Speaker #0L'argent n'achète pas le bonheur. C'est une phrase qu'on entend tout le temps, partout, qui fait super bien sur une citation Instagram. Mais aujourd'hui, j'aimerais qu'on prenne la question, ou la phrase plutôt dans l'autre sens. Qu'est-ce que la pauvreté nous achète ? Qu'est-ce que le manque d'argent nous achète ? Le manque d'argent, il nous achète un manque de choix, donc un manque de liberté. Il nous achète des dettes, il nous achète du stress, il nous achète de l'angoisse. Pourquoi je vous dis tout ça ? Parce que je suis un jour passée par là. Je suis passée par là pendant mon enfance, tout d'abord, où le fait d'avoir une famille qui vit dans la précarité et qui ne sait pas comment gérer l'argent, qui n'a pas de fortune. J'ai eu beaucoup, beaucoup et j'ai encore beaucoup de stress par rapport à cette période-là de ma vie. Alors qu'aujourd'hui, j'ai une entreprise et j'ai une affaire qui fait que je me sens vraiment très aisée dans ma vie et que j'ai enfin les choix et les opportunités que j'ai toujours voulu avoir. Mais voilà, ça reste, même en tant qu'enfant. Ça reste à l'âge adulte, parce que comme vous le savez, je suis arrivée en Suisse avec rien du tout il y a 12 ans de ça. Si l'argent n'achète pas le bonheur, la pauvreté, elle, elle achète beaucoup de choses. elle achète beaucoup de stress, elle achète beaucoup d'inquiétude. Et je pense que ce proverbe qu'on aime bien se répéter... donc l'argent n'achète pas le bonheur, il peut vous empêcher, si vous réfléchissez comme ça, de monter plus haut, de gravir des échelons, de viser une vie qui est plus confortable. Et c'est exactement ce dont j'aimerais parler dans cet épisode. Parce que si l'argent ne crée pas le bonheur, il achète du temps, il achète de la liberté, et la tranquillité nécessaire pour créer du bonheur. Tout d'abord, bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves. mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as de nouvelles ou nouveaux, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes. Et puis si tu l'aimes encore plus, tu peux t'abonner à l'amusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. C'est un proverbe qui est culturellement piégeux. Alors je ne sais pas d'où il vient, je n'ai pas fait de recherche cette fois-ci pour le coup, mais on l'entend depuis toujours. On l'entend pendant l'enfance, on entend beaucoup de gens le dire, et c'est comme si c'était inscrit dans une culture. Alors je sais pas si on le dit aussi dans les autres langues, mais c'est comme si c'était inscrit dans une culture de dire que l'argent n'achète pas le bonheur. Et je trouve que ça fonctionne un petit peu comme une excuse pour ne pas aller chercher une sécurité financière qui va nous permettre justement d'avoir le choix et de vivre la vie qu'on veut vivre. Et en Suisse particulièrement, comme je l'ai déjà dit dans pas mal d'épisodes, on va se retrouver dans une espèce de piège où, je le disais très régulièrement, en France c'est tabou d'être riche, en Suisse c'est tabou d'être pauvre. Donc on préfère dire que l'argent compte pas plutôt qu'admettre qu'on en manque. Récemment, la RTS a sorti toute une panoplie de statistiques par rapport aux vices des Suisses. Donc je vous encourage à aller regarder leur dernier post sur Instagram, parce qu'ils en parlent, c'est très très intéressant. Pour moi, ce discours, il est un petit peu dangereux. Il est dangereux dans le sens où il va vous empêcher d'aller chercher la prospérité. Il est dangereux parce qu'il va vous convaincre que la sécurité financière, ou en tout cas l'ambition financière, c'est du matérialisme. C'est avoir la plus belle Porsche, c'est avoir la Rolex, c'est avoir le plus beau des appartements, c'est devenir propriétaire. Et c'est très mal vu de dire ça comme ça. Mais si vous vous souvenez de l'épisode que j'ai fait il n'y a pas longtemps, je parlais justement de ces barrières qu'il faut enlever pour aller chercher la sécurité financière, ces barrières qu'on enlève pour venir chercher ce qu'on va développer avec l'argent. Est-ce que c'est personnel ? Est-ce que c'est public ? Est-ce qu'on va aider une collectivité ? Est-ce qu'on va aider des gens grâce à l'argent qu'on se fait ? Tout ça, c'est des questions que je vous ai invitées à réfléchir dans cet épisode-là. Et je pense que sincèrement, le plus gros problème de cette citation, c'est qu'il va vous empêcher de comprendre comment fonctionne l'argent. C'est ce qu'il va faire à terme que ne pas vouloir comprendre l'argent... va vraiment vous limiter dans vos choix. Il y a cinq ans de ça, quand j'ai commencé à me poser des questions du genre « Pourquoi j'ai jamais d'argent ? » C'est vraiment ça que je suis venue chercher comme réponse. Pourquoi j'ai jamais d'argent ? La réponse, elle était simple. Je ne comprenais pas comment fonctionnait l'argent. Moi, je crois que je n'ai jamais dit cette phrase « L'argent n'achète pas le bonheur » . Je crois que je ne l'ai jamais dit parce qu'en fait, j'ai toujours voulu en avoir. Je me suis