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Je suis ringarde et je le reste # épisode 35 # 2 ème partie # cover
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TENDRE UNE MAIN POUR SOI🌟Être bien maintenant 🌟

Je suis ringarde et je le reste # épisode 35 # 2 ème partie #

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10min |01/03/2025
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  • Speaker #0

    Avez-vous déjà réfléchi à la destination du voyage de vos rêves ? Moi, j'y ai déjà pensé. Et pour être bien ici et maintenant, je vous propose de plonger au plus profond de vous-même. Bienvenue dans le podcast Tendre une main pour soi. Vous êtes avec Alice Boy, embarquement immédiat, porte numéro 35, Hall B, Michigan. Si vous êtes de la même génération que la mienne, vous vous souvenez certainement du film Hibernatus avec Louis de Funès. C'est l'histoire d'un homme congelé dans les glaces du pôle Nord. Il est retrouvé miraculeusement vivant au bout de 65 ans par une expédition polaire. Après enquête, il s'avère qu'il s'agit d'un jeune homme de 25 ans nommé Paul Fournier. parti en exploration en 1905, est parfaitement conservé. Il est alors progressivement réanimé par un professeur, spécialiste mondial de l'hibernation artificielle. L'industriel Hubert Barrère de Tartas, interprété par Louis de Funès, apprend avec stupeur que l'hiberner n'est autre que le grand-père de sa femme Edmé. Celle-ci s'oppose alors formellement à ce que son jeune grand-père devienne un cobaye au service de la science et exige qu'il lui soit rendu afin qu'il partage la vie de sa famille. Les scientifiques tentent de l'en dissuader, prétextant que le brusque saut dans le monde moderne d'un homme qui ignore tout de la réalité, car en état d'hibernation pendant 70 ans, risquerait de lui être fatal. Pour faire plaisir à sa femme, Hubert se décide finalement à récupérer le grand-père. Afin d'éviter son réveil inopiné dans un monde trop moderne à ses yeux, Tartas et son épouse l'accueillent dans leur résidence du Vésiné, alors remise dans l'état où elle était en 1905. Mais toute la famille est également contrainte, comme tous les habitants du Vésiné, de vivre à la mode de ce début du siècle. afin de préserver à tout prix la santé mentale du patient. Se croyant encore à la belle époque, Paul Fournier, liberné, reprend très vite ses marques, se pensant à la tête d'une fabrique de lampes à pétrole. Pour lui, Edmé a les traits de sa mère Clémentine qu'il adore. A la fin du film, Paul Fournier, liberné, resté sans surveillance, découvre un poste de télévision soigneusement dissimulé dans un meuble. Il le met en marche et fait ainsi une découverte bouleversante. Il est bel et bien mis devant la réalité du monde moderne. Je m'imagine, tel Hibernatus, être brutalement projeté depuis les années 80 de mon enfance jusqu'à l'époque actuelle. Après une longue période d'hibernation, je me surprends à observer la mode, les valeurs, les mœurs et les messages véhiculés dans une société toute nouvelle pour moi. J'apprends ainsi qu'une drag queen, une femme à barbe, Conchita Wurst, a remporté le concours de l'Eurovision de la chanson. Dans la même veine, un homme, enceint, avec le corps peint d'un costume cravate, Chemise blanche qui s'ouvre sur un ventre proéminent fait la une d'un magazine féminin britannique Glamour. Une boxeuse algérienne, transgenre, Imane Kelif, a remporté un combat de boxe lors des JO de Paris. Indirect au visage à pousser son adversaire italienne, Angela Carini a abandonné. Devant la folie du monde actuel, tel Hibernatus, J'ai parfois envie d'être mise en état d'hibernation pour remonter l'échelle du temps. Je rêve de me retrouver dans les années 80, l'âge d'or de ma jeunesse. À cette époque, la société avait pour référence la famille, le couple traditionnel, un homme, une femme, et notre genre était dicté par la nature. Nous vivons des temps dystopiques où la réalité dépasse les romans de science-fiction les plus visionnaires. À ce propos, je vous laisse savourer... La déclaration de Bill Mahler, un commentateur politique américain, à propos des enfants transgenres. Je le cite. « Si les enfants savaient à 8 ans ce qu'ils voulaient être, le monde serait rempli de cow-boys et de