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Vous m’avez dit...

#30 - "Je pensais qu’il ne mourrait jamais, tellement je l’aimais."

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04min |14/12/2025
Play
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Description

Vous m’avez dit :
« Je pensais qu’il ne mourrait jamais, tellement je l’aimais. »

Dans cet épisode, j’interroge cette croyance intime que l’amour pourrait suffire à retenir les êtres qu’on aime.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?


👇 En savoir plus juste en dessous


Peut-on aimer au point de conjurer la perte ?

Et que reste-t-il quand la mort emporte l’être aimé, malgré tout ce qu’on lui a donné ?


Dans ce trentième épisode, Amélie Boukhobza explore cette illusion bouleversante : que l’intensité d’un amour pourrait suffire à tenir l’autre en vie.

Et la violence du réveil, quand la mort l’emporte malgré tout.


À partir d’une phrase poignante, elle interroge ce que l’amour contient de besoin, d’abri, d’oxygène – et ce que la perte vient faire vaciller.


Dans cet épisode, il est question :

  • du lien comme point d’ancrage psychique,

  • de la mort vécue comme trahison, surtout quand on est enfant,

  • de la colère qui surgit quand l’absence est insupportable,

  • et de ce qu’on peut faire, quand il ne reste que le manque.


Un épisode pour celles et ceux qui ont aimé si fort…

qu’ils ont cru que ça suffirait à retenir l’autre ici.


Bonne écoute !


Un podcast écrit et présenté par Amélie BOUKHOBZA, psychologue clinicienne et docteur en psychologie


Crédits
Montage : Lucas Martinot
Musique : Jean Manuel Jimenez
Direction artistique : Brigitte Massiot


Retrouvez-moi sur :
Instagram / TikTok / Facebook → @confidences.psy


Et sur le site : www.confidencespsy.fr


Pour ne rien rater, abonnez-vous à ma newsletter du samedi matin :
https://www.confidencespsy.fr/newsletter


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Vous m’avez dit :
« Je pensais qu’il ne mourrait jamais, tellement je l’aimais. »

Dans cet épisode, j’interroge cette croyance intime que l’amour pourrait suffire à retenir les êtres qu’on aime.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?


👇 En savoir plus juste en dessous


Peut-on aimer au point de conjurer la perte ?

Et que reste-t-il quand la mort emporte l’être aimé, malgré tout ce qu’on lui a donné ?


Dans ce trentième épisode, Amélie Boukhobza explore cette illusion bouleversante : que l’intensité d’un amour pourrait suffire à tenir l’autre en vie.

Et la violence du réveil, quand la mort l’emporte malgré tout.


À partir d’une phrase poignante, elle interroge ce que l’amour contient de besoin, d’abri, d’oxygène – et ce que la perte vient faire vaciller.


Dans cet épisode, il est question :

  • du lien comme point d’ancrage psychique,

  • de la mort vécue comme trahison, surtout quand on est enfant,

  • de la colère qui surgit quand l’absence est insupportable,

  • et de ce qu’on peut faire, quand il ne reste que le manque.


Un épisode pour celles et ceux qui ont aimé si fort…

qu’ils ont cru que ça suffirait à retenir l’autre ici.


Bonne écoute !


Un podcast écrit et présenté par Amélie BOUKHOBZA, psychologue clinicienne et docteur en psychologie


Crédits
Montage : Lucas Martinot
Musique : Jean Manuel Jimenez
Direction artistique : Brigitte Massiot


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Vous m’avez dit :
« Je pensais qu’il ne mourrait jamais, tellement je l’aimais. »

Dans cet épisode, j’interroge cette croyance intime que l’amour pourrait suffire à retenir les êtres qu’on aime.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?


👇 En savoir plus juste en dessous


Peut-on aimer au point de conjurer la perte ?

Et que reste-t-il quand la mort emporte l’être aimé, malgré tout ce qu’on lui a donné ?


Dans ce trentième épisode, Amélie Boukhobza explore cette illusion bouleversante : que l’intensité d’un amour pourrait suffire à tenir l’autre en vie.

Et la violence du réveil, quand la mort l’emporte malgré tout.


À partir d’une phrase poignante, elle interroge ce que l’amour contient de besoin, d’abri, d’oxygène – et ce que la perte vient faire vaciller.


Dans cet épisode, il est question :

  • du lien comme point d’ancrage psychique,

  • de la mort vécue comme trahison, surtout quand on est enfant,

  • de la colère qui surgit quand l’absence est insupportable,

  • et de ce qu’on peut faire, quand il ne reste que le manque.


Un épisode pour celles et ceux qui ont aimé si fort…

qu’ils ont cru que ça suffirait à retenir l’autre ici.


Bonne écoute !


Un podcast écrit et présenté par Amélie BOUKHOBZA, psychologue clinicienne et docteur en psychologie


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Montage : Lucas Martinot
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Vous m’avez dit :
« Je pensais qu’il ne mourrait jamais, tellement je l’aimais. »

Dans cet épisode, j’interroge cette croyance intime que l’amour pourrait suffire à retenir les êtres qu’on aime.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?


👇 En savoir plus juste en dessous


Peut-on aimer au point de conjurer la perte ?

Et que reste-t-il quand la mort emporte l’être aimé, malgré tout ce qu’on lui a donné ?


Dans ce trentième épisode, Amélie Boukhobza explore cette illusion bouleversante : que l’intensité d’un amour pourrait suffire à tenir l’autre en vie.

Et la violence du réveil, quand la mort l’emporte malgré tout.


À partir d’une phrase poignante, elle interroge ce que l’amour contient de besoin, d’abri, d’oxygène – et ce que la perte vient faire vaciller.


Dans cet épisode, il est question :

  • du lien comme point d’ancrage psychique,

  • de la mort vécue comme trahison, surtout quand on est enfant,

  • de la colère qui surgit quand l’absence est insupportable,

  • et de ce qu’on peut faire, quand il ne reste que le manque.


Un épisode pour celles et ceux qui ont aimé si fort…

qu’ils ont cru que ça suffirait à retenir l’autre ici.


Bonne écoute !


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