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Carnet d'Entrepreneur

Lancement, Vision & Objectifs pour 2025

Lancement, Vision & Objectifs pour 2025

52min |30/01/2025
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Lancement, Vision & Objectifs pour 2025

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52min |30/01/2025
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Description

Bienvenue dans Mon Carnet d'Entrepreneur ! 📖✨


Un espace sans filtre où je partage mes ambitions, mes réussites, mes défis, les coulisses de mes projets et surtout mon cheminement d’entrepreneur.


Le but ? Vous emmener avec moi dans cette aventure, vous faire vivre mes avancées, mes difficultés et mes réussites pour qu’on évolue ensemble.


Dans cet épisode, on va voir :
• Toute mon histoire : d’où je viens, comment j’ai commencé et ce qui m’a mené ici
• Les objectifs et la mission derrière ce podcast
• Comment on prévoit d’atteindre 2 à 3 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année
• L’écosystème qu’on veut créer pour aider un maximum d’entrepreneurs à faire décoller leur business


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous, bienvenue dans ce podcast, bienvenue dans ma tête et bienvenue dans mon carnet d'entrepreneurs. Je suis super content de vous retrouver aujourd'hui. Ça fait quelques années que je réfléchis à faire un podcast. Je commençais à y réfléchir en 2020-2021 et je n'ai jamais osé créer mon podcast. Alors, j'avais fait un épisode en 2020, si je ne me trompe pas, ou en 2021. Et au final, je m'étais arrêté là. Et là, je lance. officiellement ce podcast. Je vais vous expliquer pourquoi est-ce que je le lance, pourquoi est-ce que je le lance maintenant et surtout tout ce que j'ai envie de créer, pourquoi je l'ai appelé carnet d'entrepreneurs parce que le nom aussi a une symbolique même si ChatGPT m'a pas mal aidé à trouver le nom, je vais pas vous mentir. Alors aujourd'hui on va parler de pas mal de petites choses. Déjà dans ce premier épisode, je vais faire une introduction, je vais vous expliquer pourquoi je crée ce podcast et qu'est-ce qu'on va voir dans ce podcast. On va aussi parler de tous les objectifs, toute la vision que j'ai. sur cette année 2025 et sur les années à venir. Parce que vous allez le voir, mon but à travers ce podcast, c'est surtout de vous embarquer avec moi, de vous faire vivre à la fois mes objectifs, mes difficultés, mes réussites, et de vous faire vivre mon quotidien pour vous permettre d'avancer, de vous inspirer et d'évoluer dans vos projets. Pour vous dire, cette année, on prévoit de faire entre 2 et 3 millions d'euros. Donc, je vais tout vous expliquer comment est-ce qu'on fait, pourquoi est-ce qu'on veut faire ça aussi, parce que c'est important de se poser la question pour comprendre où est-ce qu'on va derrière. Et surtout, c'est quoi la suite sur ce podcast ? Alors... Pour commencer, pourquoi est-ce que je fais ce podcast ? Il y a plusieurs raisons. La première, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai pas forcément d'endroit où je peux m'exprimer sur tout et rien. YouTube, j'ai repris YouTube, si vous avez vu ma vidéo ou des messages que j'ai partagés un petit peu de partout. Il y a quelques temps, en fait, à l'heure où vous écoutez ce podcast, ça va aussi peut-être différer. Mais je poste pas mal sur YouTube, mais j'ai envie quand même de rester cadré, que ce soit sur Instagram, les réseaux sociaux, le développement de son activité. Instagram aussi, en fait sur les réseaux sociaux le truc c'est que pour moi on doit quand même garder un format, un cadre, je parlerai de ma stratégie média, ma stratégie sur les réseaux plus tard si vous voulez dans un autre épisode, mais en fait chaque réseau a un objectif et je dois quand même garder un cadre, mais en fait j'ai plein de sujets qui sont super intéressants et que j'ai envie de partager, enfin super intéressants selon moi, vous allez me dire si c'est intéressant pour vous, et j'ai vraiment envie de créer comme un journal intime, quelque chose où je peux partager tout et rien, quelque chose où je peux juste prendre mon téléphone, enregistrer, et l'uploader, et comme ça, faire suivre mes aventures de fil en aiguille, et avancer avec vous. Et pour moi, le format podcast, c'est le format qui s'y prête le mieux. Et ça, c'est ma deuxième raison, parce que je n'ai pas besoin d'avoir une logistique très compliquée. Je peux juste enregistrer un épisode. Je n'ai pas besoin de me prendre la tête. Je peux parler de tout et rien. Et puis, c'est super. La troisième raison, c'est que j'ai beaucoup été inspiré par de nombreux podcasts. Alors moi, j'écoute des podcasts à titre personnel. Et il y a un podcast qui m'a pas mal aidé. C'est un podcast de Julien Musy. Je ne sais plus le nom de son podcast, mais je pense qu'il s'appelait juste Julien Musi, si je ne me trompe pas. Et dans ce podcast, il expliquait en gros comment ce qu'il est. Il parlait à des entrepreneurs qui faisaient déjà quelques milliers d'euros et qui voulaient faire quelques dizaines ou centaines de milliers d'euros par mois. Et je sais que ça m'a énormément aidé et je me revois écouter ces épisodes. Je me revois même à Budapest en 2022, si je ne me trompe pas, donc il y a quelques années. Et j'étais comme ça en train de visiter Budapest et j'écoutais ces épisodes. Et en fait, certes, ça m'apportait des conseils, ça m'apportait de la valeur, ça m'apportait des stratégies, des choses que je pouvais utiliser pour moi et pour mon activité. Mais surtout, ça m'inspirait de dingue parce que je voyais ce gars qui était plus avancé que nous dans son activité. Et je me disais, mais attends, lui, il a réussi à construire tout ça. Et en fait, juste l'écouter parler, voir la manière dont lui, il imaginait les choses, la manière dont ça se structurait dans sa tête, la manière dont il construisait son business et son activité. Et je me disais, mais c'est juste dingue quoi. En fait, ça m'inspirait beaucoup et ça me donnait de la motivation pour avancer. Et il m'apportait un fil directeur, un petit peu comme un mentor. Après, il nous a beaucoup aidé, ce gars, à développer notre activité. Et en fait, pour moi, le podcast, c'est une super façon de transmettre sans se prendre la tête. Et des fois, ça crée aussi plus de proximité. En tout cas, c'est ce que j'espère avec vous. Et le fait de ne pas se prendre la tête, de tourner un épisode comme ça, le truc qui est aussi assez intéressant, alors j'ai quand même vérifié le son avant de tourner ce podcast. c'est qu'on peut partager tout et rien et ça peut sûrement parler là où des fois on se met peut-être un petit peu plus de cadre et c'est vraiment le but de transmettre de façon totalement transparente. Et le dernier objectif qui est un petit peu dans cette même lancée, c'est que j'ai pas mal, j'ai une belle vision, vous allez le voir, des beaux objectifs que ce soit pour cette année et les années à venir. Et en fait, j'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça. J'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça pour qu'à la fois ça puisse à votre tour vous inspirer, en tout cas j'espère, mais que ça puisse aussi vous aider, vous apporter des conseils. et de vous permettre de vous développer à travers votre activité et de vous permettre surtout de vouloir construire de très belles choses. Et j'espère en fait de vous embarquer avec moi dans un mouvement d'entrepreneurs qui ont envie de développer leur activité, de changer le monde et de créer quelque chose de grand à son échelle. Peu importe, on n'est pas obligé de vouloir faire des dizaines de millions d'euros, mais ça peut être de vouloir créer un impact positif à travers son activité et peu importe l'activité à son échelle. Et c'est ça ce que j'ai envie de véhiculer à travers ce podcast. Alors aujourd'hui, je vais parler de différentes choses. En fait, j'ai envie de faire une rétrospective sur absolument tout. Tout ce que j'ai vécu, que ce soit de manière perso, aussi comment est-ce que j'en suis venu à mon activité. En fait, vous parler de mon histoire de manière très simple et surtout de vous parler des objectifs à venir sur cette année. mais aussi de toute la vision que j'ai, pourquoi est-ce que je crée tout ça, et c'est quoi la destination finale, où est-ce qu'on veut aller avec mon frère, parce que je travaille avec mon frère, mais j'aurai l'occasion d'en parler, et toutes ces choses-là. Donc c'est ce dont je vais parler aujourd'hui, de manière assez transparente. Je ne vais pas faire de cut, peut-être qu'il y a des fois où je vais bégayer, peut-être qu'il y a des fois où ça sera un petit peu moins clair, je vais me perdre dans mes pensées, mais c'est aussi ce que j'ai envie de véhiculer, et peut-être qu'un jour je rendrai ce podcast un peu plus professionnel, Ce n'est pas forcément ce que j'ai envie pour le moment. Donc, j'ai envie juste de parler. Et c'est pour ça aussi que je l'ai appelé carnet d'entrepreneur. C'est ce que je vous disais tout à l'heure. C'est le but vraiment de carnet d'entrepreneur. Alors, je risque de me tromper aussi entre livre d'entrepreneur ou autre. Là, j'ai défini le nom il n'y a pas longtemps parce que pour moi, ce n'était pas le truc le plus important. Mais en fait, je trouve qu'il fait carrément sens parce que c'est comme si je parlais à moi-même. C'est comme si je parlais à un carnet. Et en fait, vous pouvez suivre ce carnet, suivre mon aventure. Et j'espère créer la plus belle histoire possible. pour vous qui m'écoutez, mais aussi pour moi et pour toutes les personnes qu'on va pouvoir aider avec notre activité et nos différentes activités. Donc, je reviens à mon histoire et comment je me suis lancé dans l'entrepreneuriat. Et pour ça, il faut revenir à ma naissance. Et j'ai eu un problème à la naissance. Je vais vous expliquer pourquoi je vous raconte ça, mais j'ai eu un problème à la naissance. Je suis né, du coup, j'ai un frère jumeau qui est faux jumeau. Donc, on était dans deux poches différentes. Donc, lui, il n'a pas eu de problème. Et globalement, j'avais le ventre ouvert en deux. Et en fait, je suis l'une des seules personnes. Petite anecdote que je connaisse, enfin je suis la seule personne que je connaisse au monde, alors je ne dis pas qu'il n'y en a pas d'autres, mais qui n'a pas de nombril. Je n'ai pas de nombril parce que je suis né avec le ventre ouvert en deux, donc il y a eu des complications, j'ai une cicatrice, mais je n'ai pas de nombril. Et en fait, ça a bien commencé ma vie, alors même si c'était une épreuve assez compliquée, moi je ne m'en souviens plus, mais pour mes parents, mais directement j'étais un petit peu différent. Et vous allez voir, on a commencé avec mon frère à faire des choses, on a commencé à lancer nos premiers projets, nos premières boîtes. très jeune, et à faire des petites choses à droite, à gauche. Et je pense que ça marque bien cet accident de naissance. Alors, ce n'est pas forcément un accident, c'est plutôt une malformation. Je ne sais pas vraiment comment l'appeler, mais ça marque bien tout le reste de ma vie. Et j'ai eu une enfance un peu dissipée. Alors, dissipée, pas dans le sens où j'étais mauvais élève, j'étais un très bon élève, j'étais très cadré, vraiment, je ne faisais jamais de problème. Par contre, je rêvais tout le temps. J'étais vraiment un enfant très rêveur. Et j'étais un petit peu dissipé dans le sens où j'avais toujours la tête dans la lune. Je partais un petit peu à droite à gauche. Et on fait comme ça notre scolarité, donc le début de notre scolarité avec mon frère jumeau ensemble, dans un petit village en Isère, à côté de Lyon, pour ceux qui connaissent. Et du coup, ce qui se passe, c'est que j'arrive en sixième. J'arrive en sixième en étant un très bon élève. Je suis l'un des meilleurs élèves de ma classe. Je suis toujours avec mon frère, avec mon frère jumeau. Et en fait, on commence à lancer nos premiers petits projets. On commence à lancer nos premiers petits projets. On ne fait pas des projets de dingue, on n'est pas Bill Gates à l'époque, on vend des cartes Pokémon, des fois on fait des vides greniers. Donc en fait, ce qu'on fait, c'est qu'on rachète des trucs à des membres de notre famille et on les revend aux vides greniers. Ou alors sur le vide grenier, on achète des trucs qu'on revend derrière, etc. Et ce qui se passe quand j'arrive en sixième, c'est que petit à petit, je commence à décrocher sur le scolaire. Je parle sur le plan scolaire, je commence à décrocher parce que je ne trouve plus vraiment de sens, je ne comprends pas pourquoi on fait ça. J'ai d'autres centres d'intérêt, d'autres choses qui m'intéressent. Notamment à l'époque, il y a un peu les jeux vidéo et le foot qui viendra par la suite, surtout en troisième, quatrième, j'ai vraiment la vision d'être footballeur professionnel, l'envie d'être footballeur professionnel sans avoir le niveau parce que j'avais un problème au talon, enfin j'avais un problème au talon du coup je ne pouvais pas courir, je pouvais pas m'entraîner je pense que même si j'avais pas eu ce problème au talon je serais pas footballeur professionnel, je vais pas me mentir j'avais juste pas le niveau, j'étais à des années-lumière d'avoir le niveau d'être footballeur pro Mais du coup, c'était quand même mon objectif et je me rappelle, c'était au début lycée, peut-être fin collège, à chaque fois que je rentrais, même s'il neigeait, je prenais un ballon et je m'entraînais à faire des jongles. Je partais très loin parce que je n'avais pas du tout de niveau, à être plutôt bon, en tout cas ça passe. Je prenais mon ballon, je faisais des jongles des fois dans la neige et je me rappelle d'une anecdote que j'aime raconter, c'est que j'allais tout le temps m'entraîner au stade de foot de mon village qui était peut-être à 500 mètres, 1 km de chez moi. Donc, j'y allais en vélo. Et j'étais allé en vélo un jour où il neigeait, donc j'avais pris une pelle à neige dans mon sac à dos, une petite pelle à neige, j'avais déneigé le terrain, et tellement j'avais froid aux mains, après j'étais pas très intelligent, j'avais pas pris de gants, mais tellement j'avais froid aux mains, j'arrivais plus à fermer les mains pour mettre mes freins, et du coup je freinais avec mes pieds, et je devais tomber de mon vélo pour freiner, et du coup c'est une petite anecdote que je raconte, j'ai fait ça une fois, je faisais pas ça tout le temps non plus, mais du coup j'avais vraiment cette envie d'être footballeur pro. Et avec le recul, quand je vois un petit peu tout ce que je faisais, j'agissais et encore aujourd'hui, j'agis de la même manière, de manière un peu autistique. C'est-à-dire que je me concentrais sur un seul truc et je ne faisais rien d'autre à côté. Et je ne voyais que ça, je ne faisais que ça. Je pense, mais c'est encore le cas aujourd'hui avec mon activité et mon business. C'est pour ça aussi que ça fonctionne bien, je pense. Je ne pense qu'à ça, je ne développe quasi que ça. Alors certes, je pense à deux, trois petites choses à droite, à gauche. Mais je me concentre vraiment de manière quasi exclusive à ce projet, à ce truc que j'ai en tête. Donc ce qui se passe ensuite c'est que avec mon frère, on se rend compte, enfin moi je veux être footballeur pro et on se rend compte que j'ai pas le niveau. Donc ce que je décide de faire c'est que je me suis dit ok je vais développer une page Instagram autour du foot et je développe cette page. Je prends vraiment plein de temps pour développer cette page, comprendre les stratégies, les trucs. Et au final on arrive à quand même développer cette page. J'ai quand même un petit peu d'abonnés, je développe la page à quelque chose comme 15 000 abonnés. Ce qui est très bien. Je ne gagne pas énormément d'argent parce qu'en plus, je gérais ça n'importe comment. Donc, les abonnés, c'était à moitié des personnes turques qui venaient de Grèce. Il y avait vraiment de tout. Mais par contre, j'ai quelques petits partenariats. J'ai dû gagner des t-shirts et des chaussures, des choses comme ça. Et ce qui me paraissait très bien et surtout ce qui nous donne l'envie d'entreprendre, de créer d'autres choses par la suite. Et du coup, ça, c'est dans notre scolarité. Et en fait, tout à l'heure, je vous disais que j'ai décroché. J'étais de plus en plus sur mes objectifs, que ce soit à travers le foot et toutes ces choses-là. Et autour de moi, on me dit que ça c'est pas bon, on me dit que ça c'est un objectif à côté, que c'est une passion certes. Mais en fait, on me fait prendre conscience que ce qui est important c'est de travailler à l'école sans que je comprenne réellement pourquoi. Et je commence comme ça à tomber dans une perte de sens parce que ce qu'on fait à l'école ça me sert pas du tout. Enfin pour moi je comprends pas du tout en quoi ça va m'aider et pour moi ce que j'ai envie de faire c'est mes projets que j'ai à côté. Et petit à petit je tombe un peu dans cette perte de sens, je tombe vraiment dans ce truc là où je me dis mais... En fait, ça sert à quoi ? Et il arrive plein d'autres problèmes. À l'époque, j'ai eu pas mal d'acné et je prends un médicament qui s'appelle Roaccutane, qui justement est connu. C'était un ancien médicament pour ceux qui ne connaissent pas, qui était censé soigner un cancer de je ne sais plus quoi, qui est connu pour créer un peu de la dépression, de la déprime. Et en fait, je rentre dans une phase où je ne suis pas bien du tout, où je suis totalement déprimé parce que je n'ai pas forcément confiance en moi avec l'acné et tout. plus derrière je suis en perte de sens total parce qu'à chaque fois que je développe un projet, que ce soit les profs ou autres, on me dit que ça ne sert à rien en fait et qu'il faut se concentrer sur quelque chose qui ne fait pas sens pour moi ou je ne vois pas de finalité ou je me dis mais ça sert à quoi quoi ? En fait je continue à aller à l'école parce qu'on me dit va à l'école mais à quoi ça sert ? Et donc je vis cette phase qui est ultra compliquée pour moi à l'époque, qui est vraiment très difficile et je n'en parle pas forcément et ce qui est compliqué c'est que je suis encore assez jeune quand je vis cette phase-là Je ne sais pas trop comment l'aborder. Alors j'en parle, je suis allé voir plein de médecins. Je suis allé voir vraiment beaucoup de médecins. Des médecins, mais en tout genre. Des psys, vraiment de tout. Des hypnothérapeutes, etc. Et en fait, je me rends compte que personne ne me comprend. Et ça m'isole encore plus dans ma bulle. Ça m'isole encore plus dans mon monde. Et je continue à rêver, mais petit à petit, j'y crois plus du tout. Parce que je suis dans un truc où je me sens ultra mal. Et c'est compliqué à décrire cette sensation-là. En fait, c'est comme si on voyait le monde en noir et blanc. C'est comme si autour de nous, tout était noir et blanc. C'est comme si on n'avait plus de sensation. C'est comme si, en fait, quand on mangeait, on n'avait plus de goût. Il n'y avait plus de couleur autour de nous. Et c'est presque, moi, des souvenirs que j'en ai. C'est comme si je le voyais en noir et blanc, comme dans les films un peu tristes. Et c'est le souvenir que je m'en fais. Et en fait, c'est comme si plus rien n'avait de goût, plus rien n'avait de saveur. Même physiquement, quand on mange. Mais... quand on faisait quelque chose, quand on fait quelque chose, on ne ressent rien. C'est vraiment extrêmement perturbant et très déstabilisant. Et en fait, ça a été les montagnes russes comme ça pendant une ou deux années. Et le truc qui m'a un peu sauvé, c'est que là, j'avais vraiment plus de goal, plus de vision. J'étais vraiment perdu. Et du coup, je me retrouve en BTS parce qu'il fallait quand même faire quelque chose. Et là, je rencontre une personne dans mon BTS qui s'appelle Thibaut. et qui a été un associé, j'en parlerai juste après, mais qui me parle de l'entrepreneuriat et de toutes ces choses-là. Et on a une chance ou une malchance, j'en sais rien dans nos BTS, c'est que sur 30 personnes dans la classe, on n'est que 4 garçons. Le reste, c'est que des filles. Donc on pourrait se dire que c'est un peu sympa. Mais le truc, nous, c'est qu'on s'est fait très vite potes avec Thibaut. Et du coup... Très vite, j'ai commencé à avoir les mêmes centres d'intérêt parce qu'on avait tous les deux cette volonté, cette vision de faire des choses grandes, de sortir un petit peu du cadre. On s'est bien rencontrés pour ça. Et moi, je n'avais pas forcément ces projets d'entrepreneuriat ou de tout ce genre de choses. Mais en fait, j'avais toujours cette même vision parce que tout ce que j'avais voulu construire, que ce soit à travers le foot, que ce soit à travers les autres petits business qu'on avait lancés avec Maxence, c'était toujours dans cet état d'esprit de construire quelque chose de grand, de sortir un petit peu des normes. Et ça, ça a beaucoup fait la différence. Et donc, je rencontre Thibaut. Et très vite, on lance un premier projet. On lance une agence où on crée des sites web. On s'occupe un petit peu du marketing et de toutes ces choses-là. Pour des commerçants, ça ne se passe pas bien du tout. Parce qu'en fait, on ne fait pas ce qu'il faut pour que ça se développe bien. Mais en fait, on a un gros coup de bouse du destin. Parce qu'il y a le Covid à cette époque avec le premier confinement. Et là, on se dit, ok, c'est la chance du moment. Moi je me le dis pas comme ça à l'époque, honnêtement, mais avec le recul je me dis putain ça a été vraiment dingue. Parce qu'il y a plein de gens qui ont vu ça comme une catastrophe, et moi je l'ai vraiment vu comme une opportunité sans le voir, et je pense que c'est une des clés aussi. Peu importe ce qui nous arrive dans notre vie, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas la maîtrise. Et ces choses-là, ça sert à rien d'essayer de maîtriser ces choses ou autre, l'idée c'est de voir comment est-ce qu'on peut avancer malgré ces choses, même négatives, qui nous arrivent, parce que, en fait, que ce soit positif ou négatif, c'est juste une façon de voir les choses. Il n'y a pas de positif, il n'y a pas de négatif. C'est juste notre façon de l'interpréter, notre façon de voir le monde qui va transformer cette Ausha en positif, en négatif, en fonction aussi de notre construction, de nos pensées, de toutes ces choses-là. Bref, on crée cette agence qui ne se passe pas très bien. Il y a le Covid qui arrive. Et là, du coup, moi, j'ai pas mal de compétences sur gérer et développer des pages Instagram parce que c'est ce qu'on a fait avec la page de foot. Et après, on a continué à faire ça. Moi, j'ai développé des pages Instagram de Lyon parce que c'est là où je faisais mes études pour les étudiants, pour pas mal de choses. Et donc, il y a des entreprises, il y a des entreprises... entrepreneurs qui nous demandent au fur et à mesure. Et là, on décide d'aider ces entrepreneurs à développer leur page. Enfin, je les gère pour eux. En fait, je fais du community management et je gère leur page. Ça se passe assez bien. Je travaille beaucoup. Et en fait, je sors un petit peu de cet état un petit peu négatif dans lequel je suis, de dépression dans lequel je suis, pour justement me concentrer sur un projet. Et là, je retrouve un projet. Petit à petit, je retrouve goût. Ça me permet aussi de gagner confiance parce qu'à l'époque, quand je lance mon projet, je suis encore assez jeune. je me dis mais attends, moi je ne maîtrise rien. Et en fait, je n'ai pas forcément de confiance. Je me fais un peu plus marcher dessus. Je n'ai pas de confiance. Je ne sais pas vraiment comment développer les choses. Et j'ai toujours été quelqu'un d'assez timide, pas forcément très confiant. Donc, ça ne m'aide pas forcément pour développer mon projet. Et de fil en aiguille, je continue à développer ça. Ça se passe bien. Au bout de 2-3 mois, je gagne quand même 1200-1300 euros par mois à peu près. Dans ces Ausha, je ne me souviens plus exactement. Mais en tout cas, je ne gagne plus de 1000 euros par mois. et donc je peux en vivre et là je me dis putain mais c'est juste dingue quoi et je vois qu'il y a une voie différente de la voie traditionnelle celle qu'on m'avait toujours enseigné et là je pense qu'il y a un déclic qui se crée dans ma tête et notamment lié au foot parce que pour être footballeur professionnel il faut être repéré assez jeune sinon si aujourd'hui je veux me lancer en tant que footballeur professionnel je suis beaucoup trop vieux je suis beaucoup trop vieux j'ai pas le niveau et même si je me mets à fond à fond à fond avec les meilleurs Il y a des gens qui ont déjà 10, 20 ans d'expérience sur moi, donc en fait, ils seront bien meilleurs que moi. Et le truc qui change tout, c'est que je me dis, mais attends, moi, je voulais être footballeur professionnel pour plein de raisons. Et là, dans l'entrepreneuriat, je peux avoir les mêmes gains, je peux gagner les mêmes choses, que ce soit en termes d'argent, que ce soit en termes aussi de notoriété, de reconnaissance et toutes ces choses-là. Mais en fait, même si je suis plus vieux, je peux me lancer et réussir. Et ça, c'est absolument dingue. Il n'y a pas d'âge. Je peux me lancer à 60 ans et réussir, tout comme je peux me lancer à 15 ans et réussir, tout comme je peux me lancer. En fait, c'est juste dingue et il n'y a aucune règle. Parce qu'il y a quand même une course contre la montre quand on veut être sportif professionnel qui se joue ou au bout d'un certain temps, on est juste cuit parce que le corps ne suit plus là avec l'entreprenariat. Il n'y a aucune règle. Je peux me lancer maintenant, faire ça toute ma vie et devenir le meilleur entrepreneur de tous les temps. en fonction de ce qu'on entend par le meilleur entrepreneur, forcément. Et donc, il y a un déclic qui se crée dans ma tête. Et à partir de là, juste, j'ai une vision de dingue, j'ai des idées de dingue, je vis toujours très grand. Et pour moi, ça me paraît logique d'atteindre cette vision. Et il y a une différence, c'est que... Cette vision-là, vous allez le voir, je vais vous en parler juste après, ça m'a toujours paru logique que j'allais atteindre cette vision, même si je ne l'ai pas encore atteint. Je l'ai atteint au fur et à mesure, mais elle grandit au fur et à mesure. Par contre, les objectifs, ça, des fois, j'ai des doutes. J'ai des doutes et je me dis, est-ce qu'on va vraiment l'atteindre ? Forcément, j'ai des peurs, j'ai tout plein de choses qui se créent. Mais je sais que la somme de tous ces objectifs, ça va mener à cette vision. Et si j'échoue sur cet objectif, ce n'est pas si grave parce que j'aurai appris et cet apprentissage, il va me permettre d'aller plus loin et plus rapidement à cette vision. Et donc, je prends conscience de tout ça. Ça me permet derrière de me mettre encore plus à fond. C'est là où je développe d'autres projets, notamment en parallèle des comptes Instagram que je gère. Je développe des propres pages Instagram qui m'appartiennent parce que je me dis, mais attends, mes clients ont des résultats de dingue avec les pages que je développe pour eux. Moi, je n'ai même pas Instagram à l'époque. Alors, j'avais mon compte, mais voilà, je n'ai pas de page. Donc, je vais développer mes propres pages. Donc, ce qui se passe, c'est que je rachète des pages Instagram. Je développe mes propres pages. Je ne me montre pas du tout. Je n'ai pas envie de me montrer. J'ai peur de ce que les gens font penser de moi. et de ce qu'ils vont penser de mon activité et toutes ces choses-là, malgré le fait que mes proches soient plus ou moins au courant, mon frère, mes parents, etc. Et ce qui se passe, c'est que ça avance, ça se passe bien, et là, il se passe une première galère. Ce que je ne vous ai pas dit, c'est que j'avais une personne qui avait une grosse agence qui m'envoyait plein de clients. Elle, j'étais sous-traitant de cette personne-là. Et du jour au lendemain, elle décide de presque plus me payer. Elle me paye à peu près 1200 euros par mois. Elle décide de presque plus me payer. Et là, je lui dis Ah non ! En fait, c'est comme si j'avais une sécurité, c'est comme si j'avais un genre de salariat parce que cette personne, elle me payait tous les mois. J'étais mal payé honnêtement pour le travail que je faisais, j'étais mal payé. Mais là, elle voulait me payer 500 euros par mois. Donc, elle voulait diviser par plus que 2 le salaire qu'elle me proposait, le salaire, la prestation qu'elle me proposait. Et en plus de ça, pour faire plus de travail. Et là, j'ai pris une décision où je me suis dit, il faut que j'arrête de travailler avec elle malgré le fait que ça me faisait peur parce qu'à l'époque, je n'avais pas forcément trouvé des clients. Ils étaient beaucoup venus par recommandation ou autre. Et je me dis, je vais passer à côté de presque la moitié de mon chiffre d'affaires. Et ce qui se passe, c'est que j'arrête de travailler avec lui. Après, lui, il a voulu retravailler avec moi, etc. Et en fait, le mois d'après, je me souviens très bien, c'était en janvier 2021. C'est là où je fais mon premier mois à plus de 10 000 euros de chiffre d'affaires. J'ai fait quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires. En fait, j'ai dû faire 9 400 euros encaissés et j'ai dû facturer un petit peu plus parce qu'il devait y avoir des paiements en plusieurs fois. Et là... je me suis dit mais c'est absolument dingue. Et la leçon que j'ai appris de ça, c'est que j'ai lâché quelque chose, quelque chose qui ne me convenait pas, mais en fait que je gardais par peur, par insécurité, je l'ai lâché. Et directement derrière, j'ai eu plus de résultats. Je ne vais pas dire que c'est l'univers ou autre, ça, peu importe, ce n'est pas la loi de l'attraction et compagnie, mais c'est juste logique et mathématique pour moi. Mais en fait, je suis allé directement ou indirectement, je ne sais pas, peut-être même inconsciemment, vers quelque chose qui me correspondait plus et j'ai eu plus de résultats. Et c'est pour ça que si aujourd'hui vous êtes dans une situation qui ne vous convient pas, mais en fait lâchez cette situation alors de manière intelligente, ça ne peut que vous apporter du plus et quoi qu'il arrive, ça ne peut que vous faire apprendre. Et je pense que j'ai la chance d'avoir aussi cette mentalité où je me dis, même si j'échoue, je m'en fous parce que pour moi c'est quand même positif parce que j'ai appris. Alors qu'il y a certaines personnes, elles échouent, elles mettent des années à s'en remettre, des mois à s'en remettre et forcément pendant ce temps-là, elles ne font rien, elles n'évoluent pas et ça les empêche de réellement avancer selon moi vers leurs objectifs. Du coup, je fais mon premier mois, quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires et du coup, j'ai cet apprentissage. Et là, je décide de développer encore plus mon activité. On développe toutes nos pages Instagram. C'est là où mon frère me rejoint, mon frère jumeau parce qu'avant, il développait un autre projet à côté. On développe toutes nos pages Instagram sur lesquelles on vend des petits trucs à droite à gauche. On fait de l'affiliation. Plus on a nos clients où on gère leurs réseaux sociaux. Et ce qui se passe, c'est qu'on a de plus en plus de monde qui nous demande Mais les gars, comment est-ce que vous avez fait ? Comment est-ce que vous avez développé ? ses comptes, comment est-ce que vous trouvez des clients, parce que ce qu'il faut savoir, c'est qu'on prenait une prestation mensuelle avec l'agence, donc forcément, c'était un tarif plus cher qu'un accompagnement ou autre qu'on a pu créer par la suite, et on ne s'adressait pas à tout le monde, on s'adressait à des personnes qui faisaient déjà du chiffre d'affaires. On s'adressait déjà à des entrepreneurs qui faisaient du chiffre d'affaires et qui étaient un minimum avancé, qui faisaient au moins 4, 5, 6 000 euros de chiffre d'affaires, parce que sinon, ils ne pouvaient pas se payer nos services. Et donc là, on décide de faire un accompagnement un peu plus abordable, Et ce qui se passe, c'est qu'on a des résultats de dingue parce qu'il y a des gens qui nous demandent. On a des résultats de dingue, que ce soit pour nous ou pour nos clients. Et deux mois après, on se donne le défi de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires en 30 jours, donc en août 2021. Et là, on passe ce défi. Franchement, moi, je n'y croyais pas. Honnêtement, je n'y croyais pas. On s'est fixé le défi avec mon associé. Et en fait, je n'osais pas forcément lui dire que je n'y croyais pas. Et j'y allais un peu à reculons. Et on a fini le mois à 127 000 euros, le 24. On n'a même pas attendu la fin du mois. On avait fait 127 000 euros de chiffre d'affaires. C'est dingue. Alors, c'était du chiffre d'affaires facturé. Ce n'était pas encaissé. En gros, il y avait des paiements plusieurs fois. Donc, en gros, avec tout ce qui allait arriver au fur et à mesure, ça allait faire 127 000 euros. Donc, on avait facturé 127 000 euros. Et là, je me dis, waouh, c'est fou, quoi. C'est vraiment dingue. Et en fait, quand je regarde en arrière. Ça faisait peut-être un an et demi, deux ans que je m'étais lancé et j'avais mis huit mois pour faire mon premier mois à 10 000 euros de chiffre d'affaires et huit mois après pour faire mon deuxième mois, enfin mon premier mois à 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et après, on ne l'a pas forcément tenu. Je préfère être transparent, mais parce qu'en fait, on a mal géré derrière. Je vais vous en parler. Mais je me suis rendu compte que tout pouvait aller extrêmement vite. Et il y a un point qui a été très important pour moi, c'est qu'au début, je ne savais pas où j'allais. Parce que quand on se lance dans l'entrepreneuriat, c'est un flou total. Nous, on s'est toujours fait aider. C'est pour ça aussi que ça fait sens d'aider des entrepreneurs et c'est pour ça que ça faisait sens de créer du coup le mentorat, notre accompagnement. Et on a eu une belle première session d'entrepreneurs avec ce premier mois en août où on a fait un super chiffre d'affaires. Mais du coup, on ne savait pas forcément où aller, on ne savait pas forcément quoi faire. Et quand on est dans le brouillard, on ne peut pas avancer sereinement et souvent, on passe beaucoup de temps à faire des choses qui ne servent à rien. Mais si on ne nous dit pas ce qu'on doit faire, on va juste foncer dans le mur. Et moi, un truc que j'avais fait, c'est que j'avais découvert les effets cumulés. Je m'étais dit si j'avance de 1% par jour, en fait, ça va faire une courbe exponentielle. J'avais découvert ça avec les investissements, etc. Ça va faire une courbe exponentielle et je vais être 37 500 fois meilleur à la fin de l'année. Vous pouvez faire, prenez une calculatrice, vous faites une courbe, vous prenez une courbe des effets cumulés. Vous voyez au début, c'est tout plat et après, ça explose. Et c'était exactement ça. Et je me suis dit, mais si je me tiens à cette courbe, en fait, si chaque jour, je cherche à regarder ce que j'ai fait, regarder ce que j'aurais pu mieux faire, ce que j'aurais