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Coach Ton Budget & Business

Comment arrêter de t’excuser de vouloir plus d’argent (et assume tes ambitions)

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30min |13/08/2025
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Description

En Suisse, parler d’argent est un sujet sensible. Mais si ce tabou t’empêche d’augmenter tes prix, de demander plus ou de te rémunérer correctement, il est temps d’agir.

Dans cet épisode, je t’explique l’origine culturelle de cette pudeur financière, pourquoi vouloir plus n’est pas écraser les autres, et comment revaloriser ta vision de l’argent pour faire grandir ton business et ta liberté.


Avec un exercice concret pour passer à l’action dès aujourd’hui.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!

On travaille ensemble? C'est par ici https://www.ctbconsulting.ch/

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    En Suisse, on parle quand même pas beaucoup d'argent entre nous. C'est soit parce qu'on cherche à rester humble, soit parce que voilà, faut jamais en vouloir trop, soit c'est pour ne pas être arrogant, bref, il y a une vraie pudeur par rapport à l'argent. Et quand on est indépendant, le problème, c'est qu'on a une vraie culpabilité à vouloir bien gagner sa vie. Du coup, on s'excuse d'augmenter nos prix, on minimise nos factures, et on hésite à dire et à assumer qu'on veut un meilleur niveau de vie. Le problème, c'est que cette posture, elle a un coût. Elle a un coût pour toi, parce qu'elle a un coût sur ton chiffre d'affaires, elle brouille ton positionnement, et pour certaines personnes, c'est carrément de l'autosabotage, parce qu'on a un business qui fonctionne très mal, parce qu'on se rémunère pas correctement. Évidemment, dans cet épisode, je vais parler plus de business, mais ça s'adresse aussi aux salariés qui veulent gagner mieux leur vie, de détecter les automatismes d'autosabotage qui les empêchent de gagner plus d'argent. Donc dans cet épisode, j'aimerais qu'on s'arrête de s'excuser, de vouloir mieux pour nous. Tout d'abord, bienvenue sur Coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as de nouvelles ou de nouveaux, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. tu peux t'abonner à l'annuisateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Comme vous connaissez mes épisodes, ils sont toujours structurés en différentes parties. Et dans cet épisode, j'ai voulu rajouter un petit peu de contexte historique parce que je me suis demandé pourquoi est-ce qu'en Suisse, c'est si tabou de parler d'argent. Qu'est-ce qui fait que c'est tabou ? Et allons chercher un petit peu l'information. Donc dans la partie 1, je suis allée justement chercher ces bloqueurs, ou en tout cas ce qui fait que historiquement, la Suisse est un pays riche, qui considère l'argent comme un sujet tabou. Dans la partie 2, je vais parler d'un peu des blocages. Donc pourquoi est-ce que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres ? Dans la partie 3, on va enlever ces tabous. Ce que tu crois protecteur te limite, je l'appelle comme ça. Dans la partie 4, j'aime à vous expliquer pourquoi revaloriser sa vision de l'argent, c'est stratégique en tout cas dans votre business ou dans votre vie tout court. Commençons par la partie 1. L'argent, c'est un gros tabou culturel en Suisse. Mais pourquoi ? Déjà, il faut savoir que l'éducation suisse, elle repose sur tout ce qui est discrétion, stabilité, prudence. C'est une culture où normalement, on ne parle pas de salaire à table. Ce n'est pas un problème de gagner beaucoup, c'est juste qu'à table, on ne va pas forcément inclure ça dans les discussions. Alors, d'où est-ce que ça vient ? Toute l'histoire du tabou, elle vient d'un héritage secret bancaire et d'une espèce de discrétion. Donc ça, je ne sais pas si vous le saviez, mais ça a commencé déjà dans les années 1700 et ça a continué en 1934 avec l'article 47 du Federal Act on Banks and Saving Banks. La confidentialité bancaire est devenue un crime de divulguer des informations clients sans consentement. Et en fait, ce secret bancaire, il a clairement façonné la culture suisse d'intimité vis-à-vis de l'argent. Maintenant, je ne vais pas vous faire tout un cours d'histoire parce que vous connaissez, il y a tous... Il y a toutes ces questions avec les histoires de la seconde guerre mondiale, de l'or, je vais pas prononcer les mots parce que j'ai pas envie de me faire censurer. Mais bref, vous connaissez un petit peu tout ça. En fait, ce que je veux vous expliquer, c'est que ça a déjà commencé bien bientôt, et c'est en 1934 que ça a été scellé. Alors aujourd'hui, les choses ont un petit peu évolué, mais c'est intéressant de savoir que, en fait, ça date pas d'hier la veille, et qu'il y a réellement une explication à ce tabou. Et ce que certains diront, que la Suisse n'est pas forcément super clean, et pas forcément super neutre. Le truc, c'est qu'il y a quand même une posture un petit peu de réserve qui s'est imposée parce que... Parler de salaire ou de dette, c'est perçu comme impoli, c'est gênant, c'est honteux, y compris entre proches. Le truc que j'ai réalisé assez vite en Suisse, c'est que c'était très tabou d'être pauvre, alors qu'en France, c'est beaucoup plus tabou d'être riche et de bien gagner sa vie. En Suisse, on n'a pas trop de mal à voir des gens fortunés, parce que c'est assez commun d'avoir des hauts salaires, ou en tout cas d'avoir des revenus qui nous permettent de vivre très très confortablement. Vous ne serez pas choqués si quelqu'un vous dit « je suis banquier, je gagne 10 à 15 000 francs par mois » . C'est assez standard. Alors qu'en France, gagner 10 000 à 15 000 euros, c'est quand même pas très standard. Ensuite, ce qu'il y a en Suisse, et je pense que c'est quelque chose qui est potentiellement en train d'évoluer avec notre société actuelle, c'est que les Suisses valorisent énormément l'épargne, la frugalité et l'autonomie. Et c'est ce qui fait qu'on est très porté sur les sujets d'épargne, de conserver son argent, de le placer. On est vraiment, je pense que vous vous rendez peut-être pas encore assez compte par rapport à d'autres pays, on est très porté sur l'investissement, l'épargne, etc. Avec toute la surconsommation avec Internet, j'ai tendance à penser, mais ça c'est vraiment ma propre hypothèse, qu'on va vers une consommation complètement différente avec moins d'épargne et moins de disponibilité, en tout cas d'argent et de frugalité. Malheureusement, je lutte... Je lutte contre ça sur cette chaîne et sur ce podcast, c'est pour ça que j'aime parler de thunes. Et j'aimerais rétablir un petit peu le fait que, enfin ça c'est un petit peu ma mission, j'aimerais rétablir le fait que épargner va vraiment vous aider à réaliser vos projets de vie, investir encore plus et potentiellement devenir entrepreneur pour avoir encore plus d'argent, encore plus. Donc c'est un petit peu le message que je veux dévoiler sur ce podcast. Et si vous venez d'arriver, sachez que c'est tout mon mantra. L'histoire c'est que peut-être comme vous, je suis passée par différentes étapes, c'est-à-dire que J'ai eu cette période de vie où j'avais pas d'argent et pour moi avoir de l'argent c'était réservé aux riches. J'ai aussi eu cette étape de vie où j'ai commencé à bien gagner ma vie et en fait je dépensais absolument tout parce que j'avais aucune gestion de mon budget. Et j'ai aussi eu cette étape de vie où maintenant je gagne confortablement ma vie. Je suis d'abord devenue frugale pour vraiment commencer à mettre un maximum d'argent et puis pour comprendre comment j'utilisais mon argent. Et à la suite de ça j'ai développé mon entreprise qui aujourd'hui m'aide à gagner plus d'argent plus vite pour m'enrichir. Maintenant l'histoire c'est que sur les réseaux sociaux, je sais que je suis clivante et que, en tout cas pour l'instant, vous aimez assez bien mes conseils, moi j'ai décidé d'affirmer très clairement que je voulais gagner de l'argent. Et j'ai voulu savoir aussi pourquoi on s'excuse de ça, pourquoi est-ce que c'est si mal vu de vouloir gagner de l'argent. Je conçois que pour certaines personnes, gagner de l'argent c'est avoir du pouvoir, en tout cas politique ou économique. Moi j'ai toujours trouvé que... avoir de l'argent en tant que citoyenne lambda, c'était s'offrir une vie qu'on peut choisir de vivre. Et du coup, avoir de la liberté. Et dans ce cadre-là, ça m'a amenée aussi à la conclusion que l'argent, ce n'était pas quelque chose de sale ou de mauvais, c'était un outil pour y arriver. Sauf qu'entre le moment où je pensais que l'argent, c'était mauvais, et le moment où aujourd'hui, je m'en suis complètement libérée et je considère ça vraiment comme un outil à ma vie, eh bien, il s'est passé beaucoup de choses. Et peut-être que pour vous, si vous êtes indépendant, Ça crée un petit peu un conflit entre vouloir vivre et ne pas sortir du rang. Et typiquement, ce qui va se passer, c'est que vous avez du mal à parler de vos tarifs, vous avez du mal à demander une augmentation, vous avez du mal à augmenter vos prix, vous avez peur que des clients partent, vous avez peur que ça se passe mal au travail ensuite. Bref, tout un tas de choses qui peuvent se passer quand on demande plus d'argent. Le truc, et ça c'est la partie 2, c'est que vouloir plus d'argent ne veut pas dire spécifiquement écraser les autres. C'est différent d'avoir de l'ambition et être égocentrique, et ça je peux vous en parler en long, en large et en travers, parce que c'est exactement ce dans quoi je me trouve. Je suis jeune, j'ai de la capacité, je fais les choses vite, je suis débrouille, je suis même plutôt une machine de guerre en termes de business. Aujourd'hui j'ai décidé d'utiliser ça pour me sortir la vie que j'avais envie d'avoir, et surtout qu'à la fin cet argent je peux l'utiliser comme je veux. Et si vous suivez un petit peu mes aventures, vous savez très bien que moi mon but c'est pas d'être une connasse riche. C'est plutôt d'être une personne qui continue d'utiliser sa fortune pour promouvoir l'activité économique. C'est-à-dire que j'ai l'ambition, par exemple, de continuer d'investir dans des autres boîtes. J'ai l'ambition aussi de vouloir continuer d'aider les autres à développer leur business et à s'enrichir eux aussi. J'ai l'ambition aussi d'utiliser cet argent à terme, pourquoi pas, pour me libérer du temps et participer à des œuvres qui nécessiteraient mon temps libre. Bref, j'ai beaucoup d'ambition avec mon argent et pour ça, il va falloir que je travaille dur. Donc, c'est plus de l'ambition que de l'égocentrisme, finalement. Et c'est ça qu'il faut comprendre. Le truc aussi que j'ai réalisé, parce que j'avais déjà fait une vidéo dans la playlist 15 minutes comptables, vous pouvez aller voir, comment est-ce qu'on augmente ses prix. À la base, j'avais appelé la vidéo comment on double ses prix parce que c'est littéralement ce que j'avais fait. C'est surtout un acte responsable par rapport à vous et votre vie et votre business intrinsèquement si vous êtes indépendant. Parce que, je le répète, le problème ce n'est pas l'argent, le problème c'est ce qu'on en fait. Et je pense que ça rejoint aussi des thématiques internationales liées au réchauffement climatique, à la surconsommation, etc. de votre argent, en fait. Si vous le gagnez avec toute la sueur de votre front, si c'est pour le dépenser dans des entreprises qui ne sont pas forcément très responsables ou en tout cas qui provoquent davantage l'appauvrissement ou en tout cas le réchauffement climatique, mais là, je parle dans des sujets politiques un peu divers, et ce n'est pas le but de cette vidéo, vous êtes aussi responsable de ça, et c'est aussi mal dépenser son argent. D'ailleurs, d'un point de vue assez personnel, je trouve très sincèrement que des personnes qui n'ont pas forcément les moyens et qui les dépensent justement sur des sites comme Shein, Ou Wish, ou Temu, ou AliExpress. Moi aussi j'ai acheté sur ces sites, donc ne me jetez pas la pierre, je suis aussi fautive. Je trouve que c'est participer justement à une forme de... Je ne sais pas si je vais utiliser les bons mots, mais... Pour moi, on participe à l'autodestruction de tout ce qu'on construit, avec des systèmes qui appauvrissent certaines choses, comme les ressources naturelles, ou en tout cas, qui dérèglent le climat, au profit de quoi ? D'avoir des gadgets ou des choses qui ne sont vraiment pas utiles au quotidien, qui nous appauvrissent également en plus, et qui font vraiment... nous servir à rien d'un point de vue confort ou aller mieux dans sa vie. Bref, l'épisode que j'ai posté il y a deux semaines sur ce podcast. Et du coup, ce que je voulais vous dire dans cette partie 2, c'est que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres. Et en fait, moi, j'ai constaté qu'il y a quelques mois, j'ai doublé mes prix. Depuis que j'ai doublé mes prix, j'ai des clients qui sont plus motivés à travailler avec moi. J'ai aussi une qualité qui a augmenté au niveau de mon travail. J'ai aussi pu structurer une équipe qui m'aide justement à... employer ce que j'ai pour ambition pour CTB. Et en fait, ça, c'est non négligeable. C'est-à-dire que je n'ai pas forcément des masses plus d'argent à disposition en augmentant mes prix, même si, oui, les marges sont là. Donc, effectivement, ça contribue à l'échelle, à augmenter le profit de l'entreprise. Il y a quand même une qualité qui s'installe et du coup, une qualité supérieure que je peux proposer à mes clients en termes de service. Et ça, je pense que c'est sine qua non aussi dans la balance. Avoir plus d'argent, ça veut dire non pas que pour nous être égocentriste, c'est aussi aider les autres dans ce qu'on veut amener. Mais ça, ça dépend aussi toujours de votre typologie de business, de ce que vous faites, de la qualité des services, de votre attention aux détails, etc. Et ça, c'est de votre responsabilité de se dire « Ok, je veux plus d'argent, mais à quoi va me servir cet argent ? Qu'est-ce que je veux en faire ? » Ça a été aussi le cas de beaucoup de mes clients. Quand on a commencé à revoir soit les tarifs, soit les offres packagées, etc. En fait, on devient tout de suite beaucoup plus confortable dans sa vie indépendante, on devient plus confortable au quotidien et on a l'occasion d'offrir beaucoup plus. En fait, la majorité de mes clients, je n'ai pas de cohortes, je n'ai pas de statistiques à ce sujet-là, mais je sais que la majorité de mes clients se sont de toute façon lancés dans l'entrepreneuriat parce qu'ils avaient une passion à partager. Donc une passion, je ne sais pas, c'était pour la naturopathie, c'était l'envie de résoudre un problème sur le marché lié à quelque chose qui les passionne. Bref, ils se sont lancés dans l'entrepreneuriat pour une raison, et en fait, à mesure qu'ils ont de l'argent et qu'ils sont plus confortables, j'assiste, j'ai assisté véritablement à des hausses de qualité, des meilleurs services, des gens plus confortables, plus heureux, etc. Donc finalement, l'argent, c'est loin d'être quelque chose d'égocentrique, c'est plutôt quelque chose qui va nous permettre de faire, en tout cas qui peut nous permettre de faire mieux autour de nous, d'être plus agréable, d'être meilleur, d'être dans un certain bien-être. Et ça, c'est ce que j'aimerais vraiment faire comprendre à la population entière. Donc, si je reprends le titre... de cet épisode, pourquoi est-ce qu'on s'excuse de vouloir de l'argent ? Honnêtement, je sais pas. Et moi, vraiment, j'aimerais poser ça aujourd'hui comme un statement, j'aimerais vraiment le dire aujourd'hui, je n'ai plus envie de m'excuser de vouloir gagner de l'argent, parce que je sais ce que je veux faire de cet argent, je sais que je veux l'utiliser pour du bien, je sais que je veux établir un cadre de vie qui soit confortable pour moi, mais qui va m'aider à déployer davantage d'ambition pour CTB et aider davantage de monde à réaliser leur projet de vie au travers de la société. D'ailleurs, je fais juste une toute petite aparté parce que je me rends compte que j'ai oublié de le faire. Il s'avère qu'on a sorti nos nouvelles offres pour Coach ton business. Pourquoi je pose ça là ? Parce que je continue d'avoir énormément de demandes. J'ai des listes d'attentes pour rejoindre à la fois structuration et fondation. Et je me suis dit que c'était intéressant de vous expliquer en quoi ça consiste. Comme ça, vous pouvez voir aussi si on peut travailler ensemble. À la base, j'ai créé Coach ton business. Coach ton business, c'était mon accompagnement de mentorat One One qui me permettait d'accompagner des indépendants dans la restructuration de leur business. Il s'avère que je ne peux pas me dédoubler, j'ai eu de plus en plus de demandes et de moins en moins de capacité de prendre des nouveaux clients, donc j'avais des listes d'attente longues comme mon bras, pour ne pas dire autre chose, et j'avais surtout de la frustration de personnes qui ne pouvaient pas immédiatement travailler avec moi, et puis qui du coup ne trouvaient pas forcément solution ailleurs dans ce qu'ils voulaient. Alors voilà, ce que j'ai fait, c'est que j'ai divisé Coach ton business en deux, et j'ai créé Objectif Fondation et Objectif Structuration. Objectif Fondation, c'est ce que Coach ton business était avant. C'est-à-dire qu'il y a vraiment... cette progression de « on va retravailler votre business plan, votre positionnement, vos offres, etc. » jusqu'à la partie acquisition client, comment est-ce qu'on fait pour acquérir des clients avec votre business actuel. Donc Coach Ton Business va vraiment vous aider à poser les bases pour être confortable et puis pour développer un chiffre d'affaires qui est confortable sur votre marché. Aujourd'hui, ce format-là, je ne le fais plus en one-one parce que vraiment, je vous le dis avec tout mon cœur et toute ma bienveillance, vous avez besoin d'apprendre à le faire. et d'être autonome à ce niveau-là, ou en tout cas d'avoir peut-être un petit peu de coaching pour vous aider à mettre les choses en place. Et une fois que c'est fait, là vous aurez besoin de l'aide d'un consultant pour améliorer, pour restructurer, pour passer à l'étape suivante en termes de chiffre d'affaires. Si j'ai accompagné autant de gens en one-one jusqu'à maintenant, c'est parce que moi aussi j'avais besoin de voir les besoins clients et j'avais besoin de rencontrer ma clientèle cible pour voir comment ça allait. Mais c'est aussi parce que moi j'ai voulu le faire comme ça dès le début, c'est pas que parce que j'avais une ambition d'à terme changer les choses, etc. Donc cette formule-là, elle est en groupe coaching, elle est à un prix 1. bas table. Vous n'allez pas trouver quelque chose en Suisse à ce prix-là. Donc en gros, vous avez accès 12 mois à la plateforme qui va vous permettre d'apprendre à faire toutes ces choses-là, à vous former. Et vous allez avoir 3 mois de coaching intensif sur notre communauté où vous allez avoir moi comme coach ou d'autres personnes ou Eva qui va vous aider à avancer dans les implémentations ou si vous avez des questions, si vous avez des choses à répondre. Vous avez une fois tous les 3 mois un événement en présentiel à Lausanne. Les dates sont déjà fixées. Donc si vous voulez rejoindre, vous saurez que c'est le 1er octobre ... Ensuite, ce sera le 7 janvier et ensuite, ce sera le 7 avril. Vous aurez accès à ces événements en présentiel où on va justement aborder les thématiques. On va aussi vous faire vous rencontrer, donc vous aurez l'occasion de rencontrer les autres personnes. Bref, on va faire tout un tas de choses pour que vous puissiez avancer dans votre business. Ça, c'est Objectif Fondation. Objectif Fondation va vraiment vous permettre de générer un chiffre d'affaires confortable de 4 à 6 000 francs par mois au minimum parce que vous aurez la structure. qui va vous permettre d'avoir de l'acquisition client en dehors du bouche à oreille, qui va vous permettre d'avoir une offre qui est confortable et qui vous permet de bien délivrer vos services, et puis de comprendre en fait les fondements de votre business. Pour objectif fondation, vous pouvez rentrer un peu quand vous voulez, parce que ça dépend de votre stade de maturation. Si vous sentez que c'est le moment d'y aller, il faut y aller. Même si moi je pense qu'il n'y a pas de bon moment, en fait au bout d'un moment, si vous voulez vivre de votre activité, il faut se lancer, il faut y aller, et ça ce sera objectif fondation. Et à côté j'ai créé objectif structuration. Cette structuration va vous permettre Si vous êtes déjà un indépendant qui est confortable ou même en société, c'est-à-dire SARL, j'ai même des SA en fait maintenant qui me contactent et