undefined cover
undefined cover
ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs cover
ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs cover
ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs

ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs

02min |16/06/2025
Play
undefined cover
undefined cover
ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs cover
ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs cover
ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs

ChatGPT n'est vraiment pas bon aux... échecs

02min |16/06/2025
Play

Description

Aujourd’hui, une défaite inattendue… et franchement cocasse : ChatGPT, le célèbre chatbot d’OpenAI, s’est fait battre aux échecs. Pas par un grand maître. Ni même par un autre modèle d’intelligence artificielle. Non, par… une console Atari 2600 datant de 1977.

C’est l’ingénieur Robert Caruso, de chez Citrix, qui a orchestré cette expérience. Il a utilisé un émulateur pour faire tourner un jeu d’échecs développé en 1979 pour la mythique console Atari. Le but ? Voir comment ChatGPT, censé incarner le futur de l’intelligence artificielle, se débrouille face à un moteur de jeu aussi basique. Et je vous explique tout ça en trois points.

La partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT

Premier point à retenir, la partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT.

Il a confondu les pièces, prenant des tours pour des fous, manqué des opportunités stratégiques simples et perdu le fil de la partie à plusieurs reprises.

Il a même accusé les graphismes Atari d’être trop abstraits, avant de faire les mêmes erreurs… en notation d’échecs classique.

Cette défaite s’explique techniquement

Deuxième point, cette défaite s’explique techniquement.

ChatGPT est un modèle de langage. Il est conçu pour comprendre et générer du texte, pas pour analyser des positions sur un échiquier en temps réel.

À l’inverse, le jeu d’Atari, aussi vieux soit-il, a été programmé exclusivement pour ça. Même avec une mémoire ridicule, 128 octets, il est plus performant que l'IA d'OpenAI dans ce contexte précis.

Une leçon importante

Troisième point enfin, cette expérience nous rappelle une leçon importante.

Tous les outils d’IA ne se valent pas pour toutes les tâches. Ce n’est pas parce qu’un modèle peut briller dans des conversations ou expliquer des concepts complexes qu’il saura jouer aux échecs comme un pro.

Il existe d’ailleurs des extensions spécialisées comme ChessGPT ou des moteurs comme Stockfish, bien plus adaptés à ce genre de défi.

Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Aujourd’hui, une défaite inattendue… et franchement cocasse : ChatGPT, le célèbre chatbot d’OpenAI, s’est fait battre aux échecs. Pas par un grand maître. Ni même par un autre modèle d’intelligence artificielle. Non, par… une console Atari 2600 datant de 1977.

C’est l’ingénieur Robert Caruso, de chez Citrix, qui a orchestré cette expérience. Il a utilisé un émulateur pour faire tourner un jeu d’échecs développé en 1979 pour la mythique console Atari. Le but ? Voir comment ChatGPT, censé incarner le futur de l’intelligence artificielle, se débrouille face à un moteur de jeu aussi basique. Et je vous explique tout ça en trois points.

La partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT

Premier point à retenir, la partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT.

Il a confondu les pièces, prenant des tours pour des fous, manqué des opportunités stratégiques simples et perdu le fil de la partie à plusieurs reprises.

Il a même accusé les graphismes Atari d’être trop abstraits, avant de faire les mêmes erreurs… en notation d’échecs classique.

Cette défaite s’explique techniquement

Deuxième point, cette défaite s’explique techniquement.

ChatGPT est un modèle de langage. Il est conçu pour comprendre et générer du texte, pas pour analyser des positions sur un échiquier en temps réel.

À l’inverse, le jeu d’Atari, aussi vieux soit-il, a été programmé exclusivement pour ça. Même avec une mémoire ridicule, 128 octets, il est plus performant que l'IA d'OpenAI dans ce contexte précis.

Une leçon importante

Troisième point enfin, cette expérience nous rappelle une leçon importante.

Tous les outils d’IA ne se valent pas pour toutes les tâches. Ce n’est pas parce qu’un modèle peut briller dans des conversations ou expliquer des concepts complexes qu’il saura jouer aux échecs comme un pro.

