Speaker #0T'écoutes T'inquiète Farah, épisode 243, et aujourd'hui, je vais te partager 10 vérités que t'as besoin d'entendre si t'as envie de changer de paradigme. Et ce, dès maintenant. Bonne écoute ! T'es entrepreneur, t'as de l'ambition, mais t'as du mal à dépasser tes peurs et tes croyances limitantes, t'es au bon endroit. T'as envie de vivre une vie d'abondance, te libérer du regard des autres, assumer ta volonté de gagner de l'argent et incarner pleinement ta puissance. Et clairement... T'en peux plus du syndrome de l'imposteur, d'un mauvais rapport à l'argent ou de la peur de l'échec. T'es prête à gérer ton business comme un vrai business et pas comme un side project. T'es prête à ce que l'argent coule à flot dans ta vie. Moi c'est Farah de Think with Farah, mentor, formatrice business et coach logistique. Chaque lundi, j'anime le podcast Think with Farah, notre rendez-vous pour que je t'aide à révéler ton plein potentiel, pulvériser tes croyances limitantes et bâtir un business vraiment transparent. Ma spécificité, c'est mon approche holistique. Je crois profondément que ton business, il ne pourra pas se développer sans toi. Ici, je t'accorde l'importance que tu mérites. On parle stratégie business, loi de l'attraction, bien-être, santé mentale, marketing, mindset. Tout ça au même endroit. Ah, et puis si t'es neuroatypique, c'est un espace inclusif pour toi. Je suis diagnostiquée TDAH, HPI et hypersensible. Neuroatypique ou pas, si t'es un être sensible et spirituel, je te comprends et je peux t'aider comme personne. Bon, j'ai bien dit que c'était 10 vérités que t'as besoin d'entendre. J'ai pas dit que t'as envie d'entendre. Donc je préviens, il y a certaines vérités si ce n'est toutes que tu vas pas trop kiffer entendre, surtout si tu te reconnais. Surtout si tu te dis, merde, c'est effectivement comme ça que je fonctionne maintenant. Prends ça comme un signe que c'est ton autorisation de changer. Et oui, je dis changer. Il y a un espèce de tabou avec le fait de changer, parce que voilà, on dit « oh, on change pas quelqu'un » , « non, je veux pas changer qui tu es » . Alors, je fais le parallèle avec les relations, mais on a tellement entendu « on aime quelqu'un » , « on change pas quelqu'un » , etc., etc., qu'on a tendance à s'appliquer la même chose à nous-mêmes, et on pourchasse tellement cette quête à l'alignement, qu'on a l'impression que dès qu'on veut améliorer ou changer quelque chose, on s'éloigne de nous-mêmes. C'est faux. Donc... prends cet épisode comme une autorisation de changer absolument tout ce que tu as envie de changer, parce que littéralement, si aujourd'hui tu n'as pas les résultats que tu désires ou que tu visualises, c'est que tu as besoin de changer quelque chose, et ce quelque chose réside en partie dans tes actions, mais la vérité c'est que ça réside aussi dans qui tu es, ça réside aussi dans ton identité. Si je parle autant de shift d'identité, c'est pas pour rien. Shifter c'est changer. On met les pieds dans le plat avec la première vérité que t'as besoin d'entendre si t'as envie de changer de paradigme dès maintenant. Premièrement, y'a pas pire pour être désaligné que jouer à 10% de ton potentiel. Parce qu'en fait ton âme elle le sait et c'est déprimant de ouf. T'imagines, t'es là, t'as une magie personnelle de ouf, t'as une capacité d'impact... incroyable. Une capacité de magnétisme. Tu peux changer des vies. Et toi, t'es là, tu fais rien, et tu te poses la question de si ce que t'as à dire en story, c'est assez intéressant ou pas. Ou, tu regardes le nombre de vues que t'as fait dans tes reels, et tu te dis, oh, 200 vues, c'est naze. 300 vues, c'est naze. Donc en fait, ce que je dis, c'est pas assez intéressant. Donc, je vais pas le faire, parce que je suis déprimée. Mais c'est un cercle vicieux, en fait. C'est un cercle vicieux dans lequel tu t'enfermes. Toute seule comme une grande. Parce que tu ne vis pas à ton plein potentiel. Le truc, c'est que ton plein potentiel, tu le connais. Au fond, tu le connais. Et tu te juges quand tu constates que tu ne joues que à 10% de ton potentiel. Parce que tu le sais, ton âme le sait, ton corps le sait. Si tu regardes mes stories sur Instagram, je raconte souvent les coulisses de mes accompagnements et notamment comment je coache mes clientes. Une phrase que je leur dis beaucoup, c'est « arrête de te bullshiter » ou « t'es en train de te bullshiter » . C'est exactement à ça que je fais référence. Quand tu t'inventes de faux problèmes, c'est pour fuir la vérité qui est que tu ne joues qu'à 10% de ton potentiel. Et du coup, j'arrive à la deuxième vérité qui est qu'en fait, si tu joues qu'à 10% de ton potentiel et que tu te sens quand même épuisé, tu peux avoir la fausse croyance que t'as tout donné et donc que c'est pas assez et donc... que tu n'es pas assez, etc. Mais encore une fois, t'es en train de te bullshiter quand tu te dis des choses comme ça. La deuxième vérité, c'est que t'es pas épuisé de ce que t'as fait. T'es épuisé de ce que t'as pas fait. Parce qu'encore une fois, tu sais quoi faire. C'est pas une question de quelle stratégie mettre en place, dans quoi te lancer, etc. Tu sais quoi faire. Sauf que quand tu sais quoi faire mais que tu ne le fais pas, c'est comme si t'as plein d'énergie en toi, ça pulse, mais