Description
L'actualité de la RDC en direct et en continu.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
349 episodes
2 playlists
Season 1


« Mukwege devient un symbole, un outil de ces forces qu’on ne perçoit pas. Il reçoit le Prix Nobel et on lui dit quoi dire », a dit Paul Kagame sur France 24 et RFI. Ces propos ne laissent pas indifférents les acteurs de la société civile en RDC. A Kisangani, Dismas KITENGE SENGA, Maître de conférence à l'université de Kisangani, Président du groupe LOTUS, réagit: « C’est une injure à notre Prix Nobel de la paix qui mène un combat pour la justice, un combat de soutien aux victimes des crimes internationaux. C’est une icône internationale qui mène une lutte reconnue. Le Rwandais a le devoir du respect à l’égard de cette personnalité internationale ». Et d’ajouter: « Nous avons le devoir de protéger cette personnalité qui a consacré une grande partie de sa vie au soutien aux victimes. Ceci est un signal fort que le Rwanda ne reconnait pas ce travail de soutien aux victimes. La communauté internationale a le devoir de demander au Rwanda de revoir sa position par rapport au Prix Nobel de la Paix. Denis Mukwege qui vit à Bukavu, près du Rwanda, est en insécurité ». Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on May 18, 2021


Les propos de Paul Kagame ne laissent pas indifférents les acteurs de la société civile en RDC. A Kisangani, Dismas KITENGE SENGA, Maître de conférence à l'université de Kisangani, Président du groupe LOTUS, attend toujours la réaction des autorités congolaises. « La négation des crimes commis par le gouvernement Rwandais via son armée doit susciter une réaction promotionnelle de la part des autorités congolaises. Le silence des autorités congolaises nous révolte. Cela nous révolte, nous en tant qu’organisation de la société qui accompagne les victimes. Le gouvernement congolais doit réagir en faisant en sorte que le Rwanda soit condamné par la communauté internationale pour que cette dernière mette cela comme une conditionnalité par rapport à ses relations avec le Rwanda », dit-il. Et d’ajouter: « Les autorités congolaises doivent placer ce sujet sur la table des rapports avec le Rwanda qui doit reconnaitre les crimes commis en RDC par son armée. La communauté internationale a reconnu le génocide rwandais et les rwandais ne veulent pas reconnaître les crimes commis en RDC. C’est une attitude d’orgueil, une attitude troublante.Ces crimes sont des crimes internationaux ». Dismas KITENGE SENGA plaide aussi en faveur d’un tribunal international. « La paix et la justice ne sont pas antinomiques. La paix doit se consolider par la justice. De la même manière le Rwanda a eu un tribunal international, de la même manière il nous faut la reconnaissance de ce qui s’est passé ici par la mise en place d’un tribunal pénal international ». Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
3min | Published on May 18, 2021


Paul Kagame n’a pas mâché ses mots. Les troupes rwandaises n’ont jamais commis des crimes en RDC. Il l’a dit encore lundi dans une interview sur RFI et France 24. Ces propos ne passent pas à Kisangani qui porte encore les stigmates de la guerre dite de six jours. « En tant qu’organisation qui appuie les victimes de différentes guerres qu’a connu Kisangani et la RDC, la déclaration du président Rwandais a suscité en moi et en beaucoup de victimes des graves crimes internationaux qu’avait commis l’Armée rwandaise dans l’Est de la RDC, un sentiment de révolte », a dit à ACTUALITE.CD Dismas KITENGE SENGA, Maître de conférence à l'université de Kisangani, Président du groupe LOTUS. Selon lui, les victimes ont été insultées: « Révolte par rapport aux crimes commis par l’Armée rwandaise sous la conduite de Kagame. Il avait même dépêché son chef d’Etat major général, le général Kabarebe en RDC. C’est un sentiment d’affront aux victimes des crimes internationaux commis ici à Kisangani. Certains de ces actes sont des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. On peut même parler des actes de génocide parce qu’ils ciblaient les hutus ». Et d’ajouter: « Il faut également une réaction de la société civile, de la communauté internationale par rapport à cette négations de ces crimes graves ». Depuis plus de 20 ans, Dismas Kitenge se bat pour le respect des libertés d’expression et d’opinion et contre l’impunité des auteurs de graves violations des droits humains. En raison de ses activités (cours, enquêtes, rapports, plaidoyers...) Dismas Kitenge a subi et continue de subir de fortes pressions de la part des anciens groupes armés et des autorités. Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on May 18, 2021


