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Coach Ton Budget & Business

Voici comment j’ai transformé 99 CHF en 400’000 CHF

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31min |10/09/2025
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Description

Dans cet épisode, je partage comment une simple formation à 99 CHF, Coach Ton Budget, est devenue le tremplin vers un business à 6 chiffres.

Tu vas découvrir les 5 piliers d’un produit d’appel efficace, la logique de montée en gamme, et pourquoi la clarté prime sur la complexité.

Un épisode concret, motivant et 100 % applicable pour les indépendant·e·s et entrepreneur·e·s en Suisse.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


On travaille ensemble? C'est par ici https://www.ctbconsulting.ch/


Rejoins +115'000 Suisses 🇨🇭 qui gèrent business & finances : Instagram @coachtonbusiness; TikTok @coachtonbudget 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    En 2023, j'ai sorti un tout premier produit digital que j'avais vendu à 29 francs, qui s'appelait Module 1 de Coach Ton Budget. J'ai, au fur et à mesure du temps, vendu le Module 2, Module 3, Module 4, à chaque fois à peu près au même prix, entre 29 et 33 francs, jusqu'à ce que je me rende compte qu'il fallait que je l'uniformise dans une seule et unique formation qui s'appelait du coup Coach Ton Budget. Coach Ton Budget, je l'ai vendu à 99 francs. Et ça a été le point de départ de tout mon business. Sauf qu'à ce moment-là, j'étais absolument pas au courant. Alors dans cet épisode un petit peu spécial, j'aimerais revenir sur... les leviers de scalabilité ou de passage à l'échelle que j'ai utilisés dans mon entreprise pour vous montrer qu'aujourd'hui, on va terminer à l'heure où je parle, si les prévisions s'appliquent, mais on est dans un worst case scénario. On va franchir la barre des 400 000 francs de chiffre d'affaires cette année. Et entre 2024 et 2025, ça veut dire qu'au total, alors que l'activité a commencé l'année dernière, l'activité aura fait le 2 000 000 de francs de chiffre d'affaires. Alors, ce qui est important, c'est que je vais vous parler de leviers qui m'ont permis de structurer mes offres et de la vente. de les vendre, de les faire évoluer, de bâtir en gamme d'un point de vue cohérent, cohérence pour dépasser déjà d'un premier point les 100 000 francs de chiffre d'affaires. Mais surtout, vous savez très bien et ça je le dis en tant que disclaimer, là je vous parle de chiffre d'affaires il ne faut pas que ça miroite chez vous des choses exceptionnelles en mode elle se fait une pétée de cash, etc. Il faut toujours prendre en considération derrière les marges de l'entreprise, vos dépenses, vos charges pour comprendre derrière évidemment la rentabilité du business et ce que ça apporte pour vous. quelle mission ça vient accomplir et c'est vraiment ça que j'aimerais mettre en lumière parce qu'aujourd'hui on aime bien faire miroter des énormes chiffres d'affaires sauf que moi je parle énormément de rentabilité et c'est ça que j'aimerais vous montrer c'est comment est-ce qu'on bâtit une société qui est rentable, qui nous fait du bien, qui fait du bien aux gens, qui a une vraie mission et c'est l'objectif de cet épisode aujourd'hui tout d'abord bienvenue sur coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes. Et puis si tu l'aimes encore plus, tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Alors il faut savoir que quand j'ai lancé Coach ton budget, moi j'avais une vision très très simple. Je voulais vraiment aider les gens à mieux gérer leur argent avec une méthode qui est accessible, concrète et puis qui est sans jargon. Sachant que je viens quand même du milieu d'économie d'entreprise, donc j'ai fait de la comptabilité, j'ai été à un moment donné assistante comptable. Je pourrais utiliser un jargon qui est très complexe, mais volontairement sur les réseaux sociaux, je le vulgarise énormément. Parce que je sais que ça a été ma réelle force d'être pédagogue, de montrer comment ça fonctionne, de simplifier des choses qui ont l'air complexes. Très simple en vérité. Alors du coup, au début, ce n'était pas un énorme programme. Ce n'était pas une usine à gaz, ce n'était pas... Voilà, c'était juste une formation qui était très claire, très structurée à 99 francs. Je vous dis ça comme si je parlais au passé, elle existe toujours. Elle est toujours vendue, vous pouvez toujours prendre coach son budget, vous pouvez toujours mettre à jour vos finances. C'est juste que j'ai compris des points que je vais vous expliquer plus tard dans la vidéo ou dans le podcast, si vous écoutez ça sur Spotify. Cependant, ce qu'il faut comprendre, c'est que cette offre, pour moi, elle a posé les bases de tout le reste. C'est-à-dire que je l'ai sorti quand j'étais encore salariée. À ce moment-là, aucun moment. Je me suis dit que j'allais être prédestinée pour devenir chef d'entreprise, parce que vous savez aujourd'hui j'ai des employés, j'ai une entreprise qui grandit, je me pose des questions de passage à l'échelle parce que je me demande quelle taille j'ai envie d'avoir, combien de personnes j'ai envie d'avoir sous moi, quel chiffre d'affaires j'ai envie de faire, où est-ce que je veux aller avec ma société, je me pose ce genre de questions actuellement. Et vous voyez qu'aujourd'hui j'ai pas forcément trop le sourire, j'ai pas ce peps comme ça que vous voyez d'habitude dans les vidéos. Pourquoi ? Parce que je passe une zone de turbulence assez importante d'un point de vue émotionnel. Donc vraiment, le business n'a jamais été aussi bien. On a franchi des paliers. Vous allez voir, je vais vous expliquer un petit peu plus tard. Mais il y a des moments comme ça où c'est difficile émotionnellement parce qu'on se pose des questions fondamentales. Et moi, je suis toujours très, très, très alignée. J'ai toujours besoin de réfléchir les choses pour savoir si c'est aligné avec moi et ce que j'ai envie de faire. Et du coup, dans ces phases-là, je suis toujours en train de remuer. Donc si j'ai l'air un peu triste, c'est normal. Je ne suis pas triste. Je suis plutôt en train de me poser des questions assez fondamentales. Cette offre, comme je le disais, elle a posé les fondations de vraiment tout le reste de mon business. Elle a été l'occasion de faire mes premières ventes. J'ai eu mes premières clientes qui sont restées tellement clientes fidèles que je les accompagne aujourd'hui dans Coach Ton Business. Ça a été ma réputation parce que j'ai eu très, très vite beaucoup, beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux. Vous savez que toutes plateformes confondues, je cumule près de 115 000 abonnés, ce qui n'est pas rien pour quelqu'un qui est en Suisse. Ça a été aussi le début de mes contenus parce que j'ai énormément parlé d'éducation financière sur les réseaux en long, en large et en travers. Et surtout de ma montée en gamme. Parce qu'en fait, ce qui s'est passé, c'est que quand j'ai quitté mon job, je me suis posé une question assez fondamentale que j'ai expliquée dans une newsletter que j'ai envoyée il y a quelques semaines. Comment est-ce que je vais faire pour vivre de mon business ? Parce que j'avais un très bon salaire et je me suis dit, si je dois vivre avec mon salaire, si je dois avoir le même salaire que j'avais précédemment, il faut que j'ai au moins 10 000 francs de chiffre. d'affaires par mois pour être confortable financièrement. Et du coup, ça a été la claque, parce que chaque mois, ça voudrait dire qu'il fallait vendre pour à peu près 10 000 francs de coût de chambre budget, sachant que je n'ai jamais eu l'intention de partir à l'étranger, j'ai jamais eu l'intention d'expatrier l'offre, de le vendre en France ou dans d'autres pays, de changer de langue, etc. En fait, il y a clairement eu un plafond de verre à avoir, et les coûts d'acquisition devenaient de plus en plus chers, c'est-à-dire que pour un produit vendu à 100 francs, on pouvait avoir 50 à 60 francs de coût d'acquisition sur Meta. Donc ce qui casse en deux la rentabilité du produit. Et si derrière, il y a des charges d'entreprise ou des charges personnelles, etc., c'était clairement pas rentable, en fait. Donc en fait, de prime abord, vous avez peut-être vu Antoine BM qui vend des formations, qui vend toutes ces choses-là. Et puis c'est fabuleux, ça marche. Mais ce sont des gens qui ont des très grosses audiences, donc qui sont internationales, des francophones internationaux. Et c'était pas mon cas. Et surtout, ce que j'aimerais mettre en lumière par rapport à ça, c'est que sur le papier, c'est génial. Mais derrière, en termes de temps, passer à marketer la formation ou ce que vous voulez vendre en termes de produits digitaux, c'est tellement énergivore et ça coûte tellement d'argent. Enfin, ça peut coûter tellement d'argent, surtout si vous êtes mauvais dans ce que vous faites. D'un point de vue marketing, je dis, vous allez perdre beaucoup d'argent. Et ce n'est pas du tout une forme de revenu passif. Au contraire, en fait, ça devient vraiment un gouffre de temps. Et si vous n'êtes pas à l'aise avec le marketing que vous faites, ça ne va être pas bon. Et donc, moi, au contraire, j'étais très bonne en marketing. Enfin, je suis toujours très bonne en marketing. Je sais faire des contenus qui percutent. Je sais réunir des audiences. Je sais créer des communautés. je sais aussi expliquer les choses pédagogiquement et dans ce sens là c'est pour ça que tout a toujours été facile pour moi ça a toujours été du beurre de faire les choses comme ça ce qui a été moins du beurre ça a été de scaler et de passer à l'échelle mais je vais vous expliquer un petit peu plus tard donc à ce jour en fait aujourd'hui évidemment on m'a posé souvent la question mais est-ce que tu vis de tout ça le moment où j'ai quitté mon job ça a pris quelques mois avant que je sois vraiment confortable mais disons que plusieurs mois même parce que en fait je réinvestissais systématiquement tout tout tout mon argent dans la boîte Je voulais qu'elle grossisse, je voulais avoir plus d'impact, je voulais avoir des plus gros chiffres, je voulais avoir plus de volume. Et surtout, la première montée en gamme que j'ai faite, c'était aussi par rapport à moi, c'était personnel. En fait, les gens me prenaient pour une conseillère financière et j'avais le choix de partir dans cette optique-là, je ne sais pas, de faire une formation Swiss Life ou j'en sais rien, vraiment de me spécialiser là-dedans et d'accompagner les gens là-dedans ou de me connecter avec ma vraie puissance, c'est-à-dire créer des entreprises et les faire monter d'un point de vue chiffre, data, client, CA, etc. Parce que c'est ce que j'ai fait avant. J'étais spécialiste acquisition client, mais j'ai aussi fait tout ce qui était accompagnement. J'ai été bras droit de CEO pour développer les entreprises, etc. Et en fait, c'était ça qui me nourrissait. Donc à ce moment-là, j'ai créé Coach ton business et j'ai fait un produit qui se basait sur le méthode Lean Startup pour sortir quelque chose de terre et puis pour le vendre, pour le développer. Donc ça, c'est toutes les méthodes Lean Startup que j'utilise. dans Coach ton business. Évidemment, je les ai vulgarisés, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus pédagogues, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus accessibles à monsieur et madame tout le monde, surtout dans le cas où on veut créer un business. Et en fait, c'est là que j'ai fait mon premier passage à l'échelle et que j'ai commencé à taper dans du 10, 15 000 francs de chiffre d'affaires récurrent. Fin d'année 2024, j'ai commencé à me pencher sur l'élaboration d'une équipe parce que j'avais déjà des freelances qui travaillaient pour moi, mais j'avais besoin, en fait, j'avais toujours cette sensation d'avoir besoin d'être entourée, d'être accompagnée, d'avoir des gens avec moi. Et je pensais qu'il me fallait une associée, je pensais qu'il fallait quelqu'un... un bras droit avec qui je pouvais bosser. Je pensais qu'il fallait un monde égal, il fallait quelqu'un de collaboratif, de complémentaire avec moi pour faire. Et en fait, je vous avoue que je n'ai jamais trouvé cette personne. Je ne l'ai pas vraiment cherchée, mais je ne l'ai jamais trouvée. Et je me suis dit, il faut que je constitue une équipe parce que pas le choix, mon entreprise grandit, j'ai de plus en plus de demandes, je ne peux pas gérer cette demande toute seule, donc il faut que je grandisse. Et c'est là que j'ai commencé à recruter et à voir mon équipe qui a commencé à grandir avec plus que juste des freelances, mais vraiment ma première employe CDI, Eva, du coup. Et voilà. Mais ça, vous connaissez peut-être un petit peu l'histoire si vous écoutez le podcast régulièrement. Ce qui m'intéresse, c'est de vous montrer comment est-ce qu'on peut partir de ça pour monter une entreprise en Suisse, et particulièrement dans le cadre où on va venir la bootstrapper, c'est-à-dire que bootstrapper, c'est autofinancer une entreprise, c'est-à-dire que je n'ai pas d'investisseurs, je n'ai pas demandé d'argent à ma famille, de toute façon, ils n'en avaient pas, je n'ai pas demandé d'argent, je n'ai pas fait prêt à la consommation, je n'ai rien fait, j'ai vraiment autofinancé mon entreprise. Et je vous dis souvent que pour croître, il faut effectivement... réinjecter de l'argent dans sa société. En fait, pareil, si vous avez un capital à la maison que vous investissez, vous savez que si vous voulez voir votre capital croître, il faut remettre de l'argent dedans. Parce que tout seul, il va croître, mais il va croître à une vitesse beaucoup plus lente que si vous réinjectez de l'argent dedans. Le business, c'est pareil, il faut réinjecter de l'argent dedans. Ça veut dire que ça peut être dans les pubs, ça peut être dans de la main-d'oeuvre, ça peut être dans un nouveau site internet, ça peut être dans un logiciel qui va vous permettre d'automatiser les choses, ça peut être dans toutes ces choses-là. Plus le business est grand, plus les investissements deviennent majeurs. parce qu'ils vont avoir des impacts majeurs. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, si vous êtes dans une entreprise qui a plusieurs employés, une dizaine d'employés, et que vous cherchez à automatiser certains process, il y a de fortes chances que l'automatisation de certains process soit plus onéreuse parce que c'est plus grand, c'est plus important, parce que vous voulez développer un certain logiciel. parce que vous voulez développer des choses qui vont vous permettre de scaler votre activité. Donc c'est plus cher, mais en même temps, il y aura plus de retours sur investissement. C'est logique. La première chose, c'est que j'ai tout misé, j'ai misé, en fait, j'ai donné toute mon énergie dans une seule et unique offre. C'était coach ton budget. J'ai vu beaucoup, beaucoup d'indépendants qui lançaient plein de choses en même temps. Alors certes, au début, c'est bien d'avoir la vision de l'écosystème d'offres et puis de ce que vous voulez faire de votre entreprise, de savoir où, dans quel sens vous allez. Moi, j'ai toujours ça, même si je vous dis que je suis en train de me poser des questions. je sais où je vais en fait. Je sais juste pas exactement si je vais à droite ou à gauche, mais je sais où je vais, in fine. J'ai vu beaucoup de gens qui voulaient lancer 4-5 offres en même temps parce que c'est ça qu'ils proposent. Et en fait, il y a aussi beaucoup de prestataires de services, des thérapeutes, des coachs qui vont faire plein de choses. Donc, ils vont faire les massages, ils vont faire la consultation, ils vont vendre un accompagnement, ils vont faire des ateliers, ils vont faire plein de choses. Et en soi, ce n'est pas un truc que je critique parce que je pense que certaines personnes s'accomplissent là-dedans, elles sont très très bonnes là-dedans, il faut qu'elles continuent là-dedans. Mais si vous voulez avoir une entreprise qui se bâtit et qui se construit à partir vraiment d'un petit produit, que vous voulez bootstraper et que vous voulez faire vous agrandir en tant que vraie entreprise, ce ne sont pas les modèles les plus efficaces. Pourquoi ? Parce qu'en fait, votre énergie se dilue, votre chiffre d'affaires se dilue, vous faites beaucoup de choses en même temps et surtout, vous ne passez pas assez de temps sur tout ce qui est stratégique. Et ça, c'est ce qui va faire que vous n'êtes pas assez efficace dans votre développement entrepreneurial. Donc résultat, ce qui se passe, c'est que souvent, il n'y a rien qui décolle jamais vraiment. Surtout, vous n'êtes jamais vraiment bon dans la communication parce que vous faites tellement de choses que vous n'êtes pas assez pertinent dans une seule et unique offre que vous allez... sur laquelle vous allez venir vous focaliser, parce que vous savez qu'il y a un market fit et que vous savez que ce service va prendre un plus large volume. En fait, moi, c'est ce qui s'est vraiment passé avec Coach Ton Budget. J'avais une seule promesse unique, claire, c'est reprendre le contrôle de son budget personnel en Suisse. C'était ça. C'était tout, c'était tout ce que je faisais. Pendant que je n'ai pas travaillé sur Coach Ton Budget, c'était ça à 200%. Il n'y avait rien d'autre. Alors certes, j'étais salariée, mais en fait, mon temps libre, c'était ça. C'était que ça. Et j'ai tellement charbonné à faire connaître le programme qu'en une année, j'ai fait un certain nombre d'abonnés. Et j'ai fait des ventes organiques qui m'ont permis de ne pas investir en publicité, etc. Ce qui s'est passé aussi, c'est que j'ai eu très vite des résultats clients parce que j'ai fait du volume directement. Donc, trois mois, six mois après, j'ai direct des gens qui m'écrivaient en mode, ouais, j'ai réussi à mettre tant et tant de côté. J'ai fait tant et tant. Donc, je savais en fait que Coach Ton Budget avait un impact positif sur les personnes qui faisaient la formation. et ça m'a donné aussi le là pour la suite. C'est-à-dire que je savais que mon côté pédagogue était très valorisé dans les produits que je vendais, donc j'ai suivi exactement la même recette pour Coach Ton Business. Ensuite, la deuxième chose, c'est que quand j'ai créé Coach Ton Business, ça m'a fait du high-ticket. Donc la deuxième partie un petit peu de mon étape, ça m'a créé du high-ticket. Mais en fait, du high-ticket, si vous faites une année de high-ticket, c'est très bien, ça va faire un joli chiffre d'affaires. Sauf qu'en fait, si derrière, vous n'avez pas une lifetime value, c'est-à-dire une customer lifetime value, donc le client que vous ne le suivez pas dans son cycle ou que... on ne peut pas aller plus loin avec vous, que ça s'arrête, etc. En fait, votre business, vous êtes tout le temps dans l'acquisition de vos clients parce que vous ne pouvez pas garder ceux que vous avez. Donc moi, je connaissais ça. Enfin, la lifetime value, on en parle en long, j'ai travaillé en marketing tout le temps, surtout quand on a été dans du streaming. Donc j'ai dû penser mon business en mode suite, fidélisation, montée en gamme. Donc vraiment, j'ai structuré les choses pour que ça puisse suivre un follow-up. Alors je vous passe les détails parce que je n'ai pas non plus envie que ça fasse 40 minutes d'explication de ce que j'ai fait à la base, comment j'ai réfléchi ça dans le point A. comment j'ai réfléchi dans le point B, comment j'ai réfléchi dans le point C, parce que c'est très complexe et c'est le genre de choses que je réserve plutôt à mes clés en un point de vue explication, parce que c'est aussi du cas par cas souvent que je fais avec eux. Donc en fait, j'ai créé vraiment un écosystème qui allait me permettre, un, de ne plus diluer mon temps dans certaines choses, de pouvoir déléguer à une équipe et puis de pouvoir me concentrer moi sur ma zone de génie, c'est-à-dire l'accompagnement one-one des entrepreneurs. Et en fait, ce qui se passe, c'est que les gens rentrent de manière débutante ou alors de manière... Voilà, ils ont besoin de revoir les bases, les fondations. Ensuite, ils peuvent passer dans structuration parce qu'ils ont monté en gamme, eux aussi. Ils peuvent passer sur du one-one avec moi où vraiment on va venir taper dans des thématiques très cibles de l'entrepreneur, de la montée en gamme, de l'augmentation du chiffre d'affaires, du passage à l'échelle, etc. Chose sur laquelle je suis très forte parce que j'ai très vite compris les mécanismes et parce que mon business, c'est le meilleur exemple de ce que je sais faire. et en fait qu'après un an et demi d'accompagnement aussi sur certaines personnes, on voit aussi les résultats similaires sur les personnes qui... ont bien suivi rigoureusement les accompagnements et les conseils. Vendre une seule fois, ça ne va pas suffire. Donc par exemple, coach ton budget, c'était un one-shot à 100 francs. Ça ne suffisait pas. Il aurait fallu que je parte dans du one-one budget. Il aurait fallu que je parte dans un accompagnement peut-être pour revoir les assurances, peut-être revoir tout ça, partir dans vraiment un domaine de courtage en assurance. J'avais envie de vomir à l'idée de faire ça. Et en fait, il y a un truc qui m'a assez percutée, c'est que je n'avais pas du tout envie de faire du one-one budget. Impensable. Ça ne me motive pas, ça me saoule. C'est très difficile de venir déconstruire des money mindset chez les gens. C'est très difficile aussi de comprendre d'où ils viennent parce qu'il y a tout un parcours de vie aussi qui fait qu'ils sont là d'un point de vue financier. Et ça, c'est des choses où moi, j'ai trop de force dans ma tête pour comprendre certains parcours. C'est un peu égoïste à dire. parce que c'est un peu triste aussi de ma part vu que je suis très pédagogue et que j'ai tendance à vouloir vraiment comprendre la situation des gens mais en fait il y a vraiment des moments où je me suis dit j'ai réussi à me sortir de cette situation là et je sais que j'arriverai pas à sortir des gens de cette situation là parce que c'est trop embourbé et en fait je suis pas coach mindset je ne fais pas du mindset et c'est là où vraiment ma limite est très vite arrivée en fait pour moi il faut aller voir des personnes spécialisées dans l'accompagnement vraiment de blocage financier pour casser des barrières et puis pour passer des blocs dans sa vie financière. Et ça, je n'étais pas apte à le faire. Vraiment, je n'étais pas apte, je n'étais pas dans ma zone de génie, je n'étais pas la meilleure personne. Donc voilà, c'est pour ça aussi que j'ai créé Coach Ton Business. Alors, la troisième partie de comment est-ce qu'on en arrive là, de 99 francs à 400 000 francs de chiffre d'affaires en une année, et probablement plus l'année prochaine, on verra, ce sera drôle de regarder, ça fait x4 en une année, donc c'est pas mal, c'est pas dégoûtant. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que j'ai créé un écosystème. Je n'ai pas créé juste un produit. Mon objectif, ce n'était pas de vendre une formation parce qu'aujourd'hui, je trouve que c'est assez vite. Je le vois, en fait, il y a des préjugés de ouf, mais c'est une vendeuse de formation, etc. À la base, c'est né comme ça. Ça a été bootstrappé comme ça. C'est l'argent qui m'a permis de fonder mon entreprise. Mais aujourd'hui, on s'approche plus du consulting pur que de la formation. En fait, si je fais encore de la formation, c'est parce qu'il faut que je forme certains entrepreneurs à des thématiques clés de l'entreprenariat. Le marketing, la finance, etc. Et puis que ça, ce sont des produits qui sont structurables dans ce contexte-là. Mais de l'autre, j'ai très vite réalisé que moi, mon point fort, c'était du consulting. C'était vraiment d'aller voir ce qui clochait chez les gens et de leur réparer, de faire le mécano du business et puis de les faire repartir sur des meilleures bases. Et pour le coup, si je voulais faire comme ça, le consulting, ce n'est pas scalable en général. Soit vous scalez avec des gens, soit vous vous contatez devant de votre heure. Donc j'ai créé un écosystème qui me permettait de former des gens et de les faire venir à moi pour qu'ils soient fin prêts à venir travailler sur des thématiques ultra clés pour passer vraiment à l'échelle d'un point de vue business. Et l'objectif, en fait, c'était aussi de bâtir une relation. Parce que comme je vous le dis, moi, en fait, je m'en fous du volume de vente de Coach Ton Budget. Je m'en fous. Ça a été important à un moment donné parce qu'en fait, je me posais la question, comment est-ce que je vais vivre de mon business si je n'ai pas assez de volume de vente ? Mais plus tard, ce n'était plus du tout mon problème. Ça l'est, en fait, quand vous devez faire du volume et que vous n'avez pas la lifetime value derrière. Moi, en fait, les clients, ils me suivent pendant tellement longtemps qu'il y a une LTV derrière. Et que du coup, ce n'est pas le nombre de clients que je vais rentrer qui va être important. c'est combien de temps ils restent avec moi jusqu'à qu'ils aient des résultats. Évidemment, moi, je veux que ce soit le plus court possible, mais selon la personne, c'est plus ou moins long, parce qu'aussi la personne, elle se rend compte, soit qu'elle a plus de lacunes et qu'il faut travailler un peu plus longtemps, ou soit qu'en fait, elle voit qu'elle peut aller très très vite dans des paliers et que du coup, elle veut continuer avec moi pour la suite des paliers. Donc, c'est cette relation de confiance aussi que j'ai cherché à bâtir au fur et à mesure du temps et qui fait qu'aujourd'hui, en fait, c'est les clients qui bossent avec moi. Et bien sûr, il n'y a pas 100% de taux de réussite, je ne dis pas ça. je dis juste que il y a une relation de confiance qu'en fait ils savent qu'ils peuvent compter sur moi pour leurs objectifs business Et véritablement, c'est ça qui fait que le chiffre d'affaires est nourri, parce que les clients reviennent, ils redépensent, ils restent, parce qu'ils savent qu'ils vont avoir du contenu et qu'ils savent qu'ils peuvent continuer de bosser avec moi pour atteindre leurs objectifs. Et qu'en fait, dans le business, on peut ne pas s'arrêter juste à un objectif, on peut en faire plein et on peut continuer de gravir les échelons. Donc ça, c'est génial. Qu'est-ce qui s'est passé dans ce cas-là ? Enfin, qu'est-ce que j'ai fait dans ce cas-là ? J'ai créé un tunnel qui est hyper clair. Là, en plus, d'ailleurs, on est en train de créer un nouveau tunnel de vente avec quelque chose qui est... coder, embed, ça va être vraiment plus que juste un PDF, juste une vidéo, etc. Ça va être beaucoup plus puissant que ça. Tunnel très clair, séquence, proposition, etc. Pédagogie qui est identifiée, c'est-à-dire qu'on est vraiment sur un format très suisse. Et j'accepte très peu de... En fait, quand on me demande, oui, mais je suis en France, etc. J'accepte, je ne dis pas non, mais on n'est pas dans un produit qui est fait pour un marché externe. On est dans un produit qui est 100% suisse, qui s'adapte à la réalité du marché suisse. Je le dis souvent, un Français peut-être avec 30-40 000 euros de chiffre d'affaires, il va pouvoir quitter son job. En Suisse, avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires, on ne quitte pas son job. On ne peut pas vivre avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires en Suisse. Donc, toute la pédagogie est issue de ça. Et surtout, en fait, que le coût d'acquisition digital ici en Suisse est tellement élevé que la scalabilité peut être tellement élevée que la scalabilité suisse, il faut la réfléchir autrement. Il faut aller chercher d'autres canaux d'acquisition. Et ça, c'est ce qu'on travaille justement dans Coach ton business. Et c'est la pédagogie vraiment que j'ai créée tout autour de mon produit, de mes produits et de ma manière d'accompagner. Et ensuite, j'ai jamais arrêté de communiquer. Je n'ai jamais arrêté de poster des podcasts, de faire mes reels, de faire mes carousels. Je n'ai jamais arrêté de poster. Jamais, jamais, jamais. Quand vous vous lancez, je suis désolée, ça va peut-être vous plomber le moral, l'ambiance, j'en sais rien. Quand vous commencez à poster, quand vous commencez à parler, il y a la phase de lancement. Si vous pensez que c'est la fin de vos efforts marketing, brace yourself, ce n'est que le début. Le moment où vous lancez quelque chose, c'est que le début. À partir de là, soit vous optez pour des stratégies qui sont justement planifiées au fur et à mesure de l'année. soit vous êtes sur une stratégie evergreen qui tient toute l'année. Mais même la stratégie evergreen, il faut la modifier de temps en temps. Donc même ça, il faut revoir les choses. Donc votre part de marketing dans votre business, il est tellement important que vous ne pouvez pas, en fait, juste vous contenter d'avoir une offre sur votre site internet et de poster des reels de temps en temps. Et moi, ça a vraiment été ma force, c'était de la régularité. dans tout ce que je faisais. À ce jour, et merci, c'est encore plus possible avec l'équipe, il n'y a pas un trou dans le calendrier. Il n'y a pas un moment où on ne poste pas, parce que ça va aussi en lien avec les objectifs de la boîte. C'est que si je veux atteindre des objectifs de visibilité, de chiffre d'affaires, de scalabilité, etc., derrière, les efforts doivent suivre. Donc si je veux du x10, mes efforts sont x10. Si je veux du x100, mes efforts sont x100. Et ça, c'est un truc, je suis intransigeante avec moi-même. Mais c'est aussi pour vous dire que c'est parce que c'est mon objectif. C'est moi qui fixe ça. Et c'est parce que je suis à l'aise avec ça aussi. Si vous n'êtes pas à l'aise avec ça, il faut faire des objectifs qui sont vraiment associés à ce que vous, vous voulez faire dans votre business. Si vous voulez faire du x1, x2, faites du x1, x2. Si vous voulez faire du x100, x200, x300, x1000, faites-le. C'est vous qui devez être à l'aise et aligné avec ce que vous faites. Moi, je suis sans part sans aligné. Je n'ai pas d'enfant, je n'ai pas ma famille, je suis entourée des meilleures personnes, donc je n'ai pas besoin de voir 150 personnes pour sociabiliser, au contraire. Je sais où je vais et comment je vais. Et en fait, c'est ça qui fait que mes objectifs sont super vite atteints et confortablement parce qu'ils sont... extrêmement alignées avec ce que je veux dans ma vie et ce que je veux faire. Donc du coup, tunnel, pédagogie, communication, système, tout ça, c'est ce qui m'a permis vraiment de lancer régulièrement des nouvelles offres sans stress, de convertir sans jamais forcer personne. Je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai jamais forcé quelqu'un avec des techniques douteuses de marketing, avec du... Je n'ai jamais forcé quelqu'un. J'ai mis des limites parce qu'il fallait en mettre légalement parlant, mais je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai aucun intérêt à faire rentrer quelqu'un qui n'a pas vu la valeur du programme pour lui, qui a besoin d'être convaincu. Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais. Donc pareil, si vous voulez qu'on bosse ensemble, si vous vous doutez encore un petit peu, moi je vous conseille d'aller regarder les autres épisodes que j'ai faits, d'aller regarder aussi les partenaires avec qui je bosse, d'aller regarder les résultats clients. On va poster une page dans pas longtemps pour vous montrer un petit peu les résultats qu'on a eus avec les clients qui ont été d'accord de les montrer. Et surtout, voilà, podcast qui avait quand même été salué meilleur podcast suisse en début d'année. le nombre d'abonnés, le nombre de clients, le chiffre d'affaires croissant. Moi, je vous invite à regarder un petit peu les autres contenus que je fais pour vous rendre compte si je suis la personne avec qui vous avez envie de bosser ou mon équipe, d'ailleurs, et à prendre un appel découverte pour qu'on discute ensemble. Mais si vous sentez que c'est pas la bonne énergie ou c'est... Voilà. Moi, je suis complètement OK avec le fait que vous continuez de consommer mon podcast gratos et que ça vous aide et que... Et ça suffit, en fait. Je suis très contente avec ça. Ne vous inquiétez pas pour ça. Donc, voilà. Convertir sans forcer et puis surtout être visible tout en restant toujours alignée avec ce que je faisais. C'est-à-dire que je n'ai jamais pris une agence ou quelqu'un qui allait me faire du contenu pour m'en décharger, qui n'était plus en ligne avec moi-même. J'ai toujours, toujours été, j'ai toujours supervisé ma stratégie de contenu, même avec Eva. Et j'ai toujours choisi aussi des alignements qui sont vraiment par rapport à mon objectif du moment, l'objectif du business, qu'est-ce qu'on cherche et qui je suis, ce que je veux, etc. Enfin voilà, toujours été très important. Donc aujourd'hui, ce qui est important à comprendre, c'est qu'une très grande partie de mes clients... alors dans coach ton business c'est très élevé mais par contre si on regarde la totalité donc avec coach ton budget mais c'est parce que c'est un produit qui est B2C versus un produit qui est B2B c'est un peu différent, on a quand même beaucoup beaucoup beaucoup de personnes qui restent dans l'écosystème parce que ils voient l'intérêt de travailler avec nous et ils voient la valeur de la transformation parce qu'on s'arrête pas juste à vendre des pépettes et des foie-cats, des trucs comme ça, on vend vraiment une structuration et un alignement avec la personne qui cherche des résultats business parce qu'elle a vraiment envie de réaliser un projet de vie d'un point de vue business, super important à comprendre Et la partie 4, ce qui est important de comprendre, c'est que le shift pour moi depuis une année maintenant, je dirais, ça a été vraiment la partie positionnement d'un point de vue personnel. C'est-à-dire que je me suis comportée à partir du moment où j'ai vu que ça grandissait comme une chef d'entreprise. Donc c'est quoi se comporter comme une chef d'entreprise ? Ça veut dire que j'ai pensé tout mon business comme un écosystème, je l'ai considéré comme une entreprise, je l'ai tout de suite structuré comme une entreprise. j'ai juste pas toujours eu confiance dans là où je pouvais aller, dans ma force de frappe. Ça a été mon seul défaut, je dirais. Et du coup, je n'ai pas pensé que j'allais aller aussi loin aussi vite. Et maintenant, je me rends compte de ce que je peux faire et je suis beaucoup plus capable de moi-même décider de la vitesse. C'est-à-dire que si je trouve que ça ne va pas assez vite, je sais que je peux accélérer. Si je trouve que ça va trop vite, je peux décélérer. Si je trouve que je n'ai pas envie d'aller aussi loin, je peux décélérer. Et tout ça, je pense que c'est hyper important à comprendre et c'est une connaissance de moi-même à laquelle j'ai toujours fait attention dans ma manière de gérer mon business. donc voilà j'ai toujours suivi mes chiffres j'ai toujours réinvesti dans mes systèmes parce que si vous voulez pas réinvestir dans votre business mais plutôt vous achetez des Rolex ou des trucs comme ça sachez que ça va juste empêcher votre business de grandir j'ai toujours travaillé ma conversion j'ai toujours travaillé mes taux de conversion qui est-ce que je fais rentrer, qui est-ce que je fais pas rentrer j'ai toujours vraiment fait attention à ça et j'ai toujours écouté aussi les retours clients c'est-à-dire que si j'ai quelqu'un qui est pas content dans les faits on fait beaucoup beaucoup beaucoup de sondages clients avec Eva, je me concentre sur vraiment la problématique. Est-ce que c'est lié à cette personne spécifiquement ? Est-ce que c'est un problème dans l'accompagnement au global ? Est-ce qu'on peut changer des choses ? Et c'est aussi comme ça que j'ai revu tout l'écosystème de cette année et que malgré les conseils de mon consultant sur certaines choses, j'ai décidé de faire à ma sauce parce que je voyais que c'était demandé par les clients et par les prospects aussi parce que c'est important d'écouter les prospects également. J'ai essayé de demander par les prospects et c'est ça qui fait qu'en fait savons parce que c'est directement du market fit parce qu'on a écouté les retours clients. Et comme vous écoutez mon podcast et que je parle beaucoup de thunes, moi j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Au bout d'un moment, je pense que je développe une entreprise qui est très utile parce qu'on a aidé quand même beaucoup d'indépendants en Suisse à vivre confortablement de leur business. Et ça par des conseils qui sont vulgarisés, par une approche de l'information qui est simplifiée, qui permet d'être beaucoup plus confortable dans sa gestion du business. Et ça, pour moi, c'est tout ce qui compte, en fait. Et derrière, on va vous préparer. Je ne vais pas du tout, du tout vous spoiler ce que c'est, parce que c'est tellement frais que ce n'est pas encore signé, il n'y a rien. Mais on vous prépare l'étape supérieure, l'étape suivante, non pas en termes d'offres, mais en termes de contenu. C'est-à-dire que dans l'évolution de CoachTron Business, il y a une suite à ça, il y a une suite à CoachTron Business. Et je vais vous... Je vais vous expliquer tout ça. Il va y avoir vraiment une belle série à ce niveau-là avec quelqu'un que vous connaissez aussi peut-être. J'ai très très hâte. Et voilà, dans ce sens-là, j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Et je pense que c'est le premier truc où vous devez vous poser des questions. C'est pourquoi est-ce que je n'arrive pas à gagner de l'argent ? Est-ce que j'ai envie d'en gagner ? Ou est-ce que je me bloque à en gagner ? Et moi, c'est un truc que j'ai tout de suite déconstruit. Ça, c'est un truc, si vous voulez être confortable dans votre vie, il va falloir assumer vendre, il va falloir assumer gagner de l'argent. il va falloir assumer ces choses là parce que sinon vous allez continuer à faire du bénévolat et puis ça va pas le faire et c'est pas une mauvaise chose si vous voulez aller voir j'ai parlé plusieurs fois de ça dans des épisodes. Il y a un épisode complet consacré à ça qui a fait aussi beaucoup, beaucoup de retours. J'ai eu beaucoup de messages par rapport à cet épisode-là. Et d'ailleurs, j'en profite, en fait, si vous écoutez cet épisode, n'hésitez pas à lui mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, parce qu'en fait, ça m'aide à le faire connaître. C'est comme ça qu'il a eu un prix, il a été connu, il y a beaucoup de gens qui l'écoutent. Et si vous êtes sur YouTube, mettre un pouce bleu et puis vous abonner aussi parce qu'il y a beaucoup d'abonnements fantômes, en fait il y a des gens qui regardent mais qui s'abonnent pas donc abonnez-vous Comme ça, vous êtes sûr que vous avez à chaque fois les vidéos. Et surtout qu'il y a une playlist qui s'appelle 15 minutes rentables. Et en fait, c'est une playlist où c'est que des petites vidéos comme ça, où ça vous aide justement à faire des petites actions comme ça pour rendre votre business davantage rentable en Suisse. Notamment, il y a le calculateur de rentabilité. Comment est-ce qu'on calcule sa rentabilité ? Et il y a aussi plein d'actions au niveau marketing, chercher des clients, etc. qui vont vous permettre d'être rentable. Pour moi, ce n'est pas le prix de départ de votre offre. C'est-à-dire qu'on va vous dire de faire du high ticket, vente en offre de 3000 balles, etc. En fait, ce n'est pas avec ça que j'ai commencé. J'ai commencé tout petit. J'ai commencé avec une offre à 99 francs qui aujourd'hui fait tourner un business qui va continuer de grandir. C'est vraiment la valeur perçue. C'est la clarté de ce que vous allez proposer de votre offre, de votre écosystème. C'est se concentrer sur les bonnes choses. Et c'est toute la stratégie qui va l'entourer. Et c'est vous, en fait, comment vous vous positionnez. Est-ce que vous voulez vraiment une entreprise ou est-ce que vous voulez juste rester vous à votre compte, trouver des petits clients, comprendre, etc. C'est vraiment important de le comprendre. j'ai beaucoup de clients qui ont eu ce déclic là en travaillant avec moi en me disant mais en fait je me rends compte que je veux plus je veux pas m'arrêter à À être freelance, je veux vraiment développer une entreprise, etc. Ça, c'est très important. Donc, les piliers très clairs, c'est qu'au début, je pense qu'il faut démarrer avec quelque chose de très clair, un problème très clair identifié sur votre marché. Il faut avoir un prix qui est accessible pour qu'on apprenne à vous connaître, qu'on apprenne un peu de votre pédagogie et ce que vous faites. Et du coup, il faut avoir une qualité pédagogique aussi, surtout si vous voulez partir dans ce domaine-là. Et surtout, avoir une suite cohérente, un écosystème et puis un système de vente qui va être en accord avec votre domaine. en accord avec les clients que vous allez chercher, en accord avec vous, en fait, tout simplement. Et pour ça, en fait, j'ai un dernier petit exercice de passage à l'action pour vous. De nouveau, je le rappelle, je ne suis pas en dépression, vous n'inquiétez pas, j'ai juste pas le peps aujourd'hui pour, voilà, surtout que j'ai faim, là, au moment où je tourne cet épisode, et puis j'ai cinq heures de consulting cet après-midi. Voilà, ça aussi, c'est un truc que je vais arrêter, mais je pourrais en reparler, de la charge de travail, je pourrais en reparler, c'est juste que j'ai pas encore la structure de comment je vais vous en parler, de comment est-ce que je gère les choses, parce que fondamentalement, je les gère hyper bien. donc Voilà, c'est un fait. Je vais un petit peu m'en plaindre, mais je les gère quand même hyper bien. Alors, j'ai trois questions que vous pouvez vous poser. Un, est-ce que vous êtes au courant du problème concret que vous savez résoudre aujourd'hui dans votre entreprise ? Est-ce que vous êtes confiant de ce que vous aidez à faire ? Est-ce que c'est précis ? Ou est-ce que vous êtes sur 1000 francs en même temps ? Le deuxième, c'est est-ce que vous pouvez formuler une seule offre claire qui résout ce problème et qui offre un tarif accessible ? Vraiment, si vous êtes dans l'optique de la faire grandir, est-ce que vous pouvez vous focaliser uniquement sur ça pour faire grandir l'entreprise ? Ensuite... Posez-vous la question, une fois que j'ai ça, une fois que je l'ai fait grandir, quelle est la suite logique pour travailler avec vous ? Comment est-ce que vous suivez vos clients sur toute une durée de vie par rapport à ce que vous proposez dans votre business ? Moi, ce que je vous propose de faire, c'est créer vraiment une fiche qui va venir prendre toutes vos offres, leurs objectifs, le prix et la suite logique de chaque offre. Et ensuite, d'aller voir justement avec vos prospects, vos clients, des personnes qui pourraient être intéressées par ce que vous faites. Il y a un truc très important auquel j'ai... J'ai pas parlé mieux vaut fait que parfait. Je crois que je l'ai déjà souvent dit, mais je pense que ça vaut le coup de le redire. Mieux vaut fait que parfait. J'ai commencé avec une toute petite offre qui était loin d'être parfaite. Il n'y avait pas de présentation au début dans Coach Ton Budget. Il n'y avait même pas de vidéo avec les slides. Il n'y avait pas de slides, il y avait juste moi qui parlais. J'ai commencé avec un truc tellement claqué pour moi aujourd'hui, mais qui m'a permis d'aller tellement loin d'un point de vue professionnel qu'aujourd'hui, j'ai aucun doute sur ma capacité d'aller encore plus loin. Et ce que j'aimerais vous inspirer dans ce sens-là, c'est que, ça je le répète, parce que je sais que j'ai eu écho il n'y a pas longtemps du fait que c'était un peu culpabilisant de me voir moi skyrocket alors que d'autres sont là depuis dix ans et puis qu'ils ne font pas mes chiffres et qu'ils ne font pas mes résultats, etc. J'entends, mais un, j'y mets beaucoup d'énergie, j'ai le background qui me permet de faire ça, j'ai les connaissances, je ne pars pas de nulle part, et trois, pourquoi vous ne venez pas travailler avec nous si c'est ce que vous cherchez ? Donc voilà. N'hésitez pas à mettre en commentaire, posez vos questions sur Spotify, vous pouvez mettre des commentaires. à en lâcher plein. Moi, je vais vous laisser pour entamer mon après-midi de consulting. J'ai tellement hâte de vous montrer les prochains contenus qu'on va sortir. Il y a une émission qui va sortir en fin d'année. J'ai tellement hâte de vous en parler. J'ai tellement hâte, ça va être incroyable. C'est aussi ça, c'est s'éclater dans la création de contenus. Et puis voilà, la next step. Je pense que... Ah, mais en fait, si vous devinez ce que c'est la next step, mettez en commentaire. Je serais curieuse de voir. Et puis surtout, mettez avec qui ça va être. Ça serait encore plus drôle. Et voilà, je me réjouis du prochain épisode. La semaine prochaine, on va parler de rentabilité de YouTube. Et en attendant, je vous souhaite tout de bon, beaucoup de bonheur dans votre business, beaucoup d'épanouissement, le même que je peux avoir et je vous dis à tout bientôt

Description

Dans cet épisode, je partage comment une simple formation à 99 CHF, Coach Ton Budget, est devenue le tremplin vers un business à 6 chiffres.

