Speaker #0Bienvenue dans Whole Spectrum, un portail où ensemble on va explorer qu'est-ce que ça veut dire d'être une créature multidimensionnelle aujourd'hui, à l'âge du verso. Je m'appelle Beata Ayaman, je suis à la fois thérapeute, guérisseuse, mais surtout psychonote, exploratrice de la conscience, et je t'emmène. dans des plongeons pour comprendre le cause à effet de l'énergie qui se déploie du très très dense à l'infiniment subtil. J'ai hâte de continuer la discussion ensemble en commentaire. Merci pour tous vos partages, votre accueil, votre enthousiasme et on va commencer par plonger. On prend une grande inspiration et on est parti. Bienvenue dans cet épisode, c'est une joie de vous retrouver aujourd'hui pour parler d'un sujet fondamental. Et aujourd'hui on va s'installer ensemble pour aller faire un face-à-face plein d'amour, de compassion et de compréhension de la souffrance. Alors on va peut-être falloir qu'on... Qu'on y aille doucement, parce que c'est un sujet sur lequel il y a tellement de phrases volatiles. On dit tellement souvent des phrases comme « tout est juste » et des choses comme ça. Et là, moi, mon but, c'est de vous donner une perspective multidimensionnelle sur la fonction de la souffrance dans ce plan-ci, pour vous donner de la force, pour vous donner du courage, que vous ayez... Cette perspective qui vous permet de voir que les choses arrivent pour vous, pour votre higher self, pour votre conscience supérieure, pour des raisons très spécifiques. Et je me doute que vous savez déjà ces choses, mais c'était important pour moi de les reposer dans cet espace, un peu comme une brique fondamentale avant qu'on puisse partir sur d'autres explorations. Ça me paraît particulièrement important de le faire en ce moment. Parce que dans la sphère du développement personnel, dans la sphère de la spiritualité, en ce moment il y a aussi le phénomène de l'adoration de la manifestation. En ce moment il y a un gros engouement pour on créer notre réalité, le pouvoir de notre pensée créative. Et je sais que la question fondamentale c'est « mais du coup ? » Si je crée ma réalité, si je manifeste avec ma fréquence, pourquoi passer du temps avec mon ombre ? Pourquoi passer du temps avec la souffrance ? Pourquoi sentir les choses qui sont comme l'agonie, la désespérance, le désarroi, la terreur ? Et donc, souvent, dans les espaces que je tiens, que ce soit en retraite, Que ce soit en séance individuelle, dans les stages, dans mes formations en ligne, tout le temps, je tiens la main des gens et on crée tout ce qu'il faut comme paramètre de sécurisation, se sentir vraiment en confiance pour aller faire confiance à la souffrance. Et se dire, si c'est là, c'est pour une raison. J'ai envie de commencer par une anecdote personnelle, douce, pour tranquilliser l'espace. L'anecdote, c'est quand j'étais petite, je dormais seule dans une chambre et ça m'arrivait souvent d'avoir peur de ce qui se passait dans les coins de la pièce, dans le noir. Et ma mère n'a pas allumé la lumière pour me réconforter. Elle m'a dit « Va mettre ta main dans l'endroit qui te fait peur. » Et à partir de là, en fait, toute petite, j'ai vraiment compris ce qui nous terrifie, ce qui nous fait agoniser. C'est souvent parce qu'on n'a pas eu ce contact, cette rencontre, ce point de rencontre, qui fait que ce qui était terrorisant, ce qui était effrayant... à distance et avec mécompréhension mes connaissances, une fois qu'on vient rencontrer la vraie rencontre, la vraie rencontre sincère où on est avec, dilue l'aspect terreur et dilue la terreur, la souffrance. Et je crois que de toute ma vie, je n'ai pas arrêté de faire ça. Quand je remarquais que j'avais quelque chose qui me terrifiait, quand j'avais quelque chose qui me faisait agoniser, j'allais le rencontrer. Et à chaque fois, je passais par un sas forcément de contraction, je me débat, je ne suis pas satisfaite de l'expérience, j'essayais un peu d'y résister. Mais dans la non-résistance et dans la rencontre avec ce qui fait peur ou mal ou... ce qui crée de la séparation, il y a toujours eu un miracle, une récupération d'une partie de moi, un cadeau de compréhension sur la nature des choses, une expansion de conscience. C'est extrêmement fertile, ce processus. Et je me doute que dans votre esprit, quand vous entendez ça, vous êtes en train de penser à l'alchimie, vous vous dites « oui, c'est ça, on prend le plomb et on le transforme en or » . Mais dans cet épisode, je vais quand même parler un petit peu de l'intensité de nos câblages et nos programmations souffrance, pour pas banaliser l'exercice qu'on est tous en train de faire ici sur Terre, et au contraire le sacraliser et vraiment avoir une révérence pour chacun d'entre nous qui sommes en train de passer une initiation fondamentale. C'est pour ça que j'ai appelé cet épisode la médecine de la souffrance. Parce que c'est vraiment un sac initiatique, et la souffrance est la médecine. De la même façon qu'on va aller faire des expériences initiatiques auprès d'un maître, ou d'une plante médecine, d'une pratique qui nous confronte à notre égo, qui nous confronte à nos résistances, nos croyances, pour nous faire évoluer, pour nous faire nous développer. C'est exactement la même chose sans rien prendre, juste faire la vie, parce qu'on est tous programmés à être particulièrement sensibles à des choses. Avant de plonger dans ces détails-là, de comment est-ce qu'on est programmé, comment est-ce qu'on peut savoir ses sensibilités et ce qui est prévu dans cette initiation, on va d'abord faire un petit zoom-out. On va faire un zoom-out pour revenir dans la notion