- Speaker #0
Dans cet épisode, je vais un peu vous détailler mon pourquoi, mon intention. Dans le premier épisode, je l'ai un peu évoqué, mais ici, je vais vous détailler tout ça, vous raconter quelques anecdotes personnelles, ce qui est arrivé à mon père, le déclenchement de tout ça, et pourquoi je prends la parole. Alors, restez à l'écoute, c'est parti !
- Speaker #1
Bienvenue dans cœur de papa !
- Speaker #0
Papa 2 Je suis Aurélien.
- Speaker #1
Papa des 4 merveilleux enfants que vous venez d'entendre.
- Speaker #0
Et je vais vous partager mes aventures et réflexions d'être un papa à 100%. Au programme, ma vision de la parentalité, de la paternité, de l'instruction des enfants, de leur santé et de la mienne, et de l'intégration de tout ça dans le quotidien. Entre doux rêves et réalité, c'est parti pour l'épisode d'aujourd'hui. Alors, vous l'aurez compris, dans ce nouvel épisode de... coeur de papa, je vais vous parler avec mon coeur de mes valeurs, mon pourquoi, de l'intention vraiment de ce podcast. Mon parcours de vie m'a amené jusqu'ici et mon parcours de vie du coup a une petite particularité, c'est pour un homme d'être papa à la maison, d'être père au foyer comme on pourrait dire, de faire l'instruction à la maison en plus, tout ça, ça m'a ouvert... ça m'a ouvert l'esprit, ça m'a mis en avance certaines choses et c'est pour ça que je veux vous les partager. Alors vous l'aurez compris, moi au début ce qui m'a amené à faire tout ça, c'était l'autonomie. L'autonomie on va la retrouver un peu en fil rouge de tout cet épisode et de tout le cheminement qui m'a amené jusqu'ici. Et donc l'autonomie je l'entends à un sens très large. L'autonomie m'a amené jusqu'ici mais ça n'a pas commencé, je ne la voyais pas aussi large que ça. Moi quand je m'y suis plongé au début, l'autonomie c'était pour moi l'autonomie énergétique. J'ai commencé avec mes valeurs écologiques, on va reparler des valeurs un peu plus tard, mais voilà la valeur écologique est très importante pour moi et pour nous dans la famille. Et donc je me suis d'abord intéressé, comme je vous disais, à ce que je peux faire pour que ça fonctionne. tout ce qui est énergétique, les panneaux solaires, la récupération de eau de pluie, le mode de chauffage, l'isolation, tout ce qui touchait à la base au bâtiment pour répondre aux besoins primaires du bâtiment. J'ai fait installer des panneaux solaires sur la maison, j'ai fait une formation sur la récupération d'eau de pluie, d'ailleurs il faut que je... finissent ça chez nous pour être autonomes en eau. J'ai fait une formation sur construire un poêle de masse au niveau chauffage mais ici il y avait déjà un plancher chauffant dans la maison donc c'était pas possible de le mettre donc du coup on a opté pour une pompe à chaleur avec de la géothermie qui m'apporte plus ou moins de satisfaction et on a mis une cuisinière à bois du coup qui est beaucoup moins lourde que le poêle. et qui permet quand même de se chauffer une partie de la maison au bois et de cuisiner au bois. Ça c'est vraiment chouette pour l'autonomie, la cuisinière à bois, je la recommande fortement. Là ça fait deux mois qu'on l'a et on l'utilise quotidiennement. C'est un vrai bonheur de cuisiner avec le feu. Ensuite, et un peu en même temps, est aussi arrivé l'autonomie alimentaire. Après quand je dis autonomie, bien sûr, je ne suis pas autonome à 100%. Et sur certains aspects, je ne cherche pas à l'être, dont notamment l'autonomie alimentaire. Je sais très bien que si je veux des avocats ou des mangues, je fais une petite entorse, et puis il faudra les acheter au magasin. Si possible bio, si possible quand c'est la saison, et pas en vouloir à n'importe quel moment de l'année. Là-dessus on est d'accord, c'est la partie des valeurs, mais je sais que de manière globale... c'est très très compliqué si on veut produire toute son alimentation. Donc clairement je ne vise pas à être autonome, mais à être le plus résilient possible, c'est-à-dire réussir à faire le 80-20, donc réussir à importer le maximum et espérer avoir au moins 80% de mon alimentation, et en cas de crise, en cas de problème, je sais que j'ai au moins de quoi survivre dans le jardin, dans les bocaux, dans la cave, dans tout ce que j'aurais mis en place. Et pour ça j'ai beaucoup regardé des vidéos de permaculture, j'ai plein de références à vous partager, le potager d'olivier qui est la chaîne la plus connue sur Youtube, et après moi j'ai beaucoup