Tu vas découvrir les 5 piliers d’un produit d’appel efficace, la logique de montée en gamme, et pourquoi la clarté prime sur la complexité.

Un épisode concret, motivant et 100 % applicable pour les indépendant·e·s et entrepreneur·e·s en Suisse.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Rejoins +115'000 Suisses 🇨🇭 qui gèrent business & finances : Instagram @coachtonbusiness; TikTok @coachtonbudget 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    En 2023, j'ai sorti un tout premier produit digital que j'avais vendu à 29 francs, qui s'appelait Module 1 de Coach Ton Budget. J'ai, au fur et à mesure du temps, vendu le Module 2, Module 3, Module 4, à chaque fois à peu près au même prix, entre 29 et 33 francs, jusqu'à ce que je me rende compte qu'il fallait que je l'uniformise dans une seule et unique formation qui s'appelait du coup Coach Ton Budget. Coach Ton Budget, je l'ai vendu à 99 francs. Et ça a été le point de départ de tout mon business. Sauf qu'à ce moment-là, j'étais absolument pas au courant. Alors dans cet épisode un petit peu spécial, j'aimerais revenir sur... les leviers de scalabilité ou de passage à l'échelle que j'ai utilisés dans mon entreprise pour vous montrer qu'aujourd'hui, on va terminer à l'heure où je parle, si les prévisions s'appliquent, mais on est dans un worst case scénario. On va franchir la barre des 400 000 francs de chiffre d'affaires cette année. Et entre 2024 et 2025, ça veut dire qu'au total, alors que l'activité a commencé l'année dernière, l'activité aura fait le 2 000 000 de francs de chiffre d'affaires. Alors, ce qui est important, c'est que je vais vous parler de leviers qui m'ont permis de structurer mes offres et de la vente. de les vendre, de les faire évoluer, de bâtir en gamme d'un point de vue cohérent, cohérence pour dépasser déjà d'un premier point les 100 000 francs de chiffre d'affaires. Mais surtout, vous savez très bien et ça je le dis en tant que disclaimer, là je vous parle de chiffre d'affaires il ne faut pas que ça miroite chez vous des choses exceptionnelles en mode elle se fait une pétée de cash, etc. Il faut toujours prendre en considération derrière les marges de l'entreprise, vos dépenses, vos charges pour comprendre derrière évidemment la rentabilité du business et ce que ça apporte pour vous. quelle mission ça vient accomplir et c'est vraiment ça que j'aimerais mettre en lumière parce qu'aujourd'hui on aime bien faire miroter des énormes chiffres d'affaires sauf que moi je parle énormément de rentabilité et c'est ça que j'aimerais vous montrer c'est comment est-ce qu'on bâtit une société qui est rentable, qui nous fait du bien, qui fait du bien aux gens, qui a une vraie mission et c'est l'objectif de cet épisode aujourd'hui tout d'abord bienvenue sur coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes. Et puis si tu l'aimes encore plus, tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Alors il faut savoir que quand j'ai lancé Coach ton budget, moi j'avais une vision très très simple. Je voulais vraiment aider les gens à mieux gérer leur argent avec une méthode qui est accessible, concrète et puis qui est sans jargon. Sachant que je viens quand même du milieu d'économie d'entreprise, donc j'ai fait de la comptabilité, j'ai été à un moment donné assistante comptable. Je pourrais utiliser un jargon qui est très complexe, mais volontairement sur les réseaux sociaux, je le vulgarise énormément. Parce que je sais que ça a été ma réelle force d'être pédagogue, de montrer comment ça fonctionne, de simplifier des choses qui ont l'air complexes. Très simple en vérité. Alors du coup, au début, ce n'était pas un énorme programme. Ce n'était pas une usine à gaz, ce n'était pas... Voilà, c'était juste une formation qui était très claire, très structurée à 99 francs. Je vous dis ça comme si je parlais au passé, elle existe toujours. Elle est toujours vendue, vous pouvez toujours prendre coach son budget, vous pouvez toujours mettre à jour vos finances. C'est juste que j'ai compris des points que je vais vous expliquer plus tard dans la vidéo ou dans le podcast, si vous écoutez ça sur Spotify. Cependant, ce qu'il faut comprendre, c'est que cette offre, pour moi, elle a posé les bases de tout le reste. C'est-à-dire que je l'ai sorti quand j'étais encore salariée. À ce moment-là, aucun moment. Je me suis dit que j'allais être prédestinée pour devenir chef d'entreprise, parce que vous savez aujourd'hui j'ai des employés, j'ai une entreprise qui grandit, je me pose des questions de passage à l'échelle parce que je me demande quelle taille j'ai envie d'avoir, combien de personnes j'ai envie d'avoir sous moi, quel chiffre d'affaires j'ai envie de faire, où est-ce que je veux aller avec ma société, je me pose ce genre de questions actuellement. Et vous voyez qu'aujourd'hui j'ai pas forcément trop le sourire, j'ai pas ce peps comme ça que vous voyez d'habitude dans les vidéos. Pourquoi ? Parce que je passe une zone de turbulence assez importante d'un point de vue émotionnel. Donc vraiment, le business n'a jamais été aussi bien. On a franchi des paliers. Vous allez voir, je vais vous expliquer un petit peu plus tard. Mais il y a des moments comme ça où c'est difficile émotionnellement parce qu'on se pose des questions fondamentales. Et moi, je suis toujours très, très, très alignée. J'ai toujours besoin de réfléchir les choses pour savoir si c'est aligné avec moi et ce que j'ai envie de faire. Et du coup, dans ces phases-là, je suis toujours en train de remuer. Donc si j'ai l'air un peu triste, c'est normal. Je ne suis pas triste. Je suis plutôt en train de me poser des questions assez fondamentales. Cette offre, comme je le disais, elle a posé les fondations de vraiment tout le reste de mon business. Elle a été l'occasion de faire mes premières ventes. J'ai eu mes premières clientes qui sont restées tellement clientes fidèles que je les accompagne aujourd'hui dans Coach Ton Business. Ça a été ma réputation parce que j'ai eu très, très vite beaucoup, beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux. Vous savez que toutes plateformes confondues, je cumule près de 115 000 abonnés, ce qui n'est pas rien pour quelqu'un qui est en Suisse. Ça a été aussi le début de mes contenus parce que j'ai énormément parlé d'éducation financière sur les réseaux en long, en large et en travers. Et surtout de ma montée en gamme. Parce qu'en fait, ce qui s'est passé, c'est que quand j'ai quitté mon job, je me suis posé une question assez fondamentale que j'ai expliquée dans une newsletter que j'ai envoyée il y a quelques semaines. Comment est-ce que je vais faire pour vivre de mon business ? Parce que j'avais un très bon salaire et je me suis dit, si je dois vivre avec mon salaire, si je dois avoir le même salaire que j'avais précédemment, il faut que j'ai au moins 10 000 francs de chiffre. d'affaires par mois pour être confortable financièrement. Et du coup, ça a été la claque, parce que chaque mois, ça voudrait dire qu'il fallait vendre pour à peu près 10 000 francs de coût de chambre budget, sachant que je n'ai jamais eu l'intention de partir à l'étranger, j'ai jamais eu l'intention d'expatrier l'offre, de le vendre en France ou dans d'autres pays, de changer de langue, etc. En fait, il y a clairement eu un plafond de verre à avoir, et les coûts d'acquisition devenaient de plus en plus chers, c'est-à-dire que pour un produit vendu à 100 francs, on pouvait avoir 50 à 60 francs de coût d'acquisition sur Meta. Donc ce qui casse en deux la rentabilité du produit. Et si derrière, il y a des charges d'entreprise ou des charges personnelles, etc., c'était clairement pas rentable, en fait. Donc en fait, de prime abord, vous avez peut-être vu Antoine BM qui vend des formations, qui vend toutes ces choses-là. Et puis c'est fabuleux, ça marche. Mais ce sont des gens qui ont des très grosses audiences, donc qui sont internationales, des francophones internationaux. Et c'était pas mon cas. Et surtout, ce que j'aimerais mettre en lumière par rapport à ça, c'est que sur le papier, c'est génial. Mais derrière, en termes de temps, passer à marketer la formation ou ce que vous voulez vendre en termes de produits digitaux, c'est tellement énergivore et ça coûte tellement d'argent. Enfin, ça peut coûter tellement d'argent, surtout si vous êtes mauvais dans ce que vous faites. D'un point de vue marketing, je dis, vous allez perdre beaucoup d'argent. Et ce n'est pas du tout une forme de revenu passif. Au contraire, en fait, ça devient vraiment un gouffre de temps. Et si vous n'êtes pas à l'aise avec le marketing que vous faites, ça ne va être pas bon. Et donc, moi, au contraire, j'étais très bonne en marketing. Enfin, je suis toujours très bonne en marketing. Je sais faire des contenus qui percutent. Je sais réunir des audiences. Je sais créer des communautés. je sais aussi expliquer les choses pédagogiquement et dans ce sens là c'est pour ça que tout a toujours été facile pour moi ça a toujours été du beurre de faire les choses comme ça ce qui a été moins du beurre ça a été de scaler et de passer à l'échelle mais je vais vous expliquer un petit peu plus tard donc à ce jour en fait aujourd'hui évidemment on m'a posé souvent la question mais est-ce que tu vis de tout ça le moment où j'ai quitté mon job ça a pris quelques mois avant que je sois vraiment confortable mais disons que plusieurs mois même parce que en fait je réinvestissais systématiquement tout tout tout mon argent dans la boîte Je voulais qu'elle grossisse, je voulais avoir plus d'impact, je voulais avoir des plus gros chiffres, je voulais avoir plus de volume. Et surtout, la première montée en gamme que j'ai faite, c'était aussi par rapport à moi, c'était personnel. En fait, les gens me prenaient pour une conseillère financière et j'avais le choix de partir dans cette optique-là, je ne sais pas, de faire une formation Swiss Life ou j'en sais rien, vraiment de me spécialiser là-dedans et d'accompagner les gens là-dedans ou de me connecter avec ma vraie puissance, c'est-à-dire créer des entreprises et les faire monter d'un point de vue chiffre, data, client, CA, etc. Parce que c'est ce que j'ai fait avant. J'étais spécialiste acquisition client, mais j'ai aussi fait tout ce qui était accompagnement. J'ai été bras droit de CEO pour développer les entreprises, etc. Et en fait, c'était ça qui me nourrissait. Donc à ce moment-là, j'ai créé Coach ton business et j'ai fait un produit qui se basait sur le méthode Lean Startup pour sortir quelque chose de terre et puis pour le vendre, pour le développer. Donc ça, c'est toutes les méthodes Lean Startup que j'utilise. dans Coach ton business. Évidemment, je les ai vulgarisés, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus pédagogues, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus accessibles à monsieur et madame tout le monde, surtout dans le cas où on veut créer un business. Et en fait, c'est là que j'ai fait mon premier passage à l'échelle et que j'ai commencé à taper dans du 10, 15 000 francs de chiffre d'affaires récurrent. Fin d'année 2024, j'ai commencé à me pencher sur l'élaboration d'une équipe parce que j'avais déjà des freelances qui travaillaient pour moi, mais j'avais besoin, en fait, j'avais toujours cette sensation d'avoir besoin d'être entourée, d'être accompagnée, d'avoir des gens avec moi. Et je pensais qu'il me fallait une associée, je pensais qu'il fallait quelqu'un... un bras droit avec qui je pouvais bosser. Je pensais qu'il fallait un monde égal, il fallait quelqu'un de collaboratif, de complémentaire avec moi pour faire. Et en fait, je vous avoue que je n'ai jamais trouvé cette personne. Je ne l'ai pas vraiment cherchée, mais je ne l'ai jamais trouvée. Et je me suis dit, il faut que je constitue une équipe parce que pas le choix, mon entreprise grandit, j'ai de plus en plus de demandes, je ne peux pas gérer cette demande toute seule, donc il faut que je grandisse. Et c'est là que j'ai commencé à recruter et à voir mon équipe qui a commencé à grandir avec plus que juste des freelances, mais vraiment ma première employe CDI, Eva, du coup. Et voilà. Mais ça, vous connaissez peut-être un petit peu l'histoire si vous écoutez le podcast régulièrement. Ce qui m'intéresse, c'est de vous montrer comment est-ce qu'on peut partir de ça pour monter une entreprise en Suisse, et particulièrement dans le cadre où on va venir la bootstrapper, c'est-à-dire que bootstrapper, c'est autofinancer une entreprise, c'est-à-dire que je n'ai pas d'investisseurs, je n'ai pas demandé d'argent à ma famille, de toute façon, ils n'en avaient pas, je n'ai pas demandé d'argent, je n'ai pas fait prêt à la consommation, je n'ai rien fait, j'ai vraiment autofinancé mon entreprise. Et je vous dis souvent que pour croître, il faut effectivement... réinjecter de l'argent dans sa société. En fait, pareil, si vous avez un capital à la maison que vous investissez, vous savez que si vous voulez voir votre capital croître, il faut remettre de l'argent dedans. Parce que tout seul, il va croître, mais il va croître à une vitesse beaucoup plus lente que si vous réinjectez de l'argent dedans. Le business, c'est pareil, il faut réinjecter de l'argent dedans. Ça veut dire que ça peut être dans les pubs, ça peut être dans de la main-d'oeuvre, ça peut être dans un nouveau site internet, ça peut être dans un logiciel qui va vous permettre d'automatiser les choses, ça peut être dans toutes ces choses-là. Plus le business est grand, plus les investissements deviennent majeurs. parce qu'ils vont avoir des impacts majeurs. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, si vous êtes dans une entreprise qui a plusieurs employés, une dizaine d'employés, et que vous cherchez à automatiser certains process, il y a de fortes chances que l'automatisation de certains process soit plus onéreuse parce que c'est plus grand, c'est plus important, parce que vous voulez développer un certain logiciel. parce que vous voulez développer des choses qui vont vous permettre de scaler votre activité. Donc c'est plus cher, mais en même temps, il y aura plus de retours sur investissement. C'est logique. La première chose, c'est que j'ai tout misé, j'ai misé, en fait, j'ai donné toute mon énergie dans une seule et unique offre. C'était coach ton budget. J'ai vu beaucoup, beaucoup d'indépendants qui lançaient plein de choses en même temps. Alors certes, au début, c'est bien d'avoir la vision de l'écosystème d'offres et puis de ce que vous voulez faire de votre entreprise, de savoir où, dans quel sens vous allez. Moi, j'ai toujours ça, même si je vous dis que je suis en train de me poser des questions. je sais où je vais en fait. Je sais juste pas exactement si je vais à droite ou à gauche, mais je sais où je vais, in fine. J'ai vu beaucoup de gens qui voulaient lancer 4-5 offres en même temps parce que c'est ça qu'ils proposent. Et en fait, il y a aussi beaucoup de prestataires de services, des thérapeutes, des coachs qui vont faire plein de choses. Donc, ils vont faire les massages, ils vont faire la consultation, ils vont vendre un accompagnement, ils vont faire des ateliers, ils vont faire plein de choses. Et en soi, ce n'est pas un truc que je critique parce que je pense que certaines personnes s'accomplissent là-dedans, elles sont très très bonnes là-dedans, il faut qu'elles continuent là-dedans. Mais si vous voulez avoir une entreprise qui se bâtit et qui se construit à partir vraiment d'un petit produit, que vous voulez bootstraper et que vous voulez faire vous agrandir en tant que vraie entreprise, ce ne sont pas les modèles les plus efficaces. Pourquoi ? Parce qu'en fait, votre énergie se dilue, votre chiffre d'affaires se dilue, vous faites beaucoup de choses en même temps et surtout, vous ne passez pas assez de temps sur tout ce qui est stratégique. Et ça, c'est ce qui va faire que vous n'êtes pas assez efficace dans votre développement entrepreneurial. Donc résultat, ce qui se passe, c'est que souvent, il n'y a rien qui décolle jamais vraiment. Surtout, vous n'êtes jamais vraiment bon dans la communication parce que vous faites tellement de choses que vous n'êtes pas assez pertinent dans une seule et unique offre que vous allez... sur laquelle vous allez venir vous focaliser, parce que vous savez qu'il y a un market fit et que vous savez que ce service va prendre un plus large volume. En fait, moi, c'est ce qui s'est vraiment passé avec Coach Ton Budget. J'avais une seule promesse unique, claire, c'est reprendre le contrôle de son budget personnel en Suisse. C'était ça. C'était tout, c'était tout ce que je faisais. Pendant que je n'ai pas travaillé sur Coach Ton Budget, c'était ça à 200%. Il n'y avait rien d'autre. Alors certes, j'étais salariée, mais en fait, mon temps libre, c'était ça. C'était que ça. Et j'ai tellement charbonné à faire connaître le programme qu'en une année, j'ai fait un certain nombre d'abonnés. Et j'ai fait des ventes organiques qui m'ont permis de ne pas investir en publicité, etc. Ce qui s'est passé aussi, c'est que j'ai eu très vite des résultats clients parce que j'ai fait du volume directement. Donc, trois mois, six mois après, j'ai direct des gens qui m'écrivaient en mode, ouais, j'ai réussi à mettre tant et tant de côté. J'ai fait tant et tant. Donc, je savais en fait que Coach Ton Budget avait un impact positif sur les personnes qui faisaient la formation. et ça m'a donné aussi le là pour la suite. C'est-à-dire que je savais que mon côté pédagogue était très valorisé dans les produits que je vendais, donc j'ai suivi exactement la même recette pour Coach Ton Business. Ensuite, la deuxième chose, c'est que quand j'ai créé Coach Ton Business, ça m'a fait du high-ticket. Donc la deuxième partie un petit peu de mon étape, ça m'a créé du high-ticket. Mais en fait, du high-ticket, si vous faites une année de high-ticket, c'est très bien, ça va faire un joli chiffre d'affaires. Sauf qu'en fait, si derrière, vous n'avez pas une lifetime value, c'est-à-dire une customer lifetime value, donc le client que vous ne le suivez pas dans son cycle ou que... on ne peut pas aller plus loin avec vous, que ça s'arrête, etc. En fait, votre business, vous êtes tout le temps dans l'acquisition de vos clients parce que vous ne pouvez pas garder ceux que vous avez. Donc moi, je connaissais ça. Enfin, la lifetime value, on en parle en long, j'ai travaillé en marketing tout le temps, surtout quand on a été dans du streaming. Donc j'ai dû penser mon business en mode suite, fidélisation, montée en gamme. Donc vraiment, j'ai structuré les choses pour que ça puisse suivre un follow-up. Alors je vous passe les détails parce que je n'ai pas non plus envie que ça fasse 40 minutes d'explication de ce que j'ai fait à la base, comment j'ai réfléchi ça dans le point A. comment j'ai réfléchi dans le point B, comment j'ai réfléchi dans le point C, parce que c'est très complexe et c'est le genre de choses que je réserve plutôt à mes clés en un point de vue explication, parce que c'est aussi du cas par cas souvent que je fais avec eux. Donc en fait, j'ai créé vraiment un écosystème qui allait me permettre, un, de ne plus diluer mon temps dans certaines choses, de pouvoir déléguer à une équipe et puis de pouvoir me concentrer moi sur ma zone de génie, c'est-à-dire l'accompagnement one-one des entrepreneurs. Et en fait, ce qui se passe, c'est que les gens rentrent de manière débutante ou alors de manière... Voilà, ils ont besoin de revoir les bases, les fondations. Ensuite, ils peuvent passer dans structuration parce qu'ils ont monté en gamme, eux aussi. Ils peuvent passer sur du one-one avec moi où vraiment on va venir taper dans des thématiques très cibles de l'entrepreneur, de la montée en gamme, de l'augmentation du chiffre d'affaires, du passage à l'échelle, etc. Chose sur laquelle je suis très forte parce que j'ai très vite compris les mécanismes et parce que mon business, c'est le meilleur exemple de ce que je sais faire. et en fait qu'après un an et demi d'accompagnement aussi sur certaines personnes, on voit aussi les résultats similaires sur les personnes qui... ont bien suivi rigoureusement les accompagnements et les conseils. Vendre une seule fois, ça ne va pas suffire. Donc par exemple, coach ton budget, c'était un one-shot à 100 francs. Ça ne suffisait pas. Il aurait fallu que je parte dans du one-one budget. Il aurait fallu que je parte dans un accompagnement peut-être pour revoir les assurances, peut-être revoir tout ça, partir dans vraiment un domaine de courtage en assurance. J'avais envie de vomir à l'idée de faire ça. Et en fait, il y a un truc qui m'a assez percutée, c'est que je n'avais pas du tout envie de faire du one-one budget. Impensable. Ça ne me motive pas, ça me saoule. C'est très difficile de venir déconstruire des money mindset chez les gens. C'est très difficile aussi de comprendre d'où ils viennent parce qu'il y a tout un parcours de vie aussi qui fait qu'ils sont là d'un point de vue financier. Et ça, c'est des choses où moi, j'ai trop de force dans ma tête pour comprendre certains parcours. C'est un peu égoïste à dire. parce que c'est un peu triste aussi de ma part vu que je suis très pédagogue et que j'ai tendance à vouloir vraiment comprendre la situation des gens mais en fait il y a vraiment des moments où je me suis dit j'ai réussi à me sortir de cette situation là et je sais que j'arriverai pas à sortir des gens de cette situation là parce que c'est trop embourbé et en fait je suis pas coach mindset je ne fais pas du mindset et c'est là où vraiment ma limite est très vite arrivée en fait pour moi il faut aller voir des personnes spécialisées dans l'accompagnement vraiment de blocage financier pour casser des barrières et puis pour passer des blocs dans sa vie financière. Et ça, je n'étais pas apte à le faire. Vraiment, je n'étais pas apte, je n'étais pas dans ma zone de génie, je n'étais pas la meilleure personne. Donc voilà, c'est pour ça aussi que j'ai créé Coach Ton Business. Alors, la troisième partie de comment est-ce qu'on en arrive là, de 99 francs à 400 000 francs de chiffre d'affaires en une année, et probablement plus l'année prochaine, on verra, ce sera drôle de regarder, ça fait x4 en une année, donc c'est pas mal, c'est pas dégoûtant. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que j'ai créé un écosystème. Je n'ai pas créé juste un produit. Mon objectif, ce n'était pas de vendre une formation parce qu'aujourd'hui, je trouve que c'est assez vite. Je le vois, en fait, il y a des préjugés de ouf, mais c'est une vendeuse de formation, etc. À la base, c'est né comme ça. Ça a été bootstrappé comme ça. C'est l'argent qui m'a permis de fonder mon entreprise. Mais aujourd'hui, on s'approche plus du consulting pur que de la formation. En fait, si je fais encore de la formation, c'est parce qu'il faut que je forme certains entrepreneurs à des thématiques clés de l'entreprenariat. Le marketing, la finance, etc. Et puis que ça, ce sont des produits qui sont structurables dans ce contexte-là. Mais de l'autre, j'ai très vite réalisé que moi, mon point fort, c'était du consulting. C'était vraiment d'aller voir ce qui clochait chez les gens et de leur réparer, de faire le mécano du business et puis de les faire repartir sur des meilleures bases. Et pour le coup, si je voulais faire comme ça, le consulting, ce n'est pas scalable en général. Soit vous scalez avec des gens, soit vous vous contatez devant de votre heure. Donc j'ai créé un écosystème qui me permettait de former des gens et de les faire venir à moi pour qu'ils soient fin prêts à venir travailler sur des thématiques ultra clés pour passer vraiment à l'échelle d'un point de vue business. Et l'objectif, en fait, c'était aussi de bâtir une relation. Parce que comme je vous le dis, moi, en fait, je m'en fous du volume de vente de Coach Ton Budget. Je m'en fous. Ça a été important à un moment donné parce qu'en fait, je me posais la question, comment est-ce que je vais vivre de mon business si je n'ai pas assez de volume de vente ? Mais plus tard, ce n'était plus du tout mon problème. Ça l'est, en fait, quand vous devez faire du volume et que vous n'avez pas la lifetime value derrière. Moi, en fait, les clients, ils me suivent pendant tellement longtemps qu'il y a une LTV derrière. Et que du coup, ce n'est pas le nombre de clients que je vais rentrer qui va être important. c'est combien de temps ils restent avec moi jusqu'à qu'ils aient des résultats. Évidemment, moi, je veux que ce soit le plus court possible, mais selon la personne, c'est plus ou moins long, parce qu'aussi la personne, elle se rend compte, soit qu'elle a plus de lacunes et qu'il faut travailler un peu plus longtemps, ou soit qu'en fait, elle voit qu'elle peut aller très très vite dans des paliers et que du coup, elle veut continuer avec moi pour la suite des paliers. Donc, c'est cette relation de confiance aussi que j'ai cherché à bâtir au fur et à mesure du temps et qui fait qu'aujourd'hui, en fait, c'est les clients qui bossent avec moi. Et bien sûr, il n'y a pas 100% de taux de réussite, je ne dis pas ça. je dis juste que il y a une relation de confiance qu'en fait ils savent qu'ils peuvent compter sur moi pour leurs objectifs business Et véritablement, c'est ça qui fait que le chiffre d'affaires est nourri, parce que les clients reviennent, ils redépensent, ils restent, parce qu'ils savent qu'ils vont avoir du contenu et qu'ils savent qu'ils peuvent continuer de bosser avec moi pour atteindre leurs objectifs. Et qu'en fait, dans le business, on peut ne pas s'arrêter juste à un objectif, on peut en faire plein et on peut continuer de gravir les échelons. Donc ça, c'est génial. Qu'est-ce qui s'est passé dans ce cas-là ? Enfin, qu'est-ce que j'ai fait dans ce cas-là ? J'ai créé un tunnel qui est hyper clair. Là, en plus, d'ailleurs, on est en train de créer un nouveau tunnel de vente avec quelque chose qui est... coder, embed, ça va être vraiment plus que juste un PDF, juste une vidéo, etc. Ça va être beaucoup plus puissant que ça. Tunnel très clair, séquence, proposition, etc. Pédagogie qui est identifiée, c'est-à-dire qu'on est vraiment sur un format très suisse. Et j'accepte très peu de... En fait, quand on me demande, oui, mais je suis en France, etc. J'accepte, je ne dis pas non, mais on n'est pas dans un produit qui est fait pour un marché externe. On est dans un produit qui est 100% suisse, qui s'adapte à la réalité du marché suisse. Je le dis souvent, un Français peut-être avec 30-40 000 euros de chiffre d'affaires, il va pouvoir quitter son job. En Suisse, avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires, on ne quitte pas son job. On ne peut pas vivre avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires en Suisse. Donc, toute la pédagogie est issue de ça. Et surtout, en fait, que le coût d'acquisition digital ici en Suisse est tellement élevé que la scalabilité peut être tellement élevée que la scalabilité suisse, il faut la réfléchir autrement. Il faut aller chercher d'autres canaux d'acquisition. Et ça, c'est ce qu'on travaille justement dans Coach ton business. Et c'est la pédagogie vraiment que j'ai créée tout autour de mon produit, de mes produits et de ma manière d'accompagner. Et ensuite, j'ai jamais arrêté de communiquer. Je n'ai jamais arrêté de poster des podcasts, de faire mes reels, de faire mes carousels. Je n'ai jamais arrêté de poster. Jamais, jamais, jamais. Quand vous vous lancez, je suis désolée, ça va peut-être vous plomber le moral, l'ambiance, j'en sais rien. Quand vous commencez à poster, quand vous commencez à parler, il y a la phase de lancement. Si vous pensez que c'est la fin de vos efforts marketing, brace yourself, ce n'est que le début. Le moment où vous lancez quelque chose, c'est que le début. À partir de là, soit vous optez pour des stratégies qui sont justement planifiées au fur et à mesure de l'année. soit vous êtes sur une stratégie evergreen qui tient toute l'année. Mais même la stratégie evergreen, il faut la modifier de temps en temps. Donc même ça, il faut revoir les choses. Donc votre part de marketing dans votre business, il est tellement important que vous ne pouvez pas, en fait, juste vous contenter d'avoir une offre sur votre site internet et de poster des reels de temps en temps. Et moi, ça a vraiment été ma force, c'était de la régularité. dans tout ce que je faisais. À ce jour, et merci, c'est encore plus possible avec l'équipe, il n'y a pas un trou dans le calendrier. Il n'y a pas un moment où on ne poste pas, parce que ça va aussi en lien avec les objectifs de la boîte. C'est que si je veux atteindre des objectifs de visibilité, de chiffre d'affaires, de scalabilité, etc., derrière, les efforts doivent suivre. Donc si je veux du x10, mes efforts sont x10. Si je veux du x100, mes efforts sont x100. Et ça, c'est un truc, je suis intransigeante avec moi-même. Mais c'est aussi pour vous dire que c'est parce que c'est mon objectif. C'est moi qui fixe ça. Et c'est parce que je suis à l'aise avec ça aussi. Si vous n'êtes pas à l'aise avec ça, il faut faire des objectifs qui sont vraiment associés à ce que vous, vous voulez faire dans votre business. Si vous voulez faire du x1, x2, faites du x1, x2. Si vous voulez faire du x100, x200, x300, x1000, faites-le. C'est vous qui devez être à l'aise et aligné avec ce que vous faites. Moi, je suis sans part sans aligné. Je n'ai pas d'enfant, je n'ai pas ma famille, je suis entourée des meilleures personnes, donc je n'ai pas besoin de voir 150 personnes pour sociabiliser, au contraire. Je sais où je vais et comment je vais. Et en fait, c'est ça qui fait que mes objectifs sont super vite atteints et confortablement parce qu'ils sont... extrêmement alignées avec ce que je veux dans ma vie et ce que je veux faire. Donc du coup, tunnel, pédagogie, communication, système, tout ça, c'est ce qui m'a permis vraiment de lancer régulièrement des nouvelles offres sans stress, de convertir sans jamais forcer personne. Je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai jamais forcé quelqu'un avec des techniques douteuses de marketing, avec du... Je n'ai jamais forcé quelqu'un. J'ai mis des limites parce qu'il fallait en mettre légalement parlant, mais je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai aucun intérêt à faire rentrer quelqu'un qui n'a pas vu la valeur du programme pour lui, qui a besoin d'être convaincu. Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais. Donc pareil, si vous voulez qu'on bosse ensemble, si vous vous doutez encore un petit peu, moi je vous conseille d'aller regarder les autres épisodes que j'ai faits, d'aller regarder aussi les partenaires avec qui je bosse, d'aller regarder les résultats clients. On va poster une page dans pas longtemps pour vous montrer un petit peu les résultats qu'on a eus avec les clients qui ont été d'accord de les montrer. Et surtout, voilà, podcast qui avait quand même été salué meilleur podcast suisse en début d'année. le nombre d'abonnés, le nombre de clients, le chiffre d'affaires croissant. Moi, je vous invite à regarder un petit peu les autres contenus que je fais pour vous rendre compte si je suis la personne avec qui vous avez envie de bosser ou mon équipe, d'ailleurs, et à prendre un appel découverte pour qu'on discute ensemble. Mais si vous sentez que c'est pas la bonne énergie ou c'est... Voilà. Moi, je suis complètement OK avec le fait que vous continuez de consommer mon podcast gratos et que ça vous aide et que... Et ça suffit, en fait. Je suis très contente avec ça. Ne vous inquiétez pas pour ça. Donc, voilà. Convertir sans forcer et puis surtout être visible tout en restant toujours alignée avec ce que je faisais. C'est-à-dire que je n'ai jamais pris une agence ou quelqu'un qui allait me faire du contenu pour m'en décharger, qui n'était plus en ligne avec moi-même. J'ai toujours, toujours été, j'ai toujours supervisé ma stratégie de contenu, même avec Eva. Et j'ai toujours choisi aussi des alignements qui sont vraiment par rapport à mon objectif du moment, l'objectif du business, qu'est-ce qu'on cherche et qui je suis, ce que je veux, etc. Enfin voilà, toujours été très important. Donc aujourd'hui, ce qui est important à comprendre, c'est qu'une très grande partie de mes clients... alors dans coach ton business c'est très élevé mais par contre si on regarde la totalité donc avec coach ton budget mais c'est parce que c'est un produit qui est B2C versus un produit qui est B2B c'est un peu différent, on a quand même beaucoup beaucoup beaucoup de personnes qui restent dans l'écosystème parce que ils voient l'intérêt de travailler avec nous et ils voient la valeur de la transformation parce qu'on s'arrête pas juste à vendre des pépettes et des foie-cats, des trucs comme ça, on vend vraiment une structuration et un alignement avec la personne qui cherche des résultats business parce qu'elle a vraiment envie de réaliser un projet de vie d'un point de vue business, super important à comprendre Et la partie 4, ce qui est important de comprendre, c'est que le shift pour moi depuis une année maintenant, je dirais, ça a été vraiment la partie positionnement d'un point de vue personnel. C'est-à-dire que je me suis comportée à partir du moment où j'ai vu que ça grandissait comme une chef d'entreprise. Donc c'est quoi se comporter comme une chef d'entreprise ? Ça veut dire que j'ai pensé tout mon business comme un écosystème, je l'ai considéré comme une entreprise, je l'ai tout de suite structuré comme une entreprise. j'ai juste pas toujours eu confiance dans là où je pouvais aller, dans ma force de frappe. Ça a été mon seul défaut, je dirais. Et du coup, je n'ai pas pensé que j'allais aller aussi loin aussi vite. Et maintenant, je me rends compte de ce que je peux faire et je suis beaucoup plus capable de moi-même décider de la vitesse. C'est-à-dire que si je trouve que ça ne va pas assez vite, je sais que je peux accélérer. Si je trouve que ça va trop vite, je peux décélérer. Si je trouve que je n'ai pas envie d'aller aussi loin, je peux décélérer. Et tout ça, je pense que c'est hyper important à comprendre et c'est une connaissance de moi-même à laquelle j'ai toujours fait attention dans ma manière de gérer mon business. donc voilà j'ai toujours suivi mes chiffres j'ai toujours réinvesti dans mes systèmes parce que si vous voulez pas réinvestir dans votre business mais plutôt vous achetez des Rolex ou des trucs comme ça sachez que ça va juste empêcher votre business de grandir j'ai toujours travaillé ma conversion j'ai toujours travaillé mes taux de conversion qui est-ce que je fais rentrer, qui est-ce que je fais pas rentrer j'ai toujours vraiment fait attention à ça et j'ai toujours écouté aussi les retours clients c'est-à-dire que si j'ai quelqu'un qui est pas content dans les faits on fait beaucoup beaucoup beaucoup de sondages clients avec Eva, je me concentre sur vraiment la problématique. Est-ce que c'est lié à cette personne spécifiquement ? Est-ce que c'est un problème dans l'accompagnement au global ? Est-ce qu'on peut changer des choses ? Et c'est aussi comme ça que j'ai revu tout l'écosystème de cette année et que malgré les conseils de mon consultant sur certaines choses, j'ai décidé de faire à ma sauce parce que je voyais que c'était demandé par les clients et par les prospects aussi parce que c'est important d'écouter les prospects également. J'ai essayé de demander par les prospects et c'est ça qui fait qu'en fait savons parce que c'est directement du market fit parce qu'on a écouté les retours clients. Et comme vous écoutez mon podcast et que je parle beaucoup de thunes, moi j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Au bout d'un moment, je pense que je développe une entreprise qui est très utile parce qu'on a aidé quand même beaucoup d'indépendants en Suisse à vivre confortablement de leur business. Et ça par des conseils qui sont vulgarisés, par une approche de l'information qui est simplifiée, qui permet d'être beaucoup plus confortable dans sa gestion du business. Et ça, pour moi, c'est tout ce qui compte, en fait. Et derrière, on va vous préparer. Je ne vais pas du tout, du tout vous spoiler ce que c'est, parce que c'est tellement frais que ce n'est pas encore signé, il n'y a rien. Mais on vous prépare l'étape supérieure, l'étape suivante, non pas en termes d'offres, mais en termes de contenu. C'est-à-dire que dans l'évolution de CoachTron Business, il y a une suite à ça, il y a une suite à CoachTron Business. Et je vais vous... Je vais vous expliquer tout ça. Il va y avoir vraiment une belle série à ce niveau-là avec quelqu'un que vous connaissez aussi peut-être. J'ai très très hâte. Et voilà, dans ce sens-là, j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Et je pense que c'est le premier truc où vous devez vous poser des questions. C'est pourquoi est-ce que je n'arrive pas à gagner de l'argent ? Est-ce que j'ai envie d'en gagner ? Ou est-ce que je me bloque à en gagner ? Et moi, c'est un truc que j'ai tout de suite déconstruit. Ça, c'est un truc, si vous voulez être confortable dans votre vie, il va falloir assumer vendre, il va falloir assumer gagner de l'argent. il va falloir assumer ces choses là parce que sinon vous allez continuer à faire du bénévolat et puis ça va pas le faire et c'est pas une mauvaise chose si vous voulez aller voir j'ai parlé plusieurs fois de ça dans des épisodes. Il y a un épisode complet consacré à ça qui a fait aussi beaucoup, beaucoup de retours. J'ai eu beaucoup de messages par rapport à cet épisode-là. Et d'ailleurs, j'en profite, en fait, si vous écoutez cet épisode, n'hésitez pas à lui mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, parce qu'en fait, ça m'aide à le faire connaître. C'est comme ça qu'il a eu un prix, il a été connu, il y a beaucoup de gens qui l'écoutent. Et si vous êtes sur YouTube, mettre un pouce bleu et puis vous abonner aussi parce qu'il y a beaucoup d'abonnements fantômes, en fait il y a des gens qui regardent mais qui s'abonnent pas donc abonnez-vous Comme ça, vous êtes sûr que vous avez à chaque fois les vidéos. Et surtout qu'il y a une playlist qui s'appelle 15 minutes rentables. Et en fait, c'est une playlist où c'est que des petites vidéos comme ça, où ça vous aide justement à faire des petites actions comme ça pour rendre votre business davantage rentable en Suisse. Notamment, il y a le calculateur de rentabilité. Comment est-ce qu'on calcule sa rentabilité ? Et il y a aussi plein d'actions au niveau marketing, chercher des clients, etc. qui vont vous permettre d'être rentable. Pour moi, ce n'est pas le prix de départ de votre offre. C'est-à-dire qu'on va vous dire de faire du high ticket, vente en offre de 3000 balles, etc. En fait, ce n'est pas avec ça que j'ai commencé. J'ai commencé tout petit. J'ai commencé avec une offre à 99 francs qui aujourd'hui fait tourner un business qui va continuer de grandir. C'est vraiment la valeur perçue. C'est la clarté de ce que vous allez proposer de votre offre, de votre écosystème. C'est se concentrer sur les bonnes choses. Et c'est toute la stratégie qui va l'entourer. Et c'est vous, en fait, comment vous vous positionnez. Est-ce que vous voulez vraiment une entreprise ou est-ce que vous voulez juste rester vous à votre compte, trouver des petits clients, comprendre, etc. C'est vraiment important de le comprendre. j'ai beaucoup de clients qui ont eu ce déclic là en travaillant avec moi en me disant mais en fait je me rends compte que je veux plus je veux pas m'arrêter à À être freelance, je veux vraiment développer une entreprise, etc. Ça, c'est très important. Donc, les piliers très clairs, c'est qu'au début, je pense qu'il faut démarrer avec quelque chose de très clair, un problème très clair identifié sur votre marché. Il faut avoir un prix qui est accessible pour qu'on apprenne à vous connaître, qu'on apprenne un peu de votre pédagogie et ce que vous faites. Et du coup, il faut avoir une qualité pédagogique aussi, surtout si vous voulez partir dans ce domaine-là. Et surtout, avoir une suite cohérente, un écosystème et puis un système de vente qui va être en accord avec votre domaine. en accord avec les clients que vous allez chercher, en accord avec vous, en fait, tout simplement. Et pour ça, en fait, j'ai un dernier petit exercice de passage à l'action pour vous. De nouveau, je le rappelle, je ne suis pas en dépression, vous n'inquiétez pas, j'ai juste pas le peps aujourd'hui pour, voilà, surtout que j'ai faim, là, au moment où je tourne cet épisode, et puis j'ai cinq heures de consulting cet après-midi. Voilà, ça aussi, c'est un truc que je vais arrêter, mais je pourrais en reparler, de la charge de travail, je pourrais en reparler, c'est juste que j'ai pas encore la structure de comment je vais vous en parler, de comment est-ce que je gère les choses, parce que fondamentalement, je les gère hyper bien. donc Voilà, c'est un fait. Je vais un petit peu m'en plaindre, mais je les gère quand même hyper bien. Alors, j'ai trois questions que vous pouvez vous poser. Un, est-ce que vous êtes au courant du problème concret que vous savez résoudre aujourd'hui dans votre entreprise ? Est-ce que vous êtes confiant de ce que vous aidez à faire ? Est-ce que c'est précis ? Ou est-ce que vous êtes sur 1000 francs en même temps ? Le deuxième, c'est est-ce que vous pouvez formuler une seule offre claire qui résout ce problème et qui offre un tarif accessible ? Vraiment, si vous êtes dans l'optique de la faire grandir, est-ce que vous pouvez vous focaliser uniquement sur ça pour faire grandir l'entreprise ? Ensuite... Posez-vous la question, une fois que j'ai ça, une fois que je l'ai fait grandir, quelle est la suite logique pour travailler avec vous ? Comment est-ce que vous suivez vos clients sur toute une durée de vie par rapport à ce que vous proposez dans votre business ? Moi, ce que je vous propose de faire, c'est créer vraiment une fiche qui va venir prendre toutes vos offres, leurs objectifs, le prix et la suite logique de chaque offre. Et ensuite, d'aller voir justement avec vos prospects, vos clients, des personnes qui pourraient être intéressées par ce que vous faites. Il y a un truc très important auquel j'ai... J'ai pas parlé mieux vaut fait que parfait. Je crois que je l'ai déjà souvent dit, mais je pense que ça vaut le coup de le redire. Mieux vaut fait que parfait. J'ai commencé avec une toute petite offre qui était loin d'être parfaite. Il n'y avait pas de présentation au début dans Coach Ton Budget. Il n'y avait même pas de vidéo avec les slides. Il n'y avait pas de slides, il y avait juste moi qui parlais. J'ai commencé avec un truc tellement claqué pour moi aujourd'hui, mais qui m'a permis d'aller tellement loin d'un point de vue professionnel qu'aujourd'hui, j'ai aucun doute sur ma capacité d'aller encore plus loin. Et ce que j'aimerais vous inspirer dans ce sens-là, c'est que, ça je le répète, parce que je sais que j'ai eu écho il n'y a pas longtemps du fait que c'était un peu culpabilisant de me voir moi skyrocket alors que d'autres sont là depuis dix ans et puis qu'ils ne font pas mes chiffres et qu'ils ne font pas mes résultats, etc. J'entends, mais un, j'y mets beaucoup d'énergie, j'ai le background qui me permet de faire ça, j'ai les connaissances, je ne pars pas de nulle part, et trois, pourquoi vous ne venez pas travailler avec nous si c'est ce que vous cherchez ? Donc voilà. N'hésitez pas à mettre en commentaire, posez vos questions sur Spotify, vous pouvez mettre des commentaires. à en lâcher plein. Moi, je vais vous laisser pour entamer mon après-midi de consulting. J'ai tellement hâte de vous montrer les prochains contenus qu'on va sortir. Il y a une émission qui va sortir en fin d'année. J'ai tellement hâte de vous en parler. J'ai tellement hâte, ça va être incroyable. C'est aussi ça, c'est s'éclater dans la création de contenus. Et puis voilà, la next step. Je pense que... Ah, mais en fait, si vous devinez ce que c'est la next step, mettez en commentaire. Je serais curieuse de voir. Et puis surtout, mettez avec qui ça va être. Ça serait encore plus drôle. Et voilà, je me réjouis du prochain épisode. La semaine prochaine, on va parler de rentabilité de YouTube. Et en attendant, je vous souhaite tout de bon, beaucoup de bonheur dans votre business, beaucoup d'épanouissement, le même que je peux avoir et je vous dis à tout bientôt

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Description

Dans cet épisode, je partage comment une simple formation à 99 CHF, Coach Ton Budget, est devenue le tremplin vers un business à 6 chiffres.

