Speaker #0Bonjour à tous et bienvenue dans un nouvel épisode ! Je suis ravie de vous retrouver et j'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, et parce que ça fait vraiment super longtemps, j'avais envie de vous parler de minimalisme, de simplicité, tout ce que j'aime quoi ! Car, pour rappel, c'est mon mode de vie au quotidien. D'ailleurs, il existe tout un épisode sur mon cheminement vers le minimalisme. C'était l'un des tout premiers épisodes du podcast. Du coup, si vous ne l'avez pas encore écouté, vous trouverez le lien en description de cet épisode. Adopter une vie plus simple, une vie minimaliste, ça a eu énormément d'impact positif sur ma vie. Je suis en train de réfléchir... en même temps au côté négatif de ce mode de vie. Mais j'avoue que je n'ai pas encore trouvé. Il faudrait que j'essaye de me pencher sur la question. Mais ce n'est pas grave parce qu'aujourd'hui, je suis là pour vous parler de 5 impacts positifs du minimalisme sur ma vie. Alors c'est parti pour l'épisode du jour ! Le premier impact... Alors, je vous les donne dans le désordre. Moi, vous savez, je suis un peu freestyle. Je ne fais pas un truc hyper organisé. Un comble pour une consultante en organisation, ça, c'est clair. Donc, le premier impact, c'est que j'ai plus de temps. J'ai vraiment gagné du temps pour moi, gagné du temps pour mon fils, gagné du temps pour faire ce que j'aime, gagné du temps pour... Ouais, gagner du temps dans mon quotidien de manière générale. Déjà parce que le fait de posséder moins d'objets, moins de meubles, le fait que chaque chose a une place chez moi, eh ben, je passe moins de temps à ranger, à nettoyer, à chercher quelque chose. Donc ça, c'est vraiment du temps de gagner. Autre chose aussi, c'est que contrairement à ma vie d'avant, il y a... bon nombre d'années maintenant, parce que ça fait peut-être 8-9 ans, je ne sais plus que j'ai choisi d'emprunter un chemin vers une vie plus simple et plus minimaliste, c'est que je ne perds plus de temps à faire du shopping. Parce que mon bonheur ne se trouve majoritairement plus dans les objets. Ça ne veut pas dire que je n'achète plus d'objets. Parce que ça m'arrive toujours d'en acheter, mais c'est vraiment beaucoup, beaucoup plus rare qu'une personne normale dans la société de consommation, on va dire. Mais j'arrive à me satisfaire de petits bonheurs simples, vraiment. De belles couleurs dans la maison, un chocolat chaud. Je prends toujours l'exemple du chocolat chaud, j'ai l'impression, mais j'adore les chocolats chauds. Être avec mon fils, rire. regarder une série, chanter, enfin voilà, enregistrer un podcast. Donc tout ça, c'est vraiment... De toute façon, je ne supporte plus de me retrouver à faire les magasins. Je fais un rejet de ça. Ça me donne des angoisses pas possibles. Il n'y a pas si longtemps que ça, j'ai dû me retrouver le samedi après-midi à devoir aller acheter quelque chose, un besoin réel, pas du shopping comme ça. pour faire du shopping, et de voir tout ce monde, en plus de voir tout ce monde en train de consommer, de surconsommer. Non, en fait, je ne peux pas, je n'y arrive plus, en fait. C'est vraiment, j'ai qu'une hâte, en fait, c'est de sortir du magasin et de rentrer chez moi. De toute façon, de manière générale, quand j'ai besoin de quelque chose, je le commande en ligne, le plus souvent. Déjà parce que je commande beaucoup de choses sur Vinted d'occasion et aussi sur d'autres sites en ligne. Et franchement, c'est un gain de temps considérable. Mais avant, je faisais du shopping, il y a bon nombre d'années, je faisais du shopping pour faire du shopping. Quand on fait du shopping, on trouve toujours quelque chose à acheter, voilà, clairement. Je vous donne un exemple aussi de vie pas parfaite, parce que c'est un cheminement au quotidien, et puis comme tout le monde, on est humain, les minimalistes, je précise, et ça peut arriver de craquer. En tout cas, moi, je prône pas le tout noir ou le tout... ou le tout blanc. Pour moi, il y a plein de nuances. Et je vais vous donner un exemple très concret, parce que j'assume tout. Des fois, j'ai quelque chose à acheter à action. Et une chose précise, mais à chaque fois, à action, je ressors toujours avec une ou deux bricoles qui n'étaient pas prévues. C'est pour ça aussi que c'est important de, si on ne veut pas dépenser, Je fais une petite parenthèse qui n'a rien à voir, mais si on ne veut pas dépenser, c'est hyper important de ne pas se retrouver dans les magasins. Parce qu'évidemment, la tentation est beaucoup plus grande que de ne pas y aller du tout, ça c'est clair. Même moi, pour être dans un cheminement depuis X années, des fois la tentation est grande. Alors maintenant, j'ai les mécanismes