multidimensionnelle. Dans le premier épisode de ce podcast, j'ai expliqué les différentes dimensions. Et je ne sais pas si ça vous est bien arrivé comme concept, si vous avez bien atterri et intégré ça, mais c'est l'information que nous sommes, tu es, je suis, simultanément tous les plans. Ce n'est pas comme si c'est linéaire de un jour j'aurais suffisamment transmuté mon karma et j'ascensionnerais au plan supérieur. C'est pas du tout comme ça que ça fonctionne. C'est, en fait, tu es juste une partie d'un organisme total, et ta partie ne perçoit pas le tout, mais tu es déjà en train d'être dans le corps de bliss, de sagesse, dans le corps de béatitude, pardon, dans le corps de la source, tu es dedans, déjà. Donc si on part de ce principe-là que tu es déjà les autres plans, il y a quelque chose à vraiment mesurer sur l'utilité de toi dans ce plan-ci maintenant, la fonctionnalité de toi dans ce plan-là. Et c'est là en fait que c'est trop joli parce que notre ego il est en mode « Non, je veux sortir ! Je veux aller faire l'expérience du corps de béatitude, je veux pas être ici ! » Je comprends. C'est une sacrée expérience ici. Mais venez, on va... On va refaire ce petit voyage dans les dimensions pour comprendre quelque chose un peu différemment. Tu es déjà, tu te vis, vraiment c'est toi, c'est pas un archange au-dessus de toi, c'est tu es l'archange, tu es déjà les guides. Et c'est comme si tu étais un envoyé spécial. Moi, j'adore, dans mes séances individuelles, donner l'image, la métaphore d'un plongeur. Un plongeur qui fait vraiment, avec un palme tuba, qui va profond, profond plonger sous marine. Et vous savez, en général, il y a un petit bateau à côté du plongeur dans lequel il y a tous ceux qui monitorent est-ce que ça va la pression, est-ce qu'il a assez d'oxygène. Et ça, on pourrait imaginer que toi, en fait, tu es le plongeur et tu es venu en eau profonde faire une expérience dans la séparation, mais tu es aussi tous ceux qui sont sur le bateau en train de monitorer. Ah, alors, qu'est-ce qui se passe ? Tu es tout. Tu es toute la chaîne. Donc, à partir du moment où tu réalises que tu es toute la chaîne, peut-être que dans notre système, on peut relâcher, apaiser. Cette énergie de « on se débat pour aller ailleurs » . Apaiser l'énergie de « on résiste à ce qui est proposé ici » . Et un petit peu taquine, j'aime bien dire, de la même façon que quand tu vas à la neige, tu sais que le programme, il va faire froid, ça va mouiller, ça glisse. prends ton programme si t'es allé à la neige vas-y fais l'expérience pareil là il me vient les bains froids quand tu vas dans le bain froid tu t'attends pas à une expérience de jacuzzi tranquillouche non tu sais que c'est le bain froid tu sais que c'est le moment où tu vas respirer plus calmement tu vas détendre tes pores tu te mets dans l'expérience du froid glacial qui te congèle Et vous savez très bien du coup, avec ces deux petits exemples, que quand on se détend dans ce qui est et qu'on prend le programme, l'expérience elle passe beaucoup beaucoup plus facilement. C'est la résistance et c'est la non-acceptation du programme qui fait que c'est imbuvable. Si t'es dans le bain froid et... et que tu t'agites en disant c'est dans deux secondes que je sors, oui effectivement, là ça va être très très compliqué. Donc maintenant si on revient au plan multiplan, et qu'on se dit donc dans le plan dense, le programme par rapport aux autres dimensions, c'est ici c'est la séparation et c'est la souffrance. C'est pas que la souffrance, mais c'est un espace dans lequel la souffrance Merci. est programmée, elle est comme prédisposée. Et je vais vous expliquer après comment vous, vous pouvez un peu commencer à l'appréhender dans votre propre programme, votre propre incarnation. J'adore parce que dans la tradition bouddhiste, le Bouddha l'explique dans les piliers fondamentaux du bouddhisme. Il y a, information numéro une, un peu comme le manuel de « bonjour, qu'est-ce qu'on fait ici ? » Ici, c'est la souffrance. Ok. Et après, bien sûr, il dit comment gérer ça. Mais ce que je trouve très très intéressant, c'est que dans cette perspective-là bouddhiste, il y a du coup une forme de détente dans « on m'a pas menti sur le programme, je sais que c'est ça, je m'en occupe, je remonte mes manches, je m'installe pour vivre ça » . Allez, un peu comme quand tu vas dans une maison hantée, tu... tu te prépares à avoir peur. Ok. Et du coup, tu peux presque en profiter. Il y a quelque chose de très très intéressant qui s'est installé dans le maillage de cette réalité-là, c'est le paradigme judéo-chrétien du paradis et de la chute du paradis. L'idée que si l'humain est sur Terre, c'est qu'il a fait une bêtise, qu'il a péché, qu'il a fait une erreur fondamentale et qu'il est du coup sur Terre comme une punition, une damnation et qu'il doit récupérer sa place au paradis avec une bonne action sur Terre. Ce n'est pas du tout la même information dans d'autres traditions. Le zen, il n'y a pas ça. Le bouddhisme, il n'y a pas ça. C'est important pour vous qui écoutez, je pense que la majorité, vous êtes de descendance judéo-chrétienne, en Europe, Québec, Belgique, tous ces trucs-là, c'est majoritairement judéo-chrétien d'influence, même si tu es athée, même si tu es agnostique, ce mythe du paradis, il... Il vibre dans la structure inconsciente. Et vous savez jusqu'où il vibre ? Qui a un iPhone ou un MacBook ? Est-ce que vous voyez la pomme, le logo de la pomme croquée ? Ce n'est pas la pomme de Newton. Ce n'est pas la pomme de la découverte de la gravité. C'est la pomme de Adam et Eve, parce qu'elle est croquée. Donc c'est comme s'il y