Speaker #0Bienvenue dans Balade de cerveau, le podcast qui explore la compréhension de l'expérience humaine avec légèreté et profondeur. Chaque semaine, je vous partage des réflexions, des anecdotes et des outils pratiques pour mieux se comprendre. Ici, la psychologie, la philosophie et l'expérience se mêlent pour vous accompagner vers plus de clarté et de bien-être. Je suis Charline, coach passionné par l'introspection et le développement personnel depuis plus de dix ans. Ensemble, avançons vers une meilleure connaissance de soi, et des clés pour transformer notre quotidien. Si l'épisode vous inspire, pensez à le partager ou à laisser un avis. Alors, est-ce que vous êtes prêts pour une nouvelle balade ? Hello, j'espère que vous allez bien et bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast balade de cerveau. Et cet épisode, ça va vraiment être un temps d'échange pour découvrir un peu plus qui je suis, mon parcours, mon histoire, les expériences que j'ai vécues. On va aborder un peu plein de domaines différents, que ça soit l'enfance, ce qui m'a amenée aujourd'hui à... à être coach et à aimer le développement personnel, mes voyages, le domaine professionnel aussi, tous les travails que j'ai pu faire, etc. Je vais essayer quand même d'apporter un peu plus de détails que ce qu'il y a normalement sur mes autres vidéos, par exemple sur Instagram, etc. Je vais apporter d'autres éléments un peu plus en profondeur. Après, il y a des choses que je ne vais pas non plus trop aborder parce que je me dis que dans d'autres épisodes... Ça va être propice à développer certaines anecdotes en détail pour appuyer certains propos. Mais c'est important, je trouve, de savoir... Enfin, personnellement, ça c'est ma croyance à moi et c'est ce que j'aime, en tout cas dans la vie, c'est connaître l'histoire des gens, comment ils fonctionnent, comment ils pensent, qu'est-ce qu'ils ont expérimenté, qu'est-ce qu'ils ont tiré de leur expérience, etc. Ça c'est vraiment un sujet que j'adore depuis toujours. Donc, sans plus tarder, je vais vous partager aujourd'hui un petit peu de mon histoire, un petit peu beaucoup de mon histoire. Et on va commencer par l'enfance. Honnêtement, je vais être encore 100% honnête, mais je vais me répéter par rapport au premier épisode. J'ai voulu faire une trame et en même temps, des fois, j'ai trop de choses à dire et des fois, je ne sais pas. Donc, il y a plein de gens qui m'ont envoyé des messages en me disant, mais 10 vagues dans des podcasts, c'est trop agréable. Ils ont aimé le côté aussi pas de montage, etc. Donc, je vous écoute. Et en plus, moi, ça me simplifie le travail. Donc, je vous avoue que c'est très bien. Je vais faire un petit peu au fur et à mesure. J'ai noté quand même quelques idées pour ne pas trop me perdre, etc. Mais du coup, mon enfance, petite, moi, j'étais une fille assez souriante. J'amusais un peu la galerie. J'étais un peu drôle, un peu pleine de vie, un peu comme aujourd'hui. Finalement, c'est des traits de caractère qui ne m'ont pas forcément quittée. J'étais très sportive. J'ai fait beaucoup de sport dans mon enfance, dans mon adolescence aussi. J'ai toujours fait du sport, même aujourd'hui, je fais beaucoup de sport. Mais quand j'étais petite, j'ai fait de la danse classique, j'ai fait de la natation, j'ai fait du basket. J'allais en colonie de vacances, je faisais du cheval, je faisais du surf. J'étais vraiment pleine de vie. Mais j'avais mes petites manières à moi. Il y a des anecdotes que j'ai quand j'étais petite. Là, on serait en discussion avec ma mère, elle ne vous raconterait que ces anecdotes-là. C'est les anecdotes que tous mes potes ont entendues. Des fois, je n'aimais pas... Enfin, des fois, j'allais dire des fois, j'allais minimiser. Non, en vrai, je n'aimais pas quand les aliments dans mon assiette, ils se touchaient. Mais je pouvais devenir complètement dingue. J'avais trop des tocs comme ça. J'alignais mes poupées, j'aimais bien quand tout était rangé, quand ma mère me coiffait pour aller au basket, il ne fallait pas qu'il y ait de bosse sur mes cheveux, etc. J'étais très dans la perfection, mais j'étais très sociable, très souriante. Au début de mes premières années, quand mes parents habitaient en banlieue parisienne, on prenait le métro, je disais bonjour à tout le monde. Mon frère, il était là, mais il disait à ma mère qu'elle se taisait et tout. Moi je disais bonjour, bonjour, après je disais à ma mère mais pourquoi les gens me font la gueule ? Bah ouais, j'étais un peu comme ça. Je trouve que c'est des anecdotes qui me correspondent pas mal dans la description de qui j'étais petite. Voilà, en tout cas j'ai... Bon, au début de mes... de mes quelques années de... je crois que j'avais 4-5 ans quand on a déménagé en Loire-Atlantique et après j'ai passé mon primaire, mon collège, mon lycée en Loire-Atlantique. Je suis née à Nantes aussi, donc vraiment j'ai passé une grande partie de ma vie ici. J'habite encore dans ce département, dans cette région, etc. Donc voilà, ça c'était un peu la petite mise en introduction parce que je sais que je vais aborder dans cet épisode des sujets qui sont lourds, difficiles, qui ne peuvent pas forcément être hyper fun. Donc j'essaie de contrebalancer aussi avec des trucs un peu plus fun, histoire que vous n'avez pas non plus envie de