pu améliorer, etc. je vais avoir cette croissance qui est exponentielle. Et en fait, c'est regarder aussi quel est le plus rapide et quel est le plus efficace, qu'est-ce qui va me faire aller le plus vite. Et pour moi, ce qui allait me faire aller le plus vite, c'est me faire aider, ne pas hésiter à investir dans mon activité, toutes ces choses-là. Donc, ce n'est pas juste regarder nous ce qu'on fait, c'est vraiment aller au plus vite, prendre les meilleures décisions et les décisions les plus cohérentes avec son activité. Donc, ça m'a énormément aidé. Là, on en arrive là, moi, je me dis waouh, c'est juste dingue. En parallèle, en plus, je commence à voyager un peu. 2022, c'est l'année où je voyage beaucoup. Je voyage dans une douzaine de pays en Europe. Je n'ai voyagé qu'en Europe cette année. Après, je suis allé un peu en Afrique du Nord. Mais en fait, il se passe plein de choses. Ça se passe très bien. 2022, il y a quand même une stagnation au niveau business. C'est là où on commence à recruter, mais on fait plein d'erreurs. On commence à recruter plus de monde. On veut un peu scaler l'activité, c'est-à-dire qu'on veut la développer plus rapidement. On veut commencer à aller chercher un plus gros niveau de client, de chiffre d'affaires et surtout tenir le chiffre d'affaires qu'on avait fait. Sur ce mois d'août 2021, on paye plein de gens qui font plein de trucs qui ne servent à rien parce qu'en fait, on ne le maîtrise pas forcément et on se décharge plus des tâches que réellement recruter. Et ça, c'est une erreur qu'on a fait. C'est OK, est-ce qu'on recrute parce qu'on n'a plus le temps et parce que ce n'est pas la tâche qui a la meilleure valeur ajoutée pour nous aujourd'hui ou est-ce qu'on recrute parce qu'en fait, on veut se décharger du truc ? Et nous, on voulait plus se décharger et on n'avait pas suffisamment bien structuré et on n'avait pas suffisamment fait attention aussi au cash qu'on avait pour bien tout structurer en fonction du chiffre d'affaires qu'on faisait. Donc on paye plein de gens trop cher qui servent à rien. Ce qui se passe, c'est que ça évolue pas tellement, mais on commence à structurer un peu la boîte, etc. Et par contre, 2023, on fait un excellent début d'année, on commence à très bien structurer toute l'équipe, toute la boîte. Par contre, après, il y a un plateau. Au bout de mars 2023, il y a un plateau, il se passe plus rien, ça stagne. Et pourquoi ça stagne ? Enfin, ça régresse même par rapport au début d'année qu'on avait fait, parce qu'on est trois associés, donc ça n'a pas bougé. Thibaut, Maxence, mon frère jumeau, donc Thibaut, mon ami de BTS. Et moi-même, on se rend compte qu'on est totalement désaligné au niveau de la vision. Thibaut veut aller à un endroit, moi je veux aller à un autre endroit, et Maxence veut aller à un autre endroit. Et ce qui se passe, c'est qu'on a deux visions assez différentes avec Thibaut, et là il y a un écart qui se crée. Et en fait, cet écart qui se crée, ça crée du flou. Donc ça nous fait aller de partout. On va vers des trucs qui nous rapportent du cash à court terme, mais qui ne servent à rien, et qui nous empêchent de structurer vraiment de manière solide. Thibaut est plus forcément animé, donc il est plus forcément dedans. Moi, ce que je me dis, c'est Ok, je reprends la main sur toute la boîte et je gère moi tout. Sauf qu'en fait, je me rends compte que je ne peux pas tout gérer, qu'il y a plein de trucs. Enfin, ça ne se passe pas très très bien sur cette fin d'année 2023. Et pour vous faire très simple, nous, avec Maxence, de ce que je perçois, et peut-être que Thibaut a une autre vision des choses, mais nous, on a plutôt envie de créer un gros truc, de beaucoup réinvestir dans la boîte, là où Thibaut a plutôt envie de profiter et de se verser un gros salaire. Et en fait, moi, je ne suis pas du tout sur cette optique-là. Moi, je m'en fous. Enfin, je ne dépense quasi rien en perso. Et je m'en fous de me verser un gros salaire. Et je me dis, mais on peut faire décoller la boîte encore plus loin. Autant réinvestir, etc. Et lui, je pense qu'il a atteint un stade où il en a eu marre, où il était moins sur l'aspect business et plus sur l'aspect perso, enfin, avec sa copine, etc. Il avait une copine, etc. Donc, ce qui se passe, c'est que ça commence à créer pas de la friction parce que ça s'est toujours bien passé. Mais en fait, ça commence à créer un flou et ça part totalement en vrille. On fait quand même du chiffre, ça se passe assez bien. Mais en fait, on fait très peu de chiffres par rapport Ausha et par rapport à tout ce qu'on doit faire. Et du coup, début d'année 2024, Thibaut nous annonce qu'il arrête, qu'il veut stopper. On l'avait un peu senti, mais... Le truc qu'on a mal fait, c'est qu'on aurait dû en parler avant. Personne n'en avait réellement parlé. En fait, ça se passait un peu mal. Une association, c'est encore pire qu'un couple. Et au début, ça peut très bien se passer avec vos associés. Mais plus on avance dans la boîte, plus ça risque d'être compliqué. Donc, ça se passe un petit peu mal. Et après, ils décident d'arrêter. Donc là, c'est good pour tout le monde sur ce début d'année, donc 2024. Et l'autre truc qui se passe, c'est qu'on commence à créer d'autres projets sur ce début d'année aussi. Donc, Thibaut Arrête. la boîte pour toutes les raisons que je vous ai évoquées. Nous, on lui rachète ses parts. Comment ça se passe ? Juste, on lui rachète ses parts. Il a 33% du mentorat. Nous, on lui rachète ses 33%. Donc maintenant, on a 50-50 avec Maxence, donc avec mon frère. Il n'y a pas d'autres associés. Et ce qui se passe, c'est qu'on commence... Nous, on a une vision... On a à peu près la même vision. Je vous en parlerai avec Maxence après. Mais on commence à se dire, OK, nos clients, ils ont des problématiques. En fait, l'accompagnement... résout certaines problématiques, mais il y a certaines problématiques qui restent, par exemple, ça prend du temps à programmer sur Insta, à poster sur Insta, à trouver les idées de contenu et tout ça. Est-ce qu'on ne pourrait pas développer un logiciel pour ça ? Et c'est comme ça qu'on a commencé à développer tout l'écosystème début 2024. Pour ça, on s'est associés, on a développé un logiciel qui s'appelle CréaPro, qu'on a développé au fur et à mesure et qui était pour nous aussi un gros défi et qui est toujours un gros défi parce que c'est un business qui est assez différent de ce qu'on a l'habitude de développer. Un logiciel, c'est différent d'une boîte de service. Il y a besoin d'avoir plus de clients. Vu que c'est un abonnement, les clients peuvent partir, revenir à tout moment. Enfin, il faut gérer ça, faire en sorte que le logiciel devienne indispensable pour que les clients aient envie de s'en servir et envie de rester. Et c'est pas mal de problématiques. Mais en fait, c'était aussi un peu l'avènement de l'IA et le début dont on a parlé de l'IA et toutes ces choses-là. Et on s'est dit, on va créer un logiciel comme un community manager IA. On pourrait le résumer comme ça pour les personnes qui n'ont pas le budget de prendre un community manager ou pas forcément l'envie. Et pour nous, c'est super parce que ça nous permettra justement d'aider un maximum nos clients et d'aider même des personnes qui ne sont pas encore clients et qui pourraient même devenir clients du mentorat par la suite. Pourquoi pas ? Donc, on développe ce logiciel. Un truc qui est ultra important, c'est qu'on s'entoure très bien dès le début. On est quatre associés. On a un développeur, une personne qui gère toute la partie affiliation et Maxence et moi-même. Et je pense que ça, c'est l'un des gros conseils qu'on a appris aussi. C'est de bien s'entourer. Alors là, avec des associés, mais aussi avec des équipes. parce que pareil, on a fait plein d'erreurs sur fin d'année 2023 et 2023 en recrutant plein de gens qui ne servaient à rien et en plus qui n'étaient pas bons. Donc nous, ce qu'on fait, c'est qu'on développe ce logiciel et là, on se rend compte de tout l'écosystème qu'on peut créer et surtout, on se rend compte de tout ce qu'on peut structurer autour de nous. Au niveau du mentorat, ça se passe très bien. C'est là où on a l'une des plus grosses croissances. On fait entre 100 et 150 000 euros de chiffre d'affaires par mois facturé, ce qui est très bien, franchement, ce qui est très, très bien. Là, l'idée, ça serait de doubler, mais je vais en parler pour l'année à venir, 2025. Et on s'est dit, mais comment est-ce qu'on peut faire bouger les choses autour de nous ? Parce qu'on a des clients, justement, on avait développé ce logiciel qui est vraiment excellent. Enfin, je vous invite vraiment à aller voir créapro.fr. Et derrière, il y a des clients qui, eux, avaient envie de déléguer, qui n'avaient pas envie de s'occuper parce que le logiciel ne crée pas le contenu. On n'a pas encore la technologie. Peut-être que ça arrivera à l'heure où vous écoutez ce podcast, mais on n'a pas encore la technologie pour structurer, pour créer le contenu de manière intelligente. On pourrait le faire, mais le but, c'est de créer du contenu qui apporte du résultat. sur les différents réseaux sociaux que nos clients souhaitent développer. Donc là, ça donne toute la stratégie de contenu, les idées, les scripts, ça fait les légendes, les hashtags, ça vous dit comment tourner vos contenus, quoi faire, des guides, des templates. Enfin, ça fait 80% du travail, mais il vous reste à produire le contenu. À produire ou à faire, mais sachant que vous avez des guides, des templates, des choses déjà adaptées pour vous permettre de le faire au mieux. Et certains, du coup, voulaient totalement déléguer, à la fois la partie publicité en ligne, qui est juste dingue si vous savez bien vous en servir, et à la fois la partie réseaux sociaux. Donc, on décide de relancer l'agence. avec une autre associée aussi, qui est une ancienne cliente, Cynthia. On décide de relancer l'agence. où on s'occupe de tout. En fait, on est un pôle marketing et communication directement intégré chez nos clients, même des petites boîtes. Et du coup, le but, c'est de les aider à faire exploser leurs chiffres d'affaires. Et en plus de ça, il nous manque une dernière chose. C'est un lieu où nos clients peuvent tourner leur contenu, que ce soit les clients de l'accompagnement, du mentorat, que ce soit les clients de CréaPro ou même de l'agence. Et donc, on a ouvert une salle de tournage directement sur Lyon. Donc, on a créé tout cet écosystème. Et cet écosystème, il est beaucoup lié. aux objectifs et à la vision qu'on a sur les années à venir. Pour en venir aux objectifs sur cette année 2025, je ne sais pas, quand vous allez écouter ce podcast, peut-être que j'en ferai un sur 2026 pour les objectifs, voir si on les a atteints. L'idée de toute façon, c'est qu'on va faire un podcast par semaine. Je pense que je vais poster un podcast par semaine tous les dimanches. Donc, n'hésitez pas à vous abonner. Je ne sais même pas comment on s'abonne sur les podcasts. Sinon, ce que je ferai, c'est que je ferai un groupe WhatsApp sur lequel je partagerai tous mes podcasts. Vous, ça vous permettra... du coup de suivre un petit peu l'avancée, suivre un petit peu l'épopée. Et j'en ferai un petit peu sur tout et n'importe quoi. Ou en tout cas, toutes les leçons, tous les apprentissages. Et le but, c'est que je vous partage tout un petit peu comme, encore une fois, mon journal intime ou mon journal d'entrepreneur, mon carnet d'entrepreneur. Donc, les objectifs pour cette année. On prévoit de faire 2 millions d'euros avec le mentorat. On prévoit de faire plus de 500 000 euros, donc dépasser le demi-million d'euros avec l'agence. Et on fixe toujours en termes de chiffre d'affaires. C'est ce qui fait le plus sens et c'est ce qui... est le plus cohérent pour voir si on a atteint ou pas notre objectif, donc je vous invite à toujours faire ça. Et l'autre chose, avec CréaPro, c'est un petit peu plus flou pour le moment parce que le projet est assez différent de ce qu'on a eu l'habitude de développer, donc l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs. Là on est à peu près 150 utilisateurs mensuels, donc ça fonctionne bien, l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs parce que le logiciel est absolument dingue et l'idée après c'est d'aller vers les 10 000 utilisateurs dans un troisième temps. Et l'autre truc, c'est la salle de tournage. Ça, ça ne va pas nous rapporter énormément. On n'a pas pour le moment pour projet de le développer à fond. Ça va peut-être nous rapporter 20 000 euros sur l'année, ce qui n'est pas trop mal pour un truc qui ne nous demande pas de temps, quasi aucun temps pour s'en occuper. Mais le but de la salle de tournage, c'est plutôt de générer des leads pour l'agence ou pour l'accompagnement ou pour créer un pro. C'est-à-dire que le but de la salle de tournage, c'est de faire de la pub pour faire découvrir la salle de tournage. Et quand ils viennent dans la salle de tournage, leur parler de ce qu'on fait à côté et pouvoir les transformer en clients. C'est à peu près ça l'objectif pour vous faire... Pour vous faire simple, ces objectifs-là, ils rentrent plus généralement dans une vision globale d'écosystème. Et après, je vous parlerai de tout ce qu'on a prévu de mettre en place pour atteindre ces objectifs. Mais il faut comprendre cette vision d'écosystème où en fait, on veut vraiment être l'outil, les clés, les ressources pour aider des personnes qui ont envie d'atteindre un objectif à l'atteindre ou à développer leur projet. Ça peut très bien être des musiciens qui ont envie d'être plus visibles ou des coachs qui ont envie d'obtenir plus de clients ou des entreprises, des entrepreneurs. qui veulent développer leur activité. L'idée, c'est de faire en sorte qu'ils aient tous les outils, toutes les ressources, la communauté, tout ce dont ils ont besoin pour réussir. Et c'est pour ça qu'on a commencé à développer cet écosystème. Au début, on a, s'ils ont besoin d'être aidés, et tout le monde a besoin d'être aidé dans son activité, on a le mentorat pour pouvoir les accompagner, pour pouvoir les aider. Ensuite, du coup, ils ont besoin de gagner du temps sur leurs réseaux sociaux. Donc là, on a l'outil CréaPro qui vient en complément du mentorat. Peut-être qu'au bout d'un moment, ils ont suffisamment de chiffre d'affaires, ils en ont marre de le faire eux-mêmes et ils ont envie de le déléguer. Donc là, on a l'agence qui rentre en compte. sauf qu'ils n'ont pas de lieu pour tourner leur contenu. Donc, derrière, ils peuvent venir directement tourner leur contenu. Et le but, c'est d'intégrer tout ça, tous ceux dont nos clients pourraient avoir besoin, pour à la fois des clients de CréaPro, on fait de l'acquisition directement sur CréaPro, donc des personnes qui viennent sur CréaPro peuvent devenir clients du Mentora par la suite, ou au contraire, des personnes qui viennent sur la salle de tournage peuvent devenir clients de l'agence par la suite. Et en fait, le tout s'envoie des clients les uns les autres, et on a tout cet écosystème qui est quand même super intéressant. Pour vous prendre un petit peu un exemple, C'est comme si j'avais un restaurant et dans ce restaurant, je me fournissais à un agriculteur qui vendait des pommes de terre. Et cet agriculteur-là, il avait des prix un petit peu élevés. Et à la place d'acheter ses pommes de terre, je me dirais, je vais ouvrir mon propre champ de pommes de terre. Comme ça, je vais maîtriser à la fois les pommes de terre, mais à la fois le restaurant. Et du coup, je vais vendre des pommes de terre d'un côté. Donc tous ceux qui viennent acheter des pommes de terre, je peux leur parler du restaurant. Donc à terme, je pourrais les convertir sur le restaurant. Mais en plus, je m'achète à moi-même mes pommes de terre, donc elles sont moins chères et c'est plus intéressant. Et tous ceux qui viennent au restaurant, je peux leur dire, écoute, je vends des pommes de terre à côté. Et du coup, j'ai tout l'écosystème comme ça. Et c'est ce qu'on est en train de réfléchir à créer, ce qu'on a commencé à créer et ce qu'on est en train de développer plutôt. Et donc, pour développer tout ça, il y a différents axes qui vont être à prendre en compte pour faire en sorte de bien développer notre activité et d'atteindre ses objectifs. Le premier, c'est de structurer une bonne équipe. Une équipe solide et je pense que travailler avec les bonnes personnes, ça c'est le point le plus important. Là on commence à être plus d'une petite vingtaine dans l'équipe, donc ça se développe quand même bien. Mais pour atteindre des objectifs, on devrait être encore plus, donc développer une équipe solide, avoir des personnes impliquées solides et avoir les meilleures personnes à chacun des postes pour atteindre cette vision-là. Ça, c'est la première étape. La deuxième étape, du coup, ça va être de développer toute la partie organique qui, pour moi, est ultra importante, d'autant plus dans les années à venir parce qu'on le voit notamment avec ChatGPT et tout ça et tous les outils d'intelligence artificielle qui arrivent. Ce qui se passe, c'est que vous pouvez être concurrencé à n'importe quel moment et je pense que peu importe votre activité, à un moment, vous allez être concurrencé ou pas par un robot ou par un outil d'intelligence artificielle. Et pour moi, le seul truc qui va réellement rester, c'est justement le lien qu'on va réussir à créer avec les autres êtres humains. Donc la communauté et la proximité qu'on va réussir à créer avec cette communauté. C'est aussi pour ça que je crée ce podcast, parce que pour moi la communauté c'est l'un des trucs les plus puissants. Et on le voit notamment avec même des youtubeurs qui ont une grosse communauté. Quand je vois à l'international MrBeast avec la série qu'il a sortie là sur Prime Vidéo, ou quand je vois même en France Inox Tag qui a monté l'Everest et qui a sorti un manga si je ne me trompe pas derrière. Le manga il a été top 1 des ventes très rapidement, alors qu'en fait il n'a aucune expérience dans le manga. Et avec leur communauté, ils peuvent vendre de tout et n'importe quoi. Et je me dis, aujourd'hui, si on développe une communauté et qu'on a en plus le sens business, parce qu'eux, ils ne s'en servent pas pour lancer leur propre business. Je pense qu'ils gagnent suffisamment. Ce qui les intéresse, c'est de créer du contenu. Mais si nous, on a cette logique business derrière, mais on peut faire des dingueries. Des dingueries que ce soit au niveau business, mais que ce soit pour aider des personnes. Il y a tellement de choses à faire. C'est absolument dingue. Donc, développer à fond la communauté, que ce soit à travers YouTube, à travers pas mal de projets. qu'on a et je pourrais faire un podcast sur c'est quoi ma stratégie de contenu concrète parce que j'ai une stratégie bien précise avec tous les canaux de communication qu'on utilise aujourd'hui chez le mentorat, ceux qui sont importants ou pas et du coup ça c'est le deuxième plan et le troisième plan ça va être de développer les compétences, de se focaliser sur faire et s'occuper des tâches essentielles et moi un truc que j'aime bien dire c'est si je ne suis pas encore au résultat que je veux, c'est que je ne suis pas la personne je ne suis pas encore la personne que j'ai besoin d'être pour être à ce résultat là Donc j'ai besoin de devenir le Matisse entrepreneur qui sait comment générer X millions d'euros de chiffre d'affaires. Donc là ça serait faire avec toutes les boîtes cumulées un peu plus de 2 millions, 3 millions d'euros plutôt, un peu plus de 3 millions d'euros sur cette année 2025. Donc est-ce que je suis le Matisse qui sait générer 3 millions ? Pour le moment pas forcément. Peut-être que c'est juste une question de temps et de structure mais du coup j'ai besoin de changer mon identité, changer ma façon de voir et de faire les choses pour passer un step aussi dans mon activité. Et ça, ça va faire absolument... toute la différence. Donc, d'où ce que je disais aussi au début de ce podcast, forcément, je pense qu'il y a des choses à lâcher, un petit peu comme quand j'ai lâché la personne qui ne me payait plus trop, la personne que j'avais en sous-traitance, enfin, qui me sous-traitait des clients en 2020, ouais, 2020, et où j'ai eu cette première leçon et ce premier déclic, qu'est-ce que je vais devoir lâcher ? Quelle croyance je vais devoir abandonner ? Et je pense avoir la piste, l'idée pour moi, c'est de me focaliser sur faire moins de choses, de manière opérationnelle. mieux déléguer parce que là, je fais encore plein de petites tâches à droite à gauche. Sauf que si cette tâche, je peux la déléguer pour 20 euros de l'heure, en fait, je peux me concentrer sur faire des trucs plus intéressants, plus importants et donc, je peux aller aussi beaucoup plus vite dans mon activité. Donc, voilà un petit peu la manière dont je prévois d'atteindre cet objectif. Et la dernière chose, c'est quoi la vision derrière ? Et c'est quoi ce que j'ai envie de construire à travers toutes ces choses-là ? Alors, comme je l'ai dit, Le but, c'est vraiment de faire un écosystème et de jouer à fond sur l'effet de levier. L'effet de levier, moi, je le vois de telle sorte parce que j'ai un premier projet qui peut envoyer des clients vers un autre projet. Et en fait, chaque projet se sert les uns les autres. Et quand j'ai décidé de relancer l'agence, là, on a relancé l'agence il y a quelques mois pour gérer directement parce qu'on avait pas mal de demandes. On a quand même pris quelques demandes, mais on le faisait vraiment de manière ultra ponctuelle et vraiment, on refusait beaucoup de clients sur l'année 2023, du coup, où on faisait de la gestion. direct pour eux, que ce soit au niveau de leurs réseaux sociaux ou au niveau de leur publicité. Et du coup, nous, quand on a décidé de relancer l'agence, au début, je l'ai relancée pour moi, l'agence. Et je me suis dit, ok, on a besoin de quelqu'un qui gère nos publicités, parce que moi, j'en ai marre de m'en occuper. Donc, et on a besoin de quelqu'un qui gère l'organique, donc tout ce qui est réseaux sociaux, parce qu'on a envie de mettre un gros coup de boost, en plus de ce qu'on faisait déjà, parce qu'on avait déjà une personne. On a envie de mieux structurer ça. Donc, ce qu'on va faire, c'est qu'on va créer une agence. Cette agence, elle va gérer du coup directement nos réseaux, nos publicités, mais en plus de ça, elle va gérer les réseaux et les publicités d'autres clients. Comme ça, l'agence va se développer. Moi, ça va me permettre de gagner de l'argent et elle, l'agence, elle va aussi gagner de l'argent directement et en fait, elle va être autofinancée. C'est un petit peu que si je reprends mon exemple, le restaurant avec le champ de patates, c'est comme si je me disais, ok, à la place d'acheter mes patates, j'achetais le champ de patates, comme ça, il m'appartient. Le champ de patates, il me permet de gagner de l'argent parce que je vends les patates, mais à côté de ça, il me permet aussi... d'avoir les patates moins chères et de renvoyer des clients directement vers mon restaurant et mon restaurant peut renvoyer des clients vers le champ de patates ce qui est un petit peu l'objectif de tout l'écosystème. Donc le but c'est de créer un maximum d'effets de levier et je pense que là on a un bon écosystème, il y a un seul truc qui manque c'est un aspect coworking parce qu'on a aussi un coworking sur Lyon, je fais très simple. En gros, on a loué des bureaux qui sont beaucoup trop grands, qui font quasi 200 mètres carrés, donc qui sont beaucoup trop grands pour ce qu'on en fait, parce qu'on est à travailler dans tous les coins de la France dans l'équipe, voire dans le monde parce qu'il y a des personnes qui travaillent en dehors de la France. Et on s'est dit, bah ouais, là, ces bureaux, on a quasi 200 mètres carrés pour être trois à travailler dedans, ça sert à rien, donc on va les soulouer. Donc on va faire un genre de co-working. C'était notre projet de base, on voulait faire un co-working. Et du coup, on est, Maëlys, qui est la copine de Maxence et notre assistante. Maxence qui est mon frère jumeau et moi-même à travailler dedans et une autre personne du coup qui s'occupe de la communication maintenant qui est directement dans les bureaux mais on s'est dit ok, ce qu'on va faire c'est qu'on va faire un genre de coworking, c'est ce qu'on a fait c'est ce qui fonctionne très bien et du coup on n'a pas plus de place mais l'idée ça serait à terme ouvrir comme ça des coworking des salles de réunion de partout en France et créer un vrai écosystème où si on veut, on ne sait pas comment développer son activité, on a une aide avec le mentorat Nous, on peut aider nos clients à développer leur activité. Derrière, on est seul chez soi. On a des co-working de partout en France. On ne sait pas où tourner son contenu. On a des salles de tournage de partout en France. On n'arrive pas à trouver des bonnes idées. On a marre de publier son contenu. On a notre logiciel qui permet de quasi tout faire à la place de la personne. On veut externaliser ça et plus gérer. On a l'agence qui permet de gérer à la place de la personne. Et là, on aurait un écosystème ultra complet qui nous permettrait justement d'exploser tous les scores. Donc, le but, c'est de développer cet écosystème. La partie coworking, mais de manière très restreinte, on a une dizaine de personnes sur Lyon dans nos bureaux. Donc le but, ce serait vraiment de développer ça à fond, d'aller chercher un maximum de résultats et surtout de faire en sorte d'avoir le plus gros écosystème possible pour vous aider. Ça reste quand même la motivation principale pour vous aider à développer votre activité au mieux. Et c'est ce qu'on est en train de développer et c'est ce que je vais vous partager à travers ce podcast. Étant donné que là, les projets sur lesquels on met un focus, c'est certes le mentorat, créa pro l'agence aussi le studio de tournage on veut pas forcément beaucoup le développer par la suite parce qu'en fait c'est pas ce qui va nous rapporter le plus on en a conscience et parce qu'on est très peu cher par rapport à la concurrence on est entre 60 et 100 euros 60 la demi journée 100 euros la journée donc en fait on peut pas gagner énormément d'argent par contre ça nous permet d'avoir des leads assez intéressant et des personnes assez intéressante donc on s'est dit est ce que on en ouvrirait pas plus et donc peut-être qu'on le développera au fur et à mesure, mais peut-être qu'on prendra un associé qui le développe avec nous, donc si ça vous intéresse, vous pouvez nous envoyer un petit message. On va voir comment on le structure, mais là, la principale chose qu'on souhaite développer, c'est le mentorat CréaPro avec l'agence, et après, pourquoi pas développer toute la partie coworking et développer la partie salle de tournage, studio de podcast, studio de tournage, mais comme je l'ai dit, un point clé pour moi, c'est de bien s'entourer. Pour le moment, on n'a pas forcément l'équipe, la structure et le but, c'est aussi, comme je l'ai dit, d'aller vers les tâches qui rapportent le plus parce que quand on a de l'argent, on peut déléguer, structurer et du coup, on peut aller plus vite. Donc, le but, c'est d'aller vers ce qui rapporte le plus, plus vite pour développer et grossir plus vite. Donc, on le développera et on continuera à le faire évoluer au fur et à mesure. D'autant plus que ce qui est intéressant, c'est qu'après, avec tout ce qui est co-working et ça de tournage, on peut acheter les murs et du coup, ça nous crée du patrimoine immobilier. Sachant que je ne l'ai pas dit, mais on est en train aussi d'investir en immobilier. C'est le gros avantage d'avoir sa boîte en France, même si on paye beaucoup d'impôts. derrière on peut lever pas mal de crédit donc ça nous permet d'avoir pas mal de patrimoine qui s'autofinance si on gère bien avec de l'investissement locatif ou autre et c'est ce qu'on est en train de faire mais bon c'est un truc annexe quoi c'est mon frère qui gère moi honnêtement je me je veux faire du crédit pour faire du patrimoine parce que c'est dommage de pas aller au max de sa capacité d'endettement surtout si on peut emprunter parce que c'est comme si on avait de l'argent qui dormait qui ne servait à rien alors qu'il pourrait servir mais c'est pas ma passion pour le moment de faire ça, ça s'inscrit dans une stratégie business, mais du coup c'est plutôt mon frère qui gère à ce niveau là. Donc l'idée, en termes d'objectifs, je parle toujours en termes de chiffre d'affaires, parce que pour moi c'est le plus simple et on a défini à la fin de l'année ou à la fin de la période de temps qu'on s'est donné, si oui ou non on a atteint cet objectif. Pour moi ça serait d'aller chercher 10 millions par an sous deux à trois ans, on le fera pas en 2025, trop tôt on va se cramer les ailes, ça pourrait si on fait des levées de fonds autres, mais on fera pas et je... Enfin, c'est trop tôt. On a besoin d'être suffisamment structuré. Mais du coup, là, l'idée, c'est simplement en développant l'écosystème. Et après, ce serait encore de faire x10. Donc là, je n'ai pas de période de temps, mais j'ai la vision. Donc, aller chercher 100 millions par an. Par contre, là, l'idée, ce serait de créer un écosystème, racheter des boîtes complémentaires à nous. Donc, en fait, absorber des concurrents directement, racheter des outils. Imaginons que nos clients ont besoin d'un CRM ou d'un logiciel pour leur facturation. Ou même d'un comptable. Allez, on va prendre l'exemple d'un comptable. On sait que nos clients, au bout d'un moment, ils sont souvent en micro quand ils débutent et ils ont besoin de passer en société parce qu'ils ont du résultat. Donc, nous, ce qu'on pourrait prévoir de faire, c'est racheter un comptable. Alors, c'est un peu plus complexe parce qu'on a besoin d'avoir un expert comptable dans la boîte, etc. Et du coup, intégrer directement la comptabilité de tous nos clients. Donc, faire de l'acquisition sur la compta. Et tous les clients de la compta qui n'ont pas assez de chiffre d'affaires, on leur dit, tiens, fais-toi aider. Du coup, fais-toi aider par notre propre boîte et comme ça, continue à développer l'écosystème. Donc, ça serait racheter des boîtes. qui ont déjà un actif et déjà du chiffre d'affaires, ça évite de partir de zéro et ça évite de tout construire. Donc ça, ça serait surtout la vision qu'on aurait envie de créer. Et du coup, ça serait de construire cette vision, racheter plus de boîtes pour grossir et aller chercher une belle valo et surtout un très beau chiffre d'affaires. L'autre point qui est assez important, sur lequel on ne s'est jamais vraiment posé la question pour être transparent, c'est est-ce que... Pour atteindre cette vision, on pourrait l'atteindre beaucoup plus vite si on fait des levées de fonds, des choses comme ça. On a des concurrents qui ont fait des levées de fonds, c'est-à-dire qu'il y a des investisseurs qui prêtent de l'argent contre une partie de la boîte. Je pense qu'on pourrait lever beaucoup, plusieurs millions assez facilement aujourd'hui au vu des chiffres et de ce qu'on fait et de la vision qu'on pourrait avoir. Mais je ne pense pas, enfin, ce n'est pas ce qui nous intéresse pour le moment parce que du coup, là, on est 100% maître de notre activité. On détient 100% de l'activité avec mon frère et avec les autres associés parce qu'on a plusieurs boîtes, encore une fois, comme je l'ai répété. Donc avec des associés différents à chaque fois, notamment sur l'agence et sur Créapro. Donc ça, c'est une réflexion qu'on a ou qu'on pourra avoir, qu'on n'a pas forcément tout de suite. Et l'autre point à prendre en compte aussi, c'est que je fixe mes objectifs beaucoup en termes de chiffre d'affaires. Mais en fait, je m'en fous de l'argent pour l'argent. Et je pense que c'est important, mais je ferai un podcast sur ça, de comprendre pourquoi est-ce qu'on se fixe ces objectifs et pourquoi ces objectifs, ils sont importants pour nous. Parce que faire de l'argent pour devenir de faire de l'argent, je m'en fous. Et de manière personnelle. Je ne dépense pas énormément. J'ai mon appartement à Lyon 6, qui est quand même un bon quartier de Lyon pour ceux qui connaissent, mais qui est surtout à côté des bureaux, ce qui est l'objectif. Moi, je ne voulais pas être trop loin des bureaux. Ça me met 4 minutes en trottinette le matin. Et puis voilà. Mais je ne vais pas faire de l'argent pour faire de l'argent. Et certes, c'est un facilitateur au niveau de son train de vie et ça nous permet aussi d'éviter certains problèmes du quotidien. mais je suis pas attiré uniquement par ça je pense que je suis plus attiré par l'aventure par tout ce que ça peut créer et surtout par l'impact qu'on peut avoir parce que je vois l'argent un petit peu comme un comme des personnages qu'on va venir faire travailler si j'ai un euro je vais réinvestir dans ma boîte c'est comme un petit personnage que je vais faire travailler qui va me rapporter d'autres euros etc etc et c'est un petit peu comme un jeu je vais pouvoir grossir ça au fur et à mesure et où je vais pouvoir gagner de plus en plus au fur et à mesure et là ça va me permettre de créer beaucoup plus de valeur Et ça va me permettre surtout d'avoir un impact beaucoup plus positif. Parce que c'est ça qui est bien avec l'entrepreneuriat. C'est pour moi le truc qui vous permet d'avoir le plus d'impact sur la vie des gens, que ce soit positif ou négatif. Mais c'est l'un des points qui peut vous permettre de plus changer le monde à votre façon ou de créer le monde idéal ou en tout cas la vision idéale que vous avez du monde. Et ça, c'est quelque chose quand même assez dingue. Donc, ça serait l'idée à travers toutes ces activités. Et je pense qu'après, il y a d'autres choses. qu'on développera et je pense que ça ira aussi beaucoup plus loin, mais ça serait l'objectif là déjà à travers tout ce qu'on veut créer. Donc voilà un petit peu pour ma vie, ma vision, mes objectifs, ce que j'ai envie de construire, les raisons de ce podcast aussi. N'hésitez pas à me dire si ça vous a plu, ceux qui ont écouté ce podcast. Franchement, c'est tout nouveau pour moi et je parlerai aussi de toutes ces choses-là, mais c'est une compétence que je dois apprendre. Là, j'ai tourné ce podcast avec mon micro, j'ai quand même vérifié, comme je vous le disais, le son, mais sans plus. C'est tout nouveau pour moi. Mon but, pour moi, c'est d'être le plus transparent, le plus naturel possible. Pas que ça soit une prise de tête aussi à tourner et avoir quelque chose d'assez sympa et d'assez naturel. Et de vous partager surtout un maximum ma vie, mes apprentissages, mes leçons. Et que ça puisse vous inspirer, que ça puisse vous aider à développer votre activité. Donc, je vous souhaite une très belle journée. J'espère que le podcast vous a plu. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Mathis Pupo sur Instagram. Et en attendant, je vous souhaite une très belle journée. Ciao tout le monde !

