvrir d'autres techniques et de voir à quel point c'est merveilleux le monde du bien-être et de la guérison. Voilà, donc on va échanger là-dessus. Et comme d'hab, vu que Kim, elle est un peu comme moi aussi, elle est un peu bavarde, peut-être que ça va déborder et qu'on va parler de tout et n'importe quoi. Donc, toi qui écoutes cet épisode, n'hésite pas à prendre un thé et à te mettre tranquille au chaud. Voilà, fais-toi plaisir. Alors Kim, est-ce que tu peux te présenter tout simplement ? Qui es-tu ? Que fais-tu ?

  • Speaker #1

    Alors, je m'appelle Kim. Je suis thérapeute depuis à peu près, presque pratiquement trois ans. J'utilise plusieurs techniques, dont la kinésiologie, mais pas que. J'utilise aussi, en fait, mes dons spirituels, donc la médiumité. Et je combine un petit peu dans mes séances. Et c'est... très parlant parce qu'on combine le corps et la spiritualité. Alors que si vous voulez, ce qui est génial, c'est que le corps, en fait, il est connecté à plusieurs corps, corps subtils, dont le corps divin. Donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le corps, il a toutes les réponses.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça qui est merveilleux. Ça, c'est passer par le corps. Je pense vraiment que c'est quelque chose qui me manque un peu dans ma pratique. et que je trouve très intéressante parce que finalement, dans ma façon de faire, on passe vraiment dans le mental. Moi, personnellement, je passe par le corps, j'essaye d'écouter mon corps, de libérer dans le corps, mais je trouve que c'est effectivement hyper enrichissant de passer par le corps. Comme tu dis, le corps, il fait quoi ? C'est fou quand on l'écoute. Le message qu'on reçoit du corps, c'est incroyable.

  • Speaker #1

    Le corps, il est génial, c'est notre véhicule de vie. Et sachez une chose, c'est que... On a beau travailler le mental, mais si le corps, il n'a toujours pas intégré ou accepté, parce qu'il a ses peurs aussi, parce qu'il ne connaît pas. Tu vois, par exemple, on a beau des fois travailler le mental, mais si le corps, en fait, si tu ne le ressens pas dans ton corps, c'est comme si tu disais quelque chose dans le vide, en fait. Par exemple, la personne, elle va se dire, je vais, enfin... pas que les points neurovasculaires, etc. Même si des fois, tu essaies d'intégrer, mais si derrière, le corps, tu ne le ressens pas dans le corps, c'est comme si tu ne pourras pas le mettre en pratique réellement. Et c'est pour ça que, si tu veux, j'accompagne pas mal de gens qui sont coachés.

  • Speaker #0

    justement et ils sont là oh c'est bon Kim j'ai déjà travaillé et puis en fin de compte oui tu l'as travaillé mais le corps il est pas encore ok ouais c'est ça je vois c'est on intellectualise et puis en fait le fait de passer que par le mental parfois ça me permet pas aussi de lâcher totalement et on vient peut-être un peu interpréter et évidemment à un moment il y a l'ego aussi qui vient et qui dit c'est bon j'ai libéré c'est génial tout va bien alors qu'en fait pas du tout quoi ... Au contraire, on en est loin.

  • Speaker #1

    J'ai eu pas mal de gens, justement, qui sont venus de cette fameuse école de coaching qui me disaient, mais non, mais Kim, c'est bon, je l'ai travaillé et puis j'ai travaillé depuis des années. Mais sauf qu'en fin de compte... il y a encore des miasmes, des restes, des restes des fois qui sont inconscients. Si tu ne vas pas jusqu'à la racine, tu vois, c'est comme si ce n'était pas guéri ou libéré.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et même, tu vois, j'aime bien cette métaphore. Si tu ne vas pas à la racine, ce n'est pas guéri, libéré. Mais même des fois, quand tu vas à la racine, ça peut revenir. Ça me fait penser à quand j'avais un jardin potager, bref. Et tu vois, tu enlèves les plantes, tu enlèves la racine et en fait finalement il reste un bout de racine. Et la plante elle repousse au même endroit et tu te dis ça m'énerve. Et bien en fait c'est un peu ça je trouve finalement ce dont on a besoin de guérir. C'est que déjà c'est hyper important, si tu coupes juste la plante tu peux être sûr que dans trois jours elle repousse. Mais en plus même quand tu enlèves à la racine, il faut vraiment faire en sorte d'enlever toute la racine et tout quoi. Parce que sinon, ça va devenir encore présent. Et c'est la même chose avec les blessures. Et du coup, de passer par différentes méthodes, l'intellectualisation, l'inconscient, le corps, etc. Ça permet d'aller à la racine à différents niveaux. Et finalement, d'être sûre qu'on a arraché cette racine.

  • Speaker #1

    Alors moi, ce que je dis souvent à mes clients en séance, c'est... C'est comme si, en fin de compte, là, tu as une blessure béante, sanguinolente qui est à vif. Et que les gens, par exemple, en fait, que ce soit des personnes ou des situations, recontactent cette blessure, mais c'est comme s'ils prenaient leurs doigts et ils secouaient à l'intérieur. Donc forcément, qu'est-ce qui se passe ? C'est que tu surréagis, bien sûr, parce que ça fait mal. Et les séances, ça permet en fin de compte de prendre conscience de cette blessure et des enjeux aussi. Qu'est-ce que ça a travaillé chez toi ? C'est quoi les conséquences de cette blessure ? Moi, ce que je dis souvent, c'est que la conscientisation, c'est 75% déjà de l'accompagnement pour se libérer. ou pour guérir de cette blessure.

  • Speaker #0

    C'est sûr.

  • Speaker #1

    Et ensuite, le reste, c'est effectivement, bon, c'est dire au corps, maintenant, tu peux le faire, c'est rien, on passe à autre chose. Et c'est comme si on mettait un pansement dessus, jusqu'au jour où... Et lorsque les personnes vont recontacter cette blessure, la personne va dire, ah, ok, je comprends que ça retouche cette blessure, mais je suis ok maintenant avec ça, ça va mieux jusqu'au jour. on vibre autre chose, on passe à autre chose tout simplement, on enlève ce pansement et on se rend compte que c'est cicatrisé.

