Speaker #0Bienvenue dans Whole Spectrum, un portail où ensemble on va explorer qu'est-ce que ça veut dire d'être une créature multidimensionnelle aujourd'hui, à l'âge du verso. Je m'appelle Beata Ayama, je suis à la fois thérapeute, guérisseuse, mais surtout psychonote, exploratrice de la conscience. Et je t'emmène... dans des plongeons pour comprendre le cause à effet de l'énergie qui se déploie du très très dense à l'infiniment subtil. J'ai hâte de continuer la discussion ensemble en commentaire. Merci pour tous vos partages, votre accueil, votre enthousiasme. Et on va commencer par plonger. On prend une grande inspiration et on est parti. Cet épisode est fondamental. C'est dans cet épisode qu'on pose la base qui va permettre toutes les autres discussions de Whole Spectrum. On va parler des dimensions, des sept dimensions. Moi, c'est mon manuel. Moi, j'utilise la conception des sept dimensions. Et je sais que ceci est... un choix, c'est-à-dire qu'on pourrait faire un autre choix. Il y a la notion du multivers, il y a la notion de beaucoup plus de plans, et dans différentes dimensions, il y a des sous-dimensions. Mais comme vous allez le comprendre avec cet épisode, moi, mon souhait, c'est d'utiliser les dimensions de la façon la plus tangible et pratique. En anglais, on dit « hands-on » , c'est-à-dire je mets les mains dessus, je le prends, je le manipule, je m'en sers. Ce n'est pas Merci. une connaissance dormante dans mes étagères. Parce que cette connaissance, en fait, elle existe depuis la nuit des temps. Ce n'est pas New Age, ce que je vais partager. Ce n'est pas quelque chose de perché. C'est quelque chose d'extrêmement concret qui nous impacte au quotidien. Dans chaque instant, nous sommes dans cette multidimensionnalité. Et du coup, dans cet épisode, on va définir chaque dimension. Je vais vous parler un petit peu de moi, comment j'aime les appréhender, comment je m'en sers, comment je les fais communiquer entre elles comme des vases communiquants. Et le but de tout ça, c'est de, effectivement, rester bien terre à terre et faire ce qu'on a à faire ici. Mais on va faire ce qu'on a à faire ici beaucoup mieux si on sait dans quoi on s'imbrique. L'image que j'aime bien donner, c'est un peu comme si tu es cellule, on va plutôt prendre une bactérie dans ton intestin. Une bactérie dans ton intestin, si elle commence à avoir sa lubie propre de faire un freestyle énergétique qui n'a rien à voir avec ton organisme, ça ne va pas être bénéfique pour ton organisme, donc fondamentalement ça ne va pas être bénéfique pour elle. puisqu'elle est dans l'organisme. Nous, c'est un petit peu pareil. Donc, ta densité, ta forme humaine locale dans le danse opère dans les autres dimensions, un peu comme des poupées russes. On est la petite poupée, la plus dense, vous savez, celle qu'on ne peut pas ouvrir, bien que la physique quantique nous remet ça en question, mais on est la petite poupée russe dense et nous sommes à l'intérieur des autres poupées russes. Donc c'est important de savoir dans quoi on est et de savoir ce qu'est le projet des autres dimensions pour pouvoir le faire le mieux possible. Donc bien sûr, cette notion de « il y a un projet » , ça c'est un problème de 3D, c'est-à-dire que vous allez voir que plus on va dans les plans subtils, moins la notion d'utilité existe, puisque c'est la notion de « il y a un but » . Déjà, c'est très géospatial, c'est très temporaire, c'est une notion linéaire du temps, l'utilité de quelque chose. Donc, c'est forcément lié à la 3D. Il faudrait peut-être qu'on définisse les dimensions avant que je m'emballe dans ces sujets-là. Un, un, on y va. Alors, à commencer, c'est vraiment de rendre ce sujet le plus concret possible. Donc déjà, ce que je voudrais... déposée dans l'espace qui va permettre de mesurer à quel point c'est tangible. C'est le fait qu'en ce moment, grâce à tous les gens qui font du voyage astral, de la projection astrale et du rêve lucide, c'est vraiment beaucoup plus facile de parler des dimensions. C'est tellement agréable ce qui est en train de se passer. Parce qu'avant que cette expérience du voyage astral et du rêve lucide soit un bien commun, quelque chose d'assez ordinaire, ça faisait que la majorité d'entre nous on parlait que du danse et on ne percevait que le danse donc c'est difficile de croire aux autres dimensions et de croire à leur accessibilité au fait qu'elles soient réelles je pense que beaucoup d'entre nous et je parle pour moi en première on pense ces dimensions un peu comme si je me réveille spirituellement comme le Bouddha peut-être que j'aurai accès à d'autres plans Mais non, en fait, c'est bon, c'est maintenant. C'est ici, c'est là, tu y as accès. Il faut juste que tu comprennes comment régler ta radio pour pouvoir percevoir ces plans, ou plutôt les reconnaître, parce qu'il y a de fortes chances, en fait, que tu y aies déjà été sans lucidité, sans conscience. Donc, on va faire ce qu'on peut faire dans un épisode d'à peu près une heure. Et bien sûr, tous les autres épisodes de Raw Spectrum vont aider. à nous familiariser avec ça et à savoir comment enjoy the show dans chaque dimension. Donc pour qu'on commence tous par un visuel collectif, vous pouvez imaginer la matrice des chakras qui partent du rouge dans la racine dense et qui vont vers le blanc au sommet du crâne qui correspondrait du coup Vraiment à cette métaphore du physique très dense, ce serait le chakra racine. Et ce qui serait un retour à la source, l'état de conscience unifié, suprême, l'origine, la conscience originelle, ce serait ce blanc au sommet du crâne. J'adore prendre la matrice des chakras comme base de réflexion, parce que ça veut dire qu'on a un visuel, on voit comment les plans se superposent, et si vous avez un peu été dans la sphère du yoga, vous savez que chaque chakra correspond à des problématiques, à des expériences énergétiques spécifiques. Par exemple, le chakra Swadhisthana correspond plutôt au plan de l'émotionnalité. Le chakra Manipura correspond davantage au plan de la volonté, du libre arbitre, etc. Le chakra du cœur sur le plan de la connexion, de la reliance, l'interconnexion, etc. Donc déjà, c'est super agréable de commencer par ce point de repère-là, qui nous permet de comprendre que l'énergie dans différentes strates permet différentes expériences. Et ce que j'adore, c'est... de penser en termes de practicalité. Si tout est dans la source, imaginez que ce que je vous ai mentionné, la conscience originelle, ça serait la grande poupée russe dans laquelle on peut trouver toutes les autres. C'est celle qui contient toutes les autres, c'est celle qui a créé. Dans