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Cours De Négociation

Négocier avec les Baby Boomers, X, Y, Z

Négocier avec les Baby Boomers, X, Y, Z

22min |23/09/2024
Play
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Cours De Négociation

Négocier avec les Baby Boomers, X, Y, Z

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22min |23/09/2024
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Description

🎧 Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast de Maria Kulas !

Aujourd'hui, je vous propose de plonger dans l'univers fascinant des quatre grandes générations – Baby Boomers, Génération X, Y (Milléniaux) et Z – pour mieux comprendre comment ces groupes interagissent dans les négociations, qu'il s'agisse de discussions professionnelles, de négociations salariales ou d'échanges au quotidien.

Nous vivons dans un monde où les générations se côtoient plus que jamais. Les attentes, les valeurs et les façons de communiquer varient énormément selon l’âge et l’expérience de chacun. Cet épisode vous offre des conseils pratiques pour adapter vos stratégies en fonction des générations afin de maximiser vos chances de succès lors de vos négociations. 🚀

---

🔑 Dans cet épisode, vous apprendrez :

- Les traits distinctifs de chaque génération : Baby Boomers (nés entre 1946 et 1964), Génération X (1965-1980), Génération Y (1981-1996), et Génération Z (1997-2010).

- Comment leurs valeurs et expériences influencent leur approche des négociations : relation au travail, à la liberté, à la technologie et aux relations humaines.

- Les différences fondamentales dans les discussions avec chaque génération, et pourquoi il est crucial de bien les comprendre pour adapter vos arguments en conséquence.

---


📅 Ne manquez pas les prochains épisodes !

Abonnez-vous dès maintenant pour recevoir des conseils pratiques sur la négociation intergénérationnelle, l'amélioration de la communication, et la gestion d'équipes multigénérationnelles. 🔔

Dans les prochains épisodes, nous continuerons à explorer les différents profils de négociateurs et les meilleures pratiques pour maximiser vos chances de réussite lors de vos échanges professionnels et personnels



Je m'appelle Maria Kulas, et je suis une spécialiste en négociation et développement personnel, mettant l'accent sur les relations humaines et les aspects spirituels. Mon objectif est de rendre vos interactions quotidiennes plus harmonieuses et significatives grâce à des stratégies de communication efficaces. 🌟

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Merci d'avoir écouté et à très bientôt pour un nouvel épisode rempli de conseils pratiques et inspirants ! 🌸✨