des associations. Si vous avez besoin de comprendre la gestion de vos ressources, c'est-à-dire votre temps, votre argent, comment est-ce qu'on structure un business qui déjà fonctionne mais qui pécote peut-être, vous avez besoin de comprendre vos systèmes d'acquisition, vous avez besoin de comprendre comment est-ce qu'on automatise votre business, comment est-ce qu'on délègue. Bref, vous voulez passer, justement vous voulez comprendre ce plafond de verre que vous avez parce qu'en fait à chaque fois il y a un plafond de verre, vous voulez comprendre ce plafond de verre. et vous voulez le briser. Et là, en fait, c'est vraiment du consulting, c'est vraiment du one-one, où vous avez du coaching illimité avec moi, où on va mettre un plan d'action en place par rapport à vos besoins, par rapport à vos problématiques. Et ça, c'est vraiment réservé à une typologie d'entrepreneur qui a déjà fait ses armes, qui est déjà normalement 100% indépendant, il n'y a plus de job à côté, et qui a besoin justement de voir comment est-ce qu'on évolue dans l'entrepreneuriat en fonction de la taille que l'on souhaite avoir d'entreprise. Donc moi, je ne parle pas de start-up, je parle vraiment d'indépendants qui sont transformés en entreprise. et qui veulent justement améliorer leur statut indépendant ou en entreprise. Si pour objectif fondation, vous pouvez rentrer quand vous voulez, parce que pour moi, c'est important de commencer dès que possible à bien structurer son activité indépendante pour enfin vous sortir de cette galère d'avoir des thunes. Objectif structuration, c'est sur candidature. Et là, je ne prends que les profils qui matchent avec ce pourquoi on peut les aider. Donc dans tous les cas, ce que je vous propose, c'est pour fondation, vous pouvez rentrer de manière autonome, sauf si vous avez des questions, vous pouvez réserver un appel découverte. Pour structuration, vous êtes obligés de passer par l'appel découverte, tout simplement parce qu'on va discuter et je vais vous faire une proposition de suivi par rapport aux problématiques que vous me donnez en appel. Donc tout ça, ce sera dans la barre d'infos. Pour revenir à nos moutons, on ne va pas rester à la partie 3. Le truc, c'est que quand on s'excuse de vouloir plus, on pense qu'on évite d'être prétentieux, on évite le rejet, on pense qu'on reste humble. Moi, je pense surtout qu'on se limite dans nos propres capacités. à développer des choses. Je pense très sincèrement qu'on sabote son expansion, on sabote aussi la clientèle qu'on pourrait avoir, parce qu'on pourrait avoir justement des clients plus motivés, mieux avec nous. Et je pense qu'on évite aussi de poser un cadre très clair, parce que souvent aussi, quand on a par exemple un bon salaire, ou quand on a une offre qui est assez haut de gamme ou premium, on a tendance aussi à structurer les choses pour que ce soit... Enfin, j'espère pour vous, je pense que vous n'êtes pas tombés sur des gens comme moi à chaque fois, mais en tout cas, moi, ce que je me suis dit, c'est ce que j'essaie de vous dire à travers ces mots-là pour être plus clair. Et pour vous parler plus simplement, ce que j'ai essayé de faire, c'est qu'à mesure que mon niveau augmentait, c'est-à-dire tant quand j'étais salariée que quand maintenant aujourd'hui je suis chef d'entreprise et j'ai des offres quand même d'un certain montant, je pense que plus on augmente en tarifs, plus la qualité du service doit suivre. C'est-à-dire que dans structuration, si vous rentrez, vous avez un onboarding picot-bélo. Vous allez suivre une trajectoire, je vais vous demander de remplir un questionnaire. Ce questionnaire, je vais l'avoir avant l'appel. ça veut dire que je vais pouvoir déjà travailler en amont sur le plan d'action. Et ça veut dire que quand on est ensemble, on travaille vraiment sur les problématiques qui ont été ciblées. On ne tergiverse pas, on ne perd pas de temps. Et vous avez aussi tous les outils à disposition. Vous avez aussi accès à mes partenaires. Vous avez accès à tout pour avancer. C'est-à-dire que je ne vous fais pas juste payer quelque chose pour avoir du fric et puis pour vous débloquer un petit peu comme ça par-ci, par-là. Je me mets vraiment dans votre business avec vous et je vous aide à avancer point par point. Et ça, pour moi, c'est toute l'expérience que j'ai pu avoir. en proposant un tarif un peu plus élevé, et en étant aussi moi plus confortable, parce qu'au lieu de vouloir charbonner, à vouloir prendre plein de clients avec un tarif qui ne correspondait pas à ce que je ferais, en fait là tout d'un coup je peux offrir beaucoup plus. Je peux offrir un pack de bienvenue, je peux offrir un consultant externe s'il y a besoin pour une thématique plus précise, je peux faire des événements présentiels, j'ai beaucoup beaucoup plus de qualités à offrir en faisant ça. Mais je crois que je me répète. Donc vous aurez compris que si j'étais restée dans un mindset de non il ne faut pas que j'augmente mes prix, il faut que je reste accessible, En fait, il y a aussi... il y a un problème dans la délivrabilité de ce que je propose, parce que je ne peux pas non plus monter en gamme. Alors de nouveau, je ne vais pas m'excuser de facturer plus, parce que derrière, il y a tout ce qui suit par rapport au prix. Je pense très sincèrement que vouloir rester accessible, je le comprends dans certains cas de figure, et j'ai une cliente d'ailleurs qui m'a très bien dit, moi de toute façon, je n'ai pas pour ambition de gagner de l'argent, parce que je suis très bien à côté. Ce qu'il faut comprendre, c'est que... vous potentiellement, si vous n'êtes pas aussi bien et si vous avez d'autres intentions d'utiliser, si vous avez d'autres intentions avec cet argent, vous allez vous saboter et vous allez limiter votre expansion. Donc stop à l'excuse de ne pas vouloir gagner plus d'argent. Je pense qu'aussi, il y a un truc très féminin qui date... Il y a des siècles et des siècles, et j'ai l'impression que, personnellement, j'ai été immunisée par rapport à ce sujet-là. Je vous explique. Quand je discute avec des femmes plus âgées, ou quand je discute avec des générations aussi plus âgées, je me rends compte très fortement que, nous, plus jeunes, on n'a pas du tout les mêmes barrières, on n'a pas du tout les mêmes blocages vis-à-vis de l'argent. C'est-à-dire que, bon, ma mère a des blocages énormes par rapport à l'argent encore aujourd'hui, et je pense pas que ça va se débloquer à son âge, mais quoi qu'il en soit j'ai remarqué en me parlant avec les gens qu'ils avaient des théories ou vraiment des conceptions de l'argent qui étaient inexistantes pour moi. Alors, est-ce que c'est parce que j'ai grandi dans une génération où c'est complètement différent et sur Internet, on parle tout doucement et tranquillement et même pas tout doucement en fait, haut et fort d'argent ? Je ne sais pas, mais ce que j'ai constaté, c'est que cette espèce d'immunité au blocage de l'argent, elle me permet aujourd'hui de faire beaucoup de choses avec et de me développer tant en tant qu'individu, tant en tant que société. Et ça, moi, je trouve ça incroyable. Et je pense que vraiment, nous, les jeunes générations, vous qui m'écoutez qui êtes peut-être plus âgés, j'ai 30 ans au passage, vous allez peut-être en apprendre de nous parce que vous allez voir qu'on n'a aucun blocage et qu'on n'a aucune peur à être transparent. D'ailleurs, un autre sujet qui est vachement intéressant dans ma propre société, c'est que comme je commence à avoir des salariés, en tout cas pour l'instant, il y a une full time et il y a moi avec, il y a le sujet de la transparence des salaires. Alors Eva, si tu regardes ce podcast, on n'en a pas discuté ensemble, mais je me suis posé la question cette semaine parce qu'on va recruter une nouvelle personne. Et en fait, il y a toute cette question de combien est-ce qu'on va rémunérer un profil qui est junior, voire stagiaire, par rapport à des profils qui sont là depuis plus longtemps. Là, vous allez me dire, mais Janice, il n'y a pas photo, un stagiaire, ça n'a pas du tout le même revenu qu'une employée. La question s'est posée par rapport à des profils senior, junior, en me disant, comment est-ce que je crée des salaires dans cette société qui sont fair enough par rapport à leur expérience, par rapport à leur expertise et par rapport à ce qu'ils vont... contribuer à la boîte. Et ça, c'est une question que je pose là maintenant parce que je n'y ai pas répondu encore. Je pense que ça va être des challenges aussi au fur et à mesure que la boîte grandit. On n'y est pas encore. Pour l'instant, j'ai quand même une équipe de freelance plus développée qu'une équipe de salariés. Et dans ce sens-là, la négociation du salaire, elle n'est pas du tout pareille parce qu'on parle de freelance et pas de salariat. Donc voilà, c'est un petit peu aussi des thématiques que j'aimerais être vraiment hyper transparente dans ma société avec ça. C'est super important pour moi. On arrive à la partie 4 de cet épisode. Et dans cette partie 4, avant de passer à l'action et de vous donner un petit exercice à faire tout de suite, On va comprendre pourquoi revaloriser la vision de l'argent, c'est stratégique dans votre vie en général, mais particulièrement si vous êtes entrepreneur. Si vous voulez avoir un business qui vous rémunère, vous devez revoir votre rapport à l'argent, non pas comme quelque chose de mal et mauvais, de capitaliste, mais comme un outil. Aujourd'hui, je comprends qu'il y a plein de gens qui sont anticapitalistes, le système ne fonctionne pas, etc. Et je sais qu'on peut utiliser des outils comme le boycott ou d'autres choses pour contrer ces choses-là. Néanmoins, moi personnellement, je ne suis pas quelqu'un qui va à l'encontre des règles. Je ne veux pas aller à l'encontre des règles. Je trouve ça con en fait, parce qu'il y a plus de chances qu'on soit péjoré, qu'on soit gratifié d'aller à l'encontre des règles. Il faudrait vraiment un gros mouvement de masse pour que ça se produise. Du coup, dans ce sens-là, pourquoi ne pas jouer le jeu de ces règles-là ? Moi, c'est vraiment l'attitude que j'ai décidé d'avoir par rapport à la société, par rapport au monde dans lequel on vit, et c'est pour ça en fait que je me bats avec l'information, que je me bats avec ce que vous pouvez avoir avec l'éducation financière pour comprendre que vous pouvez... avoir la vie que vous voulez avec les règles actuelles du système. J'ai pas envie de partir dans un truc hyper alter-mondialiste ou je sais pas quoi. Bref, j'ai pas envie de partir dans des débats comme ça parce que, de base, en fait, je suis pas du tout quelqu'un qui... Voilà, je ne suis pas une militante, je suis pas... Je fais rien de tout ça, donc je veux pas partir dans un débat comme ça. Je veux juste vous faire comprendre mon point de vue que, justement, en n'étant pas militante, j'ai décidé de jouer les règles comme elles sont. Pourquoi je me justifie, j'en sais rien, mais c'est pour vous faire comprendre pourquoi je vous dis ça. L'argent, il va vous donner des choix. Il va vous permettre de prendre soin de vous. il va vous permettre d'investir, il va vous permettre de créer de l'impact, il va vous permettre de faire potentiellement le bien autour de vous, d'être une meilleure personne, de vous former, d'éduquer vos enfants, d'éduquer d'autres personnes si vous n'éduquez pas vos enfants, ou de transmettre d'autres choses, des bonnes choses à d'autres personnes. Moi, c'est comme ça que je vaux l'argent. Et en fait, si je vous parle dans mes précédents podcasts de « Oui, voilà, je veux mon chalet à Grand-Montana, je veux avoir ça » , je vous parle avant tout de confort. Confort pourquoi ? Pour être la meilleure personne possible. et pour aider à mesure que je peux aider les personnes autour de moi. Donc ça veut dire que mon business aide aujourd'hui des gens. Je fais en sorte que la qualité de danse soit vraiment premium pour pouvoir ressortir de ça tout en ayant payé un service, mais en ayant justement les outils et les armes qui vont nous permettre d'aller plus loin dans notre vie. Ça, c'est ma manière d'aider. Quand vous payez un billet à Beyoncé pour son concert, Beyoncé, elle ne s'excuse pas d'aller faire un concert. Beyoncé, certes, elle va vous produire une prestation avec un show, avec les musiques que vous aimez, que vous adorez. Et derrière, elle va utiliser cet argent. Oui, à la fois, elle a tout un staff, elle a des charges énormes par rapport à ce qu'elle fait, mais Beyoncé, derrière, elle va quand même aussi utiliser cet argent pour les charités, pour faire des donations, etc. Donc, voyez l'argent... auprès des célébrités, certaines célébrités, pas toutes, qu'elles utilisent, voyez aussi, voyez qu'elles utilisent cet argent comme des leviers pour faire des choses dans leur vie. Donc si vous n'aimez pas l'argent, si vous n'aimez pas en parler, si vous n'aimez pas que ce soit, enfin, si vous n'aimez pas le sujet, je comprends. Mais désacraliser l'argent en vous disant que c'est un outil, en fait non, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je pars dans des explications, mais je ne comprends pas. Pour moi, si vous commencez à changer votre état d'esprit vis-à-vis de l'argent et que vous commencez à le voir comme un moyen, un outil de faire les choses que vous voulez dans votre vie, que ce soit à juste titre égocentrique parce que vous voulez vivre votre vie et c'est tout à votre honneur, ou que ce soit pour utiliser cet argent pour à la fois des projets, pour le développement d'activités, pour le développement de solutions, etc. Utilisez cet argent à bon escient. C'est tout ce que je vous encourage de faire. Et d'arrêter de vouloir vous excuser pour votre ambition, de vouloir gagner de l'argent pour développer des choses qui vont vous stimuler et qui vont vous rendre une meilleure personne. J'espère que cette vidéo, elle va pas m'apporter la sauce du monde, parce qu'on est quand même dans une vidéo hyper niche par rapport à un sujet, ou vis-à-vis des problématiques mondiales qui se passent. Franchement, c'est hyper privilégié de parler de ce genre de sujet sans se soucier de ce qui se passe à l'autre bout du monde, j'en ai conscience. Mais si aujourd'hui, nous, on n'est pas forcément impactés par ce qui se passe, on le sera peut-être dans un futur proche, je n'en sais rien, je lis pas l'avenir, Je vous encourage quand même à utiliser votre patrimoine à bon escient et de manière correcte, éthique par rapport... à votre vision et par rapport à vous, c'est vachement important comme message. Alors, je me suis dit que j'allais vous faire un petit récapitulatif. Bon, je vais gentiment conclure cet épisode, mais je vais aussi vous donner un petit exercice de passage à l'action que j'ai confectionné moi-même pour l'occasion. Il y a quatre niveaux dans lesquels vous vous situez peut-être actuellement par rapport à votre relation à l'argent. Le premier niveau le plus bas, c'est potentiellement que vous vous excusez d'en vouloir plus. Qu'est-ce qui va se passer à court terme ? Très certainement, vous avez moins de confiance et vous vous autant censurer, typiquement syndrome de l'imposteur, machin, tout ça. Les conséquences à long terme, c'est que vous avez forcément un business qui va plafonner et une frustration liée à ce business. La deuxième échelle, c'est que vous ne dites rien, c'est-à-dire que vous ne vous positionnez pas sur le sujet. Ce qui peut se passer à court terme, c'est que vous allez manquer vraiment de clarté, de choses claires. Vous allez être dans un flou aussi tarifaire parce que vous ne vous positionnez pas par rapport à ça. Et ce qui va se passer sur du plus long terme, vous allez perdre des clients, vous allez vous sous-rémunérer et pareil, ça va engendrer de la frustration. Le troisième niveau, c'est le niveau dans lequel beaucoup de gens se situent actuellement, beaucoup plus que le reste en fait. Je pense que les trois paliers, ça doit être 80% des gens et le dernier palier, ça doit être 20%. Vouloir juste assez. Donc ce que ça vous amène, c'est une illusion de sécurité. C'est typiquement en fait, je ne vous crache pas dessus de nouveau, c'est vraiment en toute bienveillance que je vous dis ça. ce sont des salariés qui sont... justement ils sont bien, ils veulent, voilà, ils osent pas, ils sortent pas de leur zone de confort, ils ont une illusion de sécurité. Le problème c'est qu'un jour s'il se passe quelque chose dans votre vie et que vous n'avez pas mis les moyens pour mettre de l'argent de côté ou comme ça, vous allez vous retrouver dans la merde. J'ai vu ça en fait avec des gens qui ont rejoint Coach Ton Budget et qui m'avaient écrit au sujet de différentes situations. J'avais une vie classique, normale, et puis tout d'un coup il y a eu un divorce, il y a eu une maladie, il y a eu ça et en fait je me suis retrouvée dans la merde. Souvent c'est ça. Donc effectivement ce qui va se passer à long terme c'est aucune marge, pas d'investissement et finalement pas la sécurité qu'on pensait avoir, la sécurité de l'emploi ou la sécurité d'une activité pas assez... Le dernier... Le dernier palier pour moi, moi, c'est le statut où vraiment je suis. C'est j'assume mes besoins et j'assume mes ambitions. J'ai plus de clarté. J'assume ma posture professionnelle et qui je veux devenir, surtout en tant que femme, en Suisse romande. Et ce que j'imagine ou en tout cas ce qui se passe déjà depuis que j'ai commencé le business, c'est que j'ai une croissance. j'ai une stabilité et j'ai surtout un alignement par rapport à qui je suis, ce que je veux faire et comment mon entreprise tourne. On adhère ou on n'adhère pas, si vous avez écouté ce podcast jusqu'à la fin, je pense que c'est parce que vous voulez comprendre comment est-ce que ça fonctionne et comment est-ce qu'on change sa posture vis-à-vis de l'argent. Bon, petit passage à l'action, petit exercice. Alors, ce que je vous propose, c'est de répondre à trois questions par écrit. Donc là maintenant, vous prenez votre téléphone, j'en sais rien si vous êtes en train de conduire, vous ne pouvez pas le faire, mais vous arrêtez la bagnole, vous vous mettez sur un parking, je ne sais pas, vous vous posez et vous répondez à ces trois questions sur papier. La première question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Je répète la question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Ok, vous avez trois minutes pour répondre, mais je passe déjà à la suivante. Deuxième question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagnais bien ma vie ? Je répète la question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagne bien ma vie ? Troisième question. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Je répète. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Étape suivante, vous notez une de ces phrases, une de ces réponses, que vous pourrez dire sans vous excuser. Je vous donne un exemple d'un point de vue business. Je propose un accompagnement à 2400 francs structuré en 3 mois parce que je sais que c'est ce qui permet d'obtenir des résultats réels. Moi, je vous propose de faire cet exercice-là, et surtout de mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, de mettre une note 5 étoiles à cet épisode si vous avez aimé, et surtout de le partager à quelqu'un qui a besoin de comprendre que l'argent, Ce n'est pas un bad boy, ce n'est pas un fuck boy, ce n'est pas le diable, ce n'est tout juste qu'un moyen qu'on va utiliser pour réaliser ses projets de vie, ses ambitions, et surtout qu'on peut utiliser à la manière dont on veut l'utiliser, c'est-à-dire de manière éthique si on a envie d'être éthique, de manière noble si on a envie d'être noble, et ça c'est dans vos mains. C'est ce que vous pouvez faire dès aujourd'hui, dès maintenant, en répondant à une de ces trois questions. En attendant, je vous souhaite une toute bonne journée ou toute bonne soirée, ça dépend à quelle heure vous m'écoutez. Je vous propose de me retrouver dans deux semaines pour le prochain épisode. et n'hésitez pas aussi à mettre dans les commentaires si vous avez des questions, si vous avez envie de papoter sur le sujet. Je réponds à tous les commentaires. A tout bientôt !

Chapters

  • Introduction au tabou de l'argent en Suisse

    00:00

  • Contexte historique du tabou sur l'argent

    01:45

  • Démystifier l'idée que vouloir plus d'argent est égoïste

    02:14

  • Revaloriser sa vision de l'argent comme un outil stratégique

    05:36

  • Exercice pratique pour améliorer sa relation à l'argent

    26:27

Description

En Suisse, parler d’argent est un sujet sensible. Mais si ce tabou t’empêche d’augmenter tes prix, de demander plus ou de te rémunérer correctement, il est temps d’agir.