le courant hermétique, on dit que tout est le rêve de la source, tout est dans la mind, dans le mental de la source. Moi, je fais partie de ceux qui se disent que tout est créé pour une raison, c'est-à-dire qu'il y a une forme d'architecture d'un génie suprême et les plans permettent quelque chose. La fractalisation en différents plans permet à chaque plan une expérience très singulaire. Et donc, je vais vous parler en ces termes-là. La singularité du plan dense, c'est génial. C'est ici. C'est physiquement solide. Et pour ceux qui ont déjà fait du voyage astral et du rêve lucide, vous savez que la différence entre le plan physique et les plans supérieurs, c'est cette densité-là. C'est-à-dire que moi, tu ne peux pas passer à travers moi. La porte, elle est solide. Donc ça crée des limites. Ça crée la possibilité de pousser, d'avoir des contrastes, d'avoir l'épreuve de je pousse, je tire. Et la notion même, il y a des espaces définis avec des identités propres. Il faut aussi imaginer que tout ça, ça n'existe que dans le plan physique. Une fois qu'on passe dans l'astral, et on va mentionner les différentes formes d'astral, ça n'existe plus la densité. Donc commence à rentrer la notion de superposition des choses, la perméabilité des choses. C'est pour ça que ça devient beaucoup plus un langage énergétique, c'est-à-dire que deux concepts peuvent coexister. simultanément au même endroit et qui peuvent aussi métamorphoser bien au-delà de ce que l'on peut faire dans le physique. Donc là, ça devient assez intéressant. On se rend compte que le plan physique, c'est un peu comme l'espace où on va pouvoir faire certaines choses propres à cette densité-là. J'essaie de penser à un exemple concret. Déjà la rencontre avec l'autre, la différence avec l'autre et tout ce qui touche à la réalisation de sa singularité. Beaucoup d'entre vous, j'ai plein de personnes qui viennent en séance individuelle qui disent j'ai envie de retourner à la source. C'est ce désir de revenir à l'originalité où on n'est pas séparé. Oui mais est-ce que tu te rends compte ? que temporairement, tu empruntes cette forme physique dense qui permet tout le reste. Parce qu'une fois que tu as quitté la forme dense, sans forcément que tu reviennes à la conscience originelle, rien qu'en quittant le dense et en allant dans l'astral, là d'un seul coup tu te retrouves dans une perméabilité totale énergétique et il n'y a plus la fixation dans l'espace et le temps qui permet pour moi de chiller. C'est-à-dire, tu sais que le chat, c'est le chat. Tu sais que ta maison, elle est là et elle bouge pas. Tu sais que les choses sont figées dans l'espace et le temps et que même si les choses se transforment perpétuellement, cette croissance, cette transformation est très lente et elle est palpable. C'est-à-dire que tu peux la voir, tu peux la mesurer. Et moi, j'ai fait des expériences dans l'astral. Ou c'est chewing-gum. C'est... Pardon, mais c'est un bordel monstre. C'est-à-dire que tout est ultra sensible à l'énergie. Il n'y a que l'énergie qui compte. Donc si par exemple tu es enthousiaste, tout le champ autour de toi s'accélère, les choses tournent à la vitesse de tes émotions, les choses se projettent, se créent, se déforment en fonction de tes pensées, c'est chewing-gum. Donc moi, ce que j'adore me dire, c'est, rappelons-nous, la conscience originelle, elle crée différents plans qui servent à différentes choses. Je fais ce langage ultra caricatural pour qu'on puisse en discuter. C'est un peu comme si on jouait avec des duplos pour raconter des histoires, c'est caricatural, ne vous inquiétez pas. La question de « est-ce que la source crée ? » , tout ça, on en parlera dans d'autres épisodes. Mais pour pouvoir parler de quelque chose, je me permets ces termes-là. Donc moi j'adore dire que le plan dense, c'est le garage de l'incarnation, c'est le garage de la source, de la conscience originelle, qui s'est donné un espace un peu plus tangible pour pouvoir gérer des choses. Des choses qui, hors de la densité, sont vraiment trop fluides, trop volatiles. C'est ultra chaud patate de raffiner, sculpter. dans l'au-delà. Donc, imaginons qu'on ait une âme qui a besoin de muscler certaines qualités, qui a besoin d'avoir certaines prises de conscience. Les avoir dans l'astral, c'est chaud patate. On parlera d'ailleurs du fait que beaucoup de choses stagnent dans l'astral parce que justement, c'est super chaud de faire des choses dans l'astral. C'est trop volatile. Donc, on se met dans un espace où on peut choper la matière. on peut la manipuler. Donc forcément, ça donne des choses absolument viscérales, ça donne la souffrance parce que du coup, les choses stagnent, les choses nous collent à la peau, on n'arrive pas à se séparer. Est-ce que vous arrivez à sentir, quand vous entendez ces mots, le fait que c'est ça votre malaise, quand vous souffrez ? Parce qu'on pourrait aussi être tout à fait à l'aise avec la souffrance et se dire « Ah, je suis dépressif. » Bon, ben je suis dépressif. mais en fait la raison pour laquelle on se débat avec nos états psychiques c'est parce qu'on n'est pas que ça On n'est pas que ce corps dense et on sait qu'il y a un état. Par exemple, on précède à la forme dans l'astral. On a déjà existé au-delà de la forme où les choses, on peut les bouger beaucoup plus vite. Du coup, ce côté gluant du corps de souffrance, ce côté mince, mais pourquoi je suis empêtrée là-dedans ? Pourquoi je n'arrive pas à m'en séparer ? Pourquoi ça reste mon identité ? La raison pour laquelle on se débat. autant, c'est qu'on connaît d'autres états. Donc forcément, cette lenteur et ce temps long de la digestion des choses, ce temps long d'accouchement, d'incubation des choses dans le danse, c'est une agonie pour certains d'entre nous. Le danse, garage de l'incarnation, où on peut bouger les choses. Alors, il est génial ce plan. Il permet, selon moi, le raffinage et la récupération de toutes les choses qu'on doit encore conscientiser, qu'on doit encore raffiner. Moi j'aime bien dire qu'on est ici en train de mesurer tout ce qui nous sépare encore de l'amour inconditionnel. Et donc on se prend les pieds dans les fils de nos ombres. Et on est là, la vie nous met des situations concrètes, soit de précarité, de maladie, de relations, etc. On doit prendre cette matière et la raffiner dans ce temps long, ce qui permet de réelles maturations, de réelles prises de conscience. Et si on parle de réincarnation, si on dit qu'il y a des gens qui ne font que revenir, etc., c'est parce qu'effectivement, tu as besoin de raffiner les codes pour pouvoir ensuite les manipuler avec. brio et agilité dans