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DeclicIT

Agentforce Salesforce : IA, Automatisation et Nouveaux Métiers | DeclicIT

Agentforce Salesforce : IA, Automatisation et Nouveaux Métiers | DeclicIT

52min |02/04/2025
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52min |02/04/2025
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Description

Salesforce pousse Agentforce à marche forcée : simple évolution technologique ou véritable révolution IA qui menace de transformer radicalement l'écosystème ? Plongez au cœur du débat avec DeclicIT !


Dans cet épisode captivant de DeclicIT, décortiquons ensemble Salesforce Agentforce, la plateforme d'agents IA autonomes qui secoue le monde du CRM. Salim, expert Agentforce, Aziz, Aviva et Sébastien explorent le virage stratégique majeur de Salesforce vers le "digital labor", visant à concurrencer le marché des services et de l'emploi. Découvrez comment cette intelligence artificielle impacte tous les rôles : utilisateurs finaux gagnant en productivité grâce à l'automatisation des tâches répétitives, consultants Salesforce et développeurs face à la nécessité d'évoluer, et les défis potentiels pour certains métiers.

Nous analysons les clés d'une implémentation réussie : la qualité des données, la complexité de la définition des cas d'usage métier (plus critique que la technique basée sur Flow et Apex), et l'immense défi de la gestion du changement. Explorez des exemples concrets dans le service client (réponses automatisées, processus complexes) et la vente (qualification de leads, recommandations personnalisées), ainsi que le potentiel de l'Agentexchange, la nouvelle marketplace d'agents IA. Faut-il se ruer sur les formations ? Quel est le coût réel et le temps de déploiement ? L'épisode aborde sans détour les bénéfices, les limites et l'avenir du travail à l'ère des agents IA dans l'univers Salesforce.


Ne manquez pas cette discussion essentielle pour comprendre les enjeux actuels et futurs de l'IA dans la tech. Écoutez cet épisode de DeclicIT pour décrypter Agentforce et préparez-vous à la transformation ! Abonnez-vous et partagez vos réflexions.


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et bonjour tout le monde, bonjour Aziz, bonjour à tous, à Viva, Salim, wow Et oui, la première fois que vous venez dans l'émission, aujourd'hui des invités de marque, et de grande marque Parce que Salim, Salim qui connaît tout d'Agent Force, et qui va tout nous dire

  • Speaker #1

    La pression,

  • Speaker #2

    la pression, ça commence

  • Speaker #0

    Et à Viva, donc la femme aux milliers d'appréhensions sur Force, on va partir loin Et pas d'AgentForce, mais c'est pas grave, ça peut arriver.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien, merci à Salim et à Viva pour leur présence. Pour cette nouvelle émission, on va faire un focus sur AgentForce. Pour ceux qui débarquent, qui sortent d'une grotte depuis quelques jours, AgentForce est un peu... Oui, voilà. En fait, AgentForce, c'est une plateforme Salesforce qui permet de créer... ou de personnaliser des agents IA autonomes. Je parle sous la présence de Salim, n'hésite pas à m'interrompre.

  • Speaker #2

    C'est exactement ça. Moi, ce que je trouve assez intéressant, on ne va peut-être pas faire un cours, l'idée c'est plutôt d'en débattre, mais ce qui est intéressant, c'est surtout le virage pris par Salesforce. Comment ils sont passés de on vend des modèles, des licences classiques on met tout sur l'agent et comment on switch. Finalement, moi, ce que je retiens un peu quand j'en discute avec mes clients ou avec mes collègues, c'est le marché qui cible. Salesforce, avant, il ciblait les éditeurs de logiciels. Leur concurrent, c'est Microsoft, Oracle, Enco. Là, avec AgentForce, ils visent carrément ce qu'ils appellent le digital labor. C'est le marché des employés. In fine, c'est comment on va se mettre en concurrence avec des boîtes d'intérim, avec des boîtes qui font du service client, du marketing. Quand même, on change complètement de marché. On passe d'un marché pur logiciel à un marché de l'emploi. Et c'est quand même dix fois plus large. Donc, je pense que vous comprenez un peu l'intérêt business de ce positionnement. Et donc, c'est ça qui est assez fou, je trouve.

  • Speaker #1

    Oui, clairement. Après, concernant ces... On va dire qu'il y a une... grosse pression qui est, c'est la façon dont je ressens les choses parce que toi tu es plutôt impliqué dans certains projets AgentForce, Salim, moi de mon côté, d'un point de vue extérieur, et je pense que c'est aussi le cas de Sébastien et Aviva, on ressent un peu cette pression exercée par Salesforce pour adopter et faire adopter cette solution AgentForce, et on a l'impression que, c'est pas une impression au final, c'est que... C'est soit ça, soit on adopte cette solution concrètement dans les mois et les années à venir, soit on se retrouve dépassé et rétrogradé dans le monde du consulting ou des partenariats avec Salesforce. Si les partenaires Salesforce n'adoptent pas AgentForce, ils se retrouveront moins privilégiés. Et si les consultants Salesforce ne se forment pas à AgentForce, ils se retrouveront, on va dire, un peu sous la pile de CV pour être staffés dans des projets spécifiques dédiés à AgentForce qui ont vocation à se multiplier dans les mois et les années à venir. Donc en fait, on ressent un peu cette pression dans tout l'environnement Salesforce, consultants, partenaires, commerciaux, etc. Donc on a cette adoption à faire, un peu un marché forcé, ça fait beaucoup de force dans la même phrase. Et du coup voilà comment je ressens les choses. C'est vrai que depuis un an, enfin même un peu plus d'un an, on parlait de AI spécialiste. Là on parle de plus en plus d'agent de force comme étant l'outil privilégié par Salesforce pour pousser ses agents autonomes. Là on se dit vraiment, si on rate ce train, j'ai l'impression d'être un influenceur en crypto, si on rate ce train, voilà on... on aura l'impression de passer à côté d'une poursuite de carrière au sein de Salesforce même, en fait.

  • Speaker #3

    Attends, mais Salim, toi, tu penses vraiment que ça veut dire... C'est la première fois que j'entends cette vision que c'est sur le marché du travail qu'ils ont envie de se positionner. Tu penses que du coup, en fait, les consultants, tous ceux qui sont développeurs Salesforce, ils vont développer plus Agents de Force ou ils vont juste être plus spécialisés dans l'implémentation d'Agents de Force Parce que je comprends... Enfin, je termine, je comprends qu'il y a plein... Il y a plein de choses bêtes qu'aujourd'hui les utilisateurs de Salesforce font, ça veut dire qu'ils vont rester des heures à refaire les mêmes manies. Et je pense que s'il y a un agent IA qui va dire qu'il lit les emails... qui va updater les opportunités derrière, enfin des trucs, ou du SAV qui va répondre automatiquement. J'entends, mais ça veut dire, est-ce que tu vois la chose comme il va y avoir, genre aujourd'hui, il y a 100 développeurs Salesforce, 100 utilisateurs Salesforce, tu vois qu'il y a beaucoup moins d'utilisateurs Salesforce et beaucoup moins de développeurs, ou c'est que les utilisateurs, parce que pour moi, c'était que les utilisateurs Salesforce qui allaient être aidés, pas forcément les devs.

  • Speaker #2

    Tu as les trois carrément, parce que tu as ce qui va être Customer Facing, donc ton client final, Donc, ton client final, j'ai une boîte qui a du service client. Et donc, au lieu d'avoir des utilisateurs lambda, je vais répondre directement. Après, tu vas avoir une sorte d'assistance, ce qu'ils appellent AgentForce for Employees, où tu vas aider ton admin, ta personne qui est déjà... en charge de rentrer dans Salesforce. Donc, il y en a un où il ne voit même pas Salesforce. Finalement, ça va être sur un site. Tu auras un petit peu trois types d'engagement, entre guillemets. Tu as le premier, Customer Facing, avec celui qui ne voit pas du tout la plateforme, c'est le client final. Et du coup, c'est transparent pour lui ce qui se passe derrière et on va répondre un peu dans un modèle de chatbot amélioré. Tu as l'agent humain, celui qui va être admin Salesforce, celui qui va le piloter. Et où AgentForce va avoir un peu... Ce rôle de copilote, en lui faisant une synthèse, et c'est ce que tu disais, les tâches bêtes, il va pouvoir lui accélérer le temps. Et tu as aussi le boulot sur les développeurs. Ça, ça existe aussi. Comment on fait gagner du temps aux développeurs en facilitant leurs tâches et leurs activités Donc, tu as un peu, en théorie et en pratique, une multiplicité d'interacteurs. Est-ce que ça veut dire qu'il ne faudra plus d'adultes et qu'il ne faudra plus de... développeur je ne pense pas non mais la reprise ça va changer un peu le boulot ouais le job va changer clairement t'es censé grâce à ça te concentrer sur les tâches à valeur ajoutée et plus sur les tâches de stratégie,

  • Speaker #3

    de réflexion j'imagine stratégie,

  • Speaker #2

    réflexion c'est plutôt qui tape les synthèses d'email les tests classe pour les tests classe on a gagné un grand truc Il n'y aura pas que des penseurs, mais c'est plutôt pour faciliter. En fait, c'est un peu le classique de l'IA. La question que tout le monde se pose, est-ce que l'IA va remplacer tous les jobs La réponse est non, ça ne remplacera pas tout le monde. Maintenant, ça va réduire les tâches à faible valeur pour améliorer l'activité. Après, il faut aussi être honnête, il y a quand même toujours des employés qui n'ont que des tâches à faible valeur à jouer. on peut penser à des centres de services ou des call centers, ça va supprimer cette activité-là. Alors on peut toujours les resourcer et les reskiller par exemple, mais c'est vrai qu'il y a des activités qui risquent de disparaître. La totalité non évidemment, mais ça va se recentrer sur des choses un peu plus métier. En fait tu le vois quand tu fais des projets à GeonForce, c'est pas la technique le plus complexe, le plus complexe c'est de réfléchir à quoi ça sert. où tu le mets, quelles sont les données que tu vas connecter. Tu as un gros sujet sur les données. Tous les gens qui bossent sur les données, ils vont garder leur boulot, ils vont même en avoir plus parce qu'un agent force, c'est super, mais s'ils tapent sur des données qui sont foireuses, ils ne marchent pas. Donc, tu as encore du boulot de ce côté-là. Et côté partenaire, tout ça te sert à quelque chose. Évidemment, tout ce qui va être change, ça va être énorme parce que tout d'un coup, on va balancer dans l'équipe. On va dire... écoutez, vous avez trois collègues et puis maintenant, il y aura un quatrième qui sera un agent. C'est intérêt à avoir éduqué les gens, les avoir formés au techno, à savoir comment ça marche, pour qu'ils soient pas trop récalcitrants, sinon ça va vite mal se passer. Donc, il y a vraiment des sujets, des réflexions sur comment t'intègres ça, quel rôle tu lui donnes, est-ce qu'il a les mêmes droits, pas droits En fait, c'est un peu un utilisateur comme un autre. Il faut réfléchir à ce qu'il aura le droit de faire.

  • Speaker #1

    Un onboarding aussi potentiellement pour les autres utilisateurs, les vrais cette fois-ci

  • Speaker #2

    Exactement. Ceux qui vont devoir bosser avec, il y a un truc qui est très important dans les Juneforce, c'est tout ce qui est les garde-fous. Il a le droit de faire certains trucs et pas d'autres, comme un employé classique. Par exemple, s'il fait des remboursements, on va dire, si tu es en dessous de 1000 euros, tu rembourses automatiquement. Par contre, si c'est une somme supérieure, tu dois passer par un humain et lui faire valider. Donc ça, la techno est assez bien faite, il le fait assez simplement. Mais du coup, il faut... éduquer et former les gens pour savoir ce qu'il a le droit et ce qu'il n'a pas de faire, quand est-ce qu'eux vont interagir, quand est-ce qu'ils peuvent le laisser en autonomie sans stresser. Donc il y a vraiment, comme tu en marquerais quelqu'un, comment on peut creuser ça quoi

  • Speaker #0

    Ouais, déjà moi en termes de change, moi j'ai vu sur le projet des gens, des utilisateurs, qui étaient réticents à juste alimenter Salesforce parce qu'ils trouvent ça trop transparent, pas parce que c'est chiant Mais parce que c'est la mentalité des gens, c'est trop transparent. J'aime pas que les gens voient tout ce que je fais.

  • Speaker #2

    C'est du flicage, en tant que genre. Alors moi,

  • Speaker #0

    c'est juste parce que je suis gentil. Voilà Bah oui, il y a les gens. Mais imaginons, tu vois, cette personne-là qui est déjà à ce point-là, genre, la technologie, j'aime pas. Maintenant, tu vas lui expliquer que maintenant, son collègue, c'est un robot. Je dirais,

  • Speaker #1

    bah, bravo Ouais, clairement, il y aura beaucoup de résistance.

  • Speaker #2

    Oui, c'est pour ça qu'il t'a intérêt à embarquer tout le monde dès le départ, à faire de la pédagogie, à expliquer qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il ne fait pas, et surtout, démystifier le truc. Parce que les gens s'imaginent, quand tu leur dis à Jean que c'est un robot qui va marcher et qui va venir se faire leur boulot à leur place, on n'est pas sur ça. Oui, un peu.

  • Speaker #0

    Voilà, après, ça va.

  • Speaker #2

    Oui, taille.

  • Speaker #1

    Il y a aussi un gros marché qui se développe parmi les... les formateurs, à chaque fois qu'il y a une nouvelle techno qui apparaît, j'ai l'impression, enfin c'est pas une impression, au final c'est concret, sur LinkedIn, on voit pop des formateurs spécialistes, au début c'était spécialistes chat GPT, spécialistes cloud, là on a des spécialistes qui proposent, je sais pas quelle est la qualité de leur formation, mais qui proposent ces formations en ligne, ou en physique,

  • Speaker #0

    en ligne.

  • Speaker #1

    Mais voilà, en tout cas, il y en a de plus en plus parce qu'ils savent que c'est très demandé. Et il y en a un, en l'occurrence, qui est américain, qui au début se positionnait sur des formations en vue d'obtenir des certifications Salesforce, donc des certifications basiques, Sales Service Cloud, et qui a aujourd'hui, je ne vais pas citer son nom, qui s'est complètement repositionné et qui s'est exclusivement, du coup, consacré aux formations AgentForce. Donc, c'est des formations tarifées, il y a un certain pricing derrière. qui est plus ou moins intéressant, j'ai pas non plus mis le nez dedans, mais c'est pas le seul à faire ça, c'est le seul dont je me souviens mais je sais que c'est pas le seul à faire ça, et du coup vraiment il y a une réelle appétence, il y a comme un appel d'air qui se fait sur Agent Force, côté formateur, mais également côté développeur. Développeur pourquoi Parce que il y a quelques semaines, et Salim tu nous en diras sûrement plus à ce sujet là, c'est concernant le... la sortie ou la mise en ligne d'Agent Exchange. Agent Exchange, c'est la nouvelle place de marché dédiée aux agents IA et qui peuvent être intégrés en environnement Salesforce. Du coup, il y a beaucoup, je pense, de développeurs qui vont mettre en place des applications. Il y a des applications déjà existantes pour servir d'assistants commerciaux, pour maximiser la productivité des équipes de vente, des choses comme ça. Moi, je vois vraiment ces deux en parallèle de la communication et du marketing poussif que nous fait Salesforce sur AgentForce, derrière, on a tous les autres qui suivent le mouvement, les formateurs d'un côté ou les apprentis formateurs et les développeurs qui veulent un peu leur petite part du gâteau en proposant des applications sur l'AgentForce Exchange ou l'AgentExchange.

  • Speaker #2

    Oui, partagez mon opinion qui n'engage à... par contre je trouve ça assez ouf c'est une plateforme type Apple Store où tu peux aller mettre tes agents donc concrètement toi tu y vas et tu achètes un agent t'embauches un mec, t'embauches un agent et tu vas le mettre sur ta plateforme alors c'est encore le début et donc c'est pas plug and play il y a encore du retravail mais à terme ce sera peut-être qu'on va se ramener à la question ouais mais avec des agents c'est le même concept mais tu dis je veux un agent sales qui peut faire ça et que je plug sur mon système et à terme on va peut-être se retrouver entre est-ce que j'embauche un mec ou est-ce que je vais sur la backchain et je clique et je prends un robot clairement c'est un peu un site d'embauche bientôt alors là c'est encore le début du coup on partage juste des briques derrière il faut le reconstruire ton agent il n'est pas automatisé mais je suis certain que dans quelques temps tu peux tu pourras aller et recruter ton patron de service client ou ton employé du marketing. Et ça, c'est assez ouf. Je serai développeur,

  • Speaker #0

    je serai développeur.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #3

    Vous me donnez envie, là.

  • Speaker #2

    Tu développes une fois l'agent, tu le vends partout. Ça veut dire,

  • Speaker #3

    là, je vois les cas d'usage et tout. Je pense à plein de cas d'usage qui peuvent être simplifiés. Là, je vois des connecteurs sur WordPress, sur Shopify. Ça peut être super intéressant.

  • Speaker #2

    Une fois que tu as... construit la chose d'une fois c'est sûr que c'est réutilisable on a tous ces sujets là quand tu as un projet généralement il ya des choses qui sont industrialisables et donc ça ça peut être assez intéressant après sur la formation mon avis c'est qu'en termes de business c'est sûr c'est un excellent plan Tout le monde en parle tu vas sur le sujet du moment et ils ont super raison c'est ça après moi je vous donne mon avis projet techniquement il n'y a rien de nouveau donc c'est ça que je trouve un peu surprenant et jeune force tu as des flots donc des trucs qui existent depuis toujours de l'apex ça existe depuis toujours et derrière ok il ya du prompt mais d'heures tu vas sur très laid tu la prends tout seul donc moi mon retour c'est honnêtement je sais pas ce qui vous apprend techniquement après il peut vous apprendre un peu la plateforme mais ça tu vas sur très laid ça fait dix ans que le tourne tu pourrais l'apprendre tout seul. Donc, je ne suis pas certain qu'il y ait une super valeur ajoutée pour passer les certifs. Oui, en termes de formation, finalement, si tu as un bon développeur, il peut l'apprendre tout seul. Il y a un petit temps de passage parce que ce n'est pas la même plateforme. Mais honnêtement, de là à aller te faire une formation pendant trois mois, je ne suis pas certain. Non,

  • Speaker #3

    mais tout, si tu dis ça, ça aligne tout. Tu peux apprendre tout seul sur Tralade, mais ça n'empêche pas qu'il y a quand même... des formations. Moi, je comprends qu'il y a des gens qui n'ont pas les nerfs de se plonger dans ta lettre, qui peuvent préférer parler à une personne et qui leur expliquent comment ça se passe.

  • Speaker #2

    Tu vois Ça, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    C'est bien fait. On est sur un système où c'est bien appris, tu as une belle plateforme et tout, mais je pense qu'il y a toujours des gens qui voudront parler à des humains pour se faire former.

  • Speaker #2

    Ça fait raison.

  • Speaker #0

    Surtout pour cet aspect-là. Parce que là, on dit clairement aux gens, tu vas avoir de l'IA qui va faire ton taf. Et ça fait flipper ceux qui ne sont pas initiés quand même, non seulement à la tech, mais aussi au moins de l'IA. C'est là, le travail de l'accompagnement qu'on dit tout à l'heure, le change, c'est là, je pense, c'est le point du projet. C'est ça, ouais. Il faut quelqu'un pour leur assurer que, attention, c'est pas que tu vas cliquer, tout va se passer automatiquement, tout va bouger devant toi comme ça. C'est pas forcément ça qui va se passer.

  • Speaker #2

    T'as raison. Moi, le seul... Le sujet qui me rend sceptique, c'est quand même qu'être jeune force. La vraie problématique et la vraie complexité, elle est plutôt métier. C'est qu'est-ce que tu vas en faire La partie technique, c'est le force. Et toute cette partie, OK, quels sont les use cases Comment je les priorise, etc. C'est là où il y a un vrai besoin de se plonger dedans et de savoir ce que tu peux faire, ce que tu ne peux pas faire. Et c'est ça que je ne suis pas sûr que tu trouves dans les formations parce que c'est le truc qui sont... très lié à des industries, tu ne fais pas un agent pareil dans le retail que dans la banque, etc. Je ne suis pas sûr que dans ta formation, tu l'apprennes. C'est une connaissance du métier, c'est une connaissance fine des enjeux de tes clients que tu as besoin d'avoir. En fait, la plateforme, c'est super facile. Moi, j'en fais des agents.

  • Speaker #0

    Justement, je pense que le plus important de la formation, mis à part ça, c'est vraiment expliquer un concept de base. Le concept de base, ce n'est pas que tu es entrepreneur ou alors que tu... construire des process, c'est déjà mettre à plat tes process. Quelles sont les choses automatisées, entre guillemets, répétitives Tout ce que tu peux schématiser, en fait, potentiellement, tu peux l'optimiser. Tu peux l'optimiser et ensuite, tu peux l'automatiser, voire supprimer. Tu te rends compte, est-ce que tu ne supprimes pas Oui,

  • Speaker #2

    mais du coup,

  • Speaker #0

    ce n'est plus le même public.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai, j'ai peut-être un regard biaisé. Un développeur,

  • Speaker #3

    je suis d'accord qu'il va faire ça. Si je me chauffe, je me pose sur Tralette, je ne vais pas aller payer une formation, mais je pense que des clients finaux, un utilisateur qui est déjà sur Salesforce et qui a envie de découvrir, je pense que ça peut être intéressant.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. Après, la question, c'est qu'est-ce qui se trouve à l'intérieur, vu que maintenant, c'est assez nouveau, et que je pense que ce sont des choses qui vont évoluer, peut-être attendre trois, six mois, le temps qu'on ait un vrai contenu, et les feedbacks, etc. Je pense que ce serait plus pertinent d'attendre un peu... pour en faire une qui soit plus complète quoi.

  • Speaker #2

    Oui mais t'as un effet de mode si t'arrives le premier. tu seras le référent, alors que si tu arrives six mois et qu'il y en a 50, tu seras moins pertinent, enfin moins visible, plus que pertinent. Et c'est là où c'est un peu comme Agile Force. C'est les premiers. Maintenant, il y a ServiceNin, il y a Microsoft qui arrivent. On retiendra Agile Force à l'heure actuelle parce que c'est les premiers qui se sont positionnés. Ils se sont positionnés vite. Ils ont sorti un produit en deux mois entre Dreamforce et Agile

  • Speaker #3

    Force. Ils ne l'avaient pas développé avant

  • Speaker #2

    Ah si, ils avaient commencé, mais entre le moment où ils l'ont annoncé à Dreamforce et le moment où le truc a été GA, il y avait deux mois. C'était extraordinairement rapide. Et ça a permis de lancer la dynamique. En vrai, au début, il y avait plein de features qui n'étaient pas totalement terminées. Tu voulais faire un truc, bon, ce n'était pas encore GA, donc il fallait faire un petit contournement. Mais ça a permis de lancer le truc, d'avoir une communauté, de mobiliser les clients, de les intéresser. C'est quand même une approche commerciale. Alors oui, gros sabot.

  • Speaker #3

    Les pages de sexe,

  • Speaker #0

    c'est le cas. Voilà.

  • Speaker #3

    Ils ont toujours fait comme ça. Moi, je me rappelle la première fois qu'ils avaient lancé, j'étais partie sur le help et il y avait un genre de force qui était là, mais il n'y avait aucun rapport il y a trois mois. Je ne sais pas s'il était clair à moi. Non, c'était une recherche rapide.

  • Speaker #0

    Il y avait des trucs au caravane.

  • Speaker #3

    Moi, j'étais très déçue. J'ai fait un renouvelé de l'expérience.

  • Speaker #0

    Non, ouais, bah... Ouais. C'était ma prochaine question, parce que là, c'est dans le fil. C'est qu'un des use cases que tu as présenté justement, Salim, d'AgentForce pour l'instant, c'est potentiellement d'aider les customers en service. Mais aujourd'hui, non seulement sur le site officiel de Salesforce, il est en place et les retours sont très négatifs. Et j'ai aussi vendre plusieurs clients qui l'utilisent. Les retours sont aussi assez négatifs. Pour le client, on peut dire que l'implémentation est foirée, mais pour Salesforce même, qu'est-ce qui se passe Est-ce que toi, tu as des bons exemples

  • Speaker #2

    Oui, j'ai des bons exemples. Les clients, je vais dire ce que j'ai vu. Sur Salesforce, j'ai l'impression que ça marche quand même mieux. Mais en fait, c'est très simple. Est-ce que tu as des bonnes datas derrière ou pas Parce que c'est comme un LLM. Est-ce que tu lui poses les bonnes questions Est-ce que tu as les bonnes données Point à la ligne. C'est un peu ça le... le sujet derrière, la solution, elle fonctionne. Il sait te ressortir les bons trucs, il sait aller interagir dans Salesforce. Maintenant, moi, ce que je vois chez les clients, c'est que ton org, elle n'est pas forcément propre, ta knowledge base, elle n'est pas bonne, parfois les réponses... Parce qu'en fait, tu peux faire du rag, donc tu peux même lui envoyer des formats différents, il arrive. Maintenant, si ton truc, il n'est pas clair, que dans un article, tu dis ça, et puis dans l'autre, parce que Intel a changé, tu dis le contraire. effectivement tu vas avoir des choses différentes je vais mettre de côté le sujet de Salesforce le help de Salesforce je sais qu'ils l'ont lancé au début super rapidement et aujourd'hui ils communiquent sur le fait que ça marche super bien honnêtement je saurais pas vous dire si c'est de la com, si ils l'ont amélioré, si le truc tourne ou pas

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, entre nous, je sais pas, mais j'ai toujours pensé que Salesforce utilisait un mauvais CRM. Parce que franchement, tu te présentes à chacun de leurs events, t'es en doublon, ils ont pas les bonnes infos sur toi, ouais, ils ont pas un sac coupé, mais... Moi, même moi,

  • Speaker #3

    quand j'étais le premier sur la grille...

  • Speaker #0

    C'est encore donné la plus belle chose. C'est ça, c'est vrai. À chaque événement, ils ont un problème avec le badge. Moi,

  • Speaker #3

    je me rappelle que j'étais chez Salesforce à Paris. Quand j'étais chez Salesforce à Paris, je voulais trop voir comment ils utilisaient Salesforce et j'étais choquée parce que c'était nul. Genre, il y avait une page de ligne normale. Je croyais qu'il y avait des features de malade et tout. Mais en fait, pas du tout.

  • Speaker #2

    T'as été déçue

  • Speaker #3

    Ouais, j'étais trop déçue. Ils avaient juste une diz de... Bref, c'était très basique.

  • Speaker #0

    La légende raconte qu'il n'y a que Benioff qui l'utilise bien, parce que tu es sur 10 ans, il l'a implémenté Einstein il y a très longtemps pour lui-même, comme pour faire du brainstorming. Avant la traîne de Charlie Pitty, quand ils ont sorti Einstein, pour lui c'était, ouais, maintenant je communique avec lui au meeting, je prends des décisions avec lui, machin, peut-être. Des fois ça explique le truc bizarre qui nous sort à la fin, mais bon, si c'est Nia qui lui a suggéré ça... Ouais, vas-y. Bon,

  • Speaker #2

    pardon.

  • Speaker #0

    Transforme les mascottes en robots pour faire flipper tout le monde. Quoi C'est bien.

  • Speaker #2

    Du coup, quand même, je réponds à ta question. Est-ce que je l'ai vue chez les clients Moi, j'ai vu des clients où ça marche. T'as dit oui. J'ai eu des clients où ça marche parce que...

  • Speaker #3

    La question, ce n'est même pas est-ce que ça marche, moi, je trouve, c'est est-ce qu'il y a une valeur ajoutée sur du temps qui a été gagné, etc. Tu vois vraiment ça

  • Speaker #2

    De manière très concrète, les clients veulent te le foutre partout et entre nous, ce n'est pas pertinent partout. Parce que pour des sujets basiques, moi, j'ai l'exemple d'un client dans le retail. Alors, c'est... pas très compliqué à faire le business case. Ils ont à peu près 200 000 demandes par an de clients qui leur écrivent. Pour une demande simple, ça prend 5 minutes à un humain. Pour une demande complexe où il faut aller dans 15 systèmes, on va y penser à un remboursement, il faut aller vérifier ce que tu as commandé, il faut aller cliquer là, il faut aller dans le ERP, il faut faire une demande. Ça prend à peu près 20 minutes à un humain. Puis en plus, bon, il faut... Garder en tête que le personnel qui travaille dans les services clients, ça tourne beaucoup, ils ne sont pas toujours bien formés. Donc parfois, même ça se perd.

  • Speaker #3

    Et il va croire.

  • Speaker #2

    Tu vois, si tu prends des cases de problématiques complexes, tu gagnes un temps parce que le truc, il te le fait automatiquement en 30 secondes. Déjà, d'une, là où il y a la durée, puis il y a le temps. Le délai de réponse. Parce que d'une, il te répond instantanément. Là où un humain, il va apprendre, il faut qu'il affecte, puis il va te mettre trois jours parce qu'il n'aura pas traité le truc. Sur la tâche en elle-même, oui, tu connectes des systèmes. Tant que c'est aller chercher des infos, remplir des infos, échanger avec un client, oui. Après, il ne faut pas le mettre partout. Moi, j'ai vu des clients où la demande, c'était tu peux me donner l'horaire du magasin et est-ce que mon magasin, il est ouvert le dimanche Bon, tu n'as pas besoin de mettre un agent super intelligent pour faire ça. Tu mets un chatbot basique, il le fait. Donc vraiment, je reviens à ce que je disais au début, tout est à qualifier. Oui, ça marche et oui, tu peux avoir de la valeur ajoutée, mais en réfléchissant où tu le mets. Si tu le mets partout, oui, effectivement, ça va vite te coûter cher. Et si c'est pour faire des trucs extrêmement basiques, non, il n'y a pas d'intérêt.