toujours dit « Mais qu'est-ce que ça doit être gratifiant d'avoir de l'argent ? » Dans le sens où, pas gratifiant. Gratifiant, ce n'est pas le mauvais mot. Je me suis toujours dit, mais qu'est-ce que ça doit apporter comme sensation d'être... libre de ne pas avoir à choisir que d'avoir de l'argent. Je me suis toujours dit quel stress ça doit enlever d'avoir de l'argent. Je me suis toujours dit ça, je ne me suis jamais dit ça n'achète pas le bonheur. Pourquoi ? Parce que j'avais déjà d'autres sources, d'autres moyens d'aller chercher le bonheur ailleurs. Et je pense que c'est ça qui m'a vraiment poussée à aller me poser la question pourquoi je n'ai jamais d'argent. Et ce que j'ai découvert évidemment dans les 5 dernières années de ma vie, c'est qu'effectivement l'argent ne rend pas heureux, mais il donne le choix. Il donne le choix de pouvoir faire tout ce qu'on veut. Il donne le choix de pouvoir choisir nos courses. de choisir du bio et du sain plutôt que de la malbouffe et du pas sain. Bon, après, la malbouffe coûte cher, je trouve, mais bon, c'est un débat. Il donne le choix d'avoir la maison de vacances qu'on a envie d'avoir, la destination qu'on a envie d'avoir. Il donne le choix parce qu'on peut partir quand on a envie de partir, d'un job. d'une relation, il donne le choix parce qu'on peut faire ce qu'on veut. On a nos arrières qui sont ficelées grâce à l'argent. Donc dire que l'argent n'achète pas le bonheur est vrai, mais il donne le choix d'avoir la capacité de construire la vie qu'on a envie de construire. Alors je vais revenir en arrière un petit peu sur un parcours de vie, un truc que j'ai potentiellement jamais jamais raconté dans un épisode de podcast, et qui va être un petit peu difficile à vous raconter pour moi, parce que c'est difficile aujourd'hui d'avoir l'image que j'ai sur les réseaux sociaux, et de vous faire savoir que ça vient. de quelque chose de pas très doux, pas très délicat. Alors, petit spoiler, non, j'ai jamais eu une vie complètement difficile, je n'ai jamais été à la rue, je n'ai jamais dû aller à la Croix-Rouge, je n'ai jamais dû aller au Resto du Coeur, j'ai jamais dû faire ces choses-là. Donc on s'entend bien, je ne démarre pas non plus de tout en bas. Mais j'ai vécu des traumas financiers que je pense d'autres personnes ont vécu de ma génération, dû à une éducation financière manquante chez nos parents, donc on ne va pas non plus leur jeter la pierre. qui a fait qu'il y a beaucoup de choses qui sont passées qui étaient un petit peu délicates. Alors voilà, quand j'étais petite, vous savez, mon père est décédé quand j'avais 10 ans. Mes parents ont construit une maison dans un petit village proche de la frontière avec la Suisse, parce que mon père avait un restaurant du côté de Val. Et le problème, c'est que mon père ne ramenait pas l'argent à la maison, et que ma mère, qui travaillait très souvent au black à l'époque, on parle des années 90, on parle des années 2000, là tout le classé, donc c'était encore assez fréquent de travailler au black. Ça faisait qu'il n'y avait aucune sécurité dans le couple et sécurité financière. Donc, on est trois enfants, trois sœurs. Mes deux sœurs sont plus âgées que moi, ce qui a fait que toute notre enfance était un petit peu compliquée. Pour vous imaginer, je n'ai jamais pu aller faire les magasins. C'était toujours des marchés au puce, c'était toujours de la seconde main. Souvent, on récupérait les affaires. On ne pouvait pas manger non plus ce qu'on voulait. On ne pouvait pas acheter ce qu'on voulait quand on allait au magasin et qu'on faisait un petit caprice. On ne l'avait jamais. C'est un petit peu ces choses-là. Alors, fondamentalement, Aujourd'hui, ça fait pas de moi un humain cassé. Je pense qu'au contraire, ça a été très très bien pour ma vie que je ne sois pas concernée par... Enfin, j'ai pas été gâtée, gâtée, gâtée. Il y avait des gens de ma famille qui avaient plus d'argent et notamment ma marraine qui a toujours été là financièrement pour moi, pour m'accompagner dans ma vie. D'ailleurs, c'est elle qui, à mes anniversaires, m'achetait vraiment les cadeaux que jamais de la vie ma famille aurait pu m'acheter. Enfin, mes parents en tout cas. Et c'est un petit peu par là que j'ai été... gâtée. J'ai aussi été gâtée dans le sens où j'étais la troisième et la dernière de la famille. Dans ce sens-là, je vous dis, c'était pas si catastrophique que ça. Mais je me rappelle les nombreuses disputes que l'argent a provoquées chez mes parents. Le départ de mon père avant son décès. Je me rappelle de tous ces moments de stress que ma mère vivait, qu'elle rejetait sur nous, donc mes soeurs et moi. Tous ces moments où on a dû réfléchir, où il y a eu toutes ces questions d'huissier qui devaient saisir la maison parce qu'il y avait des problèmes de dette. Je me rappelle de tout ça et ça a franchement été des années où ça a été très compliqué. Et arrivé en fait à l'âge adulte, moi c'était fondamentalement impossible de devenir riche. Ou de devenir en tout cas, d'atteindre