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1.10 / Ain’t No Mountain High Enough de Diana Ross cover
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1.10, une musique

1.10 / Ain’t No Mountain High Enough de Diana Ross

1.10 / Ain’t No Mountain High Enough de Diana Ross

01min |23/06/2025
Play
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Description

Saviez-vous que Diana Ross, après avoir dominé les charts avec les Supremes, a su se réinventer en tant qu'artiste solo avec une puissance inégalée ? Dans cet épisode de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS plonge dans la carrière solo de cette icône de la musique, en mettant particulièrement l'accent sur son interprétation magistrale de la chanson « Ain't No Mountain High Enough ». Cette œuvre emblématique devient le point de départ d'une exploration fascinante de la manière dont Diana Ross, pour la première fois, s'affirme en tant qu'artiste à part entière, presque seule, après avoir été la voix emblématique des Supremes.


Richard nous guide à travers la transformation audacieuse de ce classique, où Diana Ross ne se contente pas de chanter, mais parle avec une profondeur émotionnelle qui touche l'âme. Sa performance transcende les simples notes, se métamorphosant en une épopée orchestrale riche, soutenue par des chœurs majestueux, des cordes envoûtantes et des cuivres éclatants. Ce moment musical devient un véritable hymne à l'amour inébranlable, un message puissant qui résonne avec force et authenticité.


Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    En 1970, Diana Ross guide les Supremes. Et pour la première fois, elle est seule. Ou presque. Pour lancer sa carrière solo, elle choisit de revisiter une musique de la Montaigne. « Ain't not Montaigne high enough » . Mais d'une manière totalement inattendue. Au biais du duo « Soul » joyeux de Marvin Gaye et Tamira Tehill, ici, c'est une épopée assez orchestrale. Les chœurs, les cordes, les cuivres, et surtout la voix de Diana Ross, ne chantent pas. Elles parlent. Elle murmure presque. Elle nous raconte un amour inébranlable, prêt à tout traverser. Aucune montagne, aucune vallée, aucune rivière ne pourra l'éloigner. La chanson hésite et retient son souffle, puis explose. C'est plus qu'un morceau, c'est une promesse. Et c'est aussi un tournant. Grâce à ce titre, Diana Ross décroche son premier numéro 1 solo, trois semaines en tête du Billboard. Une nomination au Grammy et un message clair. Elle peut briller seule. Et depuis... Cette chanson est devenue un hymne à l'amour inconditionnel. Oui, cet amour inconditionnel. Mais aussi à la force des femmes qui osent se réinventer. En tout cas, une dix, c'est fini. Ciao !

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Saviez-vous que Diana Ross, après avoir dominé les charts avec les Supremes, a su se réinventer en tant qu'artiste solo avec une puissance inégalée ? Dans cet épisode de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS plonge dans la carrière solo de cette icône de la musique, en mettant particulièrement l'accent sur son interprétation magistrale de la chanson « Ain't No Mountain High Enough ». Cette œuvre emblématique devient le point de départ d'une exploration fascinante de la manière dont Diana Ross, pour la première fois, s'affirme en tant qu'artiste à part entière, presque seule, après avoir été la voix emblématique des Supremes.


Richard nous guide à travers la transformation audacieuse de ce classique, où Diana Ross ne se contente pas de chanter, mais parle avec une profondeur émotionnelle qui touche l'âme. Sa performance transcende les simples notes, se métamorphosant en une épopée orchestrale riche, soutenue par des chœurs majestueux, des cordes envoûtantes et des cuivres éclatants. Ce moment musical devient un véritable hymne à l'amour inébranlable, un message puissant qui résonne avec force et authenticité.


Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.



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  • Speaker #0

    En 1970, Diana Ross guide les Supremes. Et pour la première fois, elle est seule. Ou presque. Pour lancer sa carrière solo, elle choisit de revisiter une musique de la Montaigne. « Ain't not Montaigne high enough » . Mais d'une manière totalement inattendue. Au biais du duo « Soul » joyeux de Marvin Gaye et Tamira Tehill, ici, c'est une épopée assez orchestrale. Les chœurs, les cordes, les cuivres, et surtout la voix de Diana Ross, ne chantent pas. Elles parlent. Elle murmure presque. Elle nous raconte un amour inébranlable, prêt à tout traverser. Aucune montagne, aucune vallée, aucune rivière ne pourra l'éloigner. La chanson hésite et retient son souffle, puis explose. C'est plus qu'un morceau, c'est une promesse. Et c'est aussi un tournant. Grâce à ce titre, Diana Ross décroche son premier numéro 1 solo, trois semaines en tête du Billboard. Une nomination au Grammy et un message clair. Elle peut briller seule. Et depuis... Cette chanson est devenue un hymne à l'amour inconditionnel. Oui, cet amour inconditionnel. Mais aussi à la force des femmes qui osent se réinventer. En tout cas, une dix, c'est fini. Ciao !

