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Ambition Digitale: Marketing, Réseaux sociaux & Personal Branding pour les ambitieuses.

11 chiffres, faits, anecdotes (et galères) issus de mon dernier lancement : les coulisses sans filtre

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23min |14/04/2025
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Description


Des ventes.
Des nouveaux abonnés.
Des stories ultra positives partout.


Mais la vraie question c’est : qu’est-ce qui se passe en coulisses, pour de vrai ?

Spoiler : c’est rarement un long fleuve tranquille.

Dans cet épisode, je t’embarque avec moi dans les backstages complets de Carrousel Superstar, mon dernier lancement digital.

Pas juste les beaux chiffres.

Pas juste les victoires qui flattent l’égo.

Mais aussi les bugs, les ratés, les surprises, les décisions stratégiques prises à chaud… et les leçons ultra concrètes que j’en retire.

Parce qu’entre penser avoir fait zéro vente pendant 48h, perdre 712 abonnés en un mois et me faire copier (ou carrément piller) par d’autres comptes… disons que j’ai eu de quoi apprendre.

Et si ça peut t’éviter 2-3 sueurs froides pour ton prochain lancement, c’est cadeau.


5 bonnes raisons d’écouter cet épisode :


  • Quoi faire AVANT de paniquer quand tu vois pas de vente.

  • Comment vendre beaucoup sans reels, sans pub et sans drama.

  • Pourquoi perdre des abonnés est un excellent signe que t’es sur le bon chemin.

  • Ce qui se passe VRAIMENT quand ton compte explose en visibilité.

  • Et le dossier que chaque entrepreneuse devrait avoir dans son ordi (promise, ça sauve des vies).