  • Speaker #3

    Et du coup, c'est quoi les use cases que tu as implémentés qui sont stylés

  • Speaker #2

    Pas du service client. Ben si, si, parce que tu sais pourquoi Il y a un petit peu de sales, mais c'est le premier truc qui a été dispo, le service client. Parce que tu vois le pain point, il est clair, on reçoit des centaines de demandes.

  • Speaker #3

    C'est vrai que la perte de temps, elle est monstrueuse. Là-bas, tu as l'impression que tu fais dix fois la même chose et que tu dois répéter les mêmes questions.

  • Speaker #0

    C'est sûr. À partir du moment où il y a un robot, où il y a un chatbot, en fait, tu mets de l'IA, potentiellement, tu dis, ah ben, tu mets de l'IA. C'est plus intelligent. On est tous déjà prêts en fait, les utilisateurs finaux, les clients sont déjà prêts à parler à un robot. Il suffit juste de le rendre un peu plus intelligent.

  • Speaker #2

    Ouais. Ça c'est un autre sujet, mais alors je prends les questions une à une. Il y a quand même beaucoup de clients que ça fait chier de parler à un chatbot qui répond à côté. Ça c'est un truc que tu revois souvent. D'autres trucs qui se mépent... D'où l'IA, oui, mais d'où le fait d'avoir quelque chose de pertinent parce que... Toi comme moi, quand tu écris un chatbot et qu'il te répond à côté, que tu lui dis j'ai un problème avec ma box et qu'il te répond super et que tu as envie de le trouver dans le mur et que tu parles avec lui un quart d'heure et qu'après il te transfère à un humain et que tu as perdu un quart d'heure, c'est bon. Donc je pense qu'il y a quand même un vrai sujet à bien convaincre les utilisateurs, mais après ça dépend des industries. Je pense que tu es moins récalcitrant à parler à un bot quand tu as un problème avec ta box ou un truc de base. que quand tu vas acheter un collier à 50 000 balles pour ton mariage. Là, bon, t'as intérêt à avoir un truc un peu plus sophistiqué. Donc,

  • Speaker #0

    il y a une question aussi de... Normalement, en théorie, t'as un domoéthique pour faire ça.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, normalement, quand tu vas acheter une bague de luxe, t'as envie qu'il y ait un humain derrière, ou alors que ton robot soit très intelligent et qu'il comprenne tout ce que tu lui dis. T'as pas à le répéter trois fois, toi, déjà, ça te pique de lâcher autant pour une bague. Mais Use Case aujourd'hui, moi ce que j'ai vu, ils sont quand même plutôt service client parce que le Big Case, il est rapide, tu gagnes de l'argent concrètement. Tu vois, avant ça me prenait une heure, maintenant ça me prend tant. Tu comprends facilement, c'est plus simple à implémenter parce que c'est du réactif, c'est le client qui te contacte, ce n'est pas du proactif. Évidemment, c'est la next step où ton agent, il va faire des actions, il va réfléchir et puis à un moment, il va se dire… peut-être que je devrais contacter telle personne. Là, on est plutôt dans le sales. Tu vois, il va pouvoir préqualifier tes leads et ensuite aller contacter directement parce qu'il sent que c'est le bon moment, etc. Mais là, ça nécessite quand même... une confiance dans la solution.

  • Speaker #0

    puisque tu lui laisses les manettes que les clients vont avoir un peu plus de temps, vont nécessiter un peu plus de temps à adopter. Alors que dans le service client, c'est basique, j'ai beaucoup trop de demandes, je n'arrive pas à y répondre, là je mets quelqu'un qui va réussir à me le faire à ma place. Je dis quelqu'un, mais je mets un agent. Surtout service client, notamment pour des actions complexes avec du remboursement, c'est un peu plus difficile. avec de la vérification, tout ce qui intègre plein de systèmes et qui est toujours très chiant pour l'humain. Je l'ai vu aussi sur du conseiller au comté. Tu sais, imaginons... Non, mais tu veux faire des travaux...

  • Speaker #1

    On allait la voir

  • Speaker #0

    Tu veux faire des travaux, tu vas... Tu vas écrire à ton agent en lui disant, écoute, moi, je veux refaire ma salle de bain. Comment ça marche Et puis lui, il va être capable de te dire, il te faudrait une perceuse, des clous, du plâtre. Voilà tout ce qu'il te faudrait. Croiseux,

  • Speaker #1

    de la farine,

  • Speaker #0

    des trucs comme ça. Oui, blague à part, tu peux le faire aussi sur ce sujet-là. Je veux faire un gâteau, il te donne la liste. Et en plus de ça, il te... précommande les trucs. Alors, sur les oeufs et la farine, l'intérêt de le précommander, je ne suis pas sûr, mais sur des outils, il va te dire il faudrait tel type de placo. Et en plus de ça, je vois que tu habites à Nevalois-Péret, il est dispo au magasin de Jeannevilliers. Est-ce que tu veux que je te le réserve C'est assez cool. En fait, c'est un petit peu un concierge augmenté qui te fait des recours. Dans le luxe, alors ce n'est pas encore déployé, mais j'ai vu dans le luxe... des sujets de reco, tu lui dis voilà, j'aime bien tel vêtement et un peu ton conseiller qui va dire bah écoute, ça ça pourrait aller avec regarde telle collection ça va bien ensemble etc. ça c'est plus sympa c'est moins en fait c'est plus sexy c'est sûr ça c'est des trucs sympas

  • Speaker #2

    Genre là, à la fin de notre conversation, je pense que je vais aller regarder et je vais commencer à m'y mettre.

  • Speaker #0

    C'est ça. C'est sûr qu'il y a plein d'explications pour voir qu'est-ce qu'ils ont.

  • Speaker #1

    Effectivement, pour l'instant, tout ce qui est pour les clients finaux, j'ai l'impression qu'au final, ça va être juste rendre plus intelligente des fonctions qu'on connaît tous un peu déjà. Oui,

  • Speaker #2

    je connais déjà.

  • Speaker #1

    Par exemple, vous avez acheté ça, voilà ce qui pourrait vous plaire. Pour l'instant, c'est de l'algo pur, mais... s'il y a une IA derrière ça peut être encore plus pertinent Amtos qui va être touch point aussi envoyer des sims et des OSS parce que il te fait la recon mais l'intérêt derrière c'est de de vraiment créer un lead ouais il te crée un lead il te le met dans Salesforce en t'expliquant que

  • Speaker #0

    cette personne elle peut être intéressée par ça ça ça ça ça et puis derrière il va te faciliter le process d'achat et donc on peut penser que vu que t'auras juste à lui répondre ok j'achète Il y a encore des histoires de paiement, évidemment tu ne peux pas payer en disant juste OK, mais ils te facilitent le process d'achat et donc commercialement, tu as un vrai use case pour l'entreprise.

  • Speaker #2

    Et c'est quoi les coûts qu'ils ont associés Là tu parles de mise en place de ce genre de choses. Aujourd'hui, combien c'est d'heures de développement ou de coûts chez Salesforce

  • Speaker #0

    Il y a un prix public qui est officiellement à 2$ la conversation. qui est, peu importe ce que tu lui demandes, 12€, je reviens à ce que je disais tout à l'heure, t'as intérêt à lui faire faire des usages. À lui demander des trucs intéressants. Ouais, parce que sinon tu vas payer quand même le même prix. Et le prix public c'est 2$ par conversation, une conversation c'est une fenêtre de 24h. Donc pendant

  • Speaker #2

    24h tu lui demandes des trucs. Mais c'est que un user Ça veut dire que moi pour une deuxième session sur mon ordinateur ça me considère le même user Ou c'est ce genre de choses Oui,

  • Speaker #3

    très précis là.

  • Speaker #0

    Alors, si tout va sur ton ordinateur, je pense que ça marche. Maintenant, je ne préfère pas dire de baiser. En tout cas, normalement, c'est un user, un user 24 heures, 2 euros.

  • Speaker #2

    Donc ça, c'est quand tu l'utilises en tant que client final, quoi. Oui, c'est ça. Si tu l'utilises en interne, ça veut dire si tu l'utilises en interne via des flows et tout, à chaque fois qu'il va y avoir un appel à...

  • Speaker #0

    Alors là, il y a une autre tarification, mais qui est en train de bouger. Et franchement, je ne pourrais pas... vous la partagez parce que je ne la connais pas moi-même déjà les techniques de Salesforce ils sont complexes ouais ça c'est clair je ne la connais pas non plus voilà donc le prix grand public sur le customer facing c'est 2$ la conversation évidemment si tu en achètes à l'avance tu as des prix négociés et il y a d'autres sujets d'où l'intérêt c'est ce que je disais de lui demander des choses où il interagit dans plein de systèmes où en fait ça te coûterait plus de 2$ le use case il est très basique Est-ce que pour faire la même chose, ça me coûte plus de 2 dollars ou pas

  • Speaker #2

    Et les coûts d'implémentation, parce que souvent, c'est génial, mais après, tu as les coûts d'implémentation qui coûtent cher. Tu as des ordres d'idées ou pas du tout

  • Speaker #0

    Ça dépend de ton budget.

  • Speaker #2

    Mais en tout cas,

  • Speaker #0

    je te donne en termes de temps. En un mois, tu peux mettre en place un use case en prod d'une complexité moyenne. C'est-à-dire qui se... qui se connecte à un ou deux systèmes et qui va du coup interagir dans Salesforce et à l'extérieur de Salesforce.

  • Speaker #1

    Mais en un mois, le plus long, c'est quoi C'est la construction ou alors justement la recherche, le travail avec le business La réflexion,

  • Speaker #2

    quoi,

  • Speaker #0

    ouais. Pour l'avoir fait, c'est un tiers, un tiers, un tiers, un tiers de réflexion, un tiers de construction, puis un tiers d'itération parce que c'est du prompt. forcément battu au début va pas réagir comme tu sais quand même chat gpt tabou pensé à tout ce que c'est des instructions que tu mets en naturel alors après il ya des actions etc mais tu auras pas pensé au cas où tu vas va lui parler de son concurrent ou le client va lui poser une question un peu tordue et donc c'est en le testant que tu pourras tu pourras itérer l'améliorer donc vraiment il ya un tiers de technique pure donc c'est pas vraiment un mois Mon ressenti à date, après quand tu passeras à l'échelle, il y aura peut-être d'autres problématiques et tu vas te connecter à 50 systèmes un peu plus complexes, mais ce n'est pas un projet très complexe techniquement. Il y a un vrai besoin d'alignement en amont, comprendre ce que tu en fais et c'est ça. Un tiers du temps, d'abord on se dit quel use case on va faire, quel use case on va faire et comment on mesure que ça me ramène de l'argent. Est-ce que j'y vais sur ça, est-ce que je n'y vais pas sur ça Et donc ça c'est quand même un tiers du temps et ça a un coût parce que soit tu le fais tout seul, soit tu te fais accompagner.

  • Speaker #1

    On a bien abordé la partie utilisateur final, mais maintenant, ce qu'il en est pour les utilisateurs de Salesforce même, donc les sales et les admins, alors moi, j'imagine un truc, c'est que, je ne sais pas si c'est pour l'instant en tout cas, ou alors en tout cas, est-ce que ça sert à se concrétiser comme ça On se souvient des prédictions Einstein, donc voilà, ce lead, il a plus de chances de l'avoir, donc contacte-le, maintenant on peut très bien... Voilà le scoring, on peut très bien l'utiliser maintenant, on peut très bien imaginer que maintenant, c'est force, ton agent te dit, bah là, la next action, c'est envoyer un follow-up, tu cliques sur OK, et là, tac, ça lui envoie le follow-up automatiquement.

  • Speaker #0

    Il n'est même pas sur OK, il le fait tout seul.

  • Speaker #1

    Ouais, mais là, c'est un peu, bah, ça, oui, après, moi, j'ai même gardé un contrôle pour l'instant, on peut arrêter de faire flipper les gens. Mais particulièrement, il y a de la communication en externe, pour l'instant, moi, j'ai des agents, j'ai des trucs perso aussi. les agents aussi, tu contrôles tout, sinon là c'est assez risqué. Donc à terme,

  • Speaker #0

    c'est le travail de sales,

  • Speaker #1

    tous les arguments des sales qui ne veulent pas remplir le CRM parce que c'est chiant, ou autre, au final, tu commences le matin, tu as une liste d'actions, de potentielles actions que le CRM peut faire pour toi, tu fais juste ok ok ok ok, et après tu fais ce que tu veux de ta journée. J'imagine ça comme ça. Est-ce qu'on a des exemples concrets ou pas encore Non, parce que tu as vu beaucoup de services, pas forcément de sales encore.

  • Speaker #0

    Aviva, raconte-nous.

  • Speaker #2

    Moi, j'arrive pas à me projeter du tout de comment ça va être. Après, c'est sûr qu'aujourd'hui, on essaye vraiment d'accompagner. Je vois que ce qui marche, c'est d'accompagner les sales pour... qu'ils aient le moins de réflexion à faire et qu'ils sont au maximum dans la rentabilité. C'est-à-dire, on va leur dire, voilà, ça, c'est les leads que tu dois traiter en priorité. On va leur mettre, par exemple, ce qui marche assez bien, c'est les omnichannels pour la distribution de leads ou de cases. Voilà, en fait, on ne le laisse plus réfléchir. Il a son omnichannel allumé et nous, on a des algos derrière qui vont dire, lui, par exemple, je ne sais pas, on a un client qui va vendre... des formations en anglais, il y a un spécialiste d'anglais, un spécialiste de chinois, un spécialiste de je ne sais quoi, de portugais, ça va envoyer à chacun le bon lead, etc. Je ne sais pas, je n'arrive pas à me... Moi, je n'ai pas assez de connaissances pour savoir comment ça va impacter toute l'intelligence artificielle qui est mise en place, comment ça va impacter le travail au jour le jour des utilisateurs finaux, à part de leur libérer du temps via tout ce que... tout ce qu'on a évoqué. Après, je ne sais pas si ça répond à la question. Mais c'est sûr que... Non, ça veut dire que l'ambition, je pense qu'il y a un sujet sur vraiment accompagner l'utilisateur final pour qu'il soit guidé à faire ce qu'il est censé faire.

  • Speaker #0

    Moi, je suis assez aligné là-dessus, mais moi, j'ai envie d'aller un cran plus loin. Il y a certains rôles qui pourraient être complètement automatisés et remplacés. Tu vois, la partie... C'est les représentatifs, le mec qui appelle toute la journée les clients, la partie recherche de leads, on pourrait envisager, parce que ça existe déjà, les agents IA qui font de la voix et qui font des calls. Tu pourrais déjà…

  • Speaker #2

    C'est horrible ça.

  • Speaker #0

    Avoir… Oui, mais justement ça…

  • Speaker #2

    Ça dépend pourquoi. Ça dépend pourquoi. Si tu es sur un service client, alors tu peux parler à un robot, mais quand tu vas faire de la vente, ça veut dire… Quand tu vas faire… Moi, je travaille avec beaucoup d'entreprises de services, je les vois mal. Je sais qu'il y en a qui font du robot d'appel. Mais je pense, c'est que vraiment sur le sujet de la préqualification et qu'ils appellent toute la France en un jour ou en quatre heures et tu récupères des litres derrière.

  • Speaker #0

    Oui, non, non, mais ça, je suis d'accord avec toi qu'il y a le sujet, il y a certains trucs où tu as besoin d'humains, tu es dans la santé, dans le sujet où tu annonces des mauvaises nouvelles, on ne va pas envoyer un... Il y a quand même, tu vois...

  • Speaker #1

    Ça m'est arrivé, je pense que vous avez vu les voix, en fait... En fait... les voix qu'on oublie des voies il ya en fait tu sais pas que c'est des mais moi je me dis on imagine des voix synthétiques mais en fait c'est

  • Speaker #0

    assez fluide en fait oui mais en france tu as toujours l'obligation de le déclarer je passe ici partout pareil en france tu peux pas avoir T'es obligé de savoir que tu parles à un robot.

  • Speaker #2

    En début de conversation

  • Speaker #0

    Ouais, tu dois... Moi,

  • Speaker #2

    j'ai jamais vu ça. Moi,

  • Speaker #0

    je ne sais pas. Mais dans la législation, je crois bien, même je suis sûr, qu'il y a une obligation de déclarer que vous allez adresser.

  • Speaker #2

    La première fois que j'ai vu ça, j'étais choquée. Je me suis dit, mais waouh, c'est fou, quoi. Et après, si tu raccroches, ils te rappellent encore après, deux jours après, ils te disent, ouais, mais pourquoi tu as raccroché

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce qu'aujourd'hui, ce n'est pas encore extrêmement performant, mais il est possible qu'un jour, le truc soit… Parce qu'en vrai, c'est aussi chiant quand c'est un humain qui t'appelle et qui te raconte un truc de quoi, n'importe quoi. Entre nous, ce n'est pas toujours plus pertinent.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas plus de contexte. Tu l'as raccroché et tu ne vas pas énerver un gars qui essaye de faire son métier.

  • Speaker #0

    C'est ça. Donc, pour en venir, je pense qu'il y a des rôles, les rôles vrais en chiant. tu prends le bottin et t'appelles toute la journée ou il y aura peut-être une manière de qualifier. Tu pourrais carrément être porté par un agent et derrière, le sales, il récupère toute la partie humain et je suis aligné. En vrai, tu ne vas jamais signer un contrat à 10 millions avec un robot si tu vends des produits complexes. À un moment, il faudrait qu'il y ait un humain. Mais si on peut enlever toute cette partie administrative, toute cette partie chiante du process à ton sales et la déléguer à un agent, c'est vraiment... Sur le papier, ça peut être cool et ça peut ouvrir des personnalisations et des possibilités assez ouf.

  • Speaker #1

    Donc, avant de passer à la dernière question d'Aziz, enfin, je ne sais pas si c'est la dernière vu le temps, force à tous les admins, par exemple, qui vont être missionnés par le responsable, d'aller piocher dans le Agile Exchange des fonctions d'admin. Parce que là, vous savez ce qui vous attend. Est-ce que tu n'as pas un agent qui crée des flots à ta place C'est pour t'aider C'est pour t'aider

  • Speaker #0

    Ouais

  • Speaker #1

    Force à vous Choisissez mal

  • Speaker #2

    Non, moi, en général, mes clients, ils ont des bonnes idées d'implémentation. Ce qui est bien, c'est que nous, on est toujours des externes, donc on n'a pas la pression que quand on est employé, alors notre job, il va sauter. Donc peut-être, je pense qu'ils parlent différemment avec nous. Moi, j'adore parler avec mes clients parce qu'ils vont me donner plein de business pain points qu'ils ont et qu'en fait, ils peuvent nous donner à réfléchir. Et nous, après, le sujet, c'est comment on transforme ce besoin de business en technique. Et là, si derrière, on peut mettre un truc, je donne un exemple qui me vient en tête. Des fois, il y a des gens, j'ai un client, ils ont des demandes méga complexes à faire sur des systèmes différents. Il faut mettre à jour plein de data en escalier, un petit peu comme ça. Ça, ça prend énormément de temps. Ils ont deux stagiaires dessus toute la journée pour faire ce genre de choses. Les stagiaires, on peut les former, leur faire faire des trucs beaucoup plus cool que de faire ça. Typiquement, si on arrive à mettre en place un agent, ça peut être super intéressant.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Genre les différentes fonctions de la machine à café et tout...

  • Speaker #0

    Voilà.

  • Speaker #1

    Oh désolé

  • Speaker #0

    Voilà. Mais non, mais... C'est-à-dire qu'on est tous sympas maintenant les amis Mais...

  • Speaker #1

    Non mais je pense que j'en forme de plus en plus Mais oui Franchement,

  • Speaker #2

    y'a...

  • Speaker #0

    Tu te passais par là,

  • Speaker #2

    hein Ouais, à mon époque, moi c'était pas comme ça, on m'avait pas formée, je devais me débrouiller Mais tu te débrouilles

  • Speaker #1

    Du coup, Aziz, il a écrit une belle question. Est-ce que tu peux la poser Comment tu vois les choses dans quelques mois lorsqu'on aura des testeurs IA,

  • Speaker #0

    admin IA, flow IA sur l'Apex C'est à peu près dans la suite de ce que tu disais. Moi, sur les admin IA, je suis un peu comme Aviva. Je ne suis pas très inquiet parce qu'il y a un vrai rôle humain et de comprendre réellement le besoin. Tu as beau être un agent, il y a les non-dits. Ton client, il ne va pas te le dire, mais toi, tu vas l'interpréter. Et ça, avant qu'un agent le fasse à ta place, je pense qu'on a encore du temps et ils auront quand même toujours envie de parler à quelqu'un. Je pense qu'au contraire, ça va juste te faciliter parce qu'il y a quand même des tâches chiantes d'admin, de mot de passe, de machin que tu vas pouvoir t'éviter en automatisant. Après, sur l'aspect testeur et flow IA, oui, effectivement, là, c'est un peu plus compliqué parce que l'aspect test IA, en tout cas, les tests, c'est quand même un peu... ouais il faut de l'humain c'est binaire quoi ouais bah t'as une partie test où il faut de l'humain mais il y a quand même une partie ça marche ça marche pas après c'est je pense que c'est pas spécifique à les jeunes force l'automatisation des tests ça existe depuis longtemps je pense que c'est quelque chose vers lequel on va après ça dépend de quel test on parle si tu parles de test technique oui la partie test technique oui la partie test fonctionnel là il faudra toujours de l'humain parce que jamais personne n'aura une idée aussi chelou qu'un humain dans l'utilisation de l'outil. Tu le vois surtout avec Unia, ce que je disais tout à l'heure. Ils vont poser des questions, tu n'aurais jamais imaginé que quelqu'un pose cette question et Unia ne pensera pas à cette question. Et il y en a un, tu es chez un retailer, il va poser une question qui n'a rien à voir. Comment tu réagis Comment tu dois faire Et ça, il y aura toujours besoin de l'humain. Sur cette partie test...

  • Speaker #1

    À partir du moment où il y a un humain, de toute façon, dans les parages, en tant que client, tu ne peux pas penser à tout. C'est un truc de base quand on choisit. Je sais plus quand on fait la conception logicielle. T'as beau designer ton logiciel pour que le next step logique c'est le bouton carré rouge au milieu, t'as toujours un mec qui va cliquer sur le petit triangle jaune là-bas.

  • Speaker #0

    Et avec l'IA, c'est encore pire parce que du coup, tu paramètres différemment. Tu paramètres, mais tu restreins petit à petit avec des instructions plus en plus limitantes et forcément, c'est des réactions que tu ne peux pas anticiper. Donc, ça nécessite pas mal de tests et d'intelligence humaine. Et sur les flows, je vois qu'il y a des nouvelles features qui te permettent de créer des flows en langage naturel. Ouais. Alors, ça, ce n'est pas à John Van. Moi,

  • Speaker #2

    j'ai un peu essayé, ça ne marchait pas de ouf. Alors, peut-être j'ai mal coupé. on sait pas voilà j'ai essayé récemment la semaine dernière j'ai vu le petit pop-up j'ai dit tiens allez on essaye mais bon c'était pas très concluant sur mon test ça peut être une base et faciliter le truc mais par contre il faudra toujours que tu ailles et que tu

  • Speaker #1

    connectes au bon truc du coup est-ce que c'est pas plus dur du coup parce que si tu le construis from scratch alors que là tu dois débugger un truc que quelqu'un fait

  • Speaker #2

    ça dépend du plot, ça dépend de...

  • Speaker #0

    Oui ...ce que tu fais. Je pense que c'est plutôt sur l'industrialisation, si t'en as 50 à faire...

  • Speaker #2

    Ouais, peut-être que tu fais Apex et c'est fini. Hein, 50...

  • Speaker #0

    Ouais. Là c'est encore nouveau, franchement, moi j'ai pas encore de cas...

  • Speaker #1

    Ouais, on va venir à ça, on va venir à ça. Ouais, ouais. Ouais,

  • Speaker #0

    ouais.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Tiens,

  • Speaker #2

    euh... C'est dans tes ordres, mais allez chauffer en tout cas, pour Mimes.

  • Speaker #0

    Tu vois

  • Speaker #1

    tu as appliqué une formation entre nous voilà est-ce qu'entre nous on se laisse genre 3 mois est-ce que vous voulez qu'on attende 3 mois avant la diffusion pour ça chacun de créer sa propre formation parce que sinon là on va créer une vague on va être formateur là c'est sûr tout le monde va être oh c'est chiant écoute

  • Speaker #0

    mettons-nous ensemble et on crée une multi-formation on en met partout franchement il y a un business il y a un truc il y a un truc c'est sûr qu'il y a un truc

  • Speaker #1

    Attends, mais attends, il a lancé le... ça y est, il a mis. Il ne veut pas me lancer sur ça, t'es fou toi Je ne connais pas. Entre idée et exécution, il y a deux minutes, t'es fou.

  • Speaker #0

    Eh, de... En dessous de la vidéo, il y aura un marqué si vous voulez vous former, cliquez sur le lien. Avec la forme à zéro.

  • Speaker #1

    Il y aura juste un lien.

  • Speaker #0

    C'est un prix inclusif de 99 euros pendant une heure. Bon bah ouais.

  • Speaker #2

    Merci beaucoup.

  • Speaker #0

    C'était cool. C'était sympa. Sinon, vous revenez,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de soucis.

  • Speaker #0

    Et puis c'est tout, on reviendra quand tu vois.

  • Speaker #3

    Merci beaucoup. C'est cool. Enfin, on peut poursuivre. Dieu qui vient après la guerre.

  • Speaker #0

    C'est une petite histoire. Jean-Michel après la guerre.

  • Speaker #3

    Désolé, je ne sais pas ce qui s'est passé. Aujourd'hui, je suis dans un espace de coworking et la connexion sortait souvent. Je vais voir avec. Ou alors c'est Riverside, je ne sais pas. Le type qui veut pas vraiment se payer,

  • Speaker #1

    tu vois. Y'a que moi qui est pas parti en cours de route. Corée du Sud, pourtant, je suis pas...

  • Speaker #3

    Bah, Corée du Sud, c'est normal, mec.

  • Speaker #0

    Moi, je suis dans le 92, et ça galère, hein. Mais cool. Non, mais en tout cas, si on peut se faire un point de suivi, un de ces quatre, on pourrait changer et voir ce que ça a donné. Ce sera avec grand plaisir.

  • Speaker #1

    On pourrait limite faire un format spécial, genre, Idenforce, tu sais, tous les parents.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    On a hâte. Ouais, je veux bien une cobaye sur ça Allez,

  • Speaker #0

    puis voir est-ce qu'on s'est formé est-ce qu'il y en a qui ont cédé aux sirènes de la formation

  • Speaker #1

    Qui a vendu le plus de trucs

  • Speaker #0

    C'est ça Avec grand plaisir si vous voulez s'il y a des questions ou sur d'autres sujets en tout cas merci Salim c'est cool merci Salim,

  • Speaker #3

    merci Adrien pour les questions aussi pertinentes je suis encore une fois désolé j'aurais aimé interagir un peu plus souvent avec vous mais en tout cas c'était super intéressant et c'est ce qu'il faut retenir merci encore je sais pas si j'allais te poser la question si l'enregistrement a été interrompu ou si justement tu comptais faire les au revoir officiels avant d'interrompre l'enregistrement non vas-y

  • Speaker #1

    On se dit au revoir, mais on n'éteint pas, ok Ok.

  • Speaker #3

    Ça va. Merci à tous, en tout cas.

  • Speaker #1

    Écoute, merci à tous. Merci. À très vite.

Chapters

  • Introduction des Invités et Lancement du Sujet : Agentforce

    00:00

  • Le Virage Stratégique de Salesforce : Du Logiciel au "Digital Labor"

    01:05

  • La Pression sur l'Écosystème : L'Adoption "Forcée" d'Agentforce

    02:18

  • Quel Impact sur les Rôles ? Utilisateurs, Développeurs et Consultants

    04:26

  • Les Clés du Succès : Données, Pertinence Métier et Change Management

    08:20

  • L'Émergence des Formations et l'Agentexchange

    11:22

  • Débat : Quelle Valeur pour les Formations Agentforce ?

    15:53

  • L'Importance du Timing dans le Lancement de Produits

    19:52

  • Agentforce en Pratique : Efficacité Réelle et Premiers Retours

    21:23

  • Les Défis de l'Intelligence Artificielle dans le Service Client

    21:53

  • Exploration des Cas d'Usage : Service Client, Vente, Conseil Augmenté

    24:57

  • Coûts, Tarification et Délais d'Implémentation d'Agentforce

    33:24

  • Agentforce pour les Équipes Internes (Sales & Admins) et Avenir des Rôles

    37:00

  • L'Avenir : IA pour les Tests, Flows et le Rôle Indispensable de l'Humain

    45:29

  • Conclusion, Humour sur les Formations et Prochaines Étapes

    49:07

  • Mot de la Fin et Remerciements

    50:32

Description

Salesforce pousse Agentforce à marche forcée : simple évolution technologique ou véritable révolution IA qui menace de transformer radicalement l'écosystème ? Plongez au cœur du débat avec DeclicIT !