les autres plans où c'est beaucoup plus volatile. Donc, tu reviens tant que tu sens que tu as besoin du garage. De la même façon qu'une voiture, tant que l'embrayage n'est pas réparé, on le ramène au garage. Quand c'est bien, mécanique top, c'est bon, tu peux aller faire ton grand voyage ailleurs. C'est pour ça que j'adore dire le dance, contrairement à... ce que le mythe judéo-chrétien nous dit qu'ici, c'est l'enfer, c'est parce qu'on a chuté du paradis. Moi, je le vois à l'inverse, comme un espace de vacances où ça va plus lentement que les autres plans, c'est plus tangible, on peut micro-doser les choses, on a le pied sur l'accélérateur. Si tu veux t'isoler dans une grotte sans autre entité autour, tu peux, parce que dans l'astral, tu ne peux pas. Dans l'astral ? Il n'y a pas de limite. Tu ne peux pas t'isoler dans l'astral. C'est tout, c'est super pause. Donc, kiffe. Kiffe la densité. Alors forcément, ce plan-ci, il nous pose la question de tous les sujets du chakra rouge, le chakra... J'adore, je viens d'oublier le nom du chakra. Le chakra racine ou la dara. toutes les thématiques du chakra Mouladara c'est tout ce qui touche à l'identité la sécurité de ton identité, ta survie identitaire, ton égo ta personnalité, ton appartenance si vous réfléchissez ça c'est que des sujets du danse, puisque au-delà de ta densité physique, tous ces sujets là ils n'existent plus, puisqu'il n'y a plus de toi perméable donc on goûte On fait l'expérience de tous les sujets qui vont autour de « Ah, je suis un espace singulier, défini. » Et on apprend à maîtriser ça. Alors, il y en a qui aiment bien dire que c'est la gym où on apprend l'art et la maîtrise de la corporalité, de la santé, de prendre soin d'un corps humain ou prendre soin de la terre, prendre soin l'art par exemple de de de bâtir dans la matière, l'art de construire, l'art de faire pousser des choses. Toutes ces thématiques, en fait, c'est effectivement un peu comme une école où on manipule des briques denses. Et on voit le plaisir et notre agilité avec ces briques denses. Voilà, le danse. Maintenant... On pourrait voir ça comme quand la matière, imaginez, pensez à la force de gravité. Le chakra racine et ce plan dense, ça serait une ultra-force gravitationnelle qui fait que les atomes et l'énergie sont ultra-denses. Et il y a d'autres espaces où l'énergie est un peu moins dense, c'est plus poreux, c'est plus volatile. Et donc les mouvements énergétiques sont différents. Et c'est là où on pourrait imaginer différentes densités d'astral. Il y a un astral... qui est plus proche de la densité physique, qu'on pourrait appeler l'astral bas, dans lequel on pourrait mettre tout le corps émotionnel. Et ensuite, il y a ce qu'on appelle l'astral haut, qui est un peu plus volatile encore, qui pourrait être considéré comme l'astral mental, le corps mental. Si vous connaissez les Ausha, ce que je suis en train de vous dire, c'est tout à fait la représentation des Ausha, les différents corps, les couches. selon la tradition yogique. Ça correspond aussi au Loka, selon la tradition tibétaine et bouddhiste. Moi, je vais vous en parler en termes de astral bas, corps émotionnel, astral haut, corps mental. Il faut rappeler, vous, que ce sont des vases communicants. Donc, ce que tu crées dans la densité d'émotions et de pensées, en fait, ça... ça forme un corps énergétique invisible qui se superpose à ta réalité dense. Donc là, par exemple, les humains, si on cultive certaines croyances, certaines émotions, ici dans le dense, ça vient nourrir des réalités dans l'astral bas. et l'astral haut. Là où j'adore parler de la poule et de l'œuf, c'est il y a aussi des réalités préexistantes dans l'astral, c'est-à-dire c'est pas le danse qui crée tout. L'astral existe et donc il y a des choses dans l'astral qui informent la matière. Notamment tu remarqueras que toi, tu arrives avec des codes. Regarde ton anatomie, regarde ta physionomie, et tu remarqueras que ton énergie te forme et que les gens qui partagent les mêmes valeurs, les mêmes émotions, les mêmes tendances énergétiques que toi, vous avez souvent des ressemblances physiques, physionomies. C'est là où je parle de l'énergie qui informe la densité. C'est là où ce n'est pas évident de savoir quelle est la poule, quel est l'œuf. Est-ce que c'est le physique qui informe l'astral ? Est-ce que c'est l'astral qui informe le physique ? Pour moi, c'est des vases communiquants en permanence. Donc, c'est une boucle, un ouroboros permanent. Il n'y a pas un qui est tout le temps en train de programmer l'autre. Ça communique en permanence. Donc, c'est pour ça que ça commence à devenir vraiment important de s'intéresser aux dimensions. Parce que du coup, tu peux être de plus en plus attentive dans le danse aux réalités énergétiques. Tu peux être sensible aux courants émotionnels, aux courants mentaux. Tu peux sentir en toi quand tu vas dans tels endroits. Ça nourrit quelle réalité émotionnelle ? Ça nourrit quelle réalité mentale ? Et ça, ça informe le danse comment. Et tu peux commencer à... utiliser la conscience de l'astral dans le danse. Par exemple, moi je vis à Ubud, à Bali, et ici j'adore dire c'est extrêmement astral ici. C'est-à-dire que tu es sur ta mobilette, et d'un quartier à l'autre, puisque eux ils ont une relation, les balinais ont une relation extrêmement tangible avec l'astral, ils ont des rituels avec les entités de l'astral tous les jours. Ils ont des rituels de prière, des mantras, des pratiques médicinales et chamaniques pour s'occuper de ce qu'on pourrait appeler des égrégores, ou des déités, ou des entités. Et donc quand toi tu te balades sur ta mobilette à Bali, d'un quartier à l'autre, tu sens une transformation dans ton corps émotionnel et dans ton corps mental. C'est noir et blanc. On en parle beaucoup avec certains amis de par exemple, il y a tel quartier où c'est vraiment chaud d'habiter, parce que là-bas, il y a telle forme pensée qui est vraiment prégnante. Et donc ça fait que, moi par exemple, vivre à Bali, ça fait que œuvrer dans le dense, c'est très difficile. Parce que le corps astral est tellement palpable que je me prends des tempêtes émotionnelles et des tempêtes mentales qui sont plus fortes que ma densité. Et c'est un peu comme, imagine, tu as un bateau en train d'essayer de naviguer sur l'océan. Et s'il y a un ouragan, tu as beau avoir un super catamaran, tu as beau avoir tout ce qu'il faut, ton navire. En fait, il est à la merci de ces vents macro. Tu es à la merci des courants énergétiques qui t'entourent, de ton environnement. Et c'est une réalité. Donc, est-ce que je pourrais vous donner des informations