Speaker #0Hello tout le monde, j'espère que vous allez bien. C'est Fiona, je fais un épisode solo. Normalement, il ne devait pas sortir parce que, comme vous le savez peut-être, j'ai repris des études le temps d'une formation pour être hôtesse de l'air. C'est une formation accélérée, donc c'est seulement un mois pour la théorie et j'ai l'examen littéralement demain. Donc normalement, je suis tellement dans les révisions que je ne comptais pas sortir mon épisode solo et vous laisser sans rien. Mais finalement, il est 23h47. lundi soir et j'avais pas eu le temps de penser à un sujet et au final avec tout ce qui s'est un petit peu passé dans ma vie dernièrement je me suis dit que j'allais faire un sujet qui va s'appeler Revenir plus fort, je sais pas trop si ça va parler à certains d'entre vous mais vous savez on a des fois quand on était plus jeune ou même maintenant tendance à vouloir disparaître et quand on revient, que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans la vie de nos proches, on a envie de se montrer changé On a envie de vraiment prendre du temps pour nous, comme en fait faire un chemin vers notre force intérieure pour revenir plus fort. Et du coup, je voulais faire un sujet qui parle de ça. Avec les défis de la vie, les périodes de crise qu'on a pu avoir, les changements économiques, la pandémie, même le Covid, les pressions sociales. Il y a beaucoup de personnes, je pense, comme moi, qui peuvent se sentir un peu, des fois, perdues. La preuve, j'ai repris une formation pour changer de métier à 30 ans. Ou des personnes qui se sentent fragilisées, que ce soit par des relations ou par, tout simplement, les aléas de la vie. Donc, du coup, voilà, qui n'a jamais été confronté à un échec, qui semblait insurmontable. Je parle peut-être de rupture ou de déception. Et en fait, comment transformer ces coups durs en tremplin pour s'améliorer et pour revenir plus fort ? Donc, voilà, ça peut être des licenciements aussi, des difficultés financières, des échecs dans des projets pros, etc. Ce n'est pas ce que je vis forcément, mais en tout cas, en ce moment, je ressens le besoin de justement m'isoler pour revenir plus forte. En fait, je pense que ces dernières années, j'ai fait un tri tellement énorme dans mon entourage que je n'ai plus envie d'être la même personne qui acceptait tout. Moi, j'étais vraiment le genre d'amie. Je ne sais pas comment vous dire, mais je pense que je vais dire... pas le genre d'ami, mais plutôt le genre de personne. Je suis le genre de personne et ça, on me l'a fait remarquer dernièrement. Ma bouteille d'énergie est vide parce qu'en fait, je donne mon énergie aux gens. J'aime aider les gens. Je me considère plus comme un bras droit, clairement, que comme une personne faite pour briller. J'aime faire briller les autres. J'aime faire ce podcast avec Amélie parce qu'en fait, ça vous aide à exploiter votre plein potentiel. Moi, c'est ça que j'aime. J'aime aider les autres. Le problème, c'est que dans la vie personnelle, les gens ne nous le rendent pas. Et en fait... C'est plus des inconnus qui vont me le rendre que des gens que je connais. Je vous dis ça parce que vous êtes des abonnés du podcast ou des abonnés sur Insta. Et je vous le dis honnêtement, vos messages tous les jours, ça me remplit. Ça me remplit ma bouteille d'énergie. Parce qu'en fait, les gens autour de moi, dans mes proches, ne le font pas forcément. Pas tous, bien sûr. Je veux qu'aucun de mes amis se sente visé quand ils écoutent ça. Mais plus qu'ils essayent de comprendre que je donne beaucoup. En fait, quand même quand je rencontre un mec, par exemple, je donne, je donne tellement en fait sur tout ça que quand il me rend pas tout ce que j'ai pu donner, moi à la fin, en fait, je suis vide. J'ai plus rien à donner et en fait, je me dédie plus au projet des autres qu'au mien. Je pourrais tout donner pour encourager les autres. Et par exemple, rien que le podcast, on a sorti un coffret de dev perso. C'est pas forcément mes amis qui l'ont acheté. C'est vous, c'est les abonnés, c'est la communauté. C'est plus vous qui me soutenez dans la musique. C'est pas mes amis qui mettent mes sons dans leurs stories, c'est des abonnés que je connais pas. Et en fait, j'ai l'impression qu'en fait, nos proches, ils vont plus nous valider quand les inconnus nous auront validés. Le jour où en fait, j'ai un single qui marche bien, peut-être que mes proches, ils le partageront et qui diront Ouais, je connais cette meuf ! Alors qu'en vrai, il fallait soutenir depuis le début, tu vois. Et vous, c'est sûrement pareil. Si vous ouvrez une entreprise, que vous avez un projet, que je sais pas, vous vous lancez dans un insta de sport, j'en sais rien. Si vous remarquez, c'est difficilement vos proches qui vous soutiennent dès le début, à part si vous êtes très très bien entourés. Alors que moi, je le fais systématiquement, je donne beaucoup. Et en fait, à force de donner beaucoup, je suis vide. Et en fait, là, je me rends compte, avec les dernières déceptions que j'ai pu essuyer dernièrement, que j'ai besoin de revenir plus forte. Parce que j'ai besoin de prendre du temps pour moi. J'ai besoin qu'on se rende compte que ce sujet, il est important et que ça compte. Parce qu'il y a un impact profond de tous les choix qu'on fait sur notre vie personnelle. Et l'impact de la résilience aussi dans notre vie, il est vraiment... Je ne sais pas comment dire, on ne peut pas le mesurer, mais on en a besoin. La capacité à surmonter les épreuves, c'est un facteur de succès parce qu'elle nous rend plus fort. Même si on a tendance à penser qu'on est détruit. Moi, je vous le dis, c'est mes relations