On parle : Marketing, Réseaux sociaux, Ventes


Réserver une session individuelle avec moi


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Transcription

  • Speaker #0

    Ce que personne, ou presque, ne te dit sur un lancement dit à succès, quand tu vois passer toutes les ventes, les stories ultra positives, les célébrations, les nouveaux abonnés, etc., tu peux te dire que potentiellement tout s'est passé comme prévu. Spoiler alert, pas vraiment ! Et aujourd'hui, je te partage ce qui s'est passé dans les coulisses de Carousel Superstar, mon dernier lancement, et tout ce que j'en retiens. Bienvenue dans Ambition Digitale ! le podcast dédié aux entrepreneurs qui veulent développer leur activité en ligne. Ici, on parle marketing digital, création de contenu et péripéties entrepreneuriales. Moi, c'est Audrey, tu comptes comme une bosse, ancienne qui n'est devenue infopreneuse. Je te partage ici conseils et stratégies concrètes pour que tu puisses, à ton tour, créer des contenus qui te ressemblent, fédérer une communauté qui prendra plaisir à acheter chez toi et bâtir une présence en ligne au service de ton business. Mon objectif, booster tes résultats et ton ambition digitale. avec la touche de good vibe qui fait la différence pour ne rien lâcher. Tout ça te parle, tu es ici chez toi. Première chose, j'ai cru faire zéro vente pendant 48 heures et je suis restée assez calme. Si tu as déjà fait un lancement ou une grosse campagne de communication, tu sais que le moment où tout est prêt, il y a ta page d'inscription, il y a ton mail. où il y a ton poste, il y a ton offre, tout est prêt. Et ce qu'il te reste à faire, c'est juste d'appuyer sur « Envoyer » pour voir comment ton audience va réagir. C'est assez symbolique. Cette première journée, et notamment les premières heures, ça te donne une idée de comment ton offre est reçue au départ et tu peux commencer à faire des projections plus ou moins optimistes ou plus ou moins pessimistes de comment ton lancement peut se passer. Et généralement, ça te permet d'avoir un peu une... tendance, est-ce que c'est bien compris dès le départ est-ce que ça accroche dès le départ ou est-ce que je vais devoir faire des ajustements, donc quand j'ai envoyé mon premier mail je pense que c'était un lundi mais je suis pas sûre en tout cas quand j'ai lancé mon premier mail pour communiquer sur Carousel Superstar et que j'ai vu pendant au moins 24h zéro notif, je me suis dit ah, y'a un problème et là je rigole mais avant ça aurait été vraiment la crise crise existentielle, mon offre est nulle, je dois tout changer, ça aurait été vraiment la panique. Là, je suis restée plutôt calme, dans le sens où je sais qu'avant, il y a genre un ou deux ans, ça aurait fini en mode Netflix, peau de glace, déprime, etc. Et là, j'ai essayé d'appliquer ce que je conseille à mes clientes, c'est-à-dire lâche ton dashboard pendant quelques heures, voire même bien 24 heures, et reprends les étapes, les unes après les autres, tranquillement. C'est ce que j'ai fait, j'ai décroché de StripeCard, qui est mon outil de... de paiement où je vois chaque vente, etc. Et je me suis dit que de toute façon, je verrais les notifications sur mon téléphone quand elles arriveraient. Et je me suis replongée sur mes étapes. Est-ce qu'il y a un problème ? Est-ce que mon mail a bien été envoyé ? Est-ce que mon taux d'ouverture est correct ? Est-ce qu'il est à peu près comme d'habitude quand c'est un mail ? Est-ce que ma page de vente fonctionne ? Est-ce qu'on peut payer ? Toutes ces choses-là un petit peu techniques. Et splot twist, en fait, je me suis rendue compte au bout de 48 heures, j'avais juste pas reçu les notifications de vente. sur mon téléphone parce qu'elles étaient en spam et comme je m'étais dit que j'allais un peu décoller de mon dashboard, je n'avais pas vu qu'il y avait un gap entre les ventes que j'avais sur mon DriveCard et les notifications de vente. Du coup, je te donne un petit peu ma checklist en cas de ventes qui sont soit plus faibles que ce que tu attendais, soit de pas de vente du tout. La première chose, c'est donc de vérifier toute la technique. Regarde si tes notifications de vente ne vont pas dans les spams. Vérifier qu'on peut acheter, que le lien fonctionne, que le site est bien en ligne, que le mail est bien parti Toutes ces petites choses-là un peu techniques, ça c'est la première chose La deuxième chose, tu peux retravailler le message, réfléchir, est-ce que ma promesse est vraiment claire ? Est-ce que je tape vraiment bien avec cette promesse-là ? Est-ce qu'elle est facile à comprendre ? Est-ce qu'elle correspond vraiment aux attentes de mon audience ou pas ? Ça peut être le moment aussi de voir si tu ne peux pas faire des petites améliorations Je sais que moi, par exemple, j'ai réajusté mon message au cours du lancement en fonction des questions que mon audience me posait, en fonction des premiers retours après quand l'atelier a été lancé et qu'il était disponible pour les inscrites. Et la dernière chose, c'est d'ajuster après ta stratégie. Par exemple, si j'ai prévu d'envoyer, imaginons que des emails, mais que je vois que mes emails ne fonctionnent pas comme je veux. ou pas aussi efficace que je veux, et bien peut-être je vais chercher à rajouter, imaginons un épisode de podcast pendant ce lancement. Et c'est des choses qui sont possibles pendant ton lancement, c'est d'être assez adaptable, et de voir s'il n'y a pas des petites choses que tu peux améliorer sur ta stratégie globale. Deuxième point qui fait clairement partie des coulisses d'un lancement, c'est tous les modes techniques, évidemment, sinon ce n'est pas un vrai lancement. Donc moi j'ai eu, par exemple quand une abonnée commentait un mot-clé sur mon post, elle recevait... Un message, mais elle n'arrivait pas à le voir s'afficher. Heureusement, j'ai des abonnés qui communiquent et qui me disent quand il y a un bug. Du coup, j'ai eu l'info. Le deuxième bug, c'est les accès à la formation. Il n'y a pas eu beaucoup de bugs autour de ça, mais il suffit d'en avoir un ou deux pour se dire est-ce qu'il y a un problème sur l'envoi des accès, etc. Donc, heureusement, c'était assez anecdotique, mais ça fait partie des bugs techniques qu'il a fallu gérer. Et ensuite, j'ai eu StripeCard sur lequel j'héberge la page d'inscription. et qui procède aussi au paiement qui a bugué pile le dernier jour du lancement. Donc, dédicace aux clientes qui ont vu le message d'erreur au moment de payer, mais qui étaient assez motivées pour avoir le programme, qui sont venues ensuite me le dire et qui sont revenues ensuite sur la page. Ce que j'en retiens, la classique loi de Murphy, que je revisite en mode, s'il existe une possibilité pour que quelque chose foire, il y a des chances que ça foire au pire des moments. Trois trucs que tu peux me piquer, en tout cas trois trucs qui m'aident pas mal dans mon organisation, c'est d'avoir toujours en tête un système manuel de secours, savoir que potentiellement je vais devoir peut-être faire certaines tâches manuellement, répondre à mes DM, renvoyer des mails qui devaient s'envoyer en automatique, garder de la bande passante parce qu'en fait c'est souvent ça qui fait qu'on se sent un peu submergé, notamment sur ces périodes où on a un peu un... Un système d'arrivée qui est déjà très sollicité. Et en fait, le moindre bug, on peut avoir l'impression qu'on est dépassé. Le fait de savoir qu'il y a des choses comme ça qui peuvent arriver, ça me permet de mieux gérer. Et puis après, dès lors qu'on a un ou deux messages, on peut vraiment se créer ce petit template, ce petit modèle qu'après on peut réutiliser si jamais le problème revient. Troisième fait, mon compte pub Facebook bloqué pile au moment où je décide de tester la pub. L'idée, c'était de faire du retargeting, c'est-à-dire que les personnes qui... avait déjà vu mon offre, qui avait déjà porté de l'intérêt dessus, qui avait déjà cliqué sur ma page d'inscription, puisse recevoir ce rappel que le prix augmentait. Je me suis dit, tentons ce retargeting par la pub. Donc, j'ai revu une formation que j'avais sur la publicité. J'ai créé mes publicités, les créatives, tous les visuels, tous les titres, les légendes, etc. Et au moment où tout est prêt, je clique pour lancer ma campagne. Et Facebook me dit vérification du compte, activité suspecte, on bloque tout. OK. Donc, du coup, je n'ai lancé aucune pub. D'un côté, ce qui est cool pour moi, c'est que ça m'a permis de voir jusqu'où pouvaient aller mes stratégies en organique. Et ça, c'était intéressant pour moi. Donc, je pense souvent que ce genre de bug-là, c'est plus des redirections. Donc, je le prends pas mal. Ce n'est pas grave. Mais j'avoue, j'étais quand même soulagée d'avoir un système en organique qui me permettait du coup... de continuer à booster mes résultats. Un chiffre, 10 000 nouvelles personnes sont arrivées sur les trois derniers mois, donc sur janvier, février et mars, sur mon compte. Je sais que le discours classique, c'est vraiment, soit tu vends et tu perds en visibilité, soit tu donnes plein, plein, plein de valeur gratuitement, et là, tu vas avoir des abonnés, mais ce ne sera pas forcément des abonnés qualifiés. En fait, dans ces périodes-là de janvier, février et mars, j'ai eu trois pics. trois phases de promotion. En janvier, j'ai fait une classe sur Instagram en collaboration. Ensuite, j'ai fait un gros sommet. Donc du coup, c'était aussi une phase de promotion du sommet. Et ensuite, j'ai enchaîné par Carousel Superstar. Et en fait, c'est le plus gros pic de croissance que j'ai quasiment jamais eu. Parce que même en... On va dire à l'âge d'or d'Instagram, où j'avais une très très grosse croissance. Même dans mes débuts où j'avais une très très grosse croissance, 10 000 nouvelles personnes, je ne les ai pas attirées en trois mois. Ce que je retiens, c'est que ça vient vraiment challenger cette croyance que vendre, ça fait fuir les gens. Ce n'est pas forcément vendre qui fait fuir les gens, c'est plus de vendre sans leur apporter quoi que ce soit de concret. Et je pense que quand on arrive à faire les deux, on arrive à vraiment attirer une audience en plus qui est encore plus prête à bouger, qui est encore plus prête à passer à l'action. Et je pense que c'est favorable pour tout le monde, c'est-à-dire notre audience qui avance et nous, parce que ça développe nos business. 5, des ventes quasi chaque jour avec une succession de 30 jours sur la période de promotion. Et en moyenne, 10 ventes par jour avec des pics à un peu plus de 60 ventes. Donc là, bien sûr, sans pub, déjà parce que mes pubs ont été bloqués quand j'ai voulu tenter l'expérience. Et je dirais même... sans poster un seul reel parce que là, ça va faire maintenant 60 jours que je n'ai pas posté un reel sur Instagram. Mon observation par rapport à ça, c'est que je commence à voir comment un système organique peut offrir la régularité d'un tunnel publicitaire. Comment un système organique, donc sans pub, peut, en fonction de comment il est amené, apporter la récurrence qu'on a l'habitude d'observer dans des systèmes qui sont payants. Est-ce qu'un jour je ferai de la pub ? probablement, mais aujourd'hui, c'est vrai que je trouve ça intéressant d'imaginer un système organique qui arrive à tourner en continu. 6. Pendant toute la période de promotion, j'ai envoyé 1 à 2 mails par semaine. J'ai envoyé 2 mails quand il y avait une deadline, quand il y avait un changement, quelque chose qui bougeait sur l'offre. Et j'avais laissé une option ultra simple dans mes mails. Clique ici, en gros, si tu veux rester abonné, mais que tu veux... pas entendre parler de mon offre. Et seulement 5 personnes ont cliqué sur cette option-là. Mon taux de désabonnement est resté très faible. Je suis à un petit peu moins de 1%. Ça vient challenger la croyance que j'ai eue pendant très très longtemps que les gens étaient saoulés qu'on leur vende quelque chose dans l'email. Et en fait, je me suis vraiment rendue compte que dans les chiffres que je peux observer, la majorité en fait est juste OK d'entendre parler de ton offre. Le tout, c'est de le faire avec une vibe qui te ressemble, qui reste la même que celle de tes autres mails et sur un rythme qui est respectueux. Bien sûr, l'idée, ce n'est pas de se transformer en spam et d'envoyer 10 mails par jour. 7. Des clientes froides, même si le terme est un peu bizarre, ont acheté l'offre directement et sans pub. Donc généralement, le trafic froid, c'est plutôt un trafic qu'on va venir adresser avec de la publicité, c'est-à-dire qu'on va payer pour que... des gens qui ne nous connaissent pas du tout, qui n'ont jamais entendu parler de nous, découvrent quelque chose qu'on a leur proposé. J'ai commencé à être assez surprise de ça quand j'ai reçu des messages ou des commentaires de gens qui me disaient « je viens de te découvrir et j'ai acheté » . La leçon là, c'est que quand ton message est clair et que ton offre est simple à comprendre pour quelqu'un qui ne te connaît pas et que tu as ce que j'aime bien appeler un parcours de confiance, même des gens qui viennent d'arriver peuvent acheter. Alors là, on reste quand même dans le contexte d'une offre qui est à moins de 100 euros, mais ça casse un peu ce mythe que l'organique, c'est forcément long, c'est forcément quelque chose qui doit durer des mois, etc. Et puis le deuxième élément, c'est que j'ai aussi eu des personnes qui ont vu mes postes et qui ont décidé de pas forcément rejoindre Carrossage Superstar, mais de prendre mes offres soit aux alentours de 250 euros, soit aux alentours de 2000 euros. Ce qui est assez en lien avec mon point 8, c'est que j'ai vu beaucoup d'allers-retours entre mes offres et j'ai trouvé ça ultra intéressant de voir des clientes qui avaient déjà pris mes accompagnements à plus de 2000 euros acheter Carousel Superstar parce que c'est une offre ultra spécifique et en même temps d'avoir des clientes qui ont pris Carousel Superstar et qui ont décidé ensuite, par exemple, de booker une session stratégique parce qu'elles voulaient aussi une approche individuelle. Et donc, si tu as la possibilité de pouvoir... créer un petit peu ce cercle vertueux qu'on appelle des petites offres, donc des offres en dessous de 100 euros, peuvent vraiment nourrir les grosses offres et inversement. 9. Je me suis fait engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Autant on s'attend toujours à ce qu'il y ait quelqu'un qui vienne nous dire que c'est trop cher notre truc, autant je ne m'attendais pas à me faire engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Ce qui est marrant, c'est que c'est un choix qui est totalement volontaire et je sais que c'est une offre qui est accessible, mais aussi parce que j'ai envie de pouvoir offrir des expériences vraiment cool à des abonnés quand ils commencent tout juste à me découvrir par exemple, quand ils n'ont pas forcément encore les moyens de s'offrir un accompagnement premium avec moi. Et donc, c'est totalement volontaire d'avoir mis un tarif qui est aussi accessible pour pallier l'effet d'écrédibilisation du fait d'avoir un tarif qui est accessible. C'est aussi pour ça que c'est une offre qui est très cadrée, très spécifique. Dans la page d'inscription, j'explique bien ce qui est inclus, ce qui n'est pas inclus. pour qu'on comprenne que bien sûr ça va pas remplacer un quotidien individuel etc. Je pense que je pourrais faire un épisode complet là-dessus, mais en gros c'est un peu le black mirror de tout lancement avec de la visibilité, du moins je dirais que c'est les côtés négatifs d'avoir une hyper croissance sur Instagram, et la première conséquence est tout simplement que tu es observé, et pas qu'observé, c'est souvent aussi copié. Faut garder la tête froide pour... pas être distraite. On va forcément regarder un petit peu ce que tu dis, ce qui semble marcher. On va peut-être tenter un peu de le reproduire aussi. Bien sûr, tes meilleurs postes vont être répliqués. Je commence à mieux le vivre, même si c'est vraiment toujours quelque chose que je trouve très négatif, parce que je passe beaucoup, beaucoup de temps à préparer mes contenus. C'est surtout la préparation, ce n'est pas forcément la mise en page ou la mise en forme qui va me prendre du temps, parce que maintenant j'ai un peu des systèmes pour gagner du temps sur ça, mais par contre je prends toujours beaucoup de temps pour me former, pour rester à jour, pour bien décortiquer les choses, pour que ce soit pertinent, etc. Et c'est vrai que c'est toujours désagréable de voir que plus ou moins quelqu'un s'approprie un peu ce travail-là. Après j'ai bien conscience maintenant, et notamment en ayant... vraiment développer aussi tout ce qui était autour de la marque personnelle qu'on peut. Bien sûr, copier un contenu, on ne copie pas ta secret sauce, on ne copie pas ta façon d'interagir avec tes clients, ce que tu leur apportes en réel, l'énergie. Il y a plein de choses qu'on ne pourra jamais te copier. On va dire que l'addition se fait à la fin, c'est-à-dire qu'on peut copier ton contenu, mais après, si le reste ne suit pas, ça se voit assez rapidement. Mais c'est vrai que ça peut être un peu désagréable. Donc maintenant, mon mantra quand je vis ce genre de choses-là, c'est de rester focus et de regarder là où je veux aller. de continuer d'avancer, de ne pas regarder derrière, parce qu'au fond, c'est un peu ça, quand on te copie et que tu es distraite par ça, en fait, tu regardes un peu ce qui se passe derrière toi, et là, l'idée, c'est de rester focus et d'avancer. Deuxième conséquence, d'être un peu plus visible. Je dirais que c'est quand même moins courant sur Instagram que sur LinkedIn, même si je n'ai jamais eu de mésaventure encore sur LinkedIn, mais c'est normal, je ne suis pas très visible sur la plateforme, mais c'est d'avoir quand même toujours deux, trois messieurs, je sais tout, qui vont te dire qu'ils comprennent mieux ce que tu fais, qu'ils vont vouloir t'apprendre ton travail dans les commentaires. Honnêtement, je pense que de toutes les attaques possibles, c'est peut-être celle qui me touche le moins. Ça fait partie du jeu, donc il fallait que je le cite aussi. La dernière, c'est probablement, par contre, celle qui m'a le plus affectée, c'est qu'en fait, mon audience a été un peu ciblée, c'est-à-dire qu'une agence a décidé de voir qui commente, qui est active sur mon compte, etc., et d'envoyer un mail à ces personnes-là, un mail de prospection. En plus, citant mon nom, je crois que même dans le mail, il y avait écrit quelque chose du genre « J'ai vu que tu commentes les posts de Comme une Boss, du coup, je voulais te proposer cet accompagnement sur Instagram » . Bref, l'idée, c'était d'utiliser un peu mon image et mes abonnés pour pouvoir mettre en avant leur offre. C'est tellement une approche de forceur que mes abonnés s'en sont rendus compte très rapidement et m'ont prévenu. Donc, j'ai pu gérer ça. J'ai pu gérer ça avec le plus de tact possible en coulisses. Mais c'est vrai que même si ça fait partie du game, je trouve que c'est ni normal ni éthique. Et c'est dommage de devoir traverser ce genre de choses. Mais ça fait partie du jeu, malheureusement. Surtout quand tu es une femme entrepreneur. Et c'est vrai que ce soit ce genre de conséquences-là, ou que ce soit les petites attaques qu'on peut avoir, ou la remise en question de tas. de ton expertise, ces petites choses-là. Surtout quand tu es une femme qui entreprend et que tu as un peu de visibilité, il faut être consciente que tu vas avoir un peu ce conflit entre être plus visible, toucher plus de monde, étendre mon impact, ou rester discrète, ne pas faire trop de bruit, et du coup, potentiellement, je ne serai pas une cible. Ce qui m'aide beaucoup, c'est de me rappeler pourquoi j'ai démarré ça et pourquoi le fait d'être visible aide tout le monde, c'est-à-dire à la fois dans le sens où je vais être satisfaite d'avoir fait le truc jusqu'au bout et d'être allée voir le potentiel de mon projet jusqu'au bout. Mes clientes aussi, parce que la plupart vont te dire quoi quand elles te rencontrent et qu'elles aiment ce que tu fais. En fait, merci, je suis contente d'être tombée sur ton contenu. Ou merci d'avoir créé cette offre, c'est aussi un retour que j'ai eu. Donc, il faut garder le cap. Pas toujours évident, mais gardons le cap et n'oublions pas que on n'est pas seul, en fait. Quasiment. Toutes les femmes qui osent se mettre en avant sur les réseaux sociaux vont vivre ce genre de choses. Et le dernier truc que je voulais partager par rapport à ça, c'est que ce qui m'a beaucoup aidée, c'est mon dossier chouchou. En fait, c'est un dossier dans lequel je mets tous les retours que j'ai pu avoir depuis très très longtemps, même depuis mes premiers coachings. Au début, il m'aidait surtout à lutter contre mon syndrome de l'imposteur qui se pointe toujours au pire moment. Donc quand j'ai une conférence, quand j'ai une masterclass, voilà, toutes ces choses-là. Ça me fait toujours du bien de me replonger un peu dans ses avis et de me rappeler l'impact qu'a ma visibilité quand je ne me cache pas, justement. Et si tu n'as pas encore ce dossier chouchou, je t'invite fortement à le créer. Ça peut être même des retours d'abonnés au début, si tu n'as pas encore plein de clients. Puis après, ça peut être aussi des retours de collaborateurs. Enfin vraiment, tout ce qui te sauce un peu, tout ce qui te rappelle en quoi le fait. d'être là a de belles conséquences parce que sinon, si on se focalise que sur la partie négative, bien sûr, on peut se dire, en fait, ça ne vaut pas le coup, autant que je me cache. Mais quand on se concentre sur tout l'impact qui peut être vraiment cool sur d'autres humains, on se dit, ça vaut vraiment le coup de le faire. Dernier fait, dernière coulisse, dernier chiffre que je peux te partager un peu de coulisses, c'est sur mon bilan. Quand j'ai analysé un petit peu les arrivées et les sorties d'abonnés en mars, j'ai trouvé ça assez marrant parce que en gros j'ai à peu près 700 personnes, 712 personnes même, parce que j'ai fait un post dessus donc j'ai encore le chiffre en tête, qui ont décidé de plus voir ma tête, en gros de plus lire mon contenu, etc. Enfin bref, de se désabonner de mon compte en mars. Et je vais t'expliquer un peu pourquoi je pense que c'est une bonne nouvelle, c'est même une excellente nouvelle. Même si avant, je ne l'aurais pas pris comme ça dans le sens où avant, je pense que j'aurais commencé à douter un petit peu de moi, de ce que je partage. J'aurais probablement perdu un peu l'envie de partager aussi des choses, de poster. Et surtout, ça m'aurait coupé l'envie de parler de mon offre. En fait, je pense que j'aurais commencé à avoir un peu peur de mon offre en me disant, c'est pour ça que les gens partent. En gros, aujourd'hui, je le vois comme un signal ultra positif parce que... Je sais exactement pourquoi ça arrive déjà, et aussi parce que c'est une conséquence positive du fait qu'un message commence à être plus assumé, commence à être plus clair. Parce qu'en fait, quand ça devient limpide de comprendre ton contenu et de voir où tu te positionnes, eh ben, on peut aussi choisir. Il y a des gens qui vont plus se reconnaître, c'est parfait. Il y a aussi des gens qui étaient juste venus pour gratter du gratuit, eux, on n'est jamais triste de les voir partir. Et il y a aussi des gens que, tout simplement, ta lumière dérange. Il y a des gens qui sont juste dérangés par le fait que tu sois en train de passer un cap, tu sois en train de parler de ton offre, là où pour eux ça peut être un blocage et ça peut être compliqué. Et le voir, en fait, ça les trigger, ça les dérange. Et il faut être OK avec ça parce que sinon on ne peut pas avancer, on n'est pas là pour éteindre notre lumière, pour faire plaisir aux autres. Donc je l'ai vraiment vu, moi, comme une excellente nouvelle. Même dans les chiffres, c'était assez marrant parce que quand j'ai regardé ensuite les chiffres des nouvelles personnes qui étaient arrivées, Sur ce mois de mars, ça faisait presque 8000 nouvelles personnes. Et bien sûr, au final de ce lancement, 365 personnes se sont inscrites à Carousel SuperSar. Donc sur les nombres d'abonnés, on est presque sur le 1 de perdu, 10 de retrouvé. Là, pour le coup, on est clairement sur ce chiffre-là. Mais je pense qu'un des meilleurs cadeaux qu'on puisse se faire quand on crée du contenu pour son business, c'est de créer du contenu qui est vraiment... pensé pour attirer les bonnes personnes, qui est vraiment pensé pour trier et pour convertir ses abonnés en clients, en tout cas ceux qui sont prêts. Et le souci, c'est vraiment pas combien de personnes se désabonnent bien sûr, ni d'ailleurs combien de personnes s'abonnent, c'est vraiment quelles sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde, combien sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde payant, je dirais mon univers payant, parce qu'un contenu qui vend, il cherche vraiment, bien sûr pas à plaire à tout le monde. Il cherche à parler aux bonnes personnes avec le plus de clarté, d'intention et comme j'aime bien le dire, sans forcer. Voilà, j'espère que cet épisode t'a plu. Je t'ai partagé des chiffres, des anecdotes, des choses comme ça qui sont passées sur les coulisses de Carousel Superstar. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si c'est le type d'épisode que t'aimes bien. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si t'aimerais que je fasse des épisodes un peu plus souvent parce que le dernier date un petit peu. En tout cas, merci beaucoup pour ton écoute. Ça me fait très plaisir de pouvoir partager toutes ces petites choses qui arrivent, les changements et tout ça avec toi. Et je te donne rendez-vous très vite pour un prochain épisode d'Ambition Digitale.

Chapters

  • Les coulisses d'un lancement

    00:00

  • Les premières heures du lancement : stress et calme

    00:25

  • Les bugs techniques et leur gestion

    04:38

  • Publicité Facebook bloquées

    06:35

  • Croissance organique et ventes sans publicité

    07:44

  • Réflexions sur le prix et l'accessibilité des offres

    12:47

  • Conséquences de la visibilité sur les réseaux sociaux

    16:41

  • Conclusion

    22:36

Description


Des ventes.
Des nouveaux abonnés.
Des stories ultra positives partout.