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Bienvenue dans Mon Carnet d'Entrepreneur ! 📖✨


Un espace sans filtre où je partage mes ambitions, mes réussites, mes défis, les coulisses de mes projets et surtout mon cheminement d’entrepreneur.


Le but ? Vous emmener avec moi dans cette aventure, vous faire vivre mes avancées, mes difficultés et mes réussites pour qu’on évolue ensemble.


Dans cet épisode, on va voir :
• Toute mon histoire : d’où je viens, comment j’ai commencé et ce qui m’a mené ici
• Les objectifs et la mission derrière ce podcast
• Comment on prévoit d’atteindre 2 à 3 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année
• L’écosystème qu’on veut créer pour aider un maximum d’entrepreneurs à faire décoller leur business


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous, bienvenue dans ce podcast, bienvenue dans ma tête et bienvenue dans mon carnet d'entrepreneurs. Je suis super content de vous retrouver aujourd'hui. Ça fait quelques années que je réfléchis à faire un podcast. Je commençais à y réfléchir en 2020-2021 et je n'ai jamais osé créer mon podcast. Alors, j'avais fait un épisode en 2020, si je ne me trompe pas, ou en 2021. Et au final, je m'étais arrêté là. Et là, je lance. officiellement ce podcast. Je vais vous expliquer pourquoi est-ce que je le lance, pourquoi est-ce que je le lance maintenant et surtout tout ce que j'ai envie de créer, pourquoi je l'ai appelé carnet d'entrepreneurs parce que le nom aussi a une symbolique même si ChatGPT m'a pas mal aidé à trouver le nom, je vais pas vous mentir. Alors aujourd'hui on va parler de pas mal de petites choses. Déjà dans ce premier épisode, je vais faire une introduction, je vais vous expliquer pourquoi je crée ce podcast et qu'est-ce qu'on va voir dans ce podcast. On va aussi parler de tous les objectifs, toute la vision que j'ai. sur cette année 2025 et sur les années à venir. Parce que vous allez le voir, mon but à travers ce podcast, c'est surtout de vous embarquer avec moi, de vous faire vivre à la fois mes objectifs, mes difficultés, mes réussites, et de vous faire vivre mon quotidien pour vous permettre d'avancer, de vous inspirer et d'évoluer dans vos projets. Pour vous dire, cette année, on prévoit de faire entre 2 et 3 millions d'euros. Donc, je vais tout vous expliquer comment est-ce qu'on fait, pourquoi est-ce qu'on veut faire ça aussi, parce que c'est important de se poser la question pour comprendre où est-ce qu'on va derrière. Et surtout, c'est quoi la suite sur ce podcast ? Alors... Pour commencer, pourquoi est-ce que je fais ce podcast ? Il y a plusieurs raisons. La première, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai pas forcément d'endroit où je peux m'exprimer sur tout et rien. YouTube, j'ai repris YouTube, si vous avez vu ma vidéo ou des messages que j'ai partagés un petit peu de partout. Il y a quelques temps, en fait, à l'heure où vous écoutez ce podcast, ça va aussi peut-être différer. Mais je poste pas mal sur YouTube, mais j'ai envie quand même de rester cadré, que ce soit sur Instagram, les réseaux sociaux, le développement de son activité. Instagram aussi, en fait sur les réseaux sociaux le truc c'est que pour moi on doit quand même garder un format, un cadre, je parlerai de ma stratégie média, ma stratégie sur les réseaux plus tard si vous voulez dans un autre épisode, mais en fait chaque réseau a un objectif et je dois quand même garder un cadre, mais en fait j'ai plein de sujets qui sont super intéressants et que j'ai envie de partager, enfin super intéressants selon moi, vous allez me dire si c'est intéressant pour vous, et j'ai vraiment envie de créer comme un journal intime, quelque chose où je peux partager tout et rien, quelque chose où je peux juste prendre mon téléphone, enregistrer, et l'uploader, et comme ça, faire suivre mes aventures de fil en aiguille, et avancer avec vous. Et pour moi, le format podcast, c'est le format qui s'y prête le mieux. Et ça, c'est ma deuxième raison, parce que je n'ai pas besoin d'avoir une logistique très compliquée. Je peux juste enregistrer un épisode. Je n'ai pas besoin de me prendre la tête. Je peux parler de tout et rien. Et puis, c'est super. La troisième raison, c'est que j'ai beaucoup été inspiré par de nombreux podcasts. Alors moi, j'écoute des podcasts à titre personnel. Et il y a un podcast qui m'a pas mal aidé. C'est un podcast de Julien Musy. Je ne sais plus le nom de son podcast, mais je pense qu'il s'appelait juste Julien Musi, si je ne me trompe pas. Et dans ce podcast, il expliquait en gros comment ce qu'il est. Il parlait à des entrepreneurs qui faisaient déjà quelques milliers d'euros et qui voulaient faire quelques dizaines ou centaines de milliers d'euros par mois. Et je sais que ça m'a énormément aidé et je me revois écouter ces épisodes. Je me revois même à Budapest en 2022, si je ne me trompe pas, donc il y a quelques années. Et j'étais comme ça en train de visiter Budapest et j'écoutais ces épisodes. Et en fait, certes, ça m'apportait des conseils, ça m'apportait de la valeur, ça m'apportait des stratégies, des choses que je pouvais utiliser pour moi et pour mon activité. Mais surtout, ça m'inspirait de dingue parce que je voyais ce gars qui était plus avancé que nous dans son activité. Et je me disais, mais attends, lui, il a réussi à construire tout ça. Et en fait, juste l'écouter parler, voir la manière dont lui, il imaginait les choses, la manière dont ça se structurait dans sa tête, la manière dont il construisait son business et son activité. Et je me disais, mais c'est juste dingue quoi. En fait, ça m'inspirait beaucoup et ça me donnait de la motivation pour avancer. Et il m'apportait un fil directeur, un petit peu comme un mentor. Après, il nous a beaucoup aidé, ce gars, à développer notre activité. Et en fait, pour moi, le podcast, c'est une super façon de transmettre sans se prendre la tête. Et des fois, ça crée aussi plus de proximité. En tout cas, c'est ce que j'espère avec vous. Et le fait de ne pas se prendre la tête, de tourner un épisode comme ça, le truc qui est aussi assez intéressant, alors j'ai quand même vérifié le son avant de tourner ce podcast. c'est qu'on peut partager tout et rien et ça peut sûrement parler là où des fois on se met peut-être un petit peu plus de cadre et c'est vraiment le but de transmettre de façon totalement transparente. Et le dernier objectif qui est un petit peu dans cette même lancée, c'est que j'ai pas mal, j'ai une belle vision, vous allez le voir, des beaux objectifs que ce soit pour cette année et les années à venir. Et en fait, j'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça. J'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça pour qu'à la fois ça puisse à votre tour vous inspirer, en tout cas j'espère, mais que ça puisse aussi vous aider, vous apporter des conseils. et de vous permettre de vous développer à travers votre activité et de vous permettre surtout de vouloir construire de très belles choses. Et j'espère en fait de vous embarquer avec moi dans un mouvement d'entrepreneurs qui ont envie de développer leur activité, de changer le monde et de créer quelque chose de grand à son échelle. Peu importe, on n'est pas obligé de vouloir faire des dizaines de millions d'euros, mais ça peut être de vouloir créer un impact positif à travers son activité et peu importe l'activité à son échelle. Et c'est ça ce que j'ai envie de véhiculer à travers ce podcast. Alors aujourd'hui, je vais parler de différentes choses. En fait, j'ai envie de faire une rétrospective sur absolument tout. Tout ce que j'ai vécu, que ce soit de manière perso, aussi comment est-ce que j'en suis venu à mon activité. En fait, vous parler de mon histoire de manière très simple et surtout de vous parler des objectifs à venir sur cette année. mais aussi de toute la vision que j'ai, pourquoi est-ce que je crée tout ça, et c'est quoi la destination finale, où est-ce qu'on veut aller avec mon frère, parce que je travaille avec mon frère, mais j'aurai l'occasion d'en parler, et toutes ces choses-là. Donc c'est ce dont je vais parler aujourd'hui, de manière assez transparente. Je ne vais pas faire de cut, peut-être qu'il y a des fois où je vais bégayer, peut-être qu'il y a des fois où ça sera un petit peu moins clair, je vais me perdre dans mes pensées, mais c'est aussi ce que j'ai envie de véhiculer, et peut-être qu'un jour je rendrai ce podcast un peu plus professionnel, Ce n'est pas forcément ce que j'ai envie pour le moment. Donc, j'ai envie juste de parler. Et c'est pour ça aussi que je l'ai appelé carnet d'entrepreneur. C'est ce que je vous disais tout à l'heure. C'est le but vraiment de carnet d'entrepreneur. Alors, je risque de me tromper aussi entre livre d'entrepreneur ou autre. Là, j'ai défini le nom il n'y a pas longtemps parce que pour moi, ce n'était pas le truc le plus important. Mais en fait, je trouve qu'il fait carrément sens parce que c'est comme si je parlais à moi-même. C'est comme si je parlais à un carnet. Et en fait, vous pouvez suivre ce carnet, suivre mon aventure. Et j'espère créer la plus belle histoire possible. pour vous qui m'écoutez, mais aussi pour moi et pour toutes les personnes qu'on va pouvoir aider avec notre activité et nos différentes activités. Donc, je reviens à mon histoire et comment je me suis lancé dans l'entrepreneuriat. Et pour ça, il faut revenir à ma naissance. Et j'ai eu un problème à la naissance. Je vais vous expliquer pourquoi je vous raconte ça, mais j'ai eu un problème à la naissance. Je suis né, du coup, j'ai un frère jumeau qui est faux jumeau. Donc, on était dans deux poches différentes. Donc, lui, il n'a pas eu de problème. Et globalement, j'avais le ventre ouvert en deux. Et en fait, je suis l'une des seules personnes. Petite anecdote que je connaisse, enfin je suis la seule personne que je connaisse au monde, alors je ne dis pas qu'il n'y en a pas d'autres, mais qui n'a pas de nombril. Je n'ai pas de nombril parce que je suis né avec le ventre ouvert en deux, donc il y a eu des complications, j'ai une cicatrice, mais je n'ai pas de nombril. Et en fait, ça a bien commencé ma vie, alors même si c'était une épreuve assez compliquée, moi je ne m'en souviens plus, mais pour mes parents, mais directement j'étais un petit peu différent. Et vous allez voir, on a commencé avec mon frère à faire des choses, on a commencé à lancer nos premiers projets, nos premières boîtes. très jeune, et à faire des petites choses à droite, à gauche. Et je pense que ça marque bien cet accident de naissance. Alors, ce n'est pas forcément un accident, c'est plutôt une malformation. Je ne sais pas vraiment comment l'appeler, mais ça marque bien tout le reste de ma vie. Et j'ai eu une enfance un peu dissipée. Alors, dissipée, pas dans le sens où j'étais mauvais élève, j'étais un très bon élève, j'étais très cadré, vraiment, je ne faisais jamais de problème. Par contre, je rêvais tout le temps. J'étais vraiment un enfant très rêveur. Et j'étais un petit peu dissipé dans le sens où j'avais toujours la tête dans la lune. Je partais un petit peu à droite à gauche. Et on fait comme ça notre scolarité, donc le début de notre scolarité avec mon frère jumeau ensemble, dans un petit village en Isère, à côté de Lyon, pour ceux qui connaissent. Et du coup, ce qui se passe, c'est que j'arrive en sixième. J'arrive en sixième en étant un très bon élève. Je suis l'un des meilleurs élèves de ma classe. Je suis toujours avec mon frère, avec mon frère jumeau. Et en fait, on commence à lancer nos premiers petits projets. On commence à lancer nos premiers petits projets. On ne fait pas des projets de dingue, on n'est pas Bill Gates à l'époque, on vend des cartes Pokémon, des fois on fait des vides greniers. Donc en fait, ce qu'on fait, c'est qu'on rachète des trucs à des membres de notre famille et on les revend aux vides greniers. Ou alors sur le vide grenier, on achète des trucs qu'on revend derrière, etc. Et ce qui se passe quand j'arrive en sixième, c'est que petit à petit, je commence à décrocher sur le scolaire. Je parle sur le plan scolaire, je commence à décrocher parce que je ne trouve plus vraiment de sens, je ne comprends pas pourquoi on fait ça. J'ai d'autres centres d'intérêt, d'autres choses qui m'intéressent. Notamment à l'époque, il y a un peu les jeux vidéo et le foot qui viendra par la suite, surtout en troisième, quatrième, j'ai vraiment la vision d'être footballeur professionnel, l'envie d'être footballeur professionnel sans avoir le niveau parce que j'avais un problème au talon, enfin j'avais un problème au talon du coup je ne pouvais pas courir, je pouvais pas m'entraîner je pense que même si j'avais pas eu ce problème au talon je serais pas footballeur professionnel, je vais pas me mentir j'avais juste pas le niveau, j'étais à des années-lumière d'avoir le niveau d'être footballeur pro Mais du coup, c'était quand même mon objectif et je me rappelle, c'était au début lycée, peut-être fin collège, à chaque fois que je rentrais, même s'il neigeait, je prenais un ballon et je m'entraînais à faire des jongles. Je partais très loin parce que je n'avais pas du tout de niveau, à être plutôt bon, en tout cas ça passe. Je prenais mon ballon, je faisais des jongles des fois dans la neige et je me rappelle d'une anecdote que j'aime raconter, c'est que j'allais tout le temps m'entraîner au stade de foot de mon village qui était peut-être à 500 mètres, 1 km de chez moi. Donc, j'y allais en vélo. Et j'étais allé en vélo un jour où il neigeait, donc j'avais pris une pelle à neige dans mon sac à dos, une petite pelle à neige, j'avais déneigé le terrain, et tellement j'avais froid aux mains, après j'étais pas très intelligent, j'avais pas pris de gants, mais tellement j'avais froid aux mains, j'arrivais plus à fermer les mains pour mettre mes freins, et du coup je freinais avec mes pieds, et je devais tomber de mon vélo pour freiner, et du coup c'est une petite anecdote que je raconte, j'ai fait ça une fois, je faisais pas ça tout le temps non plus, mais du coup j'avais vraiment cette envie d'être footballeur pro. Et avec le recul, quand je vois un petit peu tout ce que je faisais, j'agissais et encore aujourd'hui, j'agis de la même manière, de manière un peu autistique. C'est-à-dire que je me concentrais sur un seul truc et je ne faisais rien d'autre à côté. Et je ne voyais que ça, je ne faisais que ça. Je pense, mais c'est encore le cas aujourd'hui avec mon activité et mon business. C'est pour ça aussi que ça fonctionne bien, je pense. Je ne pense qu'à ça, je ne développe quasi que ça. Alors certes, je pense à deux, trois petites choses à droite, à gauche. Mais je me concentre vraiment de manière quasi exclusive à ce projet, à ce truc que j'ai en tête. Donc ce qui se passe ensuite c'est que avec mon frère, on se rend compte, enfin moi je veux être footballeur pro et on se rend compte que j'ai pas le niveau. Donc ce que je décide de faire c'est que je me suis dit ok je vais développer une page Instagram autour du foot et je développe cette page. Je prends vraiment plein de temps pour développer cette page, comprendre les stratégies, les trucs. Et au final on arrive à quand même développer cette page. J'ai quand même un petit peu d'abonnés, je développe la page à quelque chose comme 15 000 abonnés. Ce qui est très bien. Je ne gagne pas énormément d'argent parce qu'en plus, je gérais ça n'importe comment. Donc, les abonnés, c'était à moitié des personnes turques qui venaient de Grèce. Il y avait vraiment de tout. Mais par contre, j'ai quelques petits partenariats. J'ai dû gagner des t-shirts et des chaussures, des choses comme ça. Et ce qui me paraissait très bien et surtout ce qui nous donne l'envie d'entreprendre, de créer d'autres choses par la suite. Et du coup, ça, c'est dans notre scolarité. Et en fait, tout à l'heure, je vous disais que j'ai décroché. J'étais de plus en plus sur mes objectifs, que ce soit à travers le foot et toutes ces choses-là. Et autour de moi, on me dit que ça c'est pas bon, on me dit que ça c'est un objectif à côté, que c'est une passion certes. Mais en fait, on me fait prendre conscience que ce qui est important c'est de travailler à l'école sans que je comprenne réellement pourquoi. Et je commence comme ça à tomber dans une perte de sens parce que ce qu'on fait à l'école ça me sert pas du tout. Enfin pour moi je comprends pas du tout en quoi ça va m'aider et pour moi ce que j'ai envie de faire c'est mes projets que j'ai à côté. Et petit à petit je tombe un peu dans cette perte de sens, je tombe vraiment dans ce truc là où je me dis mais... En fait, ça sert à quoi ? Et il arrive plein d'autres problèmes. À l'époque, j'ai eu pas mal d'acné et je prends un médicament qui s'appelle Roaccutane, qui justement est connu. C'était un ancien médicament pour ceux qui ne connaissent pas, qui était censé soigner un cancer de je ne sais plus quoi, qui est connu pour créer un peu de la dépression, de la déprime. Et en fait, je rentre dans une phase où je ne suis pas bien du tout, où je suis totalement déprimé parce que je n'ai pas forcément confiance en moi avec l'acné et tout. plus derrière je suis en perte de sens total parce qu'à chaque fois que je développe un projet, que ce soit les profs ou autres, on me dit que ça ne sert à rien en fait et qu'il faut se concentrer sur quelque chose qui ne fait pas sens pour moi ou je ne vois pas de finalité ou je me dis mais ça sert à quoi quoi ? En fait je continue à aller à l'école parce qu'on me dit va à l'école mais à quoi ça sert ? Et donc je vis cette phase qui est ultra compliquée pour moi à l'époque, qui est vraiment très difficile et je n'en parle pas forcément et ce qui est compliqué c'est que je suis encore assez jeune quand je vis cette phase-là Je ne sais pas trop comment l'aborder. Alors j'en parle, je suis allé voir plein de médecins. Je suis allé voir vraiment beaucoup de médecins. Des médecins, mais en tout genre. Des psys, vraiment de tout. Des hypnothérapeutes, etc. Et en fait, je me rends compte que personne ne me comprend. Et ça m'isole encore plus dans ma bulle. Ça m'isole encore plus dans mon monde. Et je continue à rêver, mais petit à petit, j'y crois plus du tout. Parce que je suis dans un truc où je me sens ultra mal. Et c'est compliqué à décrire cette sensation-là. En fait, c'est comme si on voyait le monde en noir et blanc. C'est comme si autour de nous, tout était noir et blanc. C'est comme si on n'avait plus de sensation. C'est comme si, en fait, quand on mangeait, on n'avait plus de goût. Il n'y avait plus de couleur autour de nous. Et c'est presque, moi, des souvenirs que j'en ai. C'est comme si je le voyais en noir et blanc, comme dans les films un peu tristes. Et c'est le souvenir que je m'en fais. Et en fait, c'est comme si plus rien n'avait de goût, plus rien n'avait de saveur. Même physiquement, quand on mange. Mais... quand on faisait quelque chose, quand on fait quelque chose, on ne ressent rien. C'est vraiment extrêmement perturbant et très déstabilisant. Et en fait, ça a été les montagnes russes comme ça pendant une ou deux années. Et le truc qui m'a un peu sauvé, c'est que là, j'avais vraiment plus de goal, plus de vision. J'étais vraiment perdu. Et du coup, je me retrouve en BTS parce qu'il fallait quand même faire quelque chose. Et là, je rencontre une personne dans mon BTS qui s'appelle Thibaut. et qui a été un associé, j'en parlerai juste après, mais qui me parle de l'entrepreneuriat et de toutes ces choses-là. Et on a une chance ou une malchance, j'en sais rien dans nos BTS, c'est que sur 30 personnes dans la classe, on n'est que 4 garçons. Le reste, c'est que des filles. Donc on pourrait se dire que c'est un peu sympa. Mais le truc, nous, c'est qu'on s'est fait très vite potes avec Thibaut. Et du coup... Très vite, j'ai commencé à avoir les mêmes centres d'intérêt parce qu'on avait tous les deux cette volonté, cette vision de faire des choses grandes, de sortir un petit peu du cadre. On s'est bien rencontrés pour ça. Et moi, je n'avais pas forcément ces projets d'entrepreneuriat ou de tout ce genre de choses. Mais en fait, j'avais toujours cette même vision parce que tout ce que j'avais voulu construire, que ce soit à travers le foot, que ce soit à travers les autres petits business qu'on avait lancés avec Maxence, c'était toujours dans cet état d'esprit de construire quelque chose de grand, de sortir un petit peu des normes. Et ça, ça a beaucoup fait la différence. Et donc, je rencontre Thibaut. Et très vite, on lance un premier projet. On lance une agence où on crée des sites web. On s'occupe un petit peu du marketing et de toutes ces choses-là. Pour des commerçants, ça ne se passe pas bien du tout. Parce qu'en fait, on ne fait pas ce qu'il faut pour que ça se développe bien. Mais en fait, on a un gros coup de bouse du destin. Parce qu'il y a le Covid à cette époque avec le premier confinement. Et là, on se dit, ok, c'est la chance du moment. Moi je me le dis pas comme ça à l'époque, honnêtement, mais avec le recul je me dis putain ça a été vraiment dingue. Parce qu'il y a plein de gens qui ont vu ça comme une catastrophe, et moi je l'ai vraiment vu comme une opportunité sans le voir, et je pense que c'est une des clés aussi. Peu importe ce qui nous arrive dans notre vie, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas la maîtrise. Et ces choses-là, ça sert à rien d'essayer de maîtriser ces choses ou autre, l'idée c'est de voir comment est-ce qu'on peut avancer malgré ces choses, même négatives, qui nous arrivent, parce que, en fait, que ce soit positif ou négatif, c'est juste une façon de voir les choses. Il n'y a pas de positif, il n'y a pas de négatif. C'est juste notre façon de l'interpréter, notre façon de voir le monde qui va transformer cette Ausha en positif, en négatif, en fonction aussi de notre construction, de nos pensées, de toutes ces choses-là. Bref, on crée cette agence qui ne se passe pas très bien. Il y a le Covid qui arrive. Et là, du coup, moi, j'ai pas mal de compétences sur gérer et développer des pages Instagram parce que c'est ce qu'on a fait avec la page de foot. Et après, on a continué à faire ça. Moi, j'ai développé des pages Instagram de Lyon parce que c'est là où je faisais mes études pour les étudiants, pour pas mal de choses. Et donc, il y a des entreprises, il y a des entreprises... entrepreneurs qui nous demandent au fur et à mesure. Et là, on décide d'aider ces entrepreneurs à développer leur page. Enfin, je les gère pour eux. En fait, je fais du community management et je gère leur page. Ça se passe assez bien. Je travaille beaucoup. Et en fait, je sors un petit peu de cet état un petit peu négatif dans lequel je suis, de dépression dans lequel je suis, pour justement me concentrer sur un projet. Et là, je retrouve un projet. Petit à petit, je retrouve goût. Ça me permet aussi de gagner confiance parce qu'à l'époque, quand je lance mon projet, je suis encore assez jeune. je me dis mais attends, moi je ne maîtrise rien. Et en fait, je n'ai pas forcément de confiance. Je me fais un peu plus marcher dessus. Je n'ai pas de confiance. Je ne sais pas vraiment comment développer les choses. Et j'ai toujours été quelqu'un d'assez timide, pas forcément très confiant. Donc, ça ne m'aide pas forcément pour développer mon projet. Et de fil en aiguille, je continue à développer ça. Ça se passe bien. Au bout de 2-3 mois, je gagne quand même 1200-1300 euros par mois à peu près. Dans ces Ausha, je ne me souviens plus exactement. Mais en tout cas, je ne gagne plus de 1000 euros par mois. et donc je peux en vivre et là je me dis putain mais c'est juste dingue quoi et je vois qu'il y a une voie différente de la voie traditionnelle celle qu'on m'avait toujours enseigné et là je pense qu'il y a un déclic qui se crée dans ma tête et notamment lié au foot parce que pour être footballeur professionnel il faut être repéré assez jeune sinon si aujourd'hui je veux me lancer en tant que footballeur professionnel je suis beaucoup trop vieux je suis beaucoup trop vieux j'ai pas le niveau et même si je me mets à fond à fond à fond avec les meilleurs Il y a des gens qui ont déjà 10, 20 ans d'expérience sur moi, donc en fait, ils seront bien meilleurs que moi. Et le truc qui change tout, c'est que je me dis, mais attends, moi, je voulais être footballeur professionnel pour plein de raisons. Et là, dans l'entrepreneuriat, je peux avoir les mêmes gains, je peux gagner les mêmes choses, que ce soit en termes d'argent, que ce soit en termes aussi de notoriété, de reconnaissance et toutes ces choses-là. Mais en fait, même si je suis plus vieux, je peux me lancer et réussir. Et ça, c'est absolument dingue. Il n'y a pas d'âge. Je peux me lancer à 60 ans et réussir, tout comme je peux me lancer à 15 ans et réussir, tout comme je peux me lancer. En fait, c'est juste dingue et il n'y a aucune règle. Parce qu'il y a quand même une course contre la montre quand on veut être sportif professionnel qui se joue ou au bout d'un certain temps, on est juste cuit parce que le corps ne suit plus là avec l'entreprenariat. Il n'y a aucune règle. Je peux me lancer maintenant, faire ça toute ma vie et devenir le meilleur entrepreneur de tous les temps. en fonction de ce qu'on entend par le meilleur entrepreneur, forcément. Et donc, il y a un déclic qui se crée dans ma tête. Et à partir de là, juste, j'ai une vision de dingue, j'ai des idées de dingue, je vis toujours très grand. Et pour moi, ça me paraît logique d'atteindre cette vision. Et il y a une différence, c'est que... Cette vision-là, vous allez le voir, je vais vous en parler juste après, ça m'a toujours paru logique que j'allais atteindre cette vision, même si je ne l'ai pas encore atteint. Je l'ai atteint au fur et à mesure, mais elle grandit au fur et à mesure. Par contre, les objectifs, ça, des fois, j'ai des doutes. J'ai des doutes et je me dis, est-ce qu'on va vraiment l'atteindre ? Forcément, j'ai des peurs, j'ai tout plein de choses qui se créent. Mais je sais que la somme de tous ces objectifs, ça va mener à cette vision. Et si j'échoue sur cet objectif, ce n'est pas si grave parce que j'aurai appris et cet apprentissage, il va me permettre d'aller plus loin et plus rapidement à cette vision. Et donc, je prends conscience de tout ça. Ça me permet derrière de me mettre encore plus à fond. C'est là où je développe d'autres projets, notamment en parallèle des comptes Instagram que je gère. Je développe des propres pages Instagram qui m'appartiennent parce que je me dis, mais attends, mes clients ont des résultats de dingue avec les pages que je développe pour eux. Moi, je n'ai même pas Instagram à l'époque. Alors, j'avais mon compte, mais voilà, je n'ai pas de page. Donc, je vais développer mes propres pages. Donc, ce qui se passe, c'est que je rachète des pages Instagram. Je développe mes propres pages. Je ne me montre pas du tout. Je n'ai pas envie de me montrer. J'ai peur de ce que les gens font penser de moi. et de ce qu'ils vont penser de mon activité et toutes ces choses-là, malgré le fait que mes proches soient plus ou moins au courant, mon frère, mes parents, etc. Et ce qui se passe, c'est que ça avance, ça se passe bien, et là, il se passe une première galère. Ce que je ne vous ai pas dit, c'est que j'avais une personne qui avait une grosse agence qui m'envoyait plein de clients. Elle, j'étais sous-traitant de cette personne-là. Et du jour au lendemain, elle décide de presque plus me payer. Elle me paye à peu près 1200 euros par mois. Elle décide de presque plus me payer. Et là, je lui dis Ah non ! En fait, c'est comme si j'avais une sécurité, c'est comme si j'avais un genre de salariat parce que cette personne, elle me payait tous les mois. J'étais mal payé honnêtement pour le travail que je faisais, j'étais mal payé. Mais là, elle voulait me payer 500 euros par mois. Donc, elle voulait diviser par plus que 2 le salaire qu'elle me proposait, le salaire, la prestation qu'elle me proposait. Et en plus de ça, pour faire plus de travail. Et là, j'ai pris une décision où je me suis dit, il faut que j'arrête de travailler avec elle malgré le fait que ça me faisait peur parce qu'à l'époque, je n'avais pas forcément trouvé des clients. Ils étaient beaucoup venus par recommandation ou autre. Et je me dis, je vais passer à côté de presque la moitié de mon chiffre d'affaires. Et ce qui se passe, c'est que j'arrête de travailler avec lui. Après, lui, il a voulu retravailler avec moi, etc. Et en fait, le mois d'après, je me souviens très bien, c'était en janvier 2021. C'est là où je fais mon premier mois à plus de 10 000 euros de chiffre d'affaires. J'ai fait quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires. En fait, j'ai dû faire 9 400 euros encaissés et j'ai dû facturer un petit peu plus parce qu'il devait y avoir des paiements en plusieurs fois. Et là... je me suis dit mais c'est absolument dingue. Et la leçon que j'ai appris de ça, c'est que j'ai lâché quelque chose, quelque chose qui ne me convenait pas, mais en fait que je gardais par peur, par insécurité, je l'ai lâché. Et directement derrière, j'ai eu plus de résultats. Je ne vais pas dire que c'est l'univers ou autre, ça, peu importe, ce n'est pas la loi de l'attraction et compagnie, mais c'est juste logique et mathématique pour moi. Mais en fait, je suis allé directement ou indirectement, je ne sais pas, peut-être même inconsciemment, vers quelque chose qui me correspondait plus et j'ai eu plus de résultats. Et c'est pour ça que si aujourd'hui vous êtes dans une situation qui ne vous convient pas, mais en fait lâchez cette situation alors de manière intelligente, ça ne peut que vous apporter du plus et quoi qu'il arrive, ça ne peut que vous faire apprendre. Et je pense que j'ai la chance d'avoir aussi cette mentalité où je me dis, même si j'échoue, je m'en fous parce que pour moi c'est quand même positif parce que j'ai appris. Alors qu'il y a certaines personnes, elles échouent, elles mettent des années à s'en remettre, des mois à s'en remettre et forcément pendant ce temps-là, elles ne font rien, elles n'évoluent pas et ça les empêche de réellement avancer selon moi vers leurs objectifs. Du coup, je fais mon premier mois, quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires et du coup, j'ai cet apprentissage. Et là, je décide de développer encore plus mon activité. On développe toutes nos pages Instagram. C'est là où mon frère me rejoint, mon frère jumeau parce qu'avant, il développait un autre projet à côté. On développe toutes nos pages Instagram sur lesquelles on vend des petits trucs à droite à gauche. On fait de l'affiliation. Plus on a nos clients où on gère leurs réseaux sociaux. Et ce qui se passe, c'est qu'on a de plus en plus de monde qui nous demande Mais les gars, comment est-ce que vous avez fait ? Comment est-ce que vous avez développé ? ses comptes, comment est-ce que vous trouvez des clients, parce que ce qu'il faut savoir, c'est qu'on prenait une prestation mensuelle avec l'agence, donc forcément, c'était un tarif plus cher qu'un accompagnement ou autre qu'on a pu créer par la suite, et on ne s'adressait pas à tout le monde, on s'adressait à des personnes qui faisaient déjà du chiffre d'affaires. On s'adressait déjà à des entrepreneurs qui faisaient du chiffre d'affaires et qui étaient un minimum avancé, qui faisaient au moins 4, 5, 6 000 euros de chiffre d'affaires, parce que sinon, ils ne pouvaient pas se payer nos services. Et donc là, on décide de faire un accompagnement un peu plus abordable, Et ce qui se passe, c'est qu'on a des résultats de dingue parce qu'il y a des gens qui nous demandent. On a des résultats de dingue, que ce soit pour nous ou pour nos clients. Et deux mois après, on se donne le défi de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires en 30 jours, donc en août 2021. Et là, on passe ce défi. Franchement, moi, je n'y croyais pas. Honnêtement, je n'y croyais pas. On s'est fixé le défi avec mon associé. Et en fait, je n'osais pas forcément lui dire que je n'y croyais pas. Et j'y allais un peu à reculons. Et on a fini le mois à 127 000 euros, le 24. On n'a même pas attendu la fin du mois. On avait fait 127 000 euros de chiffre d'affaires. C'est dingue. Alors, c'était du chiffre d'affaires facturé. Ce n'était pas encaissé. En gros, il y avait des paiements plusieurs fois. Donc, en gros, avec tout ce qui allait arriver au fur et à mesure, ça allait faire 127 000 euros. Donc, on avait facturé 127 000 euros. Et là, je me dis, waouh, c'est fou, quoi. C'est vraiment dingue. Et en fait, quand je regarde en arrière. Ça faisait peut-être un an et demi, deux ans que je m'étais lancé et j'avais mis huit mois pour faire mon premier mois à 10 000 euros de chiffre d'affaires et huit mois après pour faire mon deuxième mois, enfin mon premier mois à 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et après, on ne l'a pas forcément tenu. Je préfère être transparent, mais parce qu'en fait, on a mal géré derrière. Je vais vous en parler. Mais je me suis rendu compte que tout pouvait aller extrêmement vite. Et il y a un point qui a été très important pour moi, c'est qu'au début, je ne savais pas où j'allais. Parce que quand on se lance dans l'entrepreneuriat, c'est un flou total. Nous, on s'est toujours fait aider. C'est pour ça aussi que ça fait sens d'aider des entrepreneurs et c'est pour ça que ça faisait sens de créer du coup le mentorat, notre accompagnement. Et on a eu une belle première session d'entrepreneurs avec ce premier mois en août où on a fait un super chiffre d'affaires. Mais du coup, on ne savait pas forcément où aller, on ne savait pas forcément quoi faire. Et quand on est dans le brouillard, on ne peut pas avancer sereinement et souvent, on passe beaucoup de temps à faire des choses qui ne servent à rien. Mais si on ne nous dit pas ce qu'on doit faire, on va juste foncer dans le mur. Et moi, un truc que j'avais fait, c'est que j'avais découvert les effets cumulés. Je m'étais dit si j'avance de 1% par jour, en fait, ça va faire une courbe exponentielle. J'avais découvert ça avec les investissements, etc. Ça va faire une courbe exponentielle et je vais être 37 500 fois meilleur à la fin de l'année. Vous pouvez faire, prenez une calculatrice, vous faites une courbe, vous prenez une courbe des effets cumulés. Vous voyez au début, c'est tout plat et après, ça explose. Et c'était exactement ça. Et je me suis dit, mais si je me tiens à cette courbe, en fait, si chaque jour, je cherche à regarder ce que j'ai fait, regarder ce que j'aurais pu mieux faire, ce que j'aurais pu améliorer, etc. je vais avoir cette croissance qui est exponentielle. Et en fait, c'est regarder aussi quel est le plus rapide et quel est le plus efficace, qu'est-ce qui va