la prospérité. D'atteindre ce moment où je ne me poserais plus de questions vis-à-vis de mes finances. Je vous dis ça un petit peu en rigolant parce qu'aujourd'hui, quand je réserve des vacances, je ne regarde plus. Je viens de m'acheter la voiture de mes rêves que j'ai configurée exactement comme je voulais la configurer. On vit dans un appartement tout simple. Avec mon copain, on vit dans un appartement très très simple. Mais finalement, cette simplicité nous permet de mettre à la fois beaucoup d'argent de côté et de développer un business, et surtout de se concentrer sur ce qui est vraiment essentiel à notre bonheur. Nous, ce qu'on aime, c'est passer les dimanches à la maison. Ce qu'on aime, c'est ne pas avoir 37 trucs le soir de la semaine. Ce qu'on aime, c'est nous réserver des très très beaux logements en vacances. On aime vraiment vraiment toutes ces choses-là. Et c'est des choses qui, il y a quelques années, j'étais pas capable de me payer. Donc j'étais pas capable de me payer une voiture, j'étais pas capable de réserver les vacances que je voulais. Je me rappelle qu'à l'époque, avec mon axe, il m'avait payé une partie des vacances parce que j'étais incapable de les assumer financièrement. Il m'avait beaucoup aidé d'ailleurs à cette époque-là financièrement, sans contrepartie. Je n'ai jamais dû lui rembourser de l'argent, mais en tout cas, il m'avait beaucoup aidé. Et voilà, je regarde en arrière et je regarde le chemin parcouru. Et aujourd'hui, le fait d'avoir de l'argent, ça a enlevé vraiment cet aspect. Je dis ça avec vraiment un jeu. C'est très compliqué à en parler, mais en même temps, je pense que c'est nécessaire d'en parler. Ça a enlevé ce stress. C'est enlevé tout ça parce que je me rappelle très bien de tous ces blocages que j'avais. entre mes 18 et mes 27-28 ans, donc quasiment 10 ans de ma vie en tant qu'adulte, à ne pas savoir comment l'argent fonctionne. Alors ce que la pauvreté du coup, elle achète vraiment, c'est assez simple. Elle va vous acheter des dettes. Parce que les dettes, c'est un intérêt composé mais à l'envers. C'est chaque mois un problème qui va grossir. Alors fort heureusement, je n'ai pas été très endettée. Même aujourd'hui en fait, j'ai tout construit mon entreprise pour que je n'ai pas d'investisseurs, je n'ai pas de dettes à rembourser, je n'ai pas ce genre de choses. Surtout avec la taille de business que j'ai actuellement, Avoir ça, ce serait un petit peu se mettre une balle dans le pied. Par contre, peut-être plus tard, si je crée une autre entreprise, si je développe quelque chose, ça fera sens de s'endetter ou en tout cas d'avoir des investisseurs, mais on ne parle pas du tout de ce genre de cas ici. C'est du coup un stress constant d'avoir des dettes. Vous le savez peut-être, vous êtes concerné par des dettes. C'est une fuite en avant et c'est souvent des décisions qui sont super irrationnelles. Par exemple, le fait d'acheter à... Crédit un iPhone, d'acheter à crédit un collier. Je vous donne l'exemple de mon collier quartier que j'ai voulu m'acheter, que je n'ai jamais acheté finalement parce que j'ai décidé de mettre cet argent-là de côté. C'est une charge mentale. Il paraît, selon une étude Princeton, que le manque d'argent réduit la capacité cognitive d'environ 13 points de QI. Très intéressant. Et quand on est fauché, le cerveau, il va vraiment se focaliser sur la survie. Et ça, je vois beaucoup, beaucoup chez mes clients qui viennent, qui ont déjà investi chez moi. Donc c'est déjà quelque chose de très fort pour eux symboliquement. Ils sont dans l'incapacité de réfléchir long terme. Et je pense que vous, c'est pareil. Si vous êtes vraiment serré par la ceinture, par des décisions financières actuelles qui sont très dures à prendre, vous êtes certainement incapable de penser long terme par rapport à votre business ou par rapport même à votre situation personnelle. Vous ne réfléchissez pas à la manière de vous enrichir sur les trois prochaines années. Vous réfléchissez court terme parce qu'il faut payer à tout prix les factures qu'il y a maintenant. Et ce qui va se passer, en fait, c'est que la pauvreté va acheter. Alors quand je dis pauvreté, c'est au sens large du terme. C'est qu'on n'est pas en mode... parler des gens les plus pauvres sur Terre, parler de cette... Voilà, on parle juste du fait de manquer d'argent. D'accord ? C'est vraiment au sens très large du terme. Les compromis qu'on va retrouver dans la pauvreté, ils sont assez toxiques parce que vous n'avez pas de marge de manœuvre. Donc, qu'est-ce qui se passe quand vous n'avez pas de marge de manœuvre ? Si vous êtes indépendant, vous acceptez des clients qui sont toxiques, vous acceptez des conditions qui sont souvent injustes, et vous êtes vraiment en train de fonctionner au jour le jour avec un problème d'écosystème, ce qui va être très, très, très similaire. à la manière dont vous fonctionnez en tant que privé aussi. C'est-à-dire que vous allez fonctionner avec des factures à payer à chaque fois au ras du