Dans cet épisode, je t’explique l’origine culturelle de cette pudeur financière, pourquoi vouloir plus n’est pas écraser les autres, et comment revaloriser ta vision de l’argent pour faire grandir ton business et ta liberté.


Avec un exercice concret pour passer à l’action dès aujourd’hui.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!

On travaille ensemble? C'est par ici https://www.ctbconsulting.ch/

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Transcription

  • Speaker #0

    En Suisse, on parle quand même pas beaucoup d'argent entre nous. C'est soit parce qu'on cherche à rester humble, soit parce que voilà, faut jamais en vouloir trop, soit c'est pour ne pas être arrogant, bref, il y a une vraie pudeur par rapport à l'argent. Et quand on est indépendant, le problème, c'est qu'on a une vraie culpabilité à vouloir bien gagner sa vie. Du coup, on s'excuse d'augmenter nos prix, on minimise nos factures, et on hésite à dire et à assumer qu'on veut un meilleur niveau de vie. Le problème, c'est que cette posture, elle a un coût. Elle a un coût pour toi, parce qu'elle a un coût sur ton chiffre d'affaires, elle brouille ton positionnement, et pour certaines personnes, c'est carrément de l'autosabotage, parce qu'on a un business qui fonctionne très mal, parce qu'on se rémunère pas correctement. Évidemment, dans cet épisode, je vais parler plus de business, mais ça s'adresse aussi aux salariés qui veulent gagner mieux leur vie, de détecter les automatismes d'autosabotage qui les empêchent de gagner plus d'argent. Donc dans cet épisode, j'aimerais qu'on s'arrête de s'excuser, de vouloir mieux pour nous. Tout d'abord, bienvenue sur Coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as de nouvelles ou de nouveaux, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. tu peux t'abonner à l'annuisateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Comme vous connaissez mes épisodes, ils sont toujours structurés en différentes parties. Et dans cet épisode, j'ai voulu rajouter un petit peu de contexte historique parce que je me suis demandé pourquoi est-ce qu'en Suisse, c'est si tabou de parler d'argent. Qu'est-ce qui fait que c'est tabou ? Et allons chercher un petit peu l'information. Donc dans la partie 1, je suis allée justement chercher ces bloqueurs, ou en tout cas ce qui fait que historiquement, la Suisse est un pays riche, qui considère l'argent comme un sujet tabou. Dans la partie 2, je vais parler d'un peu des blocages. Donc pourquoi est-ce que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres ? Dans la partie 3, on va enlever ces tabous. Ce que tu crois protecteur te limite, je l'appelle comme ça. Dans la partie 4, j'aime à vous expliquer pourquoi revaloriser sa vision de l'argent, c'est stratégique en tout cas dans votre business ou dans votre vie tout court. Commençons par la partie 1. L'argent, c'est un gros tabou culturel en Suisse. Mais pourquoi ? Déjà, il faut savoir que l'éducation suisse, elle repose sur tout ce qui est discrétion, stabilité, prudence. C'est une culture où normalement, on ne parle pas de salaire à table. Ce n'est pas un problème de gagner beaucoup, c'est juste qu'à table, on ne va pas forcément inclure ça dans les discussions. Alors, d'où est-ce que ça vient ? Toute l'histoire du tabou, elle vient d'un héritage secret bancaire et d'une espèce de discrétion. Donc ça, je ne sais pas si vous le saviez, mais ça a commencé déjà dans les années 1700 et ça a continué en 1934 avec l'article 47 du Federal Act on Banks and Saving Banks. La confidentialité bancaire est devenue un crime de divulguer des informations clients sans consentement. Et en fait, ce secret bancaire, il a clairement façonné la culture suisse d'intimité vis-à-vis de l'argent. Maintenant, je ne vais pas vous faire tout un cours d'histoire parce que vous connaissez, il y a tous... Il y a toutes ces questions avec les histoires de la seconde guerre mondiale, de l'or, je vais pas prononcer les mots parce que j'ai pas envie de me faire censurer. Mais bref, vous connaissez un petit peu tout ça. En fait, ce que je veux vous expliquer, c'est que ça a déjà commencé bien bientôt, et c'est en 1934 que ça a été scellé. Alors aujourd'hui, les choses ont un petit peu évolué, mais c'est intéressant de savoir que, en fait, ça date pas d'hier la veille, et qu'il y a réellement une explication à ce tabou. Et ce que certains diront, que la Suisse n'est pas forcément super clean, et pas forcément super neutre. Le truc, c'est qu'il y a quand même une posture un petit peu de réserve qui s'est imposée parce que... Parler de salaire ou de dette, c'est perçu comme impoli, c'est gênant, c'est honteux, y compris entre proches. Le truc que j'ai réalisé assez vite en Suisse, c'est que c'était très tabou d'être pauvre, alors qu'en France, c'est beaucoup plus tabou d'être riche et de bien gagner sa vie. En Suisse, on n'a pas trop de mal à voir des gens fortunés, parce que c'est assez commun d'avoir des hauts salaires, ou en tout cas d'avoir des revenus qui nous permettent de vivre très très confortablement. Vous ne serez pas choqués si quelqu'un vous dit « je suis banquier, je gagne 10 à 15 000 francs par mois » . C'est assez standard. Alors qu'en France, gagner 10 000 à 15 000 euros, c'est quand même pas très standard. Ensuite, ce qu'il y a en Suisse, et je pense que c'est quelque chose qui est potentiellement en train d'évoluer avec notre société actuelle, c'est que les Suisses valorisent énormément l'épargne, la frugalité et l'autonomie. Et c'est ce qui fait qu'on est très porté sur les sujets d'épargne, de conserver son argent, de le placer. On est vraiment, je pense que vous vous rendez peut-être pas encore assez compte par rapport à d'autres pays, on est très porté sur l'investissement, l'épargne, etc. Avec toute la surconsommation avec Internet, j'ai tendance à penser, mais ça c'est vraiment ma propre hypothèse, qu'on va vers une consommation complètement différente avec moins d'épargne et moins de disponibilité, en tout cas d'argent et de frugalité. Malheureusement, je lutte... Je lutte contre ça sur cette chaîne et sur ce podcast, c'est pour ça que j'aime parler de thunes. Et j'aimerais rétablir un petit peu le fait que, enfin ça c'est un petit peu ma mission, j'aimerais rétablir le fait que épargner va vraiment vous aider à réaliser vos projets de vie, investir encore plus et potentiellement devenir entrepreneur pour avoir encore plus d'argent, encore plus. Donc c'est un petit peu le message que je veux dévoiler sur ce podcast. Et si vous venez d'arriver, sachez que c'est tout mon mantra. L'histoire c'est que peut-être comme vous, je suis passée par différentes étapes, c'est-à-dire que J'ai eu cette période de vie où j'avais pas d'argent et pour moi avoir de l'argent c'était réservé aux riches. J'ai aussi eu cette étape de vie où j'ai commencé à bien gagner ma vie et en fait je dépensais absolument tout parce que j'avais aucune gestion de mon budget. Et j'ai aussi eu cette étape de vie où maintenant je gagne confortablement ma vie. Je suis d'abord devenue frugale pour vraiment commencer à mettre un maximum d'argent et puis pour comprendre comment j'utilisais mon argent. Et à la suite de ça j'ai développé mon entreprise qui aujourd'hui m'aide à gagner plus d'argent plus vite pour m'enrichir. Maintenant l'histoire c'est que sur les réseaux sociaux, je sais que je suis clivante et que, en tout cas pour l'instant, vous aimez assez bien mes conseils, moi j'ai décidé d'affirmer très clairement que je voulais gagner de l'argent. Et j'ai voulu savoir aussi pourquoi on s'excuse de ça, pourquoi est-ce que c'est si mal vu de vouloir gagner de l'argent. Je conçois que pour certaines personnes, gagner de l'argent c'est avoir du pouvoir, en tout cas politique ou économique. Moi j'ai toujours trouvé que... avoir de l'argent en tant que citoyenne lambda, c'était s'offrir une vie qu'on peut choisir de vivre. Et du coup, avoir de la liberté. Et dans ce cadre-là, ça m'a amenée aussi à la conclusion que l'argent, ce n'était pas quelque chose de sale ou de mauvais, c'était un outil pour y arriver. Sauf qu'entre le moment où je pensais que l'argent, c'était mauvais, et le moment où aujourd'hui, je m'en suis complètement libérée et je considère ça vraiment comme un outil à ma vie, eh bien, il s'est passé beaucoup de choses. Et peut-être que pour vous, si vous êtes indépendant, Ça crée un petit peu un conflit entre vouloir vivre et ne pas sortir du rang. Et typiquement, ce qui va se passer, c'est que vous avez du mal à parler de vos tarifs, vous avez du mal à demander une augmentation, vous avez du mal à augmenter vos prix, vous avez peur que des clients partent, vous avez peur que ça se passe mal au travail ensuite. Bref, tout un tas de choses qui peuvent se passer quand on demande plus d'argent. Le truc, et ça c'est la partie 2, c'est que vouloir plus d'argent ne veut pas dire spécifiquement écraser les autres. C'est différent d'avoir de l'ambition et être égocentrique, et ça je peux vous en parler en long, en large et en travers, parce que c'est exactement ce dans quoi je me trouve. Je suis jeune, j'ai de la capacité, je fais les choses vite, je suis débrouille, je suis même plutôt une machine de guerre en termes de business. Aujourd'hui j'ai décidé d'utiliser ça pour me sortir la vie que j'avais envie d'avoir, et surtout qu'à la fin cet argent je peux l'utiliser comme je veux. Et si vous suivez un petit peu mes aventures, vous savez très bien que moi mon but c'est pas d'être une connasse riche. C'est plutôt d'être une personne qui continue d'utiliser sa fortune pour promouvoir l'activité économique. C'est-à-dire que j'ai l'ambition, par exemple, de continuer d'investir dans des autres boîtes. J'ai l'ambition aussi de vouloir continuer d'aider les autres à développer leur business et à s'enrichir eux aussi. J'ai l'ambition aussi d'utiliser cet argent à terme, pourquoi pas, pour me libérer du temps et participer à des œuvres qui nécessiteraient mon temps libre. Bref, j'ai beaucoup d'ambition avec mon argent et pour ça, il va falloir que je travaille dur. Donc, c'est plus de l'ambition que de l'égocentrisme, finalement. Et c'est ça qu'il faut comprendre. Le truc aussi que j'ai réalisé, parce que j'avais déjà fait une vidéo dans la playlist 15 minutes comptables, vous pouvez aller voir, comment est-ce qu'on augmente ses prix. À la base, j'avais appelé la vidéo comment on double ses prix parce que c'est littéralement ce que j'avais fait. C'est surtout un acte responsable par rapport à vous et votre vie et votre business intrinsèquement si vous êtes indépendant. Parce que, je le répète, le problème ce n'est pas l'argent, le problème c'est ce qu'on en fait. Et je pense que ça rejoint aussi des thématiques internationales liées au réchauffement climatique, à la surconsommation, etc. de votre argent, en fait. Si vous le gagnez avec toute la sueur de votre front, si c'est pour le dépenser dans des entreprises qui ne sont pas forcément très responsables ou en tout cas qui provoquent davantage l'appauvrissement ou en tout cas le réchauffement climatique, mais là, je parle dans des sujets politiques un peu divers, et ce n'est pas le but de cette vidéo, vous êtes aussi responsable de ça, et c'est aussi mal dépenser son argent. D'ailleurs, d'un point de vue assez personnel, je trouve très sincèrement que des personnes qui n'ont pas forcément les moyens et qui les dépensent justement sur des sites comme Shein, Ou Wish, ou Temu, ou AliExpress. Moi aussi j'ai acheté sur ces sites, donc ne me jetez pas la pierre, je suis aussi fautive. Je trouve que c'est participer justement à une forme de... Je ne sais pas si je vais utiliser les bons mots, mais... Pour moi, on participe à l'autodestruction de tout ce qu'on construit, avec des systèmes qui appauvrissent certaines choses, comme les ressources naturelles, ou en tout cas, qui dérèglent le climat, au profit de quoi ? D'avoir des gadgets ou des choses qui ne sont vraiment pas utiles au quotidien, qui nous appauvrissent également en plus, et qui font vraiment... nous servir à rien d'un point de vue confort ou aller mieux dans sa vie. Bref, l'épisode que j'ai posté il y a deux semaines sur ce podcast. Et du coup, ce que je voulais vous dire dans cette partie 2, c'est que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres. Et en fait, moi, j'ai constaté qu'il y a quelques mois, j'ai doublé mes prix. Depuis que j'ai doublé mes prix, j'ai des clients qui sont plus motivés à travailler avec moi. J'ai aussi une qualité qui a augmenté au niveau de mon travail. J'ai aussi pu structurer une équipe qui m'aide justement à... employer ce que j'ai pour ambition pour CTB. Et en fait, ça, c'est non négligeable. C'est-à-dire que je n'ai pas forcément des masses plus d'argent à disposition en augmentant mes prix, même si, oui, les marges sont là. Donc, effectivement, ça contribue à l'échelle, à augmenter le profit de l'entreprise. Il y a quand même une qualité qui s'installe et du coup, une qualité supérieure que je peux proposer à mes clients en termes de service. Et ça, je pense que c'est sine qua non aussi dans la balance. Avoir plus d'argent, ça veut dire non pas que pour nous être égocentriste, c'est aussi aider les autres dans ce qu'on veut amener. Mais ça, ça dépend aussi toujours de votre typologie de business, de ce que vous faites, de la qualité des services, de votre attention aux détails, etc. Et ça, c'est de votre responsabilité de se dire « Ok, je veux plus d'argent, mais à quoi va me servir cet argent ? Qu'est-ce que je veux en faire ? » Ça a été aussi le cas de beaucoup de mes clients. Quand on a commencé à revoir soit les tarifs, soit les offres packagées, etc. En fait, on devient tout de suite beaucoup plus confortable dans sa vie indépendante, on devient plus confortable au quotidien et on a l'occasion d'offrir beaucoup plus. En fait, la majorité de mes clients, je n'ai pas de cohortes, je n'ai pas de statistiques à ce sujet-là, mais je sais que la majorité de mes clients se sont de toute façon lancés dans l'entrepreneuriat parce qu'ils avaient une passion à partager. Donc une passion, je ne sais pas, c'était pour la naturopathie, c'était l'envie de résoudre un problème sur le marché lié à quelque chose qui les passionne. Bref, ils se sont lancés dans l'entrepreneuriat pour une raison, et en fait, à mesure qu'ils ont de l'argent et qu'ils sont plus confortables, j'assiste, j'ai assisté véritablement à des hausses de qualité, des meilleurs services, des gens plus confortables, plus heureux, etc. Donc finalement, l'argent, c'est loin d'être quelque chose d'égocentrique, c'est plutôt quelque chose qui va nous permettre de faire, en tout cas qui peut nous permettre de faire mieux autour de nous, d'être plus agréable, d'être meilleur, d'être dans un certain bien-être. Et ça, c'est ce que j'aimerais vraiment faire comprendre à la population entière. Donc, si je reprends le titre... de cet épisode, pourquoi est-ce qu'on s'excuse de vouloir de l'argent ? Honnêtement, je sais pas. Et moi, vraiment, j'aimerais poser ça aujourd'hui comme un statement, j'aimerais vraiment le dire aujourd'hui, je n'ai plus envie de m'excuser de vouloir gagner de l'argent, parce que je sais ce que je veux faire de cet argent, je sais que je veux l'utiliser pour du bien, je sais que je veux établir un cadre de vie qui soit confortable pour moi, mais qui va m'aider à déployer davantage d'ambition pour CTB et aider davantage de monde à réaliser leur projet de vie au travers de la société. D'ailleurs, je fais juste une toute petite aparté parce que je me rends compte que j'ai oublié de le faire. Il s'avère qu'on a sorti nos nouvelles offres pour Coach ton business. Pourquoi je pose ça là ? Parce que je continue d'avoir énormément de demandes. J'ai des listes d'attentes pour rejoindre à la fois structuration et fondation. Et je me suis dit que c'était intéressant de vous expliquer en quoi ça consiste. Comme ça, vous pouvez voir aussi si on peut travailler ensemble. À la base, j'ai créé Coach ton business. Coach ton business, c'était mon accompagnement de mentorat One One qui me permettait d'accompagner des indépendants dans la restructuration de leur business. Il s'avère que je ne peux pas me dédoubler, j'ai eu de plus en plus de demandes et de moins en moins de capacité de prendre des nouveaux clients, donc j'avais des listes d'attente longues comme mon bras, pour ne pas dire autre chose, et j'avais surtout de la frustration de personnes qui ne pouvaient pas immédiatement travailler avec moi, et puis qui du coup ne trouvaient pas forcément solution ailleurs dans ce qu'ils voulaient. Alors voilà, ce que j'ai fait, c'est que j'ai divisé Coach ton business en deux, et j'ai créé Objectif Fondation et Objectif Structuration. Objectif Fondation, c'est ce que Coach ton business était avant. C'est-à-dire qu'il y a vraiment... cette progression de « on va retravailler votre business plan, votre positionnement, vos offres, etc. » jusqu'à la partie acquisition client, comment est-ce qu'on fait pour acquérir des clients avec votre business actuel. Donc Coach Ton Business va vraiment vous aider à poser les bases pour être confortable et puis pour développer un chiffre d'affaires qui est confortable sur votre marché. Aujourd'hui, ce format-là, je ne le fais plus en one-one parce que vraiment, je vous le dis avec tout mon cœur et toute ma bienveillance, vous avez besoin d'apprendre à le faire. et d'être autonome à ce niveau-là, ou en tout cas d'avoir peut-être un petit peu de coaching pour vous aider à mettre les choses en place. Et une fois que c'est fait, là vous aurez besoin de l'aide d'un consultant pour améliorer, pour restructurer, pour passer à l'étape suivante en termes de chiffre d'affaires. Si j'ai accompagné autant de gens en one-one jusqu'à maintenant, c'est parce que moi aussi j'avais besoin de voir les besoins clients et j'avais besoin de rencontrer ma clientèle cible pour voir comment ça allait. Mais c'est aussi parce que moi j'ai voulu le faire comme ça dès le début, c'est pas que parce que j'avais une ambition d'à terme changer les choses, etc. Donc cette formule-là, elle est en groupe coaching, elle est à un prix 1. bas table. Vous n'allez pas trouver quelque chose en Suisse à ce prix-là. Donc en gros, vous avez accès 12 mois à la plateforme qui va vous permettre d'apprendre à faire toutes ces choses-là, à vous former. Et vous allez avoir 3 mois de coaching intensif sur notre communauté où vous allez avoir moi comme coach ou d'autres personnes ou Eva qui va vous aider à avancer dans les implémentations ou si vous avez des questions, si vous avez des choses à répondre. Vous avez une fois tous les 3 mois un événement en présentiel à Lausanne. Les dates sont déjà fixées. Donc si vous voulez rejoindre, vous saurez que c'est le 1er octobre ... Ensuite, ce sera le 7 janvier et ensuite, ce sera le 7 avril. Vous aurez accès à ces événements en présentiel où on va justement aborder les thématiques. On va aussi vous faire vous rencontrer, donc vous aurez l'occasion de rencontrer les autres personnes. Bref, on va faire tout un tas de choses pour que vous puissiez avancer dans votre business. Ça, c'est Objectif Fondation. Objectif Fondation va vraiment vous permettre de générer un chiffre d'affaires confortable de 4 à 6 000 francs par mois au minimum parce que vous aurez la structure. qui va vous permettre d'avoir de l'acquisition client en dehors du bouche à oreille, qui va vous permettre d'avoir une offre qui est confortable et qui vous permet de bien délivrer vos services, et puis de comprendre en fait les fondements de votre business. Pour objectif fondation, vous pouvez rentrer un peu quand vous voulez, parce que ça dépend de votre stade de maturation. Si vous sentez que c'est le moment d'y aller, il faut y aller. Même si moi je pense qu'il n'y a pas de bon moment, en fait au bout d'un moment, si vous voulez vivre de votre activité, il faut se lancer, il faut y aller, et ça ce sera objectif fondation. Et à côté j'ai créé objectif structuration. Cette structuration va vous permettre Si vous êtes déjà un indépendant qui est confortable ou même en société, c'est-à-dire SARL, j'ai même des SA en fait maintenant qui me contactent et des associations. Si vous avez besoin de comprendre la gestion de vos ressources, c'est-à-dire votre temps, votre argent, comment est-ce qu'on structure un business qui déjà fonctionne mais qui pécote peut-être, vous avez besoin de comprendre vos