me faire aller le plus vite. Et pour moi, ce qui allait me faire aller le plus vite, c'est me faire aider, ne pas hésiter à investir dans mon activité, toutes ces choses-là. Donc, ce n'est pas juste regarder nous ce qu'on fait, c'est vraiment aller au plus vite, prendre les meilleures décisions et les décisions les plus cohérentes avec son activité. Donc, ça m'a énormément aidé. Là, on en arrive là, moi, je me dis waouh, c'est juste dingue. En parallèle, en plus, je commence à voyager un peu. 2022, c'est l'année où je voyage beaucoup. Je voyage dans une douzaine de pays en Europe. Je n'ai voyagé qu'en Europe cette année. Après, je suis allé un peu en Afrique du Nord. Mais en fait, il se passe plein de choses. Ça se passe très bien. 2022, il y a quand même une stagnation au niveau business. C'est là où on commence à recruter, mais on fait plein d'erreurs. On commence à recruter plus de monde. On veut un peu scaler l'activité, c'est-à-dire qu'on veut la développer plus rapidement. On veut commencer à aller chercher un plus gros niveau de client, de chiffre d'affaires et surtout tenir le chiffre d'affaires qu'on avait fait. Sur ce mois d'août 2021, on paye plein de gens qui font plein de trucs qui ne servent à rien parce qu'en fait, on ne le maîtrise pas forcément et on se décharge plus des tâches que réellement recruter. Et ça, c'est une erreur qu'on a fait. C'est OK, est-ce qu'on recrute parce qu'on n'a plus le temps et parce que ce n'est pas la tâche qui a la meilleure valeur ajoutée pour nous aujourd'hui ou est-ce qu'on recrute parce qu'en fait, on veut se décharger du truc ? Et nous, on voulait plus se décharger et on n'avait pas suffisamment bien structuré et on n'avait pas suffisamment fait attention aussi au cash qu'on avait pour bien tout structurer en fonction du chiffre d'affaires qu'on faisait. Donc on paye plein de gens trop cher qui servent à rien. Ce qui se passe, c'est que ça évolue pas tellement, mais on commence à structurer un peu la boîte, etc. Et par contre, 2023, on fait un excellent début d'année, on commence à très bien structurer toute l'équipe, toute la boîte. Par contre, après, il y a un plateau. Au bout de mars 2023, il y a un plateau, il se passe plus rien, ça stagne. Et pourquoi ça stagne ? Enfin, ça régresse même par rapport au début d'année qu'on avait fait, parce qu'on est trois associés, donc ça n'a pas bougé. Thibaut, Maxence, mon frère jumeau, donc Thibaut, mon ami de BTS. Et moi-même, on se rend compte qu'on est totalement désaligné au niveau de la vision. Thibaut veut aller à un endroit, moi je veux aller à un autre endroit, et Maxence veut aller à un autre endroit. Et ce qui se passe, c'est qu'on a deux visions assez différentes avec Thibaut, et là il y a un écart qui se crée. Et en fait, cet écart qui se crée, ça crée du flou. Donc ça nous fait aller de partout. On va vers des trucs qui nous rapportent du cash à court terme, mais qui ne servent à rien, et qui nous empêchent de structurer vraiment de manière solide. Thibaut est plus forcément animé, donc il est plus forcément dedans. Moi, ce que je me dis, c'est Ok, je reprends la main sur toute la boîte et je gère moi tout. Sauf qu'en fait, je me rends compte que je ne peux pas tout gérer, qu'il y a plein de trucs. Enfin, ça ne se passe pas très très bien sur cette fin d'année 2023. Et pour vous faire très simple, nous, avec Maxence, de ce que je perçois, et peut-être que Thibaut a une autre vision des choses, mais nous, on a plutôt envie de créer un gros truc, de beaucoup réinvestir dans la boîte, là où Thibaut a plutôt envie de profiter et de se verser un gros salaire. Et en fait, moi, je ne suis pas du tout sur cette optique-là. Moi, je m'en fous. Enfin, je ne dépense quasi rien en perso. Et je m'en fous de me verser un gros salaire. Et je me dis, mais on peut faire décoller la boîte encore plus loin. Autant réinvestir, etc. Et lui, je pense qu'il a atteint un stade où il en a eu marre, où il était moins sur l'aspect business et plus sur l'aspect perso, enfin, avec sa copine, etc. Il avait une copine, etc. Donc, ce qui se passe, c'est que ça commence à créer pas de la friction parce que ça s'est toujours bien passé. Mais en fait, ça commence à créer un flou et ça part totalement en vrille. On fait quand même du chiffre, ça se passe assez bien. Mais en fait, on fait très peu de chiffres par rapport Ausha et par rapport à tout ce qu'on doit faire. Et du coup, début d'année 2024, Thibaut nous annonce qu'il arrête, qu'il veut stopper. On l'avait un peu senti, mais... Le truc qu'on a mal fait, c'est qu'on aurait dû en parler avant. Personne n'en avait réellement parlé. En fait, ça se passait un peu mal. Une association, c'est encore pire qu'un couple. Et au début, ça peut très bien se passer avec vos associés. Mais plus on avance dans la boîte, plus ça risque d'être compliqué. Donc, ça se passe un petit peu mal. Et après, ils décident d'arrêter. Donc là, c'est good pour tout le monde sur ce début d'année, donc 2024. Et l'autre truc qui se passe, c'est qu'on commence à créer d'autres projets sur ce début d'année aussi. Donc, Thibaut Arrête. la boîte pour toutes les raisons que je vous ai évoquées. Nous, on lui rachète ses parts. Comment ça se passe ? Juste, on lui rachète ses parts. Il a 33% du mentorat. Nous, on lui rachète ses 33%. Donc maintenant, on a 50-50 avec Maxence, donc avec mon frère. Il n'y a pas d'autres associés. Et ce qui se passe, c'est qu'on commence... Nous, on a une vision... On a à peu près la même vision. Je vous en parlerai avec Maxence après. Mais on commence à se dire, OK, nos clients, ils ont des problématiques. En fait, l'accompagnement... résout certaines problématiques, mais il y a certaines problématiques qui restent, par exemple, ça prend du temps à programmer sur Insta, à poster sur Insta, à trouver les idées de contenu et tout ça. Est-ce qu'on ne pourrait pas développer un logiciel pour ça ? Et c'est comme ça qu'on a commencé à développer tout l'écosystème début 2024. Pour ça, on s'est associés, on a développé un logiciel qui s'appelle CréaPro, qu'on a développé au fur et à mesure et qui était pour nous aussi un gros défi et qui est toujours un gros défi parce que c'est un business qui est assez différent de ce qu'on a l'habitude de développer. Un logiciel, c'est différent d'une boîte de service. Il y a besoin d'avoir plus de clients. Vu que c'est un abonnement, les clients peuvent partir, revenir à tout moment. Enfin, il faut gérer ça, faire en sorte que le logiciel devienne indispensable pour que les clients aient envie de s'en servir et envie de rester. Et c'est pas mal de problématiques. Mais en fait, c'était aussi un peu l'avènement de l'IA et le début dont on a parlé de l'IA et toutes ces choses-là. Et on s'est dit, on va créer un logiciel comme un community manager IA. On pourrait le résumer comme ça pour les personnes qui n'ont pas le budget de prendre un community manager ou pas forcément l'envie. Et pour nous, c'est super parce que ça nous permettra justement d'aider un maximum nos clients et d'aider même des personnes qui ne sont pas encore clients et qui pourraient même devenir clients du mentorat par la suite. Pourquoi pas ? Donc, on développe ce logiciel. Un truc qui est ultra important, c'est qu'on s'entoure très bien dès le début. On est quatre associés. On a un développeur, une personne qui gère toute la partie affiliation et Maxence et moi-même. Et je pense que ça, c'est l'un des gros conseils qu'on a appris aussi. C'est de bien s'entourer. Alors là, avec des associés, mais aussi avec des équipes. parce que pareil, on a fait plein d'erreurs sur fin d'année 2023 et 2023 en recrutant plein de gens qui ne servaient à rien et en plus qui n'étaient pas bons. Donc nous, ce qu'on fait, c'est qu'on développe ce logiciel et là, on se rend compte de tout l'écosystème qu'on peut créer et surtout, on se rend compte de tout ce qu'on peut structurer autour de nous. Au niveau du mentorat, ça se passe très bien. C'est là où on a l'une des plus grosses croissances. On fait entre 100 et 150 000 euros de chiffre d'affaires par mois facturé, ce qui est très bien, franchement, ce qui est très, très bien. Là, l'idée, ça serait de doubler, mais je vais en parler pour l'année à venir, 2025. Et on s'est dit, mais comment est-ce qu'on peut faire bouger les choses autour de nous ? Parce qu'on a des clients, justement, on avait développé ce logiciel qui est vraiment excellent. Enfin, je vous invite vraiment à aller voir créapro.fr. Et derrière, il y a des clients qui, eux, avaient envie de déléguer, qui n'avaient pas envie de s'occuper parce que le logiciel ne crée pas le contenu. On n'a pas encore la technologie. Peut-être que ça arrivera à l'heure où vous écoutez ce podcast, mais on n'a pas encore la technologie pour structurer, pour créer le contenu de manière intelligente. On pourrait le faire, mais le but, c'est de créer du contenu qui apporte du résultat. sur les différents réseaux sociaux que nos clients souhaitent développer. Donc là, ça donne toute la stratégie de contenu, les idées, les scripts, ça fait les légendes, les hashtags, ça vous dit comment tourner vos contenus, quoi faire, des guides, des templates. Enfin, ça fait 80% du travail, mais il vous reste à produire le contenu. À produire ou à faire, mais sachant que vous avez des guides, des templates, des choses déjà adaptées pour vous permettre de le faire au mieux. Et certains, du coup, voulaient totalement déléguer, à la fois la partie publicité en ligne, qui est juste dingue si vous savez bien vous en servir, et à la fois la partie réseaux sociaux. Donc, on décide de relancer l'agence. avec une autre associée aussi, qui est une ancienne cliente, Cynthia. On décide de relancer l'agence. où on s'occupe de tout. En fait, on est un pôle marketing et communication directement intégré chez nos clients, même des petites boîtes. Et du coup, le but, c'est de les aider à faire exploser leurs chiffres d'affaires. Et en plus de ça, il nous manque une dernière chose. C'est un lieu où nos clients peuvent tourner leur contenu, que ce soit les clients de l'accompagnement, du mentorat, que ce soit les clients de CréaPro ou même de l'agence. Et donc, on a ouvert une salle de tournage directement sur Lyon. Donc, on a créé tout cet écosystème. Et cet écosystème, il est beaucoup lié. aux objectifs et à la vision qu'on a sur les années à venir. Pour en venir aux objectifs sur cette année 2025, je ne sais pas, quand vous allez écouter ce podcast, peut-être que j'en ferai un sur 2026 pour les objectifs, voir si on les a atteints. L'idée de toute façon, c'est qu'on va faire un podcast par semaine. Je pense que je vais poster un podcast par semaine tous les dimanches. Donc, n'hésitez pas à vous abonner. Je ne sais même pas comment on s'abonne sur les podcasts. Sinon, ce que je ferai, c'est que je ferai un groupe WhatsApp sur lequel je partagerai tous mes podcasts. Vous, ça vous permettra... du coup de suivre un petit peu l'avancée, suivre un petit peu l'épopée. Et j'en ferai un petit peu sur tout et n'importe quoi. Ou en tout cas, toutes les leçons, tous les apprentissages. Et le but, c'est que je vous partage tout un petit peu comme, encore une fois, mon journal intime ou mon journal d'entrepreneur, mon carnet d'entrepreneur. Donc, les objectifs pour cette année. On prévoit de faire 2 millions d'euros avec le mentorat. On prévoit de faire plus de 500 000 euros, donc dépasser le demi-million d'euros avec l'agence. Et on fixe toujours en termes de chiffre d'affaires. C'est ce qui fait le plus sens et c'est ce qui... est le plus cohérent pour voir si on a atteint ou pas notre objectif, donc je vous invite à toujours faire ça. Et l'autre chose, avec CréaPro, c'est un petit peu plus flou pour le moment parce que le projet est assez différent de ce qu'on a eu l'habitude de développer, donc l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs. Là on est à peu près 150 utilisateurs mensuels, donc ça fonctionne bien, l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs parce que le logiciel est absolument dingue et l'idée après c'est d'aller vers les 10 000 utilisateurs dans un troisième temps. Et l'autre truc, c'est la salle de tournage. Ça, ça ne va pas nous rapporter énormément. On n'a pas pour le moment pour projet de le développer à fond. Ça va peut-être nous rapporter 20 000 euros sur l'année, ce qui n'est pas trop mal pour un truc qui ne nous demande pas de temps, quasi aucun temps pour s'en occuper. Mais le but de la salle de tournage, c'est plutôt de générer des leads pour l'agence ou pour l'accompagnement ou pour créer un pro. C'est-à-dire que le but de la salle de tournage, c'est de faire de la pub pour faire découvrir la salle de tournage. Et quand ils viennent dans la salle de tournage, leur parler de ce qu'on fait à côté et pouvoir les transformer en clients. C'est à peu près ça l'objectif pour vous faire... Pour vous faire simple, ces objectifs-là, ils rentrent plus généralement dans une vision globale d'écosystème. Et après, je vous parlerai de tout ce qu'on a prévu de mettre en place pour atteindre ces objectifs. Mais il faut comprendre cette vision d'écosystème où en fait, on veut vraiment être l'outil, les clés, les ressources pour aider des personnes qui ont envie d'atteindre un objectif à l'atteindre ou à développer leur projet. Ça peut très bien être des musiciens qui ont envie d'être plus visibles ou des coachs qui ont envie d'obtenir plus de clients ou des entreprises, des entrepreneurs. qui veulent développer leur activité. L'idée, c'est de faire en sorte qu'ils aient tous les outils, toutes les ressources, la communauté, tout ce dont ils ont besoin pour réussir. Et c'est pour ça qu'on a commencé à développer cet écosystème. Au début, on a, s'ils ont besoin d'être aidés, et tout le monde a besoin d'être aidé dans son activité, on a le mentorat pour pouvoir les accompagner, pour pouvoir les aider. Ensuite, du coup, ils ont besoin de gagner du temps sur leurs réseaux sociaux. Donc là, on a l'outil CréaPro qui vient en complément du mentorat. Peut-être qu'au bout d'un moment, ils ont suffisamment de chiffre d'affaires, ils en ont marre de le faire eux-mêmes et ils ont envie de le déléguer. Donc là, on a l'agence qui rentre en compte. sauf qu'ils n'ont pas de lieu pour tourner leur contenu. Donc, derrière, ils peuvent venir directement tourner leur contenu. Et le but, c'est d'intégrer tout ça, tous ceux dont nos clients pourraient avoir besoin, pour à la fois des clients de CréaPro, on fait de l'acquisition directement sur CréaPro, donc des personnes qui viennent sur CréaPro peuvent devenir clients du Mentora par la suite, ou au contraire, des personnes qui viennent sur la salle de tournage peuvent devenir clients de l'agence par la suite. Et en fait, le tout s'envoie des clients les uns les autres, et on a tout cet écosystème qui est quand même super intéressant. Pour vous prendre un petit peu un exemple, C'est comme si j'avais un restaurant et dans ce restaurant, je me fournissais à un agriculteur qui vendait des pommes de terre. Et cet agriculteur-là, il avait des prix un petit peu élevés. Et à la place d'acheter ses pommes de terre, je me dirais, je vais ouvrir mon propre champ de pommes de terre. Comme ça, je vais maîtriser à la fois les pommes de terre, mais à la fois le restaurant. Et du coup, je vais vendre des pommes de terre d'un côté. Donc tous ceux qui viennent acheter des pommes de terre, je peux leur parler du restaurant. Donc à terme, je pourrais les convertir sur le restaurant. Mais en plus, je m'achète à moi-même mes pommes de terre, donc elles sont moins chères et c'est plus intéressant. Et tous ceux qui viennent au restaurant, je peux leur dire, écoute, je vends des pommes de terre à côté. Et du coup, j'ai tout l'écosystème comme ça. Et c'est ce qu'on est en train de réfléchir à créer, ce qu'on a commencé à créer et ce qu'on est en train de développer plutôt. Et donc, pour développer tout ça, il y a différents axes qui vont être à prendre en compte pour faire en sorte de bien développer notre activité et d'atteindre ses objectifs. Le premier, c'est de structurer une bonne équipe. Une équipe solide et je pense que travailler avec les bonnes personnes, ça c'est le point le plus important. Là on commence à être plus d'une petite vingtaine dans l'équipe, donc ça se développe quand même bien. Mais pour atteindre des objectifs, on devrait être encore plus, donc développer une équipe solide, avoir des personnes impliquées solides et avoir les meilleures personnes à chacun des postes pour atteindre cette vision-là. Ça, c'est la première étape. La deuxième étape, du coup, ça va être de développer toute la partie organique qui, pour moi, est ultra importante, d'autant plus dans les années à venir parce qu'on le voit notamment avec ChatGPT et tout ça et tous les outils d'intelligence artificielle qui arrivent. Ce qui se passe, c'est que vous pouvez être concurrencé à n'importe quel moment et je pense que peu importe votre activité, à un moment, vous allez être concurrencé ou pas par un robot ou par un outil d'intelligence artificielle. Et pour moi, le seul truc qui va réellement rester, c'est justement le lien qu'on va réussir à créer avec les autres êtres humains. Donc la communauté et la proximité qu'on va réussir à créer avec cette communauté. C'est aussi pour ça que je crée ce podcast, parce que pour moi la communauté c'est l'un des trucs les plus puissants. Et on le voit notamment avec même des youtubeurs qui ont une grosse communauté. Quand je vois à l'international MrBeast avec la série qu'il a sortie là sur Prime Vidéo, ou quand je vois même en France Inox Tag qui a monté l'Everest et qui a sorti un manga si je ne me trompe pas derrière. Le manga il a été top 1 des ventes très rapidement, alors qu'en fait il n'a aucune expérience dans le manga. Et avec leur communauté, ils peuvent vendre de tout et n'importe quoi. Et je me dis, aujourd'hui, si on développe une communauté et qu'on a en plus le sens business, parce qu'eux, ils ne s'en servent pas pour lancer leur propre business. Je pense qu'ils gagnent suffisamment. Ce qui les intéresse, c'est de créer du contenu. Mais si nous, on a cette logique business derrière, mais on peut faire des dingueries. Des dingueries que ce soit au niveau business, mais que ce soit pour aider des personnes. Il y a tellement de choses à faire. C'est absolument dingue. Donc, développer à fond la communauté, que ce soit à travers YouTube, à travers pas mal de projets. qu'on a et je pourrais faire un podcast sur c'est quoi ma stratégie de contenu concrète parce que j'ai une stratégie bien précise avec tous les canaux de communication qu'on utilise aujourd'hui chez le mentorat, ceux qui sont importants ou pas et du coup ça c'est le deuxième plan et le troisième plan ça va être de développer les compétences, de se focaliser sur faire et s'occuper des tâches essentielles et moi un truc que j'aime bien dire c'est si je ne suis pas encore au résultat que je veux, c'est que je ne suis pas la personne je ne suis pas encore la personne que j'ai besoin d'être pour être à ce résultat là Donc j'ai besoin de devenir le Matisse entrepreneur qui sait comment générer X millions d'euros de chiffre d'affaires. Donc là ça serait faire avec toutes les boîtes cumulées un peu plus de 2 millions, 3 millions d'euros plutôt, un peu plus de 3 millions d'euros sur cette année 2025. Donc est-ce que je suis le Matisse qui sait générer 3 millions ? Pour le moment pas forcément. Peut-être que c'est juste une question de temps et de structure mais du coup j'ai besoin de changer mon identité, changer ma façon de voir et de faire les choses pour passer un step aussi dans mon activité. Et ça, ça va faire absolument... toute la différence. Donc, d'où ce que je disais aussi au début de ce podcast, forcément, je pense qu'il y a des choses à lâcher, un petit peu comme quand j'ai lâché la personne qui ne me payait plus trop, la personne que j'avais en sous-traitance, enfin, qui me sous-traitait des clients en 2020, ouais, 2020, et où j'ai eu cette première leçon et ce premier déclic, qu'est-ce que je vais devoir lâcher ? Quelle croyance je vais devoir abandonner ? Et je pense avoir la piste, l'idée pour moi, c'est de me focaliser sur faire moins de choses, de manière opérationnelle. mieux déléguer parce que là, je fais encore plein de petites tâches à droite à gauche. Sauf que si cette tâche, je peux la déléguer pour 20 euros de l'heure, en fait, je peux me concentrer sur faire des trucs plus intéressants, plus importants et donc, je peux aller aussi beaucoup plus vite dans mon activité. Donc, voilà un petit peu la manière dont je prévois d'atteindre cet objectif. Et la dernière chose, c'est quoi la vision derrière ? Et c'est quoi ce que j'ai envie de construire à travers toutes ces choses-là ? Alors, comme je l'ai dit, Le but, c'est vraiment de faire un écosystème et de jouer à fond sur l'effet de levier. L'effet de levier, moi, je le vois de telle sorte parce que j'ai un premier projet qui peut envoyer des clients vers un autre projet. Et en fait, chaque projet se sert les uns les autres. Et quand j'ai décidé de relancer l'agence, là, on a relancé l'agence il y a quelques mois pour gérer directement parce qu'on avait pas mal de demandes. On a quand même pris quelques demandes, mais on le faisait vraiment de manière ultra ponctuelle et vraiment, on refusait beaucoup de clients sur l'année 2023, du coup, où on faisait de la gestion. direct pour eux, que ce soit au niveau de leurs réseaux sociaux ou au niveau de leur publicité. Et du coup, nous, quand on a décidé de relancer l'agence, au début, je l'ai relancée pour moi, l'agence. Et je me suis dit, ok, on a besoin de quelqu'un qui gère nos publicités, parce que moi, j'en ai marre de m'en occuper. Donc, et on a besoin de quelqu'un qui gère l'organique, donc tout ce qui est réseaux sociaux, parce qu'on a envie de mettre un gros coup de boost, en plus de ce qu'on faisait déjà, parce qu'on avait déjà une personne. On a envie de mieux structurer ça. Donc, ce qu'on va faire, c'est qu'on va créer une agence. Cette agence, elle va gérer du coup directement nos réseaux, nos publicités, mais en plus de ça, elle va gérer les réseaux et les publicités d'autres clients. Comme ça, l'agence va se développer. Moi, ça va me permettre de gagner de l'argent et elle, l'agence, elle va aussi gagner de l'argent directement et en fait, elle va être autofinancée. C'est un petit peu que si je reprends mon exemple, le restaurant avec le champ de patates, c'est comme si je me disais, ok, à la place d'acheter mes patates, j'achetais le champ de patates, comme ça, il m'appartient. Le champ de patates, il me permet de gagner de l'argent parce que je vends les patates, mais à côté de ça, il me permet aussi... d'avoir les patates moins chères et de renvoyer des clients directement vers mon restaurant et mon restaurant peut renvoyer des clients vers le champ de patates ce qui est un petit peu l'objectif de tout l'écosystème. Donc le but c'est de créer un maximum d'effets de levier et je pense que là on a un bon écosystème, il y a un seul truc qui manque c'est un aspect coworking parce qu'on a aussi un coworking sur Lyon, je fais très simple. En gros, on a loué des bureaux qui sont beaucoup trop grands, qui font quasi 200 mètres carrés, donc qui sont beaucoup trop grands pour ce qu'on en fait, parce qu'on est à travailler dans tous les coins de la France dans l'équipe, voire dans le monde parce qu'il y a des personnes qui travaillent en dehors de la France. Et on s'est dit, bah ouais, là, ces bureaux, on a quasi 200 mètres carrés pour être trois à travailler dedans, ça sert à rien, donc on va les soulouer. Donc on va faire un genre de co-working. C'était notre projet de base, on voulait faire un co-working. Et du coup, on est, Maëlys, qui est la copine de Maxence et notre assistante. Maxence qui est mon frère jumeau et moi-même à travailler dedans et une autre personne du coup qui s'occupe de la communication maintenant qui est directement dans les bureaux mais on s'est dit ok, ce qu'on va faire c'est qu'on va faire un genre de coworking, c'est ce qu'on a fait c'est ce qui fonctionne très bien et du coup on n'a pas plus de place mais l'idée ça serait à terme ouvrir comme ça des coworking des salles de réunion de partout en France et créer un vrai écosystème où si on veut, on ne sait pas comment développer son activité, on a une aide avec le mentorat Nous, on peut aider nos clients à développer leur activité. Derrière, on est seul chez soi. On a des co-working de partout en France. On ne sait pas où tourner son contenu. On a des salles de tournage de partout en France. On n'arrive pas à trouver des bonnes idées. On a marre de publier son contenu. On a notre logiciel qui permet de quasi tout faire à la place de la personne. On veut externaliser ça et plus gérer. On a l'agence qui permet de gérer à la place de la personne. Et là, on aurait un écosystème ultra complet qui nous permettrait justement d'exploser tous les scores. Donc, le but, c'est de développer cet écosystème. La partie coworking, mais de manière très restreinte, on a une dizaine de personnes sur Lyon dans nos bureaux. Donc le but, ce serait vraiment de développer ça à fond, d'aller chercher un maximum de résultats et surtout de faire en sorte d'avoir le plus gros écosystème possible pour vous aider. Ça reste quand même la motivation principale pour vous aider à développer votre activité au mieux. Et c'est ce qu'on est en train de développer et c'est ce que je vais vous partager à travers ce podcast. Étant donné que là, les projets sur lesquels on met un focus, c'est certes le mentorat, créa pro l'agence aussi le studio de tournage on veut pas forcément beaucoup le développer par la suite parce qu'en fait c'est pas ce qui va nous rapporter le plus on en a conscience et parce qu'on est très peu cher par rapport à la concurrence on est entre 60 et 100 euros 60 la demi journée 100 euros la journée donc en fait on peut pas gagner énormément d'argent par contre ça nous permet d'avoir des leads assez intéressant et des personnes assez intéressante donc on s'est dit est ce que on en ouvrirait pas plus et donc peut-être qu'on le développera au fur et à mesure, mais peut-être qu'on prendra un associé qui le développe avec nous, donc si ça vous intéresse, vous pouvez nous envoyer un petit message. On va voir comment on le structure, mais là, la principale chose qu'on souhaite développer, c'est le mentorat CréaPro avec l'agence, et après, pourquoi pas développer toute la partie coworking et développer la partie salle de tournage, studio de podcast, studio de tournage, mais comme je l'ai dit, un point clé pour moi, c'est de bien s'entourer. Pour le moment, on n'a pas forcément l'équipe, la structure et le but, c'est aussi, comme je l'ai dit, d'aller vers les tâches qui rapportent le plus parce que quand on a de l'argent, on peut déléguer, structurer et du coup, on peut aller plus vite. Donc, le but, c'est d'aller vers ce qui rapporte le plus, plus vite pour développer et grossir plus vite. Donc, on le développera et on continuera à le faire évoluer au fur et à mesure. D'autant plus que ce qui est intéressant, c'est qu'après, avec tout ce qui est co-working et ça de tournage, on peut acheter les murs et du coup, ça nous crée du patrimoine immobilier. Sachant que je ne l'ai pas dit, mais on est en train aussi d'investir en immobilier. C'est le gros avantage d'avoir sa boîte en France, même si on paye beaucoup d'impôts. derrière on peut lever pas mal de crédit donc ça nous permet d'avoir pas mal de patrimoine qui s'autofinance si on gère bien avec de l'investissement locatif ou autre et c'est ce qu'on est en train de faire mais bon c'est un truc annexe quoi c'est mon frère qui gère moi honnêtement je me je veux faire du crédit pour faire du patrimoine parce que c'est dommage de pas aller au max de sa capacité d'endettement surtout si on peut emprunter parce que c'est comme si on avait de l'argent qui dormait qui ne servait à rien alors qu'il pourrait servir mais c'est pas ma passion pour le moment de faire ça, ça s'inscrit dans une stratégie business, mais du coup c'est plutôt mon frère qui gère à ce niveau là. Donc l'idée, en termes d'objectifs, je parle toujours en termes de chiffre d'affaires, parce que pour moi c'est le plus simple et on a défini à la fin de l'année ou à la fin de la période de temps qu'on s'est donné, si oui ou non on a atteint cet objectif. Pour moi ça serait d'aller chercher 10 millions par an sous deux à trois ans, on le fera pas en 2025, trop tôt on va se cramer les ailes, ça pourrait si on fait des levées de fonds autres, mais on fera pas et je... Enfin, c'est trop tôt. On a besoin d'être suffisamment structuré. Mais du coup, là, l'idée, c'est simplement en développant l'écosystème. Et après, ce serait encore de faire x10. Donc là, je n'ai pas de période de temps, mais j'ai la vision. Donc, aller chercher 100 millions par an. Par contre, là, l'idée, ce serait de créer un écosystème, racheter des boîtes complémentaires à nous. Donc, en fait, absorber des concurrents directement, racheter des outils. Imaginons que nos clients ont besoin d'un CRM ou d'un logiciel pour leur facturation. Ou même d'un comptable. Allez, on va prendre l'exemple d'un comptable. On sait que nos clients, au bout d'un moment, ils sont souvent en micro quand ils débutent et ils ont besoin de passer en société parce qu'ils ont du résultat. Donc, nous, ce qu'on pourrait prévoir de faire, c'est racheter un comptable. Alors, c'est un peu plus complexe parce qu'on a besoin d'avoir un expert comptable dans la boîte, etc. Et du coup, intégrer directement la comptabilité de tous nos clients. Donc, faire de l'acquisition sur la compta. Et tous les clients de la compta qui n'ont pas assez de chiffre d'affaires, on leur dit, tiens, fais-toi aider. Du coup, fais-toi aider par notre propre boîte et comme ça, continue à développer l'écosystème. Donc, ça serait racheter des boîtes. qui ont déjà un actif et déjà du chiffre d'affaires, ça évite de partir de zéro et ça évite de tout construire. Donc ça, ça serait surtout la vision qu'on aurait envie de créer. Et du coup, ça serait de construire cette vision, racheter plus de boîtes pour grossir et aller chercher une belle valo et surtout un très beau chiffre d'affaires. L'autre point qui est assez important, sur lequel on ne s'est jamais vraiment posé la question pour être transparent, c'est est-ce que... Pour atteindre cette vision, on pourrait l'atteindre beaucoup plus vite si on fait des levées de fonds, des choses comme ça. On a des concurrents qui ont fait des levées de fonds, c'est-à-dire qu'il y a des investisseurs qui prêtent de l'argent contre une partie de la boîte. Je pense qu'on pourrait lever beaucoup, plusieurs millions assez facilement aujourd'hui au vu des chiffres et de ce qu'on fait et de la vision qu'on pourrait avoir. Mais je ne pense pas, enfin, ce n'est pas ce qui nous intéresse pour le moment parce que du coup, là, on est 100% maître de notre activité. On détient 100% de l'activité avec mon frère et avec les autres associés parce qu'on a plusieurs boîtes, encore une fois, comme je l'ai répété. Donc avec des associés différents à chaque fois, notamment sur l'agence et sur Créapro. Donc ça, c'est une réflexion qu'on a ou qu'on pourra avoir, qu'on n'a pas forcément tout de suite. Et l'autre point à prendre en compte aussi, c'est que je fixe mes objectifs beaucoup en termes de chiffre d'affaires. Mais en fait, je m'en fous de l'argent pour l'argent. Et je pense que c'est important, mais je ferai un podcast sur ça, de comprendre pourquoi est-ce qu'on se fixe ces objectifs et pourquoi ces objectifs, ils sont importants pour nous. Parce que faire de l'argent pour devenir de faire de l'argent, je m'en fous. Et de manière personnelle. Je ne dépense pas énormément. J'ai mon appartement à Lyon 6, qui est quand même un bon quartier de Lyon pour ceux qui connaissent, mais qui est surtout à côté des bureaux, ce qui est l'objectif. Moi, je ne voulais pas être trop loin des bureaux. Ça me met 4 minutes en trottinette le matin. Et puis voilà. Mais je ne vais pas faire de l'argent pour faire de l'argent. Et certes, c'est un facilitateur au niveau de son train de vie et ça nous permet aussi d'éviter certains problèmes du quotidien. mais je suis pas attiré uniquement par ça je pense que je suis plus attiré par l'aventure par tout ce que ça peut créer et surtout par l'impact qu'on peut avoir parce que je vois l'argent un petit peu comme un comme des personnages qu'on va venir faire travailler si j'ai un euro je vais réinvestir dans ma boîte c'est comme un petit personnage que je vais faire travailler qui va me rapporter d'autres euros etc etc et c'est un petit peu comme un jeu je vais pouvoir grossir ça au fur et à mesure et où je vais pouvoir gagner de plus en plus au fur et à mesure et là ça va me permettre de créer beaucoup plus de valeur Et ça va me permettre surtout d'avoir un impact beaucoup plus positif. Parce que c'est ça qui est bien avec l'entrepreneuriat. C'est pour moi le truc qui vous permet d'avoir le plus d'impact sur la vie des gens, que ce soit positif ou négatif. Mais c'est l'un des points qui peut vous permettre de plus changer le monde à votre façon ou de créer le monde idéal ou en tout cas la vision idéale que vous avez du monde. Et ça, c'est quelque chose quand même assez dingue. Donc, ça serait l'idée à travers toutes ces activités. Et je pense qu'après, il y a d'autres choses. qu'on développera et je pense que ça ira aussi beaucoup plus loin, mais ça serait l'objectif là déjà à travers tout ce qu'on veut créer. Donc voilà un petit peu pour ma vie, ma vision, mes objectifs, ce que j'ai envie de construire, les raisons de ce podcast aussi. N'hésitez pas à me dire si ça vous a plu, ceux qui ont écouté ce podcast. Franchement, c'est tout nouveau pour moi et je parlerai aussi de toutes ces choses-là, mais c'est une compétence que je dois apprendre. Là, j'ai tourné ce podcast avec mon micro, j'ai quand même vérifié, comme je vous le disais, le son, mais sans plus. C'est tout nouveau pour moi. Mon but, pour moi, c'est d'être le plus transparent, le plus naturel possible. Pas que ça soit une prise de tête aussi à tourner et avoir quelque chose d'assez sympa et d'assez naturel. Et de vous partager surtout un maximum ma vie, mes apprentissages, mes leçons. Et que ça puisse vous inspirer, que ça puisse vous aider à développer votre activité. Donc, je vous souhaite une très belle journée. J'espère que le podcast vous a plu. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Mathis Pupo sur Instagram. Et en attendant, je vous souhaite une très belle journée. Ciao tout le monde !