maintenant un peu plus précises sur le corps astral émotionnel bas et le corps astral mental haut ? Déjà, la première chose, c'est que vous avez la possibilité de vous y localiser particulièrement fort pendant la nuit, quand vous dormez. Si vous arrivez à décoder votre langage onirique, le langage de vos rêves, vous allez vous rendre compte que vous vous baladez dans votre corps émotionnel, donc vous vous baladez dans ces courants énergétiques. qui sont bourrés d'informations. Et en fonction des émotions que vous cultivez consciemment et inconsciemment dans votre quotidien, vous avez créé des réalités dans lesquelles vous pouvez vous balader particulièrement distinctement la nuit. Donc ça donne des cauchemars, ça donne des rêves avec beaucoup de péripéties ou beaucoup de symboles. Ça fait aussi, si on parle de l'astral haut, le corps mental, le corps énergétique mental, qui est un peu plus volatile que le corps émotionnel. Ça donne le fait que la nuit, quand vous dormez, vous pouvez avoir des épiphanies et vous pouvez aussi avoir des processus de conscience beaucoup plus rapides, des mises à jour beaucoup plus rapides que ce que vous pouvez faire consciemment lorsque vous êtes réveillé dans la densité. Mais ce que j'aimerais... bien clarifié ici, c'est qu'on ne se balade pas dans l'astral que la nuit. C'est juste qu'en fait, la nuit, on lâche le danse. Le fait que le corps se repose, ça fait qu'on devient plus disponible à la conscience dans les autres corps. Et j'adore, j'adore cette information parce qu'elle permet de se rendre compte cette phrase qui est utilisée tous les jours aujourd'hui, là où va l'énergie, là où va l'attention va l'énergie, là où va l'énergie va l'attention on va le garder dans le premier sens là où va l'attention va l'énergie moi j'adore dire pour préciser ça là où va ton attention va l'énergie et donc va ta conscience donc vu que tu n'énergises plus ton corps physique ta conscience est disponible pour d'autres sphères, d'autres expériences. Et ça, ça peut t'ouvrir la porte à la lucidité au quotidien, dans ta journée, dans le vivant. C'est-à-dire pour peu que tu comprennes les tenants et aboutissants de ce phénomène de navigation-là, tu vas être capable au quotidien de tourner le bouton de ta radio d'attention et d'être par exemple ultra sensible au physique pour sentir ce qui est vivant dans le corps physique et de t'en occuper, de maîtriser par exemple la température de ton corps, ton besoin d'hydratation, ton besoin d'alimentation, ton besoin de repos, les facteurs de base du dance. Super ! Mais tu peux aussi tourner le bouton de ton attention et être particulièrement au diapason de ton corps émotionnel. Et dans ce cas-là, tu vas te rendre compte d'autres besoins propres au corps émotionnel. Peut-être que, par exemple, tu es particulièrement en train de capter le collectif. Peut-être que tu as besoin de changer d'espace, que l'espace émotionnel dans lequel tu es, là, les corps énergétiques, les égrigores dans lesquels tu es, peut-être qu'ils sont disruptifs pour toi, que ce n'est pas favorable à ton équilibre. Et ça, en fait, si tu n'es que dans la densité physique, si tu es attentif que à tes... À ton data, il y a un mot, il ne me vient pas là. Si tu es... et qu'à l'écoute du danse, tu ne pourras pas capter ce phénomène-là. Et pareil avec le corps astral mental, tu peux tourner le bouton de ta radio d'attention et être attentif quand tu rentres dans un espace. Par exemple, tu rentres dans un café, tu sens les corps, le corps astral dans un espace, et en fait le cumul de toutes les croyances, de toutes les idées, de toutes les obsessions des gens qui sont là. plus celui, bien sûr, du collectif environnant, peut-être celui du pays, et tout se superpose. Et là, tu vas avoir un peu un phénomène de télépathie où tu peux capter certaines idées, tu peux capter certaines valeurs, certaines perceptions. C'est pour ça qu'on dit qu'on est la somme des cinq personnes qu'on côtoie le plus, parce qu'en fait, comme je vous ai dit, l'astral informe le dense. Vu que cet espace-là, il est ultra volatil, ultra poreux, quand toi, tu es dans certains environnements, ça informe ta forme, ça informe ton danse. Les gens que tu côtoies, en fait, vos corps astraux, ils se mélangent, c'est volatil, c'est perméable. C'est pour ça qu'on finit par beaucoup s'harmoniser à nos partenaires. Et c'est pour ça que c'est super difficile de revenir dans sa famille quand on a énormément évolué. dans sa conscience, parce qu'en fait, c'est perméable. Leurs égrégores, on les sent et on sent que c'est en train de nous informer. Et c'est ça qui fait que c'est super indigeste de revenir dans sa famille ou son groupe d'amis de la petite enfance, quand nous-mêmes, on a complètement changé les données. Parce que du coup, on sent que ça nous fait revenir, ça informe ce qui se passe dans notre danse. Et là, pour le coup, comme je vous ai dit, c'est beaucoup plus difficile. d'avoir la main mise sur ce qui se passe dans ces corps-là, parce que c'est plus volatile. C'est pour ça que ce qu'on considère être un maître, les maîtres du zen, les maîtres bouddhistes, les maîtres taoïstes, les maîtres yogis, ce sont des personnes qui sont dans la foule maîtrise du danse, c'est bon leur paramètre. physiques, denses, ils les surgèrent, mais ils sont aussi ultra habiles dans leur corps émotionnel et leur corps astral mental. Ils sentent cette volatilité-là et ils sentent les tenants et aboutissants, ils savent le manipuler, le naviguer. Il faut beaucoup de discernement pour pouvoir naviguer avec agilité le corps astral bas et haut. Parce que là, on commence vraiment à avoir des expériences bien au-delà de notre conception humaine du haut et du bas, du bien et du mal, du devant et du derrière. Ce qui se passe dans ces espaces-là est différent. Vous pouvez imaginer que par exemple les lois qui créent la réalité dense et les lois qui créent l'astral bas et les lois qui créent l'astral haut, c'est comme des matériaux différents. Et donc c'est pour ça qu'il faut beaucoup de temps, une attention, une agilité, une écoute ultra précise pour comprendre les lois de ces espaces-là. Et c'est pour ça qu'on met en garde quand on commence à ouvrir la porte de ces champs avec les psychédéliques, parce que malheureusement, nous on est tellement habitués à la navigation de danse que quand on prend un psychédélique, on applique les lois de navigation du danse à l'astral que l'on est en train de découvrir. Ce qui donne, par exemple, une forme d'inconscience. Ça veut dire qu'on va avoir un comportement... naïf de penser que même nos mouvements énergétiques sont que