princesses. Moi, je voulais être pirate. Dieu merci, personne ne l'a pris au sérieux et ne m'a opéré pour me retirer un œil et me mettre une jambe de bois. » Aujourd'hui, on fait croire aux enfants qu'il est possible de changer de sexe faisant fi du caractère sacré de la nature. Il ne s'agirait que de suivre ses ressentis et de quelques coups de bistouri. Toute critique ou toute tentative de discussion autour de la question du transgenrisme vaut immédiatement à ses auteurs une accusation de transphobie. Il semble que sur ce sujet, il faille Soit Ausha tête comme un ben oui oui en guise d'assentiment, soit risquer de se faire insulter pour avoir osé émettre une certaine réserve, voire proférer une opinion discordante. La médecine, par définition, repose sur des faits scientifiques et des protocoles fondés sur des données objectives. La biologie humaine, des différences hormonales, des structures anatomiques spécifiques. Refuser de considérer ces réalités au nom d'un dogme idéologique me paraît dangereux. Ce glissement est le symptôme d'un mal bien plus profond qui gangrène notre société. Nous avons abandonné non seulement notre bon sens, mais aussi toute possibilité de débat au profit d'un conformisme idéologique aveugle. Je refuse d'être taxée de transphobe. Au contraire, j'éprouve beaucoup de compassion pour les familles. qui sont confrontés à ces situations et qui le vivent souvent douloureusement. De mon point de vue, il faut rester prudent, continuer de douter, apporter de la nuance dans nos positions, avant de prendre une décision irréversible. Le mouvement transgenre défie la vérité biologique. Elle déchire les familles et, pire que tout, elle nuit physiquement et psychologiquement à des enfants innocents. Refuser sa biologie de naissance, avoir besoin de se transformer pour s'approcher de l'apparence de l'autre sexe, est une souffrance psychique extrême. Ces personnes ont le sentiment que la nature s'est trompée en leur donnant le mauvais corps. Mais je ne suis pas certaine qu'une opération de changement de sexe soit la solution pour résoudre ce problème profond d'identité. Alors oui, je suis conservatrice, ringarde si vous préférez, mais tous ces débats sur le genre dépassent mon entendement, me laissent perplexe. Pour ma part, il me semble préférable de s'accommoder de mère nature plutôt que de la défier. En banalisant la chirurgie des changements de sexe, nous jouons aux apprentis sorciers. L'adolescence est une période de vulnérabilité, les jeunes sont en cours de construction. Il faut être réaliste et prendre la pleine mesure de ce que signifie véritablement une telle opération. Cela condamne à des traitements hormonaux à vie, des opérations très invasives et des mutilations irréversibles, pour au final un résultat chimérique, voire un simulacre de l'autre sexe. Aujourd'hui, nous manquons de recul, mais j'imagine des regrets pour plus tard. Il me semble que notre époque va trop loin, dans une sorte de déni de certaines limites de la condition humaine. Pour ma part, je veux continuer de croire à une certaine transcendance et au respect du sacré. Le vent du progrès, le désir de balayer notre héritage est allé trop loin. Nous avons besoin de nous ressaisir dans notre rapport au passé. La quête de l'harmonie intérieure et de la vérité. passe par un retour à la tradition qui offre des repères clairs et intemporels pour élever l'âme et illuminer l'existence. Je terminerai comme à mon habitude sur une chanson. Elle disait « Faut pas toucher aux oiseaux dans les champs de blé. Je tuerai le chasseur qui les tuera. Je te tuerai même si c'était toi. » Et la violence de ces paroles Cette chanson d'innocence, ça me fait pleurer quand j'y pense. Catherine, le monde a changé. Les chasseurs sont du bon côté. Pour les oiseaux, il n'y a plus grand chose à faire. Ils tueront les pigeons au nucléaire. Les champs de blé de nos jeux d'enfance seront bientôt comme, comme ce désert. Comment me taire quand j'y pense ? Si vous avez aimé ce podcast, si vous pensez qu'il peut plaire à quelqu'un de votre entourage, je vous remercie de le partager. Si vous êtes abonné, vous savez que nous pouvons nous retrouver sur Facebook ou YouTube à Tendrement pour soi, Alice Boy. Et je vous dis à très vite !