pour me dire, non, mais ça, ça va rester dans ton placard, ça, tu ne vas pas en avoir l'utilité, ça va être de l'argent que tu ne vas pas utiliser pour autre chose, mais ça existe toujours. C'est plus infime. que quelqu'un d'autre peut-être, mais ça existe toujours. Donc voilà, je referme la parenthèse de temps gagné par rapport à ne plus faire les magasins, du temps et de l'argent, du coup, en l'occurrence. Et de manière un peu plus générale, je ne perds plus de temps pour des activités qui ne me font pas vibrer. Parce que, par exemple, j'ai appris à faire du tri dans mon agenda. J'en reparlerai, il va falloir que j'arrive à faire un épisode sur le sujet, mais il faut savoir que le minimalisme, ça ne s'arrête pas juste aux possessions matérielles. On peut faire du tri dans son agenda, on peut faire du tri dans ses activités, on peut faire du tri dans ses relations, etc. Donc moi, j'ai fait de la place dans mon agenda pour des activités qui me nourrissent, qui me font du bien. Donc pareil, comme tout le monde, j'ai toujours des choses obligatoires, mais ça reste vraiment fin. Quand je parle de choses obligatoires, c'est vraiment si un rendez-vous pour aller chez le médecin, quand on est malade, ça ne fait peut-être pas plaisir de perdre son temps à ça, mais voilà, ça peut être, je ne sais pas, moi, devoir aller à la poste parce qu'on a un courrier à poster, devoir se rendre dans une administration parce qu'on a des papiers à faire. Pour moi, ça, c'est des choses obligatoires, mais ça reste vraiment ponctuel dans une vie. Le reste, ce n'est que des choses, je le rappelle, que des choses que l'on s'impose. Donc pourquoi s'imposer des choses ? qui nous font chier. Voilà. Clairement. Et je parle bien d'activité, je ne parle pas du travail parce que ça, c'est pareil, c'est un autre sujet. Moi, évidemment, j'ai fait le choix de travailler de chez moi, de devenir entrepreneur qui comporte son lot de sacrifices et d'avantages. Voilà. Je sais qu'il y a des personnes qui sont en salariat, qui n'aiment pas leur boulot et qu'ils y vont quand même. Voilà. On ne va pas, du jour au lendemain, arrêter son travail comme ça. Ça, c'est une autre histoire. Mais en tout cas, je parle vraiment des activités, des choses annexes qu'on s'impose et qu'en fait, ça nous saoule. Parce qu'on ne sait pas dire non, parce que je pense notamment aux invitations qu'on peut recevoir, parce que tout le monde fait ça, donc nous, on va le faire aussi. Par exemple... Il y a des parents où les enfants ont un million d'activités extrascolaires, mais ce n'est pas grave s'ils en ont qu'une ou pas du tout. Je veux dire, il faut vraiment penser à la notion de plaisir. On n'est pas là pour souffrir. Donc, je parle vraiment de tout ça. J'ai fait du tri dans mon agenda et j'ai appris à reconnaître et à faire de la place pour les choses qui me font du bien. C'est vraiment le résumé de ce que je viens de vous expliquer. Un deuxième impact positif que le minimalisme a eu sur ma vie, qui est en lien un petit peu avec cette histoire de shopping que j'expliquais précédemment, c'est que j'ai plus d'argent. J'ai fait des économies énormes. En devenant minimaliste, il n'y a pas de secret. Je pense que... Peut-être tous les minimalistes de la Terre pourront vous le dire. Et surtout, ce qui est important pour moi, c'est que j'ai plus d'argent pour vivre des expériences ou des moments uniques et magiques et pour investir dans ce qui me nourrit vraiment. Je pense que parmi tous les impacts que je vais vous donner, même s'ils sont tous importants à mes yeux et que je kiffe ma vie pour ça, c'est un des impacts que je trouve le plus « waouh » , clairement. Parce que pour moi, se créer des souvenirs, ça a vraiment une place centrale dans notre vie. Et c'est beaucoup plus important que les objets. Parce que c'est de ça que je vais me rappeler avant tout. Les achats. Je ne sais pas si vous avez déjà été sensibilisé à ça. Peut-être que moi, j'ai été sensibilisé à ça parce que quand je m'intéresse à un sujet, je dévore toutes les informations sur ce sujet. Mais peut-être que pour vous, ce n'est pas le cas. Mais en tout cas, je vais le répéter au cas où. Désolée si vous le savez déjà. Mais un achat comme ça sur un coup de tête, on va kiffer en fait. Le cerveau, je ne sais plus par quel mécanisme, mais en tout cas, on va kiffer. Ça va nous faire du bien sur le moment. Ça va nous réconforter, ça va nous faire plaisir, etc. Mais le plus souvent, en tout cas moi je m'en suis rendu compte avec le temps, c'est qu'au fil des jours qui passent, ça s'estompe en fait cet effet-là. Mais par contre, le trou dans le porte-monnaie, il est toujours là. Clairement. Et donc moi j'ai essayé, en prenant