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Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises

đŸŽ™ïž Dirigeants, entrepreneurs : tout comprendre sur la "taxe holdings" qui est en rĂ©alitĂ©, une taxe sur la fortune de certaines sociĂ©tĂ©s...

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1h17 |05/11/2025
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Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises

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1h17 |05/11/2025
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Description

Bon.. au moment oĂč j’écris ces lignes, le texte a changĂ©.


Dans le cadre du débat parlementaire, la fameuse "taxe holdings" a été

profondĂ©ment transformĂ©e. Elle ne vise plus les actifs financiers ou immobiliers comme prĂ©vu initialement, mais dĂ©sormais uniquement les biens de luxe dĂ©tenus par des sociĂ©tĂ©s : bijoux, Ɠuvres d’art, voitures de collection, yachts



❌ En clair, une taxe sur le patrimoine ostentatoire logĂ© dans des structures Ă  l’IS.


Mais attention : si le Projet de Loi de Finances (PLF) n’est pas votĂ©, le gouvernement pourrait revenir, par ordonnance, Ă  la version d’origine — celle d’une vĂ©ritable taxe sur la fortune des sociĂ©tĂ©s. Et il serait naĂŻf de croire que le sujet est clos.


J’ai reçu pour en parler Philippe Donneaud avocat associĂ© chez CMS Francis Lefebvre Avocats, dans Une Cession Presque Parfaite. Et selon lui, ce changement n’est qu’un ajustement politique, pas une renonciation. L’idĂ©e de fond reste intacte : faire contribuer le capital considĂ©rĂ© comme improductif, autrement dit la richesse qui ne travaille pas.


👉 La premiĂšre version du texte visait les sociĂ©tĂ©s Ă  l’IS contrĂŽlĂ©es par des personnes physiques, disposant de plus de 5M€ d’actifs et gĂ©nĂ©rant majoritairement des revenus passifs (dividendes, loyers, placements).

L’objectif : instaurer une taxe annuelle d’environ 2% de la valeur des actifs, non dĂ©ductible de l’IS, une forme d'"ISF corporate".


Ce n’était donc pas un texte rĂ©servĂ© aux grands patrimoines familiaux. Une entreprise post-cession, une sociĂ©tĂ© immobiliĂšre ou mĂȘme une PME disposant d’une trĂ©sorerie importante pouvait ĂȘtre concernĂ©e.


Le recentrage sur les biens de luxe a simplement permis de dĂ©samorcer la tension politique. Car beaucoup d’entrepreneurs, de family offices et de groupes familiaux craignaient une atteinte au capital “jugĂ© improductif”.


Mais le fond du problùme demeure : la frontiùre entre capital "inactif" et capital "productif" reste floue. Et c’est ce flou qui inquiùte les fiscalistes.


⚠ Si le PLF 2026 Ă©choue, le gouvernement pourrait donc rĂ©activer la version initiale par ordonnance.


Et les consĂ©quences seraient lourdes : les montages d’apport-cession deviendraient moins attractifs car garder une holding inerte aprĂšs la vente de son entreprise deviendrait coĂ»teux, et la distinction entre holdings animatrices et holdings passives deviendrait centrale. MĂȘme les structures Ă©trangĂšres contrĂŽlĂ©es par des rĂ©sidents français pourraient ĂȘtre rattrapĂ©es.


✅ Pour les dirigeants, le message est simple : anticiper. Faire un audit de ses structures, activer vos sociĂ©tĂ©s patrimoniales (facturation, animation, gestion), et repenser la gestion de votre trĂ©sorerie. Car la logique qui se dessine, c’est celle d’un capital qui doit circuler.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Bon.. au moment oĂč j’écris ces lignes, le texte a changĂ©.


Dans le cadre du débat parlementaire, la fameuse "taxe holdings" a été

profondĂ©ment transformĂ©e. Elle ne vise plus les actifs financiers ou immobiliers comme prĂ©vu initialement, mais dĂ©sormais uniquement les biens de luxe dĂ©tenus par des sociĂ©tĂ©s : bijoux, Ɠuvres d’art, voitures de collection, yachts



❌ En clair, une taxe sur le patrimoine ostentatoire logĂ© dans des structures Ă  l’IS.


