18 • Édouard, sous la carapace cover
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Babines

18 • Édouard, sous la carapace

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22min |06/02/2024
Play
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Description

Dans l’atelier de sculpture d’Édouard, une grande araignée en métal orne la fenêtre et accueille dans sa toile de ferraille des arachnides bien vivants tissant leur soie. L’attrait de l’artiste pour les insectes remonte à l’enfance — l’un de ses instituteurs, passionné d’entomologie, animait un club nature. Matériaux de récupération et objets chinés qu’il transformera en bestiaire métallique s’amoncellent sur son lieu de travail, dans la campagne de Rennes. Un lézard composé de trois pièces assemblées, inachevé depuis vingt ans, intemporel, est aux aguets sur l’étagère. Scarabées, poissons, crapauds et autres animaux mal-aimés prennent vie et dévoilent leur beauté dans l’assemblage et le vissage méticuleux de vestiges du passé.


www.edouardmartinet.fr


Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

Musiques : Mathilde Forget • Guillaume Jacquemin.

Illustration : Irène Tardif.


Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.


Durée de l'épisode : 00:22:41 🪲

Retrouvez Babines sur Instagram @babinespodcast.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans l’atelier de sculpture d’Édouard, une grande araignée en métal orne la fenêtre et accueille dans sa toile de ferraille des arachnides bien vivants tissant leur soie. L’attrait de l’artiste pour les insectes remonte à l’enfance — l’un de ses instituteurs, passionné d’entomologie, animait un club nature. Matériaux de récupération et objets chinés qu’il transformera en bestiaire métallique s’amoncellent sur son lieu de travail, dans la campagne de Rennes. Un lézard composé de trois pièces assemblées, inachevé depuis vingt ans, intemporel, est aux aguets sur l’étagère. Scarabées, poissons, crapauds et autres animaux mal-aimés prennent vie et dévoilent leur beauté dans l’assemblage et le vissage méticuleux de vestiges du passé.


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Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

Musiques : Mathilde Forget • Guillaume Jacquemin.

Illustration : Irène Tardif.


Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.


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Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.


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Dans l’atelier de sculpture d’Édouard, une grande araignée en métal orne la fenêtre et accueille dans sa toile de ferraille des arachnides bien vivants tissant leur soie. L’attrait de l’artiste pour les insectes remonte à l’enfance — l’un de ses instituteurs, passionné d’entomologie, animait un club nature. Matériaux de récupération et objets chinés qu’il transformera en bestiaire métallique s’amoncellent sur son lieu de travail, dans la campagne de Rennes. Un lézard composé de trois pièces assemblées, inachevé depuis vingt ans, intemporel, est aux aguets sur l’étagère. Scarabées, poissons, crapauds et autres animaux mal-aimés prennent vie et dévoilent leur beauté dans l’assemblage et le vissage méticuleux de vestiges du passé.


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Générique : « Quand on parle aux animaux c’est une manière un peu de se parler à soi-même. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mélancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle à un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une manière de se parler à soi-même, un peu indirecte quoi. » • Extrait de la vidéo ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.


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