systèmes d'acquisition, vous avez besoin de comprendre comment est-ce qu'on automatise votre business, comment est-ce qu'on délègue. Bref, vous voulez passer, justement vous voulez comprendre ce plafond de verre que vous avez parce qu'en fait à chaque fois il y a un plafond de verre, vous voulez comprendre ce plafond de verre. et vous voulez le briser. Et là, en fait, c'est vraiment du consulting, c'est vraiment du one-one, où vous avez du coaching illimité avec moi, où on va mettre un plan d'action en place par rapport à vos besoins, par rapport à vos problématiques. Et ça, c'est vraiment réservé à une typologie d'entrepreneur qui a déjà fait ses armes, qui est déjà normalement 100% indépendant, il n'y a plus de job à côté, et qui a besoin justement de voir comment est-ce qu'on évolue dans l'entrepreneuriat en fonction de la taille que l'on souhaite avoir d'entreprise. Donc moi, je ne parle pas de start-up, je parle vraiment d'indépendants qui sont transformés en entreprise. et qui veulent justement améliorer leur statut indépendant ou en entreprise. Si pour objectif fondation, vous pouvez rentrer quand vous voulez, parce que pour moi, c'est important de commencer dès que possible à bien structurer son activité indépendante pour enfin vous sortir de cette galère d'avoir des thunes. Objectif structuration, c'est sur candidature. Et là, je ne prends que les profils qui matchent avec ce pourquoi on peut les aider. Donc dans tous les cas, ce que je vous propose, c'est pour fondation, vous pouvez rentrer de manière autonome, sauf si vous avez des questions, vous pouvez réserver un appel découverte. Pour structuration, vous êtes obligés de passer par l'appel découverte, tout simplement parce qu'on va discuter et je vais vous faire une proposition de suivi par rapport aux problématiques que vous me donnez en appel. Donc tout ça, ce sera dans la barre d'infos. Pour revenir à nos moutons, on ne va pas rester à la partie 3. Le truc, c'est que quand on s'excuse de vouloir plus, on pense qu'on évite d'être prétentieux, on évite le rejet, on pense qu'on reste humble. Moi, je pense surtout qu'on se limite dans nos propres capacités. à développer des choses. Je pense très sincèrement qu'on sabote son expansion, on sabote aussi la clientèle qu'on pourrait avoir, parce qu'on pourrait avoir justement des clients plus motivés, mieux avec nous. Et je pense qu'on évite aussi de poser un cadre très clair, parce que souvent aussi, quand on a par exemple un bon salaire, ou quand on a une offre qui est assez haut de gamme ou premium, on a tendance aussi à structurer les choses pour que ce soit... Enfin, j'espère pour vous, je pense que vous n'êtes pas tombés sur des gens comme moi à chaque fois, mais en tout cas, moi, ce que je me suis dit, c'est ce que j'essaie de vous dire à travers ces mots-là pour être plus clair. Et pour vous parler plus simplement, ce que j'ai essayé de faire, c'est qu'à mesure que mon niveau augmentait, c'est-à-dire tant quand j'étais salariée que quand maintenant aujourd'hui je suis chef d'entreprise et j'ai des offres quand même d'un certain montant, je pense que plus on augmente en tarifs, plus la qualité du service doit suivre. C'est-à-dire que dans structuration, si vous rentrez, vous avez un onboarding picot-bélo. Vous allez suivre une trajectoire, je vais vous demander de remplir un questionnaire. Ce questionnaire, je vais l'avoir avant l'appel. ça veut dire que je vais pouvoir déjà travailler en amont sur le plan d'action. Et ça veut dire que quand on est ensemble, on travaille vraiment sur les problématiques qui ont été ciblées. On ne tergiverse pas, on ne perd pas de temps. Et vous avez aussi tous les outils à disposition. Vous avez aussi accès à mes partenaires. Vous avez accès à tout pour avancer. C'est-à-dire que je ne vous fais pas juste payer quelque chose pour avoir du fric et puis pour vous débloquer un petit peu comme ça par-ci, par-là. Je me mets vraiment dans votre business avec vous et je vous aide à avancer point par point. Et ça, pour moi, c'est toute l'expérience que j'ai pu avoir. en proposant un tarif un peu plus élevé, et en étant aussi moi plus confortable, parce qu'au lieu de vouloir charbonner, à vouloir prendre plein de clients avec un tarif qui ne correspondait pas à ce que je ferais, en fait là tout d'un coup je peux offrir beaucoup plus. Je peux offrir un pack de bienvenue, je peux offrir un consultant externe s'il y a besoin pour une thématique plus précise, je peux faire des événements présentiels, j'ai beaucoup beaucoup plus de qualités à offrir en faisant ça. Mais je crois que je me répète. Donc vous aurez compris que si j'étais restée dans un mindset de non il ne faut pas que j'augmente mes prix, il faut que je reste accessible, En fait, il y a aussi... il y a un problème dans la délivrabilité de ce que je propose, parce que je ne peux pas non plus monter en gamme. Alors de nouveau, je ne vais pas m'excuser de facturer plus, parce que derrière, il y a tout ce qui suit par rapport au prix. Je pense très sincèrement que vouloir rester accessible, je le comprends dans certains cas de figure, et j'ai une cliente d'ailleurs qui m'a très bien dit, moi de toute façon, je n'ai pas pour ambition de gagner de l'argent, parce que je suis très bien à côté. Ce qu'il faut comprendre, c'est que... vous potentiellement, si vous n'êtes pas aussi bien et si vous avez d'autres intentions d'utiliser, si vous avez d'autres intentions avec cet argent, vous allez vous saboter et vous allez limiter votre expansion. Donc stop à l'excuse de ne pas vouloir gagner plus d'argent. Je pense qu'aussi, il y a un truc très féminin qui date... Il y a des siècles et des siècles, et j'ai l'impression que, personnellement, j'ai été immunisée par rapport à ce sujet-là. Je vous explique. Quand je discute avec des femmes plus âgées, ou quand je discute avec des générations aussi plus âgées, je me rends compte très fortement que, nous, plus jeunes, on n'a pas du tout les mêmes barrières, on n'a pas du tout les mêmes blocages vis-à-vis de l'argent. C'est-à-dire que, bon, ma mère a des blocages énormes par rapport à l'argent encore aujourd'hui, et je pense pas que ça va se débloquer à son âge, mais quoi qu'il en soit j'ai remarqué en me parlant avec les gens qu'ils avaient des théories ou vraiment des conceptions de l'argent qui étaient inexistantes pour moi. Alors, est-ce que c'est parce que j'ai grandi dans une génération où c'est complètement différent et sur Internet, on parle tout doucement et tranquillement et même pas tout doucement en fait, haut et fort d'argent ? Je ne sais pas, mais ce que j'ai constaté, c'est que cette espèce d'immunité au blocage de l'argent, elle me permet aujourd'hui de faire beaucoup de choses avec et de me développer tant en tant qu'individu, tant en tant que société. Et ça, moi, je trouve ça incroyable. Et je pense que vraiment, nous, les jeunes générations, vous qui m'écoutez qui êtes peut-être plus âgés, j'ai 30 ans au passage, vous allez peut-être en apprendre de nous parce que vous allez voir qu'on n'a aucun blocage et qu'on n'a aucune peur à être transparent. D'ailleurs, un autre sujet qui est vachement intéressant dans ma propre société, c'est que comme je commence à avoir des salariés, en tout cas pour l'instant, il y a une full time et il y a moi avec, il y a le sujet de la transparence des salaires. Alors Eva, si tu regardes ce podcast, on n'en a pas discuté ensemble, mais je me suis posé la question cette semaine parce qu'on va recruter une nouvelle personne. Et en fait, il y a toute cette question de combien est-ce qu'on va rémunérer un profil qui est junior, voire stagiaire, par rapport à des profils qui sont là depuis plus longtemps. Là, vous allez me dire, mais Janice, il n'y a pas photo, un stagiaire, ça n'a pas du tout le même revenu qu'une employée. La question s'est posée par rapport à des profils senior, junior, en me disant, comment est-ce que je crée des salaires dans cette société qui sont fair enough par rapport à leur expérience, par rapport à leur expertise et par rapport à ce qu'ils vont... contribuer à la boîte. Et ça, c'est une question que je pose là maintenant parce que je n'y ai pas répondu encore. Je pense que ça va être des challenges aussi au fur et à mesure que la boîte grandit. On n'y est pas encore. Pour l'instant, j'ai quand même une équipe de freelance plus développée qu'une équipe de salariés. Et dans ce sens-là, la négociation du salaire, elle n'est pas du tout pareille parce qu'on parle de freelance et pas de salariat. Donc voilà, c'est un petit peu aussi des thématiques que j'aimerais être vraiment hyper transparente dans ma société avec ça. C'est super important pour moi. On arrive à la partie 4 de cet épisode. Et dans cette partie 4, avant de passer à l'action et de vous donner un petit exercice à faire tout de suite, On va comprendre pourquoi revaloriser la vision de l'argent, c'est stratégique dans votre vie en général, mais particulièrement si vous êtes entrepreneur. Si vous voulez avoir un business qui vous rémunère, vous devez revoir votre rapport à l'argent, non pas comme quelque chose de mal et mauvais, de capitaliste, mais comme un outil. Aujourd'hui, je comprends qu'il y a plein de gens qui sont anticapitalistes, le système ne fonctionne pas, etc. Et je sais qu'on peut utiliser des outils comme le boycott ou d'autres choses pour contrer ces choses-là. Néanmoins, moi personnellement, je ne suis pas quelqu'un qui va à l'encontre des règles. Je ne veux pas aller à l'encontre des règles. Je trouve ça con en fait, parce qu'il y a plus de chances qu'on soit péjoré, qu'on soit gratifié d'aller à l'encontre des règles. Il faudrait vraiment un gros mouvement de masse pour que ça se produise. Du coup, dans ce sens-là, pourquoi ne pas jouer le jeu de ces règles-là ? Moi, c'est vraiment l'attitude que j'ai décidé d'avoir par rapport à la société, par rapport au monde dans lequel on vit, et c'est pour ça en fait que je me bats avec l'information, que je me bats avec ce que vous pouvez avoir avec l'éducation financière pour comprendre que vous pouvez... avoir la vie que vous voulez avec les règles actuelles du système. J'ai pas envie de partir dans un truc hyper alter-mondialiste ou je sais pas quoi. Bref, j'ai pas envie de partir dans des débats comme ça parce que, de base, en fait, je suis pas du tout quelqu'un qui... Voilà, je ne suis pas une militante, je suis pas... Je fais rien de tout ça, donc je veux pas partir dans un débat comme ça. Je veux juste vous faire comprendre mon point de vue que, justement, en n'étant pas militante, j'ai décidé de jouer les règles comme elles sont. Pourquoi je me justifie, j'en sais rien, mais c'est pour vous faire comprendre pourquoi je vous dis ça. L'argent, il va vous donner des choix. Il va vous permettre de prendre soin de vous. il va vous permettre d'investir, il va vous permettre de créer de l'impact, il va vous permettre de faire potentiellement le bien autour de vous, d'être une meilleure personne, de vous former, d'éduquer vos enfants, d'éduquer d'autres personnes si vous n'éduquez pas vos enfants, ou de transmettre d'autres choses, des bonnes choses à d'autres personnes. Moi, c'est comme ça que je vaux l'argent. Et en fait, si je vous parle dans mes précédents podcasts de « Oui, voilà, je veux mon chalet à Grand-Montana, je veux avoir ça » , je vous parle avant tout de confort. Confort pourquoi ? Pour être la meilleure personne possible. et pour aider à mesure que je peux aider les personnes autour de moi. Donc ça veut dire que mon business aide aujourd'hui des gens. Je fais en sorte que la qualité de danse soit vraiment premium pour pouvoir ressortir de ça tout en ayant payé un service, mais en ayant justement les outils et les armes qui vont nous permettre d'aller plus loin dans notre vie. Ça, c'est ma manière d'aider. Quand vous payez un billet à Beyoncé pour son concert, Beyoncé, elle ne s'excuse pas d'aller faire un concert. Beyoncé, certes, elle va vous produire une prestation avec un show, avec les musiques que vous aimez, que vous adorez. Et derrière, elle va utiliser cet argent. Oui, à la fois, elle a tout un staff, elle a des charges énormes par rapport à ce qu'elle fait, mais Beyoncé, derrière, elle va quand même aussi utiliser cet argent pour les charités, pour faire des donations, etc. Donc, voyez l'argent... auprès des célébrités, certaines célébrités, pas toutes, qu'elles utilisent, voyez aussi, voyez qu'elles utilisent cet argent comme des leviers pour faire des choses dans leur vie. Donc si vous n'aimez pas l'argent, si vous n'aimez pas en parler, si vous n'aimez pas que ce soit, enfin, si vous n'aimez pas le sujet, je comprends. Mais désacraliser l'argent en vous disant que c'est un outil, en fait non, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je pars dans des explications, mais je ne comprends pas. Pour moi, si vous commencez à changer votre état d'esprit vis-à-vis de l'argent et que vous commencez à le voir comme un moyen, un outil de faire les choses que vous voulez dans votre vie, que ce soit à juste titre égocentrique parce que vous voulez vivre votre vie et c'est tout à votre honneur, ou que ce soit pour utiliser cet argent pour à la fois des projets, pour le développement d'activités, pour le développement de solutions, etc. Utilisez cet argent à bon escient. C'est tout ce que je vous encourage de faire. Et d'arrêter de vouloir vous excuser pour votre ambition, de vouloir gagner de l'argent pour développer des choses qui vont vous stimuler et qui vont vous rendre une meilleure personne. J'espère que cette vidéo, elle va pas m'apporter la sauce du monde, parce qu'on est quand même dans une vidéo hyper niche par rapport à un sujet, ou vis-à-vis des problématiques mondiales qui se passent. Franchement, c'est hyper privilégié de parler de ce genre de sujet sans se soucier de ce qui se passe à l'autre bout du monde, j'en ai conscience. Mais si aujourd'hui, nous, on n'est pas forcément impactés par ce qui se passe, on le sera peut-être dans un futur proche, je n'en sais rien, je lis pas l'avenir, Je vous encourage quand même à utiliser votre patrimoine à bon escient et de manière correcte, éthique par rapport... à votre vision et par rapport à vous, c'est vachement important comme message. Alors, je me suis dit que j'allais vous faire un petit récapitulatif. Bon, je vais gentiment conclure cet épisode, mais je vais aussi vous donner un petit exercice de passage à l'action que j'ai confectionné moi-même pour l'occasion. Il y a quatre niveaux dans lesquels vous vous situez peut-être actuellement par rapport à votre relation à l'argent. Le premier niveau le plus bas, c'est potentiellement que vous vous excusez d'en vouloir plus. Qu'est-ce qui va se passer à court terme ? Très certainement, vous avez moins de confiance et vous vous autant censurer, typiquement syndrome de l'imposteur, machin, tout ça. Les conséquences à long terme, c'est que vous avez forcément un business qui va plafonner et une frustration liée à ce business. La deuxième échelle, c'est que vous ne dites rien, c'est-à-dire que vous ne vous positionnez pas sur le sujet. Ce qui peut se passer à court terme, c'est que vous allez manquer vraiment de clarté, de choses claires. Vous allez être dans un flou aussi tarifaire parce que vous ne vous positionnez pas par rapport à ça. Et ce qui va se passer sur du plus long terme, vous allez perdre des clients, vous allez vous sous-rémunérer et pareil, ça va engendrer de la frustration. Le troisième niveau, c'est le niveau dans lequel beaucoup de gens se situent actuellement, beaucoup plus que le reste en fait. Je pense que les trois paliers, ça doit être 80% des gens et le dernier palier, ça doit être 20%. Vouloir juste assez. Donc ce que ça vous amène, c'est une illusion de sécurité. C'est typiquement en fait, je ne vous crache pas dessus de nouveau, c'est vraiment en toute bienveillance que je vous dis ça. ce sont des salariés qui sont... justement ils sont bien, ils veulent, voilà, ils osent pas, ils sortent pas de leur zone de confort, ils ont une illusion de sécurité. Le problème c'est qu'un jour s'il se passe quelque chose dans votre vie et que vous n'avez pas mis les moyens pour mettre de l'argent de côté ou comme ça, vous allez vous retrouver dans la merde. J'ai vu ça en fait avec des gens qui ont rejoint Coach Ton Budget et qui m'avaient écrit au sujet de différentes situations. J'avais une vie classique, normale, et puis tout d'un coup il y a eu un divorce, il y a eu une maladie, il y a eu ça et en fait je me suis retrouvée dans la merde. Souvent c'est ça. Donc effectivement ce qui va se passer à long terme c'est aucune marge, pas d'investissement et finalement pas la sécurité qu'on pensait avoir, la sécurité de l'emploi ou la sécurité d'une activité pas assez... Le dernier... Le dernier palier pour moi, moi, c'est le statut où vraiment je suis. C'est j'assume mes besoins et j'assume mes ambitions. J'ai plus de clarté. J'assume ma posture professionnelle et qui je veux devenir, surtout en tant que femme, en Suisse romande. Et ce que j'imagine ou en tout cas ce qui se passe déjà depuis que j'ai commencé le business, c'est que j'ai une croissance. j'ai une stabilité et j'ai surtout un alignement par rapport à qui je suis, ce que je veux faire et comment mon entreprise tourne. On adhère ou on n'adhère pas, si vous avez écouté ce podcast jusqu'à la fin, je pense que c'est parce que vous voulez comprendre comment est-ce que ça fonctionne et comment est-ce qu'on change sa posture vis-à-vis de l'argent. Bon, petit passage à l'action, petit exercice. Alors, ce que je vous propose, c'est de répondre à trois questions par écrit. Donc là maintenant, vous prenez votre téléphone, j'en sais rien si vous êtes en train de conduire, vous ne pouvez pas le faire, mais vous arrêtez la bagnole, vous vous mettez sur un parking, je ne sais pas, vous vous posez et vous répondez à ces trois questions sur papier. La première question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Je répète la question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Ok, vous avez trois minutes pour répondre, mais je passe déjà à la suivante. Deuxième question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagnais bien ma vie ? Je répète la question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagne bien ma vie ? Troisième question. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Je répète. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Étape suivante, vous notez une de ces phrases, une de ces réponses, que vous pourrez dire sans vous excuser. Je vous donne un exemple d'un point de vue business. Je propose un accompagnement à 2400 francs structuré en 3 mois parce que je sais que c'est ce qui permet d'obtenir des résultats réels. Moi, je vous propose de faire cet exercice-là, et surtout de mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, de mettre une note 5 étoiles à cet épisode si vous avez aimé, et surtout de le partager à quelqu'un qui a besoin de comprendre que l'argent, Ce n'est pas un bad boy, ce n'est pas un fuck boy, ce n'est pas le diable, ce n'est tout juste qu'un moyen qu'on va utiliser pour réaliser ses projets de vie, ses ambitions, et surtout qu'on peut utiliser à la manière dont on veut l'utiliser, c'est-à-dire de manière éthique si on a envie d'être éthique, de manière noble si on a envie d'être noble, et ça c'est dans vos mains. C'est ce que vous pouvez faire dès aujourd'hui, dès maintenant, en répondant à une de ces trois questions. En attendant, je vous souhaite une toute bonne journée ou toute bonne soirée, ça dépend à quelle heure vous m'écoutez. Je vous propose de me retrouver dans deux semaines pour le prochain épisode. et n'hésitez pas aussi à mettre dans les commentaires si vous avez des questions, si vous avez envie de papoter sur le sujet. Je réponds à tous les commentaires. A tout bientôt !

Chapters

  • Introduction au tabou de l'argent en Suisse

    00:00

  • Contexte historique du tabou sur l'argent

    01:45

  • Démystifier l'idée que vouloir plus d'argent est égoïste

    02:14

  • Revaloriser sa vision de l'argent comme un outil stratégique

    05:36

  • Exercice pratique pour améliorer sa relation à l'argent

    26:27

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Description

En Suisse, parler d’argent est un sujet sensible. Mais si ce tabou t’empêche d’augmenter tes prix, de demander plus ou de te rémunérer correctement, il est temps d’agir.

