- Speaker #0
Bonjour et bienvenue. On se lance aujourd'hui avec une question que beaucoup d'entreprises se posent, surtout dans le secteur de l'habitat.
- Speaker #1
Oui, et de la rénovation aussi.
- Speaker #0
Exactement. En 2026, est-ce qu'on aura encore vraiment besoin de leads ?
- Speaker #1
C'est un peu la question du moment, vu comment le marché évolue.
- Speaker #0
Tout à fait. Alors, pour y voir plus clair, on a une source principale aujourd'hui, un document très direct. Pourquoi utiliser CBM Manager ? Il propose une perspective, disons, très claire sur le sujet.
- Speaker #1
Très pragmatique, oui.
- Speaker #0
Notre objectif, c'est de décortiquer un peu les arguments de ce document pour comprendre non pas si les leads sont nécessaires, mais plutôt comment leur gestion est devenue cruciale.
- Speaker #1
Oui, et vous avez raison, le débat a changé. La vraie question, c'est plus la nécessité des leads. Ça, je pense que tout le monde est d'accord.
- Speaker #0
C'est un acquis.
- Speaker #1
C'est un acquis. La question, c'est leur qualité. et surtout l'efficacité des outils qu'on utilise pour les traiter. Et ce document, il met les pieds dans le plat d'entrée de jeu. Il identifie deux problèmes majeurs.
- Speaker #0
Lesquels ?
- Speaker #1
Premièrement, des outils de gestion, les fameux CRM qui sont de vraies usines à gaz. Personne ne les utilise vraiment au quotidien.
- Speaker #0
Ah, le grand classique !
- Speaker #1
Le grand classique. Et deuxièmement, des leads de qualité très inégales et qui finissent par épuiser les équipes commerciales, les équipes de téléprospection.
- Speaker #0
Oui, la démotivation que ça peut créer, exactement. Et donc la solution que propose ce document, elle repose sur un principe très simple en fait. La simplicité au service de la performance. Alors commençons par là. Le document, une phrase qui m'a marqué, je trouve qu'elle résume tout. Le meilleur CRM du monde ne sert à rien s'il reste dans l'ordi du patron.
- Speaker #1
C'est une image très parlante, ouais. C'est ça, ça met le doigt sur le problème numéro un, l'adoption. Si les équipes n'utilisent pas l'outil, on a juste payé une licence pour rien. Comment est-ce que cette approche de la simplicité est censée résoudre ce problème ?
- Speaker #0
Alors, ce qui est intéressant, c'est que leur argumentaire ne se concentre pas sur des listes de fonctionnalités. Ils parlent de bénéfices, rôle par rôle dans l'entreprise.
- Speaker #1
D'accord, c'est très concret.
- Speaker #0
Très concret. Pour les téléopérateurs par exemple, l'accent est mis sur la rapidité, l'efficacité. On leur promet un accès immédiat aux prospects, pas de menu à rallonge, un suivi des appels en un clic. Moins de friction en gros. Voilà. L'idée, c'est de passer moins de temps à se battre avec les logiciels. et Et plus de temps au téléphone. La promesse, elle est directe. Plus de rendez-vous posés, moins de perte de temps. C'est très pragmatique. D'accord, donc pour les téléopérateurs, c'est la productivité brute. Mais pour les commerciaux sur le terrain, leur quotidien est quand même plus complexe. Ils jonglent avec des devis, des relances sur plusieurs mois. Un outil trop simple, ça ne risque pas de les limiter.
- Speaker #1
C'est une très bonne question. Et leur réponse est intéressante. Pour les commerciaux, l'argument, ce n'est plus la vitesse, c'est la fiabilité du suivi.
- Speaker #0
Ah, d'accord.
- Speaker #1
L'analyse insiste beaucoup sur l'importance d'avoir un historique client qui soit propre, lisible, instantané. Vous arrivez chez un prospect, vous ouvrez sa fiche et vous avez tout.
- Speaker #0
Le résumé du premier appel, le contexte.