aidé... aimé pardon le potager du paresseux de Didier il s'appelle Didier comme comme mon papa aussi celui qui crée cette chaîne et surtout il était d'Alsace donc c'était un climat proche du mien donc tout ce qu'il disait pouvait plus ou moins s'appliquer directement chez moi et il a un franc parler il fait des très très longues vidéos mais voilà moi j'aime vraiment tout ce qu'il partage et c'est toujours des conseils très utile très efficace il a un côté un passé d'un agronome de le terme m'échappe mais voilà c'est un scientifique qui met sa passion dans le potager c'est vraiment chouette donc je vous recommande sa chaîne aussi le potager du paresseux ensuite comme je vous disais dans l'épisode 1 il ya eu la période qu'ovide qui a aussi mis en évidence qu'il fallait prendre soin de sa santé par nous-mêmes et pas faire confiance à tout ce que la médecine traditionnelle pouvait nous dire et nous faire croire. Et les médias, en tout cas, diffusaient bien des bêtises pendant cette période-là. J'y reviendrai, ça, dans le point précédent, quand je vous parlerai un peu de mon papa. Ensuite, il y a eu l'autonomie financière. Je ne vais pas rentrer trop dans le détail, quoique je vous le disais dans l'épisode 1. L'autonomie financière, nous, on a essayé de la développer en changeant de région, en partant d'une région, un, moins chère, deux, plus proche de la nature pour le point 1 et le point 2, et donc être un peu moins dépendant du crédit, ce qui m'a aussi permis de m'arrêter de travailler. Du coup, un salaire en moins, ça crée des... ça crée des adaptations et on est toujours en train de s'adapter là on s'en sort comme ça mais ça serait bien de trouver un équilibre un peu plus un peu plus périn et c'est ce que j'essaye de faire aussi développer des activités qui puisse nous nous rapporter soit des revenus passifs soit que je puisse retrouver une activité qui puisse adapter à mon emploi du temps de papa à la maison donc Voilà pour la partie financière, si vous êtes libre de crédit, vous pouvez emprunter pour justement faire fructifier et pas emprunter pour rembourser la banque bêtement, entre guillemets. L'intelligence financière c'est vachement important et les riches en fait ils travaillent pas, ils font travailler l'argent. Et ça c'est un sujet que beaucoup de... personnes ou que la société ne veut pas surtout nous faire apprendre et nous faire comprendre, c'est que pour devenir riche, oui, ça demande beaucoup de travail, mais il faut surtout savoir faire travailler l'argent. Voilà pour cet aspect. Ensuite, avec les enfants, on a développé une autre autonomie qui est l'autonomie de l'instruction. Je ne sais pas un peu comment l'appeler, mais voilà, avec l'instruction en famille, l'école à la maison. on a vu qu'on n'était pas obligé de mettre nos enfants à l'école et qu'on pouvait être autonome sur ce sujet-là. Et là, ça mériterait vraiment un épisode dédié qui arrivera prochainement sur l'IUF. Je ne vais pas trop rentrer dans les détails, mais en tout cas, c'est une autonomie supplémentaire et je vous en parlerai très prochainement dans un prochain épisode. Ensuite... C'était aussi... Je les ai classés là, ces autonomies, dans l'ordre pour pas en oublier, mais il n'y a pas forcément d'ordre chronologique, parce que celui-là c'est l'autonomie de l'information, le prochain que je voulais vous parler. L'autonomie de l'information, c'est... On a décidé de couper les sources d'informations nocives, qui nous sont imposées. Voilà, on ne regarde plus la télé. En tout cas on ne regarde plus les informations comme pouvaient faire nos parents machinalement, regarder le 20h, que ce soit sur TF1 ou France 2 ou une autre chaîne, peu importe. Je sais que certains ont leur 20h, leur 13h pour avoir des infos, et en fait c'est des infos qui sont imposées, qui ne sont absolument pas constructives, et qui nous font être dans une vision très noire du monde. Et moi j'ai eu une tendance un peu... à être dans l'écho anxiété, à voir que tout va mal, que le monde va s'effondrer, que c'est bientôt la fin du monde, la fin de l'humanité, qu'on est en train de s'auto-détruire, qu'on consomme beaucoup plus de ressources que ce que la planète peut nous fournir. Ok, tout ça c'est vrai, mais il y a aussi une autre façon de voir le monde et de voir l'information. Et c'est plus l'approche des stoïciens que j'ai découvert grâce à mon mentor Pierre Dufraisse, que je vais souvent citer dans cet épisode et dans