Dans cet épisode captivant de DeclicIT, décortiquons ensemble Salesforce Agentforce, la plateforme d'agents IA autonomes qui secoue le monde du CRM. Salim, expert Agentforce, Aziz, Aviva et Sébastien explorent le virage stratégique majeur de Salesforce vers le "digital labor", visant à concurrencer le marché des services et de l'emploi. Découvrez comment cette intelligence artificielle impacte tous les rôles : utilisateurs finaux gagnant en productivité grâce à l'automatisation des tâches répétitives, consultants Salesforce et développeurs face à la nécessité d'évoluer, et les défis potentiels pour certains métiers.

Nous analysons les clés d'une implémentation réussie : la qualité des données, la complexité de la définition des cas d'usage métier (plus critique que la technique basée sur Flow et Apex), et l'immense défi de la gestion du changement. Explorez des exemples concrets dans le service client (réponses automatisées, processus complexes) et la vente (qualification de leads, recommandations personnalisées), ainsi que le potentiel de l'Agentexchange, la nouvelle marketplace d'agents IA. Faut-il se ruer sur les formations ? Quel est le coût réel et le temps de déploiement ? L'épisode aborde sans détour les bénéfices, les limites et l'avenir du travail à l'ère des agents IA dans l'univers Salesforce.


Ne manquez pas cette discussion essentielle pour comprendre les enjeux actuels et futurs de l'IA dans la tech. Écoutez cet épisode de DeclicIT pour décrypter Agentforce et préparez-vous à la transformation ! Abonnez-vous et partagez vos réflexions.


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Transcription

  • Speaker #0

    Et bonjour tout le monde, bonjour Aziz, bonjour à tous, à Viva, Salim, wow Et oui, la première fois que vous venez dans l'émission, aujourd'hui des invités de marque, et de grande marque Parce que Salim, Salim qui connaît tout d'Agent Force, et qui va tout nous dire

  • Speaker #1

    La pression,

  • Speaker #2

    la pression, ça commence

  • Speaker #0

    Et à Viva, donc la femme aux milliers d'appréhensions sur Force, on va partir loin Et pas d'AgentForce, mais c'est pas grave, ça peut arriver.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien, merci à Salim et à Viva pour leur présence. Pour cette nouvelle émission, on va faire un focus sur AgentForce. Pour ceux qui débarquent, qui sortent d'une grotte depuis quelques jours, AgentForce est un peu... Oui, voilà. En fait, AgentForce, c'est une plateforme Salesforce qui permet de créer... ou de personnaliser des agents IA autonomes. Je parle sous la présence de Salim, n'hésite pas à m'interrompre.

  • Speaker #2

    C'est exactement ça. Moi, ce que je trouve assez intéressant, on ne va peut-être pas faire un cours, l'idée c'est plutôt d'en débattre, mais ce qui est intéressant, c'est surtout le virage pris par Salesforce. Comment ils sont passés de on vend des modèles, des licences classiques on met tout sur l'agent et comment on switch. Finalement, moi, ce que je retiens un peu quand j'en discute avec mes clients ou avec mes collègues, c'est le marché qui cible. Salesforce, avant, il ciblait les éditeurs de logiciels. Leur concurrent, c'est Microsoft, Oracle, Enco. Là, avec AgentForce, ils visent carrément ce qu'ils appellent le digital labor. C'est le marché des employés. In fine, c'est comment on va se mettre en concurrence avec des boîtes d'intérim, avec des boîtes qui font du service client, du marketing. Quand même, on change complètement de marché. On passe d'un marché pur logiciel à un marché de l'emploi. Et c'est quand même dix fois plus large. Donc, je pense que vous comprenez un peu l'intérêt business de ce positionnement. Et donc, c'est ça qui est assez fou, je trouve.

  • Speaker #1

    Oui, clairement. Après, concernant ces... On va dire qu'il y a une... grosse pression qui est, c'est la façon dont je ressens les choses parce que toi tu es plutôt impliqué dans certains projets AgentForce, Salim, moi de mon côté, d'un point de vue extérieur, et je pense que c'est aussi le cas de Sébastien et Aviva, on ressent un peu cette pression exercée par Salesforce pour adopter et faire adopter cette solution AgentForce, et on a l'impression que, c'est pas une impression au final, c'est que... C'est soit ça, soit on adopte cette solution concrètement dans les mois et les années à venir, soit on se retrouve dépassé et rétrogradé dans le monde du consulting ou des partenariats avec Salesforce. Si les partenaires Salesforce n'adoptent pas AgentForce, ils se retrouveront moins privilégiés. Et si les consultants Salesforce ne se forment pas à AgentForce, ils se retrouveront, on va dire, un peu sous la pile de CV pour être staffés dans des projets spécifiques dédiés à AgentForce qui ont vocation à se multiplier dans les mois et les années à venir. Donc en fait, on ressent un peu cette pression dans tout l'environnement Salesforce, consultants, partenaires, commerciaux, etc. Donc on a cette adoption à faire, un peu un marché forcé, ça fait beaucoup de force dans la même phrase. Et du coup voilà comment je ressens les choses. C'est vrai que depuis un an, enfin même un peu plus d'un an, on parlait de AI spécialiste. Là on parle de plus en plus d'agent de force comme étant l'outil privilégié par Salesforce pour pousser ses agents autonomes. Là on se dit vraiment, si on rate ce train, j'ai l'impression d'être un influenceur en crypto, si on rate ce train, voilà on... on aura l'impression de passer à côté d'une poursuite de carrière au sein de Salesforce même, en fait.

  • Speaker #3

    Attends, mais Salim, toi, tu penses vraiment que ça veut dire... C'est la première fois que j'entends cette vision que c'est sur le marché du travail qu'ils ont envie de se positionner. Tu penses que du coup, en fait, les consultants, tous ceux qui sont développeurs Salesforce, ils vont développer plus Agents de Force ou ils vont juste être plus spécialisés dans l'implémentation d'Agents de Force Parce que je comprends... Enfin, je termine, je comprends qu'il y a plein... Il y a plein de choses bêtes qu'aujourd'hui les utilisateurs de Salesforce font, ça veut dire qu'ils vont rester des heures à refaire les mêmes manies. Et je pense que s'il y a un agent IA qui va dire qu'il lit les emails... qui va updater les opportunités derrière, enfin des trucs, ou du SAV qui va répondre automatiquement. J'entends, mais ça veut dire, est-ce que tu vois la chose comme il va y avoir, genre aujourd'hui, il y a 100 développeurs Salesforce, 100 utilisateurs Salesforce, tu vois qu'il y a beaucoup moins d'utilisateurs Salesforce et beaucoup moins de développeurs, ou c'est que les utilisateurs, parce que pour moi, c'était que les utilisateurs Salesforce qui allaient être aidés, pas forcément les devs.

  • Speaker #2

    Tu as les trois carrément, parce que tu as ce qui va être Customer Facing, donc ton client final, Donc, ton client final, j'ai une boîte qui a du service client. Et donc, au lieu d'avoir des utilisateurs lambda, je vais répondre directement. Après, tu vas avoir une sorte d'assistance, ce qu'ils appellent AgentForce for Employees, où tu vas aider ton admin, ta personne qui est déjà... en charge de rentrer dans Salesforce. Donc, il y en a un où il ne voit même pas Salesforce. Finalement, ça va être sur un site. Tu auras un petit peu trois types d'engagement, entre guillemets. Tu as le premier, Customer Facing, avec celui qui ne voit pas du tout la plateforme, c'est le client final. Et du coup, c'est transparent pour lui ce qui se passe derrière et on va répondre un peu dans un modèle de chatbot amélioré. Tu as l'agent humain, celui qui va être admin Salesforce, celui qui va le piloter. Et où AgentForce va avoir un peu... Ce rôle de copilote, en lui faisant une synthèse, et c'est ce que tu disais, les tâches bêtes, il va pouvoir lui accélérer le temps. Et tu as aussi le boulot sur les développeurs. Ça, ça existe aussi. Comment on fait gagner du temps aux développeurs en facilitant leurs tâches et leurs activités Donc, tu as un peu, en théorie et en pratique, une multiplicité d'interacteurs. Est-ce que ça veut dire qu'il ne faudra plus d'adultes et qu'il ne faudra plus de... développeur je ne pense pas non mais la reprise ça va changer un peu le boulot ouais le job va changer clairement t'es censé grâce à ça te concentrer sur les tâches à valeur ajoutée et plus sur les tâches de stratégie,

  • Speaker #3

    de réflexion j'imagine stratégie,

  • Speaker #2

    réflexion c'est plutôt qui tape les synthèses d'email les tests classe pour les tests classe on a gagné un grand truc Il n'y aura pas que des penseurs, mais c'est plutôt pour faciliter. En fait, c'est un peu le classique de l'IA. La question que tout le monde se pose, est-ce que l'IA va remplacer tous les jobs La réponse est non, ça ne remplacera pas tout le monde. Maintenant, ça va réduire les tâches à faible valeur pour améliorer l'activité. Après, il faut aussi être honnête, il y a quand même toujours des employés qui n'ont que des tâches à faible valeur à jouer. on peut penser à des centres de services ou des call centers, ça va supprimer cette activité-là. Alors on peut toujours les resourcer et les reskiller par exemple, mais c'est vrai qu'il y a des activités qui risquent de disparaître. La totalité non évidemment, mais ça va se recentrer sur des choses un peu plus métier. En fait tu le vois quand tu fais des projets à GeonForce, c'est pas la technique le plus complexe, le plus complexe c'est de réfléchir à quoi ça sert. où tu le mets, quelles sont les données que tu vas connecter. Tu as un gros sujet sur les données. Tous les gens qui bossent sur les données, ils vont garder leur boulot, ils vont même en avoir plus parce qu'un agent force, c'est super, mais s'ils tapent sur des données qui sont foireuses, ils ne marchent pas. Donc, tu as encore du boulot de ce côté-là. Et côté partenaire, tout ça te sert à quelque chose. Évidemment, tout ce qui va être change, ça va être énorme parce que tout d'un coup, on va balancer dans l'équipe. On va dire... écoutez, vous avez trois collègues et puis maintenant, il y aura un quatrième qui sera un agent. C'est intérêt à avoir éduqué les gens, les avoir formés au techno, à savoir comment ça marche, pour qu'ils soient pas trop récalcitrants, sinon ça va vite mal se passer. Donc, il y a vraiment des sujets, des réflexions sur comment t'intègres ça, quel rôle tu lui donnes, est-ce qu'il a les mêmes droits, pas droits En fait, c'est un peu un utilisateur comme un autre. Il faut réfléchir à ce qu'il aura le droit de faire.

  • Speaker #1

    Un onboarding aussi potentiellement pour les autres utilisateurs, les vrais cette fois-ci

  • Speaker #2

    Exactement. Ceux qui vont devoir bosser avec, il y a un truc qui est très important dans les Juneforce, c'est tout ce qui est les garde-fous. Il a le droit de faire certains trucs et pas d'autres, comme un employé classique. Par exemple, s'il fait des remboursements, on va dire, si tu es en dessous de 1000 euros, tu rembourses automatiquement. Par contre, si c'est une somme supérieure, tu dois passer par un humain et lui faire valider. Donc ça, la techno est assez bien faite, il le fait assez simplement. Mais du coup, il faut... éduquer et former les gens pour savoir ce qu'il a le droit et ce qu'il n'a pas de faire, quand est-ce qu'eux vont interagir, quand est-ce qu'ils peuvent le laisser en autonomie sans stresser. Donc il y a vraiment, comme tu en marquerais quelqu'un, comment on peut creuser ça quoi

  • Speaker #0

    Ouais, déjà moi en termes de change, moi j'ai vu sur le projet des gens, des utilisateurs, qui étaient réticents à juste alimenter Salesforce parce qu'ils trouvent ça trop transparent, pas parce que c'est chiant Mais parce que c'est la mentalité des gens, c'est trop transparent. J'aime pas que les gens voient tout ce que je fais.

  • Speaker #2

    C'est du flicage, en tant que genre. Alors moi,

  • Speaker #0

    c'est juste parce que je suis gentil. Voilà Bah oui, il y a les gens. Mais imaginons, tu vois, cette personne-là qui est déjà à ce point-là, genre, la technologie, j'aime pas. Maintenant, tu vas lui expliquer que maintenant, son collègue, c'est un robot. Je dirais,

  • Speaker #1

    bah, bravo Ouais, clairement, il y aura beaucoup de résistance.

  • Speaker #2

    Oui, c'est pour ça qu'il t'a intérêt à embarquer tout le monde dès le départ, à faire de la pédagogie, à expliquer qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il ne fait pas, et surtout, démystifier le truc. Parce que les gens s'imaginent, quand tu leur dis à Jean que c'est un robot qui va marcher et qui va venir se faire leur boulot à leur place, on n'est pas sur ça. Oui, un peu.

  • Speaker #0

    Voilà, après, ça va.

  • Speaker #2

    Oui, taille.

  • Speaker #1

    Il y a aussi un gros marché qui se développe parmi les... les formateurs, à chaque fois qu'il y a une nouvelle techno qui apparaît, j'ai l'impression, enfin c'est pas une impression, au final c'est concret, sur LinkedIn, on voit pop des formateurs spécialistes, au début c'était spécialistes chat GPT, spécialistes cloud, là on a des spécialistes qui proposent, je sais pas quelle est la qualité de leur formation, mais qui proposent ces formations en ligne, ou en physique,

  • Speaker #0

    en ligne.

  • Speaker #1

    Mais voilà, en tout cas, il y en a de plus en plus parce qu'ils savent que c'est très demandé. Et il y en a un, en l'occurrence, qui est américain, qui au début se positionnait sur des formations en vue d'obtenir des certifications Salesforce, donc des certifications basiques, Sales Service Cloud, et qui a aujourd'hui, je ne vais pas citer son nom, qui s'est complètement repositionné et qui s'est exclusivement, du coup, consacré aux formations AgentForce. Donc, c'est des formations tarifées, il y a un certain pricing derrière. qui est plus ou moins intéressant, j'ai pas non plus mis le nez dedans, mais c'est pas le seul à faire ça, c'est le seul dont je me souviens mais je sais que c'est pas le seul à faire ça, et du coup vraiment il y a une réelle appétence, il y a comme un appel d'air qui se fait sur Agent Force, côté formateur, mais également côté développeur. Développeur pourquoi Parce que il y a quelques semaines, et Salim tu nous en diras sûrement plus à ce sujet là, c'est concernant le... la sortie ou la mise en ligne d'Agent Exchange. Agent Exchange, c'est la nouvelle place de marché dédiée aux agents IA et qui peuvent être intégrés en environnement Salesforce. Du coup, il y a beaucoup, je pense, de développeurs qui vont mettre en place des applications. Il y a des applications déjà existantes pour servir d'assistants commerciaux, pour maximiser la productivité des équipes de vente, des choses comme ça. Moi, je vois vraiment ces deux en parallèle de la communication et du marketing poussif que nous fait Salesforce sur AgentForce, derrière, on a tous les autres qui suivent le mouvement, les formateurs d'un côté ou les apprentis formateurs et les développeurs qui veulent un peu leur petite part du gâteau en proposant des applications sur l'AgentForce Exchange ou l'AgentExchange.

  • Speaker #2

    Oui, partagez mon opinion qui n'engage à... par contre je trouve ça assez ouf c'est une plateforme type Apple Store où tu peux aller mettre tes agents donc concrètement toi tu y vas et tu achètes un agent t'embauches un mec, t'embauches un agent et tu vas le mettre sur ta plateforme alors c'est encore le début et donc c'est pas plug and play il y a encore du retravail mais à terme ce sera peut-être qu'on va se ramener à la question ouais mais avec des agents c'est le même concept mais tu dis je veux un agent sales qui peut faire ça et que je plug sur mon système et à terme on va peut-être se retrouver entre est-ce que j'embauche un mec ou est-ce que je vais sur la backchain et je clique et je prends un robot clairement c'est un peu un site d'embauche bientôt alors là c'est encore le début du coup on partage juste des briques derrière il faut le reconstruire ton agent il n'est pas automatisé mais je suis certain que dans quelques temps tu peux tu pourras aller et recruter ton patron de service client ou ton employé du marketing. Et ça, c'est assez ouf. Je serai développeur,

  • Speaker #0

    je serai développeur.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #3

    Vous me donnez envie, là.

  • Speaker #2

    Tu développes une fois l'agent, tu le vends partout. Ça veut dire,

  • Speaker #3

    là, je vois les cas d'usage et tout. Je pense à plein de cas d'usage qui peuvent être simplifiés. Là, je vois des connecteurs sur WordPress, sur Shopify. Ça peut être super intéressant.

  • Speaker #2

    Une fois que tu as... construit la chose d'une fois c'est sûr que c'est réutilisable on a tous ces sujets là quand tu as un projet généralement il ya des choses qui sont industrialisables et donc ça ça peut être assez intéressant après sur la formation mon avis c'est qu'en termes de business c'est sûr c'est un excellent plan Tout le monde en parle tu vas sur le sujet du moment et ils ont super raison c'est ça après moi je vous donne mon avis projet techniquement il n'y a rien de nouveau donc c'est ça que je trouve un peu surprenant et jeune force tu as des flots donc des trucs qui existent depuis toujours de l'apex ça existe depuis toujours et derrière ok il ya du prompt mais d'heures tu vas sur très laid tu la prends tout seul donc moi mon retour c'est honnêtement je sais pas ce qui vous apprend techniquement après il peut vous apprendre un peu la plateforme mais ça tu vas sur très laid ça fait dix ans que le tourne tu pourrais l'apprendre tout seul. Donc, je ne suis pas certain qu'il y ait une super valeur ajoutée pour passer les certifs. Oui, en termes de formation, finalement, si tu as un bon développeur, il peut l'apprendre tout seul. Il y a un petit temps de passage parce que ce n'est pas la même plateforme. Mais honnêtement, de là à aller te faire une formation pendant trois mois, je ne suis pas certain. Non,

  • Speaker #3

    mais tout, si tu dis ça, ça aligne tout. Tu peux apprendre tout seul sur Tralade, mais ça n'empêche pas qu'il y a quand même... des formations. Moi, je comprends qu'il y a des gens qui n'ont pas les nerfs de se plonger dans ta lettre, qui peuvent préférer parler à une personne et qui leur expliquent comment ça se passe.

  • Speaker #2

    Tu vois Ça, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    C'est bien fait. On est sur un système où c'est bien appris, tu as une belle plateforme et tout, mais je pense qu'il y a toujours des gens qui voudront parler à des humains pour se faire former.

  • Speaker #2

    Ça fait raison.

  • Speaker #0

    Surtout pour cet aspect-là. Parce que là, on dit clairement aux gens, tu vas avoir de l'IA qui va faire ton taf. Et ça fait flipper ceux qui ne sont pas initiés quand même, non seulement à la tech, mais aussi au moins de l'IA. C'est là, le travail de l'accompagnement qu'on dit tout à l'heure, le change, c'est là, je pense, c'est le point du projet. C'est ça, ouais. Il faut quelqu'un pour leur assurer que, attention, c'est pas que tu vas cliquer, tout va se passer automatiquement, tout va bouger devant toi comme ça. C'est pas forcément ça qui va se passer.

  • Speaker #2

    T'as raison. Moi, le seul... Le sujet qui me rend sceptique, c'est quand même qu'être jeune force. La vraie problématique et la vraie complexité, elle est plutôt métier. C'est qu'est-ce que tu vas en faire La partie technique, c'est le force. Et toute cette partie, OK, quels sont les use cases Comment je les priorise, etc. C'est là où il y a un vrai besoin de se plonger dedans et de savoir ce que tu peux faire, ce que tu ne peux pas faire. Et c'est ça que je ne suis pas sûr que tu trouves dans les formations parce que c'est le truc qui sont... très lié à des industries, tu ne fais pas un agent pareil dans le retail que dans la banque, etc. Je ne suis pas sûr que dans ta formation, tu l'apprennes. C'est une connaissance du métier, c'est une connaissance fine des enjeux de tes clients que tu as besoin d'avoir. En fait, la plateforme, c'est super facile. Moi, j'en fais des agents.

  • Speaker #0

    Justement, je pense que le plus important de la formation, mis à part ça, c'est vraiment expliquer un concept de base. Le concept de base, ce n'est pas que tu es entrepreneur ou alors que tu... construire des process, c'est déjà mettre à plat tes process. Quelles sont les choses automatisées, entre guillemets, répétitives Tout ce que tu peux schématiser, en fait, potentiellement, tu peux l'optimiser. Tu peux l'optimiser et ensuite, tu peux l'automatiser, voire supprimer. Tu te rends compte, est-ce que tu ne supprimes pas Oui,

  • Speaker #2

    mais du coup,

  • Speaker #0

    ce n'est plus le même public.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai, j'ai peut-être un regard biaisé. Un développeur,

  • Speaker #3

    je suis d'accord qu'il va faire ça. Si je me chauffe, je me pose sur Tralette, je ne vais pas aller payer une formation, mais je pense que des clients finaux, un utilisateur qui est déjà sur Salesforce et qui a envie de découvrir, je pense que ça peut être intéressant.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. Après, la question, c'est qu'est-ce qui se trouve à l'intérieur, vu que maintenant, c'est assez nouveau, et que je pense que ce sont des choses qui vont évoluer, peut-être attendre trois, six mois, le temps qu'on ait un vrai contenu, et les feedbacks, etc. Je pense que ce serait plus pertinent d'attendre un peu... pour en faire une qui soit plus complète quoi.

  • Speaker #2

    Oui mais t'as un effet de mode si t'arrives le premier. tu seras le référent, alors que si tu arrives six mois et qu'il y en a 50, tu seras moins pertinent, enfin moins visible, plus que pertinent. Et c'est là où c'est un peu comme Agile Force. C'est les premiers. Maintenant, il y a ServiceNin, il y a Microsoft qui arrivent. On retiendra Agile Force à l'heure actuelle parce que c'est les premiers qui se sont positionnés. Ils se sont positionnés vite. Ils ont sorti un produit en deux mois entre Dreamforce et Agile

  • Speaker #3

    Force. Ils ne l'avaient pas développé avant

  • Speaker #2

    Ah si, ils avaient commencé, mais entre le moment où ils l'ont annoncé à Dreamforce et le moment où le truc a été GA, il y avait deux mois. C'était extraordinairement rapide. Et ça a permis de lancer la dynamique. En vrai, au début, il y avait plein de features qui n'étaient pas totalement terminées. Tu voulais faire un truc, bon, ce n'était pas encore GA, donc il fallait faire un petit contournement. Mais ça a permis de lancer le truc, d'avoir une communauté, de mobiliser les clients, de les intéresser. C'est quand même une approche commerciale. Alors oui, gros sabot.

  • Speaker #3

    Les pages de sexe,

  • Speaker #0

    c'est le cas. Voilà.

  • Speaker #3

    Ils ont toujours fait comme ça. Moi, je me rappelle la première fois qu'ils avaient lancé, j'étais partie sur le help et il y avait un genre de force qui était là, mais il n'y avait aucun rapport il y a trois mois. Je ne sais pas s'il était clair à moi. Non, c'était une recherche rapide.

  • Speaker #0

    Il y avait des trucs au caravane.

  • Speaker #3

    Moi, j'étais très déçue. J'ai fait un renouvelé de l'expérience.

  • Speaker #0

    Non, ouais, bah... Ouais. C'était ma prochaine question, parce que là, c'est dans le fil. C'est qu'un des use cases que tu as présenté justement, Salim, d'AgentForce pour l'instant, c'est potentiellement d'aider les customers en service. Mais aujourd'hui, non seulement sur le site officiel de Salesforce, il est en place et les retours sont très négatifs. Et j'ai aussi vendre plusieurs clients qui l'utilisent. Les retours sont aussi assez négatifs. Pour le client, on peut dire que l'implémentation est foirée, mais pour Salesforce même, qu'est-ce qui se passe Est-ce que toi, tu as des bons exemples

  • Speaker #2

    Oui, j'ai des bons exemples. Les clients, je vais dire ce que j'ai vu. Sur Salesforce, j'ai l'impression que ça marche quand même mieux. Mais en fait, c'est très simple. Est-ce que tu as des bonnes datas derrière ou pas Parce que c'est comme un LLM. Est-ce que tu lui poses les bonnes questions Est-ce que tu as les bonnes données Point à la ligne. C'est un peu ça le... le sujet derrière, la solution, elle fonctionne. Il sait te ressortir les bons trucs, il sait aller interagir dans Salesforce. Maintenant, moi, ce que je vois chez les clients, c'est que ton org, elle n'est pas forcément propre, ta knowledge base, elle n'est pas bonne, parfois les réponses... Parce qu'en fait, tu peux faire du rag, donc tu peux même lui envoyer des formats différents, il arrive. Maintenant, si ton truc, il n'est pas clair, que dans un article, tu dis ça, et puis dans l'autre, parce que Intel a changé, tu dis le contraire. effectivement tu vas avoir des choses différentes je vais mettre de côté le sujet de Salesforce le help de Salesforce je sais qu'ils l'ont lancé au début super rapidement et aujourd'hui ils communiquent sur le fait que ça marche super bien honnêtement je saurais pas vous dire si c'est de la com, si ils l'ont amélioré, si le truc tourne ou pas

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, entre nous, je sais pas, mais j'ai toujours pensé que Salesforce utilisait un mauvais CRM. Parce que franchement, tu te présentes à chacun de leurs events, t'es en doublon, ils ont pas les bonnes infos sur toi, ouais, ils ont pas un sac coupé, mais... Moi, même moi,

  • Speaker #3

    quand j'étais le premier sur la grille...

  • Speaker #0

    C'est encore donné la plus belle chose. C'est ça, c'est vrai. À chaque événement, ils ont un problème avec le badge. Moi,

  • Speaker #3

    je me rappelle que j'étais chez Salesforce à Paris. Quand j'étais chez Salesforce à Paris, je voulais trop voir comment ils utilisaient Salesforce et j'étais choquée parce que c'était nul. Genre, il y avait une page de ligne normale. Je croyais qu'il y avait des features de malade et tout. Mais en fait, pas du tout.

  • Speaker #2

    T'as été déçue

  • Speaker #3

    Ouais, j'étais trop déçue. Ils avaient juste une diz de... Bref, c'était très basique.

  • Speaker #0

    La légende raconte qu'il n'y a que Benioff qui l'utilise bien, parce que tu es sur 10 ans, il l'a implémenté Einstein il y a très longtemps pour lui-même, comme pour faire du brainstorming. Avant la traîne de Charlie Pitty, quand ils ont sorti Einstein, pour lui c'était, ouais, maintenant je communique avec lui au meeting, je prends des décisions avec lui, machin, peut-être. Des fois ça explique le truc bizarre qui nous sort à la fin, mais bon, si c'est Nia qui lui a suggéré ça... Ouais, vas-y. Bon,

  • Speaker #2

    pardon.

  • Speaker #0

    Transforme les mascottes en robots pour faire flipper tout le monde. Quoi C'est bien.

  • Speaker #2

    Du coup, quand même, je réponds à ta question. Est-ce que je l'ai vue chez les clients Moi, j'ai vu des clients où ça marche. T'as dit oui. J'ai eu des clients où ça marche parce que...

  • Speaker #3

    La question, ce n'est même pas est-ce que ça marche, moi, je trouve, c'est est-ce qu'il y a une valeur ajoutée sur du temps qui a été gagné, etc. Tu vois vraiment ça

  • Speaker #2

    De manière très concrète, les clients veulent te le foutre partout et entre nous, ce n'est pas pertinent partout. Parce que pour des sujets basiques, moi, j'ai l'exemple d'un client dans le retail. Alors, c'est... pas très compliqué à faire le business case. Ils ont à peu près 200 000 demandes par an de clients qui leur écrivent. Pour une demande simple, ça prend 5 minutes à un humain. Pour une demande complexe où il faut aller dans 15 systèmes, on va y penser à un remboursement, il faut aller vérifier ce que tu as commandé, il faut aller cliquer là, il faut aller dans le ERP, il faut faire une demande. Ça prend à peu près 20 minutes à un humain. Puis en plus, bon, il faut... Garder en tête que le personnel qui travaille dans les services clients, ça tourne beaucoup, ils ne sont pas toujours bien formés. Donc parfois, même ça se perd.

  • Speaker #3

    Et il va croire.

  • Speaker #2

    Tu vois, si tu prends des cases de problématiques complexes, tu gagnes un temps parce que le truc, il te le fait automatiquement en 30 secondes. Déjà, d'une, là où il y a la durée, puis il y a le temps. Le délai de réponse. Parce que d'une, il te répond instantanément. Là où un humain, il va apprendre, il faut qu'il affecte, puis il va te mettre trois jours parce qu'il n'aura pas traité le truc. Sur la tâche en elle-même, oui, tu connectes des systèmes. Tant que c'est aller chercher des infos, remplir des infos, échanger avec un client, oui. Après, il ne faut pas le mettre partout. Moi, j'ai vu des clients où la demande, c'était tu peux me donner l'horaire du magasin et est-ce que mon magasin, il est ouvert le dimanche Bon, tu n'as pas besoin de mettre un agent super intelligent pour faire ça. Tu mets un chatbot basique, il le fait. Donc vraiment, je reviens à ce que je disais au début, tout est à qualifier. Oui, ça marche et oui, tu peux avoir de la valeur ajoutée, mais en réfléchissant où tu le mets. Si tu le mets partout, oui, effectivement, ça va vite te coûter cher. Et si c'est pour faire des trucs extrêmement basiques, non, il n'y a pas d'intérêt.