Mais attention : si le Projet de Loi de Finances (PLF) n’est pas votĂ©, le gouvernement pourrait revenir, par ordonnance, Ă  la version d’origine — celle d’une vĂ©ritable taxe sur la fortune des sociĂ©tĂ©s. Et il serait naĂŻf de croire que le sujet est clos.


J’ai reçu pour en parler Philippe Donneaud avocat associĂ© chez CMS Francis Lefebvre Avocats, dans Une Cession Presque Parfaite. Et selon lui, ce changement n’est qu’un ajustement politique, pas une renonciation. L’idĂ©e de fond reste intacte : faire contribuer le capital considĂ©rĂ© comme improductif, autrement dit la richesse qui ne travaille pas.


👉 La premiĂšre version du texte visait les sociĂ©tĂ©s Ă  l’IS contrĂŽlĂ©es par des personnes physiques, disposant de plus de 5M€ d’actifs et gĂ©nĂ©rant majoritairement des revenus passifs (dividendes, loyers, placements).

L’objectif : instaurer une taxe annuelle d’environ 2% de la valeur des actifs, non dĂ©ductible de l’IS, une forme d'"ISF corporate".


Ce n’était donc pas un texte rĂ©servĂ© aux grands patrimoines familiaux. Une entreprise post-cession, une sociĂ©tĂ© immobiliĂšre ou mĂȘme une PME disposant d’une trĂ©sorerie importante pouvait ĂȘtre concernĂ©e.


Le recentrage sur les biens de luxe a simplement permis de dĂ©samorcer la tension politique. Car beaucoup d’entrepreneurs, de family offices et de groupes familiaux craignaient une atteinte au capital “jugĂ© improductif”.


Mais le fond du problùme demeure : la frontiùre entre capital "inactif" et capital "productif" reste floue. Et c’est ce flou qui inquiùte les fiscalistes.


⚠ Si le PLF 2026 Ă©choue, le gouvernement pourrait donc rĂ©activer la version initiale par ordonnance.


Et les consĂ©quences seraient lourdes : les montages d’apport-cession deviendraient moins attractifs car garder une holding inerte aprĂšs la vente de son entreprise deviendrait coĂ»teux, et la distinction entre holdings animatrices et holdings passives deviendrait centrale. MĂȘme les structures Ă©trangĂšres contrĂŽlĂ©es par des rĂ©sidents français pourraient ĂȘtre rattrapĂ©es.


✅ Pour les dirigeants, le message est simple : anticiper. Faire un audit de ses structures, activer vos sociĂ©tĂ©s patrimoniales (facturation, animation, gestion), et repenser la gestion de votre trĂ©sorerie. Car la logique qui se dessine, c’est celle d’un capital qui doit circuler.


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❌ En clair, une taxe sur le patrimoine ostentatoire logĂ© dans des structures Ă  l’IS.


Mais attention : si le Projet de Loi de Finances (PLF) n’est pas votĂ©, le gouvernement pourrait revenir, par ordonnance, Ă  la version d’origine — celle d’une vĂ©ritable taxe sur la fortune des sociĂ©tĂ©s. Et il serait naĂŻf de croire que le sujet est clos.


J’ai reçu pour en parler Philippe Donneaud avocat associĂ© chez CMS Francis Lefebvre Avocats, dans Une Cession Presque Parfaite. Et selon lui, ce changement n’est qu’un ajustement politique, pas une renonciation. L’idĂ©e de fond reste intacte : faire contribuer le capital considĂ©rĂ© comme improductif, autrement dit la richesse qui ne travaille pas.


👉 La premiĂšre version du texte visait les sociĂ©tĂ©s Ă  l’IS contrĂŽlĂ©es par des personnes physiques, disposant de plus de 5M€ d’actifs et gĂ©nĂ©rant majoritairement des revenus passifs (dividendes, loyers, placements).

L’objectif : instaurer une taxe annuelle d’environ 2% de la valeur des actifs, non dĂ©ductible de l’IS, une forme d'"ISF corporate".


Ce n’était donc pas un texte rĂ©servĂ© aux grands patrimoines familiaux. Une entreprise post-cession, une sociĂ©tĂ© immobiliĂšre ou mĂȘme une PME disposant d’une trĂ©sorerie importante pouvait ĂȘtre concernĂ©e.


Le recentrage sur les biens de luxe a simplement permis de dĂ©samorcer la tension politique. Car beaucoup d’entrepreneurs, de family offices et de groupes familiaux craignaient une atteinte au capital “jugĂ© improductif”.