tu n'utilises pas. Tu n'utilises pas, tu fais du gâchis, ça part à la poubelle. C'est un petit peu si tu vas faire tes courses, tu remplis ton caddie, T'en as pour 150, 200, peut-être 300 balles, j'en sais rien. Tu mets ça dans ton frigo, et puis après tu mets tout à la poubelle, et tu n'as pas consommé ce que t'as acheté. Quand tu regardes la poubelle avec tout ce que t'as acheté, dis-moi que t'es pas déprimé, je ne te croirais pas. T'es forcément déprimé quand tu fais du gâchis. Que ce soit alimentaire, parce que c'est devant tes yeux, tu vois l'argent partir à la poubelle, etc. Mais en fait avec ton énergie c'est exactement la même chose. T'as une ressource. énergie qui est ultra puissante. Et tu peux faire des choses incroyables avec, et en plus tu sais quoi faire, mais tu ne le fais pas. Parce que tu t'inventes des faux problèmes, parce que tu procrastines, parce que t'as peur de certaines choses, mais tu ne fais pas ce qu'il faut pour aller affronter tes peurs. Tu ne rejoins pas les espaces qui vont te challenger pour te permettre d'arrêter d'être déclenché par le moindre truc. Parce que quand je dis tu sais quoi faire, Peut-être que tu ne sais pas quoi faire au niveau stratégique, mais tu sais quoi faire pour aller chercher de l'aide. Peut-être que tu sais quoi faire au niveau stratégique, mais tu fais pas ce qu'il faut pour passer à l'action. Tu vois, il y a toujours un truc où tu sais quoi faire en fonction de où t'en es et de tes besoins. C'est pas parce que tu ne sais pas quoi faire au niveau stratégique que tu ne sais pas quoi faire tout court. C'est ce que j'appelle des faux problèmes. Un problème, ça a forcément au moins une solution. Et je dis au moins... une. Donc en fait, tu sais toujours quoi faire, à partir du moment où tu regardes tes problèmes comme des problèmes au sens neutre du terme. Il y a un problème, donc il y a une solution. Je suis dans mon pouvoir, donc je vais trouver la solution. Alors que quand tu regardes un problème depuis une posture de victime, en fait, t'es en mode « Ah non, merde, un problème, je sais pas quoi faire » . Quand tu reprends ton pouvoir personnel, tu sais toujours quoi faire. Quoi faire, c'est trouver une solution. Si tu ne sais pas où est la solution, c'est aller vers qui peut te trouver la solution. Qui peut t'aider à trouver la solution. Donc, tu as toujours la possibilité de passer à l'action. Et quand tu finis épuisé, alors que tu n'as même pas eu les résultats que tu voulais, la vérité, c'est que tu n'es pas épuisé de ce que tu as fait, tu es épuisé de ce que tu n'as pas fait. Ensuite, troisième vérité, ta vitesse d'exécution entre ton idée. Et la mise en place va déterminer ton succès. Il y a un post que j'ai posté sur Instagram récemment, un carousel. Le titre, c'est « En 2026, ne demande pas juste plus de clients, demande plus de rentabilité. » Si tu ne l'as pas déjà lu, je t'invite grandement à te poser dessus et à t'imprégner de ce que je transmets parce que ça a tout à voir avec ce que je suis en train de te dire. Je répète, ta vitesse d'exécution... entre ton idée et la mise en place va déterminer ton succès. Ce que ça veut dire, c'est qu'en fait, si tu te poses 8000 questions, si tu repousses, si t'as toujours tellement envie que ce soit parfait qu'en fait tu fais jamais rien, mais au moment où tu finis par lancer ton projet, il s'est passé combien de temps ? Il s'est pas passé une semaine, deux semaines ? Il s'est passé 3 mois, 6 mois, 8 mois, 1 an ? Et après, ça va te rapporter combien ? T'es rentable quand tu prends autant de temps comme ça ? Est-ce que tu crois vraiment que t'es rentable ? Même si tu fais un lancement à 10K, 50K, mais même un lancement à 100K, est-ce que tu crois que t'es rentable ? Et pire, est-ce que tu crois que t'es rentable à ton plein potentiel quand ta vitesse d'exécution, elle est longue as fuck ? La vérité, c'est que non. Donc en fait, t'as besoin d'apprendre à accélérer si aujourd'hui t'es lente. Et t'as pas besoin d'accélérer partout. Si tu accélères ta vitesse de décision et de passage à l'action, c'est déjà énorme. Après, tu peux chercher à accélérer dans ton passage à l'action, à être plus efficiente, plus efficace, plus productive, plus plus tout ça, ok. Mais la vérité, c'est que si déjà tu accélères ton processus décisionnel, même si tu ne changes rien à comment tu fonctionnes derrière, ta rentabilité, elle va faire 1 fois 10. Parce qu'entre quelqu'un qui prend 150 ans à prendre une décision, et quelqu'un qui a l'idée, passe à l'action, teste, échoue, apprend, recommence. Peut-être échoue à nouveau, reapprends, recommence. La personne, elle a peut-être échoué cinq fois pendant que toi, tu t'es encore posé la question. Qu'est-ce qui va se passer derrière ? Là, quand tu regardes ça, tu te dis, ouais, mais la personne, elle a fait que échouer, c'est naze. Ouais, mais non, en fait. La personne, elle a appris des leçons que toi, tu n'as pas encore apprises et que tu vas devoir apprendre. Sauf qu'elle, elle l'a peut-être fait sur une échelle de trois mois pendant que toi, ça va te prendre deux ans. Et donc, au début, tu regardes la personne et tu la vois que échouer. Donc ça t'inspire pas. Sauf que le temps passe. Et peut-être que 6 mois, 1 an après, cette personne, elle a peut-être fait 50 000, 