quitter l'écoute de cet épisode de podcast. Je bafouille là, attendez, je vais boire un petit coup d'eau. Je me suis dit là, quand je vois tout ce dont j'ai à parler, je vais peut-être boire un coup d'eau. Ok. Et du coup, on va en venir un petit peu au... aux choses qui se sont passées dans mon enfance, dans mon adolescence, qui m'ont bouleversée, qui pour certaines d'entre elles m'ont traumatisée aussi. Ça a été le deuil, la mort. C'est des sujets que j'ai dû faire face très tôt dans ma vie. Donc l'année de mes 9 ans, j'ai eu le décès de ma grand-mère maternelle. C'était mon premier décès de ma vie. Et ça m'a déjà complètement chamboulée, ce qui est normal de n'importe quel décès. Je pense que toutes les personnes qui ont vécu ça... peuvent savoir à peu près ce qu'on peut ressentir. C'est très douloureux de perdre quelqu'un. Et je ne vais pas plus m'étaler, parce que de toute façon, je pense qu'il y aura plein d'autres épisodes de podcast qui vont parler de la mort, de comment on se sent face à ça, et de diverses thématiques. Mais voilà, ça a été très brutal. J'ai eu beaucoup de deuils brutaux dans ma famille. Donc au final, c'est de mes 9 à mes 19, jusqu'à mes 20 ans, où en fait, j'ai eu presque une dizaine de décès. principalement de ma famille et des décès brutaux, c'est-à-dire du jour au lendemain on vous appelle et on vous dit machin n'est plus là. C'est... Il y a cet effet de surprise, on est décontenancé et c'est surtout que moi à partir de mes 9 ans du coup j'ai pas passé plus de deux ans dans mon adolescence, enfance adolescence, sans qu'il y ait un autre décès. Ça veut dire que... J'ai même pas pu me remettre du précédent qu'il y en avait encore un et puis encore un et des fois il y en avait deux la même année. Enfin c'était assez dramatique quand même. Du coup ça a créé une ambiance aussi familiale où mes parents ils ont fait ce qu'ils ont pu. Et chacun a géré ça comme on a pu aussi. C'est des sujets qu'on ne gère pas tous de la même manière etc. Bon ça je l'ai compris au fur et à mesure parce que du coup quand j'étais adolescente j'avais aussi énormément de colère en moi. Et je cachais beaucoup aussi qui j'étais parce que je n'acceptais pas ma vulnérabilité, mon hypersensibilité. Il y a plein de choses que je n'acceptais pas. Et donc du coup, je montrais une certaine facette de moi à l'extérieur, au lycée notamment, même au collège. Et donc du coup, je ne savais moi-même pas que j'étais hypersensible et je pense que je n'avais jamais fait un travail d'émotion avant ça. Et donc voilà, des... Des décès... Je ne veux pas forcément rentrer dans les détails de qui, de quand, des dates, etc. Mais bon, c'est quand même des décès plutôt jeunes. La plus jeune personne que j'ai perdue, elle avait 18 ans. Et mon grand-père paternel qui est mort, lui, plutôt d'une maladie. À la fin de sa vie, on sentait qu'il était un peu plus fatigué, etc. Il est mort à 86 ans. Ce qui reste du coup une mort, un âge normal pour mourir plus ou moins. Donc c'est le seul décès en fait qui n'était pas brutal et qui n'était pas spontané, etc. Sinon, bah oui, j'ai perdu des oncles, des tantes, mes trois grands-parents. La première personne que j'ai aimée avec qui j'étais en couple. Et puis après, il y a les meilleurs amis de mes parents aussi qui sont décédés. Enfin voilà, c'est... C'est des amis, c'est le domaine sentimental, c'est la famille. Et voilà, tout ça, je pense que peut-être à un moment donné, je rentrerai dans les détails. Parce que pour ceux qui comprendront si c'est des deuils brutaux du jour au lendemain, parmi ces dizaines de deuils que j'ai eus, il y a eu des suicides, plusieurs même, deux dans ma famille et mon domaine sentimental aussi. La personne avec qui j'étais en couple la première fois dans ma vie. C'est des personnes qui se sont suicidées et c'est un sujet qui est lourd, qui est tabou aujourd'hui encore, alors que ça touche énormément de personnes en soi, parce que ça arrive tous les ans. Et je suis en train de lire un livre en plus en ce moment sur le suicide qui dit que minimum 7 personnes de la personne suicidée sont impactées directement. C'est minimum, parce que bien sûr les gens qui sont très entourés, il y a beaucoup plus de personnes qui sont touchées par ça. Donc au final, imaginez... Les répercussions et le nombre de personnes qui sont touchées par cette thématique, et je trouve qu'on n'en parle pas assez. C'est un deuil particulier. Et du coup, bref, voilà. Moi, je pense que j'ai à cœur aussi de parler de ça, de faire des épisodes là-dessus pour savoir comment on se sent et aller creuser peut-être en profondeur certains sujets, certaines thématiques. Et voilà, un petit peu. Ça, c'était la partie un peu moins fun. On va switcher un peu pour parler d'autres choses. Bon. Il y a encore 2-3 trucs moins fun mais après ça va être mieux, vous inquiétez pas. Mais du coup, ça m'a inconsciemment, je pense, au début plongée dans un mal-être. J'essayais tant bien mal de faire face, etc. Surtout que moi, j'ai pris beaucoup l'exemple de ma maman qui du coup a tenu front, allait travailler. essayer de tenir le coup face à la dureté et au drame qu'on vivait, du coup j'ai un peu reproduit moi ce schéma là aussi par mimétisme quoi donc au final il a fallu deux ans après après je crois que c'était en 2016 pour que je conscientise