cou, vous n'allez pas vous projeter, vous n'allez pas créer de projet. Ou si vous avez des projets, ils sont souvent tellement ambitieux par rapport à l'argent que vous avez qu'ils sont quasiment irréalisables en fait. Et ça, c'est tout le goulot d'étranglement de la pauvreté, en tout cas de ce que le manque d'argent va vous apporter. Toute votre vie, elle va être subie dans ce sens-là. Maintenant, ne me prenez pas la veste, parce que je vous parle de ça de manière assez calme et transparente. C'est des situations que j'ai connues de manière différente peut-être que vous, mais c'est un stress, c'est une sensation que j'ai connue. Et je me rappellerai toujours de cette boule au ventre que ça provoquait en tant qu'enfant de savoir que ma mère n'avait pas d'argent. C'était très compliqué pour moi, et surtout je me sentais très souvent incapable de résoudre les problèmes qu'elle avait. Enfin, on est impuissant face à la situation de nos parents. Alors là, je ne pense pas que je suis dans un mood de vous dire faites attention à vos enfants, préservez-les, etc. Parce que franchement, vous faites du mieux que vous pouvez si vous êtes dans une situation comme ça. Mais c'est vrai que ça a fait beaucoup, beaucoup de souffrance, en tout cas de mon côté, de savoir que je ne pouvais pas aider ma mère. Et je pense que ça se retranscrit aujourd'hui dans ma manière de gérer mon business. C'est que je sais aussi que tout ce que je fais pour m'enrichir, gagner en notoriété, pour développer le business, pour aider de plus en plus de gens, je le fais en pensant à ma mère, en me disant, je veux l'aider en fait. Je veux lui rendre l'appareil, je veux lui rendre tout ce qu'elle a fait pour moi. Ne vous inquiétez pas, je suis aussi allée voir un psy, j'ai fait de la psychothérapie pendant longtemps, donc tout va bien. mais je pense que c'est ça qui me permet du coup aussi d'en parler de manière librement et de me dire ben Peut-être que mon discours va résonner chez certaines personnes et va peut-être vous aider à faire un déclic. Et puis finalement, un truc qui est très très vrai en Suisse, particulièrement à cause de la manière dont c'est créé, la manière dont l'écosystème est créé, c'est la santé. La santé, elle va venir être très fortement impactée par l'insécurité financière. Donc typiquement, les premières choses de toucher sont tout ce qui est dentiste, les dents, les lunettes. On ne peut pas se payer ce qu'on veut. Alors je sais qu'il y a potentiellement certaines aides par canton, mais c'est très rare d'avoir des aides. C'est très compliqué d'avoir des aides. Ensuite ce qui va se passer aussi, alors d'un point de vue indépendant, ce que j'ai vu souvent chez mes clients, c'est qu'ils vont complètement passer à travers les assurances paire de gains. Les assurances sont toujours pour se protéger finalement d'une activité qui ne tourne pas correctement et qui pourrait être impactée par une santé médiocre. Et du coup ce qui va se passer c'est qu'un accident c'est la catastrophe. Et aussi on va retarder les soins par manque d'argent. Et ça je vous avoue que même mon parti parfois ça m'arrive encore souvent parce que je suis tellement dans une optique d'économiser mon argent que je me dis mais non c'est bon. Tout va bien, je n'ai pas besoin forcément d'aller chez le médecin pour ça, parce que je préfère l'économiser. Ça, c'est propre à moi, mais je sais que par le passé, je me rappelle que quand j'étais arrivée en Suisse, je m'étais protégée avec une assurance extra que j'avais prise, au cas où il m'arrivait quelque chose, parce que je n'avais vraiment pas les moyens de me payer les soins, en tout cas ici. Et surtout, je comprenais très très mal le système, donc je me disais que si j'allais chez le médecin, je devrais tout payer de ma poche. J'avais très très mal compris le système. Aujourd'hui, je l'ai compris fort heureusement, mais je me rends compte que, d'ailleurs, il y a un épisode sur l'RTS qui est sorti, justement, des personnes qui galèrent financièrement et qui n'arrivent pas à se payer les soins en Suisse. Je me rends compte que c'est un problème qui est extrêmement tabou ici et dont on ne parle pas assez. Alors, maintenant, j'aimerais partir sur un élément un peu plus positif parce que ce que je ne veux pas, et vraiment, je me bats pour ça, même sur TikTok, dans mes contenus vraiment finance pur et dur. En fait, je ne veux pas qu'on rentre dans un système de victimisation. Mais moi, je n'y arrive pas, mais si, mais ça. Et là, je vais reprendre un exemple que j'ai regardé. J'ai regardé ce matin. la vidéo de Noëlita et Gaëlle Garcia Diaz. Tout Transpense avec vous, ça doit être mes créatrices de contenu un peu vieux de la vieille, je ne sais pas comment on dit, que je suis depuis vraiment très longtemps et que j'adore. Ce sont deux entrepreneuses. Elles ont des enfants, elles ont une famille. Elles ont construit plusieurs... business en fait souvent, et elles gèrent vraiment hyper bien leur truc, donc j'adore regarder leur contenu. Mais voilà, il