Speaker #0Hello, je suis Caroline, fondatrice de Bonjour ma nouvelle vie. Après plus de 12 ans en tant que décoratrice d'intérieur, coloriste et avançable prof d'anglais, j'accompagne aujourd'hui les femmes passionnées de déco à lancer leur business de décoratrice d'intérieur. Pour qu'elles vivent pleinement de leur passion, qu'elles se sentent libres et épanouies et osent rêver grand. Situées à la recherche de davantage de compétences sur le métier de décoratrice, de retour d'expérience, de conseil business, Si tu veux booster ton mindset pour révéler ton plein potentiel, alors tu es au bon endroit. Si en plus tu as besoin d'une bonne dose d'énergie, de motivation, de bienveillance, si tu as envie de passer à l'action, alors définitivement ce podcast est fait pour toi. Tu retrouveras mes formations et mes accompagnements business sur mon site www.bonjourmanouvellevie.com Allez, on est parti pour l'épisode du jour. Bonne écoute ! En fait aujourd'hui, j'avais envie de parler... de Burnout. Alors c'est un sujet un peu touchy et je vais tout de suite commencer par un disclaimer comme quoi je ne suis en rien experte sur le sujet. Donc d'avance je m'excuse si je dis des choses qui ne sont pas justes, qui ne sont pas avec les bons mots ou pas forcément respectueuses, mais je sais que j'ai un grand grand nombre de mes élèves qui sont passés par ce Burnout. Donc Forcément, j'y suis très sensible et très sensibilisée et c'est un sujet qui me tient énormément à cœur parce que je vois plus exactement ce par quoi passent les femmes qui sont en burn-out. Je sais ce que mes élèves me disent et ressentent. J'entends la notion de perte de sens dans leur job. le fait de ne plus être aligné, un sentiment d'épuisement physique et psychique, le fait de bosser comme une folle pour quelqu'un d'autre, quelqu'un qui exige des choses parfois de façon excessive et qui n'est pas pour autant reconnaissant et qui ne reconnaît pas forcément notre valeur et notre travail. J'ai entendu un surinvestissement professionnel alors qu'encore une fois... Ce n'est pas pour soi-même, donc c'est quelque chose, je sais, qui est douloureux, une impression de perdre sa liberté, de ne pas avoir de créativité dans son job, tout cet épuisement qui emmène à une perte de confiance en soi, et qu'il y a toujours un besoin énorme de prendre du temps pour soi et de penser à soi. Donc je ne sais pas si tu te reconnais dans ça, si ça te parle. Mais si oui, alors peut-être que toi aussi, en fait, la déco peut quelque part te sauver et que la décoration d'intérieur peut être ta réponse. Et en fait, c'est un petit peu tout ça dont j'avais envie de parler parce qu'en fait, encore une fois, je le vois chez mes élèves et je vois tous les bénéfices de ça. Et puis aussi parce que moi, quelque part, je suis aussi passée par là. Alors, je n'ai pas fait de burn-out à proprement dit, mais je sais qu'à un moment où je n'allais pas bien, la décoration a été la réponse idéale pour moi pour aller mieux. En fait, c'était dans un cas un petit peu différent. C'était quand j'étais, je l'ai déjà raconté, mais je vais peut-être te le redire ici. C'était, j'étais très jeune maman de mon deuxième enfant. Ma deuxième avait, je ne sais pas, elle avait quelques mois à ce moment-là. Et moi, j'avais vraiment ressenti, je ne me sentais vraiment pas bien. Je sentais que j'avais perdu du sens aussi. En fait, que je m'étais perdue en cours de route. Donc j'adorais le fait d'être maman, ça c'est très, c'était toujours été très très clair. Mais en fait, être maman à 100% du temps ne me correspondait pas. Et que j'avais vraiment besoin d'aller chercher une autre réponse pour aller mieux. Et c'est à ce moment-là que la décoration... a été ma bouée de sauvetage qui m'a permis, enfin le fait que c'est à ce moment-là que je me suis reconvertie, que j'ai d'abord commencé une formation et que j'ai bien vu que même si j'ajoutais des contraintes dans mon emploi du temps, qui était le temps de faire mes exercices de ma formation tout simplement, ça