- Speaker #1
Le besoin exact, les relances à faire, le devis qui a été envoyé. L'idée, c'est vraiment d'éviter le fameux trou dans la raquette.
- Speaker #0
Le prospect chaud qu'on oublie pendant trois semaines.
- Speaker #1
Exactement. Ils ne prétendent pas gérer des projets hyper complexes. Mais dans le cycle de vente de l'habitat, qui est assez standard, ils veulent s'assurer qu'aucune balle ne tombe. Pour eux, cette rigueur simple amène à une meilleure conversion. On voit tous ce que ça veut dire. C'est la différence entre appeler un client en disant « bonjour, on s'était parlé de quoi déjà ? » et dire « bonjour monsieur Martin, on avait discuté de votre projet d'isolation, où en êtes-vous ? » La conversation n'est pas du tout la même.
- Speaker #0
Pas du tout. Et pour le dirigeant ou le manager alors ? C'est quoi son intérêt, à part que ses équipes soient plus efficaces ?
- Speaker #1
Pour le dirigeant, le mot-clé, c'est la visibilité. Un outil simple, mais utilisé par tout le monde, ça transforme le chaos des post-it et des tableaux Excel en un pipeline de vente clair, lisible.
- Speaker #0
C'est plus qu'un tableau de bord pour faire joli, donc ?
- Speaker #1
Ah non, c'est un outil de pilotage. Le document le présente comme un moyen d'avoir une vision claire du pipe, du suivi des performances. et de prioriser les actions facilement. La promesse finale, c'est d'avoir une entreprise qui tourne au carré. Ça, ça parle à beaucoup de chefs d'entreprise, j'imagine. Alors, cette simplicité est séduisante, c'est clair. Mais le document utilise une expression pour décrire les CRM traditionnels, l'usine à gaz. Qu'est-ce que ça veut dire concrètement, une interface qui n'est pas une usine à gaz ? Une interface pensée terrain. Alors, la philosophie de conception qu'ils décrivent, elle tourne autour d'un objectif central, zéro. complexité inutile.
- Speaker #0
C'est-à-dire ?
- Speaker #1
Concrètement, ça le traduit par moins de menus, moins de clics pour faire une action, des intitulés clairs. C'est une logique métier qui est vraiment adaptée au secteur de l'habitat. On parle d'appel, de devis, de planning de pause. L'outil parle la même langue que ses utilisateurs.
- Speaker #0
Et le bénéfice final de tout ça ?
- Speaker #1
C'est ce qu'ils appellent une adoption naturelle. Même par des personnes qui, je cite, n'aiment pas l'informatique. C'est ça l'idée.
- Speaker #0
D'accord. Donc un outil simple, Adopté par tout le monde, c'est la base Mais cet outil, il faut le nourrir. Il faut lui donner la bonne matière première.
- Speaker #1
Absolument.
- Speaker #0
Et c'est là qu'on en vient aux leads. La source fait une distinction très nette entre de simples contacts et des leads exploitables. Qu'est-ce qu'ils entendent par là, un lead exploitable ?
- Speaker #1
Pour eux, ce n'est pas juste un nom et un numéro de téléphone. Un lead exploitable, c'est un projet qui est déjà qualifié.
- Speaker #0
Ah oui, il y a déjà eu un premier filtre.
- Speaker #1
Un premier filtre, exactement. Et c'est un projet sur un marché où la demande est forte, avérée. Leur approche est presque chirurgicale. Le document liste d'ailleurs très précisément les segments de marché qu'ils visent.
- Speaker #0
Je suis curieux de savoir lesquels.
- Speaker #1
On parle de l'adoucisseur d'eau, du poêle à bois et à granulés, du photovoltaïque.
- Speaker #0
Que des marchés porteurs en ce moment.
- Speaker #1
Exactement. Il y a aussi la pompe à chaleur et l'isolation. L'idée, c'est de ne pas faire perdre de temps aux équipes avec des prospects tièdes ou pires complètement hors cible.
- Speaker #0
C'est une stratégie de qualité avant la quantité, très clairement. Et la conclusion qu'ils en tirent ? C'est une sorte d'équation logique.