Dans cet épisode, je t’explique l’origine culturelle de cette pudeur financière, pourquoi vouloir plus n’est pas écraser les autres, et comment revaloriser ta vision de l’argent pour faire grandir ton business et ta liberté.


Avec un exercice concret pour passer à l’action dès aujourd’hui.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!

On travaille ensemble? C'est par ici https://www.ctbconsulting.ch/

Rejoins +115'000 Suisses 🇨🇭 qui gèrent business & finances : Instagram @coachtonbusiness; TikTok @coachtonbudget 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    En Suisse, on parle quand même pas beaucoup d'argent entre nous. C'est soit parce qu'on cherche à rester humble, soit parce que voilà, faut jamais en vouloir trop, soit c'est pour ne pas être arrogant, bref, il y a une vraie pudeur par rapport à l'argent. Et quand on est indépendant, le problème, c'est qu'on a une vraie culpabilité à vouloir bien gagner sa vie. Du coup, on s'excuse d'augmenter nos prix, on minimise nos factures, et on hésite à dire et à assumer qu'on veut un meilleur niveau de vie. Le problème, c'est que cette posture, elle a un coût. Elle a un coût pour toi, parce qu'elle a un coût sur ton chiffre d'affaires, elle brouille ton positionnement, et pour certaines personnes, c'est carrément de l'autosabotage, parce qu'on a un business qui fonctionne très mal, parce qu'on se rémunère pas correctement. Évidemment, dans cet épisode, je vais parler plus de business, mais ça s'adresse aussi aux salariés qui veulent gagner mieux leur vie, de détecter les automatismes d'autosabotage qui les empêchent de gagner plus d'argent. Donc dans cet épisode, j'aimerais qu'on s'arrête de s'excuser, de vouloir mieux pour nous. Tout d'abord, bienvenue sur Coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as de nouvelles ou de nouveaux, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. tu peux t'abonner à l'annuisateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Comme vous connaissez mes épisodes, ils sont toujours structurés en différentes parties. Et dans cet épisode, j'ai voulu rajouter un petit peu de contexte historique parce que je me suis demandé pourquoi est-ce qu'en Suisse, c'est si tabou de parler d'argent. Qu'est-ce qui fait que c'est tabou ? Et allons chercher un petit peu l'information. Donc dans la partie 1, je suis allée justement chercher ces bloqueurs, ou en tout cas ce qui fait que historiquement, la Suisse est un pays riche, qui considère l'argent comme un sujet tabou. Dans la partie 2, je vais parler d'un peu des blocages. Donc pourquoi est-ce que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres ? Dans la partie 3, on va enlever ces tabous. Ce que tu crois protecteur te limite, je l'appelle comme ça. Dans la partie 4, j'aime à vous expliquer pourquoi revaloriser sa vision de l'argent, c'est stratégique en tout cas dans votre business ou dans votre vie tout court. Commençons par la partie 1. L'argent, c'est un gros tabou culturel en Suisse. Mais pourquoi ? Déjà, il faut savoir que l'éducation suisse, elle repose sur tout ce qui est discrétion, stabilité, prudence. C'est une culture où normalement, on ne parle pas de salaire à table. Ce n'est pas un problème de gagner beaucoup, c'est juste qu'à table, on ne va pas forcément inclure ça dans les discussions. Alors, d'où est-ce que ça vient ? Toute l'histoire du tabou, elle vient d'un héritage secret bancaire et d'une espèce de discrétion. Donc ça, je ne sais pas si vous le saviez, mais ça a commencé déjà dans les années 1700 et ça a continué en 1934 avec l'article 47 du Federal Act on Banks and Saving Banks. La confidentialité bancaire est devenue un crime de divulguer des informations clients sans consentement. Et en fait, ce secret bancaire, il a clairement façonné la culture suisse d'intimité vis-à-vis de l'argent. Maintenant, je ne vais pas vous faire tout un cours d'histoire parce que vous connaissez, il y a tous... Il y a toutes ces questions avec les histoires de la seconde guerre mondiale, de l'or, je vais pas prononcer les mots parce que j'ai pas envie de me faire censurer. Mais bref, vous connaissez un petit peu tout ça. En fait, ce que je veux vous expliquer, c'est que ça a déjà commencé bien bientôt, et c'est en 1934 que ça a été scellé. Alors aujourd'hui, les choses ont un petit peu évolué, mais c'est intéressant de savoir que, en fait, ça date pas d'hier la veille, et qu'il y a réellement une explication à ce tabou. Et ce que certains diront, que la Suisse n'est pas forcément super clean, et pas forcément super neutre. Le truc, c'est qu'il y a quand même une posture un petit peu de réserve qui s'est imposée parce que... Parler de salaire ou de dette, c'est perçu comme impoli, c'est gênant, c'est honteux, y compris entre proches. Le truc que j'ai réalisé assez vite en Suisse, c'est que c'était très tabou d'être pauvre, alors qu'en France, c'est beaucoup plus tabou d'être riche et de bien gagner sa vie. En Suisse, on n'a pas trop de mal à voir des gens fortunés, parce que c'est assez commun d'avoir des hauts salaires, ou en tout cas d'avoir des revenus qui nous permettent de vivre très très confortablement. Vous ne serez pas choqués si quelqu'un vous dit « je suis banquier, je gagne 10 à 15 000 francs par mois » . C'est assez standard. Alors qu'en France, gagner 10 000 à 15 000 euros, c'est quand même pas très standard. Ensuite, ce qu'il y a en Suisse, et je pense que c'est quelque chose qui est potentiellement en train d'évoluer avec notre société actuelle, c'est que les Suisses valorisent énormément l'épargne, la frugalité et l'autonomie. Et c'est ce qui fait qu'on est très porté sur les sujets d'épargne, de conserver son argent, de le placer. On est vraiment, je pense que vous vous rendez peut-être pas encore assez compte par rapport à d'autres pays, on est très porté sur l'investissement, l'épargne, etc. Avec toute la surconsommation avec Internet, j'ai tendance à penser, mais ça c'est vraiment ma propre hypothèse, qu'on va vers une consommation complètement différente avec moins d'épargne et moins de disponibilité, en tout cas d'argent et de frugalité. Malheureusement, je lutte... Je lutte contre ça sur cette chaîne et sur ce podcast, c'est pour ça que j'aime parler de thunes. Et j'aimerais rétablir un petit peu le fait que, enfin ça c'est un petit peu ma mission, j'aimerais rétablir le fait que épargner va vraiment vous aider à réaliser vos projets de vie, investir encore plus et potentiellement devenir entrepreneur pour avoir encore plus d'argent, encore plus. Donc c'est un petit peu le message que je veux dévoiler sur ce podcast. Et si vous venez d'arriver, sachez que c'est tout mon mantra. L'histoire c'est que peut-être comme vous, je suis passée par différentes étapes, c'est-à-dire que J'ai eu cette période de vie où j'avais pas d'argent et pour moi avoir de l'argent c'était réservé aux riches. J'ai aussi eu cette étape de vie où j'ai commencé à bien gagner ma vie et en fait je dépensais absolument tout parce que j'avais aucune gestion de mon budget. Et j'ai aussi eu cette étape de vie où maintenant je gagne confortablement ma vie. Je suis d'abord devenue frugale pour vraiment commencer à mettre un maximum d'argent et puis pour comprendre comment j'utilisais mon argent. Et à la suite de ça j'ai développé mon entreprise qui aujourd'hui m'aide à gagner plus d'argent plus vite pour m'enrichir. Maintenant l'histoire c'est que sur les réseaux sociaux, je sais que je suis clivante et que, en tout cas pour l'instant, vous aimez assez bien mes conseils, moi j'ai décidé d'affirmer très clairement que je voulais gagner de l'argent. Et j'ai voulu savoir aussi pourquoi on s'excuse de ça, pourquoi est-ce que c'est si mal vu de vouloir gagner de l'argent. Je conçois que pour certaines personnes, gagner de l'argent c'est avoir du pouvoir, en tout cas politique ou économique. Moi j'ai toujours trouvé que... avoir de l'argent en tant que citoyenne lambda, c'était s'offrir une vie qu'on peut choisir de vivre. Et du coup, avoir de la liberté. Et dans ce cadre-là, ça m'a amenée aussi à la conclusion que l'argent, ce n'était pas quelque chose de sale ou de mauvais, c'était un outil pour y arriver. Sauf qu'entre le moment où je pensais que l'argent, c'était mauvais, et le moment où aujourd'hui, je m'en suis complètement libérée et je considère ça vraiment comme un outil à ma vie, eh bien, il s'est passé beaucoup de choses. Et peut-être que pour vous, si vous êtes indépendant, Ça crée un petit peu un conflit entre vouloir vivre et ne pas sortir du rang. Et typiquement, ce qui va se passer, c'est que vous avez du mal à parler de vos tarifs, vous avez du mal à demander une augmentation, vous avez du mal à augmenter vos prix, vous avez peur que des clients partent, vous avez peur que ça se passe mal au travail ensuite. Bref, tout un tas de choses qui peuvent se passer quand on demande plus d'argent. Le truc, et ça c'est la partie 2, c'est que vouloir plus d'argent ne veut pas dire spécifiquement écraser les autres. C'est différent d'avoir de l'ambition et être égocentrique, et ça je peux vous en parler en long, en large et en travers, parce que c'est exactement ce dans quoi je me trouve. Je suis jeune, j'ai de la capacité, je fais les choses vite, je suis débrouille, je suis même plutôt une machine de guerre en termes de business. Aujourd'hui j'ai décidé d'utiliser ça pour me sortir la vie que j'avais envie d'avoir, et surtout qu'à la fin cet argent je peux l'utiliser comme je veux. Et si vous suivez un petit peu mes aventures, vous savez très bien que moi mon but c'est pas d'être une connasse riche. C'est plutôt d'être une personne qui continue d'utiliser sa fortune pour promouvoir l'activité économique. C'est-à-dire que j'ai l'ambition, par exemple, de continuer d'investir dans des autres boîtes. J'ai l'ambition aussi de vouloir continuer d'aider les autres à développer leur business et à s'enrichir eux aussi. J'ai l'ambition aussi d'utiliser cet argent à terme, pourquoi pas, pour me libérer du temps et participer à des œuvres qui nécessiteraient mon temps libre. Bref, j'ai beaucoup d'ambition avec mon argent et pour ça, il va falloir que je travaille dur. Donc, c'est plus de l'ambition que de l'égocentrisme, finalement. Et c'est ça qu'il faut comprendre. Le truc aussi que j'ai réalisé, parce que j'avais déjà fait une vidéo dans la playlist 15 minutes comptables, vous pouvez aller voir, comment est-ce qu'on augmente ses prix. À la base, j'avais appelé la vidéo comment on double ses prix parce que c'est littéralement ce que j'avais fait. C'est surtout un acte responsable par rapport à vous et votre vie et votre business intrinsèquement si vous êtes indépendant. Parce que, je le répète, le problème ce n'est pas l'argent, le problème c'est ce qu'on en fait. Et je pense que ça rejoint aussi des thématiques internationales liées au réchauffement climatique, à la surconsommation, etc. de votre argent, en fait. Si vous le gagnez avec toute la sueur de votre front, si c'est pour le dépenser dans des entreprises qui ne sont pas forcément très responsables ou en tout cas qui provoquent davantage l'appauvrissement ou en tout cas le réchauffement climatique, mais là, je parle dans des sujets politiques un peu divers, et ce n'est pas le but de cette vidéo, vous êtes aussi responsable de ça, et c'est aussi mal dépenser son argent. D'ailleurs, d'un point de vue assez personnel, je trouve très sincèrement que des personnes qui n'ont pas forcément les moyens et qui les dépensent justement sur des sites comme Shein, Ou Wish, ou Temu, ou AliExpress. Moi aussi j'ai acheté sur ces sites, donc ne me jetez pas la pierre, je suis aussi fautive. Je trouve que c'est participer justement à une forme de... Je ne sais pas si je vais utiliser les bons mots, mais... Pour moi, on participe à l'autodestruction de tout ce qu'on construit, avec des systèmes qui appauvrissent certaines choses, comme les ressources naturelles, ou en tout cas, qui dérèglent le climat, au profit de quoi ? D'avoir des gadgets ou des choses qui ne sont vraiment pas utiles au quotidien, qui nous appauvrissent également en plus, et qui font vraiment... nous servir à rien d'un point de vue confort ou aller mieux dans sa vie. Bref, l'épisode que j'ai posté il y a deux semaines sur ce podcast. Et du coup, ce que je voulais vous dire dans cette partie 2, c'est que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres. Et en fait, moi, j'ai constaté qu'il y a quelques mois, j'ai doublé mes prix. Depuis que j'ai doublé mes prix, j'ai des clients qui sont plus motivés à travailler avec moi. J'ai aussi une qualité qui a augmenté au niveau de mon travail. J'ai aussi pu structurer une équipe qui m'aide justement à... employer ce que j'ai pour ambition pour CTB. Et en fait, ça, c'est non négligeable. C'est-à-dire que je n'ai pas forcément des masses plus d'argent à disposition en augmentant mes prix, même si, oui, les marges sont là. Donc, effectivement, ça contribue à l'échelle, à augmenter le profit de l'entreprise. Il y a quand même une qualité qui s'installe et du coup, une qualité supérieure que je peux proposer à mes clients en termes de service. Et ça, je pense que c'est sine qua non aussi dans la balance. Avoir plus d'argent, ça veut dire non pas que pour nous être égocentriste, c'est aussi aider les autres dans ce qu'on veut amener. Mais ça, ça dépend aussi toujours de votre typologie de business, de ce que vous faites, de la qualité des services, de votre attention aux détails, etc. Et ça, c'est de votre responsabilité de se dire « Ok, je veux plus d'argent, mais à quoi va me servir cet argent ? Qu'est-ce que je veux en faire ? » Ça a été aussi le cas de beaucoup de mes clients. Quand on a commencé à revoir soit les tarifs, soit les offres packagées, etc. En fait, on devient tout de suite beaucoup plus confortable dans sa vie indépendante, on devient plus confortable au quotidien et on a l'occasion d'offrir beaucoup plus. En fait, la majorité de mes clients, je n'ai pas de cohortes, je n'ai pas de statistiques à ce sujet-là, mais je sais que la majorité de mes clients se sont de toute façon lancés dans l'entrepreneuriat parce qu'ils avaient une passion à partager. Donc une passion, je ne sais pas, c'était pour la naturopathie, c'était l'envie de résoudre un problème sur le marché lié à quelque chose qui les passionne. Bref, ils se sont lancés dans l'entrepreneuriat pour une raison, et en fait, à mesure qu'ils ont de l'argent et qu'ils sont plus confortables, j'assiste, j'ai assisté véritablement à des hausses de qualité, des meilleurs services, des gens plus confortables, plus heureux, etc. Donc finalement, l'argent, c'est loin d'être quelque chose d'égocentrique, c'est plutôt quelque chose qui va nous permettre de faire, en tout cas qui peut nous permettre de faire mieux autour de nous, d'être plus agréable, d'être meilleur, d'être dans un certain bien-être. Et ça, c'est ce que j'aimerais vraiment faire comprendre à la population entière. Donc, si je reprends le titre... de cet épisode, pourquoi est-ce qu'on s'excuse de vouloir de l'argent ? Honnêtement, je sais pas. Et moi, vraiment, j'aimerais poser ça aujourd'hui comme un statement, j'aimerais vraiment le dire aujourd'hui, je n'ai plus envie de m'excuser de vouloir gagner de l'argent, parce que je sais ce que je veux faire de cet argent, je sais que je veux l'utiliser pour du bien, je sais que je veux établir un cadre de vie qui soit confortable pour moi, mais qui va m'aider à déployer davantage d'ambition pour CTB et aider davantage de monde à réaliser leur projet de vie au travers de la société. D'ailleurs, je fais juste une toute petite aparté parce que je me rends compte que j'ai oublié de le faire. Il s'avère qu'on a sorti nos nouvelles offres pour Coach ton business. Pourquoi je pose ça là ? Parce que je continue d'avoir énormément de demandes. J'ai des listes d'attentes pour rejoindre à la fois structuration et fondation. Et je me suis dit que c'était intéressant de vous expliquer en quoi ça consiste. Comme ça, vous pouvez voir aussi si on peut travailler ensemble. À la base, j'ai créé Coach ton business. Coach ton business, c'était mon accompagnement de mentorat One One qui me permettait d'accompagner des indépendants dans la restructuration de leur business. Il s'avère que je ne peux pas me dédoubler, j'ai eu de plus en plus de demandes et de moins en moins de capacité de prendre des nouveaux clients, donc j'avais des listes d'attente longues comme mon bras, pour ne pas dire autre chose, et j'avais surtout de la frustration de personnes qui ne pouvaient pas immédiatement travailler avec moi, et puis qui du coup ne trouvaient pas forcément solution ailleurs dans ce qu'ils voulaient. Alors voilà, ce que j'ai fait, c'est que j'ai divisé Coach ton business en deux, et j'ai créé Objectif Fondation et Objectif Structuration. Objectif Fondation, c'est ce que Coach ton business était avant. C'est-à-dire qu'il y a vraiment... cette progression de « on va retravailler votre business plan, votre positionnement, vos offres, etc. » jusqu'à la partie acquisition client, comment est-ce qu'on fait pour acquérir des clients avec votre business actuel. Donc Coach Ton Business va vraiment vous aider à poser les bases pour être confortable et puis pour développer un chiffre d'affaires qui est confortable sur votre marché. Aujourd'hui, ce format-là, je ne le fais plus en one-one parce que vraiment, je vous le dis avec tout mon cœur et toute ma bienveillance, vous avez besoin d'apprendre à le faire. et d'être autonome à ce niveau-là, ou en tout cas d'avoir peut-être un petit peu de coaching pour vous aider à mettre les choses en place. Et une fois que c'est fait, là vous aurez besoin de l'aide d'un consultant pour améliorer, pour restructurer, pour passer à l'étape suivante en termes de chiffre d'affaires. Si j'ai accompagné autant de gens en one-one jusqu'à maintenant, c'est parce que moi aussi j'avais besoin de voir les besoins clients et j'avais besoin de rencontrer ma clientèle cible pour voir comment ça allait. Mais c'est aussi parce que moi j'ai voulu le faire comme ça dès le début, c'est pas que parce que j'avais une ambition d'à terme changer les choses, etc. Donc cette formule-là, elle est en groupe coaching, elle est à un prix 1. bas table. Vous n'allez pas trouver quelque chose en Suisse à ce prix-là. Donc en gros, vous avez accès 12 mois à la plateforme qui va vous permettre d'apprendre à faire toutes ces choses-là, à vous former. Et vous allez avoir 3 mois de coaching intensif sur notre communauté où vous allez avoir moi comme coach ou d'autres personnes ou Eva qui va vous aider à avancer dans les implémentations ou si vous avez des questions, si vous avez des choses à répondre. Vous avez une fois tous les 3 mois un événement en présentiel à Lausanne. Les dates sont déjà fixées. Donc si vous voulez rejoindre, vous saurez que c'est le 1er octobre ... Ensuite, ce sera le 7 janvier et ensuite, ce sera le 7 avril. Vous aurez accès à ces événements en présentiel où on va justement aborder les thématiques. On va aussi vous faire vous rencontrer, donc vous aurez l'occasion de rencontrer les autres personnes. Bref, on va faire tout un tas de choses pour que vous puissiez avancer dans votre business. Ça, c'est Objectif Fondation. Objectif Fondation va vraiment vous permettre de générer un chiffre d'affaires confortable de 4 à 6 000 francs par mois au minimum parce que vous aurez la structure. qui va vous permettre d'avoir de l'acquisition client en dehors du bouche à oreille, qui va vous permettre d'avoir une offre qui est confortable et qui vous permet de bien délivrer vos services, et puis de comprendre en fait les fondements de votre business. Pour objectif fondation, vous pouvez rentrer un peu quand vous voulez, parce que ça dépend de votre stade de maturation. Si vous sentez que c'est le moment d'y aller, il faut y aller. Même si moi je pense qu'il n'y a pas de bon moment, en fait au bout d'un moment, si vous voulez vivre de votre activité, il faut se lancer, il faut y aller, et ça ce sera objectif fondation. Et à côté j'ai créé objectif structuration. Cette structuration va vous permettre Si vous êtes déjà un indépendant qui est confortable ou même