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Dans cet épisode, on va voir :
• Toute mon histoire : d’où je viens, comment j’ai commencé et ce qui m’a mené ici
• Les objectifs et la mission derrière ce podcast
• Comment on prévoit d’atteindre 2 à 3 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année
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Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous, bienvenue dans ce podcast, bienvenue dans ma tête et bienvenue dans mon carnet d'entrepreneurs. Je suis super content de vous retrouver aujourd'hui. Ça fait quelques années que je réfléchis à faire un podcast. Je commençais à y réfléchir en 2020-2021 et je n'ai jamais osé créer mon podcast. Alors, j'avais fait un épisode en 2020, si je ne me trompe pas, ou en 2021. Et au final, je m'étais arrêté là. Et là, je lance. officiellement ce podcast. Je vais vous expliquer pourquoi est-ce que je le lance, pourquoi est-ce que je le lance maintenant et surtout tout ce que j'ai envie de créer, pourquoi je l'ai appelé carnet d'entrepreneurs parce que le nom aussi a une symbolique même si ChatGPT m'a pas mal aidé à trouver le nom, je vais pas vous mentir. Alors aujourd'hui on va parler de pas mal de petites choses. Déjà dans ce premier épisode, je vais faire une introduction, je vais vous expliquer pourquoi je crée ce podcast et qu'est-ce qu'on va voir dans ce podcast. On va aussi parler de tous les objectifs, toute la vision que j'ai. sur cette année 2025 et sur les années à venir. Parce que vous allez le voir, mon but à travers ce podcast, c'est surtout de vous embarquer avec moi, de vous faire vivre à la fois mes objectifs, mes difficultés, mes réussites, et de vous faire vivre mon quotidien pour vous permettre d'avancer, de vous inspirer et d'évoluer dans vos projets. Pour vous dire, cette année, on prévoit de faire entre 2 et 3 millions d'euros. Donc, je vais tout vous expliquer comment est-ce qu'on fait, pourquoi est-ce qu'on veut faire ça aussi, parce que c'est important de se poser la question pour comprendre où est-ce qu'on va derrière. Et surtout, c'est quoi la suite sur ce podcast ? Alors... Pour commencer, pourquoi est-ce que je fais ce podcast ? Il y a plusieurs raisons. La première, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai pas forcément d'endroit où je peux m'exprimer sur tout et rien. YouTube, j'ai repris YouTube, si vous avez vu ma vidéo ou des messages que j'ai partagés un petit peu de partout. Il y a quelques temps, en fait, à l'heure où vous écoutez ce podcast, ça va aussi peut-être différer. Mais je poste pas mal sur YouTube, mais j'ai envie quand même de rester cadré, que ce soit sur Instagram, les réseaux sociaux, le développement de son activité. Instagram aussi, en fait sur les réseaux sociaux le truc c'est que pour moi on doit quand même garder un format, un cadre, je parlerai de ma stratégie média, ma stratégie sur les réseaux plus tard si vous voulez dans un autre épisode, mais en fait chaque réseau a un objectif et je dois quand même garder un cadre, mais en fait j'ai plein de sujets qui sont super intéressants et que j'ai envie de partager, enfin super intéressants selon moi, vous allez me dire si c'est intéressant pour vous, et j'ai vraiment envie de créer comme un journal intime, quelque chose où je peux partager tout et rien, quelque chose où je peux juste prendre mon téléphone, enregistrer, et l'uploader, et comme ça, faire suivre mes aventures de fil en aiguille, et avancer avec vous. Et pour moi, le format podcast, c'est le format qui s'y prête le mieux. Et ça, c'est ma deuxième raison, parce que je n'ai pas besoin d'avoir une logistique très compliquée. Je peux juste enregistrer un épisode. Je n'ai pas besoin de me prendre la tête. Je peux parler de tout et rien. Et puis, c'est super. La troisième raison, c'est que j'ai beaucoup été inspiré par de nombreux podcasts. Alors moi, j'écoute des podcasts à titre personnel. Et il y a un podcast qui m'a pas mal aidé. C'est un podcast de Julien Musy. Je ne sais plus le nom de son podcast, mais je pense qu'il s'appelait juste Julien Musi, si je ne me trompe pas. Et dans ce podcast, il expliquait en gros comment ce qu'il est. Il parlait à des entrepreneurs qui faisaient déjà quelques milliers d'euros et qui voulaient faire quelques dizaines ou centaines de milliers d'euros par mois. Et je sais que ça m'a énormément aidé et je me revois écouter ces épisodes. Je me revois même à Budapest en 2022, si je ne me trompe pas, donc il y a quelques années. Et j'étais comme ça en train de visiter Budapest et j'écoutais ces épisodes. Et en fait, certes, ça m'apportait des conseils, ça m'apportait de la valeur, ça m'apportait des stratégies, des choses que je pouvais utiliser pour moi et pour mon activité. Mais surtout, ça m'inspirait de dingue parce que je voyais ce gars qui était plus avancé que nous dans son activité. Et je me disais, mais attends, lui, il a réussi à construire tout ça. Et en fait, juste l'écouter parler, voir la manière dont lui, il imaginait les choses, la manière dont ça se structurait dans sa tête, la manière dont il construisait son business et son activité. Et je me disais, mais c'est juste dingue quoi. En fait, ça m'inspirait beaucoup et ça me donnait de la motivation pour avancer. Et il m'apportait un fil directeur, un petit peu comme un mentor. Après, il nous a beaucoup aidé, ce gars, à développer notre activité. Et en fait, pour moi, le podcast, c'est une super façon de transmettre sans se prendre la tête. Et des fois, ça crée aussi plus de proximité. En tout cas, c'est ce que j'espère avec vous. Et le fait de ne pas se prendre la tête, de tourner un épisode comme ça, le truc qui est aussi assez intéressant, alors j'ai quand même vérifié le son avant de tourner ce podcast. c'est qu'on peut partager tout et rien et ça peut sûrement parler là où des fois on se met peut-être un petit peu plus de cadre et c'est vraiment le but de transmettre de façon totalement transparente. Et le dernier objectif qui est un petit peu dans cette même lancée, c'est que j'ai pas mal, j'ai une belle vision, vous allez le voir, des beaux objectifs que ce soit pour cette année et les années à venir. Et en fait, j'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça. J'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça pour qu'à la fois ça puisse à votre tour vous inspirer, en tout cas j'espère, mais que ça puisse aussi vous aider, vous apporter des conseils. et de vous permettre de vous développer à travers votre activité et de vous permettre surtout de vouloir construire de très belles choses. Et j'espère en fait de vous embarquer avec moi dans un mouvement d'entrepreneurs qui ont envie de développer leur activité, de changer le monde et de créer quelque chose de grand à son échelle. Peu importe, on n'est pas obligé de vouloir faire des dizaines de millions d'euros, mais ça peut être de vouloir créer un impact positif à travers son activité et peu importe l'activité à son échelle. Et c'est ça ce que j'ai envie de véhiculer à travers ce podcast. Alors aujourd'hui, je vais parler de différentes choses. En fait, j'ai envie de faire une rétrospective sur absolument tout. Tout ce que j'ai vécu, que ce soit de manière perso, aussi comment est-ce que j'en suis venu à mon activité. En fait, vous parler de mon histoire de manière très simple et surtout de vous parler des objectifs à venir sur cette année. mais aussi de toute la vision que j'ai, pourquoi est-ce que je crée tout ça, et c'est quoi la destination finale, où est-ce qu'on veut aller avec mon frère, parce que je travaille avec mon frère, mais j'aurai l'occasion d'en parler, et toutes ces choses-là. Donc c'est ce dont je vais parler aujourd'hui, de manière assez transparente. Je ne vais pas faire de cut, peut-être qu'il y a des fois où je vais bégayer, peut-être qu'il y a des fois où ça sera un petit peu moins clair, je vais me perdre dans mes pensées, mais c'est aussi ce que j'ai envie de véhiculer, et peut-être qu'un jour je rendrai ce podcast un peu plus professionnel, Ce n'est pas forcément ce que j'ai envie pour le moment. Donc, j'ai envie juste de parler. Et c'est pour ça aussi que je l'ai appelé carnet d'entrepreneur. C'est ce que je vous disais tout à l'heure. C'est le but vraiment de carnet d'entrepreneur. Alors, je risque de me tromper aussi entre livre d'entrepreneur ou autre. Là, j'ai défini le nom il n'y a pas longtemps parce que pour moi, ce n'était pas le truc le plus important. Mais en fait, je trouve qu'il fait carrément sens parce que c'est comme si je parlais à moi-même. C'est comme si je parlais à un carnet. Et en fait, vous pouvez suivre ce carnet, suivre mon aventure. Et j'espère créer la plus belle histoire possible. pour vous qui m'écoutez, mais aussi pour moi et pour toutes les personnes qu'on va pouvoir aider avec notre activité et nos différentes activités. Donc, je reviens à mon histoire et comment je me suis lancé dans l'entrepreneuriat. Et pour ça, il faut revenir à ma naissance. Et j'ai eu un problème à la naissance. Je vais vous expliquer pourquoi je vous raconte ça, mais j'ai eu un problème à la naissance. Je suis né, du coup, j'ai un frère jumeau qui est faux jumeau. Donc, on était dans deux poches différentes. Donc, lui, il n'a pas eu de problème. Et globalement, j'avais le ventre ouvert en deux. Et en fait, je suis l'une des seules personnes. Petite anecdote que je connaisse, enfin je suis la seule personne que je connaisse au monde, alors je ne dis pas qu'il n'y en a pas d'autres, mais qui n'a pas de nombril. Je n'ai pas de nombril parce que je suis né avec le ventre ouvert en deux, donc il y a eu des complications, j'ai une cicatrice, mais je n'ai pas de nombril. Et en fait, ça a bien commencé ma vie, alors même si c'était une épreuve assez compliquée, moi je ne m'en souviens plus, mais pour mes parents, mais directement j'étais un petit peu différent. Et vous allez voir, on a commencé avec mon frère à faire des choses, on a commencé à lancer nos premiers projets, nos premières boîtes. très jeune, et à faire des petites choses à droite, à gauche. Et je pense que ça marque bien cet accident de naissance. Alors, ce n'est pas forcément un accident, c'est plutôt une malformation. Je ne sais pas vraiment comment l'appeler, mais ça marque bien tout le reste de ma vie. Et j'ai eu une enfance un peu dissipée. Alors, dissipée, pas dans le sens où j'étais mauvais élève, j'étais un très bon élève, j'étais très cadré, vraiment, je ne faisais jamais de problème. Par contre, je rêvais tout le temps. J'étais vraiment un enfant très rêveur. Et j'étais un petit peu dissipé dans le sens où j'avais toujours la tête dans la lune. Je partais un petit peu à droite à gauche. Et on fait comme ça notre scolarité, donc le début de notre scolarité avec mon frère jumeau ensemble, dans un petit village en Isère, à côté de Lyon, pour ceux qui connaissent. Et du coup, ce qui se passe, c'est que j'arrive en sixième. J'arrive en sixième en étant un très bon élève. Je suis l'un des meilleurs élèves de ma classe. Je suis toujours avec mon frère, avec mon frère jumeau. Et en fait, on commence à lancer nos premiers petits projets. On commence à lancer nos premiers petits projets. On ne fait pas des projets de dingue, on n'est pas Bill Gates à l'époque, on vend des cartes Pokémon, des fois on fait des vides greniers. Donc en fait, ce qu'on fait, c'est qu'on rachète des trucs à des membres de notre famille et on les revend aux vides greniers. Ou alors sur le vide grenier, on achète des trucs qu'on revend derrière, etc. Et ce qui se passe quand j'arrive en sixième, c'est que petit à petit, je commence à décrocher sur le scolaire. Je parle sur le plan scolaire, je commence à décrocher parce que je ne trouve plus vraiment de sens, je ne comprends pas pourquoi on fait ça. J'ai d'autres centres d'intérêt, d'autres choses qui m'intéressent. Notamment à l'époque, il y a un peu les jeux vidéo et le foot qui viendra par la suite, surtout en troisième, quatrième, j'ai vraiment la vision d'être footballeur professionnel, l'envie d'être footballeur professionnel sans avoir le niveau parce que j'avais un problème au talon, enfin j'avais un problème au talon du coup je ne pouvais pas courir, je pouvais pas m'entraîner je pense que même si j'avais pas eu ce problème au talon je serais pas footballeur professionnel, je vais pas me mentir j'avais juste pas le niveau, j'étais à des années-lumière d'avoir le niveau d'être footballeur pro Mais du coup, c'était quand même mon objectif et je me rappelle, c'était au début lycée, peut-être fin collège, à chaque fois que je rentrais, même s'il neigeait, je prenais un ballon et je m'entraînais à faire des jongles. Je partais très loin parce que je n'avais pas du tout de niveau, à être plutôt bon, en tout cas ça passe. Je prenais mon ballon, je faisais des jongles des fois dans la neige et je me rappelle d'une anecdote que j'aime raconter, c'est que j'allais tout le temps m'entraîner au stade de foot de mon village qui était peut-être à 500 mètres, 1 km de chez moi. Donc, j'y allais en vélo. Et j'étais allé en vélo un jour où il neigeait, donc j'avais pris une pelle à neige dans mon sac à dos, une petite pelle à neige, j'avais déneigé le terrain, et tellement j'avais froid aux mains, après j'étais pas très intelligent, j'avais pas pris de gants, mais tellement j'avais froid aux mains, j'arrivais plus à fermer les mains pour mettre mes freins, et du coup je freinais avec mes pieds, et je devais tomber de mon vélo pour freiner, et du coup c'est une petite anecdote que je raconte, j'ai fait ça une fois, je faisais pas ça tout le temps non plus, mais du coup j'avais vraiment cette envie d'être footballeur pro. Et avec le recul, quand je vois un petit peu tout ce que je faisais, j'agissais et encore aujourd'hui, j'agis de la même manière, de manière un peu autistique. C'est-à-dire que je me concentrais sur un seul truc et je ne faisais rien d'autre à côté. Et je ne voyais que ça, je ne faisais que ça. Je pense, mais c'est encore le cas aujourd'hui avec mon activité et mon business. C'est pour ça aussi que ça fonctionne bien, je pense. Je ne pense qu'à ça, je ne développe quasi que ça. Alors certes, je pense à deux, trois petites choses à droite, à gauche. Mais je me concentre vraiment de manière quasi exclusive à ce projet, à ce truc que j'ai en tête. Donc ce qui se passe ensuite c'est que avec mon frère, on se rend compte, enfin moi je veux être footballeur pro et on se rend compte que j'ai pas le niveau. Donc ce que je décide de faire c'est que je me suis dit ok je vais développer une page Instagram autour du foot et je développe cette page. Je prends vraiment plein de temps pour développer cette page, comprendre les stratégies, les trucs. Et au final on arrive à quand même développer cette page. J'ai quand même un petit peu d'abonnés, je développe la page à quelque chose comme 15 000 abonnés. Ce qui est très bien. Je ne gagne pas énormément d'argent parce qu'en plus, je gérais ça n'importe comment. Donc, les abonnés, c'était à moitié des personnes turques qui venaient de Grèce. Il y avait vraiment de tout. Mais par contre, j'ai quelques petits partenariats. J'ai dû gagner des t-shirts et des chaussures, des choses comme ça. Et ce qui me paraissait très bien et surtout ce qui nous donne l'envie d'entreprendre, de créer d'autres choses par la suite. Et du coup, ça, c'est dans notre scolarité. Et en fait, tout à l'heure, je vous disais que j'ai décroché. J'étais de plus en plus sur mes objectifs, que ce soit à travers le foot et toutes ces choses-là. Et autour de moi, on me dit que ça c'est pas bon, on me dit que ça c'est un objectif à côté, que c'est une passion certes. Mais en fait, on me fait prendre conscience que ce qui est important c'est de travailler à l'école sans que je comprenne réellement pourquoi. Et je commence comme ça à tomber dans une perte de sens parce que ce qu'on fait à l'école ça me sert pas du tout. Enfin pour moi je comprends pas du tout en quoi ça va m'aider et pour moi ce que j'ai envie de faire c'est mes projets que j'ai à côté. Et petit à petit je tombe un peu dans cette perte de sens, je tombe vraiment dans ce truc là où je me dis mais... En fait, ça sert à quoi ? Et il arrive plein d'autres problèmes. À l'époque, j'ai eu pas mal d'acné et je prends un médicament qui s'appelle Roaccutane, qui justement est connu. C'était un ancien médicament pour ceux qui ne connaissent pas, qui était censé soigner un cancer de je ne sais plus quoi, qui est connu pour créer un peu de la dépression, de la déprime. Et en fait, je rentre dans une phase où je ne suis pas bien du tout, où je suis totalement déprimé parce que je n'ai pas forcément confiance en moi avec l'acné et tout. plus derrière je suis en perte de sens total parce qu'à chaque fois que je développe un projet, que ce soit les profs ou autres, on me dit que ça ne sert à rien en fait et qu'il faut se concentrer sur quelque chose qui ne fait pas sens pour moi ou je ne vois pas de finalité ou je me dis mais ça sert à quoi quoi ? En fait je continue à aller à l'école parce qu'on me dit va à l'école mais à quoi ça sert ? Et donc je vis cette phase qui est ultra compliquée pour moi à l'époque, qui est vraiment très difficile et je n'en parle pas forcément et ce qui est compliqué c'est que je suis encore assez jeune quand je vis cette phase-là Je ne sais pas trop comment l'aborder. Alors j'en parle, je suis allé voir plein de médecins. Je suis allé voir vraiment beaucoup de médecins. Des médecins, mais en tout genre. Des psys, vraiment de tout. Des hypnothérapeutes, etc. Et en fait, je me rends compte que personne ne me comprend. Et ça m'isole encore plus dans ma bulle. Ça m'isole encore plus dans mon monde. Et je continue à rêver, mais petit à petit, j'y crois plus du tout. Parce que je suis dans un truc où je me sens ultra mal. Et c'est compliqué à décrire cette sensation-là. En fait, c'est comme si on voyait le monde en noir et blanc. C'est comme si autour de nous, tout était noir et blanc. C'est comme si on n'avait plus de sensation. C'est comme si, en fait, quand on mangeait, on n'avait plus de goût. Il n'y avait plus de couleur autour de nous. Et c'est presque, moi, des souvenirs que j'en ai. C'est comme si je le voyais en noir et blanc, comme dans les films un peu tristes. Et c'est le souvenir que je m'en fais. Et en fait, c'est comme si plus rien n'avait de goût, plus rien n'avait de saveur. Même physiquement, quand on mange. Mais... quand on faisait quelque chose, quand on fait quelque chose, on ne ressent rien. C'est vraiment extrêmement perturbant et très déstabilisant. Et en fait, ça a été les montagnes russes comme ça pendant une ou deux années. Et le truc qui m'a un peu sauvé, c'est que là, j'avais vraiment plus de goal, plus de vision. J'étais vraiment perdu. Et du coup, je me retrouve en BTS parce qu'il fallait quand même faire quelque chose. Et là, je rencontre une personne dans mon BTS qui s'appelle Thibaut. et qui a été un associé, j'en parlerai juste après, mais qui me parle de l'entrepreneuriat et de toutes ces choses-là. Et on a une chance ou une malchance, j'en sais rien dans nos BTS, c'est que sur 30 personnes dans la classe, on n'est que 4 garçons. Le reste, c'est que des filles. Donc on pourrait se dire que c'est un peu sympa. Mais le truc, nous, c'est qu'on s'est fait très vite potes avec Thibaut. Et du coup... Très vite, j'ai commencé à avoir les mêmes centres d'intérêt parce qu'on avait tous les deux cette volonté, cette vision de faire des choses grandes, de sortir un petit peu du cadre. On s'est bien rencontrés pour ça. Et moi, je n'avais pas forcément ces projets d'entrepreneuriat ou de tout ce genre de choses. Mais en fait, j'avais toujours cette même vision parce que tout ce que j'avais voulu construire, que ce soit à travers le foot, que ce soit à travers les autres petits business qu'on avait lancés avec Maxence, c'était toujours dans cet état d'esprit de construire quelque chose de grand, de sortir un petit peu des normes. Et ça, ça a beaucoup fait la différence. Et donc, je rencontre Thibaut. Et très vite, on lance un premier projet. On lance une agence où on crée des sites web. On s'occupe un petit peu du marketing et de toutes ces choses-là. Pour des commerçants, ça ne se passe pas bien du tout. Parce qu'en fait, on ne fait pas ce qu'il faut pour que ça se développe bien. Mais en fait, on a un gros coup de bouse du destin. Parce qu'il y a le Covid à cette époque avec le premier confinement. Et là, on se dit, ok, c'est la chance du moment. Moi je me le dis pas comme ça à l'époque, honnêtement, mais avec le recul je me dis putain ça a été vraiment dingue. Parce qu'il y a plein de gens qui ont vu ça comme une catastrophe, et moi je l'ai vraiment vu comme une opportunité sans le voir, et je pense que c'est une des clés aussi. Peu importe ce qui nous arrive dans notre vie, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas la maîtrise. Et ces choses-là, ça sert à rien d'essayer de maîtriser ces choses ou autre, l'idée c'est de voir comment est-ce qu'on peut avancer malgré ces choses, même négatives, qui nous arrivent, parce que, en fait, que ce soit positif ou négatif, c'est juste une façon de voir les choses. Il n'y a pas de positif, il n'y a pas de négatif. C'est juste notre façon de l'interpréter, notre façon de voir le monde qui va transformer cette Ausha en positif, en négatif, en fonction aussi de notre construction, de nos pensées, de toutes ces choses-là. Bref, on crée cette agence qui ne se passe pas très bien. Il y a le Covid qui arrive. Et là, du coup, moi, j'ai pas mal de compétences sur gérer et développer des pages Instagram parce que c'est ce qu'on a fait avec la page de foot. Et après, on a continué à faire ça. Moi, j'ai développé des pages Instagram de Lyon parce que c'est là où je faisais mes études pour les étudiants, pour pas mal de choses. Et donc, il y a des entreprises, il y a des entreprises... entrepreneurs qui nous demandent au fur et à mesure. Et là, on décide d'aider ces entrepreneurs à développer leur page. Enfin, je les gère pour eux. En fait, je fais du community management et je gère leur page. Ça se passe assez bien. Je travaille beaucoup. Et en fait, je sors un petit peu de cet état un petit peu négatif dans lequel je suis, de dépression dans lequel je suis, pour justement me concentrer sur un projet. Et là, je retrouve un projet. Petit à petit, je retrouve goût. Ça me permet aussi de gagner confiance parce qu'à l'époque, quand je lance mon projet, je suis encore assez jeune. je me dis mais attends, moi je ne maîtrise rien. Et en fait, je n'ai pas forcément de confiance. Je me fais un peu plus marcher dessus. Je n'ai pas de confiance. Je ne sais pas vraiment comment développer les choses. Et j'ai toujours été quelqu'un d'assez timide, pas forcément très confiant. Donc, ça ne m'aide pas forcément pour développer mon projet. Et de fil en aiguille, je continue à développer ça. Ça se passe bien. Au bout de 2-3 mois, je gagne quand même 1200-1300 euros par mois à peu près. Dans ces Ausha, je ne me souviens plus exactement. Mais en tout cas, je ne gagne plus de 1000 euros par mois. et donc je peux en vivre et là je me dis putain mais c'est juste dingue quoi et je vois qu'il y a une voie différente de la voie traditionnelle celle qu'on m'avait toujours enseigné et là je pense qu'il y a un déclic qui se crée dans ma tête et notamment lié au foot parce que pour être footballeur professionnel il faut être repéré assez jeune sinon si aujourd'hui je veux me lancer en tant que footballeur professionnel je suis beaucoup trop vieux je suis beaucoup trop vieux j'ai pas le niveau et même si je me mets à fond à fond à fond avec les meilleurs Il y a des gens qui ont déjà 10, 20 ans d'expérience sur moi, donc en fait, ils seront bien meilleurs que moi. Et le truc qui change tout, c'est que je me dis, mais attends, moi, je voulais être footballeur professionnel pour plein de raisons. Et là, dans l'entrepreneuriat, je peux avoir les mêmes gains, je peux gagner les mêmes choses, que ce soit en termes d'argent, que ce soit en termes aussi de notoriété, de reconnaissance et toutes ces choses-là. Mais en fait, même si je suis plus vieux, je peux me lancer et réussir. Et ça, c'est absolument dingue. Il n'y a pas d'âge. Je peux me lancer à 60 ans et réussir, tout comme je peux me lancer à 15 ans et réussir, tout comme je peux me lancer. En fait, c'est juste dingue et il n'y a aucune règle. Parce qu'il y a quand même une course contre la montre quand on veut être sportif professionnel qui se joue ou au bout d'un certain temps, on est juste cuit parce que le corps ne suit plus là avec l'entreprenariat. Il n'y a aucune règle. Je peux me lancer maintenant, faire ça toute ma vie et devenir le meilleur entrepreneur de tous les temps. en fonction de ce qu'on entend par le meilleur entrepreneur, forcément. Et donc, il y a un déclic qui se crée dans ma tête. Et à partir de là, juste, j'ai une vision de dingue, j'ai des idées de dingue, je vis toujours très grand. Et pour moi, ça me paraît logique d'atteindre cette vision. Et il y a une différence, c'est que... Cette vision-là, vous allez le voir, je vais vous en parler juste après, ça m'a toujours paru logique que j'allais atteindre cette vision, même si je ne l'ai pas encore atteint. Je l'ai atteint au fur et à mesure, mais elle grandit au fur et à mesure. Par contre, les objectifs, ça, des fois, j'ai des doutes. J'ai des doutes et je me dis, est-ce qu'on va vraiment l'atteindre ? Forcément, j'ai des peurs, j'ai tout plein de choses qui se créent. Mais je sais que la somme de tous ces objectifs, ça va mener à cette vision. Et si j'échoue sur cet objectif, ce n'est pas si grave parce que j'aurai appris et cet apprentissage, il va me permettre d'aller plus loin et plus rapidement à cette vision. Et donc, je prends conscience de tout ça. Ça me permet derrière de me mettre encore plus à fond. C'est là où je développe d'autres projets, notamment en parallèle des comptes Instagram que je gère. Je développe des propres pages Instagram qui m'appartiennent parce que je me dis, mais attends, mes clients ont des résultats de dingue avec les pages que je développe pour eux. Moi, je n'ai même pas Instagram à l'époque. Alors, j'avais mon compte, mais voilà, je n'ai pas de page. Donc, je vais développer mes propres pages. Donc, ce qui se passe, c'est que je rachète des pages Instagram. Je développe mes propres pages. Je ne me montre pas du tout. Je n'ai pas envie de me montrer. J'ai peur de ce que les gens font penser de moi. et de ce qu'ils vont penser de mon activité et toutes ces choses-là, malgré le fait que mes proches soient plus ou moins au courant, mon frère, mes parents, etc. Et ce qui se passe, c'est que ça avance, ça se passe bien, et là, il se passe une première galère. Ce que je ne vous ai pas dit, c'est que j'avais une personne qui avait une grosse agence qui m'envoyait plein de clients. Elle, j'étais sous-traitant de cette personne-là. Et du jour au lendemain, elle décide de presque plus me payer. Elle me paye à peu près 1200 euros par mois. Elle décide de presque plus me payer. Et là, je lui dis Ah non ! En fait, c'est comme si j'avais une sécurité, c'est comme si j'avais un genre de salariat parce que cette personne, elle me payait tous les mois. J'étais mal payé honnêtement pour le travail que je faisais, j'étais mal payé. Mais là, elle voulait me payer 500 euros par mois. Donc, elle voulait diviser par plus que 2 le salaire qu'elle me proposait, le salaire, la prestation qu'elle me proposait. Et en plus de ça, pour faire plus de travail. Et là, j'ai pris une décision où je me suis dit, il faut que j'arrête de travailler avec elle malgré le fait que ça me faisait peur parce qu'à l'époque, je n'avais pas forcément trouvé des clients. Ils étaient beaucoup venus par recommandation ou autre. Et je me dis, je vais passer à côté de presque la moitié de mon chiffre d'affaires. Et ce qui se passe, c'est que j'arrête de travailler avec lui. Après, lui, il a voulu retravailler avec moi, etc. Et en fait, le mois d'après, je me souviens très bien, c'était en janvier 2021. C'est là où je fais mon premier mois à plus de 10 000 euros de chiffre d'affaires. J'ai fait quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires. En fait, j'ai dû faire 9 400 euros encaissés et j'ai dû facturer un petit peu plus parce qu'il devait y avoir des paiements en plusieurs fois. Et là... je me suis dit mais c'est absolument dingue. Et la leçon que j'ai appris de ça, c'est que j'ai lâché quelque chose, quelque chose qui ne me convenait pas, mais en fait que je gardais par peur, par insécurité, je l'ai lâché. Et directement derrière, j'ai eu plus de résultats. Je ne vais pas dire que c'est l'univers ou autre, ça, peu importe, ce n'est pas la loi de l'attraction et compagnie, mais c'est juste logique et mathématique pour moi. Mais en fait, je suis allé directement ou indirectement, je ne sais pas, peut-être même inconsciemment, vers quelque chose qui me correspondait plus et j'ai eu plus de résultats. Et c'est pour ça que si aujourd'hui vous êtes dans une situation qui ne vous convient pas, mais en fait lâchez cette situation alors de manière intelligente, ça ne peut que vous apporter du plus et quoi qu'il arrive, ça ne peut que vous faire apprendre. Et je pense que j'ai la chance d'avoir aussi cette mentalité où je me dis, même si j'échoue, je m'en fous parce que pour moi c'est quand même positif parce que j'ai appris. Alors qu'il y a certaines personnes, elles échouent, elles mettent des années à s'en remettre, des mois à s'en remettre et forcément pendant ce temps-là, elles ne font rien, elles n'évoluent pas et ça les empêche de réellement avancer selon moi vers leurs objectifs. Du coup, je fais mon premier mois, quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires et du coup, j'ai cet apprentissage. Et là, je décide de développer encore plus mon activité. On développe toutes nos pages Instagram. C'est là où mon frère me rejoint, mon frère jumeau parce qu'avant, il développait un autre projet à côté. On développe toutes nos pages Instagram sur lesquelles on vend des petits trucs à droite à gauche. On fait de l'affiliation. Plus on a nos clients où on gère leurs réseaux sociaux. Et ce qui se passe, c'est qu'on a de plus en plus de monde qui nous demande Mais les gars, comment est-ce que vous avez fait ? Comment est-ce que vous avez développé ? ses comptes, comment est-ce que vous trouvez des clients, parce que ce qu'il faut savoir, c'est qu'on prenait une prestation mensuelle avec l'agence, donc forcément, c'était un tarif plus cher qu'un accompagnement ou autre qu'on a pu créer par la suite, et on ne s'adressait pas à tout le monde, on s'adressait à des personnes qui faisaient déjà du chiffre d'affaires. On s'adressait déjà à des entrepreneurs qui faisaient du chiffre d'affaires et qui étaient un minimum avancé, qui faisaient au moins 4, 5, 6 000 euros de chiffre d'affaires, parce que sinon, ils ne pouvaient pas se payer nos services. Et donc là, on décide de faire un accompagnement un peu plus abordable, Et ce qui se passe, c'est qu'on a des résultats de dingue parce qu'il y a des gens qui nous demandent. On a des résultats de dingue, que ce soit pour nous ou pour nos clients. Et deux mois après, on se donne le défi de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires en 30 jours, donc en août 2021. Et là, on passe ce défi. Franchement, moi, je n'y croyais pas. Honnêtement, je n'y croyais pas. On s'est fixé le défi avec mon associé. Et en fait, je n'osais pas forcément lui dire que je n'y croyais pas. Et j'y allais un peu à reculons. Et on a fini le mois à 127 000 euros, le 24. On n'a même pas attendu la fin du mois. On avait fait 127 000 euros de chiffre d'affaires. C'est dingue. Alors, c'était du chiffre d'affaires facturé. Ce n'était pas encaissé. En gros, il y avait des paiements plusieurs fois. Donc, en gros, avec tout ce qui allait arriver au fur et à mesure, ça allait faire 127 000 euros. Donc, on avait facturé 127 000 euros. Et là, je me dis, waouh, c'est fou, quoi. C'est vraiment dingue. Et en fait, quand je regarde en arrière. Ça faisait peut-être un an et demi, deux ans que je m'étais lancé et j'avais mis huit mois pour faire mon premier mois à 10 000 euros de chiffre d'affaires et huit mois après pour faire mon deuxième mois, enfin mon premier mois à 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et après, on ne l'a pas forcément tenu. Je préfère être transparent, mais parce qu'en fait, on a mal géré derrière. Je vais vous en parler. Mais je me suis rendu compte que tout pouvait aller extrêmement vite. Et il y a un point qui a été très important pour moi, c'est qu'au début, je ne savais pas où j'allais. Parce que quand on se lance dans l'entrepreneuriat, c'est un flou total. Nous, on s'est toujours fait aider. C'est pour ça aussi que ça fait sens d'aider des entrepreneurs et c'est pour ça que ça faisait sens de créer du coup le mentorat, notre accompagnement. Et on a eu une belle première session d'entrepreneurs avec ce premier mois en août où on a fait un super chiffre d'affaires. Mais du coup, on ne savait pas forcément où aller, on ne savait pas forcément quoi faire. Et quand on est dans le brouillard, on ne peut pas avancer sereinement et souvent, on passe beaucoup de temps à faire des choses qui ne servent à rien. Mais si on ne nous dit pas ce qu'on doit faire, on va juste foncer dans le mur. Et moi, un truc que j'avais fait, c'est que j'avais découvert les effets cumulés. Je m'étais dit si j'avance de 1% par jour, en fait, ça va faire une courbe exponentielle. J'avais découvert ça avec les investissements, etc. Ça va faire une courbe exponentielle et je vais être 37 500 fois meilleur à la fin de l'année. Vous pouvez faire, prenez une calculatrice, vous faites une courbe, vous prenez une courbe des effets cumulés. Vous voyez au début, c'est tout plat et après, ça explose. Et c'était exactement ça. Et je me suis dit, mais si je me tiens à cette courbe, en fait, si chaque jour, je cherche à regarder ce que j'ai fait, regarder ce que j'aurais pu mieux faire, ce que j'aurais pu améliorer, etc. je vais avoir cette croissance qui est exponentielle. Et en fait, c'est regarder aussi quel est le plus rapide et quel est le plus efficace, qu'est-ce qui va me faire aller le plus vite. Et pour moi, ce qui allait me faire aller le plus vite, c'est me faire aider, ne pas hésiter à investir dans mon activité, toutes ces choses-là. Donc, ce n'est pas juste