les prochains, parce qu'il m'inspire vraiment beaucoup et qui m'a fait découvrir un peu la philosophie des stoïciens. Et donc mettre le focus sur ce qu'on contrôle. et laisser le reste, ne pas mettre d'énergie sur le reste. Donc oui, s'il y a la famine, je ne sais pas où en Afrique, un ouragan, je ne sais pas où en Asie, ou même aux Etats-Unis, peu importe. Qu'est-ce que je peux y faire, moi, à mon simple niveau ? Ben rien. Par contre, être agréable avec mes enfants, avoir de l'énergie pour ma famille, mes projets. développer mon côté écologique et agir sur l'environnement de mon microcosme, là je peux être très efficace et avoir de l'influence. Donc c'est sur ça que je veux mettre l'énergie, en tout cas c'est aussi dans mes valeurs maintenant et dans ma façon de penser. Et tout ça c'est lié à l'information qu'on reçoit. Et donc du coup je consomme beaucoup plus d'informations que je choisis. sur youtube sur les podcasts sur la télé on regarde on regarde encore des séries des fois sur netflix mais c'est des séries qu'on a choisi souvent un peu style documentaire et bien sûr on a aussi quelques séries détente voilà et pareil pour l'information qu'on donne aux enfants qu'on parlerait sûrement dans le sujet de l'ivef mais voilà pas de télé pour les enfants avant recommandé avant trois ans mais le plus tard possible et donc je disais oui l'information choisie, essayez de choisir l'information même si sur youtube sur les ils ont des algorithmes très malins qui vont essayer de vous vous montrer les sujets que vous n'aviez pas forcément choisi de voir et ça c'est aussi les réseaux sociaux youtube c'est aussi il faut apprendre à les utiliser pour que ce soit à notre service et pas que ce soit l'inverse, ne pas en devenir esclave. Et ça aussi, c'est un gros sujet, une grosse attention de tous les jours, avec les notifications, avec les algorithmes, ils sont très très forts pour piéger le cerveau humain, parce qu'ils l'ont très bien étudié. Donc voilà, attention à ça, choisissez votre information, et ne laissez pas l'information arriver à vous, il y en a déjà tellement qui arrivent à nous. sans qu'on la choisisse, donc pour le peu qu'on peut choisir, essayons de la contrôler, de la choisir. Et enfin, pour reciter mon mentor Pierre Dufresne, l'autonomie de la pensée. Ça vient un petit peu avec l'autonomie de l'information. Réussir à penser par soi-même, à faire des liens entre les différents concepts, et ça on va aussi le détailler tout à l'heure dans... Je parlerai plus en détail de la santé, mais voilà, tout est cyclique, tout est entrelacé, entrelié, entremêlé, et réussir à faire des liens, l'intelligence est interligérée, c'est faire des liens entre les différents concepts, et que de toute façon tout est relié, donc faire des liens et être autonome dans sa pensée. Ça c'est une autonomie sur laquelle je débute, donc là-dessus je vous en dirai plus peut-être un peu plus tard. Mais voilà, l'autonomie de la pensée c'est aussi super important, ça peut se rejoindre aussi avec la philosophie des stoïciens. Voilà pour un peu développer le sujet de l'autonomie et du fil rouge de l'autonomie. Maintenant je vais vous parler de l'événement déclencheur. qui a été les ou la maladie de mon père, parce qu'il y en a eu deux.
- Speaker #1
Alors je disais le ou les maladies, parce que malheureusement mon père a enchaîné deux maladies très graves. Donc ça a commencé par détecter un cancer du pancréas. Donc quand on vous annonce cancer du pancréas, c'est déjà un très mauvais signe. Heureusement dans son malheur, il y a deux versions un peu du cancer du pancréas. Il y en a une qui... qui peut être très rapide, très foudroyante, et l'autre qui donnait une espérance de vie quand même un peu plus longue. Et donc il avait cette deuxième version. Et je me souviens qu'à cette époque-là, j'ai essayé de me renseigner comment faire pour soigner le cancer par les médecines alternatives. J'étais tombé sur des vidéos de Thierry Casasnovas, qui expliquait que la chimio,
- Speaker #0
ça détruisait tout,
- Speaker #1