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    Avez-vous déjà réfléchi à la destination du voyage de vos rêves ? Moi, j'y ai déjà pensé. Et pour être bien ici et maintenant, je vous propose de plonger au plus profond de vous-même. Bienvenue dans le podcast Tendre une main pour soi. Vous êtes avec Alice Boy, embarquement immédiat, porte numéro 35, Hall B, Michigan. Si vous êtes de la même génération que la mienne, vous vous souvenez certainement du film Hibernatus avec Louis de Funès. C'est l'histoire d'un homme congelé dans les glaces du pôle Nord. Il est retrouvé miraculeusement vivant au bout de 65 ans par une expédition polaire. Après enquête, il s'avère qu'il s'agit d'un jeune homme de 25 ans nommé Paul Fournier. parti en exploration en 1905, est parfaitement conservé. Il est alors progressivement réanimé par un professeur, spécialiste mondial de l'hibernation artificielle. L'industriel Hubert Barrère de Tartas, interprété par Louis de Funès, apprend avec stupeur que l'hiberner n'est autre que le grand-père de sa femme Edmé. Celle-ci s'oppose alors formellement à ce que son jeune grand-père devienne un cobaye au service de la science et exige qu'il lui soit rendu afin qu'il partage la vie de sa famille. Les scientifiques tentent de l'en dissuader, prétextant que le brusque saut dans le monde moderne d'un homme qui ignore tout de la réalité, car en état d'hibernation pendant 70 ans, risquerait de lui être fatal. Pour faire plaisir à sa femme, Hubert se décide finalement à récupérer le grand-père. Afin d'éviter son réveil inopiné dans un monde trop moderne à ses yeux, Tartas et son épouse l'accueillent dans leur résidence du Vésiné, alors remise dans l'état où elle était en 1905. Mais toute la famille est également contrainte, comme tous les habitants du Vésiné, de vivre à la mode de ce début du siècle. afin de préserver à tout prix la santé mentale du patient. Se croyant encore à la belle époque, Paul Fournier, liberné, reprend très vite ses marques, se pensant à la tête d'une fabrique de lampes à pétrole. Pour lui, Edmé a les traits de sa mère Clémentine qu'il adore. A la fin du film, Paul Fournier, liberné, resté sans surveillance, découvre un poste de télévision soigneusement dissimulé dans un meuble. Il le met en marche et fait ainsi une découverte bouleversante. Il est bel et bien mis devant la réalité du monde moderne. Je m'imagine, tel Hibernatus, être brutalement projeté depuis les années 80 de mon enfance jusqu'à l'époque actuelle. Après une longue période d'hibernation, je me surprends à observer la mode, les valeurs, les mœurs et les messages véhiculés dans une société toute nouvelle pour moi. J'apprends ainsi qu'une drag queen, une femme à barbe, Conchita Wurst, a remporté le concours de l'Eurovision de la chanson. Dans la même veine, un homme, enceint, avec le corps peint d'un costume cravate, Chemise blanche qui s'ouvre sur un ventre proéminent fait la une d'un magazine féminin britannique Glamour. Une boxeuse algérienne, transgenre, Imane Kelif, a remporté un combat de boxe lors des JO de Paris. Indirect au visage à pousser son adversaire italienne, Angela Carini a abandonné. Devant la folie du monde actuel, tel Hibernatus, J'ai parfois envie d'être mise en état d'hibernation pour remonter l'échelle du temps. Je rêve de me retrouver dans les années 80, l'âge d'or de ma jeunesse. À cette époque, la société avait pour référence la famille, le couple traditionnel, un homme, une femme, et notre genre était dicté par la nature. Nous vivons des temps dystopiques où la réalité dépasse les romans de science-fiction les plus visionnaires. À ce propos, je vous laisse savourer... La déclaration de Bill Mahler, un commentateur politique américain, à propos des enfants transgenres. Je le cite. « Si les enfants savaient à 8 ans ce qu'ils voulaient être, le monde serait rempli de cow-boys et de princesses. Moi, je voulais être pirate. Dieu merci, personne ne l'a pris au sérieux et ne m'a opéré pour me retirer un œil et me mettre une jambe de bois. » Aujourd'hui, on fait croire aux