avait un... très sourd martelage de cette information de des tombées du paradis. Et en plus, quand je vis en France, il y a des Christ crucifiés partout, il y a des informations de cette damnation d'être ici, et il faut vraiment faire des prouesses extraordinaires pour pouvoir retrouver la source, la divinité, Dieu, l'origine, le paradis. Ça fait quelque chose de très très différent sur l'expérience de la souffrance. Vous savez pourquoi ? Parce que d'un seul coup, c'est comme si le feu était monté sous nos fesses. Imaginez, on a des petites casseroles en train de bouillir. D'un seul coup, il y a double dose de fuego, parce qu'on rajoute la culpabilité, on rajoute la honte, et la profonde sensation d'être un échec, d'être une erreur, d'être une anomalie. d'être quelque chose qui a fauté. Toutes les séances, toutes les séances que je fais, toutes les retraites que je fais, l'agonie de faire un face-à-face avec sa souffrance ou sa dépression ou sa difficulté, par exemple, dans la structure entrepreneuriale, dans le business, la faillite, les trucs comme ça. La raison pour laquelle les gens sont encore plus sur le grill, plutôt que faire des face-à-face avec ce qui se passe, avec une forme de contemplation qui permet de sentir les choses calmement, c'est cette dose de honte et de culpabilité. Et moi, je ne suis pas trop du genre à parler de tout ça, c'est orchestré, c'est les satanistes. Je ne suis pas du tout dans cette mouvance-là, parce qu'en fait, moi, je suis très non-duelle. Je suis à la fois alchimiste, mais très non-duelle. Et pour moi, il n'y a pas une manipulation de l'histoire et une manipulation de l'ordre des choses pour vous faire plus souffrir, avec une forme de force malveillante qui essaierait de faire ça. Pour moi, c'est juste la logique de la force créative. qui update le software, qui update le programme dans le plan dense pour continuer à créer des opportunités d'expansion, des opportunités de polarisation qui vont faire rencontrer des contrastes et donc des expériences encore plus diverses et variées. On va faire une petite pause là et parler des polarités. C'est pas forcément l'objet de cet épisode, donc je ferai un épisode particulier sur ça. Le rôle de la polarité ici dans le danse, les paradoxes et ce que ça nous permet, les trucs comme ça. Mais là maintenant tout de suite, ce qui est vraiment important à comprendre, c'est si tu n'es pas que ton plan danse et que tu es tout le temps tous les autres plans, ce plan danse c'est un sas d'expérimentation, de rencontre, on goûte. Il y a tout ce que le danse permet, le fait qu'on soit séparés, qu'on puisse se pousser. Est-ce que tu as déjà réalisé ça ? Au-delà du danse, quand tu quittes ton corps physique, il n'y a plus la possibilité de pousser sur les choses, on ne peut plus avoir l'expérience du contraste de la même façon. Donc il y a quelque chose d'extrêmement spécifique qui est à l'œuvre ici, dans cette dimension-là, où on est tous ensemble. Parce qu'on est tous ici pour faire l'expérience de ces contrastes, de cette différence, de la séparation, de la polarisation homme-femme, de la polarisation bien-mal, de la polarisation méchant-gentil. Ça ne veut pas dire qu'elles sont vraies. C'est des paramètres d'expérimentation. Parce qu'on n'est pas ça. Les éléments supérieurs, les forces, les courants supérieurs désirent Se connaître, désir, goûter à une infinité d'expériences, et nous sommes cette expérience. Peut-être qu'on peut respirer un petit peu là, et prendre un petit moment pour intégrer ça. Tu n'as pas fauté, information numéro 1. T'es pas tombé du paradis parce que t'as fait une connerie. Y'a pas besoin de sortir d'ici pour aller dans un endroit meilleur, parce qu'en fait, t'y es déjà. Il n'y a pas besoin d'être dans la honte et la culpabilité de ton expérience. Au contraire, il y a quelque chose d'extrêmement spécifique qui est en train d'avoir lieu dans ton expérience. Elle est tissée par maîtres de... Ça c'est un chef-d'œuvre de génie. ce qui a orchestré ton incarnation. Maintenant, on va aller un petit peu là-dedans. Chaque individu qui s'incarne a un codage, un encodage spécifique qui tire l'individu entre des polarités. Est-ce que tu as déjà remarqué, si tu t'es intéressé à l'astrologie, au human design, à tes jinkies, que tu es bourré de paradoxes ? Et si t'es pas bourré de paradoxes dans tes étoiles, t'es bourré de paradoxes entre tes étoiles et ton contexte. Par exemple, t'es ultra sensible et t'es ultra yin, et tu vas être incarné dans une famille de gens ultra yang, ultra dans la performance, ultra dans une énergie très peut-être même athlétique. Et c'est pas toi, c'est pas ton calibrage. et du coup... Voilà l'expérience qui est programmée pour permettre une mesure, connaître quelque chose. Et vraiment intégrer que cette mesure n'est possible que dans ce plan-ci. Dans les autres plans, la mesure est beaucoup plus difficile, puisqu'il n'y a plus le même degré de séparation, il n'y a pas les mêmes sensations. Il n'y a pas la notion du temps. C'est très très difficile de mesurer les choses, de les comprendre, de les connaître. Il y a d'autres formes de connaissances. Mais la connaissance est générée ici. Donc chaque individu est comme tiré entre un plus et un moins, entre un... une tendance plus extravertie, une tendance plus introvertie, une tendance plus besoin de se protéger et en même temps besoin d'aller exprimer ses dons à l'extérieur. Tout est fait pour que tu sois un amas de polarité séparée, opposée et contrastée. Donc c'est une configuration propice. aux tiraillements, propices à la sensation d'inconfort, propices à la sensation de... Ça