en société, c'est-à-dire SARL, j'ai même des SA en fait maintenant qui me contactent et des associations. Si vous avez besoin de comprendre la gestion de vos ressources, c'est-à-dire votre temps, votre argent, comment est-ce qu'on structure un business qui déjà fonctionne mais qui pécote peut-être, vous avez besoin de comprendre vos systèmes d'acquisition, vous avez besoin de comprendre comment est-ce qu'on automatise votre business, comment est-ce qu'on délègue. Bref, vous voulez passer, justement vous voulez comprendre ce plafond de verre que vous avez parce qu'en fait à chaque fois il y a un plafond de verre, vous voulez comprendre ce plafond de verre. et vous voulez le briser. Et là, en fait, c'est vraiment du consulting, c'est vraiment du one-one, où vous avez du coaching illimité avec moi, où on va mettre un plan d'action en place par rapport à vos besoins, par rapport à vos problématiques. Et ça, c'est vraiment réservé à une typologie d'entrepreneur qui a déjà fait ses armes, qui est déjà normalement 100% indépendant, il n'y a plus de job à côté, et qui a besoin justement de voir comment est-ce qu'on évolue dans l'entrepreneuriat en fonction de la taille que l'on souhaite avoir d'entreprise. Donc moi, je ne parle pas de start-up, je parle vraiment d'indépendants qui sont transformés en entreprise. et qui veulent justement améliorer leur statut indépendant ou en entreprise. Si pour objectif fondation, vous pouvez rentrer quand vous voulez, parce que pour moi, c'est important de commencer dès que possible à bien structurer son activité indépendante pour enfin vous sortir de cette galère d'avoir des thunes. Objectif structuration, c'est sur candidature. Et là, je ne prends que les profils qui matchent avec ce pourquoi on peut les aider. Donc dans tous les cas, ce que je vous propose, c'est pour fondation, vous pouvez rentrer de manière autonome, sauf si vous avez des questions, vous pouvez réserver un appel découverte. Pour structuration, vous êtes obligés de passer par l'appel découverte, tout simplement parce qu'on va discuter et je vais vous faire une proposition de suivi par rapport aux problématiques que vous me donnez en appel. Donc tout ça, ce sera dans la barre d'infos. Pour revenir à nos moutons, on ne va pas rester à la partie 3. Le truc, c'est que quand on s'excuse de vouloir plus, on pense qu'on évite d'être prétentieux, on évite le rejet, on pense qu'on reste humble. Moi, je pense surtout qu'on se limite dans nos propres capacités. à développer des choses. Je pense très sincèrement qu'on sabote son expansion, on sabote aussi la clientèle qu'on pourrait avoir, parce qu'on pourrait avoir justement des clients plus motivés, mieux avec nous. Et je pense qu'on évite aussi de poser un cadre très clair, parce que souvent aussi, quand on a par exemple un bon salaire, ou quand on a une offre qui est assez haut de gamme ou premium, on a tendance aussi à structurer les choses pour que ce soit... Enfin, j'espère pour vous, je pense que vous n'êtes pas tombés sur des gens comme moi à chaque fois, mais en tout cas, moi, ce que je me suis dit, c'est ce que j'essaie de vous dire à travers ces mots-là pour être plus clair. Et pour vous parler plus simplement, ce que j'ai essayé de faire, c'est qu'à mesure que mon niveau augmentait, c'est-à-dire tant quand j'étais salariée que quand maintenant aujourd'hui je suis chef d'entreprise et j'ai des offres quand même d'un certain montant, je pense que plus on augmente en tarifs, plus la qualité du service doit suivre. C'est-à-dire que dans structuration, si vous rentrez, vous avez un onboarding picot-bélo. Vous allez suivre une trajectoire, je vais vous demander de remplir un questionnaire. Ce questionnaire, je vais l'avoir avant l'appel. ça veut dire que je vais pouvoir déjà travailler en amont sur le plan d'action. Et ça veut dire que quand on est ensemble, on travaille vraiment sur les problématiques qui ont été ciblées. On ne tergiverse pas, on ne perd pas de temps. Et vous avez aussi tous les outils à disposition. Vous avez aussi accès à mes partenaires. Vous avez accès à tout pour avancer. C'est-à-dire que je ne vous fais pas juste payer quelque chose pour avoir du fric et puis pour vous débloquer un petit peu comme ça par-ci, par-là. Je me mets vraiment dans votre business avec vous et je vous aide à avancer point par point. Et ça, pour moi, c'est toute l'expérience que j'ai pu avoir. en proposant un tarif un peu plus élevé, et en étant aussi moi plus confortable, parce qu'au lieu de vouloir charbonner, à vouloir prendre plein de clients avec un tarif qui ne correspondait pas à ce que je ferais, en fait là tout d'un coup je peux offrir beaucoup plus. Je peux offrir un pack de bienvenue, je peux offrir un consultant externe s'il y a besoin pour une thématique plus précise, je peux faire des événements présentiels, j'ai beaucoup beaucoup plus de qualités à offrir en faisant ça. Mais je crois que je me répète. Donc vous aurez compris que si j'étais restée dans un mindset de non il ne faut pas que j'augmente mes prix, il faut que je reste accessible, En fait, il y a aussi... il y a un problème dans la délivrabilité de ce que je propose, parce que je ne peux pas non plus monter en gamme. Alors de nouveau, je ne vais pas m'excuser de facturer plus, parce que derrière, il y a tout ce qui suit par rapport au prix. Je pense très sincèrement que vouloir rester accessible, je le comprends dans certains cas de figure, et j'ai une cliente d'ailleurs qui m'a très bien dit, moi de toute façon, je n'ai pas pour ambition de gagner de l'argent, parce que je suis très bien à côté. Ce qu'il faut comprendre, c'est que... vous potentiellement, si vous n'êtes pas aussi bien et si vous avez d'autres intentions d'utiliser, si vous avez d'autres intentions avec cet argent, vous allez vous saboter et vous allez limiter votre expansion. Donc stop à l'excuse de ne pas vouloir gagner plus d'argent. Je pense qu'aussi, il y a un truc très féminin qui date... Il y a des siècles et des siècles, et j'ai l'impression que, personnellement, j'ai été immunisée par rapport à ce sujet-là. Je vous explique. Quand je discute avec des femmes plus âgées, ou quand je discute avec des générations aussi plus âgées, je me rends compte très fortement que, nous, plus jeunes, on n'a pas du tout les mêmes barrières, on n'a pas du tout les mêmes blocages vis-à-vis de l'argent. C'est-à-dire que, bon, ma mère a des blocages énormes par rapport à l'argent encore aujourd'hui, et je pense pas que ça va se débloquer à son âge, mais quoi qu'il en soit j'ai remarqué en me parlant avec les gens qu'ils avaient des théories ou vraiment des conceptions de l'argent qui étaient inexistantes pour moi. Alors, est-ce que c'est parce que j'ai grandi dans une génération où c'est complètement différent et sur Internet, on parle tout doucement et tranquillement et même pas tout doucement en fait, haut et fort d'argent ? Je ne sais pas, mais ce que j'ai constaté, c'est que cette espèce d'immunité au blocage de l'argent, elle me permet aujourd'hui de faire beaucoup de choses avec et de me développer tant en tant qu'individu, tant en tant que société. Et ça, moi, je trouve ça incroyable. Et je pense que vraiment, nous, les jeunes générations, vous qui m'écoutez qui êtes peut-être plus âgés, j'ai 30 ans au passage, vous allez peut-être en apprendre de nous parce que vous allez voir qu'on n'a aucun blocage et qu'on n'a aucune peur à être transparent. D'ailleurs, un autre sujet qui est vachement intéressant dans ma propre société, c'est que comme je commence à avoir des salariés, en tout cas pour l'instant, il y a une full time et il y a moi avec, il y a le sujet de la transparence des salaires. Alors Eva, si tu regardes ce podcast, on n'en a pas discuté ensemble, mais je me suis posé la question cette semaine parce qu'on va recruter une nouvelle personne. Et en fait, il y a toute cette question de combien est-ce qu'on va rémunérer un profil qui est junior, voire stagiaire, par rapport à des profils qui sont là depuis plus longtemps. Là, vous allez me dire, mais Janice, il n'y a pas photo, un stagiaire, ça n'a pas du tout le même revenu qu'une employée. La question s'est posée par rapport à des profils senior, junior, en me disant, comment est-ce que je crée des salaires dans cette société qui sont fair enough par rapport à leur expérience, par rapport à leur expertise et par rapport à ce qu'ils vont... contribuer à la boîte. Et ça, c'est une question que je pose là maintenant parce que je n'y ai pas répondu encore. Je pense que ça va être des challenges aussi au fur et à mesure que la boîte grandit. On n'y est pas encore. Pour l'instant, j'ai quand même une équipe de freelance plus développée qu'une équipe de salariés. Et dans ce sens-là, la négociation du salaire, elle n'est pas du tout pareille parce qu'on parle de freelance et pas de salariat. Donc voilà, c'est un petit peu aussi des thématiques que j'aimerais être vraiment hyper transparente dans ma société avec ça. C'est super important pour moi. On arrive à la partie 4 de cet épisode. Et dans cette partie 4, avant de passer à l'action et de vous donner un petit exercice à faire tout de suite, On va comprendre pourquoi revaloriser la vision de l'argent, c'est stratégique dans votre vie en général, mais particulièrement si vous êtes entrepreneur. Si vous voulez avoir un business qui vous rémunère, vous devez revoir votre rapport à l'argent, non pas comme quelque chose de mal et mauvais, de capitaliste, mais comme un outil. Aujourd'hui, je comprends qu'il y a plein de gens qui sont anticapitalistes, le système ne fonctionne pas, etc. Et je sais qu'on peut utiliser des outils comme le boycott ou d'autres choses pour contrer ces choses-là. Néanmoins, moi personnellement, je ne suis pas quelqu'un qui va à l'encontre des règles. Je ne veux pas aller à l'encontre des règles. Je trouve ça con en fait, parce qu'il y a plus de chances qu'on soit péjoré, qu'on soit gratifié d'aller à l'encontre des règles. Il faudrait vraiment un gros mouvement de masse pour que ça se produise. Du coup, dans ce sens-là, pourquoi ne pas jouer le jeu de ces règles-là ? Moi, c'est vraiment l'attitude que j'ai décidé d'avoir par rapport à la société, par rapport au monde dans lequel on vit, et c'est pour ça en fait que je me bats avec l'information, que je me bats avec ce que vous pouvez avoir avec l'éducation financière pour comprendre que vous pouvez... avoir la vie que vous voulez avec les règles actuelles du système. J'ai pas envie de partir dans un truc hyper alter-mondialiste ou je sais pas quoi. Bref, j'ai pas envie de partir dans des débats comme ça parce que, de base, en fait, je suis pas du tout quelqu'un qui... Voilà, je ne suis pas une militante, je suis pas... Je fais rien de tout ça, donc je veux pas partir dans un débat comme ça. Je veux juste vous faire comprendre mon point de vue que, justement, en n'étant pas militante, j'ai décidé de jouer les règles comme elles sont. Pourquoi je me justifie, j'en sais rien, mais c'est pour vous faire comprendre pourquoi je vous dis ça. L'argent, il va vous donner des choix. Il va vous permettre de prendre soin de vous. il va vous permettre d'investir, il va vous permettre de créer de l'impact, il va vous permettre de faire potentiellement le bien autour de vous, d'être une meilleure personne, de vous former, d'éduquer vos enfants, d'éduquer d'autres personnes si vous n'éduquez pas vos enfants, ou de transmettre d'autres choses, des bonnes choses à d'autres personnes. Moi, c'est comme ça que je vaux l'argent. Et en fait, si je vous parle dans mes précédents podcasts de « Oui, voilà, je veux mon chalet à Grand-Montana, je veux avoir ça » , je vous parle avant tout de confort. Confort pourquoi ? Pour être la meilleure personne possible. et pour aider à mesure que je peux aider les personnes autour de moi. Donc ça veut dire que mon business aide aujourd'hui des gens. Je fais en sorte que la qualité de danse soit vraiment premium pour pouvoir ressortir de ça tout en ayant payé un service, mais en ayant justement les outils et les armes qui vont nous permettre d'aller plus loin dans notre vie. Ça, c'est ma manière d'aider. Quand vous payez un billet à Beyoncé pour son concert, Beyoncé, elle ne s'excuse pas d'aller faire un concert. Beyoncé, certes, elle va vous produire une prestation avec un show, avec les musiques que vous aimez, que vous adorez. Et derrière, elle va utiliser cet argent. Oui, à la fois, elle a tout un staff, elle a des charges énormes par rapport à ce qu'elle fait, mais Beyoncé, derrière, elle va quand même aussi utiliser cet argent pour les charités, pour faire des donations, etc. Donc, voyez l'argent... auprès des célébrités, certaines célébrités, pas toutes, qu'elles utilisent, voyez aussi, voyez qu'elles utilisent cet argent comme des leviers pour faire des choses dans leur vie. Donc si vous n'aimez pas l'argent, si vous n'aimez pas en parler, si vous n'aimez pas que ce soit, enfin, si vous n'aimez pas le sujet, je comprends. Mais désacraliser l'argent en vous disant que c'est un outil, en fait non, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je pars dans des explications, mais je ne comprends pas. Pour moi, si vous commencez à changer votre état d'esprit vis-à-vis de l'argent et que vous commencez à le voir comme un moyen, un outil de faire les choses que vous voulez dans votre vie, que ce soit à juste titre égocentrique parce que vous voulez vivre votre vie et c'est tout à votre honneur, ou que ce soit pour utiliser cet argent pour à la fois des projets, pour le développement d'activités, pour le développement de solutions, etc. Utilisez cet argent à bon escient. C'est tout ce que je vous encourage de faire. Et d'arrêter de vouloir vous excuser pour votre ambition, de vouloir gagner de l'argent pour développer des choses qui vont vous stimuler et qui vont vous rendre une meilleure personne. J'espère que cette vidéo, elle va pas m'apporter la sauce du monde, parce qu'on est quand même dans une vidéo hyper niche par rapport à un sujet, ou vis-à-vis des problématiques mondiales qui se passent. Franchement, c'est hyper privilégié de parler de ce genre de sujet sans se soucier de ce qui se passe à l'autre bout du monde, j'en ai conscience. Mais si aujourd'hui, nous, on n'est pas forcément impactés par ce qui se passe, on le sera peut-être dans un futur proche, je n'en sais rien, je lis pas l'avenir, Je vous encourage quand même à utiliser votre patrimoine à bon escient et de manière correcte, éthique par rapport... à votre vision et par rapport à vous, c'est vachement important comme message. Alors, je me suis dit que j'allais vous faire un petit récapitulatif. Bon, je vais gentiment conclure cet épisode, mais je vais aussi vous donner un petit exercice de passage à l'action que j'ai confectionné moi-même pour l'occasion. Il y a quatre niveaux dans lesquels vous vous situez peut-être actuellement par rapport à votre relation à l'argent. Le premier niveau le plus bas, c'est potentiellement que vous vous excusez d'en vouloir plus. Qu'est-ce qui va se passer à court terme ? Très certainement, vous avez moins de confiance et vous vous autant censurer, typiquement syndrome de l'imposteur, machin, tout ça. Les conséquences à long terme, c'est que vous avez forcément un business qui va plafonner et une frustration liée à ce business. La deuxième échelle, c'est que vous ne dites rien, c'est-à-dire que vous ne vous positionnez pas sur le sujet. Ce qui peut se passer à court terme, c'est que vous allez manquer vraiment de clarté, de choses claires. Vous allez être dans un flou aussi tarifaire parce que vous ne vous positionnez pas par rapport à ça. Et ce qui va se passer sur du plus long terme, vous allez perdre des clients, vous allez vous sous-rémunérer et pareil, ça va engendrer de la frustration. Le troisième niveau, c'est le niveau dans lequel beaucoup de gens se situent actuellement, beaucoup plus que le reste en fait. Je pense que les trois paliers, ça doit être 80% des gens et le dernier palier, ça doit être 20%. Vouloir juste assez. Donc ce que ça vous amène, c'est une illusion de sécurité. C'est typiquement en fait, je ne vous crache pas dessus de nouveau, c'est vraiment en toute bienveillance que je vous dis ça. ce sont des salariés qui sont... justement ils sont bien, ils veulent, voilà, ils osent pas, ils sortent pas de leur zone de confort, ils ont une illusion de sécurité. Le problème c'est qu'un jour s'il se passe quelque chose dans votre vie et que vous n'avez pas mis les moyens pour mettre de l'argent de côté ou comme ça, vous allez vous retrouver dans la merde. J'ai vu ça en fait avec des gens qui ont rejoint Coach Ton Budget et qui m'avaient écrit au sujet de différentes situations. J'avais une vie classique, normale, et puis tout d'un coup il y a eu un divorce, il y a eu une maladie, il y a eu ça et en fait je me suis retrouvée dans la merde. Souvent c'est ça. Donc effectivement ce qui va se passer à long terme c'est aucune marge, pas d'investissement et finalement pas la sécurité qu'on pensait avoir, la sécurité de l'emploi ou la sécurité d'une activité pas assez... Le dernier... Le dernier palier pour moi, moi, c'est le statut où vraiment je suis. C'est j'assume mes besoins et j'assume mes ambitions. J'ai plus de clarté. J'assume ma posture professionnelle et qui je veux devenir, surtout en tant que femme, en Suisse romande. Et ce que j'imagine ou en tout cas ce qui se passe déjà depuis que j'ai commencé le business, c'est que j'ai une croissance. j'ai une stabilité et j'ai surtout un alignement par rapport à qui je suis, ce que je veux faire et comment mon entreprise tourne. On adhère ou on n'adhère pas, si vous avez écouté ce podcast jusqu'à la fin, je pense que c'est parce que vous voulez comprendre comment est-ce que ça fonctionne et comment est-ce qu'on change sa posture vis-à-vis de l'argent. Bon, petit passage à l'action, petit exercice. Alors, ce que je vous propose, c'est de répondre à trois questions par écrit. Donc là maintenant, vous prenez votre téléphone, j'en sais rien si vous êtes en train de conduire, vous ne pouvez pas le faire, mais vous arrêtez la bagnole, vous vous mettez sur un parking, je ne sais pas, vous vous posez et vous répondez à ces trois questions sur papier. La première question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Je répète la question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Ok, vous avez trois minutes pour répondre, mais je passe déjà à la suivante. Deuxième question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagnais bien ma vie ? Je répète la question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagne bien ma vie ? Troisième question. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Je répète. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Étape suivante, vous notez une de ces phrases, une de ces réponses, que vous pourrez dire sans vous excuser. Je vous donne un exemple d'un point de vue business. Je propose un accompagnement à 2400 francs structuré en 3 mois parce que je sais que c'est ce qui permet d'obtenir des résultats réels. Moi, je vous propose de faire cet exercice-là, et surtout de mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, de mettre une note 5 étoiles à cet épisode si vous avez aimé, et surtout de le partager à quelqu'un qui a besoin de comprendre que l'argent, Ce n'est pas un bad boy, ce n'est pas un fuck boy, ce n'est pas le diable, ce n'est tout juste qu'un moyen qu'on va utiliser pour réaliser ses projets de vie, ses ambitions, et surtout qu'on peut utiliser à la manière dont on veut l'utiliser, c'est-à-dire de manière éthique si on a envie d'être éthique, de manière noble si on a envie d'être noble, et ça c'est dans vos mains. C'est ce que vous pouvez faire dès aujourd'hui, dès maintenant, en répondant à une de ces trois questions. En attendant, je vous souhaite une toute bonne journée ou toute bonne soirée, ça dépend à quelle heure vous m'écoutez. Je vous propose de me retrouver dans deux semaines pour le prochain épisode. et n'hésitez pas aussi à mettre dans les commentaires si vous avez des questions, si vous avez envie de papoter sur le sujet. Je réponds à tous les commentaires. A tout bientôt !