enfants qu'il est possible de changer de sexe faisant fi du caractère sacré de la nature. Il ne s'agirait que de suivre ses ressentis et de quelques coups de bistouri. Toute critique ou toute tentative de discussion autour de la question du transgenrisme vaut immédiatement à ses auteurs une accusation de transphobie. Il semble que sur ce sujet, il faille Soit Ausha tête comme un ben oui oui en guise d'assentiment, soit risquer de se faire insulter pour avoir osé émettre une certaine réserve, voire proférer une opinion discordante. La médecine, par définition, repose sur des faits scientifiques et des protocoles fondés sur des données objectives. La biologie humaine, des différences hormonales, des structures anatomiques spécifiques. Refuser de considérer ces réalités au nom d'un dogme idéologique me paraît dangereux. Ce glissement est le symptôme d'un mal bien plus profond qui gangrène notre société. Nous avons abandonné non seulement notre bon sens, mais aussi toute possibilité de débat au profit d'un conformisme idéologique aveugle. Je refuse d'être taxée de transphobe. Au contraire, j'éprouve beaucoup de compassion pour les familles. qui sont confrontés à ces situations et qui le vivent souvent douloureusement. De mon point de vue, il faut rester prudent, continuer de douter, apporter de la nuance dans nos positions, avant de prendre une décision irréversible. Le mouvement transgenre défie la vérité biologique. Elle déchire les familles et, pire que tout, elle nuit physiquement et psychologiquement à des enfants innocents. Refuser sa biologie de naissance, avoir besoin de se transformer pour s'approcher de l'apparence de l'autre sexe, est une souffrance psychique extrême. Ces personnes ont le sentiment que la nature s'est trompée en leur donnant le mauvais corps. Mais je ne suis pas certaine qu'une opération de changement de sexe soit la solution pour résoudre ce problème profond d'identité. Alors oui, je suis conservatrice, ringarde si vous préférez, mais tous ces débats sur le genre dépassent mon entendement, me laissent perplexe. Pour ma part, il me semble préférable de s'accommoder de mère nature plutôt que de la défier. En banalisant la chirurgie des changements de sexe, nous jouons aux apprentis sorciers. L'adolescence est une période de vulnérabilité, les jeunes sont en cours de construction. Il faut être réaliste et prendre la pleine mesure de ce que signifie véritablement une telle opération. Cela condamne à des traitements hormonaux à vie, des opérations très invasives et des mutilations irréversibles, pour au final un résultat chimérique, voire un simulacre de l'autre sexe. Aujourd'hui, nous manquons de recul, mais j'imagine des regrets pour plus tard. Il me semble que notre époque va trop loin, dans une sorte de déni de certaines limites de la condition humaine. Pour ma part, je veux continuer de croire à une certaine transcendance et au respect du sacré. Le vent du progrès, le désir de balayer notre héritage est allé trop loin. Nous avons besoin de nous ressaisir dans notre rapport au passé. La quête de l'harmonie intérieure et de la vérité. passe par un retour à la tradition qui offre des repères clairs et intemporels pour élever l'âme et illuminer l'existence. Je terminerai comme à mon habitude sur une chanson. Elle disait « Faut pas toucher aux oiseaux dans les champs de blé. Je tuerai le chasseur qui les tuera. Je te tuerai même si c'était toi. » Et la violence de ces paroles Cette chanson d'innocence, ça me fait pleurer quand j'y pense. Catherine, le monde a changé. Les chasseurs sont du bon côté. Pour les oiseaux, il n'y a plus grand chose à faire. Ils tueront les pigeons au nucléaire. Les champs de blé de nos jeux d'enfance seront bientôt comme, comme ce désert. Comment me taire quand j'y pense ? Si vous avez aimé ce podcast, si vous pensez qu'il peut plaire à quelqu'un de votre entourage, je vous remercie de le partager. Si vous êtes abonné, vous savez que nous pouvons nous retrouver sur Facebook ou YouTube à Tendrement pour soi, Alice Boy. Et je vous dis à très vite !