Mais le fond du problùme demeure : la frontiùre entre capital "inactif" et capital "productif" reste floue. Et c’est ce flou qui inquiùte les fiscalistes.


⚠ Si le PLF 2026 Ă©choue, le gouvernement pourrait donc rĂ©activer la version initiale par ordonnance.


Et les consĂ©quences seraient lourdes : les montages d’apport-cession deviendraient moins attractifs car garder une holding inerte aprĂšs la vente de son entreprise deviendrait coĂ»teux, et la distinction entre holdings animatrices et holdings passives deviendrait centrale. MĂȘme les structures Ă©trangĂšres contrĂŽlĂ©es par des rĂ©sidents français pourraient ĂȘtre rattrapĂ©es.


✅ Pour les dirigeants, le message est simple : anticiper. Faire un audit de ses structures, activer vos sociĂ©tĂ©s patrimoniales (facturation, animation, gestion), et repenser la gestion de votre trĂ©sorerie. Car la logique qui se dessine, c’est celle d’un capital qui doit circuler.


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Dans le cadre du débat parlementaire, la fameuse "taxe holdings" a été

profondĂ©ment transformĂ©e. Elle ne vise plus les actifs financiers ou immobiliers comme prĂ©vu initialement, mais dĂ©sormais uniquement les biens de luxe dĂ©tenus par des sociĂ©tĂ©s : bijoux, Ɠuvres d’art, voitures de collection, yachts



❌ En clair, une taxe sur le patrimoine ostentatoire logĂ© dans des structures Ă  l’IS.


Mais attention : si le Projet de Loi de Finances (PLF) n’est pas votĂ©, le gouvernement pourrait revenir, par ordonnance, Ă  la version d’origine — celle d’une vĂ©ritable taxe sur la fortune des sociĂ©tĂ©s. Et il serait naĂŻf de croire que le sujet est clos.


J’ai reçu pour en parler Philippe Donneaud avocat associĂ© chez CMS Francis Lefebvre Avocats, dans Une Cession Presque Parfaite. Et selon lui, ce changement n’est qu’un ajustement politique, pas une renonciation. L’idĂ©e de fond reste intacte : faire contribuer le capital considĂ©rĂ© comme improductif, autrement dit la richesse qui ne travaille pas.


👉 La premiĂšre version du texte visait les sociĂ©tĂ©s Ă  l’IS contrĂŽlĂ©es par des personnes physiques, disposant de plus de 5M€ d’actifs et gĂ©nĂ©rant majoritairement des revenus passifs (dividendes, loyers, placements).

L’objectif : instaurer une taxe annuelle d’environ 2% de la valeur des actifs, non dĂ©ductible de l’IS, une forme d'"ISF corporate".


Ce n’était donc pas un texte rĂ©servĂ© aux grands patrimoines familiaux. Une entreprise post-cession, une sociĂ©tĂ© immobiliĂšre ou mĂȘme une PME disposant d’une trĂ©sorerie importante pouvait ĂȘtre concernĂ©e.


Le recentrage sur les biens de luxe a simplement permis de dĂ©samorcer la tension politique. Car beaucoup d’entrepreneurs, de family offices et de groupes familiaux craignaient une atteinte au capital “jugĂ© improductif”.


Mais le fond du problùme demeure : la frontiùre entre capital "inactif" et capital "productif" reste floue. Et c’est ce flou qui inquiùte les fiscalistes.


⚠ Si le PLF 2026 Ă©choue, le gouvernement pourrait donc rĂ©activer la version initiale par ordonnance.


Et les consĂ©quences seraient lourdes : les montages d’apport-cession deviendraient moins attractifs car garder une holding inerte aprĂšs la vente de son entreprise deviendrait coĂ»teux, et la distinction entre holdings animatrices et holdings passives deviendrait centrale. MĂȘme les structures Ă©trangĂšres contrĂŽlĂ©es par des rĂ©sidents français pourraient ĂȘtre rattrapĂ©es.


✅ Pour les dirigeants, le message est simple : anticiper. Faire un audit de ses structures, activer vos sociĂ©tĂ©s patrimoniales (facturation, animation, gestion), et repenser la gestion de votre trĂ©sorerie. Car la logique qui se dessine, c’est celle d’un capital qui doit circuler.


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