tire ! Ça tire ! Et ensuite, tu rajoutes à ça des tiraillements extrêmement sophistiqués qui sont élaborés avec ce qu'on appelle le karma et les vies passées que tu peux voir dans ta carte astrale, par exemple avec Chiron, ton nœud nord, des trucs comme ça. Lilith. Même en astrologie jyotiche, il y a des placements en astrologie... comment ça s'appelle si c'est pas j'ai eu tiche ? Védique, astrologie védique. Donc c'est pas une question d'astrologie, c'est vraiment dans tous les systèmes de lecture de votre incarnation et du plan qu'il y a à l'œuvre ici, il y a vraiment la démonstration de nous sommes tous venus avec un calibrage assez sophistiqué de plus et de moins, de contraste, et en plus de ces doses... d'hypersensibilité préprogrammée par le karma et par les vies passées, qui crée encore plus de contrastes, encore plus de prédisponibilité à la souffrance. Je vous donne un exemple. Moi, dans ma lignée, il y a vraiment la notion d'exil, la notion de... Il y a eu des fuites par rapport à la guerre, il y a eu besoin de fuir la guerre, il y a eu besoin de... d'être exilée des communautés pour X raisons, vie passée ou transgénérationnelle. Là, ce que je vous dis, c'est vraiment mon pré-programmage, il m'amène à ça. Ma vie n'est qu'une expérience de me faire confiance et de trouver mon amour propre et ma place dans une communauté avec cet amour propre, malgré toutes ces prédispositions à la terreur de l'exil, à la terreur de différence, de ne pas appartenir. Et comme par hasard, je suis super différente. Je suis quelqu'un qui capte de ouf l'astral, l'invisible, la télépathie. Et du coup... Toute ma vie, ça a été comment je me place, comment je me place, et beaucoup de souffrance liée à ça. Mais c'est un programme. Et si je peux m'apaiser, connaître, et m'apaiser dans c'est le programme, prends le programme, sans le voltage de la séparation, parce qu'il n'y a que toi qui es programmé comme ça, pour sentir ça. Je vais répéter ça, c'est assez important. Il n'y a que toi qui est pré-programmé pour ce que tu sens qui est tellement intense en toi. Donc c'est extraordinaire, c'est un joyau tellement précieux que je vous invite à chérir, honorer comme un chef-d'œuvre. Vraiment, mais c'est une masterpiece. Il n'y a que toi qui est calibré pour sentir ce voltage d'intensité de cette douleur-là. C'est pour ça que c'est hyper difficile. d'être rencontré et d'être soutenu quand on souffre. Vous avez remarqué que soi-même, propre souffrance, c'est comme s'il n'y avait jamais vraiment personne qui la comprenait, qui mesurait. Et c'est pour ça que c'est vraiment une initiation majeure ce qui se passe ici, parce que c'est le cheminement vers un amour supérieur de ton expérience, un amour supérieur de ce que tu sens. malgré le fait que quand tu vas partager ce qui t'arrive, quand tu vas vraiment essayer de communiquer, de trouver un soutien externe, oui, il y a de la résonance. Il y a des gens qui ont de la compassion, il y a des gens qui ont vécu des trucs similaires. Mais par contre, le voltage, et là, je parle vraiment de pression dans tes artères, je parle de l'électricité qui te parcourt quand ces sensations-là montent, quand tes réactions se produisent, quand par exemple la phobie que tu as se... produit, quand la douleur de la séparation se produit, quand l'intensité de ta honte ou de ta timidité se produit, il n'y a que toi qui le sens ça comme tu le sens. Parce que tu es prédisposé avec du transgénérationnel qui fait qu'il y a une forme d'addition, de pression sur ce sujet-là, les vies passées qui font qu'il y a une addition de pression sur ce sujet-là et ton calibrage on va dire ta... carte bleue, ta carte identitaire d'âme. Je dis bleue parce qu'en anglais on dit blueprint. Your soul blueprint. Ça, il n'est que toi qui peux le sentir. Tu es le plongeur en eau profonde qui a été choisi pour sentir ça. Pour l'organisme que tu es déjà. Alors, je serais très curieuse de voir qu'est-ce qu'on pourrait imaginer comme créature qui pourrait être ce grand tout. Et nous, on est comme... Est-ce qu'on est le neurone ? Est-ce qu'on est le capteur d'émotions ? Est-ce qu'on est le capteur de sentir dans le grand organisme, dans le grand rêveur ? Il y a des gens qui considèrent que la source rêve. Des fois, on peut parler en termes de programmation ordinateur, ça aide vraiment. Je ne pense pas que la source est comme un ordinateur, mais le langage informatique aide vraiment entre programme, data, software. Ça aide vraiment à parler de coder. Ça aide à parler de ce qui se passe dans la réalité physique. On est ce capteur qui sert à ça. Vous avez déjà entendu parler du fait que les émotions ne sont pas accessibles aux autres plans. que dans le plan dense qu'on a l'émotionnel. Alors oui, il y a une couche astrale émotionnelle, mais c'est comme si c'était le résidu, c'est comme si c'était la projection énergétique hors du dense de ce qu'on vit ici, dans le physique, le dense. Au-delà de ces deux couches-là, après il y a le plan mental de toute cette énergie très... qui essaie de connecter les points, qui essaie de raisonner, de comprendre, vraiment très mental, mentaliste. Et ensuite après, il y a d'autres corps, béatitudes, etc. Vous les connaissez, je suis sûre, si vous êtes là. Mais tu es déjà ces corps-là. Tu es tous ceux-là en même temps. C'est vraiment une mission spectaculaire d'être un être humain. Il y a quelque chose de vraiment particulier au fait qu'on n'est pas un manuel qui nous dit ça très clairement. Vous savez pourquoi on ne sait pas ça à la naissance ? Pourquoi on ne nous dit pas, hey, c'est une simulation ou c'est un rêve, vas-y, t'inquiète, ce