100 000, 200 000, 1 million d'euros de plus que toi, pendant que toi t'es encore en train de te demander comment passer à l'action, quel design mettre en story, quelle phrase, genre comment formuler ma proposition de valeur, etc. Plutôt que passer à l'action et être ok avec le fait d'échouer. C'est ça en fait, le prix d'accélérer dans ton processus de décision. C'est d'être... ok avec le fait de te confronter à un échec, parce que l'échec c'est neutre, l'échec c'est la leçon. Mais forcément que si t'es lente, tu diabolises l'échec parce que t'as l'impression d'avoir qu'une seule chance de réussir. Donc t'as une pression de ouf quand t'es rapide, mais tu t'en fous complètement d'échouer vu que t'es rapide. T'es en mode ok next, et c'est cette énergie-là en fait qui peut te propulser à ton prochain niveau. Si tu t'accroches tellement à la perfection, franchement, tu peux faire tout le travail mindset que tu veux, tu ne dépasseras jamais ta peur de l'échec. Pour une raison simple, c'est que quand tu es lente, tu as une pression incroyable de réussir, parce que tu sais que tu as perdu toutes tes chances d'échouer dans ta lenteur. Now, numéro 4. Arrête d'être obsédé par être aligné avec toi-même. T'es pas obsédé au bon endroit. Faut que tu commences à être obsédé par être aligné avec ta vision grandiose. Pourquoi je te dis ça quand t'es obsédé par être aligné avec toi-même ? Tu cherches à être aligné avec qui tu es aujourd'hui. Plus précisément, avec qui tu es depuis longtemps. C'est-à-dire, la version de toi du passé. Est-ce que c'est ça qui va t'amener à ton prochain niveau ? Bah, je pense pas. Sinon, t'y serais déjà, la vérité. Donc en fait, déplace ton obsession d'alignement. C'est important d'être aligné. Mais aligné à quoi ? Aligné à ton ancien toi ? Avec tes peurs, avec tes blessures ? Bah non, en fait, t'es juste en train de t'enfoncer dans ta zone de confort. Parce que t'es en mode, ah, c'est désaligné avec moi, donc j'y vais pas. Oui, mais si c'est aligné avec ta vision grandiose. Mais sincèrement, on s'en fout complètement que ce soit désaligné avec toi. Parce que ta vision grandiose, c'est pas qui tu es aujourd'hui qui va la créer. C'est ta higher self. T'as besoin de shifter d'identité. Donc en fait, si t'as envie d'être aligné, si t'as envie de rester obsédé par être aligné avec qui tu es, je t'invite à shifter d'identité d'abord et à commencer à être aligné à ta higher self. Parce que guess what ? Si t'es aligné à ta higher self, t'es forcément aligné à ta vision grandiose. Et guess what ? Si t'es aligné à ta vision grandiose, t'es forcément aligné à ta higher self. Et ta higher self, c'est qui ? C'est toi qui arrêtes de te bullshiter. Donc en fait, ton obsession à rester aligné à qui tu es maintenant, c'est ça qui te fait stagner. Je sais pas si tu réalises, ton obsession à rester aligné à qui tu es maintenant. Y'a un truc qui est figé là-dedans. C'est... Ce que je gagne maintenant, ça ne changera pas. Comment je fonctionne maintenant, ça ne changera pas. Mes triggers ne changeront pas. Mes blessures ne changeront pas. Il y a vraiment ce truc de je grave dans le marbre quelque chose qu'en même temps je cherche à fuir, ça n'a aucun sens. Donc, à partir de maintenant, tu deviens obsédé par être aligné à ta vision grandiose et tu arrêtes d'être obsédé par rester aligné à qui tu es maintenant. Parce qu'en fait, qui tu es maintenant, dans quelques mois c'est fini, il n'y a plus. Tu auras shifté d'identité. T'auras dépassé tes peurs, t'auras plus les mêmes triggers, tu seras en mode badass, rich bitch, prête à en découdre, et y'aura plus rien qui t'arrêtera. En tout cas, c'est ce que vivent mes clientes dans mes espaces. Ensuite, numéro 5. Faire du mieux que tu peux, c'est probablement pas assez. Je sais, c'est chiant. Mais c'est la vérité. Pourquoi je te dis ça ? Parce que cette phrase, faire du mieux que tu peux, on va mettre les pieds dans le plat, c'est un peu une phrase de loser. J'ai pas atteint mes objectifs, oui, mais j'ai fait du mieux que j'ai pu. Ok, mais en fait, concrètement, tu fais toujours du mieux que tu peux. À part te faire te sentir bien, ça fait quoi ? Est-ce que t'atteins tes objectifs quand tu te dis ça ? Non. Donc, ce que je t'invite à faire, c'est de partir du principe que tu fais toujours du mieux que tu peux. Et en fait, énergétiquement, c'est neutre, parce que c'était standard. Et quand c'était standard, et que du coup, c'est neutre, ben en fait, t'es ok avec admettre que c'est pas assez. Et quand tu admets que c'est pas assez, t'es pas dans une énergie de manque ou de victime, t'es au contraire dans ton pouvoir personnel en train de te dire, ok, y'a des choses que je ne sais pas. Y'a des choses que j'ai pas encore intégrées. J'ai besoin d'aide. Donc je vais trouver une solution. Parce qu'en fait, réaliser que faire du mieux que je peux, c'est pas assez, c'est pas pour m'autoflageller, c'est au contraire pour réaliser que je peux faire encore mieux. Donc en fait, c'est trop bien. Parce que t'imagines l'enfer de te dire j'ai fait du mieux que j'ai pu et c'était pas assez. Mais je pouvais pas faire mieux que ça. Genre c'était vraiment le top du top du top que je peux. J'aurais jamais pu faire mieux que ça. Mais l'enfer ! Tu te dis, ok, ben du coup, fuck that, j'abandonne. Ben