  • Speaker #0

    Oui, c'est beau, c'est ça, les différentes étapes, c'est assez beau. Ok, comment est-ce que tu es tombée dans la kinésio ? Qu'est-ce qui t'a fait aller vers ça ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est un peu particulier, parce que si tu veux, je suis aussi médium, avant d'être kinésiologue, je suis aussi médium. J'étais comptable dans des structures, dans des grosses structures plutôt internationales. Je gagnais bien ma vie. Mais tu te rends compte qu'il y a un autre appel. J'ai fait un burn-out, un vrai burn-out parce que c'était même avant le Covid. Je commençais à me sentir pas bien dans ce que je faisais, dans ce que j'étais un jour. Donc je rêve, je rêve de mes guides. De mes guides et puis ils sont tout autour d'une table. Une chose à savoir, c'est que la kinésiologie, je ne connaissais pas du tout. J'avais juste entendu parler, tu sais, des gens qui me disent, « Oh, je suis partie voir un étiomédecin. » Ok, un chiropractor, ok,

  • Speaker #0

    un kinésiologue,

  • Speaker #1

    ok, mais je n'ai pas cherché à savoir ça.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et donc, dans ce rêve, je rêve de mes guides. Ils sont six autour d'une table carrée. Et il y en a qui disent... Il y en a une qui disait, ouais, mais elle aurait dû persister parce qu'elle aurait pu encore apprendre sur l'humain. Et il y en a un autre qui disait, tu as vu comment elle est fatiguée, peut-être que c'est le moment. Je me réveille, j'entends la physiologie, je fais, c'est quoi ça ?

  • Speaker #0

    Trop fort !

  • Speaker #1

    Je tape, et puis je commence à pleurer parce que ça faisait dix ans que je cherchais justement un métier dans le bien-être. qui pourrait me correspondre. J'étais dans les massages parce que forcément, tu sais, en fait, je ressens les points, les nœuds. C'était intuitif. Il y en a qui me disaient, ouais, je te verrais bien aussi, psychologue, parce que tu trouves les mots, t'arrives... Et puis moi, je dis non, Il manque quelque chose. Et bien là, ça cumule les deux.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est génial.

  • Speaker #1

    C'est génial. Le corps et puis les paroles. Oui,

  • Speaker #0

    les paroles.

  • Speaker #1

    Et donc, je commence à pleurer. Et puis, me voici. Trop bien.

  • Speaker #0

    Alors justement, ça me permet de rebondir parce que tu dis le corps et les mots. C'est quoi en vrai la kinésio ? Comment ça se passe ? Qu'est-ce que c'est ? Quoi le principe de la kinésio ?

  • Speaker #1

    Alors la kinésio, c'est utiliser le corps pour connaître s'il y a stress ou les émotions. À savoir que le corps parle. Et on a tendance à l'oublier, ces petits corps. On se dit, oh j'ai mal ici, bon on va mettre de la pommade. Oh j'ai mal là, je vais prendre un togiprane.

  • Speaker #0

    C'est ça. On n'essaye pas de comprendre pourquoi on a mal et d'où ça vient et peut-être d'écouter. Si on est fatigué, de se reposer. Non, si on est fatigué, on va prendre du café. Enfin, voilà quoi.

  • Speaker #1

    Prendre des remèdes alternatifs.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    Et alors qu'en fin de compte, effectivement, il y a tellement de... Par exemple, certaines maladies, on sait que ça correspond à telles émotions. à pourquoi cette personne elle a ça. En fait, on arrive à décrypter vraiment le corps en séance. Ce qui se passe, c'est ce que je dis à mes clients. C'est que lors de la séance, ils peuvent être amenés à ressentir des choses dans leur corps parce que des fois, on est dans des ambiances ou des émotions. Et puis le corps, la personne dit « Ah oui, j'ai mal ! » Et puis on va regarder la signification et bim ! C'est exactement ce dont on parlait.

  • Speaker #0

    Oui. Vraiment.

  • Speaker #1

    Par exemple, hier, j'étais avec une cliente où justement, elle s'est complètement oubliée au profit de sa sœur parce que sa petite sœur est handicapée. Et elle me disait, « Ah, je ne sais pas qui, depuis quelques temps, je souffre, j'ai mal un petit peu vers la hanche, mais du côté gauche. » Donc, je lui dis, « C'est comment avec maman ? » Elle me dit, « Oh non, c'est plutôt bien. » Elle a été plutôt... C'est une maman aimante et tout. OK. Mais quand on a commencé à parler de maman et le fait qu'elle l'a mise un peu de côté au profit de sa sœur, eh bien, la douleur s'est ravivée pendant la séance. OK,

  • Speaker #0

    oui.

  • Speaker #1

    Elle a fait, ah oui, c'est vrai. Ben oui, c'est là qu'elle me disait, oui, c'est vrai que j'ai tendance à m'oublier parce que maman aussi, c'est... C'est vrai que pour être aimée, il fallait que je me fasse la plus petite possible pour qu'en fin de compte, ma mère ne soit pas embêtée par moi.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, d'être la plus sage. Je ne veux pas rajouter un poids à ma mère qui vit déjà ça. Mais du coup, justement, en séance, qu'est-ce que tu fais ? Tu touches des points ?

  • Speaker #1

    Alors, c'est... Alors... La kinésiologie, on utilise ce qu'on appelle le test musculaire.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    En vérité, c'est qu'on pourrait utiliser tous les muscles de ton corps. S'il y a un stress, le corps, il lâche complètement. C'est comme s'il était flasque,

  • Speaker #0

    le corps, totalement.

  • Speaker #1

    Voilà. Et le but en kinésiologie, c'est de rendre le corps costaud. Parce qu'en fait, s'il est costaud, ça veut dire qu'il est OK.

  • Speaker #0

    OK. Il est prêt.

  • Speaker #1

    Tu vois, c'est comme par exemple les gens, ils vont venir te voir, ils vont te dire j'ai confiance en moi et puis tu sais pas pourquoi le corps il bouge. Ou sinon la personne elle te dit oui, oui, oui, oui, oui.

  • Speaker #0

    Et elle secoue la tête de Ausha droite.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement. Et on se rend compte que ben, c'est pour ça que les gens qui arrivent à décrypter la gestuelle du corps, ils savent ce que dit le corps. Parce qu'on voit qu'il est pas ok s'il est... Alors que... Quand il est plus stable, il est ancré, ça veut dire que c'est bien.