Maria


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    On discute avec quelqu'un qui est plus âgé ou plus jeune que nous. Ça arrive que pendant la négociation, on a en face de nous quelqu'un d'une autre génération. Quelqu'un qui est vraiment à côté de la plaque, disons, parce qu'il ne parle pas la même langue, il n'utilise pas les mêmes mots, il n'a pas la même vision. Et ce n'est pas parce que nous sommes différents comme les êtres humains. C'est parce qu'il y a cette différence d'âge entre nous. Dans cette vidéo, je vais vous donner les caractéristiques des quatre générations qui permettent de voir avec qui on a affaire. Restez avec moi si vous voulez avoir des informations concrètes, les critères à cibler et comment aborder quelqu'un qui n'a pas le même âge. que moi pour se comprendre. Je m'appelle Maria et je facilite le cours de négociation pour les individus qui cherchent à obtenir les meilleurs résultats de leur discussion. Dans mon expérience, qui est internationale, et... dans les domaines d'industrie différents, j'ai rencontré souvent des gens qui sont des âges différents et des histoires, ce qu'ils portent sur les épaules, différents. Ces gens-là me font penser qu'on ne discute pas de la même façon avec quelqu'un qui est éduqué à une ESCP Paris Business School. et quelqu'un qui vit en Normandie, qui fait un artisan, et il fait quelqu'un qui fait le taille de haies, un traitien de jardin, depuis quand il était un gamin. Ces choses-là pèsent beaucoup, parce que c'est une façon de vivre, et où ils sont, quel moment de vie, où ils sont, pèsent, qui donnent des contextes. de discussions, de mal-compréhension, de disputes potentielles. Aujourd'hui, j'aimerais parler de Baby Boomers, génération Y, X, Z. Commençons par la génération de Baby Boomers. Ce sont les gens qui ont été nés environ 1946 jusqu'à 1964. Et ce jour-là... Ce sont les bébés nés après la Deuxième Guerre mondiale. Donc, les gens qui sont dans le moment de développement économique. Le monde, après la Deuxième Guerre mondiale, a eu besoin de retrousser l'économie pour vivre, pour donner l'espoir aux gens. Donc, ces gens-là... ce sont les forts travailleurs. Pour eux, le travail, c'est une valeur. C'est vraiment... Grâce au travail, ils s'identifient. Ils sont quelqu'un parce qu'ils peuvent travailler. Donc, ils ne savent pas faire autrement. Donc, ce travailleur dont je parlais de Normandie, il travaille depuis quand il est gamin parce qu'il a été appris comme ça. Il peut survivre uniquement. Si tous les jours, lundi, samedi, dimanche, il sort s'occuper de sa vache, il sort s'occuper de ses chevaux. Regardons, Baby Boomer, c'est la génération qui porte beaucoup sur la relation entre les hommes. C'est une époque où on a discuté des choses ensemble parce qu'on a su que tout seul, on ne peut pas survivre. Les gens ont mis beaucoup de valeur sur les relations de long terme. C'est avec mon voisin que je peux co-construire quelque chose. J'ai besoin de mon voisin au cas où j'ai un problème avec mon tracteur. Je vous donne ce genre d'exemple vraiment tangible pour que vous voyez que dans l'esprit des gens de cette date-là, de l'année 50-60, les relations entre les êtres humains sont primordiales. On ne peut pas les casser comme ça. On va voir qu'avec la génération Z, tout cela, ça va être l'inversé. Parce que la génération Z, donc les enfants nés à partir de 1997, et l'année 2000, les enfants pensent qu'on achète tout sur Internet. Il n'y a pas besoin d'avoir un copain voisin. Parce que je n'ai pas besoin de mon voisin. Si le tracteur ne marche pas, je vais le remplacer. Si ma voiture, plutôt, ne marche pas, je vais prendre une autre en leasing. C'est un garage qui me donne la voiture de remplacement. Vous voyez, il n'y a pas cette optique de co-construire les relations à long terme. Parce que les jeunes de la génération Z, pensent n'y pas avoir besoin. La génération de baby boomers, il y avait ce pic de naissance parce que c'est un pic démographique après la guerre, maintenant on peut se permettre d'avoir les enfants et effectivement il y en avait beaucoup et tout cela a produit aussi cette approche de concentration sur les résultats. C'est l'approche que je veux obtenir. Je dois aller en avant. Je me focalise et je veux, j'aime. Je peux l'obtenir, c'est sûr. Si on parle maintenant des enfants de baby boomers, donc les gens nés entre l'année 65-80 environ, la génération qui s'appelle cette génération, ce sont des enfants avec la clé autour du cou. Pourquoi ? Parce que leurs parents, ce sont les travailleurs, ce sont les gens qui ne sont plus à la maison. Ils cherchent d'obtenir des résultats, ils cherchent de grandir, ils cherchent de booster l'économie. Donc les enfants étaient seuls à la maison avec une clé pour s'ouvrir la porte et rentrer et attendre les parents à la maison. Ici on a un boom de Beatles, de festivals de Woodstock, des enfants fleurs. Ce sont des années aux États-Unis qui parlent d'une grande indépendance, de quelque chose qui nous permet de se libérer, parce qu'on a déjà ce moment dans la vie où on veut profiter. On n'est plus dans l'esprit de la guerre, d'approvisionnement de la guerre, de production de machines pour des armes. On met maintenant l'année. fin 60-70, on veut profiter de la vie, d'avoir cette notion que la vie est belle. Et pourquoi c'est important dans les discussions qu'on emmène avec des gens de cette époque-là ? Parce que dans leur tête, ils peuvent se permettre d'être plus libres. Pour eux, ce n'est pas une valeur de travail. Pour eux, la valeur, c'est la liberté. D'où les divorces. D'où aussi cette explication que les femmes vont au travail, ont besoin de droits, et elles veulent s'émanciper. Si quelqu'un est en face de vous, il n'y a pas besoin de lui argumenter. Ah, vous voyez les valeurs que vous allez apporter au travail, c'est quelque chose d'angible, je vous remercie. Pour eux, il faudrait parler d'équilibre, de la vie perso et pro. Le temps que j'ai passé au travail, c'est pour gagner de l'argent, pour profiter et faire des balades, faire des excursions, aller aux montagnes. Pour eux, la chose importante, c'est la valeur de la vie. La génération suivante, la génération Y, ce sont les millénials. On parle de gens qui sont nés. entre les années 81 jusqu'à 96 environ. Moi, j'appartiens à cette génération-là, donc je peux vous donner plein d'exemples sur moi-même, parce qu'effectivement, j'ai testé les options et les discussions avec des générations différentes. Mon mari, c'est la génération X. Moi, je suis Y. Et déjà, entre nous, il y a la différence de perception. Et comme moi, je m'agite, comme moi, je suis beaucoup plus speed, disons, par rapport à lui, qu'il a cette expérience et aussi il a vu des choses déjà. Et pour lui, il y a des valeurs que pour moi, finalement, pas encore tout à fait les mêmes que pour lui. Quand moi j'étais née, c'était pas encore l'époque d'Internet, mais quand j'étais petite, c'est venu. Moi j'ai vu l'Internet venir. La téléphone était déjà à la maison, pas de problème, depuis que j'étais petite, je me souviens de la téléphone fixe, je me souviens de la télé de couleur, je me souviens d'arriver d'une télécommande à la télé, et c'est intéressant parce que mon frère... Quand nous avons eu la nouvelle télé, on était moins excité, on change de programme avec la télécommande, et lui, il me pousse, Eh, vas-y, mets le plus fort ! Et moi, je marche vers la télé pour mettre le plus fort, et en fait, il n'a plus de gérard avec la télécommande. Mais moi, j'ai oublié, je marchais comme avec l'ancien, on a toujours fait qu'il fallait se lever, aller chercher un curseur sur la télé, sur la boîte. Après, je me suis aussi arrivé d'Internet. Et c'est le bruit qui faisait un modem pour se connecter à Internet grâce à un ordinateur fixe. Ce bruit-là, c'était finalement juste pour envoyer un mail parce que ça coûtait cher de garder la connexion Internet. On payait par minute et la ligne fixe de téléphone était bloquée. Personne ne pouvait nous appeler au moment où on était connecté à Internet. Donc, il fallait... préparer un email en amont et après connecter, se connecter à internet, cliquer juste un bouton pour envoyer. Quand l'email est parti, il fallait se déconnecter d'internet de mode empty pour ne pas bloquer la ligne de téléphone fixe. Bon, tout cela c'était un changement dans ma tête d'une fillette parce que on a pu envoyer une lettre qui arrivera en temps. réelle à quelqu'un qui a l'autre but du monde. Mon frère, il était mon deuxième frère, il était ce temps-là en échange étudiant à Utrecht. Et effectivement, nous étions encore en Pologne. C'était intéressant de pouvoir échanger avec mon frère avec les langues mailles envoyées et reçues dans le temps réel. Cette histoire, cet exemple-là, c'est pour vous montrer que les valeurs pour moi comme génération, c'est la flexibilité, c'est l'adaptabilité, c'est la vitesse, c'est les options qu'on a. Maintenant avec l'Internet, moi je peux tout. Si je veux partir en vacances, ça dépend au niveau de mon budget. Je peux partir tout en vacances. Ce n'est pas que j'ai prévu les montagnes. Mon objectif de vie, je veux toujours une montagne, ça dépend où sont les montagnes. Non, moi je veux faire du ski, ok, en étant du ski je veux faire du surf, je peux me commander un coach de surfing et aller surfer. Des générations comme moi, grâce à Internet, on a tant de possibles illimités, tant de possibles qui nous montrent que rien n'est figé. Pour négocier avec quelqu'un comme ça, même si, par exemple, si tu parles de travail, si moi je ne veux pas adhérer aux valeurs de l'entreprise ou à une mission où il n'y aura pas assez d'équipes pour travailler avec moi, ou l'équipe est trop petite, ou mon manager a une équipe qui est trop grande et moi je ne serai finalement pas trop en contact avec lui. ou ils me demandent de se déplacer. Bref, s'il y a quelque chose qui ne me convient pas, moi je vais chercher une autre offre de travail, parce que je sais qu'il y a d'autres. Je ne suis pas crispée comme les générations précédentes, que, par exemple, les baby-boomers, ils vont tous dire oui, oui, le travail c'est la chose la plus importante de ma vie. Génération Y, c'est la génération qui veut se sentir libre, qui veut se sentir indépendante. Il y a de plus en plus de filles de mon âge qui ne veulent plus se marier. Elles ne veulent plus avoir d'enfants. Elles font le choix de rester seules, rester single, parce qu'elles préfèrent être single. C'est plus confortable pour elles. Il y a aussi des hommes qui préfèrent rester single, ne pas se marier. Ça fonctionne dans les deux sens. Maintenant, parlons de la dernière génération, génération Z. Ce sont des enfants, comme je dis tout à l'heure, nés entre 1997 et 2010 environ. Ces enfants-là, ce sont des enfants qui connaissent déjà Internet. Ils ont été nés quand leurs mamans, ils ont eu des téléphones portables dans leurs mains. Les téléphones portables et faire ce mouvement-là, c'est naturel pour les petits bébés. On parle maintenant de gens qui ont ces changements technologiques acquis. Il n'y a pas de changement technologique. Pour eux, la technologie, c'est aujourd'hui. Ce genre de solution technologique et l'accès instantané aux informations fait que les enfants, la génération Z, pensent qu'ils savent tout. Ils n'ont pas besoin d'apprendre parce qu'ils ouvrent le téléphone et ils ont Wikipedia. Maintenant, ils ouvrent leur téléphone et ils ont ChatGPT. Il n'y a pas besoin de se mémoriser des choses parce que les réponses sont là, à un clic. En plus, tout le monde a l'accès à l'Internet. dans leur téléphone. Il n'y a pas besoin d'un modem pour s'y connecter. L'approche j'essaie tout tout m'appartient l'approche de l'instantané à l'accès et aussi à la possibilité de commander quelque chose au matin sur Amazon et de le recevoir au soir, c'est une approche qui dit que le monde doit être vite. Il n'y a pas cette accroche, la relation entre les humains, entre les voisins, parce que je n'en ai plus besoin. Si je me panne de ma voiture, je vais appeler le service routier qui viendra me dépanner. Donc, cette génération-là met les valeurs sur quelque chose qui me plaît. Beaucoup plus sur... Qu'est-ce que moi je veux ? Comment moi je veux m'habiller ? Comment moi je veux me présenter aux autres ? Parce que je peux tout. Je peux commander une chemise qui a été fabriquée aux Etats-Unis et elle viendra ici. Ici, il y a quand même un piège. Parce qu'avec cette richesse, l'abondance et l'accessibilité de tout, on puisse y perdre. Il y a quelque chose comme syndrome d'imposteur qui n'a pas eu lieu avant. C'est maintenant qu'on découvre l'existence d'un syndrome d'imposteur, quelqu'un qui n'a pas le droit d'exister, qui n'a pas le droit d'obtenir, de recevoir, d'être autorisé pour quelque chose. Pourquoi je parle d'imposteur ici ? Parce que... Les générations entre elles, elles ont besoin de soutien mutuel. Elles ont besoin de savoir communiquer entre eux. Elles ont besoin de la richesse des parents, des grands-parents, parce que c'est grâce à l'expérience de collaboration, d'échange parmi les hommes. qu'on garde cette évolution et on devient meilleur grâce aux expériences des générations passées. Les enfants sont souvent sur les épaules des parents et les générations montent comme ça des étages grâce aux épaules sur lesquelles ils peuvent s'appuyer. Imposteurs donc ! Pour sortir des pieds d'être dans cet impasse, il devrait revenir aux générations précédentes et écouter. Si on veut discuter avec... La génération Z, c'est quelqu'un qui va vite, il faudra qu'il se ralentisse. La génération de baby boomers, c'est quelqu'un qui est un peu figé, il doit s'ouvrir pour voir ce que la nouvelle génération apporte. Tout ça pour vous dire que, ok, nous avons des profils de négociateurs par rapport à l'âge, mais nous avons aussi des profils de négociateurs par rapport à la constitution psychique, qui ne sont pas à la hauteur imposteur. C'est un piège du XXe siècle, mais ça ne veut dire pas que ça n'existait pas avant. C'était juste pas défini. Donc, dans le profil psychologique, nous avons des négociateurs qui sont forts, stables, qui vont se battre, qui sont impatients, qui ont colère. Il y a d'autres profils qui sont plutôt timides, réservés, secondaires dans leurs décisions, prises de parole. Ils ne vont pas se porter volontaire, ils vont être en recul à observer. Il y a aussi des profils qui sont difficiles à commencer à mettre en place des solutions avancées. Mais une fois la locomotive mise en mouvement, elle va délivrer. Parce que ça, c'est une machine forte qui est puissante, qui maintenant est en mouvement. Là, elle va délivrer. tout le véhicule, tous les wagons jusqu'à la destination. C'est quelqu'un qui peut être difficile au début à mettre en mouvement, mais il va se souvenir de tous les détails. Ça peut être un bon comptable, ça peut être quelqu'un qui a vraiment les soins de détails et quelqu'un dont on a tous besoin. Tout cela pour vous dire, la richesse est dans le groupe. dans la variété. On a besoin de tout le monde pour arriver à la destination. Prenons soin de la génération, n'importe s'ils sont plus vieux ou plus jeunes. Est-ce qu'on se comprend tout de suite ou est-ce qu'il faudra mettre un peu plus d'efforts pour que les choses fonctionnent entre nous ? Parce que nous ne sommes pas les mêmes négociateurs. Nous communiquons différemment. différemment, faisant une sorte de centumbre. Dans mes prochaines vidéos, je vais parler plus du profil des négociateurs et comment discuter pour se comprendre. Cliquez like et suivez-moi pour rester au courant. A la prochaine !