oui, c'est déprimant en fait. Oui, c'est déprimant. Maintenant, imagine que tu pars du principe que tu fais toujours du mieux que tu peux, mais c'est neutre. C'est-à-dire, j'ai fait du mieux que j'ai pu là, maintenant, tout de suite. Mais c'est pas du mieux que j'ai pu, genre pour toujours, c'est juste là, maintenant, tout de suite. Donc j'admets que j'aurais pu faire encore mieux si j'avais eu d'autres informations, si j'avais eu d'autres déclics, d'autres breakthroughs, d'autres conversations, etc. Bah d'un coup, la pression, tu la relâches ! Tu la relâches et tu n'as plus besoin de te taper sur l'épaule en mode bravo, bravo, t'as fait du bon boulot. Parce que tu sais que tu fais toujours du bon boulot. Mais tu sais aussi que t'as une vision grandiose, t'as des objectifs ambitieux de ouf, et que si aujourd'hui tu fais du mieux que tu peux mais t'atteins pas tes objectifs, c'est qu'il faut changer quelque chose, donc tu vas le changer. Mais d'une façon neutre, c'est encore une fois le problème-solution. Tu vois, t'es juste là, en train d'avancer dans la vie et te dire bon, qu'est-ce que je veux ? Aujourd'hui, qu'est-ce que je fais ? C'est quoi mes résultats ? Est-ce que ça me convient ? Oui, super, bravo. Et si la réponse c'est non, ok, on va changer quelque chose, il n'y a pas de problème. Parce que tu sais que quoi qu'il arrive, tu vas trouver la solution parce que tu restes dans cette énergie d'avancer. Plutôt que rester où tu es en te disant, j'aurais pas pu faire mieux, vraiment, j'ai tout donné. Non, t'as pas tout donné, c'est pas vrai. C'est pas vrai ! Encore une fois, si t'es épuisé, t'es épuisé du potentiel que t'as pas utilisé. T'es épuisé de ce que tu voulais faire mais que t'as pas fait, que t'as pas osé faire. Je pense que tu réalises pas vraiment à quel point ta perspective d'évolution, elle est stratosphérique. Mais pour y accéder, t'as besoin d'admettre que t'es pas à ton plein potentiel. T'as besoin de l'admettre. Sauf que t'as plein de gens qui refusent de l'admettre parce que, pour ces personnes-là, c'est se diminuer. Oui, ça veut dire que je suis moins que. Mais non, pas du tout. Pas du tout. C'est au contraire te dire mais c'est génial. Là, je te vois vraiment un changement de perspective qui peut tout changer. Parce que c'est comment on voit les choses qui déterminent notre chemin dans la vie, qui déterminent aussi notre personnalité, tout. Donc là, je te donne... un changement de perspective qui peut te faire gagner beaucoup d'argent. Quand tu réalises que tu n'es justement pas à ton plein potentiel et que tu n'as pas encore atteint tes objectifs, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu peux les atteindre. Ça te redonne la foi parce que tu sais que tu as une évolution encore. Alors que quand tu refuses d'admettre ça, parce que, attention, tu n'as pas envie de te froisser, les émotions c'est compliqué tout ça, le message subliminal que tu envoies c'est Bon ben je suis déjà à mon plein potentiel mais voilà mes résultats, donc en fait je suis niquée, je m'empêche d'avoir une vision grandiose, je m'empêche de me fixer des objectifs ambitieux, je refuse parce que secrètement je crois que je n'y arriverai pas, secrètement je crois que je n'y arriverai pas parce que j'ai l'impression que je suis déjà à mon plein potentiel, parce que je refuse de regarder ma merde, je refuse d'admettre mes failles, parce que ça me fait chier. Mais en fait c'est ça le prix à payer de la grandeur. C'est ça le prix à payer pour passer à ton prochain niveau ? Comment tu veux passer à ton prochain niveau si tu as déjà l'impression de tout savoir, tout bien faire, et encore quand tu dis ça, tu te bullshites parce que tu sais que ce n'est pas vrai. Mais tu préfères te bullshiter plutôt que regarder les choses en face, parce qu'émotionnellement c'est plus facile. L'intelligence émotionnelle est primordiale dans ce processus-là. Next, numéro 6. Tu passes trop de temps à te demander comment préserver ton énergie et pas assez à te demander comment amplifier ton impact et ta vision. Vraiment, cette... C'est encore une fois une obsession à vouloir préserver son énergie. En réalité, il y a un espèce de PTSD collectif du burn-out qui fait que tout le monde prend ses décisions pour ne pas retomber en burn-out, pour ne pas revivre en burn-out, plutôt que pour amplifier sa vision. Et donc, personne ne voit clair, tout le monde est terrorisé, et t'as des personnes qui, à la base, ont plein d'ambitions. et qui commence à voir de plus en plus petit. Ah oui, mais moi, je ne veux pas trop travailler. Ah oui, mais moi, je veux mon équilibre vie pro-vie perso, c'est tellement important pour moi. Mais ton business, il est là, ça fait même pas cinq ans, tu vis à peine de ton activité, et tu veux parler d'équilibre vie pro-vie perso ? Faut retourner dans le salariat, hein. Parce qu'en fait, quand tu lances un business, ton équilibre vie pro-vie perso... Sa définition change. Ça veut pas dire que t'en as pas. Mais ça veut dire que sa définition change. Sa priorité dans ta vie change. Sa priorité va revenir une fois que t'as lancé la machine. Mais pour lancer la machine, faut déployer de l'énergie. Donc en fait, si dès le départ, tu te demandes comment préserver ton énergie alors que t'en as même pas