faut pas se le cacher, ce sont des femmes qui sont extrêmement aisées. Et dans les commentaires, il y avait quelqu'un qui disait en première ligne, quelque chose du genre c'est sûr qu'on peut être très bien organisée avec des enfants, on peut faire sport, on peut les faire garder, on peut travailler, on peut tout avoir quand on est bien organisée, mais soyons très honnêtes, ça demande de l'argent. Et en fait, le commentaire, il était bien formulé en soi. Elle a raison. Quand on a de l'argent, tout est plus facile, surtout quand on a besoin de s'organiser. évidemment, ça je le dis, je le proclame c'est vrai, et en fait sous les commentaires on avait des commentaires du genre ça reflète pas la réalité des français c'est pas possible quand on a un SMIC, tout ça et en fait ce que je veux vous expliquer c'est que ces femmes là, alors je sais pas exactement d'où elles sont parties, mais elles sont pas parties de tout en haut, c'est pas des népos c'est pas des gens qui profitent davantage à part le fait, et ça on pourra toujours trouver des excuses aux gens pour réussir, qu'elles sont jolies qu'elles sont blanches, et que ce sont des femmes du coup c'est plus facile de percer sur les réseaux sociaux comme ça on pourra toujours trouver des excuses à la réussite des gens. Ce que je veux vous expliquer, c'est que ces femmes, ça fait 12 ans qu'elles ont une image sur les réseaux sociaux, qu'elles travaillent une communauté, une audience. Elles travaillent pour ça, elles ont des business, elles travaillent dur pour se créer la vie qu'elles ont toujours voulu avoir. Une vie qui est faite de choix, une vie qui est construite, une vie qui est épanouie, qui leur permet aussi de créer du contenu pour inspirer les gens et aller de l'avant, d'accord ? Et du coup, le côté un petit peu triste d'Internet, c'est qu'on va toujours avoir des gens qui ne voient pas ça, qui ne voient pas les efforts effectués pour construire ces choses-là. et on va se retrouver avec des commentaires un peu négatifs comme ça. Évidemment que ces filles-là, elles ne sont pas là pour représenter le français standard qui gagne le SMIC. Elles ne sont pas là pour représenter cette catégorie de personnes. Et ce n'est pas comme ça qu'elles ont percé sur les réseaux sociaux. On ne voit pas régulièrement des SMICards ou des gens qui ne gagnent pas bien leur vie percer sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Parce que d'avoir travaillé ça, je vous le dis, ça me concerne, ce sujet me concerne, d'avoir percé sur les réseaux, d'avoir créé une communauté, d'avoir créé un business autour de ça, d'avoir créé vraiment quelque chose, ça rend financièrement confortable. parce que ça nous ouvre des opportunités, des portes qu'on n'avait pas en ne faisant rien. Donc la troisième partie de cet épisode, c'est de vous expliquer pourquoi l'argent est un socle au bonheur et qui va vous aider à aller le trouver. L'argent, tout d'abord, c'est la sécurité. Ça va couvrir les besoins de base, donc tout ce que j'ai dit avant par rapport à la santé. Ça va couvrir aussi tout ce qui est événements imprévus. Ça va vous empêcher d'avoir des embougoises quotidiennes parce qu'il faut payer X ou Y. Et ce que je vous conseille de faire, ce que j'ai toujours conseillé de faire, en tout cas dans mes épisodes, c'est d'avoir au moins trop. trois mois d'épargne. C'est-à-dire trois mois où potentiellement, vous avez une sérénité. Dans le business, j'aurais tendance à vous dire qu'il vous faut plutôt six mois de dépense. Ça veut dire que si tous les mois, vous devez sortir quatre, cinq, dix mille francs pour faire vivre votre business, ce serait d'avoir six mois de ça sur votre compte. Donc si c'est dix mille francs par mois, c'est d'avoir peut-être soixante mille francs en trésorerie qui va vous permettre d'absorber des mois difficiles. Si vous êtes absent, si votre business tourne sur vous, s'il vous arrive quelque chose ... de mal, un accident. Ces six mois-là, ça va être six mois d'assuré où vous n'avez pas besoin de stresser si quelque chose arrive. Et ça, c'est un anti-stress fabuleux si vous voulez mieux vivre votre vie financière, en tout cas avec votre business ou même en tant que privé. L'argent, c'est le choix. L'argent, c'est le choix de dire non. C'est de pouvoir refuser quelqu'un qui est toxique. C'est de pouvoir se séparer de quelqu'un dans des conditions, justement, d'une relation qui ne va pas. C'est de pouvoir changer de job quand ça ne va pas parce que votre employeur est devenu toxique ou parce que la relation ne va plus. C'est aussi le choix de pouvoir investir dans des ressources qui vont vous permettre une croissance personnelle. Dans croissance personnelle, j'entends la capacité de vous former à différentes choses. Là, cette semaine, on vient d'investir par exemple dans la boîte pour une formation en SEO, parce que moi, j'ai envie de me former en SEO. Et j'ai envie aussi que mes collègues puissent se former aussi, donc grandir eux aussi. Et puis que ça va profiter au business. Donc