amoureuses. Vous le savez, elles sont catastrophiques depuis la nuit des temps, j'ai l'impression. Depuis que je me suis séparée de mon dernier ex avec qui j'ai une relation stable, mes relations sont catastrophiques. J'ai du mal à savoir si c'est parce que je fais les mauvais choix, si c'est mon karma. Honnêtement, je commence à me demander ce que j'ai fait de mal dans d'autres vies ou ce que j'ai fait de mal dans cette vie. Je vais beaucoup plus d'ailleurs, je pense que vous le voyez sur mes réseaux sociaux, à la messe, le dimanche. J'essaye de presque me repentir si j'ai pu penser du mal ou faire du mal. J'ai vraiment besoin de mériter de bonnes choses dans ma vie. Et en fait, depuis que je fais ça, justement, j'avais tendance à beaucoup, beaucoup, beaucoup donner aux gens et qu'on ne me le rendait pas forcément. Et que là, maintenant, je veux me donner à moi. Mais voilà, en tout cas, c'est un sujet qui me parle. J'espère vous parle aussi. Mais en tout cas, je pense que de rebondir après des échecs, c'est ce qui peut m'aider et vous aider à prendre la place et accepter la place qui vous revient de droit. Parce que si vous donnez votre énergie à tout le monde et pas à vous, vous ne misez pas sur vous. Moi, j'ai plus misé sur des relations amoureuses foirées que sur mon succès professionnel. C'est-à-dire que par exemple, au détriment d'enregistrer un podcast, si vraiment le crush que j'ai voulait m'appeler au téléphone, je l'aurais appelé à lui en priorité. En fait, c'est tellement... Je faisais de la dépendance affective, vous en avez entendu parler dans d'autres épisodes, etc. J'ai 30 ans aujourd'hui, ça fait deux ans que je suis célibataire et que je ne trouve pas un mec qui veut construire quelque chose de sérieux avec moi. En fait j'ai l'impression que les mecs maintenant ils veulent que ça s'amuse ou que quand ils te disent que c'est pas le cas bah en fait tu apprends que ils voient d'autres meufs et que tu as menti. Et en fait c'est des trucs je me dis en fait faut que j'arrête de chercher l'amour des gens et faut que je prenne l'amour de moi et c'est pour ça qu'on a fait le coffret self love qui est incroyable et que je vous invite à acheter c'est 52 semaines pour apprendre à s'aimer je le fais moi même même si on a déjà tout testé avec Amélie pendant la conception qui nous a pris un an et demi ça me fait du bien parce qu'en fait je Je tiens à dédiaboliser justement cette fausse croyance qu'on a de penser qu'on rencontrera l'homme de notre vie ou qu'on sera enfin heureux le jour où on aura tout réglé. Non, on peut être heureux pendant le process, on peut être heureux pendant qu'on est en train de régler, on peut tomber amoureux pendant qu'on n'est pas encore guéri de certains traumas aussi. Il faut arrêter de penser que le jour où on aura tout guéri de nos traumas, là, l'univers nous enverra l'homme de notre vie. Là, non, ça peut être pendant aussi. Il faut arrêter de penser que vous ne le méritez pas de suite. Du coup, voilà. En numéro 1, je dirais qu'il faut déjà reconnaître et accepter les obstacles. C'est essentiel de reconnaître ce qui nous affecte vraiment pour avancer. Trop souvent, on ignore ce qui nous a fait du mal ou ce qui nous déstabilise. Et c'est un peu un déni qui nous empêche de progresser. Moi, justement, je vous disais, ces relations amoureuses que j'ai là, des fois, je suis dans le déni. Mais si j'écoutais mon intuition, je saurais que je suis en train de donner de l'importance à la mauvaise personne. On va dire ça comme ça. Et de mettre mon énergie au mauvais endroit. Donc voilà. Ensuite, je dirais accepter les émotions. C'est normal de ressentir de la tristesse, de la frustration, de la colère. Moi, des fois, j'ai de la colère un peu en moi. Et ces émotions-là, en fait, elles nous informent de ce qui est important pour nous. Si vous sentez de la colère, en fait, ça veut dire que si vous écoutez votre corps, vous écoutez le fait qu'il rejette la situation, le fait qu'il est en colère d'une situation, il ne se sent pas respecté. Donc... écoutez-vous et respectez-vous. Et des fois pour se respecter, il faut savoir partir de certaines relations, il faut savoir dire non, il faut savoir dire stop. Et pas être dans le déni de tout accepter, se mettre à plat ventre devant quelqu'un de peur qu'il nous têche de sa vie etc. Moi j'ai pu être dans ces dépendances affectives là et ce que je refuse de faire aujourd'hui, mais c'est dur, c'est dur de partir quand quelqu'un ne nous correspond pas alors qu'on a cruché dessus. Donc voilà. Et pour ça, si vous pouvez écrire... Comme je vous disais, écrire dans le carnet, dans le livre qu'on a sorti avec Amélie, le coffret Self Love, il y a une partie où vous pouvez écrire, comme un journal de crise, j'en sais rien, mais en tout cas, notez vos pensées, vos sentiments, pour vous aider à objectiver la situation, prendre du recul, structurer vos pensées aussi. On va parler à tort et à travers, après on est perdu, on ne sait plus ce qu'on ressent. Faire de la pleine conscience aussi, c'est des exercices de respiration, de méditation. Même moi, j'ai envie de tester l'hypnose. pour être honnête avec vous parce que je pense que j'ai besoin qu'on me convainque que je peux m'aimer moi-même et que je dois arrêter de sans cesse chercher l'amour des autres. Donc voilà. Et d'ailleurs, si vous avez besoin d'exemples, il n'y a pas que moi, mais il y a tellement même de célébrités qui ont connu l'échec avant de rebondir et d'atteindre la gloire. C'est juste un exemple pour vous montrer en fait que pour vous montrer que en gros, là, on parle de rebondir. C'est un peu le titre du podcast, c'est revenir plus