n'est pas grave ce qui t'est arrivé. Sens-le juste. Mais parce que sinon, tu ne le sens pas. Tu ne te laisses pas vivre le truc avec la même intensité. Il y a quelque chose dans l'intensité qui est désiré. Que tu vives vraiment l'expérience. Parce que c'est que ici que tu peux la vivre. Peut-être que cette information-là, elle peut être un game changer pour vous. On ne te l'a pas dit que c'était le programme, parce qu'en fait, c'est la preuve qu'il faut juste que tu le sentes. Et du coup, est-ce que je suis en train de faire une connerie avec un épisode comme ça ? Je me suis longtemps posé la question, parce que je fais confiance à la structure hermétique, qui dit, on dévoile l'information que... à ceux qui ont suffisamment cheminé, qui sont suffisamment initiés pour utiliser cette information avec un degré de conscience ultra responsable et vraiment aligné avec les principes de la conscience supérieure qui sont la vérité pure et la capacité à être dans un état d'équanimité et de présence avec ce qui est. Mon avis, c'est que... vu la structure de mon podcast, vu les trucs dont je parle, si vous en êtes là, donc à peu près à une demi-heure, et que vous écoutez ces trucs-là, c'est que vous êtes à peu près de ce degré de conscience-là. En général, on m'a souvent dit qu'on ne me comprenait pas. Et ça fait partie en fait de cette perfection. Oui, oui, ceux qui ne me comprennent pas, c'est parce qu'il y a des petits jalons. pour accéder à ce genre de connaissances-là qui sont encore en maturation en toi. Si par exemple, tu as vraiment du mal à comprendre ce dont je parle, ce n'est pas une erreur, ce n'est pas du tout une question de... Il te manque quoi que ce soit, c'est plus ta conscience, elle est encore en train de faire l'expérience d'autres choses, il faut être là. Donc, si vous vous écoutez ça, c'est que vous êtes prêts à embrayer une relation différente. avec les initiations de votre vie et les initiations de ce monde-ci, tout ce qui se passe, la guerre, le conflit. Alors quelque chose de très très important, c'est pas parce qu'on sait ça et qu'il y a une forme de relativité, mais c'est une expérience qu'il ne faut pas sentir et qu'il ne faut pas continuer d'être dans l'expérience profonde de ce qui est. On ne peut pas juste se dire, maintenant je peux minimiser, maintenant je peux banaliser mes épreuves et les regarder avec une forme de dédain. Est-ce que vous comprenez pourquoi ce n'est pas le sujet ? Puisqu'on veut que tu expérimentes ici. Moi, ce qui me fascine, dans mon expérience personnelle, c'est que malgré cette connaissance-là, ultra lucide, depuis au moins cinq ans, je sais ça, mais genre, c'est genre, ok, je sais. J'ai compris. À force de cheminer, j'ai vraiment embrayé. Ça me fascine comment mon karma et ma souffrance me rattrapent, peu importe, en fait. On ne peut pas éviter. C'est tellement bien fichu. Et moi, à chaque fois, je suis vraiment impressionnée par la charge énergétique de ce que j'appelle les trans-karmiques qui vont me faire vraiment aller dans des épreuves, aller dans des espaces initiatiques pour sentir les thématiques. de mon incarnation. Et systématiquement, c'est comme si l'intensité des magnets, des aimants qui t'amènent vers ces situations-là est de plus en plus irrésistible. Il y a des phénomènes fascinants de perte de lucidité dans ces moments-là. T'as beau être ultra avancé en méditation, en self-control, t'as une ultra bonne maîtrise de ton système nerveux, le moment où l'univers a calibré une initiation pour toi, pour que tu sentes ce programme qui a l'œuvre en toi, tu ne peux pas y échapper. Et c'est là où il faut avoir infiniment de compassion parce qu'en fait c'est « Ok, let it happen » . Laisse-le avoir lieu, laisse la vie se dérouler. C'est parfaitement orchestré pour que tu sentes que tu matures. Est-ce que du coup le sujet c'est « il faut sentir toute la souffrance, tristesse » ? Pas du tout. Donc c'est là où les enseignements bouddhistes sont quand même sacrément bien fichus. Il faut trouver cette équanimité, c'est la capacité à être avec. La capacité à, par exemple, j'aimerais trouver un exemple. Je vais prendre un exemple de la faillite et de quand on a ultra peur de manquer d'argent et qu'on est vraiment, mais on a le sang qui glace, il y a tout le stress de comment je vais nourrir ma famille. Qu'est-ce qui va se passer ? C'est la catastrophe. Est-ce que le sujet, c'est par exemple, maintenant qu'on sait ce que je viens d'exposer, est-ce que c'est de... un peu se gargariser de cette souffrance et de faire genre, oh, l'univers, il veut que je sente ça. Pas vraiment. C'est pas vraiment d'en remettre plus. Mais regardez, qu'est-ce qui se passe quand on va vraiment se poser avec quelque chose ? mais d'une indescriptible intensité, d'une agonie, d'une terrifiante terreur. Qu'est-ce qui se passe vraiment quand tu restes avec ? Et moi, j'ai un énorme privilège, c'est qu'en séance individuelle, chaque séance, c'est ça. J'ai l'honneur d'être témoin de gens qui ont le courage de faire face à leur bête noire. J'ai l'honneur de voir... ces moments-là, où la personne, parce qu'on est ensemble, qu'on a créé un contexte super sécurisant, super safe, qu'on y va step by step, qu'on respire, et qu'on est dans l'honnêteté radicale, qu'on ne fait pas semblant, qu'on ne fuit pas, parce que c'est le périmètre, c'est là l'été en séance, vas-y, fuis pas, reste, reste, on va voir, on pose des questions, on interroge, qu'est-ce qu'on sent vraiment, qu'est-ce qu'on sent vraiment ? La personne est comme d'un seul coup exposée. à une intensité énergétique méconnue par son système, une nouvelle réalité de