  • Speaker #0

    Ok. Et du coup, comment tu renforces le corps, justement ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a plusieurs protocoles. Il y a plusieurs protocoles d'équilibration qui existent en kinésiologie ou dans mes pratiques à moi. Par exemple, si on utilise les méridiens du corps, donc plutôt la médecine chinoise, à savoir les méridiens, c'est comme notre tableau électrique. S'il y en a un qui disjoncte dans les méridiens, ça veut dire que dans ton circuit, il y a quelque chose qui galère. Par exemple, je vais dire un truc tout bête. La personne, par exemple, il y a un méridien, c'est-à-dire un organe qui prend trop d'énergie parce qu'il est dans sa colère, je ne sais rien. Il va impacter l'autre organe. l'autre organe qui arrive après ou à l'intérieur parce que ça dépend du schéma du cycle shing ou du cycle ko et en fait le cycle ces différents cycles en fait ça nous permet de savoir quel méridien on doit rééquilibrer ok tu vois et là tu le sais tu on a des on sait quels muscles ça appartient à tel organe tu vois et puis on les testes quand tu vois qu'il n'y a pas d'énergie, ça veut dire que lui, il ne fonctionne pas. Et si, par exemple, imaginons que la personne, elle n'a pas du tout d'énergie dans le cœur, ça, par exemple, le système en entier, il ne fonctionne pas très bien. Parce que le cœur, c'est comme l'organe de vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, oui. Mais du coup... Alors, je vais faire vraiment le côté très pratico-pratique. Je veux un truc très cartésien et comprendre en détail. Je vais être un peu relou là-dessus. Mais je vais partager un peu mon expérience et ce que j'ai entendu. J'avais vu une kinésio. Justement, toute la séance comme ça, elle me touche un peu le poignet. Je ne sais pas quoi. Elle me pose des questions. Elle me parle de ma grand-mère. Elle me parle de « est-ce qu'à l'âge de… » Toi, tout à l'heure, tu as dit que, en off, C'est-à-dire avant qu'on commence à enregistrer le podcast, tu m'avais dit que justement la kinésio, en tout cas l'école dans laquelle tu as appris la kinésio, leur but c'était d'être sur le même niveau que l'ostéopathie, côté très cartésien et la médiumnité, ils n'aiment pas trop ça. Mais de mon expérience et de ce que j'ai entendu autour de moi, ça fait un peu le truc magique la kinésio. Genre tu touches le poignet et tu me parles de ma grand-mère. Comment est-ce qu'on fait si on n'est pas médium ? pour parler de, pour dire des choses aussi précisément. Est-ce que réellement, sans médiumnité, on peut aussi ?

  • Speaker #1

    On peut aussi. Et en fait, il y a des protocoles où on peut aller dans le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Ok. En touchant juste une partie du corps, quoi.

  • Speaker #1

    Le poignet ou une partie du corps, par exemple. Exactement. Et c'est pour ça que la personne, elle peut te poser des questions, parce qu'elle sait, le corps, ah, c'est là où il faut aller. C'est vrai que grâce à ce test musculaire, on a bien sûr, c'est quand même toute une pratique qu'on a appris. C'est à partir de là qu'on sait où il faut aller, où il faut creuser. Et on interroge le corps, on sait que tiens, il y a ça qui parle, pof, il faut y aller.

  • Speaker #0

    Mais vraiment, c'est pas que je suis sceptique, c'est vraiment que j'ai très envie de comprendre comment ça fonctionne. Mais tu vois, parce que... Par exemple, moi, en séance, c'était vraiment ça. On est passé, 80% de la séance, sur le poignet. Je veux dire, le poignet, il a tellement de choses à dire que ça. C'est ça que je trouve assez fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, on a aussi pas mal des fiches de syntonisation. Syntonisation, c'est tout ce qui est émotion, ambiance. On a différentes ambiances. Par exemple, on teste. C'est comme si tu testais... ces fiches-là, et puis tu sais que ah ok, ça correspond par exemple au tel ou tel baromètre, tu peux aller au baromètre. Moi, je n'utilise pas forcément que les baromètres parce que tu peux avoir le truc, l'intuition, et puis hop, tu testes derrière le corps. C'est comme si tu utilises plusieurs canaux et puis après tu utilises le corps avec. Et le corps, il te confirme ou non.

  • Speaker #0

    C'est fou. Oui,

  • Speaker #1

    parce qu'en fait, Tu sais que tu as fait le test, le oui, le non. Le oui, il est costaud. Mais encore, quoi que des fois, le oui, il peut être aussi lâche. Parce que, par exemple, une personne, elle a pu dire souvent oui alors qu'elle pensait non. Donc le oui, c'est un stress pour elle.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Ça peut être un stress. Mais la majorité des cas, normalement, le oui, c'est quelque chose qui... dont le corps il est ok et il est costaud tandis que le non c'est plutôt stressant et donc quand tu testes le corps il relâche le but c'est quand tu sens le corps, en fait les gens me disent mais comment tu sais parce que moi je vois pas la différence entre le oui ou le non et tu te rends compte que si il y a une différence parce que quand tu testes Par exemple, il faut que tu sentes comme s'il y a un mur, tu vois, quand tu testes. Alors que, par exemple, non. ça va rebondir un petit peu, tu vois ? Parce qu'il n'y a pas d'énergie et le muscle, en fait, la personne, elle essaye de compenser avec un autre muscle. Donc après, ça va remonter comme ça, tu vois ?

  • Speaker #0

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Voilà. Donc en fait, on le sait. Et ce qui est bien avec la kinésiologie, même aux US, ils l'utilisent aussi pour pas mal de choses, par exemple. Même il y a des médecins qui l'utilisent. Aux US. pour savoir telle ou telle pathologie. Et des fois, il n'y a pas grand-chose. Enfin, c'est hyper pratique.

  • Speaker #0

    OK. Et justement, c'était la question suivante. On l'utilise pour quoi, la kinésio ? On peut venir pour tout ? La kinésio. Pourquoi ?

  • Speaker #1

    Alors, la kinésio, effectivement, des fois, il y a des gens qui ont des douleurs. Ils sont allés plusieurs fois chez le médecin, plusieurs fois chez l'ostéopathe. L'ostéopathe, il va aller... il va le mettre, il va remettre, il va refaire ce qu'il faut pour mettre la personne d'aplomb. Mais on se rend compte qu'après, un mois après, la personne, elle revient encore.

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    ok. Et les ostéopathes, ils ont compris que derrière, si la personne a tendance à revenir pour le même sujet, eh bien, c'est parce qu'il y a une cause d'ordre émotionnel. Ok. D'ordre émotionnel, donc. souvent les ostéos ils envoient les personnes chez les médios parce que c'est plus profond, c'est encore plus profond. Et donc ce que je disais, c'est que des fois les personnes elles ont des douleurs et ces douleurs après des scans, des IRM, des prises de sang, en fin de compte la douleur est toujours là mais on ne trouve rien en médecine traditionnelle. Et puis enfin... Les personnes se rendent compte qu'il y a un émotionnel ou un trauma. En fait, il y a quelque chose à aller un peu plus en profondeur.

  • Speaker #0

    Oui, c'est psychosomatique, en fait, plutôt, cette douleur.