Mais la vraie question c’est : qu’est-ce qui se passe en coulisses, pour de vrai ?

Spoiler : c’est rarement un long fleuve tranquille.

Dans cet épisode, je t’embarque avec moi dans les backstages complets de Carrousel Superstar, mon dernier lancement digital.

Pas juste les beaux chiffres.

Pas juste les victoires qui flattent l’égo.

Mais aussi les bugs, les ratés, les surprises, les décisions stratégiques prises à chaud… et les leçons ultra concrètes que j’en retire.

Parce qu’entre penser avoir fait zéro vente pendant 48h, perdre 712 abonnés en un mois et me faire copier (ou carrément piller) par d’autres comptes… disons que j’ai eu de quoi apprendre.

Et si ça peut t’éviter 2-3 sueurs froides pour ton prochain lancement, c’est cadeau.


5 bonnes raisons d’écouter cet épisode :


  • Quoi faire AVANT de paniquer quand tu vois pas de vente.

  • Comment vendre beaucoup sans reels, sans pub et sans drama.

  • Pourquoi perdre des abonnés est un excellent signe que t’es sur le bon chemin.

  • Ce qui se passe VRAIMENT quand ton compte explose en visibilité.

  • Et le dossier que chaque entrepreneuse devrait avoir dans son ordi (promise, ça sauve des vies).