fort. Et voilà, il y a les échecs. En fait, c'est des opportunités d'apprentissage. Ça, c'est l'axe numéro 2 du podcast. Je voudrais vraiment. qu'on dédramatise l'échec, parce qu'il y a beaucoup de personnes qui considèrent l'échec comme définitif, alors qu'en réalité, c'est une redirection vers quelque chose de meilleur. Steve Jobs, il a été renvoyé de Apple avant de revenir en fondateur. Et voilà, c'est comme je vous disais, là, on a des exemples de personnalités, mais même pour vous, essayez de comprendre pourquoi vous avez foiré dans une relation amicale, dans une relation sentimentale. dans un objectif, par exemple un diplôme, et en fait le considérer comme une opportunité d'apprentissage. En gros, c'est poser vous des questions. Qu'est-ce que j'ai appris ? Comment est-ce que je ferai autrement la prochaine fois ? Quelles compétences je peux développer suite à cette expérience ? Par exemple, moi je sais que, comme je vous disais des fois, comme c'était ma dépendance affective, parler à mon crush, je vais prioriser ça au lieu de faire de la musique. au lieu de faire le podcast. Je vais mettre mon argent dans des allers-retours en billet d'avion pour aller le voir alors que je devrais miser sur moi et m'acheter du nouveau matériel de podcast pour éviter de vous enregistrer cet épisode avec un son de merde. C'est un exemple, mais c'est vraiment pour vous dire que là, alors que cette relation va mener à rien et mener nulle part, en vrai, qu'est-ce que j'ai appris ? C'est à miser sur moi-même. Je ne veux plus donner. à quelqu'un l'opportunité de m'empêcher de réaliser mes rêves. Parce que vraiment, ce podcast avec Amélie, c'est mon rêve. Je ne sais pas comment vous dire ça. Ça me fait plaisir que vous soyez aussi nombreux et nombreuses à nous écrire sur Insta, sur mon Insta perso, parce qu'en fait, mon rêve, c'est ça. J'aime parler de certains sujets de société. J'aime vous parler de mes leçons et de mes échecs. En fait, limite, si j'en vis autant, c'est pour vous en raconter autant aussi. J'aime grandir. J'aime vous aider à prendre confiance en vous, j'aime qu'on soit ensemble dans ce process aussi, parce que je me sens moins seule. Et c'est vrai que moi, à la base, on avait carrément fait un sujet avec Amélie, se sentir seule. C'est un de mes épisodes préférés parce que c'est celui dans lequel je raconte vraiment toute la tristesse que j'ai en moi. Et pourquoi j'ai envie de pleurer ? Je suis trop chiante. Mais ouais, je suis un être humain. En fait, je vous dis la vérité, j'ai pris rendez-vous avec une psy il n'y a pas longtemps, une coach et une psy. Et en fait, elle m'a dit, Fiona, je crois que tu es multipotentielle, tu vois ce que c'est ? Et je sais que je le suis. Je pense que vous l'avez peut-être même capté en écoutant les épisodes, mais je fais du piano, je fais de la chanson, j'écris, je compose, je fais des arts martiaux, je fais même du nunchaku depuis pas longtemps, en plus de la boxe et du muay thai. J'ai le podcast, mais j'ai aussi une petite société où je gère les comptes Insta et les réseaux sociaux d'autres prestataires de services spécialisés dans la santé mentale. Et la beauté, le bien-être en général. En plus de ça, j'étais barmaid en boîte. En plus de ça, je travaille de nuit dans la surveillance de parking souterrain jusqu'à 2h30 du matin ou 1h du matin, ça dépend des soirs. En plus de ça, je fais des études d'hôtesse de l'air. Il y a plein de trucs que je ne dis pas, mais je suis sur tous les fronts, les gars. Et en plus, on a créé le coffret pendant un an et demi avec Amélie. C'était des heures et des heures et des nuits de travail. Je me nourris par le travail. Et en fait, moi, c'est ce que je pensais. Et en fait, ma psy m'a dit non. Je vais te dire la vérité, les personnes qui sont multipotentielles, vous voyez ce que c'est la dopamine, c'est l'hormone du bonheur sécrétée par le cerveau. En fait, ces gens-là, ils en ont moins et c'est pour ça qu'en fait, ils gaspillent leur énergie dans beaucoup d'activités. Parce qu'en fait, ils ont besoin de faire tout ça pour sécréter l'hormone du bonheur, la dopamine, autant que les autres personnes normales. Et en fait, quand elle m'a dit ça, je me suis dit que c'est tellement vrai. Parce qu'en fait... Dès que j'ai terminé ma formation au test de l'air, dès que j'ai terminé mes révisions, il faut que j'aille faire un peu de piano pour continuer d'apprendre et d'être meilleure parce qu'en fait ça me fait ressentir de la dopamine. Après il faut que je sorte un nouveau projet pro, il faut que j'aille à la Fashion Week, il faut que je fasse plein de trucs qui vont me faire sentir importante pour avoir cette dopamine que les gens ressentent naturellement avec des petites actions du quotidien, beaucoup plus que moi je pense, qui me considère comme quelqu'un de profondément triste et parfois dépressif. Des fois j'ai du mal à sortir de mon lit, je ne sors pas de mon lit avant... Midi, 16h, alors que j'ai plein de trucs à faire, mais parce que je suis pas heureuse. Et ça m'est encore arrivé aujourd'hui. Et pourtant j'avais une fille de ma classe, on devait réviser ensemble. Et elle était chez moi et à midi j'arrivais pas à sortir du lit. Après je me suis dit non, allez, il faut que... Mais en fait je fais tellement d'anxiété aussi, je lis mes cours, mais je suis obligée de relire la phrase dix fois parce que je ne l'ai pas compris, parce que je ne suis pas à l'écoute, je ne suis pas concentrée, parce que je pense à autre chose, parce que je mets mon énergie là où il ne faut pas, dans des relations qui ne vont même pas avancer, qui vont m'empêcher d'avoir un diplôme alors que le mec ne sera