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Saviez-vous que Diana Ross, après avoir dominé les charts avec les Supremes, a su se réinventer en tant qu'artiste solo avec une puissance inégalée ? Dans cet épisode de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS plonge dans la carrière solo de cette icône de la musique, en mettant particulièrement l'accent sur son interprétation magistrale de la chanson « Ain't No Mountain High Enough ». Cette œuvre emblématique devient le point de départ d'une exploration fascinante de la manière dont Diana Ross, pour la première fois, s'affirme en tant qu'artiste à part entière, presque seule, après avoir été la voix emblématique des Supremes.


Richard nous guide à travers la transformation audacieuse de ce classique, où Diana Ross ne se contente pas de chanter, mais parle avec une profondeur émotionnelle qui touche l'âme. Sa performance transcende les simples notes, se métamorphosant en une épopée orchestrale riche, soutenue par des chœurs majestueux, des cordes envoûtantes et des cuivres éclatants. Ce moment musical devient un véritable hymne à l'amour inébranlable, un message puissant qui résonne avec force et authenticité.


Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.



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    En 1970, Diana Ross guide les Supremes. Et pour la première fois, elle est seule. Ou presque. Pour lancer sa carrière solo, elle choisit de revisiter une musique de la Montaigne. « Ain't not Montaigne high enough » . Mais d'une manière totalement inattendue. Au biais du duo « Soul » joyeux de Marvin Gaye et Tamira Tehill, ici, c'est une épopée assez orchestrale. Les chœurs, les cordes, les cuivres, et surtout la voix de Diana Ross, ne chantent pas. Elles parlent. Elle murmure presque. Elle nous raconte un amour inébranlable, prêt à tout traverser. Aucune montagne, aucune vallée, aucune rivière ne pourra l'éloigner. La chanson hésite et retient son souffle, puis explose. C'est plus qu'un morceau, c'est une promesse. Et c'est aussi un tournant. Grâce à ce titre, Diana Ross décroche son premier numéro 1 solo, trois semaines en tête du Billboard. Une nomination au Grammy et un message clair. Elle peut briller seule. Et depuis... Cette chanson est devenue un hymne à l'amour inconditionnel. Oui, cet amour inconditionnel. Mais aussi à la force des femmes qui osent se réinventer. En tout cas, une dix, c'est fini. Ciao !

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Saviez-vous que Diana Ross, après avoir dominé les charts avec les Supremes, a su se réinventer en tant qu'artiste solo avec une puissance inégalée ? Dans cet épisode de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS plonge dans la carrière solo de cette icône de la musique, en mettant particulièrement l'accent sur son interprétation magistrale de la chanson « Ain't No Mountain High Enough ». Cette œuvre emblématique devient le point de départ d'une exploration fascinante de la manière dont Diana Ross, pour la première fois, s'affirme en tant qu'artiste à part entière, presque seule, après avoir été la voix emblématique des Supremes.


Richard nous guide à travers la transformation audacieuse de ce classique, où Diana Ross ne se contente pas de chanter, mais parle avec une profondeur émotionnelle qui touche l'âme. Sa performance transcende les simples notes, se métamorphosant en une épopée orchestrale riche, soutenue par des chœurs majestueux, des cordes envoûtantes et des cuivres éclatants. Ce moment musical devient un véritable hymne à l'amour inébranlable, un message puissant qui résonne avec force et authenticité.


Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.



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  • Speaker #0

    En 1970, Diana Ross guide les Supremes. Et pour la première fois, elle est seule. Ou presque. Pour lancer sa carrière solo, elle choisit de revisiter une musique de la Montaigne. « Ain't not Montaigne high enough » . Mais d'une manière totalement inattendue. Au biais du duo « Soul » joyeux de Marvin Gaye et Tamira Tehill, ici, c'est une épopée assez orchestrale. Les chœurs, les cordes, les cuivres, et surtout la voix de Diana Ross, ne chantent pas. Elles parlent. Elle murmure presque. Elle nous raconte un amour inébranlable, prêt à tout traverser. Aucune montagne, aucune vallée, aucune rivière ne pourra l'éloigner. La chanson hésite et retient son souffle, puis explose. C'est plus qu'un morceau, c'est une promesse. Et c'est aussi un tournant. Grâce à ce titre, Diana Ross décroche son premier numéro 1 solo, trois semaines en tête du Billboard. Une nomination au Grammy et un message clair. Elle peut briller seule. Et depuis... Cette chanson est devenue un hymne à l'amour inconditionnel. Oui, cet amour inconditionnel. Mais aussi à la force des femmes qui osent se réinventer. En tout cas, une dix, c'est fini. Ciao !

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