regarder nous ce qu'on fait, c'est vraiment aller au plus vite, prendre les meilleures décisions et les décisions les plus cohérentes avec son activité. Donc, ça m'a énormément aidé. Là, on en arrive là, moi, je me dis waouh, c'est juste dingue. En parallèle, en plus, je commence à voyager un peu. 2022, c'est l'année où je voyage beaucoup. Je voyage dans une douzaine de pays en Europe. Je n'ai voyagé qu'en Europe cette année. Après, je suis allé un peu en Afrique du Nord. Mais en fait, il se passe plein de choses. Ça se passe très bien. 2022, il y a quand même une stagnation au niveau business. C'est là où on commence à recruter, mais on fait plein d'erreurs. On commence à recruter plus de monde. On veut un peu scaler l'activité, c'est-à-dire qu'on veut la développer plus rapidement. On veut commencer à aller chercher un plus gros niveau de client, de chiffre d'affaires et surtout tenir le chiffre d'affaires qu'on avait fait. Sur ce mois d'août 2021, on paye plein de gens qui font plein de trucs qui ne servent à rien parce qu'en fait, on ne le maîtrise pas forcément et on se décharge plus des tâches que réellement recruter. Et ça, c'est une erreur qu'on a fait. C'est OK, est-ce qu'on recrute parce qu'on n'a plus le temps et parce que ce n'est pas la tâche qui a la meilleure valeur ajoutée pour nous aujourd'hui ou est-ce qu'on recrute parce qu'en fait, on veut se décharger du truc ? Et nous, on voulait plus se décharger et on n'avait pas suffisamment bien structuré et on n'avait pas suffisamment fait attention aussi au cash qu'on avait pour bien tout structurer en fonction du chiffre d'affaires qu'on faisait. Donc on paye plein de gens trop cher qui servent à rien. Ce qui se passe, c'est que ça évolue pas tellement, mais on commence à structurer un peu la boîte, etc. Et par contre, 2023, on fait un excellent début d'année, on commence à très bien structurer toute l'équipe, toute la boîte. Par contre, après, il y a un plateau. Au bout de mars 2023, il y a un plateau, il se passe plus rien, ça stagne. Et pourquoi ça stagne ? Enfin, ça régresse même par rapport au début d'année qu'on avait fait, parce qu'on est trois associés, donc ça n'a pas bougé. Thibaut, Maxence, mon frère jumeau, donc Thibaut, mon ami de BTS. Et moi-même, on se rend compte qu'on est totalement désaligné au niveau de la vision. Thibaut veut aller à un endroit, moi je veux aller à un autre endroit, et Maxence veut aller à un autre endroit. Et ce qui se passe, c'est qu'on a deux visions assez différentes avec Thibaut, et là il y a un écart qui se crée. Et en fait, cet écart qui se crée, ça crée du flou. Donc ça nous fait aller de partout. On va vers des trucs qui nous rapportent du cash à court terme, mais qui ne servent à rien, et qui nous empêchent de structurer vraiment de manière solide. Thibaut est plus forcément animé, donc il est plus forcément dedans. Moi, ce que je me dis, c'est Ok, je reprends la main sur toute la boîte et je gère moi tout. Sauf qu'en fait, je me rends compte que je ne peux pas tout gérer, qu'il y a plein de trucs. Enfin, ça ne se passe pas très très bien sur cette fin d'année 2023. Et pour vous faire très simple, nous, avec Maxence, de ce que je perçois, et peut-être que Thibaut a une autre vision des choses, mais nous, on a plutôt envie de créer un gros truc, de beaucoup réinvestir dans la boîte, là où Thibaut a plutôt envie de profiter et de se verser un gros salaire. Et en fait, moi, je ne suis pas du tout sur cette optique-là. Moi, je m'en fous. Enfin, je ne dépense quasi rien en perso. Et je m'en fous de me verser un gros salaire. Et je me dis, mais on peut faire décoller la boîte encore plus loin. Autant réinvestir, etc. Et lui, je pense qu'il a atteint un stade où il en a eu marre, où il était moins sur l'aspect business et plus sur l'aspect perso, enfin, avec sa copine, etc. Il avait une copine, etc. Donc, ce qui se passe, c'est que ça commence à créer pas de la friction parce que ça s'est toujours bien passé. Mais en fait, ça commence à créer un flou et ça part totalement en vrille. On fait quand même du chiffre, ça se passe assez bien. Mais en fait, on fait très peu de chiffres par rapport Ausha et par rapport à tout ce qu'on doit faire. Et du coup, début d'année 2024, Thibaut nous annonce qu'il arrête, qu'il veut stopper. On l'avait un peu senti, mais... Le truc qu'on a mal fait, c'est qu'on aurait dû en parler avant. Personne n'en avait réellement parlé. En fait, ça se passait un peu mal. Une association, c'est encore pire qu'un couple. Et au début, ça peut très bien se passer avec vos associés. Mais plus on avance dans la boîte, plus ça risque d'être compliqué. Donc, ça se passe un petit peu mal. Et après, ils décident d'arrêter. Donc là, c'est good pour tout le monde sur ce début d'année, donc 2024. Et l'autre truc qui se passe, c'est qu'on commence à créer d'autres projets sur ce début d'année aussi. Donc, Thibaut Arrête. la boîte pour toutes les raisons que je vous ai évoquées. Nous, on lui rachète ses parts. Comment ça se passe ? Juste, on lui rachète ses parts. Il a 33% du mentorat. Nous, on lui rachète ses 33%. Donc maintenant, on a 50-50 avec Maxence, donc avec mon frère. Il n'y a pas d'autres associés. Et ce qui se passe, c'est qu'on commence... Nous, on a une vision... On a à peu près la même vision. Je vous en parlerai avec Maxence après. Mais on commence à se dire, OK, nos clients, ils ont des problématiques. En fait, l'accompagnement... résout certaines problématiques, mais il y a certaines problématiques qui restent, par exemple, ça prend du temps à programmer sur Insta, à poster sur Insta, à trouver les idées de contenu et tout ça. Est-ce qu'on ne pourrait pas développer un logiciel pour ça ? Et c'est comme ça qu'on a commencé à développer tout l'écosystème début 2024. Pour ça, on s'est associés, on a développé un logiciel qui s'appelle CréaPro, qu'on a développé au fur et à mesure et qui était pour nous aussi un gros défi et qui est toujours un gros défi parce que c'est un business qui est assez différent de ce qu'on a l'habitude de développer. Un logiciel, c'est différent d'une boîte de service. Il y a besoin d'avoir plus de clients. Vu que c'est un abonnement, les clients peuvent partir, revenir à tout moment. Enfin, il faut gérer ça, faire en sorte que le logiciel devienne indispensable pour que les clients aient envie de s'en servir et envie de rester. Et c'est pas mal de problématiques. Mais en fait, c'était aussi un peu l'avènement de l'IA et le début dont on a parlé de l'IA et toutes ces choses-là. Et on s'est dit, on va créer un logiciel comme un community manager IA. On pourrait le résumer comme ça pour les personnes qui n'ont pas le budget de prendre un community manager ou pas forcément l'envie. Et pour nous, c'est super parce que ça nous permettra justement d'aider un maximum nos clients et d'aider même des personnes qui ne sont pas encore clients et qui pourraient même devenir clients du mentorat par la suite. Pourquoi pas ? Donc, on développe ce logiciel. Un truc qui est ultra important, c'est qu'on s'entoure très bien dès le début. On est quatre associés. On a un développeur, une personne qui gère toute la partie affiliation et Maxence et moi-même. Et je pense que ça, c'est l'un des gros conseils qu'on a appris aussi. C'est de bien s'entourer. Alors là, avec des associés, mais aussi avec des équipes. parce que pareil, on a fait plein d'erreurs sur fin d'année 2023 et 2023 en recrutant plein de gens qui ne servaient à rien et en plus qui n'étaient pas bons. Donc nous, ce qu'on fait, c'est qu'on développe ce logiciel et là, on se rend compte de tout l'écosystème qu'on peut créer et surtout, on se rend compte de tout ce qu'on peut structurer autour de nous. Au niveau du mentorat, ça se passe très bien. C'est là où on a l'une des plus grosses croissances. On fait entre 100 et 150 000 euros de chiffre d'affaires par mois facturé, ce qui est très bien, franchement, ce qui est très, très bien. Là, l'idée, ça serait de doubler, mais je vais en parler pour l'année à venir, 2025. Et on s'est dit, mais comment est-ce qu'on peut faire bouger les choses autour de nous ? Parce qu'on a des clients, justement, on avait développé ce logiciel qui est vraiment excellent. Enfin, je vous invite vraiment à aller voir créapro.fr. Et derrière, il y a des clients qui, eux, avaient envie de déléguer, qui n'avaient pas envie de s'occuper parce que le logiciel ne crée pas le contenu. On n'a pas encore la technologie. Peut-être que ça arrivera à l'heure où vous écoutez ce podcast, mais on n'a pas encore la technologie pour structurer, pour créer le contenu de manière intelligente. On pourrait le faire, mais le but, c'est de créer du contenu qui apporte du résultat. sur les différents réseaux sociaux que nos clients souhaitent développer. Donc là, ça donne toute la stratégie de contenu, les idées, les scripts, ça fait les légendes, les hashtags, ça vous dit comment tourner vos contenus, quoi faire, des guides, des templates. Enfin, ça fait 80% du travail, mais il vous reste à produire le contenu. À produire ou à faire, mais sachant que vous avez des guides, des templates, des choses déjà adaptées pour vous permettre de le faire au mieux. Et certains, du coup, voulaient totalement déléguer, à la fois la partie publicité en ligne, qui est juste dingue si vous savez bien vous en servir, et à la fois la partie réseaux sociaux. Donc, on décide de relancer l'agence. avec une autre associée aussi, qui est une ancienne cliente, Cynthia. On décide de relancer l'agence. où on s'occupe de tout. En fait, on est un pôle marketing et communication directement intégré chez nos clients, même des petites boîtes. Et du coup, le but, c'est de les aider à faire exploser leurs chiffres d'affaires. Et en plus de ça, il nous manque une dernière chose. C'est un lieu où nos clients peuvent tourner leur contenu, que ce soit les clients de l'accompagnement, du mentorat, que ce soit les clients de CréaPro ou même de l'agence. Et donc, on a ouvert une salle de tournage directement sur Lyon. Donc, on a créé tout cet écosystème. Et cet écosystème, il est beaucoup lié. aux objectifs et à la vision qu'on a sur les années à venir. Pour en venir aux objectifs sur cette année 2025, je ne sais pas, quand vous allez écouter ce podcast, peut-être que j'en ferai un sur 2026 pour les objectifs, voir si on les a atteints. L'idée de toute façon, c'est qu'on va faire un podcast par semaine. Je pense que je vais poster un podcast par semaine tous les dimanches. Donc, n'hésitez pas à vous abonner. Je ne sais même pas comment on s'abonne sur les podcasts. Sinon, ce que je ferai, c'est que je ferai un groupe WhatsApp sur lequel je partagerai tous mes podcasts. Vous, ça vous permettra... du coup de suivre un petit peu l'avancée, suivre un petit peu l'épopée. Et j'en ferai un petit peu sur tout et n'importe quoi. Ou en tout cas, toutes les leçons, tous les apprentissages. Et le but, c'est que je vous partage tout un petit peu comme, encore une fois, mon journal intime ou mon journal d'entrepreneur, mon carnet d'entrepreneur. Donc, les objectifs pour cette année. On prévoit de faire 2 millions d'euros avec le mentorat. On prévoit de faire plus de 500 000 euros, donc dépasser le demi-million d'euros avec l'agence. Et on fixe toujours en termes de chiffre d'affaires. C'est ce qui fait le plus sens et c'est ce qui... est le plus cohérent pour voir si on a atteint ou pas notre objectif, donc je vous invite à toujours faire ça. Et l'autre chose, avec CréaPro, c'est un petit peu plus flou pour le moment parce que le projet est assez différent de ce qu'on a eu l'habitude de développer, donc l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs. Là on est à peu près 150 utilisateurs mensuels, donc ça fonctionne bien, l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs parce que le logiciel est absolument dingue et l'idée après c'est d'aller vers les 10 000 utilisateurs dans un troisième temps. Et l'autre truc, c'est la salle de tournage. Ça, ça ne va pas nous rapporter énormément. On n'a pas pour le moment pour projet de le développer à fond. Ça va peut-être nous rapporter 20 000 euros sur l'année, ce qui n'est pas trop mal pour un truc qui ne nous demande pas de temps, quasi aucun temps pour s'en occuper. Mais le but de la salle de tournage, c'est plutôt de générer des leads pour l'agence ou pour l'accompagnement ou pour créer un pro. C'est-à-dire que le but de la salle de tournage, c'est de faire de la pub pour faire découvrir la salle de tournage. Et quand ils viennent dans la salle de tournage, leur parler de ce qu'on fait à côté et pouvoir les transformer en clients. C'est à peu près ça l'objectif pour vous faire... Pour vous faire simple, ces objectifs-là, ils rentrent plus généralement dans une vision globale d'écosystème. Et après, je vous parlerai de tout ce qu'on a prévu de mettre en place pour atteindre ces objectifs. Mais il faut comprendre cette vision d'écosystème où en fait, on veut vraiment être l'outil, les clés, les ressources pour aider des personnes qui ont envie d'atteindre un objectif à l'atteindre ou à développer leur projet. Ça peut très bien être des musiciens qui ont envie d'être plus visibles ou des coachs qui ont envie d'obtenir plus de clients ou des entreprises, des entrepreneurs. qui veulent développer leur activité. L'idée, c'est de faire en sorte qu'ils aient tous les outils, toutes les ressources, la communauté, tout ce dont ils ont besoin pour réussir. Et c'est pour ça qu'on a commencé à développer cet écosystème. Au début, on a, s'ils ont besoin d'être aidés, et tout le monde a besoin d'être aidé dans son activité, on a le mentorat pour pouvoir les accompagner, pour pouvoir les aider. Ensuite, du coup, ils ont besoin de gagner du temps sur leurs réseaux sociaux. Donc là, on a l'outil CréaPro qui vient en complément du mentorat. Peut-être qu'au bout d'un moment, ils ont suffisamment de chiffre d'affaires, ils en ont marre de le faire eux-mêmes et ils ont envie de le déléguer. Donc là, on a l'agence qui rentre en compte. sauf qu'ils n'ont pas de lieu pour tourner leur contenu. Donc, derrière, ils peuvent venir directement tourner leur contenu. Et le but, c'est d'intégrer tout ça, tous ceux dont nos clients pourraient avoir besoin, pour à la fois des clients de CréaPro, on fait de l'acquisition directement sur CréaPro, donc des personnes qui viennent sur CréaPro peuvent devenir clients du Mentora par la suite, ou au contraire, des personnes qui viennent sur la salle de tournage peuvent devenir clients de l'agence par la suite. Et en fait, le tout s'envoie des clients les uns les autres, et on a tout cet écosystème qui est quand même super intéressant. Pour vous prendre un petit peu un exemple, C'est comme si j'avais un restaurant et dans ce restaurant, je me fournissais à un agriculteur qui vendait des pommes de terre. Et cet agriculteur-là, il avait des prix un petit peu élevés. Et à la place d'acheter ses pommes de terre, je me dirais, je vais ouvrir mon propre champ de pommes de terre. Comme ça, je vais maîtriser à la fois les pommes de terre, mais à la fois le restaurant. Et du coup, je vais vendre des pommes de terre d'un côté. Donc tous ceux qui viennent acheter des pommes de terre, je peux leur parler du restaurant. Donc à terme, je pourrais les convertir sur le restaurant. Mais en plus, je m'achète à moi-même mes pommes de terre, donc elles sont moins chères et c'est plus intéressant. Et tous ceux qui viennent au restaurant, je peux leur dire, écoute, je vends des pommes de terre à côté. Et du coup, j'ai tout l'écosystème comme ça. Et c'est ce qu'on est en train de réfléchir à créer, ce qu'on a commencé à créer et ce qu'on est en train de développer plutôt. Et donc, pour développer tout ça, il y a différents axes qui vont être à prendre en compte pour faire en sorte de bien développer notre activité et d'atteindre ses objectifs. Le premier, c'est de structurer une bonne équipe. Une équipe solide et je pense que travailler avec les bonnes personnes, ça c'est le point le plus important. Là on commence à être plus d'une petite vingtaine dans l'équipe, donc ça se développe quand même bien. Mais pour atteindre des objectifs, on devrait être encore plus, donc développer une équipe solide, avoir des personnes impliquées solides et avoir les meilleures personnes à chacun des postes pour atteindre cette vision-là. Ça, c'est la première étape. La deuxième étape, du coup, ça va être de développer toute la partie organique qui, pour moi, est ultra importante, d'autant plus dans les années à venir parce qu'on le voit notamment avec ChatGPT et tout ça et tous les outils d'intelligence artificielle qui arrivent. Ce qui se passe, c'est que vous pouvez être concurrencé à n'importe quel moment et je pense que peu importe votre activité, à un moment, vous allez être concurrencé ou pas par un robot ou par un outil d'intelligence artificielle. Et pour moi, le seul truc qui va réellement rester, c'est justement le lien qu'on va réussir à créer avec les autres êtres humains. Donc la communauté et la proximité qu'on va réussir à créer avec cette communauté. C'est aussi pour ça que je crée ce podcast, parce que pour moi la communauté c'est l'un des trucs les plus puissants. Et on le voit notamment avec même des youtubeurs qui ont une grosse communauté. Quand je vois à l'international MrBeast avec la série qu'il a sortie là sur Prime Vidéo, ou quand je vois même en France Inox Tag qui a monté l'Everest et qui a sorti un manga si je ne me trompe pas derrière. Le manga il a été top 1 des ventes très rapidement, alors qu'en fait il n'a aucune expérience dans le manga. Et avec leur communauté, ils peuvent vendre de tout et n'importe quoi. Et je me dis, aujourd'hui, si on développe une communauté et qu'on a en plus le sens business, parce qu'eux, ils ne s'en servent pas pour lancer leur propre business. Je pense qu'ils gagnent suffisamment. Ce qui les intéresse, c'est de créer du contenu. Mais si nous, on a cette logique business derrière, mais on peut faire des dingueries. Des dingueries que ce soit au niveau business, mais que ce soit pour aider des personnes. Il y a tellement de choses à faire. C'est absolument dingue. Donc, développer à fond la communauté, que ce soit à travers YouTube, à travers pas mal de projets. qu'on a et je pourrais faire un podcast sur c'est quoi ma stratégie de contenu concrète parce que j'ai une stratégie bien précise avec tous les canaux de communication qu'on utilise aujourd'hui chez le mentorat, ceux qui sont importants ou pas et du coup ça c'est le deuxième plan et le troisième plan ça va être de développer les compétences, de se focaliser sur faire et s'occuper des tâches essentielles et moi un truc que j'aime bien dire c'est si je ne suis pas encore au résultat que je veux, c'est que je ne suis pas la personne je ne suis pas encore la personne que j'ai besoin d'être pour être à ce résultat là Donc j'ai besoin de devenir le Matisse entrepreneur qui sait comment générer X millions d'euros de chiffre d'affaires. Donc là ça serait faire avec toutes les boîtes cumulées un peu plus de 2 millions, 3 millions d'euros plutôt, un peu plus de 3 millions d'euros sur cette année 2025. Donc est-ce que je suis le Matisse qui sait générer 3 millions ? Pour le moment pas forcément. Peut-être que c'est juste une question de temps et de structure mais du coup j'ai besoin de changer mon identité, changer ma façon de voir et de faire les choses pour passer un step aussi dans mon activité. Et ça, ça va faire absolument... toute la différence. Donc, d'où ce que je disais aussi au début de ce podcast, forcément, je pense qu'il y a des choses à lâcher, un petit peu comme quand j'ai lâché la personne qui ne me payait plus trop, la personne que j'avais en sous-traitance, enfin, qui me sous-traitait des clients en 2020, ouais, 2020, et où j'ai eu cette première leçon et ce premier déclic, qu'est-ce que je vais devoir lâcher ? Quelle croyance je vais devoir abandonner ? Et je pense avoir la piste, l'idée pour moi, c'est de me focaliser sur faire moins de choses, de manière opérationnelle. mieux déléguer parce que là, je fais encore plein de petites tâches à droite à gauche. Sauf que si cette tâche, je peux la déléguer pour 20 euros de l'heure, en fait, je peux me concentrer sur faire des trucs plus intéressants, plus importants et donc, je peux aller aussi beaucoup plus vite dans mon activité. Donc, voilà un petit peu la manière dont je prévois d'atteindre cet objectif. Et la dernière chose, c'est quoi la vision derrière ? Et c'est quoi ce que j'ai envie de construire à travers toutes ces choses-là ? Alors, comme je l'ai dit, Le but, c'est vraiment de faire un écosystème et de jouer à fond sur l'effet de levier. L'effet de levier, moi, je le vois de telle sorte parce que j'ai un premier projet qui peut envoyer des clients vers un autre projet. Et en fait, chaque projet se sert les uns les autres. Et quand j'ai décidé de relancer l'agence, là, on a relancé l'agence il y a quelques mois pour gérer directement parce qu'on avait pas mal de demandes. On a quand même pris quelques demandes, mais on le faisait vraiment de manière ultra ponctuelle et vraiment, on refusait beaucoup de clients sur l'année 2023, du coup, où on faisait de la gestion. direct pour eux, que ce soit au niveau de leurs réseaux sociaux ou au niveau de leur publicité. Et du coup, nous, quand on a décidé de relancer l'agence, au début, je l'ai relancée pour moi, l'agence. Et je me suis dit, ok, on a besoin de quelqu'un qui gère nos publicités, parce que moi, j'en ai marre de m'en occuper. Donc, et on a besoin de quelqu'un qui gère l'organique, donc tout ce qui est réseaux sociaux, parce qu'on a envie de mettre un gros coup de boost, en plus de ce qu'on faisait déjà, parce qu'on avait déjà une personne. On a envie de mieux structurer ça. Donc, ce qu'on va faire, c'est qu'on va créer une agence. Cette agence, elle va gérer du coup directement nos réseaux, nos publicités, mais en plus de ça, elle va gérer les réseaux et les publicités d'autres clients. Comme ça, l'agence va se développer. Moi, ça va me permettre de gagner de l'argent et elle, l'agence, elle va aussi gagner de l'argent directement et en fait, elle va être autofinancée. C'est un petit peu que si je reprends mon exemple, le restaurant avec le champ de patates, c'est comme si je me disais, ok, à la place d'acheter mes patates, j'achetais le champ de patates, comme ça, il m'appartient. Le champ de patates, il me permet de gagner de l'argent parce que je vends les patates, mais à côté de ça, il me permet aussi... d'avoir les patates moins chères et de renvoyer des clients directement vers mon restaurant et mon restaurant peut renvoyer des clients vers le champ de patates ce qui est un petit peu l'objectif de tout l'écosystème. Donc le but c'est de créer un maximum d'effets de levier et je pense que là on a un bon écosystème, il y a un seul truc qui manque c'est un aspect coworking parce qu'on a aussi un coworking sur Lyon, je fais très simple. En gros, on a loué des bureaux qui sont beaucoup trop grands, qui font quasi 200 mètres carrés, donc qui sont beaucoup trop grands pour ce qu'on en fait, parce qu'on est à travailler dans tous les coins de la France dans l'équipe, voire dans le monde parce qu'il y a des personnes qui travaillent en dehors de la France. Et on s'est dit, bah ouais, là, ces bureaux, on a quasi 200 mètres carrés pour être trois à travailler dedans, ça sert à rien, donc on va les soulouer. Donc on va faire un genre de co-working. C'était notre projet de base, on voulait faire un co-working. Et du coup, on est, Maëlys, qui est la copine de Maxence et notre assistante. Maxence qui est mon frère jumeau et moi-même à travailler dedans et une autre personne du coup qui s'occupe de la communication maintenant qui est directement dans les bureaux mais on s'est dit ok, ce qu'on va faire c'est qu'on va faire un genre de coworking, c'est ce qu'on a fait c'est ce qui fonctionne très bien et du coup on n'a pas plus de place mais l'idée ça serait à terme ouvrir comme ça des coworking des salles de réunion de partout en France et créer un vrai écosystème où si on veut, on ne sait pas comment développer son activité, on a une aide avec le mentorat Nous, on peut aider nos clients à développer leur activité. Derrière, on est seul chez soi. On a des co-working de partout en France. On ne sait pas où tourner son contenu. On a des salles de tournage de partout en France. On n'arrive pas à trouver des bonnes idées. On a marre de publier son contenu. On a notre logiciel qui permet de quasi tout faire à la place de la personne. On veut externaliser ça et plus gérer. On a l'agence qui permet de gérer à la place de la personne. Et là, on aurait un écosystème ultra complet qui nous permettrait justement d'exploser tous les scores. Donc, le but, c'est de développer cet écosystème. La partie coworking, mais de manière très restreinte, on a une dizaine de personnes sur Lyon dans nos bureaux. Donc le but, ce serait vraiment de développer ça à fond, d'aller chercher un maximum de résultats et surtout de faire en sorte d'avoir le plus gros écosystème possible pour vous aider. Ça reste quand même la motivation principale pour vous aider à développer votre activité au mieux. Et c'est ce qu'on est en train de développer et c'est ce que je vais vous partager à travers ce podcast. Étant donné que là, les projets sur lesquels on met un focus, c'est certes le mentorat, créa pro l'agence aussi le studio de tournage on veut pas forcément beaucoup le développer par la suite parce qu'en fait c'est pas ce qui va nous rapporter le plus on en a conscience et parce qu'on est très peu cher par rapport à la concurrence on est entre 60 et 100 euros 60 la demi journée 100 euros la journée donc en fait on peut pas gagner énormément d'argent par contre ça nous permet d'avoir des leads assez intéressant et des personnes assez intéressante donc on s'est dit est ce que on en ouvrirait pas plus et donc peut-être qu'on le développera au fur et à mesure, mais peut-être qu'on prendra un associé qui le développe avec nous, donc si ça vous intéresse, vous pouvez nous envoyer un petit message. On va voir comment on le structure, mais là, la principale chose qu'on souhaite développer, c'est le mentorat CréaPro avec l'agence, et après, pourquoi pas développer toute la partie coworking et développer la partie salle de tournage, studio de podcast, studio de tournage, mais comme je l'ai dit, un point clé pour moi, c'est de bien s'entourer. Pour le moment, on n'a pas forcément l'équipe, la structure et le but, c'est aussi, comme je l'ai dit, d'aller vers les tâches qui rapportent le plus parce que quand on a de l'argent, on peut déléguer, structurer et du coup, on peut aller plus vite. Donc, le but, c'est d'aller vers ce qui rapporte le plus, plus vite pour développer et grossir plus vite. Donc, on le développera et on continuera à le faire évoluer au fur et à mesure. D'autant plus que ce qui est intéressant, c'est qu'après, avec tout ce qui est co-working et ça de tournage, on peut acheter les murs et du coup, ça nous crée du patrimoine immobilier. Sachant que je ne l'ai pas dit, mais on est en train aussi d'investir en immobilier. C'est le gros avantage d'avoir sa boîte en France, même si on paye beaucoup d'impôts. derrière on peut lever pas mal de crédit donc ça nous permet d'avoir pas mal de patrimoine qui s'autofinance si on gère bien avec de l'investissement locatif ou autre et c'est ce qu'on est en train de faire mais bon c'est un truc annexe quoi c'est mon frère qui gère moi honnêtement je me je veux faire du crédit pour faire du patrimoine parce que c'est dommage de pas aller au max de sa capacité d'endettement surtout si on peut emprunter parce que c'est comme si on avait de l'argent qui dormait qui ne servait à rien alors qu'il pourrait servir mais c'est pas ma passion pour le moment de faire ça, ça s'inscrit dans une stratégie business, mais du coup c'est plutôt mon frère qui gère à ce niveau là. Donc l'idée, en termes d'objectifs, je parle toujours en termes de chiffre d'affaires, parce que pour moi c'est le plus simple et on a défini à la fin de l'année ou à la fin de la période de temps qu'on s'est donné, si oui ou non on a atteint cet objectif. Pour moi ça serait d'aller chercher 10 millions par an sous deux à trois ans, on le fera pas en 2025, trop tôt on va se cramer les ailes, ça pourrait si on fait des levées de fonds autres, mais on fera pas et je... Enfin, c'est trop tôt. On a besoin d'être suffisamment structuré. Mais du coup, là, l'idée, c'est simplement en développant l'écosystème. Et après, ce serait encore de faire x10. Donc là, je n'ai pas de période de temps, mais j'ai la vision. Donc, aller chercher 100 millions par an. Par contre, là, l'idée, ce serait de créer un écosystème, racheter des boîtes complémentaires à nous. Donc, en fait, absorber des concurrents directement, racheter des outils. Imaginons que nos clients ont besoin d'un CRM ou d'un logiciel pour leur facturation. Ou même d'un comptable. Allez, on va prendre l'exemple d'un comptable. On sait que nos clients, au bout d'un moment, ils sont souvent en micro quand ils débutent et ils ont besoin de passer en société parce qu'ils ont du résultat. Donc, nous, ce qu'on pourrait prévoir de faire, c'est racheter un comptable. Alors, c'est un peu plus complexe parce qu'on a besoin d'avoir un expert comptable dans la boîte, etc. Et du coup, intégrer directement la comptabilité de tous nos clients. Donc, faire de l'acquisition sur la compta. Et tous les clients de la compta qui n'ont pas assez de chiffre d'affaires, on leur dit, tiens, fais-toi aider. Du coup, fais-toi aider par notre propre boîte et comme ça, continue à développer l'écosystème. Donc, ça serait racheter des boîtes. qui ont déjà un actif et déjà du chiffre d'affaires, ça évite de partir de zéro et ça évite de tout construire. Donc ça, ça serait surtout la vision qu'on aurait envie de créer. Et du coup, ça serait de construire cette vision, racheter plus de boîtes pour grossir et aller chercher une belle valo et surtout un très beau chiffre d'affaires. L'autre point qui est assez important, sur lequel on ne s'est jamais vraiment posé la question pour être transparent, c'est est-ce que... Pour atteindre cette vision, on pourrait l'atteindre beaucoup plus vite si on fait des levées de fonds, des choses comme ça. On a des concurrents qui ont fait des levées de fonds, c'est-à-dire qu'il y a des investisseurs qui prêtent de l'argent contre une partie de la boîte. Je pense qu'on pourrait lever beaucoup, plusieurs millions assez facilement aujourd'hui au vu des chiffres et de ce qu'on fait et de la vision qu'on pourrait avoir. Mais je ne pense pas, enfin, ce n'est pas ce qui nous intéresse pour le moment parce que du coup, là, on est 100% maître de notre activité. On détient 100% de l'activité avec mon frère et avec les autres associés parce qu'on a plusieurs boîtes, encore une fois, comme je l'ai répété. Donc avec des associés différents à chaque fois, notamment sur l'agence et sur Créapro. Donc ça, c'est une réflexion qu'on a ou qu'on pourra avoir, qu'on n'a pas forcément tout de suite. Et l'autre point à prendre en compte aussi, c'est que je fixe mes objectifs beaucoup en termes de chiffre d'affaires. Mais en fait, je m'en fous de l'argent pour l'argent. Et je pense que c'est important, mais je ferai un podcast sur ça, de comprendre pourquoi est-ce qu'on se fixe ces objectifs et pourquoi ces objectifs, ils sont importants pour nous. Parce que faire de l'argent pour devenir de faire de l'argent, je m'en fous. Et de manière personnelle. Je ne dépense pas énormément. J'ai mon appartement à Lyon 6, qui est quand même un bon quartier de Lyon pour ceux qui connaissent, mais qui est surtout à côté des bureaux, ce qui est l'objectif. Moi, je ne voulais pas être trop loin des bureaux. Ça me met 4 minutes en trottinette le matin. Et puis voilà. Mais je ne vais pas faire de l'argent pour faire de l'argent. Et certes, c'est un facilitateur au niveau de son train de vie et ça nous permet aussi d'éviter certains problèmes du quotidien. mais je suis pas attiré uniquement par ça je pense que je suis plus attiré par l'aventure par tout ce que ça peut créer et surtout par l'impact qu'on peut avoir parce que je vois l'argent un petit peu comme un comme des personnages qu'on va venir faire travailler si j'ai un euro je vais réinvestir dans ma boîte c'est comme un petit personnage que je vais faire travailler qui va me rapporter d'autres euros etc etc et c'est un petit peu comme un jeu je vais pouvoir grossir ça au fur et à mesure et où je vais pouvoir gagner de plus en plus au fur et à mesure et là ça va me permettre de créer beaucoup plus de valeur Et ça va me permettre surtout d'avoir un impact beaucoup plus positif. Parce que c'est ça qui est bien avec l'entrepreneuriat. C'est pour moi le truc qui vous permet d'avoir le plus d'impact sur la vie des gens, que ce soit positif ou négatif. Mais c'est l'un des points qui peut vous permettre de plus changer le monde à votre façon ou de créer le monde idéal ou en tout cas la vision idéale que vous avez du monde. Et ça, c'est quelque chose quand même assez dingue. Donc, ça serait l'idée à travers toutes ces activités. Et je pense qu'après, il y a d'autres choses. qu'on développera et je pense que ça ira aussi beaucoup plus loin, mais ça serait l'objectif là déjà à travers tout ce qu'on veut créer. Donc voilà un petit peu pour ma vie, ma vision, mes objectifs, ce que j'ai envie de construire, les raisons de ce podcast aussi. N'hésitez pas à me dire si ça vous a plu, ceux qui ont écouté ce podcast. Franchement, c'est tout nouveau pour moi et je parlerai aussi de toutes ces choses-là, mais c'est une compétence que je dois apprendre. Là, j'ai tourné ce podcast avec mon micro, j'ai quand même vérifié, comme je vous le disais, le son, mais sans plus. C'est tout nouveau pour moi. Mon but, pour moi, c'est d'être le plus transparent, le plus naturel possible. Pas que ça soit une prise de tête aussi à tourner et avoir quelque chose d'assez sympa et d'assez naturel. Et de vous partager surtout un maximum ma vie, mes apprentissages, mes leçons. Et que ça puisse vous inspirer, que ça puisse vous aider à développer votre activité. Donc, je vous souhaite une très belle journée. J'espère que le podcast vous a plu. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Mathis Pupo sur Instagram. Et en attendant, je vous souhaite une très belle journée. Ciao tout le monde !