c'est une ressource, c'est un investissement sur le long terme. Dans ressources, j'aime aussi me dire que j'investis dans le sport, donc que mon abonnement au fitness... c'est pas un luxe, ça fait partie des dépenses que j'ai dans l'année, ça fait partie des ressources qui vont me faire grandir, qui vont faire que je me sens mieux dans mon corps, mieux dans ma peau. Et dans les ressources, je compte aussi le temps libre, le temps que j'ai pas besoin de travailler parce que le business tourne et parce que j'ai une équipe derrière pour moi. Équipe dans laquelle j'investis. J'investis dans ce dont ils ont besoin. J'essaie d'écouter aussi tout ce qu'ils peuvent avoir besoin pour grandir. Même si on est toujours dans une étape où l'entreprise est bébé, elle continue de grandir, même si on va faire un joli chiffre d'affaires cette année. elle continue de grandir, elle reste bébé. Il faut toujours faire la balance entre les deux, évidemment. Je ne vous dis pas de tout sacrifier au profit de vous ou de vos employés. Je dis juste que l'argent doit être utilisé en tant que choix. Et cette histoire de ressources, c'est aussi de l'utiliser comme levier. Levier pour investir justement dans des coachs, dans cette équipe, pour acheter du temps, parce qu'on délègue des tâches dans lesquelles on s'épuise. Et ça, c'est très similaire, vraiment, c'est assez proche de ce qu'on va venir faire à titre privé. Je vous donne un exemple. Moi, dans ma vie, futur dans ma vision des choses. J'aimerais vraiment avoir quelqu'un qui fait le repassage pour moi, qui fait le ménage chez moi, et pourquoi pas en fait avoir un private, un chef privé qui me fait à manger de temps en temps, quand justement j'ai pas le temps, j'ai trop à faire. Pourquoi ? Parce qu'en fait, faire à manger, ça n'a jamais été le gros kiff international pour moi. Mon père est cuisinier, c'est ça le paradoxe, mais ça n'a jamais été quelque chose où, voilà, quand j'ai du temps, quand j'ai du plaisir, quand j'ai envie de me mettre dans une recette, je vais le faire. Mais franchement, faire tout le temps, ça m'agace. Et du coup, je mange très très bien, je mange très équilibré, mais ça me saoule et j'ai tendance à manger tout le temps un peu la même chose. Et des programmes en ligne, c'est pas vraiment ce que j'ai envie de faire, ça va me servir un petit peu de temps en temps pour réapprendre des nouvelles choses, mais... Je préférais avoir quelqu'un qui m'accompagne en fait dans une santé, et pourquoi pas en fait que cette personne m'accompagne aussi dans le sport que je vais faire, dans un accompagnement, voilà, tout ça. Ça, ça fait partie du coup de mes envies futures, voilà. Ça fait partie de mon levier de croissance, du fait que je me sens bien, que voilà. Aujourd'hui, actuellement, évidemment, j'ai pas forcément les moyens de me payer quelqu'un comme ça, mais je pense que c'est pas impossible, et surtout si c'est vraiment quelque chose que j'ai envie d'avoir dans ma vie, je le ferai, et ça fera partie des choses que je me paierai. Alors... Une petite punchline comme ça, je pense que l'argent, il ne va pas acheter la joie. Il va vous acheter le temps pour aller la chercher, le temps pour être dehors, à profiter du soleil, le temps d'aller boire des cafés avec vos amis, le temps que vous allez passer avec vos enfants, le temps que vous ne passez pas à vous énerver sur un client ou sur un chef qui vous traumatise, etc. Donc je pense qu'il y a assez de preuves là maintenant pour vous prouver que vous devez aller chercher justement cette sérénité. Et ça commence justement par des petites actions. Comme je vous l'ai dit il y a quelques minutes, pour moi c'est super important de ne pas partir dans un mode victime, mais moi j'y arrive pas, mais moi je sais pas comment faire mais moi c'est impossible, etc fondamentalement, je le redis je l'ai déjà dit dans plein d'épisodes, on démarre pas tous du même endroit, c'est vrai, on a pas tous les mêmes capacités, on a pas tous les mêmes problèmes, c'est à dire que aujourd'hui j'ai beaucoup moins de problèmes que quelqu'un d'autre, c'est sûr, mais j'en ai aussi beaucoup plus que d'autres, donc on part pas tous du même endroit, et je pense que y'a une certaine je suis assez humble à l'idée de me dire que j'ai plus d'avantages que d'autres et j'en ai moins que certains. Quand je vois quelques personnes qui démarrent des business avec déjà une belle enveloppe de 30, 40, 50 000 francs, moi, je n'ai pas eu ça. Je n'ai rien eu. J'ai dû mettre mon salaire dans chacun... Enfin, chacun de mes investissements faisait partie de mon salaire de salarié au tout début. Et au fur et à mesure du temps, j'ai réinvesti l'argent que j'ai gagné. Donc, j'ai commencé comme ça. Ça met beaucoup plus de temps de faire comme ça. Ça, je vous le dis, ça met beaucoup plus de temps pour décoller au niveau des investissements en bourse. Ça met beaucoup plus de temps pour avoir un patrimoine, pour investir en immobilier. Ça met beaucoup plus de temps pour développer un business. Mais