ce chemin vers le minimalisme, j'ai essayé de changer ça en fait. C'est-à-dire de reporter. ma source de bonheur non plus sur des objets, mais sur des souvenirs. Et les souvenirs, on arrive toujours à s'en rappeler, à farfouiller dans sa mémoire. Et c'est ça qu'on prend plaisir à raconter. Je ne me vois pas dire... Enfin si, on va peut-être le dire, je me suis acheté ça, ça m'a fait super plaisir. Mais dans 15 ans, est-ce qu'on parlera de ça ? Ou est-ce qu'on parlera du souvenir de, je ne sais pas, j'ai été dans un parc d'attractions ou j'ai fait un petit resto ? Ou sans forcément dépenser de l'argent, mais je suis allée me balader en forêt, j'ai fait un super puzzle dimanche après-midi avec mon fils, avec mon conjoint, avec mes enfants, etc. Franchement, si on est cinq minutes honnêtes avec soi-même, c'est ça qui revient le plus souvent et pas les objets qu'on achète. Je suis sûre que ça vous a déjà fait le cas d'ouvrir vos placards, de ranger un petit peu et de vous dire « Ah, j'avais ça, tiens ! » Voilà. En fait, être minimaliste dans mes possessions m'a permis de réduire considérablement mes besoins matériels. Du coup, je fais vraiment de vraies économies. Déjà parce que le minimalisme, c'est vraiment se recentrer sur notre essentiel et éliminer notre superflu. Pourquoi je dis notre ? Parce que... C'est propre à chacun, et ça je le souligne vraiment. Il n'y a pas de règle genre, tu dois garder ci, tu dois garder ça, tout le monde dit que je dois jeter ça, donc il faut que je le jette, non. C'est vraiment selon les critères de chacun. Et donc du coup, après moultes, moultes, moultes années en tant que minimaliste, tout ce qui est objet pour mes besoins de base, c'est-à-dire cuisiner, m'habiller, dormir, me laver, vraiment les besoins primaires, je ne sais pas si on dit ça comme ça, mais tous ces besoins-là, j'ai déjà ce qu'il me faut. De la vaisselle, des ustensiles que j'utilise, pas ceux qu'on utilise une fois par tous les cinq ans, des vêtements, un lit, des serviettes de toilette pour me sécher, vraiment tout ce qui est de base, j'ai déjà tout ce qu'il me faut. Et j'ai appris, avec le temps, à ne plus succomber aux nouveautés. Et du coup, je ne suis plus attirée par les nouveautés. Alors, je vais nuancer un petit peu mon propos. C'est-à-dire que, évidemment que quand je vais aller dans un magasin, on se le rappelle quand je vais avoir besoin de quelque chose, si je vais voir de la belle vaisselle ou un beau vêtement, etc., évidemment que je vais dire, ah, c'est sympa, ah, c'est vraiment beau, oh là là, enfin, voilà. Mais je ne vais pas enclencher l'acte d'achat. Parce que je vais réussir à me dire, non mais tu as déjà ce qu'il faut. En plus, une des règles qui est sympa à essayer d'appliquer quand on a envie d'une vie plus simple, plus essentielle, plus minimaliste, c'est le un objet qui rentre, un objet qui sort. Et je vous jure que quand on essaye d'appliquer cette règle, on réfléchit à deux fois parce que... Est-ce que j'ai envie de sortir cette tasse ? Est-ce que cette tasse est plus importante que la nouvelle que j'ai envie d'acheter ? Ma vaisselle, je l'aime bien ma vaisselle. Pourquoi ? Je vais aller en acheter de la nouvelle. Vous voyez, c'est un mécanisme. Mais ça, ça vient avec le temps, avec la pratique. Il ne faut pas se flageoler. Si ça prend du temps, moi je n'ai pas tout fait du jour au lendemain. Il faut arrêter de croire que tout arrive du jour au lendemain. C'est vraiment un processus d'une vie. Franchement, c'est une gymnastique qui au fur et à mesure se met en place. Pour les besoins de base, j'achète... uniquement quand c'est nécessaire. En fait, quand c'est nécessaire que ce soit remplacé parce que je vais avoir cassé ça ou parce que ça va être usé. Voilà, pour ce genre de raisons. Mais plus juste, ils ont sorti une nouvelle collection de vêtements, de vaisselle, de ceci, de cela, et je vais acheter. Et je vais accumuler. Non, ça, ça n'existe plus dans ma vie. Donc, évidemment que ça me fait faire de réelles économies au quotidien. Après, Pour ce qui est des objets plus détente, loisirs, etc., j'achète ce dont j'ai réellement envie. Et j'insiste sur le « réellement envie » . Pas comme tout à l'heure, ce que je vous expliquais sur « je vois un objet, oh là là, je me l'achète, plaisir éphémère et après, j'en ai plus rien à faire » . Non. Je me suis créé un système qui marche pour moi, que vous pouvez essayer, voir si ça marche aussi pour vous. C'est... de me créer des listes d'envie avant achat. D'ailleurs, les listes d'envie, c'est aussi bien pour, bah tiens, Clémence, qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël, pour ton anniversaire ? Bah, je vais aller piocher dans ma liste