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[EXTRAIT] - Mathilde, VMA & PMA cover
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BOOST.HER

[EXTRAIT] - Mathilde, VMA & PMA

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02min |03/12/2025
Play
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[EXTRAIT] - Mathilde, VMA & PMA

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Description

[EXTRAIT]

Mathilde a 33 ans, elle vit à Paris, travaille dans le marketing digital et court depuis plus de dix ans. Du marathon de Paris en plus de 4h à Valence en 3h00, elle construit patiemment sa progression, portée par son goût pour la perf., son club, son mari (et coach) Vincent.

Puis un autre marathon commence : celui du désir d’enfant et d’un parcours PMA. Inséminations, FIV, hormones, rendez-vous médicaux, fausse couche… Son corps change, sa charge mentale explose. Mathilde doit renoncer à certaines courses, lever le pied, accepter de ne plus être “au top” partout, tout le temps.

Dans cet épisode, elle parle d’indulgence envers soi, de petites victoires, du corps des femmes qui traversent beaucoup (trop). Son mantra “Never perfect, always awesome” rappelle qu’on peut être fière de soi, même loin de ses “perfs” habituelles.

🎧 À écouter en baskets… ou sous un plaid, pour souffler un peu.
Abonne-toi pour ne manquer aucun épisode et partage autour de toi si ça t’a fait du bien !
📲Rejoins la communauté sur Instagram : @boost.her.podcast

✨ Boost.her, le podcast qui célèbre le mouvement comme un self-care et donne de l’élan !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    J'ai le plaisir de vous partager un extrait de l'épisode qui sera diffusé vendredi. Bonne écoute !

  • Speaker #1

    Quand on a commencé le parcours PMA, on était hyper optimistes. Et surtout, moi je m'étais dit, j'étais inscrite pour le marathon de Paris, et je m'étais dit je vais le faire, tu vois. En fait, ce n'était pas un sujet, je vais tout mener de front. Et surtout que j'étais en forme à l'époque, j'avais bien repris l'entraînement sur la fin d'année. Même physiquement, j'avais perdu du poids. J'étais prête pour attaquer une saison un peu de perf. Et je me suis dit, la PMA, facile. Vraiment, je pense que je me suis lancée là-dedans. Je suis quelqu'un d'assez forte, normalement. Ça va être... Je ne sais pas comment dire.

  • Speaker #0

    Ça ne te faisait pas peur, en fait.

  • Speaker #1

    Ça ne me faisait pas peur et ça ne va pas prendre trop de place dans ma vie. Très vite, je me suis rendue compte que, un, les rendez-vous tous les deux jours, c'était chiant. Ça prenait du temps, en fait. sur ton quotidien, moralement aussi, les hormones aussi. Et sur le corps, ça ne s'est pas vu tout de suite. Et il a fallu quelques mois, en fait, parce qu'au début, j'ai continué à courir, normalement, pendant les deux premiers mois, je dirais. Et donc, je n'ai pas eu trop besoin de le dire. Je pensais faire le marathon de Paris. Finalement, je me suis rendue compte qu'en charge mentale, c'est trop. Parler pour un objectif, faire la PMA. Et surtout, de s'entraîner pour un marathon en espérant ne pas le faire parce que... ça aurait marché très rapidement. Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vrai que c'était un décalage sur je me prépare et en même temps, je n'ai pas envie de le faire parce que j'ai un autre objectif qui est plus important que celui-là, en fait.

  • Speaker #1

    Exactement. Et en fait, on a fait ce protocole d'insémination artificielle, on l'a fait trois fois en tout. Et je me souviens que le jour du marathon de Paris, que du coup, je ne courais pas, je me suis levée et j'ai eu mes règles. Donc, ce qui voulait dire que la deuxième insémination n'avait pas marché. Et là, je me suis un peu pris une claque parce que moi du coup j'avais ce truc de je vais encourager des gens d'une course que j'aurais voulu faire, que je me suis privée de faire pour ce parcours PMA. Et même si c'est que le deuxième essai, tu as déjà l'impression d'avoir gravi des mains. Tu as l'impression que tu as pris un train sur la tête. Et ça a été hyper gentleman.

Description

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Mathilde a 33 ans, elle vit à Paris, travaille dans le marketing digital et court depuis plus de dix ans. Du marathon de Paris en plus de 4h à Valence en 3h00, elle construit patiemment sa progression, portée par son goût pour la perf., son club, son mari (et coach) Vincent.

Puis un autre marathon commence : celui du désir d’enfant et d’un parcours PMA. Inséminations, FIV, hormones, rendez-vous médicaux, fausse couche… Son corps change, sa charge mentale explose. Mathilde doit renoncer à certaines courses, lever le pied, accepter de ne plus être “au top” partout, tout le temps.

Dans cet épisode, elle parle d’indulgence envers soi, de petites victoires, du corps des femmes qui traversent beaucoup (trop). Son mantra “Never perfect, always awesome” rappelle qu’on peut être fière de soi, même loin de ses “perfs” habituelles.