  • Speaker #3

    Et du coup, c'est quoi les use cases que tu as implémentés qui sont stylés

  • Speaker #2

    Pas du service client. Ben si, si, parce que tu sais pourquoi Il y a un petit peu de sales, mais c'est le premier truc qui a été dispo, le service client. Parce que tu vois le pain point, il est clair, on reçoit des centaines de demandes.

  • Speaker #3

    C'est vrai que la perte de temps, elle est monstrueuse. Là-bas, tu as l'impression que tu fais dix fois la même chose et que tu dois répéter les mêmes questions.

  • Speaker #0

    C'est sûr. À partir du moment où il y a un robot, où il y a un chatbot, en fait, tu mets de l'IA, potentiellement, tu dis, ah ben, tu mets de l'IA. C'est plus intelligent. On est tous déjà prêts en fait, les utilisateurs finaux, les clients sont déjà prêts à parler à un robot. Il suffit juste de le rendre un peu plus intelligent.

  • Speaker #2

    Ouais. Ça c'est un autre sujet, mais alors je prends les questions une à une. Il y a quand même beaucoup de clients que ça fait chier de parler à un chatbot qui répond à côté. Ça c'est un truc que tu revois souvent. D'autres trucs qui se mépent... D'où l'IA, oui, mais d'où le fait d'avoir quelque chose de pertinent parce que... Toi comme moi, quand tu écris un chatbot et qu'il te répond à côté, que tu lui dis j'ai un problème avec ma box et qu'il te répond super et que tu as envie de le trouver dans le mur et que tu parles avec lui un quart d'heure et qu'après il te transfère à un humain et que tu as perdu un quart d'heure, c'est bon. Donc je pense qu'il y a quand même un vrai sujet à bien convaincre les utilisateurs, mais après ça dépend des industries. Je pense que tu es moins récalcitrant à parler à un bot quand tu as un problème avec ta box ou un truc de base. que quand tu vas acheter un collier à 50 000 balles pour ton mariage. Là, bon, t'as intérêt à avoir un truc un peu plus sophistiqué. Donc,

  • Speaker #0

    il y a une question aussi de... Normalement, en théorie, t'as un domoéthique pour faire ça.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, normalement, quand tu vas acheter une bague de luxe, t'as envie qu'il y ait un humain derrière, ou alors que ton robot soit très intelligent et qu'il comprenne tout ce que tu lui dis. T'as pas à le répéter trois fois, toi, déjà, ça te pique de lâcher autant pour une bague. Mais Use Case aujourd'hui, moi ce que j'ai vu, ils sont quand même plutôt service client parce que le Big Case, il est rapide, tu gagnes de l'argent concrètement. Tu vois, avant ça me prenait une heure, maintenant ça me prend tant. Tu comprends facilement, c'est plus simple à implémenter parce que c'est du réactif, c'est le client qui te contacte, ce n'est pas du proactif. Évidemment, c'est la next step où ton agent, il va faire des actions, il va réfléchir et puis à un moment, il va se dire… peut-être que je devrais contacter telle personne. Là, on est plutôt dans le sales. Tu vois, il va pouvoir préqualifier tes leads et ensuite aller contacter directement parce qu'il sent que c'est le bon moment, etc. Mais là, ça nécessite quand même... une confiance dans la solution.

  • Speaker #0

    puisque tu lui laisses les manettes que les clients vont avoir un peu plus de temps, vont nécessiter un peu plus de temps à adopter. Alors que dans le service client, c'est basique, j'ai beaucoup trop de demandes, je n'arrive pas à y répondre, là je mets quelqu'un qui va réussir à me le faire à ma place. Je dis quelqu'un, mais je mets un agent. Surtout service client, notamment pour des actions complexes avec du remboursement, c'est un peu plus difficile. avec de la vérification, tout ce qui intègre plein de systèmes et qui est toujours très chiant pour l'humain. Je l'ai vu aussi sur du conseiller au comté. Tu sais, imaginons... Non, mais tu veux faire des travaux...

  • Speaker #1

    On allait la voir

  • Speaker #0

    Tu veux faire des travaux, tu vas... Tu vas écrire à ton agent en lui disant, écoute, moi, je veux refaire ma salle de bain. Comment ça marche Et puis lui, il va être capable de te dire, il te faudrait une perceuse, des clous, du plâtre. Voilà tout ce qu'il te faudrait. Croiseux,

  • Speaker #1

    de la farine,

  • Speaker #0

    des trucs comme ça. Oui, blague à part, tu peux le faire aussi sur ce sujet-là. Je veux faire un gâteau, il te donne la liste. Et en plus de ça, il te... précommande les trucs. Alors, sur les oeufs et la farine, l'intérêt de le précommander, je ne suis pas sûr, mais sur des outils, il va te dire il faudrait tel type de placo. Et en plus de ça, je vois que tu habites à Nevalois-Péret, il est dispo au magasin de Jeannevilliers. Est-ce que tu veux que je te le réserve C'est assez cool. En fait, c'est un petit peu un concierge augmenté qui te fait des recours. Dans le luxe, alors ce n'est pas encore déployé, mais j'ai vu dans le luxe... des sujets de reco, tu lui dis voilà, j'aime bien tel vêtement et un peu ton conseiller qui va dire bah écoute, ça ça pourrait aller avec regarde telle collection ça va bien ensemble etc. ça c'est plus sympa c'est moins en fait c'est plus sexy c'est sûr ça c'est des trucs sympas

  • Speaker #2

    Genre là, à la fin de notre conversation, je pense que je vais aller regarder et je vais commencer à m'y mettre.

  • Speaker #0

    C'est ça. C'est sûr qu'il y a plein d'explications pour voir qu'est-ce qu'ils ont.

  • Speaker #1

    Effectivement, pour l'instant, tout ce qui est pour les clients finaux, j'ai l'impression qu'au final, ça va être juste rendre plus intelligente des fonctions qu'on connaît tous un peu déjà. Oui,

  • Speaker #2

    je connais déjà.

  • Speaker #1

    Par exemple, vous avez acheté ça, voilà ce qui pourrait vous plaire. Pour l'instant, c'est de l'algo pur, mais... s'il y a une IA derrière ça peut être encore plus pertinent Amtos qui va être touch point aussi envoyer des sims et des OSS parce que il te fait la recon mais l'intérêt derrière c'est de de vraiment créer un lead ouais il te crée un lead il te le met dans Salesforce en t'expliquant que

  • Speaker #0

    cette personne elle peut être intéressée par ça ça ça ça ça et puis derrière il va te faciliter le process d'achat et donc on peut penser que vu que t'auras juste à lui répondre ok j'achète Il y a encore des histoires de paiement, évidemment tu ne peux pas payer en disant juste OK, mais ils te facilitent le process d'achat et donc commercialement, tu as un vrai use case pour l'entreprise.

  • Speaker #2

    Et c'est quoi les coûts qu'ils ont associés Là tu parles de mise en place de ce genre de choses. Aujourd'hui, combien c'est d'heures de développement ou de coûts chez Salesforce

  • Speaker #0

    Il y a un prix public qui est officiellement à 2$ la conversation. qui est, peu importe ce que tu lui demandes, 12€, je reviens à ce que je disais tout à l'heure, t'as intérêt à lui faire faire des usages. À lui demander des trucs intéressants. Ouais, parce que sinon tu vas payer quand même le même prix. Et le prix public c'est 2$ par conversation, une conversation c'est une fenêtre de 24h. Donc pendant

  • Speaker #2

    24h tu lui demandes des trucs. Mais c'est que un user Ça veut dire que moi pour une deuxième session sur mon ordinateur ça me considère le même user Ou c'est ce genre de choses Oui,

  • Speaker #3

    très précis là.

  • Speaker #0

    Alors, si tout va sur ton ordinateur, je pense que ça marche. Maintenant, je ne préfère pas dire de baiser. En tout cas, normalement, c'est un user, un user 24 heures, 2 euros.

  • Speaker #2

    Donc ça, c'est quand tu l'utilises en tant que client final, quoi. Oui, c'est ça. Si tu l'utilises en interne, ça veut dire si tu l'utilises en interne via des flows et tout, à chaque fois qu'il va y avoir un appel à...

  • Speaker #0

    Alors là, il y a une autre tarification, mais qui est en train de bouger. Et franchement, je ne pourrais pas... vous la partagez parce que je ne la connais pas moi-même déjà les techniques de Salesforce ils sont complexes ouais ça c'est clair je ne la connais pas non plus voilà donc le prix grand public sur le customer facing c'est 2$ la conversation évidemment si tu en achètes à l'avance tu as des prix négociés et il y a d'autres sujets d'où l'intérêt c'est ce que je disais de lui demander des choses où il interagit dans plein de systèmes où en fait ça te coûterait plus de 2$ le use case il est très basique Est-ce que pour faire la même chose, ça me coûte plus de 2 dollars ou pas

  • Speaker #2

    Et les coûts d'implémentation, parce que souvent, c'est génial, mais après, tu as les coûts d'implémentation qui coûtent cher. Tu as des ordres d'idées ou pas du tout

  • Speaker #0

    Ça dépend de ton budget.

  • Speaker #2

    Mais en tout cas,

  • Speaker #0

    je te donne en termes de temps. En un mois, tu peux mettre en place un use case en prod d'une complexité moyenne. C'est-à-dire qui se... qui se connecte à un ou deux systèmes et qui va du coup interagir dans Salesforce et à l'extérieur de Salesforce.

  • Speaker #1

    Mais en un mois, le plus long, c'est quoi C'est la construction ou alors justement la recherche, le travail avec le business La réflexion,

  • Speaker #2

    quoi,

  • Speaker #0

    ouais. Pour l'avoir fait, c'est un tiers, un tiers, un tiers, un tiers de réflexion, un tiers de construction, puis un tiers d'itération parce que c'est du prompt. forcément battu au début va pas réagir comme tu sais quand même chat gpt tabou pensé à tout ce que c'est des instructions que tu mets en naturel alors après il ya des actions etc mais tu auras pas pensé au cas où tu vas va lui parler de son concurrent ou le client va lui poser une question un peu tordue et donc c'est en le testant que tu pourras tu pourras itérer l'améliorer donc vraiment il ya un tiers de technique pure donc c'est pas vraiment un mois Mon ressenti à date, après quand tu passeras à l'échelle, il y aura peut-être d'autres problématiques et tu vas te connecter à 50 systèmes un peu plus complexes, mais ce n'est pas un projet très complexe techniquement. Il y a un vrai besoin d'alignement en amont, comprendre ce que tu en fais et c'est ça. Un tiers du temps, d'abord on se dit quel use case on va faire, quel use case on va faire et comment on mesure que ça me ramène de l'argent. Est-ce que j'y vais sur ça, est-ce que je n'y vais pas sur ça Et donc ça c'est quand même un tiers du temps et ça a un coût parce que soit tu le fais tout seul, soit tu te fais accompagner.

  • Speaker #1

    On a bien abordé la partie utilisateur final, mais maintenant, ce qu'il en est pour les utilisateurs de Salesforce même, donc les sales et les admins, alors moi, j'imagine un truc, c'est que, je ne sais pas si c'est pour l'instant en tout cas, ou alors en tout cas, est-ce que ça sert à se concrétiser comme ça On se souvient des prédictions Einstein, donc voilà, ce lead, il a plus de chances de l'avoir, donc contacte-le, maintenant on peut très bien... Voilà le scoring, on peut très bien l'utiliser maintenant, on peut très bien imaginer que maintenant, c'est force, ton agent te dit, bah là, la next action, c'est envoyer un follow-up, tu cliques sur OK, et là, tac, ça lui envoie le follow-up automatiquement.

  • Speaker #0

    Il n'est même pas sur OK, il le fait tout seul.

  • Speaker #1

    Ouais, mais là, c'est un peu, bah, ça, oui, après, moi, j'ai même gardé un contrôle pour l'instant, on peut arrêter de faire flipper les gens. Mais particulièrement, il y a de la communication en externe, pour l'instant, moi, j'ai des agents, j'ai des trucs perso aussi. les agents aussi, tu contrôles tout, sinon là c'est assez risqué. Donc à terme,

  • Speaker #0

    c'est le travail de sales,

  • Speaker #1

    tous les arguments des sales qui ne veulent pas remplir le CRM parce que c'est chiant, ou autre, au final, tu commences le matin, tu as une liste d'actions, de potentielles actions que le CRM peut faire pour toi, tu fais juste ok ok ok ok, et après tu fais ce que tu veux de ta journée. J'imagine ça comme ça. Est-ce qu'on a des exemples concrets ou pas encore Non, parce que tu as vu beaucoup de services, pas forcément de sales encore.

  • Speaker #0

    Aviva, raconte-nous.

  • Speaker #2

    Moi, j'arrive pas à me projeter du tout de comment ça va être. Après, c'est sûr qu'aujourd'hui, on essaye vraiment d'accompagner. Je vois que ce qui marche, c'est d'accompagner les sales pour... qu'ils aient le moins de réflexion à faire et qu'ils sont au maximum dans la rentabilité. C'est-à-dire, on va leur dire, voilà, ça, c'est les leads que tu dois traiter en priorité. On va leur mettre, par exemple, ce qui marche assez bien, c'est les omnichannels pour la distribution de leads ou de cases. Voilà, en fait, on ne le laisse plus réfléchir. Il a son omnichannel allumé et nous, on a des algos derrière qui vont dire, lui, par exemple, je ne sais pas, on a un client qui va vendre... des formations en anglais, il y a un spécialiste d'anglais, un spécialiste de chinois, un spécialiste de je ne sais quoi, de portugais, ça va envoyer à chacun le bon lead, etc. Je ne sais pas, je n'arrive pas à me... Moi, je n'ai pas assez de connaissances pour savoir comment ça va impacter toute l'intelligence artificielle qui est mise en place, comment ça va impacter le travail au jour le jour des utilisateurs finaux, à part de leur libérer du temps via tout ce que... tout ce qu'on a évoqué. Après, je ne sais pas si ça répond à la question. Mais c'est sûr que... Non, ça veut dire que l'ambition, je pense qu'il y a un sujet sur vraiment accompagner l'utilisateur final pour qu'il soit guidé à faire ce qu'il est censé faire.

  • Speaker #0

    Moi, je suis assez aligné là-dessus, mais moi, j'ai envie d'aller un cran plus loin. Il y a certains rôles qui pourraient être complètement automatisés et remplacés. Tu vois, la partie... C'est les représentatifs, le mec qui appelle toute la journée les clients, la partie recherche de leads, on pourrait envisager, parce que ça existe déjà, les agents IA qui font de la voix et qui font des calls. Tu pourrais déjà…

  • Speaker #2

    C'est horrible ça.

  • Speaker #0

    Avoir… Oui, mais justement ça…

  • Speaker #2

    Ça dépend pourquoi. Ça dépend pourquoi. Si tu es sur un service client, alors tu peux parler à un robot, mais quand tu vas faire de la vente, ça veut dire… Quand tu vas faire… Moi, je travaille avec beaucoup d'entreprises de services, je les vois mal. Je sais qu'il y en a qui font du robot d'appel. Mais je pense, c'est que vraiment sur le sujet de la préqualification et qu'ils appellent toute la France en un jour ou en quatre heures et tu récupères des litres derrière.

  • Speaker #0

    Oui, non, non, mais ça, je suis d'accord avec toi qu'il y a le sujet, il y a certains trucs où tu as besoin d'humains, tu es dans la santé, dans le sujet où tu annonces des mauvaises nouvelles, on ne va pas envoyer un... Il y a quand même, tu vois...

  • Speaker #1

    Ça m'est arrivé, je pense que vous avez vu les voix, en fait... En fait... les voix qu'on oublie des voies il ya en fait tu sais pas que c'est des mais moi je me dis on imagine des voix synthétiques mais en fait c'est

  • Speaker #0

    assez fluide en fait oui mais en france tu as toujours l'obligation de le déclarer je passe ici partout pareil en france tu peux pas avoir T'es obligé de savoir que tu parles à un robot.

  • Speaker #2

    En début de conversation

  • Speaker #0

    Ouais, tu dois... Moi,

  • Speaker #2

    j'ai jamais vu ça. Moi,

  • Speaker #0

    je ne sais pas. Mais dans la législation, je crois bien, même je suis sûr, qu'il y a une obligation de déclarer que vous allez adresser.

  • Speaker #2

    La première fois que j'ai vu ça, j'étais choquée. Je me suis dit, mais waouh, c'est fou, quoi. Et après, si tu raccroches, ils te rappellent encore après, deux jours après, ils te disent, ouais, mais pourquoi tu as raccroché

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce qu'aujourd'hui, ce n'est pas encore extrêmement performant, mais il est possible qu'un jour, le truc soit… Parce qu'en vrai, c'est aussi chiant quand c'est un humain qui t'appelle et qui te raconte un truc de quoi, n'importe quoi. Entre nous, ce n'est pas toujours plus pertinent.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas plus de contexte. Tu l'as raccroché et tu ne vas pas énerver un gars qui essaye de faire son métier.

  • Speaker #0

    C'est ça. Donc, pour en venir, je pense qu'il y a des rôles, les rôles vrais en chiant. tu prends le bottin et t'appelles toute la journée ou il y aura peut-être une manière de qualifier. Tu pourrais carrément être porté par un agent et derrière, le sales, il récupère toute la partie humain et je suis aligné. En vrai, tu ne vas jamais signer un contrat à 10 millions avec un robot si tu vends des produits complexes. À un moment, il faudrait qu'il y ait un humain. Mais si on peut enlever toute cette partie administrative, toute cette partie chiante du process à ton sales et la déléguer à un agent, c'est vraiment... Sur le papier, ça peut être cool et ça peut ouvrir des personnalisations et des possibilités assez ouf.

  • Speaker #1

    Donc, avant de passer à la dernière question d'Aziz, enfin, je ne sais pas si c'est la dernière vu le temps, force à tous les admins, par exemple, qui vont être missionnés par le responsable, d'aller piocher dans le Agile Exchange des fonctions d'admin. Parce que là, vous savez ce qui vous attend. Est-ce que tu n'as pas un agent qui crée des flots à ta place C'est pour t'aider C'est pour t'aider

  • Speaker #0

    Ouais

  • Speaker #1

    Force à vous Choisissez mal

  • Speaker #2

    Non, moi, en général, mes clients, ils ont des bonnes idées d'implémentation. Ce qui est bien, c'est que nous, on est toujours des externes, donc on n'a pas la pression que quand on est employé, alors notre job, il va sauter. Donc peut-être, je pense qu'ils parlent différemment avec nous. Moi, j'adore parler avec mes clients parce qu'ils vont me donner plein de business pain points qu'ils ont et qu'en fait, ils peuvent nous donner à réfléchir. Et nous, après, le sujet, c'est comment on transforme ce besoin de business en technique. Et là, si derrière, on peut mettre un truc, je donne un exemple qui me vient en tête. Des fois, il y a des gens, j'ai un client, ils ont des demandes méga complexes à faire sur des systèmes différents. Il faut mettre à jour plein de data en escalier, un petit peu comme ça. Ça, ça prend énormément de temps. Ils ont deux stagiaires dessus toute la journée pour faire ce genre de choses. Les stagiaires, on peut les former, leur faire faire des trucs beaucoup plus cool que de faire ça. Typiquement, si on arrive à mettre en place un agent, ça peut être super intéressant.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Genre les différentes fonctions de la machine à café et tout...

  • Speaker #0

    Voilà.

  • Speaker #1

    Oh désolé

  • Speaker #0

    Voilà. Mais non, mais... C'est-à-dire qu'on est tous sympas maintenant les amis Mais...

  • Speaker #1

    Non mais je pense que j'en forme de plus en plus Mais oui Franchement,

  • Speaker #2

    y'a...

  • Speaker #0

    Tu te passais par là,

  • Speaker #2

    hein Ouais, à mon époque, moi c'était pas comme ça, on m'avait pas formée, je devais me débrouiller Mais tu te débrouilles

  • Speaker #1

    Du coup, Aziz, il a écrit une belle question. Est-ce que tu peux la poser Comment tu vois les choses dans quelques mois lorsqu'on aura des testeurs IA,

  • Speaker #0

    admin IA, flow IA sur l'Apex C'est à peu près dans la suite de ce que tu disais. Moi, sur les admin IA, je suis un peu comme Aviva. Je ne suis pas très inquiet parce qu'il y a un vrai rôle humain et de comprendre réellement le besoin. Tu as beau être un agent, il y a les non-dits. Ton client, il ne va pas te le dire, mais toi, tu vas l'interpréter. Et ça, avant qu'un agent le fasse à ta place, je pense qu'on a encore du temps et ils auront quand même toujours envie de parler à quelqu'un. Je pense qu'au contraire, ça va juste te faciliter parce qu'il y a quand même des tâches chiantes d'admin, de mot de passe, de machin que tu vas pouvoir t'éviter en automatisant. Après, sur l'aspect testeur et flow IA, oui, effectivement, là, c'est un peu plus compliqué parce que l'aspect test IA, en tout cas, les tests, c'est quand même un peu... ouais il faut de l'humain c'est binaire quoi ouais bah t'as une partie test où il faut de l'humain mais il y a quand même une partie ça marche ça marche pas après c'est je pense que c'est pas spécifique à les jeunes force l'automatisation des tests ça existe depuis longtemps je pense que c'est quelque chose vers lequel on va après ça dépend de quel test on parle si tu parles de test technique oui la partie test technique oui la partie test fonctionnel là il faudra toujours de l'humain parce que jamais personne n'aura une idée aussi chelou qu'un humain dans l'utilisation de l'outil. Tu le vois surtout avec Unia, ce que je disais tout à l'heure. Ils vont poser des questions, tu n'aurais jamais imaginé que quelqu'un pose cette question et Unia ne pensera pas à cette question. Et il y en a un, tu es chez un retailer, il va poser une question qui n'a rien à voir. Comment tu réagis Comment tu dois faire Et ça, il y aura toujours besoin de l'humain. Sur cette partie test...

  • Speaker #1

    À partir du moment où il y a un humain, de toute façon, dans les parages, en tant que client, tu ne peux pas penser à tout. C'est un truc de base quand on choisit. Je sais plus quand on fait la conception logicielle. T'as beau designer ton logiciel pour que le next step logique c'est le bouton carré rouge au milieu, t'as toujours un mec qui va cliquer sur le petit triangle jaune là-bas.

  • Speaker #0

    Et avec l'IA, c'est encore pire parce que du coup, tu paramètres différemment. Tu paramètres, mais tu restreins petit à petit avec des instructions plus en plus limitantes et forcément, c'est des réactions que tu ne peux pas anticiper. Donc, ça nécessite pas mal de tests et d'intelligence humaine. Et sur les flows, je vois qu'il y a des nouvelles features qui te permettent de créer des flows en langage naturel. Ouais. Alors, ça, ce n'est pas à John Van. Moi,

  • Speaker #2

    j'ai un peu essayé, ça ne marchait pas de ouf. Alors, peut-être j'ai mal coupé. on sait pas voilà j'ai essayé récemment la semaine dernière j'ai vu le petit pop-up j'ai dit tiens allez on essaye mais bon c'était pas très concluant sur mon test ça peut être une base et faciliter le truc mais par contre il faudra toujours que tu ailles et que tu

  • Speaker #1

    connectes au bon truc du coup est-ce que c'est pas plus dur du coup parce que si tu le construis from scratch alors que là tu dois débugger un truc que quelqu'un fait

  • Speaker #2

    ça dépend du plot, ça dépend de...

  • Speaker #0

    Oui ...ce que tu fais. Je pense que c'est plutôt sur l'industrialisation, si t'en as 50 à faire...

  • Speaker #2

    Ouais, peut-être que tu fais Apex et c'est fini. Hein, 50...

  • Speaker #0

    Ouais. Là c'est encore nouveau, franchement, moi j'ai pas encore de cas...

  • Speaker #1

    Ouais, on va venir à ça, on va venir à ça. Ouais, ouais. Ouais,

  • Speaker #0

    ouais.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Tiens,

  • Speaker #2

    euh... C'est dans tes ordres, mais allez chauffer en tout cas, pour Mimes.

  • Speaker #0

    Tu vois

  • Speaker #1

    tu as appliqué une formation entre nous voilà est-ce qu'entre nous on se laisse genre 3 mois est-ce que vous voulez qu'on attende 3 mois avant la diffusion pour ça chacun de créer sa propre formation parce que sinon là on va créer une vague on va être formateur là c'est sûr tout le monde va être oh c'est chiant écoute

  • Speaker #0

    mettons-nous ensemble et on crée une multi-formation on en met partout franchement il y a un business il y a un truc il y a un truc c'est sûr qu'il y a un truc

  • Speaker #1

    Attends, mais attends, il a lancé le... ça y est, il a mis. Il ne veut pas me lancer sur ça, t'es fou toi Je ne connais pas. Entre idée et exécution, il y a deux minutes, t'es fou.

  • Speaker #0

    Eh, de... En dessous de la vidéo, il y aura un marqué si vous voulez vous former, cliquez sur le lien. Avec la forme à zéro.

  • Speaker #1

    Il y aura juste un lien.

  • Speaker #0

    C'est un prix inclusif de 99 euros pendant une heure. Bon bah ouais.

  • Speaker #2

    Merci beaucoup.

  • Speaker #0

    C'était cool. C'était sympa. Sinon, vous revenez,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de soucis.

  • Speaker #0

    Et puis c'est tout, on reviendra quand tu vois.

  • Speaker #3

    Merci beaucoup. C'est cool. Enfin, on peut poursuivre. Dieu qui vient après la guerre.

  • Speaker #0

    C'est une petite histoire. Jean-Michel après la guerre.

  • Speaker #3

    Désolé, je ne sais pas ce qui s'est passé. Aujourd'hui, je suis dans un espace de coworking et la connexion sortait souvent. Je vais voir avec. Ou alors c'est Riverside, je ne sais pas. Le type qui veut pas vraiment se payer,

  • Speaker #1

    tu vois. Y'a que moi qui est pas parti en cours de route. Corée du Sud, pourtant, je suis pas...

  • Speaker #3

    Bah, Corée du Sud, c'est normal, mec.

  • Speaker #0

    Moi, je suis dans le 92, et ça galère, hein. Mais cool. Non, mais en tout cas, si on peut se faire un point de suivi, un de ces quatre, on pourrait changer et voir ce que ça a donné. Ce sera avec grand plaisir.

  • Speaker #1

    On pourrait limite faire un format spécial, genre, Idenforce, tu sais, tous les parents.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    On a hâte. Ouais, je veux bien une cobaye sur ça Allez,

  • Speaker #0

    puis voir est-ce qu'on s'est formé est-ce qu'il y en a qui ont cédé aux sirènes de la formation

  • Speaker #1

    Qui a vendu le plus de trucs

  • Speaker #0

    C'est ça Avec grand plaisir si vous voulez s'il y a des questions ou sur d'autres sujets en tout cas merci Salim c'est cool merci Salim,

  • Speaker #3

    merci Adrien pour les questions aussi pertinentes je suis encore une fois désolé j'aurais aimé interagir un peu plus souvent avec vous mais en tout cas c'était super intéressant et c'est ce qu'il faut retenir merci encore je sais pas si j'allais te poser la question si l'enregistrement a été interrompu ou si justement tu comptais faire les au revoir officiels avant d'interrompre l'enregistrement non vas-y

  • Speaker #1

    On se dit au revoir, mais on n'éteint pas, ok Ok.

  • Speaker #3

    Ça va. Merci à tous, en tout cas.

  • Speaker #1

    Écoute, merci à tous. Merci. À très vite.

Chapters

  • Introduction des Invités et Lancement du Sujet : Agentforce

    00:00

  • Le Virage Stratégique de Salesforce : Du Logiciel au "Digital Labor"

    01:05

  • La Pression sur l'Écosystème : L'Adoption "Forcée" d'Agentforce

    02:18

  • Quel Impact sur les Rôles ? Utilisateurs, Développeurs et Consultants

    04:26

  • Les Clés du Succès : Données, Pertinence Métier et Change Management

    08:20

  • L'Émergence des Formations et l'Agentexchange

    11:22

  • Débat : Quelle Valeur pour les Formations Agentforce ?

    15:53

  • L'Importance du Timing dans le Lancement de Produits

    19:52

  • Agentforce en Pratique : Efficacité Réelle et Premiers Retours

    21:23

  • Les Défis de l'Intelligence Artificielle dans le Service Client

    21:53

  • Exploration des Cas d'Usage : Service Client, Vente, Conseil Augmenté

    24:57

  • Coûts, Tarification et Délais d'Implémentation d'Agentforce

    33:24

  • Agentforce pour les Équipes Internes (Sales & Admins) et Avenir des Rôles

    37:00

  • L'Avenir : IA pour les Tests, Flows et le Rôle Indispensable de l'Humain

    45:29

  • Conclusion, Humour sur les Formations et Prochaines Étapes

    49:07

  • Mot de la Fin et Remerciements

    50:32

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Salesforce pousse Agentforce à marche forcée : simple évolution technologique ou véritable révolution IA qui menace de transformer radicalement l'écosystème ? Plongez au cœur du débat avec DeclicIT !