les bonnes et les mauvaises cellules. Il avait pris l'exemple du mur qu'est l'humidité. Et d'abord mettre une couche de peinture fraîche dessus, si tu ne traites pas le... problème voilà le cancer le chimio le détruit tout et tu arrêtes la chimio et le cancer et il était au pancréas il revient soit même endroit soit il revient ailleurs si le problème n'est pas traité et je trouvais ça assez assez logique et assez judicieux et si la médecine classique ne prenait vraiment pas en compte un aucun aspect chacun avait sa spécialité donc c'était Voilà, le spécialiste du pancréas, le spécialiste du sang, le spécialiste du cerveau, le spécialiste aussi de ça. Des brins de balais de spécialiste en spécialiste. Et bon, après, pour le cancer du pancréas, j'avais essayé de mettre des choses en place avec mon père, comme changer l'alimentation, avoir une alimentation un peu plus végétale suite à la formation qu'on avait fait avec Thierry. voilà implémenter des jus de légumes, arrêter la viande, diminuer le sucre, essayer de ne pas nourrir le cancer justement, notamment en arrêtant les sucres. Et on avait fait un programme qui devait durer trois semaines et au bout de deux semaines tout allait bien, on faisait le programme donc je le faisais avec lui pour le soutenir et on a eu un rendez-vous avec son... ...ageux. le nom du spécialiste du pancréas. Et avec la spécialiste, elle lui demande comment ça va. Et il dit, écoutez,
- Speaker #0
si ça pouvait rester comme ça,
- Speaker #1
ça va bien. Il lui a pas dit qu'on avait commencé un truc alternatif, une cure et qu'on allait changer d'alimentation. Mais voilà, à aucun moment, elle lui demande comment ça va. Mais voilà, comme quand on dit bonjour dans la rue, salut, comment ça va ? Elle va pas chercher... Comment ça va l'alimentation ? Comment ça va le sommeil ? Comment ça va le psychologique ? Non, c'est comment ça va, tiens on va faire une prise de sang, regarde tes marqueurs sanguins et voilà c'est tout. Comment ça va, on s'en fout en fait. Ce que tu peux faire, ce que tu peux changer. Je lui ai dit, mais changer l'alimentation. Ça ne changeait rien pour elle, on pouvait manger ce qu'on voulait. J'ai dit, mais si on commence une chimio, c'est quoi les résultats, c'est quoi les statistiques ? Et la seule statistique qu'elle pouvait me donner c'était 60% de personnes encore vivantes 5 ans plus tard. Je me suis dit, ah ok, bon c'est pas beaucoup. C'est quoi la stat des personnes qui n'ont pas fait la chimio ? Ah ben, s'ils ne font pas les chimios, on n'a pas de stat, ils ne rentrent pas dans les stats, ils ne sont pas suivis, on ne sait pas. Chimio versus rien du tout quoi. Tous ceux qui sont dans la médecine disaient il faut faire la chimio, il faut faire la chimio, il faut faire la chimio. Après j'étais pas à 100% contre la chimio et puis vu que tout le monde, tous les médecins lui disaient de le faire, ben il l'a fait. C'est pas ça qui l'a tué mais je sais pas si ça a gagné grand chose sur son espérance de vie en tout cas. on ne le saura probablement jamais, mais en tout cas, la médecine classique, c'était absolument pas de vision holistique, l'alimentation, le sommeil, les pensées, surtout les psychologiques, comment tu vis la nouvelle, etc. Zéro. Donc ça aussi, ça m'a bien été un déclencheur de dire, purée, il faut prendre soin de sa santé, parce que la médecine, ils ont tellement découpé le corps en spécialité, tout est découpé. Et comme dirait mon ami Pierre, c'est pas parce que tu découpes le corps et que tu connais toutes les parties du corps que tu sais comment fonctionne le corps, parce qu'ils oublient toutes les synergies, ils oublient tous les liens. Ce que je disais avant, ils oublient que tout interagit avec tout et que t'as beau connaître par cœur le pancréas, c'est... ça marche en lien, le pancréas ne marche pas tout seul, il marche avec tout le reste du corps et il y a des boucles de rétroaction que malheureusement la médecine classique ne prend pas en compte voilà pour la première maladie, il avait commencé la chimio et ça avait stabilisé un petit peu l'évolution du cancer mais pas de merveille là dessus non plus ensuite Je ne sais plus dans quel ordre ça n'a jamais été diagnostiqué. Ensuite, il y avait une suspicion de maladie de Charcot. A savoir que ma grand-mère paternelle, donc sa maman, est aussi décédée de la maladie de Charcot. Donc on avait une forte suspicion de la maladie de Charcot parce qu'il avait des symptômes énormes. Et je ne comprends toujours pas comment la médecine n'a pas pu poser ce diagnostic plus tôt. Ils ont officialisé le diagnostic de la maladie de Charcot. alors que mon père était déjà décédé. Donc ça, ça m'a aussi un peu dégouté de la médecine classique. Je ne sais pas comment ils font pour valider ou pas que tu as la maladie de Charcot, mais en tout cas, ils ne devaient pas cocher toutes