plus dans ma vie dans dix jours. C'est que des choses comme ça. Là c'est un exemple que je vous dis, mais voilà. En tout cas je veux qu'on dédramatise l'échec. Et je veux qu'on fasse ces exercices de réflexion. Qu'est-ce que j'ai appris ? Et vraiment, il faut se dire que si on n'apprend pas de ses erreurs, l'erreur, elle va nous revenir en pleine face jusqu'à ce qu'on la contourne ou qu'on ne la fasse pas ou qu'on lui dise non. Et moi, j'en ai marre de faire des schémas répétitifs tout le temps. Donc, il faut vraiment que là, je suis en train de grandir. Là, je suis en train de dire non à des situations que j'aurais acceptées avant. Donc voilà, pour vous donner des exemples inspirants encore une fois, mais Oprah Winfrey. elle a été renvoyée de son premier emploi à la télé et J.K. Rowling, on lui a vraiment donné beaucoup de refus de maison d'édition justement pour Harry Potter donc en fait l'échec c'est une étape du parcours et c'est pas une destination finale et si on persévère on y arrive, je dis toujours en fait dans la vie faut on va dire faut forcer dans tout sauf en amour c'est vraiment la leçon que j'apprends en ce moment c'est dans la vie on peut tout forcer si tu veux réussir sur un plan pro Tu peux forcer, tu peux toquer des portes, tu peux te culotter, tu dois croire en toi. Il n'y a qu'en amour qu'on ne peut pas forcer les choses, on ne peut pas forcer les gens à nous aimer. C'est ça qui blesse des fois, c'est qu'en fait on ne peut rien faire. Troisième axe de ce petit podcast, je dirais adopter un mental de croissance, le growth mindset. En gros, c'est un peu pour le contraster avec le fixed mindset, c'est le mental fixe. En gros, le mental de croissance, il implique de croire en notre capacité d'évolution et de progrès. Ça vous arrive des fois d'être tellement en colère que de dire putain je vais tout niquer. Genre en mode faut que je nique tout, j'ai pas le choix, faut que je nique tout. Mais là moi je suis là, je suis là dedans là. Et là j'ai besoin de vous, j'ai vraiment besoin de votre force, j'ai besoin de vos partages sur les réseaux, que vous partagiez ce podcast à vos amis, à votre entourage. En fait là je suis dans ce mental là, j'ai failli tuer des opportunités par dépression, parce que j'étais triste, parce que je voulais pas sortir de mon lit, parce que j'ai perdu du temps. Et en fait, là, ça y est, j'ai la rage. J'ai envie de réussir. Moi, je vois plein de gens réussir. Pourquoi pas moi ? Même dans la musique, je vois des gens, ils font un son, ils pètent les scores. Moi, je me la donne. Les gars, je ne sais pas comment vous dire. Là, je vous parle de jour où je suis restée jusqu'à midi dans mon lit, mais la plupart du temps, je ne dors pas. Je vous fais ce podcast. Là, il est minuit 03. Mon esprit, il est constamment en train de chercher justement cette dopamine, de chercher des projets pros pour me sentir importante. Parce qu'en fait, si je ne réussis pas à aboutir à certains projets, j'ai l'impression qu'en fait, je suis plus nulle que les autres. et ça ça vient de, je vous en avais déjà parlé du harcèlement scolaire que j'avais pu subir pour mes cheveux roux ou des choses comme ça, qui font que j'ai l'impression de partir avec un handicap, j'ai l'impression de partir à moins 10 par rapport aux gens qui sont à 0 et qu'en fait il faut que je rattrape tout ça en me montrant que je suis importante, pourquoi j'ai commencé les réseaux sociaux, pourquoi j'ai commencé à être influenceuse, parce que j'avais besoin de prouver j'avais besoin qu'on m'aime, j'avais besoin de prouver aux gens tu vois vous m'avez harcelé, mais regarde maintenant il y a plein de gens qui m'aiment et qui m'admirent même, voilà toi pourtant tu me tabassais dans la cour de l'école entre guillemets, enfin c'est un exemple mais c'est pour dire en gros que Le harcèlement qu'on... Enfin, je dis tabassé, bref. Le harcèlement qu'on peut... En fait, même pas le harcèlement, la dévalorisation, je dirais plutôt. Je ne vais pas parler de harcèlement, ce n'est pas ça. C'est combien de fois j'ai entendu, tes copines, elles sont belles, toi, t'es moche. Des choses comme ça, en fait, qui te font sentir pas suffisante, pas aimable, qu'on ne peut pas t'aimer, en fait. Pas aimable dans le sens gentil, mais pas digne d'amour et de respect, même parfois. Parce que des fois, c'est du manque de respect devant les gens. Quand les gens, ils me disaient, mais vraiment trop à l'aise. encore aujourd'hui dans des lives, je fais des lives sur les réseaux, ils sont de quelle couleur tes poils, vu que t'es rousse, tu sais, qu'est ce que tu veux ? Qu'est ce que vous voulez ? Hey Rookmout, c'est de l'humiliation publique en fait, les gens ils se rendent pas compte mais faut être fort pour encaisser ça devant tout le monde. Il peut y avoir 2000 personnes dans le live, on te sort des commentaires comme ça, faut être fort, je suis désolée, c'est humiliant. Quand j'ai fait de la télé-réalité, qu'on disait ouais t'as une perruque, truc, où on me disait, dis la vérité, t'étais un homme avant, parce que j'ai la mâchoire carrée etc. Pourquoi les filles de télé elles se font autant de chirurgie ? Oui. Les gens, ils ne se rendent pas compte. Les gens sont méchants. Et en fait, quand tu grandis en étant réduit, en grandissant, tu as besoin de prouver. Tu as besoin de prouver que tu es digne de respect et d'amour. Et en fait, tu veux tellement prouver que tu en fais trop parce que tu n'as pas confiance en toi. Et en fait, ça t'énerve parce qu'en fait, les gens, comme ils le captent, les gens ne sont pas dupes. Moi, je peux faire genre que j'ai confiance en moi sur les réseaux. Mais quand les