Dans cet épisode captivant de DeclicIT, décortiquons ensemble Salesforce Agentforce, la plateforme d'agents IA autonomes qui secoue le monde du CRM. Salim, expert Agentforce, Aziz, Aviva et Sébastien explorent le virage stratégique majeur de Salesforce vers le "digital labor", visant à concurrencer le marché des services et de l'emploi. Découvrez comment cette intelligence artificielle impacte tous les rôles : utilisateurs finaux gagnant en productivité grâce à l'automatisation des tâches répétitives, consultants Salesforce et développeurs face à la nécessité d'évoluer, et les défis potentiels pour certains métiers.

Nous analysons les clés d'une implémentation réussie : la qualité des données, la complexité de la définition des cas d'usage métier (plus critique que la technique basée sur Flow et Apex), et l'immense défi de la gestion du changement. Explorez des exemples concrets dans le service client (réponses automatisées, processus complexes) et la vente (qualification de leads, recommandations personnalisées), ainsi que le potentiel de l'Agentexchange, la nouvelle marketplace d'agents IA. Faut-il se ruer sur les formations ? Quel est le coût réel et le temps de déploiement ? L'épisode aborde sans détour les bénéfices, les limites et l'avenir du travail à l'ère des agents IA dans l'univers Salesforce.


Ne manquez pas cette discussion essentielle pour comprendre les enjeux actuels et futurs de l'IA dans la tech. Écoutez cet épisode de DeclicIT pour décrypter Agentforce et préparez-vous à la transformation ! Abonnez-vous et partagez vos réflexions.


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Transcription

  • Speaker #0

    Et bonjour tout le monde, bonjour Aziz, bonjour à tous, à Viva, Salim, wow Et oui, la première fois que vous venez dans l'émission, aujourd'hui des invités de marque, et de grande marque Parce que Salim, Salim qui connaît tout d'Agent Force, et qui va tout nous dire

  • Speaker #1

    La pression,

  • Speaker #2

    la pression, ça commence

  • Speaker #0

    Et à Viva, donc la femme aux milliers d'appréhensions sur Force, on va partir loin Et pas d'AgentForce, mais c'est pas grave, ça peut arriver.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien, merci à Salim et à Viva pour leur présence. Pour cette nouvelle émission, on va faire un focus sur AgentForce. Pour ceux qui débarquent, qui sortent d'une grotte depuis quelques jours, AgentForce est un peu... Oui, voilà. En fait, AgentForce, c'est une plateforme Salesforce qui permet de créer... ou de personnaliser des agents IA autonomes. Je parle sous la présence de Salim, n'hésite pas à m'interrompre.

  • Speaker #2

    C'est exactement ça. Moi, ce que je trouve assez intéressant, on ne va peut-être pas faire un cours, l'idée c'est plutôt d'en débattre, mais ce qui est intéressant, c'est surtout le virage pris par Salesforce. Comment ils sont passés de on vend des modèles, des licences classiques on met tout sur l'agent et comment on switch. Finalement, moi, ce que je retiens un peu quand j'en discute avec mes clients ou avec mes collègues, c'est le marché qui cible. Salesforce, avant, il ciblait les éditeurs de logiciels. Leur concurrent, c'est Microsoft, Oracle, Enco. Là, avec AgentForce, ils visent carrément ce qu'ils appellent le digital labor. C'est le marché des employés. In fine, c'est comment on va se mettre en concurrence avec des boîtes d'intérim, avec des boîtes qui font du service client, du marketing. Quand même, on change complètement de marché. On passe d'un marché pur logiciel à un marché de l'emploi. Et c'est quand même dix fois plus large. Donc, je pense que vous comprenez un peu l'intérêt business de ce positionnement. Et donc, c'est ça qui est assez fou, je trouve.

  • Speaker #1

    Oui, clairement. Après, concernant ces... On va dire qu'il y a une... grosse pression qui est, c'est la façon dont je ressens les choses parce que toi tu es plutôt impliqué dans certains projets AgentForce, Salim, moi de mon côté, d'un point de vue extérieur, et je pense que c'est aussi le cas de Sébastien et Aviva, on ressent un peu cette pression exercée par Salesforce pour adopter et faire adopter cette solution AgentForce, et on a l'impression que, c'est pas une impression au final, c'est que... C'est soit ça, soit on adopte cette solution concrètement dans les mois et les années à venir, soit on se retrouve dépassé et rétrogradé dans le monde du consulting ou des partenariats avec Salesforce. Si les partenaires Salesforce n'adoptent pas AgentForce, ils se retrouveront moins privilégiés. Et si les consultants Salesforce ne se forment pas à AgentForce, ils se retrouveront, on va dire, un peu sous la pile de CV pour être staffés dans des projets spécifiques dédiés à AgentForce qui ont vocation à se multiplier dans les mois et les années à venir. Donc en fait, on ressent un peu cette pression dans tout l'environnement Salesforce, consultants, partenaires, commerciaux, etc. Donc on a cette adoption à faire, un peu un marché forcé, ça fait beaucoup de force dans la même phrase. Et du coup voilà comment je ressens les choses. C'est vrai que depuis un an, enfin même un peu plus d'un an, on parlait de AI spécialiste. Là on parle de plus en plus d'agent de force comme étant l'outil privilégié par Salesforce pour pousser ses agents autonomes. Là on se dit vraiment, si on rate ce train, j'ai l'impression d'être un influenceur en crypto, si on rate ce train, voilà on... on aura l'impression de passer à côté d'une poursuite de carrière au sein de Salesforce même, en fait.

  • Speaker #3

    Attends, mais Salim, toi, tu penses vraiment que ça veut dire... C'est la première fois que j'entends cette vision que c'est sur le marché du travail qu'ils ont envie de se positionner. Tu penses que du coup, en fait, les consultants, tous ceux qui sont développeurs Salesforce, ils vont développer plus Agents de Force ou ils vont juste être plus spécialisés dans l'implémentation d'Agents de Force Parce que je comprends... Enfin, je termine, je comprends qu'il y a plein... Il y a plein de choses bêtes qu'aujourd'hui les utilisateurs de Salesforce font, ça veut dire qu'ils vont rester des heures à refaire les mêmes manies. Et je pense que s'il y a un agent IA qui va dire qu'il lit les emails... qui va updater les opportunités derrière, enfin des trucs, ou du SAV qui va répondre automatiquement. J'entends, mais ça veut dire, est-ce que tu vois la chose comme il va y avoir, genre aujourd'hui, il y a 100 développeurs Salesforce, 100 utilisateurs Salesforce, tu vois qu'il y a beaucoup moins d'utilisateurs Salesforce et beaucoup moins de développeurs, ou c'est que les utilisateurs, parce que pour moi, c'était que les utilisateurs Salesforce qui allaient être aidés, pas forcément les devs.

  • Speaker #2

    Tu as les trois carrément, parce que tu as ce qui va être Customer Facing, donc ton client final, Donc, ton client final, j'ai une boîte qui a du service client. Et donc, au lieu d'avoir des utilisateurs lambda, je vais répondre directement. Après, tu vas avoir une sorte d'assistance, ce qu'ils appellent AgentForce for Employees, où tu vas aider ton admin, ta personne qui est déjà... en charge de rentrer dans Salesforce. Donc, il y en a un où il ne voit même pas Salesforce. Finalement, ça va être sur un site. Tu auras un petit peu trois types d'engagement, entre guillemets. Tu as le premier, Customer Facing, avec celui qui ne voit pas du tout la plateforme, c'est le client final. Et du coup, c'est transparent pour lui ce qui se passe derrière et on va répondre un peu dans un modèle de chatbot amélioré. Tu as l'agent humain, celui qui va être admin Salesforce, celui qui va le piloter. Et où AgentForce va avoir un peu... Ce rôle de copilote, en lui faisant une synthèse, et c'est ce que tu disais, les tâches bêtes, il va pouvoir lui accélérer le temps. Et tu as aussi le boulot sur les développeurs. Ça, ça existe aussi. Comment on fait gagner du temps aux développeurs en facilitant leurs tâches et leurs activités Donc, tu as un peu, en théorie et en pratique, une multiplicité d'interacteurs. Est-ce que ça veut dire qu'il ne faudra plus d'adultes et qu'il ne faudra plus de... développeur je ne pense pas non mais la reprise ça va changer un peu le boulot ouais le job va changer clairement t'es censé grâce à ça te concentrer sur les tâches à valeur ajoutée et plus sur les tâches de stratégie,

  • Speaker #3

    de réflexion j'imagine stratégie,

  • Speaker #2

    réflexion c'est plutôt qui tape les synthèses d'email les tests classe pour les tests classe on a gagné un grand truc Il n'y aura pas que des penseurs, mais c'est plutôt pour faciliter. En fait, c'est un peu le classique de l'IA. La question que tout le monde se pose, est-ce que l'IA va remplacer tous les jobs La réponse est non, ça ne remplacera pas tout le monde. Maintenant, ça va réduire les tâches à faible valeur pour améliorer l'activité. Après, il faut aussi être honnête, il y a quand même toujours des employés qui n'ont que des tâches à faible valeur à jouer. on peut penser à des centres de services ou des call centers, ça va supprimer cette activité-là. Alors on peut toujours les resourcer et les reskiller par exemple, mais c'est vrai qu'il y a des activités qui risquent de disparaître. La totalité non évidemment, mais ça va se recentrer sur des choses un peu plus métier. En fait tu le vois quand tu fais des projets à GeonForce, c'est pas la technique le plus complexe, le plus complexe c'est de réfléchir à quoi ça sert. où tu le mets, quelles sont les données que tu vas connecter. Tu as un gros sujet sur les données. Tous les gens qui bossent sur les données, ils vont garder leur boulot, ils vont même en avoir plus parce qu'un agent force, c'est super, mais s'ils tapent sur des données qui sont foireuses, ils ne marchent pas. Donc, tu as encore du boulot de ce côté-là. Et côté partenaire, tout ça te sert à quelque chose. Évidemment, tout ce qui va être change, ça va être énorme parce que tout d'un coup, on va balancer dans l'équipe. On va dire... écoutez, vous avez trois collègues et puis maintenant, il y aura un quatrième qui sera un agent. C'est intérêt à avoir éduqué les gens, les avoir formés au techno, à savoir comment ça marche, pour qu'ils soient pas trop récalcitrants, sinon ça va vite mal se passer. Donc, il y a vraiment des sujets, des réflexions sur comment t'intègres ça, quel rôle tu lui donnes, est-ce qu'il a les mêmes droits, pas droits En fait, c'est un peu un utilisateur comme un autre. Il faut réfléchir à ce qu'il aura le droit de faire.

  • Speaker #1

    Un onboarding aussi potentiellement pour les autres utilisateurs, les vrais cette fois-ci

  • Speaker #2

    Exactement. Ceux qui vont devoir bosser avec, il y a un truc qui est très important dans les Juneforce, c'est tout ce qui est les garde-fous. Il a le droit de faire certains trucs et pas d'autres, comme un employé classique. Par exemple, s'il fait des remboursements, on va dire, si tu es en dessous de 1000 euros, tu rembourses automatiquement. Par contre, si c'est une somme supérieure, tu dois passer par un humain et lui faire valider. Donc ça, la techno est assez bien faite, il le fait assez simplement. Mais du coup, il faut... éduquer et former les gens pour savoir ce qu'il a le droit et ce qu'il n'a pas de faire, quand est-ce qu'eux vont interagir, quand est-ce qu'ils peuvent le laisser en autonomie sans stresser. Donc il y a vraiment, comme tu en marquerais quelqu'un, comment on peut creuser ça quoi

  • Speaker #0

    Ouais, déjà moi en termes de change, moi j'ai vu sur le projet des gens, des utilisateurs, qui étaient réticents à juste alimenter Salesforce parce qu'ils trouvent ça trop transparent, pas parce que c'est chiant Mais parce que c'est la mentalité des gens, c'est trop transparent. J'aime pas que les gens voient tout ce que je fais.

  • Speaker #2

    C'est du flicage, en tant que genre. Alors moi,

  • Speaker #0

    c'est juste parce que je suis gentil. Voilà Bah oui, il y a les gens. Mais imaginons, tu vois, cette personne-là qui est déjà à ce point-là, genre, la technologie, j'aime pas. Maintenant, tu vas lui expliquer que maintenant, son collègue, c'est un robot. Je dirais,

  • Speaker #1

    bah, bravo Ouais, clairement, il y aura beaucoup de résistance.

  • Speaker #2

    Oui, c'est pour ça qu'il t'a intérêt à embarquer tout le monde dès le départ, à faire de la pédagogie, à expliquer qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il ne fait pas, et surtout, démystifier le truc. Parce que les gens s'imaginent, quand tu leur dis à Jean que c'est un robot qui va marcher et qui va venir se faire leur boulot à leur place, on n'est pas sur ça. Oui, un peu.

  • Speaker #0

    Voilà, après, ça va.

  • Speaker #2

    Oui, taille.

  • Speaker #1

    Il y a aussi un gros marché qui se développe parmi les... les formateurs, à chaque fois qu'il y a une nouvelle techno qui apparaît, j'ai l'impression, enfin c'est pas une impression, au final c'est concret, sur LinkedIn, on voit pop des formateurs spécialistes, au début c'était spécialistes chat GPT, spécialistes cloud, là on a des spécialistes qui proposent, je sais pas quelle est la qualité de leur formation, mais qui proposent ces formations en ligne, ou en physique,

  • Speaker #0

    en ligne.

  • Speaker #1

    Mais voilà, en tout cas, il y en a de plus en plus parce qu'ils savent que c'est très demandé. Et il y en a un, en l'occurrence, qui est américain, qui au début se positionnait sur des formations en vue d'obtenir des certifications Salesforce, donc des certifications basiques, Sales Service Cloud, et qui a aujourd'hui, je ne vais pas citer son nom, qui s'est complètement repositionné et qui s'est exclusivement, du coup, consacré aux formations AgentForce. Donc, c'est des formations tarifées, il y a un certain pricing derrière. qui est plus ou moins intéressant, j'ai pas non plus mis le nez dedans, mais c'est pas le seul à faire ça, c'est le seul dont je me souviens mais je sais que c'est pas le seul à faire ça, et du coup vraiment il y a une réelle appétence, il y a comme un appel d'air qui se fait sur Agent Force, côté formateur, mais également côté développeur. Développeur pourquoi Parce que il y a quelques semaines, et Salim tu nous en diras sûrement plus à ce sujet là, c'est concernant le... la sortie ou la mise en ligne d'Agent Exchange. Agent Exchange, c'est la nouvelle place de marché dédiée aux agents IA et qui peuvent être intégrés en environnement Salesforce. Du coup, il y a beaucoup, je pense, de développeurs qui vont mettre en place des applications. Il y a des applications déjà existantes pour servir d'assistants commerciaux, pour maximiser la productivité des équipes de vente, des choses comme ça. Moi, je vois vraiment ces deux en parallèle de la communication et du marketing poussif que nous fait Salesforce sur AgentForce, derrière, on a tous les autres qui suivent le mouvement, les formateurs d'un côté ou les apprentis formateurs et les développeurs qui veulent un peu leur petite part du gâteau en proposant des applications sur l'AgentForce Exchange ou l'AgentExchange.

  • Speaker #2

    Oui, partagez mon opinion qui n'engage à... par contre je trouve ça assez ouf c'est une plateforme type Apple Store où tu peux aller mettre tes agents donc concrètement toi tu y vas et tu achètes un agent t'embauches un mec, t'embauches un agent et tu vas le mettre sur ta plateforme alors c'est encore le début et donc c'est pas plug and play il y a encore du retravail mais à terme ce sera peut-être qu'on va se ramener à la question ouais mais avec des agents c'est le même concept mais tu dis je veux un agent sales qui peut faire ça et que je plug sur mon système et à terme on va peut-être se retrouver entre est-ce que j'embauche un mec ou est-ce que je vais sur la backchain et je clique et je prends un robot clairement c'est un peu un site d'embauche bientôt alors là c'est encore le début du coup on partage juste des briques derrière il faut le reconstruire ton agent il n'est pas automatisé mais je suis certain que dans quelques temps tu peux tu pourras aller et recruter ton patron de service client ou ton employé du marketing. Et ça, c'est assez ouf. Je serai développeur,

  • Speaker #0

    je serai développeur.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #3

    Vous me donnez envie, là.

  • Speaker #2

    Tu développes une fois l'agent, tu le vends partout. Ça veut dire,

  • Speaker #3

    là, je vois les cas d'usage et tout. Je pense à plein de cas d'usage qui peuvent être simplifiés. Là, je vois des connecteurs sur WordPress, sur Shopify. Ça peut être super intéressant.

  • Speaker #2

    Une fois que tu as... construit la chose d'une fois c'est sûr que c'est réutilisable on a tous ces sujets là quand tu as un projet généralement il ya des choses qui sont industrialisables et donc ça ça peut être assez intéressant après sur la formation mon avis c'est qu'en termes de business c'est sûr c'est un excellent plan Tout le monde en parle tu vas sur le sujet du moment et ils ont super raison c'est ça après moi je vous donne mon avis projet techniquement il n'y a rien de nouveau donc c'est ça que je trouve un peu surprenant et jeune force tu as des flots donc des trucs qui existent depuis toujours de l'apex ça existe depuis toujours et derrière ok il ya du prompt mais d'heures tu vas sur très laid tu la prends tout seul donc moi mon retour c'est honnêtement je sais pas ce qui vous apprend techniquement après il peut vous apprendre un peu la plateforme mais ça tu vas sur très laid ça fait dix ans que le tourne tu pourrais l'apprendre tout seul. Donc, je ne suis pas certain qu'il y ait une super valeur ajoutée pour passer les certifs. Oui, en termes de formation, finalement, si tu as un bon développeur, il peut l'apprendre tout seul. Il y a un petit temps de passage parce que ce n'est pas la même plateforme. Mais honnêtement, de là à aller te faire une formation pendant trois mois, je ne suis pas certain. Non,

  • Speaker #3

    mais tout, si tu dis ça, ça aligne tout. Tu peux apprendre tout seul sur Tralade, mais ça n'empêche pas qu'il y a quand même... des formations. Moi, je comprends qu'il y a des gens qui n'ont pas les nerfs de se plonger dans ta lettre, qui peuvent préférer parler à une personne et qui leur expliquent comment ça se passe.

  • Speaker #2

    Tu vois Ça, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    C'est bien fait. On est sur un système où c'est bien appris, tu as une belle plateforme et tout, mais je pense qu'il y a toujours des gens qui voudront parler à des humains pour se faire former.

  • Speaker #2

    Ça fait raison.

  • Speaker #0

    Surtout pour cet aspect-là. Parce que là, on dit clairement aux gens, tu vas avoir de l'IA qui va faire ton taf. Et ça fait flipper ceux qui ne sont pas initiés quand même, non seulement à la tech, mais aussi au moins de l'IA. C'est là, le travail de l'accompagnement qu'on dit tout à l'heure, le change, c'est là, je pense, c'est le point du projet. C'est ça, ouais. Il faut quelqu'un pour leur assurer que, attention, c'est pas que tu vas cliquer, tout va se passer automatiquement, tout va bouger devant toi comme ça. C'est pas forcément ça qui va se passer.

  • Speaker #2

    T'as raison. Moi, le seul... Le sujet qui me rend sceptique, c'est quand même qu'être jeune force. La vraie problématique et la vraie complexité, elle est plutôt métier. C'est qu'est-ce que tu vas en faire La partie technique, c'est le force. Et toute cette partie, OK, quels sont les use cases Comment je les priorise, etc. C'est là où il y a un vrai besoin de se plonger dedans et de savoir ce que tu peux faire, ce que tu ne peux pas faire. Et c'est ça que je ne suis pas sûr que tu trouves dans les formations parce que c'est le truc qui sont... très lié à des industries, tu ne fais pas un agent pareil dans le retail que dans la banque, etc. Je ne suis pas sûr que dans ta formation, tu l'apprennes. C'est une connaissance du métier, c'est une connaissance fine des enjeux de tes clients que tu as besoin d'avoir. En fait, la plateforme, c'est super facile. Moi, j'en fais des agents.

  • Speaker #0

    Justement, je pense que le plus important de la formation, mis à part ça, c'est vraiment expliquer un concept de base. Le concept de base, ce n'est pas que tu es entrepreneur ou alors que tu... construire des process, c'est déjà mettre à plat tes process. Quelles sont les choses automatisées, entre guillemets, répétitives Tout ce que tu peux schématiser, en fait, potentiellement, tu peux l'optimiser. Tu peux l'optimiser et ensuite, tu peux l'automatiser, voire supprimer. Tu te rends compte, est-ce que tu ne supprimes pas Oui,

  • Speaker #2

    mais du coup,

  • Speaker #0

    ce n'est plus le même public.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai, j'ai peut-être un regard biaisé. Un développeur,

  • Speaker #3

    je suis d'accord qu'il va faire ça. Si je me chauffe, je me pose sur Tralette, je ne vais pas aller payer une formation, mais je pense que des clients finaux, un utilisateur qui est déjà sur Salesforce et qui a envie de découvrir, je pense que ça peut être intéressant.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. Après, la question, c'est qu'est-ce qui se trouve à l'intérieur, vu que maintenant, c'est assez nouveau, et que je pense que ce sont des choses qui vont évoluer, peut-être attendre trois, six mois, le temps qu'on ait un vrai contenu, et les feedbacks, etc. Je pense que ce serait plus pertinent d'attendre un peu... pour en faire une qui soit plus complète quoi.

  • Speaker #2

    Oui mais t'as un effet de mode si t'arrives le premier. tu seras le référent, alors que si tu arrives six mois et qu'il y en a 50, tu seras moins pertinent, enfin moins visible, plus que pertinent. Et c'est là où c'est un peu comme Agile Force. C'est les premiers. Maintenant, il y a ServiceNin, il y a Microsoft qui arrivent. On retiendra Agile Force à l'heure actuelle parce que c'est les premiers qui se sont positionnés. Ils se sont positionnés vite. Ils ont sorti un produit en deux mois entre Dreamforce et Agile

  • Speaker #3

    Force. Ils ne l'avaient pas développé avant

  • Speaker #2

    Ah si, ils avaient commencé, mais entre le moment où ils l'ont annoncé à Dreamforce et le moment où le truc a été GA, il y avait deux mois. C'était extraordinairement rapide. Et ça a permis de lancer la dynamique. En vrai, au début, il y avait plein de features qui n'étaient pas totalement terminées. Tu voulais faire un truc, bon, ce n'était pas encore GA, donc il fallait faire un petit contournement. Mais ça a permis de lancer le truc, d'avoir une communauté, de mobiliser les clients, de les intéresser. C'est quand même une approche commerciale. Alors oui, gros sabot.

  • Speaker #3

    Les pages de sexe,

  • Speaker #0

    c'est le cas. Voilà.

  • Speaker #3

    Ils ont toujours fait comme ça. Moi, je me rappelle la première fois qu'ils avaient lancé, j'étais partie sur le help et il y avait un genre de force qui était là, mais il n'y avait aucun rapport il y a trois mois. Je ne sais pas s'il était clair à moi. Non, c'était une recherche rapide.

  • Speaker #0

    Il y avait des trucs au caravane.

  • Speaker #3

    Moi, j'étais très déçue. J'ai fait un renouvelé de l'expérience.

  • Speaker #0

    Non, ouais, bah... Ouais. C'était ma prochaine question, parce que là, c'est dans le fil. C'est qu'un des use cases que tu as présenté justement, Salim, d'AgentForce pour l'instant, c'est potentiellement d'aider les customers en service. Mais aujourd'hui, non seulement sur le site officiel de Salesforce, il est en place et les retours sont très négatifs. Et j'ai aussi vendre plusieurs clients qui l'utilisent. Les retours sont aussi assez négatifs. Pour le client, on peut dire que l'implémentation est foirée, mais pour Salesforce même, qu'est-ce qui se passe Est-ce que toi, tu as des bons exemples

  • Speaker #2

    Oui, j'ai des bons exemples. Les clients, je vais dire ce que j'ai vu. Sur Salesforce, j'ai l'impression que ça marche quand même mieux. Mais en fait, c'est très simple. Est-ce que tu as des bonnes datas derrière ou pas Parce que c'est comme un LLM. Est-ce que tu lui poses les bonnes questions Est-ce que tu as les bonnes données Point à la ligne. C'est un peu ça le... le sujet derrière, la solution, elle fonctionne. Il sait te ressortir les bons trucs, il sait aller interagir dans Salesforce. Maintenant, moi, ce que je vois chez les clients, c'est que ton org, elle n'est pas forcément propre, ta knowledge base, elle n'est pas bonne, parfois les réponses... Parce qu'en fait, tu peux faire du rag, donc tu peux même lui envoyer des formats différents, il arrive. Maintenant, si ton truc, il n'est pas clair, que dans un article, tu dis ça, et puis dans l'autre, parce que Intel a changé, tu dis le contraire. effectivement tu vas avoir des choses différentes je vais mettre de côté le sujet de Salesforce le help de Salesforce je sais qu'ils l'ont lancé au début super rapidement et aujourd'hui ils communiquent sur le fait que ça marche super bien honnêtement je saurais pas vous dire si c'est de la com, si ils l'ont amélioré, si le truc tourne ou pas

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, entre nous, je sais pas, mais j'ai toujours pensé que Salesforce utilisait un mauvais CRM. Parce que franchement, tu te présentes à chacun de leurs events, t'es en doublon, ils ont pas les bonnes infos sur toi, ouais, ils ont pas un sac coupé, mais... Moi, même moi,

  • Speaker #3

    quand j'étais le premier sur la grille...

  • Speaker #0

    C'est encore donné la plus belle chose. C'est ça, c'est vrai. À chaque événement, ils ont un problème avec le badge. Moi,

  • Speaker #3

    je me rappelle que j'étais chez Salesforce à Paris. Quand j'étais chez Salesforce à Paris, je voulais trop voir comment ils utilisaient Salesforce et j'étais choquée parce que c'était nul. Genre, il y avait une page de ligne normale. Je croyais qu'il y avait des features de malade et tout. Mais en fait, pas du tout.

  • Speaker #2

    T'as été déçue

  • Speaker #3

    Ouais, j'étais trop déçue. Ils avaient juste une diz de... Bref, c'était très basique.

  • Speaker #0

    La légende raconte qu'il n'y a que Benioff qui l'utilise bien, parce que tu es sur 10 ans, il l'a implémenté Einstein il y a très longtemps pour lui-même, comme pour faire du brainstorming. Avant la traîne de Charlie Pitty, quand ils ont sorti Einstein, pour lui c'était, ouais, maintenant je communique avec lui au meeting, je prends des décisions avec lui, machin, peut-être. Des fois ça explique le truc bizarre qui nous sort à la fin, mais bon, si c'est Nia qui lui a suggéré ça... Ouais, vas-y. Bon,

  • Speaker #2

    pardon.

  • Speaker #0

    Transforme les mascottes en robots pour faire flipper tout le monde. Quoi C'est bien.

  • Speaker #2

    Du coup, quand même, je réponds à ta question. Est-ce que je l'ai vue chez les clients Moi, j'ai vu des clients où ça marche. T'as dit oui. J'ai eu des clients où ça marche parce que...

  • Speaker #3

    La question, ce n'est même pas est-ce que ça marche, moi, je trouve, c'est est-ce qu'il y a une valeur ajoutée sur du temps qui a été gagné, etc. Tu vois vraiment ça

  • Speaker #2

    De manière très concrète, les clients veulent te le foutre partout et entre nous, ce n'est pas pertinent partout. Parce que pour des sujets basiques, moi, j'ai l'exemple d'un client dans le retail. Alors, c'est... pas très compliqué à faire le business case. Ils ont à peu près 200 000 demandes par an de clients qui leur écrivent. Pour une demande simple, ça prend 5 minutes à un humain. Pour une demande complexe où il faut aller dans 15 systèmes, on va y penser à un remboursement, il faut aller vérifier ce que tu as commandé, il faut aller cliquer là, il faut aller dans le ERP, il faut faire une demande. Ça prend à peu près 20 minutes à un humain. Puis en plus, bon, il faut... Garder en tête que le personnel qui travaille dans les services clients, ça tourne beaucoup, ils ne sont pas toujours bien formés. Donc parfois, même ça se perd.

  • Speaker #3

    Et il va croire.

  • Speaker #2

    Tu vois, si tu prends des cases de problématiques complexes, tu gagnes un temps parce que le truc, il te le fait automatiquement en 30 secondes. Déjà, d'une, là où il y a la durée, puis il y a le temps. Le délai de réponse. Parce que d'une, il te répond instantanément. Là où un humain, il va apprendre, il faut qu'il affecte, puis il va te mettre trois jours parce qu'il n'aura pas traité le truc. Sur la tâche en elle-même, oui, tu connectes des systèmes. Tant que c'est aller chercher des infos, remplir des infos, échanger avec un client, oui. Après, il ne faut pas le mettre partout. Moi, j'ai vu des clients où la demande, c'était tu peux me donner l'horaire du magasin et est-ce que mon magasin, il est ouvert le dimanche Bon, tu n'as pas besoin de mettre un agent super intelligent pour faire ça. Tu mets un chatbot basique, il le fait. Donc vraiment, je reviens à ce que je disais au début, tout est à qualifier. Oui, ça marche et oui, tu peux avoir de la valeur ajoutée, mais en réfléchissant où tu le mets. Si tu le mets partout, oui, effectivement, ça va vite te coûter cher. Et si c'est pour faire des trucs extrêmement basiques, non, il n'y a pas d'intérêt.