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    Avez-vous déjà réfléchi à la destination du voyage de vos rêves ? Moi, j'y ai déjà pensé. Et pour être bien ici et maintenant, je vous propose de plonger au plus profond de vous-même. Bienvenue dans le podcast Tendre une main pour soi. Vous êtes avec Alice Boy, embarquement immédiat, porte numéro 35, Hall B, Michigan. Si vous êtes de la même génération que la mienne, vous vous souvenez certainement du film Hibernatus avec Louis de Funès. C'est l'histoire d'un homme congelé dans les glaces du pôle Nord. Il est retrouvé miraculeusement vivant au bout de 65 ans par une expédition polaire. Après enquête, il s'avère qu'il s'agit d'un jeune homme de 25 ans nommé Paul Fournier. parti en exploration en 1905, est parfaitement conservé. Il est alors progressivement réanimé par un professeur, spécialiste mondial de l'hibernation artificielle. L'industriel Hubert Barrère de Tartas, interprété par Louis de Funès, apprend avec stupeur que l'hiberner n'est autre que le grand-père de sa femme Edmé. Celle-ci s'oppose alors formellement à ce que son jeune grand-père devienne un cobaye au service de la science et exige qu'il lui soit rendu afin qu'il partage la vie de sa famille. Les scientifiques tentent de l'en dissuader, prétextant que le brusque saut dans le monde moderne d'un homme qui ignore tout de la réalité, car en état d'hibernation pendant 70 ans, risquerait de lui être fatal. Pour faire plaisir à sa femme, Hubert se décide finalement à récupérer le grand-père. Afin d'éviter son réveil inopiné dans un monde trop moderne à ses yeux, Tartas et son épouse l'accueillent dans leur résidence du Vésiné, alors remise dans l'état où elle était en 1905. Mais toute la famille est également contrainte, comme tous les habitants du Vésiné, de vivre à la mode de ce début du siècle. afin de préserver à tout prix la santé mentale du patient. Se croyant encore à la belle époque, Paul Fournier, liberné, reprend très vite ses marques, se pensant à la tête d'une fabrique de lampes à pétrole. Pour lui, Edmé a les traits de sa mère Clémentine qu'il adore. A la fin du film, Paul Fournier, liberné, resté sans surveillance, découvre un poste de télévision soigneusement dissimulé dans un meuble. Il le met en marche et fait ainsi une découverte bouleversante. Il est bel et bien mis devant la réalité du monde moderne. Je m'imagine, tel Hibernatus, être brutalement projeté depuis les années 80 de mon enfance jusqu'à l'époque actuelle. Après une longue période d'hibernation, je me surprends à observer la mode, les valeurs, les mœurs et les messages véhiculés dans une société toute nouvelle pour moi. J'apprends ainsi qu'une drag queen, une femme à barbe, Conchita Wurst, a remporté le concours de l'Eurovision de la chanson. Dans la même veine, un homme, enceint, avec le corps peint d'un costume cravate, Chemise blanche qui s'ouvre sur un ventre proéminent fait la une d'un magazine féminin britannique Glamour. Une boxeuse algérienne, transgenre, Imane Kelif, a remporté un combat de boxe lors des JO de Paris. Indirect au visage à pousser son adversaire italienne, Angela Carini a abandonné. Devant la folie du monde actuel, tel Hibernatus, J'ai parfois envie d'être mise en état d'hibernation pour remonter l'échelle du temps. Je rêve de me retrouver dans les années 80, l'âge d'or de ma jeunesse. À cette époque, la société avait pour référence la famille, le couple traditionnel, un homme, une femme, et notre genre était dicté par la nature. Nous vivons des temps dystopiques où la réalité dépasse les romans de science-fiction les plus visionnaires. À ce propos, je vous laisse savourer... La déclaration de Bill Mahler, un commentateur politique américain, à propos des enfants transgenres. Je le cite. « Si les enfants savaient à 8 ans ce qu'ils voulaient être, le monde serait rempli de cow-boys et de princesses. Moi, je voulais être pirate. Dieu merci, personne ne l'a pris au sérieux et ne m'a opéré pour me retirer un œil et me mettre une jambe de bois. » Aujourd'hui, on fait croire aux