gens, après, ils voient la vraie moi, ils apprennent à me connaître et ils voient qu'en fait, par exemple, je parle d'un mec, je suis tout le temps sur ses cotes, tout le temps. Tu penses à moi, tu ne m'oublies pas. Mais je pense qu'à un moment donné, il est choqué que je sois comme ça. J'ai tout le temps besoin d'être rassurée, j'ai besoin de me sentir en sécurité émotionnelle, mais à un point où la personne, je peux la connaître depuis si peu de temps, je peux l'avoir vue que deux fois, que je suis là en mode t'es sûre tu m'aimes ? Mais ça se fait pas d'être comme ça. Donne-toi de l'amour à toi-même meuf, tu peux pas réagir comme ça. Et les gens s'attendent pas à ça quand ils connaissent l'influenceuse. Mais voilà, en fait, les gens captent comment on est. C'est pour ça qu'on peut pas porter des masques et c'est pour ça qu'il faut vraiment adopter un mental de croissance et travailler sur soi. Pour... changer de perspective, pour transformer nos pensées limitantes en opportunités. Par exemple, on va passer de je ne peux pas le faire à je vais le faire, je l'ai fait, je vais réussir, j'ai confiance en moi Bref, ou alors je ne peux pas encore le faire, mais je vais établir des objectifs progressifs pour le faire Ça aussi, c'est l'importance de se fixer des petits objectifs atteignables qui nous permettent de voir les progrès étape par étape. Et c'est pour ça que si quelqu'un se remet dans un échec sportif, il peut viser d'abord à retrouver ses objectifs. la forme avant de chercher à exceller, au moins chercher le progrès avant d'être le meilleur. Donc voilà, notez une compétence ou une habitude que vous aimeriez développer et planifiez des actions progressives pour y arriver. Moi j'ai plein de gens qui me disent comment tu as appris le russe ? Ça aussi, encore une fois, multipotentiel. Moi j'adore apprendre des nouvelles langues, j'en parle quatre. Comment j'ai appris le russe ? J'ai pris des cours. Mais je ne me suis pas dit que je vais arriver à chanter des chansons en russe comme ça. D'abord, je me suis dit que j'aimerais bien réussir à tenir une conversation. Après, j'aimerais bien voyager en Russie, sauf qu'il y a eu la guerre. Je n'avais appris avant. Donc voilà, ça n'a pas été possible de suite. Après, je me suis dit que si je chantais des chansons en russe, et puis finalement au piano, j'ai appris le piano, le russe. Et voilà, en gros, notez une compétence que vous aimeriez avoir et développez et planifiez des actions progressives pour y arriver. Moi, par exemple, pour être franche et honnête avec vous, j'ai une compétence ou une habitude que j'aimerais. C'est vraiment apprendre à miser sur moi et donner mon énergie pour moi et pas aux gens. J'ai trop donné pour les gens. Et je le fais encore, même si je dis ça. Mais j'ai besoin d'être plus égoïste. Je vous dis la vérité, j'ai vraiment besoin d'être égoïste. Je suis désolée pour mes proches qui écouteront ce podcast. Ces prochaines semaines, je dois vraiment me focus sur moi. Quatrième axe de ce podcast. Je suis en train à moitié d'improviser. Je suis en roue libre. Cultiver des habitudes qui renforcent le mental justement, avoir une routine positive, en gros c'est la routine quotidienne ou hebdomadaire, pour consolider la résilience en fait. Donc par exemple le sport, l'exercice physique, justement parler de dopamine, ça libère l'endorphine, ça réduit le stress, ça favorise la discipline, le journaling, ça faut vraiment que je m'y remette. Ça me fait du bien. Noter des choses pour lesquelles je suis reconnaissante. Et j'avais envie de faire aussi cet exercice d'halter, il est hyper controversé. vous allez me dire ce que vous en pensez, d'ailleurs n'hésitez pas sur insta j'ai vraiment besoin de vos avis sur ça en gros il y a j'ai vu ça dans un podcast quelqu'un en fait qui a parlé de la notion d'alter en gros c'est, vous allez prendre une une fiche enfin une fiche, qu'est-ce que je raconte ? vous allez prendre genre un cahier une note sur l'ordi et vous allez créer un alter ego de votre personne Beyoncé l'a fait par exemple, elle s'appelle Sasha Fierce et il y a plein de gens qui se créent un alter ego. Moi, c'est Fiona Oslo, parce que ce n'est pas mon vrai nom de famille, c'est comme un petit peu un alter ego, finalement. Qu'est-ce que je veux qu'elle représente, cette Fiona Oslo ? Qui elle est ? Quelles sont ses qualités ? Et en fait, quand est-ce que je choisis d'être elle ? Quand est-ce que je choisis de l'incarner ? Et en fait, il y a carrément, pour pousser l'exercice encore plus loin, il y a des gens qui disent qu'ils lui donnent même des caractéristiques physiques. Par exemple, je pense qu'Ariana Grande, sa ponytail, sa queue de cheval, c'est son alter qu'elle s'est créée, entre guillemets. Comment là, je suis dans mon personnage de Ariana Grande, la star, qui a confiance en elle et qui va d'être ça. C'est cette queue de cheval qui fait que là, elle est... Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire. Je ne parle pas du truc Anna Montana en mode étudiante la journée, star la nuit. Mais c'est vraiment en mode... Quelles caractéristiques physiques on se fait quand là, on est en mode... Je suis mon alter, celui qui représente la personne que j'ai envie d'être, mais que je n'arrive pas à être tout le temps. Moi, je pense que je vais peut-être me... Ouais. m'atteler à cet exercice-là pour, quand j'ai besoin d'avoir de l'aura, d'avoir confiance en moi, d'avoir cette force que j'ai pas. Parce que comme je vous dis, des fois on pense que je le suis mais c'est faux parce que les gens proches de moi s'en rendent compte, j'arrive pas à garder un mec. Pourquoi ? Parce que j'ai trop d'insécurité. Alors qu'au début s'il est intéressé par moi c'est parce qu'il pense justement que waouh j'ai trop confiance en moi, je suis charismatique, que quand je marche on me regarde, parce que quand je rentre dans une pièce... Mais ça c'est quand j'ai mon personnage de Fiona Oslo. l'influenceuse qui a confiance en elle, qui a réussi à créer plein de projets comme ce podcast. Justement, en fait, quand je suis elle, quand je suis moi, quand je suis cette partie de moi, je me trouve plus forte et moins vulnérable. Et je n'arrive pas à l'être tout le temps. Et en fait, quand je ne le suis pas, des fois, je gâche certaines relations puisque les personnes ne s'attendent pas à ce qu'il y a en dessous, la faiblesse qu'il y a en dessous. Donc voilà. Je vous dirais du coup de faire aussi de la visualisation et des affirmations positives parce que ça nous aide en fait à nous projeter dans la réussite et croire en nos capacités. Et ça peut avoir un beaucoup plus grand impact que ce que vous croyez. Moi, j'ai fait une petite visualisation pour les nouvelles lunes à chaque fois. et je la garde sous mon oreiller et je la lis une fois le soir avant de dormir. Et je ne sais pas pourquoi, ça m'aide à garder en tête quel est mon vrai objectif. Parce que sinon, j'en ai plein et je m'éparpille. Là, vraiment, ce que je mets sous mon oreiller, c'est ce que je veux tout de suite. Enfin, ce que je veux prioriser, en fait. Donc voilà, ce que je pourrais vous proposer aussi, c'est faire une routine de 10 minutes le matin. Vous écrivez trois affirmations positives, trois petites choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant et vous partez dans votre journée avec des pensées positives déjà. Voilà. Et ensuite, le lien entre le corps et l'esprit, j'ai envie d'en parler aussi, parce que là, on parle justement le quatrième axe du podcast. Je rappelle parce que vous avez l'impression que je dis vague, mais en vrai, je suis très organisée dans mon esprit. On parlait des habitudes qui renforcent le mental. Et je pense que faire un lien entre le corps et l'esprit, on peut parler de l'alimentation, par exemple, du sommeil, de la gestion du stress sur notre capacité mentale, sur notre santé mentale. Ces aspects sont souvent négligés, mais ils jouent un rôle vraiment crucial dans notre résilience. Voilà, on a parlé du sommeil. du sport, du journaling, de la visualisation. Je vous ai parlé de l'halter, mais vraiment l'alimentation. Quand vous mangez bien, que vous donnez vraiment du carburant à votre corps. Le sommeil pour votre corps aussi et votre esprit, parce qu'il y a le sommeil en dernier paradoxal, celui pendant lequel on rêve. Mais avant ça, il y a le sommeil léger, celui avec lequel on s'endort, et le sommeil profond. C'est celui avec lequel on se régénère physiquement, notre corps. Donc c'est important de bien dormir. Je me prends pour une scientifique là d'un coup. Ensuite, en cinquième axe, je dirais qu'il faut s'entourer de personnes inspirantes et de soutien positif. L'importance de l'entourage, je l'ai toujours dit et je le répète, vous pouvez même le dire en même temps que moi. On est la somme des cinq personnes qu'on fréquente le plus et c'est vraiment réel. Et comment identifier le bon entourage, moi c'est très très important ça. Les personnes qui nous soutiennent, qui nous rappellent nos forces, nos qualités. Et je ne sais pas bien m'entourer. Moi, personnellement, combien de fois j'ai eu des amis qui sont restés six mois ou un an dans ma vie et pas plus. C'est incroyable. Ma sœur me le disait encore hier ou avant-hier. Elle me disait que les gens font des va-et-vient dans ma vie, mais il n'y a personne qui est définitif. Et en fait, justement, quand j'avais mon petit date avec mon petit crush dont je vous ai parlé dans les autres épisodes, je lui disais en fait qu'à part ta famille... Personne n'est définitif dans ta vie. Personne. Et ça fait mal de se rendre compte, mais c'est réel. J'ai toujours eu des amitiés très proches, très fusionnelles avec des gens ou des relations, mais ça n'a jamais duré. Et donc c'est pour ça qu'il faut miser sur soi, et pas sur les gens déjà, et privilégier les personnes qui vous encouragent dans vos objectifs, qui respectent vos valeurs, et qui évitent celles qui vous critiquent constamment ou qui vous rabaissent et qui vous niquent votre confiance en vous. Et je tiens quand même à préciser que j'ai des amis de longue date, notamment... une de mes meilleures amies qui s'appelle Mathilde et vraiment pour le coup je l'ai rencontrée j'étais en maternelle en deuxième ou troisième section donc c'est pour vous dire que la fidélité dans les amitiés bien sûr j'y crois et elle est toujours là pour moi à chaque fois que je suis triste, à chaque fois que je suis mal je sais que c'est une personne comme ma voisine aussi, mon ancienne voisine, elle s'appelle Océane elle habite maintenant en Écosse et en fait c'est je peux toujours, toujours, toujours les appeler et c'est le genre de personnes qui me font croire en la fidélité et en le pour la vie mais on va dire que ces dernières années en tout cas j'ai quand même eu pas mal de déceptions amicales, sentimentales, tout. Donc voilà, c'est très important de bien s'entourer. Et là j'ai un petit peu fait du journaling justement, j'ai un petit peu exprimé ma gratitude d'avoir ces deux personnes dans ma vie, j'en ai plus encore, j'ai d'autres amis que j'ai pas cités, mais en tout cas voilà, pour le petit exemple. Ensuite je dirais le mentorat. Comment trouver un mentor ou un modèle qui nous inspire et nous motive ? Ça justement, c'est une page, c'est la numéro 1, les sources d'inspiration dans