Description

Jean-Luc Boncenne a toujours eu un gout prononcé pour l'innovation.

Lorsque le fondateur de 40° sur la banquise lance son business en 1989, il a une double vision.

Celle du rapprochement entre la communication et les relation presse alors peu en vogue l'époque et celle de l'importance croissante des nouvelles technologies.

Il sera ainsi à l'origine du tout premier site de la ville de Montrouge en 1998.

En 2024, l'agence continue d'innover !

Ils développent et lance avec succès une IA au service des réseaux de franchisés.

40° sur la banquise accompagne les enseignes dans la définition, la création, l'organisation et le rayonnement de leurs actions de communication et leur développement.
Fort d'un accompagnement de plus de 50 réseaux en 20 ans Ils interviennent sur 3 missions :

• La communication omnicanale

• le recrutement de candidats à la franchise

• l'animation réseau.

Leur fil rouge s’articule autour de 3 concepts fondamentaux : le sens, la cohérence, le développement.

A l’image de leur nom original « 40 degrés sur la banquise », l'agence s'illustre par sa capacité à assembler des idées, leur donner du sens et de la cohérence.

Il reflète également leur engagement dans le respect de l’environnement.

Bonne écoute à toutes et à tous !

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

• Speaker #0

  Vous écoutez Quartier d'Affaires, le podcast dédié au monde de l'entreprise. Podcast dans lequel vous retrouvez des interviews de professionnels membres de l'AEM, l'Association des entreprises de Montrouge et des Hauts-de-Seine-Sud. L'AEM, lieu privilégié du networking des hommes et des femmes d'entreprise, dirigeants et entrepreneurs souhaitant se retrouver pour échanger sur des sujets en lien avec leur activité. Conférence, optimisation des liens économiques et recommandations d'affaires dans un environnement emprunt de convivialité, voilà la recette de l'AEM. Ce podcast a pour objectif de présenter la centaine d'entreprises que compose ce club. Nous parlons de leur histoire, leur activité et leur business, leur actualité et leur projection, en gardant un axe fondamental, l'humain. Car comme l'a si bien dit Antoine de Saint-Exupéry, la grandeur d'un métier est avant tout d'unir les hommes. Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des relations humaines.

• Et pour ce nouvel épisode de Quartier l'Affaire,

• Speaker #0

  j'ai le plaisir d'être avec Jean-Luc,

• Geoffroy

  Jean-Luc Boncenne, le patron fondateur de sur la banquise. Bonjour Jean-Luc.

• Jean-luc

  Bonjour Geoffroy.

• Geoffroy

  Jean-Luc, est-ce que tu peux nous parler de cette belle agence de communication que tu as fondée il y a quelque temps déjà, sur la banquise ?

• Jean-luc

  Avec plaisir. Donc sur la banquise, c'est une agence de communication omnicanale et on s'est spécialisé dans les réseaux de franchise il y a une vingtaine d'années. Donc nous accompagnons les enseignes dans la définition, la création, l'organisation et le rayonnement des actions de communication et dans leur développement. Notre approche finalement se concrétise avec trois missions. la communication omnicanale, le recrutement des candidats à la franchise, et puis l'animation de réseau avec un tout nouvel outil qui utilise l'intelligence artificielle.

• Hyper d'actualité. Quand tu dis omnicanal, on définit quoi pour les BOC ? Ça va être des relations presse, ça va être la communication web, c'est quoi ?

• Jean-luc

  C'est ça, tous les supports de communication à disposition d'une entreprise. Donc tu l'as dit, c'est les sites web, un extra net. les réseaux sociaux, tout ce qu'on appelle le brand content, les relations avec la presse en effet, et ça peut être aussi la vidéo, tout ce qui est à disposition d'une entreprise pour pouvoir communiquer et faire rayonner son message.

• En quelle année tu as créé C'était 1989,

• Jean-luc

  il y a 35 ans.

• 1989, tu es l'une des dernières agences indépendantes de communication, c'est génial.

• Jean-luc

  Alors on est resté en effet indépendant, j'ai fait ce choix de l'autonomie et ça me permet beaucoup de liberté en effet dans la façon d'orienter, de développer la boîte et les dernières orientations qu'on a créées il y a... en fait il y a un an, en sont la preuve. Donc notamment l'acquisition de candidats pour la franchise, grâce à un nouveau partenaire qui nous donne des datas. Et donc on a une approche complètement disruptive dans la façon de chercher des candidats à la franchise. Personne d'autre ne fait ça parce que nous on s'appuie sur des datas, sur la connaissance finalement des rues commerçantes, qui les animent, des propriétaires des locaux et donc tous les profils de ces gens-là. Donc plutôt que de dire simplement qu'on recherche des candidats de franchise et puis on va sur les sites spécialisés, habituels, où on fait de la pub classiquement à partir de son site ou des réseaux, on va aller, nous, être proactifs et on va les définir à partir des profils qui nous sont définis, qui nous sont demandés, les exigences des réseaux, on va aller chercher ces gens-là et on va les proposer, on va les soumettre aux... à la tête de réseau.