On parle : Marketing, Réseaux sociaux, Ventes


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  • Speaker #0

    Ce que personne, ou presque, ne te dit sur un lancement dit à succès, quand tu vois passer toutes les ventes, les stories ultra positives, les célébrations, les nouveaux abonnés, etc., tu peux te dire que potentiellement tout s'est passé comme prévu. Spoiler alert, pas vraiment ! Et aujourd'hui, je te partage ce qui s'est passé dans les coulisses de Carousel Superstar, mon dernier lancement, et tout ce que j'en retiens. Bienvenue dans Ambition Digitale ! le podcast dédié aux entrepreneurs qui veulent développer leur activité en ligne. Ici, on parle marketing digital, création de contenu et péripéties entrepreneuriales. Moi, c'est Audrey, tu comptes comme une bosse, ancienne qui n'est devenue infopreneuse. Je te partage ici conseils et stratégies concrètes pour que tu puisses, à ton tour, créer des contenus qui te ressemblent, fédérer une communauté qui prendra plaisir à acheter chez toi et bâtir une présence en ligne au service de ton business. Mon objectif, booster tes résultats et ton ambition digitale. avec la touche de good vibe qui fait la différence pour ne rien lâcher. Tout ça te parle, tu es ici chez toi. Première chose, j'ai cru faire zéro vente pendant 48 heures et je suis restée assez calme. Si tu as déjà fait un lancement ou une grosse campagne de communication, tu sais que le moment où tout est prêt, il y a ta page d'inscription, il y a ton mail. où il y a ton poste, il y a ton offre, tout est prêt. Et ce qu'il te reste à faire, c'est juste d'appuyer sur « Envoyer » pour voir comment ton audience va réagir. C'est assez symbolique. Cette première journée, et notamment les premières heures, ça te donne une idée de comment ton offre est reçue au départ et tu peux commencer à faire des projections plus ou moins optimistes ou plus ou moins pessimistes de comment ton lancement peut se passer. Et généralement, ça te permet d'avoir un peu une... tendance, est-ce que c'est bien compris dès le départ est-ce que ça accroche dès le départ ou est-ce que je vais devoir faire des ajustements, donc quand j'ai envoyé mon premier mail je pense que c'était un lundi mais je suis pas sûre en tout cas quand j'ai lancé mon premier mail pour communiquer sur Carousel Superstar et que j'ai vu pendant au moins 24h zéro notif, je me suis dit ah, y'a un problème et là je rigole mais avant ça aurait été vraiment la crise crise existentielle, mon offre est nulle, je dois tout changer, ça aurait été vraiment la panique. Là, je suis restée plutôt calme, dans le sens où je sais qu'avant, il y a genre un ou deux ans, ça aurait fini en mode Netflix, peau de glace, déprime, etc. Et là, j'ai essayé d'appliquer ce que je conseille à mes clientes, c'est-à-dire lâche ton dashboard pendant quelques heures, voire même bien 24 heures, et reprends les étapes, les unes après les autres, tranquillement. C'est ce que j'ai fait, j'ai décroché de StripeCard, qui est mon outil de... de paiement où je vois chaque vente, etc. Et je me suis dit que de toute façon, je verrais les notifications sur mon téléphone quand elles arriveraient. Et je me suis replongée sur mes étapes. Est-ce qu'il y a un problème ? Est-ce que mon mail a bien été envoyé ? Est-ce que mon taux d'ouverture est correct ? Est-ce qu'il est à peu près comme d'habitude quand c'est un mail ? Est-ce que ma page de vente fonctionne ? Est-ce qu'on peut payer ? Toutes ces choses-là un petit peu techniques. Et splot twist, en fait, je me suis rendue compte au bout de 48 heures, j'avais juste pas reçu les notifications de vente. sur mon téléphone parce qu'elles étaient en spam et comme je m'étais dit que j'allais un peu décoller de mon dashboard, je n'avais pas vu qu'il y avait un gap entre les ventes que j'avais sur mon DriveCard et les notifications de vente. Du coup, je te donne un petit peu ma checklist en cas de ventes qui sont soit plus faibles que ce que tu attendais, soit de pas de vente du tout. La première chose, c'est donc de vérifier toute la technique. Regarde si tes notifications de vente ne vont pas dans les spams. Vérifier qu'on peut acheter, que le lien fonctionne, que le site est bien en ligne, que le mail est bien parti Toutes ces petites choses-là un peu techniques, ça c'est la première chose La deuxième chose, tu peux retravailler le message, réfléchir, est-ce que ma promesse est vraiment claire ? Est-ce que je tape vraiment bien avec cette promesse-là ? Est-ce qu'elle est facile à comprendre ? Est-ce qu'elle correspond vraiment aux attentes de mon audience ou pas ? Ça peut être le moment aussi de voir si tu ne peux pas faire des petites améliorations Je sais que moi, par exemple, j'ai réajusté mon message au cours du lancement en fonction des questions que mon audience me posait, en fonction des premiers retours après quand l'atelier a été lancé et qu'il était disponible pour les inscrites. Et la dernière chose, c'est d'ajuster après ta stratégie. Par exemple, si j'ai prévu d'envoyer, imaginons que des emails, mais que je vois que mes emails ne fonctionnent pas comme je veux. ou pas aussi efficace que je veux, et bien peut-être je vais chercher à rajouter, imaginons un épisode de podcast pendant ce lancement. Et c'est des choses qui sont possibles pendant ton lancement, c'est d'être assez adaptable, et de voir s'il n'y a pas des petites choses que tu peux améliorer sur ta stratégie globale. Deuxième point qui fait clairement partie des coulisses d'un lancement, c'est tous les modes techniques, évidemment, sinon ce n'est pas un vrai lancement. Donc moi j'ai eu, par exemple quand une abonnée commentait un mot-clé sur mon post, elle recevait... Un message, mais elle n'arrivait pas à le voir s'afficher. Heureusement, j'ai des abonnés qui communiquent et qui me disent quand il y a un bug. Du coup, j'ai eu l'info. Le deuxième bug, c'est les accès à la formation. Il n'y a pas eu beaucoup de bugs autour de ça, mais il suffit d'en avoir un ou deux pour se dire est-ce qu'il y a un problème sur l'envoi des accès, etc. Donc, heureusement, c'était assez anecdotique, mais ça fait partie des bugs techniques qu'il a fallu gérer. Et ensuite, j'ai eu StripeCard sur lequel j'héberge la page d'inscription. et qui procède aussi au paiement qui a bugué pile le dernier jour du lancement. Donc, dédicace aux clientes qui ont vu le message d'erreur au moment de payer, mais qui étaient assez motivées pour avoir le programme, qui sont venues ensuite me le dire et qui sont revenues ensuite sur la page. Ce que j'en retiens, la classique loi de Murphy, que je revisite en mode, s'il existe une possibilité pour que quelque chose foire, il y a des chances que ça foire au pire des moments. Trois trucs que tu peux me piquer, en tout cas trois trucs qui m'aident pas mal dans mon organisation, c'est d'avoir toujours en tête un système manuel de secours, savoir que potentiellement je vais devoir peut-être faire certaines tâches manuellement, répondre à mes DM, renvoyer des mails qui devaient s'envoyer en automatique, garder de la bande passante parce qu'en fait c'est souvent ça qui fait qu'on se sent un peu submergé, notamment sur ces périodes où on a un peu un... Un système d'arrivée qui est déjà très sollicité. Et en fait, le moindre bug, on peut avoir l'impression qu'on est dépassé. Le fait de savoir qu'il y a des choses comme ça qui peuvent arriver, ça me permet de mieux gérer. Et puis après, dès lors qu'on a un ou deux messages, on peut vraiment se créer ce petit template, ce petit modèle qu'après on peut réutiliser si jamais le problème revient. Troisième fait, mon compte pub Facebook bloqué pile au moment où je décide de tester la pub. L'idée, c'était de faire du retargeting, c'est-à-dire que les personnes qui... avait déjà vu mon offre, qui avait déjà porté de l'intérêt dessus, qui avait déjà cliqué sur ma page d'inscription, puisse recevoir ce rappel que le prix augmentait. Je me suis dit, tentons ce retargeting par la pub. Donc, j'ai revu une formation que j'avais sur la publicité. J'ai créé mes publicités, les créatives, tous les visuels, tous les titres, les légendes, etc. Et au moment où tout est prêt, je clique pour lancer ma campagne. Et Facebook me dit vérification du compte, activité suspecte, on bloque tout. OK. Donc, du coup, je n'ai lancé aucune pub. D'un côté, ce qui est cool pour moi, c'est que ça m'a permis de voir jusqu'où pouvaient aller mes stratégies en organique. Et ça, c'était intéressant pour moi. Donc, je pense souvent que ce genre de bug-là, c'est plus des redirections. Donc, je le prends pas mal. Ce n'est pas grave. Mais j'avoue, j'étais quand même soulagée d'avoir un système en organique qui me permettait du coup... de continuer à booster mes résultats. Un chiffre, 10 000 nouvelles personnes sont arrivées sur les trois derniers mois, donc sur janvier, février et mars, sur mon compte. Je sais que le discours classique, c'est vraiment, soit tu vends et tu perds en visibilité, soit tu donnes plein, plein, plein de valeur gratuitement, et là, tu vas avoir des abonnés, mais ce ne sera pas forcément des abonnés qualifiés. En fait, dans ces périodes-là de janvier, février et mars, j'ai eu trois pics. trois phases de promotion. En janvier, j'ai fait une classe sur Instagram en collaboration. Ensuite, j'ai fait un gros sommet. Donc du coup, c'était aussi une phase de promotion du sommet. Et ensuite, j'ai enchaîné par Carousel Superstar. Et en fait, c'est le plus gros pic de croissance que j'ai quasiment jamais eu. Parce que même en... On va dire à l'âge d'or d'Instagram, où j'avais une très très grosse croissance. Même dans mes débuts où j'avais une très très grosse croissance, 10 000 nouvelles personnes, je ne les ai pas attirées en trois mois. Ce que je retiens, c'est que ça vient vraiment challenger cette croyance que vendre, ça fait fuir les gens. Ce n'est pas forcément vendre qui fait fuir les gens, c'est plus de vendre sans leur apporter quoi que ce soit de concret. Et je pense que quand on arrive à faire les deux, on arrive à vraiment attirer une audience en plus qui est encore plus prête à bouger, qui est encore plus prête à passer à l'action. Et je pense que c'est favorable pour tout le monde, c'est-à-dire notre audience qui avance et nous, parce que ça développe nos business. 5, des ventes quasi chaque jour avec une succession de 30 jours sur la période de promotion. Et en moyenne, 10 ventes par jour avec des pics à un peu plus de 60 ventes. Donc là, bien sûr, sans pub, déjà parce que mes pubs ont été bloqués quand j'ai voulu tenter l'expérience. Et je dirais même... sans poster un seul reel parce que là, ça va faire maintenant 60 jours que je n'ai pas posté un reel sur Instagram. Mon observation par rapport à ça, c'est que je commence à voir comment un système organique peut offrir la régularité d'un tunnel publicitaire. Comment un système organique, donc sans pub, peut, en fonction de comment il est amené, apporter la récurrence qu'on a l'habitude d'observer dans des systèmes qui sont payants. Est-ce qu'un jour je ferai de la pub ? probablement, mais aujourd'hui, c'est vrai que je trouve ça intéressant d'imaginer un système organique qui arrive à tourner en continu. 6. Pendant toute la période de promotion, j'ai envoyé 1 à 2 mails par semaine. J'ai envoyé 2 mails quand il y avait une deadline, quand il y avait un changement, quelque chose qui bougeait sur l'offre. Et j'avais laissé une option ultra simple dans mes mails. Clique ici, en gros, si tu veux rester abonné, mais que tu veux... pas entendre parler de mon offre. Et seulement 5 personnes ont cliqué sur cette option-là. Mon taux de désabonnement est resté très faible. Je suis à un petit peu moins de 1%. Ça vient challenger la croyance que j'ai eue pendant très très longtemps que les gens étaient saoulés qu'on leur vende quelque chose dans l'email. Et en fait, je me suis vraiment rendue compte que dans les chiffres que je peux observer, la majorité en fait est juste OK d'entendre parler de ton offre. Le tout, c'est de le faire avec une vibe qui te ressemble, qui reste la même que celle de tes autres mails et sur un rythme qui est respectueux. Bien sûr, l'idée, ce n'est pas de se transformer en spam et d'envoyer 10 mails par jour. 7. Des clientes froides, même si le terme est un peu bizarre, ont acheté l'offre directement et sans pub. Donc généralement, le trafic froid, c'est plutôt un trafic qu'on va venir adresser avec de la publicité, c'est-à-dire qu'on va payer pour que... des gens qui ne nous connaissent pas du tout, qui n'ont jamais entendu parler de nous, découvrent quelque chose qu'on a leur proposé. J'ai commencé à être assez surprise de ça quand j'ai reçu des messages ou des commentaires de gens qui me disaient « je viens de te découvrir et j'ai acheté » . La leçon là, c'est que quand ton message est clair et que ton offre est simple à comprendre pour quelqu'un qui ne te connaît pas et que tu as ce que j'aime bien appeler un parcours de confiance, même des gens qui viennent d'arriver peuvent acheter. Alors là, on reste quand même dans le contexte d'une offre qui est à moins de 100 euros, mais ça casse un peu ce mythe que l'organique, c'est forcément long, c'est forcément quelque chose qui doit durer des mois, etc. Et puis le deuxième élément, c'est que j'ai aussi eu des personnes qui ont vu mes postes et qui ont décidé de pas forcément rejoindre Carrossage Superstar, mais de prendre mes offres soit aux alentours de 250 euros, soit aux alentours de 2000 euros. Ce qui est assez en lien avec mon point 8, c'est que j'ai vu beaucoup d'allers-retours entre mes offres et j'ai trouvé ça ultra intéressant de voir des clientes qui avaient déjà pris mes accompagnements à plus de 2000 euros acheter Carousel Superstar parce que c'est une offre ultra spécifique et en même temps d'avoir des clientes qui ont pris Carousel Superstar et qui ont décidé ensuite, par exemple, de booker une session stratégique parce qu'elles voulaient aussi une approche individuelle. Et donc, si tu as la possibilité de pouvoir... créer un petit peu ce cercle vertueux qu'on appelle des petites offres, donc des offres en dessous de 100 euros, peuvent vraiment nourrir les grosses offres et inversement. 9. Je me suis fait engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Autant on s'attend toujours à ce qu'il y ait quelqu'un qui vienne nous dire que c'est trop cher notre truc, autant je ne m'attendais pas à me faire engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Ce qui est marrant, c'est que c'est un choix qui est totalement volontaire et je sais que c'est une offre qui est accessible, mais aussi parce que j'ai envie de pouvoir offrir des expériences vraiment cool à des abonnés quand ils commencent tout juste à me découvrir par exemple, quand ils n'ont pas forcément encore les moyens de s'offrir un accompagnement premium avec moi. Et donc, c'est totalement volontaire d'avoir mis un tarif qui est aussi accessible pour pallier l'effet d'écrédibilisation du fait d'avoir un tarif qui est accessible. C'est aussi pour ça que c'est une offre qui est très cadrée, très spécifique. Dans la page d'inscription, j'explique bien ce qui est inclus, ce qui n'est pas inclus. pour qu'on comprenne que bien sûr ça va pas remplacer un quotidien individuel etc. Je pense que je pourrais faire un épisode complet là-dessus, mais en gros c'est un peu le black mirror de tout lancement avec de la visibilité, du moins je dirais que c'est les côtés négatifs d'avoir une hyper croissance sur Instagram, et la première conséquence est tout simplement que tu es observé, et pas qu'observé, c'est souvent aussi copié. Faut garder la tête froide pour... pas être distraite. On va forcément regarder un petit peu ce que tu dis, ce qui semble marcher. On va peut-être tenter un peu de le reproduire aussi. Bien sûr, tes meilleurs postes vont être répliqués. Je commence à mieux le vivre, même si c'est vraiment toujours quelque chose que je trouve très négatif, parce que je passe beaucoup, beaucoup de temps à préparer mes contenus. C'est surtout la préparation, ce n'est pas forcément la mise en page ou la mise en forme qui va me prendre du temps, parce que maintenant j'ai un peu des systèmes pour gagner du temps sur ça, mais par contre je prends toujours beaucoup de temps pour me former, pour rester à jour, pour bien décortiquer les choses, pour que ce soit pertinent, etc. Et c'est vrai que c'est toujours désagréable de voir que plus ou moins quelqu'un s'approprie un peu ce travail-là. Après j'ai bien conscience maintenant, et notamment en ayant... vraiment développer aussi tout ce qui était autour de la marque personnelle qu'on peut. Bien sûr, copier un contenu, on ne copie pas ta secret sauce, on ne copie pas ta façon d'interagir avec tes clients, ce que tu leur apportes en réel, l'énergie. Il y a plein de choses qu'on ne pourra jamais te copier. On va dire que l'addition se fait à la fin, c'est-à-dire qu'on peut copier ton contenu, mais après, si le reste ne suit pas, ça se voit assez rapidement. Mais c'est vrai que ça peut être un peu désagréable. Donc maintenant, mon mantra quand je vis ce genre de choses-là, c'est de rester focus et de regarder là où je veux aller. de continuer d'avancer, de ne pas regarder derrière, parce qu'au fond, c'est un peu ça, quand on te copie et que tu es distraite par ça, en fait, tu regardes un peu ce qui se passe derrière toi, et là, l'idée, c'est de rester focus et d'avancer. Deuxième conséquence, d'être un peu plus visible. Je dirais que c'est quand même moins courant sur Instagram que sur LinkedIn, même si je n'ai jamais eu de mésaventure encore sur LinkedIn, mais c'est normal, je ne suis pas très visible sur la plateforme, mais c'est d'avoir quand même toujours deux, trois messieurs, je sais tout, qui vont te dire qu'ils comprennent mieux ce que tu fais, qu'ils vont vouloir t'apprendre ton travail dans les commentaires. Honnêtement, je pense que de toutes les attaques possibles, c'est peut-être celle qui me touche le moins. Ça fait partie du jeu, donc il fallait que je le cite aussi. La dernière, c'est probablement, par contre, celle qui m'a le plus affectée, c'est qu'en fait, mon audience a été un peu ciblée, c'est-à-dire qu'une agence a décidé de voir qui commente, qui est active sur mon compte, etc., et d'envoyer un mail à ces personnes-là, un mail de prospection. En plus, citant mon nom, je crois que même dans le mail, il y avait écrit quelque chose du genre « J'ai vu que tu commentes les posts de Comme une Boss, du coup, je voulais te proposer cet accompagnement sur Instagram » . Bref, l'idée, c'était d'utiliser un peu mon image et mes abonnés pour pouvoir mettre en avant leur offre. C'est tellement une approche de forceur que mes abonnés s'en sont rendus compte très rapidement et m'ont prévenu. Donc, j'ai pu gérer ça. J'ai pu gérer ça avec le plus de tact possible en coulisses. Mais c'est vrai que même si ça fait partie du game, je trouve que c'est ni normal ni éthique. Et c'est dommage de devoir traverser ce genre de choses. Mais ça fait partie du jeu, malheureusement. Surtout quand tu es une femme entrepreneur. Et c'est vrai que ce soit ce genre de conséquences-là, ou que ce soit les petites attaques qu'on peut avoir, ou la remise en question de tas. de ton expertise, ces petites choses-là. Surtout quand tu es une femme qui entreprend et que tu as un peu de visibilité, il faut être consciente que tu vas avoir un peu ce conflit entre être plus visible, toucher plus de monde, étendre mon impact, ou rester discrète, ne pas faire trop de bruit, et du coup, potentiellement, je ne serai pas une cible. Ce qui m'aide beaucoup, c'est de me rappeler pourquoi j'ai démarré ça et pourquoi le fait d'être visible aide tout le monde, c'est-à-dire à la fois dans le sens où je vais être satisfaite d'avoir fait le truc jusqu'au bout et d'être allée voir le potentiel de mon projet jusqu'au bout. Mes clientes aussi, parce que la plupart vont te dire quoi quand elles te rencontrent et qu'elles aiment ce que tu fais. En fait, merci, je suis contente d'être tombée sur ton contenu. Ou merci d'avoir créé cette offre, c'est aussi un retour que j'ai eu. Donc, il faut garder le cap. Pas toujours évident, mais gardons le cap et n'oublions pas que on n'est pas seul, en fait. Quasiment. Toutes les femmes qui osent se mettre en avant sur les réseaux sociaux vont vivre ce genre de choses. Et le dernier truc que je voulais partager par rapport à ça, c'est que ce qui m'a beaucoup aidée, c'est mon dossier chouchou. En fait, c'est un dossier dans lequel je mets tous les retours que j'ai pu avoir depuis très très longtemps, même depuis mes premiers coachings. Au début, il m'aidait surtout à lutter contre mon syndrome de l'imposteur qui se pointe toujours au pire moment. Donc quand j'ai une conférence, quand j'ai une masterclass, voilà, toutes ces choses-là. Ça me fait toujours du bien de me replonger un peu dans ses avis et de me rappeler l'impact qu'a ma visibilité quand je ne me cache pas, justement. Et si tu n'as pas encore ce dossier chouchou, je t'invite fortement à le créer. Ça peut être même des retours d'abonnés au début, si tu n'as pas encore plein de clients. Puis après, ça peut être aussi des retours de collaborateurs. Enfin vraiment, tout ce qui te sauce un peu, tout ce qui te rappelle en quoi le fait. d'être là a de belles conséquences parce que sinon, si on se focalise que sur la partie négative, bien sûr, on peut se dire, en fait, ça ne vaut pas le coup, autant que je me cache. Mais quand on se concentre sur tout l'impact qui peut être vraiment cool sur d'autres humains, on se dit, ça vaut vraiment le coup de le faire. Dernier fait, dernière coulisse, dernier chiffre que je peux te partager un peu de coulisses, c'est sur mon bilan. Quand j'ai analysé un petit peu les arrivées et les sorties d'abonnés en mars, j'ai trouvé ça assez marrant parce que en gros j'ai à peu près 700 personnes, 712 personnes même, parce que j'ai fait un post dessus donc j'ai encore le chiffre en tête, qui ont décidé de plus voir ma tête, en gros de plus lire mon contenu, etc. Enfin bref, de se désabonner de mon compte en mars. Et je vais t'expliquer un peu pourquoi je pense que c'est une bonne nouvelle, c'est même une excellente nouvelle. Même si avant, je ne l'aurais pas pris comme ça dans le sens où avant, je pense que j'aurais commencé à douter un petit peu de moi, de ce que je partage. J'aurais probablement perdu un peu l'envie de partager aussi des choses, de poster. Et surtout, ça m'aurait coupé l'envie de parler de mon offre. En fait, je pense que j'aurais commencé à avoir un peu peur de mon offre en me disant, c'est pour ça que les gens partent. En gros, aujourd'hui, je le vois comme un signal ultra positif parce que... Je sais exactement pourquoi ça arrive déjà, et aussi parce que c'est une conséquence positive du fait qu'un message commence à être plus assumé, commence à être plus clair. Parce qu'en fait, quand ça devient limpide de comprendre ton contenu et de voir où tu te positionnes, eh ben, on peut aussi choisir. Il y a des gens qui vont plus se reconnaître, c'est parfait. Il y a aussi des gens qui étaient juste venus pour gratter du gratuit, eux, on n'est jamais triste de les voir partir. Et il y a aussi des gens que, tout simplement, ta lumière dérange. Il y a des gens qui sont juste dérangés par le fait que tu sois en train de passer un cap, tu sois en train de parler de ton offre, là où pour eux ça peut être un blocage et ça peut être compliqué. Et le voir, en fait, ça les trigger, ça les dérange. Et il faut être OK avec ça parce que sinon on ne peut pas avancer, on n'est pas là pour éteindre notre lumière, pour faire plaisir aux autres. Donc je l'ai vraiment vu, moi, comme une excellente nouvelle. Même dans les chiffres, c'était assez marrant parce que quand j'ai regardé ensuite les chiffres des nouvelles personnes qui étaient arrivées, Sur ce mois de mars, ça faisait presque 8000 nouvelles personnes. Et bien sûr, au final de ce lancement, 365 personnes se sont inscrites à Carousel SuperSar. Donc sur les nombres d'abonnés, on est presque sur le 1 de perdu, 10 de retrouvé. Là, pour le coup, on est clairement sur ce chiffre-là. Mais je pense qu'un des meilleurs cadeaux qu'on puisse se faire quand on crée du contenu pour son business, c'est de créer du contenu qui est vraiment... pensé pour attirer les bonnes personnes, qui est vraiment pensé pour trier et pour convertir ses abonnés en clients, en tout cas ceux qui sont prêts. Et le souci, c'est vraiment pas combien de personnes se désabonnent bien sûr, ni d'ailleurs combien de personnes s'abonnent, c'est vraiment quelles sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde, combien sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde payant, je dirais mon univers payant, parce qu'un contenu qui vend, il cherche vraiment, bien sûr pas à plaire à tout le monde. Il cherche à parler aux bonnes personnes avec le plus de clarté, d'intention et comme j'aime bien le dire, sans forcer. Voilà, j'espère que cet épisode t'a plu. Je t'ai partagé des chiffres, des anecdotes, des choses comme ça qui sont passées sur les coulisses de Carousel Superstar. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si c'est le type d'épisode que t'aimes bien. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si t'aimerais que je fasse des épisodes un peu plus souvent parce que le dernier date un petit peu. En tout cas, merci beaucoup pour ton écoute. Ça me fait très plaisir de pouvoir partager toutes ces petites choses qui arrivent, les changements et tout ça avec toi. Et je te donne rendez-vous très vite pour un prochain épisode d'Ambition Digitale.

Chapters

  • Les coulisses d'un lancement

    00:00

  • Les premières heures du lancement : stress et calme

    00:25

  • Les bugs techniques et leur gestion

    04:38

  • Publicité Facebook bloquées

    06:35

  • Croissance organique et ventes sans publicité

    07:44

  • Réflexions sur le prix et l'accessibilité des offres

    12:47

  • Conséquences de la visibilité sur les réseaux sociaux

    16:41

  • Conclusion

    22:36

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Description


Des ventes.
Des nouveaux abonnés.
Des stories ultra positives partout.