🎧 À écouter en baskets… ou sous un plaid, pour souffler un peu.
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  • Speaker #0

    J'ai le plaisir de vous partager un extrait de l'épisode qui sera diffusé vendredi. Bonne écoute !

  • Speaker #1

    Quand on a commencé le parcours PMA, on était hyper optimistes. Et surtout, moi je m'étais dit, j'étais inscrite pour le marathon de Paris, et je m'étais dit je vais le faire, tu vois. En fait, ce n'était pas un sujet, je vais tout mener de front. Et surtout que j'étais en forme à l'époque, j'avais bien repris l'entraînement sur la fin d'année. Même physiquement, j'avais perdu du poids. J'étais prête pour attaquer une saison un peu de perf. Et je me suis dit, la PMA, facile. Vraiment, je pense que je me suis lancée là-dedans. Je suis quelqu'un d'assez forte, normalement. Ça va être... Je ne sais pas comment dire.

  • Speaker #0

    Ça ne te faisait pas peur, en fait.

  • Speaker #1

    Ça ne me faisait pas peur et ça ne va pas prendre trop de place dans ma vie. Très vite, je me suis rendue compte que, un, les rendez-vous tous les deux jours, c'était chiant. Ça prenait du temps, en fait. sur ton quotidien, moralement aussi, les hormones aussi. Et sur le corps, ça ne s'est pas vu tout de suite. Et il a fallu quelques mois, en fait, parce qu'au début, j'ai continué à courir, normalement, pendant les deux premiers mois, je dirais. Et donc, je n'ai pas eu trop besoin de le dire. Je pensais faire le marathon de Paris. Finalement, je me suis rendue compte qu'en charge mentale, c'est trop. Parler pour un objectif, faire la PMA. Et surtout, de s'entraîner pour un marathon en espérant ne pas le faire parce que... ça aurait marché très rapidement. Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vrai que c'était un décalage sur je me prépare et en même temps, je n'ai pas envie de le faire parce que j'ai un autre objectif qui est plus important que celui-là, en fait.

  • Speaker #1

    Exactement. Et en fait, on a fait ce protocole d'insémination artificielle, on l'a fait trois fois en tout. Et je me souviens que le jour du marathon de Paris, que du coup, je ne courais pas, je me suis levée et j'ai eu mes règles. Donc, ce qui voulait dire que la deuxième insémination n'avait pas marché. Et là, je me suis un peu pris une claque parce que moi du coup j'avais ce truc de je vais encourager des gens d'une course que j'aurais voulu faire, que je me suis privée de faire pour ce parcours PMA. Et même si c'est que le deuxième essai, tu as déjà l'impression d'avoir gravi des mains. Tu as l'impression que tu as pris un train sur la tête. Et ça a été hyper gentleman.

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Mathilde a 33 ans, elle vit à Paris, travaille dans le marketing digital et court depuis plus de dix ans. Du marathon de Paris en plus de 4h à Valence en 3h00, elle construit patiemment sa progression, portée par son goût pour la perf., son club, son mari (et coach) Vincent.

Puis un autre marathon commence : celui du désir d’enfant et d’un parcours PMA. Inséminations, FIV, hormones, rendez-vous médicaux, fausse couche… Son corps change, sa charge mentale explose. Mathilde doit renoncer à certaines courses, lever le pied, accepter de ne plus être “au top” partout, tout le temps.

Dans cet épisode, elle parle d’indulgence envers soi, de petites victoires, du corps des femmes qui traversent beaucoup (trop). Son mantra “Never perfect, always awesome” rappelle qu’on peut être fière de soi, même loin de ses “perfs” habituelles.

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  • Speaker #0

    J'ai le plaisir de vous partager un extrait de l'épisode qui sera diffusé vendredi. Bonne écoute !

  • Speaker #1

    Quand on a commencé le parcours PMA, on était hyper optimistes. Et surtout, moi je m'étais dit, j'étais inscrite pour le marathon de Paris, et je m'étais dit je vais le faire, tu vois. En fait, ce n'était pas un sujet, je vais tout mener de front. Et surtout que j'étais en forme à l'époque, j'avais bien repris l'entraînement sur la fin d'année. Même physiquement, j'avais perdu du poids. J'étais prête pour attaquer une saison un peu de perf. Et je me suis dit, la PMA, facile. Vraiment, je pense que je me suis lancée là-dedans. Je suis quelqu'un d'assez forte, normalement. Ça va être... Je ne sais pas comment dire.

  • Speaker #0

    Ça ne te faisait pas peur, en fait.

