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La course aux talents de l'IA passe désormais par des primes à la signature astronomiques cover
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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

La course aux talents de l'IA passe désormais par des primes à la signature astronomiques

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02min |23/06/2025
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Description

C'est un sujet des plus brûlants dans l’univers de l’intelligence artificielle. La guerre des talents fait rage. Une étude toute fraîche sur le marché des ESN françaises souligne que les compétences en IA est désormais au même niveau de demandes que les compétences en Cloud et en DevOps.

Et si les entreprises de service numérique hexagonales cravachent pour recruter les petits génies de l'IA, imaginez un peu le bras de fer démentiel qui opposent sur ce point précis deux géants du secteur, à savoir OpenAI et Meta. Je vous explique tout cela en trois points.

Meta propose désormais des primes astronomiques

C’est Sam Altman, le patron d’OpenAI, qui a lâché l’info. Selon lui, Meta aurait proposé à certains ingénieurs de son entreprise des primes à la signature de 100 millions de dollars.

Oui, vous avez bien entendu. Ces montants sont dignes des plus grands transferts de stars du football par exemple.

Et c’est sans compter les salaires annuels, qui pourraient bien sûr dépasser ces chiffres vertigineux.

Pourquoi de telles sommes ?

Mais alors, pourquoi de telles sommes sont proposées ? Et bien parce que nous sommes à l'ère de la ruée non pas vers l'or, mais vers l’IA.

Surtout, Meta veut désormais rattraper son retard sur OpenAI.

L’entreprise de Mark Zuckerberg mise gros sur la super intelligence et vient de créer une unité dédiée, confiée à Alexander Wang, fondateur de Scale AI. Il a d'ailleurs investi dans cette startup à hauteur de plus de 14 milliards de dollars.

Autant dire que la bataille est lancée pour attirer les meilleurs cerveaux. Mais cela signifie aussi que nous sommes dans un secteur où un seul ingénieur de très haut niveau peut faire toute la différence.

Des débauchages pas si fructueux pour le secteur

Le troisième point, c'est que très paradoxalement les débauchages à coups de millions de dollars nuisent au bout du compte au développement de l'IA elle-même.

La concurrence est telle que les talents de l’IA sont désormais chassés comme des stars hollywoodiennes. Et ce climat ralentit certains projets, comme le développement de modèles open source chez Meta, déjà confrontée à des départs de personnel.

Et pendant ce temps, des acteurs comme Google, DeepSeek ou Anthropic tentent d'attirer les meilleurs dans leurs filets.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

C'est un sujet des plus brûlants dans l’univers de l’intelligence artificielle. La guerre des talents fait rage. Une étude toute fraîche sur le marché des ESN françaises souligne que les compétences en IA est désormais au même niveau de demandes que les compétences en Cloud et en DevOps.

Et si les entreprises de service numérique hexagonales cravachent pour recruter les petits génies de l'IA, imaginez un peu le bras de fer démentiel qui opposent sur ce point précis deux géants du secteur, à savoir OpenAI et Meta. Je vous explique tout cela en trois points.

Meta propose désormais des primes astronomiques

C’est Sam Altman, le patron d’OpenAI, qui a lâché l’info. Selon lui, Meta aurait proposé à certains ingénieurs de son entreprise des primes à la signature de 100 millions de dollars.

Oui, vous avez bien entendu. Ces montants sont dignes des plus grands transferts de stars du football par exemple.

Et c’est sans compter les salaires annuels, qui pourraient bien sûr dépasser ces chiffres vertigineux.

Pourquoi de telles sommes ?

Mais alors, pourquoi de telles sommes sont proposées ? Et bien parce que nous sommes à l'ère de la ruée non pas vers l'or, mais vers l’IA.

Surtout, Meta veut désormais rattraper son retard sur OpenAI.

L’entreprise de Mark Zuckerberg mise gros sur la super intelligence et vient de créer une unité dédiée, confiée à Alexander Wang, fondateur de Scale AI. Il a d'ailleurs investi dans cette startup à hauteur de plus de 14 milliards de dollars.