les cadres, alors que pourtant, il y en avait quand même beaucoup. Donc la maladie de Charcot, pour ceux qui ne connaissent pas, tu commences par perdre le contrôle de tes muscles. Chez mon papa, chez ma grand-mère, ça avait commencé par le bras, bras gauche. complètement enfin ça vient au fur et à mesure mais à la fin bras gauche complètement mort inerte impossible de le contrôler il pouvait plus bouger les doigts le bras plus de sensations je pouvais lui enfoncer un couteau dans le bras il n'aurait pas senti c'est vraiment dur parce que tu perds le contrôle de ton corps et tu as encore ta tête qui est tout à fait normal donc tu t'es emprisonné dans ton corps quoi tu maîtrises plus du tout ton corps ceux qui vivent longtemps que la maladie de charcot ben ils arrivent encore certains à communiquer avec les yeux avec des clés technologie actuelle il arrive encore un peu à parler avec les yeux et tout mais c'est faut être accroché pour avoir une sacrée envie de vivre pour t'es prisonnier de ton corps tu peux plus rien faire tu es dépendant des autres pour pour tout et ça mon père qui était très actif il n'a pas supporté du tout quoi et je pense que voilà il avait enfin il n'avait plus du tout le la volonté de se battre et de profiter d'avoir la force mentale de profiter de chaque jour à fond et de et de vivre malgré malgré la maladie et se battre pour pour vivre et du moment que le mental il
- Speaker #0
veut plus il veut plus il veut plus vivre c'est
- Speaker #1
c'est dur que le corps il continue tout seul quoi ça marche pas comme ça c'est tout et tout est intriqué tout est lié et malheureusement après ça va ça va très donc voilà pour cette maladie de charcot au final pensé c'est ça qui c'est ça qui l'a tué à la fin cette maladie dont il est décédé et les informations qui sont données aussi sous cette maladie c'est vraiment pas rassurant très très alarmiste et Et donc du coup il y avait une suspicion que ce soit génétique. C'est ça en fait qui a déclenché chez moi l'envie de faire différemment, l'envie de profiter de la vie chaque jour, de bouger. C'est que je suis le seul aussi dans la famille qui ait fait le test génétique pour savoir si j'avais aussi ce gène défaillant. Donc ce qui m'a amené à m'intéresser à la génétique. Et donc on me propose de faire le test, test génétique en France, donc bon c'est encadré. ils vont juste tester les gènes défaillants et donc tu dois attendre quasiment six mois pour avoir le résultat tu vois un psychologue avant une fois que le résultat est là il te redemande si tu es vraiment sûr de vouloir savoir et moi j'ai voulu savoir et il s'avère que j'ai ce gène défaillant aussi donc là pareil il te rassure pas trop ah ben c'est à peu près fini Ils n'osent même pas te donner les pourcentages, j'ai dû un peu insister, mais ils disent entre 80 et 90% de chance de déclencher la maladie. Et par contre, ils ne peuvent pas te dire, bien sûr, à quel âge ma grand-mère et mon père sont partis autour des 64 pour mon père et je ne sais plus, dans les 60 aussi pour ma grand-mère, donc assez jeune. Et ils te disent, il y en a qui le déclarent eux. tôt et qui vivent longtemps avec, il y en a qui la déclarent tard et que c'est rapide, enfin vraiment ils te rassurent pas. Je fais dans les 80-90%, c'est-à-dire qu'il y en a qui, il y a quand même 10-15% qui la déclarent pas et dit « oui on veut pas être pessimiste mais bon ceux qui la déclarent pas c'est peut-être ceux qui meurent d'autres choses avant quoi » . En gros c'était cela. Donc absolument pas rassurant, pas du tout aidant. Donc je comprends qu'ils ne veulent pas l'annoncer aux gens et qu'ils disent qu'il vaut mieux ne pas le savoir que de savoir ces nouvelles-là. Et après, j'ai fait mes recherches sur la génétique un petit peu et voir ce que je pouvais mettre en place comme mode alternatif, comme chose que je pouvais faire. Et on revient donc à l'autonomie de la santé, à essayer de prendre sa santé en main. c'est vachement important donc j'ai essayé de m'intéresser à la génétique aux microbiotes à l'alimentation au sport et surtout à l'épigénétique que maintenant si on parle de la génétique donc on on zoom au zoom au plus petit de de la cellule on trouve les l'adn l'adn pour vous donner l'image qu'on a souvent d'un brin d'adn c'est une échelle une espèce d'échelle enroulée avec des barreaux qui sont les brins. Et c'est la plus petite unité du vivant. On ne peut pas zoomer plus, c'est la cellule.