d'envie. Petite parenthèse, petit conseil supplémentaire. Et du coup, donc je me suis créé des listes d'envie avant achat, au lieu, au lieu de me créer des paniers sur les sites en ligne. Parce que généralement, le panier, on va cliquer sur acheter. Que là, mes listes d'envie sur Notion, il n'y a pas de bouton acheter. Voilà. Et généralement, sans aucune exagération de ma part, j'achète clairement moins de 10% de tout ce que je peux mettre sur ma liste d'envie. Parce que le temps passe et qu'au fil des jours, une fois que ce truc éphémère est passé, j'en ai plus envie. Ou alors, au fil des semaines, jusqu'au prochain achat où je vais aller piocher dans cette liste d'envie, finalement, ça ne me correspond pas ou plus parce qu'il faut savoir qu'on est impacté par la publicité, on est impacté par la société, on est impacté par les réseaux sociaux. Donc, parfois, on pense qu'on a besoin de ça ou qu'on a envie de ça ou que ça nous correspond. Et en fait, ce n'est pas le cas. Donc franchement, créer des listes, laisser passer du temps et voir ce qu'il en ressort, c'est vraiment super efficace pour éviter de craquer immédiatement sur quelque chose qui finira dans un placard. Et c'est aussi efficace pour dire à ses proches qu'est-ce qui nous ferait plaisir. Quand ils nous demandent, toi tu voudrais quoi ? Ah bah je ne sais pas, si en fait je sais parce que j'ai une petite liste d'envie sous le coude. Voilà. Pour ce que j'achète après plusieurs jours ou plusieurs semaines, la majorité du temps, du coup, je kiffe vraiment. Vraiment, parce que je sais que ça ne va pas être une envie comme ça, juste sur un coup de tête. Alors, vous savez que je nuance, vous savez que j'aime bien vous raconter la vraie vie. Il m'arrive encore parfois de regretter un ou deux achats. Mais grâce à tout ce processus, ça reste vraiment quelque chose de rare. Et je vais vous faire une confidence, pour les personnes qui ne me connaissent pas encore beaucoup, je sais dans quoi je ne regretterai jamais, jamais, jamais de faire un achat, les livres. Les livres, c'est ma vie. Donc ça, généralement, je me permets aussi de craquer sur un coup de tête parce que, clairement, les livres, voilà, quand on a un truc comme ça qui nous prend aux tripes, moi, je suis une très grande lectrice. Franchement, ça, je sais que je ne le regretterai jamais. Alors, c'est sûr qu'en ce moment, je ne le fais pas parce qu'un de mes objectifs, c'est de diminuer ma pile à lire. D'ailleurs, pour 2024, j'espère vraiment arriver à zéro. dans les livres. D'ailleurs, je suis un petit peu frustrée parce que j'aurais voulu lire les romans de Noël avec les belles couvertures là. J'en ai jamais lu de ma vie. Et j'avoue que, bon, après, si je craque pour un, on verra, je vous en reparlerai sur Insta si jamais j'ai craqué pour un livre de Noël. Après, c'est sûr qu'en ce moment, avec les livres, quand je tombe sur une boîte à livres, je jette un coup d'œil. Et cette année, je suis tombée sur plein de livres hyper géniaux dans les boîtes à livres. Alors que des fois, je n'ai pas forcément... Enfin, vous savez, ça, c'est un peu la loterie, c'est-à-dire que... On récupère les livres que les gens donnent et il faut tomber au bon moment parce que les meilleurs livres partent très rapidement. Mais je ne sais pas, cette année, j'ai eu de la chance de ce côté-là. Donc en fait, j'ai diminué ma pile à lire, mais elle a augmenté avec ce que j'ai trouvé gratuitement dans les boîtes à livres. Et comme il y en a de plus en plus par chez moi, je pense que j'ai de quoi faire. Donc peut-être que je vais pouvoir me permettre de craquer pour un livre de Noël parce que sinon, peut-être qu'en Noël 2028, je serai encore avec ma pile à lire. Bref, est-ce que la pile à lire pour les grands lecteurs et lectrices diminue un jour ? Je sais pas. La mienne, elle a du mal en tout cas. N'hésitez pas à venir me le dire sur Insta ou venir m'en parler sur le répondeur du podcast, etc. De savoir si vous, grands lecteurs ou grandes lectrices, vous arrivez à terminer votre pile à lire. Ça m'intéresse vraiment de me sentir moins seule. Donc, je ne regretterai jamais d'acheter des livres. Et le reste, c'est vraiment les expériences ou rien. Et puis aussi, il faut se dire que les erreurs d'achat, c'est ça aussi qui permet d'apprendre ce qui nous correspond. C'est comme tout, en fait, dans la vie. Tout ce qu'on vit, ça nous apporte des leçons, en fait, plus ou moins faciles à digérer, clairement. Mais si je n'aurais pas fait... des erreurs d'achat, comment je peux savoir ce qui est bon pour moi en fait. Alors il n'y a pas que ça pour savoir ce qui est bon pour soi, il ne faut pas aller tout acheter et puis faire comme ça, mais en tout cas ça