a été le moment où j'ai recommencé à respirer, où j'ai été une meilleure maman. J'ai été meilleure à la maison, j'ai été une meilleure conjointe aussi parce que beaucoup moins déprimée, tout était beaucoup plus léger. Donc je bossais plus, c'était en soi une charge mentale supplémentaire. Mais en fait j'y ai pris tellement de plaisir, tellement d'épanouissement, j'avais l'impression de me reconstruire, de reconstruire un projet qui n'appartenait qu'à moi. Qu'en fait la déco à ce moment-là a vraiment été pour moi une soupape. Oui, vraiment, je dis toujours, ça a été la bouée de sauvetage que j'ai attrapée et qui m'a fait un bien fou. Et puis alors, ça aurait pu être que transitoire. Mais en fait, vu qu'on se retrouve 15 ans plus tard, parce que ma fille aujourd'hui a 17 ans, donc oui, ça fait même plus de 15 ans cette histoire, forcément, c'est que ça a été la bonne réponse pour moi. Donc je me dis, si ça a été le cas pour moi, peut-être que c'est aussi la meilleure réponse pour toi. Et je sais qu'en plus, en tant que femme, on est... particulièrement sensible et vulnérable au burn-out quel que soit le niveau de gravité entre guillemets on a vraiment c'est souvent cette pression sociale ce devoir ce sentiment de devoir faire deux fois plus pour qu'un homme pour pour qu'on ressente qu'on reconnaisse notre réussite qu'on a des plusieurs journées en une entre le fait d'être maman d'avoir un job de devoir faire du sport d'être une bonne épouse je mets tous les guillemets à tout ça, mais forcément, c'est quelque chose qu'on paye très cher. Ça a un impact forcément sur nous-mêmes, sur notre santé physique et mentale, indéniablement. Ça a un impact aussi sur notre famille, parce que quand on n'est pas bien avec nous-mêmes, on n'est pas bien avec nos enfants, on n'est pas bien avec notre conjoint, on n'est pas bien avec nos amis. Donc en fait, il y a des retombées qui sont souvent énormes, dont nous-mêmes, on ne prend pas toujours conscience. Mais moi, je me rends compte que personne n'allait bien à la maison quand moi, je n'allais pas bien. Et c'est toujours vrai aujourd'hui. Mes coups de mou à moi ont forcément des répercussions sur les autres. Donc, plus je vais prendre soin de moi, plus la vie familiale et ma vie amicale va être positive et va être chouette pour tout le monde. Pour moi, en premier lieu, bien sûr, mais aussi pour les autres. Et c'est exactement ce que je vois. pour toutes les femmes que j'accompagne en tant que future décoratrice d'intérieur, c'est que la déco, c'est un petit peu comme une thérapie, quelque part, pour aller mieux et se reconstruire. Alors, bien sûr, quand on a fait un burn-out, je ne dis pas que juste faire de la déco suffit, très très loin de là, mais en tout cas, en complément de tout un accompagnement et d'un soutien médical ou psychologique, c'est quand même la petite... La petite fenêtre vers du bonheur, de l'enthousiasme, on joue avec le beau, on joue avec les couleurs, donc vraiment ça c'est très cool. Donc voilà, je suis assez convaincue personnellement, je ne sais pas si tu vas être d'accord avec moi ou pas, mais des aspects, des bénéfices un peu thérapeutiques de la déco. Juste parce que déjà, on est dans de la créativité, donc en fait le fait de s'autoriser à laisser exprimer en nous cette part de créativité, Un peu comme un enfant en nous, où la créativité c'est beaucoup de légèreté, beaucoup de spontanéité, de naturel quelque part. Une grande forme de sensibilité, quand on laisse s'exprimer tout ça en nous, moi je trouve que ça nous fait vraiment du bien. Et puis le fait de faire du beau, il y a quelque part je trouve une forme aussi de générosité, de gratuité dans tout ça. On ne cherche pas le résultat coûte que coûte, on ne cherche pas... On n'est pas sur l'argent, on n'est pas sur la rentabilité, on n'est pas sur tout ça. Donc ça permet de laisser exprimer notre part, l'esthétisme, la part d'esthétisme qu'on a envie de mettre dans notre vie, la part de spontanéité, le fait de jouer avec des matières