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S01 Extrait 4. Nicolas, le plaisir de chercher cover
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Tête-à-tête Chercheuse(s)

S01 Extrait 4. Nicolas, le plaisir de chercher

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03min |04/02/2023
Play
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Description

▶️  Dans cet extrait, Nicolas Tholozan revient sur ce désir de faire de la recherche qui lui est apparu très tôt dans son enfance. 


Bien que ce qui se cache derrière l'étiquette du métier de chercheur ne soit pas complètement clair pour lui à l'époque, c'était tout de même cette carrière qui l'intéressait. Avec le recul, il se dit qu'en fait, en prépa, on se fait déjà une bonne idée de ce qu'est la recherche lorsque l'on désire résoudre un exercice difficile. La seule différence réside dans le fait qu'en prépa, la difficulté est due au manque de recul nécessaire pour aborder le problème, les notions étant nouvelles. Dans la recherche, elle tient au fait que personne n'a encore réussi à trouver une solution. 


Dès son plus jeune âge, il avait pris l'habitude de se poser des petits problèmes mathématiques, comme trouver la probabilité de succès des joueurs au jeu du loto des enfants selon le nombre de cartes qu'ils leur restaient par exemple. La prépa avait alors été une révélation pour lui, en donnant une nouvelle dimension aux maths : certains de ces problèmes sur lesquels il avait buté trouvaient une résolution très simple via des nouveaux arguments qu'il découvrait. 


🔔 Si vous avez aimé l’épisode, n’hésitez pas à soutenir le podcast en mettant 5 étoiles et en vous abonnant.


🎙️ Podcast créé et animé par Nathalie Ayi

🖼️  Cover et logos : Nathalie Ayi, Kléa Conde

📷  Photographie : Stéphane Hussein

📱 Réseaux Sociaux : Instagram, Facebook, Twitter, Youtube Channel, tous disponibles au lien suivant : https://linktr.ee/tat_chercheuses  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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▶️  Dans cet extrait, Nicolas Tholozan revient sur ce désir de faire de la recherche qui lui est apparu très tôt dans son enfance. 


Bien que ce qui se cache derrière l'étiquette du métier de chercheur ne soit pas complètement clair pour lui à l'époque, c'était tout de même cette carrière qui l'intéressait. Avec le recul, il se dit qu'en fait, en prépa, on se fait déjà une bonne idée de ce qu'est la recherche lorsque l'on désire résoudre un exercice difficile. La seule différence réside dans le fait qu'en prépa, la difficulté est due au manque de recul nécessaire pour aborder le problème, les notions étant nouvelles. Dans la recherche, elle tient au fait que personne n'a encore réussi à trouver une solution. 


Dès son plus jeune âge, il avait pris l'habitude de se poser des petits problèmes mathématiques, comme trouver la probabilité de succès des joueurs au jeu du loto des enfants selon le nombre de cartes qu'ils leur restaient par exemple. La prépa avait alors été une révélation pour lui, en donnant une nouvelle dimension aux maths : certains de ces problèmes sur lesquels il avait buté trouvaient une résolution très simple via des nouveaux arguments qu'il découvrait. 


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Bien que ce qui se cache derrière l'étiquette du métier de chercheur ne soit pas complètement clair pour lui à l'époque, c'était tout de même cette carrière qui l'intéressait. Avec le recul, il se dit qu'en fait, en prépa, on se fait déjà une bonne idée de ce qu'est la recherche lorsque l'on désire résoudre un exercice difficile. La seule différence réside dans le fait qu'en prépa, la difficulté est due au manque de recul nécessaire pour aborder le problème, les notions étant nouvelles. Dans la recherche, elle tient au fait que personne n'a encore réussi à trouver une solution. 


Dès son plus jeune âge, il avait pris l'habitude de se poser des petits problèmes mathématiques, comme trouver la probabilité de succès des joueurs au jeu du loto des enfants selon le nombre de cartes qu'ils leur restaient par exemple. La prépa avait alors été une révélation pour lui, en donnant une nouvelle dimension aux maths : certains de ces problèmes sur lesquels il avait buté trouvaient une résolution très simple via des nouveaux arguments qu'il découvrait. 


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Bien que ce qui se cache derrière l'étiquette du métier de chercheur ne soit pas complètement clair pour lui à l'époque, c'était tout de même cette carrière qui l'intéressait. Avec le recul, il se dit qu'en fait, en prépa, on se fait déjà une bonne idée de ce qu'est la recherche lorsque l'on désire résoudre un exercice difficile. La seule différence réside dans le fait qu'en prépa, la difficulté est due au manque de recul nécessaire pour aborder le problème, les notions étant nouvelles. Dans la recherche, elle tient au fait que personne n'a encore réussi à trouver une solution. 


Dès son plus jeune âge, il avait pris l'habitude de se poser des petits problèmes mathématiques, comme trouver la probabilité de succès des joueurs au jeu du loto des enfants selon le nombre de cartes qu'ils leur restaient par exemple. La prépa avait alors été une révélation pour lui, en donnant une nouvelle dimension aux maths : certains de ces problèmes sur lesquels il avait buté trouvaient une résolution très simple via des nouveaux arguments qu'il découvrait. 


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