le coffret. Donc pour les filles ou les garçons qui m'écoutent, qui nous, j'ai l'habitude d'être avec Amélie, et qui ont le coffret, vous voyez très bien de quoi je parle. En gros, ça peut être quelqu'un que vous admirez, que vous connaissez, comme votre maman, ou votre frère, votre sœur, ou je ne sais pas, votre coach, je n'en sais rien, de sport, je n'en sais rien, une amie. Ça peut être un inconnu, comme je dis souvent l'exemple d'Angélina Jolie, parce que c'est vrai qu'Angélina Jolie, elle a su s'imposer dans un monde patriarcal. C'était compliqué. Elle est réalisatrice, en plus d'actrice. Elle est ambassadrice de l'UNICEF, parce que c'est quelqu'un qui donne beaucoup, qui est très généreux. Et voilà, je dirais que pendant une semaine... C'est ce qu'on a donné dans le coffret comme défi, c'est imiter les actions qui nous inspirent chez les autres. S'il y a quelqu'un qui nous inspire parce qu'en fait il a tout le temps plein de bonté, à chaque fois qu'on a envie de critiquer quelqu'un, on le fait pas parce qu'on pense à lui, on dit ah non. Quand c'est quelqu'un qui est très généreux, c'est bête, vous voyez un SDF, vous lui payez un petit sandwich, vous lui donnez 2 euros, vous lui donnez un ticket resto. On parle pas de donner des millions d'euros ou de faire des cagnottes, etc. Mais on parle de donner ce qu'on peut donner. Voilà. Même un sandwich. Et ensuite, je dirais, c'est un peu bizarre ce que je vais dire parce que moi, je ne le ferai pas, mais j'ai quand même envie de donner l'exemple au cas où, les réseaux de soutien. Des groupes de soutien en ligne ou en personne, en fait. Ça peut être aussi une psy. En vrai, je dis que je ne le fais pas, mais c'est du coup psy, coach, pour recevoir des conseils sans jugement et travailler sur nous. Voilà, pour ce cinquième petit axe. En dernier, je dirais célébrer les petites victoires. On en parle souvent, mais pourquoi ? C'est parce que ça vous rappelle l'importance de reconnaître chaque pas en avant, même minime, pour garder la motivation. La gratitude, c'est le moteur en fait. La gratitude, l'impact que ça a sur vous, il est incroyable. Beaucoup plus important que ce que je pensais avant. Avant, je me disais oui, on entend ce mot tout le temps, la gratitude, la gratitude. Mais en fait, je pensais tellement à mes objectifs qu'en fait, j'oubliais que pour enlever la boule que j'ai dans mon ventre, il fallait quand même que je regarde ma vie et que je... que je sois grateful, il fallait que je sois remplie de plein de choses que j'ai de la chance d'avoir. Je ne parle pas avoir en mode possédé, je parle de vivre, de souvenirs que je peux avoir, de personnes que je peux avoir dans ma vie. Et voilà, du coup, c'est pour ça que je vous disais, notez chaque jour trois choses positives, aussi petites soient-elles. Et vous pouvez aussi noter chaque semaine ce que vous avez accompli dans la semaine. Et après quelques semaines, vous relisez. vos petits papiers, vous les mettez dans un bocal ou j'en sais rien, et vous voyez tout ce que vous avez accompli ces dernières semaines, ou tout ce que vous avez appris aussi. Et en dernier, pour célébrer les petites victoires, je dirais quelque chose qui renforce l'estime de soi, de célébrer les petites victoires justement, parce qu'on célèbre ses progrès et pas forcément ses victoires. Ça renforce la confiance qu'on a en nous, ça nous permet de prendre conscience aussi de nos avancées, de nos capacités, et surtout... Une fois qu'on a célébré une victoire, c'est comme si en fait la chose est accomplie et maintenant on peut passer à l'objectif d'après plus poussé. Alors que si on ne la célèbre pas, on est toujours dans le même objectif, le numéro 2. En fait, on continue notre quête, mais on n'est pas entre le point B et C, on est entre le point A et C. Je ne sais pas si vous comprenez ce que je veux dire, mais moi je me comprends. C'est le principal. Et bref, pour conclure un petit peu ce podcast, c'est vraiment en fait, je voulais... Parlez justement de cette rencontre avec votre force intérieure. Parce que revenir plus fort, ça prend du temps. Il ne s'agit pas d'une course, c'est plutôt d'un cheminement personnel. Et soyez indulgents avec vous-mêmes. Je vous le dis toujours, il ne faut pas se juger trop durement. Il faut accepter les hauts, les bas. Comprendre que chaque défi, c'est une étape pour grandir. Donc, il faut remercier chaque défi. Si vous ne vivez pas de défi, vous ne progressez pas. En vrai, c'est une citation super bête que je vais vous dire. C'est Nietzsche qui l'a dit. Donc, je pense que... Vous savez déjà de laquelle je parle. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts. Voilà, tout simplement. Et une autre citation que je peux donner, c'est la résilience, c'est accepter votre nouvelle réalité, même si elle est moins bonne que celle que vous aviez auparavant. C'est Elizabeth Edwards qui l'a dit, mais en gros c'est pour vous dire que là, j'ai envie de disparaître pour revenir plus forte. Je ne vais pas forcément disparaître parce que je ne peux pas, mais j'ai vraiment besoin de construire ce nouveau moi. J'ai besoin de faire appel à ma force intérieure. J'ai besoin de... Ah ! J'ai besoin de réussir. J'ai besoin de croire en moi. D'être seule. Et de me suffire à moi-même. J'aurais vraiment presque pu appeler ce podcast Se suffire à soi Mais bon, j'en parle pas assez. Mais en tout cas, c'est pour vous dire à quel point j'ai besoin d'être forte. Parce que je n'arrive pas. Donc voilà quoi. C'est très compliqué d'avouer ça, mais je n'arrive pas à me suffire à moi-même et à m'apporter l'amour que j'ai envie. Parce que je pense que je ne dois pas