Rediffusion du Tour de France : l'espadrille en famille chez Prodiso cover
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De l'or dans les mains

Rediffusion du Tour de France : l'espadrille en famille chez Prodiso

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33min |04/08/2022
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Description

Il y a des objets qui ont une odeur d’été. Comme ces petites chaussures de corde et de toile de jute que l’on aime à trainer dans le sable. Crème, bleues, oranges,  vertes, rouges, vermillon, jaunes d’or, rayées, unies, Ces chaussures qui remonteraient au moins au XIIème siècle. On raconte que les soldats du Roi d’Aragon en portaient.

 

L’espadrille a d’intéressant que c’est un objet qui a traversé les âges, qui a su se démocratiser et sans cesse se renouveler : au XIXème siècle, c’est la chaussure de l’ouvrier et du paysan, dans les années 60 Yves Saint Laurent est le premier à l’introduire dans l’univers de la haute couture et aujourd’hui, elle est aux pieds des petits comme des grands.

 

Si leur fabrication artisanale est d’origine basque, sa production s’est industrialisée dans les années 2000. Mais à Mauléon, petite commune du Pays basque, les espadrilles sont encore cousues.  Notamment chez Prodiso, une petite entreprise familiale où le savoir-faire se transmet de génération en génération, pour fournir des clients jusqu’au Japon.

 

Je retrouve, dans leur atelier, Jean-Pierre, Sandrine et Alex, trois générations qui oeuvrent à la préservation et au renouvellement de ce savoir-faire.

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Il y a des objets qui ont une odeur d’été. Comme ces petites chaussures de corde et de toile de jute que l’on aime à trainer dans le sable. Crème, bleues, oranges,  vertes, rouges, vermillon, jaunes d’or, rayées, unies, Ces chaussures qui remonteraient au moins au XIIème siècle. On raconte que les soldats du Roi d’Aragon en portaient.

 

L’espadrille a d’intéressant que c’est un objet qui a traversé les âges, qui a su se démocratiser et sans cesse se renouveler : au XIXème siècle, c’est la chaussure de l’ouvrier et du paysan, dans les années 60 Yves Saint Laurent est le premier à l’introduire dans l’univers de la haute couture et aujourd’hui, elle est aux pieds des petits comme des grands.

 

Si leur fabrication artisanale est d’origine basque, sa production s’est industrialisée dans les années 2000. Mais à Mauléon, petite commune du Pays basque, les espadrilles sont encore cousues.  Notamment chez Prodiso, une petite entreprise familiale où le savoir-faire se transmet de génération en génération, pour fournir des clients jusqu’au Japon.

 

Je retrouve, dans leur atelier, Jean-Pierre, Sandrine et Alex, trois générations qui oeuvrent à la préservation et au renouvellement de ce savoir-faire.

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Il y a des objets qui ont une odeur d’été. Comme ces petites chaussures de corde et de toile de jute que l’on aime à trainer dans le sable. Crème, bleues, oranges,  vertes, rouges, vermillon, jaunes d’or, rayées, unies, Ces chaussures qui remonteraient au moins au XIIème siècle. On raconte que les soldats du Roi d’Aragon en portaient.

 

L’espadrille a d’intéressant que c’est un objet qui a traversé les âges, qui a su se démocratiser et sans cesse se renouveler : au XIXème siècle, c’est la chaussure de l’ouvrier et du paysan, dans les années 60 Yves Saint Laurent est le premier à l’introduire dans l’univers de la haute couture et aujourd’hui, elle est aux pieds des petits comme des grands.

 

Si leur fabrication artisanale est d’origine basque, sa production s’est industrialisée dans les années 2000. Mais à Mauléon, petite commune du Pays basque, les espadrilles sont encore cousues.  Notamment chez Prodiso, une petite entreprise familiale où le savoir-faire se transmet de génération en génération, pour fournir des clients jusqu’au Japon.

 

Je retrouve, dans leur atelier, Jean-Pierre, Sandrine et Alex, trois générations qui oeuvrent à la préservation et au renouvellement de ce savoir-faire.

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Il y a des objets qui ont une odeur d’été. Comme ces petites chaussures de corde et de toile de jute que l’on aime à trainer dans le sable. Crème, bleues, oranges,  vertes, rouges, vermillon, jaunes d’or, rayées, unies, Ces chaussures qui remonteraient au moins au XIIème siècle. On raconte que les soldats du Roi d’Aragon en portaient.

 

L’espadrille a d’intéressant que c’est un objet qui a traversé les âges, qui a su se démocratiser et sans cesse se renouveler : au XIXème siècle, c’est la chaussure de l’ouvrier et du paysan, dans les années 60 Yves Saint Laurent est le premier à l’introduire dans l’univers de la haute couture et aujourd’hui, elle est aux pieds des petits comme des grands.

 

Si leur fabrication artisanale est d’origine basque, sa production s’est industrialisée dans les années 2000. Mais à Mauléon, petite commune du Pays basque, les espadrilles sont encore cousues.  Notamment chez Prodiso, une petite entreprise familiale où le savoir-faire se transmet de génération en génération, pour fournir des clients jusqu’au Japon.

 

Je retrouve, dans leur atelier, Jean-Pierre, Sandrine et Alex, trois générations qui oeuvrent à la préservation et au renouvellement de ce savoir-faire.

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