  • Speaker #1

    Par exemple, j'ai une cliente. Elle est venue en séance, en fait, plusieurs fois. La première fois, elle était venue et me disait, oui, je viens parce que j'arrive. plus à vivre avec ces maux de ventre. J'ai fait tous les tests, je mange la même chose que certaines personnes, ils n'ont rien, mais moi j'ai toujours quelque chose. En fait, ça l'empêchait de vivre. Après, au bout de la quatrième séance, je lui dis « Pourquoi tu viens ? » Elle me dit « C'est pas bien dans ma vie ! » Parce qu'on parle d'une nénette qui était vraiment pas bien. en mode dépression, dépressif, et puis qui n'osait pas vivre sa vie. Et donc, la quatrième séance, ça y est, elle revit sa vie comme une jeune femme de 26 ans. Et elle me disait, ce qui se passe, Kim, c'est que j'ai un... Avant, tu t'en souviens, c'était 150% la douleur au niveau du ventre. Maintenant, c'est plus que 20%, mais 20%, moi, j'aimerais bien les éradiquer. Et elle s'est rendue compte que lors de cette séance, elle a somatisé quelque chose.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Parce que pour elle, sa réussite était due aux autres. Tu vois ce que je veux dire ? Oui. Ou même ses échecs plutôt. Plutôt ses échecs étaient dus aux personnes.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et quand elle a voulu faire une école, parce qu'on lui disait, tout le monde lui disait « Oui, c'est ça que tu devrais faire » . t'es bonne à ça, tu devrais y aller. Elle a fait, sauf que elle a raté ses deux années. Tu vois ? Et le truc, ça lui a fait mal parce que c'était pas la faute des autres. C'était la faute à elle. Et quand elle a compris que ça et qu'en fait, elle a somatisé ce mal de ventre pour dire que se dédouaner de plein de choses en disant... C'est de la faute de ce mal de ventre que je n'ai pas pu, tu vois ?

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Donc, je ne peux pas relationner.

  • Speaker #0

    Oui, ce que tu as dit au départ quand tu as parlé d'elle, ça lui gâchait la vie. Tu vois, c'est un peu se dire que c'est mon mal de ventre qui me gâche la vie et pas moi qui me sabote en fait, alors que c'est moi qui me gâche la vie finalement.

  • Speaker #1

    C'est ça, exactement.

  • Speaker #0

    Ok. Tu vois ? Donc,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et il y a beaucoup aussi… Il faut aussi savoir que… Dans ce que je propose, effectivement, il y a le transgénérationnel, mais il y a aussi le bagage karmique. Et le bagage karmique, donc forcément, c'est inconscient, mais ça peut énormément jouer dans notre vie. Ça peut impacter notre vie.

  • Speaker #0

    Ah bah, fortement, oui. Et puis en plus, il y a vraiment, je trouve que, pour travailler dans le transgénérationnel, il y a une frontière assez fine. entre transgénérationnel et karmique. C'est-à-dire que parfois même, les deux se mélangent.

  • Speaker #1

    Mais oui, je pense que tu as dû t'en rendre compte dans le générationnel que des fois, c'est du karmique familial.

  • Speaker #0

    Mais oui, c'est ça, c'est du karmique familial. Et puis toi-même, c'est très particulier. Tu vois, tu as l'impression que la personne même se réincarne, qu'elle est sa propre ancêtre. C'est très étrange, quoi. Il y a ce truc. très étrange, frontière chine entre le transgénérationnel et le karmique. Et ça impacte énormément.

  • Speaker #1

    Mais oui. Alors là, on va dire que ce n'est plus du tout dans la kinésiologie, mais une expérience, c'était une jeune femme. En fait, on était dans le karmique transgénérationnel. Et quand je dis... Alors, il y a le transgénérationnel, et puis... Le karmique transgénérationnel, dans tous les cas, on est impacté par ce transgénérationnel. Et le karmique transgénérationnel, c'est un ancêtre qui a eu des vies antérieures, qui rentre dans ce clan, qui pouvait être, par exemple, on va dire, le cas de cette personne, c'était dans ses ancêtres. Il y avait quelqu'un qui a eu une vie antérieure où il a été un viking et il a abusé de plein de femmes. Et il y a ce truc de... Je ne sais pas, on pourrait dire de malédiction ou pas. Où justement, ces femmes-là lui ont dit pour la peine, toi, dans ta lignée, toutes les femmes seront aussi... Et c'est là que je lui ai dit à la fille, je lui ai dit bon, il y a ça. Elle me dit... Elle commence à pleurer. Elle me dit bah oui. Moi, j'ai été abusée, ma mère a été abusée, ma grand-mère a été abusée.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Donc là, il y a un mélange entre le transgénérationnel ou cette lignée de femmes abusées, mais avec une cause finalement karmique.

  • Speaker #1

    Karmique, exactement. Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et, ok. Oui, c'est intéressant. C'est intéressant parce qu'on voit aussi comment tout est lié. Alors... Toi qui nous écoutes, n'aie pas peur, ça ne veut pas dire que tes problèmes, tu as une montagne de problèmes. Mon Dieu, mais en fait, il faut que je règle mon enfance, mon style d'attachement, mon karma, le transgénérationnel, l'intergénérationnel, j'en peux plus, c'est fini. Non, mais en tout cas, c'est intéressant, là ce qu'on voit, c'est que finalement, des fois, de prendre un peu de recul et de faire dans la globalité, ça peut aussi aider vachement et avancer. beaucoup plus et de percevoir mais d'ailleurs je fais un un bon je suis la bonne bélier qui ramène toi elle mais même dans ma pratique en astrologie c'est aussi ça c'est comment est-ce que je vais parler de toi mais en fait aussi de ton karma et de l'astrogénéalogie en fait il y a ce mélange là parce que c'est hyper intéressant de voir que ce que t'es arrivé là sur terre C'est aussi un mélange de ton karma, c'est aussi un mélange du clan familial, etc. Et je pense que ça aide vachement plus à regarder dans cette globalité, mais à le regarder pas en mode « ouah, mais il y a trop de choses à régler, je vais jamais m'en sortir » , mais vraiment à le regarder comme un tout qui serait relié. Et genre, ce tout, quand je le regarde comme ça en un tout, finalement c'est beaucoup plus facile à libérer et à guérir.

  • Speaker #1

    mais bien sûr et aussi je rajouterais un truc c'est pas parce que dans ta lignée familiale qu'il y a des gens qui vivent telle ou telle situation que tu es forcément impacté ça dépend aussi de ta mission de vie et de ce que tu es venu y faire et apprendre et

  • Speaker #0

    puis parfois même justement il y en a ça m'arrive aussi ça ce truc il y en a Un, dans la lignée, des fois c'est la personne qui vient, qui n'est pas du tout comme tous les autres. Parce qu'en fait, justement, son but, c'est d'aller balayer tout ça de la famille. Et donc, c'est la personne qui est en mode retrait de sa famille, qui ne vit pas les mêmes choses que sa famille. Ça ne l'impacte pas de la même façon, mais parce qu'elle n'a pas la même, entre guillemets, mission.