penser que je le mérite. Parce qu'à chaque fois que je fais un projet, je me dis pourquoi ça marcherait pour moi ? Pourquoi moi ? Mais bon, en fait, à force de me dire ça, je suis dans des croyances limitantes, je ne crois pas en moi. Quand je rencontre une nouvelle personne, je me dis toujours qu'au bout d'un moment, il va me lâcher. Et du coup, c'est ce qui se passe. parce qu'en fait je le projette tellement fort vu que je pense pas qu'on peut m'aimer vu que je pense que je sers à rien je pense pas ça très fort mais en tout cas je pense pas que je sers à rien mais je pense que la personne n'a pas m'aimé Parce que ça fait deux ans que j'essuie tellement les échecs, que ça devient tellement une habitude, que je la répète, je la répète cette habitude. Alors qu'avant, quand j'étais plus jeune, j'étais toujours tellement persuadée que j'allais réussir à tout, que je réussissais tout. Et en vrai, j'aimerais bien re-y croire, mais j'ai tellement le passé maintenant, mes expériences passées d'échecs présentes, que je n'arrive plus à être dans une dynamique positive et j'ai besoin de changer ça. Du coup, je pense que je vais faire ce petit exercice d'alter. Je pense que je vais essayer de focus mon énergie sur moi, je vais vraiment visualiser cette bouteille justement. La bouteille d'énergie dans ma journée, je veux l'utiliser pour moi et arrêter de donner ma force, mes conseils, etc. aux autres. Après, je ne parle pas de vous, bien sûr, parce que vous, ça me remplit à moi de vous donner parce que vous me le rendez. Encore une fois, comme je vous le dis, vous nous envoyez des messages sur Insta. Rien que m'écrire aussi en perso, liker les posts. En vrai, c'est bête, mais nous, notre métier, c'est d'envoyer nos statistiques aux marques. Donc, quand moi, ils me demandent mes statistiques, plus j'ai de likes et de commentaires, plus ça m'aide aussi à prendre confiance en moi. Parce que je me dis, les gens, ils m'écoutent, les gens, ils apprécient ce que je fais. Donc voilà, ça fait toujours plaisir. Donc voilà, écoutez, on vous a annoncé sur Insta hier qu'il n'y aurait pas de sujet de podcast aujourd'hui. Et finalement, il est là. J'espère qu'il vous a plu. Il est un petit peu, j'allais dire, je ne sais pas s'il va vraiment vous aider. Je ne sais pas si vous êtes dans les mêmes optiques que moi. C'est ça qui est compliqué. C'est que moi, mon objectif, c'est de revenir plus forte. C'est comme si je repartais un peu à zéro. Reculer pour mieux sauter, je ne sais pas. Je ne sais pas si vous avez envie de ça aussi. Mais voilà, c'est des petits exercices qui vont booster votre confiance en vous. J'ai vraiment besoin, quand je rentre dans une pièce, d'être une personne sûre d'elle. Qui va arrêter de douter qu'on voit qu'en fait, je suis une fraude parce que je n'ai pas confiance en moi. Que les gens ne voient pas que je ne me plais pas ou que les gens ne voient pas que j'ai des insécurités. J'ai vraiment besoin de penser ce que j'incarne, d'être ce que j'incarne. D'être authentique en fait. Tout simplement parce que quand on me voit sur les réseaux, on a l'impression que je suis quelqu'un plein de vie, qui a confiance en elle. Et si ce n'est pas le cas, c'est un peu de l'hypocrisie quelque part aussi et de la pudeur. Pas seulement. Donc voilà, écoutez, je pense que si on peut se donner de la force entre nous, on peut se donner de la force entre nous. Si vous avez besoin de conseils privés, si vous avez besoin de vous confier sur des sujets aussi, n'hésitez pas à m'écrire. Moi, ça me ferait plaisir de pouvoir vous aider, vous apporter de la force, de la motivation. Si vous vivez des ruptures, si vous vivez des désillusions, si vous vivez des déceptions. En fait, je n'ai pas envie que vous viviez ça tout seul parce que j'en ai essuyé il n'y a pas longtemps. Et en vrai, je vais vous dire un truc de fou, mais j'ai été en état de choc là il y a quelques temps. Quand je vous dis état de choc, c'est vraiment état de choc. Vous savez quand la réalité, vous ne l'acceptez pas, que vous êtes en mode limite. Ah ouais, non, ce n'est pas possible. Je ne veux plus vivre. Je ne veux plus me lever le matin. Genre là, la personne qui m'a dit ciao, quoi, entre guillemets, je ne veux pas. C'est un obstacle qui me paraît insurmontable. Et en fait, ce n'est pas vrai. Il est surmontable. On se remet de tout. Et surtout, deux phrases qu'il faut que je me mette en tête, et peut-être que vous aussi ça vous aidera, c'est c'est pas grave et on s'en fout Si les gens ils restent pas dans vos vies, si les gens ils vous lâchent, ils vous abandonnent, vous avez vraiment la sensation et cette peur de l'abandon en plus de ça, comme moi je peux avoir, c'est pas grave et on s'en fout. Parce qu'on a besoin de personne, on est très bien dans notre peau, on est très bien comme on est, c'est les gens qui devraient avoir de la chance d'être entourés par des gens comme nous, parce que nous on sait ce qu'on vaut. on sait ce qu'on est capable d'apporter aux gens et si eux ils refusent de le voir c'est que le bon Dieu il a fait en sorte qu'on soit séparés de ces gens là parce qu'ils nous méritent pas c'est de se dire ça aussi se dire aussi que notre énergie ou alors pas qu'ils nous méritent pas qu'on leur donne tellement trop d'énergie qu'on la donne pas pour nous et qu'en fait il faut qu'on se consacre à nos succès à nous donc voilà, misez sur soi, misez sur vous même voilà voilà, bah écoutez c'est la fin de ce podcast, j'espère qu'il vous a plu et je vous fais plein de bisous à la semaine prochaine pour un nouvel épisode de Tenuous Tease. Bisous. Je fais ça toute seule alors que d'habitude on est deux. Bisous.