aide, moi ça m'a appris, ça m'a permis d'apprendre, je vais y arriver, ce qui me correspond en fait. Les gens, quand ils achètent quelque chose mais qu'ils n'en veulent plus, Ils ne veulent pas s'en séparer parce qu'ils voient l'argent de perdu. Moi, ce que je vois au contraire, c'est l'opportunité de me dire je ne referai pas cette erreur d'achat car je sais que ça ne me correspond tout simplement pas. Et vraiment, parfois, juste changer sa vision de la chose, ça aide. Essayer de faire cette gymnastique, de se dire ok, bon, ça, je l'ai acheté, maintenant c'est trop tard, je ne vais pas aller me flageoler. « Flageoler » . Bientôt, bientôt. En fait, ça me fait penser à « flageoler » . Depuis tout à l'heure, ça me fait penser à « flageoler » . Non mais laissez tomber le délire. Mais juste changer ce mécanisme. C'est comme ce qu'on discutait avec mon conjoint dans l'épisode qu'on a fait ensemble. Des fois, on a un peu des petits désaccords sur ce sujet. C'est juste que chacun a son point de vue. Mais l'achat, il est fait, en fait. Ça ne va pas vous redonner de l'argent. Je sais que ça fait mal parfois de le donner ou de le vendre à un prix dérisoire. Mais justement, servez-vous de ça pour vous dire, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant d'acheter. Et si jamais je l'achète, ok, ce n'est pas grave, j'essaye de me dire, la prochaine fois, je ferai attention et je ne perdrai pas cet argent. Ce qui est fait est fait, en fait. On ne peut pas revenir en arrière et c'est valable aussi pour les achats. On peut juste essayer de faire mieux la prochaine fois. Et pour en revenir aux expériences, de toute façon, depuis que j'ai goûté au bonheur de vivre des expériences, de faire des activités, d'aller au restaurant de temps en temps. Franchement, mettre de l'argent dans des objets, ça ne m'intéresse plus. Les objets, c'est vraiment pour moi des bonheurs éphémères et remplis de lassitude. Vraiment. Il faudrait que j'arrive à me dire, est-ce qu'il y a un objet que genre je garde depuis des années ? Je parle vraiment des objets personnels, je ne parle pas de la vaisselle ou des objets pour les besoins de base, mais que j'ai gardé vraiment au fil des années sans jamais m'en séparer. J'essaierai de farfouiller dans ça. Une expérience personnelle. Donc vraiment, j'ai plus d'argent. Je vais terminer sur cette partie argent, sur cet impact là positif. C'est que j'ai plus d'argent pour ce qui me fait kiffer. J'ai plus d'argent pour les expériences. Et franchement, j'ai aussi plus d'argent à épargner pour des projets plus gros. Par exemple, quand on a besoin de faire des travaux dans la maison. J'ai aussi plus d'argent pour épargner, pour payer mes factures sans souffrir. Par exemple, quand il y a une vidange de voiture, quand il y a des réparations pas prévues, etc. Je ne suis pas en train de tirer la langue en me disant « putain, j'ai plus de fric » . Non mais je vous le dis sincèrement, ça aide aussi de prendre le chemin d'une vie plus simple parce que quand il faut sortir de l'argent comme on a pu le faire par exemple qu'il a fallu qu'on sorte 3000 euros en une année pour notre fourgon à réparer, et bien heureusement qu'on avait l'argent parce que sinon je ne sais pas comment on l'aurait fait. Et ça c'est grâce au fait de vivre une vie plus simple et de faire son budget. N'hésitez pas à aller voir l'épisode que j'avais fait sur le budget, ça peut vous donner des... pistes pour démarrer. Et aussi, j'ai plus d'argent à épargner pour... Je sens déjà la controverse du truc parce que c'est pareil, il va falloir que j'arrive à vous enregistrer un épisode plus détaillé sur le sujet, mais pour me payer le luxe de travailler moins. Vous allez dire, mais pourquoi elle rigole celle-là ? Mais je vous expliquerai ça dans un autre épisode. Pourquoi je dis ça ? Parce que, alors déjà, c'est un luxe de pouvoir travailler moins, clairement, parce que ce n'est pas la majorité des gens dans cette société et c'est encore très mal vu de travailler moins. Mais pourquoi je dis ça ? Parce qu'on vit sur un seul salaire en ce moment et que c'est grâce au fait qu'on mène une vie simple, vraiment. Parce que vivre sur un seul salaire, et ce n'est pas un salaire à 5000 euros, on vit sur environ 2000 euros pour trois. à peu près. C'est ce que je vous disais d'ailleurs dans l'épisode sur le budget. Donc on vit sur un seul salaire. Pour l'instant, ça tient. Voilà. Même avec l'inflation, même tout ça, je vous invite vraiment à écouter l'épisode où j'en parle. Et donc du coup, ça me donne le luxe, moi, de travailler moins, d'être plus présente pour mon fils, pour voir mon fils grandir, ou... Et ça m'a permis de prendre mon temps pour lancer mon entreprise. Parce