voltage et elle est capable de rester avec. C'est vraiment comme une mutation d'un seul coup la personne, quand elle est face à sa pire souffrance, si elle est capable d'y aller avec stabilité, équanimité, vérité, authenticité. Je ne fais pas ça pour faire aller plus vite. J'y vais vraiment avec sincérité. Ça me pétrifie, ce sujet. Et je vais sincèrement avec tout ce que je sens. Je ne fais pas semblant. J'y vais avec tout ce que je sens et j'écoute. Je ne déforme pas. Sincérité totale de tout ce que je sens. Souvent, les gens en séance, ils sont comme ça. Il y a des gens qui purgent. Il y a des gens qui pleurent. Il y a des gens qui ont envie de se barrer de la séance. Il y a des gens qui se barrent de séance. Mais en fait, ceux qui restent et qui vont jusqu'au bout, il y a ce moment qu'on pourrait appeler une épiphanie, où ils voient, comme quand moi j'ai mis ma main dans ce qui fait peur, ils voient « Ah c'est toi, je te vois » . Et le moment de rencontre... Il fait que la personne mesure son énergie, sa propre énergie, sa propre capacité, puisqu'elle est capable d'être avec. Et ce qui se passe systématiquement, c'est une forme de remembrance, une forme de « Oh, je suis ça ! » « Je suis ce voltage-là ! » Et il y a un souvenir extrêmement précis de ce qu'on est bien au-delà de ce corps physique. Il y a vraiment, d'un seul coup, c'est boum ! On fait un saut quantique. On est d'un seul coup aussi large que le voltage, que ce que l'on sent, mais pas avec la terreur, juste avec l'énergie, qui n'a plus de qualité, elle est pure énergie. Elle n'est ni terrifiante, ni agonie, ni dépression, elle est juste énergie de très très haute intensité. Et on est avec, même. Et donc tu la récupères. Vous savez peut-être que Eckhart Tolle... qui a écrit Le pouvoir du moment présent. Il a fait son saut quantique, alors qu'il était ultra dépressif. Il était suicidaire, il ne quittait pas sa maison, broyé du noir. Et en fait, un jour, il a choisi... ce courage de rester avec. Et il a été tellement imbibé, électrocuté par la charge énergétique qui est là qu'il s'est réveillé à sa nature supérieure. Ce qui donne Écartolé aujourd'hui. L'histoire, c'est qu'il a passé deux ans sur un banc en pure contemplation de la réalité. Il était tellement touché. Parce qu'ils voyaient maintenant avec ce regard neuf, ce regard à ce voltage-là, ils voyaient tout différemment. Et ça, c'est disponible à tout le monde. Et ce que j'aimerais juste poser là dans l'espace, c'est vous êtes parfaitement initiés. C'est-à-dire que vos petites brouilles, vos petites frustrations, elles vous musclent. Et un jour vous aviez un gros mastodonte d'initiation et vous êtes prêt parce qu'il y a eu déjà des préparations. C'est très rare que vous vous retrouvez face à un gros mastodonte sans aucune préparation. Tout vous prépare parfaitement pour vos initiations. Et si vous avez la sensation de ne pas avoir encore réussi à être avec votre souffrance, si vous n'avez pas encore réussi à faire ce truc de je sens sincèrement, je ne fuis pas, je ne me distrais pas. c'est que vous êtes encore en train de muscler ce qui va être nécessaire pour ça. Tout va bien. Le timing est d'une perfection ultra sophistiquée et nous sommes tous en train de se sentir par des chemins très différents. Ce qui fait que du coup, des fois, on peut se sentir très très très seul dans son propre chemin, mais c'est parfait. Parce que comme ça, il n'y a pas la distraction de « Hey, on y va en équipe, allez, hop là ! » Non ! Tu dois le sentir. Maintenant, si on revient à la notion de la source qui s'expérimente dans le multiplan, en fait, t'es la force qui lui permet de se voir. Seulement si t'as cette force de volonté et cette sincérité pour rester avec. rester face à ta bête noire, rester face à la souffrance, rester face à ce qui est... ça tire. C'est comme si dans ces moments où on le fait, l'image que j'ai moi, c'est comme si les yeux de la source étaient bien en face des yeux, bien en face des trous. Et que tant qu'on fait pas ça, la source elle est comme un tâton. dans une espèce de brouhaha, de distraction, d'addiction, on fait plein de trucs, mais on ne sent pas vraiment les choses qu'elle a créées. On ne sent pas vraiment... Oh my God, il y a un énorme lézard ! Je l'encontre. Pardon. On ne sent pas ce qu'elle a créé. On est dans la source. Elle a tout créé. Donc, il n'y a pas de problème, elle est aussi en train de goûter à nos distractions, à nos addictions, etc. Mais si vous cherchez comment revenir à une forme de plénitude, il y a quelque chose à expérimenter dans ce face-à-face, cette rencontre avec la souffrance. Alors pour doucement intérir l'épisode, c'est quoi les choses qu'on peut faire pour faire ce processus le mieux possible ? Il y a une loi énergétique qui est, quand on va de plus en plus être branché à notre conscience supérieure, mentir et déformer la réalité est impossible. Je vais vous expliquer pourquoi. Quand tu n'es que ton corps astral, tu es pure énergie. Toute ton énergie est communiquée sans équivoque tout autour de toi. C'est techniquement ce qu'on est en train de faire, nous aussi, là tout le temps, sauf qu'on n'est pas mature et on n'est pas développé pour sentir ça tout le temps. Mais si on était de plus en plus sensibles à l'énergie, quand on est les uns à côté des autres, il serait techniquement absolument impossible de mentir ou de déformer la réalité. Donc par exemple, si tu sens quelque chose, c'est communiquer avec ton écosystème illico. Impossible de mentir, de diluer, d'enjoliver, c'est juste, c'est ça, information énergétique, broadcastée. Donc en fait, la raison pour laquelle