Le verdict de la dénonciation de l’affaire Guelor Kanga interviendra ce dimanche 17 mai, selon les sources de la Fédération Congolaise de Football. Initialement prévu pour le dimanche 9 mai, ce report était dû à l’ajout, de deux côtés, d’autres pièces à conviction et la Confédération Africaine de Football (CAF) avait proposé que la décision finale soit rendue une semaine plus tard comme nous l’a confirmé l’administration de la Fédération Congolaise de Football Association (Fecofa). Sport Debrief revient sur ce dossier avec les derniers éléments avant le verdict. Suivez nos experts Michel Tobo et Fonseca Mansianga Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
29min | Published on May 16, 2021


Bahati précise que le sénat n’a pas encore décidé de la levée ou pas de l’immunité de Matata: « Nous n’en sommes pas encore là » Modeste Bahati a expliqué ce samedi ce qui s’est réellement passé à la chambre haute du parlement vendredi. Selon lui, le huis clos décrété hier n’a pas décidé du sort de Matata Ponyo dans le cadre du dossier Bukanga Lonzo. « Nous étions devant un débat juridique. Les uns soutenaient qu’au moment de la commission des faits, il était premier ministre. Dans ce cas, il serait justifiable devant la Cour constitutionnelle. Si tel est le cas, quelle est la procédure? D’autres soutenaient que pour le moment, il n’est Premier ministre et en tant que sénateur, il est justiciable devant la Cour de cassation. Ne serait-il pas mieux que ce soit le procureur général près la Cour de cassation qui nous saisissent? On a aussi constaté qu’on nous a écrit toutes les deux chambres à la fois comme ci on était en congrès », a t-il expliqué. Il intervenait dans une activité scientifique au CEPAS en marge du baptême d’un livre. « Le débat nous a emmené à dire qu’on doit écrire au procureur général près la Cour constitutionnelle pour qu’il nous éclaire davantage », a t-il ajouté. « Les récupérateurs ont tout enflé en disant qu’on a rejeté la demande de levée des immunités. Nous n’en sommes pas encore là. Nous ne sommes même pas encore arrivés à constituer la commission », a t-il précisé avant d’ajouter: « Le droit restera toujours restera toujours au coeur de notre préoccupation ». Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on May 15, 2021


L’état de siège est décrété dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu. Cette décision de Félix Tshisekedi a pour objectif accélérer la lutte contre les groupes armés. Les gouverneurs civils ont été remplacés par des militaires. De nouveaux commandants ont été désignés à la tête des opérations militaires dans ces provinces affectées par les violences. Dans ce numéro de Focus, Josaphat Musamba, expert en pratiques sécuritaires partage ses connaissances sur la sociologie de ces groupes armés. Qui sont-ils? Comment prospèrent-ils? Quelles pistes pour davantage les combattre? Quelle est la part de l’Etat? Et les communautés locales, les pays voisins? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
54min | Published on May 15, 2021


Reformes électorales, par quoi faut-il commencer, reçoit Maitre Jacquemain Shabani, ancien secrétaire général de l’UDPS et actuel président de la commission permanente électorale du parti présidentiel. Comment tirer profit de précédents cycles électoraux? Dans ce numéro, il sera également question de la proposition de loi modifiant et complétant la loi portant organisation et fonctionnement de la CENI qui a été envoyée à la commission PAJ. Les innovations proposées, les défis, les challenges, les craintes, toutes ces questions sont posées par Cléopâtre Iluku. Avec son invité, ils reviennent également sur le mode des élections des gouverneurs et sénateurs, les arriérés électoraux, le financement des scrutins, etc. Suivez Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
39min | Published on May 15, 2021


Le trafic reprend sur l’axe Beni-Kasindi, la frontière avec l’Ouganda. Ce dangereux, mais important tronçon a été le théâtre d’attaques des présumés combattants ADF. Dpuis le début de l’année, une dizaine de personnes ont été tuées dont quatre chauffeurs. Des véhicules ont également incendiés et des marchandises emportées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1min | Published on April 30, 2021