que pour rappel, pour les personnes qui débarquent et qui ne le savent pas, je suis consultante en organisation, je suis home organizer, et j'accompagne les personnes qui ont besoin justement d'aide pour avoir une vie un petit peu comme la mienne. Enfin, pas exactement comme la mienne, mais en tout cas pour être plus organisée, pour aller à l'essentiel. pour remettre du sens dans leur vie et pas grâce aux objets. Voilà, pour se désencombrer, pour trier, pour ranger, etc. Voilà pour cet impact concernant le fait d'avoir plus d'argent. Un des troisièmes impacts... Enfin, le troisième, c'est pas un des troisièmes, n'importe quoi. Le troisième impact positif du minimalisme sur ma vie, c'est que je me sens plus sereine, plus créative. et plus légère. En fait, au fur et à mesure des années, je me suis rendue compte que mon environnement avait un très grand impact sur la façon dont je me sens au quotidien. Dès qu'un espace est trop encombré, ou pas à mon goût, ou pas rangé un minimum, etc. J'ai l'impression d'étouffer. J'ai l'impression de me sentir mal. Je me sens un peu comme paralysée et j'ai plus de mal à avancer dans ma journée. Je ne saurais pas trop comment vous expliquer ça, parce qu'en fait, c'est plus un ressenti qu'autre chose. Alors, quand c'est chez moi, je fais en sorte d'y remédier, bien sûr. C'est pour ça aussi que je ne me concentre que sur l'essentiel, que je range un minimum, que tout est épuré, etc. Parce qu'en plus, maintenant que je travaille de chez moi depuis... quelques mois, années, vraiment, ça a un impact. Voilà, je ne saurais pas comment vous expliquer. Après, quand je suis chez les autres, je me dis, ce n'est pas chez moi, c'est chez les autres. Et ça passe. Ça passe clairement. Par contre, je vais vous faire une petite confidence. Et ce n'est vraiment pas un... Je ne sais pas s'il y a des proches qui écoutent mon podcast. Enfin, si, il y en a quelques-uns, mais des proches chez qui je vais, je ne veux pas qu'ils se sentent mal à l'aise avec ça parce que ce n'est vraiment pas un jugement ou une critique de ma part. Vous allez dire, la fille, elle est sadique. Mais en fait, ce que j'adore, c'est quand je suis chez quelqu'un qui n'est pas du tout... Aïe, je viens de me cogner le coude. Quand je suis chez quelqu'un qui... Ça, c'est la faute de parler avec les bras en l'air, là. Quand je suis chez quelqu'un et que c'est encombré ou que c'est pas... Enfin, c'est pas comme moi j'aurais fait et c'est pas du jugement parce que chacun fait bien comme il veut. Eh ben, je m'imagine dans ma tête... « Ah bah si c'était chez moi, je ferais comme ci, je ferais comme ça et tout. » Bref, c'est un petit kiff personnel. mais c'est pas une critique en fait parce que chacun est comme il est et chacun fait comme il a envie. C'est juste que je suis contente que ça soit pas chez moi parce que chez moi, moi, je fais comme ça. Et c'est tout, en fait. Mais voilà. C'était la petite parenthèse. Donc j'ai besoin, enfin, j'ai besoin vraiment de me sentir bien. pour ressentir de la sérénité, de la légèreté, pour pas que ma créativité soit brisée. J'ai besoin d'évoluer dans un environnement agréable. D'ailleurs, c'est pour ça que j'ai été très chiante, et je le suis toujours. Je fais des gros bisous à mon chéri s'il passe par là. Quand j'ai emménagé... Oh, mais je vais pas y arriver ! Quand j'ai emménagé avec mon conjoint, il y a bientôt... Ça fera trois ans l'année prochaine. Ouais, c'est ça, déjà. Alors, lui, je vous mets le contexte. Lui, il m'a toujours dit, moi, j'attendais d'être en couple pour que l'on puisse faire à nos goûts avec ma conjointe. Donc avec moi, en l'occurrence. Puisque c'est moi qui est dans sa vie maintenant. Je trouve ça vraiment très intentionné de sa part, vraiment. d'avoir fait ça, de ne pas avoir décoré ou aménagé selon ses propres goûts à lui. Mais du coup, quand je suis arrivée chez lui, comment vous dire ? J'étais très contente, mais au fur et à mesure des semaines et des mois, il a fallu qu'on s'y mette parce que vraiment, ça a un impact. Et ça en a encore un aujourd'hui parce qu'évidemment, les travaux ne se font pas en un jour. Là, il nous reste encore notre chambre à nous, il nous reste encore la salle de bain, les toilettes. Et après, on aura l'occasion, mais alors ça, c'est un chantier à part entière, d'aménager l'étage supérieur. Mais la moindre petite chose qu'on fait au fur et à mesure, ça me met dans une joie immense, immense. Au-delà du fait en plus qu'il est bricoleur, qu'on fait beaucoup de récup. qu'on arrive à se meubler à petit prix. Lui, ça ne le dérange pas, les achats d'occasion, on bricole, on fait vraiment tout comme on aime. Donc en fait, en plus d'avoir un bel environnement