  • Speaker #1

    On appelle ça les moutons noirs.

  • Speaker #0

    Exactement. Ok, donc on a vu en kinésio que les gens peuvent venir te voir parce qu'ils ont des douleurs. Les gens qui viennent te voir, il y a première catégorie, ceux qui ont des douleurs. Les autres catégories, qu'est-ce que ça va être ?

  • Speaker #1

    C'est émotionnel, des blocages. Par exemple, ils sentent qu'ils ont envie de faire quelque chose, mais ils n'ont pas l'élan. Ils se sentent empêchés. Ils n'arrivent pas à casser ce plafond de verre. Et quand ils comprennent que derrière, il y a ces schémas, c'est comme on parlait tout à l'heure aussi, c'était très intéressant. Il y a ces personnes qui, lorsqu'ils sont dos au mur, dans leur constitution interne basale, c'est des fonceurs. Ils y vont, ils peuvent le faire. Et justement, il y en a qui travaillent mieux quand ils sont dans l'urgence. Et puis, par contre... quand il n'y a pas d'urgence, ils sont en mode je ne sais pas où je suis parce que des fois il se peut que il y a comment on est constitué et puis aussi après comment nos croyances limitantes, notre éducation comment on a été élevé, tout ça font qu'on se sent empêché par exemple c'est ce que je dis je dis à certains clients, je fais c'est dommage Vous n'êtes pas dans la peur et vous foncez. Mais ce que je vois, c'est qu'au niveau de... Par exemple, quand je regarde au niveau de la focalisation, je demande à la personne de se focaliser sur un point précis et je teste le corps. Et je peux savoir si, par exemple, ça vient du père ou de la mère. Tac, tac, tac. Et je vois, par exemple, ah, l'autorité masculine du papa, c'est comment ? Ah ben oui, papa, il a été très autoritaire. Donc, du coup... je ne me sens pas du tout à la hauteur. Je fais des choses, je ne me sens pas à la hauteur. Il faut toujours que j'en fasse des tonnes, des caisses, parce qu'il faut que ça soit parfait. Personne ne m'a dit que c'était bien. Et donc, pour passer de la liste 1, il faut checker plein de choses avant d'aller sur liste 2, l'action 2. Et souvent, en fait, on frise, en fait, on est paralysé sur la liste 1. Enfin, sur le... Action 1, parce qu'on n'a pas tout checké. Et ce genre de personnage, c'est ce que je dis, c'est comme si en fin de compte, le but, il est là. Je ne sais pas si on voit. Et en fait, au lieu d'aller comme ça, ils font ça. Tac, tac, tac, tac,

  • Speaker #0

    tac, tac. Alors, pour ceux qui écoutent sur le podcast, en gros, le but, il est à un point précis. Au lieu d'aller directement à ce point, ils passent par plein de chemins. Ils font des... Des détours, des vagues, des pics, etc. avant d'arriver.

  • Speaker #1

    Ça, c'est une réponse traumatique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Oui, après, ce que tu disais, ça me fait penser au fait que notre base, qui on est, mais il y a aussi un masque qu'on rajoute parce que... que par rapport à nos traumas, à nos vécus, à nos blessures, etc. Et ce côté-là fonceur ou capable d'aller au-delà quand tu n'as le choix, c'est... j'ai oublié ce que je voulais dire. Je commence.

  • Speaker #1

    Oui, je vois ce que tu veux dire. Si on n'a pas le choix, c'est là qu'on sort nos ressources internes.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui. Et qu'avant, on est dans la blessure, dans le masque, dans le « je ne suis pas capable » . que t'as dit, j'ai pas coché tous les trucs que je peux faire c'est ça,

  • Speaker #1

    toutes les histoires qu'on se raconte quand on est obligé on est obligé quoi c'est pour ça qu'il y a des personnes en fait je suis une combattante mais mais bon mais

  • Speaker #0

    à quel prix ouais c'est ça donc douleur les gens sentent qu'ils sont bloqués, freinés Est-ce qu'on peut aussi venir te voir utiliser la kinésio parce qu'on sait ? Tu vois, là, par exemple, tu m'as donné l'exemple, justement, de gens qui se sentent bloqués, mais finalement, ils ne savent pas pourquoi. Est-ce qu'on peut aussi utiliser la kinésio plus parce qu'on sait ? C'est pourquoi, genre, je ne sais pas, je vais parler du deuil. On est en plein deuil, on est dans un truc très émotionnel et on vient utiliser la kinésio pour... aider à justement comme tu disais à rendre le corps plus fort

  • Speaker #1

    Oui, oui, tout à fait. Parce que des fois, le deuil, effectivement, ça peut être lié à plusieurs choses par rapport à ce que la personne, ce qu'elle représentait. Et des fois, on se rend compte qu'on s'appuyait sur cette personne et tout d'un coup, on est lâché dans la nature. Et après, il y a l'amour aussi. Enfin, c'est tellement, ça peut être tellement varié, le deuil. Et il n'y a pas que le deuil aussi. Tout ce qui est addiction ou les tocs. Il y a un enfant qui était venu pour des talks, justement, où il était... C'est parce qu'il ne se sentait pas accepté. Et quand... Et il ne se sentait pas accepté. Et en même temps, il y avait aussi une histoire avec le papa. C'était un jumeau. Enfin, il y a quelque chose au niveau de l'égalité, en fait. Il ne se sentait pas égal à son frère. Ou lui, il avait l'air d'être plus aimé, par exemple.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Mais c'était une façon d'évacuer quelque chose. Et sa maman disait qu'après, ça allait beaucoup mieux. Oui, donc enfant, par exemple, dès qu'il bégaye. En fait, là, je vais te parler beaucoup d'enfant parce que c'est ce qui me vient. Enfin, les adultes aussi, le sommeil, par exemple, tu n'arrives pas à dormir parce que ça tourne dans sa tête, ça tourne en rond. Ça m'a fait tellement de la peine quand ce monsieur m'a dit, quand il est revenu à la deuxième séance, il m'a fait crime. C'est bizarre maintenant, je me sens toujours heureux.

  • Speaker #0

    Je ne peux pas l'habituer.

  • Speaker #1

    Il disait, ça fait 17 ans que j'étais dans le noir. Et puis là, tout d'un coup, je vois la lumière. Mais le contraire aussi, ça fait bizarre.