Les élèves de Beni exigent toujours l’arrivée de Félix Tshisekedi? La réponse du commandant de l’Opération Sokola 1 Le commandant de l’Opération Sokola 1, Général-Major Peter Cirimwami, a répondu à plusieurs questions concernant la sécurité dans la région de Beni (Nord-Kivu). Dans un entretien avec les journalistes locaux, il a exhorté les élèves qui campent devant la mairie à rentrer chez eux. « Nous avons dit que c'est dangereux pour les enfants, ils risquent de contracter la maladie. Et comme nous combattons les terroristes, ils risquent de leur faire du mal. Je conseille aux parents de retourner les enfants à la maison. Moi-même je ne comprends pas, les enfants passent les nuits dehors et les parents ne disent mot. Il y a danger, les gens qui fuient la guerre disent que l'ennemi se prépare et peut faire mal à ces enfants », a t-il dit. Il a également évoqué les difficultés de l’Armée à venir en aide à ces élèves en cas de problème. « Le porte-parole de l'armée a prévenu qu'en cas de problème, l'armée ne saura pas répondre parce que nous avons bien dit qu'il y a danger. Hier, ces élèves ont capturé un Mai-Mai qui les a infiltrés, nous ne savons pas c'était quoi son intention ». Pour lui, à ce stade, il faut d’abord quitter la cour de la mairie de Beni. « C'est dangereux pour les enfants de dormir dehors, qu'ils reviennent à l'école. La fois passée, ils avaient dit qu'ils grevaient à cause des mesures annoncées contre Covid-19. Ces dernières ne sont plus là, il n'y a plus de raison de ne pas étudier. S'ils ont une autre raison, qu'ils la signifient au maire ». Ces enfants disent exiger l’arrivée de Félix Tshisekedi dans la région. « J'ai appris qu'ils exigent l'arrivée du Président de la République pour qu'ils retournent à la maison. Que le Président vienne faire quoi? Il fournit d'efforts pour que la guerre prenne fin et il faut que l'armée ainsi que les services de sécurité fassent leur part pour anéantir l'ennemi. Mais exiger aujourd'hui l'arrivée du Chef de l'Etat c'est difficile car il n'a pas ce programme », a t-il expliqué. Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on April 29, 2021


« Le départ de la Monusco à mon avis n'est pas une bonne chose. Monusco est venue aider l'armée congolaise et non la supplanter. Ce sont les FARDC qui ont l'obligation de finir la guerre, la Monusco vient en appui », a t-il dit aux journalistes à Beni. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
59sec | Published on April 29, 2021
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« Mukwege devient un symbole, un outil de ces forces qu’on ne perçoit pas. Il reçoit le Prix Nobel et on lui dit quoi dire », a dit Paul Kagame sur France 24 et RFI. Ces propos ne laissent pas indifférents les acteurs de la société civile en RDC. A Kisangani, Dismas KITENGE SENGA, Maître de conférence à l'université de Kisangani, Président du groupe LOTUS, réagit: « C’est une injure à notre Prix Nobel de la paix qui mène un combat pour la justice, un combat de soutien aux victimes des crimes internationaux. C’est une icône internationale qui mène une lutte reconnue. Le Rwandais a le devoir du respect à l’égard de cette personnalité internationale ». Et d’ajouter: « Nous avons le devoir de protéger cette personnalité qui a consacré une grande partie de sa vie au soutien aux victimes. Ceci est un signal fort que le Rwanda ne reconnait pas ce travail de soutien aux victimes. La communauté internationale a le devoir de demander au Rwanda de revoir sa position par rapport au Prix Nobel de la Paix. Denis Mukwege qui vit à Bukavu, près du Rwanda, est en insécurité ». Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on May 18, 2021


Les propos de Paul Kagame ne laissent pas indifférents les acteurs de la société civile en RDC. A Kisangani, Dismas KITENGE SENGA, Maître de conférence à l'université de Kisangani, Président du groupe LOTUS, attend toujours la réaction des autorités congolaises. « La négation des crimes commis par le gouvernement Rwandais via son armée doit susciter une réaction promotionnelle de la part des autorités congolaises. Le silence des autorités congolaises nous révolte. Cela nous révolte, nous en tant qu’organisation de la société qui accompagne les victimes. Le gouvernement congolais doit réagir en faisant en sorte que le Rwanda soit condamné par la communauté internationale pour que cette dernière mette cela comme une conditionnalité par rapport à ses relations avec le Rwanda », dit-il. Et d’ajouter: « Les autorités congolaises doivent placer ce sujet sur la table des rapports avec le Rwanda qui doit reconnaitre les crimes commis en RDC par son armée. La communauté internationale a reconnu le génocide rwandais et les rwandais ne veulent pas reconnaître les crimes commis en RDC. C’est une attitude d’orgueil, une attitude troublante.Ces crimes sont des crimes internationaux ». Dismas KITENGE SENGA plaide aussi en faveur d’un tribunal international. « La paix et la justice ne sont pas antinomiques. La paix doit se consolider par la justice. De la même manière le Rwanda a eu un tribunal international, de la même manière il nous faut la reconnaissance de ce qui s’est passé ici par la mise en place d’un tribunal pénal international ». Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
3min | Published on May 18, 2021