Description

Bienvenue dans Mon Carnet d'Entrepreneur ! 📖✨


Un espace sans filtre où je partage mes ambitions, mes réussites, mes défis, les coulisses de mes projets et surtout mon cheminement d’entrepreneur.


Le but ? Vous emmener avec moi dans cette aventure, vous faire vivre mes avancées, mes difficultés et mes réussites pour qu’on évolue ensemble.


Dans cet épisode, on va voir :
• Toute mon histoire : d’où je viens, comment j’ai commencé et ce qui m’a mené ici
• Les objectifs et la mission derrière ce podcast
• Comment on prévoit d’atteindre 2 à 3 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année
• L’écosystème qu’on veut créer pour aider un maximum d’entrepreneurs à faire décoller leur business


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous, bienvenue dans ce podcast, bienvenue dans ma tête et bienvenue dans mon carnet d'entrepreneurs. Je suis super content de vous retrouver aujourd'hui. Ça fait quelques années que je réfléchis à faire un podcast. Je commençais à y réfléchir en 2020-2021 et je n'ai jamais osé créer mon podcast. Alors, j'avais fait un épisode en 2020, si je ne me trompe pas, ou en 2021. Et au final, je m'étais arrêté là. Et là, je lance. officiellement ce podcast. Je vais vous expliquer pourquoi est-ce que je le lance, pourquoi est-ce que je le lance maintenant et surtout tout ce que j'ai envie de créer, pourquoi je l'ai appelé carnet d'entrepreneurs parce que le nom aussi a une symbolique même si ChatGPT m'a pas mal aidé à trouver le nom, je vais pas vous mentir. Alors aujourd'hui on va parler de pas mal de petites choses. Déjà dans ce premier épisode, je vais faire une introduction, je vais vous expliquer pourquoi je crée ce podcast et qu'est-ce qu'on va voir dans ce podcast. On va aussi parler de tous les objectifs, toute la vision que j'ai. sur cette année 2025 et sur les années à venir. Parce que vous allez le voir, mon but à travers ce podcast, c'est surtout de vous embarquer avec moi, de vous faire vivre à la fois mes objectifs, mes difficultés, mes réussites, et de vous faire vivre mon quotidien pour vous permettre d'avancer, de vous inspirer et d'évoluer dans vos projets. Pour vous dire, cette année, on prévoit de faire entre 2 et 3 millions d'euros. Donc, je vais tout vous expliquer comment est-ce qu'on fait, pourquoi est-ce qu'on veut faire ça aussi, parce que c'est important de se poser la question pour comprendre où est-ce qu'on va derrière. Et surtout, c'est quoi la suite sur ce podcast ? Alors... Pour commencer, pourquoi est-ce que je fais ce podcast ? Il y a plusieurs raisons. La première, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai pas forcément d'endroit où je peux m'exprimer sur tout et rien. YouTube, j'ai repris YouTube, si vous avez vu ma vidéo ou des messages que j'ai partagés un petit peu de partout. Il y a quelques temps, en fait, à l'heure où vous écoutez ce podcast, ça va aussi peut-être différer. Mais je poste pas mal sur YouTube, mais j'ai envie quand même de rester cadré, que ce soit sur Instagram, les réseaux sociaux, le développement de son activité. Instagram aussi, en fait sur les réseaux sociaux le truc c'est que pour moi on doit quand même garder un format, un cadre, je parlerai de ma stratégie média, ma stratégie sur les réseaux plus tard si vous voulez dans un autre épisode, mais en fait chaque réseau a un objectif et je dois quand même garder un cadre, mais en fait j'ai plein de sujets qui sont super intéressants et que j'ai envie de partager, enfin super intéressants selon moi, vous allez me dire si c'est intéressant pour vous, et j'ai vraiment envie de créer comme un journal intime, quelque chose où je peux partager tout et rien, quelque chose où je peux juste prendre mon téléphone, enregistrer, et l'uploader, et comme ça, faire suivre mes aventures de fil en aiguille, et avancer avec vous. Et pour moi, le format podcast, c'est le format qui s'y prête le mieux. Et ça, c'est ma deuxième raison, parce que je n'ai pas besoin d'avoir une logistique très compliquée. Je peux juste enregistrer un épisode. Je n'ai pas besoin de me prendre la tête. Je peux parler de tout et rien. Et puis, c'est super. La troisième raison, c'est que j'ai beaucoup été inspiré par de nombreux podcasts. Alors moi, j'écoute des podcasts à titre personnel. Et il y a un podcast qui m'a pas mal aidé. C'est un podcast de Julien Musy. Je ne sais plus le nom de son podcast, mais je pense qu'il s'appelait juste Julien Musi, si je ne me trompe pas. Et dans ce podcast, il expliquait en gros comment ce qu'il est. Il parlait à des entrepreneurs qui faisaient déjà quelques milliers d'euros et qui voulaient faire quelques dizaines ou centaines de milliers d'euros par mois. Et je sais que ça m'a énormément aidé et je me revois écouter ces épisodes. Je me revois même à Budapest en 2022, si je ne me trompe pas, donc il y a quelques années. Et j'étais comme ça en train de visiter Budapest et j'écoutais ces épisodes. Et en fait, certes, ça m'apportait des conseils, ça m'apportait de la valeur, ça m'apportait des stratégies, des choses que je pouvais utiliser pour moi et pour mon activité. Mais surtout, ça m'inspirait de dingue parce que je voyais ce gars qui était plus avancé que nous dans son activité. Et je me disais, mais attends, lui, il a réussi à construire tout ça. Et en fait, juste l'écouter parler, voir la manière dont lui, il imaginait les choses, la manière dont ça se structurait dans sa tête, la manière dont il construisait son business et son activité. Et je me disais, mais c'est juste dingue quoi. En fait, ça m'inspirait beaucoup et ça me donnait de la motivation pour avancer. Et il m'apportait un fil directeur, un petit peu comme un mentor. Après, il nous a beaucoup aidé, ce gars, à développer notre activité. Et en fait, pour moi, le podcast, c'est une super façon de transmettre sans se prendre la tête. Et des fois, ça crée aussi plus de proximité. En tout cas, c'est ce que j'espère avec vous. Et le fait de ne pas se prendre la tête, de tourner un épisode comme ça, le truc qui est aussi assez intéressant, alors j'ai quand même vérifié le son avant de tourner ce podcast. c'est qu'on peut partager tout et rien et ça peut sûrement parler là où des fois on se met peut-être un petit peu plus de cadre et c'est vraiment le but de transmettre de façon totalement transparente. Et le dernier objectif qui est un petit peu dans cette même lancée, c'est que j'ai pas mal, j'ai une belle vision, vous allez le voir, des beaux objectifs que ce soit pour cette année et les années à venir. Et en fait, j'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça. J'ai envie de vous emmener avec moi pour construire tout ça pour qu'à la fois ça puisse à votre tour vous inspirer, en tout cas j'espère, mais que ça puisse aussi vous aider, vous apporter des conseils. et de vous permettre de vous développer à travers votre activité et de vous permettre surtout de vouloir construire de très belles choses. Et j'espère en fait de vous embarquer avec moi dans un mouvement d'entrepreneurs qui ont envie de développer leur activité, de changer le monde et de créer quelque chose de grand à son échelle. Peu importe, on n'est pas obligé de vouloir faire des dizaines de millions d'euros, mais ça peut être de vouloir créer un impact positif à travers son activité et peu importe l'activité à son échelle. Et c'est ça ce que j'ai envie de véhiculer à travers ce podcast. Alors aujourd'hui, je vais parler de différentes choses. En fait, j'ai envie de faire une rétrospective sur absolument tout. Tout ce que j'ai vécu, que ce soit de manière perso, aussi comment est-ce que j'en suis venu à mon activité. En fait, vous parler de mon histoire de manière très simple et surtout de vous parler des objectifs à venir sur cette année. mais aussi de toute la vision que j'ai, pourquoi est-ce que je crée tout ça, et c'est quoi la destination finale, où est-ce qu'on veut aller avec mon frère, parce que je travaille avec mon frère, mais j'aurai l'occasion d'en parler, et toutes ces choses-là. Donc c'est ce dont je vais parler aujourd'hui, de manière assez transparente. Je ne vais pas faire de cut, peut-être qu'il y a des fois où je vais bégayer, peut-être qu'il y a des fois où ça sera un petit peu moins clair, je vais me perdre dans mes pensées, mais c'est aussi ce que j'ai envie de véhiculer, et peut-être qu'un jour je rendrai ce podcast un peu plus professionnel, Ce n'est pas forcément ce que j'ai envie pour le moment. Donc, j'ai envie juste de parler. Et c'est pour ça aussi que je l'ai appelé carnet d'entrepreneur. C'est ce que je vous disais tout à l'heure. C'est le but vraiment de carnet d'entrepreneur. Alors, je risque de me tromper aussi entre livre d'entrepreneur ou autre. Là, j'ai défini le nom il n'y a pas longtemps parce que pour moi, ce n'était pas le truc le plus important. Mais en fait, je trouve qu'il fait carrément sens parce que c'est comme si je parlais à moi-même. C'est comme si je parlais à un carnet. Et en fait, vous pouvez suivre ce carnet, suivre mon aventure. Et j'espère créer la plus belle histoire possible. pour vous qui m'écoutez, mais aussi pour moi et pour toutes les personnes qu'on va pouvoir aider avec notre activité et nos différentes activités. Donc, je reviens à mon histoire et comment je me suis lancé dans l'entrepreneuriat. Et pour ça, il faut revenir à ma naissance. Et j'ai eu un problème à la naissance. Je vais vous expliquer pourquoi je vous raconte ça, mais j'ai eu un problème à la naissance. Je suis né, du coup, j'ai un frère jumeau qui est faux jumeau. Donc, on était dans deux poches différentes. Donc, lui, il n'a pas eu de problème. Et globalement, j'avais le ventre ouvert en deux. Et en fait, je suis l'une des seules personnes. Petite anecdote que je connaisse, enfin je suis la seule personne que je connaisse au monde, alors je ne dis pas qu'il n'y en a pas d'autres, mais qui n'a pas de nombril. Je n'ai pas de nombril parce que je suis né avec le ventre ouvert en deux, donc il y a eu des complications, j'ai une cicatrice, mais je n'ai pas de nombril. Et en fait, ça a bien commencé ma vie, alors même si c'était une épreuve assez compliquée, moi je ne m'en souviens plus, mais pour mes parents, mais directement j'étais un petit peu différent. Et vous allez voir, on a commencé avec mon frère à faire des choses, on a commencé à lancer nos premiers projets, nos premières boîtes. très jeune, et à faire des petites choses à droite, à gauche. Et je pense que ça marque bien cet accident de naissance. Alors, ce n'est pas forcément un accident, c'est plutôt une malformation. Je ne sais pas vraiment comment l'appeler, mais ça marque bien tout le reste de ma vie. Et j'ai eu une enfance un peu dissipée. Alors, dissipée, pas dans le sens où j'étais mauvais élève, j'étais un très bon élève, j'étais très cadré, vraiment, je ne faisais jamais de problème. Par contre, je rêvais tout le temps. J'étais vraiment un enfant très rêveur. Et j'étais un petit peu dissipé dans le sens où j'avais toujours la tête dans la lune. Je partais un petit peu à droite à gauche. Et on fait comme ça notre scolarité, donc le début de notre scolarité avec mon frère jumeau ensemble, dans un petit village en Isère, à côté de Lyon, pour ceux qui connaissent. Et du coup, ce qui se passe, c'est que j'arrive en sixième. J'arrive en sixième en étant un très bon élève. Je suis l'un des meilleurs élèves de ma classe. Je suis toujours avec mon frère, avec mon frère jumeau. Et en fait, on commence à lancer nos premiers petits projets. On commence à lancer nos premiers petits projets. On ne fait pas des projets de dingue, on n'est pas Bill Gates à l'époque, on vend des cartes Pokémon, des fois on fait des vides greniers. Donc en fait, ce qu'on fait, c'est qu'on rachète des trucs à des membres de notre famille et on les revend aux vides greniers. Ou alors sur le vide grenier, on achète des trucs qu'on revend derrière, etc. Et ce qui se passe quand j'arrive en sixième, c'est que petit à petit, je commence à décrocher sur le scolaire. Je parle sur le plan scolaire, je commence à décrocher parce que je ne trouve plus vraiment de sens, je ne comprends pas pourquoi on fait ça. J'ai d'autres centres d'intérêt, d'autres choses qui m'intéressent. Notamment à l'époque, il y a un peu les jeux vidéo et le foot qui viendra par la suite, surtout en troisième, quatrième, j'ai vraiment la vision d'être footballeur professionnel, l'envie d'être footballeur professionnel sans avoir le niveau parce que j'avais un problème au talon, enfin j'avais un problème au talon du coup je ne pouvais pas courir, je pouvais pas m'entraîner je pense que même si j'avais pas eu ce problème au talon je serais pas footballeur professionnel, je vais pas me mentir j'avais juste pas le niveau, j'étais à des années-lumière d'avoir le niveau d'être footballeur pro Mais du coup, c'était quand même mon objectif et je me rappelle, c'était au début lycée, peut-être fin collège, à chaque fois que je rentrais, même s'il neigeait, je prenais un ballon et je m'entraînais à faire des jongles. Je partais très loin parce que je n'avais pas du tout de niveau, à être plutôt bon, en tout cas ça passe. Je prenais mon ballon, je faisais des jongles des fois dans la neige et je me rappelle d'une anecdote que j'aime raconter, c'est que j'allais tout le temps m'entraîner au stade de foot de mon village qui était peut-être à 500 mètres, 1 km de chez moi. Donc, j'y allais en vélo. Et j'étais allé en vélo un jour où il neigeait, donc j'avais pris une pelle à neige dans mon sac à dos, une petite pelle à neige, j'avais déneigé le terrain, et tellement j'avais froid aux mains, après j'étais pas très intelligent, j'avais pas pris de gants, mais tellement j'avais froid aux mains, j'arrivais plus à fermer les mains pour mettre mes freins, et du coup je freinais avec mes pieds, et je devais tomber de mon vélo pour freiner, et du coup c'est une petite anecdote que je raconte, j'ai fait ça une fois, je faisais pas ça tout le temps non plus, mais du coup j'avais vraiment cette envie d'être footballeur pro. Et avec le recul, quand je vois un petit peu tout ce que je faisais, j'agissais et encore aujourd'hui, j'agis de la même manière, de manière un peu autistique. C'est-à-dire que je me concentrais sur un seul truc et je ne faisais rien d'autre à côté. Et je ne voyais que ça, je ne faisais que ça. Je pense, mais c'est encore le cas aujourd'hui avec mon activité et mon business. C'est pour ça aussi que ça fonctionne bien, je pense. Je ne pense qu'à ça, je ne développe quasi que ça. Alors certes, je pense à deux, trois petites choses à droite, à gauche. Mais je me concentre vraiment de manière quasi exclusive à ce projet, à ce truc que j'ai en tête. Donc ce qui se passe ensuite c'est que avec mon frère, on se rend compte, enfin moi je veux être footballeur pro et on se rend compte que j'ai pas le niveau. Donc ce que je décide de faire c'est que je me suis dit ok je vais développer une page Instagram autour du foot et je développe cette page. Je prends vraiment plein de temps pour développer cette page, comprendre les stratégies, les trucs. Et au final on arrive à quand même développer cette page. J'ai quand même un petit peu d'abonnés, je développe la page à quelque chose comme 15 000 abonnés. Ce qui est très bien. Je ne gagne pas énormément d'argent parce qu'en plus, je gérais ça n'importe comment. Donc, les abonnés, c'était à moitié des personnes turques qui venaient de Grèce. Il y avait vraiment de tout. Mais par contre, j'ai quelques petits partenariats. J'ai dû gagner des t-shirts et des chaussures, des choses comme ça. Et ce qui me paraissait très bien et surtout ce qui nous donne l'envie d'entreprendre, de créer d'autres choses par la suite. Et du coup, ça, c'est dans notre scolarité. Et en fait, tout à l'heure, je vous disais que j'ai décroché. J'étais de plus en plus sur mes objectifs, que ce soit à travers le foot et toutes ces choses-là. Et autour de moi, on me dit que ça c'est pas bon, on me dit que ça c'est un objectif à côté, que c'est une passion certes. Mais en fait, on me fait prendre conscience que ce qui est important c'est de travailler à l'école sans que je comprenne réellement pourquoi. Et je commence comme ça à tomber dans une perte de sens parce que ce qu'on fait à l'école ça me sert pas du tout. Enfin pour moi je comprends pas du tout en quoi ça va m'aider et pour moi ce que j'ai envie de faire c'est mes projets que j'ai à côté. Et petit à petit je tombe un peu dans cette perte de sens, je tombe vraiment dans ce truc là où je me dis mais... En fait, ça sert à quoi ? Et il arrive plein d'autres problèmes. À l'époque, j'ai eu pas mal d'acné et je prends un médicament qui s'appelle Roaccutane, qui justement est connu. C'était un ancien médicament pour ceux qui ne connaissent pas, qui était censé soigner un cancer de je ne sais plus quoi, qui est connu pour créer un peu de la dépression, de la déprime. Et en fait, je rentre dans une phase où je ne suis pas bien du tout, où je suis totalement déprimé parce que je n'ai pas forcément confiance en moi avec l'acné et tout. plus derrière je suis en perte de sens total parce qu'à chaque fois que je développe un projet, que ce soit les profs ou autres, on me dit que ça ne sert à rien en fait et qu'il faut se concentrer sur quelque chose qui ne fait pas sens pour moi ou je ne vois pas de finalité ou je me dis mais ça sert à quoi quoi ? En fait je continue à aller à l'école parce qu'on me dit va à l'école mais à quoi ça sert ? Et donc je vis cette phase qui est ultra compliquée pour moi à l'époque, qui est vraiment très difficile et je n'en parle pas forcément et ce qui est compliqué c'est que je suis encore assez jeune quand je vis cette phase-là Je ne sais pas trop comment l'aborder. Alors j'en parle, je suis allé voir plein de médecins. Je suis allé voir vraiment beaucoup de médecins. Des médecins, mais en tout genre. Des psys, vraiment de tout. Des hypnothérapeutes, etc. Et en fait, je me rends compte que personne ne me comprend. Et ça m'isole encore plus dans ma bulle. Ça m'isole encore plus dans mon monde. Et je continue à rêver, mais petit à petit, j'y crois plus du tout. Parce que je suis dans un truc où je me sens ultra mal. Et c'est compliqué à décrire cette sensation-là. En fait, c'est comme si on voyait le monde en noir et blanc. C'est comme si autour de nous, tout était noir et blanc. C'est comme si on n'avait plus de sensation. C'est comme si, en fait, quand on mangeait, on n'avait plus de goût. Il n'y avait plus de couleur autour de nous. Et c'est presque, moi, des souvenirs que j'en ai. C'est comme si je le voyais en noir et blanc, comme dans les films un peu tristes. Et c'est le souvenir que je m'en fais. Et en fait, c'est comme si plus rien n'avait de goût, plus rien n'avait de saveur. Même physiquement, quand on mange. Mais... quand on faisait quelque chose, quand on fait quelque chose, on ne ressent rien. C'est vraiment extrêmement perturbant et très déstabilisant. Et en fait, ça a été les montagnes russes comme ça pendant une ou deux années. Et le truc qui m'a un peu sauvé, c'est que là, j'avais vraiment plus de goal, plus de vision. J'étais vraiment perdu. Et du coup, je me retrouve en BTS parce qu'il fallait quand même faire quelque chose. Et là, je rencontre une personne dans mon BTS qui s'appelle Thibaut. et qui a été un associé, j'en parlerai juste après, mais qui me parle de l'entrepreneuriat et de toutes ces choses-là. Et on a une chance ou une malchance, j'en sais rien dans nos BTS, c'est que sur 30 personnes dans la classe, on n'est que 4 garçons. Le reste, c'est que des filles. Donc on pourrait se dire que c'est un peu sympa. Mais le truc, nous, c'est qu'on s'est fait très vite potes avec Thibaut. Et du coup... Très vite, j'ai commencé à avoir les mêmes centres d'intérêt parce qu'on avait tous les deux cette volonté, cette vision de faire des choses grandes, de sortir un petit peu du cadre. On s'est bien rencontrés pour ça. Et moi, je n'avais pas forcément ces projets d'entrepreneuriat ou de tout ce genre de choses. Mais en fait, j'avais toujours cette même vision parce que tout ce que j'avais voulu construire, que ce soit à travers le foot, que ce soit à travers les autres petits business qu'on avait lancés avec Maxence, c'était toujours dans cet état d'esprit de construire quelque chose de grand, de sortir un petit peu des normes. Et ça, ça a beaucoup fait la différence. Et donc, je rencontre Thibaut. Et très vite, on lance un premier projet. On lance une agence où on crée des sites web. On s'occupe un petit peu du marketing et de toutes ces choses-là. Pour des commerçants, ça ne se passe pas bien du tout. Parce qu'en fait, on ne fait pas ce qu'il faut pour que ça se développe bien. Mais en fait, on a un gros coup de bouse du destin. Parce qu'il y a le Covid à cette époque avec le premier confinement. Et là, on se dit, ok, c'est la chance du moment. Moi je me le dis pas comme ça à l'époque, honnêtement, mais avec le recul je me dis putain ça a été vraiment dingue. Parce qu'il y a plein de gens qui ont vu ça comme une catastrophe, et moi je l'ai vraiment vu comme une opportunité sans le voir, et je pense que c'est une des clés aussi. Peu importe ce qui nous arrive dans notre vie, il y a des choses sur lesquelles on n'a pas la maîtrise. Et ces choses-là, ça sert à rien d'essayer de maîtriser ces choses ou autre, l'idée c'est de voir comment est-ce qu'on peut avancer malgré ces choses, même négatives, qui nous arrivent, parce que, en fait, que ce soit positif ou négatif, c'est juste une façon de voir les choses. Il n'y a pas de positif, il n'y a pas de négatif. C'est juste notre façon de l'interpréter, notre façon de voir le monde qui va transformer cette Ausha en positif, en négatif, en fonction aussi de notre construction, de nos pensées, de toutes ces choses-là. Bref, on crée cette agence qui ne se passe pas très bien. Il y a le Covid qui arrive. Et là, du coup, moi, j'ai pas mal de compétences sur gérer et développer des pages Instagram parce que c'est ce qu'on a fait avec la page de foot. Et après, on a continué à faire ça. Moi, j'ai développé des pages Instagram de Lyon parce que c'est là où je faisais mes études pour les étudiants, pour pas mal de choses. Et donc, il y a des entreprises, il y a des entreprises... entrepreneurs qui nous demandent au fur et à mesure. Et là, on décide d'aider ces entrepreneurs à développer leur page. Enfin, je les gère pour eux. En fait, je fais du community management et je gère leur page. Ça se passe assez bien. Je travaille beaucoup. Et en fait, je sors un petit peu de cet état un petit peu négatif dans lequel je suis, de dépression dans lequel je suis, pour justement me concentrer sur un projet. Et là, je retrouve un projet. Petit à petit, je retrouve goût. Ça me permet aussi de gagner confiance parce qu'à l'époque, quand je lance mon projet, je suis encore assez jeune. je me dis mais attends, moi je ne maîtrise rien. Et en fait, je n'ai pas forcément de confiance. Je me fais un peu plus marcher dessus. Je n'ai pas de confiance. Je ne sais pas vraiment comment développer les choses. Et j'ai toujours été quelqu'un d'assez timide, pas forcément très confiant. Donc, ça ne m'aide pas forcément pour développer mon projet. Et de fil en aiguille, je continue à développer ça. Ça se passe bien. Au bout de 2-3 mois, je gagne quand même 1200-1300 euros par mois à peu près. Dans ces Ausha, je ne me souviens plus exactement. Mais en tout cas, je ne gagne plus de 1000 euros par mois. et donc je peux en vivre et là je me dis putain mais c'est juste dingue quoi et je vois qu'il y a une voie différente de la voie traditionnelle celle qu'on m'avait toujours enseigné et là je pense qu'il y a un déclic qui se crée dans ma tête et notamment lié au foot parce que pour être footballeur professionnel il faut être repéré assez jeune sinon si aujourd'hui je veux me lancer en tant que footballeur professionnel je suis beaucoup trop vieux je suis beaucoup trop vieux j'ai pas le niveau et même si je me mets à fond à fond à fond avec les meilleurs Il y a des gens qui ont déjà 10, 20 ans d'expérience sur moi, donc en fait, ils seront bien meilleurs que moi. Et le truc qui change tout, c'est que je me dis, mais attends, moi, je voulais être footballeur professionnel pour plein de raisons. Et là, dans l'entrepreneuriat, je peux avoir les mêmes gains, je peux gagner les mêmes choses, que ce soit en termes d'argent, que ce soit en termes aussi de notoriété, de reconnaissance et toutes ces choses-là. Mais en fait, même si je suis plus vieux, je peux me lancer et réussir. Et ça, c'est absolument dingue. Il n'y a pas d'âge. Je peux me lancer à 60 ans et réussir, tout comme je peux me lancer à 15 ans et réussir, tout comme je peux me lancer. En fait, c'est juste dingue et il n'y a aucune règle. Parce qu'il y a quand même une course contre la montre quand on veut être sportif professionnel qui se joue ou au bout d'un certain temps, on est juste cuit parce que le corps ne suit plus là avec l'entreprenariat. Il n'y a aucune règle. Je peux me lancer maintenant, faire ça toute ma vie et devenir le meilleur entrepreneur de tous les temps. en fonction de ce qu'on entend par le meilleur entrepreneur, forcément. Et donc, il y a un déclic qui se crée dans ma tête. Et à partir de là, juste, j'ai une vision de dingue, j'ai des idées de dingue, je vis toujours très grand. Et pour moi, ça me paraît logique d'atteindre cette vision. Et il y a une différence, c'est que... Cette vision-là, vous allez le voir, je vais vous en parler juste après, ça m'a toujours paru logique que j'allais atteindre cette vision, même si je ne l'ai pas encore atteint. Je l'ai atteint au fur et à mesure, mais elle grandit au fur et à mesure. Par contre, les objectifs, ça, des fois, j'ai des doutes. J'ai des doutes et je me dis, est-ce qu'on va vraiment l'atteindre ? Forcément, j'ai des peurs, j'ai tout plein de choses qui se créent. Mais je sais que la somme de tous ces objectifs, ça va mener à cette vision. Et si j'échoue sur cet objectif, ce n'est pas si grave parce que j'aurai appris et cet apprentissage, il va me permettre d'aller plus loin et plus rapidement à cette vision. Et donc, je prends conscience de tout ça. Ça me permet derrière de me mettre encore plus à fond. C'est là où je développe d'autres projets, notamment en parallèle des comptes Instagram que je gère. Je développe des propres pages Instagram qui m'appartiennent parce que je me dis, mais attends, mes clients ont des résultats de dingue avec les pages que je développe pour eux. Moi, je n'ai même pas Instagram à l'époque. Alors, j'avais mon compte, mais voilà, je n'ai pas de page. Donc, je vais développer mes propres pages. Donc, ce qui se passe, c'est que je rachète des pages Instagram. Je développe mes propres pages. Je ne me montre pas du tout. Je n'ai pas envie de me montrer. J'ai peur de ce que les gens font penser de moi. et de ce qu'ils vont penser de mon activité et toutes ces choses-là, malgré le fait que mes proches soient plus ou moins au courant, mon frère, mes parents, etc. Et ce qui se passe, c'est que ça avance, ça se passe bien, et là, il se passe une première galère. Ce que je ne vous ai pas dit, c'est que j'avais une personne qui avait une grosse agence qui m'envoyait plein de clients. Elle, j'étais sous-traitant de cette personne-là. Et du jour au lendemain, elle décide de presque plus me payer. Elle me paye à peu près 1200 euros par mois. Elle décide de presque plus me payer. Et là, je lui dis Ah non ! En fait, c'est comme si j'avais une sécurité, c'est comme si j'avais un genre de salariat parce que cette personne, elle me payait tous les mois. J'étais mal payé honnêtement pour le travail que je faisais, j'étais mal payé. Mais là, elle voulait me payer 500 euros par mois. Donc, elle voulait diviser par plus que 2 le salaire qu'elle me proposait, le salaire, la prestation qu'elle me proposait. Et en plus de ça, pour faire plus de travail. Et là, j'ai pris une décision où je me suis dit, il faut que j'arrête de travailler avec elle malgré le fait que ça me faisait peur parce qu'à l'époque, je n'avais pas forcément trouvé des clients. Ils étaient beaucoup venus par recommandation ou autre. Et je me dis, je vais passer à côté de presque la moitié de mon chiffre d'affaires. Et ce qui se passe, c'est que j'arrête de travailler avec lui. Après, lui, il a voulu retravailler avec moi, etc. Et en fait, le mois d'après, je me souviens très bien, c'était en janvier 2021. C'est là où je fais mon premier mois à plus de 10 000 euros de chiffre d'affaires. J'ai fait quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires. En fait, j'ai dû faire 9 400 euros encaissés et j'ai dû facturer un petit peu plus parce qu'il devait y avoir des paiements en plusieurs fois. Et là... je me suis dit mais c'est absolument dingue. Et la leçon que j'ai appris de ça, c'est que j'ai lâché quelque chose, quelque chose qui ne me convenait pas, mais en fait que je gardais par peur, par insécurité, je l'ai lâché. Et directement derrière, j'ai eu plus de résultats. Je ne vais pas dire que c'est l'univers ou autre, ça, peu importe, ce n'est pas la loi de l'attraction et compagnie, mais c'est juste logique et mathématique pour moi. Mais en fait, je suis allé directement ou indirectement, je ne sais pas, peut-être même inconsciemment, vers quelque chose qui me correspondait plus et j'ai eu plus de résultats. Et c'est pour ça que si aujourd'hui vous êtes dans une situation qui ne vous convient pas, mais en fait lâchez cette situation alors de manière intelligente, ça ne peut que vous apporter du plus et quoi qu'il arrive, ça ne peut que vous faire apprendre. Et je pense que j'ai la chance d'avoir aussi cette mentalité où je me dis, même si j'échoue, je m'en fous parce que pour moi c'est quand même positif parce que j'ai appris. Alors qu'il y a certaines personnes, elles échouent, elles mettent des années à s'en remettre, des mois à s'en remettre et forcément pendant ce temps-là, elles ne font rien, elles n'évoluent pas et ça les empêche de réellement avancer selon moi vers leurs objectifs. Du coup, je fais mon premier mois, quasi 10 000 euros de chiffre d'affaires et du coup, j'ai cet apprentissage. Et là, je décide de développer encore plus mon activité. On développe toutes nos pages Instagram. C'est là où mon frère me rejoint, mon frère jumeau parce qu'avant, il développait un autre projet à côté. On développe toutes nos pages Instagram sur lesquelles on vend des petits trucs à droite à gauche. On fait de l'affiliation. Plus on a nos clients où on gère leurs réseaux sociaux. Et ce qui se passe, c'est qu'on a de plus en plus de monde qui nous demande Mais les gars, comment est-ce que vous avez fait ? Comment est-ce que vous avez développé ? ses comptes, comment est-ce que vous trouvez des clients, parce que ce qu'il faut savoir, c'est qu'on prenait une prestation mensuelle avec l'agence, donc forcément, c'était un tarif plus cher qu'un accompagnement ou autre qu'on a pu créer par la suite, et on ne s'adressait pas à tout le monde, on s'adressait à des personnes qui faisaient déjà du chiffre d'affaires. On s'adressait déjà à des entrepreneurs qui faisaient du chiffre d'affaires et qui étaient un minimum avancé, qui faisaient au moins 4, 5, 6 000 euros de chiffre d'affaires, parce que sinon, ils ne pouvaient pas se payer nos services. Et donc là, on décide de faire un accompagnement un peu plus abordable, Et ce qui se passe, c'est qu'on a des résultats de dingue parce qu'il y a des gens qui nous demandent. On a des résultats de dingue, que ce soit pour nous ou pour nos clients. Et deux mois après, on se donne le défi de faire 100 000 euros de chiffre d'affaires en 30 jours, donc en août 2021. Et là, on passe ce défi. Franchement, moi, je n'y croyais pas. Honnêtement, je n'y croyais pas. On s'est fixé le défi avec mon associé. Et en fait, je n'osais pas forcément lui dire que je n'y croyais pas. Et j'y allais un peu à reculons. Et on a fini le mois à 127 000 euros, le 24. On n'a même pas attendu la fin du mois. On avait fait 127 000 euros de chiffre d'affaires. C'est dingue. Alors, c'était du chiffre d'affaires facturé. Ce n'était pas encaissé. En gros, il y avait des paiements plusieurs fois. Donc, en gros, avec tout ce qui allait arriver au fur et à mesure, ça allait faire 127 000 euros. Donc, on avait facturé 127 000 euros. Et là, je me dis, waouh, c'est fou, quoi. C'est vraiment dingue. Et en fait, quand je regarde en arrière. Ça faisait peut-être un an et demi, deux ans que je m'étais lancé et j'avais mis huit mois pour faire mon premier mois à 10 000 euros de chiffre d'affaires et huit mois après pour faire mon deuxième mois, enfin mon premier mois à 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et après, on ne l'a pas forcément tenu. Je préfère être transparent, mais parce qu'en fait, on a mal géré derrière. Je vais vous en parler. Mais je me suis rendu compte que tout pouvait aller extrêmement vite. Et il y a un point qui a été très important pour moi, c'est qu'au début, je ne savais pas où j'allais. Parce que quand on se lance dans l'entrepreneuriat, c'est un flou total. Nous, on s'est toujours fait aider. C'est pour ça aussi que ça fait sens d'aider des entrepreneurs et c'est pour ça que ça faisait sens de créer du coup le mentorat, notre accompagnement. Et on a eu une belle première session d'entrepreneurs avec ce premier mois en août où on a fait un super chiffre d'affaires. Mais du coup, on ne savait pas forcément où aller, on ne savait pas forcément quoi faire. Et quand on est dans le brouillard, on ne peut pas avancer sereinement et souvent, on passe beaucoup de temps à faire des choses qui ne servent à rien. Mais si on ne nous dit pas ce qu'on doit faire, on va juste foncer dans le mur. Et moi, un truc que j'avais fait, c'est que j'avais découvert les effets cumulés. Je m'étais dit si j'avance de 1% par jour, en fait, ça va faire une courbe exponentielle. J'avais découvert ça avec les investissements, etc. Ça va faire une courbe exponentielle et je vais être 37 500 fois meilleur à la fin de l'année. Vous pouvez faire, prenez une calculatrice, vous faites une courbe, vous prenez une courbe des effets cumulés. Vous voyez au début, c'est tout plat et après, ça explose. Et c'était exactement ça. Et je me suis dit, mais si je me tiens à cette courbe, en fait, si chaque jour, je cherche à regarder ce que j'ai fait, regarder ce que j'aurais pu mieux faire, ce que j'aurais pu améliorer, etc. je vais avoir cette croissance qui est exponentielle. Et en fait, c'est regarder aussi quel est le plus rapide et quel est le plus efficace, qu'est-ce qui va me faire aller le plus vite. Et pour moi, ce qui allait me faire aller