localisés, puisque nous on est tellement habitués à être localisés, alors qu'ils ne le sont plus dans l'astral. La notion de ici et là n'existe pas de la même façon. Donc tout ce que tu impulses énergétiquement dans l'astral, c'est comme si ça circulait bien au-delà de ce que tu conçois, que tu peux concevoir. C'est un autre espace géographique, si on peut dire, avec beaucoup de guillemets, parce que du coup, ce n'est plus la géographie, c'est du multidimensionnel, il n'y a plus les axes haut et bas, en fait, c'est complètement différent. Et c'est pour ça qu'en général, il faut aller dans ces champs-là avec ce qu'on appellerait un chaman ou un maître qui est capable, par exemple, de créer des périmètres. La raison pour laquelle on recommande beaucoup d'aller ouvrir les psychédéliques avec des maîtres, des vrais sachants de l'astral, c'est parce que comme je vous ai dit, c'est ultra-volatile dans l'astral. Ça veut dire que quand vous faites un rassemblement psychédélique, il y a l'astral collectif cumulé de toutes les personnes qui se rassemblent. Ça veut dire un mélange de tous les ancêtres, tous les égrégores, toutes les formes pensées de chacun des participants. Et tout ça fait la bamboula superposée, c'est-à-dire tout mélangé. Moi, j'adore la notion de « j'ai pas envie de m'asseoir à côté de telle personne pendant la cérémonie » . Mon amour, quand tu vas ouvrir l'astral, ça n'existe pas la notion de « est-ce que ça te touche, est-ce que ça te touche pas ? » C'est partagé. Donc en fait, il faut des maîtres de l'astral qui soient capables de leur puissance énergétique et leur puissance de discernement de l'astral. de faire une forme de gardiennage. C'est pour ça que moi, je recommande beaucoup d'aller faire les psychédéliques dans les pays natifs des plantes, parce qu'il y a aussi l'utilisation des esprits alliés, les esprits alliés par exemple du tabac ou de certaines plantes, certains arbres, certains égrégores natifs qui permettent de créer un périmètre de gardiennage et il faut Une maîtrise pour créer un gardiennage dans l'astral, vu la volatilité de l'énergie, ça veut dire qu'il faut une capacité de manifestation et de maîtrise de l'énergie éthique et de la pensée full. Là, ce n'est pas juste, est-ce que tu arrives à voir un joli mandala ? Est-ce que tu arrives à créer de la lumière bleue ? Il va falloir être capable de naviguer les tempêtes des uns et des autres, leur purge, le fait qu'il y a des éruptions énergétiques, etc. J'adore parler de ça parce que là, on rentre vraiment dans le tangible. Et c'est pour vous faire mesurer les différents causes et effets qu'il y a dans ces espaces-là. Et ce qui est important, c'est de mesurer que tout ce qu'on fait dans l'astral est réel. C'est pour ça que j'avais envie de faire la distinction avec l'onirique et le rêve. Comme nous, on se réveille le matin et on a l'impression que c'était juste un rêve. On a l'impression qu'on n'a pas touché à la réalité, mais si, c'est réel. Tout ce qu'on fait dans l'astral est une information qui programme la réalité. Alors, vu que c'est ultra-volatile dans l'astral, pour que ça programme et que ça ait un effet ultra-tangible dans le physique, il faut beaucoup d'inertie, il faut répéter beaucoup, beaucoup, beaucoup les choses, ou alors il faut avoir une force énergétique, un aplomb énergétique. très puissant, pour que ça découle dans le danse. Et c'est là où on peut commencer à voir l'apparition des siddhis, selon la tradition yogique. Les siddhis, ce sont des super pouvoirs, et c'est un peu ce qu'on peut voir dans le monde de la magie, aujourd'hui dans le monde physique. En fait, ce sont des gens qui ont une telle force de maîtrise des idées, une telle force de maîtrise et de discernement, de distinction de ces champs plus volatiles énergétiques, ça va donner comme un ruissellement dans le palpable. C'est pour ça qu'on peut faire, transformer de l'eau en vin, qu'on peut arrêter le temps. Si vous avez envie d'entendre ou de lire des choses sur les CD, vous pouvez lire Autobiographie d'un yogi. de Yogananda, qui parle de la lignée des yogis qui pratiquent le Kriya Yoga, qui est l'art de maîtriser le champ énergétique, à la fois dans son vaisseau physique, parce qu'il ressemble à du Kundalini, mais le Kriya Yoga est quand même beaucoup plus précis. C'est au-delà de la dévotion, c'est vraiment cette notion de grande agilité dans les différents plans. Et c'est comme ça qu'ils arrivent, par exemple, à être dans deux endroits en même temps, à ralentir le temps, à faire apparaître des choses. Donc c'est tout à fait réel. Il faut avoir du coup cette grande agilité, cette grande maîtrise de plans où l'énergie se manifeste de façon complètement différente. Et de façon, en anglais, on pourrait dire « hectic » . C'est électrique, ça va de plus en plus vite. Le cause à effet dans l'astral est ultra rapide. C'est genre, tu penses, c'est réel devant toi. Ça ne veut pas dire que ça informe le physique. Mais dans l'astral, si par exemple tu penses éléphant rose, il y a un éléphant rose devant toi. Moi, dans mes séances individuelles, on fait beaucoup de choses dans l'astral. Et c'est comme ça qu'on peut faire des constellations familiales. On parle avec les âmes, on parle avec les défunts. Et ce que l'on fait dans l'astral est immédiatement réglé dans l'astral. C'est fait. Maintenant, pour que ça découle sur des phénomènes réels dans la réalité palpable, comme par exemple guérir une maladie grave, c'est ce que Joe Dispenza a montré quand il a réussi à guérir sa colonne vertébrale juste par la force de sa pensée, c'est qu'il faut beaucoup de répétition, et il faut aussi affirmer ça dans les sensations physiques. Ce qu'on appelle la manifestation, c'est le pouvoir de ramener les choses qui ne sont pas tangibles, qui ne sont que sur le plan des idées et des émotions, le ramener dans les sensations. Si on arrive à faire ça, à aligner idée, émotion, sensation, on informe le tangible. Voilà. Alors, un petit mot sur les défunts, vu que je viens d'en parler. Quand on quitte le corps physique, en fonction de son état de conscience, on peut se retrouver bloqué dans un des corps astral, une des dimensions astrales. Si par exemple, toute sa vie, on a été bouffé par la sensation d'injustice ou par la sensation de la jalousie, en fait, ce qui va se passer quand le corps physique va s'éteindre, qu'il va arrêter de battre, c'est que l'énergie du coup va rester par là et va faire une boucle comme un vase clos, qui comme un disque rayé, ça va juste tourner obsessionnellement autour de l'émotion qui a été la plus prégnante. Et c'est pour ça qu'on se retrouve à avoir des