Paul Kagame n’a pas mâché ses mots. Les troupes rwandaises n’ont jamais commis des crimes en RDC. Il l’a dit encore lundi dans une interview sur RFI et France 24. Ces propos ne passent pas à Kisangani qui porte encore les stigmates de la guerre dite de six jours. « En tant qu’organisation qui appuie les victimes de différentes guerres qu’a connu Kisangani et la RDC, la déclaration du président Rwandais a suscité en moi et en beaucoup de victimes des graves crimes internationaux qu’avait commis l’Armée rwandaise dans l’Est de la RDC, un sentiment de révolte », a dit à ACTUALITE.CD Dismas KITENGE SENGA, Maître de conférence à l'université de Kisangani, Président du groupe LOTUS. Selon lui, les victimes ont été insultées: « Révolte par rapport aux crimes commis par l’Armée rwandaise sous la conduite de Kagame. Il avait même dépêché son chef d’Etat major général, le général Kabarebe en RDC. C’est un sentiment d’affront aux victimes des crimes internationaux commis ici à Kisangani. Certains de ces actes sont des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. On peut même parler des actes de génocide parce qu’ils ciblaient les hutus ». Et d’ajouter: « Il faut également une réaction de la société civile, de la communauté internationale par rapport à cette négations de ces crimes graves ». Depuis plus de 20 ans, Dismas Kitenge se bat pour le respect des libertés d’expression et d’opinion et contre l’impunité des auteurs de graves violations des droits humains. En raison de ses activités (cours, enquêtes, rapports, plaidoyers...) Dismas Kitenge a subi et continue de subir de fortes pressions de la part des anciens groupes armés et des autorités. Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le verdict de la dénonciation de l’affaire Guelor Kanga interviendra ce dimanche 17 mai, selon les sources de la Fédération Congolaise de Football. Initialement prévu pour le dimanche 9 mai, ce report était dû à l’ajout, de deux côtés, d’autres pièces à conviction et la Confédération Africaine de Football (CAF) avait proposé que la décision finale soit rendue une semaine plus tard comme nous l’a confirmé l’administration de la Fédération Congolaise de Football Association (Fecofa). Sport Debrief revient sur ce dossier avec les derniers éléments avant le verdict. Suivez nos experts Michel Tobo et Fonseca Mansianga Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bahati précise que le sénat n’a pas encore décidé de la levée ou pas de l’immunité de Matata: « Nous n’en sommes pas encore là » Modeste Bahati a expliqué ce samedi ce qui s’est réellement passé à la chambre haute du parlement vendredi. Selon lui, le huis clos décrété hier n’a pas décidé du sort de Matata Ponyo dans le cadre du dossier Bukanga Lonzo. « Nous étions devant un débat juridique. Les uns soutenaient qu’au moment de la commission des faits, il était premier ministre. Dans ce cas, il serait justifiable devant la Cour constitutionnelle. Si tel est le cas, quelle est la procédure? D’autres soutenaient que pour le moment, il n’est Premier ministre et en tant que sénateur, il est justiciable devant la Cour de cassation. Ne serait-il pas mieux que ce soit le procureur général près la Cour de cassation qui nous saisissent? On a aussi constaté qu’on nous a écrit toutes les deux chambres à la fois comme ci on était en congrès », a t-il expliqué. Il intervenait dans une activité scientifique au CEPAS en marge du baptême d’un livre. « Le débat nous a emmené à dire qu’on doit écrire au procureur général près la Cour constitutionnelle pour qu’il nous éclaire davantage », a t-il ajouté. « Les récupérateurs ont tout enflé en disant qu’on a rejeté la demande de levée des immunités. Nous n’en sommes pas encore là. Nous ne sommes même pas encore arrivés à constituer la commission », a t-il précisé avant d’ajouter: « Le droit restera toujours restera toujours au coeur de notre préoccupation ». Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on May 15, 2021