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Nous vivons dans un monde où les générations se côtoient plus que jamais. Les attentes, les valeurs et les façons de communiquer varient énormément selon l’âge et l’expérience de chacun. Cet épisode vous offre des conseils pratiques pour adapter vos stratégies en fonction des générations afin de maximiser vos chances de succès lors de vos négociations. 🚀

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🔑 Dans cet épisode, vous apprendrez :

- Les traits distinctifs de chaque génération : Baby Boomers (nés entre 1946 et 1964), Génération X (1965-1980), Génération Y (1981-1996), et Génération Z (1997-2010).

- Comment leurs valeurs et expériences influencent leur approche des négociations : relation au travail, à la liberté, à la technologie et aux relations humaines.

- Les différences fondamentales dans les discussions avec chaque génération, et pourquoi il est crucial de bien les comprendre pour adapter vos arguments en conséquence.

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    On discute avec quelqu'un qui est plus âgé ou plus jeune que nous. Ça arrive que pendant la négociation, on a en face de nous quelqu'un d'une autre génération. Quelqu'un qui est vraiment à côté de la plaque, disons, parce qu'il ne parle pas la même langue, il n'utilise pas les mêmes mots, il n'a pas la même vision. Et ce n'est pas parce que nous sommes différents comme les êtres humains. C'est parce qu'il y a cette différence d'âge entre nous. Dans cette vidéo, je vais vous donner les caractéristiques des quatre générations qui permettent de voir avec qui on a affaire. Restez avec moi si vous voulez avoir des informations concrètes, les critères à cibler et comment aborder quelqu'un qui n'a pas le même âge. que moi pour se comprendre. Je m'appelle Maria et je facilite le cours de négociation pour les individus qui cherchent à obtenir les meilleurs résultats de leur discussion. Dans mon expérience, qui est internationale, et... dans les domaines d'industrie différents, j'ai rencontré souvent des gens qui sont des âges différents et des histoires, ce qu'ils portent sur les épaules, différents. Ces gens-là me font penser qu'on ne discute pas de la même façon avec quelqu'un qui est éduqué à une ESCP Paris Business School. et quelqu'un qui vit en Normandie, qui fait un artisan, et il fait quelqu'un qui fait le taille de haies, un traitien de jardin, depuis quand il était un gamin. Ces choses-là pèsent beaucoup, parce que c'est une façon de vivre, et où ils sont, quel moment de vie, où ils sont, pèsent, qui donnent des contextes. de discussions, de mal-compréhension, de disputes potentielles. Aujourd'hui, j'aimerais parler de Baby Boomers, génération Y, X, Z. Commençons par la génération de Baby Boomers. Ce sont les gens qui ont été nés environ 1946 jusqu'à 1964. Et ce jour-là... Ce sont les bébés nés après la Deuxième Guerre mondiale. Donc, les gens qui sont dans le moment de développement économique. Le monde, après la Deuxième Guerre mondiale, a eu besoin de retrousser l'économie pour vivre, pour donner l'espoir aux gens. Donc, ces gens-là... ce sont les forts travailleurs. Pour eux, le travail, c'est une valeur. C'est vraiment... Grâce au travail, ils s'identifient. Ils sont quelqu'un parce qu'ils peuvent travailler. Donc, ils ne savent pas faire autrement. Donc, ce travailleur dont je parlais de Normandie, il travaille depuis quand il est gamin parce qu'il a été appris comme ça. Il peut survivre uniquement. Si tous les jours, lundi, samedi, dimanche, il sort s'occuper de sa vache, il sort s'occuper de ses chevaux. Regardons, Baby Boomer, c'est la génération qui porte beaucoup sur la relation entre les hommes. C'est une époque où on a discuté des choses ensemble parce qu'on a su que tout seul, on ne peut pas survivre. Les gens ont mis beaucoup de valeur sur les relations de long terme. C'est avec mon voisin que je peux co-construire quelque chose. J'ai besoin de mon voisin au cas où j'ai un problème avec mon tracteur. Je vous donne ce genre d'exemple vraiment tangible pour que vous voyez que dans l'esprit des gens de cette date-là, de l'année 50-60, les relations entre les êtres humains sont primordiales. On ne peut pas les casser comme ça. On va voir qu'avec la génération Z, tout cela, ça va être l'inversé. Parce que la génération Z, donc les enfants nés à partir de 1997, et l'année 2000, les enfants pensent qu'on achète tout sur Internet. Il n'y a pas besoin d'avoir un copain voisin. Parce que je n'ai pas besoin de mon voisin. Si le tracteur ne marche pas, je vais le remplacer. Si ma voiture, plutôt, ne marche pas, je vais prendre une autre en leasing. C'est un garage qui me donne la voiture de remplacement. Vous voyez, il n'y a pas cette optique de co-construire les relations à long terme. Parce que les jeunes de la génération Z, pensent n'y pas avoir besoin. La génération de baby boomers, il y avait ce pic de naissance parce que c'est un pic démographique après la guerre, maintenant on peut se permettre d'avoir les enfants et effectivement il y en avait beaucoup et tout cela a produit aussi cette approche de concentration sur les résultats. C'est l'approche que je veux obtenir. Je dois aller en avant. Je me focalise et je veux, j'aime. Je peux l'obtenir, c'est sûr. Si on parle maintenant des enfants de baby boomers, donc les gens nés entre l'année 65-80 environ, la génération qui s'appelle cette génération, ce sont des enfants avec la clé autour du cou. Pourquoi ? Parce que leurs parents, ce sont les travailleurs, ce sont les gens qui ne sont plus à la maison. Ils cherchent d'obtenir des résultats, ils cherchent de grandir, ils cherchent de booster l'économie. Donc les enfants étaient seuls à la maison avec une clé pour s'ouvrir la porte et rentrer et attendre les parents à la maison. Ici on a un boom de Beatles, de festivals de Woodstock, des enfants fleurs. Ce sont des années aux États-Unis qui parlent d'une grande indépendance, de quelque chose qui nous permet de se libérer, parce qu'on a déjà ce moment dans la vie où on veut profiter. On n'est plus dans l'esprit de la guerre, d'approvisionnement de la guerre, de production de machines pour des armes. On met maintenant l'année. fin 60-70, on veut profiter de la vie, d'avoir cette notion que la vie est belle. Et pourquoi c'est important dans les discussions qu'on emmène avec des gens de cette époque-là ? Parce que dans leur tête, ils peuvent se permettre d'être plus libres. Pour eux, ce n'est pas une valeur de travail. Pour eux, la valeur, c'est la liberté. D'où les divorces. D'où aussi cette explication que les femmes vont au travail, ont besoin de droits, et elles veulent s'émanciper. Si quelqu'un est en face de vous, il n'y a pas besoin de lui argumenter. Ah, vous voyez les valeurs que vous allez apporter au travail, c'est quelque chose d'angible, je vous remercie. Pour eux, il faudrait parler d'équilibre, de la vie perso et pro. Le temps que j'ai passé au travail, c'est pour gagner de l'argent, pour profiter et faire des balades, faire des excursions, aller aux montagnes. Pour eux, la chose importante, c'est la valeur de la vie. La génération suivante, la génération Y, ce sont les millénials. On parle de gens qui sont nés. entre les années 81 jusqu'à 96 environ. Moi, j'appartiens à cette génération-là, donc je peux vous donner plein d'exemples sur moi-même, parce qu'effectivement, j'ai testé les options et les discussions avec des générations différentes. Mon mari, c'est la génération X. Moi, je suis Y. Et déjà, entre nous, il y a la différence de perception. Et comme moi, je m'agite, comme moi, je suis beaucoup plus speed, disons, par rapport à lui, qu'il a cette expérience et aussi il a vu des choses déjà. Et pour lui, il y a des valeurs que pour moi, finalement, pas encore tout à fait les mêmes que pour lui. Quand moi j'étais née, c'était pas encore l'époque d'Internet, mais quand j'étais petite, c'est venu. Moi j'ai vu l'Internet venir. La téléphone était déjà à la maison, pas de problème, depuis que j'étais petite, je me souviens de la téléphone fixe, je me souviens de la télé de couleur, je me souviens d'arriver d'une télécommande à la télé, et c'est intéressant parce que mon frère... Quand nous avons eu la nouvelle télé, on était moins excité, on change de programme