  • Speaker #3

    Et du coup, c'est quoi les use cases que tu as implémentés qui sont stylés

  • Speaker #2

    Pas du service client. Ben si, si, parce que tu sais pourquoi Il y a un petit peu de sales, mais c'est le premier truc qui a été dispo, le service client. Parce que tu vois le pain point, il est clair, on reçoit des centaines de demandes.

  • Speaker #3

    C'est vrai que la perte de temps, elle est monstrueuse. Là-bas, tu as l'impression que tu fais dix fois la même chose et que tu dois répéter les mêmes questions.

  • Speaker #0

    C'est sûr. À partir du moment où il y a un robot, où il y a un chatbot, en fait, tu mets de l'IA, potentiellement, tu dis, ah ben, tu mets de l'IA. C'est plus intelligent. On est tous déjà prêts en fait, les utilisateurs finaux, les clients sont déjà prêts à parler à un robot. Il suffit juste de le rendre un peu plus intelligent.

  • Speaker #2

    Ouais. Ça c'est un autre sujet, mais alors je prends les questions une à une. Il y a quand même beaucoup de clients que ça fait chier de parler à un chatbot qui répond à côté. Ça c'est un truc que tu revois souvent. D'autres trucs qui se mépent... D'où l'IA, oui, mais d'où le fait d'avoir quelque chose de pertinent parce que... Toi comme moi, quand tu écris un chatbot et qu'il te répond à côté, que tu lui dis j'ai un problème avec ma box et qu'il te répond super et que tu as envie de le trouver dans le mur et que tu parles avec lui un quart d'heure et qu'après il te transfère à un humain et que tu as perdu un quart d'heure, c'est bon. Donc je pense qu'il y a quand même un vrai sujet à bien convaincre les utilisateurs, mais après ça dépend des industries. Je pense que tu es moins récalcitrant à parler à un bot quand tu as un problème avec ta box ou un truc de base. que quand tu vas acheter un collier à 50 000 balles pour ton mariage. Là, bon, t'as intérêt à avoir un truc un peu plus sophistiqué. Donc,

  • Speaker #0

    il y a une question aussi de... Normalement, en théorie, t'as un domoéthique pour faire ça.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, normalement, quand tu vas acheter une bague de luxe, t'as envie qu'il y ait un humain derrière, ou alors que ton robot soit très intelligent et qu'il comprenne tout ce que tu lui dis. T'as pas à le répéter trois fois, toi, déjà, ça te pique de lâcher autant pour une bague. Mais Use Case aujourd'hui, moi ce que j'ai vu, ils sont quand même plutôt service client parce que le Big Case, il est rapide, tu gagnes de l'argent concrètement. Tu vois, avant ça me prenait une heure, maintenant ça me prend tant. Tu comprends facilement, c'est plus simple à implémenter parce que c'est du réactif, c'est le client qui te contacte, ce n'est pas du proactif. Évidemment, c'est la next step où ton agent, il va faire des actions, il va réfléchir et puis à un moment, il va se dire… peut-être que je devrais contacter telle personne. Là, on est plutôt dans le sales. Tu vois, il va pouvoir préqualifier tes leads et ensuite aller contacter directement parce qu'il sent que c'est le bon moment, etc. Mais là, ça nécessite quand même... une confiance dans la solution.

  • Speaker #0

    puisque tu lui laisses les manettes que les clients vont avoir un peu plus de temps, vont nécessiter un peu plus de temps à adopter. Alors que dans le service client, c'est basique, j'ai beaucoup trop de demandes, je n'arrive pas à y répondre, là je mets quelqu'un qui va réussir à me le faire à ma place. Je dis quelqu'un, mais je mets un agent. Surtout service client, notamment pour des actions complexes avec du remboursement, c'est un peu plus difficile. avec de la vérification, tout ce qui intègre plein de systèmes et qui est toujours très chiant pour l'humain. Je l'ai vu aussi sur du conseiller au comté. Tu sais, imaginons... Non, mais tu veux faire des travaux...

  • Speaker #1

    On allait la voir

  • Speaker #0

    Tu veux faire des travaux, tu vas... Tu vas écrire à ton agent en lui disant, écoute, moi, je veux refaire ma salle de bain. Comment ça marche Et puis lui, il va être capable de te dire, il te faudrait une perceuse, des clous, du plâtre. Voilà tout ce qu'il te faudrait. Croiseux,

  • Speaker #1

    de la farine,

  • Speaker #0

    des trucs comme ça. Oui, blague à part, tu peux le faire aussi sur ce sujet-là. Je veux faire un gâteau, il te donne la liste. Et en plus de ça, il te... précommande les trucs. Alors, sur les oeufs et la farine, l'intérêt de le précommander, je ne suis pas sûr, mais sur des outils, il va te dire il faudrait tel type de placo. Et en plus de ça, je vois que tu habites à Nevalois-Péret, il est dispo au magasin de Jeannevilliers. Est-ce que tu veux que je te le réserve C'est assez cool. En fait, c'est un petit peu un concierge augmenté qui te fait des recours. Dans le luxe, alors ce n'est pas encore déployé, mais j'ai vu dans le luxe... des sujets de reco, tu lui dis voilà, j'aime bien tel vêtement et un peu ton conseiller qui va dire bah écoute, ça ça pourrait aller avec regarde telle collection ça va bien ensemble etc. ça c'est plus sympa c'est moins en fait c'est plus sexy c'est sûr ça c'est des trucs sympas

  • Speaker #2

    Genre là, à la fin de notre conversation, je pense que je vais aller regarder et je vais commencer à m'y mettre.

  • Speaker #0

    C'est ça. C'est sûr qu'il y a plein d'explications pour voir qu'est-ce qu'ils ont.

  • Speaker #1

    Effectivement, pour l'instant, tout ce qui est pour les clients finaux, j'ai l'impression qu'au final, ça va être juste rendre plus intelligente des fonctions qu'on connaît tous un peu déjà. Oui,

  • Speaker #2

    je connais déjà.

  • Speaker #1

    Par exemple, vous avez acheté ça, voilà ce qui pourrait vous plaire. Pour l'instant, c'est de l'algo pur, mais... s'il y a une IA derrière ça peut être encore plus pertinent Amtos qui va être touch point aussi envoyer des sims et des OSS parce que il te fait la recon mais l'intérêt derrière c'est de de vraiment créer un lead ouais il te crée un lead il te le met dans Salesforce en t'expliquant que

  • Speaker #0

    cette personne elle peut être intéressée par ça ça ça ça ça et puis derrière il va te faciliter le process d'achat et donc on peut penser que vu que t'auras juste à lui répondre ok j'achète Il y a encore des histoires de paiement, évidemment tu ne peux pas payer en disant juste OK, mais ils te facilitent le process d'achat et donc commercialement, tu as un vrai use case pour l'entreprise.

  • Speaker #2

    Et c'est quoi les coûts qu'ils ont associés Là tu parles de mise en place de ce genre de choses. Aujourd'hui, combien c'est d'heures de développement ou de coûts chez Salesforce

  • Speaker #0

    Il y a un prix public qui est officiellement à 2$ la conversation. qui est, peu importe ce que tu lui demandes, 12€, je reviens à ce que je disais tout à l'heure, t'as intérêt à lui faire faire des usages. À lui demander des trucs intéressants. Ouais, parce que sinon tu vas payer quand même le même prix. Et le prix public c'est 2$ par conversation, une conversation c'est une fenêtre de 24h. Donc pendant

  • Speaker #2

    24h tu lui demandes des trucs. Mais c'est que un user Ça veut dire que moi pour une deuxième session sur mon ordinateur ça me considère le même user Ou c'est ce genre de choses Oui,

  • Speaker #3

    très précis là.

  • Speaker #0

    Alors, si tout va sur ton ordinateur, je pense que ça marche. Maintenant, je ne préfère pas dire de baiser. En tout cas, normalement, c'est un user, un user 24 heures, 2 euros.

  • Speaker #2

    Donc ça, c'est quand tu l'utilises en tant que client final, quoi. Oui, c'est ça. Si tu l'utilises en interne, ça veut dire si tu l'utilises en interne via des flows et tout, à chaque fois qu'il va y avoir un appel à...

  • Speaker #0

    Alors là, il y a une autre tarification, mais qui est en train de bouger. Et franchement, je ne pourrais pas... vous la partagez parce que je ne la connais pas moi-même déjà les techniques de Salesforce ils sont complexes ouais ça c'est clair je ne la connais pas non plus voilà donc le prix grand public sur le customer facing c'est 2$ la conversation évidemment si tu en achètes à l'avance tu as des prix négociés et il y a d'autres sujets d'où l'intérêt c'est ce que je disais de lui demander des choses où il interagit dans plein de systèmes où en fait ça te coûterait plus de 2$ le use case il est très basique Est-ce que pour faire la même chose, ça me coûte plus de 2 dollars ou pas

  • Speaker #2

    Et les coûts d'implémentation, parce que souvent, c'est génial, mais après, tu as les coûts d'implémentation qui coûtent cher. Tu as des ordres d'idées ou pas du tout

  • Speaker #0

    Ça dépend de ton budget.

  • Speaker #2

    Mais en tout cas,

  • Speaker #0

    je te donne en termes de temps. En un mois, tu peux mettre en place un use case en prod d'une complexité moyenne. C'est-à-dire qui se... qui se connecte à un ou deux systèmes et qui va du coup interagir dans Salesforce et à l'extérieur de Salesforce.

  • Speaker #1

    Mais en un mois, le plus long, c'est quoi C'est la construction ou alors justement la recherche, le travail avec le business La réflexion,

  • Speaker #2

    quoi,

  • Speaker #0

    ouais. Pour l'avoir fait, c'est un tiers, un tiers, un tiers, un tiers de réflexion, un tiers de construction, puis un tiers d'itération parce que c'est du prompt. forcément battu au début va pas réagir comme tu sais quand même chat gpt tabou pensé à tout ce que c'est des instructions que tu mets en naturel alors après il ya des actions etc mais tu auras pas pensé au cas où tu vas va lui parler de son concurrent ou le client va lui poser une question un peu tordue et donc c'est en le testant que tu pourras tu pourras itérer l'améliorer donc vraiment il ya un tiers de technique pure donc c'est pas vraiment un mois Mon ressenti à date, après quand tu passeras à l'échelle, il y aura peut-être d'autres problématiques et tu vas te connecter à 50 systèmes un peu plus complexes, mais ce n'est pas un projet très complexe techniquement. Il y a un vrai besoin d'alignement en amont, comprendre ce que tu en fais et c'est ça. Un tiers du temps, d'abord on se dit quel use case on va faire, quel use case on va faire et comment on mesure que ça me ramène de l'argent. Est-ce que j'y vais sur ça, est-ce que je n'y vais pas sur ça Et donc ça c'est quand même un tiers du temps et ça a un coût parce que soit tu le fais tout seul, soit tu te fais accompagner.

  • Speaker #1

    On a bien abordé la partie utilisateur final, mais maintenant, ce qu'il en est pour les utilisateurs de Salesforce même, donc les sales et les admins, alors moi, j'imagine un truc, c'est que, je ne sais pas si c'est pour l'instant en tout cas, ou alors en tout cas, est-ce que ça sert à se concrétiser comme ça On se souvient des prédictions Einstein, donc voilà, ce lead, il a plus de chances de l'avoir, donc contacte-le, maintenant on peut très bien... Voilà le scoring, on peut très bien l'utiliser maintenant, on peut très bien imaginer que maintenant, c'est force, ton agent te dit, bah là, la next action, c'est envoyer un follow-up, tu cliques sur OK, et là, tac, ça lui envoie le follow-up automatiquement.

  • Speaker #0

    Il n'est même pas sur OK, il le fait tout seul.

  • Speaker #1

    Ouais, mais là, c'est un peu, bah, ça, oui, après, moi, j'ai même gardé un contrôle pour l'instant, on peut arrêter de faire flipper les gens. Mais particulièrement, il y a de la communication en externe, pour l'instant, moi, j'ai des agents, j'ai des trucs perso aussi. les agents aussi, tu contrôles tout, sinon là c'est assez risqué. Donc à terme,

  • Speaker #0

    c'est le travail de sales,

  • Speaker #1

    tous les arguments des sales qui ne veulent pas remplir le CRM parce que c'est chiant, ou autre, au final, tu commences le matin, tu as une liste d'actions, de potentielles actions que le CRM peut faire pour toi, tu fais juste ok ok ok ok, et après tu fais ce que tu veux de ta journée. J'imagine ça comme ça. Est-ce qu'on a des exemples concrets ou pas encore Non, parce que tu as vu beaucoup de services, pas forcément de sales encore.

  • Speaker #0

    Aviva, raconte-nous.

  • Speaker #2

    Moi, j'arrive pas à me projeter du tout de comment ça va être. Après, c'est sûr qu'aujourd'hui, on essaye vraiment d'accompagner. Je vois que ce qui marche, c'est d'accompagner les sales pour... qu'ils aient le moins de réflexion à faire et qu'ils sont au maximum dans la rentabilité. C'est-à-dire, on va leur dire, voilà, ça, c'est les leads que tu dois traiter en priorité. On va leur mettre, par exemple, ce qui marche assez bien, c'est les omnichannels pour la distribution de leads ou de cases. Voilà, en fait, on ne le laisse plus réfléchir. Il a son omnichannel allumé et nous, on a des algos derrière qui vont dire, lui, par exemple, je ne sais pas, on a un client qui va vendre... des formations en anglais, il y a un spécialiste d'anglais, un spécialiste de chinois, un spécialiste de je ne sais quoi, de portugais, ça va envoyer à chacun le bon lead, etc. Je ne sais pas, je n'arrive pas à me... Moi, je n'ai pas assez de connaissances pour savoir comment ça va impacter toute l'intelligence artificielle qui est mise en place, comment ça va impacter le travail au jour le jour des utilisateurs finaux, à part de leur libérer du temps via tout ce que... tout ce qu'on a évoqué. Après, je ne sais pas si ça répond à la question. Mais c'est sûr que... Non, ça veut dire que l'ambition, je pense qu'il y a un sujet sur vraiment accompagner l'utilisateur final pour qu'il soit guidé à faire ce qu'il est censé faire.

  • Speaker #0

    Moi, je suis assez aligné là-dessus, mais moi, j'ai envie d'aller un cran plus loin. Il y a certains rôles qui pourraient être complètement automatisés et remplacés. Tu vois, la partie... C'est les représentatifs, le mec qui appelle toute la journée les clients, la partie recherche de leads, on pourrait envisager, parce que ça existe déjà, les agents IA qui font de la voix et qui font des calls. Tu pourrais déjà…

  • Speaker #2

    C'est horrible ça.

  • Speaker #0

    Avoir… Oui, mais justement ça…

  • Speaker #2

    Ça dépend pourquoi. Ça dépend pourquoi. Si tu es sur un service client, alors tu peux parler à un robot, mais quand tu vas faire de la vente, ça veut dire… Quand tu vas faire… Moi, je travaille avec beaucoup d'entreprises de services, je les vois mal. Je sais qu'il y en a qui font du robot d'appel. Mais je pense, c'est que vraiment sur le sujet de la préqualification et qu'ils appellent toute la France en un jour ou en quatre heures et tu récupères des litres derrière.

  • Speaker #0

    Oui, non, non, mais ça, je suis d'accord avec toi qu'il y a le sujet, il y a certains trucs où tu as besoin d'humains, tu es dans la santé, dans le sujet où tu annonces des mauvaises nouvelles, on ne va pas envoyer un... Il y a quand même, tu vois...

  • Speaker #1

    Ça m'est arrivé, je pense que vous avez vu les voix, en fait... En fait... les voix qu'on oublie des voies il ya en fait tu sais pas que c'est des mais moi je me dis on imagine des voix synthétiques mais en fait c'est

  • Speaker #0

    assez fluide en fait oui mais en france tu as toujours l'obligation de le déclarer je passe ici partout pareil en france tu peux pas avoir T'es obligé de savoir que tu parles à un robot.

  • Speaker #2

    En début de conversation

  • Speaker #0

    Ouais, tu dois... Moi,

  • Speaker #2

    j'ai jamais vu ça. Moi,

  • Speaker #0

    je ne sais pas. Mais dans la législation, je crois bien, même je suis sûr, qu'il y a une obligation de déclarer que vous allez adresser.

  • Speaker #2

    La première fois que j'ai vu ça, j'étais choquée. Je me suis dit, mais waouh, c'est fou, quoi. Et après, si tu raccroches, ils te rappellent encore après, deux jours après, ils te disent, ouais, mais pourquoi tu as raccroché

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce qu'aujourd'hui, ce n'est pas encore extrêmement performant, mais il est possible qu'un jour, le truc soit… Parce qu'en vrai, c'est aussi chiant quand c'est un humain qui t'appelle et qui te raconte un truc de quoi, n'importe quoi. Entre nous, ce n'est pas toujours plus pertinent.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas plus de contexte. Tu l'as raccroché et tu ne vas pas énerver un gars qui essaye de faire son métier.

  • Speaker #0

    C'est ça. Donc, pour en venir, je pense qu'il y a des rôles, les rôles vrais en chiant. tu prends le bottin et t'appelles toute la journée ou il y aura peut-être une manière de qualifier. Tu pourrais carrément être porté par un agent et derrière, le sales, il récupère toute la partie humain et je suis aligné. En vrai, tu ne vas jamais signer un contrat à 10 millions avec un robot si tu vends des produits complexes. À un moment, il faudrait qu'il y ait un humain. Mais si on peut enlever toute cette partie administrative, toute cette partie chiante du process à ton sales et la déléguer à un agent, c'est vraiment... Sur le papier, ça peut être cool et ça peut ouvrir des personnalisations et des possibilités assez ouf.

  • Speaker #1

    Donc, avant de passer à la dernière question d'Aziz, enfin, je ne sais pas si c'est la dernière vu le temps, force à tous les admins, par exemple, qui vont être missionnés par le responsable, d'aller piocher dans le Agile Exchange des fonctions d'admin. Parce que là, vous savez ce qui vous attend. Est-ce que tu n'as pas un agent qui crée des flots à ta place C'est pour t'aider C'est pour t'aider

  • Speaker #0

    Ouais

  • Speaker #1

    Force à vous Choisissez mal

  • Speaker #2

    Non, moi, en général, mes clients, ils ont des bonnes idées d'implémentation. Ce qui est bien, c'est que nous, on est toujours des externes, donc on n'a pas la pression que quand on est employé, alors notre job, il va sauter. Donc peut-être, je pense qu'ils parlent différemment avec nous. Moi, j'adore parler avec mes clients parce qu'ils vont me donner plein de business pain points qu'ils ont et qu'en fait, ils peuvent nous donner à réfléchir. Et nous, après, le sujet, c'est comment on transforme ce besoin de business en technique. Et là, si derrière, on peut mettre un truc, je donne un exemple qui me vient en tête. Des fois, il y a des gens, j'ai un client, ils ont des demandes méga complexes à faire sur des systèmes différents. Il faut mettre à jour plein de data en escalier, un petit peu comme ça. Ça, ça prend énormément de temps. Ils ont deux stagiaires dessus toute la journée pour faire ce genre de choses. Les stagiaires, on peut les former, leur faire faire des trucs beaucoup plus cool que de faire ça. Typiquement, si on arrive à mettre en place un agent, ça peut être super intéressant.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Genre les différentes fonctions de la machine à café et tout...

  • Speaker #0

    Voilà.

  • Speaker #1

    Oh désolé

  • Speaker #0

    Voilà. Mais non, mais... C'est-à-dire qu'on est tous sympas maintenant les amis Mais...

  • Speaker #1

    Non mais je pense que j'en forme de plus en plus Mais oui Franchement,

  • Speaker #2

    y'a...

  • Speaker #0

    Tu te passais par là,

  • Speaker #2

    hein Ouais, à mon époque, moi c'était pas comme ça, on m'avait pas formée, je devais me débrouiller Mais tu te débrouilles

  • Speaker #1

    Du coup, Aziz, il a écrit une belle question. Est-ce que tu peux la poser Comment tu vois les choses dans quelques mois lorsqu'on aura des testeurs IA,

  • Speaker #0

    admin IA, flow IA sur l'Apex C'est à peu près dans la suite de ce que tu disais. Moi, sur les admin IA, je suis un peu comme Aviva. Je ne suis pas très inquiet parce qu'il y a un vrai rôle humain et de comprendre réellement le besoin. Tu as beau être un agent, il y a les non-dits. Ton client, il ne va pas te le dire, mais toi, tu vas l'interpréter. Et ça, avant qu'un agent le fasse à ta place, je pense qu'on a encore du temps et ils auront quand même toujours envie de parler à quelqu'un. Je pense qu'au contraire, ça va juste te faciliter parce qu'il y a quand même des tâches chiantes d'admin, de mot de passe, de machin que tu vas pouvoir t'éviter en automatisant. Après, sur l'aspect testeur et flow IA, oui, effectivement, là, c'est un peu plus compliqué parce que l'aspect test IA, en tout cas, les tests, c'est quand même un peu... ouais il faut de l'humain c'est binaire quoi ouais bah t'as une partie test où il faut de l'humain mais il y a quand même une partie ça marche ça marche pas après c'est je pense que c'est pas spécifique à les jeunes force l'automatisation des tests ça existe depuis longtemps je pense que c'est quelque chose vers lequel on va après ça dépend de quel test on parle si tu parles de test technique oui la partie test technique oui la partie test fonctionnel là il faudra toujours de l'humain parce que jamais personne n'aura une idée aussi chelou qu'un humain dans l'utilisation de l'outil. Tu le vois surtout avec Unia, ce que je disais tout à l'heure. Ils vont poser des questions, tu n'aurais jamais imaginé que quelqu'un pose cette question et Unia ne pensera pas à cette question. Et il y en a un, tu es chez un retailer, il va poser une question qui n'a rien à voir. Comment tu réagis Comment tu dois faire Et ça, il y aura toujours besoin de l'humain. Sur cette partie test...

  • Speaker #1

    À partir du moment où il y a un humain, de toute façon, dans les parages, en tant que client, tu ne peux pas penser à tout. C'est un truc de base quand on choisit. Je sais plus quand on fait la conception logicielle. T'as beau designer ton logiciel pour que le next step logique c'est le bouton carré rouge au milieu, t'as toujours un mec qui va cliquer sur le petit triangle jaune là-bas.

  • Speaker #0

    Et avec l'IA, c'est encore pire parce que du coup, tu paramètres différemment. Tu paramètres, mais tu restreins petit à petit avec des instructions plus en plus limitantes et forcément, c'est des réactions que tu ne peux pas anticiper. Donc, ça nécessite pas mal de tests et d'intelligence humaine. Et sur les flows, je vois qu'il y a des nouvelles features qui te permettent de créer des flows en langage naturel. Ouais. Alors, ça, ce n'est pas à John Van. Moi,

  • Speaker #2

    j'ai un peu essayé, ça ne marchait pas de ouf. Alors, peut-être j'ai mal coupé. on sait pas voilà j'ai essayé récemment la semaine dernière j'ai vu le petit pop-up j'ai dit tiens allez on essaye mais bon c'était pas très concluant sur mon test ça peut être une base et faciliter le truc mais par contre il faudra toujours que tu ailles et que tu

  • Speaker #1

    connectes au bon truc du coup est-ce que c'est pas plus dur du coup parce que si tu le construis from scratch alors que là tu dois débugger un truc que quelqu'un fait

  • Speaker #2

    ça dépend du plot, ça dépend de...

  • Speaker #0

    Oui ...ce que tu fais. Je pense que c'est plutôt sur l'industrialisation, si t'en as 50 à faire...

  • Speaker #2

    Ouais, peut-être que tu fais Apex et c'est fini. Hein, 50...

  • Speaker #0

    Ouais. Là c'est encore nouveau, franchement, moi j'ai pas encore de cas...

  • Speaker #1

    Ouais, on va venir à ça, on va venir à ça. Ouais, ouais. Ouais,

  • Speaker #0

    ouais.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Tiens,

  • Speaker #2

    euh... C'est dans tes ordres, mais allez chauffer en tout cas, pour Mimes.

  • Speaker #0

    Tu vois

  • Speaker #1

    tu as appliqué une formation entre nous voilà est-ce qu'entre nous on se laisse genre 3 mois est-ce que vous voulez qu'on attende 3 mois avant la diffusion pour ça chacun de créer sa propre formation parce que sinon là on va créer une vague on va être formateur là c'est sûr tout le monde va être oh c'est chiant écoute

  • Speaker #0

    mettons-nous ensemble et on crée une multi-formation on en met partout franchement il y a un business il y a un truc il y a un truc c'est sûr qu'il y a un truc

  • Speaker #1

    Attends, mais attends, il a lancé le... ça y est, il a mis. Il ne veut pas me lancer sur ça, t'es fou toi Je ne connais pas. Entre idée et exécution, il y a deux minutes, t'es fou.

  • Speaker #0

    Eh, de... En dessous de la vidéo, il y aura un marqué si vous voulez vous former, cliquez sur le lien. Avec la forme à zéro.

  • Speaker #1

    Il y aura juste un lien.

  • Speaker #0

    C'est un prix inclusif de 99 euros pendant une heure. Bon bah ouais.

  • Speaker #2

    Merci beaucoup.

  • Speaker #0

    C'était cool. C'était sympa. Sinon, vous revenez,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de soucis.

  • Speaker #0

    Et puis c'est tout, on reviendra quand tu vois.

  • Speaker #3

    Merci beaucoup. C'est cool. Enfin, on peut poursuivre. Dieu qui vient après la guerre.

  • Speaker #0

    C'est une petite histoire. Jean-Michel après la guerre.

  • Speaker #3

    Désolé, je ne sais pas ce qui s'est passé. Aujourd'hui, je suis dans un espace de coworking et la connexion sortait souvent. Je vais voir avec. Ou alors c'est Riverside, je ne sais pas. Le type qui veut pas vraiment se payer,

  • Speaker #1

    tu vois. Y'a que moi qui est pas parti en cours de route. Corée du Sud, pourtant, je suis pas...

  • Speaker #3

    Bah, Corée du Sud, c'est normal, mec.

  • Speaker #0

    Moi, je suis dans le 92, et ça galère, hein. Mais cool. Non, mais en tout cas, si on peut se faire un point de suivi, un de ces quatre, on pourrait changer et voir ce que ça a donné. Ce sera avec grand plaisir.

  • Speaker #1

    On pourrait limite faire un format spécial, genre, Idenforce, tu sais, tous les parents.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    On a hâte. Ouais, je veux bien une cobaye sur ça Allez,

  • Speaker #0

    puis voir est-ce qu'on s'est formé est-ce qu'il y en a qui ont cédé aux sirènes de la formation

  • Speaker #1

    Qui a vendu le plus de trucs

  • Speaker #0

    C'est ça Avec grand plaisir si vous voulez s'il y a des questions ou sur d'autres sujets en tout cas merci Salim c'est cool merci Salim,

  • Speaker #3

    merci Adrien pour les questions aussi pertinentes je suis encore une fois désolé j'aurais aimé interagir un peu plus souvent avec vous mais en tout cas c'était super intéressant et c'est ce qu'il faut retenir merci encore je sais pas si j'allais te poser la question si l'enregistrement a été interrompu ou si justement tu comptais faire les au revoir officiels avant d'interrompre l'enregistrement non vas-y

  • Speaker #1

    On se dit au revoir, mais on n'éteint pas, ok Ok.

  • Speaker #3

    Ça va. Merci à tous, en tout cas.

  • Speaker #1

    Écoute, merci à tous. Merci. À très vite.

Chapters

  • Introduction des Invités et Lancement du Sujet : Agentforce

    00:00

  • Le Virage Stratégique de Salesforce : Du Logiciel au "Digital Labor"

    01:05

  • La Pression sur l'Écosystème : L'Adoption "Forcée" d'Agentforce

    02:18

  • Quel Impact sur les Rôles ? Utilisateurs, Développeurs et Consultants

    04:26

  • Les Clés du Succès : Données, Pertinence Métier et Change Management

    08:20

  • L'Émergence des Formations et l'Agentexchange

    11:22

  • Débat : Quelle Valeur pour les Formations Agentforce ?

    15:53

  • L'Importance du Timing dans le Lancement de Produits

    19:52

  • Agentforce en Pratique : Efficacité Réelle et Premiers Retours

    21:23

  • Les Défis de l'Intelligence Artificielle dans le Service Client

    21:53

  • Exploration des Cas d'Usage : Service Client, Vente, Conseil Augmenté

    24:57

  • Coûts, Tarification et Délais d'Implémentation d'Agentforce

    33:24

  • Agentforce pour les Équipes Internes (Sales & Admins) et Avenir des Rôles

    37:00

  • L'Avenir : IA pour les Tests, Flows et le Rôle Indispensable de l'Humain

    45:29

  • Conclusion, Humour sur les Formations et Prochaines Étapes

    49:07

  • Mot de la Fin et Remerciements

    50:32

Description

Salesforce pousse Agentforce à marche forcée : simple évolution technologique ou véritable révolution IA qui menace de transformer radicalement l'écosystème ? Plongez au cœur du débat avec DeclicIT !