Tu vas découvrir les 5 piliers d’un produit d’appel efficace, la logique de montée en gamme, et pourquoi la clarté prime sur la complexité.

Un épisode concret, motivant et 100 % applicable pour les indépendant·e·s et entrepreneur·e·s en Suisse.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    En 2023, j'ai sorti un tout premier produit digital que j'avais vendu à 29 francs, qui s'appelait Module 1 de Coach Ton Budget. J'ai, au fur et à mesure du temps, vendu le Module 2, Module 3, Module 4, à chaque fois à peu près au même prix, entre 29 et 33 francs, jusqu'à ce que je me rende compte qu'il fallait que je l'uniformise dans une seule et unique formation qui s'appelait du coup Coach Ton Budget. Coach Ton Budget, je l'ai vendu à 99 francs. Et ça a été le point de départ de tout mon business. Sauf qu'à ce moment-là, j'étais absolument pas au courant. Alors dans cet épisode un petit peu spécial, j'aimerais revenir sur... les leviers de scalabilité ou de passage à l'échelle que j'ai utilisés dans mon entreprise pour vous montrer qu'aujourd'hui, on va terminer à l'heure où je parle, si les prévisions s'appliquent, mais on est dans un worst case scénario. On va franchir la barre des 400 000 francs de chiffre d'affaires cette année. Et entre 2024 et 2025, ça veut dire qu'au total, alors que l'activité a commencé l'année dernière, l'activité aura fait le 2 000 000 de francs de chiffre d'affaires. Alors, ce qui est important, c'est que je vais vous parler de leviers qui m'ont permis de structurer mes offres et de la vente. de les vendre, de les faire évoluer, de bâtir en gamme d'un point de vue cohérent, cohérence pour dépasser déjà d'un premier point les 100 000 francs de chiffre d'affaires. Mais surtout, vous savez très bien et ça je le dis en tant que disclaimer, là je vous parle de chiffre d'affaires il ne faut pas que ça miroite chez vous des choses exceptionnelles en mode elle se fait une pétée de cash, etc. Il faut toujours prendre en considération derrière les marges de l'entreprise, vos dépenses, vos charges pour comprendre derrière évidemment la rentabilité du business et ce que ça apporte pour vous. quelle mission ça vient accomplir et c'est vraiment ça que j'aimerais mettre en lumière parce qu'aujourd'hui on aime bien faire miroter des énormes chiffres d'affaires sauf que moi je parle énormément de rentabilité et c'est ça que j'aimerais vous montrer c'est comment est-ce qu'on bâtit une société qui est rentable, qui nous fait du bien, qui fait du bien aux gens, qui a une vraie mission et c'est l'objectif de cet épisode aujourd'hui tout d'abord bienvenue sur coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes. Et puis si tu l'aimes encore plus, tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Alors il faut savoir que quand j'ai lancé Coach ton budget, moi j'avais une vision très très simple. Je voulais vraiment aider les gens à mieux gérer leur argent avec une méthode qui est accessible, concrète et puis qui est sans jargon. Sachant que je viens quand même du milieu d'économie d'entreprise, donc j'ai fait de la comptabilité, j'ai été à un moment donné assistante comptable. Je pourrais utiliser un jargon qui est très complexe, mais volontairement sur les réseaux sociaux, je le vulgarise énormément. Parce que je sais que ça a été ma réelle force d'être pédagogue, de montrer comment ça fonctionne, de simplifier des choses qui ont l'air complexes. Très simple en vérité. Alors du coup, au début, ce n'était pas un énorme programme. Ce n'était pas une usine à gaz, ce n'était pas... Voilà, c'était juste une formation qui était très claire, très structurée à 99 francs. Je vous dis ça comme si je parlais au passé, elle existe toujours. Elle est toujours vendue, vous pouvez toujours prendre coach son budget, vous pouvez toujours mettre à jour vos finances. C'est juste que j'ai compris des points que je vais vous expliquer plus tard dans la vidéo ou dans le podcast, si vous écoutez ça sur Spotify. Cependant, ce qu'il faut comprendre, c'est que cette offre, pour moi, elle a posé les bases de tout le reste. C'est-à-dire que je l'ai sorti quand j'étais encore salariée. À ce moment-là, aucun moment. Je me suis dit que j'allais être prédestinée pour devenir chef d'entreprise, parce que vous savez aujourd'hui j'ai des employés, j'ai une entreprise qui grandit, je me pose des questions de passage à l'échelle parce que je me demande quelle taille j'ai envie d'avoir, combien de personnes j'ai envie d'avoir sous moi, quel chiffre d'affaires j'ai envie de faire, où est-ce que je veux aller avec ma société, je me pose ce genre de questions actuellement. Et vous voyez qu'aujourd'hui j'ai pas forcément trop le sourire, j'ai pas ce peps comme ça que vous voyez d'habitude dans les vidéos. Pourquoi ? Parce que je passe une zone de turbulence assez importante d'un point de vue émotionnel. Donc vraiment, le business n'a jamais été aussi bien. On a franchi des paliers. Vous allez voir, je vais vous expliquer un petit peu plus tard. Mais il y a des moments comme ça où c'est difficile émotionnellement parce qu'on se pose des questions fondamentales. Et moi, je suis toujours très, très, très alignée. J'ai toujours besoin de réfléchir les choses pour savoir si c'est aligné avec moi et ce que j'ai envie de faire. Et du coup, dans ces phases-là, je suis toujours en train de remuer. Donc si j'ai l'air un peu triste, c'est normal. Je ne suis pas triste. Je suis plutôt en train de me poser des questions assez fondamentales. Cette offre, comme je le disais, elle a posé les fondations de vraiment tout le reste de mon business. Elle a été l'occasion de faire mes premières ventes. J'ai eu mes premières clientes qui sont restées tellement clientes fidèles que je les accompagne aujourd'hui dans Coach Ton Business. Ça a été ma réputation parce que j'ai eu très, très vite beaucoup, beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux. Vous savez que toutes plateformes confondues, je cumule près de 115 000 abonnés, ce qui n'est pas rien pour quelqu'un qui est en Suisse. Ça a été aussi le début de mes contenus parce que j'ai énormément parlé d'éducation financière sur les réseaux en long, en large et en travers. Et surtout de ma montée en gamme. Parce qu'en fait, ce qui s'est passé, c'est que quand j'ai quitté mon job, je me suis posé une question assez fondamentale que j'ai expliquée dans une newsletter que j'ai envoyée il y a quelques semaines. Comment est-ce que je vais faire pour vivre de mon business ? Parce que j'avais un très bon salaire et je me suis dit, si je dois vivre avec mon salaire, si je dois avoir le même salaire que j'avais précédemment, il faut que j'ai au moins 10 000 francs de chiffre. d'affaires par mois pour être confortable financièrement. Et du coup, ça a été la claque, parce que chaque mois, ça voudrait dire qu'il fallait vendre pour à peu près 10 000 francs de coût de chambre budget, sachant que je n'ai jamais eu l'intention de partir à l'étranger, j'ai jamais eu l'intention d'expatrier l'offre, de le vendre en France ou dans d'autres pays, de changer de langue, etc. En fait, il y a clairement eu un plafond de verre à avoir, et les coûts d'acquisition devenaient de plus en plus chers, c'est-à-dire que pour un produit vendu à 100 francs, on pouvait avoir 50 à 60 francs de coût d'acquisition sur Meta. Donc ce qui casse en deux la rentabilité du produit. Et si derrière, il y a des charges d'entreprise ou des charges personnelles, etc., c'était clairement pas rentable, en fait. Donc en fait, de prime abord, vous avez peut-être vu Antoine BM qui vend des formations, qui vend toutes ces choses-là. Et puis c'est fabuleux, ça marche. Mais ce sont des gens qui ont des très grosses audiences, donc qui sont internationales, des francophones internationaux. Et c'était pas mon cas. Et surtout, ce que j'aimerais mettre en lumière par rapport à ça, c'est que sur le papier, c'est génial. Mais derrière, en termes de temps, passer à marketer la formation ou ce que vous voulez vendre en termes de produits digitaux, c'est tellement énergivore et ça coûte tellement d'argent. Enfin, ça peut coûter tellement d'argent, surtout si vous êtes mauvais dans ce que vous faites. D'un point de vue marketing, je dis, vous allez perdre beaucoup d'argent. Et ce n'est pas du tout une forme de revenu passif. Au contraire, en fait, ça devient vraiment un gouffre de temps. Et si vous n'êtes pas à l'aise avec le marketing que vous faites, ça ne va être pas bon. Et donc, moi, au contraire, j'étais très bonne en marketing. Enfin, je suis toujours très bonne en marketing. Je sais faire des contenus qui percutent. Je sais réunir des audiences. Je sais créer des communautés. je sais aussi expliquer les choses pédagogiquement et dans ce sens là c'est pour ça que tout a toujours été facile pour moi ça a toujours été du beurre de faire les choses comme ça ce qui a été moins du beurre ça a été de scaler et de passer à l'échelle mais je vais vous expliquer un petit peu plus tard donc à ce jour en fait aujourd'hui évidemment on m'a posé souvent la question mais est-ce que tu vis de tout ça le moment où j'ai quitté mon job ça a pris quelques mois avant que je sois vraiment confortable mais disons que plusieurs mois même parce que en fait je réinvestissais systématiquement tout tout tout mon argent dans la boîte Je voulais qu'elle grossisse, je voulais avoir plus d'impact, je voulais avoir des plus gros chiffres, je voulais avoir plus de volume. Et surtout, la première montée en gamme que j'ai faite, c'était aussi par rapport à moi, c'était personnel. En fait, les gens me prenaient pour une conseillère financière et j'avais le choix de partir dans cette optique-là, je ne sais pas, de faire une formation Swiss Life ou j'en sais rien, vraiment de me spécialiser là-dedans et d'accompagner les gens là-dedans ou de me connecter avec ma vraie puissance, c'est-à-dire créer des entreprises et les faire monter d'un point de vue chiffre, data, client, CA, etc. Parce que c'est ce que j'ai fait avant. J'étais spécialiste acquisition client, mais j'ai aussi fait tout ce qui était accompagnement. J'ai été bras droit de CEO pour développer les entreprises, etc. Et en fait, c'était ça qui me nourrissait. Donc à ce moment-là, j'ai créé Coach ton business et j'ai fait un produit qui se basait sur le méthode Lean Startup pour sortir quelque chose de terre et puis pour le vendre, pour le développer. Donc ça, c'est toutes les méthodes Lean Startup que j'utilise. dans Coach ton business. Évidemment, je les ai vulgarisés, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus pédagogues, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus accessibles à monsieur et madame tout le monde, surtout dans le cas où on veut créer un business. Et en fait, c'est là que j'ai fait mon premier passage à l'échelle et que j'ai commencé à taper dans du 10, 15 000 francs de chiffre d'affaires récurrent. Fin d'année 2024, j'ai commencé à me pencher sur l'élaboration d'une équipe parce que j'avais déjà des freelances qui travaillaient pour moi, mais j'avais besoin, en fait, j'avais toujours cette sensation d'avoir besoin d'être entourée, d'être accompagnée, d'avoir des gens avec moi. Et je pensais qu'il me fallait une associée, je pensais qu'il fallait quelqu'un... un bras droit avec qui je pouvais bosser. Je pensais qu'il fallait un monde égal, il fallait quelqu'un de collaboratif, de complémentaire avec moi pour faire. Et en fait, je vous avoue que je n'ai jamais trouvé cette personne. Je ne l'ai pas vraiment cherchée, mais je ne l'ai jamais trouvée. Et je me suis dit, il faut que je constitue une équipe parce que pas le choix, mon entreprise grandit, j'ai de plus en plus de demandes, je ne peux pas gérer cette demande toute seule, donc il faut que je grandisse. Et c'est là que j'ai commencé à recruter et à voir mon équipe qui a commencé à grandir avec plus que juste des freelances, mais vraiment ma première employe CDI, Eva, du coup. Et voilà. Mais ça, vous connaissez peut-être un petit peu l'histoire si vous écoutez le podcast régulièrement. Ce qui m'intéresse, c'est de vous montrer comment est-ce qu'on peut partir de ça pour monter une entreprise en Suisse, et particulièrement dans le cadre où on va venir la bootstrapper, c'est-à-dire que bootstrapper, c'est autofinancer une entreprise, c'est-à-dire que je n'ai pas d'investisseurs, je n'ai pas demandé d'argent à ma famille, de toute façon, ils n'en avaient pas, je n'ai pas demandé d'argent, je n'ai pas fait prêt à la consommation, je n'ai rien fait, j'ai vraiment autofinancé mon entreprise. Et je vous dis souvent que pour croître, il faut effectivement... réinjecter de l'argent dans sa société. En fait, pareil, si vous avez un capital à la maison que vous investissez, vous savez que si vous voulez voir votre capital croître, il faut remettre de l'argent dedans. Parce que tout seul, il va croître, mais il va croître à une vitesse beaucoup plus lente que si vous réinjectez de l'argent dedans. Le business, c'est pareil, il faut réinjecter de l'argent dedans. Ça veut dire que ça peut être dans les pubs, ça peut être dans de la main-d'oeuvre, ça peut être dans un nouveau site internet, ça peut être dans un logiciel qui va vous permettre d'automatiser les choses, ça peut être dans toutes ces choses-là. Plus le business est grand, plus les investissements deviennent majeurs. parce qu'ils vont avoir des impacts majeurs. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, si vous êtes dans une entreprise qui a plusieurs employés, une dizaine d'employés, et que vous cherchez à automatiser certains process, il y a de fortes chances que l'automatisation de certains process soit plus onéreuse parce que c'est plus grand, c'est plus important, parce que vous voulez développer un certain logiciel. parce que vous voulez développer des choses qui vont vous permettre de scaler votre activité. Donc c'est plus cher, mais en même temps, il y aura plus de retours sur investissement. C'est logique. La première chose, c'est que j'ai tout misé, j'ai misé, en fait, j'ai donné toute mon énergie dans une seule et unique offre. C'était coach ton budget. J'ai vu beaucoup, beaucoup d'indépendants qui lançaient plein de choses en même temps. Alors certes, au début, c'est bien d'avoir la vision de l'écosystème d'offres et puis de ce que vous voulez faire de votre entreprise, de savoir où, dans quel sens vous allez. Moi, j'ai toujours ça, même si je vous dis que je suis en train de me poser des questions. je sais où je vais en fait. Je sais juste pas exactement si je vais à droite ou à gauche, mais je sais où je vais, in fine. J'ai vu beaucoup de gens qui voulaient lancer 4-5 offres en même temps parce que c'est ça qu'ils proposent. Et en fait, il y a aussi beaucoup de prestataires de services, des thérapeutes, des coachs qui vont faire plein de choses. Donc, ils vont faire les massages, ils vont faire la consultation, ils vont vendre un accompagnement, ils vont faire des ateliers, ils vont faire plein de choses. Et en soi, ce n'est pas un truc que je critique parce que je pense que certaines personnes s'accomplissent là-dedans, elles sont très très bonnes là-dedans, il faut qu'elles continuent là-dedans. Mais si vous voulez avoir une entreprise qui se bâtit et qui se construit à partir vraiment d'un petit produit, que vous voulez bootstraper et que vous voulez faire vous agrandir en tant que vraie entreprise, ce ne sont pas les modèles les plus efficaces. Pourquoi ? Parce qu'en fait, votre énergie se dilue, votre chiffre d'affaires se dilue, vous faites beaucoup de choses en même temps et surtout, vous ne passez pas assez de temps sur tout ce qui est stratégique. Et ça, c'est ce qui va faire que vous n'êtes pas assez efficace dans votre développement entrepreneurial. Donc résultat, ce qui se passe, c'est que souvent, il n'y a rien qui décolle jamais vraiment. Surtout, vous n'êtes jamais vraiment bon dans la communication parce que vous faites tellement de choses que vous n'êtes pas assez pertinent dans une seule et unique offre que vous allez... sur laquelle vous allez venir vous focaliser, parce que vous savez qu'il y a un market fit et que vous savez que ce service va prendre un plus large volume. En fait, moi, c'est ce qui s'est vraiment passé avec Coach Ton Budget. J'avais une seule promesse unique, claire, c'est reprendre le contrôle de son budget personnel en Suisse. C'était ça. C'était tout, c'était tout ce que je faisais. Pendant que je n'ai pas travaillé sur Coach Ton Budget, c'était ça à 200%. Il n'y avait rien d'autre. Alors certes, j'étais salariée, mais en fait, mon temps libre, c'était ça. C'était que ça. Et j'ai tellement charbonné à faire connaître le programme qu'en une année, j'ai fait un certain nombre d'abonnés. Et j'ai fait des ventes organiques qui m'ont permis de ne pas investir en publicité, etc. Ce qui s'est passé aussi, c'est que j'ai eu très vite des résultats clients parce que j'ai fait du volume directement. Donc, trois mois, six mois après, j'ai direct des gens qui m'écrivaient en mode, ouais, j'ai réussi à mettre tant et tant de côté. J'ai fait tant et tant. Donc, je savais en fait que Coach Ton Budget avait un impact positif sur les personnes qui faisaient la formation. et ça m'a donné aussi le là pour la suite. C'est-à-dire que je savais que mon côté pédagogue était très valorisé dans les produits que je vendais, donc j'ai suivi exactement la même recette pour Coach Ton Business. Ensuite, la deuxième chose, c'est que quand j'ai créé Coach Ton Business, ça m'a fait du high-ticket. Donc la deuxième partie un petit peu de mon étape, ça m'a créé du high-ticket. Mais en fait, du high-ticket, si vous faites une année de high-ticket, c'est très bien, ça va faire un joli chiffre d'affaires. Sauf qu'en fait, si derrière, vous n'avez pas une lifetime value, c'est-à-dire une customer lifetime value, donc le client que vous ne le suivez pas dans son cycle ou que... on ne peut pas aller plus loin avec vous, que ça s'arrête, etc. En fait, votre business, vous êtes tout le temps dans l'acquisition de vos clients parce que vous ne pouvez pas garder ceux que vous avez. Donc moi, je connaissais ça. Enfin, la lifetime value, on en parle en long, j'ai travaillé en marketing tout le temps, surtout quand on a été dans du streaming. Donc j'ai dû penser mon business en mode suite, fidélisation, montée en gamme. Donc vraiment, j'ai structuré les choses pour que ça puisse suivre un follow-up. Alors je vous passe les détails parce que je n'ai pas non plus envie que ça fasse 40 minutes d'explication de ce que j'ai fait à la base, comment j'ai réfléchi ça dans le point A. comment j'ai réfléchi dans le point B, comment j'ai réfléchi dans le point C, parce que c'est très complexe et c'est le genre de choses que je réserve plutôt à mes clés en un point de vue explication, parce que c'est aussi du cas par cas souvent que je fais avec eux. Donc en fait, j'ai créé vraiment un écosystème qui allait me permettre, un, de ne plus diluer mon temps dans certaines choses, de pouvoir déléguer à une équipe et puis de pouvoir me concentrer moi sur ma zone de génie, c'est-à-dire l'accompagnement one-one des entrepreneurs. Et en fait, ce qui se passe, c'est que les gens rentrent de manière débutante ou alors de manière... Voilà, ils ont besoin de revoir les bases, les fondations. Ensuite, ils peuvent passer dans structuration parce qu'ils ont monté en gamme, eux aussi. Ils peuvent passer sur du one-one avec moi où vraiment on va venir taper dans des thématiques très cibles de l'entrepreneur, de la montée en gamme, de l'augmentation du chiffre d'affaires, du passage à l'échelle, etc. Chose sur laquelle je suis très forte parce que j'ai très vite compris les mécanismes et parce que mon business, c'est le meilleur exemple de ce que je sais faire. et en fait qu'après un an et demi d'accompagnement aussi sur certaines personnes, on voit aussi les résultats similaires sur les personnes qui... ont bien suivi rigoureusement les accompagnements et les conseils. Vendre une seule fois, ça ne va pas suffire. Donc par exemple, coach ton budget, c'était un one-shot à 100 francs. Ça ne suffisait pas. Il aurait fallu que je parte dans du one-one budget. Il aurait fallu que je parte dans un accompagnement peut-être pour revoir les assurances, peut-être revoir tout ça, partir dans vraiment un domaine de courtage en assurance. J'avais envie de vomir à l'idée de faire ça. Et en fait, il y a un truc qui m'a assez percutée, c'est que je n'avais pas du tout envie de faire du one-one budget. Impensable. Ça ne me motive pas, ça me saoule. C'est très difficile de venir déconstruire des money mindset chez les gens. C'est très difficile aussi de comprendre d'où ils viennent parce qu'il y a tout un parcours de vie aussi qui fait qu'ils sont là d'un point de vue financier. Et ça, c'est des choses où moi, j'ai trop de force dans ma tête pour comprendre certains parcours. C'est un peu égoïste à dire. parce que c'est un peu triste aussi de ma part vu que je suis très pédagogue et que j'ai tendance à vouloir vraiment comprendre la situation des gens mais en fait il y a vraiment des moments où je me suis dit j'ai réussi à me sortir de cette situation là et je sais que j'arriverai pas à sortir des gens de cette situation là parce que c'est trop embourbé et en fait je suis pas coach mindset je ne fais pas du mindset et c'est là où vraiment ma limite est très vite arrivée en fait pour moi il faut aller voir des personnes spécialisées dans l'accompagnement vraiment de blocage financier pour casser des barrières et puis pour passer des blocs dans sa vie financière. Et ça, je n'étais pas apte à le faire. Vraiment, je n'étais pas apte, je n'étais pas dans ma zone de génie, je n'étais pas la meilleure personne. Donc voilà, c'est pour ça aussi que j'ai créé Coach Ton Business. Alors, la troisième partie de comment est-ce qu'on en arrive là, de 99 francs à 400 000 francs de chiffre d'affaires en une année, et probablement plus l'année prochaine, on verra, ce sera drôle de regarder, ça fait x4 en une année, donc c'est pas mal, c'est pas dégoûtant. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que j'ai créé un écosystème. Je n'ai pas créé juste un produit. Mon objectif, ce n'était pas de vendre une formation parce qu'aujourd'hui, je trouve que c'est assez vite. Je le vois, en fait, il y a des préjugés de ouf, mais c'est une vendeuse de formation, etc. À la base, c'est né comme ça. Ça a été bootstrappé comme ça. C'est l'argent qui m'a permis de fonder mon entreprise. Mais aujourd'hui, on s'approche plus du consulting pur que de la formation. En fait, si je fais encore de la formation, c'est parce qu'il faut que je forme certains entrepreneurs à des thématiques clés de l'entreprenariat. Le marketing, la finance, etc. Et puis que ça, ce sont des produits qui sont structurables dans ce contexte-là. Mais de l'autre, j'ai très vite réalisé que moi, mon point fort, c'était du consulting. C'était vraiment d'aller voir ce qui clochait chez les gens et de leur réparer, de faire le mécano du business et puis de les faire repartir sur des meilleures bases. Et pour le coup, si je voulais faire comme ça, le consulting, ce n'est pas scalable en général. Soit vous scalez avec des gens, soit vous vous contatez devant de votre heure. Donc j'ai créé un écosystème qui me permettait de former des gens et de les faire venir à moi pour qu'ils soient fin prêts à venir travailler sur des thématiques ultra clés pour passer vraiment à l'échelle d'un point de vue business. Et l'objectif, en fait, c'était aussi de bâtir une relation. Parce que comme je vous le dis, moi, en fait, je m'en fous du volume de vente de Coach Ton Budget. Je m'en fous. Ça a été important à un moment donné parce qu'en fait, je me posais la question, comment est-ce que je vais vivre de mon business si je n'ai pas assez de volume de vente ? Mais plus tard, ce n'était plus du tout mon problème. Ça l'est, en fait, quand vous devez faire du volume et que vous n'avez pas la lifetime value derrière. Moi, en fait, les clients, ils me suivent pendant tellement longtemps qu'il y a une LTV derrière. Et que du coup, ce n'est pas le nombre de clients que je vais rentrer qui va être important. c'est combien de temps ils restent avec moi jusqu'à qu'ils aient des résultats. Évidemment, moi, je veux que ce soit le plus court possible, mais selon la personne, c'est plus ou moins long, parce qu'aussi la personne, elle se rend compte, soit qu'elle a plus de lacunes et qu'il faut travailler un peu plus longtemps, ou soit qu'en fait, elle voit qu'elle peut aller très très vite dans des paliers et que du coup, elle veut continuer avec moi pour la suite des paliers. Donc, c'est cette relation de confiance aussi que j'ai cherché à bâtir au fur et à mesure du temps et qui fait qu'aujourd'hui, en fait, c'est les clients qui bossent avec moi. Et bien sûr, il n'y a pas 100% de taux de réussite, je ne dis pas ça. je dis juste que il y a une relation de confiance qu'en fait ils savent qu'ils peuvent compter sur moi pour leurs objectifs business Et véritablement, c'est ça qui fait que le chiffre d'affaires est nourri, parce que les clients reviennent, ils redépensent, ils restent, parce qu'ils savent qu'ils vont avoir du contenu et qu'ils savent qu'ils peuvent continuer de bosser avec moi pour atteindre leurs objectifs. Et qu'en fait, dans le business, on peut ne pas s'arrêter juste à un objectif, on peut en faire plein et on peut continuer de gravir les échelons. Donc ça, c'est génial. Qu'est-ce qui s'est passé dans ce cas-là ? Enfin, qu'est-ce que j'ai fait dans ce cas-là ? J'ai créé un tunnel qui est hyper clair. Là, en plus, d'ailleurs, on est en train de créer un nouveau tunnel de vente avec quelque chose qui est... coder, embed, ça va être vraiment plus que juste un PDF, juste une vidéo, etc. Ça va être beaucoup plus puissant que ça. Tunnel très clair, séquence, proposition, etc. Pédagogie qui est identifiée, c'est-à-dire qu'on est vraiment sur un format très suisse. Et j'accepte très peu de... En fait, quand on me demande, oui, mais je suis en France, etc. J'accepte, je ne dis pas non, mais on n'est pas dans un produit qui est fait pour un marché externe. On est dans un produit qui est 100% suisse, qui s'adapte à la réalité du marché suisse. Je le dis souvent, un Français peut-être avec 30-40 000 euros de chiffre d'affaires, il va pouvoir quitter son job. En Suisse, avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires, on ne quitte pas son job. On ne peut pas vivre avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires en Suisse. Donc, toute la pédagogie est issue de ça. Et surtout, en fait, que le coût d'acquisition digital ici en Suisse est tellement élevé que la scalabilité peut être tellement élevée que la scalabilité suisse, il faut la réfléchir autrement. Il faut aller chercher d'autres canaux d'acquisition. Et ça, c'est ce qu'on travaille justement dans Coach ton business. Et c'est la pédagogie vraiment que j'ai créée tout autour de mon produit, de mes produits et de ma manière d'accompagner. Et ensuite, j'ai jamais arrêté de communiquer. Je n'ai jamais arrêté de poster des podcasts, de faire mes reels, de faire mes carousels. Je n'ai jamais arrêté de poster. Jamais, jamais, jamais. Quand vous vous lancez, je suis désolée, ça va peut-être vous plomber le moral, l'ambiance, j'en sais rien. Quand vous commencez à poster, quand vous commencez à parler, il y a la phase de lancement. Si vous pensez que c'est la fin de vos efforts marketing, brace yourself, ce n'est que le début. Le moment où vous lancez quelque chose, c'est que le début. À partir de là, soit vous optez pour des stratégies qui sont justement planifiées au fur et à mesure de l'année. soit vous êtes sur une stratégie evergreen qui tient toute l'année. Mais même la stratégie evergreen, il faut la modifier de temps en temps. Donc même ça, il faut revoir les choses. Donc votre part de marketing dans votre business, il est tellement important que vous ne pouvez pas, en fait, juste vous contenter d'avoir une offre sur votre site internet et de poster des reels de temps en temps. Et moi, ça a vraiment été ma force, c'était de la régularité. dans tout ce que je faisais. À ce jour, et merci, c'est encore plus possible avec l'équipe, il n'y a pas un trou dans le calendrier. Il n'y a pas un moment où on ne poste pas, parce que ça va aussi en lien avec les objectifs de la boîte. C'est que si je veux atteindre des objectifs de visibilité, de chiffre d'affaires, de scalabilité, etc., derrière, les efforts doivent suivre. Donc si je veux du x10, mes efforts sont x10. Si je veux du x100, mes efforts sont x100. Et ça, c'est un truc, je suis intransigeante avec moi-même. Mais c'est aussi pour vous dire que c'est parce que c'est mon objectif. C'est moi qui fixe ça. Et c'est parce que je suis à l'aise avec ça aussi. Si vous n'êtes pas à l'aise avec ça, il faut faire des objectifs qui sont vraiment associés à ce que vous, vous voulez faire dans votre business. Si vous voulez faire du x1, x2, faites du x1, x2. Si vous voulez faire du x100, x200, x300, x1000, faites-le. C'est vous qui devez être à l'aise et aligné avec ce que vous faites. Moi, je suis sans part sans aligné. Je n'ai pas d'enfant, je n'ai pas ma famille, je suis entourée des meilleures personnes, donc je n'ai pas besoin de voir 150 personnes pour sociabiliser, au contraire. Je sais où je vais et comment je vais. Et en fait, c'est ça qui fait que mes objectifs sont super vite atteints et confortablement parce qu'ils sont... extrêmement alignées avec ce que je veux dans ma vie et ce que je veux faire. Donc du coup, tunnel, pédagogie, communication, système, tout ça, c'est ce qui m'a permis vraiment de lancer régulièrement des nouvelles offres sans stress, de convertir sans jamais forcer personne. Je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai jamais forcé quelqu'un avec des techniques douteuses de marketing, avec du... Je n'ai jamais forcé quelqu'un. J'ai mis des limites parce qu'il fallait en mettre légalement parlant, mais je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai aucun intérêt à faire rentrer quelqu'un qui n'a pas vu la valeur du programme pour lui, qui a besoin d'être convaincu. Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais. Donc pareil, si vous voulez qu'on bosse ensemble, si vous vous doutez encore un petit peu, moi je vous conseille d'aller regarder les autres épisodes que j'ai faits, d'aller regarder aussi les partenaires avec qui je bosse, d'aller regarder les résultats clients. On va poster une page dans pas longtemps pour vous montrer un petit peu les résultats qu'on a eus avec les clients qui ont été d'accord de les montrer. Et surtout, voilà, podcast qui avait quand même été salué meilleur podcast suisse en début d'année. le nombre d'abonnés, le nombre de clients, le chiffre d'affaires croissant. Moi, je vous invite à regarder un petit peu les autres contenus que je fais pour vous rendre compte si je suis la personne avec qui vous avez envie de bosser ou mon équipe, d'ailleurs, et à prendre un appel découverte pour qu'on discute ensemble. Mais si vous sentez que c'est pas la bonne énergie ou c'est... Voilà. Moi, je suis complètement OK avec le fait que vous continuez de consommer mon podcast gratos et que ça vous aide et que... Et ça suffit, en fait. Je suis très contente avec ça. Ne vous inquiétez pas pour ça. Donc, voilà. Convertir sans forcer et puis surtout être visible tout en restant toujours alignée avec ce que je faisais. C'est-à-dire que je n'ai jamais pris une agence ou quelqu'un qui allait me faire du contenu pour m'en décharger, qui n'était plus en ligne avec moi-même. J'ai toujours, toujours été, j'ai toujours supervisé ma stratégie de contenu, même avec Eva. Et j'ai toujours choisi aussi des alignements qui sont vraiment par rapport à mon objectif du moment, l'objectif du business, qu'est-ce qu'on cherche et qui je suis, ce que je veux, etc. Enfin voilà, toujours été très important. Donc aujourd'hui, ce qui est important à comprendre, c'est qu'une très grande partie de mes clients... alors dans coach ton business c'est très élevé mais par contre si on regarde la totalité donc avec coach ton budget mais c'est parce que c'est un produit qui est B2C versus un produit qui est B2B c'est un peu différent, on a quand même beaucoup beaucoup beaucoup de personnes qui restent dans l'écosystème parce que ils voient l'intérêt de travailler avec nous et ils voient la valeur de la transformation parce qu'on s'arrête pas juste à vendre des pépettes et des foie-cats, des trucs comme ça, on vend vraiment une structuration et un alignement avec la personne qui cherche des résultats business parce qu'elle a vraiment envie de réaliser un projet de vie d'un point de vue business, super important à comprendre Et la partie 4, ce qui est important de comprendre, c'est que le shift pour moi depuis une année maintenant, je dirais, ça a été vraiment la partie positionnement d'un point de vue personnel. C'est-à-dire que je me suis comportée à partir du moment où j'ai vu que ça grandissait comme une chef d'entreprise. Donc c'est quoi se comporter comme une chef d'entreprise ? Ça veut dire que j'ai pensé tout mon business comme un écosystème, je l'ai considéré comme une entreprise, je l'ai tout de suite structuré comme une entreprise. j'ai juste pas toujours eu confiance dans là où je pouvais aller, dans ma force de frappe. Ça a été mon seul défaut, je dirais. Et du coup, je n'ai pas pensé que j'allais aller aussi loin aussi vite. Et maintenant, je me rends compte de ce que je peux faire et je suis beaucoup plus capable de moi-même décider de la vitesse. C'est-à-dire que si je trouve que ça ne va pas assez vite, je sais que je peux accélérer. Si je trouve que ça va trop vite, je peux décélérer. Si je trouve que je n'ai pas envie d'aller aussi loin, je peux décélérer. Et tout ça, je pense que c'est hyper important à comprendre et c'est une connaissance de moi-même à laquelle j'ai toujours fait attention dans ma manière de gérer mon business. donc voilà j'ai toujours suivi mes chiffres j'ai toujours réinvesti dans mes systèmes parce que si vous voulez pas réinvestir dans votre business mais plutôt vous achetez des Rolex ou des trucs comme ça sachez que ça va juste empêcher votre business de grandir j'ai toujours travaillé ma conversion j'ai toujours travaillé mes taux de conversion qui est-ce que je fais rentrer, qui est-ce que je fais pas rentrer j'ai toujours vraiment fait attention à ça et j'ai toujours écouté aussi les retours clients c'est-à-dire que si j'ai quelqu'un qui est pas content dans les faits on fait beaucoup beaucoup beaucoup de sondages clients avec Eva, je me concentre sur vraiment la problématique. Est-ce que c'est lié à cette personne spécifiquement ? Est-ce que c'est un problème dans l'accompagnement au global ? Est-ce qu'on peut changer des choses ? Et c'est aussi comme ça que j'ai revu tout l'écosystème de cette année et que malgré les conseils de mon consultant sur certaines choses, j'ai décidé de faire à ma sauce parce que je voyais que c'était demandé par les clients et par les prospects aussi parce que c'est important d'écouter les prospects également. J'ai essayé de demander par les prospects et c'est ça qui fait qu'en fait savons parce que c'est directement du market fit parce qu'on a écouté les retours clients. Et comme vous écoutez mon podcast et que je parle beaucoup de thunes, moi j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Au bout d'un moment, je pense que je développe une entreprise qui est très utile parce qu'on a aidé quand même beaucoup d'indépendants en Suisse à vivre confortablement de leur business. Et ça par des conseils qui sont vulgarisés, par une approche de l'information qui est simplifiée, qui permet d'être beaucoup plus confortable dans sa gestion du business. Et ça, pour moi, c'est tout ce qui compte, en fait. Et derrière, on va vous préparer. Je ne vais pas du tout, du tout vous spoiler ce que c'est, parce que c'est tellement frais que ce n'est pas encore signé, il n'y a rien. Mais on vous prépare l'étape supérieure, l'étape suivante, non pas en termes d'offres, mais en termes de contenu. C'est-à-dire que dans l'évolution de CoachTron Business, il y a une suite à ça, il y a une suite à CoachTron Business. Et je vais vous... Je vais vous expliquer tout ça. Il va y avoir vraiment une belle série à ce niveau-là avec quelqu'un que vous connaissez aussi peut-être. J'ai très très hâte. Et voilà, dans ce sens-là, j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Et je pense que c'est le premier truc où vous devez vous poser des questions. C'est pourquoi est-ce que je n'arrive pas à gagner de l'argent ? Est-ce que j'ai envie d'en gagner ? Ou est-ce que je me bloque à en gagner ? Et moi, c'est un truc que j'ai tout de suite déconstruit. Ça, c'est un truc, si vous voulez être confortable dans votre vie, il va falloir assumer vendre, il va falloir assumer gagner de l'argent. il va falloir assumer ces choses là parce que sinon vous allez continuer à faire du bénévolat et puis ça va pas le faire et c'est pas une mauvaise chose si vous voulez aller voir j'ai parlé plusieurs fois de ça dans des épisodes. Il y a un épisode complet consacré à ça qui a fait aussi beaucoup, beaucoup de retours. J'ai eu beaucoup de messages par rapport à cet épisode-là. Et d'ailleurs, j'en profite, en fait, si vous écoutez cet épisode, n'hésitez pas à lui mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, parce qu'en fait, ça m'aide à le faire connaître. C'est comme ça qu'il a eu un prix, il a été connu, il y a beaucoup de gens qui l'écoutent. Et si vous êtes sur YouTube, mettre un pouce bleu et puis vous abonner aussi parce qu'il y a beaucoup d'abonnements fantômes, en fait il y a des gens qui regardent mais qui s'abonnent pas donc abonnez-vous Comme ça, vous êtes sûr que vous avez à chaque fois les vidéos. Et surtout qu'il y a une playlist qui s'appelle 15 minutes rentables. Et en fait, c'est une playlist où c'est que des petites vidéos comme ça, où ça vous aide justement à faire des petites actions comme ça pour rendre votre business davantage rentable en Suisse. Notamment, il y a le calculateur de rentabilité. Comment est-ce qu'on calcule sa rentabilité ? Et il y a aussi plein d'actions au niveau marketing, chercher des clients, etc. qui vont vous permettre d'être rentable. Pour moi, ce n'est pas le prix de départ de votre offre. C'est-à-dire qu'on va vous dire de faire du high ticket, vente en offre de 3000 balles, etc. En fait, ce n'est pas avec ça que j'ai commencé. J'ai commencé tout petit. J'ai commencé avec une offre à 99 francs qui aujourd'hui fait tourner un business qui va continuer de grandir. C'est vraiment la valeur perçue. C'est la clarté de ce que vous allez proposer de votre offre, de votre écosystème. C'est se concentrer sur les bonnes choses. Et c'est toute la stratégie qui va l'entourer. Et c'est vous, en fait, comment vous vous positionnez. Est-ce que vous voulez vraiment une entreprise ou est-ce que vous voulez juste rester vous à votre compte, trouver des petits clients, comprendre, etc. C'est vraiment important de le comprendre. j'ai beaucoup de clients qui ont eu ce déclic là en travaillant avec moi en me disant mais en fait je me rends compte que je veux plus je veux pas m'arrêter à À être freelance, je veux vraiment développer une entreprise, etc. Ça, c'est très important. Donc, les piliers très clairs, c'est qu'au début, je pense qu'il faut démarrer avec quelque chose de très clair, un problème très clair identifié sur votre marché. Il faut avoir un prix qui est accessible pour qu'on apprenne à vous connaître, qu'on apprenne un peu de votre pédagogie et ce que vous faites. Et du coup, il faut avoir une qualité pédagogique aussi, surtout si vous voulez partir dans ce domaine-là. Et surtout, avoir une suite cohérente, un écosystème et puis un système de vente qui va être en accord avec votre domaine. en accord avec les clients que vous allez chercher, en accord avec vous, en fait, tout simplement. Et pour ça, en fait, j'ai un dernier petit exercice de passage à l'action pour vous. De nouveau, je le rappelle, je ne suis pas en dépression, vous n'inquiétez pas, j'ai juste pas le peps aujourd'hui pour, voilà, surtout que j'ai faim, là, au moment où je tourne cet épisode, et puis j'ai cinq heures de consulting cet après-midi. Voilà, ça aussi, c'est un truc que je vais arrêter, mais je pourrais en reparler, de la charge de travail, je pourrais en reparler, c'est juste que j'ai pas encore la structure de comment je vais vous en parler, de comment est-ce que je gère les choses, parce que fondamentalement, je les gère hyper bien. donc Voilà, c'est un fait. Je vais un petit peu m'en plaindre, mais je les gère quand même hyper bien. Alors, j'ai trois questions que vous pouvez vous poser. Un, est-ce que vous êtes au courant du problème concret que vous savez résoudre aujourd'hui dans votre entreprise ? Est-ce que vous êtes confiant de ce que vous aidez à faire ? Est-ce que c'est précis ? Ou est-ce que vous êtes sur 1000 francs en même temps ? Le deuxième, c'est est-ce que vous pouvez formuler une seule offre claire qui résout ce problème et qui offre un tarif accessible ? Vraiment, si vous êtes dans l'optique de la faire grandir, est-ce que vous pouvez vous focaliser uniquement sur ça pour faire grandir l'entreprise ? Ensuite... Posez-vous la question, une fois que j'ai ça, une fois que je l'ai fait grandir, quelle est la suite logique pour travailler avec vous ? Comment est-ce que vous suivez vos clients sur toute une durée de vie par rapport à ce que vous proposez dans votre business ? Moi, ce que je vous propose de faire, c'est créer vraiment une fiche qui va venir prendre toutes vos offres, leurs objectifs, le prix et la suite logique de chaque offre. Et ensuite, d'aller voir justement avec vos prospects, vos clients, des personnes qui pourraient être intéressées par ce que vous faites. Il y a un truc très important auquel j'ai... J'ai pas parlé mieux vaut fait que parfait. Je crois que je l'ai déjà souvent dit, mais je pense que ça vaut le coup de le redire. Mieux vaut fait que parfait. J'ai commencé avec une toute petite offre qui était loin d'être parfaite. Il n'y avait pas de présentation au début dans Coach Ton Budget. Il n'y avait même pas de vidéo avec les slides. Il n'y avait pas de slides, il y avait juste moi qui parlais. J'ai commencé avec un truc tellement claqué pour moi aujourd'hui, mais qui m'a permis d'aller tellement loin d'un point de vue professionnel qu'aujourd'hui, j'ai aucun doute sur ma capacité d'aller encore plus loin. Et ce que j'aimerais vous inspirer dans ce sens-là, c'est que, ça je le répète, parce que je sais que j'ai eu écho il n'y a pas longtemps du fait que c'était un peu culpabilisant de me voir moi skyrocket alors que d'autres sont là depuis dix ans et puis qu'ils ne font pas mes chiffres et qu'ils ne font pas mes résultats, etc. J'entends, mais un, j'y mets beaucoup d'énergie, j'ai le background qui me permet de faire ça, j'ai les connaissances, je ne pars pas de nulle part, et trois, pourquoi vous ne venez pas travailler avec nous si c'est ce que vous cherchez ? Donc voilà. N'hésitez pas à mettre en commentaire, posez vos questions sur Spotify, vous pouvez mettre des commentaires. à en lâcher plein. Moi, je vais vous laisser pour entamer mon après-midi de consulting. J'ai tellement hâte de vous montrer les prochains contenus qu'on va sortir. Il y a une émission qui va sortir en fin d'année. J'ai tellement hâte de vous en parler. J'ai tellement hâte, ça va être incroyable. C'est aussi ça, c'est s'éclater dans la création de contenus. Et puis voilà, la next step. Je pense que... Ah, mais en fait, si vous devinez ce que c'est la next step, mettez en commentaire. Je serais curieuse de voir. Et puis surtout, mettez avec qui ça va être. Ça serait encore plus drôle. Et voilà, je me réjouis du prochain épisode. La semaine prochaine, on va parler de rentabilité de YouTube. Et en attendant, je vous souhaite tout de bon, beaucoup de bonheur dans votre business, beaucoup d'épanouissement, le même que je peux avoir et je vous dis à tout bientôt

Description

Dans cet épisode, je partage comment une simple formation à 99 CHF, Coach Ton Budget, est devenue le tremplin vers un business à 6 chiffres.