avec la télécommande, et lui, il me pousse, Eh, vas-y, mets le plus fort ! Et moi, je marche vers la télé pour mettre le plus fort, et en fait, il n'a plus de gérard avec la télécommande. Mais moi, j'ai oublié, je marchais comme avec l'ancien, on a toujours fait qu'il fallait se lever, aller chercher un curseur sur la télé, sur la boîte. Après, je me suis aussi arrivé d'Internet. Et c'est le bruit qui faisait un modem pour se connecter à Internet grâce à un ordinateur fixe. Ce bruit-là, c'était finalement juste pour envoyer un mail parce que ça coûtait cher de garder la connexion Internet. On payait par minute et la ligne fixe de téléphone était bloquée. Personne ne pouvait nous appeler au moment où on était connecté à Internet. Donc, il fallait... préparer un email en amont et après connecter, se connecter à internet, cliquer juste un bouton pour envoyer. Quand l'email est parti, il fallait se déconnecter d'internet de mode empty pour ne pas bloquer la ligne de téléphone fixe. Bon, tout cela c'était un changement dans ma tête d'une fillette parce que on a pu envoyer une lettre qui arrivera en temps. réelle à quelqu'un qui a l'autre but du monde. Mon frère, il était mon deuxième frère, il était ce temps-là en échange étudiant à Utrecht. Et effectivement, nous étions encore en Pologne. C'était intéressant de pouvoir échanger avec mon frère avec les langues mailles envoyées et reçues dans le temps réel. Cette histoire, cet exemple-là, c'est pour vous montrer que les valeurs pour moi comme génération, c'est la flexibilité, c'est l'adaptabilité, c'est la vitesse, c'est les options qu'on a. Maintenant avec l'Internet, moi je peux tout. Si je veux partir en vacances, ça dépend au niveau de mon budget. Je peux partir tout en vacances. Ce n'est pas que j'ai prévu les montagnes. Mon objectif de vie, je veux toujours une montagne, ça dépend où sont les montagnes. Non, moi je veux faire du ski, ok, en étant du ski je veux faire du surf, je peux me commander un coach de surfing et aller surfer. Des générations comme moi, grâce à Internet, on a tant de possibles illimités, tant de possibles qui nous montrent que rien n'est figé. Pour négocier avec quelqu'un comme ça, même si, par exemple, si tu parles de travail, si moi je ne veux pas adhérer aux valeurs de l'entreprise ou à une mission où il n'y aura pas assez d'équipes pour travailler avec moi, ou l'équipe est trop petite, ou mon manager a une équipe qui est trop grande et moi je ne serai finalement pas trop en contact avec lui. ou ils me demandent de se déplacer. Bref, s'il y a quelque chose qui ne me convient pas, moi je vais chercher une autre offre de travail, parce que je sais qu'il y a d'autres. Je ne suis pas crispée comme les générations précédentes, que, par exemple, les baby-boomers, ils vont tous dire oui, oui, le travail c'est la chose la plus importante de ma vie. Génération Y, c'est la génération qui veut se sentir libre, qui veut se sentir indépendante. Il y a de plus en plus de filles de mon âge qui ne veulent plus se marier. Elles ne veulent plus avoir d'enfants. Elles font le choix de rester seules, rester single, parce qu'elles préfèrent être single. C'est plus confortable pour elles. Il y a aussi des hommes qui préfèrent rester single, ne pas se marier. Ça fonctionne dans les deux sens. Maintenant, parlons de la dernière génération, génération Z. Ce sont des enfants, comme je dis tout à l'heure, nés entre 1997 et 2010 environ. Ces enfants-là, ce sont des enfants qui connaissent déjà Internet. Ils ont été nés quand leurs mamans, ils ont eu des téléphones portables dans leurs mains. Les téléphones portables et faire ce mouvement-là, c'est naturel pour les petits bébés. On parle maintenant de gens qui ont ces changements technologiques acquis. Il n'y a pas de changement technologique. Pour eux, la technologie, c'est aujourd'hui. Ce genre de solution technologique et l'accès instantané aux informations fait que les enfants, la génération Z, pensent qu'ils savent tout. Ils n'ont pas besoin d'apprendre parce qu'ils ouvrent le téléphone et ils ont Wikipedia. Maintenant, ils ouvrent leur téléphone et ils ont ChatGPT. Il n'y a pas besoin de se mémoriser des choses parce que les réponses sont là, à un clic. En plus, tout le monde a l'accès à l'Internet. dans leur téléphone. Il n'y a pas besoin d'un modem pour s'y connecter. L'approche j'essaie tout tout m'appartient l'approche de l'instantané à l'accès et aussi à la possibilité de commander quelque chose au matin sur Amazon et de le recevoir au soir, c'est une approche qui dit que le monde doit être vite. Il n'y a pas cette accroche, la relation entre les humains, entre les voisins, parce que je n'en ai plus besoin. Si je me panne de ma voiture, je vais appeler le service routier qui viendra me dépanner. Donc, cette génération-là met les valeurs sur quelque chose qui me plaît. Beaucoup plus sur... Qu'est-ce que moi je veux ? Comment moi je veux m'habiller ? Comment moi je veux me présenter aux autres ? Parce que je peux tout. Je peux commander une chemise qui a été fabriquée aux Etats-Unis et elle viendra ici. Ici, il y a quand même un piège. Parce qu'avec cette richesse, l'abondance et l'accessibilité de tout, on puisse y perdre. Il y a quelque chose comme syndrome d'imposteur qui n'a pas eu lieu avant. C'est maintenant qu'on découvre l'existence d'un syndrome d'imposteur, quelqu'un qui n'a pas le droit d'exister, qui n'a pas le droit d'obtenir, de recevoir, d'être autorisé pour quelque chose. Pourquoi je parle d'imposteur ici ? Parce que... Les générations entre elles, elles ont besoin de soutien mutuel. Elles ont besoin de savoir communiquer entre eux. Elles ont besoin de la richesse des parents, des grands-parents, parce que c'est grâce à l'expérience de collaboration, d'échange parmi les hommes. qu'on garde cette évolution et on devient meilleur grâce aux expériences des générations passées. Les enfants sont souvent sur les épaules des parents et les générations montent comme ça des étages grâce aux épaules sur lesquelles ils peuvent s'appuyer. Imposteurs donc ! Pour sortir des pieds d'être dans cet impasse, il devrait revenir aux générations précédentes et écouter. Si on veut discuter avec... La génération Z, c'est quelqu'un qui va vite, il faudra qu'il se ralentisse. La génération de baby boomers, c'est quelqu'un qui est un peu figé, il doit s'ouvrir pour voir ce que la nouvelle génération apporte. Tout ça pour vous dire que, ok, nous avons des profils de négociateurs par rapport à l'âge, mais nous avons aussi des profils de négociateurs par rapport à la constitution psychique, qui ne sont pas à la hauteur imposteur. C'est un piège du XXe siècle, mais ça ne veut dire pas que ça n'existait pas avant. C'était juste pas défini. Donc, dans le profil psychologique, nous avons des négociateurs qui sont forts, stables, qui vont se battre, qui sont impatients, qui ont colère. Il y a d'autres profils qui sont plutôt timides, réservés, secondaires dans leurs décisions, prises de parole. Ils ne vont pas se porter volontaire, ils vont être en recul à observer. Il y a aussi des profils qui sont difficiles à commencer à mettre en place des solutions avancées. Mais une fois la locomotive mise en mouvement, elle va délivrer. Parce que ça, c'est une machine forte qui est puissante, qui maintenant est en mouvement. Là, elle va délivrer. tout le véhicule, tous les wagons jusqu'à la destination. C'est quelqu'un qui peut être difficile au début à mettre en mouvement, mais il va se souvenir de tous les détails. Ça peut être un bon comptable, ça peut être quelqu'un qui a vraiment les soins de détails et quelqu'un dont on a tous besoin. Tout cela pour vous dire, la richesse est dans le groupe. dans la variété. On a besoin de tout le monde pour arriver à la destination. Prenons soin de la génération, n'importe s'ils sont plus vieux ou plus jeunes. Est-ce qu'on se comprend tout de suite ou est-ce qu'il faudra mettre un peu plus d'efforts pour que les choses fonctionnent entre nous ? Parce que nous ne sommes pas les mêmes négociateurs. Nous communiquons différemment. différemment, faisant une sorte de centumbre. Dans mes prochaines vidéos, je vais parler plus du profil des négociateurs et comment discuter pour se comprendre. Cliquez like et suivez-moi pour rester au courant. A la prochaine !