le plus vite, c'est me faire aider, ne pas hésiter à investir dans mon activité, toutes ces choses-là. Donc, ce n'est pas juste regarder nous ce qu'on fait, c'est vraiment aller au plus vite, prendre les meilleures décisions et les décisions les plus cohérentes avec son activité. Donc, ça m'a énormément aidé. Là, on en arrive là, moi, je me dis waouh, c'est juste dingue. En parallèle, en plus, je commence à voyager un peu. 2022, c'est l'année où je voyage beaucoup. Je voyage dans une douzaine de pays en Europe. Je n'ai voyagé qu'en Europe cette année. Après, je suis allé un peu en Afrique du Nord. Mais en fait, il se passe plein de choses. Ça se passe très bien. 2022, il y a quand même une stagnation au niveau business. C'est là où on commence à recruter, mais on fait plein d'erreurs. On commence à recruter plus de monde. On veut un peu scaler l'activité, c'est-à-dire qu'on veut la développer plus rapidement. On veut commencer à aller chercher un plus gros niveau de client, de chiffre d'affaires et surtout tenir le chiffre d'affaires qu'on avait fait. Sur ce mois d'août 2021, on paye plein de gens qui font plein de trucs qui ne servent à rien parce qu'en fait, on ne le maîtrise pas forcément et on se décharge plus des tâches que réellement recruter. Et ça, c'est une erreur qu'on a fait. C'est OK, est-ce qu'on recrute parce qu'on n'a plus le temps et parce que ce n'est pas la tâche qui a la meilleure valeur ajoutée pour nous aujourd'hui ou est-ce qu'on recrute parce qu'en fait, on veut se décharger du truc ? Et nous, on voulait plus se décharger et on n'avait pas suffisamment bien structuré et on n'avait pas suffisamment fait attention aussi au cash qu'on avait pour bien tout structurer en fonction du chiffre d'affaires qu'on faisait. Donc on paye plein de gens trop cher qui servent à rien. Ce qui se passe, c'est que ça évolue pas tellement, mais on commence à structurer un peu la boîte, etc. Et par contre, 2023, on fait un excellent début d'année, on commence à très bien structurer toute l'équipe, toute la boîte. Par contre, après, il y a un plateau. Au bout de mars 2023, il y a un plateau, il se passe plus rien, ça stagne. Et pourquoi ça stagne ? Enfin, ça régresse même par rapport au début d'année qu'on avait fait, parce qu'on est trois associés, donc ça n'a pas bougé. Thibaut, Maxence, mon frère jumeau, donc Thibaut, mon ami de BTS. Et moi-même, on se rend compte qu'on est totalement désaligné au niveau de la vision. Thibaut veut aller à un endroit, moi je veux aller à un autre endroit, et Maxence veut aller à un autre endroit. Et ce qui se passe, c'est qu'on a deux visions assez différentes avec Thibaut, et là il y a un écart qui se crée. Et en fait, cet écart qui se crée, ça crée du flou. Donc ça nous fait aller de partout. On va vers des trucs qui nous rapportent du cash à court terme, mais qui ne servent à rien, et qui nous empêchent de structurer vraiment de manière solide. Thibaut est plus forcément animé, donc il est plus forcément dedans. Moi, ce que je me dis, c'est Ok, je reprends la main sur toute la boîte et je gère moi tout. Sauf qu'en fait, je me rends compte que je ne peux pas tout gérer, qu'il y a plein de trucs. Enfin, ça ne se passe pas très très bien sur cette fin d'année 2023. Et pour vous faire très simple, nous, avec Maxence, de ce que je perçois, et peut-être que Thibaut a une autre vision des choses, mais nous, on a plutôt envie de créer un gros truc, de beaucoup réinvestir dans la boîte, là où Thibaut a plutôt envie de profiter et de se verser un gros salaire. Et en fait, moi, je ne suis pas du tout sur cette optique-là. Moi, je m'en fous. Enfin, je ne dépense quasi rien en perso. Et je m'en fous de me verser un gros salaire. Et je me dis, mais on peut faire décoller la boîte encore plus loin. Autant réinvestir, etc. Et lui, je pense qu'il a atteint un stade où il en a eu marre, où il était moins sur l'aspect business et plus sur l'aspect perso, enfin, avec sa copine, etc. Il avait une copine, etc. Donc, ce qui se passe, c'est que ça commence à créer pas de la friction parce que ça s'est toujours bien passé. Mais en fait, ça commence à créer un flou et ça part totalement en vrille. On fait quand même du chiffre, ça se passe assez bien. Mais en fait, on fait très peu de chiffres par rapport Ausha et par rapport à tout ce qu'on doit faire. Et du coup, début d'année 2024, Thibaut nous annonce qu'il arrête, qu'il veut stopper. On l'avait un peu senti, mais... Le truc qu'on a mal fait, c'est qu'on aurait dû en parler avant. Personne n'en avait réellement parlé. En fait, ça se passait un peu mal. Une association, c'est encore pire qu'un couple. Et au début, ça peut très bien se passer avec vos associés. Mais plus on avance dans la boîte, plus ça risque d'être compliqué. Donc, ça se passe un petit peu mal. Et après, ils décident d'arrêter. Donc là, c'est good pour tout le monde sur ce début d'année, donc 2024. Et l'autre truc qui se passe, c'est qu'on commence à créer d'autres projets sur ce début d'année aussi. Donc, Thibaut Arrête. la boîte pour toutes les raisons que je vous ai évoquées. Nous, on lui rachète ses parts. Comment ça se passe ? Juste, on lui rachète ses parts. Il a 33% du mentorat. Nous, on lui rachète ses 33%. Donc maintenant, on a 50-50 avec Maxence, donc avec mon frère. Il n'y a pas d'autres associés. Et ce qui se passe, c'est qu'on commence... Nous, on a une vision... On a à peu près la même vision. Je vous en parlerai avec Maxence après. Mais on commence à se dire, OK, nos clients, ils ont des problématiques. En fait, l'accompagnement... résout certaines problématiques, mais il y a certaines problématiques qui restent, par exemple, ça prend du temps à programmer sur Insta, à poster sur Insta, à trouver les idées de contenu et tout ça. Est-ce qu'on ne pourrait pas développer un logiciel pour ça ? Et c'est comme ça qu'on a commencé à développer tout l'écosystème début 2024. Pour ça, on s'est associés, on a développé un logiciel qui s'appelle CréaPro, qu'on a développé au fur et à mesure et qui était pour nous aussi un gros défi et qui est toujours un gros défi parce que c'est un business qui est assez différent de ce qu'on a l'habitude de développer. Un logiciel, c'est différent d'une boîte de service. Il y a besoin d'avoir plus de clients. Vu que c'est un abonnement, les clients peuvent partir, revenir à tout moment. Enfin, il faut gérer ça, faire en sorte que le logiciel devienne indispensable pour que les clients aient envie de s'en servir et envie de rester. Et c'est pas mal de problématiques. Mais en fait, c'était aussi un peu l'avènement de l'IA et le début dont on a parlé de l'IA et toutes ces choses-là. Et on s'est dit, on va créer un logiciel comme un community manager IA. On pourrait le résumer comme ça pour les personnes qui n'ont pas le budget de prendre un community manager ou pas forcément l'envie. Et pour nous, c'est super parce que ça nous permettra justement d'aider un maximum nos clients et d'aider même des personnes qui ne sont pas encore clients et qui pourraient même devenir clients du mentorat par la suite. Pourquoi pas ? Donc, on développe ce logiciel. Un truc qui est ultra important, c'est qu'on s'entoure très bien dès le début. On est quatre associés. On a un développeur, une personne qui gère toute la partie affiliation et Maxence et moi-même. Et je pense que ça, c'est l'un des gros conseils qu'on a appris aussi. C'est de bien s'entourer. Alors là, avec des associés, mais aussi avec des équipes. parce que pareil, on a fait plein d'erreurs sur fin d'année 2023 et 2023 en recrutant plein de gens qui ne servaient à rien et en plus qui n'étaient pas bons. Donc nous, ce qu'on fait, c'est qu'on développe ce logiciel et là, on se rend compte de tout l'écosystème qu'on peut créer et surtout, on se rend compte de tout ce qu'on peut structurer autour de nous. Au niveau du mentorat, ça se passe très bien. C'est là où on a l'une des plus grosses croissances. On fait entre 100 et 150 000 euros de chiffre d'affaires par mois facturé, ce qui est très bien, franchement, ce qui est très, très bien. Là, l'idée, ça serait de doubler, mais je vais en parler pour l'année à venir, 2025. Et on s'est dit, mais comment est-ce qu'on peut faire bouger les choses autour de nous ? Parce qu'on a des clients, justement, on avait développé ce logiciel qui est vraiment excellent. Enfin, je vous invite vraiment à aller voir créapro.fr. Et derrière, il y a des clients qui, eux, avaient envie de déléguer, qui n'avaient pas envie de s'occuper parce que le logiciel ne crée pas le contenu. On n'a pas encore la technologie. Peut-être que ça arrivera à l'heure où vous écoutez ce podcast, mais on n'a pas encore la technologie pour structurer, pour créer le contenu de manière intelligente. On pourrait le faire, mais le but, c'est de créer du contenu qui apporte du résultat. sur les différents réseaux sociaux que nos clients souhaitent développer. Donc là, ça donne toute la stratégie de contenu, les idées, les scripts, ça fait les légendes, les hashtags, ça vous dit comment tourner vos contenus, quoi faire, des guides, des templates. Enfin, ça fait 80% du travail, mais il vous reste à produire le contenu. À produire ou à faire, mais sachant que vous avez des guides, des templates, des choses déjà adaptées pour vous permettre de le faire au mieux. Et certains, du coup, voulaient totalement déléguer, à la fois la partie publicité en ligne, qui est juste dingue si vous savez bien vous en servir, et à la fois la partie réseaux sociaux. Donc, on décide de relancer l'agence. avec une autre associée aussi, qui est une ancienne cliente, Cynthia. On décide de relancer l'agence. où on s'occupe de tout. En fait, on est un pôle marketing et communication directement intégré chez nos clients, même des petites boîtes. Et du coup, le but, c'est de les aider à faire exploser leurs chiffres d'affaires. Et en plus de ça, il nous manque une dernière chose. C'est un lieu où nos clients peuvent tourner leur contenu, que ce soit les clients de l'accompagnement, du mentorat, que ce soit les clients de CréaPro ou même de l'agence. Et donc, on a ouvert une salle de tournage directement sur Lyon. Donc, on a créé tout cet écosystème. Et cet écosystème, il est beaucoup lié. aux objectifs et à la vision qu'on a sur les années à venir. Pour en venir aux objectifs sur cette année 2025, je ne sais pas, quand vous allez écouter ce podcast, peut-être que j'en ferai un sur 2026 pour les objectifs, voir si on les a atteints. L'idée de toute façon, c'est qu'on va faire un podcast par semaine. Je pense que je vais poster un podcast par semaine tous les dimanches. Donc, n'hésitez pas à vous abonner. Je ne sais même pas comment on s'abonne sur les podcasts. Sinon, ce que je ferai, c'est que je ferai un groupe WhatsApp sur lequel je partagerai tous mes podcasts. Vous, ça vous permettra... du coup de suivre un petit peu l'avancée, suivre un petit peu l'épopée. Et j'en ferai un petit peu sur tout et n'importe quoi. Ou en tout cas, toutes les leçons, tous les apprentissages. Et le but, c'est que je vous partage tout un petit peu comme, encore une fois, mon journal intime ou mon journal d'entrepreneur, mon carnet d'entrepreneur. Donc, les objectifs pour cette année. On prévoit de faire 2 millions d'euros avec le mentorat. On prévoit de faire plus de 500 000 euros, donc dépasser le demi-million d'euros avec l'agence. Et on fixe toujours en termes de chiffre d'affaires. C'est ce qui fait le plus sens et c'est ce qui... est le plus cohérent pour voir si on a atteint ou pas notre objectif, donc je vous invite à toujours faire ça. Et l'autre chose, avec CréaPro, c'est un petit peu plus flou pour le moment parce que le projet est assez différent de ce qu'on a eu l'habitude de développer, donc l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs. Là on est à peu près 150 utilisateurs mensuels, donc ça fonctionne bien, l'idée c'est de passer le premier palier des 1000 utilisateurs parce que le logiciel est absolument dingue et l'idée après c'est d'aller vers les 10 000 utilisateurs dans un troisième temps. Et l'autre truc, c'est la salle de tournage. Ça, ça ne va pas nous rapporter énormément. On n'a pas pour le moment pour projet de le développer à fond. Ça va peut-être nous rapporter 20 000 euros sur l'année, ce qui n'est pas trop mal pour un truc qui ne nous demande pas de temps, quasi aucun temps pour s'en occuper. Mais le but de la salle de tournage, c'est plutôt de générer des leads pour l'agence ou pour l'accompagnement ou pour créer un pro. C'est-à-dire que le but de la salle de tournage, c'est de faire de la pub pour faire découvrir la salle de tournage. Et quand ils viennent dans la salle de tournage, leur parler de ce qu'on fait à côté et pouvoir les transformer en clients. C'est à peu près ça l'objectif pour vous faire... Pour vous faire simple, ces objectifs-là, ils rentrent plus généralement dans une vision globale d'écosystème. Et après, je vous parlerai de tout ce qu'on a prévu de mettre en place pour atteindre ces objectifs. Mais il faut comprendre cette vision d'écosystème où en fait, on veut vraiment être l'outil, les clés, les ressources pour aider des personnes qui ont envie d'atteindre un objectif à l'atteindre ou à développer leur projet. Ça peut très bien être des musiciens qui ont envie d'être plus visibles ou des coachs qui ont envie d'obtenir plus de clients ou des entreprises, des entrepreneurs. qui veulent développer leur activité. L'idée, c'est de faire en sorte qu'ils aient tous les outils, toutes les ressources, la communauté, tout ce dont ils ont besoin pour réussir. Et c'est pour ça qu'on a commencé à développer cet écosystème. Au début, on a, s'ils ont besoin d'être aidés, et tout le monde a besoin d'être aidé dans son activité, on a le mentorat pour pouvoir les accompagner, pour pouvoir les aider. Ensuite, du coup, ils ont besoin de gagner du temps sur leurs réseaux sociaux. Donc là, on a l'outil CréaPro qui vient en complément du mentorat. Peut-être qu'au bout d'un moment, ils ont suffisamment de chiffre d'affaires, ils en ont marre de le faire eux-mêmes et ils ont envie de le déléguer. Donc là, on a l'agence qui rentre en compte. sauf qu'ils n'ont pas de lieu pour tourner leur contenu. Donc, derrière, ils peuvent venir directement tourner leur contenu. Et le but, c'est d'intégrer tout ça, tous ceux dont nos clients pourraient avoir besoin, pour à la fois des clients de CréaPro, on fait de l'acquisition directement sur CréaPro, donc des personnes qui viennent sur CréaPro peuvent devenir clients du Mentora par la suite, ou au contraire, des personnes qui viennent sur la salle de tournage peuvent devenir clients de l'agence par la suite. Et en fait, le tout s'envoie des clients les uns les autres, et on a tout cet écosystème qui est quand même super intéressant. Pour vous prendre un petit peu un exemple, C'est comme si j'avais un restaurant et dans ce restaurant, je me fournissais à un agriculteur qui vendait des pommes de terre. Et cet agriculteur-là, il avait des prix un petit peu élevés. Et à la place d'acheter ses pommes de terre, je me dirais, je vais ouvrir mon propre champ de pommes de terre. Comme ça, je vais maîtriser à la fois les pommes de terre, mais à la fois le restaurant. Et du coup, je vais vendre des pommes de terre d'un côté. Donc tous ceux qui viennent acheter des pommes de terre, je peux leur parler du restaurant. Donc à terme, je pourrais les convertir sur le restaurant. Mais en plus, je m'achète à moi-même mes pommes de terre, donc elles sont moins chères et c'est plus intéressant. Et tous ceux qui viennent au restaurant, je peux leur dire, écoute, je vends des pommes de terre à côté. Et du coup, j'ai tout l'écosystème comme ça. Et c'est ce qu'on est en train de réfléchir à créer, ce qu'on a commencé à créer et ce qu'on est en train de développer plutôt. Et donc, pour développer tout ça, il y a différents axes qui vont être à prendre en compte pour faire en sorte de bien développer notre activité et d'atteindre ses objectifs. Le premier, c'est de structurer une bonne équipe. Une équipe solide et je pense que travailler avec les bonnes personnes, ça c'est le point le plus important. Là on commence à être plus d'une petite vingtaine dans l'équipe, donc ça se développe quand même bien. Mais pour atteindre des objectifs, on devrait être encore plus, donc développer une équipe solide, avoir des personnes impliquées solides et avoir les meilleures personnes à chacun des postes pour atteindre cette vision-là. Ça, c'est la première étape. La deuxième étape, du coup, ça va être de développer toute la partie organique qui, pour moi, est ultra importante, d'autant plus dans les années à venir parce qu'on le voit notamment avec ChatGPT et tout ça et tous les outils d'intelligence artificielle qui arrivent. Ce qui se passe, c'est que vous pouvez être concurrencé à n'importe quel moment et je pense que peu importe votre activité, à un moment, vous allez être concurrencé ou pas par un robot ou par un outil d'intelligence artificielle. Et pour moi, le seul truc qui va réellement rester, c'est justement le lien qu'on va réussir à créer avec les autres êtres humains. Donc la communauté et la proximité qu'on va réussir à créer avec cette communauté. C'est aussi pour ça que je crée ce podcast, parce que pour moi la communauté c'est l'un des trucs les plus puissants. Et on le voit notamment avec même des youtubeurs qui ont une grosse communauté. Quand je vois à l'international MrBeast avec la série qu'il a sortie là sur Prime Vidéo, ou quand je vois même en France Inox Tag qui a monté l'Everest et qui a sorti un manga si je ne me trompe pas derrière. Le manga il a été top 1 des ventes très rapidement, alors qu'en fait il n'a aucune expérience dans le manga. Et avec leur communauté, ils peuvent vendre de tout et n'importe quoi. Et je me dis, aujourd'hui, si on développe une communauté et qu'on a en plus le sens business, parce qu'eux, ils ne s'en servent pas pour lancer leur propre business. Je pense qu'ils gagnent suffisamment. Ce qui les intéresse, c'est de créer du contenu. Mais si nous, on a cette logique business derrière, mais on peut faire des dingueries. Des dingueries que ce soit au niveau business, mais que ce soit pour aider des personnes. Il y a tellement de choses à faire. C'est absolument dingue. Donc, développer à fond la communauté, que ce soit à travers YouTube, à travers pas mal de projets. qu'on a et je pourrais faire un podcast sur c'est quoi ma stratégie de contenu concrète parce que j'ai une stratégie bien précise avec tous les canaux de communication qu'on utilise aujourd'hui chez le mentorat, ceux qui sont importants ou pas et du coup ça c'est le deuxième plan et le troisième plan ça va être de développer les compétences, de se focaliser sur faire et s'occuper des tâches essentielles et moi un truc que j'aime bien dire c'est si je ne suis pas encore au résultat que je veux, c'est que je ne suis pas la personne je ne suis pas encore la personne que j'ai besoin d'être pour être à ce résultat là Donc j'ai besoin de devenir le Matisse entrepreneur qui sait comment générer X millions d'euros de chiffre d'affaires. Donc là ça serait faire avec toutes les boîtes cumulées un peu plus de 2 millions, 3 millions d'euros plutôt, un peu plus de 3 millions d'euros sur cette année 2025. Donc est-ce que je suis le Matisse qui sait générer 3 millions ? Pour le moment pas forcément. Peut-être que c'est juste une question de temps et de structure mais du coup j'ai besoin de changer mon identité, changer ma façon de voir et de faire les choses pour passer un step aussi dans mon activité. Et ça, ça va faire absolument... toute la différence. Donc, d'où ce que je disais aussi au début de ce podcast, forcément, je pense qu'il y a des choses à lâcher, un petit peu comme quand j'ai lâché la personne qui ne me payait plus trop, la personne que j'avais en sous-traitance, enfin, qui me sous-traitait des clients en 2020, ouais, 2020, et où j'ai eu cette première leçon et ce premier déclic, qu'est-ce que je vais devoir lâcher ? Quelle croyance je vais devoir abandonner ? Et je pense avoir la piste, l'idée pour moi, c'est de me focaliser sur faire moins de choses, de manière opérationnelle. mieux déléguer parce que là, je fais encore plein de petites tâches à droite à gauche. Sauf que si cette tâche, je peux la déléguer pour 20 euros de l'heure, en fait, je peux me concentrer sur faire des trucs plus intéressants, plus importants et donc, je peux aller aussi beaucoup plus vite dans mon activité. Donc, voilà un petit peu la manière dont je prévois d'atteindre cet objectif. Et la dernière chose, c'est quoi la vision derrière ? Et c'est quoi ce que j'ai envie de construire à travers toutes ces choses-là ? Alors, comme je l'ai dit, Le but, c'est vraiment de faire un écosystème et de jouer à fond sur l'effet de levier. L'effet de levier, moi, je le vois de telle sorte parce que j'ai un premier projet qui peut envoyer des clients vers un autre projet. Et en fait, chaque projet se sert les uns les autres. Et quand j'ai décidé de relancer l'agence, là, on a relancé l'agence il y a quelques mois pour gérer directement parce qu'on avait pas mal de demandes. On a quand même pris quelques demandes, mais on le faisait vraiment de manière ultra ponctuelle et vraiment, on refusait beaucoup de clients sur l'année 2023, du coup, où on faisait de la gestion. direct pour eux, que ce soit au niveau de leurs réseaux sociaux ou au niveau de leur publicité. Et du coup, nous, quand on a décidé de relancer l'agence, au début, je l'ai relancée pour moi, l'agence. Et je me suis dit, ok, on a besoin de quelqu'un qui gère nos publicités, parce que moi, j'en ai marre de m'en occuper. Donc, et on a besoin de quelqu'un qui gère l'organique, donc tout ce qui est réseaux sociaux, parce qu'on a envie de mettre un gros coup de boost, en plus de ce qu'on faisait déjà, parce qu'on avait déjà une personne. On a envie de mieux structurer ça. Donc, ce qu'on va faire, c'est qu'on va créer une agence. Cette agence, elle va gérer du coup directement nos réseaux, nos publicités, mais en plus de ça, elle va gérer les réseaux et les publicités d'autres clients. Comme ça, l'agence va se développer. Moi, ça va me permettre de gagner de l'argent et elle, l'agence, elle va aussi gagner de l'argent directement et en fait, elle va être autofinancée. C'est un petit peu que si je reprends mon exemple, le restaurant avec le champ de patates, c'est comme si je me disais, ok, à la place d'acheter mes patates, j'achetais le champ de patates, comme ça, il m'appartient. Le champ de patates, il me permet de gagner de l'argent parce que je vends les patates, mais à côté de ça, il me permet aussi... d'avoir les patates moins chères et de renvoyer des clients directement vers mon restaurant et mon restaurant peut renvoyer des clients vers le champ de patates ce qui est un petit peu l'objectif de tout l'écosystème. Donc le but c'est de créer un maximum d'effets de levier et je pense que là on a un bon écosystème, il y a un seul truc qui manque c'est un aspect coworking parce qu'on a aussi un coworking sur Lyon, je fais très simple. En gros, on a loué des bureaux qui sont beaucoup trop grands, qui font quasi 200 mètres carrés, donc qui sont beaucoup trop grands pour ce qu'on en fait, parce qu'on est à travailler dans tous les coins de la France dans l'équipe, voire dans le monde parce qu'il y a des personnes qui travaillent en dehors de la France. Et on s'est dit, bah ouais, là, ces bureaux, on a quasi 200 mètres carrés pour être trois à travailler dedans, ça sert à rien, donc on va les soulouer. Donc on va faire un genre de co-working. C'était notre projet de base, on voulait faire un co-working. Et du coup, on est, Maëlys, qui est la copine de Maxence et notre assistante. Maxence qui est mon frère jumeau et moi-même à travailler dedans et une autre personne du coup qui s'occupe de la communication maintenant qui est directement dans les bureaux mais on s'est dit ok, ce qu'on va faire c'est qu'on va faire un genre de coworking, c'est ce qu'on a fait c'est ce qui fonctionne très bien et du coup on n'a pas plus de place mais l'idée ça serait à terme ouvrir comme ça des coworking des salles de réunion de partout en France et créer un vrai écosystème où si on veut, on ne sait pas comment développer son activité, on a une aide avec le mentorat Nous, on peut aider nos clients à développer leur activité. Derrière, on est seul chez soi. On a des co-working de partout en France. On ne sait pas où tourner son contenu. On a des salles de tournage de partout en France. On n'arrive pas à trouver des bonnes idées. On a marre de publier son contenu. On a notre logiciel qui permet de quasi tout faire à la place de la personne. On veut externaliser ça et plus gérer. On a l'agence qui permet de gérer à la place de la personne. Et là, on aurait un écosystème ultra complet qui nous permettrait justement d'exploser tous les scores. Donc, le but, c'est de développer cet écosystème. La partie coworking, mais de manière très restreinte, on a une dizaine de personnes sur Lyon dans nos bureaux. Donc le but, ce serait vraiment de développer ça à fond, d'aller chercher un maximum de résultats et surtout de faire en sorte d'avoir le plus gros écosystème possible pour vous aider. Ça reste quand même la motivation principale pour vous aider à développer votre activité au mieux. Et c'est ce qu'on est en train de développer et c'est ce que je vais vous partager à travers ce podcast. Étant donné que là, les projets sur lesquels on met un focus, c'est certes le mentorat, créa pro l'agence aussi le studio de tournage on veut pas forcément beaucoup le développer par la suite parce qu'en fait c'est pas ce qui va nous rapporter le plus on en a conscience et parce qu'on est très peu cher par rapport à la concurrence on est entre 60 et 100 euros 60 la demi journée 100 euros la journée donc en fait on peut pas gagner énormément d'argent par contre ça nous permet d'avoir des leads assez intéressant et des personnes assez intéressante donc on s'est dit est ce que on en ouvrirait pas plus et donc peut-être qu'on le développera au fur et à mesure, mais peut-être qu'on prendra un associé qui le développe avec nous, donc si ça vous intéresse, vous pouvez nous envoyer un petit message. On va voir comment on le structure, mais là, la principale chose qu'on souhaite développer, c'est le mentorat CréaPro avec l'agence, et après, pourquoi pas développer toute la partie coworking et développer la partie salle de tournage, studio de podcast, studio de tournage, mais comme je l'ai dit, un point clé pour moi, c'est de bien s'entourer. Pour le moment, on n'a pas forcément l'équipe, la structure et le but, c'est aussi, comme je l'ai dit, d'aller vers les tâches qui rapportent le plus parce que quand on a de l'argent, on peut déléguer, structurer et du coup, on peut aller plus vite. Donc, le but, c'est d'aller vers ce qui rapporte le plus, plus vite pour développer et grossir plus vite. Donc, on le développera et on continuera à le faire évoluer au fur et à mesure. D'autant plus que ce qui est intéressant, c'est qu'après, avec tout ce qui est co-working et ça de tournage, on peut acheter les murs et du coup, ça nous crée du patrimoine immobilier. Sachant que je ne l'ai pas dit, mais on est en train aussi d'investir en immobilier. C'est le gros avantage d'avoir sa boîte en France, même si on paye beaucoup d'impôts. derrière on peut lever pas mal de crédit donc ça nous permet d'avoir pas mal de patrimoine qui s'autofinance si on gère bien avec de l'investissement locatif ou autre et c'est ce qu'on est en train de faire mais bon c'est un truc annexe quoi c'est mon frère qui gère moi honnêtement je me je veux faire du crédit pour faire du patrimoine parce que c'est dommage de pas aller au max de sa capacité d'endettement surtout si on peut emprunter parce que c'est comme si on avait de l'argent qui dormait qui ne servait à rien alors qu'il pourrait servir mais c'est pas ma passion pour le moment de faire ça, ça s'inscrit dans une stratégie business, mais du coup c'est plutôt mon frère qui gère à ce niveau là. Donc l'idée, en termes d'objectifs, je parle toujours en termes de chiffre d'affaires, parce que pour moi c'est le plus simple et on a défini à la fin de l'année ou à la fin de la période de temps qu'on s'est donné, si oui ou non on a atteint cet objectif. Pour moi ça serait d'aller chercher 10 millions par an sous deux à trois ans, on le fera pas en 2025, trop tôt on va se cramer les ailes, ça pourrait si on fait des levées de fonds autres, mais on fera pas et je... Enfin, c'est trop tôt. On a besoin d'être suffisamment structuré. Mais du coup, là, l'idée, c'est simplement en développant l'écosystème. Et après, ce serait encore de faire x10. Donc là, je n'ai pas de période de temps, mais j'ai la vision. Donc, aller chercher 100 millions par an. Par contre, là, l'idée, ce serait de créer un écosystème, racheter des boîtes complémentaires à nous. Donc, en fait, absorber des concurrents directement, racheter des outils. Imaginons que nos clients ont besoin d'un CRM ou d'un logiciel pour leur facturation. Ou même d'un comptable. Allez, on va prendre l'exemple d'un comptable. On sait que nos clients, au bout d'un moment, ils sont souvent en micro quand ils débutent et ils ont besoin de passer en société parce qu'ils ont du résultat. Donc, nous, ce qu'on pourrait prévoir de faire, c'est racheter un comptable. Alors, c'est un peu plus complexe parce qu'on a besoin d'avoir un expert comptable dans la boîte, etc. Et du coup, intégrer directement la comptabilité de tous nos clients. Donc, faire de l'acquisition sur la compta. Et tous les clients de la compta qui n'ont pas assez de chiffre d'affaires, on leur dit, tiens, fais-toi aider. Du coup, fais-toi aider par notre propre boîte et comme ça, continue à développer l'écosystème. Donc, ça serait racheter des boîtes. qui ont déjà un actif et déjà du chiffre d'affaires, ça évite de partir de zéro et ça évite de tout construire. Donc ça, ça serait surtout la vision qu'on aurait envie de créer. Et du coup, ça serait de construire cette vision, racheter plus de boîtes pour grossir et aller chercher une belle valo et surtout un très beau chiffre d'affaires. L'autre point qui est assez important, sur lequel on ne s'est jamais vraiment posé la question pour être transparent, c'est est-ce que... Pour atteindre cette vision, on pourrait l'atteindre beaucoup plus vite si on fait des levées de fonds, des choses comme ça. On a des concurrents qui ont fait des levées de fonds, c'est-à-dire qu'il y a des investisseurs qui prêtent de l'argent contre une partie de la boîte. Je pense qu'on pourrait lever beaucoup, plusieurs millions assez facilement aujourd'hui au vu des chiffres et de ce qu'on fait et de la vision qu'on pourrait avoir. Mais je ne pense pas, enfin, ce n'est pas ce qui nous intéresse pour le moment parce que du coup, là, on est 100% maître de notre activité. On détient 100% de l'activité avec mon frère et avec les autres associés parce qu'on a plusieurs boîtes, encore une fois, comme je l'ai répété. Donc avec des associés différents à chaque fois, notamment sur l'agence et sur Créapro. Donc ça, c'est une réflexion qu'on a ou qu'on pourra avoir, qu'on n'a pas forcément tout de suite. Et l'autre point à prendre en compte aussi, c'est que je fixe mes objectifs beaucoup en termes de chiffre d'affaires. Mais en fait, je m'en fous de l'argent pour l'argent. Et je pense que c'est important, mais je ferai un podcast sur ça, de comprendre pourquoi est-ce qu'on se fixe ces objectifs et pourquoi ces objectifs, ils sont importants pour nous. Parce que faire de l'argent pour devenir de faire de l'argent, je m'en fous. Et de manière personnelle. Je ne dépense pas énormément. J'ai mon appartement à Lyon 6, qui est quand même un bon quartier de Lyon pour ceux qui connaissent, mais qui est surtout à côté des bureaux, ce qui est l'objectif. Moi, je ne voulais pas être trop loin des bureaux. Ça me met 4 minutes en trottinette le matin. Et puis voilà. Mais je ne vais pas faire de l'argent pour faire de l'argent. Et certes, c'est un facilitateur au niveau de son train de vie et ça nous permet aussi d'éviter certains problèmes du quotidien. mais je suis pas attiré uniquement par ça je pense que je suis plus attiré par l'aventure par tout ce que ça peut créer et surtout par l'impact qu'on peut avoir parce que je vois l'argent un petit peu comme un comme des personnages qu'on va venir faire travailler si j'ai un euro je vais réinvestir dans ma boîte c'est comme un petit personnage que je vais faire travailler qui va me rapporter d'autres euros etc etc et c'est un petit peu comme un jeu je vais pouvoir grossir ça au fur et à mesure et où je vais pouvoir gagner de plus en plus au fur et à mesure et là ça va me permettre de créer beaucoup plus de valeur Et ça va me permettre surtout d'avoir un impact beaucoup plus positif. Parce que c'est ça qui est bien avec l'entrepreneuriat. C'est pour moi le truc qui vous permet d'avoir le plus d'impact sur la vie des gens, que ce soit positif ou négatif. Mais c'est l'un des points qui peut vous permettre de plus changer le monde à votre façon ou de créer le monde idéal ou en tout cas la vision idéale que vous avez du monde. Et ça, c'est quelque chose quand même assez dingue. Donc, ça serait l'idée à travers toutes ces activités. Et je pense qu'après, il y a d'autres choses. qu'on développera et je pense que ça ira aussi beaucoup plus loin, mais ça serait l'objectif là déjà à travers tout ce qu'on veut créer. Donc voilà un petit peu pour ma vie, ma vision, mes objectifs, ce que j'ai envie de construire, les raisons de ce podcast aussi. N'hésitez pas à me dire si ça vous a plu, ceux qui ont écouté ce podcast. Franchement, c'est tout nouveau pour moi et je parlerai aussi de toutes ces choses-là, mais c'est une compétence que je dois apprendre. Là, j'ai tourné ce podcast avec mon micro, j'ai quand même vérifié, comme je vous le disais, le son, mais sans plus. C'est tout nouveau pour moi. Mon but, pour moi, c'est d'être le plus transparent, le plus naturel possible. Pas que ça soit une prise de tête aussi à tourner et avoir quelque chose d'assez sympa et d'assez naturel. Et de vous partager surtout un maximum ma vie, mes apprentissages, mes leçons. Et que ça puisse vous inspirer, que ça puisse vous aider à développer votre activité. Donc, je vous souhaite une très belle journée. J'espère que le podcast vous a plu. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Mathis Pupo sur Instagram. Et en attendant, je vous souhaite une très belle journée. Ciao tout le monde !

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