• C'est de la big data en fait ?

• Jean-luc

  Oui, oui. Donc là, c'est grâce à notre partenaire qu'il y a en effet beaucoup de data.

• Qu'est-ce qui fait qu'à un moment donné, tu te spécialises il y a une vingtaine d'années dans la franchise ?

• Jean-luc

  Comme souvent, ce sont des hasards. En fait, on a rencontré une personne qui crée son réseau. C'est quelqu'un que je connaissais, qui est en rapport avec ma comptabilité. Donc lui, il changeait un peu de métier et donc il se lance avec son... dirigeant dans le développement d'un réseau de franchise dans le domaine du cadeau. C'était des petites babioles, tout ce qu'on... Quand on cherche des idées cadeaux, on va aller dans ces boutiques. Et ces magasins s'appelaient Chose, ce qui n'était quand même pas une belle chose. Donc on a créé le nom, ça s'appelait Cadouns. On a créé l'identité visuelle, toute la définition de l'organisation du magasin. Bien sûr, c'est les plaquettes... tout le discours de la marque et de l'entreprise pour pouvoir recruter des candidats.

• Et ça a bien marché ?

• Jean-luc

  Ah oui, c'était une belle histoire. Ils sont montés à... Il y avait une quarantaine de magasins.

• D'accord. Et c'était le point de départ de cette...

• Jean-luc

  Une expertise. En plus, pour développer, on a été sur le salon Franchise Expo Paris. Et là, on a rencontré le directeur du salon, qui a été totalement séduit par la qualité de notre travail. Et l'année suivante, il nous confiait les relations presse du salon de la franchise. Ah, excellent ! Et donc du coup, là, on est arrivé... Bon,

• d'après votre intimité, là, ça y est, c'était parti, quoi.

• Jean-luc

  Eh bien, les franchises sont venues à nous. On arrivait avec des nouveaux outils, c'était très en avance sur le web. On avait des outils pour faire des relations de presse, que les gens n'avaient pas, notamment, tout ce qui était l'emailing. Donc on savait faire du tracking des ouvertures par les journalistes, donc on savait qui avait ouvert.

• Eh oui, il y a 20 ans, ça, il faut rappeler que c'était pas évident, on peut...

• Jean-luc

  Eh oui, bon, voilà, c'était il y a 20 ans. et donc on savait qui relancer on pouvait relancer les journalistes individuellement, on ne perdait pas de temps on savait qui relancer puisqu'on ne relançait que les gens qui s'étaient déjà intéressés à notre communiqué de presse Tu es spécialisé,

• ça veut dire que tu ne fais plus que ça ou c'est une spécialité la franchise où tu as d'autres clients qui ne sont pas exclusifs en effet On peut faire appel à toi aussi comme tu es omnicanal pour de la communication

• Jean-luc

  Oui On a un groupe un gros 600 fruits et légumes, c'est très varié. Ah oui,

• d'accord.

• Jean-luc

  On a une très grosse association qui a uni les plus gros éditeurs français de logiciels de paix RH. On est dans la variété, ça, on se fait plaisir aussi. Ça fait partie de la créativité que l'on déploie. Le fait de pouvoir intervenir dans des secteurs très variés, c'est aussi un plaisir.

• Excellent.

• Jean-luc

  Et preuve d'indépendance également.

• Pour mieux te connaître, Jean-Luc, on va faire une petite chronique. Ça va être la chronique Best Place.

• Jean-luc

  C'est très fin, ça se mange sans faim.

• Jean-Luc, tes meilleurs endroits, que ce soit dans ta ville ou plus largement ?

• Jean-luc

  Un bon restaurant, c'est vraiment la priorité.

• C'est essentiel.

• Jean-luc

  C'est la recommandation. Voilà, donc moi, j'aime bien aller à Mendigoria, à Montrouge, qui est l'avenir origineau.

• Restaurant Basque.

• Jean-luc

  Voilà, qui est tenu par Manu, que je recommande.

• Que l'on salue, Manu.

• Jean-luc

  Et sinon, après, l'autre dimension, moi, c'est la dimension culturelle. Alors,... Disons par exemple l'orangerie, aller à l'orangerie pour se baigner dans la beauté des nymphéas. Il faut y aller à une heure tôt le matin, très tôt le matin ou tard le soir. pour essayer d'y être où il y a le moins de monde possible dans les deux stades.

• Et en profiter le mieux possible. Et parce que ce qui est intéressant dans ton parcours, moi je te connais quand même un petit peu Jean-Luc, c'est que tu es un artiste, culturellement c'est quelque chose qui est chez toi en tant que communicant, c'est quelque chose qui a une place, c'est-à-dire que tu peins, ça fait partie de ton environnement, de ton univers.

• Jean-luc

  Tout à fait Geoffroy. c'est ma formation première je suis graphiste designer j'ai fait Pellingen, les sagues et puis j'ai toujours peint je me suis mis à lui à l'âge de 13 ans donc ça fait pas mal d'années en effet que je peins et ça reste une passion profonde profondément ancrée, j'aimerais avoir plus de temps pour peindre maintenant il faut faire des choix donc pour l'instant ça reste une activité que je fais en plus voilà, du reste.

• Jean-Luc, on est à la radio donc on ne te voit pas, mais ceux qui te connaissent le savent tu es jeune, comment...

• Jean-luc

  Alors jeune d'esprit,

• il faut que ça... Non mais tu es jeune Jean-Luc, comment...

• Jean-luc

  J'enseigne bien de l'AEM.

• En 89 tu crées, mais t'as quel âge quand tu crées en 89 cette société ?

• Jean-luc

  C'est après mes études, j'avais 25 ans. Oui voilà,

• c'est ça, t'as créé quand même très jeune. Et ce qui est beau c'est la temporalité, c'est-à-dire qu'il y a une pérennisation du sujet à sur la banquise qui existe depuis... 89, une entreprise, une agence, d'autant plus dans l'univers de la communication avec tous les bouleversements qu'il y a eu depuis 89, l'arrivée d'Internet, aujourd'hui on va en parler, l'intelligence artificielle, quel est le secret, comment tu as fait pour durer comme ça ? C'est quoi la formule magique ?

• Jean-luc

  Je ne sais pas si j'ai un conseil à donner à ce sujet. Moi, tout ce qui est important, je crois que c'est l'envie, c'est la motivation, et surtout l'esprit. Aussi le désir de se renouveler. Je pense que j'ai le goût d'innovation. Quand on a créé l'agence, j'avais deux visions. La première, c'était de mettre en œuvre justement les nouvelles technologies, parce que c'était le début de la PAO, de la CAO, de tout ce qui était l'utilisation de l'ordinateur. C'est fou, mais c'est à 35 ans. Et à 35 ans, avoir un ordinateur sous son bureau, ce n'est pas évident. Et moi, dans mes études et puis mon année de service militaire, où j'ai fait le CIRPA, division communication de l'armée, ils étaient déjà équipés. Il y avait des ordinateurs, donc des Mac, avec déjà des logiciels de mise en page. Donc j'en ai profité pour apprendre ça. Je faisais déjà un peu de freelance, dès que j'avais un petit moment en plus. Ce qui fait que je connaissais des outils, dans ce qu'on appelle la CAO, des outils de dessin comme Illustrator, Photoshop. Donc avec cette maîtrise-là, on était déjà avec une avance technologique. que n'avaient pas les autres agences, même beaucoup plus grosses ou plus anciennes. Donc on arrivait avec des nouvelles approches, des nouveaux outils.

• C'est grâce à ton service militaire en fait.

• Jean-luc

  Ouais, on va dire ça. Écoute, il faut être toujours à du bon côté aux choses. L'autre vision, c'était la complémentarité de tout ce qui était justement création publicitaire classique et les relations presse. Ce qu'on ne voyait pas, on voyait ça plutôt dans les mondes anglo-saxons. Mais en France, ça ne se mélangeait pas. D'abord, c'était peu utilisé, les relations presse. Et puis, on ne mélangeait pas une boîte de com, de pub même, on disait à l'époque, et des relations presse. Ça ne se mettait pas ensemble. Or, c'est une complémentarité de services et de connaissances. C'est-à-dire qu'on va apporter la plume, le côté rédactionnel à la com. Et réciproquement, on va enrichir la qualité des contenus de l'agence de presse avec la création graphique, la qualité des photos.

• Donc, une curiosité constante. dans les évolutions, de s'intéresser.

• Jean-luc

  Et puis, donc, arrive, voyons, c'était en 97, là, je m'intéresse à l'Internet. Ce qui nous a permis, en 98, de faire le premier site de la ville de Montrouge.