déployé encore pleinement, tu prends le truc à l'envers. C'est pas l'entrepreneuriat ton truc. Sauf si tu te contenteras très bien d'un petit 2000, 3000, 4000 par mois de chiffre d'affaires, c'est très bien. Mais j'avoue, je ne suis pas la coach pour toi si c'est ça. Pas que ce n'est pas bien, mais en fait, moi, mes clientes, je les amène à aller chercher beaucoup plus que ça. Et ce n'est même pas une question de revenus, c'est une question d'impact, c'est une question de vision, c'est une question de qui on devient dans tout ça. Ce n'est pas la même stratosphère. Donc oui, petite parenthèse, toutes les vérités que je dis dans cet épisode, en fait, elles sont pour les entrepreneurs. qui ont envie d'atteindre une vision grandiose et la vision grandiose, elle n'est pas à 2000, 3000, 5000 par mois. Et ce, peu importe où tu en es aujourd'hui. Peut-être qu'aujourd'hui, ton business, il fait 500 euros par mois et en fait, tu es quand même concerné par ce que je dis si tu as une vision grandiose. Parce que l'argent, ça va, ça vient. Et c'est justement le principe même de faire la paix avec l'échec, c'est de réaliser qu'il y a des moments où tu vas gagner de l'argent, il y a des moments où tu vas en perdre, il y a des moments où tu vas avoir beaucoup de temps libre, il y a des moments où t'en auras pas du tout parce que t'as planté un truc, t'as foiré un truc, il faut relancer la machine. L'entrepreneuriat, c'est avant tout un état d'esprit. C'est comment tu solutionnes des problèmes. C'est comment tu vois des solutions là où personne n'en voit. C'est comment tu es créative. C'est comment t'es capable de trouver de l'énergie là où t'as des personnes pas résilientes du tout qui auraient abandonné. Donc, oui, si tu vois petit, bah ça fait sens de te demander comment préserver ton énergie. Mais en réalité, même là... Si t'es au début de ton aventure entrepreneuriale, en tout cas, ça fait aucun sens. Parce que tu vas les trouver comment tes premiers clients ? Et puis, il y a autre chose aussi. Et après, je passe au point d'après. Quand tu commences à devenir obsédé par amplifier ton impact et ta vision, plutôt que te demander comment préserver ton énergie, bah en fait, c'est tellement nourrissant pour l'âme qu'en fait, ça te crée de l'énergie. Parce qu'encore une fois, t'es pas fatigué de ce que t'as fait, t'es fatigué de ce que t'as pas fait quand tu... et à 10% de ton potentiel. Donc imagine ton quotidien quand tu es nourri par ta vision grandiose, chaque jour, quand toutes les questions que tu te poses servent à amplifier ton impact plutôt qu'à préserver ton énergie. A ton avis, est-ce que tu vas commencer à voir grand ou à voir petit ? Est-ce que tu vas commencer à être inspiré ou à être blasé ? C'est pour ça que c'est important. de chercher à amplifier ta vision, et d'arrêter d'avoir cette espèce de PTSD qui fait que tu es obsédé par vouloir préserver ton énergie et avoir un équilibre vie pro-vie perso. C'est pas que c'est mauvais en soi, c'est qu'en fait tu te poses les questions au mauvais endroit qui au final vont te garantir que t'auras jamais le temps libre que tu veux parce que t'auras jamais le chiffre d'affaires que tu veux. Alors que si dès maintenant tu cherches à amplifier ta vision, T'es en train de marcher sur le chemin du succès sur tous les plans. C'est-à-dire que non seulement tu marches sur le chemin de « je vais augmenter mon chiffre d'affaires, ça prendra le temps que ça prendra, peu importe, mais je vais le faire » et en plus de ça, je vais augmenter ma rentabilité et en plus de ça, je vais kiffer ma life parce que je vais être inspirée, parce que je vais constater qu'en fait, je suis à mon plein potentiel. Je joue pas à 10%. Je passe à l'action, rapidement. J'ai de la clarté. Je suis connectée à ma higher self. Je continue de m'élever, d'apprendre, parce que je ne me repose jamais sur mes lauriers, etc. C'est une question de mindset. Et dans tout ça, peut-être que... Les deux personnes dont je parle, entre guillemets, la personne qui est connectée à sa higher self, inspirée, etc., et l'autre qui cherche à préserver son énergie, la vérité, c'est que les deux personnes, elles ont très probablement le même nombre d'heures de travail chaque semaine. Donc c'est pas une question de « t'as besoin de t'épuiser pour y arriver, da da da » , ça n'a rien à voir. C'est une question de mindset. T'as pas besoin de bosser 15, 20, 50 heures de plus par semaine. On n'est pas au bon endroit si c'est ça que t'as compris. C'est une question de mindset et de posture. Numéro 7. Rien ne se passera si tu ne prends pas le risque d'échouer. J'en parlais tout à l'heure, cette espèce de peur de l'échec. Alors j'ai expliqué un petit peu d'où elle vient majoritairement, il y a évidemment plein de raisons. Mais si tu prends trop de temps à prendre des décisions, c'est encore pire. T'as besoin absolument de faire la paix avec l'échec. Le meilleur moyen de le faire, c'est de passer à l'action rapidement, je l'ai déjà dit. Mais pourquoi c'est important de faire la paix avec l'échec ? C'est qu'en fait, réussir un projet du premier coup à chaque fois, ça n'existe pas. C'est impossible. Tu vas forcément échouer. Et le truc, c'est que peut-être qu'aujourd'hui, tu réussis pas assez parce que t'as pas échoué assez. Peut-être