ancêtres qui n'ont pas quitté l'espace. Moi, j'adore, il y a des espaces où on sent, là, il y a une grand-mère, elle est sur son fauteuil, elle n'a pas réalisé qu'elle est morte, elle est dans la boucle obsessionnelle de sa tristesse. Et c'est comme ça qu'on fait passer les défunts. Il faut aller dialoguer avec cette énergie et lui faire réaliser son état de conscience. Il faut aller parler avec elle pour lui dire tu ne te rends pas compte. Là, en fait, tu es juste dans le champ de l'émotion. Ta conscience et ton énergie s'expérimentent purement que dans le champ de l'émotion. Et donc, si jamais tu veux te libérer de cette transe, il faudrait juste que tu crées une ouverture, la réalisation que tu n'es pas que ça. Et c'est à ça qu'on s'entraîne dans le danse. C'est ça que vous faites dans le plan physique. Hallelujah, la vie qui vous présente toutes ces épreuves, les ruptures, la dette, la maladie. En fait, c'est autant d'espace pour apprendre à lâcher, à réaliser ce qui vous chope les tripes et faire genre, ah, wow, let it go. Pas pour être dans un détachement et une indifférence à la réalité, mais en fait, c'est comme si on se préparait à mourir et qu'on est dans ce fameux garage des autres plans. Et ici, dans le plan physique, c'est tellement plus facile de mesurer qu'on est bloqué dans une boucle de trance. Parce que, par exemple, ça va faire cinq jours que tu n'as pas mangé. Tu vois, tu arrives dans le temps à te dire « Ah oui, ça fait cinq jours que je n'ai pas mangé. Mon ventre, il fait mal. Ah ouji, je dois être dans une trance. » Sauf que, mon amour, une fois que tu n'es que dans le corps émotionnel, il n'y a plus le corps physique pour te rappeler. Il n'y a plus le corps physique pour te dire « Ça fait combien de temps que tu es dans la boucle de la tristesse ? » Donc en fait, tu peux y rester. éternellement. Donc en fait c'est super intéressant parce que ça, ça a fait aussi qu'il y a une densité dans le corps astral bas et dans le corps astral haut, il y a une densité puisque c'est aussi là que stagnent les consciences qui sont dans des boucles obsessionnelles. Et les boucles obsessionnelles ne sont pas que de l'émotion, ça peut aussi être des pensées. Et moi, je bosse là-dessus parce que je suis la première dans la réalité physique à avoir des phases où je suis sur les WC, je suis aux toilettes, et je ne me rends pas compte que ça va faire 15 minutes que je suis partie du plan physique parce que j'ai des idées. Alors moi, j'adore les idées, j'adore, comme vous voyez avec ce podcast, je suis une geek, j'adore les idées. Il faut que je me prépare parce que j'adore tellement les idées que si je n'apprends pas à lâcher quand je vais mourir, je pourrais me retrouver juste à avoir des tas d'idées en boucle. et rester dans l'obsession mentale, par exemple, de résoudre est-ce qu'il y a un bien et un mal. Donc c'est pour ça que c'est chargé dans ces sphères-là. Et je vous donne cette information parce que ça peut vous aider. Dans vos canalisations, quand vous vous amusez, pardon pour le terme vous amusez, mais quand vous explorez la médiumité, En fait, vous rentrez au diapason avec des plans plus subtils. Vous vous mettez à capter ce qui peut exister dans le champ. Et si vous ne savez pas ce à quoi vous captez et que vous captez un peu inconsciemment, qu'est-ce qui vous dit que vous n'êtes pas en train de capter l'astral émotionnel et donc les entités dans l'espace ? Qu'est-ce qui vous dit que vous n'êtes pas en train de capter les... les entités et les formes pensées dans l'astral haut mental, versus capter le corps bouddhique et le corps de conscience-connaissance pure, dans lequel il y a l'information pure qui encode l'univers, qui sont au-delà de ces deux formes d'astral. Alors c'est là où je vais vous parler un peu des différentes formes de guérisseurs et des différentes formes de travail que l'on peut faire avec ces couches-là. Dans l'astral bas, en général, c'est là où travaillent les chamanes, parce que c'est là aussi où on trouve tous les esprits, les esprits des animaux, les esprits des plantes, c'est là où on trouve les défunts. Donc, les gens qui font un travail de médiumité avec les défunts, c'est là où il faut aller, effectivement, c'est super, c'est là où on dialogue, c'est aussi là qu'on peut avoir des informations télépathiques avec les éléments qui nous entourent, le végétal, l'animal. Quand on se connecte au plan mental, alors là, on touche à quelque chose qui est au-delà de ce qui existe en termes de formes pensées dans le champ terrestre, et on commence à capter des formes pensées qui touchent d'autres corps célestes. Par exemple, des consciences au-delà de la Terre, des consciences qui peuvent appartenir par exemple plus à Saturne, un petit peu plus à Vénus, un petit peu plus à Mars, un peu plus au Soleil. Et c'est là où du coup, on peut avoir des idées différentes. un peu moins émotionnel, un petit peu moins les esprits. Et c'est là où, par exemple, on peut avoir ce que beaucoup de gens qui captent, ce qu'on appelle les extraterrestres, ils captent ça, l'astral haut. Entendez bien, il n'y a pas de jugement dans la notion d'astral bas et d'astral haut. C'est plus une densité. Et la notion de « on capte quoi avec la radio ? » L'astral bas, ça va capter les choses qui sont. très proches du danse, notamment les défunts, qui sont dans des boucles émotionnelles et des boucles mentales stagnantes. Et après, les esprits de la forêt, c'est là où on peut avoir des expériences avec les élémentaux, etc. L'astral haut, on va capter d'autres égrégores qui ne sont pas sur la planète Terre. Au-delà de l'astral, on touche ensuite. Vous pouvez imaginer que l'astral bas, ça serait Swadhisthana, le chakra des organes sexuels, l'émotion. L'astral haut, ça serait la force de volonté, Manipura. Et ensuite, on arrive au cœur. Donc, on arrive sur le plan bouddhique. Et c'est là où, en fait, vous pouvez imaginer, si on arrive à aller là, on se déglue de toutes les formes pensées émotionnelles et mentales liées à l'expérience terrestre. Donc on arrive et on accède à une expérience d'amour qui n'a rien à voir avec ce que l'on connaît de cause à effet sur la planète Terre. On arrive à avoir une expérience bouddhique, christique de l'amour qui est totale, inconditionnelle. Pas du tout lié à l'émotionalité, à l'hormone, ça n'a rien à voir. C'est de la pure énergie d'amour qui est libérée d'un cause à effet terrestre. Donc de densité, de l'autre, c'est juste un état d'amour différent. Alors là, on dit qu'on peut trouver en termes d'entité des consciences qui sont d'un autre plan, d'une autre... énergie, c'est là où on