Mais la vraie question c’est : qu’est-ce qui se passe en coulisses, pour de vrai ?

Spoiler : c’est rarement un long fleuve tranquille.

Dans cet épisode, je t’embarque avec moi dans les backstages complets de Carrousel Superstar, mon dernier lancement digital.

Pas juste les beaux chiffres.

Pas juste les victoires qui flattent l’égo.

Mais aussi les bugs, les ratés, les surprises, les décisions stratégiques prises à chaud… et les leçons ultra concrètes que j’en retire.

Parce qu’entre penser avoir fait zéro vente pendant 48h, perdre 712 abonnés en un mois et me faire copier (ou carrément piller) par d’autres comptes… disons que j’ai eu de quoi apprendre.

Et si ça peut t’éviter 2-3 sueurs froides pour ton prochain lancement, c’est cadeau.


5 bonnes raisons d’écouter cet épisode :


  • Quoi faire AVANT de paniquer quand tu vois pas de vente.

  • Comment vendre beaucoup sans reels, sans pub et sans drama.

  • Pourquoi perdre des abonnés est un excellent signe que t’es sur le bon chemin.

  • Ce qui se passe VRAIMENT quand ton compte explose en visibilité.

  • Et le dossier que chaque entrepreneuse devrait avoir dans son ordi (promise, ça sauve des vies).