qui sont douces, chaleureuses, réconfortantes. Forcément, ça amène beaucoup de douceur aussi dans nos vies, à un moment où... On a probablement besoin d'en réintégrer énormément. Le fait de travailler les couleurs, de jouer avec les couleurs, forcément, comme en déco, on vient travailler tous les bénéfices des couleurs, forcément, le fait d'apprendre et de se former là-dessus, ça a un impact direct sur nous. Et je vois souvent mes élèves modifier même leur garde-robe pour amener plus de couleurs, refaire de la déco chez elles parce qu'elles ressentent les bénéfices de ce qu'elles apprennent et elles ont juste envie de se l'approprier. ... et de se faire du bien à elle-même. Donc forcément, quand on apprend tout ce qui va amener du bien-être pour les autres, pour des clients, parce qu'on imagine quand même une dimension professionnelle, forcément les bénéfices, on les utilise pour nous-mêmes, et on en est les premières récompensées, entre guillemets. Donc dans des contextes de burn-out ou de gros challenges personnels, forcément, il y a cette vertu un petit peu thérapeutique. Je pense aussi que le fait de transformer des lieux de vie, ça veut dire qu'on est à la recherche du bien-être, donc encore une fois pour les autres à la base, mais comme on a envie de transformer la vie des autres, quelque part, ça a par effet ricochet, par effet miroir, une transformation sur notre propre vie. Donc il y a tout ça qui se joue et je crois que tout ça, c'est juste parfait quand on est dans une étape où on a besoin de se reconstruire. Et en plus, la formation, c'est un moment pour soi en général. Moi, c'est comme ça que je l'avais vécu à l'époque. Je m'étais dit, cette formation, je ne sais pas encore ce que je vais en faire au départ. Parce que moi, quand j'ai commencé ma formation, les premiers temps, ça a très vite évolué. Mais je me suis dit, ok, c'est un cadeau que je me fais. C'est comme un loisir que je m'offre. Oui, je dépense plusieurs milliers d'euros, mais en fait, c'est un cadeau que je me fais pour aller mieux. Et en fait, cette formation, moi, je l'ai vécue comme un moment pour moi. comme un moment de challenge, quelque part, parce que j'étais obligée d'apprendre des nouvelles choses, de me challenger. Mais en fait, comme je l'ai fait avec un moment où j'avais envie de prendre soin de moi, ça a été fait avec beaucoup de sérénité, beaucoup de bienveillance. Je l'ai fait à mon rythme et en fait, ça m'a permis de me reconstruire, de me réapproprier mes choix, me réapproprier un projet. Et je me dis que c'est peut-être quelque chose aussi que tu ressentiras et qu'une formation met ce temps pour toi peut être hyper bénéfique. Et je sais qu'après un burn-out, en plus on a une fatigabilité qui est bien supérieure et que même quand on pense aller mieux, il y a quand même cette fatigabilité qui nous guette à tout moment. Il y a toujours des hauts et des bas et ça je le vois avec plein d'élèves dans la formation. qui à un moment vont bien, et puis à un moment, il y a un coup de mou à nouveau, où elles ont besoin même de faire une pause dans la formation pour reprendre soin d'elles, parce que ça a révélé des choses, ça leur fait du bien, mais en même temps, ça met en exergue plein d'autres choses. Donc ça, c'est des choses, moi j'essaye toujours d'être énormément à votre écoute à ce moment-là, parce que je sais qu'il faut, c'est plein de choses à mener de front en même temps, et que les hauts et les bas, ça fait partie du jeu, et je trouve que... Même s'il y a des bas, ça permet de remonter beaucoup plus loin. C'est comme un tremplin derrière pour aller encore mieux. Et je vois à l'inverse plein d'élèves qui sont plus vers la fin de la formation, qui ont vécu une métamorphose, qui ont explosé la confiance en elles entre temps. Et ça, je me dis, c'est vraiment la déco qui a permis ça. Et c'est quand même canon de vous voir aller mieux au fur et à mesure. Et je me dis qu'il y a quand même beaucoup de bénéfices à la déco dans un contexte comme ça. Et que