  • Speaker #1

    Ça ne me faisait pas peur et ça ne va pas prendre trop de place dans ma vie. Très vite, je me suis rendue compte que, un, les rendez-vous tous les deux jours, c'était chiant. Ça prenait du temps, en fait. sur ton quotidien, moralement aussi, les hormones aussi. Et sur le corps, ça ne s'est pas vu tout de suite. Et il a fallu quelques mois, en fait, parce qu'au début, j'ai continué à courir, normalement, pendant les deux premiers mois, je dirais. Et donc, je n'ai pas eu trop besoin de le dire. Je pensais faire le marathon de Paris. Finalement, je me suis rendue compte qu'en charge mentale, c'est trop. Parler pour un objectif, faire la PMA. Et surtout, de s'entraîner pour un marathon en espérant ne pas le faire parce que... ça aurait marché très rapidement. Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vrai que c'était un décalage sur je me prépare et en même temps, je n'ai pas envie de le faire parce que j'ai un autre objectif qui est plus important que celui-là, en fait.

  • Speaker #1

    Exactement. Et en fait, on a fait ce protocole d'insémination artificielle, on l'a fait trois fois en tout. Et je me souviens que le jour du marathon de Paris, que du coup, je ne courais pas, je me suis levée et j'ai eu mes règles. Donc, ce qui voulait dire que la deuxième insémination n'avait pas marché. Et là, je me suis un peu pris une claque parce que moi du coup j'avais ce truc de je vais encourager des gens d'une course que j'aurais voulu faire, que je me suis privée de faire pour ce parcours PMA. Et même si c'est que le deuxième essai, tu as déjà l'impression d'avoir gravi des mains. Tu as l'impression que tu as pris un train sur la tête. Et ça a été hyper gentleman.

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[EXTRAIT]

Mathilde a 33 ans, elle vit à Paris, travaille dans le marketing digital et court depuis plus de dix ans. Du marathon de Paris en plus de 4h à Valence en 3h00, elle construit patiemment sa progression, portée par son goût pour la perf., son club, son mari (et coach) Vincent.

Puis un autre marathon commence : celui du désir d’enfant et d’un parcours PMA. Inséminations, FIV, hormones, rendez-vous médicaux, fausse couche… Son corps change, sa charge mentale explose. Mathilde doit renoncer à certaines courses, lever le pied, accepter de ne plus être “au top” partout, tout le temps.

Dans cet épisode, elle parle d’indulgence envers soi, de petites victoires, du corps des femmes qui traversent beaucoup (trop). Son mantra “Never perfect, always awesome” rappelle qu’on peut être fière de soi, même loin de ses “perfs” habituelles.

🎧 À écouter en baskets… ou sous un plaid, pour souffler un peu.
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  • Speaker #0

    J'ai le plaisir de vous partager un extrait de l'épisode qui sera diffusé vendredi. Bonne écoute !

  • Speaker #1

    Quand on a commencé le parcours PMA, on était hyper optimistes. Et surtout, moi je m'étais dit, j'étais inscrite pour le marathon de Paris, et je m'étais dit je vais le faire, tu vois. En fait, ce n'était pas un sujet, je vais tout mener de front. Et surtout que j'étais en forme à l'époque, j'avais bien repris l'entraînement sur la fin d'année. Même physiquement, j'avais perdu du poids. J'étais prête pour attaquer une saison un peu de perf. Et je me suis dit, la PMA, facile. Vraiment, je pense que je me suis lancée là-dedans. Je suis quelqu'un d'assez forte, normalement. Ça va être... Je ne sais pas comment dire.

  • Speaker #0

    Ça ne te faisait pas peur, en fait.

  • Speaker #1

    Ça ne me faisait pas peur et ça ne va pas prendre trop de place dans ma vie. Très vite, je me suis rendue compte que, un, les rendez-vous tous les deux jours, c'était chiant. Ça prenait du temps, en fait. sur ton quotidien, moralement aussi, les hormones aussi. Et sur le corps, ça ne s'est pas vu tout de suite. Et il a fallu quelques mois, en fait, parce qu'au début, j'ai continué à courir, normalement, pendant les deux premiers mois, je dirais. Et donc, je n'ai pas eu trop besoin de le dire. Je pensais faire le marathon de Paris. Finalement, je me suis rendue compte qu'en charge mentale, c'est trop. Parler pour un objectif, faire la PMA. Et surtout, de s'entraîner pour un marathon en espérant ne pas le faire parce que... ça aurait marché très rapidement. Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vrai que c'était un décalage sur je me prépare et en même temps, je n'ai pas envie de le faire parce que j'ai un autre objectif qui est plus important que celui-là, en fait.

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    Exactement. Et en fait, on a fait ce protocole d'insémination artificielle, on l'a fait trois fois en tout. Et je me souviens que le jour du marathon de Paris, que du coup, je ne courais pas, je me suis levée et j'ai eu mes règles. Donc, ce qui voulait dire que la deuxième insémination n'avait pas marché. Et là, je me suis un peu pris une claque parce que moi du coup j'avais ce truc de je vais encourager des gens d'une course que j'aurais voulu faire, que je me suis privée de faire pour ce parcours PMA. Et même si c'est que le deuxième essai, tu as déjà l'impression d'avoir gravi des mains. Tu as l'impression que tu as pris un train sur la tête. Et ça a été hyper gentleman.

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