que je sois en dépression du coup j'ai été diagnostiquée en dépression par un médecin, une médecin psychothérapeute voilà donc j'ai la prise d'antidépresseurs, le Xanax, les machins, les trucs pendant plus d'un an. Et au final, je pense dire que c'est à partir du moment où j'ai conscientisé que j'étais en dépression, je pense que ça peut être aussi le sujet d'un épisode, vous me direz si ça vous intéresse, mais c'est vraiment à partir de ce moment-là où j'ai compris que j'étais en dépression, qui a été le début du tremplin du mieux-être dans ma vie. Alors j'étais forcément au plus bas quand je m'en suis rendue compte, mais... Au final, à partir de ce jour où j'étais plus dans le déni et que j'ai accepté l'aide extérieure, c'est vraiment à partir de ce moment-là que déjà j'ai laissé les autres m'aider et que du coup il y a eu vraiment un cheminement et un mieux-être dans ma vie. Donc voilà, à la suite de ça, j'ai fait plein de types de thérapies différentes, j'ai fait beaucoup de TCC, c'est les thérapies cognitives ou comportementales. J'ai fait du coaching, j'ai fait de la programmation neuro-linguistique. J'ai testé aussi des choses non conventionnelles comme des médiums, parce que du coup moi j'avais des choses aussi à régler avec des personnes qui étaient défuntes. Et du coup je ne pouvais pas, je n'avais pas la capacité en fait de dialoguer forcément avec eux dans la vraie vie. Donc en fait je me suis aussi tournée vers ces méthodes-là, des soins énergétiques. Et bref j'ai testé aussi plein d'autres thérapies. de libération émotionnelle, de la constellation familiale notamment, etc. Enfin bref, j'ai testé plein d'outils différents pendant plus de 10 ans et oui, ça a vraiment changé ma vie, ça a amélioré mon état, ça a amélioré ma perception de moi-même, mes relations, enfin moi ça a tout changé. Aujourd'hui je me sens super bien, je suis encore consciente qu'il y a des choses à travailler parce que vous vous doutez bien qu'en ayant vécu tout ça, il y a... toujours des choses à travailler et je pense que c'est aussi le but de la vie d'avoir entre guillemets moi je dis des choses à travailler c'est pas forcément dans le terme travail laveur mais on a toujours en fait des choses à travailler en nous à accepter des choses qui nous challenge un peu plus etc et je pense que ça durera toute la vie et c'est c'est intéressant d'en prendre conscience en tout cas moi quand je le dis travail c'est vraiment une notion de travail plaisir parce que j'adore faire ça maintenant sur chez moi après bon ça reste des fois compliqué comme tout le monde, j'ai mon déni etc. Mais ça m'a vraiment permis de voilà, d'accepter de vouloir aller mieux parce qu'en fait au fur et à mesure avec ma dépression on m'a aussi diagnostiqué un trouble anxieux généralisé parce que ça faisait en fait plusieurs années que je ressentais de l'anxiété et je pense que enfin je pense, c'est un médecin qui m'a dit mais du coup je vois ce qu'il veut dire c'est qu'il y a quelques années quand j'ai eu des des drames, notamment avec les suicides, etc. J'ai eu un syndrome du stress post-traumatique qui n'avait pas été détecté forcément à l'époque. Après, je n'étais pas dans une grande ouverture de dialoguer en psychothérapie, donc peut-être que c'est pour ça. Et donc du coup, la suite de ça, c'est quelque chose qui n'a pas été géré et pris en considération. Et donc du coup, quelques années après, j'ai eu en fait un trouble anxieux généralisé. Donc c'est de l'anxiété. comme son nom l'indique, qui est généralisée dans tous les domaines de vie. Ça fait que je me créais des scénarios catastrophes, je me mettais dans des émotions impossibles, je n'arrivais pas à avancer dans la vie. Enfin bref, c'était complètement... Voilà, donc bref, tous ces outils de développement personnel et de thérapie m'ont vraiment aidée à aller mieux dans ma vie. Et je suis super contente. Je suis reconnaissante d'avoir vécu tout ça, d'avoir eu la possibilité. Je sais que c'est grâce à moi, grâce à mes proches, grâce aux personnes que j'ai rencontrées, que j'ai pu retrouver de la joie de vivre. Parce que c'est ça que j'avais perdu. J'ai eu des phases où je n'avais plus envie de vivre. Et c'est ça qui est fou aujourd'hui quand je parle un peu plus de mon histoire avec des gens que je viens de rencontrer ou qui commencent à devenir un peu plus... C'est un film avec moi où on se raconte un peu plus notre vie. On me dit mais j'aurais jamais deviné que t'avais vécu des choses comme ça. Parce que t'es tellement souriante, t'es tellement solaire, etc. Mais ouais, mais en fait il y a une période, il faut s'imaginer qu'il y a une période de ma vie où j'étais plus du tout comme ça. Et je suis contente de me dire que malgré les choses difficiles qu'on peut vivre, on peut quand même se remettre de ça. On peut quand même retrouver goût à la vie, avoir plaisir de créer des projets, de sortir des podcasts. Comme balade de cerveau, par exemple. Non, mais d'aller voir mes amis. J'ai été voir mes amis pendant les fêtes de fin d'année. J'ai passé Noël avec mes proches, avec ma famille. C'est génial. C'est génial de se dire que maintenant, quand je me lève le matin, je suis contente. J'adore expérimenter différentes passions. J'adore voyager. Et donc, je suis super contente de là où j'en suis aujourd'hui. Je sais