- Speaker #0
Et chaque barreau de la cellule est composé de deux petites molécules,
- Speaker #1
les nucléotides. Et dans ces nucléotides, il y a les gènes. Alors selon les sources, on dit que certains disent qu'il y a 21 000 gènes, après j'ai vu 30 000, j'ai vu maintenant... jusqu'à 80 000 gènes chez l'humain. J'ai encore vu une autre source qui disait que ça varia selon les personnes, on n'a pas forcément tous le même nombre de gènes. Et dans ces cellules d'ADN, il n'y a que 2% qui disent qu'ils codent des protéines, donc qui vont avoir des interactions, qui codent des protéines. Tout le reste... en gros on sait pas trop encore à quoi ça sert en tout cas ça n'a pas d'impact direct donc la médecine sait pas encore vraiment ce que ça fait et tout le reste c'est lié aussi à l'environnement à ce qu'on fait et c'est ce qu'on appelle l'épigénétique tu peux naître avec des gènes pourris ce que tu vas faire au quotidien va faire que ces gènes là vont s'exprimer ou pas et donc on appelle ça l'épigénétique et j'aime bien l'image de l'épigénétique faire la métaphore de l'automobile de l'automobile d'un véhicule c'est à dire que les gènes ça va être l'ensemble des pièces de la voiture c'était une voiture en pièces détachées qui est qui est devant toi et ben après tu as d'épigénétique la chaîne de montage va en faire une 2CV ou une Ferrari en fonction du temps et des moyens que tu investis dedans. Et c'est ça en fait, tu peux avoir, j'aime bien prendre cette image là, je sais pas, d'une turbo d'une voiture. Dans la 2CV il n'y a pas de turbo, mais si tu me poses du temps, de l'énergie et tu mets les moyens, tu es capable de faire un turbo avec les mêmes pièces qu'il y avait au départ. J'aime bien l'image aussi des briques de Lego. 30 000 ou 80 000 briques de Lego devant toi selon que tu passes du temps, de l'énergie et des moyens tu peux construire des objets magnifiques je ne sais pas si vous êtes déjà allé dans des expos de Lego on a fait ça la dernière avec les enfants c'est impressionnant il y a des maisons, des avions, des villes entières des... C'est fou tout ce qu'on peut faire avec des LEGO et à la base c'est la même brique. Et moi je me dis que voilà ma brique d'ADN défaillant, il suffit que je le fasse, que je l'utilise pas en fait. Tu peux construire un magnifique LEGO sans utiliser toutes les briques quand on a 30 000 ou 80 000, t'es pas obligé d'utiliser toutes les briques. Et ben là c'est pareil avec les gènes, tu peux très bien vivre sans utiliser ce gène là et sans en tout cas... qui se déclenche s'il est défaillant. Puis le corps peut gérer en plus les gènes défaillants, parce que l'ADN peut évoluer. On peut faire... L'environnement fait que... Bon, ça prend sûrement des années, des milliers d'années, mais l'ADN évolue, c'est pour ça qu'il y a des nouvelles espèces qui arrivent, c'est pour ça que l'homme évolue, parce que l'ADN évolue. Donc voilà, je me dis que de mon côté... Je vous prends un épisode spécifique un peu sur les routines, les petites choses que je fais au quotidien pour prendre soin de ma santé. Et voilà, en tout cas j'essaye de prendre un maximum soin de ma santé pour être autonome sur cette partie là. Donc j'essaye de construire plutôt une Ferrari plutôt qu'une 2 chevaux. Donc pour en revenir un peu à la base de ces deux maladies et l'autonomie de la santé. J'ai bien vu que la médecine conventionnelle ne prenait absolument pas en compte les émotions, le stress chronique, le discours interne qu'on peut avoir.
- Speaker #0
la communication et que tout le vivant et tout système vivant, tout est interrelié, tout réagit l'un sur l'autre et qu'on ne peut pas séparer les choses. Si on veut espérer les guérir, on ne peut pas séparer les choses. Donc voilà, on prend soin de sa santé, on essaie de prendre soin de sa santé sur tous les points. Je vous ferai un épisode un peu sur tout ce que j'ai mis en place pour... pour prendre soin de ma santé et celle d'appliquer un maximum de choses sur les enfants, dont notamment la gestion des émotions et du discours interne. J'aime bien le discours interne, ça c'est un peu nouveau et je pense que c'est aussi ça qui a déclenché cette maladie chez mon père, ce que j'expliquais un peu dans l'épisode 1, mais mon père n'a jamais connu son père. Son père biologique et même son père qui l'a élevé, ça a toujours eu une relation très compliquée avec le côté paternel. Et donc ça, ça l'a ruiné, ça l'a rongé en fait toute sa vie. Toute sa vie, se construire sans modèle paternel. Il y a plein de gens qui se construisent sans modèle paternel, mais quand tu sais que tu as potentiellement un père et que tu l'apprends en plus assez tard dans ta vie, que ton père n'est pas ton père, que tu as un autre père et que tu ne sais pas qui c'est, enfin voilà. Ça, je pense que ça a laissé une marque qui l'a rongé toute sa vie. D'ailleurs, c'était un des regrets sur son lit de mort, on va dire. En tout cas, dans les derniers jours, il m'a dit qu'il regrettait de ne pas avoir cherché plus son père. Il