Chapters

  • Introduction au tabou de l'argent en Suisse

    00:00

  • Contexte historique du tabou sur l'argent

    01:45

  • Démystifier l'idée que vouloir plus d'argent est égoïste

    02:14

  • Revaloriser sa vision de l'argent comme un outil stratégique

    05:36

  • Exercice pratique pour améliorer sa relation à l'argent

    26:27

Description

En Suisse, parler d’argent est un sujet sensible. Mais si ce tabou t’empêche d’augmenter tes prix, de demander plus ou de te rémunérer correctement, il est temps d’agir.

Dans cet épisode, je t’explique l’origine culturelle de cette pudeur financière, pourquoi vouloir plus n’est pas écraser les autres, et comment revaloriser ta vision de l’argent pour faire grandir ton business et ta liberté.


Avec un exercice concret pour passer à l’action dès aujourd’hui.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!

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Transcription

  • Speaker #0

    En Suisse, on parle quand même pas beaucoup d'argent entre nous. C'est soit parce qu'on cherche à rester humble, soit parce que voilà, faut jamais en vouloir trop, soit c'est pour ne pas être arrogant, bref, il y a une vraie pudeur par rapport à l'argent. Et quand on est indépendant, le problème, c'est qu'on a une vraie culpabilité à vouloir bien gagner sa vie. Du coup, on s'excuse d'augmenter nos prix, on minimise nos factures, et on hésite à dire et à assumer qu'on veut un meilleur niveau de vie. Le problème, c'est que cette posture, elle a un coût. Elle a un coût pour toi, parce qu'elle a un coût sur ton chiffre d'affaires, elle brouille ton positionnement, et pour certaines personnes, c'est carrément de l'autosabotage, parce qu'on a un business qui fonctionne très mal, parce qu'on se rémunère pas correctement. Évidemment, dans cet épisode, je vais parler plus de business, mais ça s'adresse aussi aux salariés qui veulent gagner mieux leur vie, de détecter les automatismes d'autosabotage qui les empêchent de gagner plus d'argent. Donc dans cet épisode, j'aimerais qu'on s'arrête de s'excuser, de vouloir mieux pour nous. Tout d'abord, bienvenue sur Coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as de nouvelles ou de nouveaux, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. tu peux t'abonner à l'annuisateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Comme vous connaissez mes épisodes, ils sont toujours structurés en différentes parties. Et dans cet épisode, j'ai voulu rajouter un petit peu de contexte historique parce que je me suis demandé pourquoi est-ce qu'en Suisse, c'est si tabou de parler d'argent. Qu'est-ce qui fait que c'est tabou ? Et allons chercher un petit peu l'information. Donc dans la partie 1, je suis allée justement chercher ces bloqueurs, ou en tout cas ce qui fait que historiquement, la Suisse est un pays riche, qui considère l'argent comme un sujet tabou. Dans la partie 2, je vais parler d'un peu des blocages. Donc pourquoi est-ce que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres ? Dans la partie 3, on va enlever ces tabous. Ce que tu crois protecteur te limite, je l'appelle comme ça. Dans la partie 4, j'aime à vous expliquer pourquoi revaloriser sa vision de l'argent, c'est stratégique en tout cas dans votre business ou dans votre vie tout court. Commençons par la partie 1. L'argent, c'est un gros tabou culturel en Suisse. Mais pourquoi ? Déjà, il faut savoir que l'éducation suisse, elle repose sur tout ce qui est discrétion, stabilité, prudence. C'est une culture où normalement, on ne parle pas de salaire à table. Ce n'est pas un problème de gagner beaucoup, c'est juste qu'à table, on ne va pas forcément inclure ça dans les discussions. Alors, d'où est-ce que ça vient ? Toute l'histoire du tabou, elle vient d'un héritage secret bancaire et d'une espèce de discrétion. Donc ça, je ne sais pas si vous le saviez, mais ça a commencé déjà dans les années 1700 et ça a continué en 1934 avec l'article 47 du Federal Act on Banks and Saving Banks. La confidentialité bancaire est devenue un crime de divulguer des informations clients sans consentement. Et en fait, ce secret bancaire, il a clairement façonné la culture suisse d'intimité vis-à-vis de l'argent. Maintenant, je ne vais pas vous faire tout un cours d'histoire parce que vous connaissez, il y a tous... Il y a toutes ces questions avec les histoires de la seconde guerre mondiale, de l'or, je vais pas prononcer les mots parce que j'ai pas envie de me faire censurer. Mais bref, vous connaissez un petit peu tout ça. En fait, ce que je veux vous expliquer, c'est que ça a déjà commencé bien bientôt, et c'est en 1934 que ça a été scellé. Alors aujourd'hui, les choses ont un petit peu évolué, mais c'est intéressant de savoir que, en fait, ça date pas d'hier la veille, et qu'il y a réellement une explication à ce tabou. Et ce que certains diront, que la Suisse n'est pas forcément super clean, et pas forcément super neutre. Le truc, c'est qu'il y a quand même une posture un petit peu de réserve qui s'est imposée parce que... Parler de salaire ou de dette, c'est perçu comme impoli, c'est gênant, c'est honteux, y compris entre proches. Le truc que j'ai réalisé assez vite en Suisse, c'est que c'était très tabou d'être pauvre, alors qu'en France, c'est beaucoup plus tabou d'être riche et de bien gagner sa vie. En Suisse, on n'a pas trop de mal à voir des gens fortunés, parce que c'est assez commun d'avoir des hauts salaires, ou en tout cas d'avoir des revenus qui nous permettent de vivre très très confortablement. Vous ne serez pas choqués si quelqu'un vous dit « je suis banquier, je gagne 10 à 15 000 francs par mois » . C'est assez standard. Alors qu'en France, gagner 10 000 à 15 000 euros, c'est quand même pas très standard. Ensuite, ce qu'il y a en Suisse, et je pense que c'est quelque chose qui est potentiellement en train d'évoluer avec notre société actuelle, c'est que les Suisses valorisent énormément l'épargne, la frugalité et l'autonomie. Et c'est ce qui fait qu'on est très porté sur les sujets d'épargne, de conserver son argent, de le placer. On est vraiment, je pense que vous vous rendez peut-être pas encore assez compte par rapport à d'autres pays, on est très porté sur l'investissement, l'épargne, etc. Avec toute la surconsommation avec Internet, j'ai tendance à penser, mais ça c'est vraiment ma propre hypothèse, qu'on va vers une consommation complètement différente avec moins d'épargne et moins de disponibilité, en tout cas d'argent et de frugalité. Malheureusement, je lutte... Je lutte contre ça sur cette chaîne et sur ce podcast, c'est pour ça que j'aime parler de thunes. Et j'aimerais rétablir un petit peu le fait que, enfin ça c'est un petit peu ma mission, j'aimerais rétablir le fait que épargner va vraiment vous aider à réaliser vos projets de vie, investir encore plus et potentiellement devenir entrepreneur pour avoir encore plus d'argent, encore plus. Donc c'est un petit peu le message que je veux dévoiler sur ce podcast. Et si vous venez d'arriver, sachez que c'est tout mon mantra. L'histoire c'est que peut-être comme vous, je suis passée par différentes étapes, c'est-à-dire que J'ai eu cette période de vie où j'avais pas d'argent et pour moi avoir de l'argent c'était réservé aux riches. J'ai aussi eu cette étape de vie où j'ai commencé à bien gagner ma vie et en fait je dépensais absolument tout parce que j'avais aucune gestion de mon budget. Et j'ai aussi eu cette étape de vie où maintenant je gagne confortablement ma vie. Je suis d'abord devenue frugale pour vraiment commencer à mettre un maximum d'argent et puis pour comprendre comment j'utilisais mon argent. Et à la suite de ça j'ai développé mon entreprise qui aujourd'hui m'aide à gagner plus d'argent plus vite pour m'enrichir. Maintenant l'histoire c'est que sur les réseaux sociaux, je sais que je suis clivante et que, en tout cas pour l'instant, vous aimez assez bien mes conseils, moi j'ai décidé d'affirmer très clairement que je voulais gagner de l'argent. Et j'ai voulu savoir aussi pourquoi on s'excuse de ça, pourquoi est-ce que c'est si mal vu de vouloir gagner de l'argent. Je conçois que pour certaines personnes, gagner de l'argent c'est avoir du pouvoir, en tout cas politique ou économique. Moi j'ai toujours trouvé que... avoir de l'argent en tant que citoyenne lambda, c'était s'offrir une vie qu'on peut choisir de vivre. Et du coup, avoir de la liberté. Et dans ce cadre-là, ça m'a amenée aussi à la conclusion que l'argent, ce n'était pas quelque chose de sale ou de mauvais, c'était un outil pour y arriver. Sauf qu'entre le moment où je pensais que l'argent, c'était mauvais, et le moment où aujourd'hui, je m'en suis complètement libérée et je considère ça vraiment comme un outil à ma vie, eh bien, il s'est passé beaucoup de choses. Et peut-être que pour vous, si vous êtes indépendant, Ça crée un petit peu un conflit entre vouloir vivre et ne pas sortir du rang. Et typiquement, ce qui va se passer, c'est que vous avez du mal à parler de vos tarifs, vous avez du mal à demander une augmentation, vous avez du mal à augmenter vos prix, vous avez peur que des clients partent, vous avez peur que ça se passe mal au travail ensuite. Bref, tout un tas de choses qui peuvent se passer quand on demande plus d'argent. Le truc, et ça c'est la partie 2, c'est que vouloir plus d'argent ne veut pas dire spécifiquement écraser les autres. C'est différent d'avoir de l'ambition et être égocentrique, et ça je peux vous en parler en long, en large et en travers, parce que c'est exactement ce dans quoi je me trouve. Je suis jeune, j'ai de la capacité, je fais les choses vite, je suis débrouille, je suis même plutôt une machine de guerre en termes de business. Aujourd'hui j'ai décidé d'utiliser ça pour me sortir la vie que j'avais envie d'avoir, et surtout qu'à la fin cet argent je peux l'utiliser comme je veux. Et si vous suivez un petit peu mes aventures, vous savez très bien que moi mon but c'est pas d'être une connasse riche. C'est plutôt d'être une personne qui continue d'utiliser sa fortune pour promouvoir l'activité économique. C'est-à-dire que j'ai l'ambition, par exemple, de continuer d'investir dans des autres boîtes. J'ai l'ambition aussi de vouloir continuer d'aider les autres à développer leur business et à s'enrichir eux aussi. J'ai l'ambition aussi d'utiliser cet argent à terme, pourquoi pas, pour me libérer du temps et participer à des œuvres qui nécessiteraient mon temps libre. Bref, j'ai beaucoup d'ambition avec mon argent et pour ça, il va falloir que je travaille dur. Donc, c'est plus de l'ambition que de l'égocentrisme, finalement. Et c'est ça qu'il faut comprendre. Le truc aussi que j'ai réalisé, parce que j'avais déjà fait une vidéo dans la playlist 15 minutes comptables, vous pouvez aller voir, comment est-ce qu'on augmente ses prix. À la base, j'avais appelé la vidéo comment on double ses prix parce que c'est littéralement ce que j'avais fait. C'est surtout un acte responsable par rapport à vous et votre vie et votre business intrinsèquement si vous êtes indépendant. Parce que, je le répète, le problème ce n'est pas l'argent, le problème c'est ce qu'on en fait. Et je pense que ça rejoint aussi des thématiques internationales liées au réchauffement climatique, à la surconsommation, etc. de votre argent, en fait. Si vous le gagnez avec toute la sueur de votre front, si c'est pour le dépenser dans des entreprises qui ne sont pas forcément très responsables ou en tout cas qui provoquent davantage l'appauvrissement ou en tout cas le réchauffement climatique, mais là, je parle dans des sujets politiques un peu divers, et ce n'est pas le but de cette vidéo, vous êtes aussi responsable de ça, et c'est aussi mal dépenser son argent. D'ailleurs, d'un point de vue assez personnel, je trouve très sincèrement que des personnes qui n'ont pas forcément les moyens et qui les dépensent justement sur des sites comme Shein, Ou Wish, ou Temu, ou AliExpress. Moi aussi j'ai acheté sur ces sites, donc ne me jetez pas la pierre, je suis aussi fautive. Je trouve que c'est participer justement à une forme de... Je ne sais pas si je vais utiliser les bons mots, mais... Pour moi, on participe à l'autodestruction de tout ce qu'on construit, avec des systèmes qui appauvrissent certaines choses, comme les ressources naturelles, ou en tout cas, qui dérèglent le climat, au profit de quoi ? D'avoir des gadgets ou des choses qui ne sont vraiment pas utiles au quotidien, qui nous appauvrissent également en plus, et qui font vraiment... nous servir à rien d'un point de vue confort ou aller mieux dans sa vie. Bref, l'épisode que j'ai posté il y a deux semaines sur ce podcast. Et du coup, ce que je voulais vous dire dans cette partie 2, c'est que vouloir plus ne veut pas dire écraser les autres. Et en fait, moi, j'ai constaté qu'il y a quelques mois, j'ai doublé mes prix. Depuis que j'ai doublé mes prix, j'ai des clients qui sont plus motivés à travailler avec moi. J'ai aussi une qualité qui a augmenté au niveau de mon travail. J'ai aussi pu structurer une équipe qui m'aide justement à... employer ce que j'ai pour ambition pour CTB. Et en fait, ça, c'est non négligeable. C'est-à-dire que je n'ai pas forcément des masses plus d'argent à disposition en augmentant mes prix, même si, oui, les marges sont là. Donc, effectivement, ça contribue à l'échelle, à augmenter le profit de l'entreprise. Il y a quand même une qualité qui s'installe et du coup, une qualité supérieure que je peux proposer à mes clients en termes de service. Et ça, je pense que c'est sine qua non aussi dans la balance. Avoir plus d'argent, ça veut dire non pas que pour nous être égocentriste, c'est aussi aider les autres dans ce qu'on veut amener. Mais ça, ça dépend aussi toujours de votre typologie de business, de ce que vous faites, de la qualité des services, de votre attention aux détails, etc. Et ça, c'est de votre responsabilité de se dire « Ok, je veux plus d'argent, mais à quoi va me servir cet argent ? Qu'est-ce que je veux en faire ? » Ça a été aussi le cas de beaucoup de mes clients. Quand on a commencé à revoir soit les tarifs, soit les offres packagées, etc. En fait, on devient tout de suite beaucoup plus confortable dans sa vie indépendante, on devient plus confortable au quotidien et on a l'occasion d'offrir beaucoup plus. En fait, la majorité de mes clients, je n'ai pas de cohortes, je n'ai pas de statistiques à ce sujet-là, mais je sais que la majorité de mes clients se sont de toute façon lancés dans l'entrepreneuriat parce qu'ils avaient une passion à partager. Donc une passion, je ne sais pas, c'était pour la naturopathie, c'était l'envie de résoudre un problème sur le marché lié à quelque chose qui les passionne. Bref, ils se sont lancés dans l'entrepreneuriat pour une raison, et en fait, à mesure qu'ils ont de l'argent et qu'ils sont plus confortables, j'assiste, j'ai assisté véritablement à des hausses de qualité, des meilleurs services, des gens plus confortables, plus heureux, etc. Donc finalement, l'argent, c'est loin d'être quelque chose d'égocentrique, c'est plutôt quelque chose qui va nous permettre de faire, en tout cas qui peut nous permettre de faire mieux autour de nous, d'être plus agréable, d'être meilleur, d'être dans un certain bien-être. Et ça, c'est ce que j'aimerais vraiment faire comprendre à la population entière. Donc, si je reprends le titre... de cet épisode, pourquoi est-ce qu'on s'excuse de vouloir de l'argent ? Honnêtement, je sais pas. Et moi, vraiment, j'aimerais poser ça aujourd'hui comme un statement, j'aimerais vraiment le dire aujourd'hui, je n'ai plus envie de m'excuser de vouloir gagner de l'argent, parce que je sais ce que je veux faire de cet argent, je sais que je veux l'utiliser pour du bien, je sais que je veux établir un cadre de vie qui soit confortable pour moi, mais qui va m'aider à déployer davantage d'ambition pour CTB et aider davantage de monde à réaliser leur projet de vie au travers de la société. D'ailleurs, je fais juste une toute petite aparté parce que je me rends compte que j'ai oublié de le faire. Il s'avère qu'on a sorti nos nouvelles offres pour Coach ton business. Pourquoi je pose ça là ? Parce que je continue d'avoir énormément de demandes. J'ai des listes d'attentes pour rejoindre à la fois structuration et fondation. Et je me suis dit que c'était intéressant de vous expliquer en quoi ça consiste. Comme ça, vous pouvez voir aussi si on peut travailler ensemble. À la base, j'ai créé Coach ton business. Coach ton business, c'était mon accompagnement de mentorat One One qui me permettait d'accompagner des indépendants dans la restructuration de leur business. Il s'avère que je ne peux pas me dédoubler, j'ai eu de plus en plus de demandes et de moins en moins de capacité de prendre des nouveaux clients, donc j'avais des listes d'attente longues comme mon bras, pour ne pas dire autre chose, et j'avais surtout de la frustration de personnes qui ne pouvaient pas immédiatement travailler avec moi, et puis qui du coup ne trouvaient pas forcément solution ailleurs dans ce qu'ils voulaient. Alors voilà, ce que j'ai fait, c'est que j'ai divisé Coach ton business en deux, et j'ai créé Objectif Fondation et Objectif Structuration. Objectif Fondation, c'est ce que Coach ton business était avant. C'est-à-dire qu'il y a vraiment... cette progression de « on va retravailler votre business plan, votre positionnement, vos offres, etc. » jusqu'à la partie acquisition client, comment est-ce qu'on fait pour acquérir des clients avec votre business actuel. Donc Coach Ton Business va vraiment vous aider à poser les bases pour être confortable et puis pour développer un chiffre d'affaires qui est confortable sur votre marché. Aujourd'hui, ce format-là, je ne le fais plus en one-one parce que vraiment, je vous le dis avec tout mon cœur et toute ma bienveillance, vous avez besoin d'apprendre à le faire. et d'être autonome à ce niveau-là, ou en tout cas d'avoir peut-être un petit peu de coaching pour vous aider à mettre les choses en place. Et une fois que c'est fait, là vous aurez besoin de l'aide d'un consultant pour améliorer, pour restructurer, pour passer à l'étape suivante en termes de chiffre d'affaires. Si j'ai accompagné autant de gens en one-one jusqu'à maintenant, c'est parce que moi aussi j'avais besoin de voir les besoins clients et j'avais besoin de rencontrer ma clientèle cible pour voir comment ça allait. Mais c'est aussi parce que moi j'ai voulu le faire comme ça dès le début, c'est pas que parce que j'avais une ambition d'à terme changer les choses, etc. Donc cette formule-là, elle est en groupe coaching, elle est à un prix 1. bas table. Vous n'allez pas trouver quelque chose en Suisse à ce prix-là. Donc en gros, vous avez accès 12 mois à la plateforme qui va vous permettre d'apprendre à faire toutes ces choses-là, à vous former. Et vous allez avoir 3 mois de coaching intensif sur notre communauté où vous allez avoir moi comme coach ou d'autres personnes ou Eva qui va vous aider à avancer dans les implémentations ou si vous avez des questions, si vous avez des choses à répondre. Vous avez une fois tous les 3 mois un événement en présentiel à Lausanne. Les dates sont déjà fixées. Donc si vous voulez rejoindre, vous saurez que c'est le 1er octobre ... Ensuite, ce sera le 7 janvier et ensuite, ce sera le 7 avril. Vous aurez accès à ces événements en présentiel où on va justement aborder les thématiques. On va aussi vous faire vous rencontrer, donc vous aurez l'occasion de rencontrer les autres personnes. Bref, on va faire tout un tas de choses pour que vous puissiez avancer dans votre business. Ça, c'est Objectif Fondation. Objectif Fondation va vraiment vous permettre de générer un chiffre d'affaires confortable de 4 à 6 000 francs par mois au minimum parce que vous aurez la structure. qui va vous permettre d'avoir de l'acquisition client en dehors du bouche à oreille, qui va vous permettre d'avoir une offre qui est confortable et qui vous permet de bien délivrer vos services, et puis de comprendre en fait les fondements de votre business. Pour objectif fondation, vous pouvez rentrer un peu quand vous voulez, parce que ça dépend de votre stade de maturation. Si vous sentez que c'est le moment d'y aller, il faut y aller. Même si moi je pense qu'il n'y a pas de bon moment, en fait au bout d'un moment, si vous voulez vivre de votre activité, il faut se lancer, il faut y aller, et ça ce sera objectif fondation. Et à côté j'ai créé objectif structuration. Cette structuration va vous permettre Si vous êtes déjà un indépendant qui est confortable ou même en société, c'est-à-dire SARL, j'ai même des SA