  • Speaker #0

    Ah ben bien sûr, quand tu es habitué à quelque chose, c'est difficile d'aller. Même si l'autre chose, c'est du positif, c'est difficile d'y aller. Et c'est pour ça que des fois aussi, il y a ce sabotage qu'on se fait parce que... on est habitué, tu vois, là ça me fait penser aux relations aussi amoureuses, quand t'es habitué à des relations qui sont tortueuses par rapport par exemple à tes parents, etc. Tu comprends, aller vers quelque chose de sain et simple, c'est difficile donc ouais, même sortir de sa zone de confort, en fait, c'est dans tout, même si l'autre côté c'est merveilleux, je suis pas habitué, j'aime pas trop, je vais rester dans ma merde, quoi, un peu.

  • Speaker #1

    C'est ça, non mais oui ! C'est ça, parce que je peux le supporter encore. Ça va, ça va, je connais. Et quand tu en sors, c'est là que tu dis, j'ai supporté tout ça.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Tu vois ? Et je rajouterais aussi, il y avait une dame qui m'a appelée pour sa petite fille de 2 ans, enfin 3 ans. Elle ne comprenait pas parce qu'elle a commencé, la petite, à bégayer, alors qu'elle parlait très, très bien.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et... Et en fin de compte, en séance, déjà, elle a eu une naissance un peu compliquée. Pour elle, le monde n'était pas fiable. Et la seule, on va dire, la seule figure d'attachement, c'était sa maman. Et sa maman, il y a pile poil deux semaines et demie, là, justement, elle avait décidé de partir en vacances, un week-end, le temps d'un week-end, avec ses copines. Donc, elle l'a laissée avec... Le papa pourtant, il est safe avec le papa et le grand frère. Et à partir de là, elle a commencé à bégayer. Et quand on a compris, on a mis des mots sur l'événement. Et puis on a renforcé le corps. Et c'est là que sa mère m'envoie un message. Elle m'a dit, bon ben ça y est, elle ne bégaye plus.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    C'est super. Ouais. Non, c'est vraiment bien. Alors des fois, on ne se rend pas compte, mais les enfants, ils ont... Ils arrivent des fois sur Terre avec ce rôle où ils pensent devoir sauver leurs parents, leurs ancêtres, alors que c'est que des enfants. On leur demande juste d'être des enfants. Et pareil, il y a notre petite fille, elle, à l'école, enfin même, elle voit l'extérieur, c'était compliqué. Elle ne parlait pas du tout. Elle était toujours là à avoir peur. Il y avait quelque chose. Sa mère, elle l'avait emmenée parce que justement, à l'école, ça ne se passait pas bien parce qu'elle se faisait marcher sur les pieds. Elle ne s'exprimait pas du tout. Et là, en fin de compte, j'avais fait une séance structurelle, mais ça me disait aussi, il faut que la maman fasse une séance parce que la petite, elle, protégeait sa... Parce que sa maman, elle avait un secret qu'elle ne devait pas dévoiler. Elle devait... qu'elle a caché et la petite elle a pris ça aussi pour elle et une fois qu'on a libéré la maman la petite reparle ouais génial

  • Speaker #0

    Et du coup, justement, les enfants, comment tu fais ? Parce qu'une séance de kinésio, tu testes, mais tu parles aussi, tu expliques. Sur les enfants, comment ça se passe ? Tu laisses les parents là et tu parles aux parents ?

  • Speaker #1

    Alors, déjà, d'une, ce qui se passe, c'est qu'on utilise ce qu'on appelle le transfert d'énergie. Le transfert, c'est comme on prend l'énergie de l'enfant, parce que des fois, tu ne peux pas les tester. ils sont trop petits la kinésiologie tu peux en faire dès qu'ils sont tout bébé et donc on transfère l'énergie sur le parent et là c'est comme si on testait l'enfant directement en fait tu testes l'enfant via le corps du parent à travers le parent et ensuite après forcément on libère le test et chacun reprend ses énergies ok c'est fou

  • Speaker #0

    Est-ce que aussi, ça traite la phobie, par exemple, l'anxiété ?

  • Speaker #1

    Oui, l'anxiété, phobie. Donc, je te disais les TOC, tout ça. Après, il y en a même qui se forment pour les allergies. Ça peut aussi traiter certaines allergies. Moi, je n'ai pas fait ce module, mais effectivement, ça peut le faire aussi. Il y a des personnes qui… qui se sont formés pour, on peut passer par la kinésiologie aussi.

  • Speaker #0

    Waouh, c'est complet, quoi. C'est global.

  • Speaker #1

    T'imagines, tu parles à ton propre corps. On parle à personne d'autre. C'est toi et toi-même.

  • Speaker #0

    C'est ça, ouais. Il n'y a pas d'interprétation, de surinterprétation.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas d'interprétation, voilà. Parce que, bien sûr, en fait, ce qui se passe, c'est que la kinésiologie, on demande toujours l'autorisation au corps. Ça, c'est obligatoire. Tu n'y vas pas si le corps ne veut pas.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    c'est ce que je dis aux personnes c'est comme si au lieu d'être alignée tu désalignes la personne parce qu'elle n'est pas prête tu sais quand tu enlèves des couches c'est pas pour rien qu'il y a des couches avant bah ouais c'est ça c'est ce que j'explique à mes clients par exemple il y en a qui veulent aller du point A au point Z sauf que A, B, C, D, E, tu tousses déjà ouais et je leur dis c'est comme si en fin de compte après la séance vous vous retrouvez à poil est-ce que c'est le but en fait de vous retrouver à poil non c'est repartir avec des ressources être costaud

  • Speaker #0

    et fort ouais donc c'est pouvoir respecter le rythme en fait d'y aller pas à pas et pas d'aller trop vite et oui parce que si tu vas trop vite

  • Speaker #1

    ça va faire l'effet inverse.

  • Speaker #0

    Ah bah oui, c'est clair. Là, ton corps, il ne va pas apprécier. Enfin, rien de ton être va apprécier. Ton mental non plus, ton inconscient non plus. On dit, ah, la grosse panique, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça. Il y a des clientes qui, justement, qui ont été abusées. Et puis le corps, en fait, même dire les mots, parce que la kinésiologie, en fait, à la fin, il y a quand même des objectifs ou des mantras, comme sous forme de mantra, pour dire au corps, maintenant, c'est OK, tu peux le faire. Et certaines, elles n'arrivent même pas à le verbaliser parce que le corps, il ne veut pas. Il ne veut pas parce qu'il ne se sent pas prêt.

  • Speaker #0

    Et comment tu fais justement quand le corps, il ne se sent pas prêt ?

  • Speaker #1

    Alors, quand c'est comme ça, on essaye de calmer le corps un peu plus, de voir qu'est-ce qu'il raconte derrière.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Avec différents protocoles et puis ensuite, hop, ça y est. Mais après, c'est bon.