de réfléchir comme ça, ça va déjà vous permettre d'enclencher une forme de croissance. Et du coup, dans vos investissements, dans votre épargne, dans vos projets. Plus vous réfléchissez comme ça, je réinvestis mon argent dans ma croissance. Croissance ads, croissance dans une formation, croissance dans un développement personnel, croissance dans un psy, j'en sais rien. Tout ça, ce sont des formes de croissance qui vont vous acheter à terme cette sérénité-là. Mais c'est vrai que j'ai aussi réalisé... Mais c'est vrai, je vais vous donner un petit peu raison. Sur certaines choses, il y a des limites. que l'argent ne peut pas avoir. À partir d'un certain montant gagné, c'est sûr et certain que le lien entre argent et bonheur s'aplatit. Pourquoi ? Parce qu'on arrive à combler les besoins nécessaires pour être confortable. Donc tout ce qui est santé, tout ce qui est stress, factures à payer, etc. Et au-delà de tout ce qui est sécurité, le bonheur, il dépend quand même de choses que l'argent n'achète pas. Donc les relations, la santé, c'est-à-dire que si on peut avoir de l'argent, mais être en mauvaise santé, et surtout le sens qu'on a dans la vie. Et là, je ne vais pas vous partir dans un développement spirituel parce que ce n'est pas comme ça que... C'est pas le type d'épisode que je fais en général. Mais je trouve que c'est intéressant de vous apporter une dimension personnelle à ce sujet-là. Et dans ce sens-là, je le dis régulièrement, vous m'entendez le dire dans les podcasts, que je me sens alignée, que je réfléchis aussi par rapport à moi, à ce que j'ai envie de faire, etc. Et dans ce sens-là, je pense que c'est important, pour gagner de l'argent, d'aller trouver le sens qu'on veut donner à sa vie. D'aller trouver sa mission de vie, d'aller trouver comment on veut aider les gens, comment on veut être heureux. Je pense que c'est important, du coup. d'aller chercher ça même quand on n'a pas encore les moyens. D'aller chercher justement quel impact on veut avoir, qui on veut faire, comment on veut faire les choses, parce que ça va donner tout un sentiment d'objectif à votre vie et à ce que vous voulez faire. Mais le socle de l'argent, il reste quand même super vital, parce que tant qu'il n'y a pas d'argent pour travailler sur ces facteurs, il n'y a pas de sérénité. Donc on va dire, je pense qu'il y a une belle métaphore, l'oxygène. L'oxygène, fondamentalement, tous les jours depuis que vous êtes nés, vous le respirez. Est-ce que vous avez tous les jours ce truc de vous dire « Waouh, l'oxygène, c'est fou, ça m'apporte la vie, ça m'apporte... » Vous n'êtes pas en train de vous dire ça. Par contre, l'oxygène vous permet de faire plein de choses. Il vous permet d'aller faire du sport, il vous permet d'aller travailler dans des bonnes conditions, il vous permet de vivre des expériences de vie, parce que sans oxygène, vous mourrez. L'argent, en vrai, c'est un peu similaire. L'argent va vous permettre de faire ça. Et ce que je vous incite à faire, parce qu'en fait, je vais être... Si vous voulez, moi, je peux avoir plein, plein, plein de manières différentes de voir les choses. et je peux m'adapter à la personne que j'ai en face de moi, c'est vrai. Mais dans mon esprit... si j'ai envie de faire x10, je le disais déjà dans l'épisode précédent, je vais faire x10, si j'ai envie de faire x100, je vais faire x100. Et dans ce sens-là, ce que l'entrepreneuriat m'a appris au cours des 18 derniers mois, c'est qu'il n'y a pas de limite. Putain de limite à faire ce genre de choses. Et je pense qu'aujourd'hui, j'ai envie de chercher davantage d'argent, j'ai envie de développer davantage mon business, j'ai envie d'aller encore plus loin, justement pour faire des choses encore plus grandes et développer davantage de choses d'un point de vue finance. Et je pense qu'en tant que femme en Suisse, j'ai plein de marge de manœuvre pour faire ça. Et je vais aller chercher tout ça pour développer quelque chose qui va permettre à beaucoup de gens de se libérer de ce fardeau émotionnel et qui, j'espère, pourrait vivre ce que moi je vis actuellement. d'être libérée de ces gros trucs très lourds de mon enfance qui m'ont fait douter, qui m'ont empêchée de me développer, qui m'ont fait me sentir moins bien, qui ne m'ont pas rendue heureuse plus jeune dans ma vie d'adulte. Alors, j'ai envie de vous demander une petite faveur. Si vous aimez cet épisode-là, j'aimerais que vous le transfériez à quelqu'un qui aurait besoin d'entendre ces choses-là de manière douce et pragmatique, qui a besoin aussi de se sentir un petit peu secouer les cocotiers en mode « Ok, on ne démarre pas tous du même endroit, on n'a pas tous les mêmes difficultés dans la vie. » Mais en fonction de ce qu'on a envie d'atteindre, c'est réalisable et ça nécessite des petites actions. Et justement, dans tout ce podcast Coach ton budget et business, j'en parle à plein de reprises. Et si c'est quelque chose où vraiment vous vous sentez dans le caca, dans la mouise financière, je vous aide au travers de