enfants qu'il est possible de changer de sexe faisant fi du caractère sacré de la nature. Il ne s'agirait que de suivre ses ressentis et de quelques coups de bistouri. Toute critique ou toute tentative de discussion autour de la question du transgenrisme vaut immédiatement à ses auteurs une accusation de transphobie. Il semble que sur ce sujet, il faille Soit Ausha tête comme un ben oui oui en guise d'assentiment, soit risquer de se faire insulter pour avoir osé émettre une certaine réserve, voire proférer une opinion discordante. La médecine, par définition, repose sur des faits scientifiques et des protocoles fondés sur des données objectives. La biologie humaine, des différences hormonales, des structures anatomiques spécifiques. Refuser de considérer ces réalités au nom d'un dogme idéologique me paraît dangereux. Ce glissement est le symptôme d'un mal bien plus profond qui gangrène notre société. Nous avons abandonné non seulement notre bon sens, mais aussi toute possibilité de débat au profit d'un conformisme idéologique aveugle. Je refuse d'être taxée de transphobe. Au contraire, j'éprouve beaucoup de compassion pour les familles. qui sont confrontés à ces situations et qui le vivent souvent douloureusement. De mon point de vue, il faut rester prudent, continuer de douter, apporter de la nuance dans nos positions, avant de prendre une décision irréversible. Le mouvement transgenre défie la vérité biologique. Elle déchire les familles et, pire que tout, elle nuit physiquement et psychologiquement à des enfants innocents. Refuser sa biologie de naissance, avoir besoin de se transformer pour s'approcher de l'apparence de l'autre sexe, est une souffrance psychique extrême. Ces personnes ont le sentiment que la nature s'est trompée en leur donnant le mauvais corps. Mais je ne suis pas certaine qu'une opération de changement de sexe soit la solution pour résoudre ce problème profond d'identité. Alors oui, je suis conservatrice, ringarde si vous préférez, mais tous ces débats sur le genre dépassent mon entendement, me laissent perplexe. Pour ma part, il me semble préférable de s'accommoder de mère nature plutôt que de la défier. En banalisant la chirurgie des changements de sexe, nous jouons aux apprentis sorciers. L'adolescence est une période de vulnérabilité, les jeunes sont en cours de construction. Il faut être réaliste et prendre la pleine mesure de ce que signifie véritablement une telle opération. Cela condamne à des traitements hormonaux à vie, des opérations très invasives et des mutilations irréversibles, pour au final un résultat chimérique, voire un simulacre de l'autre sexe. Aujourd'hui, nous manquons de recul, mais j'imagine des regrets pour plus tard. Il me semble que notre époque va trop loin, dans une sorte de déni de certaines limites de la condition humaine. Pour ma part, je veux continuer de croire à une certaine transcendance et au respect du sacré. Le vent du progrès, le désir de balayer notre héritage est allé trop loin. Nous avons besoin de nous ressaisir dans notre rapport au passé. La quête de l'harmonie intérieure et de la vérité. passe par un retour à la tradition qui offre des repères clairs et intemporels pour élever l'âme et illuminer l'existence. Je terminerai comme à mon habitude sur une chanson. Elle disait « Faut pas toucher aux oiseaux dans les champs de blé. Je tuerai le chasseur qui les tuera. Je te tuerai même si c'était toi. » Et la violence de ces paroles Cette chanson d'innocence, ça me fait pleurer quand j'y pense. Catherine, le monde a changé. Les chasseurs sont du bon côté. Pour les oiseaux, il n'y a plus grand chose à faire. Ils tueront les pigeons au nucléaire. Les champs de blé de nos jeux d'enfance seront bientôt comme, comme ce désert. Comment me taire quand j'y pense ? Si vous avez aimé ce podcast, si vous pensez qu'il peut plaire à quelqu'un de votre entourage, je vous remercie de le partager. Si vous êtes abonné, vous savez que nous pouvons nous retrouver sur Facebook ou YouTube à Tendrement pour soi, Alice Boy. Et je vous dis à très vite !