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Aujourd'hui, je vous propose de plonger dans l'univers fascinant des quatre grandes générations – Baby Boomers, Génération X, Y (Milléniaux) et Z – pour mieux comprendre comment ces groupes interagissent dans les négociations, qu'il s'agisse de discussions professionnelles, de négociations salariales ou d'échanges au quotidien.

Nous vivons dans un monde où les générations se côtoient plus que jamais. Les attentes, les valeurs et les façons de communiquer varient énormément selon l’âge et l’expérience de chacun. Cet épisode vous offre des conseils pratiques pour adapter vos stratégies en fonction des générations afin de maximiser vos chances de succès lors de vos négociations. 🚀

---

🔑 Dans cet épisode, vous apprendrez :

- Les traits distinctifs de chaque génération : Baby Boomers (nés entre 1946 et 1964), Génération X (1965-1980), Génération Y (1981-1996), et Génération Z (1997-2010).

- Comment leurs valeurs et expériences influencent leur approche des négociations : relation au travail, à la liberté, à la technologie et aux relations humaines.

- Les différences fondamentales dans les discussions avec chaque génération, et pourquoi il est crucial de bien les comprendre pour adapter vos arguments en conséquence.

---


📅 Ne manquez pas les prochains épisodes !

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Dans les prochains épisodes, nous continuerons à explorer les différents profils de négociateurs et les meilleures pratiques pour maximiser vos chances de réussite lors de vos échanges professionnels et personnels



Je m'appelle Maria Kulas, et je suis une spécialiste en négociation et développement personnel, mettant l'accent sur les relations humaines et les aspects spirituels. Mon objectif est de rendre vos interactions quotidiennes plus harmonieuses et significatives grâce à des stratégies de communication efficaces. 🌟