On parle : Marketing, Réseaux sociaux, Ventes


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Transcription

  • Speaker #0

    Ce que personne, ou presque, ne te dit sur un lancement dit à succès, quand tu vois passer toutes les ventes, les stories ultra positives, les célébrations, les nouveaux abonnés, etc., tu peux te dire que potentiellement tout s'est passé comme prévu. Spoiler alert, pas vraiment ! Et aujourd'hui, je te partage ce qui s'est passé dans les coulisses de Carousel Superstar, mon dernier lancement, et tout ce que j'en retiens. Bienvenue dans Ambition Digitale ! le podcast dédié aux entrepreneurs qui veulent développer leur activité en ligne. Ici, on parle marketing digital, création de contenu et péripéties entrepreneuriales. Moi, c'est Audrey, tu comptes comme une bosse, ancienne qui n'est devenue infopreneuse. Je te partage ici conseils et stratégies concrètes pour que tu puisses, à ton tour, créer des contenus qui te ressemblent, fédérer une communauté qui prendra plaisir à acheter chez toi et bâtir une présence en ligne au service de ton business. Mon objectif, booster tes résultats et ton ambition digitale. avec la touche de good vibe qui fait la différence pour ne rien lâcher. Tout ça te parle, tu es ici chez toi. Première chose, j'ai cru faire zéro vente pendant 48 heures et je suis restée assez calme. Si tu as déjà fait un lancement ou une grosse campagne de communication, tu sais que le moment où tout est prêt, il y a ta page d'inscription, il y a ton mail. où il y a ton poste, il y a ton offre, tout est prêt. Et ce qu'il te reste à faire, c'est juste d'appuyer sur « Envoyer » pour voir comment ton audience va réagir. C'est assez symbolique. Cette première journée, et notamment les premières heures, ça te donne une idée de comment ton offre est reçue au départ et tu peux commencer à faire des projections plus ou moins optimistes ou plus ou moins pessimistes de comment ton lancement peut se passer. Et généralement, ça te permet d'avoir un peu une... tendance, est-ce que c'est bien compris dès le départ est-ce que ça accroche dès le départ ou est-ce que je vais devoir faire des ajustements, donc quand j'ai envoyé mon premier mail je pense que c'était un lundi mais je suis pas sûre en tout cas quand j'ai lancé mon premier mail pour communiquer sur Carousel Superstar et que j'ai vu pendant au moins 24h zéro notif, je me suis dit ah, y'a un problème et là je rigole mais avant ça aurait été vraiment la crise crise existentielle, mon offre est nulle, je dois tout changer, ça aurait été vraiment la panique. Là, je suis restée plutôt calme, dans le sens où je sais qu'avant, il y a genre un ou deux ans, ça aurait fini en mode Netflix, peau de glace, déprime, etc. Et là, j'ai essayé d'appliquer ce que je conseille à mes clientes, c'est-à-dire lâche ton dashboard pendant quelques heures, voire même bien 24 heures, et reprends les étapes, les unes après les autres, tranquillement. C'est ce que j'ai fait, j'ai décroché de StripeCard, qui est mon outil de... de paiement où je vois chaque vente, etc. Et je me suis dit que de toute façon, je verrais les notifications sur mon téléphone quand elles arriveraient. Et je me suis replongée sur mes étapes. Est-ce qu'il y a un problème ? Est-ce que mon mail a bien été envoyé ? Est-ce que mon taux d'ouverture est correct ? Est-ce qu'il est à peu près comme d'habitude quand c'est un mail ? Est-ce que ma page de vente fonctionne ? Est-ce qu'on peut payer ? Toutes ces choses-là un petit peu techniques. Et splot twist, en fait, je me suis rendue compte au bout de 48 heures, j'avais juste pas reçu les notifications de vente. sur mon téléphone parce qu'elles étaient en spam et comme je m'étais dit que j'allais un peu décoller de mon dashboard, je n'avais pas vu qu'il y avait un gap entre les ventes que j'avais sur mon DriveCard et les notifications de vente. Du coup, je te donne un petit peu ma checklist en cas de ventes qui sont soit plus faibles que ce que tu attendais, soit de pas de vente du tout. La première chose, c'est donc de vérifier toute la technique. Regarde si tes notifications de vente ne vont pas dans les spams. Vérifier qu'on peut acheter, que le lien fonctionne, que le site est bien en ligne, que le mail est bien parti Toutes ces petites choses-là un peu techniques, ça c'est la première chose La deuxième chose, tu peux retravailler le message, réfléchir, est-ce que ma promesse est vraiment claire ? Est-ce que je tape vraiment bien avec cette promesse-là ? Est-ce qu'elle est facile à comprendre ? Est-ce qu'elle correspond vraiment aux attentes de mon audience ou pas ? Ça peut être le moment aussi de voir si tu ne peux pas faire des petites améliorations Je sais que moi, par exemple, j'ai réajusté mon message au cours du lancement en fonction des questions que mon audience me posait, en fonction des premiers retours après quand l'atelier a été lancé et qu'il était disponible pour les inscrites. Et la dernière chose, c'est d'ajuster après ta stratégie. Par exemple, si j'ai prévu d'envoyer, imaginons que des emails, mais que je vois que mes emails ne fonctionnent pas comme je veux. ou pas aussi efficace que je veux, et bien peut-être je vais chercher à rajouter, imaginons un épisode de podcast pendant ce lancement. Et c'est des choses qui sont possibles pendant ton lancement, c'est d'être assez adaptable, et de voir s'il n'y a pas des petites choses que tu peux améliorer sur ta stratégie globale. Deuxième point qui fait clairement partie des coulisses d'un lancement, c'est tous les modes techniques, évidemment, sinon ce n'est pas un vrai lancement. Donc moi j'ai eu, par exemple quand une abonnée commentait un mot-clé sur mon post, elle recevait... Un message, mais elle n'arrivait pas à le voir s'afficher. Heureusement, j'ai des abonnés qui communiquent et qui me disent quand il y a un bug. Du coup, j'ai eu l'info. Le deuxième bug, c'est les accès à la formation. Il n'y a pas eu beaucoup de bugs autour de ça, mais il suffit d'en avoir un ou deux pour se dire est-ce qu'il y a un problème sur l'envoi des accès, etc. Donc, heureusement, c'était assez anecdotique, mais ça fait partie des bugs techniques qu'il a fallu gérer. Et ensuite, j'ai eu StripeCard sur lequel j'héberge la page d'inscription. et qui procède aussi au paiement qui a bugué pile le dernier jour du lancement. Donc, dédicace aux clientes qui ont vu le message d'erreur au moment de payer, mais qui étaient assez motivées pour avoir le programme, qui sont venues ensuite me le dire et qui sont revenues ensuite sur la page. Ce que j'en retiens, la classique loi de Murphy, que je revisite en mode, s'il existe une possibilité pour que quelque chose foire, il y a des chances que ça foire au pire des moments. Trois trucs que tu peux me piquer, en tout cas trois trucs qui m'aident pas mal dans mon organisation, c'est d'avoir toujours en tête un système manuel de secours, savoir que potentiellement je vais devoir peut-être faire certaines tâches manuellement, répondre à mes DM, renvoyer des mails qui devaient s'envoyer en automatique, garder de la bande passante parce qu'en fait c'est souvent ça qui fait qu'on se sent un peu submergé, notamment sur ces périodes où on a un peu un... Un système d'arrivée qui est déjà très sollicité. Et en fait, le moindre bug, on peut avoir l'impression qu'on est dépassé. Le fait de savoir qu'il y a des choses comme ça qui peuvent arriver, ça me permet de mieux gérer. Et puis après, dès lors qu'on a un ou deux messages, on peut vraiment se créer ce petit template, ce petit modèle qu'après on peut réutiliser si jamais le problème revient. Troisième fait, mon compte pub Facebook bloqué pile au moment où je décide de tester la pub. L'idée, c'était de faire du retargeting, c'est-à-dire que les personnes qui... avait déjà vu mon offre, qui avait déjà porté de l'intérêt dessus, qui avait déjà cliqué sur ma page d'inscription, puisse recevoir ce rappel que le prix augmentait. Je me suis dit, tentons ce retargeting par la pub. Donc, j'ai revu une formation que j'avais sur la publicité. J'ai créé mes publicités, les créatives, tous les visuels, tous les titres, les légendes, etc. Et au moment où tout est prêt, je clique pour lancer ma campagne. Et Facebook me dit vérification du compte, activité suspecte, on bloque tout. OK. Donc, du coup, je n'ai lancé aucune pub. D'un côté, ce qui est cool pour moi, c'est que ça m'a permis de voir jusqu'où pouvaient aller mes stratégies en organique. Et ça, c'était intéressant pour moi. Donc, je pense souvent que ce genre de bug-là, c'est plus des redirections. Donc, je le prends pas mal. Ce n'est pas grave. Mais j'avoue, j'étais quand même soulagée d'avoir un système en organique qui me permettait du coup... de continuer à booster mes résultats. Un chiffre, 10 000 nouvelles personnes sont arrivées sur les trois derniers mois, donc sur janvier, février et mars, sur mon compte. Je sais que le discours classique, c'est vraiment, soit tu vends et tu perds en visibilité, soit tu donnes plein, plein, plein de valeur gratuitement, et là, tu vas avoir des abonnés, mais ce ne sera pas forcément des abonnés qualifiés. En fait, dans ces périodes-là de janvier, février et mars, j'ai eu trois pics. trois phases de promotion. En janvier, j'ai fait une classe sur Instagram en collaboration. Ensuite, j'ai fait un gros sommet. Donc du coup, c'était aussi une phase de promotion du sommet. Et ensuite, j'ai enchaîné par Carousel Superstar. Et en fait, c'est le plus gros pic de croissance que j'ai quasiment jamais eu. Parce que même en... On va dire à l'âge d'or d'Instagram, où j'avais une très très grosse croissance. Même dans mes débuts où j'avais une très très grosse croissance, 10 000 nouvelles personnes, je ne les ai pas attirées en trois mois. Ce que je retiens, c'est que ça vient vraiment challenger cette croyance que vendre, ça fait fuir les gens. Ce n'est pas forcément vendre qui fait fuir les gens, c'est plus de vendre sans leur apporter quoi que ce soit de concret. Et je pense que quand on arrive à faire les deux, on arrive à vraiment attirer une audience en plus qui est encore plus prête à bouger, qui est encore plus prête à passer à l'action. Et je pense que c'est favorable pour tout le monde, c'est-à-dire notre audience qui avance et nous, parce que ça développe nos business. 5, des ventes quasi chaque jour avec une succession de 30 jours sur la période de promotion. Et en moyenne, 10 ventes par jour avec des pics à un peu plus de 60 ventes. Donc là, bien sûr, sans pub, déjà parce que mes pubs ont été bloqués quand j'ai voulu tenter l'expérience. Et je dirais même... sans poster un seul reel parce que là, ça va faire maintenant 60 jours que je n'ai pas posté un reel sur Instagram. Mon observation par rapport à ça, c'est que je commence à voir comment un système organique peut offrir la régularité d'un tunnel publicitaire. Comment un système organique, donc sans pub, peut, en fonction de comment il est amené, apporter la récurrence qu'on a l'habitude d'observer dans des systèmes qui sont payants. Est-ce qu'un jour je ferai de la pub ? probablement, mais aujourd'hui, c'est vrai que je trouve ça intéressant d'imaginer un système organique qui arrive à tourner en continu. 6. Pendant toute la période de promotion, j'ai envoyé 1 à 2 mails par semaine. J'ai envoyé 2 mails quand il y avait une deadline, quand il y avait un changement, quelque chose qui bougeait sur l'offre. Et j'avais laissé une option ultra simple dans mes mails. Clique ici, en gros, si tu veux rester abonné, mais que tu veux... pas entendre parler de mon offre. Et seulement 5 personnes ont cliqué sur cette option-là. Mon taux de désabonnement est resté très faible. Je suis à un petit peu moins de 1%. Ça vient challenger la croyance que j'ai eue pendant très très longtemps que les gens étaient saoulés qu'on leur vende quelque chose dans l'email. Et en fait, je me suis vraiment rendue compte que dans les chiffres que je peux observer, la majorité en fait est juste OK d'entendre parler de ton offre. Le tout, c'est de le faire avec une vibe qui te ressemble, qui reste la même que celle de tes autres mails et sur un rythme qui est respectueux. Bien sûr, l'idée, ce n'est pas de se transformer en spam et d'envoyer 10 mails par jour. 7. Des clientes froides, même si le terme est un peu bizarre, ont acheté l'offre directement et sans pub. Donc généralement, le trafic froid, c'est plutôt un trafic qu'on va venir adresser avec de la publicité, c'est-à-dire qu'on va payer pour que... des gens qui ne nous connaissent pas du tout, qui n'ont jamais entendu parler de nous, découvrent quelque chose qu'on a leur proposé. J'ai commencé à être assez surprise de ça quand j'ai reçu des messages ou des commentaires de gens qui me disaient « je viens de te découvrir et j'ai acheté » . La leçon là, c'est que quand ton message est clair et que ton offre est simple à comprendre pour quelqu'un qui ne te connaît pas et que tu as ce que j'aime bien appeler un parcours de confiance, même des gens qui viennent d'arriver peuvent acheter. Alors là, on reste quand même dans le contexte d'une offre qui est à moins de 100 euros, mais ça casse un peu ce mythe que l'organique, c'est forcément long, c'est forcément quelque chose qui doit durer des mois, etc. Et puis le deuxième élément, c'est que j'ai aussi eu des personnes qui ont vu mes postes et qui ont décidé de pas forcément rejoindre Carrossage Superstar, mais de prendre mes offres soit aux alentours de 250 euros, soit aux alentours de 2000 euros. Ce qui est assez en lien avec mon point 8, c'est que j'ai vu beaucoup d'allers-retours entre mes offres et j'ai trouvé ça ultra intéressant de voir des clientes qui avaient déjà pris mes accompagnements à plus de 2000 euros acheter Carousel Superstar parce que c'est une offre ultra spécifique et en même temps d'avoir des clientes qui ont pris Carousel Superstar et qui ont décidé ensuite, par exemple, de booker une session stratégique parce qu'elles voulaient aussi une approche individuelle. Et donc, si tu as la possibilité de pouvoir... créer un petit peu ce cercle vertueux qu'on appelle des petites offres, donc des offres en dessous de 100 euros, peuvent vraiment nourrir les grosses offres et inversement. 9. Je me suis fait engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Autant on s'attend toujours à ce qu'il y ait quelqu'un qui vienne nous dire que c'est trop cher notre truc, autant je ne m'attendais pas à me faire engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Ce qui est marrant, c'est que c'est un choix qui est totalement volontaire et je sais que c'est une offre qui est accessible, mais aussi parce que j'ai envie de pouvoir offrir des expériences vraiment cool à des abonnés quand ils commencent tout juste à me découvrir par exemple, quand ils n'ont pas forcément encore les moyens de s'offrir un accompagnement premium avec moi. Et donc, c'est totalement volontaire d'avoir mis un tarif qui est aussi accessible pour pallier l'effet d'écrédibilisation du fait d'avoir un tarif qui est accessible. C'est aussi pour ça que c'est une offre qui est très cadrée, très spécifique. Dans la page d'inscription, j'explique bien ce qui est inclus, ce qui n'est pas inclus. pour qu'on comprenne que bien sûr ça va pas remplacer un quotidien individuel etc. Je pense que je pourrais faire un épisode complet là-dessus, mais en gros c'est un peu le black mirror de tout lancement avec de la visibilité, du moins je dirais que c'est les côtés négatifs d'avoir une hyper croissance sur Instagram, et la première conséquence est tout simplement que tu es observé, et pas qu'observé, c'est souvent aussi copié. Faut garder la tête froide pour... pas être distraite. On va forcément regarder un petit peu ce que tu dis, ce qui semble marcher. On va peut-être tenter un peu de le reproduire aussi. Bien sûr, tes meilleurs postes vont être répliqués. Je commence à mieux le vivre, même si c'est vraiment toujours quelque chose que je trouve très négatif, parce que je passe beaucoup, beaucoup de temps à préparer mes contenus. C'est surtout la préparation, ce n'est pas forcément la mise en page ou la mise en forme qui va me prendre du temps, parce que maintenant j'ai un peu des systèmes pour gagner du temps sur ça, mais par contre je prends toujours beaucoup de temps pour me former, pour rester à jour, pour bien décortiquer les choses, pour que ce soit pertinent, etc. Et c'est vrai que c'est toujours désagréable de voir que plus ou moins quelqu'un s'approprie un peu ce travail-là. Après j'ai bien conscience maintenant, et notamment en ayant... vraiment développer aussi tout ce qui était autour de la marque personnelle qu'on peut. Bien sûr, copier un contenu, on ne copie pas ta secret sauce, on ne copie pas ta façon d'interagir avec tes clients, ce que tu leur apportes en réel, l'énergie. Il y a plein de choses qu'on ne pourra jamais te copier. On va dire que l'addition se fait à la fin, c'est-à-dire qu'on peut copier ton contenu, mais après, si le reste ne suit pas, ça se voit assez rapidement. Mais c'est vrai que ça peut être un peu désagréable. Donc maintenant, mon mantra quand je vis ce genre de choses-là, c'est de rester focus et de regarder là où je veux aller. de continuer d'avancer, de ne pas regarder derrière, parce qu'au fond, c'est un peu ça, quand on te copie et que tu es distraite par ça, en fait, tu regardes un peu ce qui se passe derrière toi, et là, l'idée, c'est de rester focus et d'avancer. Deuxième conséquence, d'être un peu plus visible. Je dirais que c'est quand même moins courant sur Instagram que sur LinkedIn, même si je n'ai jamais eu de mésaventure encore sur LinkedIn, mais c'est normal, je ne suis pas très visible sur la plateforme, mais c'est d'avoir quand même toujours deux, trois messieurs, je sais tout, qui vont te dire qu'ils comprennent mieux ce que tu fais, qu'ils vont vouloir t'apprendre ton travail dans les commentaires. Honnêtement, je pense que de toutes les attaques possibles, c'est peut-être celle qui me touche le moins. Ça fait partie du jeu, donc il fallait que je le cite aussi. La dernière, c'est probablement, par contre, celle qui m'a le plus affectée, c'est qu'en fait, mon audience a été un peu ciblée, c'est-à-dire qu'une agence a décidé de voir qui commente, qui est active sur mon compte, etc., et d'envoyer un mail à ces personnes-là, un mail de prospection. En plus, citant mon nom, je crois que même dans le mail, il y avait écrit quelque chose du genre « J'ai vu que tu commentes les posts de Comme une Boss, du coup, je voulais te proposer cet accompagnement sur Instagram » . Bref, l'idée, c'était d'utiliser un peu mon image et mes abonnés pour pouvoir mettre en avant leur offre. C'est tellement une approche de forceur que mes abonnés s'en sont rendus compte très rapidement et m'ont prévenu. Donc, j'ai pu gérer ça. J'ai pu gérer ça avec le plus de tact possible en coulisses. Mais c'est vrai que même si ça fait partie du game, je trouve que c'est ni normal ni éthique. Et c'est dommage de devoir traverser ce genre de choses. Mais ça fait partie du jeu, malheureusement. Surtout quand tu es une femme entrepreneur. Et c'est vrai que ce soit ce genre de conséquences-là, ou que ce soit les petites attaques qu'on peut avoir, ou la remise en question de tas. de ton expertise, ces petites choses-là. Surtout quand tu es une femme qui entreprend et que tu as un peu de visibilité, il faut être consciente que tu vas avoir un peu ce conflit entre être plus visible, toucher plus de monde, étendre mon impact, ou rester discrète, ne pas faire trop de bruit, et du coup, potentiellement, je ne serai pas une cible. Ce qui m'aide beaucoup, c'est de me rappeler pourquoi j'ai démarré ça et pourquoi le fait d'être visible aide tout le monde, c'est-à-dire à la fois dans le sens où je vais être satisfaite d'avoir fait le truc jusqu'au bout et d'être allée voir le potentiel de mon projet jusqu'au bout. Mes clientes aussi, parce que la plupart vont te dire quoi quand elles te rencontrent et qu'elles aiment ce que tu fais. En fait, merci, je suis contente d'être tombée sur ton contenu. Ou merci d'avoir créé cette offre, c'est aussi un retour que j'ai eu. Donc, il faut garder le cap. Pas toujours évident, mais gardons le cap et n'oublions pas que on n'est pas seul, en fait. Quasiment. Toutes les femmes qui osent se mettre en avant sur les réseaux sociaux vont vivre ce genre de choses. Et le dernier truc que je voulais partager par rapport à ça, c'est que ce qui m'a beaucoup aidée, c'est mon dossier chouchou. En fait, c'est un dossier dans lequel je mets tous les retours que j'ai pu avoir depuis très très longtemps, même depuis mes premiers coachings. Au début, il m'aidait surtout à lutter contre mon syndrome de l'imposteur qui se pointe toujours au pire moment. Donc quand j'ai une conférence, quand j'ai une masterclass, voilà, toutes ces choses-là. Ça me fait toujours du bien de me replonger un peu dans ses avis et de me rappeler l'impact qu'a ma visibilité quand je ne me cache pas, justement. Et si tu n'as pas encore ce dossier chouchou, je t'invite fortement à le créer. Ça peut être même des retours d'abonnés au début, si tu n'as pas encore plein de clients. Puis après, ça peut être aussi des retours de collaborateurs. Enfin vraiment, tout ce qui te sauce un peu, tout ce qui te rappelle en quoi le fait. d'être là a de belles conséquences parce que sinon, si on se focalise que sur la partie négative, bien sûr, on peut se dire, en fait, ça ne vaut pas le coup, autant que je me cache. Mais quand on se concentre sur tout l'impact qui peut être vraiment cool sur d'autres humains, on se dit, ça vaut vraiment le coup de le faire. Dernier fait, dernière coulisse, dernier chiffre que je peux te partager un peu de coulisses, c'est sur mon bilan. Quand j'ai analysé un petit peu les arrivées et les sorties d'abonnés en mars, j'ai trouvé ça assez marrant parce que en gros j'ai à peu près 700 personnes, 712 personnes même, parce que j'ai fait un post dessus donc j'ai encore le chiffre en tête, qui ont décidé de plus voir ma tête, en gros de plus lire mon contenu, etc. Enfin bref, de se désabonner de mon compte en mars. Et je vais t'expliquer un peu pourquoi je pense que c'est une bonne nouvelle, c'est même une excellente nouvelle. Même si avant, je ne l'aurais pas pris comme ça dans le sens où avant, je pense que j'aurais commencé à douter un petit peu de moi, de ce que je partage. J'aurais probablement perdu un peu l'envie de partager aussi des choses, de poster. Et surtout, ça m'aurait coupé l'envie de parler de mon offre. En fait, je pense que j'aurais commencé à avoir un peu peur de mon offre en me disant, c'est pour ça que les gens partent. En gros, aujourd'hui, je le vois comme un signal ultra positif parce que... Je sais exactement pourquoi ça arrive déjà, et aussi parce que c'est une conséquence positive du fait qu'un message commence à être plus assumé, commence à être plus clair. Parce qu'en fait, quand ça devient limpide de comprendre ton contenu et de voir où tu te positionnes, eh ben, on peut aussi choisir. Il y a des gens qui vont plus se reconnaître, c'est parfait. Il y a aussi des gens qui étaient juste venus pour gratter du gratuit, eux, on n'est jamais triste de les voir partir. Et il y a aussi des gens que, tout simplement, ta lumière dérange. Il y a des gens qui sont juste dérangés par le fait que tu sois en train de passer un cap, tu sois en train de parler de ton offre, là où pour eux ça peut être un blocage et ça peut être compliqué. Et le voir, en fait, ça les trigger, ça les dérange. Et il faut être OK avec ça parce que sinon on ne peut pas avancer, on n'est pas là pour éteindre notre lumière, pour faire plaisir aux autres. Donc je l'ai vraiment vu, moi, comme une excellente nouvelle. Même dans les chiffres, c'était assez marrant parce que quand j'ai regardé ensuite les chiffres des nouvelles personnes qui étaient arrivées, Sur ce mois de mars, ça faisait presque 8000 nouvelles personnes. Et bien sûr, au final de ce lancement, 365 personnes se sont inscrites à Carousel SuperSar. Donc sur les nombres d'abonnés, on est presque sur le 1 de perdu, 10 de retrouvé. Là, pour le coup, on est clairement sur ce chiffre-là. Mais je pense qu'un des meilleurs cadeaux qu'on puisse se faire quand on crée du contenu pour son business, c'est de créer du contenu qui est vraiment... pensé pour attirer les bonnes personnes, qui est vraiment pensé pour trier et pour convertir ses abonnés en clients, en tout cas ceux qui sont prêts. Et le souci, c'est vraiment pas combien de personnes se désabonnent bien sûr, ni d'ailleurs combien de personnes s'abonnent, c'est vraiment quelles sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde, combien sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde payant, je dirais mon univers payant, parce qu'un contenu qui vend, il cherche vraiment, bien sûr pas à plaire à tout le monde. Il cherche à parler aux bonnes personnes avec le plus de clarté, d'intention et comme j'aime bien le dire, sans forcer. Voilà, j'espère que cet épisode t'a plu. Je t'ai partagé des chiffres, des anecdotes, des choses comme ça qui sont passées sur les coulisses de Carousel Superstar. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si c'est le type d'épisode que t'aimes bien. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si t'aimerais que je fasse des épisodes un peu plus souvent parce que le dernier date un petit peu. En tout cas, merci beaucoup pour ton écoute. Ça me fait très plaisir de pouvoir partager toutes ces petites choses qui arrivent, les changements et tout ça avec toi. Et je te donne rendez-vous très vite pour un prochain épisode d'Ambition Digitale.

Chapters

  • Les coulisses d'un lancement

    00:00

  • Les premières heures du lancement : stress et calme

    00:25

  • Les bugs techniques et leur gestion

    04:38

  • Publicité Facebook bloquées

    06:35

  • Croissance organique et ventes sans publicité

    07:44

  • Réflexions sur le prix et l'accessibilité des offres

    12:47

  • Conséquences de la visibilité sur les réseaux sociaux

    16:41

  • Conclusion

    22:36

Description


Des ventes.
Des nouveaux abonnés.
Des stories ultra positives partout.