que la route a été très longue. Et je vous développerai ça dans... dans d'autres épisodes. Donc la partie un petit peu moins fun est finie. Maintenant on va pouvoir parler un peu plus un autre domaine, on peut parler du domaine professionnel. Moi j'ai commencé à travailler assez tôt, mon adolescence vers mes 15 ans. Attendez, je fais une petite pause, j'ai soif. Parce qu'on se rend pas compte mais en fait quand on parle comme ça tout seul, là je sais pas ça fait combien de temps, ça fait 16 minutes, et ben ça donne soif hein. Je suis là avec mon casque, toute seule à parler. Bon, de toute façon, chez moi, le soir, je parle toute seule aussi, donc il n'y a pas de problème. Donc, j'en étais rendue où avant ma petite gorgée ? Oui, du coup, j'ai commencé à travailler assez tôt. J'ai fait beaucoup de babysitting dans mon adolescence. J'en faisais le soir, j'en faisais le week-end, après l'école, etc. Je gardais des enfants. Et en fait, à mes 17 ans, j'ai passé aussi mon BAFA, donc brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur, pour ceux qui ne savent pas. Parce qu'en fait, moi, personnellement, quand j'étais enfant, de mes 5 à mes 17 ans, je suis toujours partie en colonie de vacances. Mon père, il travaillait à la poste. Et donc, du coup, comme un peu les colos SNCF, etc., en fait, grâce au CE, on peut faire des super colos à pas cher, etc. Et donc, du coup, de mes 5 à mes 17 ans, je suis partie en colonie de vacances. Donc minimum deux fois par an, je partais au moins trois semaines l'été et de ski aussi l'hiver. Des fois je suis partie à la Toussaint, enfin voilà. Et quand à 17 ans on m'a dit bah les colos c'est fini, ma vieille, j'ai dit bah non c'est pas possible, on m'a dit ah le seul moyen que ça continue c'est que tu passes ton BAFA et je me suis dit bon bah j'adore les enfants, j'adore faire du babysitting, je veux passer mon BAFA et donc du coup j'ai un BAFA surveillance de baignade. qu'il faudrait que je réactive parce que là ça fait plus de dix ans que je l'ai donc j'ai plus la surveillance de baignade mais bref et pendant deux ans de mes je pense de mes 17 à mes 20 ans ah du coup ça fait trois tu sais pas compter Pendant deux trois ans j'ai fait de décloner une vacances aux vacances scolaires donc ça c'était en parallèle je pense que j'étais en fin de lycée ouais j'étais en terminale quand j'ai fait ma première colo pendant les vacances scolaires et Après, c'était les études supérieures en école de commerce. Et j'allais venir, du coup, j'ai fait une école de commerce, donc j'ai un bac plus 3, un bachelor, que j'ai fait à Audencia, à Nantes. Pourquoi j'ai choisi une école de commerce ? Je ne savais pas du tout dans quoi je voulais me diriger, je ne me connaissais vraiment pas à l'époque. Et la scolarité, ce n'était vraiment pas mon fort. J'ai eu beaucoup de difficultés, enfin beaucoup, oui et non. En vrai, il y avait des choses qui étaient assez simples pour moi et d'autres très compliquées. Je n'aimais pas l'école forcément, mais je n'étais pas mauvaise non plus. Mais il me fallait beaucoup de temps pour apprendre. Quand je n'aimais pas le prof, du coup, je ne m'intéressais pas du tout à la matière. Ça veut dire que j'avais des disparités dans mon bulletin scolaire. Je pouvais avoir 20 sur 20 si le prof ou la prof, je la kiffais. Et 4 parce que je me disais, ce prof, c'est un gros con, je n'ai pas envie de l'écouter. Donc très compliqué, le mot qui est le plus revenu dans mes bulletins c'est bavardage. Je pense que c'est pas anodin qu'aujourd'hui je fasse un podcast, c'est que j'aime trop parler. Et ça m'a suivi toute mon enfance et mon adolescence. Mais ouais, la scolarité c'était pas forcément ce que je préférais. Et quand on me disait bah tu veux faire quoi ? j'étais non, j'en sais rien moi Ils posaient trop de questions. Et j'avais déjà envie au lycée de voyager, etc. J'aimais beaucoup les langues, l'anglais, l'espagnol, parce que j'ai fait LV2 en espagnol. Et j'aimais beaucoup les langues et j'ai redoublé ma seconde, du coup, parce que j'écoutais pas trop et je fumais des bêtards au skatepark, donc forcément, je pense que mon année, je l'ai pas trop vue. Mais c'est surtout que je voulais aller en première et terminale générale et dans l'idée, je voulais faire ES parce que c'était assez classique et en fait, j'avais tellement des mauvaises moyennes qu'on m'a dit non, tu peux faire, c'était quoi à l'époque ? ST2S peut-être les gens de ma génération de 96 ça va leur parler mais maintenant je crois que ça n'existe plus, bah oui maintenant ça n'existe plus c'est plus le même type de bac ou STMG, je me disais oh STMG c'est des casseuses, ça fond dans le jugement etc, et en fait j'ai redoublé du coup ma seconde jusqu'à ce qu'un super professeur principal, un prof d'histoire m'explique en fait ce que c'est la STMG je me dis mais c'est génial, on apprend ce qui se... se passe dans les entreprises, c'était plus concret. Moi, ce que je n'aimais pas dans l'école, c'est les trucs abstraits. J'étais là, mais ça sert à quoi ? En fait, tant que je ne comprenais pas à quoi ça allait me servir, je n'avais pas envie de m'intéresser. Et voilà, tout ce qui est maths, etc., je me disais, mais ça va nous servir à quoi dans la vie ? Bon, il y a plein de trucs qui servent, au final. Mais bon, quand tu es un peu jeune, etc., tu