qu'aujourd'hui... T'as pas échoué assez parce que t'es pas assez passé à l'action. Donc en fait, plutôt que de te demander à chaque fois comment réussir, demande-toi simplement comment passer à l'action. Et ensuite j'avise. Parce que si tu te demandes tout le temps comment réussir, bah en fait secrètement t'as peur de l'échec. Tu veux tout faire pour éviter l'échec. Quand tu réalises que l'échec c'est neutre, Alors... Évidemment, je ne parle pas de prendre des risques complètement insensés, de se mettre en danger, etc. Mais ça, ça me paraît évident. Mais juste quand tu es OK avec le fait de foirer un truc. Genre faire un lancement à zéro, par exemple. Est-ce que ça fait chier ? Oui. Mais quand tu es tellement attaché à tout réussir, si tu fais un lancement à zéro, c'est la fin du monde. Alors que quand c'est neutre, d'un coup, tu n'as aucun problème avec, par exemple, remettre en question ton business model. T'as aucun problème avec remettre en question ton positionnement, challenger ton messaging. T'es ok en fait parce que tu sais que l'échec final n'existe pas. Il y a un peu ce truc où l'échec final c'est la mort en fait. Donc finalement tant que t'es là, tout va bien. Et puis t'as des concurrentes en fait. Alors oui. au quotidien, tes concurrentes, ça peut devenir des partenaires, ça peut devenir des amis, etc. Mais la vérité, c'est que pendant que toi, t'as peur d'échouer, ta concurrente, elle passe à l'action et puis elle prend tes parts de marché. Et quand t'as peur de l'échec, il y a aussi un truc, c'est que tu penses pas assez long terme. Un truc que j'ai observé de mon côté, c'est que la plupart de mes clientes, elles ont un cycle de décision assez long. Elles écoutent tout mon podcast. Du coup, si tu m'écoutes, peut-être qu'un jour tu seras dans mes espaces, mais elles écoutent tout mon podcast et ça leur prend toutes quelques mois. Avant de rentrer dans mes espaces premium, j'entends. Bien sûr, il y a des exceptions et des personnes qui jump en une semaine, ça arrive. Mais j'ai envie de te parler vraiment du scénario le plus long et entre guillemets le plus chiant. Parce que c'est certainement quelque chose que toi aussi tu vis. Quand t'as peur de l'échec, tu ne fais rien. Le truc, c'est que pendant que tu ne fais rien, t'as des personnes qui sont déjà là, qui pourraient devenir tes clientes dans quelques semaines ou dans quelques mois, mais qui ne vont... pas le devenir parce que toi, tu ne fais rien. Parce que t'as fait un truc une fois et t'as échoué et t'es encore en train de te poser 8000 questions alors que ça s'est passé il y a 6 mois. C'est pas ok ça. Parce que tu perds des parts de marché. Déjà de là maintenant en ne passant pas à l'action, mais aussi sur le long terme. Parce que t'as des personnes qui sont là, qui te regardent, qui t'observent, qui sont en train de peser le pour et le contre de rejoindre tes espaces. Qu'est-ce que tu mets sur la table pour aider ces personnes à se décider ? Quand t'es guidé par la peur de l'échec, la réponse, c'est rien du tout. Alors que quand t'es pas guidé par la peur de l'échec, bah, tu vas peut-être lancer une petite offre, une masterclass gratuite, tu vas proposer des appels découvertes, tu vas faire des trucs. Et pendant que tu fais toutes ces choses-là, peut-être que toi t'as l'impression d'échouer, mais du côté de ton audience, t'as des personnes qui ont été à ton contact. Plusieurs fois. Et à un moment, tu vas recevoir un DM de quelqu'un qui veut travailler avec toi, et tu sauras pas d'où ça vient. Ça vient littéralement de nulle part pour toi. Mais en réalité, ça vient pas de nulle part. La personne, ça fait six mois qu'elle est là et qu'elle t'observe et qu'elle rejoint tes espaces. Donc t'as besoin d'être guidé par ta vision et arrêter d'être terrorisé de l'échec. Parce que même quand tu as l'impression d'échouer, la vérité c'est que t'échoues pas. Allez, numéro 8. Si ton contenu passe toujours à la trappe parce que c'est trop inconfortable de show up, you don't have what it takes to win. Si t'as cette problématique et que t'as mis en place ce qu'il faut pour te faire accompagner, tu peux fermer tes oreilles pendant, là allez, une, deux minutes, le temps que je passe au numéro 9. Mais sinon... Faut qu'on parle. Parler de ce que tu fais, c'est la base en tant qu'entrepreneur. Si ça, c'est ton challenge le plus grand, t'es pas prête pour ce qui t'attend après. T'es pas prête. Et je parle pas de le contenu passe à la trappe parce que je sais pas quoi dire, etc., etc., des questions qui sont légitimes. Là, je parle vraiment de juste, c'est inconfortable, j'ai pas envie de me montrer. J'ai pas envie de me montrer, j'ai pas envie de parler de mes offres. Tu vois, cette espèce de truc de... J'ai pas envie, je sais qu'il faut, mais j'ai pas envie. Ok, admettons. Tu fais quoi à la place ? Tu cherches quoi d'autre comme solution ? Si vraiment tu détestes ça, quel autre mode d'acquisition t'as trouvé ? Si t'en as trouvé un, très bien, passe au numéro 9. J'ai rien à te dire. Si la réponse c'est rien du tout, bah wake the fuck up en fait. Ton business, c'est un business. Un business, ça vend. C'est pas juste un petit hobby qui vend un petit peu sur un stand de limonade le dimanche. T'es censé vendre. Alors peut-être qu'aujourd'hui, encore