  • Speaker #0

    OK. Voilà. Et justement, combien de séances il faut ?

  • Speaker #1

    Ça dépend. Tout dépend de la personne. Il y en a pour qui ça va être une séance parce qu'elle n'a déjà pas mal bossé sur elle. Et puis, il y en a d'autres qui viennent des fois tous les mois et des fois qui viennent tous les 3-4 mois pour leur faire du bien. Par exemple, moi, en tant qu'inésiologue, moi, je préconise de m'en faire. de me faire faire une séance tous les

  • Speaker #0

    2-3 mois par exemple ou même des fois tous les mois pour se délester un petit peu bah oui c'est ça c'est important de lâcher aussi ce qui doit être lâché est-ce que justement il y a un temps entre deux séances enfin

  • Speaker #1

    un temps minimum alors oui moi ce que je dis aux clients alors déjà on sait que le corps il met 21 jours pour prendre de nouvelles habitudes.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    D'accord ? Donc, en général, on dit à la personne de venir... pas avant trois semaines, parce que sinon, il y en a, franchement, qui se pointeraient une semaine. En fait, ce n'est pas le but. Voilà. Et aussi, des fois, en séance, tu vois, à la fin de la séance, on peut avoir un temps d'intégration, mais ça peut être de l'ordre d'une semaine, un mois, même deux, voire trois mois, parce que ce sont des gros sujets. Ça veut dire qu'en fait, la personne... elle pourra bénéficier de la totalité de la séance, vraiment de toute la séance, que dans, à partir de, je ne sais pas, de ce temps d'intégration.

  • Speaker #0

    Ok, oui.

  • Speaker #1

    Qui peut être donc de maximum trois mois, et puis des fois c'est quelques jours avant, et puis jusqu'à trois mois.

  • Speaker #0

    Ok. Oui, il faut vraiment le temps, encore une fois, c'est toujours ce temps, voilà, qui est important. Le temps que ça s'intègre, ça s'imprègne, on digère, etc.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, c'est qu'après une séance, on peut être amené à avoir des éliminations, certaines éliminations. Des fois, ça peut être une grosse fatigue. Souvent, les gens sont fatigués après les séances. Ou ils vont souvent en toilette parce qu'il faut se vider. Ou les émotions font comme des montagnes russes. Mais c'est OK, c'est lié à la séance. Vraiment, il ne faut pas s'inquiéter.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et puis après, ça va se stabiliser au bout d'un moment.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, ce que je dis souvent, c'est parce qu'on change de vibration, parce qu'on se déleste de plein de bagages qu'on ne veut plus. Et donc, du coup, il faut s'habituer à cette nouvelle vibration.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça, s'habituer à cette nouvelle vibration. Exactement. OK, super. Est-ce que pour finir, tu as envie de peut-être partager, même si on a un peu compris, les autres techniques que tu utilises pour aider justement les personnes ?

  • Speaker #1

    Il y a l'énergie, je peux utiliser l'énergie. Après, moi le plus, c'est que comme j'ai cette compétence, tu vois, je vais dans le temps générationnel, je vois carrément qu'est-ce qui est en lien avec la personne. Et je vois carrément en fait la scène. et c'est pareil pour les vies antérieures pareil je vois carrément je vois des images et puis je teste aussi le corps bien sûr et ce qui était drôle c'était cette femme qui était venue parce qu'elle avait du mal à conduire sur les grands axes et la troisième séance elle me dit je me demande alors comment c'est la conduite c'est toujours pareil mais j'ai appris que dans ma famille il y a une personne qui avait le même problème que moi à mon âge vers la fin de trentaine, quarantaine je dis ok et pendant la séance il s'avère que dans le transgénérationnel il y avait un arrière grand-oncle qui, en fait je voyais carrément le train à vapeur et tout je me suis dit oh là attendez, qu'est-ce qui se passe que je vois un train et en fait c'était que cette personne là c'était un homme qui était conducteur de train à vapeur il avait peur de la vitesse c'est comme s'il avait du mal à contrôler la vitesse et elle elle m'a dit un truc après elle m'a dit en plus vous savez Kim quand je me sentais partir quand je commençais à conduire dans les grands axes elle sentait son corps faire ça comme si elle allait du côté droit elle regardait en fait comme les conducteurs de train en dehors dans la lucarne et bref et donc elle me dit mais pourquoi moi et puis ma grande tante parce qu'on a la même chose Et c'est là que je teste chez A. C'est parce que soit vous êtes née à la même période que cet ancêtre, ou soit vous êtes née à la période où cette personne décède.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Et elle, bien sûr, elle part du butatif. Elle fait, ouais, bon, moi, j'ai pas plus d'infos, mais tu vois. Elle est un peu, parce que comme elle a pas d'infos, elle est un peu comme elle dit Saint Thomas, elle ne croise que ce que c'est.

  • Speaker #0

    Ouais, c'est ça.

  • Speaker #1

    Et le soir, elle m'envoie un message pour me dire... Vous êtes incroyables. Après, je commence à lire son message. Elle me dit, effectivement, j'ai un arrière-grand-oncle qui était conducteur de train à vapeur. La dame, sa grande-tante qui a vécu les mêmes symptômes, son père était né le 18 octobre. Cette dame est née le 20 octobre. Et la cliente, elle est née le 24 octobre. Donc, enfin, tu connais, toi, le transgénérationnel.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, c'est ce qu'on...

  • Speaker #1

    Oui.

  • Speaker #0

    Les répétitions de dates, ça montre à quel point tu es lié à un ancêtre. C'est ça que tu regardes.

  • Speaker #1

    Et en kinésiologie, tu sais.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    Oui, c'est top. Ça, je n'ai pas besoin.

  • Speaker #0

    On ouvre un cabinet, sinon, si tu veux, tu vois, comme ça. Tiens. Voilà.

  • Speaker #1

    Avec le petit repas.

  • Speaker #0

    On voit les gens. Moi, je regarde le côté, voilà, et on libère. Ce serait fantastique, vraiment.

  • Speaker #1

    Vraiment, avec plaisir. Non, mais c'est vrai que tu vois, c'est ce que je dis aux personnes. C'est comme une autre de mes clientes. Je lui dis, mais... En plus, dans le transgénérationnel, c'est important de ne pas donner les prénoms de ses ancêtres. Parce que justement, assurez-vous que cette personne a une belle vie. C'est clair. Tu lui donnes tous les parisos. C'est ça. Et il y en a une qui m'a dit « Ah, oups, j'ai donné en deuxième prénom à ma fille le prénom de ma soeur décédée d'un cancer. »

  • Speaker #0

    Oui, voilà.