Il existe d’ailleurs des extensions spécialisées comme ChessGPT ou des moteurs comme Stockfish, bien plus adaptés à ce genre de défi.

Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Aujourd’hui, une défaite inattendue… et franchement cocasse : ChatGPT, le célèbre chatbot d’OpenAI, s’est fait battre aux échecs. Pas par un grand maître. Ni même par un autre modèle d’intelligence artificielle. Non, par… une console Atari 2600 datant de 1977.

C’est l’ingénieur Robert Caruso, de chez Citrix, qui a orchestré cette expérience. Il a utilisé un émulateur pour faire tourner un jeu d’échecs développé en 1979 pour la mythique console Atari. Le but ? Voir comment ChatGPT, censé incarner le futur de l’intelligence artificielle, se débrouille face à un moteur de jeu aussi basique. Et je vous explique tout ça en trois points.

La partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT

Premier point à retenir, la partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT.

Il a confondu les pièces, prenant des tours pour des fous, manqué des opportunités stratégiques simples et perdu le fil de la partie à plusieurs reprises.

Il a même accusé les graphismes Atari d’être trop abstraits, avant de faire les mêmes erreurs… en notation d’échecs classique.

Cette défaite s’explique techniquement

Deuxième point, cette défaite s’explique techniquement.

ChatGPT est un modèle de langage. Il est conçu pour comprendre et générer du texte, pas pour analyser des positions sur un échiquier en temps réel.

À l’inverse, le jeu d’Atari, aussi vieux soit-il, a été programmé exclusivement pour ça. Même avec une mémoire ridicule, 128 octets, il est plus performant que l'IA d'OpenAI dans ce contexte précis.

Une leçon importante

Troisième point enfin, cette expérience nous rappelle une leçon importante.

Tous les outils d’IA ne se valent pas pour toutes les tâches. Ce n’est pas parce qu’un modèle peut briller dans des conversations ou expliquer des concepts complexes qu’il saura jouer aux échecs comme un pro.

Il existe d’ailleurs des extensions spécialisées comme ChessGPT ou des moteurs comme Stockfish, bien plus adaptés à ce genre de défi.

Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Aujourd’hui, une défaite inattendue… et franchement cocasse : ChatGPT, le célèbre chatbot d’OpenAI, s’est fait battre aux échecs. Pas par un grand maître. Ni même par un autre modèle d’intelligence artificielle. Non, par… une console Atari 2600 datant de 1977.

C’est l’ingénieur Robert Caruso, de chez Citrix, qui a orchestré cette expérience. Il a utilisé un émulateur pour faire tourner un jeu d’échecs développé en 1979 pour la mythique console Atari. Le but ? Voir comment ChatGPT, censé incarner le futur de l’intelligence artificielle, se débrouille face à un moteur de jeu aussi basique. Et je vous explique tout ça en trois points.

La partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT

Premier point à retenir, la partie ne s’est pas bien passée pour ChatGPT.

Il a confondu les pièces, prenant des tours pour des fous, manqué des opportunités stratégiques simples et perdu le fil de la partie à plusieurs reprises.

Il a même accusé les graphismes Atari d’être trop abstraits, avant de faire les mêmes erreurs… en notation d’échecs classique.

Cette défaite s’explique techniquement

Deuxième point, cette défaite s’explique techniquement.

ChatGPT est un modèle de langage. Il est conçu pour comprendre et générer du texte, pas pour analyser des positions sur un échiquier en temps réel.

À l’inverse, le jeu d’Atari, aussi vieux soit-il, a été programmé exclusivement pour ça. Même avec une mémoire ridicule, 128 octets, il est plus performant que l'IA d'OpenAI dans ce contexte précis.

Une leçon importante

Troisième point enfin, cette expérience nous rappelle une leçon importante.

Tous les outils d’IA ne se valent pas pour toutes les tâches. Ce n’est pas parce qu’un modèle peut briller dans des conversations ou expliquer des concepts complexes qu’il saura jouer aux échecs comme un pro.

Il existe d’ailleurs des extensions spécialisées comme ChessGPT ou des moteurs comme Stockfish, bien plus adaptés à ce genre de défi.

Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like