avait fait des petites recherches, ça n'avait rien donné. C'était compliqué à trouver parce qu'on avait vraiment peu d'informations. Mais voilà, c'est ça qui l'a rongé toute sa vie. Et j'en viens au point suivant qui est le rôle du père. Être pleinement papa. On va voir le rôle du père dans la société. En tout cas, l'image que j'ai eue, c'est que le père travaille, le père est travailleur, et la maman s'occupe des enfants. Ça, on va dire que c'était le schéma classique de nos parents. Le père se tue au travail et la mère s'occupe des enfants. Donc du coup le père en gros il voit pas ses enfants quoi, il est tout le temps au travail. Après il y a eu la libération des femmes qui a été, je pense, pas être rétrograde mais un peu une arnaque. Et du coup les femmes se sont mises à travailler comme les hommes, à fumer comme les hommes, à boire comme les hommes, à prendre un peu toutes les dérives des hommes et du coup il n'y a plus personne pour s'occuper des enfants. Donc on a délégué l'éducation de nos enfants. à des tierces personnes, des nounous quand ils sont petits, puis après à l'école, puis on ne s'occupe plus de nos enfants. Donc voilà, l'école ça peut être bien pour certains, ça peut les sauver, ça peut être très bien, mais on voit que ça prend des dérives et que voilà, tous les services publics, que ce soit la santé, c'est catastrophique dans les hôpitaux, les services publics ça devient catastrophique, voilà. on va pas faire de politique mais je pense qu'on est mal géré et que l'école est aussi très mal gérée donc là je ferai aussi un épisode spécifique je vais pas m'étendre là dessus sur l'instruction et l'IEF et l'école on va plutôt revenir sur l'image du père et le rôle du père donc le père qui doit travailler ça c'est l'image de la société le père travaille ou les parents travaillent maintenant et on s'occupe un peu un peu moins des enfants on délègue en fait ça Et aussi la société, en tout cas moi l'image que j'ai eu de mon père, qui s'est construit sans modèle paternel, c'était « Sois fort et ne montre pas tes émotions, sois fort et tais-toi un petit peu, si c'est dur, serre les dents » . Un esprit un peu compétition que j'ai eu aussi beaucoup dans ma jeunesse avec le judo que j'ai fait en compétition et à haut niveau. pas haut niveau par rapport aux autres mais voilà j'ai fait deux ans de sport études donc voilà je suis allé quelques fois aux championnats de france jamais fait de grands résultats aux championnats de france mais voilà j'ai côtoyé le haut niveau et ce qu'aurait pu être le haut niveau et cette image de voilà sois fort entraîne toi ne pleure pas et c'est dur tu serres les dents montre pas tes émotions et puis mon père Elle ne m'a pas aidé là-dessus, je n'ai jamais vu pleurer. Aussi, juste une fois au décès de ma grand-mère. Donc, tout ce côté-là aussi, du père fort qui ne montre pas ses émotions, c'est quelque chose que j'aimerais changer. de casser, de montrer qu'on peut faire différemment, que la vulnérabilité c'est pas un point faible, au contraire, c'est une force. Quand on sait l'amener, quand on sait la montrer, c'est carrément une force. Donc ça, je vais essayer de vous montrer qu'on peut faire différemment. Et pour faire différemment, moi je me suis formé à la communication non-violente, c'était un des premiers points. Après j'ai... J'ai eu un parcours qui m'a essayé de me reconnecter un peu à mes émotions. Donc là, c'est passé par des rites chamaniques aussi que j'ai faits pour essayer de me connecter plus à mes émotions. Et qui m'ont amené du coup à aller voir une psy pour essayer de libérer tout ça. Et cette image aussi d'aller voir une psy, j'avais appuyé. Tu vas voir une psy, c'est que t'as un problème, c'est que t'es à moitié fou. Tu vois cette image de... de vulnérabilité, d'aller se confier, d'aller parler. Des cercles d'hommes aussi j'ai fait pour libérer un peu la parole, où on voit qu'on n'est pas seul dans ce cas, que c'est beau des hommes qui se montrent aussi vulnérables. Il y a plein de choses maintenant de nos jours qu'on peut faire pour libérer cette parole et être tout simplement pleinement soi-même et arrêter de trimballer les casseroles de nos parents, de générations d'avant. et du passé. Donc ça, ça a été extrêmement libérateur et c'est aussi quelque chose que je veux inculquer aussi à mes enfants. En tout cas, il n'y a pas de honte à pleurer, à exprimer ses émotions, que ce soit le pleur ou même la joie. Les câlins, c'était pas non plus quelque chose de quotidien, de mis en valeur dans... dans la génération de mes parents et par mes parents. Alors que maintenant qu'on s'intéresse un peu à l'éducation alternative, on voit bien que les enfants sont faits pour recevoir de l'amour, de la confiance, de la sécurité et du câlin. C'est vachement important pour leur développement émotionnel et intellectuel. Donc tout ça, c'est des valeurs que j'aimerais partager dans ce podcast-là. C'est pour ça que je prends la parole et que je donnerai aussi la parole à des personnes inspirantes