ne comprends pas. Et quand, du coup, il m'a expliqué ce que c'était la STMG, je me dis, mais c'est génial de comprendre le marketing, la communication. faire de la comptabilité et tout, je me suis dit mais en fait c'est génial je vais faire ça. Donc moi j'ai fait un bac STMG, première terminale STMG et du coup en option marketing parce que c'est ça qui m'intéressait. Donc quand on m'a demandé ce que je voulais faire comme études supérieures sur post-bac, qu'est-ce que je voulais mettre etc. Je me suis dit j'adore les langues, j'ai envie de voyager et j'adore la matière que je préférais, c'était le marketing. Je me dis bon ! entre les langues de marketing et le voyage, je me suis dit, tiens, je vais faire une école de commerce. Au final, mon professeur principal de cette époque-là, il ne croyait pas du tout en mes capacités. Il me disait, mais tu n'auras jamais cette école, etc. Il ne connaissait pas cette partie de moi têtue qui s'est dit, mais je vais juste tout faire pour l'avoir, juste pour lui fermer son clapet. Donc, c'est ce que j'ai fait. J'ai passé tous les diplômes, Comment ça s'appelle ? Les concours, concours écrits, oraux, etc. J'ai été prise du coup à Audencia à Nantes et du coup j'ai fait un bac plus 3 en 3 ans et j'ai choisi une SP entrepreneuriat, un peu dans l'esprit de vouloir toucher à tout. Quand on m'a dit qu'il fallait se spécialiser, qu'il fallait choisir soit le marketing, soit la communication, soit ci, soit ça, je me suis dit que c'est dommage de ne pas avoir une vision 360 sur tout et que je sentais déjà par rapport au taf en intérim que j'avais déjà fait. qu'à un moment donné, j'allais créer mon truc. Je ne savais pas encore dans quoi. Je n'avais pas d'idée de business ou de trucs comme ça. Mais je me suis dit, être mon patron et décider des trucs, ça, ça me plaît. Ça, c'est moi, ça. Donc, je me suis dit, je vais faire une super entrepreneuriat. Comme ça, je ne sais pas quand. Peut-être, ça peut être dans 10, 20, 30 ans. Ça va me servir. Et au final, j'ai vu juste parce que dans moins de 10 ans, du coup, là, j'ai créé mon entreprise à la fin de l'année dernière. Et voilà. De manière à toucher à tout, à avoir en même temps la compta, la communication, le marketing, créer sa propre boîte, etc. C'était vraiment ce qui me plaisait. Donc sur les trois ans en total d'études supérieures, il y a plus d'un an d'expérience professionnelle que j'ai fait en même temps en France, à l'étranger. J'ai habité en Irlande, j'habitais au Canada aussi et j'ai plutôt fait des stages dans la communication et le marketing. C'était vraiment plus mon profil à moi. C'est ce que j'aimais en tout cas à l'époque. Je me suis rendue compte en fait que j'étais vraiment pas forcément douée là-dedans. Alors je pense que j'ai un peu plus... J'ai des connaissances forcément. Mais c'est vraiment pas ce qui me passionne. Je me suis rendue compte que faire ça toute la journée, j'aimais pas forcément. Et donc du coup, c'est un peu la période du coup mes études supérieures. Où en même temps, je quitte cette ville où j'ai passé du coup... primaire, collège, lycée, qui du coup à la fin était un peu devenu un enfer pour moi, à une nouvelle expérience, des nouvelles personnes, donc c'était à la fois super, mais c'était aussi la période où je suis tombée en dépression, enfin en tout cas que j'ai conscientisé que j'étais en dépression. Donc j'avais un rythme de vie vraiment pas incroyable. Je vais vous passer les détails, mais des excès en tout genre, de la fête. Je commençais une soirée le vendredi soir et je la terminais en after le dimanche. Donc voilà, ça peut vous donner un ordre d'idée du rythme et des journées. Ouais, c'était naze. C'était tellement naze. Mais bon, je suis aussi passée par là et du coup c'est ça un peu qui m'a... Qui a fait que... Qu'est-ce que je voulais dire ? J'ai perdu ma phrase. Vous n'aurez jamais la fin de cette phrase. Voilà, veuillez m'excuser. Voilà, juste voilà, j'étais dans une... Je parlais de quoi, là ? Bon, bois un coup d'eau, là, parce que je suis en train de... Ça, c'est un peu moi, ça. Vous avez un peu les exclus de comment je suis dans la vraie vie. Je peux commencer une phrase et je sais plus ce que j'étais en train de dire. Ça me fait trop rire. Ça me fait rire aussi que je vais pas monter ça et que... Enfin que je vais pas couper ce passage et que je vais juste vous le publier comme ça. Parce que vous avez vraiment accès à typiquement qui je suis. J'espère que vous m'entendez pas trop boire. Sinon ça doit être hyper désagréable. Bref, vous me ferez des retours si c'est vraiment désagréable. Je trouverai une solution. Et donc voilà, mes études supérieures, la dépression, le tintouin, tatati tatata, et en même temps c'était la découverte vers l'extérieur, et en même temps la reconnexion à l'intérieur de qui je suis, parce que c'est le travail en psychothérapie, enfin c'est vraiment ce premier travail de plus d'un an et demi dans psychothérapie qui m'a vraiment aidée à aller mieux, parce que c'est elle qui m'a prescrit les antidépresseurs, c'est elle qui a détecté ma dépression, c'est elle qui m'a accompagnée... pratiquement je sais plus le rythme j'ai pas envie de dire n'importe quoi mais au moins un rendez vous tous les dix jours je pense minimum pendant un an un an et demi voilà j'étais pas