Autant dire que la bataille est lancée pour attirer les meilleurs cerveaux. Mais cela signifie aussi que nous sommes dans un secteur où un seul ingénieur de très haut niveau peut faire toute la différence.

Des débauchages pas si fructueux pour le secteur

Le troisième point, c'est que très paradoxalement les débauchages à coups de millions de dollars nuisent au bout du compte au développement de l'IA elle-même.

La concurrence est telle que les talents de l’IA sont désormais chassés comme des stars hollywoodiennes. Et ce climat ralentit certains projets, comme le développement de modèles open source chez Meta, déjà confrontée à des départs de personnel.

Et pendant ce temps, des acteurs comme Google, DeepSeek ou Anthropic tentent d'attirer les meilleurs dans leurs filets.

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Et si les entreprises de service numérique hexagonales cravachent pour recruter les petits génies de l'IA, imaginez un peu le bras de fer démentiel qui opposent sur ce point précis deux géants du secteur, à savoir OpenAI et Meta. Je vous explique tout cela en trois points.

Meta propose désormais des primes astronomiques

C’est Sam Altman, le patron d’OpenAI, qui a lâché l’info. Selon lui, Meta aurait proposé à certains ingénieurs de son entreprise des primes à la signature de 100 millions de dollars.

Oui, vous avez bien entendu. Ces montants sont dignes des plus grands transferts de stars du football par exemple.

Et c’est sans compter les salaires annuels, qui pourraient bien sûr dépasser ces chiffres vertigineux.

Pourquoi de telles sommes ?

Mais alors, pourquoi de telles sommes sont proposées ? Et bien parce que nous sommes à l'ère de la ruée non pas vers l'or, mais vers l’IA.

Surtout, Meta veut désormais rattraper son retard sur OpenAI.

L’entreprise de Mark Zuckerberg mise gros sur la super intelligence et vient de créer une unité dédiée, confiée à Alexander Wang, fondateur de Scale AI. Il a d'ailleurs investi dans cette startup à hauteur de plus de 14 milliards de dollars.

Autant dire que la bataille est lancée pour attirer les meilleurs cerveaux. Mais cela signifie aussi que nous sommes dans un secteur où un seul ingénieur de très haut niveau peut faire toute la différence.

Des débauchages pas si fructueux pour le secteur

Le troisième point, c'est que très paradoxalement les débauchages à coups de millions de dollars nuisent au bout du compte au développement de l'IA elle-même.

La concurrence est telle que les talents de l’IA sont désormais chassés comme des stars hollywoodiennes. Et ce climat ralentit certains projets, comme le développement de modèles open source chez Meta, déjà confrontée à des départs de personnel.

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Meta propose désormais des primes astronomiques

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Oui, vous avez bien entendu. Ces montants sont dignes des plus grands transferts de stars du football par exemple.

Et c’est sans compter les salaires annuels, qui pourraient bien sûr dépasser ces chiffres vertigineux.

Pourquoi de telles sommes ?

Mais alors, pourquoi de telles sommes sont proposées ? Et bien parce que nous sommes à l'ère de la ruée non pas vers l'or, mais vers l’IA.

Surtout, Meta veut désormais rattraper son retard sur OpenAI.

L’entreprise de Mark Zuckerberg mise gros sur la super intelligence et vient de créer une unité dédiée, confiée à Alexander Wang, fondateur de Scale AI. Il a d'ailleurs investi dans cette startup à hauteur de plus de 14 milliards de dollars.

Autant dire que la bataille est lancée pour attirer les meilleurs cerveaux. Mais cela signifie aussi que nous sommes dans un secteur où un seul ingénieur de très haut niveau peut faire toute la différence.

Des débauchages pas si fructueux pour le secteur

Le troisième point, c'est que très paradoxalement les débauchages à coups de millions de dollars nuisent au bout du compte au développement de l'IA elle-même.

La concurrence est telle que les talents de l’IA sont désormais chassés comme des stars hollywoodiennes. Et ce climat ralentit certains projets, comme le développement de modèles open source chez Meta, déjà confrontée à des départs de personnel.

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