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Maria


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Transcription

  • Speaker #0

    On discute avec quelqu'un qui est plus âgé ou plus jeune que nous. Ça arrive que pendant la négociation, on a en face de nous quelqu'un d'une autre génération. Quelqu'un qui est vraiment à côté de la plaque, disons, parce qu'il ne parle pas la même langue, il n'utilise pas les mêmes mots, il n'a pas la même vision. Et ce n'est pas parce que nous sommes différents comme les êtres humains. C'est parce qu'il y a cette différence d'âge entre nous. Dans cette vidéo, je vais vous donner les caractéristiques des quatre générations qui permettent de voir avec qui on a affaire. Restez avec moi si vous voulez avoir des informations concrètes, les critères à cibler et comment aborder quelqu'un qui n'a pas le même âge. que moi pour se comprendre. Je m'appelle Maria et je facilite le cours de négociation pour les individus qui cherchent à obtenir les meilleurs résultats de leur discussion. Dans mon expérience, qui est internationale, et... dans les domaines d'industrie différents, j'ai rencontré souvent des gens qui sont des âges différents et des histoires, ce qu'ils portent sur les épaules, différents. Ces gens-là me font penser qu'on ne discute pas de la même façon avec quelqu'un qui est éduqué à une ESCP Paris Business School. et quelqu'un qui vit en Normandie, qui fait un artisan, et il fait quelqu'un qui fait le taille de haies, un traitien de jardin, depuis quand il était un gamin. Ces choses-là pèsent beaucoup, parce que c'est une façon de vivre, et où ils sont, quel moment de vie, où ils sont, pèsent, qui donnent des contextes. de discussions, de mal-compréhension, de disputes potentielles. Aujourd'hui, j'aimerais parler de Baby Boomers, génération Y, X, Z. Commençons par la génération de Baby Boomers. Ce sont les gens qui ont été nés environ 1946 jusqu'à 1964. Et ce jour-là... Ce sont les bébés nés après la Deuxième Guerre mondiale. Donc, les gens qui sont dans le moment de développement économique. Le monde, après la Deuxième Guerre mondiale, a eu besoin de retrousser l'économie pour vivre, pour donner l'espoir aux gens. Donc, ces gens-là... ce sont les forts travailleurs. Pour eux, le travail, c'est une valeur. C'est vraiment... Grâce au travail, ils s'identifient. Ils sont quelqu'un parce qu'ils peuvent travailler. Donc, ils ne savent pas faire autrement. Donc, ce travailleur dont je parlais de Normandie, il travaille depuis quand il est gamin parce qu'il a été appris comme ça. Il peut survivre uniquement. Si tous les jours, lundi, samedi, dimanche, il sort s'occuper de sa vache, il sort s'occuper de ses chevaux. Regardons, Baby Boomer, c'est la génération qui porte beaucoup sur la relation entre les hommes. C'est une époque où on a discuté des choses ensemble parce qu'on a su que tout seul, on ne peut pas survivre. Les gens ont mis beaucoup de valeur sur les relations de long terme. C'est avec mon voisin que je peux co-construire quelque chose. J'ai besoin de mon voisin au cas où j'ai un problème avec mon tracteur. Je vous donne ce genre d'exemple vraiment tangible pour que vous voyez que dans l'esprit des gens de cette date-là, de l'année 50-60, les relations entre les êtres humains sont primordiales. On ne peut pas les casser comme ça. On va voir qu'avec la génération Z, tout cela, ça va être l'inversé. Parce que la génération Z, donc les enfants nés à partir de 1997, et l'année 2000, les enfants pensent qu'on achète tout sur Internet. Il n'y a pas besoin d'avoir un copain voisin. Parce que je n'ai pas besoin de mon voisin. Si le tracteur ne marche pas, je vais le remplacer. Si ma voiture, plutôt, ne marche pas, je vais prendre une autre en leasing. C'est un garage qui me donne la voiture de remplacement. Vous voyez, il n'y a pas cette optique de co-construire les relations à long terme. Parce que les jeunes de la génération Z, pensent n'y pas avoir besoin. La génération de baby boomers, il y avait ce pic de naissance parce que c'est un pic démographique après la guerre, maintenant on peut se permettre d'avoir les enfants et effectivement il y en avait beaucoup et tout cela a produit aussi cette approche de concentration sur les résultats. C'est l'approche que je veux obtenir. Je dois aller en avant. Je me focalise et je veux, j'aime. Je peux l'obtenir, c'est sûr. Si on parle maintenant des enfants de baby boomers, donc les gens nés entre l'année 65-80 environ, la génération qui s'appelle cette génération, ce sont des enfants avec la clé autour du cou. Pourquoi ? Parce que leurs parents, ce sont les travailleurs, ce sont les gens qui ne sont plus à la maison. Ils cherchent d'obtenir des résultats, ils cherchent de grandir, ils cherchent de booster l'économie. Donc les enfants étaient seuls à la maison avec une clé pour s'ouvrir la porte et rentrer et attendre les parents à la maison. Ici on a un boom de Beatles, de festivals de Woodstock, des enfants fleurs. Ce sont des années aux États-Unis qui parlent d'une grande indépendance, de quelque chose qui nous permet de se libérer, parce qu'on a déjà ce moment dans la vie où on veut profiter. On n'est plus dans l'esprit de la guerre, d'approvisionnement de la guerre, de production de machines pour des armes. On met maintenant l'année. fin 60-70, on veut profiter de la vie, d'avoir cette notion que la vie est belle. Et pourquoi c'est important dans les discussions qu'on emmène avec des gens de cette époque-là ? Parce que dans leur tête, ils peuvent se permettre d'être plus libres. Pour eux, ce n'est pas une valeur de travail. Pour eux, la valeur, c'est la liberté. D'où les divorces. D'où aussi cette explication que les femmes vont au travail, ont besoin de droits, et elles veulent s'émanciper. Si quelqu'un est en face de vous, il n'y a pas besoin de lui argumenter. Ah, vous voyez les valeurs que vous allez apporter au travail, c'est quelque chose d'angible, je vous remercie. Pour eux, il faudrait parler d'équilibre, de la vie perso et pro. Le temps que j'ai passé au travail, c'est pour gagner de l'argent, pour profiter et faire des balades, faire des excursions, aller aux montagnes. Pour eux, la chose importante, c'est la valeur de la vie. La génération suivante, la génération Y, ce sont les millénials. On parle de gens qui sont nés. entre les années 81 jusqu'à 96 environ. Moi, j'appartiens à cette génération-là, donc je peux vous donner plein d'exemples sur moi-même, parce qu'effectivement, j'ai testé les options et les discussions avec des générations différentes. Mon mari, c'est la génération X. Moi, je suis Y. Et déjà, entre nous, il y a la différence de perception. Et comme moi, je m'agite, comme moi, je suis beaucoup plus speed, disons, par rapport à lui, qu'il a cette expérience et aussi il a vu des choses déjà. Et pour lui, il y a des valeurs que pour moi, finalement, pas encore tout à fait les mêmes que pour lui. Quand moi j'étais née, c'était pas encore l'époque d'Internet, mais quand j'étais petite, c'est venu. Moi j'ai vu l'Internet venir. La téléphone était déjà à la maison, pas de problème, depuis que j'étais petite, je me souviens de la téléphone fixe, je me souviens de la télé de couleur, je me souviens d'arriver d'une télécommande à la télé, et c'est intéressant parce que mon frère... Quand nous avons eu la nouvelle télé, on était moins excité, on change de programme avec la télécommande, et lui, il me pousse, Eh, vas-y, mets le plus fort ! Et moi, je marche vers la télé pour mettre le plus fort, et en fait, il n'a plus de gérard avec la télécommande. Mais moi, j'ai oublié, je marchais comme avec l'ancien, on a toujours fait qu'il fallait se lever, aller chercher un curseur sur la télé, sur la boîte. Après, je me suis aussi arrivé d'Internet. Et c'est le bruit qui faisait un modem pour se connecter à Internet grâce