  • Speaker #1

    Sauf que la petite, il y a un truc de répétition où... La petite, elle a eu un cancer aussi, un jeune âge.

  • Speaker #0

    Ça, c'est assez terrible. Ça, je le vois aussi dans le métier. C'est ce truc de, il y en a un qui est mort tragiquement et pour le garder en mémoire, on va donner son nom au descendant. Non ! Non !

  • Speaker #1

    No way, c'est clair !

  • Speaker #0

    Ça, c'est pas possible, quoi. Vraiment, ouais, c'est ça. C'est donner les fardeaux de la personne. On a déjà assez de fardeaux, les gars !

  • Speaker #1

    C'est ça ! et moi je trouve dans la nouvelle génération je la trouve tellement géniale c'est que c'est des petits jeunes qui commencent à 20 ans qui se disent moi je veux travailler sur moi parce que justement je veux pas que mes enfants récupèrent tous ces fardeaux oh la la cette génération qui est hyper connectée en même temps hyper connectée mais hyper connectée ouais c'est ça exactement

  • Speaker #0

    et franchement quand je vois ça j'entends ça je me dis waouh c'est superbe cette génération exactement il y a encore de l'espoir oui bien sûr mais de toute façon je pense que même s'il y a des choses qui vont pas mais je vois quand même qu'on va vers une évolution de l'humanité ou en tout cas au niveau de l'écoute de l'émotionnel peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord mais il y a quand même une évolution je dis ça parce que je fais l'école à la maison à mon fils et là on est en train de faire l'histoire bon bah Ils étaient quand même sacrément violents et complètement tarés en fait à l'époque. Et donc il y a quand même une évolution. C'est peut-être lent, mais il y a une évolution. Et justement, comme tu dis, il y a de l'espoir parce que plus ça va et plus il y a cette conscientisation que c'est important de s'écouter, que c'est important de guérir, que c'est important de faire tout ce chemin en fait.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Et heureusement qu'on est là aussi.

  • Speaker #0

    Exactement. C'est ça. Ok, ben...

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'on peut te trouver ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je suis dans le 91, précisément ailleurs. Je ne sais pas si tu connais. Oui. Du côté de Montgeron, Brunois, tout ça.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Je suis aussi limite 94. Ce qui est marrant, c'est que des fois, il y a des gens qui font des horaires... Ils font deux heures de route juste pour venir. Moi, je me dis, waouh ! Bon, après, au début, tu sais, je disais, allez voir des kinésiologues plus à côté de chez vous. Et puis après, c'est là que je me suis dit, non, mais c'est bon, il ne faut plus que je leur dise ça. S'ils font autant de chemin, c'est parce que c'est moi qui vais le faire.

  • Speaker #0

    Oui, voilà, ils sentent l'appel. Moi, j'ai un... Enfin, ce n'est pas de la kinésio, mais j'ai un ostéopathe. Ce n'est pas à côté de chez moi et je ne changerai pas. En fait, je veux aller le voir, lui, et c'est tout. Parce que tu sens un peu l'appel, en fait, de certaines personnes. Tu sens que c'est... C'est ces personnes-là qui peuvent t'aider. Voilà. Et du coup, est-ce que tu as des réseaux, un site Internet ?

  • Speaker #1

    Je n'ai pas de site Internet, zéro. Par contre, en fait, ce qui marche très bien, c'est mon Google Business. En fait, comme je passe par Google Business, les gens, c'est là qu'ils me découvrent.

  • Speaker #0

    OK. Voilà.

  • Speaker #1

    voir les sites. J'ai aussi un Instagram et petit à petit, je vais changer pour thérapeute ou justement parce que comme je n'utilise pas que la kinésiologie, je ne peux pas me prétendre être que du kinésiologue.

  • Speaker #0

    Ok. Tu leur dis justement que tu n'utilises pas que ça ou...

  • Speaker #1

    Oui, oui, oui. Ils sont au courant. Tout à fait. Parce que je rajouterais aussi autre chose, c'est que je canalise aussi en séance. Je peux canaliser et c'est là que je leur dis, bon, on ne sait pas du tout de la kinésiologie. Il y a votre fils qui est là, votre père qui est là.

  • Speaker #0

    Trop bien.

  • Speaker #1

    Et je donne aussi un message à donner.

  • Speaker #0

    Je leur donne. Mais comme tu dis, c'est un peu holistique, c'est global. Donc finalement, c'est très intéressant. C'est global.

  • Speaker #1

    Exactement. Et surtout, les gens, c'est ce que je leur dis. C'est que s'ils doivent venir, ils viennent. Je ne les appelle pas. Ça veut dire qu'il y a quelque chose pour la personne qui est sur la table à libérer.

  • Speaker #0

    C'est ça. Exactement. Trop bien. Eh bien, merci. De toute façon, je mettrai aussi tes infos dans la description. Voilà, on retrouve ton Instagram, ta page Google, etc. Là où tu exerces aussi. Merci beaucoup pour cet échange. C'était top. Est-ce que tu as peut-être quelque chose à rajouter ?

  • Speaker #1

    Non, je pense qu'on a dit beaucoup.

  • Speaker #0

    C'est ça. J'avais prévenu. Franchement, j'ai fait quand même un effort pour pas trop… parce que là, en vrai, je pourrais continuer encore longtemps, mais j'ai fait un effort pour qu'on essaye de ne pas trop partir dans tous les sens, de ne pas trop divaguer et continuer notre discussion. Mais oui, ça fait déjà pas mal d'infos et c'est top. Ça permet vraiment d'avoir une vision un peu plus globale aussi de la kinésio parce que justement, un peu ce que tu disais au départ, des fois, tu entends des choses, mais tu ne comprends pas trop ce que c'est et voilà. Et là, c'est intéressant en fait de voir même... ta façon de pratiquer, l'aspect très global et holistique qui est hyper important. Donc, merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Merci de m'avoir suivi sur cet épisode.

  • Speaker #0

    Et puis, du coup, à très bientôt. Je suis sûre qu'on va encore un peu parler.

  • Speaker #1

    Je n'en doute pas. Et d'ailleurs, je pense qu'il y aura peut-être d'autres sujets qu'on pourrait aborder.

  • Speaker #0

    C'est ça, oui.

  • Speaker #1

    ça pourrait intéresser énormément de personnes.

  • Speaker #0

    Oui, avec grand plaisir. Je vous dis à très bientôt pour un prochain épisode.

Chapters

  • Introduction et présentation de Nitsa et Kim

    00:00

  • Discussion sur la kinésiologie et ses techniques

    00:56

  • Le corps comme outil de guérison et de transformation

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