au fur et à mesure de nos travaux, on le fait sans que ça nous coûte un bras, les amis. Et ça, vous voyez, c'est vraiment, ça s'imbrique, en fait. Toutes mes valeurs, tous mes souhaits de vie, tout de... toute cette partie récup, écologie, minimalisme, etc., enfin tout ce qui fait partie de ma vie, s'imbriquent les uns les autres. Et du coup, ça me met en joie. Voilà. Plus que d'avoir une Porsche garée dans l'allée de mon jardin. Donc voilà. Du coup, je prends vraiment soin de mon environnement. J'aime quand c'est épuré. J'aime être entourée de plantes. de bois, de ton neutre. Alors attention, ça ne veut pas dire que j'ai que du blanc à la maison. Parce que ça, c'est aussi un préjugé sur le minimalisme. On croit que tous les intérieurs sont blancs, qu'il n'y a pas de couleur, que c'est triste, que le minimaliste doit se faire chier de n'acheter jamais rien, qu'il doit avoir une vie triste. Je n'ai jamais eu une vie aussi heureuse que depuis que je suis allée à l'essentiel et que j'ai mis mon énergie et mon argent et mon temps et mon... Autre chose, je vous assure. Est-ce que j'ai l'air d'être malheureuse ? Dites-moi. Ça, c'est un préjugé aussi. J'ai l'intention de mettre au fur et à mesure des semaines quelques photos de mon intérieur. C'est vrai que je n'arrive pas trop à les prendre en ce moment parce que la luminosité est nulle. Mais j'aimerais vous mettre des petits bouts de notre intérieur. Pour vous montrer qu'il n'y a rien de triste et que ce n'est pas que du blanc. Voilà. D'ailleurs, à la maison, je ne sais pas si vous l'avez déjà aperçu peut-être en story sur Insta ou bon bref, peu importe, ou en visio pour les personnes qui me connaissent et qui m'écoutent. J'ai un canapé jaune moutarde. C'est notre pièce centrale dans notre salon. En fait, notre canapé est jaune moutarde. Donc, c'est ça qui amène de la couleur. Le reste, c'est du blanc, du bois, des plantes. Et j'ai notre cuisine qui est un peu vers sauge. Et tout ça, ça fait un ensemble vraiment magique. Il faut vraiment que je vous prenne des photos. Il va falloir que j'arrive à me le noter. Pareil, j'aime quand c'est un minimum rangé. Pourquoi je dis toujours depuis tout à l'heure un minimum rangé ? Parce que parfois c'est le bazar. Je n'arrête pas de le dire, mais je le redis pour que ça rentre bien dans le cerveau. Parfois, c'est le bazar. C'est la vraie vie, en fait. Tout le monde a du bazar dans sa vie. Sinon, c'est pas la vie. Sinon, on vit dans un catalogue, dans un magazine de décoration, vous voyez. Mais c'est un bazar minimaliste et organisé. Parce que j'ai moins d'objets dans ma vie. Des fois, quand je dis c'est le bazar à la maison, je suis sûre qu'il y a des gens qui ont un degré de bazar le plus important qui dirait, ah parce que là, c'est le bazar là chez toi. Mais non, mais moi, j'aimerais bien un bazar comme ça. Bah, devenez minimaliste. Revenez à l'essentiel, les amis, je vous assure. Et puis surtout, je le répète encore, mais j'aime retrouver mes affaires facilement quand j'en ai besoin. On en est au quatrième impact. Je me sens plus libre et plus indépendante. Ce ne sont plus les objets qui me possèdent. Ça m'a permis, comme je vous le disais dans les points précédents, de ne pas dépendre d'un patron financièrement. Alors, il y en a qui vont dire « Oui, mais Clémence, tu dépends de ton conjoint, c'est lui qui ramène les sous pour faire vivre le foyer. » Ce sont des choses que je me dis à moi-même, rassurez-vous. Ce sont des choses que je me dis à moi-même et parfois que je culpabilise, souvent parce que c'est ancré dans la société de me faire sentir Comme une merde, clairement, mais parfois le jugement des autres me fait me sentir comme une merde. C'est à moi de passer au-dessus du jugement des autres, c'est un travail de chaque instant. Mais comme je le disais, je n'aurais pas cette liberté. Ok, c'est mon conjoint qui ramène la majeure partie du salaire, mais c'est grâce au fait aussi, il n'y a pas que ça, mais c'est grâce aussi au fait qu'on est minimaliste, qu'on n'a pas besoin de deux salaires pour vivre une vie chouette. Voilà. Donc, liberté, indépendance. Et puis, mon conjoint, lui, on en a beaucoup discuté. Il est OK avec ça. OK, je n'apporte pas des choses financièrement, mais je gère une grosse partie de la gestion de la maison. Je m'occupe de mon fils. On fait aussi des économies de nourrice, de garderie, grâce au fait que je sois là. Enfin, voilà, il y a tout un sujet. À traiter, je pense. J'en reparlerai, vous me connaissez, j'en reparlerai. Donc, déjà, c'est plus les objets qui me possèdent. C'est plus la société de consommation qui me possède. J'ai besoin de déménager. Eh ben, c'est hyper simple. J'ai pas beaucoup