- Speaker #1
Oui, elle est très parlante. C'est leads mieux ciblés, équipes plus efficaces, moins de temps perdu, égale plus de signatures. Logique.
- Speaker #0
Ça répond directement au problème de l'épuisement des équipes dont on parlait au début. En garantissant un flux de leads de haute qualité, ils estiment redonner du sens au travail des commerciaux. C'est un argument fort.
- Speaker #1
Et tout ça nous amène au concept d'alignement. C'est un peu l'aboutissement de tout ce qu'on vient de dire. Le document utilise une image assez forte pour illustrer le problème.
- Speaker #0
Oui, celle du prospect qui se perd entre un appel, un post-it et un tableau Excel.
- Speaker #1
C'est exactement ça. On l'a tous commis. Comment est-ce que CBM Manager prétend résoudre ça et créer ce qu'ils appellent une chaîne fluide ? Alors, cette notion de chaîne fluide, c'est vraiment la synthèse de leur approche. L'idée, c'est que grâce à la simplicité et à la clarté de l'outil…
- Speaker #0
Tout le monde sait quoi faire.
- Speaker #1
Voilà. Le téléopérateur sait quoi faire maintenant, le commercial sait quoi faire ensuite, et le manager sait où il doit agir pour corriger ou améliorer. L'outil n'est pas pensé pour des postes isolés, mais pour une entreprise entière, pour un flux de travail continu.
- Speaker #0
Et le résultat final ?
- Speaker #1
Le résultat final, c'est un système où, comme ils le disent, chaque prospect avance de manière structurée dans le pipeline de vente. Il n'y a plus de point de rupture.
- Speaker #0
Bon, si on fait la synthèse. Pour en revenir à notre question de départ. La source ne laisse aucune place aux doutes. La réponse est un grand oui. Les entreprises ont plus que jamais besoin de leads.
- Speaker #1
Mais, il y a un mais.
- Speaker #0
Il y a un gros mais. Elles ont surtout besoin d'un système intelligent pour les gérer. Et la promesse de CBM Manager, si je résume, elle tient en deux points.
- Speaker #1
Vas-y.
- Speaker #0
Premièrement, un CRM simple qui est vraiment utilisé par toute l'entreprise.
- Speaker #1
C'est la base, l'adoption.
- Speaker #0
Et deuxièmement, des leads de qualité sur les produits les plus rentables du secteur de l'habitat.
- Speaker #1
C'est... exactement ça. Et selon le document, c'est cette combinaison qui transforme un CRM d'un simple logiciel de plus en un véritable outil de croissance.
- Speaker #0
Le message est clair, en tout cas. Oui, il s'adresse directement à ceux qui sont fatigués des CRM complexes, des équipes qui n'adhèrent pas et des leads qui sont très difficiles à convertir. Le message, c'est un peu arrêter de vous compliquer la vie. C'est très clair. Et ça m'amène à une dernière réflexion pour conclure. Une pensée un peu provocatrice, inspirée par la fin du document.
- Speaker #1
Ah !
- Speaker #0
En présentant leurs solutions comme une évidence, ils suggèrent presque que l'essai de l'outil devrait précéder la réflexion sur la stratégie de l'entreprise. Normalement, on fait l'inverse, non ? On définit une stratégie, puis on choisit les outils.
- Speaker #1
Oui, c'est l'approche classique.
- Speaker #0
Mais après notre discussion, je me demande, dans quelle mesure le choix des outils ne devrait-il pas dicter la stratégie de croissance plutôt que l'inverse ? Opter pour la simplicité spécialisée ou pour la complexité intégrée ? Ce n'est peut-être pas une décision technique ? C'est peut-être le premier acte stratégique d'une entreprise.
- Speaker #1
C'est une question intéressante. L'outil ne serait plus un moyen, mais le point de départ de la stratégie elle-même.
- Speaker #0
Exactement. Il ne découle pas de la stratégie, il la définit. Une pensée à méditer.