peut retrouver les archanges, c'est là où on peut retrouver les maîtres ascensionnés, qui sont en fait des êtres qui vibrent. et qui se conscientisent, c'est-à-dire que leur expérience majoritaire, c'est ça. Vous pouvez vous dire qu'en fait, on se localise là où on fait l'expérience majoritaire de notre conscience. On se localise là où on fait l'expérience majoritaire de notre conscience. C'est pour ça qu'en fait, on peut avoir un Bouddha et on peut avoir un Christ sur Terre physiquement. Ça veut juste dire qu'en fait, ils se vivent majoritairement dans ce champ d'amour et ils se connaissent, ils s'expérimentent à ce champ d'amour. Et l'expérience humaine, ils la font. Ils ont toujours un organisme dont ils doivent s'occuper, mais ils ne sont pas emmêlés dedans, ils n'ont pas l'illusion d'être que ça. Ils se sentent majoritairement dans ce plan d'amour. Donc, c'est super comme exemple. Parce qu'on peut voir qu'on peut être dans la physicalité, mais que sa conscience s'expérimente majoritairement sur un autre plan. Merci à ces avatars-là qui nous permettent d'avoir ces modèles, ces ampoules qui nous montrent, ah d'accord, on peut mélanger les dimensions comme ça. Ce n'est pas au-delà du plan physique, ça peut être simultané. Donc si ça c'est le chakra cœur, c'est intéressant, parce qu'il en reste un paquet de chakras avant qu'on arrive à la source. Il se passe quoi dans l'intermédiaire ? Alors c'est là où ça devient plus difficile d'en parler, parce qu'en général ceux qui l'expérimentent ne sont plus ici, ils ne sont plus dans le danse. Donc on va en parler avec ce qui est connu de toutes les traditions ancestrales et aussi de ce à quoi on peut avoir accès. Après le cœur. Il y a le corps de connaissance pure. Alors attention, c'est une connaissance qui n'a rien à voir avec connaître dans le danse. C'est de la pure énergie qui porte toute l'information, qui crée la réalité et qui le sait. C'est comme une forme d'omniscience. C'est la capacité de savoir tout simultanément, sur tout, puisque c'est pas... fragmenté par l'espace-temps et l'histoire, et même la capacité cognitive neuronale d'un cerveau ou des cinq sens, c'est de la connaissance qui est complètement décorrélée de tout système de perception. C'est la connaissance pure, omnisciente, qui sait tout sur tout, et qui contient dans son expérience la totalité de conscience. Alors là, on trouve les avatars ascensionnés. C'est là où, par exemple, ce qu'on appelle Shiva, la conscience Shiva, Shakti, c'est des consciences, c'est des égrégores de pure connaissance. Et c'est pour ça que nous, les êtres humains sur Terre, on fait des rituels où on les invoque, comme pour avoir une... On cherche ces codes-là, on veut aller chercher ces codes d'information. Et je ne sais pas si vous avez déjà expérimenté le fait de faire une sadhana, le fait de, pendant un long moment dans votre vie, vous tourner, d'envoyer votre attention, par exemple, sur le shriyantra, la forme géométrique du shriyantra, ou des mandalas qui encodent des fréquences de connaissances pures. En fait, on ne sait pas comment, mais on se met à savoir des choses. On a accès à de la connaissance, on ne sait même pas comment on sait les choses. On a une forme de sagesse suprême sur la vie, sur ce qui se passe dans toute cette expérience énergétique. Et on peut y avoir accès, même dans le champ du rêve, vous pouvez vous réveiller à cet espace-là. J'insiste sur ça. Le rêve et ce qui se passe la nuit n'est pas limité à l'astral bas. Vous pouvez vous réveiller. et être lucide dans le corps bouddhique, et vous pouvez vous réveiller dans le corps de connaissances pures. Ce qui va permettre cette navigation la nuit, ce qui est plus facile, je répète encore une fois, parce que vous lâchez votre identification au corps dense, ce qui va permettre de se réveiller dans une dimension en particulier, c'est ce que vous cultivez au quotidien. Donc si vous êtes au quotidien ultra-obsédé, par votre chiffre d'affaires ou par Tinder, vous n'allez pas vous réveiller la nuit dans le corps de connaissances pures. Mais si la journée, vous pratiquez ce détachement et ce non-englument, vous faites ce que vous avez à faire dans le danse, et après vous donnez une forme de disponibilité énergétique à d'autres choses, ça fait que l'énergie, du coup, elle n'a pas son centre de gravité, son centre gravitationnel n'est pas dans le danse, et elle va être disponible pour les autres espaces. C'est là où je veux vraiment insister. Ils sont à votre disposition, ces espaces. Il ne faut pas être un surhumain pour y avoir accès, c'est juste l'art de... de ne pas être englué et sur-identifié à une autre couche. Au-delà du corps de conscience, connaissance pure, nous avons le corps de béatitude, qui est l'état, en fait, ananda, sat-chit-ananda, dans la culture yogi qui s'appelle ça le bliss-body ananda Ausha, qui est la couche où juste avant, de se ramener à notre conscience originelle, et à la réalisation de la perfection de l'architecture. Vous imaginez ce qui doit se passer à ce stade-là, c'est l'omniscience, la connaissance pure, mais pas encore retour à « il n'y a que moi, il n'y a pas d'autre » . Il n'y a rien en dehors... Comment exprimer ça ? L'indicible. Comment on parle de l'indicible ? Avant de pouvoir vraiment définir le corps de béatitude, il faudrait parler un petit peu de ce qu'est la source. En fait, c'est fascinant, parce que je crois qu'il y a une fausse croyance. que quand on est la source, c'est l'extase. Mais non. L'extase est une sensation émotionnelle qui est possible parce qu'il y a la réalisation de ce que l'on est et la capacité à avoir une cognition. Quand on revient à la conscience originelle, c'est pour ça qu'on parle souvent de le silence pur, c'est l'immobilité pure. Parce qu'en fait, il y a aucun qu'une fluctuation qui permette de distinguer quoi que ce soit. Elle informe puisque c'est tout. Et ça n'a pas besoin de se connaître. C'est un champ de pure paix et de pur état d'être qui est tellement « je suis » . qu'il n'y a même pas de fluctuation pour savoir ce que l'on est. Ça, ça serait l'expérience de la source. Donc le corps de béatitude, en fait, qui est l'expérience qui précède ça, vous imaginez l'énergie qu'il doit y avoir là ? Peut-être que vous l'avez déjà expérimenté. C'est l'expérience qui précède cette réunification totale avec soi. Donc on a encore un semblant de séparation. on a encore un semblant de « je peux encore me localiser » . Pour me localiser, ça veut dire que je peux voir quelque chose que je suis, je peux conscientiser quelque chose que je suis. Alors que quand on est, et qu'on est pure conscience, il