• 98 ! Ouais,

• Jean-luc

  en 98, on a créé des sites internet marchands qui étaient reliés à des logiciels comptables. On a vraiment été très innovants en 98. donc on avait ce système-là qui était presque... On n'était pas nombreux en France à savoir faire ça.

• Ce qui explique aujourd'hui de cette curiosité d'être toujours au goût du jour, quelque part, que tu as intégré dans tes services l'intelligence artificielle. Absolument. En 2004,

• Jean-luc

  après, c'était l'emailing. Notre propre serveur, on avait mis tout en place un système comme Sarbacane maintenant. Mais en fait, on faisait du Sarbacane. On avait travaillé aussi sur des systèmes de fichiers pour les relations presse avec un développeur. On avait... un système de fichiers qui était complètement professionnel, qu'on aurait pu aussi commercialiser à part entière. Et puis donc là je me suis intéressé à l'IA, donc maintenant il y a un an et demi, au début, assez tôt, et ça fait un an qu'on fait de la R&D, où on a donc développé un outil conversationnel pour pouvoir apporter aux franchisés une réponse en permanence à toutes leurs questions. On a parlé de franchise tout à l'heure, donc on peut peut-être rappeler les rapports de la franchise. C'est un système de commerce avec une tête de réseau et des magasins qui sont financièrement et juridiquement indépendants. L'engagement de la tête de réseau, du franchiseur, c'est d'apporter son savoir-faire et la duplication de la réussite au franchisé. Pour ça, il y a un manuel opératoire, il y a un guide du savoir-faire, en quelque sorte, il y a plein de contenus. Et ces contenus, on va en nourrir notre outil pour que l'IA puisse donner la bonne réponse, mais ne va pas aller s'aventurer à aller chercher des réponses ailleurs que dans ce qui est vraiment le contenu et la définition du savoir-faire du franchiseur. Donc on peut lui donner aussi un organigramme, un catalogue complet, tous les tarifs, les outils de com, bien évidemment.

• Au service du franchisé.

• Jean-luc

  Le franchisé va interroger l'outil et notre outil va répondre très précisément à la question et peut même mettre en lien les documents référents. Aller vers des solutions de formation, par exemple d'apprentissage complémentaire ou des actions d'incentive au sein du réseau pour pouvoir répondre au mieux. Et que les questions qui sont posées puissent... apporter aussi une réponse en permanence, que ce ne soit pas répétitif.

• Jean-Luc, 40 degrés sur la banquise, 89, c'est quoi ? Ton symbole, c'est l'ours blanc, l'ours polaire. Tu es en avance sur ton temps, sur la conscience de l'écologie, c'est quoi ?

• Jean-luc

  Il faut quand même rappeler qu'Arundt Taziev, en 79, il a quand même pris la parole pour dire attention, plus 2 degrés, 2-3 degrés de chaleur globale de la planète, c'est égal fonte des glaces, et donc catastrophe totale. On est en 79. Donc, en 89, on est encore sensibilisés à ça, mais pas tout le monde, c'est vrai. Moi, je me suis toujours intéressé à la problématique d'environnement. Donc, il y avait tout un courant quand même où on voulait respecter la nature. On était déjà conscient de cette... de consommation. Donc j'ai voulu faire ce clin d'œil en créant la boîte. C'était aussi le fait de montrer déjà l'éventail de services, à du très chaud, très froid, aussi. Et puis de faire preuve d'originalité dans le nom. on nous demande quand même aussi d'être disruptif.

• Oui, surtout à l'époque, les agences de com', c'était quand même, les années 80, c'était le... Ah bah oui,

• Jean-luc

  puis c'était que des sigles, hein, c'était BDDP, HUTM, voilà. Bon, les gens étaient très égocentrés avec l'immé... ils mettaient leur nom, hein, voilà. Donc j'aurais pu être BBB, et... voilà, bon, GLB...

• Pense à Nemco,

• Jean-luc

  enfin bon,

• je pense qu'il y a un intérêt.

• Jean-luc

  et bien tu as fait la preuve de créativité sur la banquise ça a plutôt bien fonctionné parce que les gens s'en souviennent au général.

• Jean-Luc si on veut te trouver c'est le site internet sur la banquise banquise.com la liste était assez ouverte les réseaux sociaux et

• Jean-luc

  oui voilà et puis LinkedIn boncen,

• b-e-n-c-e-2-n-e boncen Jean-Luc on te trouve sur LinkedIn et sur sur le site internet banquise.com.

• Jean-luc

  Merci beaucoup.

• Merci Jean-Luc.

• Speaker #0

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