souvent, après avoir vécu en plus beaucoup de contraintes, le fait de retrouver un temps pour soi, et puis de retrouver une forme de liberté, de la flexibilité, parce que quand on est en formation, on s'organise comme on veut. On est juste notre propre guide, la seule personne à nous mettre des contraintes. En fait, toute cette flexibilité... Ça fait un petit peu comme une bouffée d'air pur, comme des moments de répit et que bien souvent le niveau de stress rediminue parce qu'on fait des choses qui nous animent, qu'on aime, mais on a quand même la liberté de le faire à notre rythme. Donc en fait, on peut s'impliquer comme on le veut et encore une fois, c'est jamais pareil. Au début, il y a une grosse implication souvent parce que beaucoup d'enthousiasme, un petit creux de vague et puis ça remonte. Tout ça, ce n'est pas linéaire. De toute façon, c'est un peu... peu en oscillation et quelque part c'est complètement ok et probablement un passage nécessaire et obligé. Donc encore une fois je ne sais pas si ça te parle et si je le dis bien, je le dis avec ce que moi j'ai ressenti et ce que je vis avec mes élèves, mais si tu ressens que la déco peut être ta réponse pour sortir d'un burn-out, pour te sentir plus alignée, pour te sentir mieux tout simplement, peut-être que ça vaut la peine d'aller explorer cette piste. Je sais que ça a marché, encore une fois, pour beaucoup de mes élèves, et je me dis, peut-être que ça marchera pour toi. Tu peux peut-être te demander... ce que tu ressens. Typiquement, pour savoir si ça a marché pour toi, je veux dire, tu peux peut-être te demander qu'est-ce que tu ressens quand tu penses d'écho, quand tu fais de la déco, comment tu te ressens ? Ou comment, quand tu es dans de la créativité, quand tu joues avec du beau, comment la petite voix en toi parle ? Comment tu ressens profondément ton niveau de sérénité et d'épanouissement ? Et puis aussi, peut-être... pistes de réflexion pour savoir si la déco te ferait du bien, c'est qu'est-ce que les gens qui te connaissent très bien et qui t'aiment, parce qu'il y a des gens qui nous aiment mais qui soit ne nous connaissent pas très bien ou alors, c'est pas ça que je voulais dire, c'est les gens qui te connaissent bien mais qui ne laissent pas exprimer, qui t'aiment, ça c'est sûr, mais qui ne laissent pas exprimer leur propre peur. Je pense notamment, pour revenir à un cas personnel, notamment à mes propres parents qui, oui ils m'aiment, oui ils me connaissent bien, mais par contre ils ont tellement d'inquiétudes de leur propre peur et de leur propre schéma de fonctionnement qu'en fait ce n'étaient pas les meilleures personnes pour me conseiller à ce moment-là. Mais vraiment les gens qui ont envie de te soutenir et qui savent par quoi tu passes, comment ils réagissent à ton projet ? Quand tu évoques ce projet de déco, comment ? Est-ce qu'ils te soutiennent ? Parce qu'en fait, souvent les personnes qui nous connaissent le mieux savent avant nous-mêmes ce qui est bon pour nous. Alors peut-être qu'ils vont dire, non, non, effectivement, tu fais fausse route pour x ou y raison, admettons. Ils ont raison ou ils n'ont pas raison, ça on n'en sait trop rien. Mais souvent, on a un entourage qui nous envoie le message, non mais t'es faite pour ça, mais vas-y, go. En tout cas, c'est souvent ce que vous me ramenez. les conjoints sont hyper soutenants ou alors des meilleurs amis qui voient avant nous-mêmes qu'en fait on est fait pour ça. Donc en fait c'est toutes ces personnes qui peuvent révéler entre guillemets ce qui est bon pour nous alors que nous-mêmes on n'en sait rien. Et tu peux peut-être aussi te demander comment tu envisagerais la transition pour qu'elles viennent te soutenir sans générer un nouveau stress. Ce qui évidemment ne serait pas du tout bénéfique pour toi. Parce que souvent, quand on a aussi subi un burn-out, le fait de se reconvertir et même aussi de devenir entrepreneur, ça peut être une forme de stress exponentiel qui viendrait ne pas être bénéfique. Donc comment tu