j'étais pas hyper emballé à l'idée de prendre des antidépresseurs mais bon c'était aussi ce par quoi il fallait que je passe et c'est surtout le travail en psychothérapie qui m'a aidé les antidépresseurs c'était une béquille mais ça m'a aidé en fait à Aller travailler sur les traumatismes que j'avais vécu, j'ai aussi fait de l'ENDR. C'est un outil qu'on utilise pour, bon je vais grossir l'explication, mais c'est pour résoudre, en fait si vous voulez quand vous vivez un traumatisme, il y a des zones du cerveau qui ont eu tellement un choc, qui n'ont pas, je vais le simplifier, qui n'ont pas archivé cette information, cette expérience, ce moment, dans la bonne case du cerveau. Et en fait l'EMDR elle vient retravailler le traumatisme de manière à le ranger correctement dans la bonne case du cerveau. de manière à ce qu'au quotidien, on ne soit plus forcément impacté émotionnellement, intensément par des déclencheurs qui peuvent être de tout type. Et du coup, voilà, j'ai fait de l'EMDR, ça m'a beaucoup aidée. Et puis après, on a continué à se voir et on a fait plein d'autres outils. Et ça a vraiment changé plein de choses en moi. Voilà, j'ai fait quoi d'autre aussi ? Ah là, on parlait de mon domaine professionnel. Là, c'était plus la scolarité. Domaine professionnel, bah... Bien sûr, le travail avec les enfants, j'en ai parlé un peu au début. J'ai fait énormément d'intérim aussi quand j'étais en études, que ce soit au lycée ou à la fin du lycée ou les études supérieures. Pendant l'été, je travaillais en fait en intérim. Je l'avais dit dans une vidéo à un réel Instagram que je coupais du poulet. J'ai fait ça pendant deux mois. C'est mon top 1 du pire taf que j'ai fait, c'est couper du poulet. Couper du poulet, puis se le mettre en barquette. Et vous savez que j'ai cherché une photo de moi qui était équipée en blanc, etc. Enfin bref, j'avais une photo à l'époque, j'avais trop envie de la mettre dans le réel, je ne l'ai jamais retrouvée. J'aimerais trop la retrouver parce que franchement, cette dégaine, c'était horrible. Mais on a été en blouse, il faisait moins 4, on travaillait de nuit et tout. Enfin bref, c'était horrible ce travail. Franchement, respect aux gens qui... qui font des travails en... enfin eux ils sont pas en intérim du coup c'est leur travail en CDI mais franchement au respect je pense que ça m'a aussi... apporter une autre vision du travail parce que en fait je voyais des gens qui faisaient ça par nécessité et je me suis dit mais franchement ils m'inspirent le respect c'est des gens qui sont résilients etc j'ai fait des super rencontres bon moi je vais un peu à la campagne donc forcément c'était un peu des gars de la campagne des meufs et des gars de la campagne mais ils étaient de bon coeur et franchement j'ai fait des rencontres qui m'ont un peu bouleversé où je me suis dit franchement je les respecte Mais de tout cœur, je ne veux pas faire leur métier toute ma vie. C'est vraiment pénible physiquement. Il faut des gens comme ça. Mais franchement, ces gens-là, ils ont mon respect. Et le simple fait d'avoir fait de l'intérim, ça m'a vraiment ouvert les yeux sur ça. J'ai fait aussi du brasage. Je ne sais pas si vous savez ce que c'est. Ça me fait trop rire. Ah oui, je rigole en cochon des fois. Du coup, le brasage, c'est de la soudure, mais pour des toutes petites pièces. Et là, c'était des pièces hydrauliques. Et voilà. Et du coup, je faisais ça toute la journée. Ça aussi, c'est horrible. Franchement, c'est horrible comme travail. C'est pénible physiquement. Je me disais, je suis jeune, j'ai mal partout. Enfin, c'était horrible. J'ai fait de la préparation de commandes pour des fringues, des chaussures, etc. Et tout ça pour financer soit des vacances entre amis, soit pour financer aussi mes voyages en solitaire en sac à dos. Voilà. Pour finir, avant de parler des voyages, peut-être... Je vais finir sur les autres taffes que j'ai eues dans mon domaine professionnel. J'avais rejoint un projet entrepreneurial il y a quelques années, c'était en 2020, avec des anciens amis à moi. Et bon, ça a pas très bien fonctionné après huit mois. Je suis partie du projet, etc. Aujourd'hui, c'est plus mes amis. Donc bon, peut-être que j'en parlerai un jour de ce que ça m'a apporté, cette expérience, pour un autre podcast peut-être. J'ai fait aussi de la logistique, j'ai vendu du matériel de sport nautique, donc ça c'était un taf assez récent parce que c'était en 2021. Et c'était dans le but de m'installer au bord de la mer, j'avais toujours rêvé de m'installer au bord de la mer. Et donc du coup j'avais trouvé ce travail en logistique, donc je vendais du matériel de surf, de kite surf, de wing, de foil, de sup, enfin bref, je déchargeais des conteneurs, je rangeais le transpalette et tout. Ça m'a fait du bien aussi de faire un taf où tu poses un peu ton cerveau. Après on organisait tout l'entrepôt, etc. C'était aussi stimulant dans la mise en place de cet entrepôt. Mais bon, au fur et à mesure, au bout d'un an, un an et demi, j'étais là, ça manque de sens quand même, pour moi en tout cas. Et je ne m'y retrouvais plus, j'avais vraiment envie de changer. Et donc, à un moment donné, je me suis dit introspecte, trouve un truc où tu te lèves le matin, ça a vachement de sens pour toi. Et je me suis dit, mais oui, mais enfin oui. C'est mon