Episode #76 - Faites-vous partie de la communauté des Slow workers ? cover
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Episode #76 - Faites-vous partie de la communauté des Slow workers ?

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11min |28/09/2021
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On va parler aujourd’hui de Slow working, encore me direz-vous, mais oui encore, car plus nous serons nombreux à en parler, et j’essaie à mon niveau de le faire dès que j’en ai l’occasion, et pas seulement parce que j’ai écrit un livre sur le sujet (puisque je le faisais déjà avant), plus le Slow working, et surtout son application concrète dans les entreprises, fera son petit bonhomme de chemin, dans les esprits, mais aussi dans la réalité du quotidien de tous les travailleurs.


Encore minoritaires dans les entreprises, parfois mal compris, les slow workers, dont je fais partie avec fierté, se réclament d’une autre culture du travail. 


Une culture dans laquelle le travail ne prend plus toute la place et où il est permis, pour ne pas dire encouragé, de travailler différemment. 


Car oui, dans ce monde un peu fou, le slow worker détonne !  Il a fait le choix, curieux, de vouloir concilier sérénité et efficacité au travail… Quelle drôle d’idée ! Une utopie pour certains, une véritable révolution pour d’autres. 


Pourtant, le slow worker n’est pas un illuminé. Il connait par cœur la pression des délais et le culte de l’urgence, la course à la productivité, et la surcharge de travail. Il les connait si bien qu’il les a souvent vécus dans sa chair, à travers un ou plusieurs épuisements qui ont failli le mettre à terre (il s’en est fallu de peu) et l’éloigner définitivement du monde de l’entreprise. 


Depuis, le slow worker a remis à plat sa relation au travail, il a appris à travailler moins mais mieux, à travailler intelligemment plutôt qu’avec excès, à doser son effort et à s’octroyer chaque jour des temps de pause. 


Car il a compris que c’était le meilleur moyen pour lui de préserver son plaisir intact, d’être chaque jour dans le respect de ses valeurs, de tenir le rythme dans la durée… et de ne pas s’épuiser à la tâche. Il y parvient, même si, il le reconnait, ce n’est pas simple tous les jours ! 


Le slow worker est un précurseur, un visionnaire, un résistant, qui a fait de cette révolution douce son nouveau chemin de vie.



Et vous, c’est la question que je vous pose aujourd’hui, comment vous situez-vous par rapport à ce concept parfois difficile à appréhender du Slow working, et faites-vous partie de la communauté de plus en plus grande des slow workers ?


Si ce n'est pas encore le cas, ou si vous hésitez encore, je vous partage ce matin (enfin ce midi à l'heure où je publie ce nouvel épisode) 3 idées reçues sur le Slow working, et surtout 3 petits exercices pour vous aider à franchir le pas 🍃


Bon mardi, et bon épisode !


----------


Retrouvez-moi sur :


Mon mail : diane@tempsetequilibre.com


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On va parler aujourd’hui de Slow working, encore me direz-vous, mais oui encore, car plus nous serons nombreux à en parler, et j’essaie à mon niveau de le faire dès que j’en ai l’occasion, et pas seulement parce que j’ai écrit un livre sur le sujet (puisque je le faisais déjà avant), plus le Slow working, et surtout son application concrète dans les entreprises, fera son petit bonhomme de chemin, dans les esprits, mais aussi dans la réalité du quotidien de tous les travailleurs.


Encore minoritaires dans les entreprises, parfois mal compris, les slow workers, dont je fais partie avec fierté, se réclament d’une autre culture du travail. 


Une culture dans laquelle le travail ne prend plus toute la place et où il est permis, pour ne pas dire encouragé, de travailler différemment. 


Car oui, dans ce monde un peu fou, le slow worker détonne !  Il a fait le choix, curieux, de vouloir concilier sérénité et efficacité au travail… Quelle drôle d’idée ! Une utopie pour certains, une véritable révolution pour d’autres. 


Pourtant, le slow worker n’est pas un illuminé. Il connait par cœur la pression des délais et le culte de l’urgence, la course à la productivité, et la surcharge de travail. Il les connait si bien qu’il les a souvent vécus dans sa chair, à travers un ou plusieurs épuisements qui ont failli le mettre à terre (il s’en est fallu de peu) et l’éloigner définitivement du monde de l’entreprise. 


Depuis, le slow worker a remis à plat sa relation au travail, il a appris à travailler moins mais mieux, à travailler intelligemment plutôt qu’avec excès, à doser son effort et à s’octroyer chaque jour des temps de pause. 


Car il a compris que c’était le meilleur moyen pour lui de préserver son plaisir intact, d’être chaque jour dans le respect de ses valeurs, de tenir le rythme dans la durée… et de ne pas s’épuiser à la tâche. Il y parvient, même si, il le reconnait, ce n’est pas simple tous les jours ! 


Le slow worker est un précurseur, un visionnaire, un résistant, qui a fait de cette révolution douce son nouveau chemin de vie.