qui font différemment, que ce soit sur le plan santé, travail, émotionnel, communication, pour montrer qu'il y a ce cliché que la société veut encore un peu nous imposer, soit trop travail et de déléguer l'instruction. qu'on peut faire les deux en fait, on peut avoir un travail et quand même s'occuper des enfants ou en tout cas trouver un équilibre dans le couple, ça c'est très important sur ce au quoi on travaille, et pareil on n'a pas encore la recette miracle, l'autonomie, tout ce que je vous partage c'est mon expérience et on est en chemin sur plein de sujets encore et c'est la vie, c'est ça, c'est arpenter des nouveaux chemins et essayer de trouver l'équilibre dans notre parentalité et dans notre couple et pour trouver l'équilibré dans le couple c'est important de ne pas s'oublier en tant qu'individu et aussi en tant que couple avoir des moments pour soi voilà comme je disais j'ai fait des cercles d'hommes j'ai fait mais des initiations chamanique je prends du temps pour moi je prends du temps pour mon sport pour ma respiration Il faut prendre du temps pour soi et toujours garder du temps pour le couple. Donc ça c'est un gros chapitre aussi qui pourra valoir un épisode entier. Mais on ne peut pas donner ce qu'on n'a pas. On ne peut pas donner de l'amour si on n'a pas d'amour propre et qu'on ne s'aime pas soi-même. Ça va aussi bien pour le couple que pour les enfants. on peut pas aimer pleinement sa femme si on s'aime pas soi-même, on peut pas aimer pleinement ses enfants si on s'aime pas soi-même, si on est dans le stress toujours, dans la minute d'après, il faut vite les coucher, il faut vite les doucher, il faut vite leur donner à manger, il faut vite les emmener à l'école, on est dans un stress continu, et ça, ça crée des maladies. Donc on va essayer de vous montrer qu'on peut construire une... Une parentalité qui ne sacrifie pas l'épanouissement personnel et l'épanouissement dans le couple. On peut essayer d'avoir du « et » . J'aime bien ça. On voit ça souvent en CNV, on peut faire plutôt du « et » que du « ou » . Et être un bon parent, et prendre soin de soi, et être épanoui dans son couple, et être épanoui avec ses enfants. ça peut être du et et c'est pas du du ou on soustrait pas c'est pas l'un ou l'autre ça peut être ça peut être les deux les deux les trois les quatre ça peut être tous les aspects de la vie c'est ça qui est bien c'est qu'on peut construire un peu sa vie sur mesure en fonction de ses priorités il faut définir ses priorités c'est pourquoi et c'est ça que je veux essayer de transmettre c'est créer votre vie de rêve et et mettez toutes les choses en place pour la vivre parce que le temps passe vite que moi j'ai un gène défaillant et peut-être qu'il va s'exprimer, peut-être pas mais en tout cas voilà il faut se dépêcher de vivre aussi comme dit mon cher Pierre il faut se dépêcher de vivre donc pour conclure cet épisode vous voyez bien que ce pourquoi je veux faire ces podcasts c'est déjà un long chemin pour expliquer un peu mon quotidien, pour changer cette vision de l'homme, du papa, du couple, trouver l'équilibre dans le couple, donner la parole à des gens qui font différemment pour inspirer. Que ce soit moi qui puisse vous inspirer, j'espère, sur certains points, ou en tout cas vous donner des pistes de réflexion qu'un autrement est possible. Il y a le fil rouge de l'autonomie qui est là, qui va guider un peu tous ces podcasts. Donc voilà, l'autonomie au sens très large, de l'autonomie énergétique jusqu'à, comme on a vu, l'autonomie de la pensée et l'autonomie de la santé. Voilà, ça va vraiment être les axes principaux de ce podcast-là et j'espère que ça vous plaira. que vous serez nombreux à suivre cette aventure j'ai hâte d'avoir des témoignages de voilà de gens qui font qui font différemment que qu'on pourra donner la parole je vous rappelle donc vous ne pouvez m'envoyer vos commentaires vos messages c'est un podcast donc si vous voulez vous pouvez même envoyer des petits témoignages audio et ou des questions audio et j'essaierai de les diffuser dans le podcast et d'y répondre du coup dans l'épisode d'après ou faire un épisode de questions. Avoir les questions en audio, ça serait top, ou les réflexions ou les témoignages. Donc n'hésitez pas à partager sur le mail dédié coeur-de-papa2.0-gmail.com Et je vous dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode. A très bientôt ! Merci d'avoir écouté cet épisode de Coeur de Papa. Une des personnes qui m'inspire, c'est Pierre Raby, avec la légende du colibri. Chacun fait sa part. Alors partage-moi tes idées, tes réflexions, tes envies de prochains sujets, tes expériences. C'est ta manière, à toi d'apporter ta goutte d'eau à cette aventure. Et si ce podcast t'a plu, n'hésite pas à lui donner une note 5 étoiles et à laisser un commentaire. Tes retours sont précieux. Ils nous aident à faire grandir cette communauté de pères engagés. On se retrouve très bientôt pour un nouvel épisode. D'ici là, prends soin de toi et de ceux que tu aimes. Ciao !