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    Avez-vous déjà réfléchi à la destination du voyage de vos rêves ? Moi, j'y ai déjà pensé. Et pour être bien ici et maintenant, je vous propose de plonger au plus profond de vous-même. Bienvenue dans le podcast Tendre une main pour soi. Vous êtes avec Alice Boy, embarquement immédiat, porte numéro 35, Hall B, Michigan. Si vous êtes de la même génération que la mienne, vous vous souvenez certainement du film Hibernatus avec Louis de Funès. C'est l'histoire d'un homme congelé dans les glaces du pôle Nord. Il est retrouvé miraculeusement vivant au bout de 65 ans par une expédition polaire. Après enquête, il s'avère qu'il s'agit d'un jeune homme de 25 ans nommé Paul Fournier. parti en exploration en 1905, est parfaitement conservé. Il est alors progressivement réanimé par un professeur, spécialiste mondial de l'hibernation artificielle. L'industriel Hubert Barrère de Tartas, interprété par Louis de Funès, apprend avec stupeur que l'hiberner n'est autre que le grand-père de sa femme Edmé. Celle-ci s'oppose alors formellement à ce que son jeune grand-père devienne un cobaye au service de la science et exige qu'il lui soit rendu afin qu'il partage la vie de sa famille. Les scientifiques tentent de l'en dissuader, prétextant que le brusque saut dans le monde moderne d'un homme qui ignore tout de la réalité, car en état d'hibernation pendant 70 ans, risquerait de lui être fatal. Pour faire plaisir à sa femme, Hubert se décide finalement à récupérer le grand-père. Afin d'éviter son réveil inopiné dans un monde trop moderne à ses yeux, Tartas et son épouse l'accueillent dans leur résidence du Vésiné, alors remise dans l'état où elle était en 1905. Mais toute la famille est également contrainte, comme tous les habitants du Vésiné, de vivre à la mode de ce début du siècle. afin de préserver à tout prix la santé mentale du patient. Se croyant encore à la belle époque, Paul Fournier, liberné, reprend très vite ses marques, se pensant à la tête d'une fabrique de lampes à pétrole. Pour lui, Edmé a les traits de sa mère Clémentine qu'il adore. A la fin du film, Paul Fournier, liberné, resté sans surveillance, découvre un poste de télévision soigneusement dissimulé dans un meuble. Il le met en marche et fait ainsi une découverte bouleversante. Il est bel et bien mis devant la réalité du monde moderne. Je m'imagine, tel Hibernatus, être brutalement projeté depuis les années 80 de mon enfance jusqu'à l'époque actuelle. Après une longue période d'hibernation, je me surprends à observer la mode, les valeurs, les mœurs et les messages véhiculés dans une société toute nouvelle pour moi. J'apprends ainsi qu'une drag queen, une femme à barbe, Conchita Wurst, a remporté le concours de l'Eurovision de la chanson. Dans la même veine, un homme, enceint, avec le corps peint d'un costume cravate, Chemise blanche qui s'ouvre sur un ventre proéminent fait la une d'un magazine féminin britannique Glamour. Une boxeuse algérienne, transgenre, Imane Kelif, a remporté un combat de boxe lors des JO de Paris. Indirect au visage à pousser son adversaire italienne, Angela Carini a abandonné. Devant la folie du monde actuel, tel Hibernatus, J'ai parfois envie d'être mise en état d'hibernation pour remonter l'échelle du temps. Je rêve de me retrouver dans les années 80, l'âge d'or de ma jeunesse. À cette époque, la société avait pour référence la famille, le couple traditionnel, un homme, une femme, et notre genre était dicté par la nature. Nous vivons des temps dystopiques où la réalité dépasse les romans de science-fiction les plus visionnaires. À ce propos, je vous laisse savourer... La déclaration de Bill Mahler, un commentateur politique américain, à propos des enfants transgenres. Je le cite. « Si les enfants savaient à 8 ans ce qu'ils voulaient être, le monde serait rempli de cow-boys et de princesses. Moi, je voulais être pirate. Dieu merci, personne ne l'a pris au sérieux et ne m'a opéré pour me retirer un œil et me mettre une jambe de bois. » Aujourd'hui, on fait croire aux enfants qu'il est possible