te sens à cette idée-là ? Si vraiment ça met trop de poids ? trop de lourdeur et que tu sens que ça te plombe, c'est que ce soit pas fait pour toi. Mais ce serait OK que l'entrepreneuriat soit pas fait pour toi. Ou au contraire, c'est peut-être juste pas le bon moment à tes zéros, mais que dans un an, dans un an, dans deux ans, ça sera peut-être à ce moment-là le bon moment. Et c'est que t'as peut-être juste besoin de plus de sérénité avant de te relancer dans un challenge comme ça. Donc voilà, pose-toi cette question. Comment tu te sens à l'idée de cette nouvelle vie ? Est-ce qu'elle... d'enthousiasme ou est-ce qu'elle vient te plomber et auquel cas venir peut-être explorer ça un petit peu plus et puis voilà, dis-toi bien aussi qu'encore une fois tout ça n'a pas besoin à être fait enfin t'as pas besoin de tout plaquer du jour au lendemain tout ça peut se faire très progressivement et très respectueusement de ton bien-être de ton besoin de te reconstruire etc et que Voilà, donc c'est vraiment prendre soin de toi, mais à l'inverse, parfois les pauses imposées par un burn-out sont le moment privilégié pour aller explorer quelque chose de nouveau. Et pour beaucoup, venir démarrer une formation, parce que, encore une fois, c'est comme la bouée, la soupape de sécurité qui fait juste du bien, le souffle de vie qui fait du bien, et que la pause imposée par un burn-out est au contraire parfois le moment privilégié. idéal pour repenser à soi et laisser exprimer toute la part de créativité en soi. Donc voilà, tu peux des petites pistes, toutes ces petites pistes de réflexion c'est comment tu te sens par rapport à tout ça, où tu en es dans ton besoin de sécurité, ton envie de liberté, ton besoin de créativité, c'est toutes ces petites analyses là qui peuvent te donner des pistes de réflexion sur est-ce que la déco toi aussi ... ça pourrait vraiment te soutenir. Et puis bien sûr, si tu veux qu'on échange sur toutes ces questions, n'hésite pas, ce sera avec grand plaisir. Je me dis que ça t'aidera peut-être à savoir si tu es sur le bon chemin, si je te raconte un petit peu le métier, est-ce que vraiment c'est fait pour toi ou pas. Peut-être que tu vas constater qu'il y a des contraintes que tu n'as pas du tout envie de vivre. Mais voilà, si tu as besoin d'en parler avec moi, n'hésite surtout pas. Mais voilà, je sais que tu ne serais pas du tout la première à ressentir la déco comme la solution pour aller bien. Ce n'est pas du tout une solution miracle, bien sûr, ce n'est pas ça. Ce n'est pas envoyer du rêve inutilement, parce qu'évidemment, devenir décoratrice intérieure et a fortiori se lancer dans l'entrepreneuriat, ça va demander de l'énergie, ça va demander de l'implication, accepter aussi une perte de salaire fixe. ça va venir challenger la notion de sécurité donc c'est pas forcément une évidence pour tout le monde et c'est pas forcément la réponse pour tout le monde mais peut-être que c'est la réponse pour toi et que t'es vraiment faite pour ça et que c'est ça qui fera que ce burn-out sera juste une étape de ta vie un challenge qui a été pas très cool mais qui a plein de bénéfices à ce burn-out parce que ça va te permettre de révéler ce qui t'anime profondément et et ce qui va te faire du bien pour la suite. Donc voilà, c'était ce petit message, tout en bienveillance. Encore une fois, j'espère que les mots étaient justes, parce que c'est un sujet qui n'est pas simple. Je sais que ça me tenait à cœur à un moment de l'aborder quand même, parce que c'est quand même très très très présent chez mes élèves, et que c'est quelque chose qu'on partage en permanence dans tous les coachings. C'est pour ça que mon envie d'en parler aujourd'hui, elle était là. Je vous embrasse. Si tu entends ce message, c'est que t'as écouté l'épisode jusqu'au bout, et donc je me dis que ça a dû te plaire. Alors si tu veux me soutenir, laisse-moi un petit commentaire et des étoiles, ça va vraiment m'aider à faire connaître ce podcast au plus grand nombre. Un énorme merci d'avance.