d'objets. Et ça va vite. Donc, financièrement, en termes de liberté, on peut bouger facilement. Vivre dans plus petit, c'est hyper simple. D'ailleurs, j'ai... Un rêve. Un rêve, j'espère. J'ai l'intention dans quelques temps de me refaire un tableau de visualisation. Et d'ailleurs, ce serait cool si je vous le partageais soit en newsletter, soit sur le podcast, etc. Je vais voir sous quelle forme je vous partagerais ça, ou peut-être sur un Reels Insta, enfin voilà. Mais j'ai un rêve, mes amis, de vivre en tiny. En tiny house. L'anglais est de retour. J'ai un rêve de vivre en tiny. C'est mini maison. Si vous ne connaissez pas ce qu'est... Si vous ne connaissez pas ce qu'est une tiny house, c'est vraiment un rêve que j'ai de vivre dans une mini maison. Et franchement, ça ne me poserait pas du tout de problème de vivre dans plus petit grâce au fait que je suis minimaliste. C'est un rêve. J'espère vraiment pouvoir le concrétiser un jour. Vraiment. Partir pendant des semaines avec Charlie ou ailleurs, pareil, c'est super facile. Voilà. En gros, tout est plus facile et tout est plus à ma portée. Le fait d'être... Le fait... Le fait d'être... Le... Oh ! Le fait d'être minimaliste. Et le dernier impact positif que le minimalisme a sur ma vie, c'est que je suis plus heureuse, plus heureuse, je ne sais plus si on fait la liaison ou pas, plus heureuse au quotidien. Parce que chacune de mes journées sont obligatoirement ponctuées de moments simples et savoureux. Jouer avec mon fils, sortir me promener, lire un livre. qui fait bosser sur mes projets. J'en passe, c'est des meilleurs. Et ce sont des moments à la portée de tous. Mais revenir à l'essentiel m'a vraiment permis. de m'en apercevoir et surtout de laisser de la place à ces moments. En fait, ce dernier impact, c'est un peu le résumé de tout ce que je viens de vous expliquer dans cet épisode. Je suis plus heureuse parce que j'évolue dans un environnement agréable qui n'est pas encombré de choses inutiles. Je suis plus heureuse parce que j'ai du temps à consacrer à mes proches, à faire des activités qui me font du bien, à vivre des moments ordinaires ou extraordinaires. Au lieu de passer mon temps à ranger, à nettoyer ma maison qui déborde, je suis plus heureuse parce que financièrement, l'argent contribue aux choses qui nous font du bien, il nous enlève le stress de ne pas pouvoir payer nos factures ou nos besoins de base, tels que les courses, l'essence, etc. Et pas des objets qui restent dans les placards ou qui provoquent un bonheur éphémère. Bref, vraiment, le minimalisme a changé ma vie, comme vous l'aurez compris. inutile que je continue de radoter. Et si tout ça vous inspire, si ça vous donne envie de vous y mettre, promis, je vous assure que vous ne le regretterez pas, je vous invite, si ce n'est pas encore fait, à écouter l'épisode qui s'appelle « Désencombrer par où commencer » où je vous donne des clés pour débuter votre désencombrement matériel. Vous retrouverez, comme d'habitude, tous les liens de ce dont je parle dans la description de cet épisode. Avant de vous quitter, on fait place au petit rituel de chaque fin d'épisode. C'est un nouveau rituel que je vais instaurer pour tous les futurs épisodes du podcast. C'est un petit rituel de fin d'épisode où je vous partage un... de mes coups de cœur récents, mes derniers coups de cœur, donc le coup de cœur du moment, on va dire. Et cette semaine, il s'agit de la série « Si j'avais su » , disponible sur Netflix. C'est vraiment une série feel-good qui se regarde assez rapidement. Il y a une dizaine d'épisodes, je crois, sans prise de tête. J'ai vraiment passé un excellent moment à regarder cette série espagnole. Donc je vous la conseille. Je vous fais un petit topo rapide. Le pitch, comme on dit, le synopsis, enfin voilà, appelez ça comme vous voulez. Emma a 30 ans, elle partage sa vie avec Nando depuis 10 ans, mais elle n'est plus satisfaite de son quotidien. Lorsqu'une erreur temporelle la renvoie 10 ans en arrière, elle se retrouve piégée dans le corps d'une jeune femme de 20 ans. Donc, je vous laisse aller regarder ça sur Netflix si jamais ça peut vous intéresser. Et si vous souhaitez découvrir chaque semaine un autre coup de cœur ainsi que du contenu inédit, je vous invite à vous abonner à la lettre arc-en-ciel. C'est le rendez-vous feel-good du mercredi directement dans votre boîte mail. Le lien est en description de cet épisode. En tout cas, je vous remercie d'avoir pris le temps d'écouter cet épisode jusqu'au bout. J'espère vraiment qu'il vous a plu. N'hésitez pas à le partager autour de vous, à laisser 5 étoiles et votre avis sur Apple Podcasts ou Spotify. Et je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode !