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AI MY JOB

#19 – Que vaut un diagnostic IA sans médecin ? avec Guillaume Gorincour (radiologue) – radiologie, éthique, responsabilité

#19 – Que vaut un diagnostic IA sans médecin ? avec Guillaume Gorincour (radiologue) – radiologie, éthique, responsabilité

41min |22/05/2025
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Description

Guillaume Gorincour est radiologue, chercheur, enseignant… et utilisateur avisé de l’IA.


Dans cet épisode, il partage son expérience de terrain, ses gardes aux urgences avec des algorithmes comme assistants, et ses réflexions éthiques sur la médecine augmentée. Ce n’est pas un plaidoyer technophile, mais un témoignage nuancé, précis, et profondément humain.


À retenir dans cet épisode :

– L’IA ne remplace pas le radiologue : elle l’assiste, parfois en pleine nuit

– Les faux positifs sont fréquents : l’œil humain reste indispensable

– La formation intègre désormais l’IA, mais sans négliger la relation patient

– L’IA donne de la confiance, pas forcément du temps

– Les données médicales sont précieuses : leur usage doit être encadré

– Les grands modèles (LLM) posent des questions environnementales et éthiques

– Expliquer un diagnostic à un patient reste une compétence… irremplaçable

– La responsabilité du médecin ne doit pas être déléguée à une boîte noire

– L’IA peut aider à prioriser les cas urgents : gain de pertinence plus que de vitesse

– Les radiologues de demain devront être experts… et humains


Un épisode pour comprendre ce que l’IA change vraiment dans la radiologie — et pourquoi le jugement clinique reste au cœur du soin.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Guillaume Gorincour est radiologue, chercheur, enseignant… et utilisateur avisé de l’IA.


Dans cet épisode, il partage son expérience de terrain, ses gardes aux urgences avec des algorithmes comme assistants, et ses réflexions éthiques sur la médecine augmentée. Ce n’est pas un plaidoyer technophile, mais un témoignage nuancé, précis, et profondément humain.


À retenir dans cet épisode :

– L’IA ne remplace pas le radiologue : elle l’assiste, parfois en pleine nuit

– Les faux positifs sont fréquents : l’œil humain reste indispensable

– La formation intègre désormais l’IA, mais sans négliger la relation patient

– L’IA donne de la confiance, pas forcément du temps

– Les données médicales sont précieuses : leur usage doit être encadré

– Les grands modèles (LLM) posent des questions environnementales et éthiques

– Expliquer un diagnostic à un patient reste une compétence… irremplaçable

– La responsabilité du médecin ne doit pas être déléguée à une boîte noire

– L’IA peut aider à prioriser les cas urgents : gain de pertinence plus que de vitesse

– Les radiologues de demain devront être experts… et humains


Un épisode pour comprendre ce que l’IA change vraiment dans la radiologie — et pourquoi le jugement clinique reste au cœur du soin.



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Dans cet épisode, il partage son expérience de terrain, ses gardes aux urgences avec des algorithmes comme assistants, et ses réflexions éthiques sur la médecine augmentée. Ce n’est pas un plaidoyer technophile, mais un témoignage nuancé, précis, et profondément humain.


À retenir dans cet épisode :

– L’IA ne remplace pas le radiologue : elle l’assiste, parfois en pleine nuit

– Les faux positifs sont fréquents : l’œil humain reste indispensable

– La formation intègre désormais l’IA, mais sans négliger la relation patient

– L’IA donne de la confiance, pas forcément du temps

– Les données médicales sont précieuses : leur usage doit être encadré

– Les grands modèles (LLM) posent des questions environnementales et éthiques

– Expliquer un diagnostic à un patient reste une compétence… irremplaçable

– La responsabilité du médecin ne doit pas être déléguée à une boîte noire

– L’IA peut aider à prioriser les cas urgents : gain de pertinence plus que de vitesse

– Les radiologues de demain devront être experts… et humains


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Guillaume Gorincour est radiologue, chercheur, enseignant… et utilisateur avisé de l’IA.


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À retenir dans cet épisode :

– L’IA ne remplace pas le radiologue : elle l’assiste, parfois en pleine nuit

– Les faux positifs sont fréquents : l’œil humain reste indispensable

– La formation intègre désormais l’IA, mais sans négliger la relation patient

– L’IA donne de la confiance, pas forcément du temps

– Les données médicales sont précieuses : leur usage doit être encadré

– Les grands modèles (LLM) posent des questions environnementales et éthiques

– Expliquer un diagnostic à un patient reste une compétence… irremplaçable

– La responsabilité du médecin ne doit pas être déléguée à une boîte noire

– L’IA peut aider à prioriser les cas urgents : gain de pertinence plus que de vitesse

– Les radiologues de demain devront être experts… et humains


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