une fois, ton business, il est pas là où t'aimerais, peut-être que tu vends pas beaucoup, pas tout le temps, j'en sais rien, mais on s'en fout, c'est une question de mindset. C'est pas une question de résultat, c'est une question de mindset et de posture. Tu peux avoir une posture de leader Alors que tu fais 500 balles par mois, pendant que quelqu'un qui en fait 5000 n'a pas du tout une posture de leader. La différence, c'est que la personne qui fait 500 par mois aujourd'hui, dans 10 ans, peut-être qu'elle fera 50 000. Peut-être qu'elle fera 100 000. Peut-être qu'elle fera même 500 000. Pendant que l'autre, elle sera toujours à 5000. Donc, ne t'accroche pas trop à où tu es maintenant. Tes résultats d'aujourd'hui ne vont pas déterminer tes résultats de demain. Ce qui va déterminer tes résultats de demain, c'est ton mindset et ta posture. C'est ton identité. C'est comment tu acceptes d'être challengé. C'est comment tu passes à l'action, comment tu cherches de l'aide. Comment tu ne te racontes pas d'histoire sur les failles que tu as. Donc si aujourd'hui, créer du contenu c'est inconfortable pour toi, ton obsession, elle doit être... Ça ne doit plus être inconfortable. J'ai besoin d'être à l'aise avec le fait de vendre mes offres. Et si t'es pas activement en recherche de te faire coacher, de te former ou peu importe pour ça, tu auras toujours les mêmes problèmes dans 6 mois ou dans un an et j'en suis désolée. Mais tu pourras réécouter cet épisode l'année prochaine et tu te diras « Merde, elle avait raison » . Ça, c'est un truc que j'aime beaucoup et encore une fois que je dis régulièrement à mes clientes. Il y a une phrase que je dis beaucoup, c'est ça, c'est un problème de riche et t'as envie d'avoir des problèmes de riche. La vérité, la leçon que j'ai envie de te transmettre et après je vais t'expliquer. Tu gères les problèmes de riche avec la même énergie que les problèmes de pauvres. Les problèmes de riche, c'est les faux problèmes. c'est-à-dire par exemple t'es parfaitement au clair sur ton messaging, ce que t'as envie de transmettre etc. Mais tu te demandes si tu dois mettre un fond blanc ou un fond noir sur ta page de vente par rapport à la psychologie des prospects, etc. Problème de riche. C'est pas un vrai problème. Parce qu'en fait, si tu ne solutionnes pas ce problème, c'est pas grave. C'est ça des problèmes de riche. C'est des problèmes que t'as envie d'avoir. Autre exemple, tu t'apprêtes à investir quelque part et tu sais pas si tu investis dans tel espace ou dans tel espace. Problème de riche. Si t'avais un problème de pauvre, t'aurais même pas l'argent pour te poser la question. Les problèmes de riches, c'est des problèmes que t'as envie d'avoir. Le problème, c'est que si quand tu les as, tu les gères avec la même énergie que les problèmes de pauvres, du coup à l'opposé, j'avoue c'est une expression que j'utilise jamais, je parle que des problèmes de riches, mais bref, je pense que tu comprends. Si tu gères ces problèmes de riches avec la même énergie que les problèmes de pauvres, bah en fait tu vas aggraver un problème qui n'en est pas un. Alors que les problèmes de pauvres, entre guillemets, pour le coup, c'est des vrais problèmes où tu as besoin vraiment de trouver une solution. Genre, right now, c'est important, c'est urgent. Les problèmes de riches, c'est ni l'un ni l'autre. Donc, quand tu te retrouves face à un problème de riches, qui est en gros le genre de problème que tu as envie d'avoir, le genre de problème pour lequel tu pries aujourd'hui, ou la version de toi d'avant peut-être priait pour que tu aies ce genre de problème aujourd'hui. En fait, tu commences par avoir de la gratitude, tu te détends et tu te dis c'est pas un vrai problème, je vais trouver une solution facilement parce que c'est pas un vrai problème. Quand t'as un vrai problème, là t'as besoin de déployer une toute autre forme d'énergie parce que c'est important et c'est urgent. Et enfin, le dernier, et putain, 33 minutes déjà. Alors, numéro 10, tu cherches à atteindre la liberté. avant même d'avoir atteint l'excellence dans tes compétences. Je pense que c'est très bien qu'on finisse là-dessus, parce que beaucoup trop de personnes voient la lumière. Je vais être entrepreneur, je vais faire plein d'argent, je vais être libre, je vais partir en vacances, je vais avoir tel lifestyle, etc. Sauf que c'est des personnes qui, aujourd'hui, n'ont rien accompli. Elles n'ont pas eu de business avant, elles n'ont pas eu d'expérience là-dedans, elles ont envie d'avoir plein de clients, mais elles veulent préserver leur énergie. Elles ont envie de faire plein d'argent, mais attention, elles ne sont pas matérialistes. Elles ont envie de... Enfin, il y a une espèce de contradiction de fou qui fait que ton énergie et ton focus, tu ne les mets pas au bon endroit. Le bon endroit, c'est chercher à devenir excellente dans ce que tu fais. Parce que c'est pareil, tu peux chercher à apprendre à vendre, communiquer, etc. Si au fond, tu n'es pas convaincu que ce que tu fais, c'est génial, tu te sentiras forcément comme une fraude. Et oui, on peut travailler sur le syndrome de l'imposteur, mais le syndrome de l'imposteur, c'est un sentiment d'être une imposture. Si au fond, c'est pas juste un sentiment, c'est une croyance, parce que