Description
J’ai avoué à Eva que j’ai eu du mal à écrire cette intro. Parce que je n’arrivais pas à trouver les mots juste pour parler du SOPK. Parce qu’on parle beaucoup d’endométriose ces dernières années, mais pour le SOPK, il n’y a presque rien.
Enfin, rien, non. Il y a les témoignages : Je n’avais quasiment plus mes règles, je savais que quelque chose n’allait pas Le parcours a été long La pilule, ce qui a repoussé mon diagnostic stimulation ovarienne, traitement chirurgical, FIV : rien n’a fonctionné Il y a les symptômes : acné, hirsutisme, alopécie. Il y a les chiffres : Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) concernerait 10 à 15 % des femmes. Il y a les faits : Cette maladie hormonale représente à ce jour l’une des premières causes des troubles de la fertilité féminine. Et pourtant, le SOPK est peu ou pas connu du grand public. Il y a quelques temps, Solène et Eva, deux sœurs, ont créé SOVA pour aider les femmes SOPK. Ce qui a commencé comme une belle aventure familiale se concrétise aujourd’hui comme un véritable projet qui fait avancer la santé des femmes.
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Crédits
Cette saison est réalisée avec le soutien de la marque de lingerie menstruelle Pantys.
Ecriture : Marguerite de Rodellec
Production : MedShake Studio, studio de podcast spécialisé dans la santé, créé par Anca Petre et Margot de Rodellec.
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