Dans cet épisode captivant de DeclicIT, décortiquons ensemble Salesforce Agentforce, la plateforme d'agents IA autonomes qui secoue le monde du CRM. Salim, expert Agentforce, Aziz, Aviva et Sébastien explorent le virage stratégique majeur de Salesforce vers le "digital labor", visant à concurrencer le marché des services et de l'emploi. Découvrez comment cette intelligence artificielle impacte tous les rôles : utilisateurs finaux gagnant en productivité grâce à l'automatisation des tâches répétitives, consultants Salesforce et développeurs face à la nécessité d'évoluer, et les défis potentiels pour certains métiers.

Nous analysons les clés d'une implémentation réussie : la qualité des données, la complexité de la définition des cas d'usage métier (plus critique que la technique basée sur Flow et Apex), et l'immense défi de la gestion du changement. Explorez des exemples concrets dans le service client (réponses automatisées, processus complexes) et la vente (qualification de leads, recommandations personnalisées), ainsi que le potentiel de l'Agentexchange, la nouvelle marketplace d'agents IA. Faut-il se ruer sur les formations ? Quel est le coût réel et le temps de déploiement ? L'épisode aborde sans détour les bénéfices, les limites et l'avenir du travail à l'ère des agents IA dans l'univers Salesforce.


Ne manquez pas cette discussion essentielle pour comprendre les enjeux actuels et futurs de l'IA dans la tech. Écoutez cet épisode de DeclicIT pour décrypter Agentforce et préparez-vous à la transformation ! Abonnez-vous et partagez vos réflexions.


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Transcription

  • Speaker #0

    Et bonjour tout le monde, bonjour Aziz, bonjour à tous, à Viva, Salim, wow Et oui, la première fois que vous venez dans l'émission, aujourd'hui des invités de marque, et de grande marque Parce que Salim, Salim qui connaît tout d'Agent Force, et qui va tout nous dire

  • Speaker #1

    La pression,

  • Speaker #2

    la pression, ça commence

  • Speaker #0

    Et à Viva, donc la femme aux milliers d'appréhensions sur Force, on va partir loin Et pas d'AgentForce, mais c'est pas grave, ça peut arriver.

  • Speaker #1

    Merci Sébastien, merci à Salim et à Viva pour leur présence. Pour cette nouvelle émission, on va faire un focus sur AgentForce. Pour ceux qui débarquent, qui sortent d'une grotte depuis quelques jours, AgentForce est un peu... Oui, voilà. En fait, AgentForce, c'est une plateforme Salesforce qui permet de créer... ou de personnaliser des agents IA autonomes. Je parle sous la présence de Salim, n'hésite pas à m'interrompre.

  • Speaker #2

    C'est exactement ça. Moi, ce que je trouve assez intéressant, on ne va peut-être pas faire un cours, l'idée c'est plutôt d'en débattre, mais ce qui est intéressant, c'est surtout le virage pris par Salesforce. Comment ils sont passés de on vend des modèles, des licences classiques on met tout sur l'agent et comment on switch. Finalement, moi, ce que je retiens un peu quand j'en discute avec mes clients ou avec mes collègues, c'est le marché qui cible. Salesforce, avant, il ciblait les éditeurs de logiciels. Leur concurrent, c'est Microsoft, Oracle, Enco. Là, avec AgentForce, ils visent carrément ce qu'ils appellent le digital labor. C'est le marché des employés. In fine, c'est comment on va se mettre en concurrence avec des boîtes d'intérim, avec des boîtes qui font du service client, du marketing. Quand même, on change complètement de marché. On passe d'un marché pur logiciel à un marché de l'emploi. Et c'est quand même dix fois plus large. Donc, je pense que vous comprenez un peu l'intérêt business de ce positionnement. Et donc, c'est ça qui est assez fou, je trouve.

  • Speaker #1

    Oui, clairement. Après, concernant ces... On va dire qu'il y a une... grosse pression qui est, c'est la façon dont je ressens les choses parce que toi tu es plutôt impliqué dans certains projets AgentForce, Salim, moi de mon côté, d'un point de vue extérieur, et je pense que c'est aussi le cas de Sébastien et Aviva, on ressent un peu cette pression exercée par Salesforce pour adopter et faire adopter cette solution AgentForce, et on a l'impression que, c'est pas une impression au final, c'est que... C'est soit ça, soit on adopte cette solution concrètement dans les mois et les années à venir, soit on se retrouve dépassé et rétrogradé dans le monde du consulting ou des partenariats avec Salesforce. Si les partenaires Salesforce n'adoptent pas AgentForce, ils se retrouveront moins privilégiés. Et si les consultants Salesforce ne se forment pas à AgentForce, ils se retrouveront, on va dire, un peu sous la pile de CV pour être staffés dans des projets spécifiques dédiés à AgentForce qui ont vocation à se multiplier dans les mois et les années à venir. Donc en fait, on ressent un peu cette pression dans tout l'environnement Salesforce, consultants, partenaires, commerciaux, etc. Donc on a cette adoption à faire, un peu un marché forcé, ça fait beaucoup de force dans la même phrase. Et du coup voilà comment je ressens les choses. C'est vrai que depuis un an, enfin même un peu plus d'un an, on parlait de AI spécialiste. Là on parle de plus en plus d'agent de force comme étant l'outil privilégié par Salesforce pour pousser ses agents autonomes. Là on se dit vraiment, si on rate ce train, j'ai l'impression d'être un influenceur en crypto, si on rate ce train, voilà on... on aura l'impression de passer à côté d'une poursuite de carrière au sein de Salesforce même, en fait.

  • Speaker #3

    Attends, mais Salim, toi, tu penses vraiment que ça veut dire... C'est la première fois que j'entends cette vision que c'est sur le marché du travail qu'ils ont envie de se positionner. Tu penses que du coup, en fait, les consultants, tous ceux qui sont développeurs Salesforce, ils vont développer plus Agents de Force ou ils vont juste être plus spécialisés dans l'implémentation d'Agents de Force Parce que je comprends... Enfin, je termine, je comprends qu'il y a plein... Il y a plein de choses bêtes qu'aujourd'hui les utilisateurs de Salesforce font, ça veut dire qu'ils vont rester des heures à refaire les mêmes manies. Et je pense que s'il y a un agent IA qui va dire qu'il lit les emails... qui va updater les opportunités derrière, enfin des trucs, ou du SAV qui va répondre automatiquement. J'entends, mais ça veut dire, est-ce que tu vois la chose comme il va y avoir, genre aujourd'hui, il y a 100 développeurs Salesforce, 100 utilisateurs Salesforce, tu vois qu'il y a beaucoup moins d'utilisateurs Salesforce et beaucoup moins de développeurs, ou c'est que les utilisateurs, parce que pour moi, c'était que les utilisateurs Salesforce qui allaient être aidés, pas forcément les devs.

  • Speaker #2

    Tu as les trois carrément, parce que tu as ce qui va être Customer Facing, donc ton client final, Donc, ton client final, j'ai une boîte qui a du service client. Et donc, au lieu d'avoir des utilisateurs lambda, je vais répondre directement. Après, tu vas avoir une sorte d'assistance, ce qu'ils appellent AgentForce for Employees, où tu vas aider ton admin, ta personne qui est déjà... en charge de rentrer dans Salesforce. Donc, il y en a un où il ne voit même pas Salesforce. Finalement, ça va être sur un site. Tu auras un petit peu trois types d'engagement, entre guillemets. Tu as le premier, Customer Facing, avec celui qui ne voit pas du tout la plateforme, c'est le client final. Et du coup, c'est transparent pour lui ce qui se passe derrière et on va répondre un peu dans un modèle de chatbot amélioré. Tu as l'agent humain, celui qui va être admin Salesforce, celui qui va le piloter. Et où AgentForce va avoir un peu... Ce rôle de copilote, en lui faisant une synthèse, et c'est ce que tu disais, les tâches bêtes, il va pouvoir lui accélérer le temps. Et tu as aussi le boulot sur les développeurs. Ça, ça existe aussi. Comment on fait gagner du temps aux développeurs en facilitant leurs tâches et leurs activités Donc, tu as un peu, en théorie et en pratique, une multiplicité d'interacteurs. Est-ce que ça veut dire qu'il ne faudra plus d'adultes et qu'il ne faudra plus de... développeur je ne pense pas non mais la reprise ça va changer un peu le boulot ouais le job va changer clairement t'es censé grâce à ça te concentrer sur les tâches à valeur ajoutée et plus sur les tâches de stratégie,

  • Speaker #3

    de réflexion j'imagine stratégie,

  • Speaker #2

    réflexion c'est plutôt qui tape les synthèses d'email les tests classe pour les tests classe on a gagné un grand truc Il n'y aura pas que des penseurs, mais c'est plutôt pour faciliter. En fait, c'est un peu le classique de l'IA. La question que tout le monde se pose, est-ce que l'IA va remplacer tous les jobs La réponse est non, ça ne remplacera pas tout le monde. Maintenant, ça va réduire les tâches à faible valeur pour améliorer l'activité. Après, il faut aussi être honnête, il y a quand même toujours des employés qui n'ont que des tâches à faible valeur à jouer. on peut penser à des centres de services ou des call centers, ça va supprimer cette activité-là. Alors on peut toujours les resourcer et les reskiller par exemple, mais c'est vrai qu'il y a des activités qui risquent de disparaître. La totalité non évidemment, mais ça va se recentrer sur des choses un peu plus métier. En fait tu le vois quand tu fais des projets à GeonForce, c'est pas la technique le plus complexe, le plus complexe c'est de réfléchir à quoi ça sert. où tu le mets, quelles sont les données que tu vas connecter. Tu as un gros sujet sur les données. Tous les gens qui bossent sur les données, ils vont garder leur boulot, ils vont même en avoir plus parce qu'un agent force, c'est super, mais s'ils tapent sur des données qui sont foireuses, ils ne marchent pas. Donc, tu as encore du boulot de ce côté-là. Et côté partenaire, tout ça te sert à quelque chose. Évidemment, tout ce qui va être change, ça va être énorme parce que tout d'un coup, on va balancer dans l'équipe. On va dire... écoutez, vous avez trois collègues et puis maintenant, il y aura un quatrième qui sera un agent. C'est intérêt à avoir éduqué les gens, les avoir formés au techno, à savoir comment ça marche, pour qu'ils soient pas trop récalcitrants, sinon ça va vite mal se passer. Donc, il y a vraiment des sujets, des réflexions sur comment t'intègres ça, quel rôle tu lui donnes, est-ce qu'il a les mêmes droits, pas droits En fait, c'est un peu un utilisateur comme un autre. Il faut réfléchir à ce qu'il aura le droit de faire.

  • Speaker #1

    Un onboarding aussi potentiellement pour les autres utilisateurs, les vrais cette fois-ci

  • Speaker #2

    Exactement. Ceux qui vont devoir bosser avec, il y a un truc qui est très important dans les Juneforce, c'est tout ce qui est les garde-fous. Il a le droit de faire certains trucs et pas d'autres, comme un employé classique. Par exemple, s'il fait des remboursements, on va dire, si tu es en dessous de 1000 euros, tu rembourses automatiquement. Par contre, si c'est une somme supérieure, tu dois passer par un humain et lui faire valider. Donc ça, la techno est assez bien faite, il le fait assez simplement. Mais du coup, il faut... éduquer et former les gens pour savoir ce qu'il a le droit et ce qu'il n'a pas de faire, quand est-ce qu'eux vont interagir, quand est-ce qu'ils peuvent le laisser en autonomie sans stresser. Donc il y a vraiment, comme tu en marquerais quelqu'un, comment on peut creuser ça quoi

  • Speaker #0

    Ouais, déjà moi en termes de change, moi j'ai vu sur le projet des gens, des utilisateurs, qui étaient réticents à juste alimenter Salesforce parce qu'ils trouvent ça trop transparent, pas parce que c'est chiant Mais parce que c'est la mentalité des gens, c'est trop transparent. J'aime pas que les gens voient tout ce que je fais.

  • Speaker #2

    C'est du flicage, en tant que genre. Alors moi,

  • Speaker #0

    c'est juste parce que je suis gentil. Voilà Bah oui, il y a les gens. Mais imaginons, tu vois, cette personne-là qui est déjà à ce point-là, genre, la technologie, j'aime pas. Maintenant, tu vas lui expliquer que maintenant, son collègue, c'est un robot. Je dirais,

  • Speaker #1

    bah, bravo Ouais, clairement, il y aura beaucoup de résistance.

  • Speaker #2

    Oui, c'est pour ça qu'il t'a intérêt à embarquer tout le monde dès le départ, à faire de la pédagogie, à expliquer qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il ne fait pas, et surtout, démystifier le truc. Parce que les gens s'imaginent, quand tu leur dis à Jean que c'est un robot qui va marcher et qui va venir se faire leur boulot à leur place, on n'est pas sur ça. Oui, un peu.

  • Speaker #0

    Voilà, après, ça va.

  • Speaker #2

    Oui, taille.

  • Speaker #1

    Il y a aussi un gros marché qui se développe parmi les... les formateurs, à chaque fois qu'il y a une nouvelle techno qui apparaît, j'ai l'impression, enfin c'est pas une impression, au final c'est concret, sur LinkedIn, on voit pop des formateurs spécialistes, au début c'était spécialistes chat GPT, spécialistes cloud, là on a des spécialistes qui proposent, je sais pas quelle est la qualité de leur formation, mais qui proposent ces formations en ligne, ou en physique,

  • Speaker #0

    en ligne.

  • Speaker #1

    Mais voilà, en tout cas, il y en a de plus en plus parce qu'ils savent que c'est très demandé. Et il y en a un, en l'occurrence, qui est américain, qui au début se positionnait sur des formations en vue d'obtenir des certifications Salesforce, donc des certifications basiques, Sales Service Cloud, et qui a aujourd'hui, je ne vais pas citer son nom, qui s'est complètement repositionné et qui s'est exclusivement, du coup, consacré aux formations AgentForce. Donc, c'est des formations tarifées, il y a un certain pricing derrière. qui est plus ou moins intéressant, j'ai pas non plus mis le nez dedans, mais c'est pas le seul à faire ça, c'est le seul dont je me souviens mais je sais que c'est pas le seul à faire ça, et du coup vraiment il y a une réelle appétence, il y a comme un appel d'air qui se fait sur Agent Force, côté formateur, mais également côté développeur. Développeur pourquoi Parce que il y a quelques semaines, et Salim tu nous en diras sûrement plus à ce sujet là, c'est concernant le... la sortie ou la mise en ligne d'Agent Exchange. Agent Exchange, c'est la nouvelle place de marché dédiée aux agents IA et qui peuvent être intégrés en environnement Salesforce. Du coup, il y a beaucoup, je pense, de développeurs qui vont mettre en place des applications. Il y a des applications déjà existantes pour servir d'assistants commerciaux, pour maximiser la productivité des équipes de vente, des choses comme ça. Moi, je vois vraiment ces deux en parallèle de la communication et du marketing poussif que nous fait Salesforce sur AgentForce, derrière, on a tous les autres qui suivent le mouvement, les formateurs d'un côté ou les apprentis formateurs et les développeurs qui veulent un peu leur petite part du gâteau en proposant des applications sur l'AgentForce Exchange ou l'AgentExchange.

  • Speaker #2

    Oui, partagez mon opinion qui n'engage à... par contre je trouve ça assez ouf c'est une plateforme type Apple Store où tu peux aller mettre tes agents donc concrètement toi tu y vas et tu achètes un agent t'embauches un mec, t'embauches un agent et tu vas le mettre sur ta plateforme alors c'est encore le début et donc c'est pas plug and play il y a encore du retravail mais à terme ce sera peut-être qu'on va se ramener à la question ouais mais avec des agents c'est le même concept mais tu dis je veux un agent sales qui peut faire ça et que je plug sur mon système et à terme on va peut-être se retrouver entre est-ce que j'embauche un mec ou est-ce que je vais sur la backchain et je clique et je prends un robot clairement c'est un peu un site d'embauche bientôt alors là c'est encore le début du coup on partage juste des briques derrière il faut le reconstruire ton agent il n'est pas automatisé mais je suis certain que dans quelques temps tu peux tu pourras aller et recruter ton patron de service client ou ton employé du marketing. Et ça, c'est assez ouf. Je serai développeur,

  • Speaker #0

    je serai développeur.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #3

    Vous me donnez envie, là.

  • Speaker #2

    Tu développes une fois l'agent, tu le vends partout. Ça veut dire,

  • Speaker #3

    là, je vois les cas d'usage et tout. Je pense à plein de cas d'usage qui peuvent être simplifiés. Là, je vois des connecteurs sur WordPress, sur Shopify. Ça peut être super intéressant.

  • Speaker #2

    Une fois que tu as... construit la chose d'une fois c'est sûr que c'est réutilisable on a tous ces sujets là quand tu as un projet généralement il ya des choses qui sont industrialisables et donc ça ça peut être assez intéressant après sur la formation mon avis c'est qu'en termes de business c'est sûr c'est un excellent plan Tout le monde en parle tu vas sur le sujet du moment et ils ont super raison c'est ça après moi je vous donne mon avis projet techniquement il n'y a rien de nouveau donc c'est ça que je trouve un peu surprenant et jeune force tu as des flots donc des trucs qui existent depuis toujours de l'apex ça existe depuis toujours et derrière ok il ya du prompt mais d'heures tu vas sur très laid tu la prends tout seul donc moi mon retour c'est honnêtement je sais pas ce qui vous apprend techniquement après il peut vous apprendre un peu la plateforme mais ça tu vas sur très laid ça fait dix ans que le tourne tu pourrais l'apprendre tout seul. Donc, je ne suis pas certain qu'il y ait une super valeur ajoutée pour passer les certifs. Oui, en termes de formation, finalement, si tu as un bon développeur, il peut l'apprendre tout seul. Il y a un petit temps de passage parce que ce n'est pas la même plateforme. Mais honnêtement, de là à aller te faire une formation pendant trois mois, je ne suis pas certain. Non,

  • Speaker #3

    mais tout, si tu dis ça, ça aligne tout. Tu peux apprendre tout seul sur Tralade, mais ça n'empêche pas qu'il y a quand même... des formations. Moi, je comprends qu'il y a des gens qui n'ont pas les nerfs de se plonger dans ta lettre, qui peuvent préférer parler à une personne et qui leur expliquent comment ça se passe.

  • Speaker #2

    Tu vois Ça, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    C'est bien fait. On est sur un système où c'est bien appris, tu as une belle plateforme et tout, mais je pense qu'il y a toujours des gens qui voudront parler à des humains pour se faire former.

  • Speaker #2

    Ça fait raison.

  • Speaker #0

    Surtout pour cet aspect-là. Parce que là, on dit clairement aux gens, tu vas avoir de l'IA qui va faire ton taf. Et ça fait flipper ceux qui ne sont pas initiés quand même, non seulement à la tech, mais aussi au moins de l'IA. C'est là, le travail de l'accompagnement qu'on dit tout à l'heure, le change, c'est là, je pense, c'est le point du projet. C'est ça, ouais. Il faut quelqu'un pour leur assurer que, attention, c'est pas que tu vas cliquer, tout va se passer automatiquement, tout va bouger devant toi comme ça. C'est pas forcément ça qui va se passer.

  • Speaker #2

    T'as raison. Moi, le seul... Le sujet qui me rend sceptique, c'est quand même qu'être jeune force. La vraie problématique et la vraie complexité, elle est plutôt métier. C'est qu'est-ce que tu vas en faire La partie technique, c'est le force. Et toute cette partie, OK, quels sont les use cases Comment je les priorise, etc. C'est là où il y a un vrai besoin de se plonger dedans et de savoir ce que tu peux faire, ce que tu ne peux pas faire. Et c'est ça que je ne suis pas sûr que tu trouves dans les formations parce que c'est le truc qui sont... très lié à des industries, tu ne fais pas un agent pareil dans le retail que dans la banque, etc. Je ne suis pas sûr que dans ta formation, tu l'apprennes. C'est une connaissance du métier, c'est une connaissance fine des enjeux de tes clients que tu as besoin d'avoir. En fait, la plateforme, c'est super facile. Moi, j'en fais des agents.

  • Speaker #0

    Justement, je pense que le plus important de la formation, mis à part ça, c'est vraiment expliquer un concept de base. Le concept de base, ce n'est pas que tu es entrepreneur ou alors que tu... construire des process, c'est déjà mettre à plat tes process. Quelles sont les choses automatisées, entre guillemets, répétitives Tout ce que tu peux schématiser, en fait, potentiellement, tu peux l'optimiser. Tu peux l'optimiser et ensuite, tu peux l'automatiser, voire supprimer. Tu te rends compte, est-ce que tu ne supprimes pas Oui,

  • Speaker #2

    mais du coup,

  • Speaker #0

    ce n'est plus le même public.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai, j'ai peut-être un regard biaisé. Un développeur,

  • Speaker #3

    je suis d'accord qu'il va faire ça. Si je me chauffe, je me pose sur Tralette, je ne vais pas aller payer une formation, mais je pense que des clients finaux, un utilisateur qui est déjà sur Salesforce et qui a envie de découvrir, je pense que ça peut être intéressant.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. Après, la question, c'est qu'est-ce qui se trouve à l'intérieur, vu que maintenant, c'est assez nouveau, et que je pense que ce sont des choses qui vont évoluer, peut-être attendre trois, six mois, le temps qu'on ait un vrai contenu, et les feedbacks, etc. Je pense que ce serait plus pertinent d'attendre un peu... pour en faire une qui soit plus complète quoi.

  • Speaker #2

    Oui mais t'as un effet de mode si t'arrives le premier. tu seras le référent, alors que si tu arrives six mois et qu'il y en a 50, tu seras moins pertinent, enfin moins visible, plus que pertinent. Et c'est là où c'est un peu comme Agile Force. C'est les premiers. Maintenant, il y a ServiceNin, il y a Microsoft qui arrivent. On retiendra Agile Force à l'heure actuelle parce que c'est les premiers qui se sont positionnés. Ils se sont positionnés vite. Ils ont sorti un produit en deux mois entre Dreamforce et Agile

  • Speaker #3

    Force. Ils ne l'avaient pas développé avant

  • Speaker #2

    Ah si, ils avaient commencé, mais entre le moment où ils l'ont annoncé à Dreamforce et le moment où le truc a été GA, il y avait deux mois. C'était extraordinairement rapide. Et ça a permis de lancer la dynamique. En vrai, au début, il y avait plein de features qui n'étaient pas totalement terminées. Tu voulais faire un truc, bon, ce n'était pas encore GA, donc il fallait faire un petit contournement. Mais ça a permis de lancer le truc, d'avoir une communauté, de mobiliser les clients, de les intéresser. C'est quand même une approche commerciale. Alors oui, gros sabot.

  • Speaker #3

    Les pages de sexe,

  • Speaker #0

    c'est le cas. Voilà.

  • Speaker #3

    Ils ont toujours fait comme ça. Moi, je me rappelle la première fois qu'ils avaient lancé, j'étais partie sur le help et il y avait un genre de force qui était là, mais il n'y avait aucun rapport il y a trois mois. Je ne sais pas s'il était clair à moi. Non, c'était une recherche rapide.

  • Speaker #0

    Il y avait des trucs au caravane.

  • Speaker #3

    Moi, j'étais très déçue. J'ai fait un renouvelé de l'expérience.

  • Speaker #0

    Non, ouais, bah... Ouais. C'était ma prochaine question, parce que là, c'est dans le fil. C'est qu'un des use cases que tu as présenté justement, Salim, d'AgentForce pour l'instant, c'est potentiellement d'aider les customers en service. Mais aujourd'hui, non seulement sur le site officiel de Salesforce, il est en place et les retours sont très négatifs. Et j'ai aussi vendre plusieurs clients qui l'utilisent. Les retours sont aussi assez négatifs. Pour le client, on peut dire que l'implémentation est foirée, mais pour Salesforce même, qu'est-ce qui se passe Est-ce que toi, tu as des bons exemples

  • Speaker #2

    Oui, j'ai des bons exemples. Les clients, je vais dire ce que j'ai vu. Sur Salesforce, j'ai l'impression que ça marche quand même mieux. Mais en fait, c'est très simple. Est-ce que tu as des bonnes datas derrière ou pas Parce que c'est comme un LLM. Est-ce que tu lui poses les bonnes questions Est-ce que tu as les bonnes données Point à la ligne. C'est un peu ça le... le sujet derrière, la solution, elle fonctionne. Il sait te ressortir les bons trucs, il sait aller interagir dans Salesforce. Maintenant, moi, ce que je vois chez les clients, c'est que ton org, elle n'est pas forcément propre, ta knowledge base, elle n'est pas bonne, parfois les réponses... Parce qu'en fait, tu peux faire du rag, donc tu peux même lui envoyer des formats différents, il arrive. Maintenant, si ton truc, il n'est pas clair, que dans un article, tu dis ça, et puis dans l'autre, parce que Intel a changé, tu dis le contraire. effectivement tu vas avoir des choses différentes je vais mettre de côté le sujet de Salesforce le help de Salesforce je sais qu'ils l'ont lancé au début super rapidement et aujourd'hui ils communiquent sur le fait que ça marche super bien honnêtement je saurais pas vous dire si c'est de la com, si ils l'ont amélioré, si le truc tourne ou pas

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, entre nous, je sais pas, mais j'ai toujours pensé que Salesforce utilisait un mauvais CRM. Parce que franchement, tu te présentes à chacun de leurs events, t'es en doublon, ils ont pas les bonnes infos sur toi, ouais, ils ont pas un sac coupé, mais... Moi, même moi,

  • Speaker #3

    quand j'étais le premier sur la grille...

  • Speaker #0

    C'est encore donné la plus belle chose. C'est ça, c'est vrai. À chaque événement, ils ont un problème avec le badge. Moi,

  • Speaker #3

    je me rappelle que j'étais chez Salesforce à Paris. Quand j'étais chez Salesforce à Paris, je voulais trop voir comment ils utilisaient Salesforce et j'étais choquée parce que c'était nul. Genre, il y avait une page de ligne normale. Je croyais qu'il y avait des features de malade et tout. Mais en fait, pas du tout.

  • Speaker #2

    T'as été déçue

  • Speaker #3

    Ouais, j'étais trop déçue. Ils avaient juste une diz de... Bref, c'était très basique.

  • Speaker #0

    La légende raconte qu'il n'y a que Benioff qui l'utilise bien, parce que tu es sur 10 ans, il l'a implémenté Einstein il y a très longtemps pour lui-même, comme pour faire du brainstorming. Avant la traîne de Charlie Pitty, quand ils ont sorti Einstein, pour lui c'était, ouais, maintenant je communique avec lui au meeting, je prends des décisions avec lui, machin, peut-être. Des fois ça explique le truc bizarre qui nous sort à la fin, mais bon, si c'est Nia qui lui a suggéré ça... Ouais, vas-y. Bon,

  • Speaker #2

    pardon.

  • Speaker #0

    Transforme les mascottes en robots pour faire flipper tout le monde. Quoi C'est bien.

  • Speaker #2

    Du coup, quand même, je réponds à ta question. Est-ce que je l'ai vue chez les clients Moi, j'ai vu des clients où ça marche. T'as dit oui. J'ai eu des clients où ça marche parce que...

  • Speaker #3

    La question, ce n'est même pas est-ce que ça marche, moi, je trouve, c'est est-ce qu'il y a une valeur ajoutée sur du temps qui a été gagné, etc. Tu vois vraiment ça

  • Speaker #2

    De manière très concrète, les clients veulent te le foutre partout et entre nous, ce n'est pas pertinent partout. Parce que pour des sujets basiques, moi, j'ai l'exemple d'un client dans le retail. Alors, c'est... pas très compliqué à faire le business case. Ils ont à peu près 200 000 demandes par an de clients qui leur écrivent. Pour une demande simple, ça prend 5 minutes à un humain. Pour une demande complexe où il faut aller dans 15 systèmes, on va y penser à un remboursement, il faut aller vérifier ce que tu as commandé, il faut aller cliquer là, il faut aller dans le ERP, il faut faire une demande. Ça prend à peu près 20 minutes à un humain. Puis en plus, bon, il faut... Garder en tête que le personnel qui travaille dans les services clients, ça tourne beaucoup, ils ne sont pas toujours bien formés. Donc parfois, même ça se perd.

  • Speaker #3

    Et il va croire.

  • Speaker #2

    Tu vois, si tu prends des cases de problématiques complexes, tu gagnes un temps parce que le truc, il te le fait automatiquement en 30 secondes. Déjà, d'une, là où il y a la durée, puis il y a le temps. Le délai de réponse. Parce que d'une, il te répond instantanément. Là où un humain, il va apprendre, il faut qu'il affecte, puis il va te mettre trois jours parce qu'il n'aura pas traité le truc. Sur la tâche en elle-même, oui, tu connectes des systèmes. Tant que c'est aller chercher des infos, remplir des infos, échanger avec un client, oui. Après, il ne faut pas le mettre partout. Moi, j'ai vu des clients où la demande, c'était tu peux me donner l'horaire du magasin et est-ce que mon magasin, il est ouvert le dimanche Bon, tu n'as pas besoin de mettre un agent super intelligent pour faire ça. Tu mets un chatbot basique, il le fait. Donc vraiment, je reviens à ce que je disais au début, tout est à qualifier. Oui, ça marche et oui, tu peux avoir de la valeur ajoutée, mais en réfléchissant où tu le mets. Si tu le mets partout, oui, effectivement, ça va vite te coûter cher. Et si c'est pour faire des trucs extrêmement basiques, non, il n'y a pas d'intérêt.