truc, en tout cas c'est ce que j'ai envie de faire à ce moment-là de ma vie, etc. Et donc je me suis mise dans une introspection, j'ai contacté des coachs, j'ai fait de la programmation neuro-linguistique, donc la PNL, c'était un coach en PNL et j'ai vu aussi une autre coach. Et j'ai parlé autour de moi, etc. Et mon déclic, ça a été de parler avec mon amie Marine. Peut-être qu'elle va écouter ça, si elle passe par là, je lui fais des bisous. Et merci de nous avoir hébergés encore à Avignon pour le nouvel an. Et donc du coup, un jour elle m'a dit... Elle me parlait de ses problématiques personnelles et on parle sur la terrasse d'un café et puis elle me dit Mais meuf, ça fait trop du bien de parler avec toi, je sais plus exactement ces termes, j'ai pas envie de me tromper, mais bref, elle me dit qu'elle se sent écoutée correctement et que ça l'apaise, et qu'en tout cas ça lui fait du bien et que ça l'aide à cheminer et ouais, elle reçoit un mieux-être. Et elle me dit Mais tu devrais trop travailler dans un truc comme ça. Donc là je me dis Oh, qu'est-ce qu'elle me raconte ? Et je pense que c'est juste qu'à l'intérieur de moi, j'avais jamais réfléchi à ça. En fait, moi j'aime trop être là pour mes proches, j'aime beaucoup écouter mes amis, j'aime bien... Enfin voilà, je suis attirée par toutes ces problématiques de thématiques de vie, de comment on vit les expériences, comment on les transmute, comment on fait dans les relations, et comment on pense, et comment... qu'est-ce qu'on ressent, etc. C'est des sujets qui m'intéressent depuis toujours. Donc en fait, c'est toujours de bon cœur que j'écoute un ami ou une amie pour lui offrir mon écoute, mon épaule, et puis pour la conseiller s'il ou elle a besoin et on demande. Et donc du coup, à partir du moment où elle m'a dit ça, il y a comme une porte qui se verra en moi en disant bah ouais, elle a raison En fait, j'ai jamais réfléchi au fait que je pouvais être payée pour faire ça, mais ça ferait... Rien que d'imaginer que je pourrais payer à faire ça, je vis un rêve parce que je kiffe déjà le faire gratuitement. Et j'ai commencé à introspecter, je me suis rendue compte que le coaching est arrivé à moi, etc. Et donc bref, j'allais dire, je vais vous synthétiser mes MDR, ça fait 35 minutes que je parle. Bref, je me suis... Je me suis forme, enfin j'ai réfléchi à un projet, je me suis dit ok, j'ai envie de faire du coaching pour enfants et adolescents. Je vais trouver la formation, j'ai trouvé ma formation, je me suis dit ok, en attendant ma formation, parce que je devais attendre 8 mois avant qu'elle débute, je me suis dit il faut que je change de travail. Ça n'avait pas de sens pour moi de travailler en logistique devant du matériel de sport nautique et commencer une formation coaching et faire les deux en même temps, je me suis dit quel est le lien. Du coup j'ai changé de travail, je me suis... J'ai postulé, enfin non j'ai pas postulé, je suis arrivée avec mon CV en disant bonjour, je travaille pour vous dans une MJC, c'est une maison des jeunes et de la culture, donc c'est une association qui propose des activités culturelles et autres dans une ville, mais il y a aussi un accueil de loisirs pour les enfants. Et vu que j'ai mon BAFA, je me suis dit bah tiens je peux postuler en tant qu'animatrice en centre de loisirs. J'ai été prise, je leur ai expliqué aussi mon projet en disant, moi je vais me former au coaching, je veux créer ça, est-ce que votre structure sera adéquate pour développer des choses ensemble ? Et je suis tombée sur une directrice qui est pour former les gens, etc. En tout cas ses salariés. Et du coup voilà, j'ai un nouveau métier, enfin nouveau métier, nouveau travail en centre de loisirs. Et du coup ça fait maintenant deux ans et demi que je travaille là-bas. Et là, j'ai fini mes formations, mes deux formations, coaching pro, coaching spécialisation, coaching pour enfants, l'année dernière. J'ai ouvert mes statuts d'auto-entreprise l'année dernière. Et puis voilà, voilà, voilà. Du coup, on va passer un peu au voyage. Je pense que si vous venez écouter, c'est la partie que je vais poster tout à l'heure. J'ai posté hier pour vous une story où je vous parle de 5 anecdotes. Et donc du coup, il y en a 3 qui sont vraies, il y en a 2 qui sont fausses. Pour rappel, les anecdotes que je vous avais partagées sur Instagram en story, c'était Dépouillé par 5 hommes dans une ruelle de Rio de Janeiro, une amie a tout perdu à 2 jours de rentrer en France. Donc ça, c'est l'anecdote de Rio. Une anecdote de New York, Un gars, un espèce de détective étrange, m'interroge dans la rue avant de disparaître. laissant derrière lui un mystère et des sirènes de police. Une anecdote à Bali, sauvée de justesse par le guide, car des méduses sont les plus dangereuses après m'être aventurée seule, surtout trop loin du groupe, etc. À Dublin, j'étais coincée avec un propriétaire nerveux. Je monte à contre-cœur dans une voiture au vide teinté et je crois me faire enlever à ce moment-là. Et la dernière anecdote, c'était en Malaisie. J'ai passé 48 heures plus une nuit avec des chauves-souris, des sangsues collées à mes jambes. et des bruits de nombreux animaux de la jungle malaisienne, des tapirs, des tigres, des éléphants, des gibbons, etc. Donc voilà les cinq anecdotes que je vous avais proposées. Les