de changer de sexe faisant fi du caractère sacré de la nature. Il ne s'agirait que de suivre ses ressentis et de quelques coups de bistouri. Toute critique ou toute tentative de discussion autour de la question du transgenrisme vaut immédiatement à ses auteurs une accusation de transphobie. Il semble que sur ce sujet, il faille Soit Ausha tête comme un ben oui oui en guise d'assentiment, soit risquer de se faire insulter pour avoir osé émettre une certaine réserve, voire proférer une opinion discordante. La médecine, par définition, repose sur des faits scientifiques et des protocoles fondés sur des données objectives. La biologie humaine, des différences hormonales, des structures anatomiques spécifiques. Refuser de considérer ces réalités au nom d'un dogme idéologique me paraît dangereux. Ce glissement est le symptôme d'un mal bien plus profond qui gangrène notre société. Nous avons abandonné non seulement notre bon sens, mais aussi toute possibilité de débat au profit d'un conformisme idéologique aveugle. Je refuse d'être taxée de transphobe. Au contraire, j'éprouve beaucoup de compassion pour les familles. qui sont confrontés à ces situations et qui le vivent souvent douloureusement. De mon point de vue, il faut rester prudent, continuer de douter, apporter de la nuance dans nos positions, avant de prendre une décision irréversible. Le mouvement transgenre défie la vérité biologique. Elle déchire les familles et, pire que tout, elle nuit physiquement et psychologiquement à des enfants innocents. Refuser sa biologie de naissance, avoir besoin de se transformer pour s'approcher de l'apparence de l'autre sexe, est une souffrance psychique extrême. Ces personnes ont le sentiment que la nature s'est trompée en leur donnant le mauvais corps. Mais je ne suis pas certaine qu'une opération de changement de sexe soit la solution pour résoudre ce problème profond d'identité. Alors oui, je suis conservatrice, ringarde si vous préférez, mais tous ces débats sur le genre dépassent mon entendement, me laissent perplexe. Pour ma part, il me semble préférable de s'accommoder de mère nature plutôt que de la défier. En banalisant la chirurgie des changements de sexe, nous jouons aux apprentis sorciers. L'adolescence est une période de vulnérabilité, les jeunes sont en cours de construction. Il faut être réaliste et prendre la pleine mesure de ce que signifie véritablement une telle opération. Cela condamne à des traitements hormonaux à vie, des opérations très invasives et des mutilations irréversibles, pour au final un résultat chimérique, voire un simulacre de l'autre sexe. Aujourd'hui, nous manquons de recul, mais j'imagine des regrets pour plus tard. Il me semble que notre époque va trop loin, dans une sorte de déni de certaines limites de la condition humaine. Pour ma part, je veux continuer de croire à une certaine transcendance et au respect du sacré. Le vent du progrès, le désir de balayer notre héritage est allé trop loin. Nous avons besoin de nous ressaisir dans notre rapport au passé. La quête de l'harmonie intérieure et de la vérité. passe par un retour à la tradition qui offre des repères clairs et intemporels pour élever l'âme et illuminer l'existence. Je terminerai comme à mon habitude sur une chanson. Elle disait « Faut pas toucher aux oiseaux dans les champs de blé. Je tuerai le chasseur qui les tuera. Je te tuerai même si c'était toi. » Et la violence de ces paroles Cette chanson d'innocence, ça me fait pleurer quand j'y pense. Catherine, le monde a changé. Les chasseurs sont du bon côté. Pour les oiseaux, il n'y a plus grand chose à faire. Ils tueront les pigeons au nucléaire. Les champs de blé de nos jeux d'enfance seront bientôt comme, comme ce désert. Comment me taire quand j'y pense ? Si vous avez aimé ce podcast, si vous pensez qu'il peut plaire à quelqu'un de votre entourage, je vous remercie de le partager. Si vous êtes abonné, vous savez que nous pouvons nous retrouver sur Facebook ou YouTube à Tendrement pour soi, Alice Boy. Et je vous dis à très vite !

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