n'y a aucun élément pour se distinguer de quoi que ce soit, c'est juste conscience. Donc le corps de béatitude, il est chargé de l'orgasme originel de la création. On appelle ça en yoga spanda, l'étincelle originelle qui porte la vibration de la création. Et pour que la création ait impulsé sa création, il en faut un paquet d'énergie pour sortir de l'immobilité totale de je suis. Ça, c'est l'orgasme jouissif que l'on peut expérimenter dans le bliss body, c'est ça. Il n'y a même pas, vu que nous, là, on est dans le danse, on parle d'infinité, parce qu'on pense à un espace. Mais quand on est dans le bliss body, il n'y a même pas d'espace. C'est juste, il n'y a que de l'énergie orgasmique de création. L'être complètement libéré de toutes les formes d'émotions et de sensations qu'un humain peut connaître, c'est bien au-delà. Tout ce qu'on va dire, nous, qu'on connaît comme émotions, comme l'extase, la béatitude, la joie, la plénitude, l'amour, c'est humain. Vous êtes capable de quantifier ces choses-là. Mais en fait, au corps de béatitude, c'est même pas quantifiable. C'est même pas géolocalisable. Il n'y a pas de système pour le mesurer. C'est de la pure conscience orgasmique. Et en fait, vous vous existez à ce niveau-là. Tu es... La conscience originelle qui s'expérimente dans toutes ses fractales pour des raisons d'expérience très spécifiques. Tout œuvre ensemble, les différents plans s'informent, s'entraident, se font la chaîne. Le pourquoi tout cela a lieu ne nous regarde pas. Nous sommes comme des enzymes dans le système digestif, ou comme des atomes dans le cœur de cette expérience. Du coup, ce n'est peut-être même pas notre rôle de savoir pourquoi le cœur bat, ou pourquoi l'intestin digère, juste le faire, faire notre rôle. Je pense que c'est le plus judicieux. Parce qu'il faut juste avoir le discernement que tout ce qu'on peut essayer d'interpréter sur pourquoi et qu'est-ce qu'il faut faire de tout ça, sera tellement influencé par notre densité et notre conception, tellement limitée par les sens et les perceptions humaines, 3D, physiques. La raison pour laquelle je voulais... quand même vous partagez tout ça. Moi, en tout cas ici, il y a une finalité, il y a une raison, il y a une motivation derrière ça. Je vois, moi, à travers toutes mes séances où j'accompagne des gens, que, par exemple, il y a énormément d'ancêtres qui ne passent pas. et qui ne se permettent pas de revenir à la conscience originelle au moment où ils meurent et qu'ils quittent le plan dense, parce qu'ils sont bloqués dans des boucles obsessionnelles, parce qu'ils sont bloqués dans des idées obsessionnelles. Donc je pense qu'une des premières motivations quand je fais cet épisode, c'est de vous donner le courage et les outils pour voir comment dans votre vie, et si maintenant vous pouvez vous entraîner à sentir comment vous êtes. imprégné dans un corps ou l'autre et voir comment vous pouvez créer un petit peu plus de souplesse peut-être d'un corps à l'autre, un peu plus d'agilité, ce qui pourra peut-être permettre de faire en sorte que quand vous passez, quand vous quittez la forme physique, vous pouvez peut-être vous relocaliser dans un plan plus subtil. Si vous réfléchissez en termes de cause à effet, ça va permettre du coup de désengorger aussi la masse de corps de souffrance stagnant. autour du danse et ça va forcément permettre l'évolution du tout. Je pense que c'est une de mes motivations qu'on s'entraide collectivement. Et puis, je crois que pour aujourd'hui, c'est tout ce que j'avais envie de partager avec vous. Il y aura tellement d'autres choses à dire. J'ai beaucoup envie de vous faire un épisode spécifique sur le rêve astral. justement le fait de faire passer les ancêtres, on va faire venir des gens qui sont habitués de parler de ces sujets-là pour vous donner d'autres sons de cloche. Peut-être pour terminer, ce que j'aimerais vous dire, c'est l'idée que si on est sur Terre, c'est qu'on ne fait pas assez bien quelque chose, comme une forme de punition, de damnation, qui fait qu'on est bloqué dans le danse. Pour moi, cela n'est pas réel. Ça serait un peu comme dire à l'enzyme qui est dans l'intestin, t'es pas une assez bonne cellule pour être la cellule du cœur. Qu'est-ce que ça veut dire ? Ça n'a rien à voir. La force vitale, la force de vie, a juste créé une enzyme qui permet de faire le job au niveau où l'enzyme doit faire son job pour le reste de l'organisme. L'enzyme n'est pas une mauvaise enzyme qui a chuté du paradis. L'enzyme fait juste son job d'enzyme. L'humain fait juste son job d'humain, qui est d'être un outil, un instrument de conscience dans le dance, à la croisée des mondes. Voilà. Tu n'es pas que ce corps. Une fois que ton énergie quitte ce corps, elle continue son évolution et des particules, des fragments de ta conscience continuent leur évolution. Et donc, peut-être on peut tous infuser une gratitude et une reconnaissance supérieure à ce qu'il y a à l'œuvre dans l'humanité et la densité physique, puisque c'est comme une enzyme qui fait son job dans l'organisme de la conscience originelle. Et nous ne sommes pas que ça. Nous sommes temporairement ça, puisque c'est là où on se localise majoritairement pour l'instant. Mais si on arrive, comme je vous l'ai montré, que ce soit dans le rêve ou que ce soit dans chaque instant, à se rendre compte qu'on est aussi les autres plans, alors la fatalité de ce plan-ci, d'un seul coup, elle n'existe plus. On n'a plus qu'à faire ce qu'on a à faire, puisqu'on n'est pas que ça. C'est un petit peu abstrait. Je pense que vous avez assez d'abstrait pour aujourd'hui. On approfondira cet abstrait dans un autre épisode. Merci infiniment pour votre écoute. Je me sens honorée de pouvoir vous partager ce son de cloche. Je sais que c'est un sujet d'une richesse. tellement grande que là je n'ai que effleuré la surface mais peut-être que ça vous donne suffisamment de petites clés, de sentiments sentiments qui vont scintiller et faire leur job en vous avec ce que vous savez, avec ce que vous percevez, avec vos clés individuelles. Et donc merci infiniment de votre confiance et de votre écoute. Merci, c'était un long épisode. Encore une fois J'ai une immense gratitude pour l'aide et le soutien que vous apportez à ce podcast. Si jamais vous avez à cœur de le diffuser ou de le soutenir avec un petit like, soit sur Spotify ou un commentaire sur YouTube, ça me permet de porter ces informations à d'autres personnes au-delà de la communauté existante. Et j'ai une immense gratitude pour ça. Je vous envoie infiniment d'amour. et j'ai hâte de continuer la discussion dans d'autres épisodes. A bientôt.