L’état de siège est décrété dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu. Cette décision de Félix Tshisekedi a pour objectif accélérer la lutte contre les groupes armés. Les gouverneurs civils ont été remplacés par des militaires. De nouveaux commandants ont été désignés à la tête des opérations militaires dans ces provinces affectées par les violences. Dans ce numéro de Focus, Josaphat Musamba, expert en pratiques sécuritaires partage ses connaissances sur la sociologie de ces groupes armés. Qui sont-ils? Comment prospèrent-ils? Quelles pistes pour davantage les combattre? Quelle est la part de l’Etat? Et les communautés locales, les pays voisins? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
54min | Published on May 15, 2021


Reformes électorales, par quoi faut-il commencer, reçoit Maitre Jacquemain Shabani, ancien secrétaire général de l’UDPS et actuel président de la commission permanente électorale du parti présidentiel. Comment tirer profit de précédents cycles électoraux? Dans ce numéro, il sera également question de la proposition de loi modifiant et complétant la loi portant organisation et fonctionnement de la CENI qui a été envoyée à la commission PAJ. Les innovations proposées, les défis, les challenges, les craintes, toutes ces questions sont posées par Cléopâtre Iluku. Avec son invité, ils reviennent également sur le mode des élections des gouverneurs et sénateurs, les arriérés électoraux, le financement des scrutins, etc. Suivez Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le trafic reprend sur l’axe Beni-Kasindi, la frontière avec l’Ouganda. Ce dangereux, mais important tronçon a été le théâtre d’attaques des présumés combattants ADF. Dpuis le début de l’année, une dizaine de personnes ont été tuées dont quatre chauffeurs. Des véhicules ont également incendiés et des marchandises emportées. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1min | Published on April 30, 2021


Les élèves de Beni exigent toujours l’arrivée de Félix Tshisekedi? La réponse du commandant de l’Opération Sokola 1 Le commandant de l’Opération Sokola 1, Général-Major Peter Cirimwami, a répondu à plusieurs questions concernant la sécurité dans la région de Beni (Nord-Kivu). Dans un entretien avec les journalistes locaux, il a exhorté les élèves qui campent devant la mairie à rentrer chez eux. « Nous avons dit que c'est dangereux pour les enfants, ils risquent de contracter la maladie. Et comme nous combattons les terroristes, ils risquent de leur faire du mal. Je conseille aux parents de retourner les enfants à la maison. Moi-même je ne comprends pas, les enfants passent les nuits dehors et les parents ne disent mot. Il y a danger, les gens qui fuient la guerre disent que l'ennemi se prépare et peut faire mal à ces enfants », a t-il dit. Il a également évoqué les difficultés de l’Armée à venir en aide à ces élèves en cas de problème. « Le porte-parole de l'armée a prévenu qu'en cas de problème, l'armée ne saura pas répondre parce que nous avons bien dit qu'il y a danger. Hier, ces élèves ont capturé un Mai-Mai qui les a infiltrés, nous ne savons pas c'était quoi son intention ». Pour lui, à ce stade, il faut d’abord quitter la cour de la mairie de Beni. « C'est dangereux pour les enfants de dormir dehors, qu'ils reviennent à l'école. La fois passée, ils avaient dit qu'ils grevaient à cause des mesures annoncées contre Covid-19. Ces dernières ne sont plus là, il n'y a plus de raison de ne pas étudier. S'ils ont une autre raison, qu'ils la signifient au maire ». Ces enfants disent exiger l’arrivée de Félix Tshisekedi dans la région. « J'ai appris qu'ils exigent l'arrivée du Président de la République pour qu'ils retournent à la maison. Que le Président vienne faire quoi? Il fournit d'efforts pour que la guerre prenne fin et il faut que l'armée ainsi que les services de sécurité fassent leur part pour anéantir l'ennemi. Mais exiger aujourd'hui l'arrivée du Chef de l'Etat c'est difficile car il n'a pas ce programme », a t-il expliqué. Vous pouvez l’écouter ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Le départ de la Monusco à mon avis n'est pas une bonne chose. Monusco est venue aider l'armée congolaise et non la supplanter. Ce sont les FARDC qui ont l'obligation de finir la guerre, la Monusco vient en appui », a t-il dit aux journalistes à Beni. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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