t'es convaincu, en fait, d'être une imposture, bah tout le travail sur le syndrome de l'imposteur, ça va mettre un peu des paillettes sur de la merde, mais c'est tout. Parce que la vraie solution pour t'en libérer, bah c'est devenir excellente, devenir meilleure, en tout cas. s'est réalisé que, au bout d'un moment, Plus t'es doué, plus tu vends. Déjà parce que t'as une espèce de confiance en toi, un magnétisme qui apparaît que t'as pas au début, mais aussi parce que t'es tellement convaincu de ce que tu fais que c'est un non-sujet. Quand t'es excellente dans ce que tu fais, tu sais exactement quel problème tu solutionnes, t'es consciente de l'impact que tu as dans la vie de quelqu'un. Donc vendre, c'est pas un sujet. Tu ne fuiras plus le fait de parler de tes offres. Tu seras fière d'en parler. T'auras envie d'en parler. Tu seras obsédé par le fait d'en parler. Parce qu'en fait, tu sais que ce que tu fais, c'est génial. Et ça n'a rien à voir avec le fait d'être hautaine ou quoi que ce soit. Tu connais juste la valeur de ce que tu fais. De la même façon que, je sais pas, un médecin, il sait la valeur qu'il apporte sur la table. C'est un non-sujet, tu vois. Il le sait, il a travaillé tellement dur pour être excellent. Parce que les médecins sont excellents. Je sais pas si t'as déjà vu le nombre d'étudiants en première année de médecine. Ensuite, ils passent pas tous en deuxième année. Donc oui, quand t'es excellent, tu te remets pas en question tous les quatre matins. Tu sais que tu peux toujours t'améliorer par contre. Donc tu te reposes pas sur tes lauriers. Mais t'es suffisamment confiante dans ce que tu fais pour vendre sans problème et sans broncher. Et c'est d'ailleurs pour ça que dans mon mastermind, j'ai intégré une nouvelle branche cette année où on travaille... à fond sur la magie personnelle. Et pas uniquement sur le mindset, la posture, l'identité. On commence vraiment à travailler sur la magie personnelle et en plus sur l'expérience client. Parce qu'en plus, ça, je vois pas beaucoup de masterminds inclure cette partie-là. Ou en tout cas, pas beaucoup qui parlent de leadership, etc. C'est beaucoup l'identité. Identité, croyance limitante, énergétique, etc. Et j'offre ça dans mon mastermind. Mais j'ai senti cette année qu'il fallait lever le niveau. vraiment, et intégrer la partie expérience client et méthodologie, magie personnelle. Parce que sinon, tout le reste, c'est bien, mais au fond du fond, il te restera toujours un vide quelque part. Genre tes fondations, elles ne seront pas assez solides. Alors qu'avec ça, elles le sont. Voilà, on arrive à la fin de cet épisode. C'est un bon 40 minutes qui a secoué. Je t'invite peut-être à réécouter cet épisode de temps en temps. quand tu sens que t'es en train de te bullshiter, de t'inventer des faux problèmes. Et si tout ce que j'ai dit aujourd'hui a résonné avec toi et t'es en mode « Ok, je suis prête à arrêter de me bullshiter » , alors je t'invite à cliquer dans le lien dans la description de l'épisode pour candidater pour mon mastermind. Et si t'es complètement on fire et t'es en mode « Je veux accélérer comme jamais » , et moi ce que je veux c'est de la haute proximité. Parce qu'en fait, j'ai une capacité... de transformation immense et je veux de l'individuel, je te mets aussi un lien pour candidater pour de l'accompagnement individuel. J'ai aujourd'hui des accompagnements de un mois et de trois mois. Pour candidater, tu as juste à cliquer du coup sur le lien, tu vas arriver sur un calendrier pour prendre rendez-vous. Donc tu cliques sur prendre rendez-vous, tu réponds aux questions et puis ensuite on avisera lors de notre rendez-vous si tu as le profil pour un accompagnement individuel. Si c'est le cas, super. sinon je te redirigerai certainement vers mon mastermind, mon mastermind pareil t'as le lien dans la description et tu peux prendre rendez-vous pour un appel découverte. Sur ce je te souhaite une belle intégration, je suis très curieuse de savoir ce que t'as pensé de cet épisode, ça faisait je crois longtemps que j'avais pas fait un épisode aussi rentre dedans, mais je pense que c'était vraiment important en cette fin d'année pour t'aider à enclencher 2026 avec une toute autre énergie et vraiment cette énergie de leader. qui rend son succès inconditionnel et qui arrête de se bullshiter. Ma façon d'accompagner mes clientes, elle n'est pas tout le temps dans le rentre-dedans comme ça, c'est pas vrai. J'ai une énergie qui est très douce, qui est très enveloppante, mais j'ai aussi une énergie qui est très tranchante. C'est-à-dire que je vais envelopper là où t'as besoin et je vais trancher là où t'as besoin. Et dans mes espaces, ce que tu vas expérimenter, c'est être en haute proximité avec quelqu'un qui te voit comme toi tu ne te vois pas. Et donc, qui voit ton plein potentiel, et aussi tes failles. Et donc quelqu'un qui est capable de mettre le doigt là où ça peut vraiment changer les choses pour toi, très, très rapidement. Donc, en rejoignant mes espaces, ce que tu achètes en réalité, c'est du temps. Tu gagnes du temps dans ta transformation, dans tes actions, dans tes leçons, dans ton shift d'identité. En réalité, c'est ça que tu viens chercher dans mes espaces. Allez. Encore une fois, belle intégration et à la semaine prochaine !