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Bad buzz, crises : comment agir | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of cover
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Décodeur de la Communication

Bad buzz, crises : comment agir | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of

Bad buzz, crises : comment agir | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of

17min |19/07/2025
Play
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Bad buzz, crises : comment agir | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of

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17min |19/07/2025
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Description

Crise, bad buzz, situations sensibles : aujourd'hui, Frédéric Vallois, dircom de Prisma Media, nous embarque dans les coulisses d’un métier où la réactivité est une seconde nature — mais jamais un réflexe vide de sens.


Ce n’est pas parce qu’on parle de vous que c’est une crise

X (ex-Twitter) est devenu un champ de bataille numérique. Prisma Media s’y fait discret, mais vigilant. Frédéric rappelle une évidence trop souvent oubliée : la crise, la vraie, suppose deux conditions — un effet de surprise et une menace grave pour l’entreprise. Le reste ? C’est du bruit. Ou, comme il le dit avec justesse, une situation sensible.


Répondre ou ne pas répondre : l’art de choisir

Dans un monde où tout va vite, la réponse ne doit jamais être automatique. Tout dépend de l’émetteur, de la viralité, de la gravité du fait incriminé. Faut-il répondre à un troll ? Non. À un influenceur suivi par des centaines de milliers de personnes ? Peut-être. La clé, c’est d’avoir une cartographie claire de ce qui se dit et de le savoir à temps. Car ne pas voir venir, c’est perdre sa liberté d’action.


Être là pour aider, pas pour imposer

En interne, Frédéric se définit comme un conseiller, pas comme un censeur. Il avance à pas mesurés, humble, et s’applique à créer une relation de confiance avec les rédactions. Il est là pour proposer des options, alerter, conseiller. Jamais pour interférer dans le travail journalistique.


Cet épisode est une leçon d’équilibre. Frédéric nous rappelle que la communication de crise n’est pas une posture guerrière, mais une discipline de vigilance, de discernement, d’humilité. Ce best of de l’été devrait figurer en haut de la pile de lecture de tous les communicants, jeunes ou aguerris. Parce que, comme le dit Frédéric : le communicant est là pour aider à décider. Et c’est déjà beaucoup.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Crise, bad buzz, situations sensibles : aujourd'hui, Frédéric Vallois, dircom de Prisma Media, nous embarque dans les coulisses d’un métier où la réactivité est une seconde nature — mais jamais un réflexe vide de sens.


Ce n’est pas parce qu’on parle de vous que c’est une crise

X (ex-Twitter) est devenu un champ de bataille numérique. Prisma Media s’y fait discret, mais vigilant. Frédéric rappelle une évidence trop souvent oubliée : la crise, la vraie, suppose deux conditions — un effet de surprise et une menace grave pour l’entreprise. Le reste ? C’est du bruit. Ou, comme il le dit avec justesse, une situation sensible.


Répondre ou ne pas répondre : l’art de choisir

Dans un monde où tout va vite, la réponse ne doit jamais être automatique. Tout dépend de l’émetteur, de la viralité, de la gravité du fait incriminé. Faut-il répondre à un troll ? Non. À un influenceur suivi par des centaines de milliers de personnes ? Peut-être. La clé, c’est d’avoir une cartographie claire de ce qui se dit et de le savoir à temps. Car ne pas voir venir, c’est perdre sa liberté d’action.


Être là pour aider, pas pour imposer

En interne, Frédéric se définit comme un conseiller, pas comme un censeur. Il avance à pas mesurés, humble, et s’applique à créer une relation de confiance avec les rédactions. Il est là pour proposer des options, alerter, conseiller. Jamais pour interférer dans le travail journalistique.


Cet épisode est une leçon d’équilibre. Frédéric nous rappelle que la communication de crise n’est pas une posture guerrière, mais une discipline de vigilance, de discernement, d’humilité. Ce best of de l’été devrait figurer en haut de la pile de lecture de tous les communicants, jeunes ou aguerris. Parce que, comme le dit Frédéric : le communicant est là pour aider à décider. Et c’est déjà beaucoup.


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Ce n’est pas parce qu’on parle de vous que c’est une crise

X (ex-Twitter) est devenu un champ de bataille numérique. Prisma Media s’y fait discret, mais vigilant. Frédéric rappelle une évidence trop souvent oubliée : la crise, la vraie, suppose deux conditions — un effet de surprise et une menace grave pour l’entreprise. Le reste ? C’est du bruit. Ou, comme il le dit avec justesse, une situation sensible.


Répondre ou ne pas répondre : l’art de choisir

Dans un monde où tout va vite, la réponse ne doit jamais être automatique. Tout dépend de l’émetteur, de la viralité, de la gravité du fait incriminé. Faut-il répondre à un troll ? Non. À un influenceur suivi par des centaines de milliers de personnes ? Peut-être. La clé, c’est d’avoir une cartographie claire de ce qui se dit et de le savoir à temps. Car ne pas voir venir, c’est perdre sa liberté d’action.


Être là pour aider, pas pour imposer

En interne, Frédéric se définit comme un conseiller, pas comme un censeur. Il avance à pas mesurés, humble, et s’applique à créer une relation de confiance avec les rédactions. Il est là pour proposer des options, alerter, conseiller. Jamais pour interférer dans le travail journalistique.


Cet épisode est une leçon d’équilibre. Frédéric nous rappelle que la communication de crise n’est pas une posture guerrière, mais une discipline de vigilance, de discernement, d’humilité. Ce best of de l’été devrait figurer en haut de la pile de lecture de tous les communicants, jeunes ou aguerris. Parce que, comme le dit Frédéric : le communicant est là pour aider à décider. Et c’est déjà beaucoup.


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X (ex-Twitter) est devenu un champ de bataille numérique. Prisma Media s’y fait discret, mais vigilant. Frédéric rappelle une évidence trop souvent oubliée : la crise, la vraie, suppose deux conditions — un effet de surprise et une menace grave pour l’entreprise. Le reste ? C’est du bruit. Ou, comme il le dit avec justesse, une situation sensible.


Répondre ou ne pas répondre : l’art de choisir

Dans un monde où tout va vite, la réponse ne doit jamais être automatique. Tout dépend de l’émetteur, de la viralité, de la gravité du fait incriminé. Faut-il répondre à un troll ? Non. À un influenceur suivi par des centaines de milliers de personnes ? Peut-être. La clé, c’est d’avoir une cartographie claire de ce qui se dit et de le savoir à temps. Car ne pas voir venir, c’est perdre sa liberté d’action.


Être là pour aider, pas pour imposer

En interne, Frédéric se définit comme un conseiller, pas comme un censeur. Il avance à pas mesurés, humble, et s’applique à créer une relation de confiance avec les rédactions. Il est là pour proposer des options, alerter, conseiller. Jamais pour interférer dans le travail journalistique.


Cet épisode est une leçon d’équilibre. Frédéric nous rappelle que la communication de crise n’est pas une posture guerrière, mais une discipline de vigilance, de discernement, d’humilité. Ce best of de l’été devrait figurer en haut de la pile de lecture de tous les communicants, jeunes ou aguerris. Parce que, comme le dit Frédéric : le communicant est là pour aider à décider. Et c’est déjà beaucoup.


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