à un ordinateur fixe. Ce bruit-là, c'était finalement juste pour envoyer un mail parce que ça coûtait cher de garder la connexion Internet. On payait par minute et la ligne fixe de téléphone était bloquée. Personne ne pouvait nous appeler au moment où on était connecté à Internet. Donc, il fallait... préparer un email en amont et après connecter, se connecter à internet, cliquer juste un bouton pour envoyer. Quand l'email est parti, il fallait se déconnecter d'internet de mode empty pour ne pas bloquer la ligne de téléphone fixe. Bon, tout cela c'était un changement dans ma tête d'une fillette parce que on a pu envoyer une lettre qui arrivera en temps. réelle à quelqu'un qui a l'autre but du monde. Mon frère, il était mon deuxième frère, il était ce temps-là en échange étudiant à Utrecht. Et effectivement, nous étions encore en Pologne. C'était intéressant de pouvoir échanger avec mon frère avec les langues mailles envoyées et reçues dans le temps réel. Cette histoire, cet exemple-là, c'est pour vous montrer que les valeurs pour moi comme génération, c'est la flexibilité, c'est l'adaptabilité, c'est la vitesse, c'est les options qu'on a. Maintenant avec l'Internet, moi je peux tout. Si je veux partir en vacances, ça dépend au niveau de mon budget. Je peux partir tout en vacances. Ce n'est pas que j'ai prévu les montagnes. Mon objectif de vie, je veux toujours une montagne, ça dépend où sont les montagnes. Non, moi je veux faire du ski, ok, en étant du ski je veux faire du surf, je peux me commander un coach de surfing et aller surfer. Des générations comme moi, grâce à Internet, on a tant de possibles illimités, tant de possibles qui nous montrent que rien n'est figé. Pour négocier avec quelqu'un comme ça, même si, par exemple, si tu parles de travail, si moi je ne veux pas adhérer aux valeurs de l'entreprise ou à une mission où il n'y aura pas assez d'équipes pour travailler avec moi, ou l'équipe est trop petite, ou mon manager a une équipe qui est trop grande et moi je ne serai finalement pas trop en contact avec lui. ou ils me demandent de se déplacer. Bref, s'il y a quelque chose qui ne me convient pas, moi je vais chercher une autre offre de travail, parce que je sais qu'il y a d'autres. Je ne suis pas crispée comme les générations précédentes, que, par exemple, les baby-boomers, ils vont tous dire oui, oui, le travail c'est la chose la plus importante de ma vie. Génération Y, c'est la génération qui veut se sentir libre, qui veut se sentir indépendante. Il y a de plus en plus de filles de mon âge qui ne veulent plus se marier. Elles ne veulent plus avoir d'enfants. Elles font le choix de rester seules, rester single, parce qu'elles préfèrent être single. C'est plus confortable pour elles. Il y a aussi des hommes qui préfèrent rester single, ne pas se marier. Ça fonctionne dans les deux sens. Maintenant, parlons de la dernière génération, génération Z. Ce sont des enfants, comme je dis tout à l'heure, nés entre 1997 et 2010 environ. Ces enfants-là, ce sont des enfants qui connaissent déjà Internet. Ils ont été nés quand leurs mamans, ils ont eu des téléphones portables dans leurs mains. Les téléphones portables et faire ce mouvement-là, c'est naturel pour les petits bébés. On parle maintenant de gens qui ont ces changements technologiques acquis. Il n'y a pas de changement technologique. Pour eux, la technologie, c'est aujourd'hui. Ce genre de solution technologique et l'accès instantané aux informations fait que les enfants, la génération Z, pensent qu'ils savent tout. Ils n'ont pas besoin d'apprendre parce qu'ils ouvrent le téléphone et ils ont Wikipedia. Maintenant, ils ouvrent leur téléphone et ils ont ChatGPT. Il n'y a pas besoin de se mémoriser des choses parce que les réponses sont là, à un clic. En plus, tout le monde a l'accès à l'Internet. dans leur téléphone. Il n'y a pas besoin d'un modem pour s'y connecter. L'approche j'essaie tout tout m'appartient l'approche de l'instantané à l'accès et aussi à la possibilité de commander quelque chose au matin sur Amazon et de le recevoir au soir, c'est une approche qui dit que le monde doit être vite. Il n'y a pas cette accroche, la relation entre les humains, entre les voisins, parce que je n'en ai plus besoin. Si je me panne de ma voiture, je vais appeler le service routier qui viendra me dépanner. Donc, cette génération-là met les valeurs sur quelque chose qui me plaît. Beaucoup plus sur... Qu'est-ce que moi je veux ? Comment moi je veux m'habiller ? Comment moi je veux me présenter aux autres ? Parce que je peux tout. Je peux commander une chemise qui a été fabriquée aux Etats-Unis et elle viendra ici. Ici, il y a quand même un piège. Parce qu'avec cette richesse, l'abondance et l'accessibilité de tout, on puisse y perdre. Il y a quelque chose comme syndrome d'imposteur qui n'a pas eu lieu avant. C'est maintenant qu'on découvre l'existence d'un syndrome d'imposteur, quelqu'un qui n'a pas le droit d'exister, qui n'a pas le droit d'obtenir, de recevoir, d'être autorisé pour quelque chose. Pourquoi je parle d'imposteur ici ? Parce que... Les générations entre elles, elles ont besoin de soutien mutuel. Elles ont besoin de savoir communiquer entre eux. Elles ont besoin de la richesse des parents, des grands-parents, parce que c'est grâce à l'expérience de collaboration, d'échange parmi les hommes. qu'on garde cette évolution et on devient meilleur grâce aux expériences des générations passées. Les enfants sont souvent sur les épaules des parents et les générations montent comme ça des étages grâce aux épaules sur lesquelles ils peuvent s'appuyer. Imposteurs donc ! Pour sortir des pieds d'être dans cet impasse, il devrait revenir aux générations précédentes et écouter. Si on veut discuter avec... La génération Z, c'est quelqu'un qui va vite, il faudra qu'il se ralentisse. La génération de baby boomers, c'est quelqu'un qui est un peu figé, il doit s'ouvrir pour voir ce que la nouvelle génération apporte. Tout ça pour vous dire que, ok, nous avons des profils de négociateurs par rapport à l'âge, mais nous avons aussi des profils de négociateurs par rapport à la constitution psychique, qui ne sont pas à la hauteur imposteur. C'est un piège du XXe siècle, mais ça ne veut dire pas que ça n'existait pas avant. C'était juste pas défini. Donc, dans le profil psychologique, nous avons des négociateurs qui sont forts, stables, qui vont se battre, qui sont impatients, qui ont colère. Il y a d'autres profils qui sont plutôt timides, réservés, secondaires dans leurs décisions, prises de parole. Ils ne vont pas se porter volontaire, ils vont être en recul à observer. Il y a aussi des profils qui sont difficiles à commencer à mettre en place des solutions avancées. Mais une fois la locomotive mise en mouvement, elle va délivrer. Parce que ça, c'est une machine forte qui est puissante, qui maintenant est en mouvement. Là, elle va délivrer. tout le véhicule, tous les wagons jusqu'à la destination. C'est quelqu'un qui peut être difficile au début à mettre en mouvement, mais il va se souvenir de tous les détails. Ça peut être un bon comptable, ça peut être quelqu'un qui a vraiment les soins de détails et quelqu'un dont on a tous besoin. Tout cela pour vous dire, la richesse est dans le groupe. dans la variété. On a besoin de tout le monde pour arriver à la destination. Prenons soin de la génération, n'importe s'ils sont plus vieux ou plus jeunes. Est-ce qu'on se comprend tout de suite ou est-ce qu'il faudra mettre un peu plus d'efforts pour que les choses fonctionnent entre nous ? Parce que nous ne sommes pas les mêmes négociateurs. Nous communiquons différemment. différemment, faisant une sorte de centumbre. Dans mes prochaines vidéos, je vais parler plus du profil des négociateurs et comment discuter pour se comprendre. Cliquez like et suivez-moi pour rester au courant. A la prochaine !