en fait maintenant qui me contactent et des associations. Si vous avez besoin de comprendre la gestion de vos ressources, c'est-à-dire votre temps, votre argent, comment est-ce qu'on structure un business qui déjà fonctionne mais qui pécote peut-être, vous avez besoin de comprendre vos systèmes d'acquisition, vous avez besoin de comprendre comment est-ce qu'on automatise votre business, comment est-ce qu'on délègue. Bref, vous voulez passer, justement vous voulez comprendre ce plafond de verre que vous avez parce qu'en fait à chaque fois il y a un plafond de verre, vous voulez comprendre ce plafond de verre. et vous voulez le briser. Et là, en fait, c'est vraiment du consulting, c'est vraiment du one-one, où vous avez du coaching illimité avec moi, où on va mettre un plan d'action en place par rapport à vos besoins, par rapport à vos problématiques. Et ça, c'est vraiment réservé à une typologie d'entrepreneur qui a déjà fait ses armes, qui est déjà normalement 100% indépendant, il n'y a plus de job à côté, et qui a besoin justement de voir comment est-ce qu'on évolue dans l'entrepreneuriat en fonction de la taille que l'on souhaite avoir d'entreprise. Donc moi, je ne parle pas de start-up, je parle vraiment d'indépendants qui sont transformés en entreprise. et qui veulent justement améliorer leur statut indépendant ou en entreprise. Si pour objectif fondation, vous pouvez rentrer quand vous voulez, parce que pour moi, c'est important de commencer dès que possible à bien structurer son activité indépendante pour enfin vous sortir de cette galère d'avoir des thunes. Objectif structuration, c'est sur candidature. Et là, je ne prends que les profils qui matchent avec ce pourquoi on peut les aider. Donc dans tous les cas, ce que je vous propose, c'est pour fondation, vous pouvez rentrer de manière autonome, sauf si vous avez des questions, vous pouvez réserver un appel découverte. Pour structuration, vous êtes obligés de passer par l'appel découverte, tout simplement parce qu'on va discuter et je vais vous faire une proposition de suivi par rapport aux problématiques que vous me donnez en appel. Donc tout ça, ce sera dans la barre d'infos. Pour revenir à nos moutons, on ne va pas rester à la partie 3. Le truc, c'est que quand on s'excuse de vouloir plus, on pense qu'on évite d'être prétentieux, on évite le rejet, on pense qu'on reste humble. Moi, je pense surtout qu'on se limite dans nos propres capacités. à développer des choses. Je pense très sincèrement qu'on sabote son expansion, on sabote aussi la clientèle qu'on pourrait avoir, parce qu'on pourrait avoir justement des clients plus motivés, mieux avec nous. Et je pense qu'on évite aussi de poser un cadre très clair, parce que souvent aussi, quand on a par exemple un bon salaire, ou quand on a une offre qui est assez haut de gamme ou premium, on a tendance aussi à structurer les choses pour que ce soit... Enfin, j'espère pour vous, je pense que vous n'êtes pas tombés sur des gens comme moi à chaque fois, mais en tout cas, moi, ce que je me suis dit, c'est ce que j'essaie de vous dire à travers ces mots-là pour être plus clair. Et pour vous parler plus simplement, ce que j'ai essayé de faire, c'est qu'à mesure que mon niveau augmentait, c'est-à-dire tant quand j'étais salariée que quand maintenant aujourd'hui je suis chef d'entreprise et j'ai des offres quand même d'un certain montant, je pense que plus on augmente en tarifs, plus la qualité du service doit suivre. C'est-à-dire que dans structuration, si vous rentrez, vous avez un onboarding picot-bélo. Vous allez suivre une trajectoire, je vais vous demander de remplir un questionnaire. Ce questionnaire, je vais l'avoir avant l'appel. ça veut dire que je vais pouvoir déjà travailler en amont sur le plan d'action. Et ça veut dire que quand on est ensemble, on travaille vraiment sur les problématiques qui ont été ciblées. On ne tergiverse pas, on ne perd pas de temps. Et vous avez aussi tous les outils à disposition. Vous avez aussi accès à mes partenaires. Vous avez accès à tout pour avancer. C'est-à-dire que je ne vous fais pas juste payer quelque chose pour avoir du fric et puis pour vous débloquer un petit peu comme ça par-ci, par-là. Je me mets vraiment dans votre business avec vous et je vous aide à avancer point par point. Et ça, pour moi, c'est toute l'expérience que j'ai pu avoir. en proposant un tarif un peu plus élevé, et en étant aussi moi plus confortable, parce qu'au lieu de vouloir charbonner, à vouloir prendre plein de clients avec un tarif qui ne correspondait pas à ce que je ferais, en fait là tout d'un coup je peux offrir beaucoup plus. Je peux offrir un pack de bienvenue, je peux offrir un consultant externe s'il y a besoin pour une thématique plus précise, je peux faire des événements présentiels, j'ai beaucoup beaucoup plus de qualités à offrir en faisant ça. Mais je crois que je me répète. Donc vous aurez compris que si j'étais restée dans un mindset de non il ne faut pas que j'augmente mes prix, il faut que je reste accessible, En fait, il y a aussi... il y a un problème dans la délivrabilité de ce que je propose, parce que je ne peux pas non plus monter en gamme. Alors de nouveau, je ne vais pas m'excuser de facturer plus, parce que derrière, il y a tout ce qui suit par rapport au prix. Je pense très sincèrement que vouloir rester accessible, je le comprends dans certains cas de figure, et j'ai une cliente d'ailleurs qui m'a très bien dit, moi de toute façon, je n'ai pas pour ambition de gagner de l'argent, parce que je suis très bien à côté. Ce qu'il faut comprendre, c'est que... vous potentiellement, si vous n'êtes pas aussi bien et si vous avez d'autres intentions d'utiliser, si vous avez d'autres intentions avec cet argent, vous allez vous saboter et vous allez limiter votre expansion. Donc stop à l'excuse de ne pas vouloir gagner plus d'argent. Je pense qu'aussi, il y a un truc très féminin qui date... Il y a des siècles et des siècles, et j'ai l'impression que, personnellement, j'ai été immunisée par rapport à ce sujet-là. Je vous explique. Quand je discute avec des femmes plus âgées, ou quand je discute avec des générations aussi plus âgées, je me rends compte très fortement que, nous, plus jeunes, on n'a pas du tout les mêmes barrières, on n'a pas du tout les mêmes blocages vis-à-vis de l'argent. C'est-à-dire que, bon, ma mère a des blocages énormes par rapport à l'argent encore aujourd'hui, et je pense pas que ça va se débloquer à son âge, mais quoi qu'il en soit j'ai remarqué en me parlant avec les gens qu'ils avaient des théories ou vraiment des conceptions de l'argent qui étaient inexistantes pour moi. Alors, est-ce que c'est parce que j'ai grandi dans une génération où c'est complètement différent et sur Internet, on parle tout doucement et tranquillement et même pas tout doucement en fait, haut et fort d'argent ? Je ne sais pas, mais ce que j'ai constaté, c'est que cette espèce d'immunité au blocage de l'argent, elle me permet aujourd'hui de faire beaucoup de choses avec et de me développer tant en tant qu'individu, tant en tant que société. Et ça, moi, je trouve ça incroyable. Et je pense que vraiment, nous, les jeunes générations, vous qui m'écoutez qui êtes peut-être plus âgés, j'ai 30 ans au passage, vous allez peut-être en apprendre de nous parce que vous allez voir qu'on n'a aucun blocage et qu'on n'a aucune peur à être transparent. D'ailleurs, un autre sujet qui est vachement intéressant dans ma propre société, c'est que comme je commence à avoir des salariés, en tout cas pour l'instant, il y a une full time et il y a moi avec, il y a le sujet de la transparence des salaires. Alors Eva, si tu regardes ce podcast, on n'en a pas discuté ensemble, mais je me suis posé la question cette semaine parce qu'on va recruter une nouvelle personne. Et en fait, il y a toute cette question de combien est-ce qu'on va rémunérer un profil qui est junior, voire stagiaire, par rapport à des profils qui sont là depuis plus longtemps. Là, vous allez me dire, mais Janice, il n'y a pas photo, un stagiaire, ça n'a pas du tout le même revenu qu'une employée. La question s'est posée par rapport à des profils senior, junior, en me disant, comment est-ce que je crée des salaires dans cette société qui sont fair enough par rapport à leur expérience, par rapport à leur expertise et par rapport à ce qu'ils vont... contribuer à la boîte. Et ça, c'est une question que je pose là maintenant parce que je n'y ai pas répondu encore. Je pense que ça va être des challenges aussi au fur et à mesure que la boîte grandit. On n'y est pas encore. Pour l'instant, j'ai quand même une équipe de freelance plus développée qu'une équipe de salariés. Et dans ce sens-là, la négociation du salaire, elle n'est pas du tout pareille parce qu'on parle de freelance et pas de salariat. Donc voilà, c'est un petit peu aussi des thématiques que j'aimerais être vraiment hyper transparente dans ma société avec ça. C'est super important pour moi. On arrive à la partie 4 de cet épisode. Et dans cette partie 4, avant de passer à l'action et de vous donner un petit exercice à faire tout de suite, On va comprendre pourquoi revaloriser la vision de l'argent, c'est stratégique dans votre vie en général, mais particulièrement si vous êtes entrepreneur. Si vous voulez avoir un business qui vous rémunère, vous devez revoir votre rapport à l'argent, non pas comme quelque chose de mal et mauvais, de capitaliste, mais comme un outil. Aujourd'hui, je comprends qu'il y a plein de gens qui sont anticapitalistes, le système ne fonctionne pas, etc. Et je sais qu'on peut utiliser des outils comme le boycott ou d'autres choses pour contrer ces choses-là. Néanmoins, moi personnellement, je ne suis pas quelqu'un qui va à l'encontre des règles. Je ne veux pas aller à l'encontre des règles. Je trouve ça con en fait, parce qu'il y a plus de chances qu'on soit péjoré, qu'on soit gratifié d'aller à l'encontre des règles. Il faudrait vraiment un gros mouvement de masse pour que ça se produise. Du coup, dans ce sens-là, pourquoi ne pas jouer le jeu de ces règles-là ? Moi, c'est vraiment l'attitude que j'ai décidé d'avoir par rapport à la société, par rapport au monde dans lequel on vit, et c'est pour ça en fait que je me bats avec l'information, que je me bats avec ce que vous pouvez avoir avec l'éducation financière pour comprendre que vous pouvez... avoir la vie que vous voulez avec les règles actuelles du système. J'ai pas envie de partir dans un truc hyper alter-mondialiste ou je sais pas quoi. Bref, j'ai pas envie de partir dans des débats comme ça parce que, de base, en fait, je suis pas du tout quelqu'un qui... Voilà, je ne suis pas une militante, je suis pas... Je fais rien de tout ça, donc je veux pas partir dans un débat comme ça. Je veux juste vous faire comprendre mon point de vue que, justement, en n'étant pas militante, j'ai décidé de jouer les règles comme elles sont. Pourquoi je me justifie, j'en sais rien, mais c'est pour vous faire comprendre pourquoi je vous dis ça. L'argent, il va vous donner des choix. Il va vous permettre de prendre soin de vous. il va vous permettre d'investir, il va vous permettre de créer de l'impact, il va vous permettre de faire potentiellement le bien autour de vous, d'être une meilleure personne, de vous former, d'éduquer vos enfants, d'éduquer d'autres personnes si vous n'éduquez pas vos enfants, ou de transmettre d'autres choses, des bonnes choses à d'autres personnes. Moi, c'est comme ça que je vaux l'argent. Et en fait, si je vous parle dans mes précédents podcasts de « Oui, voilà, je veux mon chalet à Grand-Montana, je veux avoir ça » , je vous parle avant tout de confort. Confort pourquoi ? Pour être la meilleure personne possible. et pour aider à mesure que je peux aider les personnes autour de moi. Donc ça veut dire que mon business aide aujourd'hui des gens. Je fais en sorte que la qualité de danse soit vraiment premium pour pouvoir ressortir de ça tout en ayant payé un service, mais en ayant justement les outils et les armes qui vont nous permettre d'aller plus loin dans notre vie. Ça, c'est ma manière d'aider. Quand vous payez un billet à Beyoncé pour son concert, Beyoncé, elle ne s'excuse pas d'aller faire un concert. Beyoncé, certes, elle va vous produire une prestation avec un show, avec les musiques que vous aimez, que vous adorez. Et derrière, elle va utiliser cet argent. Oui, à la fois, elle a tout un staff, elle a des charges énormes par rapport à ce qu'elle fait, mais Beyoncé, derrière, elle va quand même aussi utiliser cet argent pour les charités, pour faire des donations, etc. Donc, voyez l'argent... auprès des célébrités, certaines célébrités, pas toutes, qu'elles utilisent, voyez aussi, voyez qu'elles utilisent cet argent comme des leviers pour faire des choses dans leur vie. Donc si vous n'aimez pas l'argent, si vous n'aimez pas en parler, si vous n'aimez pas que ce soit, enfin, si vous n'aimez pas le sujet, je comprends. Mais désacraliser l'argent en vous disant que c'est un outil, en fait non, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je pars dans des explications, mais je ne comprends pas. Pour moi, si vous commencez à changer votre état d'esprit vis-à-vis de l'argent et que vous commencez à le voir comme un moyen, un outil de faire les choses que vous voulez dans votre vie, que ce soit à juste titre égocentrique parce que vous voulez vivre votre vie et c'est tout à votre honneur, ou que ce soit pour utiliser cet argent pour à la fois des projets, pour le développement d'activités, pour le développement de solutions, etc. Utilisez cet argent à bon escient. C'est tout ce que je vous encourage de faire. Et d'arrêter de vouloir vous excuser pour votre ambition, de vouloir gagner de l'argent pour développer des choses qui vont vous stimuler et qui vont vous rendre une meilleure personne. J'espère que cette vidéo, elle va pas m'apporter la sauce du monde, parce qu'on est quand même dans une vidéo hyper niche par rapport à un sujet, ou vis-à-vis des problématiques mondiales qui se passent. Franchement, c'est hyper privilégié de parler de ce genre de sujet sans se soucier de ce qui se passe à l'autre bout du monde, j'en ai conscience. Mais si aujourd'hui, nous, on n'est pas forcément impactés par ce qui se passe, on le sera peut-être dans un futur proche, je n'en sais rien, je lis pas l'avenir, Je vous encourage quand même à utiliser votre patrimoine à bon escient et de manière correcte, éthique par rapport... à votre vision et par rapport à vous, c'est vachement important comme message. Alors, je me suis dit que j'allais vous faire un petit récapitulatif. Bon, je vais gentiment conclure cet épisode, mais je vais aussi vous donner un petit exercice de passage à l'action que j'ai confectionné moi-même pour l'occasion. Il y a quatre niveaux dans lesquels vous vous situez peut-être actuellement par rapport à votre relation à l'argent. Le premier niveau le plus bas, c'est potentiellement que vous vous excusez d'en vouloir plus. Qu'est-ce qui va se passer à court terme ? Très certainement, vous avez moins de confiance et vous vous autant censurer, typiquement syndrome de l'imposteur, machin, tout ça. Les conséquences à long terme, c'est que vous avez forcément un business qui va plafonner et une frustration liée à ce business. La deuxième échelle, c'est que vous ne dites rien, c'est-à-dire que vous ne vous positionnez pas sur le sujet. Ce qui peut se passer à court terme, c'est que vous allez manquer vraiment de clarté, de choses claires. Vous allez être dans un flou aussi tarifaire parce que vous ne vous positionnez pas par rapport à ça. Et ce qui va se passer sur du plus long terme, vous allez perdre des clients, vous allez vous sous-rémunérer et pareil, ça va engendrer de la frustration. Le troisième niveau, c'est le niveau dans lequel beaucoup de gens se situent actuellement, beaucoup plus que le reste en fait. Je pense que les trois paliers, ça doit être 80% des gens et le dernier palier, ça doit être 20%. Vouloir juste assez. Donc ce que ça vous amène, c'est une illusion de sécurité. C'est typiquement en fait, je ne vous crache pas dessus de nouveau, c'est vraiment en toute bienveillance que je vous dis ça. ce sont des salariés qui sont... justement ils sont bien, ils veulent, voilà, ils osent pas, ils sortent pas de leur zone de confort, ils ont une illusion de sécurité. Le problème c'est qu'un jour s'il se passe quelque chose dans votre vie et que vous n'avez pas mis les moyens pour mettre de l'argent de côté ou comme ça, vous allez vous retrouver dans la merde. J'ai vu ça en fait avec des gens qui ont rejoint Coach Ton Budget et qui m'avaient écrit au sujet de différentes situations. J'avais une vie classique, normale, et puis tout d'un coup il y a eu un divorce, il y a eu une maladie, il y a eu ça et en fait je me suis retrouvée dans la merde. Souvent c'est ça. Donc effectivement ce qui va se passer à long terme c'est aucune marge, pas d'investissement et finalement pas la sécurité qu'on pensait avoir, la sécurité de l'emploi ou la sécurité d'une activité pas assez... Le dernier... Le dernier palier pour moi, moi, c'est le statut où vraiment je suis. C'est j'assume mes besoins et j'assume mes ambitions. J'ai plus de clarté. J'assume ma posture professionnelle et qui je veux devenir, surtout en tant que femme, en Suisse romande. Et ce que j'imagine ou en tout cas ce qui se passe déjà depuis que j'ai commencé le business, c'est que j'ai une croissance. j'ai une stabilité et j'ai surtout un alignement par rapport à qui je suis, ce que je veux faire et comment mon entreprise tourne. On adhère ou on n'adhère pas, si vous avez écouté ce podcast jusqu'à la fin, je pense que c'est parce que vous voulez comprendre comment est-ce que ça fonctionne et comment est-ce qu'on change sa posture vis-à-vis de l'argent. Bon, petit passage à l'action, petit exercice. Alors, ce que je vous propose, c'est de répondre à trois questions par écrit. Donc là maintenant, vous prenez votre téléphone, j'en sais rien si vous êtes en train de conduire, vous ne pouvez pas le faire, mais vous arrêtez la bagnole, vous vous mettez sur un parking, je ne sais pas, vous vous posez et vous répondez à ces trois questions sur papier. La première question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Je répète la question. Si je gagnais deux fois plus d'argent aujourd'hui, qu'est-ce que je ferais de cet argent ? Ok, vous avez trois minutes pour répondre, mais je passe déjà à la suivante. Deuxième question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagnais bien ma vie ? Je répète la question. Est-ce que j'ai peur d'être jugée si je gagne bien ma vie ? Troisième question. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Je répète. Quel est le vrai montant dont j'ai besoin chaque mois pour me sentir en sécurité et alignée ? Étape suivante, vous notez une de ces phrases, une de ces réponses, que vous pourrez dire sans vous excuser. Je vous donne un exemple d'un point de vue business. Je propose un accompagnement à 2400 francs structuré en 3 mois parce que je sais que c'est ce qui permet d'obtenir des résultats réels. Moi, je vous propose de faire cet exercice-là, et surtout de mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, de mettre une note 5 étoiles à cet épisode si vous avez aimé, et surtout de le partager à quelqu'un qui a besoin de comprendre que l'argent, Ce n'est pas un bad boy, ce n'est pas un fuck boy, ce n'est pas le diable, ce n'est tout juste qu'un moyen qu'on va utiliser pour réaliser ses projets de vie, ses ambitions, et surtout qu'on peut utiliser à la manière dont on veut l'utiliser, c'est-à-dire de manière éthique si on a envie d'être éthique, de manière noble si on a envie d'être noble, et ça c'est dans vos mains. C'est ce que vous pouvez faire dès aujourd'hui, dès maintenant, en répondant à une de ces trois questions. En attendant, je vous souhaite une toute bonne journée ou toute bonne soirée, ça dépend à quelle heure vous m'écoutez. Je vous propose de me retrouver dans deux semaines pour le prochain épisode. et n'hésitez pas aussi à mettre dans les commentaires si vous avez des questions, si vous avez envie de papoter sur le sujet. Je réponds à tous les commentaires. A tout bientôt !

Chapters

  • Introduction au tabou de l'argent en Suisse

    00:00

  • Contexte historique du tabou sur l'argent

    01:45

  • Démystifier l'idée que vouloir plus d'argent est égoïste

    02:14

  • Revaloriser sa vision de l'argent comme un outil stratégique

    05:36

  • Exercice pratique pour améliorer sa relation à l'argent

    26:27

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