Mais la vraie question c’est : qu’est-ce qui se passe en coulisses, pour de vrai ?

Spoiler : c’est rarement un long fleuve tranquille.

Dans cet épisode, je t’embarque avec moi dans les backstages complets de Carrousel Superstar, mon dernier lancement digital.

Pas juste les beaux chiffres.

Pas juste les victoires qui flattent l’égo.

Mais aussi les bugs, les ratés, les surprises, les décisions stratégiques prises à chaud… et les leçons ultra concrètes que j’en retire.

Parce qu’entre penser avoir fait zéro vente pendant 48h, perdre 712 abonnés en un mois et me faire copier (ou carrément piller) par d’autres comptes… disons que j’ai eu de quoi apprendre.

Et si ça peut t’éviter 2-3 sueurs froides pour ton prochain lancement, c’est cadeau.


5 bonnes raisons d’écouter cet épisode :


  • Quoi faire AVANT de paniquer quand tu vois pas de vente.

  • Comment vendre beaucoup sans reels, sans pub et sans drama.

  • Pourquoi perdre des abonnés est un excellent signe que t’es sur le bon chemin.

  • Ce qui se passe VRAIMENT quand ton compte explose en visibilité.

  • Et le dossier que chaque entrepreneuse devrait avoir dans son ordi (promise, ça sauve des vies).