c'est sublimissime de faire cet exercice, de pouvoir être avec ce qu'on sent et de le sentir vraiment comme c'est, sans enjoliver, sans se distraire, sans faire semblant, être dans cette authenticité. et pas partir vers des addictions, etc., c'est qu'en fait, ça nous entraîne. C'est la gym, c'est l'espace où tu muscles ta capacité à être vraiment honnête. Honnête et radicale avec ce qui est. Et du coup, il y a beaucoup de gens qui me demandent, et moi-même je me demande, comment on dose ça par rapport à l'information de « on crée notre réalité » , « la manifestation » , etc. En fait, vu qu'on essaye d'arriver dans cette authenticité, tu vas le savoir si tu es en train d'utiliser ton ascension spirituelle pour te mentir à toi-même. Tu vas le savoir si tu es en train d'esquiver quelque chose. Ça va être ultra clair si tu es en train d'utiliser d'autres stratagèmes pour éviter, pour masquer, pour fuir quelque chose. Donc après, allez-y, faites vos initiations, faites vos manifestations, soyez vraiment dans la complète expérience de ce que vous êtes, et vous êtes aussi ces pouvoirs-là, mais à chaque moment, vous pouvez vous demander « Est-ce que je suis en train de me mentir à moi-même ? Est-ce que j'essaye de masquer ? Est-ce que j'essaye de diluer ? Est-ce que j'essaye de fuir quelque chose en moi ? » Et là où c'est très délicat, c'est que la majorité du temps, ces choses-là sont refoulées dans le subconscient. Par exemple, moi, depuis que je suis à Bali, c'est fou ce qui se passe. L'île est très, très médicinale et du coup, elle fait remonter tout ce qui est dans le subconscient très, très à la surface. Moi, je n'étais pas consciente d'être quelqu'un qui a peur de ne pas être en sécurité. J'étais vraiment une forme de petite flamèche là, qui est trop contente de voyager, qui prend plein de risques. J'ai pas peur. Et en fait, à Bali, je sais pas par quel stratagème, Lille a réussi à me faire mesurer à quel point j'ai peur. Comment elle l'a fait ? Parce que c'est dans mon subconscient et c'est bien verrouillé, mais genre bien sévère, verrouillé sous plein de plaques de je suis dans mon yang, je suis dans le fer, je suis dans la performance, je suis dans tel stratagème défensif, etc. Et Lille, en fait, a fait venir des situations que moi j'appelle des trans-karmiques, mais des situations grotesques. Je me suis retrouvée un jour, un soir, avoir quatre mecs qui sont en train d'escalader mon portail, en train de dire « On va venir te chercher ! » Et moi j'étais là ! Je le voyais avec la lucidité de « Moi je sais ce qu'il se passe, là. Il faut vraiment que j'adresse cette peur d'être accaparée, la peur d'être attaquée, la peur... » Mais une peur fondamentale que moi je sais même pas que j'ai. Donc, deuxième petite subtilité par rapport à comment on sait ce qu'il faut sentir, c'est ne t'inquiète pas, la vie va s'en charger. Toi, tu fais ton truc, tu essaies d'être dans un corps sain, des cellules saines, un véhicule sain. L'idéal, c'est le plus détendu et le moins inflammé possible, donc cultiver des choses qui font du bien, of course. Et quand la souffrance arrive, par la vie, par ce que tu sens sincèrement, L'écouter, être avec, avoir confiance, ok, ça remonte. C'est un magma qui remonte et qui a besoin d'être senti. Maintenant, je vais vous donner une dernière information qui est un peu comme la cerise sur le gâteau, le bonus magique pour les gens qui ont écouté jusqu'au bout. Je fais souvent ça, je vous le dis, si vous êtes là, c'est que vous êtes allés jusqu'au bout, bravo ! Souvent, je donne des petites pépites vraiment cool qui peuvent transformer l'expérience de la réalité. à la fin, dans cette logique hermétique. Ça ne peut pas être pour tout le monde, ça. Les humains ont une fonction comme les volcans sur la Terre. Nous sommes un peu comme les stations d'épuration, ou comme des moules qui nettoient l'océan, le purifient. Mais j'aime bien la vision d'une station d'épuration. ou une station pétrolière. Vous voyez les stations pétrolières ? C'est plus une station pétrolière, le sujet, qui va chercher des sédiments qui sont enfouis, enfouis profond dans les sols terrestres et qui ont une charge énergétique de ouf. On le fait remonter à la surface, on le processe, on le digère et on fait de cette énergie une création autre. Chacun d'entre nous, nous sommes exactement ça, placés comme des aiguilles d'acupuncture sur la planète Terre, en train de faire remonter des sensations, des émotions. Il y a un courant qui dit que c'est la Terre qui a besoin qu'on sente ça pour elle. Il y a un courant qui dit que c'est pour que la conscience générale se purifie. Et donc, vous pouvez peut-être mesurer l'importance de faire ces face-à-face. versus faire de la visualisation et de la manifestation de sa best life, c'est, yes, c'est cool. Projette ça une fois que tu as récupéré la matière. Parce que si tu fais cette projection sans avoir fait ton rôle, ta fonctionnalité, premièrement, tu vas revenir pour le faire parce que du coup, la chose n'a pas été sentie, elle a besoin d'être sentie. Elle a besoin de circuler dans le corps de la Terre. De la même façon que si toi, tu ne fais pas de mouvement, et que tu ne détoxifies pas par une forme de perspiration, les toxines restent dans ton corps et ça empoisonne l'organisme. Donc, nous sommes en train de détoxifier le corps dense. Nous sommes en train de détoxifier ce qu'on pourrait appeler soit le corps terrestre, soit la conscience collective. Chacun avec nos paramétrages de souffrance parfaits. Tu es dans une initiation médicinale et tu es en train de faire... vraiment parfaitement. On est tous en train