Et vous, c’est la question que je vous pose aujourd’hui, comment vous situez-vous par rapport à ce concept parfois difficile à appréhender du Slow working, et faites-vous partie de la communauté de plus en plus grande des slow workers ?


Si ce n'est pas encore le cas, ou si vous hésitez encore, je vous partage ce matin (enfin ce midi à l'heure où je publie ce nouvel épisode) 3 idées reçues sur le Slow working, et surtout 3 petits exercices pour vous aider à franchir le pas 🍃


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Encore minoritaires dans les entreprises, parfois mal compris, les slow workers, dont je fais partie avec fierté, se réclament d’une autre culture du travail. 


Une culture dans laquelle le travail ne prend plus toute la place et où il est permis, pour ne pas dire encouragé, de travailler différemment. 


Car oui, dans ce monde un peu fou, le slow worker détonne !  Il a fait le choix, curieux, de vouloir concilier sérénité et efficacité au travail… Quelle drôle d’idée ! Une utopie pour certains, une véritable révolution pour d’autres. 


Pourtant, le slow worker n’est pas un illuminé. Il connait par cœur la pression des délais et le culte de l’urgence, la course à la productivité, et la surcharge de travail. Il les connait si bien qu’il les a souvent vécus dans sa chair, à travers un ou plusieurs épuisements qui ont failli le mettre à terre (il s’en est fallu de peu) et l’éloigner définitivement du monde de l’entreprise. 


Depuis, le slow worker a remis à plat sa relation au travail, il a appris à travailler moins mais mieux, à travailler intelligemment plutôt qu’avec excès, à doser son effort et à s’octroyer chaque jour des temps de pause. 


Car il a compris que c’était le meilleur moyen pour lui de préserver son plaisir intact, d’être chaque jour dans le respect de ses valeurs, de tenir le rythme dans la durée… et de ne pas s’épuiser à la tâche. Il y parvient, même si, il le reconnait, ce n’est pas simple tous les jours ! 


Le slow worker est un précurseur, un visionnaire, un résistant, qui a fait de cette révolution douce son nouveau chemin de vie.



Et vous, c’est la question que je vous pose aujourd’hui, comment vous situez-vous par rapport à ce concept parfois difficile à appréhender du Slow working, et faites-vous partie de la communauté de plus en plus grande des slow workers ?


Si ce n'est pas encore le cas, ou si vous hésitez encore, je vous partage ce matin (enfin ce midi à l'heure où je publie ce nouvel épisode) 3 idées reçues sur le Slow working, et surtout 3 petits exercices pour vous aider à franchir le pas 🍃


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On va parler aujourd’hui de Slow working, encore me direz-vous, mais oui encore, car plus nous serons nombreux à en parler, et j’essaie à mon niveau de le faire dès que j’en ai l’occasion, et pas seulement parce que j’ai écrit un livre sur le sujet (puisque je le faisais déjà avant), plus le Slow working, et surtout son application concrète dans les entreprises, fera son petit bonhomme de chemin, dans les esprits, mais aussi dans la réalité du quotidien de tous les travailleurs.


Encore minoritaires dans les entreprises, parfois mal compris, les slow workers, dont je fais partie avec fierté, se réclament d’une autre culture du travail. 


Une culture dans laquelle le travail ne prend plus toute la place et où il est permis, pour ne pas dire encouragé, de travailler différemment. 


Car oui, dans ce monde un peu fou, le slow worker détonne !  Il a fait le choix, curieux, de vouloir concilier sérénité et efficacité au travail… Quelle drôle d’idée ! Une utopie pour certains, une véritable révolution pour d’autres. 


Pourtant, le slow worker n’est pas un illuminé. Il connait par cœur la pression des délais et le culte de l’urgence, la course à la productivité, et la surcharge de travail. Il les connait si bien qu’il les a souvent vécus dans sa chair, à travers un ou plusieurs épuisements qui ont failli le mettre à terre (il s’en est fallu de peu) et l’éloigner définitivement du monde de l’entreprise. 


Depuis, le slow worker a remis à plat sa relation au travail, il a appris à travailler moins mais mieux, à travailler intelligemment plutôt qu’avec excès, à doser son effort et à s’octroyer chaque jour des temps de pause. 


Car il a compris que c’était le meilleur moyen pour lui de préserver son plaisir intact, d’être chaque jour dans le respect de ses valeurs, de tenir le rythme dans la durée… et de ne pas s’épuiser à la tâche. Il y parvient, même si, il le reconnait, ce n’est pas simple tous les jours ! 


Le slow worker est un précurseur, un visionnaire, un résistant, qui a fait de cette révolution douce son nouveau chemin de vie.



Et vous, c’est la question que je vous pose aujourd’hui, comment vous situez-vous par rapport à ce concept parfois difficile à appréhender du Slow working, et faites-vous partie de la communauté de plus en plus grande des slow workers ?


Si ce n'est pas encore le cas, ou si vous hésitez encore, je vous partage ce matin (enfin ce midi à l'heure où je publie ce nouvel épisode) 3 idées reçues sur le Slow working, et surtout 3 petits exercices pour vous aider à franchir le pas 🍃


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