On parle : Marketing, Réseaux sociaux, Ventes


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Transcription

  • Speaker #0

    Ce que personne, ou presque, ne te dit sur un lancement dit à succès, quand tu vois passer toutes les ventes, les stories ultra positives, les célébrations, les nouveaux abonnés, etc., tu peux te dire que potentiellement tout s'est passé comme prévu. Spoiler alert, pas vraiment ! Et aujourd'hui, je te partage ce qui s'est passé dans les coulisses de Carousel Superstar, mon dernier lancement, et tout ce que j'en retiens. Bienvenue dans Ambition Digitale ! le podcast dédié aux entrepreneurs qui veulent développer leur activité en ligne. Ici, on parle marketing digital, création de contenu et péripéties entrepreneuriales. Moi, c'est Audrey, tu comptes comme une bosse, ancienne qui n'est devenue infopreneuse. Je te partage ici conseils et stratégies concrètes pour que tu puisses, à ton tour, créer des contenus qui te ressemblent, fédérer une communauté qui prendra plaisir à acheter chez toi et bâtir une présence en ligne au service de ton business. Mon objectif, booster tes résultats et ton ambition digitale. avec la touche de good vibe qui fait la différence pour ne rien lâcher. Tout ça te parle, tu es ici chez toi. Première chose, j'ai cru faire zéro vente pendant 48 heures et je suis restée assez calme. Si tu as déjà fait un lancement ou une grosse campagne de communication, tu sais que le moment où tout est prêt, il y a ta page d'inscription, il y a ton mail. où il y a ton poste, il y a ton offre, tout est prêt. Et ce qu'il te reste à faire, c'est juste d'appuyer sur « Envoyer » pour voir comment ton audience va réagir. C'est assez symbolique. Cette première journée, et notamment les premières heures, ça te donne une idée de comment ton offre est reçue au départ et tu peux commencer à faire des projections plus ou moins optimistes ou plus ou moins pessimistes de comment ton lancement peut se passer. Et généralement, ça te permet d'avoir un peu une... tendance, est-ce que c'est bien compris dès le départ est-ce que ça accroche dès le départ ou est-ce que je vais devoir faire des ajustements, donc quand j'ai envoyé mon premier mail je pense que c'était un lundi mais je suis pas sûre en tout cas quand j'ai lancé mon premier mail pour communiquer sur Carousel Superstar et que j'ai vu pendant au moins 24h zéro notif, je me suis dit ah, y'a un problème et là je rigole mais avant ça aurait été vraiment la crise crise existentielle, mon offre est nulle, je dois tout changer, ça aurait été vraiment la panique. Là, je suis restée plutôt calme, dans le sens où je sais qu'avant, il y a genre un ou deux ans, ça aurait fini en mode Netflix, peau de glace, déprime, etc. Et là, j'ai essayé d'appliquer ce que je conseille à mes clientes, c'est-à-dire lâche ton dashboard pendant quelques heures, voire même bien 24 heures, et reprends les étapes, les unes après les autres, tranquillement. C'est ce que j'ai fait, j'ai décroché de StripeCard, qui est mon outil de... de paiement où je vois chaque vente, etc. Et je me suis dit que de toute façon, je verrais les notifications sur mon téléphone quand elles arriveraient. Et je me suis replongée sur mes étapes. Est-ce qu'il y a un problème ? Est-ce que mon mail a bien été envoyé ? Est-ce que mon taux d'ouverture est correct ? Est-ce qu'il est à peu près comme d'habitude quand c'est un mail ? Est-ce que ma page de vente fonctionne ? Est-ce qu'on peut payer ? Toutes ces choses-là un petit peu techniques. Et splot twist, en fait, je me suis rendue compte au bout de 48 heures, j'avais juste pas reçu les notifications de vente. sur mon téléphone parce qu'elles étaient en spam et comme je m'étais dit que j'allais un peu décoller de mon dashboard, je n'avais pas vu qu'il y avait un gap entre les ventes que j'avais sur mon DriveCard et les notifications de vente. Du coup, je te donne un petit peu ma checklist en cas de ventes qui sont soit plus faibles que ce que tu attendais, soit de pas de vente du tout. La première chose, c'est donc de vérifier toute la technique. Regarde si tes notifications de vente ne vont pas dans les spams. Vérifier qu'on peut acheter, que le lien fonctionne, que le site est bien en ligne, que le mail est bien parti Toutes ces petites choses-là un peu techniques, ça c'est la première chose La deuxième chose, tu peux retravailler le message, réfléchir, est-ce que ma promesse est vraiment claire ? Est-ce que je tape vraiment bien avec cette promesse-là ? Est-ce qu'elle est facile à comprendre ? Est-ce qu'elle correspond vraiment aux attentes de mon audience ou pas ? Ça peut être le moment aussi de voir si tu ne peux pas faire des petites améliorations Je sais que moi, par exemple, j'ai réajusté mon message au cours du lancement en fonction des questions que mon audience me posait, en fonction des premiers retours après quand l'atelier a été lancé et qu'il était disponible pour les inscrites. Et la dernière chose, c'est d'ajuster après ta stratégie. Par exemple, si j'ai prévu d'envoyer, imaginons que des emails, mais que je vois que mes emails ne fonctionnent pas comme je veux. ou pas aussi efficace que je veux, et bien peut-être je vais chercher à rajouter, imaginons un épisode de podcast pendant ce lancement. Et c'est des choses qui sont possibles pendant ton lancement, c'est d'être assez adaptable, et de voir s'il n'y a pas des petites choses que tu peux améliorer sur ta stratégie globale. Deuxième point qui fait clairement partie des coulisses d'un lancement, c'est tous les modes techniques, évidemment, sinon ce n'est pas un vrai lancement. Donc moi j'ai eu, par exemple quand une abonnée commentait un mot-clé sur mon post, elle recevait... Un message, mais elle n'arrivait pas à le voir s'afficher. Heureusement, j'ai des abonnés qui communiquent et qui me disent quand il y a un bug. Du coup, j'ai eu l'info. Le deuxième bug, c'est les accès à la formation. Il n'y a pas eu beaucoup de bugs autour de ça, mais il suffit d'en avoir un ou deux pour se dire est-ce qu'il y a un problème sur l'envoi des accès, etc. Donc, heureusement, c'était assez anecdotique, mais ça fait partie des bugs techniques qu'il a fallu gérer. Et ensuite, j'ai eu StripeCard sur lequel j'héberge la page d'inscription. et qui procède aussi au paiement qui a bugué pile le dernier jour du lancement. Donc, dédicace aux clientes qui ont vu le message d'erreur au moment de payer, mais qui étaient assez motivées pour avoir le programme, qui sont venues ensuite me le dire et qui sont revenues ensuite sur la page. Ce que j'en retiens, la classique loi de Murphy, que je revisite en mode, s'il existe une possibilité pour que quelque chose foire, il y a des chances que ça foire au pire des moments. Trois trucs que tu peux me piquer, en tout cas trois trucs qui m'aident pas mal dans mon organisation, c'est d'avoir toujours en tête un système manuel de secours, savoir que potentiellement je vais devoir peut-être faire certaines tâches manuellement, répondre à mes DM, renvoyer des mails qui devaient s'envoyer en automatique, garder de la bande passante parce qu'en fait c'est souvent ça qui fait qu'on se sent un peu submergé, notamment sur ces périodes où on a un peu un... Un système d'arrivée qui est déjà très sollicité. Et en fait, le moindre bug, on peut avoir l'impression qu'on est dépassé. Le fait de savoir qu'il y a des choses comme ça qui peuvent arriver, ça me permet de mieux gérer. Et puis après, dès lors qu'on a un ou deux messages, on peut vraiment se créer ce petit template, ce petit modèle qu'après on peut réutiliser si jamais le problème revient. Troisième fait, mon compte pub Facebook bloqué pile au moment où je décide de tester la pub. L'idée, c'était de faire du retargeting, c'est-à-dire que les personnes qui... avait déjà vu mon offre, qui avait déjà porté de l'intérêt dessus, qui avait déjà cliqué sur ma page d'inscription, puisse recevoir ce rappel que le prix augmentait. Je me suis dit, tentons ce retargeting par la pub. Donc, j'ai revu une formation que j'avais sur la publicité. J'ai créé mes publicités, les créatives, tous les visuels, tous les titres, les légendes, etc. Et au moment où tout est prêt, je clique pour lancer ma campagne. Et Facebook me dit vérification du compte, activité suspecte, on bloque tout. OK. Donc, du coup, je n'ai lancé aucune pub. D'un côté, ce qui est cool pour moi, c'est que ça m'a permis de voir jusqu'où pouvaient aller mes stratégies en organique. Et ça, c'était intéressant pour moi. Donc, je pense souvent que ce genre de bug-là, c'est plus des redirections. Donc, je le prends pas mal. Ce n'est pas grave. Mais j'avoue, j'étais quand même soulagée d'avoir un système en organique qui me permettait du coup... de continuer à booster mes résultats. Un chiffre, 10 000 nouvelles personnes sont arrivées sur les trois derniers mois, donc sur janvier, février et mars, sur mon compte. Je sais que le discours classique, c'est vraiment, soit tu vends et tu perds en visibilité, soit tu donnes plein, plein, plein de valeur gratuitement, et là, tu vas avoir des abonnés, mais ce ne sera pas forcément des abonnés qualifiés. En fait, dans ces périodes-là de janvier, février et mars, j'ai eu trois pics. trois phases de promotion. En janvier, j'ai fait une classe sur Instagram en collaboration. Ensuite, j'ai fait un gros sommet. Donc du coup, c'était aussi une phase de promotion du sommet. Et ensuite, j'ai enchaîné par Carousel Superstar. Et en fait, c'est le plus gros pic de croissance que j'ai quasiment jamais eu. Parce que même en... On va dire à l'âge d'or d'Instagram, où j'avais une très très grosse croissance. Même dans mes débuts où j'avais une très très grosse croissance, 10 000 nouvelles personnes, je ne les ai pas attirées en trois mois. Ce que je retiens, c'est que ça vient vraiment challenger cette croyance que vendre, ça fait fuir les gens. Ce n'est pas forcément vendre qui fait fuir les gens, c'est plus de vendre sans leur apporter quoi que ce soit de concret. Et je pense que quand on arrive à faire les deux, on arrive à vraiment attirer une audience en plus qui est encore plus prête à bouger, qui est encore plus prête à passer à l'action. Et je pense que c'est favorable pour tout le monde, c'est-à-dire notre audience qui avance et nous, parce que ça développe nos business. 5, des ventes quasi chaque jour avec une succession de 30 jours sur la période de promotion. Et en moyenne, 10 ventes par jour avec des pics à un peu plus de 60 ventes. Donc là, bien sûr, sans pub, déjà parce que mes pubs ont été bloqués quand j'ai voulu tenter l'expérience. Et je dirais même... sans poster un seul reel parce que là, ça va faire maintenant 60 jours que je n'ai pas posté un reel sur Instagram. Mon observation par rapport à ça, c'est que je commence à voir comment un système organique peut offrir la régularité d'un tunnel publicitaire. Comment un système organique, donc sans pub, peut, en fonction de comment il est amené, apporter la récurrence qu'on a l'habitude d'observer dans des systèmes qui sont payants. Est-ce qu'un jour je ferai de la pub ? probablement, mais aujourd'hui, c'est vrai que je trouve ça intéressant d'imaginer un système organique qui arrive à tourner en continu. 6. Pendant toute la période de promotion, j'ai envoyé 1 à 2 mails par semaine. J'ai envoyé 2 mails quand il y avait une deadline, quand il y avait un changement, quelque chose qui bougeait sur l'offre. Et j'avais laissé une option ultra simple dans mes mails. Clique ici, en gros, si tu veux rester abonné, mais que tu veux... pas entendre parler de mon offre. Et seulement 5 personnes ont cliqué sur cette option-là. Mon taux de désabonnement est resté très faible. Je suis à un petit peu moins de 1%. Ça vient challenger la croyance que j'ai eue pendant très très longtemps que les gens étaient saoulés qu'on leur vende quelque chose dans l'email. Et en fait, je me suis vraiment rendue compte que dans les chiffres que je peux observer, la majorité en fait est juste OK d'entendre parler de ton offre. Le tout, c'est de le faire avec une vibe qui te ressemble, qui reste la même que celle de tes autres mails et sur un rythme qui est respectueux. Bien sûr, l'idée, ce n'est pas de se transformer en spam et d'envoyer 10 mails par jour. 7. Des clientes froides, même si le terme est un peu bizarre, ont acheté l'offre directement et sans pub. Donc généralement, le trafic froid, c'est plutôt un trafic qu'on va venir adresser avec de la publicité, c'est-à-dire qu'on va payer pour que... des gens qui ne nous connaissent pas du tout, qui n'ont jamais entendu parler de nous, découvrent quelque chose qu'on a leur proposé. J'ai commencé à être assez surprise de ça quand j'ai reçu des messages ou des commentaires de gens qui me disaient « je viens de te découvrir et j'ai acheté » . La leçon là, c'est que quand ton message est clair et que ton offre est simple à comprendre pour quelqu'un qui ne te connaît pas et que tu as ce que j'aime bien appeler un parcours de confiance, même des gens qui viennent d'arriver peuvent acheter. Alors là, on reste quand même dans le contexte d'une offre qui est à moins de 100 euros, mais ça casse un peu ce mythe que l'organique, c'est forcément long, c'est forcément quelque chose qui doit durer des mois, etc. Et puis le deuxième élément, c'est que j'ai aussi eu des personnes qui ont vu mes postes et qui ont décidé de pas forcément rejoindre Carrossage Superstar, mais de prendre mes offres soit aux alentours de 250 euros, soit aux alentours de 2000 euros. Ce qui est assez en lien avec mon point 8, c'est que j'ai vu beaucoup d'allers-retours entre mes offres et j'ai trouvé ça ultra intéressant de voir des clientes qui avaient déjà pris mes accompagnements à plus de 2000 euros acheter Carousel Superstar parce que c'est une offre ultra spécifique et en même temps d'avoir des clientes qui ont pris Carousel Superstar et qui ont décidé ensuite, par exemple, de booker une session stratégique parce qu'elles voulaient aussi une approche individuelle. Et donc, si tu as la possibilité de pouvoir... créer un petit peu ce cercle vertueux qu'on appelle des petites offres, donc des offres en dessous de 100 euros, peuvent vraiment nourrir les grosses offres et inversement. 9. Je me suis fait engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Autant on s'attend toujours à ce qu'il y ait quelqu'un qui vienne nous dire que c'est trop cher notre truc, autant je ne m'attendais pas à me faire engueuler en DM parce que mon offre n'était pas assez chère. Ce qui est marrant, c'est que c'est un choix qui est totalement volontaire et je sais que c'est une offre qui est accessible, mais aussi parce que j'ai envie de pouvoir offrir des expériences vraiment cool à des abonnés quand ils commencent tout juste à me découvrir par exemple, quand ils n'ont pas forcément encore les moyens de s'offrir un accompagnement premium avec moi. Et donc, c'est totalement volontaire d'avoir mis un tarif qui est aussi accessible pour pallier l'effet d'écrédibilisation du fait d'avoir un tarif qui est accessible. C'est aussi pour ça que c'est une offre qui est très cadrée, très spécifique. Dans la page d'inscription, j'explique bien ce qui est inclus, ce qui n'est pas inclus. pour qu'on comprenne que bien sûr ça va pas remplacer un quotidien individuel etc. Je pense que je pourrais faire un épisode complet là-dessus, mais en gros c'est un peu le black mirror de tout lancement avec de la visibilité, du moins je dirais que c'est les côtés négatifs d'avoir une hyper croissance sur Instagram, et la première conséquence est tout simplement que tu es observé, et pas qu'observé, c'est souvent aussi copié. Faut garder la tête froide pour... pas être distraite. On va forcément regarder un petit peu ce que tu dis, ce qui semble marcher. On va peut-être tenter un peu de le reproduire aussi. Bien sûr, tes meilleurs postes vont être répliqués. Je commence à mieux le vivre, même si c'est vraiment toujours quelque chose que je trouve très négatif, parce que je passe beaucoup, beaucoup de temps à préparer mes contenus. C'est surtout la préparation, ce n'est pas forcément la mise en page ou la mise en forme qui va me prendre du temps, parce que maintenant j'ai un peu des systèmes pour gagner du temps sur ça, mais par contre je prends toujours beaucoup de temps pour me former, pour rester à jour, pour bien décortiquer les choses, pour que ce soit pertinent, etc. Et c'est vrai que c'est toujours désagréable de voir que plus ou moins quelqu'un s'approprie un peu ce travail-là. Après j'ai bien conscience maintenant, et notamment en ayant... vraiment développer aussi tout ce qui était autour de la marque personnelle qu'on peut. Bien sûr, copier un contenu, on ne copie pas ta secret sauce, on ne copie pas ta façon d'interagir avec tes clients, ce que tu leur apportes en réel, l'énergie. Il y a plein de choses qu'on ne pourra jamais te copier. On va dire que l'addition se fait à la fin, c'est-à-dire qu'on peut copier ton contenu, mais après, si le reste ne suit pas, ça se voit assez rapidement. Mais c'est vrai que ça peut être un peu désagréable. Donc maintenant, mon mantra quand je vis ce genre de choses-là, c'est de rester focus et de regarder là où je veux aller. de continuer d'avancer, de ne pas regarder derrière, parce qu'au fond, c'est un peu ça, quand on te copie et que tu es distraite par ça, en fait, tu regardes un peu ce qui se passe derrière toi, et là, l'idée, c'est de rester focus et d'avancer. Deuxième conséquence, d'être un peu plus visible. Je dirais que c'est quand même moins courant sur Instagram que sur LinkedIn, même si je n'ai jamais eu de mésaventure encore sur LinkedIn, mais c'est normal, je ne suis pas très visible sur la plateforme, mais c'est d'avoir quand même toujours deux, trois messieurs, je sais tout, qui vont te dire qu'ils comprennent mieux ce que tu fais, qu'ils vont vouloir t'apprendre ton travail dans les commentaires. Honnêtement, je pense que de toutes les attaques possibles, c'est peut-être celle qui me touche le moins. Ça fait partie du jeu, donc il fallait que je le cite aussi. La dernière, c'est probablement, par contre, celle qui m'a le plus affectée, c'est qu'en fait, mon audience a été un peu ciblée, c'est-à-dire qu'une agence a décidé de voir qui commente, qui est active sur mon compte, etc., et d'envoyer un mail à ces personnes-là, un mail de prospection. En plus, citant mon nom, je crois que même dans le mail, il y avait écrit quelque chose du genre « J'ai vu que tu commentes les posts de Comme une Boss, du coup, je voulais te proposer cet accompagnement sur Instagram » . Bref, l'idée, c'était d'utiliser un peu mon image et mes abonnés pour pouvoir mettre en avant leur offre. C'est tellement une approche de forceur que mes abonnés s'en sont rendus compte très rapidement et m'ont prévenu. Donc, j'ai pu gérer ça. J'ai pu gérer ça avec le plus de tact possible en coulisses. Mais c'est vrai que même si ça fait partie du game, je trouve que c'est ni normal ni éthique. Et c'est dommage de devoir traverser ce genre de choses. Mais ça fait partie du jeu, malheureusement. Surtout quand tu es une femme entrepreneur. Et c'est vrai que ce soit ce genre de conséquences-là, ou que ce soit les petites attaques qu'on peut avoir, ou la remise en question de tas. de ton expertise, ces petites choses-là. Surtout quand tu es une femme qui entreprend et que tu as un peu de visibilité, il faut être consciente que tu vas avoir un peu ce conflit entre être plus visible, toucher plus de monde, étendre mon impact, ou rester discrète, ne pas faire trop de bruit, et du coup, potentiellement, je ne serai pas une cible. Ce qui m'aide beaucoup, c'est de me rappeler pourquoi j'ai démarré ça et pourquoi le fait d'être visible aide tout le monde, c'est-à-dire à la fois dans le sens où je vais être satisfaite d'avoir fait le truc jusqu'au bout et d'être allée voir le potentiel de mon projet jusqu'au bout. Mes clientes aussi, parce que la plupart vont te dire quoi quand elles te rencontrent et qu'elles aiment ce que tu fais. En fait, merci, je suis contente d'être tombée sur ton contenu. Ou merci d'avoir créé cette offre, c'est aussi un retour que j'ai eu. Donc, il faut garder le cap. Pas toujours évident, mais gardons le cap et n'oublions pas que on n'est pas seul, en fait. Quasiment. Toutes les femmes qui osent se mettre en avant sur les réseaux sociaux vont vivre ce genre de choses. Et le dernier truc que je voulais partager par rapport à ça, c'est que ce qui m'a beaucoup aidée, c'est mon dossier chouchou. En fait, c'est un dossier dans lequel je mets tous les retours que j'ai pu avoir depuis très très longtemps, même depuis mes premiers coachings. Au début, il m'aidait surtout à lutter contre mon syndrome de l'imposteur qui se pointe toujours au pire moment. Donc quand j'ai une conférence, quand j'ai une masterclass, voilà, toutes ces choses-là. Ça me fait toujours du bien de me replonger un peu dans ses avis et de me rappeler l'impact qu'a ma visibilité quand je ne me cache pas, justement. Et si tu n'as pas encore ce dossier chouchou, je t'invite fortement à le créer. Ça peut être même des retours d'abonnés au début, si tu n'as pas encore plein de clients. Puis après, ça peut être aussi des retours de collaborateurs. Enfin vraiment, tout ce qui te sauce un peu, tout ce qui te rappelle en quoi le fait. d'être là a de belles conséquences parce que sinon, si on se focalise que sur la partie négative, bien sûr, on peut se dire, en fait, ça ne vaut pas le coup, autant que je me cache. Mais quand on se concentre sur tout l'impact qui peut être vraiment cool sur d'autres humains, on se dit, ça vaut vraiment le coup de le faire. Dernier fait, dernière coulisse, dernier chiffre que je peux te partager un peu de coulisses, c'est sur mon bilan. Quand j'ai analysé un petit peu les arrivées et les sorties d'abonnés en mars, j'ai trouvé ça assez marrant parce que en gros j'ai à peu près 700 personnes, 712 personnes même, parce que j'ai fait un post dessus donc j'ai encore le chiffre en tête, qui ont décidé de plus voir ma tête, en gros de plus lire mon contenu, etc. Enfin bref, de se désabonner de mon compte en mars. Et je vais t'expliquer un peu pourquoi je pense que c'est une bonne nouvelle, c'est même une excellente nouvelle. Même si avant, je ne l'aurais pas pris comme ça dans le sens où avant, je pense que j'aurais commencé à douter un petit peu de moi, de ce que je partage. J'aurais probablement perdu un peu l'envie de partager aussi des choses, de poster. Et surtout, ça m'aurait coupé l'envie de parler de mon offre. En fait, je pense que j'aurais commencé à avoir un peu peur de mon offre en me disant, c'est pour ça que les gens partent. En gros, aujourd'hui, je le vois comme un signal ultra positif parce que... Je sais exactement pourquoi ça arrive déjà, et aussi parce que c'est une conséquence positive du fait qu'un message commence à être plus assumé, commence à être plus clair. Parce qu'en fait, quand ça devient limpide de comprendre ton contenu et de voir où tu te positionnes, eh ben, on peut aussi choisir. Il y a des gens qui vont plus se reconnaître, c'est parfait. Il y a aussi des gens qui étaient juste venus pour gratter du gratuit, eux, on n'est jamais triste de les voir partir. Et il y a aussi des gens que, tout simplement, ta lumière dérange. Il y a des gens qui sont juste dérangés par le fait que tu sois en train de passer un cap, tu sois en train de parler de ton offre, là où pour eux ça peut être un blocage et ça peut être compliqué. Et le voir, en fait, ça les trigger, ça les dérange. Et il faut être OK avec ça parce que sinon on ne peut pas avancer, on n'est pas là pour éteindre notre lumière, pour faire plaisir aux autres. Donc je l'ai vraiment vu, moi, comme une excellente nouvelle. Même dans les chiffres, c'était assez marrant parce que quand j'ai regardé ensuite les chiffres des nouvelles personnes qui étaient arrivées, Sur ce mois de mars, ça faisait presque 8000 nouvelles personnes. Et bien sûr, au final de ce lancement, 365 personnes se sont inscrites à Carousel SuperSar. Donc sur les nombres d'abonnés, on est presque sur le 1 de perdu, 10 de retrouvé. Là, pour le coup, on est clairement sur ce chiffre-là. Mais je pense qu'un des meilleurs cadeaux qu'on puisse se faire quand on crée du contenu pour son business, c'est de créer du contenu qui est vraiment... pensé pour attirer les bonnes personnes, qui est vraiment pensé pour trier et pour convertir ses abonnés en clients, en tout cas ceux qui sont prêts. Et le souci, c'est vraiment pas combien de personnes se désabonnent bien sûr, ni d'ailleurs combien de personnes s'abonnent, c'est vraiment quelles sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde, combien sont ces personnes qui décident de rejoindre mon monde payant, je dirais mon univers payant, parce qu'un contenu qui vend, il cherche vraiment, bien sûr pas à plaire à tout le monde. Il cherche à parler aux bonnes personnes avec le plus de clarté, d'intention et comme j'aime bien le dire, sans forcer. Voilà, j'espère que cet épisode t'a plu. Je t'ai partagé des chiffres, des anecdotes, des choses comme ça qui sont passées sur les coulisses de Carousel Superstar. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si c'est le type d'épisode que t'aimes bien. N'hésite pas à me faire un coucou en DM si t'aimerais que je fasse des épisodes un peu plus souvent parce que le dernier date un petit peu. En tout cas, merci beaucoup pour ton écoute. Ça me fait très plaisir de pouvoir partager toutes ces petites choses qui arrivent, les changements et tout ça avec toi. Et je te donne rendez-vous très vite pour un prochain épisode d'Ambition Digitale.

Chapters

  • Les coulisses d'un lancement

    00:00

  • Les premières heures du lancement : stress et calme

    00:25

  • Les bugs techniques et leur gestion

    04:38

  • Publicité Facebook bloquées

    06:35

  • Croissance organique et ventes sans publicité

    07:44

  • Réflexions sur le prix et l'accessibilité des offres

    12:47

  • Conséquences de la visibilité sur les réseaux sociaux

    16:41

  • Conclusion

    22:36

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