  • Speaker #3

    Et du coup, c'est quoi les use cases que tu as implémentés qui sont stylés

  • Speaker #2

    Pas du service client. Ben si, si, parce que tu sais pourquoi Il y a un petit peu de sales, mais c'est le premier truc qui a été dispo, le service client. Parce que tu vois le pain point, il est clair, on reçoit des centaines de demandes.

  • Speaker #3

    C'est vrai que la perte de temps, elle est monstrueuse. Là-bas, tu as l'impression que tu fais dix fois la même chose et que tu dois répéter les mêmes questions.

  • Speaker #0

    C'est sûr. À partir du moment où il y a un robot, où il y a un chatbot, en fait, tu mets de l'IA, potentiellement, tu dis, ah ben, tu mets de l'IA. C'est plus intelligent. On est tous déjà prêts en fait, les utilisateurs finaux, les clients sont déjà prêts à parler à un robot. Il suffit juste de le rendre un peu plus intelligent.

  • Speaker #2

    Ouais. Ça c'est un autre sujet, mais alors je prends les questions une à une. Il y a quand même beaucoup de clients que ça fait chier de parler à un chatbot qui répond à côté. Ça c'est un truc que tu revois souvent. D'autres trucs qui se mépent... D'où l'IA, oui, mais d'où le fait d'avoir quelque chose de pertinent parce que... Toi comme moi, quand tu écris un chatbot et qu'il te répond à côté, que tu lui dis j'ai un problème avec ma box et qu'il te répond super et que tu as envie de le trouver dans le mur et que tu parles avec lui un quart d'heure et qu'après il te transfère à un humain et que tu as perdu un quart d'heure, c'est bon. Donc je pense qu'il y a quand même un vrai sujet à bien convaincre les utilisateurs, mais après ça dépend des industries. Je pense que tu es moins récalcitrant à parler à un bot quand tu as un problème avec ta box ou un truc de base. que quand tu vas acheter un collier à 50 000 balles pour ton mariage. Là, bon, t'as intérêt à avoir un truc un peu plus sophistiqué. Donc,

  • Speaker #0

    il y a une question aussi de... Normalement, en théorie, t'as un domoéthique pour faire ça.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, normalement, quand tu vas acheter une bague de luxe, t'as envie qu'il y ait un humain derrière, ou alors que ton robot soit très intelligent et qu'il comprenne tout ce que tu lui dis. T'as pas à le répéter trois fois, toi, déjà, ça te pique de lâcher autant pour une bague. Mais Use Case aujourd'hui, moi ce que j'ai vu, ils sont quand même plutôt service client parce que le Big Case, il est rapide, tu gagnes de l'argent concrètement. Tu vois, avant ça me prenait une heure, maintenant ça me prend tant. Tu comprends facilement, c'est plus simple à implémenter parce que c'est du réactif, c'est le client qui te contacte, ce n'est pas du proactif. Évidemment, c'est la next step où ton agent, il va faire des actions, il va réfléchir et puis à un moment, il va se dire… peut-être que je devrais contacter telle personne. Là, on est plutôt dans le sales. Tu vois, il va pouvoir préqualifier tes leads et ensuite aller contacter directement parce qu'il sent que c'est le bon moment, etc. Mais là, ça nécessite quand même... une confiance dans la solution.

  • Speaker #0

    puisque tu lui laisses les manettes que les clients vont avoir un peu plus de temps, vont nécessiter un peu plus de temps à adopter. Alors que dans le service client, c'est basique, j'ai beaucoup trop de demandes, je n'arrive pas à y répondre, là je mets quelqu'un qui va réussir à me le faire à ma place. Je dis quelqu'un, mais je mets un agent. Surtout service client, notamment pour des actions complexes avec du remboursement, c'est un peu plus difficile. avec de la vérification, tout ce qui intègre plein de systèmes et qui est toujours très chiant pour l'humain. Je l'ai vu aussi sur du conseiller au comté. Tu sais, imaginons... Non, mais tu veux faire des travaux...

  • Speaker #1

    On allait la voir

  • Speaker #0

    Tu veux faire des travaux, tu vas... Tu vas écrire à ton agent en lui disant, écoute, moi, je veux refaire ma salle de bain. Comment ça marche Et puis lui, il va être capable de te dire, il te faudrait une perceuse, des clous, du plâtre. Voilà tout ce qu'il te faudrait. Croiseux,

  • Speaker #1

    de la farine,

  • Speaker #0

    des trucs comme ça. Oui, blague à part, tu peux le faire aussi sur ce sujet-là. Je veux faire un gâteau, il te donne la liste. Et en plus de ça, il te... précommande les trucs. Alors, sur les oeufs et la farine, l'intérêt de le précommander, je ne suis pas sûr, mais sur des outils, il va te dire il faudrait tel type de placo. Et en plus de ça, je vois que tu habites à Nevalois-Péret, il est dispo au magasin de Jeannevilliers. Est-ce que tu veux que je te le réserve C'est assez cool. En fait, c'est un petit peu un concierge augmenté qui te fait des recours. Dans le luxe, alors ce n'est pas encore déployé, mais j'ai vu dans le luxe... des sujets de reco, tu lui dis voilà, j'aime bien tel vêtement et un peu ton conseiller qui va dire bah écoute, ça ça pourrait aller avec regarde telle collection ça va bien ensemble etc. ça c'est plus sympa c'est moins en fait c'est plus sexy c'est sûr ça c'est des trucs sympas

  • Speaker #2

    Genre là, à la fin de notre conversation, je pense que je vais aller regarder et je vais commencer à m'y mettre.

  • Speaker #0

    C'est ça. C'est sûr qu'il y a plein d'explications pour voir qu'est-ce qu'ils ont.

  • Speaker #1

    Effectivement, pour l'instant, tout ce qui est pour les clients finaux, j'ai l'impression qu'au final, ça va être juste rendre plus intelligente des fonctions qu'on connaît tous un peu déjà. Oui,

  • Speaker #2

    je connais déjà.

  • Speaker #1

    Par exemple, vous avez acheté ça, voilà ce qui pourrait vous plaire. Pour l'instant, c'est de l'algo pur, mais... s'il y a une IA derrière ça peut être encore plus pertinent Amtos qui va être touch point aussi envoyer des sims et des OSS parce que il te fait la recon mais l'intérêt derrière c'est de de vraiment créer un lead ouais il te crée un lead il te le met dans Salesforce en t'expliquant que

  • Speaker #0

    cette personne elle peut être intéressée par ça ça ça ça ça et puis derrière il va te faciliter le process d'achat et donc on peut penser que vu que t'auras juste à lui répondre ok j'achète Il y a encore des histoires de paiement, évidemment tu ne peux pas payer en disant juste OK, mais ils te facilitent le process d'achat et donc commercialement, tu as un vrai use case pour l'entreprise.

  • Speaker #2

    Et c'est quoi les coûts qu'ils ont associés Là tu parles de mise en place de ce genre de choses. Aujourd'hui, combien c'est d'heures de développement ou de coûts chez Salesforce

  • Speaker #0

    Il y a un prix public qui est officiellement à 2$ la conversation. qui est, peu importe ce que tu lui demandes, 12€, je reviens à ce que je disais tout à l'heure, t'as intérêt à lui faire faire des usages. À lui demander des trucs intéressants. Ouais, parce que sinon tu vas payer quand même le même prix. Et le prix public c'est 2$ par conversation, une conversation c'est une fenêtre de 24h. Donc pendant

  • Speaker #2

    24h tu lui demandes des trucs. Mais c'est que un user Ça veut dire que moi pour une deuxième session sur mon ordinateur ça me considère le même user Ou c'est ce genre de choses Oui,

  • Speaker #3

    très précis là.

  • Speaker #0

    Alors, si tout va sur ton ordinateur, je pense que ça marche. Maintenant, je ne préfère pas dire de baiser. En tout cas, normalement, c'est un user, un user 24 heures, 2 euros.

  • Speaker #2

    Donc ça, c'est quand tu l'utilises en tant que client final, quoi. Oui, c'est ça. Si tu l'utilises en interne, ça veut dire si tu l'utilises en interne via des flows et tout, à chaque fois qu'il va y avoir un appel à...

  • Speaker #0

    Alors là, il y a une autre tarification, mais qui est en train de bouger. Et franchement, je ne pourrais pas... vous la partagez parce que je ne la connais pas moi-même déjà les techniques de Salesforce ils sont complexes ouais ça c'est clair je ne la connais pas non plus voilà donc le prix grand public sur le customer facing c'est 2$ la conversation évidemment si tu en achètes à l'avance tu as des prix négociés et il y a d'autres sujets d'où l'intérêt c'est ce que je disais de lui demander des choses où il interagit dans plein de systèmes où en fait ça te coûterait plus de 2$ le use case il est très basique Est-ce que pour faire la même chose, ça me coûte plus de 2 dollars ou pas

  • Speaker #2

    Et les coûts d'implémentation, parce que souvent, c'est génial, mais après, tu as les coûts d'implémentation qui coûtent cher. Tu as des ordres d'idées ou pas du tout

  • Speaker #0

    Ça dépend de ton budget.

  • Speaker #2

    Mais en tout cas,

  • Speaker #0

    je te donne en termes de temps. En un mois, tu peux mettre en place un use case en prod d'une complexité moyenne. C'est-à-dire qui se... qui se connecte à un ou deux systèmes et qui va du coup interagir dans Salesforce et à l'extérieur de Salesforce.

  • Speaker #1

    Mais en un mois, le plus long, c'est quoi C'est la construction ou alors justement la recherche, le travail avec le business La réflexion,

  • Speaker #2

    quoi,

  • Speaker #0

    ouais. Pour l'avoir fait, c'est un tiers, un tiers, un tiers, un tiers de réflexion, un tiers de construction, puis un tiers d'itération parce que c'est du prompt. forcément battu au début va pas réagir comme tu sais quand même chat gpt tabou pensé à tout ce que c'est des instructions que tu mets en naturel alors après il ya des actions etc mais tu auras pas pensé au cas où tu vas va lui parler de son concurrent ou le client va lui poser une question un peu tordue et donc c'est en le testant que tu pourras tu pourras itérer l'améliorer donc vraiment il ya un tiers de technique pure donc c'est pas vraiment un mois Mon ressenti à date, après quand tu passeras à l'échelle, il y aura peut-être d'autres problématiques et tu vas te connecter à 50 systèmes un peu plus complexes, mais ce n'est pas un projet très complexe techniquement. Il y a un vrai besoin d'alignement en amont, comprendre ce que tu en fais et c'est ça. Un tiers du temps, d'abord on se dit quel use case on va faire, quel use case on va faire et comment on mesure que ça me ramène de l'argent. Est-ce que j'y vais sur ça, est-ce que je n'y vais pas sur ça Et donc ça c'est quand même un tiers du temps et ça a un coût parce que soit tu le fais tout seul, soit tu te fais accompagner.

  • Speaker #1

    On a bien abordé la partie utilisateur final, mais maintenant, ce qu'il en est pour les utilisateurs de Salesforce même, donc les sales et les admins, alors moi, j'imagine un truc, c'est que, je ne sais pas si c'est pour l'instant en tout cas, ou alors en tout cas, est-ce que ça sert à se concrétiser comme ça On se souvient des prédictions Einstein, donc voilà, ce lead, il a plus de chances de l'avoir, donc contacte-le, maintenant on peut très bien... Voilà le scoring, on peut très bien l'utiliser maintenant, on peut très bien imaginer que maintenant, c'est force, ton agent te dit, bah là, la next action, c'est envoyer un follow-up, tu cliques sur OK, et là, tac, ça lui envoie le follow-up automatiquement.

  • Speaker #0

    Il n'est même pas sur OK, il le fait tout seul.

  • Speaker #1

    Ouais, mais là, c'est un peu, bah, ça, oui, après, moi, j'ai même gardé un contrôle pour l'instant, on peut arrêter de faire flipper les gens. Mais particulièrement, il y a de la communication en externe, pour l'instant, moi, j'ai des agents, j'ai des trucs perso aussi. les agents aussi, tu contrôles tout, sinon là c'est assez risqué. Donc à terme,

  • Speaker #0

    c'est le travail de sales,

  • Speaker #1

    tous les arguments des sales qui ne veulent pas remplir le CRM parce que c'est chiant, ou autre, au final, tu commences le matin, tu as une liste d'actions, de potentielles actions que le CRM peut faire pour toi, tu fais juste ok ok ok ok, et après tu fais ce que tu veux de ta journée. J'imagine ça comme ça. Est-ce qu'on a des exemples concrets ou pas encore Non, parce que tu as vu beaucoup de services, pas forcément de sales encore.

  • Speaker #0

    Aviva, raconte-nous.

  • Speaker #2

    Moi, j'arrive pas à me projeter du tout de comment ça va être. Après, c'est sûr qu'aujourd'hui, on essaye vraiment d'accompagner. Je vois que ce qui marche, c'est d'accompagner les sales pour... qu'ils aient le moins de réflexion à faire et qu'ils sont au maximum dans la rentabilité. C'est-à-dire, on va leur dire, voilà, ça, c'est les leads que tu dois traiter en priorité. On va leur mettre, par exemple, ce qui marche assez bien, c'est les omnichannels pour la distribution de leads ou de cases. Voilà, en fait, on ne le laisse plus réfléchir. Il a son omnichannel allumé et nous, on a des algos derrière qui vont dire, lui, par exemple, je ne sais pas, on a un client qui va vendre... des formations en anglais, il y a un spécialiste d'anglais, un spécialiste de chinois, un spécialiste de je ne sais quoi, de portugais, ça va envoyer à chacun le bon lead, etc. Je ne sais pas, je n'arrive pas à me... Moi, je n'ai pas assez de connaissances pour savoir comment ça va impacter toute l'intelligence artificielle qui est mise en place, comment ça va impacter le travail au jour le jour des utilisateurs finaux, à part de leur libérer du temps via tout ce que... tout ce qu'on a évoqué. Après, je ne sais pas si ça répond à la question. Mais c'est sûr que... Non, ça veut dire que l'ambition, je pense qu'il y a un sujet sur vraiment accompagner l'utilisateur final pour qu'il soit guidé à faire ce qu'il est censé faire.

  • Speaker #0

    Moi, je suis assez aligné là-dessus, mais moi, j'ai envie d'aller un cran plus loin. Il y a certains rôles qui pourraient être complètement automatisés et remplacés. Tu vois, la partie... C'est les représentatifs, le mec qui appelle toute la journée les clients, la partie recherche de leads, on pourrait envisager, parce que ça existe déjà, les agents IA qui font de la voix et qui font des calls. Tu pourrais déjà…

  • Speaker #2

    C'est horrible ça.

  • Speaker #0

    Avoir… Oui, mais justement ça…

  • Speaker #2

    Ça dépend pourquoi. Ça dépend pourquoi. Si tu es sur un service client, alors tu peux parler à un robot, mais quand tu vas faire de la vente, ça veut dire… Quand tu vas faire… Moi, je travaille avec beaucoup d'entreprises de services, je les vois mal. Je sais qu'il y en a qui font du robot d'appel. Mais je pense, c'est que vraiment sur le sujet de la préqualification et qu'ils appellent toute la France en un jour ou en quatre heures et tu récupères des litres derrière.

  • Speaker #0

    Oui, non, non, mais ça, je suis d'accord avec toi qu'il y a le sujet, il y a certains trucs où tu as besoin d'humains, tu es dans la santé, dans le sujet où tu annonces des mauvaises nouvelles, on ne va pas envoyer un... Il y a quand même, tu vois...

  • Speaker #1

    Ça m'est arrivé, je pense que vous avez vu les voix, en fait... En fait... les voix qu'on oublie des voies il ya en fait tu sais pas que c'est des mais moi je me dis on imagine des voix synthétiques mais en fait c'est

  • Speaker #0

    assez fluide en fait oui mais en france tu as toujours l'obligation de le déclarer je passe ici partout pareil en france tu peux pas avoir T'es obligé de savoir que tu parles à un robot.

  • Speaker #2

    En début de conversation

  • Speaker #0

    Ouais, tu dois... Moi,

  • Speaker #2

    j'ai jamais vu ça. Moi,

  • Speaker #0

    je ne sais pas. Mais dans la législation, je crois bien, même je suis sûr, qu'il y a une obligation de déclarer que vous allez adresser.

  • Speaker #2

    La première fois que j'ai vu ça, j'étais choquée. Je me suis dit, mais waouh, c'est fou, quoi. Et après, si tu raccroches, ils te rappellent encore après, deux jours après, ils te disent, ouais, mais pourquoi tu as raccroché

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce qu'aujourd'hui, ce n'est pas encore extrêmement performant, mais il est possible qu'un jour, le truc soit… Parce qu'en vrai, c'est aussi chiant quand c'est un humain qui t'appelle et qui te raconte un truc de quoi, n'importe quoi. Entre nous, ce n'est pas toujours plus pertinent.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas plus de contexte. Tu l'as raccroché et tu ne vas pas énerver un gars qui essaye de faire son métier.

  • Speaker #0

    C'est ça. Donc, pour en venir, je pense qu'il y a des rôles, les rôles vrais en chiant. tu prends le bottin et t'appelles toute la journée ou il y aura peut-être une manière de qualifier. Tu pourrais carrément être porté par un agent et derrière, le sales, il récupère toute la partie humain et je suis aligné. En vrai, tu ne vas jamais signer un contrat à 10 millions avec un robot si tu vends des produits complexes. À un moment, il faudrait qu'il y ait un humain. Mais si on peut enlever toute cette partie administrative, toute cette partie chiante du process à ton sales et la déléguer à un agent, c'est vraiment... Sur le papier, ça peut être cool et ça peut ouvrir des personnalisations et des possibilités assez ouf.

  • Speaker #1

    Donc, avant de passer à la dernière question d'Aziz, enfin, je ne sais pas si c'est la dernière vu le temps, force à tous les admins, par exemple, qui vont être missionnés par le responsable, d'aller piocher dans le Agile Exchange des fonctions d'admin. Parce que là, vous savez ce qui vous attend. Est-ce que tu n'as pas un agent qui crée des flots à ta place C'est pour t'aider C'est pour t'aider

  • Speaker #0

    Ouais

  • Speaker #1

    Force à vous Choisissez mal

  • Speaker #2

    Non, moi, en général, mes clients, ils ont des bonnes idées d'implémentation. Ce qui est bien, c'est que nous, on est toujours des externes, donc on n'a pas la pression que quand on est employé, alors notre job, il va sauter. Donc peut-être, je pense qu'ils parlent différemment avec nous. Moi, j'adore parler avec mes clients parce qu'ils vont me donner plein de business pain points qu'ils ont et qu'en fait, ils peuvent nous donner à réfléchir. Et nous, après, le sujet, c'est comment on transforme ce besoin de business en technique. Et là, si derrière, on peut mettre un truc, je donne un exemple qui me vient en tête. Des fois, il y a des gens, j'ai un client, ils ont des demandes méga complexes à faire sur des systèmes différents. Il faut mettre à jour plein de data en escalier, un petit peu comme ça. Ça, ça prend énormément de temps. Ils ont deux stagiaires dessus toute la journée pour faire ce genre de choses. Les stagiaires, on peut les former, leur faire faire des trucs beaucoup plus cool que de faire ça. Typiquement, si on arrive à mettre en place un agent, ça peut être super intéressant.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Genre les différentes fonctions de la machine à café et tout...

  • Speaker #0

    Voilà.

  • Speaker #1

    Oh désolé

  • Speaker #0

    Voilà. Mais non, mais... C'est-à-dire qu'on est tous sympas maintenant les amis Mais...

  • Speaker #1

    Non mais je pense que j'en forme de plus en plus Mais oui Franchement,

  • Speaker #2

    y'a...

  • Speaker #0

    Tu te passais par là,

  • Speaker #2

    hein Ouais, à mon époque, moi c'était pas comme ça, on m'avait pas formée, je devais me débrouiller Mais tu te débrouilles

  • Speaker #1

    Du coup, Aziz, il a écrit une belle question. Est-ce que tu peux la poser Comment tu vois les choses dans quelques mois lorsqu'on aura des testeurs IA,

  • Speaker #0

    admin IA, flow IA sur l'Apex C'est à peu près dans la suite de ce que tu disais. Moi, sur les admin IA, je suis un peu comme Aviva. Je ne suis pas très inquiet parce qu'il y a un vrai rôle humain et de comprendre réellement le besoin. Tu as beau être un agent, il y a les non-dits. Ton client, il ne va pas te le dire, mais toi, tu vas l'interpréter. Et ça, avant qu'un agent le fasse à ta place, je pense qu'on a encore du temps et ils auront quand même toujours envie de parler à quelqu'un. Je pense qu'au contraire, ça va juste te faciliter parce qu'il y a quand même des tâches chiantes d'admin, de mot de passe, de machin que tu vas pouvoir t'éviter en automatisant. Après, sur l'aspect testeur et flow IA, oui, effectivement, là, c'est un peu plus compliqué parce que l'aspect test IA, en tout cas, les tests, c'est quand même un peu... ouais il faut de l'humain c'est binaire quoi ouais bah t'as une partie test où il faut de l'humain mais il y a quand même une partie ça marche ça marche pas après c'est je pense que c'est pas spécifique à les jeunes force l'automatisation des tests ça existe depuis longtemps je pense que c'est quelque chose vers lequel on va après ça dépend de quel test on parle si tu parles de test technique oui la partie test technique oui la partie test fonctionnel là il faudra toujours de l'humain parce que jamais personne n'aura une idée aussi chelou qu'un humain dans l'utilisation de l'outil. Tu le vois surtout avec Unia, ce que je disais tout à l'heure. Ils vont poser des questions, tu n'aurais jamais imaginé que quelqu'un pose cette question et Unia ne pensera pas à cette question. Et il y en a un, tu es chez un retailer, il va poser une question qui n'a rien à voir. Comment tu réagis Comment tu dois faire Et ça, il y aura toujours besoin de l'humain. Sur cette partie test...

  • Speaker #1

    À partir du moment où il y a un humain, de toute façon, dans les parages, en tant que client, tu ne peux pas penser à tout. C'est un truc de base quand on choisit. Je sais plus quand on fait la conception logicielle. T'as beau designer ton logiciel pour que le next step logique c'est le bouton carré rouge au milieu, t'as toujours un mec qui va cliquer sur le petit triangle jaune là-bas.

  • Speaker #0

    Et avec l'IA, c'est encore pire parce que du coup, tu paramètres différemment. Tu paramètres, mais tu restreins petit à petit avec des instructions plus en plus limitantes et forcément, c'est des réactions que tu ne peux pas anticiper. Donc, ça nécessite pas mal de tests et d'intelligence humaine. Et sur les flows, je vois qu'il y a des nouvelles features qui te permettent de créer des flows en langage naturel. Ouais. Alors, ça, ce n'est pas à John Van. Moi,

  • Speaker #2

    j'ai un peu essayé, ça ne marchait pas de ouf. Alors, peut-être j'ai mal coupé. on sait pas voilà j'ai essayé récemment la semaine dernière j'ai vu le petit pop-up j'ai dit tiens allez on essaye mais bon c'était pas très concluant sur mon test ça peut être une base et faciliter le truc mais par contre il faudra toujours que tu ailles et que tu

  • Speaker #1

    connectes au bon truc du coup est-ce que c'est pas plus dur du coup parce que si tu le construis from scratch alors que là tu dois débugger un truc que quelqu'un fait

  • Speaker #2

    ça dépend du plot, ça dépend de...

  • Speaker #0

    Oui ...ce que tu fais. Je pense que c'est plutôt sur l'industrialisation, si t'en as 50 à faire...

  • Speaker #2

    Ouais, peut-être que tu fais Apex et c'est fini. Hein, 50...

  • Speaker #0

    Ouais. Là c'est encore nouveau, franchement, moi j'ai pas encore de cas...

  • Speaker #1

    Ouais, on va venir à ça, on va venir à ça. Ouais, ouais. Ouais,

  • Speaker #0

    ouais.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Tiens,

  • Speaker #2

    euh... C'est dans tes ordres, mais allez chauffer en tout cas, pour Mimes.

  • Speaker #0

    Tu vois

  • Speaker #1

    tu as appliqué une formation entre nous voilà est-ce qu'entre nous on se laisse genre 3 mois est-ce que vous voulez qu'on attende 3 mois avant la diffusion pour ça chacun de créer sa propre formation parce que sinon là on va créer une vague on va être formateur là c'est sûr tout le monde va être oh c'est chiant écoute

  • Speaker #0

    mettons-nous ensemble et on crée une multi-formation on en met partout franchement il y a un business il y a un truc il y a un truc c'est sûr qu'il y a un truc

  • Speaker #1

    Attends, mais attends, il a lancé le... ça y est, il a mis. Il ne veut pas me lancer sur ça, t'es fou toi Je ne connais pas. Entre idée et exécution, il y a deux minutes, t'es fou.

  • Speaker #0

    Eh, de... En dessous de la vidéo, il y aura un marqué si vous voulez vous former, cliquez sur le lien. Avec la forme à zéro.

  • Speaker #1

    Il y aura juste un lien.

  • Speaker #0

    C'est un prix inclusif de 99 euros pendant une heure. Bon bah ouais.

  • Speaker #2

    Merci beaucoup.

  • Speaker #0

    C'était cool. C'était sympa. Sinon, vous revenez,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de soucis.

  • Speaker #0

    Et puis c'est tout, on reviendra quand tu vois.

  • Speaker #3

    Merci beaucoup. C'est cool. Enfin, on peut poursuivre. Dieu qui vient après la guerre.

  • Speaker #0

    C'est une petite histoire. Jean-Michel après la guerre.

  • Speaker #3

    Désolé, je ne sais pas ce qui s'est passé. Aujourd'hui, je suis dans un espace de coworking et la connexion sortait souvent. Je vais voir avec. Ou alors c'est Riverside, je ne sais pas. Le type qui veut pas vraiment se payer,

  • Speaker #1

    tu vois. Y'a que moi qui est pas parti en cours de route. Corée du Sud, pourtant, je suis pas...

  • Speaker #3

    Bah, Corée du Sud, c'est normal, mec.

  • Speaker #0

    Moi, je suis dans le 92, et ça galère, hein. Mais cool. Non, mais en tout cas, si on peut se faire un point de suivi, un de ces quatre, on pourrait changer et voir ce que ça a donné. Ce sera avec grand plaisir.

  • Speaker #1

    On pourrait limite faire un format spécial, genre, Idenforce, tu sais, tous les parents.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    On a hâte. Ouais, je veux bien une cobaye sur ça Allez,

  • Speaker #0

    puis voir est-ce qu'on s'est formé est-ce qu'il y en a qui ont cédé aux sirènes de la formation

  • Speaker #1

    Qui a vendu le plus de trucs

  • Speaker #0

    C'est ça Avec grand plaisir si vous voulez s'il y a des questions ou sur d'autres sujets en tout cas merci Salim c'est cool merci Salim,

  • Speaker #3

    merci Adrien pour les questions aussi pertinentes je suis encore une fois désolé j'aurais aimé interagir un peu plus souvent avec vous mais en tout cas c'était super intéressant et c'est ce qu'il faut retenir merci encore je sais pas si j'allais te poser la question si l'enregistrement a été interrompu ou si justement tu comptais faire les au revoir officiels avant d'interrompre l'enregistrement non vas-y

  • Speaker #1

    On se dit au revoir, mais on n'éteint pas, ok Ok.

  • Speaker #3

    Ça va. Merci à tous, en tout cas.

  • Speaker #1

    Écoute, merci à tous. Merci. À très vite.

Chapters

  • Introduction des Invités et Lancement du Sujet : Agentforce

    00:00

  • Le Virage Stratégique de Salesforce : Du Logiciel au "Digital Labor"

    01:05

  • La Pression sur l'Écosystème : L'Adoption "Forcée" d'Agentforce

    02:18

  • Quel Impact sur les Rôles ? Utilisateurs, Développeurs et Consultants

    04:26

  • Les Clés du Succès : Données, Pertinence Métier et Change Management

    08:20

  • L'Émergence des Formations et l'Agentexchange

    11:22

  • Débat : Quelle Valeur pour les Formations Agentforce ?

    15:53

  • L'Importance du Timing dans le Lancement de Produits

    19:52

  • Agentforce en Pratique : Efficacité Réelle et Premiers Retours

    21:23

  • Les Défis de l'Intelligence Artificielle dans le Service Client

    21:53

  • Exploration des Cas d'Usage : Service Client, Vente, Conseil Augmenté

    24:57

  • Coûts, Tarification et Délais d'Implémentation d'Agentforce

    33:24

  • Agentforce pour les Équipes Internes (Sales & Admins) et Avenir des Rôles

    37:00

  • L'Avenir : IA pour les Tests, Flows et le Rôle Indispensable de l'Humain

    45:29

  • Conclusion, Humour sur les Formations et Prochaines Étapes

    49:07

  • Mot de la Fin et Remerciements

    50:32

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