de faire parfaitement, c'est inévitable. La seule chose, c'est si on est dans la résistance, vous allez remarquer, je finirai juste sur ça, puis un jour on fera un podcast sur les addictions, il y a un lien très intéressant entre quand on évite, les stratagèmes d'évitement nous amènent très souvent vers des addictions. Les addictions, c'est très large. La distraction des réseaux sociaux, l'addiction à l'entrepreneuriat, c'est une addiction. L'addiction à l'intimité, à la sexualité, il y a des addictions. Et donc la question fondamentale, c'est vraiment toujours revenir à est-ce que je suis en sincérité totale ? Est-ce que je sens ce qui est là ? Et comme ça, vous allez non seulement réduire les tendances addictives, J'ai un truc dans l'œil, si vous regardez la vidéo, c'est rigolo. Non seulement vous allez réduire les comportements addictifs, mais vous allez rentrer dans un état non seulement amplifié, comme Eckhart Tolle nous le montre, avec ce qui se passe quand on est vraiment avec les méga-voltages de nos souffrances, mais vous allez rentrer, quand vous êtes dans cette sincérité et cette vérité, vous vous rapprochez de ce que vous êtes dans les autres plans. On n'est pas proche de ce qu'on est dans les autres plans quand justement on résiste et qu'on n'est pas capable d'être dans cette vérité, ce que les yogis appellent Sat, la vérité, la réalité non négociable de ce qui est. Je vous laisse avec ça. Je sais que c'est une information qui nécessite ensuite d'aller vivre la réalité et de voir comment ça s'intègre. Je vous remercie d'avoir écouté. Et je vous remercie pour tout ce que vous faites tous, tout ce qu'on fait tous. C'est sublimissime ce qui se passe ici sur Terre. Je vais en profiter maintenant pour dire que, deux choses, vous pouvez venir si vous avez besoin d'aide dans ces processus. Je fais des séances individuelles pour vraiment tenir le baquet de vomi quand vous avez besoin, quoi. Comme quand on fait du cambo. Ou juste vous tenir la main si vous préférez. Et la deuxième chose, c'est aussi que je vais enseigner en juin, juillet, août, des programmes qui permettent vraiment de rentrer dans cette capacité à sentir la réalité énergétique et commencer vraiment à faire un dialogue de plus en plus honnête et sincère avec. Le premier programme, ça va être en juin, qui s'appelle Lucide, qui permet par L'ouverture aux rêves. pas que lucide et pas que le voyage astral, mais aussi le dialogue avec son subconscient dans tous les symboles que le rêve nous donne, commencer à rentrer dans une plus grande intégration de ce que l'on est dans le multiplan. Parce que dans les rêves et par tout ce qui se passe dans cet espace-là, tu te donnes énormément d'informations sur ta nature fondamentale et sur du coup quel est le projet ici et qu'est-ce qu'il te reste à faire là. C'est génialissime. Moi j'adore ce travail et je l'enseigne d'une façon assez spécifique. C'est que moi, je n'ai pas juste envie de vous faire triper dans l'astral, à être capable de voler parce que vous êtes lucide. C'est très cool ça, mais ça ne sert un petit peu à rien. C'est divertissant. Mais il y a une autre façon d'être dans l'astral, qui est d'être dans l'ultra-lucidité de qui est là, qu'est-ce qu'on voit, avec qui on dialogue, et de rentrer dans une forme beaucoup plus pragmatique de « Ah, il y a ça, ça me dit ça, je récupère l'information » . Il faut muscler cette capacité à être. dans ce plan-là, parce que l'énergie va très vite et elle est très réactive à ce qui se passe en nous, nos émotions, notre plan mental. Donc, dans Lucide, si vous avez déjà fait Pure Présence avec moi, mon programme de méditation de un mois, ça va pas mal ressembler, mais de façon un peu différente, parce qu'on va beaucoup plus parler de la conscience, du multiplan, du subconscient. Mais on va beaucoup s'entraîner à maîtriser l'attention, à maîtriser les émotions, à les amener sur une ligne de « on est là, on est vraiment » . précis, on utilise l'énergie dans cette direction. Et ensuite, j'enseignerai incarnation qui est tout la boîte à outils pour comprendre ce que notre âme veut faire ici et maintenant. Ça, ça sera plutôt en juillet, juillet-août. Je vous en parle parce que si vous êtes là, ça peut vous intéresser. Merci d'avoir écouté tout ça. Merci infiniment. pour tout le soutien que ce podcast reçoit. Je vois tous les gens qui ont ajouté 5 étoiles sur Spotify, les gens qui laissent des commentaires sur YouTube et qui s'abonnent. Je vous remercie. Ça donne beaucoup de force à ce message qui, je pense, est vraiment bénéfique pour ceux qui sont prêts. Si vous sentez qu'il y a des gens autour de vous qui pourraient vraiment bénéficier et qui sont prêts pour ces clés-là, n'hésitez pas à leur envoyer. Je pense surtout à la sphère masculine, parce que vu que moi je suis une femme qui a beaucoup enseigné les femmes, mon message peut être un petit peu restreint à cette sphère-là, alors qu'il est vraiment pour tout le monde. Surtout celui d'aujourd'hui. Je sais que pour les hommes, c'est vraiment pas facile de rentrer dans la vulnérabilité. Donc, les next steps, c'est quoi ? Je suis super excitée parce que je suis en train de prévoir des interviews avec des invités. extraordinaires qui vont pouvoir encore plus illustrer et préciser ce que moi je partage mais avec d'autres perspectives. Je suis trop contente. Je ne peux pas vous les nommer maintenant. Les enregistrements sont en cours, on est en train d'organiser ça mais j'ai tellement hâte. Spectrum est en train de grandir grâce à vous. Merci et beaucoup, beaucoup de tendresse sur tout ce que vous vivez. Passez un très bel été. A bientôt.