trois qui sont vraies, c'est l'anecdote de Rio. Je me suis fait dépouiller par cinq hommes avec mon ami Roman, je lui fais un coucou, qui a repayé ses affaires depuis. Mais ouais, elle a tout perdu la peau, elle s'est fait tirer sa pochette. Et du coup, il y avait cinq hommes qui nous maintenaient les bras, etc. C'était à 5h du matin. C'est notre seule expérience un peu, on va dire, plus négative à Rio, mais bon, ça fait des choses à raconter. L'anecdote de New York, du coup, elle est fausse. J'ai été à New York, mais cette histoire ne m'est pas arrivée. L'anecdote de Bali, j'ai été à Bali aussi, mais c'est celle qui est fausse aussi. Donc voilà, les deux qui sont fausses, c'est New York et Bali. Et après, celle de Bali, je me suis un peu inspirée de ce que j'avais vécu aussi en venant du snorkeling, un peu à droite à gauche, où des fois tu tombes sur un truc, tu dis, Oh là, il y a un requin là ! Après on me dit non mais ils sont gentils Et toi t'es là en mode ok ouais mais je suis pas sûre Et du coup l'anecdote de Dublin c'était mon premier voyage seul à l'étranger C'était mon premier stage de mes études en école de commerce Et oui mon propriétaire est extrêmement bizarre Bon je vais pas tout raconter parce que ça fait déjà 37 minutes que je parle Mais il était extrêmement bizarre Et je suis quand même montée dans la voiture Et en fait heureusement cette histoire est très étrange Le mec est très étrange et j'ai jamais pu le cerner, etc. Heureusement, ils m'ont pas enlevé et je suis encore en vie aujourd'hui. Et en Malaisie, j'ai fait un trek qui est plus de 48 heures dans la jungle malaisienne, qui est plus vieille que la jungle amazonienne. Et du coup, voilà, c'était intéressant de faire cette expérience. Il y avait des chauves-souris, il y avait des bruits hyper bizarres et tout, mais franchement, c'était une trop bonne expérience. On n'a pas croisé de gros animaux le jour. On a juste vu des traces de pas, beaucoup d'insectes qui sont énormes, etc. Les chauves-souris, du coup, dans la nuit. Et la famille de tapirs qui était venue manger nos restes de nourriture. Pendant qu'on dormait, ça faisait hyper peur. Moi, je n'ai quasiment pas dormi de la nuit. C'était horrible. J'étais dans mon duvet, là. J'avais trop peur qu'il y ait un truc qui arrive. Et du coup, voilà. Et au final, l'une de mes passions, c'est le voyage. J'ai visité plus d'une vingtaine de pays. Donc entre Montréal, Québec, New York, le Brésil. J'étais au Pérou et en Bolivie aussi. J'ai fait le Maroc plusieurs fois. J'ai fait beaucoup de pays honnêtement en Europe. Donc Irlande, Angleterre, Espagne, Portugal, Italie. J'adore la Corse, j'y ai été plein de fois aussi. C'est trop beau comme île. Et Crète, Chypre, Malte, la Belgique. Et après j'ai été en Asie du coup, au Bali. J'ai fait Lombok, Malaisie, Singapour. Voilà. Le mois prochain, normalement, je devrais retourner au Maroc pour aller me reposer un petit peu et faire des petites vacances. Donc je suis super contente. Et du coup, dans mes autres passions, j'adore le sport. Je fais du self-defense, de la muscu et de la pole dance depuis trois ans. Enfin, les autres depuis plus longtemps. Le self-defense, j'ai commencé cette année, mais je fais de la musculation aussi. Et en soi, je fais du surf quand j'en ai envie. J'adore la nourriture. J'aime lire. Je ne suis pas une meuf très compliquée, j'adore les activités manuelles, j'adore la musique. En fait, j'ai plein de passions différentes. J'adore... Je suis toujours la pote, tu me dis, Ah, viens, on va faire ça, un truc nouveau. Ah, viens, on va peindre sur de la poterie. Ah, viens, on va faire ci, ça te tente. La plupart du temps, globalement, je vais dire oui. Parce que j'aime trop expérimenter plein de choses et je trouve que c'est hyper intéressant. Voilà un petit peu pour ma présentation. Je crois que j'ai dit pas mal de choses déjà. Ça fait comme 40 minutes. Bravo en tout cas à tous ceux qui sont arrivés jusqu'ici. Voilà, c'était un épisode pour vous parler un peu plus de moi. Et ça m'a fait plaisir de partager tout ça pour mieux comprendre mon parcours. Mieux cerner peut-être, vous mieux me cerner, cerner un peu plus qui je suis. Si ça vous fait écho ou pas dans votre vie. ou voilà, en tout cas, dans les autres épisodes qui viendront par la suite, je vais ponctuellement revenir peut-être sur une ou deux expériences qui me sont arrivées en lien avec la thématique de l'épisode, et je détaillerai un peu plus en détail. Bon, il y a assez de détails, arrête de parler. Genre là, dans ma tête, il y a quelqu'un qui dit, allez, 40 minutes, c'est bon déjà. En tout cas, merci beaucoup de m'avoir écoutée jusqu'ici, j'espère que ça vous aura plu, n'hésitez pas à me faire un retour. Sur Instagram, envoyez un petit DM comme certains l'ont fait la semaine dernière. Ça m'a trop fait plaisir en tout cas d'avoir de vos retours. Donc mon Instagram c'est charlindoldeodeuzel, en tout cas vous l'avez dans la description de l'épisode si jamais vous avez envie. N'hésitez pas à partager ça à quelqu'un que vous connaissez. Abonnez-vous si ça vous intéresse d'avoir la suite des épisodes. Commentez et likez, mettez 5 étoiles au podcast si ça vous intéresse et si vous avez aimé cet épisode. Et puis moi je vous dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode. Salut !