Tu vas découvrir les 5 piliers d’un produit d’appel efficace, la logique de montée en gamme, et pourquoi la clarté prime sur la complexité.

Un épisode concret, motivant et 100 % applicable pour les indépendant·e·s et entrepreneur·e·s en Suisse.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Transcription

  • Speaker #0

    En 2023, j'ai sorti un tout premier produit digital que j'avais vendu à 29 francs, qui s'appelait Module 1 de Coach Ton Budget. J'ai, au fur et à mesure du temps, vendu le Module 2, Module 3, Module 4, à chaque fois à peu près au même prix, entre 29 et 33 francs, jusqu'à ce que je me rende compte qu'il fallait que je l'uniformise dans une seule et unique formation qui s'appelait du coup Coach Ton Budget. Coach Ton Budget, je l'ai vendu à 99 francs. Et ça a été le point de départ de tout mon business. Sauf qu'à ce moment-là, j'étais absolument pas au courant. Alors dans cet épisode un petit peu spécial, j'aimerais revenir sur... les leviers de scalabilité ou de passage à l'échelle que j'ai utilisés dans mon entreprise pour vous montrer qu'aujourd'hui, on va terminer à l'heure où je parle, si les prévisions s'appliquent, mais on est dans un worst case scénario. On va franchir la barre des 400 000 francs de chiffre d'affaires cette année. Et entre 2024 et 2025, ça veut dire qu'au total, alors que l'activité a commencé l'année dernière, l'activité aura fait le 2 000 000 de francs de chiffre d'affaires. Alors, ce qui est important, c'est que je vais vous parler de leviers qui m'ont permis de structurer mes offres et de la vente. de les vendre, de les faire évoluer, de bâtir en gamme d'un point de vue cohérent, cohérence pour dépasser déjà d'un premier point les 100 000 francs de chiffre d'affaires. Mais surtout, vous savez très bien et ça je le dis en tant que disclaimer, là je vous parle de chiffre d'affaires il ne faut pas que ça miroite chez vous des choses exceptionnelles en mode elle se fait une pétée de cash, etc. Il faut toujours prendre en considération derrière les marges de l'entreprise, vos dépenses, vos charges pour comprendre derrière évidemment la rentabilité du business et ce que ça apporte pour vous. quelle mission ça vient accomplir et c'est vraiment ça que j'aimerais mettre en lumière parce qu'aujourd'hui on aime bien faire miroter des énormes chiffres d'affaires sauf que moi je parle énormément de rentabilité et c'est ça que j'aimerais vous montrer c'est comment est-ce qu'on bâtit une société qui est rentable, qui nous fait du bien, qui fait du bien aux gens, qui a une vraie mission et c'est l'objectif de cet épisode aujourd'hui tout d'abord bienvenue sur coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes. Et puis si tu l'aimes encore plus, tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Alors il faut savoir que quand j'ai lancé Coach ton budget, moi j'avais une vision très très simple. Je voulais vraiment aider les gens à mieux gérer leur argent avec une méthode qui est accessible, concrète et puis qui est sans jargon. Sachant que je viens quand même du milieu d'économie d'entreprise, donc j'ai fait de la comptabilité, j'ai été à un moment donné assistante comptable. Je pourrais utiliser un jargon qui est très complexe, mais volontairement sur les réseaux sociaux, je le vulgarise énormément. Parce que je sais que ça a été ma réelle force d'être pédagogue, de montrer comment ça fonctionne, de simplifier des choses qui ont l'air complexes. Très simple en vérité. Alors du coup, au début, ce n'était pas un énorme programme. Ce n'était pas une usine à gaz, ce n'était pas... Voilà, c'était juste une formation qui était très claire, très structurée à 99 francs. Je vous dis ça comme si je parlais au passé, elle existe toujours. Elle est toujours vendue, vous pouvez toujours prendre coach son budget, vous pouvez toujours mettre à jour vos finances. C'est juste que j'ai compris des points que je vais vous expliquer plus tard dans la vidéo ou dans le podcast, si vous écoutez ça sur Spotify. Cependant, ce qu'il faut comprendre, c'est que cette offre, pour moi, elle a posé les bases de tout le reste. C'est-à-dire que je l'ai sorti quand j'étais encore salariée. À ce moment-là, aucun moment. Je me suis dit que j'allais être prédestinée pour devenir chef d'entreprise, parce que vous savez aujourd'hui j'ai des employés, j'ai une entreprise qui grandit, je me pose des questions de passage à l'échelle parce que je me demande quelle taille j'ai envie d'avoir, combien de personnes j'ai envie d'avoir sous moi, quel chiffre d'affaires j'ai envie de faire, où est-ce que je veux aller avec ma société, je me pose ce genre de questions actuellement. Et vous voyez qu'aujourd'hui j'ai pas forcément trop le sourire, j'ai pas ce peps comme ça que vous voyez d'habitude dans les vidéos. Pourquoi ? Parce que je passe une zone de turbulence assez importante d'un point de vue émotionnel. Donc vraiment, le business n'a jamais été aussi bien. On a franchi des paliers. Vous allez voir, je vais vous expliquer un petit peu plus tard. Mais il y a des moments comme ça où c'est difficile émotionnellement parce qu'on se pose des questions fondamentales. Et moi, je suis toujours très, très, très alignée. J'ai toujours besoin de réfléchir les choses pour savoir si c'est aligné avec moi et ce que j'ai envie de faire. Et du coup, dans ces phases-là, je suis toujours en train de remuer. Donc si j'ai l'air un peu triste, c'est normal. Je ne suis pas triste. Je suis plutôt en train de me poser des questions assez fondamentales. Cette offre, comme je le disais, elle a posé les fondations de vraiment tout le reste de mon business. Elle a été l'occasion de faire mes premières ventes. J'ai eu mes premières clientes qui sont restées tellement clientes fidèles que je les accompagne aujourd'hui dans Coach Ton Business. Ça a été ma réputation parce que j'ai eu très, très vite beaucoup, beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux. Vous savez que toutes plateformes confondues, je cumule près de 115 000 abonnés, ce qui n'est pas rien pour quelqu'un qui est en Suisse. Ça a été aussi le début de mes contenus parce que j'ai énormément parlé d'éducation financière sur les réseaux en long, en large et en travers. Et surtout de ma montée en gamme. Parce qu'en fait, ce qui s'est passé, c'est que quand j'ai quitté mon job, je me suis posé une question assez fondamentale que j'ai expliquée dans une newsletter que j'ai envoyée il y a quelques semaines. Comment est-ce que je vais faire pour vivre de mon business ? Parce que j'avais un très bon salaire et je me suis dit, si je dois vivre avec mon salaire, si je dois avoir le même salaire que j'avais précédemment, il faut que j'ai au moins 10 000 francs de chiffre. d'affaires par mois pour être confortable financièrement. Et du coup, ça a été la claque, parce que chaque mois, ça voudrait dire qu'il fallait vendre pour à peu près 10 000 francs de coût de chambre budget, sachant que je n'ai jamais eu l'intention de partir à l'étranger, j'ai jamais eu l'intention d'expatrier l'offre, de le vendre en France ou dans d'autres pays, de changer de langue, etc. En fait, il y a clairement eu un plafond de verre à avoir, et les coûts d'acquisition devenaient de plus en plus chers, c'est-à-dire que pour un produit vendu à 100 francs, on pouvait avoir 50 à 60 francs de coût d'acquisition sur Meta. Donc ce qui casse en deux la rentabilité du produit. Et si derrière, il y a des charges d'entreprise ou des charges personnelles, etc., c'était clairement pas rentable, en fait. Donc en fait, de prime abord, vous avez peut-être vu Antoine BM qui vend des formations, qui vend toutes ces choses-là. Et puis c'est fabuleux, ça marche. Mais ce sont des gens qui ont des très grosses audiences, donc qui sont internationales, des francophones internationaux. Et c'était pas mon cas. Et surtout, ce que j'aimerais mettre en lumière par rapport à ça, c'est que sur le papier, c'est génial. Mais derrière, en termes de temps, passer à marketer la formation ou ce que vous voulez vendre en termes de produits digitaux, c'est tellement énergivore et ça coûte tellement d'argent. Enfin, ça peut coûter tellement d'argent, surtout si vous êtes mauvais dans ce que vous faites. D'un point de vue marketing, je dis, vous allez perdre beaucoup d'argent. Et ce n'est pas du tout une forme de revenu passif. Au contraire, en fait, ça devient vraiment un gouffre de temps. Et si vous n'êtes pas à l'aise avec le marketing que vous faites, ça ne va être pas bon. Et donc, moi, au contraire, j'étais très bonne en marketing. Enfin, je suis toujours très bonne en marketing. Je sais faire des contenus qui percutent. Je sais réunir des audiences. Je sais créer des communautés. je sais aussi expliquer les choses pédagogiquement et dans ce sens là c'est pour ça que tout a toujours été facile pour moi ça a toujours été du beurre de faire les choses comme ça ce qui a été moins du beurre ça a été de scaler et de passer à l'échelle mais je vais vous expliquer un petit peu plus tard donc à ce jour en fait aujourd'hui évidemment on m'a posé souvent la question mais est-ce que tu vis de tout ça le moment où j'ai quitté mon job ça a pris quelques mois avant que je sois vraiment confortable mais disons que plusieurs mois même parce que en fait je réinvestissais systématiquement tout tout tout mon argent dans la boîte Je voulais qu'elle grossisse, je voulais avoir plus d'impact, je voulais avoir des plus gros chiffres, je voulais avoir plus de volume. Et surtout, la première montée en gamme que j'ai faite, c'était aussi par rapport à moi, c'était personnel. En fait, les gens me prenaient pour une conseillère financière et j'avais le choix de partir dans cette optique-là, je ne sais pas, de faire une formation Swiss Life ou j'en sais rien, vraiment de me spécialiser là-dedans et d'accompagner les gens là-dedans ou de me connecter avec ma vraie puissance, c'est-à-dire créer des entreprises et les faire monter d'un point de vue chiffre, data, client, CA, etc. Parce que c'est ce que j'ai fait avant. J'étais spécialiste acquisition client, mais j'ai aussi fait tout ce qui était accompagnement. J'ai été bras droit de CEO pour développer les entreprises, etc. Et en fait, c'était ça qui me nourrissait. Donc à ce moment-là, j'ai créé Coach ton business et j'ai fait un produit qui se basait sur le méthode Lean Startup pour sortir quelque chose de terre et puis pour le vendre, pour le développer. Donc ça, c'est toutes les méthodes Lean Startup que j'utilise. dans Coach ton business. Évidemment, je les ai vulgarisés, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus pédagogues, j'ai créé des choses qui sont beaucoup plus accessibles à monsieur et madame tout le monde, surtout dans le cas où on veut créer un business. Et en fait, c'est là que j'ai fait mon premier passage à l'échelle et que j'ai commencé à taper dans du 10, 15 000 francs de chiffre d'affaires récurrent. Fin d'année 2024, j'ai commencé à me pencher sur l'élaboration d'une équipe parce que j'avais déjà des freelances qui travaillaient pour moi, mais j'avais besoin, en fait, j'avais toujours cette sensation d'avoir besoin d'être entourée, d'être accompagnée, d'avoir des gens avec moi. Et je pensais qu'il me fallait une associée, je pensais qu'il fallait quelqu'un... un bras droit avec qui je pouvais bosser. Je pensais qu'il fallait un monde égal, il fallait quelqu'un de collaboratif, de complémentaire avec moi pour faire. Et en fait, je vous avoue que je n'ai jamais trouvé cette personne. Je ne l'ai pas vraiment cherchée, mais je ne l'ai jamais trouvée. Et je me suis dit, il faut que je constitue une équipe parce que pas le choix, mon entreprise grandit, j'ai de plus en plus de demandes, je ne peux pas gérer cette demande toute seule, donc il faut que je grandisse. Et c'est là que j'ai commencé à recruter et à voir mon équipe qui a commencé à grandir avec plus que juste des freelances, mais vraiment ma première employe CDI, Eva, du coup. Et voilà. Mais ça, vous connaissez peut-être un petit peu l'histoire si vous écoutez le podcast régulièrement. Ce qui m'intéresse, c'est de vous montrer comment est-ce qu'on peut partir de ça pour monter une entreprise en Suisse, et particulièrement dans le cadre où on va venir la bootstrapper, c'est-à-dire que bootstrapper, c'est autofinancer une entreprise, c'est-à-dire que je n'ai pas d'investisseurs, je n'ai pas demandé d'argent à ma famille, de toute façon, ils n'en avaient pas, je n'ai pas demandé d'argent, je n'ai pas fait prêt à la consommation, je n'ai rien fait, j'ai vraiment autofinancé mon entreprise. Et je vous dis souvent que pour croître, il faut effectivement... réinjecter de l'argent dans sa société. En fait, pareil, si vous avez un capital à la maison que vous investissez, vous savez que si vous voulez voir votre capital croître, il faut remettre de l'argent dedans. Parce que tout seul, il va croître, mais il va croître à une vitesse beaucoup plus lente que si vous réinjectez de l'argent dedans. Le business, c'est pareil, il faut réinjecter de l'argent dedans. Ça veut dire que ça peut être dans les pubs, ça peut être dans de la main-d'oeuvre, ça peut être dans un nouveau site internet, ça peut être dans un logiciel qui va vous permettre d'automatiser les choses, ça peut être dans toutes ces choses-là. Plus le business est grand, plus les investissements deviennent majeurs. parce qu'ils vont avoir des impacts majeurs. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, si vous êtes dans une entreprise qui a plusieurs employés, une dizaine d'employés, et que vous cherchez à automatiser certains process, il y a de fortes chances que l'automatisation de certains process soit plus onéreuse parce que c'est plus grand, c'est plus important, parce que vous voulez développer un certain logiciel. parce que vous voulez développer des choses qui vont vous permettre de scaler votre activité. Donc c'est plus cher, mais en même temps, il y aura plus de retours sur investissement. C'est logique. La première chose, c'est que j'ai tout misé, j'ai misé, en fait, j'ai donné toute mon énergie dans une seule et unique offre. C'était coach ton budget. J'ai vu beaucoup, beaucoup d'indépendants qui lançaient plein de choses en même temps. Alors certes, au début, c'est bien d'avoir la vision de l'écosystème d'offres et puis de ce que vous voulez faire de votre entreprise, de savoir où, dans quel sens vous allez. Moi, j'ai toujours ça, même si je vous dis que je suis en train de me poser des questions. je sais où je vais en fait. Je sais juste pas exactement si je vais à droite ou à gauche, mais je sais où je vais, in fine. J'ai vu beaucoup de gens qui voulaient lancer 4-5 offres en même temps parce que c'est ça qu'ils proposent. Et en fait, il y a aussi beaucoup de prestataires de services, des thérapeutes, des coachs qui vont faire plein de choses. Donc, ils vont faire les massages, ils vont faire la consultation, ils vont vendre un accompagnement, ils vont faire des ateliers, ils vont faire plein de choses. Et en soi, ce n'est pas un truc que je critique parce que je pense que certaines personnes s'accomplissent là-dedans, elles sont très très bonnes là-dedans, il faut qu'elles continuent là-dedans. Mais si vous voulez avoir une entreprise qui se bâtit et qui se construit à partir vraiment d'un petit produit, que vous voulez bootstraper et que vous voulez faire vous agrandir en tant que vraie entreprise, ce ne sont pas les modèles les plus efficaces. Pourquoi ? Parce qu'en fait, votre énergie se dilue, votre chiffre d'affaires se dilue, vous faites beaucoup de choses en même temps et surtout, vous ne passez pas assez de temps sur tout ce qui est stratégique. Et ça, c'est ce qui va faire que vous n'êtes pas assez efficace dans votre développement entrepreneurial. Donc résultat, ce qui se passe, c'est que souvent, il n'y a rien qui décolle jamais vraiment. Surtout, vous n'êtes jamais vraiment bon dans la communication parce que vous faites tellement de choses que vous n'êtes pas assez pertinent dans une seule et unique offre que vous allez... sur laquelle vous allez venir vous focaliser, parce que vous savez qu'il y a un market fit et que vous savez que ce service va prendre un plus large volume. En fait, moi, c'est ce qui s'est vraiment passé avec Coach Ton Budget. J'avais une seule promesse unique, claire, c'est reprendre le contrôle de son budget personnel en Suisse. C'était ça. C'était tout, c'était tout ce que je faisais. Pendant que je n'ai pas travaillé sur Coach Ton Budget, c'était ça à 200%. Il n'y avait rien d'autre. Alors certes, j'étais salariée, mais en fait, mon temps libre, c'était ça. C'était que ça. Et j'ai tellement charbonné à faire connaître le programme qu'en une année, j'ai fait un certain nombre d'abonnés. Et j'ai fait des ventes organiques qui m'ont permis de ne pas investir en publicité, etc. Ce qui s'est passé aussi, c'est que j'ai eu très vite des résultats clients parce que j'ai fait du volume directement. Donc, trois mois, six mois après, j'ai direct des gens qui m'écrivaient en mode, ouais, j'ai réussi à mettre tant et tant de côté. J'ai fait tant et tant. Donc, je savais en fait que Coach Ton Budget avait un impact positif sur les personnes qui faisaient la formation. et ça m'a donné aussi le là pour la suite. C'est-à-dire que je savais que mon côté pédagogue était très valorisé dans les produits que je vendais, donc j'ai suivi exactement la même recette pour Coach Ton Business. Ensuite, la deuxième chose, c'est que quand j'ai créé Coach Ton Business, ça m'a fait du high-ticket. Donc la deuxième partie un petit peu de mon étape, ça m'a créé du high-ticket. Mais en fait, du high-ticket, si vous faites une année de high-ticket, c'est très bien, ça va faire un joli chiffre d'affaires. Sauf qu'en fait, si derrière, vous n'avez pas une lifetime value, c'est-à-dire une customer lifetime value, donc le client que vous ne le suivez pas dans son cycle ou que... on ne peut pas aller plus loin avec vous, que ça s'arrête, etc. En fait, votre business, vous êtes tout le temps dans l'acquisition de vos clients parce que vous ne pouvez pas garder ceux que vous avez. Donc moi, je connaissais ça. Enfin, la lifetime value, on en parle en long, j'ai travaillé en marketing tout le temps, surtout quand on a été dans du streaming. Donc j'ai dû penser mon business en mode suite, fidélisation, montée en gamme. Donc vraiment, j'ai structuré les choses pour que ça puisse suivre un follow-up. Alors je vous passe les détails parce que je n'ai pas non plus envie que ça fasse 40 minutes d'explication de ce que j'ai fait à la base, comment j'ai réfléchi ça dans le point A. comment j'ai réfléchi dans le point B, comment j'ai réfléchi dans le point C, parce que c'est très complexe et c'est le genre de choses que je réserve plutôt à mes clés en un point de vue explication, parce que c'est aussi du cas par cas souvent que je fais avec eux. Donc en fait, j'ai créé vraiment un écosystème qui allait me permettre, un, de ne plus diluer mon temps dans certaines choses, de pouvoir déléguer à une équipe et puis de pouvoir me concentrer moi sur ma zone de génie, c'est-à-dire l'accompagnement one-one des entrepreneurs. Et en fait, ce qui se passe, c'est que les gens rentrent de manière débutante ou alors de manière... Voilà, ils ont besoin de revoir les bases, les fondations. Ensuite, ils peuvent passer dans structuration parce qu'ils ont monté en gamme, eux aussi. Ils peuvent passer sur du one-one avec moi où vraiment on va venir taper dans des thématiques très cibles de l'entrepreneur, de la montée en gamme, de l'augmentation du chiffre d'affaires, du passage à l'échelle, etc. Chose sur laquelle je suis très forte parce que j'ai très vite compris les mécanismes et parce que mon business, c'est le meilleur exemple de ce que je sais faire. et en fait qu'après un an et demi d'accompagnement aussi sur certaines personnes, on voit aussi les résultats similaires sur les personnes qui... ont bien suivi rigoureusement les accompagnements et les conseils. Vendre une seule fois, ça ne va pas suffire. Donc par exemple, coach ton budget, c'était un one-shot à 100 francs. Ça ne suffisait pas. Il aurait fallu que je parte dans du one-one budget. Il aurait fallu que je parte dans un accompagnement peut-être pour revoir les assurances, peut-être revoir tout ça, partir dans vraiment un domaine de courtage en assurance. J'avais envie de vomir à l'idée de faire ça. Et en fait, il y a un truc qui m'a assez percutée, c'est que je n'avais pas du tout envie de faire du one-one budget. Impensable. Ça ne me motive pas, ça me saoule. C'est très difficile de venir déconstruire des money mindset chez les gens. C'est très difficile aussi de comprendre d'où ils viennent parce qu'il y a tout un parcours de vie aussi qui fait qu'ils sont là d'un point de vue financier. Et ça, c'est des choses où moi, j'ai trop de force dans ma tête pour comprendre certains parcours. C'est un peu égoïste à dire. parce que c'est un peu triste aussi de ma part vu que je suis très pédagogue et que j'ai tendance à vouloir vraiment comprendre la situation des gens mais en fait il y a vraiment des moments où je me suis dit j'ai réussi à me sortir de cette situation là et je sais que j'arriverai pas à sortir des gens de cette situation là parce que c'est trop embourbé et en fait je suis pas coach mindset je ne fais pas du mindset et c'est là où vraiment ma limite est très vite arrivée en fait pour moi il faut aller voir des personnes spécialisées dans l'accompagnement vraiment de blocage financier pour casser des barrières et puis pour passer des blocs dans sa vie financière. Et ça, je n'étais pas apte à le faire. Vraiment, je n'étais pas apte, je n'étais pas dans ma zone de génie, je n'étais pas la meilleure personne. Donc voilà, c'est pour ça aussi que j'ai créé Coach Ton Business. Alors, la troisième partie de comment est-ce qu'on en arrive là, de 99 francs à 400 000 francs de chiffre d'affaires en une année, et probablement plus l'année prochaine, on verra, ce sera drôle de regarder, ça fait x4 en une année, donc c'est pas mal, c'est pas dégoûtant. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que j'ai créé un écosystème. Je n'ai pas créé juste un produit. Mon objectif, ce n'était pas de vendre une formation parce qu'aujourd'hui, je trouve que c'est assez vite. Je le vois, en fait, il y a des préjugés de ouf, mais c'est une vendeuse de formation, etc. À la base, c'est né comme ça. Ça a été bootstrappé comme ça. C'est l'argent qui m'a permis de fonder mon entreprise. Mais aujourd'hui, on s'approche plus du consulting pur que de la formation. En fait, si je fais encore de la formation, c'est parce qu'il faut que je forme certains entrepreneurs à des thématiques clés de l'entreprenariat. Le marketing, la finance, etc. Et puis que ça, ce sont des produits qui sont structurables dans ce contexte-là. Mais de l'autre, j'ai très vite réalisé que moi, mon point fort, c'était du consulting. C'était vraiment d'aller voir ce qui clochait chez les gens et de leur réparer, de faire le mécano du business et puis de les faire repartir sur des meilleures bases. Et pour le coup, si je voulais faire comme ça, le consulting, ce n'est pas scalable en général. Soit vous scalez avec des gens, soit vous vous contatez devant de votre heure. Donc j'ai créé un écosystème qui me permettait de former des gens et de les faire venir à moi pour qu'ils soient fin prêts à venir travailler sur des thématiques ultra clés pour passer vraiment à l'échelle d'un point de vue business. Et l'objectif, en fait, c'était aussi de bâtir une relation. Parce que comme je vous le dis, moi, en fait, je m'en fous du volume de vente de Coach Ton Budget. Je m'en fous. Ça a été important à un moment donné parce qu'en fait, je me posais la question, comment est-ce que je vais vivre de mon business si je n'ai pas assez de volume de vente ? Mais plus tard, ce n'était plus du tout mon problème. Ça l'est, en fait, quand vous devez faire du volume et que vous n'avez pas la lifetime value derrière. Moi, en fait, les clients, ils me suivent pendant tellement longtemps qu'il y a une LTV derrière. Et que du coup, ce n'est pas le nombre de clients que je vais rentrer qui va être important. c'est combien de temps ils restent avec moi jusqu'à qu'ils aient des résultats. Évidemment, moi, je veux que ce soit le plus court possible, mais selon la personne, c'est plus ou moins long, parce qu'aussi la personne, elle se rend compte, soit qu'elle a plus de lacunes et qu'il faut travailler un peu plus longtemps, ou soit qu'en fait, elle voit qu'elle peut aller très très vite dans des paliers et que du coup, elle veut continuer avec moi pour la suite des paliers. Donc, c'est cette relation de confiance aussi que j'ai cherché à bâtir au fur et à mesure du temps et qui fait qu'aujourd'hui, en fait, c'est les clients qui bossent avec moi. Et bien sûr, il n'y a pas 100% de taux de réussite, je ne dis pas ça. je dis juste que il y a une relation de confiance qu'en fait ils savent qu'ils peuvent compter sur moi pour leurs objectifs business Et véritablement, c'est ça qui fait que le chiffre d'affaires est nourri, parce que les clients reviennent, ils redépensent, ils restent, parce qu'ils savent qu'ils vont avoir du contenu et qu'ils savent qu'ils peuvent continuer de bosser avec moi pour atteindre leurs objectifs. Et qu'en fait, dans le business, on peut ne pas s'arrêter juste à un objectif, on peut en faire plein et on peut continuer de gravir les échelons. Donc ça, c'est génial. Qu'est-ce qui s'est passé dans ce cas-là ? Enfin, qu'est-ce que j'ai fait dans ce cas-là ? J'ai créé un tunnel qui est hyper clair. Là, en plus, d'ailleurs, on est en train de créer un nouveau tunnel de vente avec quelque chose qui est... coder, embed, ça va être vraiment plus que juste un PDF, juste une vidéo, etc. Ça va être beaucoup plus puissant que ça. Tunnel très clair, séquence, proposition, etc. Pédagogie qui est identifiée, c'est-à-dire qu'on est vraiment sur un format très suisse. Et j'accepte très peu de... En fait, quand on me demande, oui, mais je suis en France, etc. J'accepte, je ne dis pas non, mais on n'est pas dans un produit qui est fait pour un marché externe. On est dans un produit qui est 100% suisse, qui s'adapte à la réalité du marché suisse. Je le dis souvent, un Français peut-être avec 30-40 000 euros de chiffre d'affaires, il va pouvoir quitter son job. En Suisse, avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires, on ne quitte pas son job. On ne peut pas vivre avec 30-40 000 francs de chiffre d'affaires en Suisse. Donc, toute la pédagogie est issue de ça. Et surtout, en fait, que le coût d'acquisition digital ici en Suisse est tellement élevé que la scalabilité peut être tellement élevée que la scalabilité suisse, il faut la réfléchir autrement. Il faut aller chercher d'autres canaux d'acquisition. Et ça, c'est ce qu'on travaille justement dans Coach ton business. Et c'est la pédagogie vraiment que j'ai créée tout autour de mon produit, de mes produits et de ma manière d'accompagner. Et ensuite, j'ai jamais arrêté de communiquer. Je n'ai jamais arrêté de poster des podcasts, de faire mes reels, de faire mes carousels. Je n'ai jamais arrêté de poster. Jamais, jamais, jamais. Quand vous vous lancez, je suis désolée, ça va peut-être vous plomber le moral, l'ambiance, j'en sais rien. Quand vous commencez à poster, quand vous commencez à parler, il y a la phase de lancement. Si vous pensez que c'est la fin de vos efforts marketing, brace yourself, ce n'est que le début. Le moment où vous lancez quelque chose, c'est que le début. À partir de là, soit vous optez pour des stratégies qui sont justement planifiées au fur et à mesure de l'année. soit vous êtes sur une stratégie evergreen qui tient toute l'année. Mais même la stratégie evergreen, il faut la modifier de temps en temps. Donc même ça, il faut revoir les choses. Donc votre part de marketing dans votre business, il est tellement important que vous ne pouvez pas, en fait, juste vous contenter d'avoir une offre sur votre site internet et de poster des reels de temps en temps. Et moi, ça a vraiment été ma force, c'était de la régularité. dans tout ce que je faisais. À ce jour, et merci, c'est encore plus possible avec l'équipe, il n'y a pas un trou dans le calendrier. Il n'y a pas un moment où on ne poste pas, parce que ça va aussi en lien avec les objectifs de la boîte. C'est que si je veux atteindre des objectifs de visibilité, de chiffre d'affaires, de scalabilité, etc., derrière, les efforts doivent suivre. Donc si je veux du x10, mes efforts sont x10. Si je veux du x100, mes efforts sont x100. Et ça, c'est un truc, je suis intransigeante avec moi-même. Mais c'est aussi pour vous dire que c'est parce que c'est mon objectif. C'est moi qui fixe ça. Et c'est parce que je suis à l'aise avec ça aussi. Si vous n'êtes pas à l'aise avec ça, il faut faire des objectifs qui sont vraiment associés à ce que vous, vous voulez faire dans votre business. Si vous voulez faire du x1, x2, faites du x1, x2. Si vous voulez faire du x100, x200, x300, x1000, faites-le. C'est vous qui devez être à l'aise et aligné avec ce que vous faites. Moi, je suis sans part sans aligné. Je n'ai pas d'enfant, je n'ai pas ma famille, je suis entourée des meilleures personnes, donc je n'ai pas besoin de voir 150 personnes pour sociabiliser, au contraire. Je sais où je vais et comment je vais. Et en fait, c'est ça qui fait que mes objectifs sont super vite atteints et confortablement parce qu'ils sont... extrêmement alignées avec ce que je veux dans ma vie et ce que je veux faire. Donc du coup, tunnel, pédagogie, communication, système, tout ça, c'est ce qui m'a permis vraiment de lancer régulièrement des nouvelles offres sans stress, de convertir sans jamais forcer personne. Je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai jamais forcé quelqu'un avec des techniques douteuses de marketing, avec du... Je n'ai jamais forcé quelqu'un. J'ai mis des limites parce qu'il fallait en mettre légalement parlant, mais je n'ai jamais forcé quelqu'un à rentrer dans Coach & Business. Je n'ai aucun intérêt à faire rentrer quelqu'un qui n'a pas vu la valeur du programme pour lui, qui a besoin d'être convaincu. Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, jamais. Donc pareil, si vous voulez qu'on bosse ensemble, si vous vous doutez encore un petit peu, moi je vous conseille d'aller regarder les autres épisodes que j'ai faits, d'aller regarder aussi les partenaires avec qui je bosse, d'aller regarder les résultats clients. On va poster une page dans pas longtemps pour vous montrer un petit peu les résultats qu'on a eus avec les clients qui ont été d'accord de les montrer. Et surtout, voilà, podcast qui avait quand même été salué meilleur podcast suisse en début d'année. le nombre d'abonnés, le nombre de clients, le chiffre d'affaires croissant. Moi, je vous invite à regarder un petit peu les autres contenus que je fais pour vous rendre compte si je suis la personne avec qui vous avez envie de bosser ou mon équipe, d'ailleurs, et à prendre un appel découverte pour qu'on discute ensemble. Mais si vous sentez que c'est pas la bonne énergie ou c'est... Voilà. Moi, je suis complètement OK avec le fait que vous continuez de consommer mon podcast gratos et que ça vous aide et que... Et ça suffit, en fait. Je suis très contente avec ça. Ne vous inquiétez pas pour ça. Donc, voilà. Convertir sans forcer et puis surtout être visible tout en restant toujours alignée avec ce que je faisais. C'est-à-dire que je n'ai jamais pris une agence ou quelqu'un qui allait me faire du contenu pour m'en décharger, qui n'était plus en ligne avec moi-même. J'ai toujours, toujours été, j'ai toujours supervisé ma stratégie de contenu, même avec Eva. Et j'ai toujours choisi aussi des alignements qui sont vraiment par rapport à mon objectif du moment, l'objectif du business, qu'est-ce qu'on cherche et qui je suis, ce que je veux, etc. Enfin voilà, toujours été très important. Donc aujourd'hui, ce qui est important à comprendre, c'est qu'une très grande partie de mes clients... alors dans coach ton business c'est très élevé mais par contre si on regarde la totalité donc avec coach ton budget mais c'est parce que c'est un produit qui est B2C versus un produit qui est B2B c'est un peu différent, on a quand même beaucoup beaucoup beaucoup de personnes qui restent dans l'écosystème parce que ils voient l'intérêt de travailler avec nous et ils voient la valeur de la transformation parce qu'on s'arrête pas juste à vendre des pépettes et des foie-cats, des trucs comme ça, on vend vraiment une structuration et un alignement avec la personne qui cherche des résultats business parce qu'elle a vraiment envie de réaliser un projet de vie d'un point de vue business, super important à comprendre Et la partie 4, ce qui est important de comprendre, c'est que le shift pour moi depuis une année maintenant, je dirais, ça a été vraiment la partie positionnement d'un point de vue personnel. C'est-à-dire que je me suis comportée à partir du moment où j'ai vu que ça grandissait comme une chef d'entreprise. Donc c'est quoi se comporter comme une chef d'entreprise ? Ça veut dire que j'ai pensé tout mon business comme un écosystème, je l'ai considéré comme une entreprise, je l'ai tout de suite structuré comme une entreprise. j'ai juste pas toujours eu confiance dans là où je pouvais aller, dans ma force de frappe. Ça a été mon seul défaut, je dirais. Et du coup, je n'ai pas pensé que j'allais aller aussi loin aussi vite. Et maintenant, je me rends compte de ce que je peux faire et je suis beaucoup plus capable de moi-même décider de la vitesse. C'est-à-dire que si je trouve que ça ne va pas assez vite, je sais que je peux accélérer. Si je trouve que ça va trop vite, je peux décélérer. Si je trouve que je n'ai pas envie d'aller aussi loin, je peux décélérer. Et tout ça, je pense que c'est hyper important à comprendre et c'est une connaissance de moi-même à laquelle j'ai toujours fait attention dans ma manière de gérer mon business. donc voilà j'ai toujours suivi mes chiffres j'ai toujours réinvesti dans mes systèmes parce que si vous voulez pas réinvestir dans votre business mais plutôt vous achetez des Rolex ou des trucs comme ça sachez que ça va juste empêcher votre business de grandir j'ai toujours travaillé ma conversion j'ai toujours travaillé mes taux de conversion qui est-ce que je fais rentrer, qui est-ce que je fais pas rentrer j'ai toujours vraiment fait attention à ça et j'ai toujours écouté aussi les retours clients c'est-à-dire que si j'ai quelqu'un qui est pas content dans les faits on fait beaucoup beaucoup beaucoup de sondages clients avec Eva, je me concentre sur vraiment la problématique. Est-ce que c'est lié à cette personne spécifiquement ? Est-ce que c'est un problème dans l'accompagnement au global ? Est-ce qu'on peut changer des choses ? Et c'est aussi comme ça que j'ai revu tout l'écosystème de cette année et que malgré les conseils de mon consultant sur certaines choses, j'ai décidé de faire à ma sauce parce que je voyais que c'était demandé par les clients et par les prospects aussi parce que c'est important d'écouter les prospects également. J'ai essayé de demander par les prospects et c'est ça qui fait qu'en fait savons parce que c'est directement du market fit parce qu'on a écouté les retours clients. Et comme vous écoutez mon podcast et que je parle beaucoup de thunes, moi j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Au bout d'un moment, je pense que je développe une entreprise qui est très utile parce qu'on a aidé quand même beaucoup d'indépendants en Suisse à vivre confortablement de leur business. Et ça par des conseils qui sont vulgarisés, par une approche de l'information qui est simplifiée, qui permet d'être beaucoup plus confortable dans sa gestion du business. Et ça, pour moi, c'est tout ce qui compte, en fait. Et derrière, on va vous préparer. Je ne vais pas du tout, du tout vous spoiler ce que c'est, parce que c'est tellement frais que ce n'est pas encore signé, il n'y a rien. Mais on vous prépare l'étape supérieure, l'étape suivante, non pas en termes d'offres, mais en termes de contenu. C'est-à-dire que dans l'évolution de CoachTron Business, il y a une suite à ça, il y a une suite à CoachTron Business. Et je vais vous... Je vais vous expliquer tout ça. Il va y avoir vraiment une belle série à ce niveau-là avec quelqu'un que vous connaissez aussi peut-être. J'ai très très hâte. Et voilà, dans ce sens-là, j'ai toujours assumé gagner de l'argent. Et je pense que c'est le premier truc où vous devez vous poser des questions. C'est pourquoi est-ce que je n'arrive pas à gagner de l'argent ? Est-ce que j'ai envie d'en gagner ? Ou est-ce que je me bloque à en gagner ? Et moi, c'est un truc que j'ai tout de suite déconstruit. Ça, c'est un truc, si vous voulez être confortable dans votre vie, il va falloir assumer vendre, il va falloir assumer gagner de l'argent. il va falloir assumer ces choses là parce que sinon vous allez continuer à faire du bénévolat et puis ça va pas le faire et c'est pas une mauvaise chose si vous voulez aller voir j'ai parlé plusieurs fois de ça dans des épisodes. Il y a un épisode complet consacré à ça qui a fait aussi beaucoup, beaucoup de retours. J'ai eu beaucoup de messages par rapport à cet épisode-là. Et d'ailleurs, j'en profite, en fait, si vous écoutez cet épisode, n'hésitez pas à lui mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, parce qu'en fait, ça m'aide à le faire connaître. C'est comme ça qu'il a eu un prix, il a été connu, il y a beaucoup de gens qui l'écoutent. Et si vous êtes sur YouTube, mettre un pouce bleu et puis vous abonner aussi parce qu'il y a beaucoup d'abonnements fantômes, en fait il y a des gens qui regardent mais qui s'abonnent pas donc abonnez-vous Comme ça, vous êtes sûr que vous avez à chaque fois les vidéos. Et surtout qu'il y a une playlist qui s'appelle 15 minutes rentables. Et en fait, c'est une playlist où c'est que des petites vidéos comme ça, où ça vous aide justement à faire des petites actions comme ça pour rendre votre business davantage rentable en Suisse. Notamment, il y a le calculateur de rentabilité. Comment est-ce qu'on calcule sa rentabilité ? Et il y a aussi plein d'actions au niveau marketing, chercher des clients, etc. qui vont vous permettre d'être rentable. Pour moi, ce n'est pas le prix de départ de votre offre. C'est-à-dire qu'on va vous dire de faire du high ticket, vente en offre de 3000 balles, etc. En fait, ce n'est pas avec ça que j'ai commencé. J'ai commencé tout petit. J'ai commencé avec une offre à 99 francs qui aujourd'hui fait tourner un business qui va continuer de grandir. C'est vraiment la valeur perçue. C'est la clarté de ce que vous allez proposer de votre offre, de votre écosystème. C'est se concentrer sur les bonnes choses. Et c'est toute la stratégie qui va l'entourer. Et c'est vous, en fait, comment vous vous positionnez. Est-ce que vous voulez vraiment une entreprise ou est-ce que vous voulez juste rester vous à votre compte, trouver des petits clients, comprendre, etc. C'est vraiment important de le comprendre. j'ai beaucoup de clients qui ont eu ce déclic là en travaillant avec moi en me disant mais en fait je me rends compte que je veux plus je veux pas m'arrêter à À être freelance, je veux vraiment développer une entreprise, etc. Ça, c'est très important. Donc, les piliers très clairs, c'est qu'au début, je pense qu'il faut démarrer avec quelque chose de très clair, un problème très clair identifié sur votre marché. Il faut avoir un prix qui est accessible pour qu'on apprenne à vous connaître, qu'on apprenne un peu de votre pédagogie et ce que vous faites. Et du coup, il faut avoir une qualité pédagogique aussi, surtout si vous voulez partir dans ce domaine-là. Et surtout, avoir une suite cohérente, un écosystème et puis un système de vente qui va être en accord avec votre domaine. en accord avec les clients que vous allez chercher, en accord avec vous, en fait, tout simplement. Et pour ça, en fait, j'ai un dernier petit exercice de passage à l'action pour vous. De nouveau, je le rappelle, je ne suis pas en dépression, vous n'inquiétez pas, j'ai juste pas le peps aujourd'hui pour, voilà, surtout que j'ai faim, là, au moment où je tourne cet épisode, et puis j'ai cinq heures de consulting cet après-midi. Voilà, ça aussi, c'est un truc que je vais arrêter, mais je pourrais en reparler, de la charge de travail, je pourrais en reparler, c'est juste que j'ai pas encore la structure de comment je vais vous en parler, de comment est-ce que je gère les choses, parce que fondamentalement, je les gère hyper bien. donc Voilà, c'est un fait. Je vais un petit peu m'en plaindre, mais je les gère quand même hyper bien. Alors, j'ai trois questions que vous pouvez vous poser. Un, est-ce que vous êtes au courant du problème concret que vous savez résoudre aujourd'hui dans votre entreprise ? Est-ce que vous êtes confiant de ce que vous aidez à faire ? Est-ce que c'est précis ? Ou est-ce que vous êtes sur 1000 francs en même temps ? Le deuxième, c'est est-ce que vous pouvez formuler une seule offre claire qui résout ce problème et qui offre un tarif accessible ? Vraiment, si vous êtes dans l'optique de la faire grandir, est-ce que vous pouvez vous focaliser uniquement sur ça pour faire grandir l'entreprise ? Ensuite... Posez-vous la question, une fois que j'ai ça, une fois que je l'ai fait grandir, quelle est la suite logique pour travailler avec vous ? Comment est-ce que vous suivez vos clients sur toute une durée de vie par rapport à ce que vous proposez dans votre business ? Moi, ce que je vous propose de faire, c'est créer vraiment une fiche qui va venir prendre toutes vos offres, leurs objectifs, le prix et la suite logique de chaque offre. Et ensuite, d'aller voir justement avec vos prospects, vos clients, des personnes qui pourraient être intéressées par ce que vous faites. Il y a un truc très important auquel j'ai... J'ai pas parlé mieux vaut fait que parfait. Je crois que je l'ai déjà souvent dit, mais je pense que ça vaut le coup de le redire. Mieux vaut fait que parfait. J'ai commencé avec une toute petite offre qui était loin d'être parfaite. Il n'y avait pas de présentation au début dans Coach Ton Budget. Il n'y avait même pas de vidéo avec les slides. Il n'y avait pas de slides, il y avait juste moi qui parlais. J'ai commencé avec un truc tellement claqué pour moi aujourd'hui, mais qui m'a permis d'aller tellement loin d'un point de vue professionnel qu'aujourd'hui, j'ai aucun doute sur ma capacité d'aller encore plus loin. Et ce que j'aimerais vous inspirer dans ce sens-là, c'est que, ça je le répète, parce que je sais que j'ai eu écho il n'y a pas longtemps du fait que c'était un peu culpabilisant de me voir moi skyrocket alors que d'autres sont là depuis dix ans et puis qu'ils ne font pas mes chiffres et qu'ils ne font pas mes résultats, etc. J'entends, mais un, j'y mets beaucoup d'énergie, j'ai le background qui me permet de faire ça, j'ai les connaissances, je ne pars pas de nulle part, et trois, pourquoi vous ne venez pas travailler avec nous si c'est ce que vous cherchez ? Donc voilà. N'hésitez pas à mettre en commentaire, posez vos questions sur Spotify, vous pouvez mettre des commentaires. à en lâcher plein. Moi, je vais vous laisser pour entamer mon après-midi de consulting. J'ai tellement hâte de vous montrer les prochains contenus qu'on va sortir. Il y a une émission qui va sortir en fin d'année. J'ai tellement hâte de vous en parler. J'ai tellement hâte, ça va être incroyable. C'est aussi ça, c'est s'éclater dans la création de contenus. Et puis voilà, la next step. Je pense que... Ah, mais en fait, si vous devinez ce que c'est la next step, mettez en commentaire. Je serais curieuse de voir. Et puis surtout, mettez avec qui ça va être. Ça serait encore plus drôle. Et voilà, je me réjouis du prochain épisode. La semaine prochaine, on va parler de rentabilité de YouTube. Et en attendant, je vous souhaite tout de bon, beaucoup de bonheur dans votre business, beaucoup d'épanouissement, le même que je peux avoir et je vous dis à tout bientôt

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