plein d'astuces à développer votre entreprise pour gagner des revenus déjà supplémentaires au début. Ou pourquoi pas transformer vraiment ça dans un levier de croissance pour devenir entrepreneur et ne plus avoir de limite, en tout cas, de levier pour bien gagner sa vie. Alors évidemment, aujourd'hui, j'accompagne bien plus des entrepreneurs qui sont déjà lancés dans le cadre d'Objectif Structuration. Mais il y a Objectif Fondation qui va vous aider à un budget hyper abordable. Parce que soyons honnêtes, j'ai cherché à ce jour, je n'ai trouvé aucune formation en Suisse, surtout pas. Mais je n'ai trouvé aucune formation sur le marché francophone à ce prix-là pour vous aider à développer un business en partenariat. Avec des événements en présentiel, avec des lives, avec du coaching, etc. Ça n'existe pas. Donc je pense que je suis déjà en train de vous tendre la main. pour développer quelque chose de rentable, pour vous aider à avoir des revenus supplémentaires. Et j'aimerais du coup que vous en parliez autour de vous, que vous vous disiez, en fait, il y a ça pour développer un business, pour gagner mieux d'argent, ou alors juste avec Coach ton budget, pour se dire, je reprends en main ma santé financière. Ça, c'est la base. En plus, c'est un tout petit investissement de nouveau. Ça ne représente rien du tout par rapport à l'argent que vous pouvez gagner derrière. Parce qu'on parle d'éducation financière, on ne parle pas de MLM, de business, je ne sais pas quoi, de dropship. shipping, on parle pas du tout de ça, on parle d'éducation financière, donc c'est un peu la base. Et si vous avez personne à qui en parler, si vous vous êtes concernés, déjà, nous contactez, ce serait super bien, vous avez toutes les infos dans la barre d'infos. Si vous êtes entrepreneur, on a mis à disposition un calculateur, un simulateur de rentabilité, donc allez voir ça. Mais surtout, de mettre un 5 étoiles à cet épisode. Parce que c'est comme ça qu'en début d'année, j'ai gagné un prix, c'est comme ça que j'apprends à le faire connaître, et c'est comme ça qu'il obtient de plus en plus de visibilité auprès des autres. Et si vous avez envie, mettez-moi un commentaire, soit sur YouTube, soit sur Spotify, qu'on discute de quelque chose. Le problème, c'est pas de vouloir trop d'argent. Le problème, c'est de s'habituer à vivre avec trop peu, alors que vous pouvez avoir un petit peu mieux. Et dans ce sens-là, si seulement en fait je pouvais vous emmener une journée avec moi pour que vous voyez que mon niveau de vie n'est pas du tout extravagant, il est assez standard, et que je n'ai pas prévu de l'augmenter. J'ai de la vision, j'ai la vision de ce que j'ai envie d'avoir dans ma vie, évidemment, j'en ai déjà parlé dans les épisodes précédents, mais je pense qu'actuellement, il convient exactement à l'argent que je me fais. Et je mets tellement de marge à me faire davantage d'argent pour être encore plus confortable financièrement et pour atteindre mes objectifs qui sont devenus très très grands. Si vous voulez, c'est parti quand même d'un collier quartier à 1000 francs que je voulais m'acheter, que je n'ai jamais acheté, à aujourd'hui l'achat d'un appartement en Suisse. On est passé d'une fille qui n'avait rien, qui avait 3000 euros sur son compte, à quelqu'un qui va acheter son premier bien immobilier en Suisse. Avec zéro investisseur, pas d'argent de la famille, juste mes moyens, mon temps. et l'argent que j'ai gagné en revendant mes services, en vendant mes services et en vous aidant à faire de même. Voilà. Bref, je conclue cet épisode. N'oubliez pas du coup d'aller lui mettre 5 étoiles. Si vous avez envie de le partager en story, moi je repartage volontiers votre story sur les réseaux sociaux. Si vous avez envie de me faire une note, de me laisser un mot, de m'écrire un email, franchement je lis tous, je réponds à tout le monde, ça me fait toujours super plaisir. Je sais qu'à chaque épisode un petit peu déclique comme ça, je reçois beaucoup de messages et ça me fait super plaisir. Sachez que si vous voulez qu'on se rencontre une fois, déjà la première manière de le faire c'est de rejoindre par exemple Objectif Fondation où on fait des événements en présentiel où je serai là mais parfois il y a des petits événements sur lesquels je suis et je me ferai un plaisir de vous rencontrer donc n'hésitez pas à rejoindre la newsletter moi je vous tiendrai toujours au courant de ce que je fais et l'année prochaine, 2026 on vous prépare avec Eva des super contenus qui vont vous permettre du coup de prendre en main votre santé financière de reprendre en main votre vie et de développer absolument tout ce que vous avez envie de développer dans votre vie pour vous sentir épanouie et complètement aligné. Voilà. Même si c'est un mot que je déteste, je pense qu'au bout d'un moment, il fait sens, là. Je vous remercie pour l'écoute et je vous dis à la semaine prochaine pour le prochain épisode qui sera sur YouTube et qui sera sur la playlist 15 minutes rentables. À tout bientôt !