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Nous vivons dans un monde où les générations se côtoient plus que jamais. Les attentes, les valeurs et les façons de communiquer varient énormément selon l’âge et l’expérience de chacun. Cet épisode vous offre des conseils pratiques pour adapter vos stratégies en fonction des générations afin de maximiser vos chances de succès lors de vos négociations. 🚀

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Donc, les gens qui sont dans le moment de développement économique. Le monde, après la Deuxième Guerre mondiale, a eu besoin de retrousser l'économie pour vivre, pour donner l'espoir aux gens. Donc, ces gens-là... ce sont les forts travailleurs. Pour eux, le travail, c'est une valeur. C'est vraiment... Grâce au travail, ils s'identifient. Ils sont quelqu'un parce qu'ils peuvent travailler. Donc, ils ne savent pas faire autrement. Donc, ce travailleur dont je parlais de Normandie, il travaille depuis quand il est gamin parce qu'il a été appris comme ça. Il peut survivre uniquement. Si tous les jours, lundi, samedi, dimanche, il sort s'occuper de sa vache, il sort s'occuper de ses chevaux. Regardons, Baby Boomer, c'est la génération qui porte beaucoup sur la relation entre les hommes. C'est une époque où on a discuté des choses ensemble parce qu'on a su que tout seul, on ne peut pas survivre. Les gens ont mis beaucoup de valeur sur les relations de long terme. C'est avec mon voisin que je peux co-construire quelque chose. J'ai besoin de mon voisin au cas où j'ai un problème avec mon tracteur. Je vous donne ce genre d'exemple vraiment tangible pour que vous voyez que dans l'esprit des gens de cette date-là, de l'année 50-60, les relations entre les êtres humains sont primordiales. On ne peut pas les casser comme ça. On va voir qu'avec la génération Z, tout cela, ça va être l'inversé. Parce que la génération Z, donc les enfants nés à partir de 1997, et l'année 2000, les enfants pensent qu'on achète tout sur Internet. Il n'y a pas besoin d'avoir un copain voisin. Parce que je n'ai pas besoin de mon voisin. Si le tracteur ne marche pas, je vais le remplacer. Si ma voiture, plutôt, ne marche pas, je vais prendre une autre en leasing. C'est un garage qui me donne la voiture de remplacement. Vous voyez, il n'y a pas cette optique de co-construire les relations à long terme. Parce que les jeunes de la génération Z, pensent n'y pas avoir besoin. La génération de baby boomers, il y avait ce pic de naissance parce que c'est un pic démographique après la guerre, maintenant on peut se permettre d'avoir les enfants et effectivement il y en avait beaucoup et tout cela a produit aussi cette approche de concentration sur les résultats. C'est l'approche que je veux obtenir. Je dois aller en avant. Je me focalise et je veux, j'aime. Je peux l'obtenir, c'est sûr. Si on parle maintenant des enfants de baby boomers, donc les gens nés entre l'année 65-80 environ, la génération qui s'appelle cette génération, ce sont des enfants avec la clé autour du cou. Pourquoi ? Parce que leurs parents, ce sont les travailleurs, ce sont les gens qui ne sont plus à la maison. Ils cherchent d'obtenir des résultats, ils cherchent de grandir, ils cherchent de booster l'économie. Donc les enfants étaient seuls à la maison avec une clé pour s'ouvrir la porte et rentrer et attendre les parents à la maison. Ici on a un boom de Beatles, de festivals de Woodstock, des enfants fleurs. Ce sont des années aux États-Unis qui parlent d'une grande indépendance, de quelque chose qui nous permet de se libérer, parce qu'on a déjà ce moment dans la vie où on veut profiter. On n'est plus dans l'esprit de la guerre, d'approvisionnement de la guerre, de production de machines pour des armes. On met maintenant l'année. fin 60-70, on veut profiter de la vie, d'avoir cette notion que la vie est belle. Et pourquoi c'est important dans les discussions qu'on emmène avec des gens de cette époque-là ? Parce que dans leur tête, ils peuvent se permettre d'être plus libres. Pour eux, ce n'est pas une valeur de travail. Pour eux, la valeur, c'est la liberté. D'où les divorces. D'où aussi cette explication que les femmes vont au travail, ont besoin de droits, et elles veulent s'émanciper. Si quelqu'un est en face de vous, il n'y a pas besoin de lui argumenter. Ah, vous voyez les valeurs que vous allez apporter au travail, c'est quelque chose d'angible, je vous remercie. Pour eux, il faudrait parler d'équilibre, de la vie perso et pro. Le temps que j'ai passé au travail, c'est pour gagner de l'argent, pour profiter et faire des balades, faire des excursions, aller aux montagnes. Pour eux, la chose importante, c'est la valeur de la vie. La génération suivante, la génération Y, ce sont les millénials. On parle de gens qui sont nés. entre les années 81 jusqu'à 96 environ. Moi, j'appartiens à cette génération-là, donc je peux vous donner plein d'exemples sur moi-même, parce qu'effectivement, j'ai testé les options et les discussions avec des générations différentes. Mon mari, c'est la génération X. Moi, je suis Y. Et déjà, entre nous, il y a la différence de perception. Et comme moi, je m'agite, comme moi, je suis beaucoup plus speed, disons, par rapport à lui, qu'il a cette expérience et aussi il a vu des choses déjà. Et pour lui, il y a des valeurs que pour moi, finalement, pas encore tout à fait les mêmes que pour lui. Quand moi j'étais née, c'était pas encore l'époque d'Internet, mais quand j'étais petite, c'est venu. Moi j'ai vu l'Internet venir. La téléphone était déjà à la maison, pas de problème, depuis que j'étais petite, je me souviens de la téléphone fixe, je me souviens de la télé de couleur, je me souviens d'arriver d'une télécommande à la télé, et c'est intéressant parce que mon frère... Quand nous avons eu la nouvelle télé, on était moins excité, on change de programme avec la télécommande, et lui, il me pousse, Eh, vas-y, mets le plus fort ! Et moi, je marche vers la télé pour mettre le plus fort, et en fait, il n'a plus de gérard avec la télécommande. Mais moi, j'ai oublié, je marchais comme avec l'ancien, on a toujours fait qu'il fallait se lever, aller chercher un curseur sur la télé, sur la boîte. Après, je me suis aussi arrivé d'Internet. Et c'est le bruit qui faisait un modem pour se connecter à Internet grâce à un ordinateur fixe. Ce bruit-là, c'était finalement juste pour envoyer un mail parce que ça coûtait cher de garder la connexion Internet. On payait par minute et la ligne fixe de téléphone était bloquée. Personne ne pouvait nous appeler au moment où on était connecté à Internet. Donc, il fallait... préparer un email en amont et après connecter, se connecter à internet, cliquer juste un bouton pour envoyer. Quand l'email est parti, il fallait se déconnecter d'internet de mode empty pour ne pas bloquer la ligne de téléphone fixe. Bon, tout cela c'était un changement dans ma tête d'une fillette parce que on a pu envoyer une lettre qui arrivera en temps. réelle à quelqu'un qui a l'autre but du monde. Mon frère, il était mon deuxième frère, il était ce temps-là en échange étudiant à Utrecht. Et effectivement, nous étions encore en Pologne. C'était intéressant de pouvoir échanger avec mon frère avec les langues mailles envoyées et reçues dans le temps réel. Cette histoire, cet exemple-là, c'est pour vous montrer que les valeurs pour moi comme génération, c'est la flexibilité, c'est l'adaptabilité, c'est la vitesse, c'est les options qu'on a. Maintenant avec l'Internet, moi je peux tout. Si je veux partir en vacances, ça dépend au niveau de mon budget. Je peux partir tout en vacances. Ce n'est pas que j'ai prévu les montagnes. Mon objectif de vie, je veux toujours une montagne, ça dépend où sont les montagnes. Non, moi je veux faire du ski, ok, en étant du ski je veux faire du surf, je peux me commander un coach de surfing et aller surfer. Des générations comme moi, grâce à Internet, on a tant de possibles illimités, tant de possibles qui nous montrent que rien n'est figé. Pour négocier avec quelqu'un comme ça, même si, par exemple, si tu parles de travail, si moi je ne veux pas adhérer aux valeurs de l'entreprise ou à une mission où il n'y aura pas assez d'équipes pour travailler avec moi, ou l'équipe est trop petite, ou mon manager a une équipe qui est trop grande et moi je ne serai finalement pas trop en contact avec lui. ou ils me demandent de se déplacer. Bref, s'il y a quelque chose qui ne me convient pas, moi je vais chercher une autre offre de travail, parce que je sais qu'il y a d'autres. Je ne suis pas crispée comme les générations précédentes, que, par exemple, les baby-boomers, ils vont tous dire oui, oui, le travail c'est la chose la plus importante de ma vie. Génération Y, c'est la génération qui veut se sentir libre, qui veut se sentir indépendante. Il y a de plus en plus de filles de mon âge qui ne veulent plus se marier. Elles ne veulent plus avoir d'enfants. Elles font le choix de rester seules, rester single, parce qu'elles préfèrent être single. C'est plus confortable pour elles. Il y a aussi des hommes qui préfèrent rester single, ne pas se marier. Ça fonctionne dans les deux sens. Maintenant, parlons de la dernière génération, génération Z. Ce sont des enfants, comme je dis tout à l'heure, nés entre 1997 et 2010 environ. Ces enfants-là, ce sont des enfants qui connaissent déjà Internet. Ils ont été nés quand leurs mamans, ils ont eu des téléphones portables dans leurs mains. Les téléphones portables et faire ce mouvement-là, c'est naturel pour les petits bébés. On parle maintenant de gens qui ont ces changements technologiques acquis. Il n'y a pas de changement technologique. Pour eux, la technologie, c'est aujourd'hui. Ce genre de solution technologique et l'accès instantané aux informations fait que les enfants, la génération Z, pensent qu'ils savent tout. Ils n'ont pas besoin d'apprendre parce qu'ils ouvrent le téléphone et ils ont Wikipedia. Maintenant, ils ouvrent leur téléphone et ils ont ChatGPT. Il n'y a pas besoin de se mémoriser des choses parce que les réponses sont là, à un clic. En plus, tout le monde a l'accès à l'Internet. dans leur téléphone. Il n'y a pas besoin d'un modem pour s'y connecter. L'approche j'essaie tout tout m'appartient l'approche de l'instantané à l'accès et aussi à la possibilité de commander quelque chose au matin sur Amazon et de le recevoir au soir, c'est une approche qui dit que le monde doit être vite. Il n'y a pas cette accroche, la relation entre les humains, entre les voisins, parce que je n'en ai plus besoin. Si je me panne de ma voiture, je vais appeler le service routier qui viendra me dépanner. Donc, cette génération-là met les valeurs sur quelque chose qui me plaît. Beaucoup plus sur... Qu'est-ce que moi je veux ? Comment moi je veux m'habiller ? Comment moi je veux me présenter aux autres ? Parce que je peux tout. Je peux commander une chemise qui a été fabriquée aux Etats-Unis et elle viendra ici. Ici, il y a quand même un piège. Parce qu'avec cette richesse, l'abondance et l'accessibilité de tout, on puisse y perdre. Il y a quelque chose comme syndrome d'imposteur qui n'a pas eu lieu avant. C'est maintenant qu'on découvre l'existence d'un syndrome d'imposteur, quelqu'un qui n'a pas le droit d'exister, qui n'a pas le droit d'obtenir, de recevoir, d'être autorisé pour quelque chose. Pourquoi je parle d'imposteur ici ? Parce que... Les générations entre elles, elles ont besoin de soutien mutuel. Elles ont besoin de savoir communiquer entre eux. Elles ont besoin de la richesse des parents, des grands-parents, parce que c'est grâce à l'expérience de collaboration, d'échange parmi les hommes. qu'on garde cette évolution et on devient meilleur grâce aux expériences des générations passées. Les enfants sont souvent sur les épaules des parents et les générations montent comme ça des étages grâce aux épaules sur lesquelles ils peuvent s'appuyer. Imposteurs donc ! Pour sortir des pieds d'être dans cet impasse, il devrait revenir aux générations précédentes et écouter. Si on veut discuter avec... La génération Z, c'est quelqu'un qui va vite, il faudra qu'il se ralentisse. La génération de baby boomers, c'est quelqu'un qui est un peu figé, il doit s'ouvrir pour voir ce que la nouvelle génération apporte. Tout ça pour vous dire que, ok, nous avons des profils de négociateurs par rapport à l'âge, mais nous avons aussi des profils de négociateurs par rapport à la constitution psychique, qui ne sont pas à la hauteur imposteur. C'est un piège du XXe siècle, mais ça ne veut dire pas que ça n'existait pas avant. C'était juste pas défini. Donc, dans le profil psychologique, nous avons des négociateurs qui sont forts, stables, qui vont se battre, qui sont impatients, qui ont colère. Il y a d'autres profils qui sont plutôt timides, réservés, secondaires dans leurs décisions, prises de parole. Ils ne vont pas se porter volontaire, ils vont être en recul à observer. Il y a aussi des profils qui sont difficiles à commencer à mettre en place des solutions avancées. Mais une fois la locomotive mise en mouvement, elle va délivrer. Parce que ça, c'est une machine forte qui est puissante, qui maintenant est en mouvement. Là, elle va délivrer. tout le véhicule, tous les wagons jusqu'à la destination. C'est quelqu'un qui peut être difficile au début à mettre en mouvement, mais il va se souvenir de tous les détails. Ça peut être un bon comptable, ça peut être quelqu'un qui a vraiment les soins de détails et quelqu'un dont on a tous besoin. Tout cela pour vous dire, la richesse est dans le groupe. dans la variété. On a besoin de tout le monde pour arriver à la destination. Prenons soin de la génération, n'importe s'ils sont plus vieux ou plus jeunes. Est-ce qu'on se comprend tout de suite ou est-ce qu'il faudra mettre un peu plus d'efforts pour que les choses fonctionnent entre nous ? Parce que nous ne sommes pas les mêmes négociateurs. Nous communiquons différemment. différemment, faisant une sorte de centumbre. Dans mes prochaines vidéos, je vais parler plus du profil des négociateurs et comment discuter pour se comprendre. Cliquez like et suivez-moi pour rester au courant. A la prochaine !

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